ar M. le Dr Aubeau, par M. Féron, député de la Seine, par M. Gréhant,
professeur
au Muséum, par M. le Dr Albert Robin, professeur
ine, par M. Gréhant, professeur au Muséum, par M. le Dr Albert Robin,
professeur
à la Faculté de Médecine par M. le D' Huchard, me
ologie de l'intimidation : Les timidités. (') par M. le D' Béiullon
professeur
ù l'Ecole de psychologie, médecin inspecteur des
re.) —-f- PSYCHOTHÉRAPIE ET HYPNOTISME Critique du livre de M. le
professeur
Dubois, (de Berne), sur «les Psychonévroses ».
nol envoyé par un confrère, qui avait été traité sans succès par. les
professeurs
de Péters-bourg, Vienne, Paris et Berlin. Le mala
tudier la psychologie de la voix, il faut se garder de faire œuvre de
professeur
de chant ou de diction. Ce serait se perdre dans
t oratoire pur est largement compensé par l'influence considérable du
professeur
, de l'acteur, du conférencier. Inutile de s'arrêt
'utilisation de l'énergie nerveuse. Sommeil et détente. par M. le
professeur
Lionel Dauriac. r Le sommeil est-il un état p
idence de M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Ils seront répartis de
: Rapporteur : M. Mironneau, directeur de l'Ecole normale, M. Chabot,
professeur
à la faculté des lettres, Dr Beauvisage, professe
rmale, M. Chabot, professeur à la faculté des lettres, Dr Beauvisage,
professeur
à la faculté de médecine, et Dr Bérillon. Dans
le D' Jules Voisin, médecin en chef de la Salpetrière, Mlle Berlhet,
professeur
à l'Ecole normale de Ne vers. Dans l'après-midi :
s, Chamounix. Communicationsdéjà inscrites: M. le Dr BeauvisaGe :
professeur
, à la faculté de médecine de Lyon : Les programme
de l'enseignement primaire et les enfants anormaux. Mlle Berthet :
professeur
à l'école normale de Nevers : L'obligation scolai
: Des moyens pratiques d'en assurer l'observation. Mlle Bérillon :
professeur
au lycée Molière : 1- La représentation de l'ense
Lyon : Un enseignement scientifique dans les casernes. M. Moreau :
professeur
spécial d'agriculture à Reims : Les méthodes d'en
Influence de l'écriture sur les déviations vertébrales. M. Quinque,
professeur
spécial pour enfants anormaux : Méthodes de lectu
bres des divers ordres d'en seignement. Elle leur permet ainsi qu'aux
professeurs
des écoles spéciales, professionnelles ou techniq
ents à M. le Dr Bérillon, président 4, rue Castellane, Paris, à M. le
professeur
Beauvisage, 45, rue de l'Université, à Lyon, et&a
membre de l'Académie de médecine, médecin de l'hôpital Saint-Louis et
professeur
agrégé à la Faculté, vient d'être nommé chevalier
vait résolu d'offrir au Dr Bérillon, inspecteur des asiles d'aliénés,
professeur
à l'Ecole de psychologie, secrétaire général de l
, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences ; Albert Robin,
professeur
à la Faculté de médecine ; IIuchard, membre de l'
l'Académie de médecine ; Edmond Perrier, directeur du Muséum ; Giard,
professeur
à la Sorbonne.. A huit heures, de dévoués commi
voir auprès de lui. A droite ou à gauche avaient pris place : M. le
professeur
Albert Robin, membre de l'Académie de médecine ;
; M. le Dr Pédebidou, sénateur; M. Féron, député de la Seines M. le
professeur
Hallopeau, membre de l'Académie de médecine ; M.
int-Yves Ménard, membre de l'Académie de médecine ; M. le Dr Gréhant,
professeur
au Muséum, membre de l'Académie de médecine ; M
um, membre de l'Académie de médecine ; Madame Gréhant ; M. Bouvier,
professeur
au Muséum : Madame E. Bérillon ; M. le Dr Jules
M. Dabat, directeur au ministère de l'Agriculture ; M. S. Rocheblave,
professeur
à l'E :ole des Beaux-Arts ; M. R. de Saint-Arroma
struction publique ; Madame de Saint-Arroman : M. Lionel Dauriac.
professeur
honoraire à la Faculté de Montpellier; M. le D'
llier; M. le D' de Groer (de Saint-Pétersbourg) ; M. le Pr Baron,
professeur
à l'Ecole vétérinaire d'Alfort ; M. Scié-Ton-Fa
chef de la clinique générale de chirurgie. M. le D' Paul Magnis,
professeur
à l'Ecole de psychologie; Madame Paul Maghin ;
à l'Ecole de psychologie; Madame Paul Maghin ; M. le D' Paul Farkz,
professeur
à l'Ecole de psychologie ; Madame Paul Farez ;
s Bektillon, chef de la statistique municipale ; Mlle Lucie Bérillon.
professeur
au Lycée Molière. Mlle Alice Bérillon, professeur
lle Lucie Bérillon. professeur au Lycée Molière. Mlle Alice Bérillon,
professeur
au Lycée lïacine ; M. le Dr Paul Archambacd, prés
le D' Feuillade, de Lyon ; Madame Feuillade ; M. le C Fort, ancien
professeur
d'anatomie ; M. le Dr Dezwarte, médecin de l'asil
directeur des Annules de Pkifsicothêvapie ; M. le Dr Félix Regnault,
professeur
à l'Ecole de psychologie; M. le Dr Sa voire, méde
Michaux ; M. le Dr Delineau; M. le Dr Mazingue ; M/Caustier,
professeur
au Lycée Saint-Louis ; M. le Dr Jouix; M. le Dr M
nts anormaux de Créteil ; Madame Quinque ; M. le Dr Bellemaxière,
professeur
à l'Ecole de psychologie ; M. le Dr René Voisin ;
M. le Dr Callamand ; M. le Dr Rousseau ; M. le Dr Binet-Sanglé,
professeur
à l'Ecole de psychologie ; M. le Dr Diamantberger
première classe ; M. le Dr Hahn ; M. le Dr Gascard ; M. Gallia,
professeur
; M. le Dr Aragon ; M. le Dr Leter (de Rouen)
D' Delcroix ; Madame la doctoresse Pokitonoff ; M. le Dr Pamart,
professeur
à l'Ecole de Psychologie ; M. le Dr G. Beaudoin
isons de la Légion d'honneur ; M. le Dr Pascalis ; M. le Dr Wateau,
professeur
honoraire à l'Ecole de psychologie ; M. le Dr B
r Cotte ; M. le Dr Bonnet ; M. le Dr Lorain ; M. le D' Lamesle,
professeur
à l'École de psychologia ; M. le Dr Marcellin C
M. le Dr Willette ; M. Cobbeil, ingénieur ; M. Moreau-Bérillon,
professeur
d'agriculture ; M. Pierrotet, directeur du Coll
, directeur de l'Institut départ, des sourds-muets; M. Louis Favre,
professeur
à l'École de psychologie ; M. Jules Jacob ; M
oche, docteur en droit ; M. le Dr Merlin, de Provins ; M. Blieck,
professeur
à l'École de Psychologie ; M. Flach, pharmacien
M. Maurice Robin, pharmacien ; M. Gory, pharmacien ; M. Bonsard,
professeur
à l'Ecole dentaire ; M. Derbeck, pharmacien ;
baron Textor de Ravisi ; M. Bloch, médecin-dentiste; M. Morienne,
professeur
au Lycée Hoche ; M. Lemaire, professeur de phil
in-dentiste; M. Morienne, professeur au Lycée Hoche ; M. Lemaire,
professeur
de philosophie au Lycée du Mans. M. Gaziez, fil
ière d'Amiens; M. Denniel, ingénieur ; M. le Dr Gérin ; M. Terrier,
professeur
honoraire de l'Université ; M. Guézat, chef d'ins
itution ; M. le comte de Villiers ; M. le Dr Peyré : M. le Dr Frey,
professeur
à l'Ecole dentaire ; M. le Dr Chervis ; M. le
le Dr Paul Joire, de Lille ; M. le baron de Baye ; M. Courcenet,
professeur
; M. le Dr Lavernot ; M. le Dr Laroulandie ;
de t'Yonne ; M. Heymann, sténographe au Sénat ; M. Félix Régamey,
professeur
à l'Ecole de psychologie ; M. le capitaine Vill
aine Villetard deLaguérie ; Madame Dutasta ; Mademoiselle Grison,
professeur
au collège Sévigni ; M. le commandant Bellon ; M.
recteur des voyages médicaux ; M. Albert Rousseau, avocat ; M.Gosset,
professeur
; M Saugraix, avocat à la Cour d'appel ; Mlle Beau
d'organisation : M. le D' Paul Farez présente les excuses de M. le
professeur
Berlhelot, empêché par l'état de sa santé, et qui
suite lecture de la lettre suivante, qu'il vient de recevoir de M. le
professeur
Edmond Perrier, qui fut, au Muséum, un des premie
nt, secrétaire général de la préfecture de police ; M. le Dr Jûffroy.
professeur
à la Faculté de médecine; M. Giard, professeur à
ce ; M. le Dr Jûffroy. professeur à la Faculté de médecine; M. Giard,
professeur
à la Sorbonne; M. Melcot, avocat général à la Cou
la Sorbonne; M. Melcot, avocat général à la Cour de cassation ; M. le
professeur
Stumpf, de Berlin; M. Mesureur, directeur de l'As
in; M. Mesureur, directeur de l'Assistance publique; M. le D' Lépine,
professeur
à la Faculté de Lyon; M. le D'Lancereaux, membre
ôte-d'Or ; M. le Dr Ernest Petit, maire de Pont-sur-Yonne ; M. Boule,
professeur
au Muséum.; M. Pierre Bauoin, député ; M. le Dr H
ule, professeur au Muséum.; M. Pierre Bauoin, député ; M. le Dr Hamy,
professeur
au Muséum ; M. le Dr Henrot, directeur de l'Ecole
, député de l'Aisne; M. Puech, député de Paris ; M. le Dr Beauvisage,
professeur
à la Faculté de Lyon; M. Léon de Rosny, directeur
n de Rosny, directeur à l'Ecole des hautes études; M- le Dr Retterer,
professeur
agrégé à la Faculté de médecine ; M. le D-r Duret
ine de Lille ; M. Malluile, conseiller général de l'Yonne; M. Guiart,
professeur
agrégé à la Faculté de Paris ; M. le Dr Ritti, mé
, directeur des Annales politiques et littéraires ; M. le L)r Ricard,
professeur
agrégé à la Faculté de Paris ; M.Vaschide, chef d
lin, de l'île de Fœhr (Allemagne) ; M. le Dr Ladame, de Genève; M. le
professeur
Spehl, de Bruxelles ; M. le D' Hamilton Osgood, d
uermanx, de Moscou ; M. le Dr Post, de Battle Creek, Michigan ; M. le
professeur
Zeligzon, de Cle-veland, Ohio ; M. Clark-Bell, pr
de New-York ; M. W. Rorixow, de Manchester; Jacoby, de Berlin ; M. le
professeur
Thirox, deJassy; et par un grand, nombre de médec
contient. Voulez-vous, à ce sujet, une confidence qui en dit long? Un
professeur
de la Faculté — oui, de la Faculté de Médecine, e
. (Applaudissements prolongés.) Discours de M. le Dr Paul Magnin,
professeur
à l'Ecole de psychologie, vice-président de la So
ions. Dussè-je les froisser, je n'en ferai rien. Notre fidèle ami, le
professeur
lïaphaël Blanchard, nous a jadis comparés, tu te
. Il a fait preuve de courage civique, en consacrant, en qualité de
professeur
, sa vie à la lâche, si noble, si désintéressée et
illeurs ont été ses enfants. Des trois sœurs de Bérillon, l'une est
professeur
au Lycée de Reims, l'autre est professeur au Lycé
œurs de Bérillon, l'une est professeur au Lycée de Reims, l'autre est
professeur
au Lycée Racine et la troisième est professeur au
de Reims, l'autre est professeur au Lycée Racine et la troisième est
professeur
au Lycée Molière. Et toi, Bérillon, qui t'a don
en méritée (Vifs applaudissements.) Discours de M. le D. Gréhant,
professeur
au Muséum d'histoire naturelle, membre de l'Acadé
n inspirées de ce puissant esprit scientifique. Plus tard, élève du
professeur
Henri Bouley et devenu son collaborateur au labor
des vétérinaires, vous avez réalisé une des idées les plus chères du
professeur
Henri Bouley. Les travaux de cette laborieuse Soc
Nous avions encore un lien commun, c'était notre vénération pour le
professeur
Henri Bouley. J'ai été son élève à Alfort, vous a
A suivre/ PSYCHOTHÉRAPIE ET HYPNOTISEE Critique du livre de M. le
professeur
Dubois de Berne), sur « les Psychonévroses ». f
mblent à des états de veille de façon à s'y méprendre. J'ai vu deux
professeurs
dire que l'hypnotisme avait été employé sans succ
orps médical dans sa masse. J'en puis fournir beaucoup de preuves. Un
professeur
ne me disaît-iï pas un jour: « L'hypnotisme ! ce
je possède. Le fait s'est passé dans une clinique chirurgicale. Le
professeur
avait enlevé un goitre à une femme qui devint aph
ofesseur à l'Ecole de psychologie La récente communication de M. le
professeur
Lionel Dauriac, parue sous le titre : « Sommeil e
ici ne contredisent en rien, bien au contraire, la manière de voir du
professeur
Dauriac : elles la confirment entièrement, mais y
ue la force motrice mécanique. Superstitions en Russie D'après le
professeur
Vinogradoff, il est en Russie des superstitions d
pêcher cela, il faut la battre grièvement avec des clefs d'église. Le
professeur
Vinogradoff affirme qu'il connaît des cas où des
ation française pour l'avancement des sciences. — Discours de MM. les
professeurs
Lippmann et Teissier. — Les travaux de la section
on. — Le congrès des aliénistes et neurologistes- — Discours de M. le
professeur
Grasset.—L'unité de la neurobiologie humaine. L
un succès considérable. A la séance d'ouverture, le président, M. le
professeur
Lippmann, a prononcé un éloquent discours. « No
évoilé tous les efforts réalisés par le président du Comité local, le
professeur
Arloing, par le président de la Section médicale,
l, le professeur Arloing, par le président de la Section médicale, le
professeur
Teissier. Des applaudissements unanimes ont salué
Préfet et de Madame Alapetile. Dans des réceptions particulières, les
professeurs
de Lyon n'ont rien négligé pour donner à leurs hô
'hospitalité lyonnaise. La fête de nuit donnée à la campagne, chez le
professeur
Teissier, le dévoué président de la section de mé
section de médecine, a été féerique. Les banquets offerts par MM. les
professeurs
Arloing et Lépinc ont groupé autour de ces maître
ons des sections un attrait particulier. Parmi eux, nous citerons les
professeurs
Henrijean, de Liège ; Salomonsen, de Copenhague ;
édecine fut assurément dû à la haute autorité de son président, M. le
professeur
Tessier. Les paroles que cet éminent maître a pro
bureau de cette section fut ainsi composé: président d'honneur: M. le
professeur
Lombroso, de Turin; président : M. le Dr Bérillon
: M. le professeur Lombroso, de Turin; président : M. le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie; vice-président : M. le
sseur à l'Ecole de psychologie; vice-président : M. le Dr Beauvi-sage
professeur
à l'Université de Lyon ; secrétaires : M. Génin,
de l'Intérieur; M. le Dr Zolotowitz, ministre de Bulgarie; M. Chabot,
professeur
à l'Université de Lyon; M. le Dr Courjon, directe
s ; M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpétrière ; M. le Dr Frey,
professeur
à l'Ecole dentaire ; M. J. Ray, chargé de cours à
Ecole dentaire ; M. J. Ray, chargé de cours à l'Université; M. Giard.
professeur
à la Sorbonne; Mlle Lucie Bérillon, professeur au
'Université; M. Giard. professeur à la Sorbonne; Mlle Lucie Bérillon,
professeur
au lycée Molière; M. Grand-villiers, directeur de
ron, directrice d'école ; M. Anjou, directeur d'école ; M.. Gaillard,
professeur
à l'école primaire supérieure de Rumilly ; M. le
lly ; M. le Dr Gagnière, médecin-inspecteur des nourrices; M. Moreau,
professeur
d'agriculture; M. Mi-chaud, directeur d'école; M.
ctrice de l'Institution d'enfants anormaux de Créteil ; M. Desnoyers,
professeur
de calligraphie; Mlle Poy, surveillante générale
yet, chef de clinique à la Faculté de médecine; M. le Dr Maurice Roy,
professeur
à l'Ecole dentaire; M. Saugrain, avocat à la Cour
de Reims; M. Fauré-Hérouart, conseiller d'arrondissement; M. Thibaut,
professeur
à l'Ecole de la Martinière ; M. Emmanelli, biblio
lli, bibliothécaire-archiviste de la ville de Cherbourg; M. Chaurand,
professeur
au lycée Ampère ; M. Bretin, chef des travaux à l
Ampère ; M. Bretin, chef des travaux à la Faculté de médecine; M. le
professeur
Lacassagne; M. le Dr Bordier, directeur de l'Ecol
lier, inspecteur primaire; M. Melou, inspecteur primaire; Mme Deloye,
professeur
; Mme Sarpy, professeur; M. Aveyron, directeur d'é
re; M. Melou, inspecteur primaire; Mme Deloye, professeur; Mme Sarpy,
professeur
; M. Aveyron, directeur d'école; M. Lafontaine, in
. Michaud, directeur d'école ; M. Mareuse, publiciste ; Mlle Berthet,
professeur
à l'Ecole normale de Nevers ; M. Begel, répétiteu
es, M. J. Follet, instituteur ; M. Rivier, M. Vautrin, Mlle J. Gaget,
professeur
; Mlle Clerc, institutrice ; Mme Michaud, M. Debe
de Paris ; M. le Dr Godon, directeur de l'Ecole dentaire ; M. Bonnet,
professeur
à l'Ecole d'industrie de Saint-Etienne. La qu
tion du caractère. Un rapport très étudié fut présenté par M. Chabot,
professeur
à l'Université, qui traita spécialement de l'éduc
ir vrai, en un mot former son caractère. Un second rapport de M. le
professeur
Beauvisage démontra que la vraie méthode scientif
ttachait directement à la question du caractère, Mlle Lucie Bérillon,
professeur
au lycée Molière, a étudié la timidité envisagée
zieux, de M. le Dr Bérillon, de M; le Dr Beauvisage, de Mlle Berthet,
professeur
à l'Ecole normale de Nevers, de M. le Dr Jules Vo
également une visite au Musée d'anthropologie criminelle, créé par le
professeur
Lacassagne. Le chef des travaux de médecine légal
la reconnaissance de tous. Un banquet, sous la présidence de M. le
professeur
Beauvisage, premier adjoint au Maire de Lyon, a r
organisé par M. le Dr Cho-creaux, médecin en chef de Bailleul. M. le
professeur
Grasset a prononcé un remarquable, discours sur l
Tous les hommes de bon sens applaudiront aux paroles si sensées du
professeur
Grasset. La même thèse avait déjà été soutenue en
à été soutenue en 1900 au Congrès international de médecine par M. le
professeur
Jeoffroy, lors- qu'il démontrait que la neuro
rdée. (Vifs applaudissements.) Discours de M. le Dr Albert Robin,
professeur
à la Faculté de médecine, membre de l'Académie de
. Mensonge et intimidation chez un lycéen, par M. le D' Paul Farez,
professeur
à l'École de Psychologie. Dès les premiers jour
aisantes. M. le Président donne lecture de lettres d'excuses de M. le
professeur
Beauvisage, de Lyon, du Dr Orlitzky, de Moscou,
nces, Dr de Biran, médecin de la maison de santé d'Arcueil, M. Bloud,
professeur
à la maison correctionnelle, Dr Bailly, de Sens.
que chez les enfants du Patronage Rollet, par M. le Dr René Pamabt,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Le Patronage de l'Enf
iciers de santé, qu'on a supprimés aux applaudissements de tous. Un
professeur
de la Faculté de médecine prétend qu'avec ce nouv
plôme, il n'y aurait plus de mauvais agrégés, c'est-à-dire de mauvais
professeurs
. S'il y a de mauvais agrégés, si le niveau généra
'hommes éloquents, parmi lesquels se recruteraient facilement les
professeurs
. Hors de cette décision, il n'y aura jamais que r
nt chez les enfants, mais encore chez les grandes personnes. Voilà un
professeur
d'hypnotisme qui ne sait pas, qui ne veut pas s'e
ur me la faire obtenir. Par ses démarches, il me concilia l'appui des
professeurs
du Muséum et en particulier celui d'Henry Bouley
marades d'autrefois, et en particulier celle de Bouvier, actuellement
professeur
au Muséum et membre de l'Académie des sciences. R
ces noms j'associerai ceux de mes amis Marcellin Boule, successeur du
professeur
Gaudry dans la chaire de paléontologie; de Retter
eut donné plus d'assurance que je m'enhardis à aller rendre visite au
professeur
Charcot. Son accueil fut d'abord peu encourageant
ceux de Boirac, recteur de l'Académie de Dijon, et de Lionel Dauriac,
professeur
honoraire de la Faculté de Montpellier, qui repré
utorisation avait été accordée sur l'avis favorable exprimé par M. le
professeur
Brouardel, alors doyen de la Faculté de médecine,
médecins et d'étudiants. Je ne saurais trop louer le zèle de tous nos
professeurs
et de nos assistants. Il ne faut pas oublier de d
l'Académie de Médecine, Auguste Voisin, médecin de la Salpêtrière, le
professeur
Charles Richet et Tarde, alors chef de la statist
Au commencement de 1901, le concours si précieux que nous apporta le
professeur
Tarde, en acceptant sur ma demande, de présider l
traduire les sentiments de profonde affection que je ressens pour le
professeur
Robin. Nul ne sait mieux que lui, ni avec plus de
ole de psychologie l'appui de leur autorité scientifique. En 1903, le
professeur
Giard, dans un discours prononcé à la séance d'ou
ègues. A cette occasion, le plus illustre des savants français, M. le
professeur
Berthe-lot, secrétaire perpétuel de l'Académie de
trouver singulièrement atténué. Le chagrin dans lequel est plongé le
professeur
Berthelot est si profond qu'il ne pourra y assist
rinité indissoluble. (Applaudissements.) La solidarité qui unit les
professeurs
et les collaborateurs de l'Ecole de psychologie o
Félix Régamey, Grollet, Louis Favre, Blieck, Gosset, sans oublier nos
professeurs
correspondants, les Dr Jaguaribe, de Sao-Paulo; O
itre de membre de l'Académie de médecine. (Applaudissements.) M. le
professeur
Gréhant, dans son toast si amical, a aussi donné
maîtres justement admirés et aimés. Parmi eux, je citerai d'abord le
professeur
Hallopeau, membre de l'Académie de médecine, dont
rtante du monde entier. Ensuite, j'adresserai au Dr Fort, l'admirable
professeur
d'ana-tomie, le salut de nombreuses générations d
que je viens de recevoir m'a été accordée. Ce sont les services du
professeur
, plus encore que ceux du médecin, que M. le m
décerné à deux grands savants, les D" Ramon y Cajal, de Madrid, et le
professeur
italien Golgi. Actuellement Ramon y Cajal est c
onsidéré comme le premier histo-logiste du monde. Cependant, c'est au
professeur
Golgi qu'il doit ses succès. Celui-ci, en effet,
aine, devînt ensuite directeur du musée ana-tomiquede Saragosse, puis
professeur
de diverses facultés d'Espagne. Petit, maigre, én
donner leur opinion sur la valeur morale de la prétendue victime. Le
professeur
Krcepelin a déclaré, au milieu d'une très grande
sique de ceux auxquels on avait enfin donné le repos nécessaire. Le
professeur
Patrick et le d' Allen Gilbert ont soutenu la mêm
aut patronage de BroTvn-Séquard en France, et de Preyer, un distingué
professeur
de physiologie à Iéna, en Allemagne (1). En effet
application in the relief and cure of disease (2). Voici ce que le
professeur
Bernheim, le plus eminent représentant de l'école
'il appelait sommeil lucide. » '2) Sur cette appréciation du savant
professeur
, nous prenons la liberté d'observer qu'il est vra
e. Rapport médico-légal sur une voyante par M. le D' Paul MaGNIX,
professeur
â l'Ecole de psychologie. Je demande à la Socié
publique. La leçon d'ouverture sera faite par M. le Dr Binet-Sanglé,
professeur
. Elle aura pour sujet : Introduction ù ta psychol
Cette institution présenterait les avantages suivants. Le collège des
professeurs
titulaires, recruté parmi les privat-docent dont
définitive, et l'on ne pourrait plus dire que le titre d'agrégé ou de
professeur
est recherché par le plus grand nombre, moins par
iciens. La grande majorité se rallie à la proposition du payement des
professeurs
non par l'Etat, mais par les élèves. Dans la Clin
de recrutement des aspirants à l'enseignement médical, imaginé par le
professeur
Bouchard, ne rencontre actuellement que de très r
ellement que de très rares défenseurs. Parmi eux, il faut citer M. le
professeur
Bcrgonié qui, dans le Journal de médecine de Bord
e l'occultisme : la grande Pyramide de Chéops par M. Raoul Bahon,
Professeur
à l'Ecole vétérinaire d'Alfort. Mesdames, Messi
son traitement par la suggestion hypnotique, Par M. le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Certains auteurs ont
cation fournie, parce qu'il y a défaut d'harmonie entre l'élève et le
professeur
. Les causes en sont diverses : le milieu dans leq
t de tout autre chose que de la classe. Interrogés sur ce qu'a dit le
professeur
, ils répondent parfaitement. Leur indiscipline ti
ement à ce fait, qu'ayant compris très rapidement les explications du
professeur
, ils ne peuvent s'astreindre à écouter répéter pl
sse en éveil, s'occupe d'autre chose que de ce que l'on fait. Si le
professeur
ne comprend pas la cause de cette indiscipline, i
ignement, de les mettre dans une classe plus forte, de les changer de
professeur
, pour faire disparaître leurs pseudo-anomalies in
rculose, croissance rapide, etc. Ces enfants sont considérés par le
professeur
comme des paresseux, des enfants mous, peu intell
et du bien. Elle obtiendra plus par ses caresses affectueuses que le
professeur
par ses remontrances. L'enfant, d'une nature faib
'enfant. Dans certains cas, un changement de classe, un changement de
professeur
, l'institution d'un régime réconforlant et d'une
ance qu'ils exigent suffit pour absorber l'énergie et l'attention des
professeurs
et les met dans la nécessité de négliger leur ens
agogique de Créteil, que j'ai créée en collaboration avec M. Quinque,
professeur
spécial pour enfants anormaux, je me suis inspiré
veaux cas de « trac » chez des exécutants, par H. le Dr Paul Farez,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Chaque nouveau concou
ervatoire. Il a travaillé en dehors, sous la direction d'un excellent
professeur
, et est devenu un très habile virtuose. Mais son
nsensibilisation par la lumière bleue, utilisé par le docteur Redard,
professeur
de dentisterie à l'Uni- versité de Genève. En
publique. La leçon d'ouverture sera faite par M. le Dr Binet-Sanglé,
professeur
. Elle aura pour sujet : Introduction à la psychol
l'année 1906 : Hypnotisme thérapeutique...... Al. le D' Bérillô.N',
professeur
. Hypnotisme expérimental...... M. le D* Paul Ma
N', professeur. Hypnotisme expérimental...... M. le D* Paul Machin,
professeur
. Psychologie générale......... M. Lionel Dadria
achin, professeur. Psychologie générale......... M. Lionel Dadriac,
professeur
. Psychologie pathologique...... M. le D* Paul F
ac, professeur. Psychologie pathologique...... M. le D* Paul Farez,
professeur
. Psychologie des dégénérés...... M. le D' Biset
. Ânatomieet Psychologie comparées. M. Caustier, agrégé de l'Univ.,
professeur
Psychologie des animaux...... H. Lépikay, profe
gé de l'Univ., professeur Psychologie des animaux...... H. Lépikay,
professeur
. Psychologie musicale......... 1)' R. Pauart, p
. Lépikay, professeur. Psychologie musicale......... 1)' R. Pauart,
professeur
. Philosophie scientifique....... M. Louis Favre
Pauart, professeur. Philosophie scientifique....... M. Louis Favre,
professeur
. Psychothérapie (cours annexe de Lille) M. le D
ion à la psychologie de Jésus de Nazareth. Cette année, les anciens
professeurs
de l'Ecole : MM. Bérillon, Paul Magnin, Paul Pare
ueront leurs enseignements. De nouveaux cours seront inaugurés. M. le
professeur
Lionel-Dauriac, professeur honoraire de philosoph
De nouveaux cours seront inaugurés. M. le professeur Lionel-Dauriac,
professeur
honoraire de philosophie à la Faculté des lettres
ciers seront les DM Bérillon, Félix Regnault, Dr Bahaddin Chakir Bey,
professeur
à la Faculté de Constantinople, Scié-Ton-Fa, prog
Scié-Ton-Fa, progressiste chinois, Dr Paul Joire, M"' Lucie Bérillon,
professeur
au lycée Molière, M. le capitaine Bordage. L'en
. 1.025 Non.. ................ 40 Douteux............., . 1 Les
professeurs
doivent-ils être payés par les élèves ? Suffrag
eux............... 2 Nota. — Beaucoup de médecins demandent que les
professeurs
ne fassent pas de clientèle. Faut-il favoriser
Douteux..............• 4 • Quel doit être le mode de nomination des
professeurs
? Suffrages exprimés......... 926 Nomination
s Sommeils pathologiques chez les Animaux (') par le D' Paul Farez,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. Messieurs, Quelques
e mer vrai et le mal de mer imaginaire par M. le Dr Félix Regnault,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Désireux d'étudier, d
sse la relation de quatre cas récents. I. — M1" A..., institutrice,
professeur
de chant et de piano, âgée de 42 ans, très sugges
e, a été souvent traitée par moi pour accidents hystériques. Nommée
professeur
dans un pensionnat de jeunes filles au Transvaal,
des et a passé son examen de doctorat avec distinction. Une chaire de
professeur
de langue hollandaise et d'histoire lui est offer
et, car il ne trouvait aucune cause à cette température. Il appela le
professeur
Roux en consultation. Celui-ci lui dit de ne pas
idité dans la pathogënie des Psycho-névroses par M. le Dr BérillOx,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. La timidité est un ét
e comprend un volume du i >' Mayoux, L'Education des sexes; du
professeur
Grasset : Demi-fous et dcmi-res-ponsables. Les
ours de 1907 (7« année) Hypnotisme thérapeutique M. le D' Bébillon,
professeur
. Objet du cours : 1* Psychothérapie générale :
u jeudi ¡0 janvier. Hypnotisme expérimental M- le D' Paul Magnix,
professeur
. Objet du cours : L'hypnotisme et la psychothér
érale M. Lionel Dauriac, prof. hon. de l'Université de Montpellier,
professeur
. Objet du cours: Etude des sentiments. Les vend
u vendredi 11 janvier. Psychologie pathologique M. leD' Paul Farez,
professeur
. Objet du cours : Les éUts de mort apparent. Les
samedi ¡3 janvier. Psycho-physiologie de l'Art M. Félix Récamev,
professeur
. Objet du cours : Les principes du dessin. — In
Psychologie des dégénérés et des atypiques M. le D' Binbt-Sanolé,
professeur
. Objet du cours : Jésus de Nazareth. Les samedi
et psychologie comparées M. .1!. Caustier, agrégé de l'Université,
professeur
. Objet du cours : La vie sociale des plantes et
artir du mercredi 17 janvier. Psychologie dos animaux M. Lépinay,
professeur
. Objet du cours : Les méthodes de dressage : ut
ir du mercredi /7 janvier. Psychologie musicale M. le D' R. Pamart,
professeur
. Objet du cours : La psychologie des grands maî
redi ij janvier. Psychologie et morale sexuelles M. le Dr Mayoux,
professeur
. Objet du cours : L'educaUon des sexes. Les m
iel-Sud* Cours complémentaire M. le D* Broda, docteur en Droit,
professeur
suppléant, commencera le jeudi 12 janvier,'à 4 he
eligions : le bëguinisme et le bëhalsme, par M. le D' Félix Reokault,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Vendredi 25 janvier,
edi 25 janvier, à 8 h. 1 /2, sous la présidence de M. le D' Bbrillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie. — Psychologie religieus
i 8 février, à 8 h. 1/2, sous la présidence de M. le D' Albert Robin,
professeur
a la Faculté de médecine. — Excursion psychologiq
i 15 février, à 8 h. 1/2, sous la présidence de M. le D' Paul Magnin,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. — La science du bonheur
nt de la Seine. — La timidité che; l'enfant, par Mlle Lucie Bérillon,
professeur
au lycée Molière. Vendredi 2 Mars, à 8 h. 1/2,
de psychologie : (Voir le programme des cours et des conférences).
Professeurs
correspondants :D'Paul Joire (Lille), D"Jaguaribe
be (Saô-Paulo, Brésil), D' Orlitzky (Moscou), Dr Dauoglou (Le Caire).
Professeur
honoraire : D' Wateac. II. Dispensaire 'pédagog
t pris place M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpètrière, et les
professeurs
de l'Ecole, MM. les D" Bérillon, Paul Magnin, Pau
et-Sanglé, Félix Regnault, Pamart, Mayoux, Broda, M. Lionel-Dau-riac.
professeur
honoraire à la Faculté de Montpellier, Caustier,
Dau-riac. professeur honoraire à la Faculté de Montpellier, Caustier,
professeur
agrégé au lycée Saint-Louis, Lépinay,médecin-vété
(de Genève), D' Jacoby (de Berlin), Df Germkjuet (de Romont, Suisse),
professeur
Oubeyd (de Constantinoplc), Dr Loufti (de Constan
irecteur de l'Etablissement médico-pédagogique de Créteil, M. Meslet,
professeur
, M. Fichou, secrétaire de l'office de renseigneme
de renseignements à la Sorbonne, D'Lux, médecin principal, M. Gallia,
professeur
, M. Xavier Privas, homme de lettres ; Dr de Torre
(deNaples), le commandant Bellon et un grand nombre de médecins et de
professeurs
dont nous n'avons pu enregistrer les noms. Plus
ollicitent la curiosité publique. Mais j'ai hâte de vous dire que les
professeurs
de l'Ecole de Psychologie s'intéressent surtout à
e la propagation de ce néo-mysticisme psychologique, contre lequel le
professeur
Morselli s'élevait récemment avec tant de logique
gné comme expert notre collaborateur le Dr Paul Magnin, en qualité de
professeur
de l'Ecole de psychologie. Notre ami a démontré q
ement de janvier, M. le Ministre a accordé à Paul Magnin, au titre de
professeur
de l'Ecole de psychologie, la distinction d'offic
aque année, nous élargissons le cadre de notre action. A la liste des
professeurs
correspondants, MM. les D" Domingos Jaguaribe (de
elui de psychologie générale, notre maître vénéré, M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire de philosophie à la Faculté de Montpell
roclamer, a devancé de plusieurs années ce mouvement réformateur. Ses
professeurs
ont réalisé, bien avant les pétitions des société
. . - • » En terminant, je tiens à remercier, au nom de tous les
professeurs
, nos auditeurs si empressés et si bienveillants.
n à la psychologie de Jésus de Nazareth, par M. le dr Binet-Sanglé,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Monsieur le Président
ivre intitulé Jésus-Christ pendant sonminis~ tère, M. Edmond Stapfer,
professeur
à la faculté de théologie protestante de Paris, n
nstances, la fraude et le vol. M. Albert Réville, qui, avant d'être
professeur
au Collège de France, avait été pasteur de l'Egli
elle prospère, c'est grâce au concours désintéressé d'une pléiade de
professeurs
distingués, — nous en applaudissions un il y a qu
suggestifs, — démontre l'étendue et la variété de ses recherches. Ses
professeurs
s'attaquent aux sujets les plus graves, je dirai
est levée à 6 h. 55. L'initiation sexuelle par M. le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole île psycholo(rie. D'une façon général
; Dr Antheaume, médecin en chef de la maison nationale de Charcnton ;
professeur
Mohamed-Ubeyd-Oullah (de Constantinople) ; Scié-T
combinée avec une certaine astuce. Le premier a été observé par le
professeur
Hardy et rappelé depuis par M. le docteur Siredey
5 novembre. Entre temps, je demandais à mon savant ami, M. Bouvier,
professeur
d'entomologie au Muséum, de vouloir bien détermin
la nomination comme officiers de l'Instruction publique, au titre de
professeurs
à l'Ecole de psychologie, de nos amis et collabor
Dans une conférence faite à l'Ecole des hautes études sociales, M. le
professeur
Pinard vient d'exposer, en termes forts éloquents
de ce qui constitue la véritable valeur du médecin. Voici comment le
professeur
Pinard s'est exprimé : • Toute personne voulant
ar la négative, mais je suis dans la nécessité de m'expliquer. Un
professeur
de Faculté peut être un professeur remarquable, u
a nécessité de m'expliquer. Un professeur de Faculté peut être un
professeur
remarquable, un enseigneur, un vulgarisateur inco
du désintéressement, du cœur qu'il possède ». A sa démonstration le
professeur
Pinard nous permettra d'ajouter quelques réflexio
édecin, il est évident qu'ils ne sauraient non plus constituer le bon
professeur
. D'où la nécessité de proclamer que le titre de d
cteur en médecine doit également suffire pour enseigner. Recruter les
professeurs
à l'aide de l'institution surannée du'concours de
de médecine à une décadence irrémédiable. Dans son discours, M. le
professeur
Pinard n'a voulu parler que de la morale professi
ut ce qu'il a dit s'applique cependant à la morale professionnelle du
professeur
. Pas plus dans le domaine médical que dans les au
seule qui doit avoir cours est celle qui proclamera que le véritable
professeur
est celui qui est doué d'aptitude à instruire et
GRAPHIQUE Parasitisme et mutualisme dans la nature, avec préface du
professeur
A Giard, par le Dr L. Lalov.— i vol. in-8», carto
i 8 février, à 8 h. 1/2, sous la présidence de M. le D' Albert Robot,
professeur
à la Faculté de médecine. — Excursion psychologiq
i 15 février, à 8 b. 1/2, sous la présidence de M. le D* Paul Maokik,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. — La science du bonheur
ent de la Seine- — La timidité che\ Venfant, par Mlle Lucie Berillon,
professeur
au lycée Molière. Vendredi 2 Mars, à 8 h. 1/2,
second. En voici les résultats : 1° Êtes-vous d'avis que le titre de
professeur
doit être donné au plus apte et au plus digne ?
donné au plus apte et au plus digne ? 581 oui 0 non 2e Le titre de
professeur
ne doit-il pas être accessible à tout docteur en
tenu' à Lyon en 1895, par M. le Dr Bérillon. Sur sa proposition, les
professeurs
et les agrégés réunis en congrès avaient, voté sa
ement par l'institution des privat-docenten. par M. le Dr Bérillon,
professeur
a l'Ecole de psychologie, professeur libre de psy
centen. par M. le Dr Bérillon, professeur a l'Ecole de psychologie,
professeur
libre de psychologie à l'Ecole pratique de la Fac
de psychologie à l'Ecole pratique de la Faculté. Une définition du
professeur
moderne.— La décadence de renseignement officiel
eur tenu à Lyon, au mois d'avril 1904, la question du recrutement des
professeurs
des Facultés de médecine fut exposée dans un
s Facultés de médecine fut exposée dans un rapport rédigé par MM. les
professeurs
Lépine et Lortet. Lorsque ce rapport fut mis en d
ctérise, crut de son devoir de définir d'une façon précise le rôle du
professeur
. Les lignes éloquentes dans lesquelles M. Lépine
ans cesse; que la science est un perpétuel devenir. Eu instituant des
professeurs
de Faculté, l'Etat leur impose donc implicitement
plicitement l'obligation de chercher les voies conduisant au progrès.
Professeur
veut dire chercheur. Faire des découvertes est la
meilleure manière d'enseigner. » (*} (1) Cette haute conception du
professeur
est loin de correspondre avec la description, ins
nait naguère le docteur Fiessinger, dans la Médecine moderne : « Un
professeur
, écrivait-il, ne pense pas comme tout le monde; v
de la pluie et du beau temps et quand il pleut, dites : il pleut. Un
professeur
ne se permet pas des assertions aussi catégorique
cussion. Elle lui fut accordée sur la proposition du président, M. le
professeur
Lépine, au libéralisme duquel nous sommes heureux
docenten. Dans ces universités, le personnel enseignant se compose de
professeurs
ordinaires (titulaires), de professeurs extraordi
nnel enseignant se compose de professeurs ordinaires (titulaires), de
professeurs
extraordinaires, assistés par des chefs de travau
ité, et de privat-docenten qui n'en reçoivent aucun traitement. Les
professeurs
ordinaires sont inamovibles et leur traitement es
sont inamovibles et leur traitement est généralement fort élevé ; les
professeurs
extraordinaires sont aussi nommés à vie. Les priv
pépinière où se forment et grandissent ceux qui plus tard seront les
professeurs
, on voit qu'à la base du système allemand est la
Comment se fait, dans chacune de ces universités, le recrutement des
professeurs
? Il se fait parmi les docteurs; mais ce grade est
ui est interdit. une université l'appelle alors dans son sein comme
professeur
extraordinaire, puis bientôt une autre comme prof
on sein comme professeur extraordinaire, puis bientôt une autre comme
professeur
ordinaire ; et si sa notoriété continue à grandir
'il se serait créé un matériel d'enseignement et que sa réputation de
professeur
serait affirmée, il se trouverait dans une situat
de la Faculté de médecine. Tous ces arguments parurent valables aux
professeurs
présents, puisqu'ils adoptèrent, à l'unanimité, l
était-il voté, qu'effrayés de leur propre audace, les agrégés et les
professeurs
présents s'égarèrent dans une discussion confuse,
soulever cette question. ¦ * En nous en tenant à la définition du
professeur
, donnée par M. le professeur Lépine, dans laquell
* En nous en tenant à la définition du professeur, donnée par M. le
professeur
Lépine, dans laquelle il déclare que professeur v
eur, donnée par M. le professeur Lépine, dans laquelle il déclare que
professeur
veut dire chercheur,M nous est facile de prouver
ulière de la médecine, ne pourra jamais prétendre à la compétence des
professeurs
libres. Ceux-ci, à un âge où la main est capable
our cela, il suffirait de citer le grand Duchenne de Boulogne (*). Le
professeur
Char-cot ne manquait jamais une occasion de rendr
eignement libre organisé par lui à la Salpêtrière. A son sujet, M. le
professeur
Lépine faisait ainsi ressortir un des plus grands
ocre en apparence jusqu'à trente ans, est devenu un grand médecin. Le
professeur
Charcot ne parvint à l'agrégation qu'à grand'pein
dans sa jeunesse, il passait généralement pour incapable de faire un
professeur
; c'est peu avant l'âge de quarante ans qu'il s'e
s, car, dans la leçon d'inauguration de son cours à la Faculté, M. le
professeur
Raymond ne pouvait s'empêcher d'y faire allusion
a haute valeur scientifique. Dans une étude fort instructive. mm. les
professeurs
Las£gu£ et Stba exaltèrent le a courage scientifi
(¿1 suivre) La timidité chez l'enfant (') par M"« Lucie Bérillon,
professeur
agrégée du lycée Molière. Tout le monde connaît
enquête auprès de mes anciennes élèves et de mes collègues, plusieurs
professeurs
m'ont dit plaisamment : « Vous croyez qu'il exist
n pédagogique. La timidité dresse quelquefois une barrière entre le
professeur
et l'élève. Ils peuvent se trouver en présence pe
règle lui apparaissent sous un aspect redoutable dans la personne du
professeur
et des élèves, dans le matériel de la classe (le
s, intimident les élèves sensitifs et les paralysent. Une collègue,
professeur
d'Ecole normale, m'écrit : « On m'interrogea un j
s qu'il me fallut répondre à une question, même par écrit, l'image du
professeur
s'interposait entre ma pensée et moi, et je resta
Notons en passant l'intimidation causée parfois par les timides : un
professeur
qui masque son embarras sous des dehors froids et
me élèves, elles l'étaient devenues davantage dans leurs fonctions de
professeurs
, attribuant ce fait à la conscience de leur respo
e monde à l'aise par son extrême bienveillance. Il en est qui glacent
professeurs
et élèves, et ne peuvent jamais se rendre com
mais elle se répétait mentalement cette phrase de Kant, citée par son
professeur
: ¦ Il faut faire son devoir parce que c'est son
eaucoup d'élèves ont besoin du secours et des encouragements de leurs
professeurs
. (à suivre) SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHO
45. A propos du crime de Soleillant, par M. le D' Félix Regnault,
Professeur
à l'Ecole de psychologie. Permettez-moi de dépl
erte, dans lequel on retrouve toute l'éloquence et toute la clarté du
professeur
, le Dr Huchard vient de publier un volume destiné
Ecole de psychologie, 49, rue Saint-André-des-Arts. — Le D' Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie, médecin Inspecteur des
UTIQUE ?1* Année. — ? 10. Avril 1907. BULLETIN La mort de M. le
professeur
Berthelot. — La Commission des réformes de l'ense
ie vient de faire une perte des plus cruelles en la personne de M. le
professeur
Berthelot. Il avait été le premier membre de son
a prodigué de si précieux encouragements. J'adresse à son fils, M. le
professeur
Daniel Berthelot, dont je suis le collègue comme
de nos sympathies les plus affectueuses, et le prie de croire que les
professeurs
de l'Ecole de psychologie s'associent à sa grande
t plus qualifié que lui pour exprimer les doléances du corps médical.
Professeur
dans les hôpitaux, il a connu les éclatants succè
ement par l'institution des privat-docenten. par M. le D' Bérillon.
professeur
à l'Ecole de psychologie, professeur libre de psy
centen. par M. le D' Bérillon. professeur à l'Ecole de psychologie,
professeur
libre de psychologie à l'Ecole pratique de U Facu
e de psychologie à l'Ecole pratique de U Faculté. Une définition du
professeur
moderne.— La décadence de l'enseignement officiel
n art dentaire, tout ce qui marque un progrès définitif, est dû à des
professeurs
libres, tenus à l'écart de la Faculté de médecine
qui lui a donné naissance, c'est pourquoi la réputation éphémère des
professeurs
issus du concours de l'agrégation ne saurait atté
gloire des véritables inventeurs. Jusqu'à ces dernières années, des
professeurs
libres tels que Fauvel, Ménière, Miot, Garrigou-D
t dû faire appel, dans des circonstances analogues, à la science d'un
professeur
libre, le D' Moure. S'il est une branche de la
une véritable compétence en psychiatrie et d'un remarquable talent de
professeur
. L'enseignement des maladies cutanées et syphil
de l'enfance. Ils n'ont pas la faveur de pouvoir suivre les cours du
professeur
officiel, celui-ci se tenant, depuis dix ans, abs
des sans avoir assisté à un accouchement. Sans les leçons de quelques
professeurs
libres, ils auraient abordé la clientèle sans avo
le sans avoir la moindre notion d'obstétrique. Au premier rang de ces
professeurs
brillait un remarquable privat-doceiit. Moyennant
ar Pajot aux difficultés de l'art des accouchements. Sa réputation de
professeur
devint bientôt si fameuse qu'une poussée formidab
urs à la Faculté. Pajot, qui a laissé le souvenir du plus admirable
professeur
d'accouchement qui ait jamais existé, avait démon
uêtes les plus audacieuses de la chirurgie moderne ont été dues à des
professeurs
libres. La chirurgie française a été surtout conn
les congrès et dans les grandes réunions internationales, du titre de
professeur
. La clinique chirurgicale qui reçoit, à Paris,
seille; Delagenière, du Mans. La plupart d'entre eux ne sont même pas
professeurs
à PEcoIe de médecine de la ville où ils résident.
appeler le cas de l'émincnt doyen de la Faculté libre de Lille, M. le
professeur
Duret. Tout le monde se souvient de quelle façon
ucation des jeunes générations médicales. Il avait l'am-bition d'être
professeur
, la partialité d'un jury l'eût obligé, si une fac
, Broussais avait acquis dans l'enseignement libre la réputation d'un
professeur
remarquable Chose singulière, les étudiants qui s
ntale est née tout entière hors de la Faculté de médecine. Le premier
professeur
titulaire de la chaire de médecine expérimentale,
pris naissance au sein de la Faculté de médecine. Elles émanaient de
professeurs
qui avaient été des candidats heureux au concours
La timidité chez l'enfant (suite et fin) par M"« Lucie Bérillox,
professeur
agrégée du lycée Molière. La timidité se manife
es résultats appréciables. Voici un exemple tiré de mon expérience de
professeur
: A mes débuts dans l'enseignement, je fus char
Deux jours après, passant derrière elles, je fus ravie d'entendre le
professeur
improvisé expliquer parfaitement la leçon à sa pe
estent muets, par excès de conscience et par scrupule, même devant un
professeur
dont ils connaissent la bienveillance, et pour qu
ide ? » dit le juge, sceptique. Parfois l'élève est intimidé parte)
professeur
et non par tel autre. Le premier a peut-être manq
tricité dans la thérapeutique de l'incontinence urinaire. En 1871, le
professeur
Guyon emploie la faradisation intra-uréthrale, qu
me. Une dépèche de Kingstown (Jamaïque) au Daily Express dit que le
professeur
W. A. Barclay a hypnotisé sa femme devant une nom
sque les autorités apprirent ce qui s'était passé, elles sommèrent le
professeur
d'avoir à déterrer tout de suite sa femme, mais i
CûUBS DE PSYCHOLOGIE APPLIQUÉE A L'ÉDUCATION. — M. le Dr BÉBILLON,
professeur
, médecin inspecteur des asiles d'aliénés, commenc
s ; 4« L'enseignement médical doit être absolument libre ; 5° Les
professeurs
étant rétribués par les élèves, les jurys d'exame
ons d'organisation ne comportaient plus qu'un intérêt secondaire. Des
professeurs
de la Faculté ont tenté un effort pour atténuer l
de pourvoir à cet enseignement. C'est l'absence de prestige chez les
professeurs
qui, seule, peut inspirer les revendications form
ment par l'Institution des privat-docenten. par M. le D'Bérillon.
professeur
a l'Ecole de psychologie, professeur libre de psy
enten. par M. le D'Bérillon. professeur a l'Ecole de psychologie,
professeur
libre de psychologie à l'Ecole pratique de la Fac
nité universitaire. En effet, on se représente difficilement un docte
professeur
s'escrimant, dans l'intervalle de deux séances du
ettre la définition de M. Lépine, le D' Liébeault a été le modèle des
professeurs
. Il a cherché et créé une méthode nouvelle; il a
nique particulière de Nancy il a formé plus d'élèves que beaucoup des
professeurs
les plus en vue. II y a peu d'hommes auxquels aut
utorisation avait été accordée sur l'avis favorable exprimé par M. le
professeur
Brouardel, alors doyen de la Faculté de médecine,
sée de ce qui se passait dans l'amphithéâtre Cruveilhier, assigné aux
professeurs
libres. Je ne crois pas qu'aucun représentant aut
vcxonérer du droit de cinquante francs qu'elle impose abusivement aux
professeurs
libres. (I) On a maintes fois surposé que les c
pour cela de se rappeler les locaux infects mis â la dispositions des
professeurs
libres dans les caveaux du musée Dupuytren. Aucun
ont annoncés individuellement par des affiches analogues à celles des
professeurs
titulaires. La façon d'agir de la Faculté de méde
èle auditoire d'étudiants et de médecins. Je me hâte d'ajouter que le
professeur
ni les élèves n'ont rien perdu à ce changement.
l'attention dans le traitement de l'hystérie, parle D' Paul Magnin,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Les ouvrages de psych
oint de vue très fins psychologues. Comme le remarque justement M. le
professeur
Raymond t8), ce que l'on désigne aujourd'hui pomp
par Janet, elle est celle qu'enseigne depuis près de quinze ans M. le
professeur
Raymond. Voilà bientôt dix ans qu'elle me donne l
aitement des aboulies et des psychonévroses, par 11 le 0' Bébillon,
professeur
ù l'Ecole de psychologie. Les aboulies sont con
s candidatures de MM. Moret, médecin vétérinaire à Paris, Saint-Yves,
professeur
à Paris, Dr Mabille (de Reims), Le Boucher, direc
e me trouve en face d'une personne que je no connais pas ou devant un
professeur
, la situation me devient un vrai supplice. Je sen
ez devant une personne autre que vos amis et camarades, ou devant vos
professeurs
, comme en ce moment-ci, vous entendrez ma voix qu
Section (Pédagogie et Enseignement) sera présidée par le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie, médecin inspecteur des
permettre aux membres des divers ordres d'enseignement, ainsi qu'aux
professeurs
des écoles spéciales, professionnelles ou techniq
ment par l'institution des privat-docenten, par m. le Dr Bémllon.
professeur
à l'Ecole de psychologie, professeur libre de psy
enten, par m. le Dr Bémllon. professeur à l'Ecole de psychologie,
professeur
libre de psychologie à l'Ecole pratique de laFacu
e de psychologie à l'Ecole pratique de laFaculté. Une définition du
professeur
msderne.— La décadence de l'enseignement officiel
, dès que l'Ecole de médecine constatait, parle succès croissant d'un
professeur
libre, la nécessité d'élargir le cadre de son ens
est resté maître de la place et, c'est ce dont il meurt. Comment les
professeurs
, surchargés par les examens, par les jurys de con
tion française pour l'avancement des sciences, à Caen, en 1894, M. le
professeur
Bouchard fut amené à prendre part à la discussion
ans leur étude sur la vie scieatiûque de I.» m henné de Boulogne, les
professeurs
Lasègue et Straua ont U'acé ce tableau lamentable
nstatons avec satisfaction que, de l'aveu même d'un certain nombre de
professeurs
de Facultés de médecine, l'agrégation a fait son
ns le projet, deux principes excellents : celui de la rémunération du
professeur
par les élèves, et celui de la substitution au co
ns de toutes nos forces, et nous adressons tous nos remerciements aux
professeurs
en fonctions qui ont le courage d'affirmer ainsi
té, la plupart des agrégés ne sont-ils pas condamnés à n'être que des
professeurs
intérimaires? La titularisation, quand elle arriv
squels aucun enseignement fécond ne saurait exister (*). (1) Un des
professeur
» les plus éminenls de la Faculté de Paris, uoeumé
. Cela fait, par année, une inoyenne d'environ quatre agrégés, promus
professeurs
, ne l'oublions pas, à litre tout à fait provisoir
rce dans les bâtiments de l'Etat, mais l'Etat ne rétribue pas les
professeurs
; leur nombre n'a donc rien à voir avec son budget
scrivent et payent. Plus il y a d'étudiants et plus les honoraires du
professeur
sont élevés. Son but est donc de plaire, de charm
lence a frappé tous ceux qui sont allés en Allemagne. On y trouve des
professeurs
qui, jusqu'à la fin de leur vie, suivent leur mis
ie, suivent leur mission, laquelle est d'enseigner. Tels font de bons
professeurs
, qui feraient de médiocres praticiens. Tels, en v
urée en France, y présenterait les avantages suivants. Le collège des
professeurs
titulaires, recruté parmi les privat-docenten don
définitive, et l'on ne pourrait plus dire que le titre d'agrégé ou de
professeur
est recherché, moins parce qu'il correspond à une
La foule d'auditeurs d'élite qui se presse chaque année aux cours des
professeurs
de l'Ecole de psychologie constitue la vivante dé
la planète Mars et sur la fameuse* langue martienne que M. Flournoy,
professeur
à la Faculté des sciences de Genève, nous transmi
aitement psychologique du trae des chanteurs par M. le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Dans plusieurs commun
s. D' Demonchy : La phothothérapie adjuvant de la psychothérapie.
Professeur
Ubeyd-Oullah (de Constantinople) : L'Islam et la
nneur du Dr Bérillon, p. 1, 33, 73, 98. Berthelot (La mort de M. le
professeur
), par Bérillon, p. 289. Bois (Jules) à la Socié
(de Seville) ; P. JOIRE (de Ulle)- JAGUAMBE (Sao-Paulo); LACASSAGNE.
professeur
a la Faculté de Lyon ; LADAME (de Genève) ; LEGRA
ent, en les voyant empressés à se conformer aux instructions de leurs
professeurs
, personne n'aurait pu se douter qu'il s'agissait
és au nombre desquelles nous sommes heureux de mentionner M. Espinas,
professeur
à la Sorbonne, membre de l'Institut, Dr Pédébidou
ral de la Société française d'études islamiques et un grand nombre de
professeurs
de lycées de Paris. Chacun des visiteurs s'est pr
ment mental et le consentement organique par M. le Docteur Bérillox
professeur
à l'Ecole de psychologie. I. — Le consentement
M. le président met aux voix la candidature de M. le D'Chukri Pacha,
professeur
à la Faculté du Caire, lequel est nommé, à l'unan
ique le sommeil nerveux par l'occlusion des yeux et des paupières. Le
professeur
Raymond /in Revue de Médecine, mai et juillet 189
D' Bèrillon, secrétaire, donne lecture de lettres d'excuses de M. le
professeur
Raymond, retenu a Londres par une conférence à l'
e M le docteur Magnan, médecin en chef de l'asile clinique ; de M. le
professeur
Lacassagae de Lyon ; de M. le Dr Triboulet, médec
e l'homosexualité basé sur la rééducation sensorielle. D' Chayicnv,
professeur
agrégé au Val-deGràce : L'homosexaali,té dans l'a
la Société de l'honneur qui vient d'être fait â notre collègue M. le
professeur
Raymond, qui, président de la Section française d
rés de l'échelle sociale ? Résumons, en quelques mots, l'opinion du
professeur
Krafft-Ebîng de Vienne, qui est l'un de ceux qui
édecin, inverti sexuel lui-même, qui a raconté sa vie homosexuelle au
professeur
Knafft-Ebing de Vienne, déclare catégoriquement q
les romans d'amour avec des hommes hétérosexuels. Témoin ce jeune
professeur
silésien qui vint, il y a quelques années, à-Pari
idence de M. le D' Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés,
professeur
à l'Ecole de psychologie, lis seront répartis de
famille et de l'école dans l'éducation ; Rapporteurs : Mlle Berthet,
professeur
a l'Ecole normale de jeunes filles de Nevers, Mll
daire et les associations de parents d'élèves. Mlle Lucie Bérillon,
professeur
au lycée Molière : l'éducation attrayante. M. D
mbres des divers ordres d'enseignement. Elle leur permet ainsi qu'aux
professeurs
des école spéciales, professionnelles ou techniqu
— Piper, Munich 1908 Dr A. Marie : La Pellagre, avac une préface du
professeur
Lombroso. — ln-12, 250 pages — Giard. Paris 190
is 190S, 2 fr. Dr Deschamps : Les maladies de l'énergie, préface du
professeur
Raymond. — In-8% 50) pages. — Alcan, Paris 19JS
23e Année. — ?• 2. BULLETIN Août 1908. La décoration de M. le
professeur
Lionel Dauriac Le Conseil de l'Ordre national d
core, il vient de réparer une injustice en décernant la croix à M. le
professeur
Lionel Dauriac, que l'on aurait pu croire et qui
régation de philosophie. M. Dauriac ne fut pas seulement un eminent
professeur
de Faculté ; il occupe une place d'honneur dans l
générales de la psychologie (1). Vers la fin de sa carrière, M. le
professeur
Lionel Dauriac est venu à nous, poussé par la log
sous l'impulsion du D' Bérillon. surgit l'Ecole de psychologie, M. le
professeur
Lionel Dauriac se rangea avec empressement à nos
l'ancien collaborateur de la Critique philosophique, non seulement le
professeur
de Montpellier et de la Sorbonne, mais aussi Je r
ue de VHypnotisme, le vice-président de la Société d'hypnologie et le
professeur
de l'Ecole de psychologie. C'est pourquoi nous av
chez les animaux par MM. Grollet et Lépinay, médecins-vétérinaires,
professeurs
à l'Ecole de psychologie, chefs du laboratoire
lité dans l'armée par M. le Dr Chavigny médecin-Major de 2« classe,
professeur
agrégé au Val-de-Gràce. Un certain nombre de fa
ments au moyen de l'hypnose par M- le Docteur Paul Joire (de Lille)
professeur
correspondant de l'Ecole de psycnologie. Le but
rôle dans la formation de la personnalité par Mlle Lucie Bérillon,
professeur
agrégée au lycée Molière La question de l'émula
gues, ou lorsque plusieurs cours ardus se succèdent. Dans ce cas, les
professeurs
savent que la dernière heure est souvent pénible
ans une conférence sur Les classes d'une heure et la multiplicité des
professeurs
. Pour fortifier l'attention et la fixer, il fau
e l'utilité de l'autre côté de l'Atlantique. M. Baker, le distingué
professeur
de littérature dramatique à la Sor-bonne, me disa
les élèves l'initiative, l'esprit de recherche, et les intéresse. Le
professeur
les guide, tout en faisant appel à leur collabora
t manquer de l'esprit clinique le plus élémentaire. Dr René Pamart,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. CHRONIQUE ET CORRESPO
dernier numéro le fait communiqué à l'Académie de Médecine par M. le
professeur
Dieulafoy, d'un individu qui s'était laissé coupe
vol. in-8° écu avec 44 figures démonstratives, par le Dp Paul Joire,
professeur
à l'Institut Psycho-physiologique de Paris......4
ture. Préjugés d'autrefois, Carrières d'aujourd'hui, par M. Valran,
professeur
au Lycée d'Aix ; préface de M. Etienne, ancien mi
Bracnschvig : L'Art et l'Enfant. Essai sur l'éducation esthétique,
professeur
au Lycée de Toulouse, docteur ès-lettres. ancien
nel. ?3ß Année. — N° 3. Septembre 1908. BULLETIN La mort du
professeur
Liégeois (de Nancy). — Hommage ft la mémoire du p
La mort du professeur Liégeois (de Nancy). — Hommage ft la mémoire du
professeur
Glard. Nous avons le vif regret d'annoncer à no
e vif regret d'annoncer à nos lecteurs la mort de M. Jules Liégeois, -
professeur
honoraire a la faculté de droit de Nancy, qui a s
cabinet du ministre de l'intérieur. Le 19 octobre 1865 11 était nommé
professeur
de droit administratif ft la faculté de Nancy, qu
t, avocat do Gabrlelle Bompard, fit citer comme témoin ft décharge le
professeur
Liégeois qui défendit la théorie de l'école de Na
la Snlpêtrière. Lee théories longuement exposées et défendues par le
professeur
Liégeois furent combattues avec une certaine viol
ofesseur Liégeois furent combattues avec une certaine violence par le
professeur
Brouardel. Elles eurent cependant de l'influence
elle Bompard les circonstances atténuantes. Depuis cette époque, le
professeur
Liégeois avait continué ft défendre ses travaux e
eur et admis ft lu retraite 11 y quelques années, il uvait été nommé,
professeur
honoraire. Ln Revue de l'hypnotisme perd en lui
d'hypnologie saura honorer comme il convient, la mémoire du vaillant
professeur
Lorrain et nous ne manquerons pas de rappeler
scientifique, juridique e-médico-légale de l'hypnotisme. La mort du
professeur
Giurd, survenue au commencement du mois d'août, e
eurs. L'Ecole de psychologie perd en lui un de ses meilleurs amis. Le
professeur
Giard avail été un des premiers a lui accorder l'
es-conférences psychologiques. Aussi c'est de grand cœur que tons les
professeurs
de l'Ecole de psychologie s'associent a l'éloge s
ntelligence. Malheureusement, en effet, cet observateur admirable, ce
professeur
hors ligne écrivait peu. Ses amis auraient voulu
otion, inhibition, suggestion, etc. par M. le doeteur Paul ]' . '
professeur
?? l'Ecole de psychologie. Dans la communicatio
rôle dans la formation de la personnalité pur Mlle Lucie Beriixos,
professeur
agrégée au lycée Molière (Suite) HL La sympat
t 1908). réussissent d'autant mieux qu'ils sont appliqués par des
professeurs
joignant à la vocation de l'enseignement une réel
ement c'est l'amitié. » M. Bousselet rapporte le trait suivant : Un
professeur
se plaignait de l'indifférence de ses élèves. Que
éral que les garçons. Beaucoup travaillent pour faire plaisir ît leur
professeur
, et son approbation est déjà une récompense. L'in
âche au-dessus de leurs forces. C'est ce qui arrive lorsque plusieurs
professeurs
, d'ailleurs bien intentionnés, tirent la couvertu
este. La faute en est à nos programmes trop chargés, bien plus qu'aux
professeurs
contraints de les appliquer. A la suite d'une e
ats étaient moins satisfaisants depuis quelques années, — au dire des
professeurs
. — Il se demandait si cette décadence ne tenait p
lors avaient manifesté la plus grande indolence, a souvent étonné les
professeurs
. En y réfléchissant, on comprend qu'elle correspo
oeducation, intérêt des cours ou éducation attrayante et sympathie du
professeur
, répartition mesurée du travail, stimulant de l'i
hateaubriand raconte dans ses Mémoires la scène terrible qu'il fit au
professeur
qui l'avait menacé du fouet pour avoir déniché de
ces punitions morales, il faut mentionner d'abord les-rêprimandes des
professeurs
et des chefs d'établissement, soit en particulier
a la discipline si nécessaire surtout dans nos classes nombreuses. Un
professeur
, chargé de la direction de la surveillance et de
qui vient de se tenir à Clermont-Ferrand sous la présidence de M. le
professeur
Appell. doyen de la faculté des sciences de Paris
xiste en réalité que dans la pensée des chercheurs qui la créent, des
professeurs
qui l'enseignent, des techniciens qui l'appliquen
». Dans la même séance, l'assemblée a entendu un discours de M. le
professeur
Bruyant, président du comité local, dont les effo
applaudissements nourris accueillirent la présentation faite, par le
professeur
Gauthier, du grand chimiste, sir William Eamsay q
e cadre de la Eevue. La section fut présidée par M. le Dr Bèrillon.
professeur
a l'Ecole de psychologie. M. Julien Ray, professe
. le Dr Bèrillon. professeur a l'Ecole de psychologie. M. Julien Ray,
professeur
à l'Université de Lyon fut désigné pour remplir l
s /'education. Sur ce sujet on entendit les rapports de Mlle Berthet.
professeur
à l'Ecole Normale de Nevers et de M. le Dr Galloi
urent complétés par une étude fort documentée de Mlle Lucie Bèrillon,
professeur
au lycée Molière, sur VEducation attrayante. Le
e Colonel Clergerie, M. Auréggio, vétérinaire principal ; M. Grollet.
professeur
à l'Ecole de psychologie; M. le capitaine Burguet
; M. de Hontricher. président de l'Académie de Marseille ; M. Girod,
professeur
de philosophie au lycée ; M. le directeur du peti
osophie au lycée ; M. le directeur du petit-lycée de Clermont ; M. le
professeur
Grandvilliers : M. Moreau, professeur d'agricultu
petit-lycée de Clermont ; M. le professeur Grandvilliers : M. Moreau,
professeur
d'agriculture ; le docteur Beauvisage, professeur
lliers : M. Moreau, professeur d'agriculture ; le docteur Beauvisage,
professeur
à la Faculté de médecine de Lyon ; Mlle Lucie Bèr
e, professeur à la Faculté de médecine de Lyon ; Mlle Lucie Bèrillon,
professeur
au lycée Molière, M. le professeur Gréhant,. etc.
ine de Lyon ; Mlle Lucie Bèrillon, professeur au lycée Molière, M. le
professeur
Gréhant,. etc., etc. « A, l'ordre du jour éta
importants, car ils atteignent la masse. Ensuite M.le Dr Beauvisage,
professeur
à-la Facultémixte de médecine et de pharmacie
tat moral et physique conforme aux capacités du genre humain. M. le
professeur
Grandvilliers ouvre la séance en décrivant d'une
duquel des idées fort utiles ont été exprimées. M. Moreau-Bérillon,
professeur
d'agriculture à Reims, indique le réle du profess
Moreau-Bérillon, professeur d'agriculture à Reims, indique le réle du
professeur
d'agriculture à la caserne, le colonel Clergerie,
Ayant de se séparer, la section par un vote unanime a désigné M. le
professeur
Beauvisage. de Lyon, comme président do la sectio
ient suivi ses travaux. Il eut lieu sous la présidence de M. Bravant,
professeur
à la faculté de Clermont, adjoint au maire et pré
ent du comité local. A ses côtés avaient pris place M. le Dr Gréhant.
professeur
de Médecine et Madame Gréhant, M. le Dr Bèrillon,
Gréhant. professeur de Médecine et Madame Gréhant, M. le Dr Bèrillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie et Madame Bèrillon ; M.
ofesseur à l'Ecole de psychologie et Madame Bèrillon ; M. Beauvisage,
professeur
à la faculté de médecine de Lyon ; M. Julien Ray,
uvisage, professeur à la faculté de médecine de Lyon ; M. Julien Ray,
professeur
à la faculté des lettres de Lyon ; M. le colonel
guet, officier d'ordonnance de commandant de corps d'armée ; M. Girod
professeur
de philosophie au lycée ; M. Menot, directeur de
essionnelle ; Mlle Dïssard, directrice d'Ecole : Mlle Lucie Bèrillon,
professeur
au lycée Molière : M. le Dr Noury, professeur a l
: Mlle Lucie Bèrillon, professeur au lycée Molière : M. le Dr Noury,
professeur
a l'Ecole de médecine de Caen ; M. le Dr Mally, p
Dr Noury, professeur a l'Ecole de médecine de Caen ; M. le Dr Mally,
professeur
à l'Ecole de médecine de Clermont : M. le Dr Damo
e de médecine de Clermont : M. le Dr Damoglou, du Caire ; M. Grollet,
professeur
à l'Ecole de psychologie Madame Grollet ; M. More
llet, professeur à l'Ecole de psychologie Madame Grollet ; M. Moreau,
professeur
spécial d'agriculture à Reims ; M. Bosteaux, mair
de Cernay ; M. Baud, préparateur à la Sorbonne ; Mu* Alice Bèrillon,
professeur
au lycée Racine ; M. le Dr Bagourd, d'Argentan ;
ine ; M. le Dr Bagourd, d'Argentan ; M. Collin de Paris ; M. Lefèvre,
professeur
au lycée du Havre ; M. Hérichard, chef de bureau
la fin, des allocutions très applaudies furent prononcées par MM. les
professeurs
Bruyant, Bèrillon, Gréhaut et Julien Ray qui célé
on très goûtée remercie les organisateurs de la section ; enfin M. le
professeur
Beauvisage, président pour l'année prochaine, inv
l. 23e Année. — N° 4. Octobre 1908. BULLETIN Eloge de M. le
professeur
Liégeois à l'Académie des sciences morales et pol
noncé les paroles suivantes relatives à la mort accidentelle de M. le
professeur
Jules Liégeois : Messieurs, J'ai reçu et je doi
à Bains-les-Bains, que M. Liégeois ? été mortellement frappé. M. le
professeur
Liegeois. Son élection, comme correspondant, da
ées passées dans l'administration active, M. Liégeois avait été nomné
professeur
de droit administratif à la Faculté de Nancy. C
travaux du congrès. A cette occasion aura lieu, sous la présidence du
professeur
Tnmbnrini. la conférence Internationale ponr l'un
n olfactive chez les animaux et chez l'homme par M. le D1 Bcaiixos,
professeur
ft l'Ecole de psychologie. TJn des phénomènes l
ion, inhibition, suggestion, etc. (1) par M. le docteur Paul Fàkiz.
professeur
k l'Ecole de psychologie. (Suite) La suggesti
dans la formation de la personnalité par Mlle Lucie ;'¦¦ - ? llox,
professeur
agrégée au lycée Molière (Suite) IV. Eécompeu
onie publique. (1) Jusqu'alors on s'était contenté de consulter les
professeurs
, dont l'opinion peut être inspirée par des mobile
au moins ; d'autres disent quinze ans). En général, les élèves et les
professeurs
sont d'accord pour s'élever contre le classement,
issances acquises. La composition faite en classe, sous les yeux du
professeur
, a un caractère plus sérieux, exige un effort per
IEUSES Les remèdes populaires en Auvergne (1) par M. Léon Fixeau,
professeur
de linérature étrangère a l'Université de Clermon
on* déjÀ portée* À l'ordre du joor : 1° Hommage a la mémoire de M. le
professeur
Liégeois, de Xancy. 2° D' Bébillox : Le mécanisme
le lata g. Suit la discussion sur l'Homosexualité. Inscrits : M. le
professeur
Lionel Dauriac : L'homosexualité antique ; l'amou
'agrégation par des confrères qoi ne sont pas agrégés. Permette* A un
professeur
agrégé de donner ? sou tour son opinion. Pour col
. Ce décret de 1885 dit : « Les doyens seront élus par l'ensemble des
professeurs
et agrégés des facultés. » Ceci veut dire que non
notes sur l'enseignement de ses collègues, mais seulement que chaque
professeur
ft tour de rôle, et pendant nn an, remplisse les
à fait exceptionnel chez les agrégés. Un acte de courage civique du
professeur
Liégeois Le Journal de Montmédy dn 23 septembre
cle de M. Alfred Pierrot, maire de Montmédy, sur notre concitoyen, le
professeur
Liégeois, tué si malheureusement et en pleine san
rnier. M. Pierrot, le maire de Montmédy, demande que le portrait du
professeur
Jules . Liégeois figure dons le salon d'honneur d
er. Enfin, M. Pierrot propose que la ville de DamvUlers, ou est né le
professeur
Liégeois, donne son nom ft une de ses rues. Ton
nt d'accord avec le Journal de Montmédy rUonunc privé était chez le
professeur
Jules Liégeois a la hauteur du savant, et II est
dans certains cas vraiment prodigieuse. Sous avons connu un aveugle,
professeur
de géographie, qui possédait par cœur toute la no
aliénés s'est tenn à Vienne du 7 an 11 octobre sous la présidence du
professeur
Obersteiner. Beaucoup d'aliénistes des plus émine
ient répondu h l'appel du Comité. Parmi eux, nous citerons : M M. les
professeurs
Wagner-Jauregg. Pilez, de Vienne ; Tamburini, de
nts neurologistes ont suivi les travaux du congrès, en particulier le
professeur
Benedict et vviuiernitz, de Vienne. Le gouverne
i sur le régime des aliénés. Jnles Voisin, médecin de la Salpétrière,
professeur
Grasset, de Montpellier, docteur A.Marie, médecin
nant ce trop court exposé, signalons que l'Inauguration d'un buste dn
professeur
Kraft-Eblng fut l'occasion d'une très belle manif
s les collaborateurs de cette revue. On doit, en effet, a ce regretté
professeur
on certain nombre d'études très remarquables sur
s avons été également très henrenx de rencontrer au congres le savant
professeur
Benedikt qui pour témoigner de l'intérêt qu'il po
sité, éducateurs, philosophes, parlementaires, etc. A cdté de MM. les
professeurs
Sndlcr. Splllcr Mulrhead, Fox Pitt, Brereton, J.
sexuelle ; Mme la Doctoresse Roussel, de Bonen ; Mme Moreao-Bérillon,
professeur
au lycée de Be ims, etc. A la séance d'ouvertur
ne et te milieu, complétée par les communications de M. Albert Bayet,
professeur
à l'Ecole alsacienne, ennemi des récompenses et d
par Miss Grant, ?? Président M. Wallas donna l'analyse du travail du
professeur
Lombroso où il préconise l'emploi de la suggestio
notre existence sociale. ? invita alors Mademoiselle Alice Bèrillon.
professeur
au Lycée Racine et déléguée du Dispensaire pédago
eur refuser est une monstrueuse injustice. . Tjh uraniste écrivait au
professeur
B. Von Krafft-Ebing, de Vienne, c A dix-huit ans,
factive chez les animaux et chez l'homme (l) par M. le D' Bkbillox,
professeur
à l'Ecole de psychologie. (Suite) Des faits a
alogues. Kraft-Ebing en rapporte le cas suivant qu'il tenait de Most,
professeur
de Rostock : « J'ai appris, raconte Most, d'un je
ion, inhibition, suggestion, etc. (2) par M. le docteur Paul Fâbez.
professeur
h l'Ecole de psychologie. (Suite et fin) Dans
ibunal d'Epinal, fait part à la Société de la mort de son père, M. le
professeur
Liégeois, membre fondateur de la Société. M. le
d également des lettres de if. le Dr Poula-lion ; "Witry, de Trêves ;
professeur
Ubeyd Oullah, de Smyrne ; Dr Jour-dan, de Marseil
lieu dans l'ordre suivant : 1. Dr Bosjour (de Lausanne) : Eloge du
professeur
Liégeois; 2.Dr Bérillos : Le mécanisme psycholo
t adoptées à l'unanimité. La séance est levée à 6 h. 30. Eloge du
professeur
Liégeois par M. le D* Boxjocb, de Lausanne. L
and et Hamilton Osgood nous arrive la terrible nouvelle de la mort du
professeur
Liégeois, enlevé subitement aux siens et à ses am
itement aux siens et à ses amis par un accident d'automobile. Avec le
professeur
Liégeois disparait un des premiers pionniers de l
nseurs. On peut affirmer, sans crainte d'être démenti, que le rôle du
professeur
Liégeois dans le groupe des disciples nancéens de
Aussi lorsque la fille Bompard sortit de prison, le premier désir du
professeur
Liégeois fut de vérifier par l'expérience le degr
e en pratique ce qu'ils ont écrit ou dit. St ceux-là avaient connu le
professeur
Liégeois et l'avaient vu k l'œuvre, ils se seraie
ôle dans la formation de la personnalité par Mlle Lncie Bérii.i.on,
professeur
agrégée an lycée Molière (Suite) Le classemen
lective, dont je ne veux pas diminuer la valeur, je crois que trop de
professeurs
négligent de parti-pris la (1) Conférence faite
eurs juges de la valeur de leurs enfants, ils viendraient en aide aux
professeurs
, mais il arrive que, faute de discerner les aptit
d'aptitudes est un élément d'émulation entre les enfants et oblige le
professeur
a divers! fier ses moyens d'action pour trouver l
hommes, de Napoléon par exemple,. A l'école militaire de Brienne, son
professeur
d'allemand s'étonnait de ses succès en mathématiq
thématiques, le jugeant incapable d'apprendre quelque chose. Mais son
professeur
d'histoire, mieux inspiré, disait : « U ira loin
ue un rapport concluant à l'enseignement obligatoire des jeux par les
professeurs
de gymnastique. Pourquoi n'encouragerait-on pas l
s caractère officiel, grouperait, avec les élèves, les parents et les
professeurs
, trop rarement en contact pour se connaître et s'
re des forts en thème ou des Pic de la M i randole. ou de procurer au
professeur
des satisfactions de vanité et des succès de conv
des succès de convention, seront à rejeter. M. Barrett "Wendell, le
professeur
américain dont nous avons entendu les enseignemen
STITIEUSES Les remèdes populaires en Auvergne par M. Léok Pineau,
professeur
de littérature étrangère à l'Université de Clermo
mémoire. Suit la discussion sur l'homosexualité. Inscrits : M. le
professeur
Lionel Dauriac : L'homosexualité antique : l'amou
tion par l'occlusion des yeux et des paupières est attribuée à 31. le
professeur
Strumpell. Personne au monde prétendrait moins a
'expression du plus grand estime do la part de votre très dévoué. ,
Professeur
BEXEDIKT. • S. P. — Je voue envole en même temp
enfants anormaux (retardataires, instables, vicieux et nerveux). Les
professeurs
, les médecins et les étudiants sont admis aux con
de la Salpetriebe : Clinique des maladies nerveuses. — Les leçons du
professeur
Baymond ont lieu les mardis et vendredis a 10 h.
uvième réouverture des cours de l'Ecole de psychologie. — Le cours du
professeur
Gley au Collège de France. La neuvième réouvert
érinaires, poursuivront leurs études de psychologie comparée. Trois
professeurs
. M. le D' Demonchy, M. Selé-Ton-Fa, docteur en dr
e des cours seraient professés par deux notabilités musulmanes, M. le
professeur
Ubed-Oullah et M. le t>r Bahaddin Chabir Bey.
Magnus Hirscbfeld pousse vraiment un peu loin la mystification. Le
professeur
Noecke considère le syndicat des invertis comme u
factive chez les animaux et chez l'homme (2) par M. le D' Bekillox,
professeur
à l'Ecole de psychologie. (Suite) Dès la plus
gues. Dans son traité sur la Physiologie comparée des animaux, Colin,
professeur
à l'Ecole d'Alfort, rappelle le fait bien connu q
re ; de M. le Dr Crichton-Miller, de San Remo : de M. le Dp Chavigny,
professeur
agrégé du Val de Grâce : de M. le professeur Ubey
: de M. le Dp Chavigny, professeur agrégé du Val de Grâce : de M. le
professeur
Ubeyd Oullah, de Constantino; le. La correspond
antino; le. La correspondance imprimée comprend un travail de M. le
professeur
Bencdifct, de Vienne, intitulé : Magnéto-Thérapie
inay. M. le Secrétaire Général fait part à la Société de la mort du
professeur
Hamy, de l'Institut et de l'Académie de médecine.
sme et de la psychologie. La séance est levée à 6 h. 30. Eloge du
professeur
Hamy. Le professeur E.-T. Hamy, membre de l'Ins
ie. La séance est levée à 6 h. 30. Eloge du professeur Hamy. Le
professeur
E.-T. Hamy, membre de l'Institut et de l'Académie
le mercredi 18 novembre. Voici en quels termes simples et émus M. le
professeur
Paul Bicher, président de la Société française de
aise de la médecine, salua son cercueil. ¦ Lorsqu'un homme comme le
professeur
Ernest-Théodore Hamy disparait dans sa pleine et
bientôt des relations d'amitié. » La bienveillance avec laquelle le
professeur
Hamy prodiguait ses encouragements aux études psy
evoir de nous associer aux sentiments si justement exprimés par M. le
professeur
Paul Bicher. Nous regretterons d'autant plus vi
rd Îiiiti-Hiiumu. Communications déjà portées à l'ordre du jour: 1°
Professeur
Bésédikt, de Vienne : Magnéto-thérapie et suggest
les travaux sur les cardiopathies font autorité, dont Io talent comme
professeur
a été universellement apprécié, n'ait pas été pou
re. C'est ce que lui « fait entendre dans une allocution touchante le
professeur
Albert Bobln lors de l'Inauguration de la Cliniqu
ans parler de la besogne qui leur Incombe encore. » NÉCROLOGIE Le
professeur
Alix Joffroy Elève de Yulpian et de Charcot, le
GIE Le professeur Alix Joffroy Elève de Yulpian et de Charcot, le
professeur
Joffroy avait publié, en collaboration avec ces m
e française. — Le trac des coiffeurs )DC Paul Maguln). — Le Jubilé du
professeur
Gréhant. — Le banquet en l'honneur du professeur
uln). — Le Jubilé du professeur Gréhant. — Le banquet en l'honneur du
professeur
Lionel Dauriac. Au moment de noire tirage, nous
i restera la date la plus glorieuse de notre Ecole. • * * M. le
professeur
Régis vient de présenter k la Sociélë de Médecine
r d'autant mieux d'être rapportée in-extenso, que les observations du
professeur
Régis confirment absolument ce que le Dr Bérillon
plaisir -d'assister le 13 décembre an Muséum d'Histoire naturelle. Le
professeur
Gréhant nous «voit conviés a une très intéressant
rs. M. Edmond Porrier. directeur du Muséum, assisté de la plupart des
professeurs
, était assis au premier rang. Lans la salle nous
rrecte et si claire de ce maître délicieux. Mais cette fois le savant
professeur
Gréhnnt s'était surpassé et les applaudissements
, étaient plus mérités que jamais. Au cours de cette conférence, le
professeur
a présenté les Ingénieux appareils qu'il a imagin
ait le trentième anniversaire de son professorat : • La plupart des
professeurs
. u-t-11 dit, célèbrent do tels anniversaires en s
toutela vie de labeur de ce savant, si sympathique a tous. * Les
professeurs
de l'Ecole de psychologie voulant célébrer la pro
ns l'ordre de la légion d'honneur de leur eminent collaborateur M. le
professeur
Lionel Daariac, se sont réunis en un banquet le m
roles qui pouvaient le mieux exprimer les sentiments de tous. M. le
professeur
Lionel Daurlac, professeur honoraire à la Faculté
x exprimer les sentiments de tous. M. le professeur Lionel Daurlac,
professeur
honoraire à la Faculté des Lettres de Montpellier
factive chez les animaux et chez l'homme (1) par m. le D' Bebillox,
professeur
k l'Ecole de psychologie. (Suite) m. L'Olfact
evard Haussmann. Communications déjà portées à l'ordre du jour: V
Professeur
Béxédikt, de Vienne : Magnéto-thérapie et suggest
sité de >"aney, M. Adam, recteur, a commémoré le souvenir de M. le
professeur
Liégeois. Nous nous empressons de publier les p
e accident nous enlevuit, duns sa soixante-quinzième année, un de nos
professeurs
honoraires, Jules Liégeois, membre correspond
stitut de France. Le deuil fut général dans l'université de Nancy. Ce
professeur
do droit eut le rare .liouneur d'être regretté, n
les Liégeois s'étendait bien au-deU» des limites de son enseignement.
Professeur
de droit administratif, il l'avait d'abord pratiq
ancy ». Nos étudiants doivent savoir cela, et antre chose encore : ce
professeur
, qui, toute sa vie. aima les jeunes, lorsque leur
publics) Hypnotisme thérapeutique. — Psychothérapie Dr Bérillon,
professeur
. Objet du cours : 1° Les psychopithies sexuelle
rtir du jeudi 14 Janvier. Hypnotisme expérimental Dr Paul Magnin,
professeur
. Objet du cours : Les psychonévroses. Les jeu
artir du jeudi 14 janvier. Psychologie pathologique. Dr Paul Farez,
professeur
. Objet du cours : La psychologie de l'alimentat
nvier. Pathologie mentale appliquée aux religions. Dr Binet—Sàngle,
professeur
. Objet du cours : Jésus de Nazareth. (Suite du
, à partir du samedi 16 janvier. ' Psychologie sociale. Dr Broda,
professeur
. Objet du cours : Les problèmes psychiques de l
du mercredi iS janvier. Psychologie des races. M. Scié-Ton-Fa,
professeur
. Objet du cours : L'évolution psychologique de
r du mercredi IS janvier. Psychologie expérimentale. Dr Demonchy,
professeur
. Objet du cours : Les appareils employés pour l
tir du vendredi 1$ janvier. Psychologie musicale. Dr Bené ?aµart.
professeur
. Objet du cours : L'émotion musicale et ses man
Anatomie et psychologie comparées. M. Grollet, médecin-vétérinaire,
professeur
. Objet du cours : Le cerveau, organe de la pens
de psychologie : (Voir le programme des cours et dos conférences).
Professeurs
correspondants : D* Paul Joint: (LUle),D" JaQuari
eek (La Haye), Ubeyd Oullah (Smyrne). Dr Bahaddin (Constantinople).
Professeur
honoraire : Dr Wateau. II. Dispensaire pédagogi
h. et demie, au Grand-Hôtel, sons la présidence de M. le Dr Raymond,
professeur
il la Faculté, membre de l'Académie de Médecine,
is place M. le docteur Jules Voisin, médecin de la Salpétrière et les
professeurs
de l'Ecole, MM. les docteurs Bérillon, Paul Magni
'Ecole, MM. les docteurs Bérillon, Paul Magnin, Paul Farez. Caustier,
professeur
au Lycée Saint-Louis, Grollet. Lépinay, GuUhermet
ez (de Mexico), M. Deniel, ingénieur des ponts et chaussées, M. Phal,
professeur
. M. Combes, secrétaire-général de l'Alliance scie
secrétaire-général de l'Alliance scientifique universelle. M. Merlet,
professeur
; docteur Toupance, docteur Spourgltis, M. Dyvran
eur de la République a Saint-Quentin, docteur Aimé Gardette, M. Cold,
professeur
, docteur Masbrenier, Raphaël Beau, vice-consul, B
Masbrenier, Raphaël Beau, vice-consul, Bapellin, explorateur, Leroy,
professeur
au Lycée Michelet, Tsi-Keun, étudiant en diOit et
mte de Foucault, docteur Babaian Bnbaieff (de Tiflis), M. Barbelenet,
professeur
au Lycée de Rouen, M. Soubhi Bey (de Constantinop
Query, MM. les capitaines Durand, Echard, ainsi qu'un grand nombre de
professeurs
de lycées et écoles de Paris. Plusieurs des mem
autres M. le docteur Hnchard, membre de l'Académie de médecine. M. le
professeur
Lionel Dauriac, M. le professeur Joseph Fabre, ai
bre de l'Académie de médecine. M. le professeur Lionel Dauriac, M. le
professeur
Joseph Fabre, ainsi que plusieurs de nos professe
el Dauriac, M. le professeur Joseph Fabre, ainsi que plusieurs de nos
professeurs
correspondants : M. le docteur Orlitzky (de Mosco
au docteur Bérillon : L'Ecole de Psychologie par M. le D* BÉmixos
professeur
h l'Ecole de Psychologie. Avant de remplir l'ag
Cette séance eut lieu le 11 janvier sous la présidence dnDrBris-saud,
professeur
k la Faculté de Médecine. Ce jour-là. le professe
ce dnDrBris-saud, professeur k la Faculté de Médecine. Ce jour-là. le
professeur
Ebeyd-Oullah, de Constantinople, exilé à Paris, a
le ottoman. Vous n'avez pas oublié l'éloquente allocution que M. le
professeur
Brissaud, s'inspirant de la leçon du professeur L
allocution que M. le professeur Brissaud, s'inspirant de la leçon du
professeur
LTbeyd-Oullah, adressa k ceux qui rêvaient d'une
is à la lettre. En mettant à l'ordre du jour la question posée par le
professeur
TJbeyd-Oullah, l'Ecole de psychologie a témoigné
que nous avions reçus de nos ancêtres. Cette année, notre cadre de
professeurs
s'est complété par l'adjonction de trois nouveaux
cadre de notre action s'étend également à l'étranger. A la liste des
professeurs
correspondants, M. le Dr Jaguaribe, de Sao-Paulo
cou ; Damoglou, du Caire, nous avons le plaisir d'ajouter les noms du
professeur
TJbeyd-Oullah.de Constantinople, du Dc Quackenbos
contribué à sa vulgarisation et à ses progrès. Cette institution de
professeurs
correspondants est absolument spé-c.ale à notre E
tudes olfactives : anosmies et hyperosmes. par ?G. le Dr Bekillos;,
professeur
h l'Ecole de psychologie. (Suite) Les aptitud
pal de Paris, Lionel Dauriac, vice-président de la Société. Caustier,
professeur
à l'Ecole de Psychologie Muteau, député. La cor
sa place au bureau. if. le Dr Demonchy analyse le travail de M. le
professeur
Bénédikt (de Vienne), intitulé : MagnétotJiérapie
èrillon, corrobore au nom de son expérience personnelle, l'opinion du
professeur
Bénédikt. Les communications inscrites à l'ordr
h. 30. L'Homosexualité antique et le Banquet de Platon. par M. le
professeur
Lionel Dauruc. M. Dauriac. — Les Sémites avaien
risation de la volonté et supercherie par M. le Docteur Paul Fâbkz,
Professeur
a l'Ecole de Psychologie. Les partisans des hyp
au sein de notre Société. Magnetotherapie et suggestion par M. le
professeur
Morltz Bexedirt, de Vienne. Traduit de l'allemand
enfante anormaux (retardataires, instables, vicieux et nerveux). Les
professeurs
, les médecins et les étudiants sont admis aux con
de la Salpétbtere : Clinique des maladies nerveuses. — Les leçons du
professeur
Raymond ont lieu les mardis et vendredis à 10 h.
des études et la disparition du prestige qui entourait autrefois les
professeurs
. La déposition du Dr Bérillon ayant été sténogr
Chlne Messieurs, M'inspirant des conclusions par lesquelles M. le
professeur
Scié-Ton-Fa a terminé son exposé du réveil de l'e
factive chez les animaux et chez l'homme (1) par M. le Dr Bsrillos,
professeur
à l'Ecole de jisycbologie. (Suite) T. Le role
ulaire Sa valeur en clinique psychologique par M. le D' Békillos,
professeur
à l'Ecole de psychologie La recherche du - sign
adjuvants par M. le D* Chavigïïy, Médecin-major de seconde tinsse,
professeur
agrégé an Val-de-Gr*çe. 11 est devenu de notion
L'Importance du « Réveil » en Hypnotisme par il. le D' Dbuon'chv.
professeur
a l'Ecole de Psychologie. Les considérations su
FANTS NORMAUX L'éducation attrayante (1) par Mlle Luele bèrillon,
professeur
agrégée des Lettres au lycée Molière. La questi
e de Psychologie, sons la présidence de M. Ferdinand Buisson, député,
professeur
honoraire a la Sorbonne. ?. Nécessité de l'éd
e). BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Les Névroses par le Dr Pierre Jaxet.
professeur
de Psychologie au Collège de France. Cet ouvrag
lieu, le samedi 20 mars, au Grand Hôtel, sous la présidence de M. le
professeur
F. Raymond, professeur à la Faculté, membre de l'
s, au Grand Hôtel, sous la présidence de M. le professeur F. Raymond,
professeur
à la Faculté, membre de l'Académie de médecine, e
re des députés. Au centre de la table d'honneur se trouvaient M. le
professeur
Raymond, président, M. le Dr Jules Voisin et Mada
; M. Mesureur, directeur de l'Assistance publique ; M. le Dr Achabd,
professeur
agrégé, médecin de l'hôpital Necker : M. Dabat, d
seau ; M. le Dr Klippel, médecin de l'hôpital Tenon ; M. le Dr Dupré,
professeur
agrégé, médecin des hôpitaux; M. le Dr Laignel-La
; M. Enjolras. directeur de la Salpetrière ; M. le Dr Paul Magxin,
professeur
à l'Ecole de psychologie, vice-président de la So
llejuif, directeur dos Archives de neurologie ; M. le Dr Bérillos",
professeur
à l'Ecole de psychologie, médecin inspecteur des
clinique de la faculté ; Madame Roger Voisin : M. le Dr Paul Parez,
professeur
à l'Ecole de psychologie, secrétaire général ad
de l'Etablissement hydrothérapique du Vésinet ; M. DagxaX-Bocveret,
professeur
agrégé de l'Université ; M. Gutlhermet, avocat'à
professeur agrégé de l'Université ; M. Gutlhermet, avocat'à la Cour,
professeur
à l'Ecole de psychologie; M. le Dr Derecq, médeci
axx, chef de service d'électrothérapie de Lariboisier ; M. Léplnay.
professeur
a l'Ecole de psychologie ; Madame Lépixay;
ult de Vkyey ; M. le Dr Barthe de Sandfort ; M. le Dr Bellemanière,
professeur
à l'Ecole de psychologie ; M. le Dr Bernard-Leroy
ne ; M. le Dr Botjcard ; M. le Dr Bougon ; M. le Dr Félix Begnault,
professeur
à l'Ecole de psychologie, directeur de l'Avenir m
l'Ecole de psychologie, directeur de l'Avenir médical; M. Caustier,
professeur
à l'Ecole de psychologie ; M. Combes, secrétair
général de l'Alliance scientifique universelle ; M. le Dr Demonchy.
professeur
à. l'Ecole de psychologie ; M. le Dr Féridoun-B
Joire, de Lille ; M. le Dr de la Fouchardiere ; M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire à l'Université de Montpellier, vice-p
directeur de la Maison médico-chirurgicale d'Au- teuil ; M, Gosset,
professeur
; M. Gory, pharmacien ; M. le Lr Guimbeau. de P
Dr Levrey ; il. le Dr Raoul Labbê ; Mademoiselle Lucie Bèrillon,
professeur
au lycée Molière : M. le Dr Lemesle, directeur de
e ; M. le Dr Barbier; Madame Barbier ; Mademoiselle Alice Bérillon,
professeur
au lycée Racine ; M. le Dr Rivière, rédacteur e
harleroi ; M. Louis Prost, de Santiago du Chili ; Madame Carle,
professeur
; M. Costixsotjza ; M. Ch. Jclliot, docteur e
cine ; M. le Dr Besxier, membre de l'Académie de médecine ; M. le
professeur
Hcttsel, membre de l'Académie de médecine ; M.
du Mans ; M. Ed. Germiqcet, de Remonts (Suisse) ; M. Louis Fayre.
professeur
à l'Ecole de Psychologie ; Madame Tarrtcs, de P
Dr Damoglotj, du Caire ; M. le Dr "Wiazemsky, de Saratcw : M. le
professeur
Gréhaxt, membre de l'Académie de médecine ; Madam
R, membre correspondant de l'académie de médecine : M. le Dr Roger,
professeur
à la Faculté de médecine : M. le Dr Le Cors ;
trouvaient dans l'impossibilité d'y assister. En particulier M. le
professeur
Gilbert Ballet lui écrivait : Mon cher ami, Je
dre part. Bien affectueusement à vous. Rittj. De son côté M. le
professeur
Baymond, recevait la lettre suivante de M. de Sai
sous ta présidence. Saist-Yves Mexard. Au dernier moment M. le
professeur
Hutinel, professeur à la faculté, membre de l'Aca
Saist-Yves Mexard. Au dernier moment M. le professeur Hutinel,
professeur
à la faculté, membre de l'Académie de médecine, a
a votre amabilité en m'excusant tout particulièrement auprès de M. le
professeur
Baymond. Agréez mon cher confrère, l'assurance
es s'excusaient de ne j ouvoir assister au banquet, ce sont : M. le
professeur
Laxdouzy, doyen de la faculté de médecine ; M. Co
rties. vice-président du Sénat ; M. le Dp Pedebidoc. sénateur ; M. le
professeur
Beacyisage, sénateur ; M. le professeur Cazenecve
p Pedebidoc. sénateur ; M. le professeur Beacyisage, sénateur ; M. le
professeur
Cazenecve. sénateur ; M. le Dr Huchard, membre de
sénateur ; M. le Dr Huchard, membre de l'Académie de médecine ; M. le
professeur
jr. Blanchard, membre de l'Académie de médecine;
rèves-sur-Moselle, etc., etc. Discours de M. le Dr Paul Magnin.
Professeur
? l'Ecole de psychologie, Vice-président de la So
e avec lui. J'ai à vous présenter également d'autres excuses, M. le
professeur
Gréhant et Madame Gréhant, absents do Paris, ont
u a s'associer au •souvenir que nous offrons h M. Jules Voisin. M. le
professeur
Roger, nous a également envoyé sa souscription au
à nous. J'ai anssi la mission de présenter les excuses de il. le
professeur
Petit, d'Alfort, de M. Chenier, ancien président
es fonctions de président. Il faudrait en résumé ne connaître ni le
professeur
érudit, ni le clinicien subtil, ni le maître sûr
utés, qui a accepté la présidence d'honneur de cette fète,et de M. le
professeur
Baymond qui la préside effectivement, et les reme
duction du toast du D( Bougon. Salut, aux excellente et très éminents
professeurs
Raymond et Bérillou! Buvons à la santé de notre h
active chez les animaux et chez l'homme (1) par M. le D' Bebillos;,
professeur
à l'Ecole de psychologie. (Suite) V. LE ROLE
stérique avec personnalité sub consciente par il. le D' Paul Farez,
Professeur
a l'Ecole de Psychologie Je désire vous exposer
'olfaction chez les animaux uar M. L, Lriusaï, médecin vétérinaire,
professeur
k l'Ecole de Psychologie. Les circonstances ne
n des suggestions hypnotiques par M. IiÈriSAV, médecin-vétérinaire,
professeur
a l'Ecole de psychologie. Dans une précédente s
ue de cette méthode. L'homosexualité en Chine par M. Scié-Tos-Fa.
professeur
k l'Ecole de psychologie. L'homosexualité n'est
ANTS NORMAUX L'éducation attrayante par Mlle Lucie Bérili.os. f
professeur
agrégée des Lettres «u Lycée Molière- {Suite)
ration. Bien que la personnalité du maître joue le rôle principal, le
professeur
et l'élève s'instruisent réciproquement. « Enseig
fait qné le phonographe le plus perfectionné ne remplacera jamais un
professeur
, même médiocre. Les élèves sont divers : les un
end du train, les élèves se séparent et marchent au pas ordinaire. Le
professeur
fait appel à leur imagination par le récit du voy
n, Secrétaire général de la Société d'hypnologie et àe psychologie,
professeur
*. l'Ecole de psychologie. Messieurs, mes chers
Vous me permettrez également de saisir l'occasion de remercier M. le
professeur
Raymond des nombreux témoignages de bienveillance
milieu médical qu'on saurait s'en étonner, puisque les plus éminents
professeurs
de la Faculté n'ont pas encore réussi, jusqu'à ce
neur. (Applaadissenients prolongés). Discours de M. le D: Raymond
Professeur
a la faculté de médecine, membre de l'Académie de
re cœur. Merci ensuite à vous Paul Magnin, Farez. Lepinay, Grollet,
professeurs
à l'Ecole de phsychologie ou fondateurs de la Soc
natomo-physiologique de l'hypnotisme par M. le docteur Bèiiillok,
professeur
a l'Ecole de psychologie. L'existence dans l'en
s plu» remarquables sur le sommeil dan* lee tumeurs cérébrales. M. te
professeur
Raymond a exposé plusieurs faits qui tendraient k
ncules et le plancher du troisième ventricule. Les cuseignements du
professeur
Raymond auront certainement pour effet d'appeler
hystérique avec personnalité subconsciente par M. le Dr Paul Faxkz.
Professeur
a l'Ecole de Psychologie (Suite et fin (1) Sa
ce ; l'état infectueux avait causé un de ces délires oniriques que le
Professeur
Régis (de Bordeaux) a si bien décrits ; une hallu
Verlftjr t?p Ferdinand hlake, Stnttgert, 1909. Dès l'année 1892 le
professeur
Aug. Foiiei. fonda le Zeitschrift fcb Hypnotism u
re d'hypnotisme était à ce temps toi dans le pays d'outre-Bhiu que le
professeur
Forel. dans son premier article, servant d'introd
notique en 1887 dans une réunion du cercle médical de BerUn contre le
professeur
Ewald. et par la publication de son livre magistr
S ENFANTS NORMAUX L'éducation attrayante par Mlle Lucie Bêkillox.
professeur
agrégée des Lettres au Lycée Molière- [Fin) L
es Femmes Savantes, et autres pièces du programme, sur le conseil des
professeurs
. L'enseignement du français ne se sépare guère
ssante et instructive. (1) La classe de français, pur M. J. Bezard,
professeur
au lycée Hoche. Vnibert et Xotix. La morale n
ne métaphore douterait-il que l'empereur ne fût réellement tombé? Lee
professeurs
oublient quelquefois qu'il faut tout expliquer ».
(2) J'emprunte cet exemple ? nn ouvrage en préparation de M. Mady,
professeur
d'anglais au Lycée Janson de Sailly, qui veut ave
biles très ingénieux. En second lieu, il est à souhaiter que chaque
professeur
crée son outillage, réunisse ses documents, et co
is ennuyeuse. Une leçon concrète peut être dépourvue d'attrait, si le
professeur
n'y apporte pas la vie. On pourrait rééditer
de M. le D' Jules Voisin, président de la Société : $> Eloge du
professeur
Liégeois, de Nancy, par M. le D* Bèrillon et SI.
Vend. 23e ANNÉE. — ?• 12. Juin 1909. BULLETIN L'élection du
professeur
Brissaud à l'académie de médecine. Le Congres de
de médecine. Le Congres de climutologie d'Alger sons 1« présidence du
professeur
Albert Robin. Le professeur Brissaud qui vient
mutologie d'Alger sons 1« présidence du professeur Albert Robin. Le
professeur
Brissaud qui vient d'être élu membre de l'académi
arateur au laboratoire d'anatomle pathologique de la Faculté. M. le
professeur
Brissaud. Le bagage scientifique du professeur
la Faculté. M. le professeur Brissaud. Le bagage scientifique du
professeur
Brissaud est des plus considérables. La plupart p
ainsi qu'une remarquable étude philosophique sur Dordeu. L'œuvre du
professeur
Brissaud démontre que s'il est un clinicien de ha
ité scientifique, h la courtoisie et an grand libéralisme d'esprit du
professeur
Albert Robin, président'du bureau permanent du co
apeutique naturelle. C'est ce qu'a admirablement fait ressortir M. le
professeur
Albert Robin dans nne conférence générale sur les
sateurs du congres se sont montrés ft la hauteur de leur tâche. M. le
professeur
Ardln-DutheU, président effectif, et il. le D' Ri
ptions de M. Verne, préfet, do 3L Savi-gnon, maire d'Alger, do 31. le
professeur
Ardln-DutheU et de 31. le professeur Albert Robin
i-gnon, maire d'Alger, do 31. le professeur Ardln-DutheU et de 31. le
professeur
Albert Robin, ont été empreintes d'une cordialité
n (1). par le Dr Bèrillox, Médecin-inspecteur des asiles d'aliénés,
Professeur
ft l'Ecole de psychologie. On désigne actuellem
sprits. Cette action intermentale, comme la désignait si justement le
professeur
Tarde, est l'aboutissant fondamental de toute int
ce qu'il faut savoir pour être utile au malade. Issu des concours, le
professeur
se préoccupe avant tout de perpétuer la tradition
s enfants traités par la suggestion hypnotique (1). Par le Dr Régis
Professeur
adjoint de Clinique des maladies meutules a In Fa
tique religieuse (La), p. 319. Brissaud (L'élection à l'Académie du
professeur
), p. 353. Caractères distinctifs des races supé
, p. 2. Contagion de la crédulité (La), p. 62. Courage civique du
professeur
Liégeois, p. 125. Crampe des écrivains (La), pa
8. CUlte du Vandoux (Le), p. 187. Dauriac (La décoration de M. le
professeur
Lionel), p. 33, 193. Décorations des Drs Jules
gestion chez les tuberculeux, p. 59. Giard (Hommage à la mémoire du
professeur
;, p. 65. Gréhant (Le jubilé du professeur), p.
(Hommage à la mémoire du professeur;, p. 65. Gréhant (Le jubilé du
professeur
), p. 193. Grossesse imaginaire, par Wia-zemsky,
gie morbide du temps de), par Lamoureux, p. 79, 106. Hamy (Eloge du
professeur
), p. 179. Herbes de la St-Jean. p. 255. Homos
aumonier, p. 41. Jean de Cronstadt (Le père), p. 215. Joffroy (Le
professeur
Alix). Latah (Le), par Witry, p. 173. Liégeoi
esseur Alix). Latah (Le), par Witry, p. 173. Liégeois (La mort du
professeur
), p. 65, 97. Liégeois (Eloge du professeur), pa
. Liégeois (La mort du professeur), p. 65, 97. Liégeois (Eloge du
professeur
), par Bonjour, p. 143. Liégeois (Eloge de) à la
08, 251, 288, 339. Wuillomenet, p. 300. TABLE DES FIGURES 1. Le
professeur
Liégeois, p. 97. 2. Le dieu Yichnou, enfant suç
, p. 97. 2. Le dieu Yichnou, enfant suçant son gros orteil. 3. Le
professeur
Brissaud, p. 253.
ranger et de province y ont été par-ticulièrement fêtés. *** Le
professeur
Raymond n'est pas seulement à la Salpétrière le c
nsi que chez les enfants impulsifs ou mal élevés. II appartenait au
professeur
de la clinique des maladies nerveuses de la Facul
uvelle de la mort de notre éminent collègue le peintre Félix Régamey,
professeur
à l'Ecole de psychologie. La société décide d'adr
bres de notre société. Epilepsie ou hystérie par M. le Dr Pamart,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. (Présentation du malade
lon, secrétaire général, donne lecture des lettres d'excuses de M. le
professeur
Giard, membre de l'Institut, de M. le professeur
s d'excuses de M. le professeur Giard, membre de l'Institut, de M. le
professeur
Albert Robin, de M. le Dr Huchard, membre de l'Ac
, sénateur, du Dr Gerente, sénateur, du Dr d'Orlitzky (de Moscou), du
professeur
Spehl (de Bruxelles) ; du Dr Jaguaribe (de Sao-Pa
llon, M. le Dr Paul Magnin. M. le Dr Mabille, M. le Dr Hurtrel, M. le
professeur
Ubeyd Oullah et M. le Dr Wi-try, pour la représen
'hui. Le merveilleux préscientifique, par M. le docteur J. Grasset,
professeur
de clinique médicale à l'Université de Montpellie
alpétrière- Autour du président avaient pris place : M. le Dr Méry,
professeur
agrégé à la Faculté de médecine ; M. le professeu
e : M. le Dr Méry, professeur agrégé à la Faculté de médecine ; M. le
professeur
Lionel Dauriac, vice-président de la Société ; M.
Rodriguez (de Buenos-Ayres) ; M. le Dr Spourgitis (d'Athènes) : M. le
professeur
Ubeyd-Oullah (de Constantinople) ; M. le DrPaul F
thologie comparée ; M. Lepinay, médecin vétérinaire : M. Louis Favre,
professeur
; M. Blech, docteur en droit ; M. Combes, secréta
t, M. le Dr Boucart, M. le Dr Montambert, M. le Dr Rabant, M. Gallia,
professeur
. Au dessert, M. le Dr Bérillon, secrétaire géné
Magnin lève son verre en l'honneur du président de la Société. M. le
professeur
Lionel-Dauriac ; M. le professeur Mery ; M. le Dr
r du président de la Société. M. le professeur Lionel-Dauriac ; M. le
professeur
Mery ; M. le Dr Bahaddin Chakir Bey (de Constanti
idence de M. le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Ils seront répartis de
Le matin : séance d'ouverture du congrès, sous la présidence de M. le
professeur
Henrot. Dans l'après-midi, à 1 h. 1/2 : réunion
ay, maître de conférences à l'Université de Lyon, et Moreau-Bérillon,
professeur
spécial d'agriculture à Reims. Dans l'après-midi,
e des programmes de l'enseignement primaire, par M. le Dr Beauvisage,
professeur
à l'Université de Lyon. — Organisation de l'ensei
mises à l'ordre du jour auxquelles elles se rattachent.) Dr Spehl,
professeur
à l'Université de Bruxelles : La nécessité de la
maux dans l'antiquité (étude et iconographie). Mlle Lucie Bérillon,
professeur
au lycée Molière : L'émulation scolaire : élude c
à Angers : Procédés d'enseignement contre le surmenage scolaire.
Professeur
UBEVD ODLLAH (de Constantinople) : L'Islam et la
res des divers ordres d'enseignement. Elle leur permet ainsi qu'aux
professeurs
des écoles spéciales, professionnelles ou techn
es à Angers : Procédés d'enseignement contre le surmenage scolaire.
Professeur
Ubevd Odllah (de Constantinople) : L'Islam et la
mbres des divers ordres d'enseignement. Elle leur permet ainsi qu'aux
professeurs
des écoles spéciales, professionnelles ou techniq
eurs de cette Revue. J'avais eu le plaisir de le rencontrer chez le
professeur
Forel, à Zurich, et nous n'avions pas tardé à rec
ntre autres. Mais l'université de Kœnigsberg compta aussi deux de ses
professeurs
parmi les assidus de ces réunions funambulesques
rofesseurs parmi les assidus de ces réunions funambulesques ; les
professeurs
Olshausen et Sachs, l'un théologien, l'autre méde
ature qu'on embrasse ». Suivaient alors par rangs hiérarchi-ques, les
professeurs
, d'autres comtes et princes, des officiers, des m
sèrent des monômes et conspuèrent le pasteur Ebel, ainsi que les deux
professeurs
de l'Université. Vinrent ensuite le consistoire d
, c'était une femme d'intelligence, de caractère, comme le raconte le
professeur
de médecine Sachs dans son traité de réhabilitati
ÉRENCES Tympanisme hystérique et grossesse nerveuse (l) par M. le
professeur
Raymond. Voici une femme de quarante-trois ans,
chologiques sur le dressage des animaux rétifs, par le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie. En 1882, l'empereur M
y (11), Perangsang (12), etc. (13) Les gens y croient et il y a des
professeurs
et des écoles pour renseignement de toutes ces ch
kapandeyan) que du dictionnaire de notre vénéré et savant maître, le
professeur
Tugault, et du livre de M. Wilkinson. — Les perso
allier un grand sens psychologique à sa spécialité chirurgicale. Le
Professeur
Mourly Vold (de Christiania) La Revue de l'Hypn
(de Christiania) La Revue de l'Hypnotisme vient de perdre, en M. le
professeur
Mourly Vold, de Christiania, un de ses amis les p
au de cette Section fut ainsi composé : Président, M. le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de Psychologie ; vice-présidents : Mlle
eunes filles ; M. Rogie, inspecteur primaire à Reims ; M. Barbelonet,
professeur
au Lycée de Tourcoing ; M. Moreau-Bérillon, profe
M. Barbelonet, professeur au Lycée de Tourcoing ; M. Moreau-Bérillon,
professeur
spécial d'apiculture ; M. Letort, délégué au Mini
ion publique ; M. Desma-retz, censeur au Lycée de Charleville ; M. le
professeur
Ubeyd Oullah, de Constantinople ; M. Aureggio, vé
antinople ; M. Aureggio, vétérinaire principal ; Mlle Lucie Bérillon,
professeur
au Lycée Molière ; M. le Dr Félix Regnault, profe
ucie Bérillon, professeur au Lycée Molière ; M. le Dr Félix Regnault,
professeur
à l'Ecole de Psychologie ; M. le Dr Lbreddb, dire
es ; M. Beauvais, directeur de l'Ecole professionnelle ; M. Guichard,
professeur
à l'Ecole professionnelle ; Mlle Mulot, directric
eunes Aveugles d'Angers ; M. Gascard, de Rouen ; Mlle Alice Bérillon,
professeur
au Lycée -Racine ; M. Rémy, directeur d'Ecole ; M
uillet, inspecteur de l'Enseignement technique ; M. le Dr Beauvisage,
professeur
à l'Université de Lyon ; M. Quinqué, directeur de
ent médico-pédagogique de Créteil ; Mlles Bertheret.Straub et Girard,
professeurs
à l'Ecole normale de Bar-le-Duc ; M. Ladureau, in
ommerciale ; Fauré-Hérouard, Conseiller d'arrondissement ; M. Chodez,
professeur
à l'Ecole professionnelle ; Mme Moreau-Bérillon,
. Chodez, professeur à l'Ecole professionnelle ; Mme Moreau-Bérillon,
professeur
au lycée de Reims ; Mlle Matton, professeur au ly
le ; Mme Moreau-Bérillon, professeur au lycée de Reims ; Mlle Matton,
professeur
au lycée de Lille ; Mme Bouquet, directrice de l'
M. Gouverné,instituteur ; M. P. Charpentier, instituteur ; M. Milly,
professeur
au Lycée de Reims ; M. Berlaud, instituteur ; M.
; Mlle Talide, institutrice ; M. Steinmetz, instituteur ; Mme Chodez,
professeur
à l'Ecole professionnelle ; M.Julien Ray, maître
ien Ray, maître de conférences à l'Université de Lyon : M. Dbsnoyers,
professeur
d'écriture ; Mlle Moría, professeur de dessin au
niversité de Lyon : M. Dbsnoyers, professeur d'écriture ; Mlle Moría,
professeur
de dessin au lycée Molière ; M. le D' Godon, dire
e par la municipalité et le comité local, le banquet offert par M. le
professeur
Henrot, la soirée organisée par M. le Dr Lardenno
ns, parmi eux, M. le Dr Beauvisage, premier adjoint au maire de Lyon,
professeur
à la Faculté de Médecine ; M. le Pr Ubeyd-Oullah,
Ubeyd-Oullah, de Constantinople ; Mme Higgins, de New-York ; M. Ray,
professeur
à la Faculté des Sciences de Lyon ; Mlle Géhin, d
de l'Ecole normale de Bar-le-Due, et Mlles Straub, Girard, Berthoret,
professeurs
de cette école ; Mlle Lucie Bérillon, professeur
, Girard, Berthoret,professeurs de cette école ; Mlle Lucie Bérillon,
professeur
au lycée Molière, Mlle Alice Bérillon, professeur
lle Lucie Bérillon, professeur au lycée Molière, Mlle Alice Bérillon,
professeur
au lycée Racine ; M. Fau-ré-Hérouard,conseiller d
uillet, inspecteur de l'enseignement technique ; M. Moreau-Béril-lon,
professeur
spécial d'agriculture de Reims, et Mme Moreau-bér
on, professeur spécial d'agriculture de Reims, et Mme Moreau-bérillon
professeur
au lycée de jeunes filles de Reims ; MM. Guichard
ofesseur au lycée de jeunes filles de Reims ; MM. Guichard et Chodez,
professeurs
à l'Ecole professionnelle ; Mlle Maheu, directric
uent à apporter leur concours à la cause de l'enseignement, comme les
professeurs
y consacrent leur expérience et leur dévouement,
du Congrès et demande trois hourras en son honneur. M. Julien Ray,
professeur
à la Faculté des Sciences de Lyon, convie les mem
ssionnel. M. le Dr Bérillon boit à la presse, et Mme Moreau-Bérillon,
professeur
au lycée de Reims, clôt spirituellement la série
e Dr Voisin. Un sommeil de trente ans (?), par M. le Dr Paul Farez,
professeur
à l'Ecole do psychologie. Il y a quelques mois,
ait jamais rapportés. Epilepsie ou hystérie, par M. le Dr Pamart,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Par suite d'un accide
maître sait la développer et ces instables qui font le désespoir des
professeurs
et dont le plus grand tort est de ne pas subir la
l'établissement de Créteil qu'il dirige avec M. Quinqué, le distingué
professeur
, ancien éducateur des sourds-muets. On est sédu
me dans le traitement de la grande attaque d'hystérie (1) par M. le
professeur
Raymond La grande attaque d'hystérie ne présent
e toute mesure. Dans un toast, un orateur (je crois bien que c'est le
professeur
Joffroy) a proclamé qu'à l'avenir, pour parler d'
hampêtres nous furent très gracieusement offerts par le président, le
professeur
Prévost, et par le secrétaire général, le Dr Long
, je citerai, en première ligne, le très remarquable travail de M. le
professeur
Régis (de Bordeaux) sur la* Phase de prèsénilité
curieuses sur le sommeil électrique qu'elle a étudié à Nantes chez le
professeur
Stéphane Leduc. Elle a montré aussi comment on po
laquelle prirent part MM. Ballet, Vallon, Pailhas, Deny, Dupré, — le
professeur
Régis a vigoureusement combattu les théories de K
t à un point de vue surtout philosophique et social, l'autre de M. le
professeur
agrégé Claude, celui-ci, à dessein, presque purem
apitres les plus intéressants, celui des troubles trophiques. M. le
professeur
Raymond, à qui est échu l'honneur de présider cet
Expertise mèdiço-légale et de td question de responsabilité. il. le
professeur
Gilbert Ballet a exposé, puis défendu ses opinion
e très nette, très courageuse et très éloquente protestation de M. le
professeur
Grasset (de Montpellier), vous n'avez pas manqué
y a déjà plusieurs semaines, dans les périodiques médicaux. Puis, le
professeur
Régis (de Bordeaux), le professeur Francotte (de
les périodiques médicaux. Puis, le professeur Régis (de Bordeaux), le
professeur
Francotte (de Liège), le Dr Vallon, d'autres enco
etteté, devant cette mise en demeure de se prononcer sur-le-champ. Le
professeur
Prévost (de Genève), président, parait se rendre
endre quelques dernières communica-tiens. Le directeur de l'Asile, le
professeur
Mahaim, fait défiler devant nous de très intéress
arriérés dans l'iconographie antique, par M. le Dr Félix Regnault,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Que devenaient chez l
'abord aux lecteurs quelques kliols profonds. Voici un type dont le
professeur
Fournier ferait probablement un syphilitique. Con
enait hystérique, l'hystérie pourrait être curable. Or, à ce mot du
professeur
Pitres (de Bordeaux) « on naît hystérique », j'aj
nvaincu d'avoir volé ses parents pour satisfaire à la rapacité de son
professeur
d'ivrognerie. .....On signale chez nos campag
rédigé en bonne et due forme, Mme de M...., chargeait le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie, de l'examen anatomique
ifféremment, s'il adhère à la thèse si éloquemment soutenue par M. le
professeur
Bard (de Genève). Cette thèse vaut qu'on la discu
et l'entière responsabilité de l'autre. Comme le dit excellemment le
professeur
Régis, » entre les deux existe une vaste province
estion de mot », a dit avec autant d'exactitude que d'à-propos if. le
professeur
Joffroy. C'est bien le cas, je pense, de rappeler
ollicité de trouver le synonyme désiré, M. Ballet s'abstient. M. le
professeur
Francotte (de Liège) suggère qu'on dise » punissa
d'un procès récent, interrogé sur la valeur de ses conclusions, M. le
professeur
agrégé Dupré aurait répondu : « Elles ont la vale
arriérés dans l'iconographie antique, par M. le Dr Félix Regnault,
professeur
à l'Ecole de psychologie. (suite) Revenons à la
Les anormaux psychiques des écoles, par M. le docteur E. Régis, .
Professeur
adjoint à l'Université de Bordeaux, chargé du cou
elles, quatre médecins sont attachés à ces classes : le Dr J. Demoor,
professeur
à l'Université, avec le titre de médecin-inspecte
x. A Rome, ces classes ont une direction pédagogique, relevant d'un
professeur
, et une direction psychiatrique confiée au Dr de
e et la responsabilité- Inscrits : Drs Voisin, Paul Magnin, Bérillon,
Professeur
Lionel Dauriac, Dr Félix Regnault, Dr J. Bertillo
ur l'année 1908 : Hypnotisme thérapeutique...... m. le Dr Bérillon,
professeur
. Hypnotisme expérimental...... M. le Dr Paul Ma
on, professeur. Hypnotisme expérimental...... M. le Dr Paul Magniz,
professeur
. Hypnotisme sociologique...... M. le D Félix Re
, professeur. Hypnotisme sociologique...... M. le D Félix Regnault,
professeur
. Psychologie pathologique...... M. le Dr Paul F
lt, professeur. Psychologie pathologique...... M. le Dr Paul Farez,
professeur
. Psychologie des dégénérés...... M. le Dr Blvet
professeur. Psychologie des dégénérés...... M. le Dr Blvet-Saxglé,
professeur
. Science de l'éducation....... M. Caustier, agr
seur. Science de l'éducation....... M. Caustier, agrégé de l'Onion,
professeur
. Anatomie et Psychologie comparées. M. Grollet,
r. Anatomie et Psychologie comparées. M. Grollet, médecin-vétérln.,
professeur
. Psychologie des animaux ...... M. Lèpinay, méd
sseur. Psychologie des animaux ...... M. Lèpinay, médecin-vétérin.,
professeur
. Psychologie générale........ M. Lionel Dauriac
térin., professeur. Psychologie générale........ M. Lionel Dauriac,
professeur
. Psychologie musicale......... M. le Dr R. Pama
riac, professeur. Psychologie musicale......... M. le Dr R. Pamart,
professeur
. Psychologie des peuples...... M. le Dr R. Brod
amart, professeur. Psychologie des peuples...... M. le Dr R. Broda,
professeur
. Psychologie et moral sexuelles ... M. le Dr Ma
da, professeur. Psychologie et moral sexuelles ... M. le Dr Mayoux,
professeur
. Psychothérapie(cours annexe de Lille) M. le D*
i 9 janvier, à cinq heures, sous la présidence de M. le D.r Brissaud,
professeur
à la Faculté de médecine, médecin de l'Hotel-Dieu
ne, médecin de l'Hotel-Dieu. La leçon d'ouverture sera faite par le
professeur
Ubeyd Oullah, de Constantinople : elle sera comme
timement prétendre ? Telle est la question qui sera soulevée parM. le
professeur
UbeydOullah qui, en Turquie, a occupé de hautes f
gnault, Paul Farcz, Binet-Sanglé, Mayoux, R. Pamart, Broda et MM. les
professeurs
Lionel Dauriac et Caustier ; MM. Lépinay et Groll
de la Salpêtrière. Dans d'éloquents discours, le Dr Jean Charcot, le
professeur
Raymond et M. Mesureur ont évoqué le souvenir du
e sur le caractère, sur le moral, sur la race par M. le Dr E. Spehl
professeur
à l'Université de Bruxelles En parcourant les h
tionnel du corps. Ce qui aggrave encore la situation, c'est que les
professeurs
imposent à leurs élèves tant de travaux à domicil
arriérés dans l'iconographie antique, par M. le Dr Félix Regnault,
professeur
à l'Ecole de psychologie. W Dans l'art égyptien
pédagogiques qui leur sont applicables, par M. le docteur Bbrjllon,
professeur
à l'Ecole de psychologie, médecin-inspecteur des
é adressés à la Société : Nécessité de (a culture physique, par M. le
professeur
Spehl (de Bruxel- les) j de l'Elude des tradi
vaux du congrès et, en particulier, sur le vœu qu'y a fait voter M le
professeur
Gilbert Ballet, au sujet de l'Expertise médico-lé
dans l'hystérie ; brûlures suggérées, par M. le Docteur Paul Farez,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. Ce que j'ai à vous di
es produites par auto-suggestion, par M. le Docteur Félix Regnault,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Les larmes coulent ab
abilité. Inscrits : Dr Legrain, Dr Rafïegeau, Dr Voisin, Dr Bérillon,
Professeur
Lionel Dauriac. Dr Paul Farez : Mort par émot
Jeudi 9 Janvier, à 5 heures, sous la présidence de M. le Dr Brissaod,
professeur
à la Faculté de Médecine médecin de l'Hôtel-Dieu.
1° Dr Paul Farez : Le programme de l'Ecole de Psychologie ; 2° M. le
professeur
Udey d'Oullah, de Constantinople ;Le désaccord en
psychologie collective et l'hypnotisme social. 4° Allocution de M. le
professeur
Brissacd. ÉCOLE DE PSYCHOLOGIE 49, rue Saint-
urs de 1908 (8« année) Hypnotisme thérapeutique. M. le Dr Bérillon,
professeur
. Objet du cours : 1B Psychothérapie générale :
jeudi g janvier. , Hypnotisme expérimental. M. le D' Paul Maom.v,
professeur
. Objet du cours : Les traitements de l'hystérie
eudi g janvier. Hypnotisme sociologique. M. le D' Félix Regkadlt,
professeur
. Ojet du cours : La genèse des miracles* Les
rale. M. Lionel Daoriac, prof. hon. de l'Université de Montpellier,
professeur
. Objet du cours : Le conscient et l'inconscient.
vendredi ¡0 janvier Psychologie pathologique. M. le D' Paul Farez,
professeur
. Objet du cours : La psychologie de l'alimentat
Pathologie mentale appliquée aux religions. M. le D* Bixet-Sakglé,
professeur
. Objet du cours : Jésus de Nazareth. (Suite du
ier. Science de l'éducation. M. Caustibr, agrégé de l'Université,
professeur
. Objet du cours : Rôle de la famille dans l'édu
rcredi *= « nvier. Psychologie musicale. M. le D ' René PAMART,
professeur
. Objet du cours : L'émotion musicale et ses man
edi 10 janvier. Psychologie et morale sexuelles. M. le Dr MAYOUX,
professeur
. Objet du cours : Les manifestations psychologi
partir du mardi 15 janvier. Psychologie sociale. M. le Dr BRODA,
professeur
. Objet du cours : Le génie des civilisations de
janvier. Pychologie des animaux. M. LÉPINAY, médecin vétérinaire,
professeur
. Objet du cours : L'Observation psychologique d
Anatomie et psychologie comparées. M. GROLLET, médecin-vétérinaire,
professeur
. Objet du cours : Le cerveau, organe de la pens
RIBE(Saô-Paulo,Brésil). D' Orlitzky (Moscou), D' Damoqlou (Le Caire).
Professeur
honoraire : Dr Wateau. II Dispensaire pédagogiq
a lieu le jeudi 9 janvier, à cinq heures, sous la présidence de M. le
professeur
Brissaud, professeur à la Faculté de médecine, mé
vier, à cinq heures, sous la présidence de M. le professeur Brissaud,
professeur
à la Faculté de médecine, médecin de l'Hôtel-Dieu
1° D' Paul Farez : le programme de l'Ecole de psychologie ; 2° M. le
professeur
Ubbyd Oollah, de Constantinople : Le désaccord en
psychologie collective et l'hypnotisme social. 4° Allocution de M. le
professeur
Brissaco. La présidence de M. le professeur Bri
4° Allocution de M. le professeur Brissaco. La présidence de M. le
professeur
Brissaud donne à cette réunion un intérêt scienti
ation philosophique de son esprit, par son éloquence professorale, le
professeur
Brissaud s'est concilié d'unanimes sympathies. L'
lieu le lundi 13 janvier, à cinq heures, sous la présidence de M. le
professeur
Giard, membre de l'Académie des sciences. Dans un
considérable. Il intéresse non seulement les médecins, mais aussi les
professeurs
spéciaux qui se consacrent à l'éducation des enfa
été de pathologie comparée a eu, cette année, un très grand éclat. Le
professeur
Arloing, de Lyon, et le professeur Chauveau, prés
tte année, un très grand éclat. Le professeur Arloing, de Lyon, et le
professeur
Chauveau, président de l'Académie des sciences, a
omiques relatives à des nains et à des géants, du Df Fiessinger et du
professeur
Arloing, la réunion s'est terminée par un banquet
l'Agriculture. Enfin, le D' Bérillon, évoquant la puissante ligure du
professeur
Henri Bouley a rappelé les efforts constants de c
communs, l'idée d'Henri Bouley est en partie réalisée. Le concours du
professeur
Arloing, venu de Lyon pour présider la séance ann
tère, sur le moral, sur la race (Suite) par M. le I >¦" E. Spehl
professeur
à l'Université de Bruxelles Est-il nécessaire d
te complète : Outre Luther Marsh, 92 ans. D' A.' N. Bell, 83 ans.
Professeur
Virchow, de Berlin, 82 ans, etc. R. Odgen Dorem
nécrologique de la Revue des Revues contient les noms de la veuve du
professeur
Agassiz, à 85 ans ; Sir John Hall, cx-premier d
tes italiens, à 80 ans ; Hiram J. Ayres, inventeur, à 84 ans : Le
professeur
Ernst Hugo Fisher, de Heidelberg, 83 ans. Et en
'infanticide chez les animaux, par M. Lépinay, médecin-vétérinaire,
professeur
à l'Ecole de psychologie, Nous ne présentons pa
s La prétendue ressuscitée de Nuremberg. par M. le Dr Paul Fabez,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Il y a un peu plus d'
reux de nous associer à celte élogieuse appréciation de M. G. Lanson,
professeur
à la Sorbonne, à propos du livre de notre disting
t, docteur en droit, Dyvrande, procureur de la République, Dr Voisin,
Professeur
Lionel Dauriac. DM Huckard et Amblard : La mort
nq heures Lundi 13 janvier, à 5 heures, sousla présidence de 31. le
professeur
Giard, membre de l'Académie des Sciences. — Psych
l'hypnotisme chéz les animaux et chez l'homme, par M. le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie (avec projections). Lu
di 27 janvier, à 5 heures, sous la présidence de M. le Dr Paul FAREZ,
professeur
à l'Ecole de psychologie.— Les supercheries de l'
Lundi S février, à 5 heures, sous la présidence de M. Lionel Daoriac,
professeur
honoraire à l'Université de Montpellier. — La. ps
olaire dans la formation de la personnalité, par Mlle Lucie Bérillon,
professeur
au lycée Molière. Lundi 17 février, à 5 heures,
Molière. Lundi 17 février, à 5 heures, sous la présidence de M. le
professeur
B. Broda, directeur des « Documents du progrès ».
ions). Lundi 2 mars, à 5 heures, sous la présidence du Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie- — La psychologie du com
s cours de l'Ecole de psychologie, sous la présidence du D' Brissaud,
professeur
à la Faculté de Médecine. La huitième réouvertu
9 janvier, à cinq heures, [sous la présidence de M. le Dr Bris saud,
professeur
à la Faculté de Médecine, médecin à l'Hôtel-Dieu.
cine, médecin à l'Hôtel-Dieu. A ses côtés avaient pris place, M. le
professeur
Ubeyd Oullah, et MM. les Dr* Bérillon et Paul Far
M. le professeur Ubeyd Oullah, et MM. les Dr* Bérillon et Paul Farez,
professeurs
à l'Ecole de psychologie. Au premier rang de l'
, Félix Regnault, Binet-Sanglé, Mayoux, R. Pamart, M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire à l'université de Montpellier, M. Caus-
ac, professeur honoraire à l'université de Montpellier, M. Caus-tier,
professeur
au lycée Saint-Louis, M. Broda, directeurdes docu
mbreuse, était surtout composée de médecins français et étrangers, de
professeurs
de l'Université et de représentants de la colonie
de Varsovie ; Dr Wojeichof-ska, de Varsovie, Dr Bahaddin Chakir-Bey,
professeur
agrégé à la Faculté de Constantinople ; M. Soubhi
Pou Magraner, ingénieur à Barcelone, Df Milt Axalas ; M. Grangeorge,
professeur
au lycée Henri IV ; Mlle Hocdé, professeur au lyc
lt Axalas ; M. Grangeorge, professeur au lycée Henri IV ; Mlle Hocdé,
professeur
au lycée Féne-lon ; Mlle Lucie Bérillon, professe
IV ; Mlle Hocdé, professeur au lycée Féne-lon ; Mlle Lucie Bérillon,
professeur
au lycée Molière ; Mlles Suddart, Clot et A. Béri
on, professeur au lycée Molière ; Mlles Suddart, Clot et A. Bérillon,
professeurs
au lycée Racine, Mmes Laronde et Grunwald, pr
Bérillon, professeurs au lycée Racine, Mmes Laronde et Grunwald,
professeurs
au lycée Racine ; MM. Bouley, Ferrier, Gory. phar
ur en droit ; Barthélémy, avocat à la Cour ; Dr Weber ; Mlle Grison :
professeur
au collège Sévigné ; Dr Chabassu ; de l'Argentièr
l'Argentière, ingénieur ; commandant Thirion ; Gudmundur Finnbogason,
professeur
à Reykjavik (Islande) ; M. Vernier, chef du cabin
e de nos cours, nous avons eu des membres des diverses académies, des
professeurs
du Collège de France, de la Sorbonne, de la Facul
chaires les plus importantes à la Faculté de médecine de Paris, M. le
professeur
Brissaud a étudié avec une prédilection toute par
sa volonté. En cela, il se révèle, comme tout bon. psychothérapeute,
professeur
de volonté. Puisque nous avons la bonne fortune
seur de volonté. Puisque nous avons la bonne fortune de tenir M. le
professeur
Brissaud, nous lui demanderons de vouloir bien en
nos collègues, j'aurai exprimé notre vive gratitude, d'abord à M. le
professeur
Brissaud, puis au bon pilote qui évite à notre ba
ord entre la morale du Coran et la politique musulmane. par M. le
professeur
Ubeyd Oullaii (de Constantinople). Messieurs,
ère, sur le moral, sur la race [Suite et fin) par m. le Dr e. Spehl
professeur
à l'Université de Bruxelles Après la gymnastiqu
rale a été déterminée par Ling et dont les détails sont réglés par le
professeur
, suivant le degré d'entraînement des élèves. La
s'est jamais réalisé. Quelques semaines avant sa mort, le regretté
professeur
Curie avait été invité à assister à une ou deux d
re la morale du Coran et la politique musulmane. (Suite) tu par M. le
professeur
Ubeyd Oullah (de Constantinople). Monté sur le
gie. La, folie dans les dynasties orientales, par le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie, médecin-inspecteur des
aux par l'adoption, à une faible majorité, d'un vœu formulé par M. le
professeur
Gilbert Ballet et formulé dans lès termes suivant
question. S'il est un sujet sur lequel les médecins légistes et les
professeurs
de médecine légale ne manquent jamais d'exercer l
demi-responsables, tout au moins aux demi-coupables. Lorsque M. le
professeur
Gilbert Ballet demande qu'on débarrasse le langag
illon. Demonchy, Jourdan (de Marseille), Raffegeau (duVésinet), M. le
professeur
Lionel Dau-riac et M. Bliech. La discussion sera
hérapique de l'or sur une hémianesthésie, par M. le Dr René Pamart,
professeur
à l'Ecole de psychologie. {Présentation de malade
doter l'humanité d'une nouvelle maladie : la « sinistrese » ; que le
professeur
Brissaud a défini : « une affection psychique, ca
„La Société française d'études islamiques fondée à Paris, par M. le
professeur
Ubeyd-Oullah, de Constantinople, M. le Dr Bérillo
M. le professeur Ubeyd-Oullah, de Constantinople, M. le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie et M. Pirmin Verdier, av
mité. Plusieurs notabilités musulmanes avaient répondu à l'appel du
professeur
Ubeyd-Oullah et, en particulier, M. Aziz-Saabit b
Azouza, de Tunis ; étaient également présents : MM. les D" Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie, Firmin Verdier, avocat
l'Ecole de psychologie, Firmin Verdier, avocat ; M. le Dr Paul Farez,
professeur
à l'Ecole de psychologie ; Scié-Ton-Fà, mandarin
chinois ; M.le Drde Groer, de Saint-Pétersbourg ; M. le Dr R. Pamart,
professeur
à l'Ecole de psychologie ; M. le D'de la Fouchar-
Fouchar-dière ; M.J. de la Verdière, ingénieur ; Mlle Lucie Bérillon,
professeur
au Lycée Molière ; M. le Dr Demonchy, professeur
Mlle Lucie Bérillon, professeur au Lycée Molière ; M. le Dr Demonchy,
professeur
à l'Ecole de psychologie ; M. Rougier, ancien élè
ancien élève de l'Ecole des langues orientales ; Mlle Alice Bérillon,
professeur
au Lycée Racine ; M. Ginde, banquier, M. Collin,
lenlino, sous-directeur au ministère des Beaux-Arts ; M. Paul Magnin,
professeur
à l'Ecole de psychologie ; M. Rappelin, membre de
Dr Bahaddin-Chakir bey, de Constanti-nople ; M. le D'Félix Regnault.
professeur
à l'Ecole de psychologie ; M. Fuad Pacha, etc.
té directeur : Président : M. le Dr Bérillon ; vice-président : M. le
professeur
Ubeyd-Oullah ; secrétaire général : M. Firmin Ver
gnement des maladies mentales, lui ont offert une plaquette, œuvre du
professeur
Paul Richer, membre de l'Institut. Cette fête a
gnan et lui a donné l'accolade au milieu des applaudissements. , Le
professeur
Bouchard a retracé ensuite en quelques mots heure
rès lui, le docteur Motet, membre de l'Académie de Médecine, M. Gley,
professeur
au Collège de France, les docteurs Ritti, Briand,
e- ment de la névrose. Mais, comme l'a dit très justement M. le »
professeur
Raymond, « la grande hystérie n'est pas réduite,
ressante. Des idées précédentes, on peut rapprocher celles de M. le
professeur
Grasset. Pour cet auteur, je vous l'ai dit mainte
vre.) La folie dans les dynasties orientales, par le D' Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie, médecin-inspecteur des
s, chirurgien-dentiste de la Faculté de Paris, Gudmundur Finnbogason,
professeur
à Rey-Kjavik (Islande), D' Besson, médeein princi
symptôme ner-' veux et les troubles somatiques. C'est ainsi que le
professeur
Bekhterev, a eu, maintes fois, l'occasion de cons
escription de cette anomalie dans le Manuel de pathologie générale du
professeur
Podvyssotzky d'après lequel ce trouble serait lié
» (zaraath). par M. P. Podupolsky (de Saratoff). A la mémoire du
Professeur
G. P. Mûnch. L'influence des états psychiques s
ur des cheveux reste intacte jusqu'à la vieillesse extrême. Ainsi, le
professeur
Metchnikoff signale un cas de conservation partie
assure qui ont souvent pour cause des étals psycho-nerveux. Ainsi, le
professeur
Nicolsky, de Varsovie, décrivit en 1900, sous le
Cours de Psychologie appliquée a la pédagogie. — M. le Dr Bérillon,
professeur
, médecin-inspecteur des Asiles d'aliénés, commenc
ivre) La folie dans les dynasties orientales. par le Dr BÉRiLLON,
professeur
h l'Ecole de psychologie, médecin-inspecteur des
oi toutes ces questions sont résolues parles remarquables Ira-vaux du
professeur
Munch, qui consacra 17 ans de sa vie à l'étude
lèpre. L'analyse des termes du XIIIe chapitre du Lévitique amène le
professeur
Miinch aux conclusions suivantes : La « Pega »
chez les gens du peuple. dit, le vitiligo, endémique, d'après le
Professeur
Miinch, en Turkestan, inspire une crainte superst
raste. Cela se voit facilement sur les excellentes photographies du
Professeur
Miinch. Les régions de peau saine, brune, forteme
gion, mais une impureté spéciale, conventionnelle, superstitieuse. Le
Professeur
Münch l'explique comme une impureté spirituelle,
o ou la pièss, ou le zaraath. Telles sont les conclusions de feu le
Professeur
Münch. Pour celui-ci, il n'y a pas de doute que
rtance dans le traitement des idées fixes. Par M. le Dr Bérillon,
Professeur
à l'Ecole de psychologie. La psychothérapie gra
philosophie et accepta après son doctorat ès lettres, la position de
professeur
de Philologie à la Columbia University, donnant d
able pour permettre aux membres des divers ordres d'enseignement, aux
professeurs
des écoles spéciales, professionnelles ou techniq
çaise d'Études islamiques fondée à Paris le 21 mars dernier par M. le
professeur
Ubeyd-Oullah de Constantinople, le docteur Bérill
M. le professeur Ubeyd-Oullah de Constantinople, le docteur Bérillon,
professeur
à l'Ecole de Psychologie et Firmin Verdier, avoca
t actuelles qui touchent à l'Islam. Le zèle actif et éclairé de M. le
professeur
Ubeyd-Oullah ne tardera point à recueillir ainsi
er. La folie dans les dynasties orientales, par le 0' Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie. médecin-Inspecteur des
de l'Hypnotisme n' de mars 1908 et suivants. responsables (') le
professeur
Grasset vient de faire ressortir, avec beaucoup d
dividuelle, familiale et sociale de la demi-folie. Mais, si le savant
professeur
de Montpellier s'est étendu avec complaisance sur
l'application du dogme de l'hérédité les a placés sur le trône. M. le
professeur
Grasset ne paraît pas admettre qu'il y ait eu des
ernationale que se trouverait la solution de la question posée par le
professeur
Ubeyd Oullah à l'Ecole de psychologie. J'avais
de libre recherche psychologique, l'appui de sa haute autorité, M. le
professeur
Brissaud, s'est acquis des titres imprescriptible
• ¦ .Après la lecture faite par MM. Ubeyd Oullah et Bérillon, M. le
professeur
Brissaud, qui présidait la séance de réouverture
léments essentiels. 12. Allocution de M. le docteur Brissaud,
Professeur
à la Faculté de Médecine Le qualificatif de tyr
nspirée par les sujets qui viennent d'être traités, en félicitant les
professeurs
de l'Ecole de Psychologie de leur initiative dont
ntales de la production de l'hypnose. A propos du récent travail du
professeur
Brissaud sur la sinistrose et pour répondre à une
Aphonie hystérique et hémianesthésie « - par le Docteur René Pamart
professeur
à l'Ecole de psychologie. Le 21 janvier 1908, M
adies de l'Energie, par le Docteur Albert Deschamps. Préface de m. le
Professeur
Raymond. 1 vol. in-8°, .s fr. (Félix Alcan, direc
Instituto psycho-physiologicode Sâo-Paulo », le docteur D. Jaguaribe,
professeur
correspondant de l'Ecole de psychologie de Paris,
Alliance scientifique universelle (L'), p. 62. Allocution de M. le
professeur
Bris-saud à la réouverture des cours de l'Ecole d
e Dr Albert Robin, membre de l'Académie de Médecine, assisté de M. le
professeur
Beaunls, membre d'honneur de la Société, de M. le
municipal de Paris, de M. le Dr Jules Voisin, président, et de MM. le
professeur
Lionel Dauriac et D' Paul Magnln, vice-présidents
ul Magnln, vice-présidents. M. Lionel Dauriac a prononcé l'éloge du
professeur
Gabriel Tarde et du Dr Brémaud, médecin en chef d
au grade de chef d'escadron après avoir même rempli les fonctions de
professeur
d'équita-tion et d'instructeur. Lorsque des circo
e sous la présidence de notre savant collaborateur, M. Félix Régamey,
professeur
à l'Ecole de Psychologie, vient de nous initier à
M. Melcot, avocat général à la Cour de cassation, M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire à la Faculté de Montpellier, vice-prési
re à la Faculté de Montpellier, vice-président, M. le Dr Paul Magnin,
professeur
à l'Ecole de psychologie, vice-président, M. le D
(de Lyon), M. le Dr Paul Joîre (de Lille), MM. les D" Farez, Bianchi,
professeurs
à l'Ecole de psychologie, M. le Dr Raffegeau, dir
pinska (de Luxeuil), MM. Lépinay, Louis Favre, Félix Régamey, Blîeck,
professeurs
à l'Ecole de psychologie, Grollet, secrétaire gén
decin-vétérinaire, M. le capitaine Crespin de Beauregard, MM. Gallia,
professeur
, Laurent-Cely, avocat à la Cour d'appel, M. Blech
t-Cely, avocat à la Cour d'appel, M. Blech, docteur en droit, Gosset,
professeur
, M. Maillols, statuaire. M. le Dr Farez, secrét
les de M. le D' Huchard, membre de l'Académie de médecine, Dr Beaunis
professeur
honoraire à l'Université de Nancy, D' Raymond, pr
Dr Beaunis professeur honoraire à l'Université de Nancy, D' Raymond,
professeur
à la Faculté de médecine, Dr Brousse, président d
nt-Hilaire, Lux, médecin- major de 1" classe, Binet-Sanglé, Mëlinand,
professeur
de philosophie au lycée Lakanal, Baguer, directeu
icher fut désigné pour succéder à M. Mathieu Duval, dans sa chaire de
professeur
d'anatomie a l'Ecole des Beaux-Arts. Devenu membr
ues pour mieux les faire comprendre. Il nous faut un moment devenir
professeur
de médecine mentale, pour traiter de deux symptôm
physiques, sont rapidement appliqués. C'était même l'avis du regretté
Professeur
Marey, que ces expériences intéressaient vivement
end une brochure de M. le Dr Délius (de Hanovre) et un livre de M. le
professeur
J. Ingenieros (de Buenos-Ayres) intitulé : La sim
été heureux de se grouper autour d'un de nos membres d'honneur, M. le
professeur
Beaunis, qui représentait dignement à Rome la psy
nné lieu à d'importantes discussions auxquelles ont pris part MM. les
professeurs
Enrico Morselli et Ingenieros. Le Secrétaire gé
ciation française pour l'avancement des sciences. — Discours de M. le
professeur
Giard. — La pédagogie des anormaux. — La phobie d
st tenu du 3 au 12 août. & Cherbourg, sous la présidence de M. le
professeur
Alfred Giard. de l'Institut. A la séance d'ouvert
rrive fréquemment que la direction d'un seul de ces enfants Impose au
professeur
ou à l'Instituteur une dépense d'énergie si consi
o M. le D' Brousse, président du Conseil municipal de Paris, de M. le
professeur
Beaunis, membre d'honneur, et de M. le D' Voisin,
cuses de M. le D' Huchard, membre de l'Académie de médecine, de M. le
professeur
Raymond, de M. Boirac, vice-président, recteur de
e-Dame de Lourdes, p. 67. président du Conseil municipal, à M. le
professeur
Beaunis, à M. Mel-cot, avocat général à la Cour d
e qui sera ultérieurement fixée. M. Lionel Dauriac, vice-président,
professeur
honoraire à la Faculté des lettres de Montpellier
lettres de Montpellier, prononce dans un éloquent discours l'éloge du
professeur
Tarde, qui fut un des membres fondateurs de la So
se qui se tiendra à Cherbourg, le 3 août, sous la présidence de M. le
professeur
Giard. Avant d'aborder l'audition des nombreuse
ve, Bujfon, Blondel, Burdach, pour la négative. enfant raconta au
professeur
Billy, qu'avant la naissance de sa fille, il lui
coup voyagé. Il a été rédacteur de journaux en Amérique, organiste et
professeur
de musique en Autriche, maître d'école et précept
maux. 2. Le congrès de médecine interne, qui sera présidé par M. le
professeur
Lépine (du 25 au 27 septembre}. Adresser les adhé
professeur Lépine (du 25 au 27 septembre}. Adresser les adhésions au
professeur
Henrijean, à Liège. 3. Le congrès de neurologie
acte de Faust. — Dans la première observation, il s'agit d'un prêtre,
professeur
de mathématiques dans un collège; ce savant, très
Royal. Neuvième série de 5 observations). Par le Dp Binet-Sanglé,
Professeur
à l'Ecole de psychologie. Observation I. — Mari
Cocrtault : La simulation dans les accidents du travail. M. Caustier,
professeur
au lycée Condorcet : La méthode socratique dans
congrès de médecine interne tenu ù Liège sous la présidence de M. le
professeur
Lapine. — La psychologie au congrès belge de neur
prince Mirko de Monténégro à l'Institut psycho-physiologique. M. le
professeur
Lipine, présidant du Congrès de médecine- La sé
Martin, ministre de struction publique, qui avait à ses cotés MM. les
professeurs
Lépfne, rident du congrès, Francotte et Vanlair,
Expost-universelle de Liège. Dans la salle on remarquait, MM. les
professeurs
Bouchard, Cornil, Teissler (de Lyon), Carrieu (de
ruxelles), et un grand nombre de médecins français et belges. M. le
professeur
Lépinc, en ouvrant les travaux du congrès a prono
et de justice. Vous, médecins, en accomplissant votre œuvre, M. le
professeur
Bouchard. ce ne sont pas seulement des existenc
et il faut en reporter le mérite à ses dévoués organisateurs, MM. les
professeurs
Henrljean et Honoré. * * La réunion du premie
(de Paris), Decroly (de Bruxelles), Lee (d'Anvers) et enfin de M. le
professeur
Spehl |de Bruxelles). Avec une grande précision,
alité. A mentionner le banquet offert aux médecins français par M. le
professeur
Francotte, la réception de la maison de santé de
ui demandent, en un mot. la mort de leur conjoint. Récemment, M. le
professeur
Ledouble, de Tours, a publié dans la Chronique mé
-Royal. (Neuvième série de 5 observations). Par le Dr Binet-Sanglé,
Professeur
à l'Ecole de psychologie. (suite) (1) Observati
sse la pédagogie et l'autre la thérapeutique. l°Le fils de M. 0...,
professeur
de belles-lettres, âgé de 5 ans, bien portant, a
plus tard l'homme-momie servit de prétexte aune intéressante leçon du
professeur
Grasset à l'hôpital Saint-Eloi, de Montpellier. P
Conséquent avec des idées souvent exprimées, il léguait son corps au
professeur
Raymond ou à son défaut au professeur Grasset. Il
rimées, il léguait son corps au professeur Raymond ou à son défaut au
professeur
Grasset. Il est à présumer que ce dernier vœu n'a
Les timidités.— Indications de la suggestion hypnotique. M. Caustjer,
professeur
au lycée Condorcet : La méthode socratique dans
s, MM. les D" Paul Magnin, Paul Farez, Félix Regnault et M. Caustler,
professeur
agrégé de l'Université, est venue se joindre tout
ur agrégé de l'Université, est venue se joindre toute une phalange de
professeurs
dévoués. Actuellement l'enseignement donné à l'Ec
a psychologie pathologique. Les études auxquelles se consacrent les
professeurs
de l'Ecole se répartissent en dix branches princi
lépathiques, la lucidité somnambulique, les pressentiments, etc., les
professeurs
de l'Ecole n'abordent ces études qu'avec un espri
garant de la prudence et de la rigueur scientifique avec laquelle les
professeurs
se soumettront aux règles de la méthode expérimen
ne pierre qui ne soit pas empruntée à la maison du voisin. Chacun des
professeurs
ou des collaborateurs de l'Ecole de psychologie s
ociété de pathologie comparée, placée sous la présidence d'honneur du
professeur
Chauveau, de l'Institut, compte au nombre de ses
bin, Blanchard, Saint-Yves-Ménard, de l'Académie de médecine, MM. les
professeurs
Arlolng, Cadlot, Baron, des Ecoles vétérinaires,
les professeurs Arlolng, Cadlot, Baron, des Ecoles vétérinaires, les
professeurs
agrégés Launofs, Letulle, les D« Jules Voisin, Pa
a Société. D'Intéressantes communications y seront faites par MM. les
professeurs
Charrin et Gréhant. M. Charrin y traitera l'impor
ésident du Conseil municipal de Paris, assistés de M. le Dr Bérillon,
professeur
à, l'Ecole de psychologie, le mercredi 10 janvier
nous voulons apporter notre contribution à l'œuvre entreprise par les
professeurs
de l'Ecole de psychologie. Nous serons heureux si
par le Dictionnaire des antiquités de Daremberg et Saglio.) M. le
professeur
Léon Heuzey, publier la figure de deux divinités
-Royal. [Neuvième série de 5 observations). Par le Dr Bixet-Sanglé,
Professeur
à l'Ecole de psychologie. (suite) (1) Erard de
ort suivant, formulé avec cet esprit d'observation qui caractérise le
Professeur
Brissaud. Sur un cas particulier de paracousie
Tribunal de la Seine. — M. Duchauffour, président. Nous, soussigné,
professeur
à la Faculté de Médecine, avons été désigné par M
ans l'affaire Mollot contre Dejouhet. Nous, soussigné, E. Brissaud,
professeur
à la Faculté de Médecine, avons été commis par M.
. Valentino : La psychologie de la médecine hindoue. M. Caustier,
professeur
au lycée Condorcet : La méthode socratique dans l
ur l'année 1906 : Hypnotisme thérapeutique...... M. le D' Bébillos,
professeur
. Hypnotisme expérimental...... M. le D' Paul Ma
os, professeur. Hypnotisme expérimental...... M. le D' Paul Magkix,
professeur
. Hypnotisme sociologique....... M. le D' Félix
professeur. Hypnotisme sociologique....... M. le D' Félix Regxault,
professeur
. Psychologie pathologique...... M. le D' Paul F
lt, professeur. Psychologie pathologique...... M. le D' Paul Farez,
professeur
. Psychologie des dégénérés...... M. le D' Bixet
. Anatomie et Psychologie comparées. M. Caustier, agrégé de l'Unir.,
professeur
. Psyohologie des animaux....... M. Lépikay, pro
é de l'Unir.,professeur. Psyohologie des animaux....... M. Lépikay,
professeur
. Psychologie du criminel....... M. Blieck, avoc
à la Cour d'appel. Philosophie scientifique....... M. Louis Favre,
professeur
. Psychothérapie (cours annexe à Lille). M. le D
e et le banquet de la Société do pathologie comparée. — Nomination du
professeur
m. Albert Robin à la chaire de clinique thérapeut
ésident du Comité de la souscription, assisté de M. le Dr F. Raymond,
professeur
de la Clinique des maladies nerveuses à la Facult
re du Comité : L'Œuvre scientifique de Llébeault ; 3« Allocution du
professeur
Raymond, président d'honneur du Comité. 4» Inau
s de l'Ecole de psychologie avait eu lieu sous la présidence de M. le
professeur
Berthelot. Aucun de nous n'a oublié les paroles é
firmées par l'expérience, C'est dire qu'un des principaux devoirs des
professeurs
est de mettre le grand public en garde contre les
résistera un contrôle scientifique rigoureux. En 1906, les anciens
professeurs
de l'Ecole, MM. Bérillon, Paul Magnin, Félix Regn
e musicale sera fait par un de nos jeunes collègues, M. le D' Pamart,
professeur
suppléant. Les cours seront, comme les années p
psychologie. Les conférences seront présidées par MM. le Dr Charria,
professeur
au Collège de France, Jules Bois, Dr Jules Voisin
sin, médecin de la Salpètrière, baron de Baye, explorateur, Malapert,
professeur
au lycée Louis-lc-Grand, Fiessinger, membre de l'
t faites par MM. les D™ Bérillon, Paul Joire, Yalentino, Haoul Baron,
professeur
à l'Ecole vétérinaire d'Alto: - . Lionel Dauriac,
l Baron, professeur à l'Ecole vétérinaire d'Alto: - . Lionel Dauriac,
professeur
honoraire des facultés de lettres, Pierre Dubois,
du Dr BériUon. Des communications furent faites par M. le Dr Charrin,
professeur
au Collège de France, sur les vraies et les fauss
ssillêre, directeur au ministère de l'Agriculture, M. le. Dr Charrin,
professeur
au Collège de France, MM. Cadiol,Baron et Coquot,
Charrin, professeur au Collège de France, MM. Cadiol,Baron et Coquot,
professeurs
à l'Ecole vétérinaire d'Alfort, Dr Saint-Yves Mén
assonvllle, directeur de laboratoire à l'Institut Pasteur, Dr Siffre,
professeur
a l'Ecole dentaire, Dr S*volre, directeur du disp
tuberculeux du Pr Albert Robin, Dr Lagrange, de Vichy, Dr Paul Farez,
professeur
à l'Ecole de psychologie, Df Demonchy, D'Barthe d
tion si légitime du diplôme de docteur en médecine vétérinaire; M. le
professeur
Charrin et M. Saint-Yves Ménard ont porté des toa
sseau et des Dujardin-Beaumetz, la gloire de l'école française. Les
professeurs
de l'Ecole de psychologie auxquels le P' Albert R
hie ne seront pas les derniers a applaudir à la Domination du nouveau
professeur
qui réalise un fait assez peu commun en France :
ui a prédominé. Dans une récente étude sur l'hérédité, publiée par le
professeur
Bordier, directeur de l'Ecole de médecine de Gren
-Royal. (Neuvième série de 5 observations). Par le Dr Binet-Sanglé,
Professeur
à l'Ecole de psychologie. {suite) (') Pouques d
quelques mots, balbutie et, finalement, reste coi. Comme de juste, le
professeur
lui marque une mauvaise note et finit par le
udes, les mauvaises notes s'accumulent comme par le passé. Un nouveau
professeur
survient qui dit : n Cet élève a le trac ; il man
ques, philologiques que comporte le morceau ; il compte satisfaire le
professeur
et produire une très bonne impression sur ses aud
— Le traitement psychologique de l'émoti-vité morbide. M. Caustier,
professeur
au lycée Condorcet ; La méthode socratique dans l
ychologie est public. Hypnotisme thérapeutique M. le Dr Bérillon,
professeur
. Objet du cours : 1° Les maladies du jugement e
u jeudi 11 janvier. Hypnotisme expérimental M. le D' Paul Magnin,
professeur
. Objet du cours : L'hypnotisme chez les hystéri
tir du jeudi 11 janvier. Hypnotisme sociologique M. le Dr Regnault,
professeur
. Objet du cours : La genèse des miracles de Jés
u mardi 16 janvier. Psycho-physiologie do 1 Art M. Félix Hégauev,
professeur
. Objet du cours : Art et pédagogie. Les vendred
ndredi 12 janvier. Psychologie des dégénérés M- le Dr Binet-SanglE.
professeur
. Objet du cours : Les dégénérés mystiques. Les sa
ie et psychologie comparées M. E. Caustieh, agrégé de l'Université,
professeur
. Objet du cours : L'énergie animale : ses sources
partir du mercredi 11 janvier. Psychologie des animaux M. Lbpinay,
professeur
. Objet du cours : Les méthodes de dressage : ut
11 janvier. Psychologie du criminel M. Blieck, avocat à la Cour,
professeur
. Objet du cours : La lutte contre la criminalit
tir du mardi 16 janvier. Philosophie scientifique M. Louis Favhe,
professeur
. Objet du cours : La méthode expérimentale : ap
artir du vendredi 12 janvier. Psychologie musicale M. le D' Pahart,
professeur
suppléant. Objet du cours : Les émotions musicale
dredi 12 janvier, à 8 h. 1/2, sous la présidence de M. le Dr Charrin,
professeur
au Collège de France. — Le cerveau organe de la p
e de l'occultisme : la grande Pyramide de ChéopSj par M. Raoul Baron,
professeur
à l'Ecole vétérinaire d'Alfort. Vendredi 26 jan
decin de la Salpêtrière. — Le plaisir musical, par M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire des Facultés des lettres. Vendredi 2
de Picardie. Vendredi 9 février, sous la présidence de M. Malapert,
professeur
au lycée Louis-le-Grand. — La psychologie du rire
cution du D' Lloyd-Tuckey, de Londres. 5* Allocution du D' Raymond,
professeur
de la clinique des maladies nerveuses à la Facu
oisin, avaient pris place, M. Fringnet, inspecteur d'Académie, et les
professeurs
de l'Ecole MM. les Dr'Bérillon, Félix lîegnault,
'Ecole MM. les Dr'Bérillon, Félix lîegnault, Paul Farez, M. Caustier,
professeur
agrégé au Lycée Condorcet, M. Louis Favre, M. Lép
Berthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences, Raymond,
professeur
à la Faculté de médecine, Albert Robin, professeu
sciences, Raymond, professeur à la Faculté de médecine, Albert Robin,
professeur
à la Faculté de médecine, Binet, directeur du lab
gie à la Sorbonne, Brousse, président du Conseil municipal, Cha: rin,
professeur
au Collège de France, Laisant, exami-eur à l'Ecol
role au Dr Bérillon : L'Ecole de Psychologie par le D' Bérim.ox
professeur
a l'Ecole de Psychologie f Messieurs, Le méde
1 Huchard n'est pas seulement un grand clinicien, il est également un
professeur
, car on peut lui appliquer la définition qu'un de
appliquer la définition qu'un de nos maîtres les plus éminents, M. le
professeur
Lépine, donnait naguère de celui qui se consacre
ait naguère de celui qui se consacre à l'enseignement scientifique: «
Professeur
veut dire chercheur. Faire des découvertes est la
anière d'enseigner. » Le Dr Huchard mérite donc doublementlc titre de
professeur
car, dans les hôpitaux de Paris, sa parole claire
s de l'Ecole de psychologie avait eu lieu sous la présidence de M, le
professeur
Berthelot. Aucun de nous n'a oublié les paroles é
que la rigueur scientifique de son programme et le dévouement de ses
professeurs
à la cause du progrès, M. le P' Albert Robin nous
logie musicale, confié à un de nos jeunes collègues, M. le D' Pamart,
professeur
suppléant. Enfin, désireux d'étendre au grand p
ne pierre qui ne soit pas empruntée à la maison du voisin. Chacun des
professeurs
ou des collaborateurs de l'Ecole de psychologie s
t les sentiments d'affection filiale que professent pour lui tous les
professeurs
de l'Ecole de psychologie. Qu'il nous permette de
secours qui, sans ces créations, leur feraient absolument défaut. Les
professeurs
de l'Ecole de Psychologie n'ont compté que sur eu
ychologie. Psychothérapie et hypnotisme, par le Dr Paul Maonin,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. Messieurs, Il est d
-Royal. {Neuvième série de 5 observations}. Par le Dr Biset-Sanglé,
professeur
à l'Ecole de psychologie. (suite) (i) IiBiilt L
aru de la Bibliothèque de l'Ecole de psychologie, le D' Binet-Sanglé,
professeur
à cette école, nous offre le résultat de son étud
té qui fut ainsi composé : Présidents d'honneur : M. le Dr Raymond,
professeur
de la Clinique des maladies nerveuses à la Facult
ies nerveuses à la Faculté de médecine de Paris, et M. le Dr Beaunis,
professeur
honoraire à la Faculté de médecine de Nancy. Pr
ésident de la Société d'hypnologie. Secrétaire : M. le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie, secrétaire général de l
a Société d'hypnologie. Membres du Comité : MM. le Dr Albert Robin,
professeur
à la Faculté de médecine de Paris; le Dr Huchard,
; le Dr Huchard, membre de l'Académie de médecine; le Dr Paul Magnin,
professeur
à l'Ecole de psychologie, vice-président de la So
er, membre correspondant de l'Académie de médecine; le D' Paul Farez,
professeur
à l'Ecole de psychologie; le Dr Henry Lemesle, pr
Paul Farez, professeur à l'Ecole de psychologie; le Dr Henry Lemesle,
professeur
& l'Ecole de psychologie ; L. Achille, vice-p
net, représentant M. le Ministre de l'Instruction publique, M. Giard,
professeur
à la Sorbonne, membre de l'Académie des sciences,
ols, statuaire, auteur du buste du Dr Liébeault et M. le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie, secrétaire du Comité.
ert, MM. Fringnet, inspecteur de l'Académie de Paris, Lionel Daurlac,
professeur
honoraire à la Faculté de Montpellier, Lais.m
art, Henry Lemesle, MM. Félix Régamey, Blieck, Louis Favre, Caustier,
professeur
agrégé au lycée Condorcet et Lépinay, professeurs
uis Favre, Caustier, professeur agrégé au lycée Condorcet et Lépinay,
professeurs
à l'Ecole de psychologie, M. le Dr Go don, direct
urgères), Mmc la DrMM Bouet-Henry, M. le DrCostedeLagrave,M.Malapert,
professeur
au lycée Louis-Ie-Grand, M. Lemaire, professeur a
deLagrave,M.Malapert, professeur au lycée Louis-Ie-Grand, M. Lemaire,
professeur
agrégé de philosophie, MM. Laroche, Blech, docteu
rovotel, Depoully, Dlgnat, Granel, et un grand nombre de médecins, de
professeurs
de l'Université dont nous n'avons pu noter les no
ne lecture de la lettre suivante qu'il vient de recevoir de M. le
professeur
Berthelot, président d'honneur de la réunion. C
ption et la pratique de la suggestion appliquée à la thérapeutique.
Professeur
A. Forel. Stockholm. Je regrette de ne pouvoir
en pensée aux hommages rendus à la mémoire de cet homme admirable.
Professeur
Flournoy. Bruxelles. Suis avec vous de cœur p
us de cœur pour honorer Liébeault, l'inspirateur de l'Ecole de Nancy.
Professeur
Spehl. Sao-Paulo, Brésil. Je m'associe par
ue la ville de Nancy lui accorde bientôt les honneurs qu'il mérite.
Professeur
Beaunis. Berlin. Nous sommes avec vous pour h
r honorer Liébeault et regrette d'être empêché de me joindre à eux.
Professeur
Henri je an. Nancy. J'aurais été heureux de m
us permet que de mentionner les lettres d'excuses adressées par M. le
professeur
Raymond, membre de l'Académie de médecine, M. le
par M. le professeur Raymond, membre de l'Académie de médecine, M. le
professeur
Albert Robin, membre de l'Académie de médecine, M
olice, M. Edmond Perrler, de l'Institut, directeur du Muséum. M. le
professeur
Stumpf (de Berlin). M. le professeur Francotte (d
ut, directeur du Muséum. M. le professeur Stumpf (de Berlin). M. le
professeur
Francotte (de Liège), M. le professeur Masoin (de
seur Stumpf (de Berlin). M. le professeur Francotte (de Liège), M. le
professeur
Masoin (de Louvaln), M. le Dr Ladame (de Genève),
le professeur Masoin (de Louvaln), M. le Dr Ladame (de Genève), M. le
professeur
Grasset (de Montpellier), M. le professeur Combem
Ladame (de Genève), M. le professeur Grasset (de Montpellier), M. le
professeur
Combemale (de Lille), M. le professeur Pitres (de
rasset (de Montpellier), M. le professeur Combemale (de Lille), M. le
professeur
Pitres (de Bordeaux), M. le professeur Bordier (d
ur Combemale (de Lille), M. le professeur Pitres (de Bordeaux), M. le
professeur
Bordier (de Grenoble), M. le professeur Brunon (d
r Pitres (de Bordeaux), M. le professeur Bordier (de Grenoble), M. le
professeur
Brunon (de Rouen), M. le Dr Charrin, professeur a
(de Grenoble), M. le professeur Brunon (de Rouen), M. le Dr Charrin,
professeur
au Collège de France, sir Francis Cruise (de Dubl
rofesseur au Collège de France, sir Francis Cruise (de Dublin), M. le
professeur
Claparède (de Genève). MM. les professeurs Lépi
Cruise (de Dublin), M. le professeur Claparède (de Genève). MM. les
professeurs
Lépine (de Lyon), Carrieu (de Montpellier) et Hen
ki (de Saratow), M. le Dr Famenne (de Florenville, Luxembourg), M. le
professeur
Podiapolski (de Saratow), M. le D' Damoglou (du C
ie (par les membres de son bureau). L'Ecole de psychologie (par ses
professeurs
). L'Ecole dentaire de Paris (par M. le D' Godon
je salue la présence à mes côtés des hommes éminents, qui comme M. le
professeur
Giard, membredel'Ins-titut ; M. Mesureur, directe
acceptant la présidence d'honneur de notre comité, M. le D' Raymond,
professeur
de clinique des maladies nerveuses à la Faculté d
clinique des maladies nerveuses à la Faculté de Paris, et M. Beaunis,
professeur
honoraire à la Faculté de Nancy, ont démontré qu'
u soulagement de la souffrance humaine, il fut également un admirable
professeur
, car il a laissé après lui une pléiade d'élèves q
velle. (Applaudissements prolongés). Allocution du Dr Paul Magnin
professeur
à l'Ecole de psychologie, vice-président de la So
plications de l'hypnotisme exigent une compétence spéciale et que les
professeurs
capables de l'enseigner sont rares. Heureusement
. Heureusement l'enseignement donné à l'Ecole de psychologie, par des
professeurs
dévoués comme le sont les D" Bérillon, Paul Magni
ongés). L'œuvre psychologique de Liébeault. par le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie, secrétaire général de l
avait été appelée sur les questions d'hypnotisme. Dans le service du
professeur
Gros, dont il était l'interne, il avait pu observ
ion de se consacrer à cette branche spéciale de la médecine, mais son
professeur
de clinique, le Dr Schiitzenberger, l'en dissuada
en fut vendu qu'un seul volume ! M. Liégeois racontait avec humour au
professeur
Delbœuf, en visite à Nancy en 1887, comment, ayan
du maître. Mais, malgré ses affirmations, le corps médical, et les
professeurs
de la Faculté, rcslaient encore indifférents. C'e
rs le portrait, d'une ressemblance frappante, que retraçait de lui le
professeur
Delbceuf, dans une brochure publiée en*î889. «
ps, de la suggestion à l'état de veille, et les quelques disciples du
professeur
Delbœuf qui ont admis, avec lui, cette opinion ir
aiter comme une quantité négligeable. Aussi, c'est avec raison que le
professeur
Spehl, de Bruxelles, dans VIntroduction h son cou
tines, décelant une profonde ignorance de la question. A ce sujet, le
professeur
Spehl disait : « Ces adversaires de parti-pris
e multiples applications à la médecine. Deux hommes éminents, MM. les
professeurs
Liégeois et Beaunis, de Nancy, ont du aux enseign
ituent le véritable homme de science. Il y a quelques années, M. le
professeur
Lépine présidait à Lyon un Congrès d'enseignement
en et le médecin d'hôpital de celui qui est appelé à jouer le rôle du
professeur
, M. Lépine résumait en ces termes éloquents l
es durant le moyen-âge, si stérile. Mais, depuis la M. le DT Beaux»
professeur
honoraire de la Faculté de Nancy. Renaissance,
ns cesse ; que la science est un perpétuel devenir. En instituant des
professeurs
de faculté, l'Etat leur impose donc implicite
ettre la définition de M. Lépine, le Dr Liébeault a été le modèle des
professeurs
, il a cherché et créé une méthode nouvelle ; il a
nique particulière de Nancy il a formé plus d'élèves que beaucoup des
professeurs
les plus en vue. Il y a peu d'hommes auxquels aut
, président du Syndicat de la presse scientifique, le Dr Paul Magnin,
professeur
à l'Ecole de psychologie, M. Lionel Dauriac, prof
Paul Magnin, professeur à l'Ecole de psychologie, M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire à la Faculté de Montpellier, M. Robinow
Pottier, directeur de la maison de Santé de Picpus, le Dr Paul Farez,
professeur
à l'Ecole de psychologie, M. le Dp Saint-Hilaire,
prendre part aux travaux de la Société d'hypnologie. Ensuite M. le
professeur
Lionel Dauriac, retraçant l'existence de Liébeaul
it qu'il fallait attribuer la profondeur de ses vues. Allocution du
professeur
Lionel Dauriac * Le Dr Bérillon, dit-il, en exp
eur de nos deux grands amis, M. Paul Mounet, de la Comédie française,
professeur
au Conservatoire, et de M. Jules Bois, le poète e
bondé que le P' Albert Robin a Inauguré son enseignement. Le nouveau
professeur
fut d'abord présenté à l'auditoire en termes extr
reux passages de cette leçon tout à fait remarquable dans lesquels le
professeur
a prouvé qu'il tenait, dans sa thérapeutique, le
L'exécution de la médaille est confiée à M. le docteur Paul Richer,
professeur
à l'Ecole des beaux-arts. Le chiffre delà cotisat
in, à Paris. Psychothérapie et hypnotisme, par le D' Paul Magnin,
professeur
a l'Ecole de Psychologie. {suite et Jin) ('} Da
-Royal. (Neuvième série de 5 observations). Par le D' Binet-Sanglé,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. {suite et fin) (i) II
isme. Lumière colorée et hypnocyanotrope par M. le Dr Paul Fabez,
professeur
à l'Ecole de psychologie En psychothérapie, la
« traqueur », premier prix du Conservatoire par M. le D' Paul Farez
professeur
à l'Ecole de psychologie A titre d'épilogue, je
s il y a un an. Elève du Conservatoire, M. X. est considéré par son
professeur
et par ses camarades comme un sujet très remarqua
ues paroles quand un supérieur l'interpelle ou l'interroge ; c'est un
professeur
qui n'ose regarder en face les élèves bruyants, n
néral donne lecture de la correspondance qui comprend une brochure du
professeur
Grasset, intitulée : Psychothérapie. Il annonce
nseignement de l'hypnotisme et de la psychologie M. le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie, commencera le Mardi 8 M
l'école pratique de la faculté de médecine de l'université de Paris,
professeur
à l'école de psychologie; 20 ans de pratique médi
is dont il a le premier formulé le programme. Le IV Bérillon est un
professeur
dans le véritable sens du terme. C'est à son init
laborateurs de la Revue ¿e l'Hypnotisme s'associent aux éloges que le
professeur
Lionel Daurîac vient d'accorder à notre ami dans
nvenu-Martin, sénateur, ancien ministre et sous le patronage de M. le
professeur
Ber-thelot secrétaire perpétuel de l'académie des
aire perpétuel de l'académie des sciences, de M. le T)T Albert Robin,
professeur
à la faculté de médecine, de M. ïe D* Huchard, me
cine, de M. ïe D* Huchard, membre de l'académie de médecine, de M. le
professeur
Edmond Perrier, directeur du muséum et de M. le p
, de M. le professeur Edmond Perrier, directeur du muséum et de M. le
professeur
Giard, membre de l'académie des sciences. Le ba
ogie de l'intimidation : Les timidités. (l) par M. le Df Bérillon
professeur
à l'Ecole de psychologie, médecin inspecteur des
suture). psychothérapie et hypnotisme Critique du livre de M. le
professeur
Dubois, (de Berne), sur « les Psychonévroses ».
'hypnotisme était chose à peu près faite. Cependant, parfois, M. le
professeur
Dubois (de Berne}, critiquait à sa façon l'hypnot
D* Jules Voisin'. La dormeuse de San-Remo par M. le D' Paul Farez
professeur
à l'Ecole lo psychologie. Argentina Q... {') es
plusieurs sauts dans le cercle formé par la réunion des mains de son
professeur
et. toujours au commandement de ce dernier. L'obé
asseux. Un cas d'aphonie non hystérique par M. le D' René Pamart,
professeur
suppléant à l'Ecole de psychologie. L'aphonie h
rmais qu'à faire des exercices méthodiques sous la direction d'un bon
professeur
de chant. Elle me permettra de la remercier, ains
en soi. Définition de la suggestion par M. le Dr Félix Regnault
professeur
à l'Ecole de psychologie. Le premier soin en to
logie Cours d'hypnotisme à l'Ecole de psychologie M. le Dr illox,
professeur
à l'Ecole de psychologie, a commencé le Mardi 8 M
e, a résolu d'offrir au Dr Bérillon, inspecteur des asiles d'aliénés,
professeur
à l'École de psychologie, secrétaire général de l
istre, secrétaire perpétuel de l'académie des sciences; Albert Robin,
professeur
à laFacuIté de médecine; Huchabd, membre de l'Aca
l'Académie de médecine; Edmond Périmer, directeur du Muséum; Giaiid,
professeur
à la Sorbonne. Le prix du banquetest de 15 fran
es sciences, vient d'adresser la circulaire suivante pour inviter les
professeurs
, les instituteurs et les pédagogues à prendre par
rmettre aux membres des divers ordres de l'enseignement, ainsi qu'aux
professeurs
des écoles spéciales, professionnels ou technique
i S* Section, Dr Bérillox. Médecin-inspecteur des asiles d'aliénés,
professeur
a l'Ecole de psychologie. Prière d'adresser les
ologie de l'intimidation : Les timidités. (') par M. le Dr Bérillon
professeur
à l'Ecoie de psychologie, médecin inspecteur des
suivre.) psychothérapie et hypnotisme Critique du livre de M. le
professeur
Dubois, (de Berne!, sur ¦ les Psychonévroses ».
olument de l'hypnotisme, puisqu'il y a recours pour des enfants. Le
professeur
Bernheim écrivait dans son livre en 1884 : « Le
thérapeutiques et si elle répond à toutes les indications . if. le
professeur
Grasset émet une opinion catégorique. Chacun conn
rouver à l'hôpital St-Louis dans le service de notre dévoué maître le
professeur
Gaucher. A. ce moment elle avait changé de métier
de neurasthénie grave guéris par la suggestion hypnotique. 3° M. le
professeur
Lionel Dauriac. — La philosophie de Tarde. — Disc
x la candidature de M. le D' Guillemonat, de Paris, et de M. Quinque,
professeur
d'enfants anormaux. Ces candidatures sont adoptée
gnin, p. 264. Allocution du Dr LloydTuckey, p- 266. Allocution du
professeur
Lionel Dau-riac, p. 285. Aliénés ou demi-aliéné
........... 106 Sainte Wilgeforte...................... 107 M. le
professeur
Lépine ............ 129 M. le professeur Boucha
.............. 107 M. le professeur Lépine ............ 129 M. le
professeur
Bouchard......... 130 S. A. le prince Mirko (de
oit ou il trouva une mort si tragique, nn monument a- Jules Liégeois,
professeur
a la Faculté de droit de Nancy, membre correspond
nts d'houueur : MM. Adam, recteur de l'Université de Nancy, MM. les
professeurs
Beauuiset Bernheim, de Nancy. II. Président : M
sement thermal de Bains-les-Bains. Dr Moll, de Berlin. Dr Morselll,
professeur
a l'Université de Gènes. Dr Von Schrenk-Notzing.
Schrenk-Notzing. de Munich. Dr L'oyd-Tuckey, de Londres. Dr Thomson,
professeur
a l'Université d'Odessa. Dr Jules Voisin, préside
le Dr Jules Voisin, médecin de la SalpG-trière, M. le Dr Beau visage,
professeur
à la Faculté de médecine de Lyon, sénateur ; M. L
sseur à la Faculté de médecine de Lyon, sénateur ; M. Lionel Dauriac.
professeur
honoraire à la Faculté des lettres de Montpellier
é des lettres de Montpellier ; M. Muteau, député ; M. le Dr Berillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie ; M. le Dr de Groer, de
la Fouchardire ; 31. Bouchard, chimr-gien-dentiste ; 31. Louis Favre,
professeur
: 31. Collin ; 31. Gosset, professeur : 31. Quinq
ien-dentiste ; 31. Louis Favre, professeur : 31. Collin ; 31. Gosset,
professeur
: 31. Quinque. dii-ecteui- de l'Etablissement méd
s furent prononcées par 31. le Fiessinger, 31. le Dr Berillon. 11. le
professeur
Beauvisage, M. Muteau: 31. le professeur Lionel D
, 31. le Dr Berillon. 11. le professeur Beauvisage, M. Muteau: 31. le
professeur
Lionel Dau-riac ; 31. le Dr Lauinonier. Enfin 31.
a session aura lieu à Lille du 2 au 10 août, sera présidée par 31. le
professeur
Beauvisage. sénateur. Les questions mises à l'ord
ces questions, diverses communications seront faites par M. Lefèvre,
professeur
à l'Institut Tajot sur les Devoirs des grands cen
e Dr Berillon : sur les Arriérés du jugement, de Mlle Lucie Berillon,
professeur
au lycée Mollère : sur la Préparation au bonheur
hérapie et les méthodes de rééducation (1) par m. 10 dr BÉniLLON,
professeur
à l'Ecole de psychologie. (Suite) L'action psyc
ps, de la suggestion a l'état de veille, et les quelques disciples du
professeur
Delbceuf qui ont admis, avec lui. cette opinion i
nfrère de Bruxelles, le De Van Velsen ; l'autre m'est personnel. Un
professeur
d'une université de province écrit à Van Velsen p
de ses malades. Us conviennent d'un rendez-vous. Mais au jour dit, le
professeur
est subitement empoché et la séance est remise au
ppel : Dr Van Reuterghem, d'Amsterdam ; Dr Van de Chys, d'Amsterdam ;
professeur
Ubeyd Oullah, de Constantinople ; Dr Lachaud, dép
e. Il expose les titres de M. le Dr Fer-nand Lagrange, de Vichy et du
professeur
Liégeois, de Xancy, dont les éloges seront faits
la Société. Il évoque en particulier les liens qui unissaient il. le
professeur
Liégeois à la Société d'bypno-logie et de psychol
mier congrès de l'Hypnotisme en 1889. ainsi que du second en 1900, le
professeur
Liégeois avait exposé dans ces congrès des travau
uis Favre. Gallia, A. Jounet, Gosset ; Ansclius Gonzalès (de Madrid),
professeurs
; Quinque, directeur de l'établissement Médico-Pé
Paul Garnier, etc., etc. Assistaient en outre comme auditeurs M. le
professeur
Beauvisage de Lyon, M. le docteur Otto Karmin, pr
'alliance scientifique universelle, docteur Parrot, etc. Eloge du
professeur
Liégeois (de Nancy) par M. Georges GUILERMET ,
n'avait trouvé, pour soutenir un système favorable aux accusés, qu'un
professeur
de droit administratif de Xancy. Liégeois devai
tons que les auteurs se sont rangés à l'opinion de Liégeois et que le
professeur
Grasset, entre autres, dans ses ouvrages réputés,
e solution nouvelle aux grands problèmes juridiques. Et si l'œuvre du
professeur
de Xancy peut faire éviter en Cour d'assises, au
au grade -de commandeur de la légion d'honneur de notre maître. M. le
professeur
Raymond. Aucun ne remplit Ba haute mission de pro
de professenr avec plus de talent, d'autorité et de conscience que le
professeur
Raymond. Son œuvre considérable s'accroît, à chaq
r de travaux de grande valeur en psychiatrie, promu officier. M. le
professeur
Motáis, d'Angers, M. le D' Chervin, directeur de
a psychothérapie et les méthodes de rééducation par le Dr Bérillon,
professeur
a. l'Ecole de psychologie l'action psychothérap
ières années de son existence. Algomanie par le Dr Henry Lemesle,
professeur
a l'Ecole de psychologie de Paris, directeur de l
iation française pour l'avancement des sciences sons la présidence du
professeur
Beauvisage, sénateur de Lyon, a été fort active:
grand sens des possibilités pratiques, par 31. le docteur Beauvisage,
professeur
a la Faculté de Médecine de Lyon, auquel on doit
r de l'Institution de sourds-muets de Villerbonne : par 31. Lefebvre.
professeur
a l'Institut Turgot. de Boubaix ; par M. le docte
tion au bonheur par l'éducation du caractère, de Mlle Lucie Bérillon.
professeur
au Lycée Molière de Paris : à l'instruction et à
fin à renseignement technique dans les facultés, de M. André Blondel.
professeur
à l'Ecole des Ponts et Chaussées. Les conclusio
l : Fr. Ferrand. 0 b^. rne de Chilteuudun. Monument en l'honneur du
professeur
Giard Les nmis et les élevés du Pr a. Giard. dé
a mort d'un de nos collaborateurs les plus dévoués, le DrRené Pamart,
professeur
de Psychologie musicale a l'Ecole de psychologie.
it inspiré dans ses leçons des travaux de notre éminent maître, M. le
professeur
Lionel Dauriac. dont il était un des disciples et
QUE 24e Année — N° 3. Septembre 1909. Inauguration du monument du
professeur
Liégeois, à Bains-les-Bains L'inauguration du m
à Bains-les-Bains L'inauguration du monument élevé à la mémoire du
professeur
Liégeois a eu lieu à Bains-les-Bains, le Dimanche
l'entrée du parc de l'Etablissement thermal, près de l'endroit où le
professeur
Liégeois avait, l'année précédente été tué par un
uge d'instruction, a Epinal, et Madame Liégeois, la veuve du regretté
professeur
, assistaient à la cérémonie. Les docteurs Mathieu
ion avait contrarié les intentions de nombreux amis et admirateurs du
professeur
Liégeois et les avait empêchés de se rendre k Bai
psychologie, de MM. les Dre Paul Magnin, Paul Farez et Henry Lemeslc,
professeurs
k l'Ecole de psychologie, de M. le Dr "Witry, de
le Dr "Witry, de Treves-s-Moselle, et de M. le Dr Damoglou, du Caire,
professeurs
correspondants de l'Ecole de psychologie. Nous
s ait ; pas permis d'en donner le texte complet : DiFcours de M. le
professeur
Floquet doyen de la Faculté des Sciences de Nan
second Empire, qui savait apprécier les mérites, le nomma tout à coup
professeur
à la Faculté de droit de Douai, le 20 septembre 1
onna de 1868 à 1877. C'était un enseignement tout nouveau et le jeune
professeur
eut l'honneur de l'inaugurer en province. Partisa
occasion, la presse tant française qu'étrangère consacra à l'œuvre du
professeur
Liégeois les articles les plus élogieux. Un gra
vants qui ont le plus honoré l'université de Nancy » disait de lui le
professeur
Blondlot de la Faculté des sciences au recteur de
arcasmes de ses collègues de la Faculté qui ne comprenaient pas qu'un
professeur
de droit pût s'occuper d'hypnotisme. Il poursuivi
on grade de docteur de façon n avoir plus d'autorité que comme simple
professeur
de droit. Sa mauvaise vue empêcha ce projet mais
e la conduite de sa vie. — J'ai dit. Discours de M. le D: Beauuis
professeur
honoraire a la Faculté de ^vaiicy, directeur hono
je viens recevoir le monument érigé dans notre parc, à la mémoire du
professeur
Liégeois par de nombreux savants français et étra
eux amis le souvenir de l'homme de bien et du grand savant que fut le
professeur
Jules Liégeois. (à suivre) TRAVAUX ORIGINAUX
de la « suggestion à l'état de veille » (1) par M. le D* Bérillos,
professeur
îi l'Ecole de psychologie Le mot suggestion dér
té au moyen de simples ordres. (2) Telle était également l'opinion du
professeur
Pierre Janet lorsqu'il donnait le nom de suggesti
éloquence des orateurs, la persuasion des avocats, l'enseignement des
professeurs
, la vibration des tragédiens, la séduction des ho
nous devons à nos sens, tout est suggestion. « C'est, comme le dit le
professeur
Grasset, une confusion de langage. » A mon avis
la a permis, en particulier, quand un nouveau psychothérapeute. M. le
professeur
Dubois, de Berne, a voulu se cantonner dans la pr
pas qu'elle n'ait pas été faite depuis longtemps. Si jamais quelque
professeur
de philosophie avait, dans un congrès scientifiqu
ement attestés )4). _ (À suivre). Algomanie pur M. le D[ Lkueblk,
professeur
a l'Ecole de psvchologie (Suite) L'Algomaxie et
AUX Les classes d'anormaux à Bordeaux par M. le Docteur E. Régis.
professeur
de psychiatrie à la Faculté de médecine. Médecin-
n sait le zèle éclairé et l'activité persévérante qu'a déployés M. le
professeur
Régis pour organiser à Bordeaux les classes d'ano
Fabez : Un cas d'onirothéraplc spontanée. Suicides d'écoliers Le
professeur
Albert Eulenburg, de Berlin, vient de publier une
ion des écoliers en modernisant le système des examens. Un pédagogue,
professeur
Gerhard t. arrive, dans une conférence faite réce
TIQUE 24e Année — N° 4. Octobre 1909. Inauguration du monument du
professeur
Liégeois, à Bains les-Bains. (Suite) Discours
n. Secrétaire général de la Société d'hypnologie et de psychologie,
professeur
à l'Ecole de psychologie. « Le nom dn docteur L
cteur Liébeault auquel fut toujours associé d'une façon si étroite le
professeur
Liégeois. Des manifestations éclatantes organisée
vue de l'Hypnotisme dont il fut le collaborateur dévoué, j'apporte au
professeur
Liégeois l'expression d'une admiration que le tem
de la a suggestion à l'état de veille » (1), par M. le Dr Béroxos,
professeur
a l'école de psychologie (Suite) Pour rendre
encore avisé de les utiliser ? Heureusement l'intuition géniale d'un
professeur
à la faculté de Nancy nous a enfin doté de cette
e entre le progrès esthétique et l'évolution mécanique (2j. Le savant
professeur
l'a reconnu lui-même, la corolle radieuse et parf
iment partiel ne nous empêche pas de nous réjouir en voyant lTéminent
professeur
tenter d'approprier à la psychologie une méthode
pos d'un livre récent du Dr Binet- Sanglé) par M. le Dr Paul Farez.
professeur
à l'Ecole de Psychologie. Mon collègue et ami,
es. Je n'ai pas entendu dire que. depuis le congrès de Genève, le
Professeur
Gilbert Ballet eût connu la misère ou fût mort de
OURS ET CONFERENCES Spiritisme et délire de persécution par M. le
professeur
Raymond. Une malade, couturière, âgée de 40 ans
TIQUE 24e Année — N°5. Novembre 1909. Inauguration au monument du
professeur
Liégeois. à Damviliers Le dimanche 24 octobre
fête à l'occasion de l'inauguration du monument élevé en l'honneur du
professeur
Liégeois, qui était né dans cette commune le 30 n
geois et M.Gaston Liégeois, juge d'instruction à Epiual : MM. Brunot.
professeur
à la Sorbonne : le capitaine Lallcmand. du 147° :
Lyon-Caen. doyen de la faculté de droit a Paris : Guîlhermet. avocat,
professeur
» l'Ecole de psychologie : Dr Bérillon, secrétaire
ornerons à reproduire dans notre prochain numéro les paroles de M. le
professeur
Lyon-Caen et de M. Guilhermet. De nombreux sava
uvelle occasion d'évoquer la mémoire du savant inspirateur que fut le
professeur
Liégeois. TRAVAUX ORIGINAUX La psychothérap
de la « suggestion à l'état de veille » (1). par M. le Dr Bérillon.
professeur
à l'école de psychologie (Suite) Lorsque Brai
t la psychothérapie est le fait d'un homme qui a cru que son titre de
professeur
devait suffire à lui valoir une place prépondéran
tion n'est rien d'autre que la gron-derie d'une mère ou la leçon d'un
professeur
; bien mieux, on renonce au mot hypnotisme et à l
gestives : La rééducation alimentaire par M. le Docteur Paul Parez,
professeur
à l'Ecole de Psychologie En dehors de la rééduc
sont l'objet dans les campagnes et dans les ateliers. Le Dr Pamart,
professeur
à l'Ecole de Psychologie, avait su grouper autour
confraternité dont je le remercie, au nom de notre Société. » M. le
professeur
Lionel Dauriac prend la parole. - Je m'associe pl
l'inauguration récente du monument élevé à notre regretté collègue le
professeur
Liégeois, k Bains-les-Bains. et qu'il y a prononc
inauguration du monument que Damvilliers son village natal a élevé au
professeur
Liégeois. Les communications inscrites à l'ordr
tiologie de l'alcoolisme. Discussion : Drs Paul Magxix, Bérillox et
professeur
Lionel Dacriac. 2. Dr Paul Farez. — Un cas d'onir
iiibtics» Hypnotisme thérapeutique. — Psychothérapie DT Bliiii.lon,
professeur
. Objet du coins : 1° L'hypnotisme et les méthod
partir du jeudi 1-1 Janrier. Hypnotisme expérimental D'Panl Maosin,
professeur
. Objet du cours : Les rééducations psycho-motri
ir du jeudi IX janvier. Psychologie pathologique. D' Paul Faiirz.
professeur
. Objet du cours: Lu psychologie-physiologie de
er. Pathologie mentale appliquée aux religions. D' Biskt—Sàxgi-É,
professeur
. Objet du cours : Jésus de Nazareth. (Suite du
a partir du samedi l-> janvier. Psychologie sociale. D Bboiia,
professeur
. Objet du cours : Les problèmes psychiques de l
du mercredi jî* janvier. Psychologie des races. SI. Sciê-Tos-Fa,
professeur
. Objet du cours : La civilisation chinoise. L
partir du vendredi 14 janvier. Psychologie musicale Dr Demonchy.
professeur
. Objet du cours : Les procédés psychologiques d
janvier. Psychologie des animaux. M. Lépinay, médecin-vétérinaire,
professeur
. Objet du cours : Les diverses formes du langag
Anatomic et psychologie comparées. M. Grollet, médecin-vétérinaire,
professeur
. Objet dn cours : Le cerveau, orgine de la pens
de psychologie : (Voir le programme des cours et des conférences).
Professeurs
correspondants : Dr Paul Joire: (Lille). Dr Jagua
(Sinyrne), Dr Bahaddin (Constantinople). Dr Macaetney Montévidéo).
Professeur
honoraire : Dr Wateàu. II. Dispensaire pédago
enfants anormaux (retardataires, instables, vicieux et nerveux). Les
professeurs
, les médecins et les étudiants sont admis aux con
de la salpêtrière : Clinique des maladies nerveuses. — Les leçons du
professeur
Bay mond ont lieu tous les mardis et vendredis à
nt de l'actualité. A cette séance il sera fait remise d'un buste du
professeur
Liégeois, de Nancy, par M. Liégeois fils, juge d'
ics. Nos lecteurs sont conviés à assister. L'annonce d'une leçon do
professeur
Gilbert sur lit psychothérapie avait amené à la F
une recrudescence d'auditeurs. Désireux de connaître les opinions du
professeur
sur celte question d'actualité. Je m'étais égalem
amphithéâtre. A ma grande surprise, la leçon n'était pas faite par le
professeur
lui-même, mais par un conférencier très barbu, do
des réponses évasives. Le premier me répondit : « C'est le cours du
professeur
Gilbert ». Le second émit la supposition que le p
e cours du professeur Gilbert ». Le second émit la supposition que le
professeur
s'était fait ce jour lit suppléer par un ngrégé.
suppléer par un ngrégé. Enfin le troisième me dit : « Ce doit être un
professeur
étranger : d'après sou accent, je 6nppose que c'e
elquefois n'être pas raisonnable. » Keste à savoir si les élèves du
professeur
Gilbert ont acquis la moindre notion pratique qui
ur permette d'appllqner. le cas échéant, la psychothérapie. L'émincnt
professeur
de la faculté de médecine no m'en voudra assuréme
isme de la « suggestion à l'état de veille » par M. le Br Bérlllox,
professeur
à l'Ecole de psychologie. (Suite.) Suggérer q
tion sur la fréquence de l'hypnose fortuite est le Dr Henri Dcsplats.
professeur
de clinique médicale à la faculté libre de Lille.
ps, de la suggestion à l'état de veille, et les quelques disciples du
professeur
Delbœuf qui ont admis, avec lui, cette opinion ir
. Un cas d'onirothérapie spontanée par 31. le docteur Paul Farez,
Professeur
a l'Ecole de psychologie. C'est un simple fait
judiciaire. 3° Allocution de M. Cruppi. 4° Installation du buste du
professeur
Liégeois. Cours de l'Ecole de psychelogie (
r des asiles d'aliénés. — Sous la présidence de 31. le Dr Beauvisage.
professeur
à l'Université de Lyon, sénateur. Lundi 24 janv
té et dn courage sur le champ de bataille, par M. le capitaine Simon,
professeur
de l'Ecole de St-Cyr.— Sous la présidence de II.l
de l'Ecole de St-Cyr.— Sous la présidence de II.le Dr Félix Regnault.
professeur
à l'école de psychologie. Lundi 31 janvier, à c
a réalisation par l'éducation du caractère, par 3Ille Lucie Bérillon.
professeur
au lycée 31olière. — Sous la présidence de 31. Gu
fesseur au lycée 31olière. — Sous la présidence de 31. Gustave Belot,
professeur
de philosophie au lycée Louis le Grand. Lundi 7
aine : l'alcoolisme et le faux humanitarisme, par 31. le Dv Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie. — Sous la présidence de
Dr Paul Joire. de Lille. — Sous la présidence de M. le Dr Paul Farez.
professeur
h l'Ecole de psychologie. Lundi 28 février, a c
'Institut des bègues. - Sous la présidence de 31. le Dv Paul 3Iaguin.
professeur
à l'Ecole de psychologie. Lundi 7 mars, à cinq
r 31. Scié-Ton-Fa. mandarin. — Sous la présidence de 31. le Dp Broda,
professeur
à l'Ecole de psychologie OUVRAGES REÇUS A LA RE
E EXPÉRIMENTAL THÉRAPEUTIQUE 24e Année — N° 7. Janvier 1910. Le
professeur
Brissaud. — Le Jubilé scientifique du professeur
. Janvier 1910. Le professeur Brissaud. — Le Jubilé scientifique du
professeur
Teissier (de Lvon). Un hommage du Dr Huchard. L
professeur Teissier (de Lvon). Un hommage du Dr Huchard. La mort du
professeur
Brissaud, survenue le 20 décembre dernier, a plon
e, la noblesse de son caractère et son amour inné de la justice. Le
professeur
Brissaud. Ses collaborateurs directs ont, dans
ivrons pas dans cette tache, et nous nous bornerons à rappeler que le
professeur
Brissaud dans toutes les questions qu'il a abordé
devenu, ce qui n'est pas une chose déjà si commune à notre époque, un
professeur
dans la plus belle acception du terme. En effet t
sorale ; d'autant plus que chez Ini l'homme était encore supérieur nu
professeur
. C'est ce que le professeur Gilbert Ballet a expr
hez Ini l'homme était encore supérieur nu professeur. C'est ce que le
professeur
Gilbert Ballet a exprimé eu termes d'une éloquenc
n parlait récemment». Certes Brlssnud fut bien tel que le décrit le
professeur
(îilbert Ballet. En pourrait-on donner une meille
t pas le mouvement d'un esprit ordinaire qne celui qni avait amené le
professeur
Brissand. investi des plus hautes fonctions unive
a la Faculté de médecine : j'estime qu'il y a actuellement dix, huit
professeurs
disposés** accorder ouvertement leur approbation
onsidérerons toujours les félicitations qu'il ndresa. ce jour-là, aux
professeurs
de l'Ecole de psychologie pour le succès de lenr
vingt-cinquième anniversaire d'enseignement magistral du D' Teissier,
professeur
de clinique médicale à la Faculté de Lyon, une to
éâtre de ln clinique de l'Hotel-Dlen. Les nombreux élèves du savant
professeur
lyonnais lui faisaient la remise d'une plaquette
ne un reflet archaïque et calme a cette scène dominée par le baste da
professeur
Bénédiet Teissier qui. si longtemps, enseigna dan
itations de ses collègues, pnis des discours furent prononcés par les
professeurs
Roque, Maragliano. Quiès, Arloing et par M. Joubi
par M. Joubin, recteur de l'académie. Enfin M. le Dr Mayel a remis no
professeur
Teissier un livre Jubilaire contenant soixante-di
rédigés à cette occasion par des médecins français et étrangers. Le
professeur
Teissier, vivement touché de ces démonstrations a
non qui remplace M. BTuehnrd dans sou service. Puis ce fut le tour du
professeur
Albert Bobin. H rappela les années de jeunesse, s
isme de la « suggestion à l'état de veille » par M. le Dr Bérillox,
professeur
à l'Ecole de psychologie. I. — L'Hypnotisme for
ormis. Cette interprétation est d'ailleurs conforme à celle que M. le
professeur
Beaunis exprimait en 1885, dans la Reçue Philosop
n. C'est le 1M Regnard qui le premier, en 1877. sur l'indication du
professeur
Charcot. a soumis à une étude approfondie la déco
ie d'expériences j'ai essayé ce qui avait déjà essayé et obtenu M. le
professeur
Tamburini sur un sujet à l'état hypnotique : je p
iants d'Oxford qui se destinaient à la politique, demandèrent à leurs
professeurs
s'il y aurait pour eux quelque avantage à étudier
e médecin philosophe et psychologue par le professeur' Debove. Le
professeur
Debove dont tous les médecins connaissent à la fo
Saint-André-des-Arts. Faculté de médecine Psychothérapie. —M. le
professeur
Déjerine fera pendant les moisde janvier et de fé
Clisiqce des maladies nerveuses. Salpêtrière : Les leçons de M. le
professeur
Raymond ont lien les mardis et les vendredis à di
té, ancien ministre. Io L'Ecole de psychologie, par le Dr Bérillon.
professeur
-r •>° Réception du buste du professeur Liégeo
logie, par le Dr Bérillon. professeur -r •>° Réception du buste du
professeur
Liégeois, de Xaxcy. ; 3° Les causes psychologique
ogiques de l'erreur judiciaire, par M. Gui-Ihermet, avocat a la cour,
professeur
; 4° Allocution de M. Cruppi. La dixième réouve
" l'Ecole de psychologie se proposait de rendre à la mémoire de M. le
professeur
Liégeois un des premiers membres de son comité de
e D1"Bérillon et M. Guilhermet, avocat à la cour de Paris et tous les
professeurs
de l'Ecole, MM. les D** Paul Magniu, Paul Farez,
tés dont nous avons pu connaître la présence se trouvaient M. Brunot,
professeur
à la Sorbonne, M Le Poittevin, juge au tribunal d
la Cour d'Appel. 3Xaxime Leroy, magistrat â Paris. 3I"*1 L. Bérillon.
professeur
au lycée Molière, etc. Par suite d'irrégularité
étaire général de la préfecture de police, de 31. le Dr Albert Robin,
professeur
a la faculté de 3fédecine. de M. Ballot-Beaupré,
allot-Beaupré, premier président à la Cour de cassation, de M. Diehl.
professeur
a la Sorbonne. de 31. Ribot. de l'Académie França
de 31. Mounier. procureur de la République à Paris, de M. Chavegrin.
professeur
à la Faculté de droit, de M. Lionel Dauriac, prof
M. Chavegrin. professeur à la Faculté de droit, de M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire de l'Université de 3Iontpellier. de M.
professeur honoraire de l'Université de 3Iontpellier. de M. Soùchon,
professeur
à la Faculté de droit, de 31 La Borde, conseiller
de l'Université. L'Ecole de psychologie pur M. le Dr (:::.:]:¦¦.
professeur
A l'Ecole de psychologie. Dès le début de la sé
ité de patronage est venue nous impressionner douloureusement. 31. le
professeur
Brissaud qui nous avait donné des gages si éclata
u au peuple Ottoman le bonheur d'une liberté longtemps désirée, M. le
professeur
Brissaud était venu présider la leçon de réouvert
me d'action le plus capable d'aboutir à la libération de son pays. Le
professeur
Brissaud, par des paroles qui témoignaient k la f
stesse de ses prévisions. Les regrets que nous a inspirés la perte du
professeur
Brissaud sont d'autant plus profonds que nous att
ogie est celle de l'entrée, dans notre comité de patronage, de il. le
professeur
Edmond Perrier, membre*de l'Institut, directeur d
e recevoir un tel concours. Les vues si personnelles émises par M. le
professeur
Edmond Perrier, dans son livre sur les Colonies a
jurisprudence et de son action parlementaire. Réception du buste du
professeur
Liégeois, de Nancy par M. le Dr Bêbillox. Mes
de Nancy par M. le Dr Bêbillox. Messieurs, La mort inopinée du
professeur
Liégeois, due à un de ces accidents qui résultent
mis personnels, une grande impression de regrets. Portrait de M. le
professeur
Liégeois. Immédiatement, un comité internationa
ère éminemment patriotique ayant pour but de perpétuer le souvenir du
professeur
Liégeois dans son pays natal, par l'érection d'un
ses encouragements. Je ne retracerai pas. aujourd'hui, la carrière du
professeur
Liégeois. Buste du professeur Liégeois. Elle
erai pas. aujourd'hui, la carrière du professeur Liégeois. Buste du
professeur
Liégeois. Elle est connue de tous. Je me borner
iples fidèlement attachés à leurs doctrines. Cela n'arrivera pas au
professeur
Liégeois. Il aura ici des continuateurs. Je n'en
ogie qui se rattachent à la jurisprudence. Mais en plus, le fils du
professeur
Liégeois, dont je salue la présence, ne nous rapp
ration de l'Ecole de psychologie pour le caractère et pour l'œuvre du
professeur
Liégeois. Les causes psychologiques de l'erreur
'erreur judiciaire par M. G. Guilhermet avocat à 1» Cour d'appel,
professeur
a l'Ecole de psychologie. En France, un homme c
on d'esprit artistique. C'est à cela qu'il dût d'être un incomparable
professeur
. La bonne humeur de Brissaud n'était qu'une man
ombrables méfaits de la parole. Je livre ce sujet aux méditations des
professeurs
de l'Ecoie de psychologie. Si nous restons sur
ion. J'ai suivi les discussions soulevées par la thèse émise par le
professeur
Gilbert Ballet, au sujet de la responsabilité pén
uridiques, politiques et sociales. Il m'est agréable de féliciter les
professeurs
de l'Ecole de psychologie de l'esprit scientifiqu
isme de la « suggestion à l'état de veille » par M. le Dr Bérillox.
professeur
à l'Ecole de psychologie II. — Les états hypnoïde
. Ces deux qualificatifs seraient également applicables à nombre de
professeurs
émérites, de conférenciers en vogue et de prédica
rendus du 2e Congrès de l'hypnotisme. Paris 1902, p. 144). M. le
professeur
Pitres, avec une instance qui témoigne de l'impor
riac. Grollet, Bridou. Moret. Paul Magnin. Blech. Louis Favreet M. le
professeur
Beauvisage (de Lyon). M. le Président met aux v
et d'anthropométrie qne j'ai l'honneur de dirigera-l'Ecole normale de
professeurs
. Ces données nous font connaître l'enfant type,
s un but pédagogique à Madrid. (Traduction de Mlle Paule Blanchard,
professeur
.) NOUVELLES Enseignement de l'hypnotisme et d
l'Institut des bègues. — Sons la présidence de M. le D' Paul Magnin,
professeur
à l'Ecole de psychologie. LrxT>t 7 Mars. — L
rofessenr au lvcée Molière. — Sous la présidence de M. Gustave Bhloi,
professeur
de philosophie au lycée Louis le Grand. Lcndi 1
urgie, le Dr Roehard. secrétaire général, ayant à retracer l'éloge du
professeur
Berger, le fait eu ternie» d'une haute élévation.
ychothérapie à la faculté de médecine de Paris. Chaque année, M. le
professeur
Albert Bobin demande à quelques médecins d'expose
. le D* Hamaldc de Plombières, qui a suivi avec assiduité le cours du
professeur
Déjerlnc, vient de faire dans le Journal de Médec
auquel nous empruntons les passages suivants : • Les leçons que le
professeur
Déjerlne vient de consacrer aux psychonévroses et
ents. « L'Ecole anatomo-pathologique n'a jamais cru, enseigne M. le
professeur
Déjerlne. que des troubles moraux pouvaient reten
al, lu persuasion. « Tel est, dans ses principes, l'enseignement du
professeur
Déjerine. « Cette Ecole nouvelle, ou la Psychot
uelles convient cette psychothérapie, la persuasion, renseignement dn
professeur
Déjerine s'est terminé par des considérations d'u
ide dans des indications de la psychothérapie telle qne la conçoit le
professeur
Déjerine. II a surtout insisté sur les magnifique
rses perturbations dont sont affectés ces intéressants malades que le
professeur
Grasset considère comme des demi-fous. Le grand r
isme de la « suggestion à l'état de veille » par M. le Dr Bêrillox,
professeur
k l'Ecole de psychologie II. — Les états hypxoï
moralisation d'un certain nombre de traumatisés. La sinistrose que le
professeur
Brissaud a défini : « une idée fixe que tout acci
il provoqué. Dans son livre sur VOccultisme d'hier et aujourd'hui, le
professeur
Grasset raconte le fait suivant : (1) « Un médi
s les émotions inséparables de l'évocation des esprits. (1) Pour le
professeur
Grasset les rapports entre la médiumnité et les a
nseignement de l'hypnotisme et de la psychologie M. le Dr Bérlllox,
professeur
à l'Ecole de psychologie, médecin-inspecteur des
M. le docteur A. Marie (de Villejuif). Comité de rédaction : MM. les
professeurs
Betcherew (de Saint-Pétersbourg), Clodstos (d'Edi
), MM. les docteurs Ma. gnax (de Paris) et Pilcz (de Vienne), MM. les
professeurs
Raïmond (de Paris) et Ziehen (de Berlin). T. Ier
ANNÉE — N°10 Avril 1910. La psychothérapie dans l'enseignement du
professeur
Albert Robin M. le 1 > ? :¦ ¦ : -1 : i r.-1
art, signale dans les termes suivants les heureuses Incursions que le
professeur
Albert Robin, sait, a l'occasion, faire dnns le d
ée lumineuse que peuvent lui euvier les ueurologistes modernes et les
professeurs
de psychiatrie. Il a appelé notre attention sur d
s dois, et a lui dire, en toute conscience, qu'il est un de ces rares
professeurs
qui savent allier le respect de la tradition à l'
aquelle on a donné le nom peu euphonique de psychasthé-nie et que les
professeurs
Janet et Raymond considèrent, peut-être incorrect
ffets bien satisfaisants. Dans une consultation à laquelle assista le
professeur
Brown-Séquard il fut convenu qu'on ajouterait à l
istinctes. L'un d'eux est le polygone supérieur où, d'après l'éminent
professeur
de Montpellier, s'élaborent les pensées les plus
e bienfaisante que propageait avec une séduisante maîtrise le célèbre
professeur
Trousseau. Si le médecin est appelé à secourir
que les phobies, s'appelle la méthode psycho-analytique. Créée par le
professeur
Freud, cette méthode consiste dans l'analyse des
et trouve intéressants sans qu'on sache pourquoi. {Traumdentreng). Le
professeur
Freud dit que le rêve est le reflet de ce que l'o
ovembre de cette année au « Yortblldungs-kursus » dans la clinique du
professeur
Krœpelin (Munich), lors d'une séance organisée pa
hez elle, certaines altérations lesquelles, d'après les recherches du
professeur
Walthard,(i\ peuvent avoir une origine purement p
1/hypnotisme dans l'œnvre de Bjœrnstjerne-Bjœrnson. — Un hommage au
professeur
Kaymond Le gi-and dramaturge norvégien Bjœrnstj
urraient s'y reporter avec fruit. * * * Les ami3 ot les élèves du
professeur
Raymond ont eu l'excellente Idée de commémorer sa
e s'associer à cette affectueuse manifestation. SI tous les élèves du
professeur
Raymond et tons ceux qui ont eu à se louer de sa
es diapasons dans la production de l'hypnotisme par le Dr Bêrillox,
professeur
h l'Ecole de psychologie Chez l'homme, aussi bi
524. (2) Les ligures I et 2 proviennent de clichés exécutés par M. le
professeur
Paul Bernard ci que je dois a su libéralité.
M. le professeur Paul Bernard ci que je dois a su libéralité. Le
professeur
Pitres a également en recours à ce procédé d'hypn
galement ce qu'en décrit Liébeault sous le nom d'état de charme et le
professeur
Beaunis sous celui de veille som/iambaliqae. Les
e de projection, l'on ne sache se ranger assez vite, auquel cas les «
professeurs
» savent employer l'adresse, voire la force pour
r Naumoff, viennent de nous donner leur opinion sur ce point. Pour le
professeur
Cappellati, la question n'est pas douteuse. Xaumo
dant, lui a insufflé l'idée d'un crime irrésistiblement accompli Le
professeur
Bianchi, adoptant la thèse de la suggestion hypno
n crime sons l'influence d'une suggestion. Mais, les conclusions du
professeur
Morselli, de Gênes, qui fut chargé spécialement d
a rougi au procès an moment d'exposer certains détails délicats. Le
professeur
Morselli déelare que la séduction exercée par la
donnant ainsi la preuve d'être une aboulique de l'hystérie. > Le
professeur
Morselli s'est également étendu sur les symptômes
d'action. Nous serions assez disposé à nous rallier à l'opinion du
professeur
Morselli. En effet, ce qui caractérise l'hystériq
le sujet que l'on hypnotise. Avec la Tarnowska, si l'on en croit les
professeurs
Cappellati et Biunchi, le rôle aurait été renvers
me et de la psychologie. Ecole de psychologie. — M. le Dr Bérxllox,
professeur
& l'Ecole de psychologie, médecin-inspecteur
pressions qno lni avalent lnsplreos do magistrales leçons de MAI. les
professeurs
Dien-lafoy, Albert Bobin et Huchard. Aujourd'hui
irable d'exposer les questions. « Quelque temps après, écrit-Il, le
professeur
A. Bobin priait le D' Bérillon d'exposer a ses él
eut rendre a la thérapeutlqno et spécialement à la psychothérapie, le
professeur
Albert Bobin savait d'avance que son substitut d'
juste hommage à la psychothérapie telle qu'elle est enseignée par le
professeur
Grasset, par Dubois, do Berne, etc., et on accord
sont de vrais systèmes pédagogiques puisque, comme le dit Frœbel, le
professeur
fait en toute chose œuvre de raison avec l'enfant
té d'hypnologie et de psychologie, p. 1. Beaunis (Discours de M. le
professeur
) p. 69. Bérillon (Discours dn Dr), P- 97. Bon
ours dn Dr), P- 97. Bonjean (Discours de M.), p. 99. Brissaud (Le
professeur
), p 193. Chirurgien (L'âme du), par Ro- chard
cination auditive, par Bérillon, p. 322. Floquet (Discours de M. le
professeur
), p. 65. Giard (Monument en l'honneur du profes
scours de M. le professeur), p. 65. Giard (Monument en l'honneur du
professeur
), p. 61. Graphologie et quelques défaillances h
de), par Guilher-met, p. 18. Liégeois (Inauguration du monument du
professeur
), p. 65, 97, 130, 228. Libre arbitre (A propos
du membre supérieur, par Lupianez, p. 155. Monument à la mémoire du
professeur
Liégeois, p. 1. Morphinomanie (Le traitement de
lté de Médecine, p. 161, 258. Psychothérapie dans l'enseignement du
professeur
Albert Bobin, p. 289. Baymond (Un hommage au pr
ignement du professeur Albert Bobin, p. 289. Baymond (Un hommage au
professeur
), p. 322. Rééducation des fonctions digesti-ves
la), par Bérillon, p. 162, 195, 240, 273. Teissier (Le jubilé du
professeur
), p. 195. Tendances criminelles chez les enfant
iots (Le droit de), par Bérillon, p. 341. TABLE DES GRAVURES Le
professeur
Brissaud, p. 193. Portrait de M. le professeur
ABLE DES GRAVURES Le professeur Brissaud, p. 193. Portrait de M. le
professeur
Liégeois, p. 228. Buste du professeur Liégeois,
ud, p. 193. Portrait de M. le professeur Liégeois, p. 228. Buste du
professeur
Liégeois, 229. Etat cataleptique provoqué par l
remier congrès a réuni en 1889 un nombre considérable de médecins, de
professeurs
, de philosophes, de magistrats, d’avocats et de s
e la Société d’hypnologie. Vice-Présidents. MM. Dauriac (Lionel),
professeur
honoraire à la Faculté des lettres. le docteur
professeur honoraire à la Faculté des lettres. le docteur Grasset,
professeur
à la Faculté de médecine de Montpellier. Liégeois
rasset, professeur à la Faculté de médecine de Montpellier. Liégeois,
professeur
à la Faculté de droit de Nancy. Melcot, avocat
hiques et sociales. Présidents d’honneur. MM. le docteur Joffroy,
professeur
à la Faculté de médec ine de Paris, le docteur Ra
y, professeur à la Faculté de médec ine de Paris, le docteur Raymond,
professeur
à la Faculté de médecine de Paris, le docteur Ric
sseur à la Faculté de médecine de Paris, le docteur Richet (Charles),
professeur
à la Faculté de médecine de Paris. le docteur D
teur DüRaND de Gros. le docteur Liébeault, de Nancy. Soüry (Jules),
professeur
à l'ÉcoIe pratique des Ilautes-Études. Membre
és de la Seine, directeur de la Revue de VHypnotisme. le Dr Bernheim,
professeur
à la Faculté de Nancy. Boirac, recteur de l’Aca
le Dr Briand, médecin en chef de l’Asile de Villejuif. Caustier,
professeur
au lycée Hoche. Colas, président de la Société
ulté. le Dr Farez (Paul), licencié en philosophie. le Dr Grasset,
professeur
de la Faculté de Montpellier. le Dr Legrain, mé
le Dr Legrain, médecin do l’asile de Ville-Evrard. le Dr Lèpine,
professeur
de la Faculté de Lyon. Liégeois, professeur de
Evrard. le Dr Lèpine, professeur de la Faculté de Lyon. Liégeois,
professeur
de la Faculté de droit de Nimcy. Magnin (Paul),
le Dr Pau de Saint-Martin, médecin-major de lr* classe, le Dr Pitres,
professeur
de la Faculté de Bordeaux, le Dr Richer (Paul), m
ine, le Dr Rodin (Albert), membre de l'Académie de médecine. Tarde,
professeur
au collège de France. Toutée, (Paul), vice-prés
ant de la pratique de l’hypnotisme expérimental. Rapporteur : M. le
professeur
Boirac. Première liste de communications. Bér
marine. — L’Académie royale de médecine de Belgique a délégué M. le
professeur
Masoin de Louvain, pour la représenter officielle
a délégué pour la représenter M. le colonel Manuel Mondragon et M. le
professeur
Ferrari Perez. — La république de l'Equateur
iguez Zambrano. — Le gouvernement royal de Roumanie a délégué M. le
professeur
Thomas Tonesco, de Bucarest. — La Société des M
Société médicale d'Athènes a délégué M. le Dr Georges Caryo-piiyllis,
professeur
agrégé à l’Université d’Athènes. — La Société d
lieu le dimanche 12 août, à trois heures, sous la présidence de M. le
professeur
Raymond, membre de l’Académie de médecine. 1° D
trière, président du congrès. 2° Discours d’inauguration, par M. le
professeur
Raymond, président d’honneur du congrès. 3° Com
la Salpôtrièrc Une jeune fille de 18 ans, élève du Conservatoire et
professeur
de musique, économe, travailleuse, rangée, est sé
fille croit à son efficacité. N. B. — Quinze jours plus lard M. le
professeur
Raymond présentait à nouveau cette malade compète
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
— La Société d'études psychiques qui a pour président d'honneur M. le
professeur
Ch. P^ciiet a procédé dans la séance du 3 mai 190
es Voisin, président du Congrès. — Discours d’inauguration, par M. le
professeur
Raymond, président d’honneur du Congrès. — Commun
ltant de la pratique de l'hypnotisme expérimental. Rapporteur : M. le
professeur
Boirac. — Discussion. A 5 h. — Réception à l’Hô
a délégué pour la représenter M. le colonel Manuel Mondragon et M. le
professeur
Ferrari Perez. — La république de l'Equateur a
iguez Zambrano. — Le gouvernement royal de Roumanie a délégué M. le
professeur
Thomas Tonesco, de Bucarest. — Le gouvernement
ociétés — L’Académie royale de médecine de Belgique a délégué M. le
professeur
Masoin, de Louvain,pour la représenter officielle
Société médicale d’Athènes a délégué M. le Dr Georges Caryo-phyllis,
professeur
agrégé à l'Université d'Athènes. — La Société c
de la psychothérapie. A l’une de ses dernières leçons du mardi, le
professeur
Raymond présentait un homme chez lequel une alcoo
ses aux lois de l’hérédité. Myopie par auto-suggestion, par M. le
professeur
Peters, Allgem. Zeitsch.für. Psych., août 1899.
M. le professeur Peters, Allgem. Zeitsch.für. Psych., août 1899. Le
professeur
Peters a trouvé celte fausse myopie chez six écol
cc qui représente une moyenne de 340 par an ! Un centaure. Les
professeurs
du Collège médical de Memphis, racontent les jour
ologiques de l’hypnotisme, et placé sous le patronage desavants cl de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
Liébeault. Mais, de même, il combattit résolument l'intransigeance du
professeur
Bernheim; il refusa d’accorder que la suggestion
lacé au deuxième C ongrès de l’hypnotisme. • • F. TÎavmonii l.o
professeur
Raymond qui fui, dès la première heure, ot qui
l.o professeur Raymond qui fui, dès la première heure, ot qui Le
Professeur
F. Raymond est resté, depuis lors, un membre fi
se compréhensive et d’originalité puissante. Grâce à l’impulsion du
professeur
Raymond, l’hypnotisme de la Salpêtrière qui, avec
s et Idées fixes. Et cela même explique l’empressement avec lequel le
professeur
Raymond est venu à notre congrès où rhvpnotisme a
sychologie. A ce même Institut, il a groupé autour de lui un corps de
professeurs
dévoués dont les conférences, faites devant un no
atant de six ans, et traitée sans aucun succès depuis six mois par le
professeur
Bernheiin. Alors celui-ci se décida à se ren- (
vembre 1808. «ire à la modeste clinique de la rue de Bellevue. Le
professeur
rie la Faculté de médecine souriait des pratiques
is pari M. le L)‘Jules Voisin, président; M. le Dr Paul Magnin; M. le
professeur
Lionel Dauriae, vice-présidents; M. le Dr Bérillo
CES Alcoolisme, dipsomanie et suggestion hypnotique (I). I'ar M. le
professeur
Raymond. Cet homme présente une série de phénom
donnant de nombreuses marques de son estime et de son dévouement, le
professeur
Raymond, membre de l'Académie de Médecine, nous a
ont été, de divers côtés, cordialement accueillis et même fêtés. Le
professeur
Raymond, son chef de clinique, et les chefs des d
a composent sont MM. les Drs Jules Voisin et Bérillon (de Paris), les
professeurs
Régis (de Bordeaux), Spehl (de Bruxelles), Tambu-
e Dr Wolf, de Hambourg. A utriche-Hongrie. M. le Dr Krafft-Ebing,
professeur
à l Université de Vienne. Fr. Von Thielen, à Vi
ue. M. le Dr MaSOin. délégué de l’Académie de médecine de Belgique,
professeur
à l’Université de Louvain. M. le Dr Crocq (Jean
gique, professeur à l’Université de Louvain. M. le Dr Crocq (Jean),
professeur
agrégé à l’Université de Bruxelles. M. le Dr Sp
fesseur agrégé à l’Université de Bruxelles. M. le Dr Spehl (Emile),
professeur
à l'Université de Bruxelles. M. le Dr Van Velse
er, de Montréal. M. le Dr Mercier, de Montréal. M. Trudeau, Léon,
professeur
, de Montréal. Équateur. M. le Rr Rafaël Rodri
. le Dr Vicente Hernandez Irala, Séville. M. le Dr Sanchez-Herrero,
professeur
à la faculté de Madrid. États-Unis. M. Clark
iety, délégué du gouvernement, New-York. M'* le Dr Lucy Hall Brown,
professeur
au Vassar collège, déléguée du gouvernement. M.
Mr* de Vaux-Roger-Maynard, Boston (Massachussets). Mme Rosa Vincent
professeur
, Mont-Vernon (New-York). M. Zblîqzon, professeu
Mme Rosa Vincent professeur, Mont-Vernon (New-York). M. Zblîqzon,
professeur
à l’Américan Institut of anthropology. Cleveland
in de la Pitié, Paris. M. le Dr Baraduc, Paris. M. le Dr Beaunis,
professeur
honoraire et directeur honoraire du laboratoire d
Bérillon, Eugène, publiciste, à Guerchy (Yonne). M. le Dr Bernhkim,
professeur
à la Faculté de médecine de Nancy. M. le DrBir.
leDf Briand, médecin en chef de l’asile de Villejuif. M. Caustier,
professeur
au lycée Iloche. >[“• la comtesse de La Chap
édecin de l'Asile d’aliénés de La Roche-sur-Yon. M. Lionel Dauriac,
professeur
de Faculté, chargé du cours d’esthétique musicale
Paris. M. de Fontexay, avocat à la Cour, Paris. M. le Dr Grasset,
professeur
à l’Universilé de Montpellier. M. Gajllardot, l
r du laboratoire de psychologie à la Salpctrière. M. le Dr Joffroy,
professeur
de maladies mentales à la Faculté de médecine de
nicipal. M. Lépinay, médecin-vétérinaire, Paris. M. le Dr Lépine,
professeur
à l'Université de Lyon. M. le Dr Liébeault, de
eois, correspondant de l'Académie des sciences morales et politiques,
professeur
à l'Université de Nancy. M. le Dr Le Menant des
x. M. Marin, Paris. M. Mathys, chef de bureau, Paris. M. Méric,
professeur
à la Sorbonne. M. de Milloué, conservateur du m
à Paris. M. le Dr Moutin, Roulogne-sur-Seine. M. Moreau-Bérillon,
professeur
à Reims. M. Muteau, député, à Paris. M. le
Pistor, délégué du ministère de la guerre, Paris. M. le Dr Pitres,
professeur
à ¡'Université de Cordeaux. M. le Dr Régis, pro
e Dr Pitres, professeur à ¡'Université de Cordeaux. M. le Dr Régis,
professeur
à ¡'Université de Bordeaux. M. Regismanset, doc
cher, membre de l’Académie de médecine, Paris. M. le Dr Ch. Richet,
professeur
à la Faculté de médecine de Paris. M. le Dr Raf
lix Regnault, ancien interne des hôpitaux, Paris. M. le Dr Raymond,
professeur
de clinique des maladies nerveuses à la Faculté d
nèque, à Pierrefitte. Mme Sorgues, publiciste, à Paris. M. Tarde,
professeur
au Collège de France. M. le Dr Terrien, des Ess
. M. le Dr Watteau, avocat, Paris. Grèce. M. leDr Caryophyllis,
professeur
agrégé à la Faculté, délégué de la Société médica
m. Islande. MUe Dagmar Bjap.narson. Italie. M. le Dr Bianchi,
professeur
agrégé à l'Université de Parme. M. Giulio Fried
edmann, de Rome. M. le Dr Manfroni, à Turin. M. le Dr Lombroso,
professeur
à l’Univcrsité de Turin. M. le comm. Luigi Robe
le comm. Luigi Robecciii Bricchetti, de Pavie. M. le Dr Tamburini,
professeur
de psychiatrie, médecin en chef de l’asile de Reg
Mexique. M. le colonel Moxdragox, délégué du gouvernement. M. le
professeur
Ferrari Perez, délégué du gouvernement. Perse
diant en médecine, Vilna. Roumanie. M. le Dr Thiron (Constantin),
professeur
à la faculté de Jassy. M. le Dr Marinesco, prof
(Constantin), professeur à la faculté de Jassy. M. le Dr Marinesco,
professeur
de clinique des maladies nerveuses à la faculté d
aladies nerveuses à la faculté de Bukarest. M. le DrThomas Tonesco,
professeur
de clinique à la faculté de Bukarest, délégué du
Dr Hélène Koneff, à Saint-Pétersbourg. M. le Dr Korsakoff (Serge),
professeur
de psychiatrie à l’Université de Moscou. M. le
ilosophie, de Christiania, délégué du gouvernement. M. Moürly Vold,
professeur
à l’Université de Christiania. M. le Dr Wetters
ublique du Mexique a délégué M. le colonel Manuel Mon-dragon et M. le
professeur
Ferrari Perez. — La république de l'Equateur a
iguez Zambrano. — Le gouvernement royal de Roumanie a délégué M. le
professeur
Thomas Tonesco, de Bucarest. — Le gouvernement
s. — La république des États-Unis a délégué le Dr Lucy Ilall Brown,
professeur
au Vassar collège, New-York. — Le Conseil mun
OCIÉTÉS — L’Académie royale de médecine de Belgique a délégué M. le
professeur
Masoin, de Louvain. — La Société des médecins a
Société médicale d’Athènes a délégué M. le Dr Georges Caryo-phyllis,
professeur
agrégé à ¡‘Université d’Athènes. — L’Américan i
sité d’Athènes. — L’Américan institut of psychology a délégué M. le
professeur
Zéliqzon (de Cleveland). — La Médico-légal Soci
session du 2e Congrès international de l’IIypnotisme. Il invite M. le
professeur
Iîaymond, président d’honneur du Congrès à occupe
ace sur l’estrade, M. le Dr Jules Voisin, président du Congrès, M. le
professeur
Gariel, délégué général des Congrès, M. le Dr Vin
enterghem. délégué de la Société des neurologistes de Hollande, M. le
professeur
Grasset, de Montpellier, vice-président du Congrè
Dr Caryo-phillis, délégué de la Société de médecine d’Athènes, M. le
professeur
Zeliqzon, délégué de l’Américan Institut ofanthro
Equateur, M. Ferrari Perez, délégué du gouvernement du Mexique, M. le
professeur
Aars, délégué du gouvernement de la Norvège. M.
de la Société d'hypnoiogie. Vice-Présidents : MM. Daüriac (Lionel),
professeur
honoraire à la Faculté des Lettres de Montpellier
ionel), professeur honoraire à la Faculté des Lettres de Montpellier,
professeur
de philosophie au lycée Janson de Sailly ; le D«-
professeur de philosophie au lycée Janson de Sailly ; le D«-Grasset,
professeur
à la Faculté de médecine de Montpellier ; Liégeoi
asset, professeur à la Faculté de médecine de Montpellier ; Liégeois,
professeur
à la Faculté de droit de Nancy ; Melcot, avocat g
ilosophiques et sociales. Présidents d'honneur : MM. le Dr Joffroy,
professeur
à la Faculté do médecine de Paris ; le Dr Raymond
offroy, professeur à la Faculté do médecine de Paris ; le Dr Raymond,
professeur
à la Faculté de médecine de Paris ; M. le Dr Char
ofesseur à la Faculté de médecine de Paris ; M. le Dr Charles Richbt,
professeur
à la Faculté de Paris; le I)r Durand de Gros; le
ris; le I)r Durand de Gros; le Dr Liébeault, de Nancy; Soury (Jules),
professeur
de l'Ecole pratique des Hautes Etudes. Sont ens
rlin), M. le Dr Von Sciip.enk-Notzing (de Munich). Belgique : M. le
professeur
Spehl (de Bruxelles), M. le Dr Crocq (de Bruxelle
nández (de Séville). Etats-Unis: M. Clark Bell (de New-York), M. le
professeur
Zeliqzon (de Cleveland, Ohio). Grande-Bretagne
Grande-Bretagne : M. le Dr Lloyd-Tuckey (de Londres). Grèce: M. le
professeur
Caryophyllis. Hollande : M. le Dr Van Renterghe
rghem (d'Amsterdam), M. le Dr de Jong (de La Haye). Norvège : M. le
professeur
Aars (de Christiania). Italie : M. le professeu
Norvège : M. le professeur Aars (de Christiania). Italie : M. le
professeur
Tamburini (de Reggio-Emilia), M. le Dr Bîanchi (d
miner cette allocution et de donner la parole à mon excellent ami, le
Professeur
Raymond, notre Président d’honneur, permettez-moi
s les organisateurs du Congrès. {Applaudissements prolongés). M. le
professeur
Raymond prend ensuite la parole : Discours de M
hargées, qui se sont tenues sous la présidence de M. Jules Voisin, le
professeur
Raymond étant président d’honneur, de nombreuses
Bucarest ; M. Tamburini, de Rome, etc., etc. a Sur l’estrade, M. le
professeur
Raymond, président d’honneur; M. J. Voisin, médec
e, président effectif; le docteur Bérillon, secrétaire perpétuel ; le
professeur
Gariel, délégué du gouvernement. « Le docteur J
ieux services au point de vue thérapeutique et pédagogique. « M. le
professeur
Raymond, après avoir rendu hommage à son illustre
igny, reproduisant en entier le discours du président d’honneur M. le
professeur
Raymond, a fait ressortir !e caractère essentiell
tisme expérimental et thérapeutique vient de se tenir à Paris. « Le
professeur
F. Raymond, à qui avait été attribuée la présiden
ont été encore plus appréciables. Les travaux de M. Liébeault et des
professeurs
de l’Ecole de Nancy ont démontré d'une façon indi
« Que reste-t-il de ces querelles? II reste un admirable discours du
professeur
Raymond. Je vous dirai avec lui que les recherche
s ont amplement concouru au succès de ce Congrès. Citons, d’abord, lo
professeur
Raymond, le successeur de Charcot. C’est un maîtr
la médecine légale. Leçon faite à la Faculté de médecine par M. le
professeur
Brouardel I. — Sommeil naturel. 11 est possib
(2) Hofmann, Nouveaux cléments de médecine légale] Commentaires du
professeur
Brouardel, p. 129. jours plus tard, la fille
ent été nommés chevaliers de la Légion d’honneur. Le premier, M. le
professeur
Boirac, actuellement recteur de 1*Académie de Gre
logiques de l’hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
ollaborateurs delà Revue et à tous ceux qui l’ont connu. E. B. Le
Professeur
Korsakoff. Quelques jours avant l’ouverture du
olisme, le bureau du Congrès a reçu la pénible nouvelle de la mort du
professeur
Korsakoff, de Moscou, qui s’était fait inscrire p
une communication et avait annoncé sa collaboration au Congrès. Le
professeur
Korsakoff avait de nombreux titres à l'affection
donner ce cours jusqu'en 1896, c’est-à-dire jusqu’à la nomination du
professeur
Winkler à la chaire de Neurologie et de Psychiatr
nce et l’opposition du corps législatif pour arriver à ses iîn. Nommé
professeur
de psychiatrie et de neurologie à l’université d’
cteur Winkler à la faculté de médecine de son université libre, comme
professeur
de neurologie el de psychiatrie, lui donnant en m
que dans scs deux hôpitaux civils. Quoique surchargé de besogne, le
professeur
Winkler a dès le début suivi et étudié les tr
énomènes morbides devant la suggestion hypnotique. Nouvellement nommé
professeur
de psychiatrie et de neurologie à l'université de
ressant volume. Depuis bientôt deux ans un jeune médecin, élève des
professeurs
Münsterberg, Ziehen et Winkler, le docteur P. Bie
. Un adepte de l’Ecole de Nancy, le docteur W. Huet, autre élève du
professeur
Winkler, réside à Harlem. Depuis deux ans qu’il s
plusieurs médecins exerçant la psychothérapie; Que les deux uniques
professeurs
de psychiatrie ([Université d’Amsterdam et celle
la médecine légale. Leçon faite à la Faculté de médecine par M. le
professeur
Brouaiidel (suite) III. — Sommeil provoqué pa
(2) Hofmann, Nouveaux éléments de médecine légale ; Commentaires du
professeur
BrouardeJ, issi, p. 129. (S) Tanner, Monatschri
lequel on a tort de ne pas insister, d’autant plus que M. Petitjean,
professeur
au lycée Buffon, est l’un de nos hellénistes les
rtent en relief les signes Braille, correspondant aux lettres. Le
professeur
Lombroso, qui a étudié la complexion de tous les
logiques de l’hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
e l’hypnose présentaient une telle hyperexcita-bilité nerveuse que le
professeur
Jamin, après avoir assiste aux expériences disait
s devons citer !e compte-rendu publié dans la Presse Médicale, par le
professeur
Déjérine. il n’y a certainement pas en France de
C’est pourquoi nous avons tenu à reproduire in-extenso les paroles du
professeur
Déjérine, convaincu que la lecture en sera instru
ainsi que les penseurs. » Nous n’avons rien à ajouter aux éloges du
professeur
Déjé-rine. La conscience scientifique, l'esprit c
le Dr Virgilio de Rézende, de M. Scghers, publicistc, et de M. Faure,
professeur
. Ces candidatures sont adoptées à l’unanimité.
nation et auraient été retrouvés vivants trente-sept jours plus tard (
professeur
Dewar) (*). Le sommeil hibernal existe chez l’h
L'hypnotisme et la psychologie musicale. Par M. Lionel Dauriac
Professeur
honoraire à la Facultó des Lettres do Montpellier
SAVANTES L'éloge de Charcot & PAcadémie de Médecine. ParM. le
Professeur
Derove. La séance annuelle de l’Académie de Méd
de l’Académie de Médecine a eu lieu le mardi 18 décembre dernier. Le
professeur
Debove y a lu un très remarquable éloge de Charco
logiques de l’hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
ue.) Vendredi 1cp Mars, à huit heures et demie, M. Eugène Caustier,
professeur
agrégé de l’Université, fera une conférence sur :
bêtes. Vendredi 8 Mars, à huit heures et demie. M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire de la Faculté de lettres de Montpellier
gique. COURS DE 1901 Hypnotisme thérapeutique. M; le Dr Bérillon,
professeur
. Objet du cours : Analyse élémentaire des phéno
lundi 21 janvier. Hypnotisme expérimental. M. le Dr Paul MaGnik,
professeur
. Objet du cours: L’hypnotisme chez, les hystéri
ndi 21 janvier. Hypnotisme sociologique. M. le Dr Félix Regnault,
professeur
. Objet du cours : La vie de Jésus devant l’hypn
nvier. Psychologie normale et pathologique. M. le Dr Paul Faiiez,
professeur
. Objet du cours : L’œuvre de Durand de Gros et
amedi 2.9 janvier. Psychologie de l’enfant. M. le Dr Bellemamêre,
professeur
. Objet du cours : Du rôle de la suggestion dans
r du jeudi 2 4 janvier. Psychologie dn criminel. M. le Dr Wateau,
professeur
. Objet du cours : De la responsabilité dans les
er. Psychologie des foules et Folklore. M. le Dr Henry Lemesle,
professeur
. Objet du cours : De la suggestion dans les sup
tir du mercredi 23 janvier. Psychologie comparée. M. E. Caustier,
professeur
, agrégé de l'Université. Objet du cours : Les f
ère Walcan Lemesle Cours d’Esthétique musicale M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire à la Faculté des Lettres de Montpellier
ogique, 49, rue Saint-André-des-Arts, sous la présidence de M. Tarde,
professeur
de philosophie moderne au Collège de France, memb
les et politiques. Aux côtés de M. Tarde, avaient pris place tous les
professeurs
de I’Ecole, MM. les Dr* Bérillon, Paul Magnin, Fé
ult, Paul Parez, Bellcmanière, Wa-teau, Henry Lemesle et M. Caustier,
professeur
agrégé de l’Université. Une assistance extrêmem
cho-physiologique. Elle était composée de médecins, de magistrats, de
professeurs
de ¡’Université, de publicistes et d’étudiants de
s et d’étudiants de toutes les facultés. Après avoir remercié M. le
professeur
Tarde de l'honneur qu’il faisait à I’Ecole de psy
S crils et l’exposé des travaux publiés, de 1889 à 1897, par les
professeurs
et les élèves de l’institut psycho-physiologique.
vs, Albert liobin, membres de ¡’Académie de médecine, Charles Richet,
professeur
à la Faculté de médecine, M. Monod, directeur de
y, directeur à l’Ecole des Hautes études. M. le D1 Liébeault et M. le
professeur
Liégeois, furent dans ce comité de patronage, les
ulte de sa mémoire. Les autres conférenciers furent Lionel Dauriac,
professeur
honoraire à la Faculté des lettres de Montpellier
seur honoraire à la Faculté des lettres de Montpellier ; Jules Soury,
professeur
d’anatomie du sj-stème nerveux; le mathématicien
D'* Collineau, Saint-IIilairc, Oscar Jcnnings, Max Nordau, Bian-chi,
professeur
agrégé à l’Université de Parme,l’inventeur de la
el nous jugeons utile d’insister c’est que notre école n’astreint les
professeurs
qui la composent, pas plus dans leur enseignement
e la propagation de ce néo-mysticisme psychologique, contre lequel le
Professeur
Morselli s’élevait récemment avec tant de logique
En accordant à notre initiative l'appui de sa haute autorité, M. le
professeur
Tarde nous a fait un honneur dont nous apprécions
èles serviteurs de la vérité scientifique. Après ce discours, M. le
professeur
Tarde a prononcé l’allocution suivante : Messie
un exposé magistral des rapports de l’hystérie et de l’hypnotisme, le
professeur
a terminé sa leçon en représentant avec l’aide de
: Dr Henry Lemesle. Anatomie et psychologie comparée : E. Caustier,
professeur
agrégé de l'Université. De la suggestion hypn
scientifiquement observées sont venues s’ajouter : M. Kogevnikoff,
professeur
à l'Université de Moscou, a rapporté un cas de gu
e produit ainsi quelques guérisons retentissantes. D'autre part, le
professeur
Carpentier a montré qu’on pouvait aggraver son ma
penser constamment et fortement aux mouvements que l’on exécute : le
professeur
a toujours grand soin de vous le recommander. T
. Cette observation mérite d’être rapprochée des savants travaux du
professeur
Lannelongue sur le traitement de l’idiotie par la
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
.J Vendredi Ier Mars, à huit heures et demie, M. Eugène Caustier,
professeur
agrégé de l’Université, fera une conférence sur :
bêles. Vendredi 8 Mars, à huit heures et demie. M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire de la Faculté de lettres de Montpellier
u le lundi 21 janvier, à cinq heures, sous la présidence de M. Tarde,
professeur
au Collège de France. Hypnotisme thérapeutique.
u Collège de France. Hypnotisme thérapeutique. M. le Dr Bérillon,
professeur
. Objet du cours : Analyse élémentaire des phéno
lundi 21 janvier. Hypnotisme expérimental. M. le Dr Paul MaGnin,
professeur
. Objet du cours: L’hypnotisme chez, les hystéri
ndi 21 janvier. Hypnotisme sociolcgiqne. M. le Dr Félix RegnaULT,
professeur
. Objet du cours : La vie de Jésus devant l’hypn
vier. Psychologie normale et pathologique, M. le Dr Paul Farez,
professeur
. Objet du cours : L’œuvre de Durand de Gros et
credi 23 janvier. Psychologie de l’enfant. M. le Dr Bellemaniêre,
professeur
. Objet du cours : Du rôle de la suggestion dans
ir du jeudi 24 janvier. Psychologie dn criminel. M. le Dr Wateau,
professeur
. Objet du cours : De la responsabilité dans les
vier. Psychologie des foules et Folklore. M. le Dr Henry LbmbSle,
professeur
. Objet du cours : De la suggestion dans les sup
nvier. Anatomie et Psychologie comparées. M. E. Caustier, agrégé,
professeur
de l’Université. Objet du cours : Le neurone et
t esquissée, le 9 février 1895, devant la Société de biologie, par le
professeur
René Lépine, théorie dont il avait eu ia première
t met aux voix la candidature de MM. le Dr Aragon et Philippe Martin,
professeur
. Ces candidatures sont adoptées à l’unanimité.
ouve dans l’hystérie {'). C'était du reste le diagnostic que fît le
professeur
Hardy; il le traita de « femme hystérique ». Pour
gestions est encore sous la dépendance des sentiments affectifs. Le
professeur
Brouardel, traitant dans son cours de médecine lé
ait rallié Delbœuf après avoir été d’un avis différent. La formule du
professeur
Brouardel a donné lieu à de vives controverses en
econnu MM. les Dri Jules Voisin, médecin de la Salpétrière, Topinard,
professeur
d'anthropologie, Oabanès, directeur de la Chroniq
ronique médicale, Courtault, directeur des Tablettes médicales, M. le
professeur
Lionel Dauriac, MM. les Dr* Jaguaribe (de San Pau
s, MM. les Dr* Goring (de Londres), Vannini (de Bologne), Ranâ, M. le
professeur
Aars (de Constantinople), M. le médecin-major Lux
s médecins-vétérinaires Lépinay, Lavault, Fayet et un grand nombre de
professeur
de l’Université. Un perroquet savant. La gran
ts pourront étudier sa bizarre structure. Le sommeil hivernal. Un
professeur
.de l’université de Prague, M. le Df Nesaryk, vien
és à la conscience et à la capacité des médecins traitants;... » Le
professeur
Ramon y Cajal. dont les remarquables travaux sur
logiques de l’hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
ite) Vendredi 1er Mars, à huit heures et demie, M. Eugène Caustier,
professeur
agrégé de l'Université, fera une conférence sur :
bêtes. Vendredi 8 Mars, à huit heures et demie. M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire de la Faculté de lettres de Montpellier
n est fixée au lundi 21 janvier 1901, sous la présidence de M. Tarde,
professeur
au Collège de France, membre de l’institut et de
lisme sous l’influence d'une suggestion involontaire (»)• Par M. le
professeur
Raymond. Voici une jeune fille de dix-neuf ans
ervation d’un cas de psoriasis émotif, prise jadis dans le service du
professeur
Pournier. Un homme âgé de 44 ans éprouva un choc
e placent les conseils si magistralement établis par notre maître, le
professeur
Pinard, sous le nom de Puériculture. C’est en sui
logiques de l’hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
x. Dans la précédente séance, un de nos distingués collègues, M. le
professeur
Oaustier, a fait connaître à la Société le résult
les cotisations à M. Albert Colas, trésorier, 1, place Jussieu. Le
professeur
Joffroy à l’Académie de médecine Par 65 voix su
Joffroy à l’Académie de médecine Par 65 voix sur 7i votants, M. le
professeur
Joffroy a été élu à l’Aca-démic de médecine. De
clairs les plus limpides du monde, l’éminent médecin de Sainte-Anne,
professeur
de Clinique des maladies mentales à la Faculté, d
a décrites le premier en 1S79, un an avant la première publication du
professeur
Leyden, de Berlin. Et ce sont là travaux de premi
ro et que nous sommes heureux de reproduire ici, en exprimant à M. le
professeur
Jofîroy nos sincères et respectueuses félicitatio
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
Cette coutume explique une histoire curieuse qui serait arrivée à un
professeur
de pathologie générale, Nafiz-pacha, de Constanli
un chapitre des plus intéressants de la médecine d’imagination. Le
professeur
Déjerine M. le Dr Déjerine, qui vient d’être no
Le professeur Déjerine M. le Dr Déjerine, qui vient d’être nommé
professeur
d’histoire de la médecine à la Faculté de Paris,
ions légitimes aux succès scientifiques de son mari. Les travaux du
professeur
Déjerine sont si importants et si nombreux qu’il
essive de l’enfance, les névrites toxiques et infectieuses, etc. Le
professeur
Déjerine a publié récemment deux volumes importan
entes, par Féré, p. 58. Index bibliographique, p. 64. Joffroy (Le
Professeur
), p. 350. Juridique (Un attendu) à retenir, p.
ar Donath, p. 59. Posologie de l’hypnotisme, par Bonjour, p. 310.
Professeur
Déjerine (Le), p. 377. Prophylaxie religieuse (
méd. de l'Asile de Lafond ; Paul MAGNIN; MOLL (de Berlin); MORSELLI,
professeur
à l'Université de Gênes; RAFFEGEAU (du Vésinet);
emme, 22 personnes suivantes : 8 médecins, MM. Bujwid, bactériologue,
professeur
à la faculté de Cracovie; Ilarusewicz; Heryng, la
e laboratoire fondé en 1889 à la Sorbonne, sous la direction de M. le
professeur
Beaunis, a déjàproduit de nombreux et intéressant
de la Salpétrière, Poubelle, préfet de la Seine, Raymond et Jeoffroy,
professeurs
à la faculté de médecine, G. Ballet, professeur a
Raymond et Jeoffroy, professeurs à la faculté de médecine, G. Ballet,
professeur
agrégé à la faculté, Christian, Bouchereau, Brian
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné a fournir aux médecins et
voie. EXEMPLES DE PHOBIES PROFESSIONNELLES Dans ses leçons, M. le
professeur
Grasset montre que les phobies n'épargnent pas le
ent, après avoir fait l'autopsie d'un individu atteint de rage. M. le
professeur
Raymond a cité un vétérinaire qui, après avoir ét
nce est lu et adopté. La correspondance comprend des lettres de M. le
professeur
Bernheim, de MM. les Drs Ph. Tissié (de Bordeaux)
bres titulaires. Elle a perdu deux de ses membres honoraires, MM. les
professeurs
Charcot et Brown-Séquard. Les regrets et l'admira
té appelé à occuper la chaire laissée vacante par la mort du regretté
professeur
Charcot. M. le Président, au nom de la Société, a
observation a été publiée dans un travail en collaboration avec M. le
professeur
Lemoine, sur l'emploi des miroirs rotatifs dans l
les. M. le docteur Bérillon, secrétaire général, a porté un toast aux
professeurs
de l'Université, représentés par M. Boirac. profe
un toast aux professeurs de l'Université, représentés par M. Boirac.
professeur
de philosophie au lycée Condorcet, élu vice-prési
teurs dans les services d'aliénés, étaient sans fondement, le médecin
professeur
pouvant toujours détourner les excitations passag
isé en tombant. Son cas — ainsi qu'a daigné me l'expliquer l'illustre
professeur
Charcot, aussi profond philosophe que grand médec
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
ES RAPPORTS DE L'HYSTÉRIE ET DE LA FOLIE (1) Par M. Gilbert Ballet,
professeur
agrégé à la Faculté de Paris. « L'hystérie, a d
mo. Au Congrès de Budapesth, qui tient ses assises en ce moment, le
professeur
Crocq, de Bruxelles, a cherché à pénétrer la genè
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
domaine de la scieffee et de l'enseignement. Il était depuis un an
professeur
à l'Université de Bruxelles, où son . cours était
te phrase, sans ambages, énoncée presque en mêmes termes, par MM. les
professeurs
Bernheim et Delbœuf : « II n'y a pas d'hypnotisme
Charpentier, 1861. dans l'autre, ainsi que les infirmières de M. le
professeur
Forel, on surveille des malades, tout en dormant
e médico-légale de la suggestion. Tous les médecins, entre autres les
professeurs
Bernheim, Azam, Beaunis, Danilewski, Delboeue, Eu
é plusieurs médecins; entre autres réponses, il a reçu la suivante du
professeur
Bernheim : « Je ne crois pas à la mort résultan
ologiques de l'hypnotisme^ t placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
o L'honneur au point de vue juridique. » M"c Labriola est fille d'un
professeur
de l'Université italienne, connue pour ses opinio
comité s'est constitué en Allemagne pour l'érection d'un monument au
professeur
Charcot. L'invitation à souscrire est faite au no
au professeur Charcot. L'invitation à souscrire est faite au nom des
professeurs
Erb, de Heidelberg, et Jolly, de Berlin. Parmi be
Berlin. Parmi beaucoup d'autres noms connus, le comité se compose des
professeurs
Curschmann, de Leipzig ; Binswanger, d'Iéna ; Kus
ngrès français de médecine interne (1re session, Lyon, 1894). — M. le
professeur
Potain a accepté de présider la première séance e
du diabète. — Rapporteurs : M. le Dr Lan-cereaux, de Paris, et M. le
professeur
Lépine, de Lyon. De la valeur clinique du chimi
ris, et Bourget, de Lausanne. Des aphasies. — Rapporteurs : MM. les
professeurs
Bernheim, de Nancy ; et Pitres, de Bordeaux. Le
représenter l'Association au Congrès, et a délégué à cet effet M. le
professeur
Bouchard. Nous rappelons que le Congrès aura li
la pathogénie et la curation des accidents hystériques, par M. le
professeur
A. Pitres. .Leçon du 9 juillet 1894, receuillie
94, receuillie par M. E. Vénot, interne du service (clinique de M. le
professeur
Pitres. — Hôpital Saint-André de Bordeaux). Mes
logiques de l'hypnotisme,et placé sous le patronage de. savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
e Paris. — Cours de clinique des maladies du système nerveux. — M. le
professeur
lîaymond a commencé le cours de clinique des mala
, à la même heure, Cours de clinique des maladies mentales. — M. le
professeur
Joffroy fait son cours le mercredi et le samedi,
agrégé de la Faculté, fait les jeudis à 4 heures, dans le service du
professeur
Gran- " cher, des conférences sur les maladies du
nakow, privât docent d'ana-tomie et physiologie cérébrales, est nommé
professeur
extraordinaire. Ecole d'anthropologie. — Anthro
le d'anthropologie. — Anthropologie physiologique, M. L. Manou-vrier,
professeur
, le vendredi, à 5 heures. Programme : L'expressio
iêre. Au cours de sa visite, elle a assisté, dans le service de M. le
professeur
Raymond, à des expériences d'hypnotisme reproduis
— M. G. Dumas, docteur en médecine, agrégé de philosophie, est nommé
professeur
de philosophie au Collège Chaptal. NÉCROLOGIE
e. Dans son livre : « Hypnotisme, Suggestion, Psycho-thérapie », le
professeur
Bernheim, traitant de la neurasthénie héréditaire
s la pathogénie et la curation des accidents hystériques, par M. le
professeur
A. Pitres. Leçon du 9 juillet 1894, recueillie
94, recueillie par M. E. Vénot, interne du service, clinique de M. le
professeur
Pitres (Hôpital St-André de Bordeaux). (Suite e
r les ongles. Les indications cliniques de l'Hypnotisme par M. le
professeur
Morselli, de Gènes. Depuis que j'ai commencé me
cause du manque de sujets, soit à cause de mes nouvelles fonctions de
professeur
, à Turin, et de médecin en chef de l'asile sus-in
atellaire. Le même auteur cite également un malade dont parle M. le
professeur
Bouchard... Devenu diabétique sous l'influence de
mme de la supercherie. F. Lawtok. COURS ET CONFÉRENCES L'œuvre du
professeur
Charcot. Leçon d'ouverture de m. le professeur
ÉRENCES L'œuvre du professeur Charcot. Leçon d'ouverture de m. le
professeur
Raymond, à la Salpétrière. Vendredi, 16 novembr
illant que nombreux, avide d'entendre la leçon d'ouverture du nouveau
professeur
. Le savant titulaire, parfaitement à la hauteur
ire, parfaitement à la hauteur de sa tâche, a commencé par l'éloge du
professeur
Charcot, sa vie, son œuvre. Dans un langage aussi
s quatre ans qu'il passa à l'internat, il eut pour chef de service le
professeur
Rayer, qui exerça une influence décisive sur ses
ortir de l'internat, en 1853, il fut nommé chef de clinique auprès du
professeur
Pîorry. En 1856, il concourait avec succès au bur
a présidé les séances de 1872 à 1882, pendant tout le temps qu'il fut
professeur
d'anatomie pathologique et presque sans manquer u
ologiques de l'hypnotisme,et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
gation devant le Congrès de l'enseignement supérieur. — Définition du
professeur
moderne. — Le remplacement du concours par l'inst
eur, tenu à Lyon, au mois d'août 1894, la question du recrutement des
professeurs
des Facultés de médecine avait été exposée dans u
ltés de médecine avait été exposée dans un rapport rédigé par MM. les
professeurs
Lépine et Lortet. Lorsque ce rapport fut mis en d
établi la différence qui sépare le praticien, le médecin d'hôpital du
professeur
, il résumait dans les lignes suivantes le rôle de
cesse ; que la science est un perpétuel devenir. — En instituant des
professeurs
de faculté, l'Etat leur impose donc implicitement
plicitement l'obligation de chercher les voies conduisant au progrès.
Professeur
veut dire chercheur. — Faire des découvertes est
e conséquence inévitable, la liberté laissée aux élèves de choisir le
professeur
qui leur conviendrait le mieux. Autrement il n'y
t-docent. Dans ces universités, le personnel enseignant se compose de
professeurs
ordinaires (titulaires), de professeurs extraordi
nnel enseignant se compose de professeurs ordinaires (titulaires), de
professeurs
extraordinaires, assistés par des chefs de travau
ité, et de privat-docenten qui n'en reçoivent aucun traitement. Les
professeurs
ordinaires sont nommés à vie, à traitement intégr
inaires sont nommés à vie, à traitement intégral et inamovibles ; les
professeurs
extraordinaires sont nommés à temps. Les privat-d
pépinière où se forment et grandissent ceux qui plus tard seront les
professeurs
, on voit qu'à la base du système allemand est la
Comment se fait, dans chacune de ces .universités, le recrutement des
professeurs
? Il se fait parmi les docteurs; mais ce grade e
ui est interdit. Une université l'appelle alors dans son sein comme
professeur
extraordinaire, puis bientôt une autre comme prof
on sein comme professeur extraordinaire, puis bientôt une autre comme
professeur
ordinaire ; et si sa notoriété continue à grandir
e fût plus un monopole aussi étroit. Au lieu de limiter le nombre des
professeurs
, pourquoi ne pas donner à tout candidat qui prése
neuf ans une situation sortable. Ils font, à l'abri de leur titre de
professeur
rétribué par l'Etat, moins de leçons que de clien
e l'on donne : à quoi bon? Tous ces arguments ont paru valables aux
professeurs
présents, puisqu'ils ont adopté, à l'unanimité, l
t appel à l'éloquence des faits. En nous en tenant à la définition du
professeur
, donnée par M. le professeur Lépine, il nous étai
ts. En nous en tenant à la définition du professeur, donnée par M. le
professeur
Lépine, il nous était facile de prouver que l'ens
édecine, ne pourra jamais prétendre à la compétence de la plupart des
professeurs
libres. Ceux-ci, à un âge où la main est capable
Pour cela, il suffirait de citer le grand Duchenne de Boulogne. Le
professeur
Charcot ne manquait jamais une occasion de rendre
eignement libre organisé par lui à la Salpêtrière. A son sujet, M. le
professeur
Lépine faisait ainsi ressortir un des plus grands
ocre en apparence jusqu'à trente ans, est devenu un grand médecin. Le
professeur
Charcot ne parvint à l'agrégation qu'à grand'pein
dans sa jeunesse, il passait généralement pour incapable de faire un
professeur
; c'est peu avant l'âge de quarante ans qu'il s'es
us caractéristiques, car, dans sa récente leçon d'inauguration, M. le
professeur
Raymond ne pouvait s'empêcher d'y faire allusion
rement et gratuitement. Sans être agrégé, Pajot fut le plus admirable
professeur
d'accouchements qui ait jamais existé. En médecin
nstaller l'enseignement de la laryngologie, elle a dû s'adresser à un
professeur
libre, à l'exclusion de ses nombreux agrégés. I
uêtes les plus audacieuses de la chirurgie moderne ont été dues à des
professeurs
libres. La chirurgie française est surtout connue
les congrès et dans les grandes réunions internationales, du titre de
professeur
. Nous ne pouvons faire allusion à la chirurgie
rappeler le cas de réminent doyen de la Faculté libre de Lille, M. le
professeur
Duret. Tout le monde se souvient de quelle, façon
ducation des jeunes générations médicales. Il avait l'ambition d'être
professeur
, la partialité d'un jury l'obligeait à être un pr
lus d'élèves, dans sa clinique particulière à Nancy, que beaucoup des
professeurs
les plus en renom. Il y a peu d'hommes auxquels a
dès que l'Ecole de médecine constatait, par le succès croissant d'un
professeur
libre, la nécessité d'élargir le cadre de son ens
pour cela de se rappeler les locaux infects mis à la disposition des
professeurs
libres dans les caveaux du musée Dupuy tren. Aucu
ont annoncés individuellement par des affiches analogues à celles des
professeurs
titulaires. La façon d'agir de la Faculté de méde
resté seul maître de la place et c'est ce dont il meurt. Comment les
professeurs
, surchargés par les examens, par les jurys de con
tion française pour l'avancement des sciences, à Caen, en 1894, M. le
professeur
Bouchard fut amené à prendre part à la discussion
. Mais, à peine ce vote était-il exprimé à l'unanimité, que MM. les
professeurs
Mossé, Debierre, Lortet et quelques autres, s'emp
ste n'était qu'accessoire. C'était l'avis nettement exprimé par M. le
professeur
Testut, de Lyon ; pour lui, le régime de la libre
'exerce dans les bâtiments de l'Etat, mais l'Etat ne rétribue pas les
professeurs
; leur nombre n'a donc rien à voir avec son budget
-mêmes qui s'inscrivent et payent. Plus il y a d'étudiants et plus le
professeur
gagne. Son talent est donc de plaire, d'attirer.
lence a frappé tous ceux qui sont allés en Allemagne. On y trouve des
professeurs
qui, jusqu'à la fin de leur vie, suivent leur mis
, suivent leur mission, laquelle est d'enseigner. Tels font de bons
professeurs
, qui feraient de médiocres praticiens. Tels, en v
nstatons avec satisfaction que, de l'aveu même d'un certain nombre de
professeurs
de Facultés de médecine, l'agrégation a fait son
indiquées dans ce projet : celle qui est relative à !a rétribution du
professeur
par l'élève, d'après une taxation scolaire ; réfo
ns le projet, deux principes excellents : celui de la rémunération du
professeur
par les élèves, et celui de la substitution au co
ns de toutes nos forces, et nous adressons tous nos remerciements aux
professeurs
en fonctions qui ont le courage d'affirmer ainsi
té, la plupart des agrégés ne sont-ils pas condamnés à n'être que des
professeurs
intérimaires? La titularisation, quand elle arriv
l. Cela fait, par année, une moyenne d'environ quatre agrégés, promus
professeurs
, ne l'oublions pas, à titre tout à fait provisoir
Cette institution présenterait les avantages suivants. Le collège des
professeurs
titulaires, recruté parmi les privat-docent dont
finitive, et l'on ne pourrait plus dire que le titre d'agrégé ou de
professeur
est recherché par le plus grand nombre, moins par
'accident, et vérifiée par le Dr Verger, médecin des eaux de Barèges,
professeur
agrégé à la Faculté de Montpellier. De nombreus
s, janvier 1894) a été faite par le dit médecin Roger et M. Deploige,
professeur
à la Faculté de Droit de Louvain. II. — Lourdes
es à deux membres de la Société d'hypnologie et de psychologie. M. le
professeur
Bernheim, de la Faculté de Nancy, et M. le Dr Bab
au grade de chevalier de la Légion d'honneur, de MM. les D" Grasset,
professeur
à la Faculté de Montpeller; Gilbert Ballet, agrég
és à Alençon; Froger, médecin de l'Assistance publique à Paris; Jean,
professeur
à l'Union des Femmes de France; Jasiewicz, profes
à Paris; Jean, professeur à l'Union des Femmes de France; Jasiewicz,
professeur
à l'Ecole polonaise à Paris; Malbec,à Paris; Sall
aris; Malbec,à Paris; Sallefranque, à Saint-Maur-les-Fossés; Barrier,
professeur
à l'École vétérinaire d'AIfort; Lemesle, professe
-Fossés; Barrier, professeur à l'École vétérinaire d'AIfort; Lemesle,
professeur
à l'École dentaire; Levadour, dentiste à Paris ;
turs, même étrangers à la médecine, de se livrer à leurs travaux. Les
professeurs
Delbœuf, à Liège; P. Janet, au Havre; Liégeois, à
logiques de l'hypno-tisme.et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
que. — MM. Beaunis, Binet et Ribot, avec le concours de MM Delabarre,
professeur
de psychologie à l'Université de Rhode Island (Am
il des plus utiles. Hospice de la Salpétrière. — M. le Dr Déjerine,
professeur
agrégé, médecin de la Salpétrière, a commencé ses
di 1er août 1895, à Bordeaux, sous la présidence de M. le Dr Joffroy,
professeur
à la Faculté de Paris. Le programme comprendra
LLES(1) Par J. Delboeuf, Membre de l'Académie royale de Belgique,
professeur
à lX'niverslU de Liège. Chaque siècle à son tou
e physiologique. C'est l'un de ses plus savants adeptes, M. Liégeois,
professeur
à la Faculté de droit, qui, en 1884, par sa broch
e passage à Nancy avec quelques amis, entre autres M. Léon Fredericq,
professeur
de physiologie à l'Université de Liège. Nous pa
MEIL Hypothèses sur la physiologie des centres nerveux. Par H. le
professeur
Matus-Duval (l). Les notions nouvelles introdui
la plus ancienne prescription du monde. Elle a été déchiffrée par le
professeur
Macalisher de Cambridge dans un papyrus égyp» t
professionnelle est celle dont vient d'être atteint le Dr Demosthène,
professeur
à la Faculté de médecine de Buca- rest : « La p
tion pour ses autres clients, et ainsi de suite. « Donc, conclut le
professeur
de Bucarest, — dont nous reproduisons scrupuleuse
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
mandeur de la Légion d'honneur. — Dujardin-Beaumetz eût mérité d'être
professeur
à la Faculté, car peu de professeurs ont consacré
jardin-Beaumetz eût mérité d'être professeur à la Faculté, car peu de
professeurs
ont consacré autant de temps et de talent à l'ens
. In 4°, 41 pages. —Masson, 201, boulevard St-Germain, Paris, 1895.
Professeur
W. Prever. — Ein merkwürdiger Fall von Fascinatio
LE SOMMEIL HIVERNAL DE LA MARMOTTE F) Par M. le D* Raphaûl Dubois,
professeur
à la Faculté des Sciences de Lyon. On a fait be
INELLES Par J. Delboeuf, Membre de l'Académie royale de Belgique,
professeur
a l'Université de Liège. {suite et fin) , VI.
ment sans douleurs dans l'hypnose avec le concours de M. F. Fraipont,
professeur
de clinique obstétricale à l'Université de Liège,
Dublin. M. le président met aux voix la candidature de M. Mac Donald,
professeur
, attaché au Bureau of éducation de Washington. Il
religion allait s'emparer de l'humanité. COURS ET CONFÉRENCES Le
professeur
Charcot (Leçon d'ouverture du cours de patholog
r Charcot (Leçon d'ouverture du cours de pathologie interne, par le
professeur
Debove) Chez Charcot, l'homme et le savant étal
d (je ne parle ici que de son enseignement officiel, car avant d'être
professeur
officiel, il avait enseigné à la Salpé-trière et
ère, mais ne l'était plus à la fin. En professant, il était devenu un
professeur
remarquable, il parlait lentement, n'hésitait jam
ts de repos, de cultiver un peu les lettres. Depuis Cicéron, tous les
professeurs
de littérature ont fait l'éloge des belles lettre
s à M. Albert Colas, trésorier, 1, place Jussieu. Le cours de M. le
professeur
Bouchard. M. le professeur Bouchard a repris so
r, 1, place Jussieu. Le cours de M. le professeur Bouchard. M. le
professeur
Bouchard a repris son cours de pathologie général
sur les modifications de la nutrition qui résultent des maladies. Le
professeur
Bouchard commence par définir la nutrition « un d
aitre la force. » Puis en termes éloquents et douloureusement émus le
professeur
Bouchard rend hommage au travailleur infatigable,
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
logie expérimentale dont la direction serait confiée à M. Emile Mack,
professeur
de physique à l'Université de Prague, connu par d
-A. Kapnist, et parmi les membres duquel se trouvent presque tous les
professeurs
de la Faculté de médecine de Moscou. Congrès de
In 4°, 41 pages. — Masson, 201, boulevard St-Germain, Paris, 1895.
Professeur
W. Prever. —Ein merkwürdiger Fall von Fascination
en bien des points à ceux qu'a soutenus, il y a quelques mois, M. le
professeur
Delbœuf, à l'Académie des Sciences de Bruxelles.
. le président met aux voix les candidatures de MM. le docteur Spehl,
professeur
à l'université de Bruxelles; A. Bertrand, profess
e docteur Spehl, professeur à l'université de Bruxelles; A. Bertrand,
professeur
de philosophie à la faculté des lettres de Lyon ;
r de philosophie à la faculté des lettres de Lyon ; Casimir de Krauz,
professeur
; Castan, ancien chef de laboratoire à la faculté
. L'exercice vélocipédique au point de vue neuro-pathologique. Le
professeur
J. Boguel a fait, à la Société des aliénistes et
Concours de l'agrégation en médecine Notre éminent collaborateur le
professeur
Grasset, de Montpellier, vient de résumer dans un
agrégation qui vient de finir à Paris. Il constate que tous, même les
professeurs
, ont assez de cette institution et, après avoir p
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
enir compte. J'allai trouver M. le docteur H... et son ami le célèbre
professeur
physiologiste et psychologue R... qui, m'avait-on
l'effet d'une suggestion antérieure. L'article intéréssant de M. le
professeur
Pitres (Revue de l'Hypnotisme, décembre 1894) sur
les honneurs d'une reproduction in extenso. On se demande comment les
professeurs
de la Faculté de Médecine peuvent rester indiffér
hargent de l'éducation et de l'instruction des futurs praticiens. Les
professeurs
titulaires peuvent alors se consacrer entièrement
cientifique. Ce n'est assurément pas en Allemagne qu'on verrait des
professeurs
éminents s'assujettir chaque jour à cette humilia
c'est-à-dire une thèse tous les deux ans. (2) Depuis longtemps, les
professeurs
de facultés dos lettres et des sciences ont aband
ncement du sixe par les écrits des médecins psychologues français, le
professeur
a montré comment la méthode psycho-physiologique
les docteurs Butte, directeur de la Policlinique de Paris, Perchaux,
professeur
à la Société des Secouristes français, Valentino,
Peyron, directeur de l'Assistance publique, MM. Martinier et Barrier,
professeurs
à l'Ecole dentaire, Lowenthal et Loup, chefs de c
nsuite, la leçon d'inauguration a été faite par M. le Dr Bérillon. Le
professeur
avait choisi pour sujet de la leçon l'éducation d
édecine légale, on les fait assister aux nécropsies judiciaires et le
professeur
, M. Korsch, leur donne les explications indispens
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
. — M. le Dr Meyer, privat-docent à l'Université de Vienne. est nommé
professeur
de psychiatrie et de neurologie, à Innsbruck. —M.
le D' Sommer, privat-docent à l'Université de Wurtz-bourg, est nommé
professeur
de psychiatrie à Giessen. Distinctions honorifi
s et demie du soir, à partir du mercredi 15 mai. NÉCROLOGIE M. le
professeur
Karl VOGT (de Genève). La semaine dernière est
ve et collaborateur des célèbres naturalistes Desor et Agassïz. Nommé
professeur
à l'Université de Giessen, il ne tarda pas à quit
da pas à quitter l'Allemagne pour se fixer en Suisse, où il fut nommé
professeur
à l'Université de Genève. II y a professé jusqu'à
re Jasit, Agrégé de l'Université, Docteur es-lettre». Messieurs, le
professeur
Raymond m'a chargé de vous exposer aujourd'hui qu
érence faite à la Salpêtriére. le 3 mai 1893, dans le service de M Je
professeur
Raymond. (2) Charcot. — « Œuvres T. III, p. 335
te de donner le compte-rendu à la Société, et un volume de M. Thomas,
professeur
au Lycée de Versailles : La Suggestion envisagée
lendemain avec leur enfant pour Montpellier et allèrent consulter un
professeur
de la Faculté. Celui-ci partagea la manière de vo
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
chologie, 58. Bibliothèque circulante de médecine, 251. Charcot (le
professeur
), par Debove, 272. Charcot (l'œuvre du professe
51. Charcot (le professeur), par Debove, 272. Charcot (l'œuvre du
professeur
), par Raymond, 187. Chasse et hypnotisme, 127.
Cours du Dr Paul Joire, à Lille (programme), 350. Cours de M. le
professeur
Bouchard, 284. Dégénérés (habitudes automatique
ault, a été distribué à tous les membres présents. M. te D'Beaunis,
professeur
honoraire à la Faculté de Médecine de Nancy, avai
té de M. le D' Huchard, membre de l'Académie de Médecine, et de M. le
professeur
Lionel Dauriac. A l'occasion de l'éloge de Liébea
ui exprimer ses sentiments de profonde reconnaissance. Trois de ses
professeurs
, MM. les D" Bérillon, Félix Regnault et Binet-San
barbe : Étude psychologique et sociologique, Par le Dr BÉRILLON, «
Professeur
à l'École de psychologie. Utilité psychologique
e de vol aérien qui se répétait fréquemment. Dès que mes fonctions de
professeur
commencèrent, je rêvais très souvent que je faisa
COURS ET CONFÉRENCES Crises hystériques mensuelles, {') par m. le
Professeur
Raymond. Voici une jeune fille qui, chaque mois
Médecine, présidait. A ses côtés avaient pris place M. le D' Beaunis,
professeur
honoraire à la Faculté de Médecine de Nancy, M. l
ancien président de la Société d'élcolrothérapie, M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire à la Faculté de Montpellier, vice-prési
é de Montpellier, vice-président de la Société, M. le D' Paul Magnîn,
professeur
i l'Ecole de Psychologie, vice-président de la So
l'Instruction publique, MM. les D" Félix Regnault, Farcz, A. Bianchi,
professeurs
à l'École de Psychologie, M.Je D'Saint-KIlaïre, m
Marmion, Barbier, Guimbeau, Saqul de Paris, MM. 0*111«, Quinque, Reb,
professeurs
, M\L, Blech et Blieck, avocats à la Cour d'Appel.
sseurs, M\L, Blech et Blieck, avocats à la Cour d'Appel. MM. Lépinay,
professeur
à l'École de Psychologie, et Grollct, secrétaire
t la bienveillance inspire à tous une affection respectueuse. M. le
professeur
Beaunis s'associe aux vœux exprimés pour le succè
ul nettoyabte et sans danger Présente à l'Académie de Médecine par le
Professeur
Budin. STERILISATEUR du parfait nourricier Ké
IÉBEAULT LOCHES (Indre-et-Loire) Service médical : Dr H. Lemesle,
professeur
à l'Ecole de Psychologie de Perle, h-- C. Boutieb
RIGINAUX.— 1. Le sommeil, agent caratlf, par M. le D'Henry Leuesle,
professeur
à l'Ecole de psychologie, p. 33. 2. Les femmes
barbe dans l'art 'avec six Jigures), [suite), par M. le D' Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie, p. 37. 3. La valeur t
Pitié, p. 60. —Hallucination symbolique citez un dégénéré, par il. le
Professeur
Raymond, p. 61. IV. — CHRONIQUE ET CORRESPONDAN
Août 1904. Le sommeil, agent curatif par m. le d' Henry Lemesle,
professeur
à l'École de psychologie do Paris. Une nouvelle
le sommeil provoqué rend aussi plus facile la psychothérapie. Le
professeur
Grasset nous dit : « Je me suis appliqué à « fair
versement. Hallucination symbolique chez un dégénéré ('). par m. le
Professeur
Raymond. Ce malade est âgé de 29 ans. Son intel
M. le D' Dahoûlou, Le Caire (Egypte).............. 25 M. Gallia,
professeur
h Paris. ................. 10 M. le Dr Jolly, à
LIÉBEAULT LOCHES Indre-et-Loirt) Service médical : LV H. Lehesle,
professeur
à l'Ecole de Psychologie de Paris, !>¦• ?. ???
barbe dans l'art 'avec cinq figures), (suite), par M. le D' Berillon,
professeur
a l'Ecole de psychologie p. 67. S. La dormeuse
et répétées sur l'anesthésle hystérique, par M. le Dr Paul Magnin,
professeur
à l'Ecole de psychologie, p. 90. — Discussion : M
e, s'est tenu à Pau, du l"au 8 août 1904, sous la présidence de M. le
professeur
Brissaud. La séance d'ouverture eut lieu sous la
ngres de Pau pour apprécier la haute valeur scientifique et morale du
professeur
Brissaud ; elles avaient tenu, malgré la distance
l'érudition le dispute à l'esprit philosophique le plus élevé, M. le
professeur
Brissaud s'est appliqué à mettre en lumière la pu
us vivons aujourd'hui sous un meilleur régime. Les paroles de M. le
professeur
Brissaud, montrant le rôle que la philosophie ass
autres des lettres de MM. Guenon, Lemaire et Liégeois. M. Liégeois,
professeur
à l'Université de Nancy, membre correspondant de
erciements à M. Liégeois ainsi qu'à la municipalité de Nancy. M. le
professeur
Liégeois fait savoir, en outre, à la Société qu'i
utour d'elle? Il n'est pas permis de l'affirmer. Et d'ailleurs II. le
professeur
Liégeois pensait le contraire lorsque, il y a que
rimait la même opinion ; et plus récemment, M. le docteur Paul Farez,
professeur
à l'Ecole de psychologie, se montrait convaincu d
d'une jeune fille de 13 ans qui m'avait été adressée par le regretté
professeur
Char-cot et qui resta plus de quatre mois en léth
us de passer sous silence que c'est sous la direction de nos célèbres
professeurs
Bechtereff et Serebrenikoff que s'est fondé le jo
al est consacrée aux questions relatives à l'hypnotisme. Les noms des
professeurs
Bechtereff et Serebrenikoff nous sont garants du
part de la mort de M. le D' Arie de Jong (de la Haye) et de M. Tarde,
professeur
au Collège de France, tous deux membres de la Soc
es et répétées sur l'anesthésie hystérique par M. le D* Paul Magxin',
Professeur
à l'Ecole de Psychologie- J'ai montré, il y a v
n d'honneur. — M. le D' Tillaux, président de l'Académie de médecine,
professeur
de clinique chirurgicale, est élevé à la dignité
u grade de chevalier de la Légion d'honneur de M. Liégeois, le savant
professeur
de la Faculté de droit de Nancy, membre de l'Acad
. Nous serons l'interprète de nos collaborateurs en adressant à M. le
professeur
Liégeois nos vives et sincères félicitations pour
qu'il a fondée en collaboration avec M. Lépinay, médecin vétérinaire,
professeur
à l'Ecole de psychologie, vice-président de la So
sychologie comparée. - Nominations universitaires. — M. Caustier,
professeur
à l'Ecole de psychologie, professeur au lycée Hoc
s universitaires. — M. Caustier, professeur à l'Ecole de psychologie,
professeur
au lycée Hoche, vient d'être nommé professeur au
l'Ecole de psychologie, professeur au lycée Hoche, vient d'être nommé
professeur
au lycée Condorcct, à Paris. De l'élément psych
barbe dans l'art [avec huit figures), {suite\, par M. le D' Bbrillon.
professeur
à l'Ecole de psychologie, p. 97. 2. TJn sommeil
, p. 97. 2. TJn sommeil de dix-sept ans, par M. le D' Paul Fahbz,
professeur
à l'Ecolo de psychologie, p. 103. 3. Un cas spé
de M. Voisin. TJn sommeil de dix-sept ans. par M. le D' Paul Fabez.
Professeur
à l'Ecole de Psychologie. Dans un petit village
logiques de l'hypnotisme; et placé sous le patronage de Bavants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
éance tenante, par l'hypnotisme les accidents aigus du mal de mer, le
professeur
Thwing, membre de l'académie des sciences de New-
isté de MM. les D"Legrain, médecin de Ville-Evrard et Félix Regnault,
professeur
à l'Ecole do psychologie. Le traitement appliqu
ul nettoyable et sans danger Présenta a l'Académie de Médecine par le
Professeur
Bcdis. STÉRILISATEUR do PARFAIT NOURRICIER Ré
ologique, folklore l^VRAISON DE NOVEMBRE 1904 [. —BULLETIN. —M.le
professeur
Dnelaux, sociologue et psychologue [arec un portr
ais, p. 5. Le prophète Samuel, par M. le D' Charles Biset-Sanglê,
professeur
à l'Ecole de psychologie, p. 152. III. — COURS
ET THÉRAPEUTIQUE 19* Annbb. — n* 5. Novembre 1904. BULLETIN Le
professeur
Duclaux. sociologue et psychologue 11 y a quelq
au point de vue qui nous intéresse particulièrement. Duclaux fut un
professeur
dans toute la meilleure acception du terme. Non s
ayant à donner un titre à son discours, il l'intitula : Opinions d'un
professeur
. Sa modestie se révèle dans la façon fort spiritu
ude psychologique et sociologique {suiie){'). Par M. le Li bérillon
Professeur
i l'Ecole de Psychologie Les femmes a barbe con
ent, la prodigieuse femme à barbe, la célèbre voyageuse au Pôle Nord,
professeur
de phrénologie et de physiologie. Cette nouvelle
son cadavre à l'hôpital. Là, son autopsie fut faite par le Dr Ecker,
professeur
d'anatomie à l'Université. L'examen anatomlque de
graphiqae et son traitement psychologique, par II. le D* Bérillon,
Professeur
a l'Ecole do Psychologie. Dans le langage ordin
s dans une certaine mesure. Comme le faisait justement remarquer le
professeur
Ecker, cette prophétesse moderne n'avait aucune c
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
OGIE Séance annuelle du Mardi 21 Janvier i90k Présidence de H. le
professeur
b s acmé Le procès-verbal de la dernière séance
de cassation, etc.. M. Lionel Dauriac souhaite la bienvenue à M. le
professeur
Beaunis, membre d'honneur de la Société, qui a bi
dence de la séance annuelle. Il rappelle les titres que M. Beaunis,
professeur
honoraire de l'université de Nancy, directeur hon
r Pychlau [de Pskow), M. le D' Joly, de (Montvicq Allier), M. Oallia,
professeur
(de Paris), Mme la D**" Z. de Gorsky (de St-Péter
si obscure. Le prophète Samuel Par M. le D* Charles Binet-Sanglê,
Professeur
a l'Ecole de Psychologie. Le roë (voyant) Schcm
ÉBEAULT LOCHES [Indre-et-Loire) Servit' médical ; D* H. Leiiesle,
professeur
à l'Ecolo do Psychologie de Paris, D™ C. Boutibb.
be contemporaines {avec cinq figures], {suite), par M.le D* BÉrillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie, p.161. 2. Guerre et S
e femmes à barbe, celle qui Tut recueillie en 1885 par le D' Duhring,
professeur
de dermatologio à l'Université de (1) Voyez Ren
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
eux cas, a un tel degré qu'un écrivain israélite, disciple du célèbre
professeur
Lombroso, Max Nordau, Intelligence d'élite d'une
our l'année 1905 : Hypnotisme thérapeutique......M. le D* BtKlLLox.
professeur
. Hypnodsmo expérimental......M. le D- Paul Maok
LLox. professeur. Hypnodsmo expérimental......M. le D- Paul Maokik,
professeur
. Hypnotisme sociologique.......M. le D' Félix i
aokik, professeur. Hypnotisme sociologique.......M. le D' Félix i-.
professeur
. Psychologie pathologique......M. le D' Paul Fa
i-. professeur. Psychologie pathologique......M. le D' Paul Fahez.
professeur
. Psychologie de l'enfant........M. Baotjer, dir
..M. Baotjer, directeur de l'Institut départemental des sourds-muets,
professeur
. Psychologie des dégénérés......M- le D* BtxzT-
of. Anotomic et Psychologie comparées. M. Cacstier, agrégé de l'Unir,,
professeur
. Psychologie des animaux.......M. Lépikay, prof
gé de l'Unir,,professeur. Psychologie des animaux.......M. Lépikay,
professeur
. Psychothérapie (cours annexe a Lille). M. le D
ue, 49, rue Saint-André-des-Arts. Hôpital Beaujon. — Cours de M. le
professeur
Albert Robin, les jeudis, à dix heures. L'Admin
ettoyable et sans danger Présenté & l'Académie de Médecine par le
Professeur
Bcont. STÉRILISATEUR du parfait nourricier Ré
IÉBEAULT LOCHES (Indre-et-Loire) Service medicjl : D' H. Leuesle,
professeur
à l'Ecole de Psychologie de Paris, D« C. Boutier,
JANVIER 1905 I. — BULLETIN. — L'Ecole de psychologie. — Election du
professeur
Ch. Bichet à la présidence do la « Society for ps
4*£* Convier 1905. BULLETIN L'Ecole de psychologie. — Election du
professeur
Ch. Rlchet I la présidence de la Society for psyc
a Heu le mardi 10 janvier, à cinq heures, sous la présidence de M. le
professeur
Mar-cellin Berthelot, secrétaire perpétuel de l'A
e, et dépourvues du contrôle scientifique. Celte année, les anciens
professeurs
de l'Ecole : MM. Bérillon, Paul Ma-gnin, Félix Re
nt MM. les D" Bérillon, Paul Magnin, Paul Joire (de Lille), Challaye,
professeur
de philosophie au lycée Michelet, titulaire de la
e notre œuvre. • • L'élection de M. le Professeur Charles Richet,
professeur
de physiologie à la Faculté de médecine de Paris
ositives que celles qui l'avaient occupée jusqu'à cette époque. M. le
professeur
Richet est un des premiers qui aient introduit
u 30 avril. Le Congrès se tiendra sous la présidence de notre ami, le
Professeur
Guiseppe Sergi. Nous donnerons dans notre prochai
ologiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants etde
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
siologique, 49, rue Salnt-André-des-Arts, sous la présidence de M. le
professeur
Bcrthclot, secrétaire perpétuel de l'Académie des
ucation du caractère. Hypnotisme thérapeutique M. le Dc Bérillon,
professeur
. Objet du cours : 1'La pathologie des sentiment
du jeudi 12 janvier. Hypnotisme expérimental M. le D' Paul Magmn,
professeur
. Objet du cours : L'hypnotisme chez les hystéri
k janvier. Histoire de la philosophie médicale M. le D' Fiessinger,
professeur
. Objet du cours : Les grandes figures médicales.
ogique M. le h' Paul Fahez, inspecteur de l'enseignement du dessin,
professeur
. Objet du cours : Les troubles du sommeil chez
mardi il janvier. Psyoho- physiologie de l'art M, Félix Rlgamey,
professeur
. Objet du cours : Art et pédagogie. Les vendred
ndredi 13 janvier. Psychologie des dégénères M. le D' Biset-Sanclé,
professeur
. Objet du cours : Les dégénérés mystiques. Le
io et Psychologie comparées M. B. Caustier, agrégé de l'Université,
professeur
. Objet du cours : L'évolution des instincts dan
partir du mercredi H janvier. Psychologie des animaux M. Lépinay,
professeur
. Objet du cours : Les variétés de l'intelligenc
ti janvier. Psychologie du criminel M. Blieck, avocat à la Cour,
professeur
. Objet du cours : La criminalité juvénile : Cau
tir du jeudi 12 janvier. Philosophie scientifique M. Louis Favbe,
professeur
. Objet du cours : La méthode en psychologie.
Le problème psychologique posé par le Japon moderne, par M. Cballaye,
professeur
au lycée Michelet (avec projections). Vendredi
ance fonctionnelle des hémisphères cérébraux, par M. le Dr P. Magnix,
professeur
à l'Ecole de psychologie (avec projections). Ve
ul nettoyable et sans danger Présent* k l'Académie de Médecine par le
Professeur
Bon». STÉRILISATEUR du parfait nourricier Réu
IÉBEAULT LOCHES {Indre-et-Loire) Service médical : LV H. Lemeslb,
professeur
à l'Ecole de Psychologie de Paris, D— c. Boctier,
ortrait}) p. 224. 2. L'Ecole de Psychologie, par le D' Paul Magnin,
professeur
à l'Ecole de psychologie, p. 226. 3. La psych
ture pur M. lu h' BëHilion. médecin ¦inspecteur des asiles d'aliénés,
professeur
à l'Ecole de psychologie, p. 231. 4. Discours d
ie française. 1° L'Ecole de Psychologie, par M. le DT Paul Magsin-,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. 2° La psychologie du
re par M. le D' Bbrillo.v, médecin-inspecteur des asiles d'aliénés,
professeur
à l'Ecole de psychologie. 3° Discours de M. le pr
d'aliénés, professeur à l'Ecole de psychologie. 3° Discours de M. le
professeur
Berthelot. La réouverture des cours de l'Ecole
ysiologique,49, rue Saint-André-des-Arts, aoua la présidence de M. le
professeur
Berthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie des
e française. Aux côtés de M. Berthelot av-ient pris place M. Giard,
professeur
à la Sorbonne, M. Jules Voisin, médecin de la s-
comité de patronage ; M. Frlngnet, Innpecteur d'académie, et tous les
professeurs
de l'Ecole, MM. lea D- Bérlllon, Paul Magnin, Fél
, Félix Regnanlt, Fiossinger, Paul Farez, BInet-Sanglé, MM. Caustler,
professeur
agrégé au lyceo Con-dorcet, Léploay, médecin-vété
ion par le ministère de l'Instruction publique de Bulgarie, Malapert,
professeur
au lycée Louis-le-Grand, M. Lcmaire, professeur a
e Bulgarie, Malapert, professeur au lycée Louis-le-Grand, M. Lcmaire,
professeur
agrégé de philosophie, Séguin, vétérinaire-major,
ommandant Thirlon, comman- danl Bellon, capitaine Echard; Gallla,
professeur
; Pillon, professeur; E. Leroux, professeur; Cold,
omman- danl Bellon, capitaine Echard; Gallla, professeur; Pillon,
professeur
; E. Leroux, professeur; Cold, professeur; D'Poula
capitaine Echard; Gallla, professeur; Pillon, professeur; E. Leroux,
professeur
; Cold, professeur; D'Poulalion, F> Masmontell,
Gallla, professeur; Pillon, professeur; E. Leroux, professeur; Cold,
professeur
; D'Poulalion, F> Masmontell, D' Pereanu (de Ba
o. D'Ja-worski, D' Reinburg. etc.. et un grand nombre de médecins, de
professeurs
de l'Université, d'élèves de l'Ecole normale supé
nt excusées de ne pouvoir assister à la réunion, en particulier M. lo
professeur
Dcbovc, doyen de la Faculté de médecine, retenu a
'ajouter à ce compte-rendu un portrait de notre éminent maître, M. le
professeur
Berthelot : il le représente dans son laboratoire
trop le remercier. Je suis très heureux enfin de dire aux nouveaux
professeurs
de l'Ecole, MM. Ficssingcr. Félix lîégamey, Binel
raitement de la mélancolie. Enfin, nous avons à déplorer la mort du
professeur
Tarde que ses travaux de criminologie et de philo
rouver. ¦ Il est de fait qu'il sut. comme l'a si justement écrit le
professeur
Raymond, dégager et mettre en relief la principal
liquée. Une des supériorités de notre Ecole est de n'astreindre les
professeurs
à aucune discipline dogmatique et cela, pas plus
plus obéir. » Les médecins ont aussi poussé le cri d'alarme, et le
professeur
Lan-douzy signalait la débilité nerveuse de notre
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
i que nous assistons à la réalisation de la conception prophétique du
professeur
Berthelot affirmant, en 1895, que c'était à la sc
ul netioyable et sans danger Présente à l'Académie de Médecine par le
Professeur
Bcdix. STÉRILISATEUR du PARFAIT NOURRICIER Ré
TRAVAUX ORIGINAUX. — 1. Lo Tarot des bohémiens, par M. Raoul Baron,
professeur
h l'Ecole vétérinaire d'Alfort. p. 259. - - - 2
t socio- logique (avec six figures) (suite), par M. le D' BErillon,
professeur
& l'Ecole de psychologie, p. 267. 3. Hypnot
. 3. Hypnotisme, suggestion et persuasion, par le D' Paul Magnik,
professeur
à l'Ecole de psychologie, p. -275. 4. Alcoolicp
par suggestion, pendant le sommeil naturel, par M. le D' Paul Farkx.
professeur
à l'Ecole de psychologie, p. 278. III. — LA PSY
que. — 2. Danse du ventre et spasmes rythmés du diaphragme, par M. le
professeur
Raymond, p. 283. V. — CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE
sons. Dans la seconde contérence, présidée par M. Félix Régamey, le
professeur
de peinture et le peintre du Japon si érudit, M.
professeur de peinture et le peintre du Japon si érudit, M. Challaye,
professeur
au lycée Mlchelet.a étudié le problème psychologi
s. Comme nous l'annoncions dans un de nos précédents numéros, M. le
professeur
Charles Richet a été élu président de la Society
iques les plus divers. Le Tarot des Bohémiens Par M. Raoul Baron,
Professeur
a l'Ecole vétérinaire d'Alfart. Messieurs, Co
la barbe peut s'expliquer par de nombreuses tentatives faites par les
professeurs
Gay et Albow, de l'Université de Kasan. pour les
logiques de l'hypnotisme, cl placé sous le patronage dc.savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
xis, Hypnotisme, suggestion et persuasion Par M. le D' Paul HiOMBt,
Professeur
a l'Ecole de psychologie. Les divers auteurs qu
st du D'Naoum-Kotik (d'Odessa), l'autre du D' Pewnitzky, assistant du
Professeur
Bechterew, à St-Pétersbourg; le premier a pour ti
eur du maitre psychologue. Voici d'ailleurs le sujet de la pièce : Le
professeur
Loindrc, auteur d'un Essai de prophylaxie et de t
herches expérimentales, d'ailleurs élémentaires. Or, il arrive que ce
professeur
si sur de sa méthode devient amoureux fou d'une d
le docteur Bérillon, médecin inspecteur des asiles publics d'aliénés,
professeur
à l'Ecole de psychologie, commencera le lundi 15
e et sociologique [avec quatre figuresHsuite), par m. le Dr Bshillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie, p. 290. 2. Quelques m
n cas de trac chez un élève du Conservatoire, par M. le D'Paul Parez,
professeur
a ' i . ¦¦: ¦ de psychologie, p. 300. — Discuss
ychas- thénlque.— 2. Pseudo-confusion mentale hystérique, par M. le
professeur
Raymond, p. 314. IV. — BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE
considérer cette somnolence comme ayant une valeur thérapeutique. Tel
professeur
de Berne répudie l'hypnotisme et se défend d'endo
de psychologique et sociologique (suite)?). Par M. le D' BÉRILLON
Professeur
à l'Ecole de Psychologie les femmes a 1: contem
la réalité de son sexe feminiu. Le 18 octobre 1897, lo D' llabcrda,
professeur
de médecine légale à Flg. W. — Mme x..., femme
it de fortes moustaches. Les étudiants furent très étonnes lorsque le
professeur
les invita i constater qu'ils se trouvaient en pr
cas de trac chez un élève du Conservatoire Par M. le D' Paul Fàrbz,
Professeur
à l'École de Psychologie. plus annihilé par s
ologiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants etde
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
rvue de vaisseaux sanguins. Comme l'a écrit notre regretté maître, le
professeur
Tillaux, « les vaisseaux y sont distribués avec p
COURS ET CONFÉRENCES Blépharospasme psychasthénique (') par m. le
Professeur
Raymond. Cet homme est âgé de 46 ans. Quand il
e. — M. le docteur Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés,
professeur
à l'Ecole de psychologie, commencera le lundi 15
ul nettoyable et sans danger Présenté à l'Académie de Médecine par le
Professeur
Bcdik. | STÉRILISATEUR du parfait nourricier
IÉBEAULT LOCHES (Indre-et-Loire) Service médical : Dr H. Lemesle,
professeur
a l'Ecolo de Psychologie de Paris, D" C. Boutier,
et sociologifrne avec quatre figurts)[suite), par H. le D' Bkrillon,
professeur
à l'Kcole de psychologie, p. 32S. coolisme et s
plications do la narcose éthyl-méthy-truc. par M. le Dr ['.h:! Parez,
professeur
a l'Ecole de sychologie, p. ' ' !. — Discussion :
ans la Balle des Uoraces et des Curlaces. sous la présidence de M. le
professeur
Sergi, assisté des professeurs Tamburini (de Regg
s Curlaces. sous la présidence de M. le professeur Sergi, assisté des
professeurs
Tamburini (de Reggio-Emilia) et Morselli (de Gène
ses à l'attention de nos lecteurs. Nous citerons les travaux de M. le
professeur
Sciammana sur les fonctions de lecorce cérébrale,
professeur Sciammana sur les fonctions de lecorce cérébrale, de M. le
professeur
Ueaunis sur la nuit psychique, et aussi celui du
de M. le professeur Ueaunis sur la nuit psychique, et aussi celui du
professeur
Bellucci, de Padoue. sur la fétichisme primitif e
fesseur Bellucci, de Padoue. sur la fétichisme primitif en Italie, Le
professeur
Bellucci, depuis de longues années, s'est occupé
es données positives. Dans la troisième section, présidée par M. le
professeur
Morselli, et dans la quatrième présidée par M. le
ar M. le professeur Morselli, et dans la quatrième présidée par M. le
professeur
Lombroso, l'hypnotisme a donné lieu a d'intéressa
lenght (de Home), Ingénieros (de Buenos-Ayres), etc.. M. Louis Favre.
professeur
à l'Ecole de psychologie, a présenté également un
vivants. L'Ecole de psychologie était représentée par trois de ses
professeurs
, MM. Bérillon, Paul Farez et Louis Favre. Nous
nologique de Paris s'étaient sympathl-quement groupés autour de M. le
professeur
Benunls, professeur honoraire de la Faculté de mé
'étaient sympathl-quement groupés autour de M. le professeur Benunls,
professeur
honoraire de la Faculté de médecine de Nancy et d
courtoisie et au dévouement dont n'ont cessé de faire preuve MM. les
professeurs
Luciani, Sergi, Tamburini, Scïam-mana, en accorda
ngrès a été fixé à Genève en 1907. L'organisation en a été confiée au
professeur
Claparède. C'est un sûr garant que le succès du c
, p. 153. Nous nous sommes alors adressé à M. le Dr Ernest White.
professeur
au Royal Collège de Londres et médecin de l'asile
e comprendre dans le sens d'hérédité alcoolique. Suivant l'opinion du
professeur
Tokarsky, on peut même révoquer en doute l'existe
de cette sorte. Mes observations confirment tout-à-fait l'opinion du
professeur
Tokarsky qui pronostique mal du sujet continuant
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destine à fournir aux médecins et
plications de la narcose éthyl-méthyllque, par M. le D' Paul FabEi,
Professeur
* l'Ecole de Psjchologte. La narcose éthyl-méth
l Farez, Demonchy (de Paris), Raffegeau (du Vésinet), M. Louis Favre,
professeur
, et M. Blech, docteur en droit. La séance est lev
e. — M. le docteur Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés,
professeur
à l'Ecole de psychologie, commencera le lundi 15
ul netloyable et sans danger Présente a l'Académie do Médecine par le
Professeur
Bvdik. STÉRILISATEUR du PARFAIT NOURRICIER Ré
IÉBEAULT LOCHES [Indre-et-Loire) Service médical : D' H. Lemesle,
professeur
à l'Ecole de Psychologie de Paris, Dr C. Soutier,
e et sociologique [avec cinq figures) (suite), par M. le LV BRrillon.
professeur
à l'Ecole de psychologie, p. 356. Note sur un c
r un cheval doué de remarquables aptitudes intellectuelles, par M. le
professeur
Stumpp (de Berlin). 3g2. — Discussion ; MM. les
ion de l'amour. ar M. le Dr Bérillon, p. 364. — Discussion : MM. le
professeur
Lionel Dauriac et 0r Paul Magnin, p. 366. oleurs
lle), p. 367. REVUE CRITIQUE. — Essai musical, par M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire à l'Université de Montpellier. (Analyse
e prof. Ribot), p. 374. COURS ET CONFÉRENCES. — Sitlomanie. par M. le
professeur
Raymond, p. 374. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE. —
réside dans la main gauche. Tel était le cas du Dr Simon Thomas, qui,
professeur
d'obstétrique et de gynécologie à l'Université de
e l'Hypnotisme, n° de juillet 1904 et suivant». Gl Michel, éleva du
professeur
Hofmann, a rassemblé quarante cas de dépeçage d'a
avec son pied antérieur droit. Une commission composée de MM. Stumpf,
professeur
de Psychologie à l'Université de Berlin ; Schilli
cadémie, Essai sur V Esprit musical, estl'oauvrede M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire à l'Université de Montpellier, qui a l'
n et de M. Jules Voisin, président de la Société. 3° Eloge de M. le
professeur
Tarde etdeM.leDr Bremaud (de Brest), par M. le
de M. le professeur Tarde etdeM.leDr Bremaud (de Brest), par M. le
professeur
Lionel Dauriac. 4° Rapport sur le prix Liébeault.
nscrits : MM. Guenon, Bérillon, Caustier, Louis Favre. M. Caustier,
professeur
au lycée Condorcet : La méthode socratique dans l
levée à la réalisation de laquelle devaient concourir les efforts des
professeurs
de l'Ecole de Psychologie. « Messieurs, en étud
Dr Bérillon, secrétaire général, fait part à la Société du jubilé du
professeur
Krafft-Ebing. Le 11 mars, on a fêté à Vienne le
CONFÉRENCES Bavardage nocturne chez une hystérique. (1) Par M. le
professeur
Raymond. Cette femme est âgée de 36 ans. Elle m
me orné de 55 figures. Cecongrès, tenu sousla présidence d'honneur du
professeur
Raymond et la présidence du D* Jules Voisin a été
• Nous devons encore mentionner d'importantes communications de M. le
professeur
Raymond, de MM. les Drs Jules Voisin, Van Renter-
ère, présidait. A ses côtés avaient pris place : MM. Lionel Dau riac,
professeur
honoraire de la Faculté des Lettres de Montpellie
de Bourgade de la Dardye, Dr Le Menant des Chesnais, Dr Bellemanière,
professeur
à l'Ecole de psychologie, M. Lépinay, médecin-vét
te Jacquemet-Amat, Dr Macris, d'Athènes. S'étaient excusés : MM. le
professeur
Raymond, le Dr Albert Robin, membre de l'Académie
à la Cour de cassation, le D' Félix Regnault, M. le Dr Henry Lemesle,
professeurs
à l'Ecole de psychologie, M. le Dr Bourdon de Mér
ves soi-disant prophétiques ou révélateurs par M. le Dr Paul Farez,
professeur
à l'Ecole de Psychologie J'ai été tout récemmen
s par lesquelles s'excusent de ne pouvoir assister à la séance MM. le
professeur
Raymond, médecin de la Salpêtrière, membre de l'A
la Salpêtrière, membre de l'Académie de médecine, le Dr Albert Robin,
professeur
agrégé à la Faculté, médecin de la Pitié, membre
ur de l'Académie de Grenoble, les Dr Félix Regnault et Henri Lemesle,
professeurs
à l'Ecole de Psychologie, le Dr Bourdon (de Méru)
à Grenoble du 1er au 8 août, sous la présidence de M. le Dr E. Régis,
professeur
de psychiatrie à l'Université de Bordeaux. La s
5. Le caractère des monstres doubles Par M. le Dr Félix Regnault,
professeur
à l'Ecole de PsychologieD'où provient notre carac
t volume orné de 58 figures. Ce congrès, ouvert sous la présidence du
professeur
Raymond et du Dr Jules Voisin, a été tout à fait
rapeutiques, pédagogiques et psychologiques de l'hypnotisme par M. le
professeur
Raymond, par MM. les D" Jules Voisin, Van Renterg
d intérêt. A la séance de réception, le président du Congrès, M. le
professeur
Régis, de Bordeaux, a lu, aux applaudissements de
e d'ouverture, le directeur de l'Ecole de médecine de Grenoble, M. le
professeur
Bordier, a démontré, d'une façon très éloquente l
nt maintenus sur le terrain clinique. Seul notre collaborateur, M. le
professeur
Grasset, de Montpellier, en établissant une heure
ponses ne se sont pas fait attendre. Tout d'abord, c'est le Dr Crocq,
professeur
agrégé à l'Université de Bruxelles, qui s'est éto
tent avec autorité la psychologie dans la capitale du Dauphiné, M. le
professeur
Bordier, directeur de l'Ecole de médecine, et M.
La mentalité médicale et la psychologie expérimentale (') Par M. le
professeur
Bordier, directeur de l'Ecole de médecine de Gren
cal de Grenoble), dans la personne de leur distingué Président, M. le
professeur
(1) Discours de réception au Congrès des médeci
té et comme cela leur avait été défendu par le pape Clément VIII, les
professeurs
se rejetèrent sur d'autres parties de l'Enseignem
cela, les articulations se gonflent et deviennent douloureuses. Le
professeur
S. S. Korsakow que les parents de la malade vont,
as ici insister sur la littérature et la théorie de cette maladie. Le
professeur
Albert Hoffa les a récemment très bien expo-sées
forces inconnues, l'opinion de notre collaborateur M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire à l'Université de Montpellier, sur le s
ystères de la science. » Aussi ne fut-il jamais un praticien, ni un
professeur
, mais un isolé, une sorte de génie mal équilibré
Contracture et tic des jambes chez une psychasthénique, par M. le
professeur
Raymond (1). Cette malade est atteinte d'une af
agitation cérébrale engendre l'agitation musculaire : mon collègue le
professeur
Joffroy l'a récemment montré à nouveau dans une t
-coxalgie suggérée par le milieu familial. par M. le Dr Paul Farez,
Professeur
à l'Ecole de Psychologie. On me fait appeler, i
ale, il convient d'opposer les causes multiples de la criminalité. Le
professeur
Kovalewski étudie successivement le criminel-né,
qui lui incombe d'améliorer les criminels, voudront lire le livre du
professeur
Paul Kovalewsky, car ils y trouveront nettement f
horaire des cours. Hypnotisme thérapeutique .... M. le Dr Bérillon,
professeur
. Hypnotisme expérimental.....M. le Dr Paul Magn
llon, professeur. Hypnotisme expérimental.....M. le Dr Paul Magnin,
professeur
. Hypnotisme sociologique.....M. le Dr Félix Reg
nault, prof. Psychologienorrnaleetpathologique M. le Dr Paul Farez,
professeur
. Psychologie de l'enfant......M. le Dr Belleman
ez, professeur. Psychologie de l'enfant......M. le Dr Bellemanièbe,
professeur
. Psychologie du criminel. ..... M. le Dr Wateau
anièbe, professeur. Psychologie du criminel. ..... M. le Dr Wateau,
professeur
. Psychologie des foules et Folklore M. le Dr He
natomie et psychologie comparées M. Caustier, agrégé de l'Université,
professeur
. Psychologie des animaux.....M. Lépinay, profes
e l'Université, professeur. Psychologie des animaux.....M. Lépinay,
professeur
. Psychologie religieuse.......M. le Dr Binet-Sa
ay, professeur. Psychologie religieuse.......M. le Dr Binet-Sanglé,
professeur
. Psychologie de la. vision...... M. le Dr Perri
seignement existe de la façon la plus complète. Chaque semaine, M. le
professeur
Raymond, à la Salpêtrière, dégage devant ses nomb
es monoplastidaires et les végétaux Par le dr Charles Binet-Sanglé,
Professeur
à l'Ecole de psychologie de Paris. La substance
ur son ouvrage intitulé : L'Art et la Médecine. Enfin, à M. Caustier,
professeur
agrégé au Lycée Hoche, membre de la Société, l'Ac
es, tenu à Grenoble, expose qu'il a dû, avec notre collègue M. Crocq,
professeur
agrégé à Bruxelles, protester énergiquement contr
Suggestion musicale et Psychothérapie. ' par le Dr Henry Lemesle,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Parmi les nombreux tr
assait à ses yeux pour surnaturel et miraculeux. Le docteur Crolas,
professeur
à la Faculté de médecine de Lyon prit comme sujet
S ET CONFÉRENCES Amaurose hystérique et traumatisme (1) par M. le
professeur
F. Raymond. Voici une femme de 31 ans, ouvrière
horaire des cours. Hypnotisme thérapeutique .... M. le Dr Bérillon,
professeur
. Hypnotisme expérimental.....M. le Dr Paul Magn
llon, professeur. Hypnotisme expérimental.....M. le Dr Paul Magnin,
professeur
. Hypnotisme sociologique.....M. le Dr Félix Reg
gnault, prof. Psychologienormaleetpathologique M. le Dr Paul Farez,
professeur
. Psychologie de l'enfant......M. le Dr Bellbman
ez, professeur. Psychologie de l'enfant......M. le Dr Bellbmanière,
professeur
. Psychologie du criminel...... M. le Dr Wateau,
manière, professeur. Psychologie du criminel...... M. le Dr Wateau,
professeur
. Psychologie des foules et Folklore M. le Dr He
natomie et psychologie comparées M. Caustier, agrégé de l'Université,
professeur
. Psychologie des animaux.....M. Lépinay, profes
e l'Université, professeur. Psychologie des animaux.....M. Lépinay,
professeur
. Psychologie religieuse.......M. le Dr Biset-Sa
ay, professeur. Psychologie religieuse.......M. le Dr Biset-Sangle,
professeur
. Psychologie de la vision...... M. le Dr Perrin
lundi 12 janvier, à cinq heures du soir, sous la présidence de M. le
professeur
Giard, membre de l'Académie des Sciences, profess
sidence de M. le professeur Giard, membre de l'Académie des Sciences,
professeur
à la Sorbonne. La leçon d'inauguration sera fai
La leçon d'inauguration sera faite par notre collègue M. Caus-tier,
professeur
agrégé de l'Université, sur un sujet tout d'actua
logie reste fidèle à son programme scientifique. En demandant à M. le
professeur
Giard, de vouloir bien accepter la présidence de
membre de l'Académie de médecine, et, il y a deux ans, par M. Tarde,
professeur
au Collège de France. Nous avons eu à cœur de n
s accorder. Actuellement, les progrès espérés ont été réalisés. Les
professeurs
de l'Ecole : MM.Bérillon, Paul Magnin, Félix Hegn
sychologie, c'est qu'elle est une œuvre absolument désintéressée. Les
professeurs
et les conférenciers n'ont pas d'autre ambition q
e. M. le Président met aux voix la candidature de M. le Dr Berlioz,
professeur
à l'Université de Grenoble, qui fut secrétaire gé
La psychologie du tuberculeux pulmonaire par le Dr Félix Regnault,
Professeur
à l'Ecole de psychologie de Paris. A l'occasion
S ET CONFÉRENCES Apoplexie et tremblement hystériques (1) par M. le
professeur
Raymond. Cet homme est âgé de 38 ans. Son père
edi 13 mars, à 8 h. 1/2 La psychologie de l'éléphant par M. Caustier,
professeur
au Lycée Hoche (avec projections). Vendredi 20
rançaise; Boirac, recteur de l'Académie de Grenoble ; Lionel Dau-ruc,
professeur
honoraire de la Faculté de Montpellier ; Marcel D
c, professeur honoraire de la Faculté de Montpellier ; Marcel Dubois,
professeur
s la Sorbonne ; Giard, professeur àla Sorbonne ;
lté de Montpellier ; Marcel Dubois, professeur s la Sorbonne ; Giard,
professeur
àla Sorbonne ; HUchard, membre de l'Académie de m
eur àla Sorbonne ; HUchard, membre de l'Académie de médecine ; Ribot,
professeur
honoraire au Collège de France, membre de l'Acadé
ces morales ; Albert Robin, membre de l'Académie de médecine ; Tarde,
professeur
au Collège de France, membre de l'Académie des sc
lieu le lundi 12 janvier, à cinq heures, sous la présidence de M. le
professeur
Giard, membre de l'Académie des sciences, profess
sidence de M. le professeur Giard, membre de l'Académie des sciences,
professeur
à la Sorbonne. La leçon d'ouverture ???? faite
eur à la Sorbonne. La leçon d'ouverture ???? faite par M. CaustiEr,
professeur
au lycée Hoche sur: La méthode ?? psychologie zoo
ychologie zoologique. Hypnotisme thérapeutique M. le Dr Bérillon,
professeur
. Objet du cours : 1° La thérapeutique des malad
jeudi 15 janvier. Hypnotisme experimental. M. le Dr Paul MaGnin,
professeur
. Objet du cours : L'hypnotisme chez les hystéri
lundi 12 janvier. Hypnotisme sociologique. M. le Dr Félix Regnault,
professeur
. Objet du cours : L'hypnotisme dans les religio
i 10 janvier. Psychologie normale et pathologique M. le Paul Farez,
professeur
. Objet du cours : La pathologie du sommeil natu
ir du mardi 13 janvier. Psychologie du criminel. M. le Dr Wateau,
professeur
. Objet du cours : La femme délinquante et crimi
janvier. Psychologie des foules et Folkore. M. le Dr Henry Lemesle,
professeur
. Objet du cours : Superstitions locales : Les p
vier. Ana tomie et Psychologie comparées. M. E. Caustier, agrégé,
professeur
de l'Université. Objet du cours : L'évolution d
partir du samedi 17 janvier. Psychologie des animaux. m. Lepinay,
professeur
. Objet du cours : L'éducation et le dressage de
r Bébillon. — La méthode en psychologie zoo-logique, par M. Cacstier,
professeur
agrégé de l'Université. — La psychologie et la bi
ur agrégé de l'Université. — La psychologie et la biologie, par M. le
professeur
Giard, membre de l'Académie des Sciences. La ré
e de l'Institut psycho-physiologique, sous la présidence de M. Giard,
professeur
à la Sorbonne, membre de l'Académie des Sciences.
la Sorbonne, membre de l'Académie des Sciences. Aux côtés de M. le
professeur
Giard avaient pris place deux membres du comité d
r Giard avaient pris place deux membres du comité de patronage, M. le
professeur
Lionel Dauriac et M. le Dr Jules Voisin, médecin
M. le Dr Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière, ainsi que tous les
professeurs
de l'Ecole, MM. les DM Bérillon, Paul Magnin, Fél
ul Magnin, Félix Regnault, Paul Farez, Henry Lemesle et MM. Caustier,
professeur
agrégé de l'Université, et Lépinay, médecin vétér
e Dr Saint-Yves-Ménard, membre de l'Académie de médecine, M. Terrier,
professeur
à l'Ecole normale supérieure de Sèvres, M. Laisan
ur de l'Institution départementale des sourds-muets, M, Hjalmar Hahl,
professeur
à l'Université d' Helsingfors, M. Coutaud, pr
Coutaud, président de la Société protectrice des animaux, M. Lemaire,
professeur
de philosophie au lycée d'Amiens, M. Valentino, c
ecins-vétérinaires, et un grand nombre de médecins, de magistrats, de
professeurs
de l'Université dont nous n'avons pu noter les no
nous n'avons pu noter les noms. Après avoir ouvert la séance, M. le
professeur
Giard donne la parole au Dr Bérillon. L'Ecole d
oire de l'Ecole de psychologie. Nous devrons à la présidence de M. le
professeur
Giard, la plus haute consécration scientifique qu
nception du devoir scientifique, que nous devons la présence de M. le
professeur
Giard à la réouverture des cours de l'Ecole de ps
rectement à celles qui sont dirigées, avec tant d'autorité, par M. le
professeur
Giard, dans ses laboratoires. En effet, M. Giard,
physico-chimiques domine toute la vie psychique des organismes, M. le
professeur
Giard nous indique la véritable voie dans laquell
es marques de sa haute bienveillance, et de considérer la réunion des
professeurs
de cette Ecole, comme un groupe d'élèves dévoués,
la transformation de l'enseignement de l'Ecole de psychologie, M. le
professeur
Tarde, qui présidait la séance d'ouverture, nous
l'Hypnotisme. M. Guimet peut être assuré qu'il trouvera dans tous les
professeurs
de l'Ecole et dans leurs élèves des admirateurs s
e partie du succès de cette Ecole. Je les prierai, au nom de tous les
professeurs
, de se considérer, dans cette maison, comme des a
de en psychologie zoologique, Leçon d'ouverture par M. E. Caustier,
professeur
au Lycée Hoche. J'imagine volontiers que les pr
. Caustier, professeur au Lycée Hoche. J'imagine volontiers que les
professeurs
de l'Ecole de psychologie ea me chargeant de cett
non habile, de s'écarter avec soin. Pourtant, lorsqu'en 1888, M. le
professeur
Girard prit possession de la Chaire de l'évolutio
grande facilité. A cet égard l'histoire du chat de M. Emile Yung, le
professeur
de zoologie de Genève, est bien instructive. Ce
andez: des idées. La psychologie et la biologie Discours de M. le
professeur
Alfred Giard. Messieurs, Il existait dans la
de cet abri qui semblait de tout repos. Tout récemment, mon ami le
professeur
A. Sabatier, l'éminent Doyen de la Faculté des Sc
aroles qu'adressait récemment aux étudiants de Montpellier mon ami le
professeur
A. Sabatier, dont j'ai critiqué certaines tendanc
monoplastidaires et les végétaux Par M. le Dr Charles Binet-Sanglé,
Professeur
à l'Ecole de Psychologie. [suite) (2) II. — LE
levée à 6 h. 40. Somnoforme et suggestion par M. le Dr Paul Farez,
Professeur
à l'Ecole de Psychologie. La pratique de la sug
redi 13 mars, à8 h. 1/2 La psychologie de l'éléphant par M. Caustier,
professeur
au Lycée Hoche (avec projections}. Vendredi 20
L'automatisme supérieur ou psychisme inférieur par M. le Dr Grasset
professeur
de clinique médicale à l'Université de Montpellie
us empruntons cet article à un livre très instructif que publie M. le
professeur
Grasset (Bibliothèque de psychologie expérimental
monoplastidaires et les végétaux Par M. le Dr Charles BINET-Sanglé,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. [Suite). II. — Causes
ébeault. Elle m'a permis en effet de venir en aide aux parents et aux
professeurs
d'un certain nombre d'enfants plus ou moins dégén
es. L'année scolaire a été à peu près perdue et fort heureusement son
professeur
a vu en lui un malade et l'a traité comme tel, au
une garçon de 8 ans, doué d'une intelligence très vive, mais dont les
professeurs
ne pouvaient rien obtenir et qui mettait le désor
ui étaient confiés. Bientôt on put lui faire donner des leçons par un
professeur
(alors qu'il n'avait pas regardé ses livres depui
icitude; mais au point de vue du caractère et des études, combien les
professeurs
seraient aidés par le médecin psychologue, si cel
sciences; Boirac, recteur de l'Académie de Grenoble ; Lionel Dauriac,
professeur
honoraire de la Faculté de Montpellier : Marcel D
c, professeur honoraire de la Faculté de Montpellier : Marcel Dubois,
professeur
a la Sorbonne ; Giard, profes-*eur à la Sorbonne;
adémie de médecine; Guimet, directeur du Musée des religions ; RibOt,
professeur
honoraire au Collège de France ; Albert Robin.\,
de France ; Albert Robin.\, membre de l'Académie de médecine ; Tarde,
professeur
au Collège de France ; Jules Voisin, médecin de l
ère. Cours de 1903 Hypnotisme thérapeutique. — M. le Dr Bérillon,
professeur
. Objet du cours : 1° La thérapeutique des malad
dis à cinq heures. Hypnotisme expérimental. — M. le D' Paul MaGnin,
professeur
. Objet du cours : L'hypnotisme chez les hystériqu
eures et demie. Hypnotisme sociologique. — M. le Dr Félix Regnault,
professeur
. Objet du cours : L'hypnotisme dans les religions
heures. Psychologie normale et pathologique. — M. le Dp Paul Farez,
professeur
. Objet du cours : La pathologie du sommeil nature
amedis à cinq heures. Psychologie du criminel. — M. le D' Wateau,
professeur
. Objet du cours : La femme délinquante et crimine
demie. Psychologie des foules et Folkore. — M. le Dr Henry Lemesle,
professeur
. Objet du cours-: Superstitions locales: Les pe
demie. Anatomie et Psychologie comparées. — M. E. Caustier, agrégé,
professeur
de l'Université. Objet du cours : L'évolution
edis à cinq heures et demie. Psychologie des animaux. — M. Lépinay,
professeur
. Objet du cours : L'éducation et le dressage des
ation. par le Dr Bérillon, médecin inspecteur des asiles d'aliénés,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Dans la terminologie
te) II L'hypnose ou état de suggestibilité Par M. le Dr Grasset
professeur
de clinique médicale à l'Université de Montpellie
Et, comme dit Janet, « on voit décrire sous le même nom la leçon d'un
professeur
à ses élèves et les . hallucinations provoquées c
ychonévrose traumatique intermittente par M. le docteur Paul Farez,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. Mme P., âgée de 33 an
RENCES _ f * Écriture automatique non hystérique (1). Par M. le
professeur
Raymond. Cet homme a 45 ans : il était, il y a
t volume orné de 58 figures. Ce congrès, ouvert sous la présidence du
professeur
Raymond et du Dr Jules Voisin, a été tout à fait
thérapeutiques, pédagogiques et psychologiques de l'hypnotisme par le
professeur
Raymond, par MM. les Dr Jules Voisin, Van Renterg
l'objet de communications importantes. Notre eminent confrère, M. le
professeur
Abdon Sanchez Herrero a été chargé par le Comité
Mahomet devant la science hypnotique (1) par le Dr Félix Regnault,
professeur
à l'Ecole de psychologie. La science des religi
) II L'hypnose ou état de suggestibilité Par M. le Dr Grasset
professeur
a l'Université de Montpellier 3. Qu'est-ce qui
er cette dissociation elle-même ? Après ces déclarations si nettes du
professeur
de Montpellier, on s'étonne de voir M. Binet écri
URS ET CONFÉRENCES Mutisme hystérique sans agraphie (1) par M. le
professeur
Raymond. Cet homme entend et comprend ce qu'on
n traitement paor la suggestion hypnotique (1), par le Dr Berillon,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. Les préoccupations pr
'origine de sa phobie pouvait être attribuée aux recommandations d'un
professeur
de chant qui lui avait souvent signalé la difficu
) II L'hypnose ou état de suggestibilité Par M. le Dr Grasset
professeur
a l'Université de Montpellier Tout à fait analo
ur des sujets médicaux tirés au sort. Chacun devient donc tour à tour
professeur
et élève. C'est un enseignement mutuel, c'est un
l bienveillant comme un trait d'union naturel entre les élèves et les
professeurs
. Elles sont même reconnues au point d'être le por
ions individuelles sont peu écoulées. Une plainte se produit-elle, le
professeur
passera outre, priant le plaignant de s'adresser
Société qui déléguera ses représentants pour examiner le cas avec les
professeurs
. L'élève est ainsi instruit à traiter des choses
rrête pas à l'individu et au groupe, il monte plus haut et atteint le
professeur
lui-même- Tous deux, professeur et élève, poursui
upe, il monte plus haut et atteint le professeur lui-même- Tous deux,
professeur
et élève, poursuivent le même but, le diplôme. L'
suivent le même but, le diplôme. L'élève veut arriver à l'obtenir, le
professeur
veut lui faciliter la tâche; un lien sérieux s'ét
ves selon qu'il formera plus ou moins de sujets capables. Aussi les
professeurs
réunis en conseil d'administration chercheront-il
tout l'essentiel. Pas de cours sans tableau : la craie à la main le
professeur
démontre. Pas de cours sans faire circuler dans
aux passent de mains en mains, illustrant les maladies décrites parle
professeur
. Pour les maladies nerveuses, les malades venus
és à tour de rôle, doivent faire le diagnostic et le défendre, car le
professeur
les interroge devant leurs camarades. De même p
élèves sont emmenés par groupes dans les différents services par leur
professeur
qui choisit les malades selon les maladies qu'il
la valeur de l'argent qu'ils donnent au collège. Ils exigent de leurs
professeurs
un enseignement qui leur facilite la besogne, les
Pas de traînards. Pour l'honneur de l'Ecole, il n'en faut pas. Tout
professeur
qui fait un cours doit examiner hebdomadairement
n éveil et l'esprit tendu. Malheur à l'élève indécis; sur un signe du
professeur
la classe entière vocifère la réponse demandée. D
t données; elles comptent aux examens. Chacun est connu, apprécié des
professeurs
, des camarades, en un mot coté. Peu de surprises
'entraînement mutuel pour l'obtention du diplôme de docteur. Aussi le
professeur
Hermann Biggs de l'Ecole de Bellevue, disait-il à
d'un orgue de Barbarie serinant dans la rue un refrain à la mode. Le
professeur
, bon enfant, s'arrête, puis après avoir souri un
A ce moment, un des médecins qui le soignait, praticien distingué et
professeur
d'une de nos Ecoles de médecine, se décida à le m
tion de M. le D' Jules Voisin, président de la Société; 3° Eloge du
professeur
Tokarski, de Moscou, membre fondateur de la Soc
e membres et se compose de médecins, de magistrals, d'avocats, de
professeurs
de psychologie, de sociologues, de pédagogues à l
) II L'hypnose ou état de suggestibility Par M. le Dr Grasset
professeur
à l'Université de Montpellier 5. La famille de
iébeault qu'il vient de fonder à Loches; 2° l'ouvrage récent de M. le
professeur
Grasset (de Montpellier) sur l'Hypnotisme et la S
psychologiques et les divergences médicales Par M. Lionel Dauriac,
Professeur
honoraire de l'Université de Montpellier. Les d
ralysie intermittente par inaction chez an hystérique (1) par M. le
professeur
Raymond. Ce jeune homme est âgé de seize ans. S
Société, MM. Boirac, recteur de l'Académie de Dijon; Lionel Dauriac,
professeur
honoraire à l'Université de Montpellier: et Paul
c, professeur honoraire à l'Université de Montpellier: et Paul Magmn,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Parmi les convives, n
sen, directeur de l'Institut de psychothérapie de Bruxelles, Bianchi,
professeur
agrégé de l'Université de Parme, le créateur de l
de santé de Picpus, MM. les D" Félix Hegnault, Bellemanière et Farez,
professeurs
à l'Ecole de pyschologie. M. le Dr Bilhaut, chiru
e, direct1 de la bibliothèque des méthodes scientifiques, M. Quinque,
professeur
d'enfants arriérés. La médecine vétérinaire était
arriérés. La médecine vétérinaire était représentée par MM. Lépinay,
professeur
à l'Ecole de psychologie, Grollet, secrétaire gén
18· Année. —Xe 2. Août 1903. L'alcoolisme inconscient, par le
professeur
Pierret, de Lyon. La lutte contre l'alcoolisme
paon, nous croyons intéressant de rappeler ici le discours que M. le
professeur
Pierret, de l'Université de Lyon, prononça au Con
e la Ligue française de la moralité publique. Dans ce discours, M. le
professeur
Pierret a traité de la forme la plus redoutable e
n militaire belge;— L'hypnotisme et la suggestion, par le ?* Grasset,
professeur
à l'université de Montpellier; — L'esprit scienti
t répondraient : « Non, ne donnez pas votre fille à cet homme ». Le
professeur
Brouardel lui-même, qui est un des grands défense
ne pouvait ignorer l'issue : le projet fut rompu ». Sans doute, le
professeur
Brouardel n!a pas violé, à la lc-ttre, le secret
quer le Dr Valentino, il a usé d'un expédient, et « pour quel'eminent
professeur
Brouardel se soit trouvé réduit aux expédients, i
ignait pas de déchaîner contre lui l'amour-propre des matrones, était
professeur
à Padoue, où il avait remplacé Fallope en 1565. »
, mais aussi par son tact parfait et par son exquise amabilité, M. le
professeur
Francotte s'est concilié d'emblée la sympathie et
timidement dans les Congrès précédents. Déjà, l'année dernière, M. le
professeur
Bordier, l'éminent directeur de l'Ecole de Grenob
les progrès de la psychiatrie et de la neurologie. Cette année, M. le
professeur
Francotte s'est révélé un psychologue de premier
Nous devons ajouter que, dans une communication sur la douleur, M. le
professeur
Brissaud a exposé des idées qui se rapprochent be
éfendues dans cette Revue. A l'occasion de cette communication, M. le
professeur
Bernheim a justement rappelé que les médecins qui
'endormir les malades et de faire la suggestion, entre autres, MM. le
professeur
Forel; le professeur Hirt, de Breslau ; le Dr van
et de faire la suggestion, entre autres, MM. le professeur Forel; le
professeur
Hirt, de Breslau ; le Dr van Renterghem, d'Amster
ce; celle-ci comprend, entre autres, des lettres d'excuses de MM. les
Professeurs
Raymond et Déjcrinc, le Dr Paul Richer (de l'Acad
allocution. M. le D' Bérillon, secrétaire général, fait l'éloge du
professeur
Tokarsky (de Moscou;, membre-fondateur de la Soci
depuis. Ce dernier appartenait à l'école du célèbre neuro-logiste le
professeur
Kogewnikoff; il s'occupait de l'enseignement de l
e psychologique qu'au point de vue thérapeutique. En même temps, le
professeur
de St-Pétersbourg, Bechterev, faisait de nombreus
les signes de dégénérescence - Par M. le Dr Charles Binet-SanGLÉ.
Professeur
? l'Ecole de psychologie. Dans votre séance du
itement. Une autre fois, je devais aller en province, appelé par un
professeur
d'université, à l'effet d'essayer l'hypnotisation
Le jour était convenu, mais il se fit qu'un empêchement de la part du
professeur
fit remettre la séance au jour suivant. Le jour m
Lamalou et parmi les médecins présents, nous devons citer : MM. les
professeurs
Landouzy et Raymond, délégués de l'Académie de mé
ofesseurs Landouzy et Raymond, délégués de l'Académie de médecine; le
professeur
Gaucher, médecin à l'hôpital Saint-Louis; les pro
médecine; le professeur Gaucher, médecin à l'hôpital Saint-Louis; les
professeurs
Pitres et Régis; le professeur Mairet, doyen de l
médecin à l'hôpital Saint-Louis; les professeurs Pitres et Régis; le
professeur
Mairet, doyen de la Faculté de médecine de Montpe
rofesseur Mairet, doyen de la Faculté de médecine de Montpellier; les
professeurs
Grasset, Carrieu, Tédenat, de la Faculté de Montp
e M. Trouillot, ministre du commerce. Tout d'abord, M. Pierre Brun,
professeur
au lycée de Monte pellier a lu une ode intitulée
ours très goûté, le D' Boissier, doyen des médecins de Lamalou, et le
professeur
Raymond retracent la vie et la carrière illus
inq religieuses de Port-Royal, Par le Docteur Charles Bixet-Sanglé,
Professeur
à l'Ecole de Psychologie. Ce travail comprend q
part de volitions et d'actes. Si nous considérons les orateurs, les
professeurs
, les journalistes, les marchands, les hommes d'af
ervation VIII. — W. L. Entre à l'hôpital St-Sauveur. service de M. le
professeur
Lemoine le 15 juin 1903, déjà soignée en 1902 pou
el chez une enfant de vingt-six mois. par M. le docteur Paul Farez.
Professeur
à l'Ecole de Psychologie, La courte observation
L'hypnotisme chez le cheval, par M. Lépixay, Médecin-Vétérinaire,
Professeur
à l'Ecole de psychologie. L'hypnotisme chez les
ET CONFÉRENCES Contracture hystérique des mâchoires (1) par m. le
professeur
Raymond Voici un garçon de 16 ans qui présente
partisans de la classe d'une heure, tandis que d'autres, comme M. le
professeur
Malapert, apportaient des arguments en faveur de
n grand nombre de points. Les programmes trop surchargés imposent aux
professeurs
l'obligation de soumettre les enfants à un labeur
Lépinay. M. le Dr Legraln, médecin en chef de Vaucluse, a été nommé
professeur
titulaire et chargé d'un cours de psychiatrie.
49, rue Saint-André-des-Arts. Cours a Lille. — M. le D' Paul Joire,
professeur
correspondant à Lille, a repris son cours d'hypno
Dr J. Grasset : Le spiritisme devant la science, avec une préface du
professeur
M. Pierre Janet. Masson, in-12, 4'jû pages. Paris
lundi 11 janvier, à cinq heures du soir, sous la présidence de M. le
professeur
Blanchard, membre de l'Académie de médecine, prof
ence de M. le professeur Blanchard, membre de l'Académie de médecine,
professeur
à la Faculté de Médecine. La leçon d'ouverture
trevoyons déjà dans les communications présentées récemment par M. le
professeur
Blanchard, à l'Académie de Médecine, sur la malad
C'est pour cela que nous avons demandé à notre maître et ami M. le
professeur
Blanchard de vouloir bien nous exposer les faits
es psychologues, de la maladie du sommeil. Cette année, les anciens
professeurs
de l'École MM. les Dr Bérillon, Paul Magnin, Féli
isin, Bérillon, A. de Jong (de la Haye], Paul Joire (de Lille), M. le
professeur
Baron, de l'Ecole d'Alfort ; M. Luisant, examinat
alentino, chef do bureau au ministère des Beaux-Arts, et M. Malapert,
professeur
au lycée Louis-le-Grand. Comme nous l'avons déj
'est qu'elle est une œuvre d'initiative absolument désintéressée. Les
professeurs
et les conférenciers n'ont qu:un seul but, propag
t 1903; il présente, enfin, à la Société un livre de M. Victor Henry,
professeur
à la Faculté des Lettres de Paris : La M&gie
chique que présentait cette dernière (1). Je cite ce cas d'après le
professeur
Iassinsky (2). Le texte n'indique pas si la fem
i 11 janvier 1904, à cinq heures du soir, sous la présidence de M. le
professeur
Blanchard, membre de l'Académie de médecine, prof
ence de M. le professeur Blanchard, membre de l'Académie de médecine,
professeur
à la Faculté de médecine. ORDRE DU JOUR : 1°
s aura lieu le lundi 11 janvier, à cinq heures, sous la présidence du
professeur
R. Blanchard, membre de l'Académie de médecine. L
psychologie est public. Hypnotisme thérapeutique M. le Dr Bérillon,
professeur
. Objet du cours : 1° La thérapeutique de l'émot
tir du 14 janvier. 'Hypnotisme expérimental M. le D' Paul Maosin,
professeur
. Objet du cours : L'hypnotisme chez les hystéri
Hypnotisme sociologique et anthropologie . M. le D' Félix Regnault,
professeur
. Objet du cours : Le rôle social des religions. L
janvier. Psychologie normale et pathologique M. le Dr Paul Farez.
professeur
. Objet du cours : La psycho-pathologie du rêve.
à partir du 12 janvier. Psychologie du criminel M. le Dr Wateac,
professeur
. Objet du cours : La femme délinquante et crimi
res et demie, a partir du 15 janvier. Psychiatrie M. le Dr Legrain,
professeur
. Objet du cours : Les formes curables'de la fol
du 12 janvier. Anatomic et Psychologie comparées M. E. Caustier,
professeur
agrégé de l'Université. Objet du cours : Les fonc
1/2. Etude psychologique sur le Tarot des Bohémiens, par M. r. Baron,
professeur
à l'Ecole vétérinaire d'Alfort. Vendredi 12 fév
capitaine Villetard de Laguérie (avec projections). M. Lf.pinay,
professeur
. Objet du cours : Le cerveau dans la série anim
2. Pédagogie psychologique : La colère chez Venfant, par M. Malapert,
professeur
au lycée Louis-le-Grand. Salpétrière. — M. le D
'Ecole de psychologie L'Ecole de psychologie, par M. le D' Bémllox,
professeur
à l'Ecole de psychologie. — Les sommeils patholog
e psychologie. — Les sommeils pathologiques, par M. le d' Paul Fabez,
professeur
à l'Ecole de psychologie. — La psychologie et la
à l'Ecole de psychologie. — La psychologie et la médecine, par M. !e
professeur
R. Blax-chard, membre de l'Académie de médecine.
ut psycho-physiologique, sous la présidence de M. le Dr R. Blanchard,
professeur
à la Faculté de médecine. Aux côtés de M. le pr
Blanchard, professeur à la Faculté de médecine. Aux côtés de M. le
professeur
Blanchard, avaient pris place : M. le Dr Jules Vo
médecin de la Salpétrière, membre du Comité de patronage et tous les
professeurs
de l'Ecole : MM. les Dr Bérillon, Paul Magnin, Fé
illon, Paul Magnin, Félix Regnault, Paul Farez, Waleau, MM. Caustier,
professeur
agrégé de l'Université, Lépinay, médecin-vétérina
t Hermann Laurent, examinateurs à l'Ecole polytechnique, M. Malapert,
professeur
au lycée Louis-Ie-Grand, Marcille, professeur au
technique, M. Malapert, professeur au lycée Louis-Ie-Grand, Marcille,
professeur
au lycée Montaigne, M. le Dr Fiessinger, membre c
eissier, Blech, docteurs en droit, et un grand nombre de médecins, de
professeurs
de l'Université, dont nous n'avons pu noter les n
ous n'avons pu noter les noms.. Après avoir ouvert la séance, M. le
professeur
Blanchard donne la parole au D' Bérillon. L'Eco
relèvent de la psychologie. Les études auxquelles se consacrent les
professeurs
de l'Ecole se répartissent en huit branches princ
ements de la personnalité, etc., etc. Nous devons reconnaître que les
professeurs
de l'Ecole de Psychologie s'intéressent surtout à
e la propagation de ce néo-mysticisme psychologique, contre lequel le
Professeur
Morselli s'élevait récemment avec tant de logique
r quelle sera la valeur de ce nouvel enseignement. Le groupe de nos
professeurs
correspondants qui, partageant nos doctrines, s'e
la première clinique de psychothérapie créée en Hollande, a été nommé
professeur
correspondant. Notre eminent collègue, ancien p
recteur des Annales anti-alcooliques, et de Ml. le Dr Félix Regnault.
professeur
à l'Ecole de psychologie. A cette occasion, qu'
par ma bouche le témoignage de la vive affection que lui portent les
professeurs
de l'Ecole de psychologie. - Nous avons reçu
.Les précédentes séances d'ouverture ont été présidées par MM. les
professeurs
Tarde, du Collège de France ; Albert Robin, do l'
és par nous. • ¦ * Il me reste à souhaiter la bienvenue à M. le
professeur
Blanchard, membre de l'Académie de Médecine. En l
hes sur l'hypnotisme. En acceptant la présidence de cette réunion, le
professeur
Blanchard reste fidèle à la pensée de notre maîtr
rateur et l'ami, et je lui en exprime notre reconnaissance au nom des
professeurs
de l'Ecole de psychologie. * ^ /Les sommeils
constante amitié. Je leur en suis reconnaissant, ainsi qu'aux autres
professeurs
de l'Ecole de Psychologie. Votre Ecole, Messi
du d'éminents services; et la variété des cours, comme la qualité des
professeurs
, montre à quelle préoccupation vous avez obéi en
édicales par les préoccupations que je viens d'indiquer. Et parmi les
professeurs
de l'Ecole de Psychologie, le Dr Paul Farez n'est
es D,f Legrain, médecin dc l'asile de Ville-Evrard et Félix Regnault,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. M. le Dr Jules Voisin
. Pédagogie psychologique : La colère chez l'enfant, par M. Malapert,
professeur
au lycée Louis-le-Grand. D' Licbeault (de Nan
rs à rapprocher de celui qui fut publié il y a quelques années par le
professeur
Burot, de Rochefort et à une observation récente
. Pédagogie psychologique : La colère chez l'enfant, par M. Malapert,
professeur
au lycée Louis-le-Grand. Conférences pratique
de France — eut à lutter longtemps pour affirmer ses théories que les
professeurs
di la Sal-pétrière n'acceptaient que partiellemen
e. — Le Dr Liébeault, nous disait ce matin le Dr Raymond, l'éminent
professeur
de la Salpétrière, estimait que l'hypnose était u
science qui s'étaient groupés autour de lui à Nancy — il n'était pas
professeur
à la Faculté mais, exactement, médecin à Plombièr
de la dormeuse de Thenelles h l'Académie de médecine. — Un hommage au
professeur
Pitres. — Kant, précurseur de la psychothérapie.
forcément insuffisante. A l'occasion de cette communication, M. le
professeur
Raymond a rappelé des cas analogues de sommeil qu
II y a quelques jours, une fête charmante réunissait autour de M. le
professeur
Pitres ses amis et ses élèves, heureux de lui tém
e de sa promotion au grade d'officier de la Légion d'honneur. M. le
professeur
Demons, chargé par la Grande Chancellerie de lui
e professeur Demons, chargé par la Grande Chancellerie de lui M. le
professeur
Pitres (de Bordeaux). donner l'investiture offi
st acquitté de cette mission avec une exquise solennité. Puis M. le
professeur
Vergely a lu une adresse chaleureuse signée de to
neurs et le bonheur qu'il mérite, comme savant, comme confrère, comme
professeur
et comme doyen. A ces hommages, nous joindrons
rons ceux de la Revue de l'hypnotisme, qui s'honore d'avoir compté le
professeur
Pitres au nombre de ses premiers collaborateurs.
au corps enseignant de la Faculté de Paris, comme chef de clinique du
professeur
Charcot. Le 12 février 1804, mourait à Kœnigsbe
e théorie scientifique, née en province contre la théorie adverse des
professeurs
officiels » de Paris. Au nom des amis du docteu
ulté de médecine, suivit ses cours et adopta sa méthode. M. Bernheim,
professeur
à Nancy, expérimenta, selon les mêmes indications
a collaboration de trois membres de l'Université de Nancy : Bernheim,
professeur
à la Faculté de médecine, Liégeois, professeur de
é de Nancy : Bernheim, professeur à la Faculté de médecine, Liégeois,
professeur
de droit, et Beaunis, professeur de psychologie.
à la Faculté de médecine, Liégeois, professeur de droit, et Beaunis,
professeur
de psychologie. C'est ainsi que fut fondée l'Ecol
........... 100 Dr Bêrillon, directeur de la Revue de l'Hypnotisme,
professeur
à l'École de psychologie................. 100
s Voisin, médecin de la Salpétrière..... ....... 20 Dp Paul Magnin,
professeur
à l'École de psychologie. . ..... 20 Dr Paul Fa
nin, professeur à l'École de psychologie. . ..... 20 Dr Paul Farez,
professeur
à l'École de psyohologie......... 20 D" Gorodic
de la Société d'hypnologie, à Narbonne..... 10 Mlle Lucie Bêrillon,
professeur
au lycée Molière......... 5 ?lle Alice Bêrillon
rillon, professeur au lycée Molière......... 5 ?lle Alice Bêrillon,
professeur
au lycée Molière.......... 5 Dr Ducor, à Parle.
... 3 M. Hermann Kaater, étudiant.................. 3 M"° Grison,
professeur
au collège Sévlgné............. M. Tarisien, ét
1 ?"·?. de Soitroutschone, étudiante...............1 M«" Macger,
professeur
......................1 M. Fouqckt, étudiant....
..1 M. Fernand Thiry, étudiant....................1 ?-·- Cornuel,
professeur
.................... 1 ?-· Rot..................
1 ?me Paris, directrice d'école....................1 M. ?alapert,
professeur
.....................1 M. Antoine Focacci.......
e la science. Nous sommes heureux d'annoncer à nos lecteurs que M. le
professeur
Raymond, successeur de Charcot dans la chaire des
rcot dans la chaire des maladies nerveuses à la Salpé-trière et M. le
professeur
Beaunis, professeur honoraire à la Faculté de Nan
des maladies nerveuses à la Salpé-trière et M. le professeur Beaunis,
professeur
honoraire à la Faculté de Nancy, ont bien voulu a
Une autre nouvelle des plus agréables nous parvient de Nancy, M. le
professeur
Liégeois, correspondant de l'Institut, nous appre
t; tel est le titre d'une remarquable étude par laquelle M. Malapert,
professeur
de philosophie au lycée Louis-le-Grand a clôturé
t d'un ami. M. le Dr Arie de Jong, membre de la Société d'hypnologie,
professeur
à l'Ecole de psychologie et fondateur de la clini
de la neurasthénie par la course en flexion, par le Dr F. Regnault.
Professeur
à l'Ecole de Psychologie. / • La neurasthénie d
infructueux. Je fis avec M. Comte, au laboratoire de physiologie du
professeur
Marey (de l'Institut), les recherches scientifiqu
es Voisrs. r Un cas de mutisme prolongé, Par M. le Dr Bérillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Le malade que je prés
. 100 fr. ?me A. H............................. 25 D' H. Leuesle.
professeur
& l'Ecole de psychologie, directeur de l'In
Total de la 1" liste........... 748 50 1.055 50 Adresse de M. le
professeur
Liégeois au Conseil municipal de Nancy Nancy,
uscription pour le monument au Dr Liébeault. — L'explorateur Stanley,
professeur
de volonté. — La mort du professeur Tarde. La R
ébeault. — L'explorateur Stanley, professeur de volonté. — La mort du
professeur
Tarde. La Revue de l'Hypnotisme et de la Psycho
t est ainsi corn- posé : Présidents d'honneur : M. le Dr Raymond,
professeur
de clinique des maladies nerveuses à la faculté d
ique des maladies nerveuses à la faculté de Paris ; M. le Dr Beaunis,
professeur
honoraire à la faculté de médecine de Nancy. Prés
s-Unis), M. le Dr Jaguaribe (Brésil). Secrétaire : M. le Dr Bêrillon,
professeur
à l'Ecole de psychologie. Membres du comité: M. l
membre correspondant de l'Académie de médecine, M. le Dr Paul Magnin,
professeur
à l'Ecole de psychologie, M. le Dr Paul Farez, pr
aul Magnin, professeur à l'Ecole de psychologie, M. le Dr Paul Farez,
professeur
à l'Ecole de psychologie, M. le Dr Henry Lemesle,
l Farez, professeur à l'Ecole de psychologie, M. le Dr Henry Lemesle,
professeur
à l'Ecole de psychologie, M. le Dr Tripier, ancie
qui aura lieu le 21 juin, à 4 heures, sous la présidence d'honneur du
professeur
Beaunis, sera consacrée en partie à l'apologie du
uissance de la volonté. Il mérite d'être considéré comme un véritable
professeur
de volonté. » * Nous avons appris avec regret
é. » * Nous avons appris avec regret la mort de M. Gabriel Tarde,
professeur
de philosophie moderne au Collège de France et me
opération ou d'une magnifique tumeur, un avocat, d'un beau procès, un
professeur
, d'un bel examen. .La mémoire latente d'un long p
ciétés Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence d'honneur de M. le
professeur
Beaunis, professeur honoraire à la Faculté de Nan
rue Danton, sous la présidence d'honneur de M. le professeur Beaunis,
professeur
honoraire à la Faculté de Nancy. Ordre du jour
r un monument au Dr Liébeault. 3e Liste M. le Professeur Raymond,
professeur
de clinique des maladies nerveuses à la Salpétr
s de Saratov*, Russie............"....... 100 M. le Dr Jaguaribe,
professeur
correspondant à l'Ecole de psychologie, Sao Pau
Pemphigus hystérique, par Raymond, p. 346. Pitres (Un hommage au
Professeur
), p. 289. Poids du cerveau et l'intelligence (L
lus grande part de ce mouvement revient à notre éminent maître, M. le
professeur
Charcot. Personne n'a oublié ce légitime retentis
(Du jeudi 8 août au 12 août 1839). PRÉSIDENTS D'HONNEUR : MM. les
professeurs
Charcot {de l'Institut), Brown-Séquard (de l'Inst
U COMITÉ D'ORGANISATION : M. le Dr G. Ballet, médecin des hôpitaux,
professeur
agrégé & la Faculté de médecine. M. le Dr B
, professeur agrégé & la Faculté de médecine. M. le Dr Beaunis,
professeur
à la Faculté de Nancy, directeur du laboratoire
mbre de la Société de psychologie physiologique. M. le Dr Bernheim,
professeur
à la Faculté de médecine de Nancy. M. Bordier, av
Paris, membre de la Société de médecine légale. M. le Dr Bourru,
professeur
à l'École de médecine de Rochefort. M. le Dr Bria
Dr Brian d, médecin en chef de l'Asile de Villejuif. M. le Dr Burot.
professeur
à l'Ecole de médecine de Rochefort. M. le Dr Coll
Société médico-psychologique. M. le Dr Dejérine, médecin de Bicêtre,
professeur
agrégé à la Faculté de médecine. M. le Dr Duboi
édecin de Bicêtre, membre de la Société d; biologie. M. le Dr fontan,
professeur
à l'École de médecine de Toulon. M. le Dr Forel,
el, médecin en chef de l'Asile d'aliénés de Zurich. M. le Dr Grasset,
professeur
à la Faculté de Montpellier. M. Pierre Janet, pro
Dr Grasset, professeur à la Faculté de Montpellier. M. Pierre Janet,
professeur
agrégé de philosophie, membre de la Société de
le Dr Ladame, privat-docent a l'Université de Genève. M. A. Lalande,
professeur
agrégé de philosophie. M. le Dr Liébeault, de Nan
r agrégé de philosophie. M. le Dr Liébeault, de Nancy. M. Liégeois,
professeur
à la Faculté de droit de Nancy. M. le Dr Mabille.
re de la Société de psychologie physiologique. M. le Dr Manouvrier.
professeur
a l'École d'anthropologie, membre de la Société d
lpêtriére, membre de la Société médico-psychologique. -m. Emile Yung,
professeur
à l'Université de Genève. BUREAU : Président:
. les docteurs Azam, Bérillon, MM. Ribot. Alcan et un grand nombre de
professeurs
de la Sorbonne. Une application chirurgicale, à
tat psychologique et physiologique fut écrite, il y a dix ans, par le
professeur
Stanley Hall. Il constata qu'elle était totalemen
la Société médicale de Berlin, et malgré la vive opposition de M. le
professeur
Mendel, l'assemblée a manifesté un assentiment pr
lades. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales. — M. le
professeur
Ball fait, les dimanches et les jeudi», des leçon
s. 1889. — Prix: 4 francs. Les sensations internes, par H. Beaunts,
professeur
de physiologie à la Faculté de Nancy, directeur d
evenir l'objet d'applications journalières, ont été confiés à MM. les
professeurs
Bernheim et Liégeois, et à MM. les docteurs Béril
cées, c'est-à-dire que les médecins, les magistrats, les avocats, les
professeurs
, les philosophes, en un mot, tous ceux qui s'in
L'Académie de médecine de Belgique a désigné un de ses membres, M. le
professeur
Masoin. pour la représenter officiellement au Con
s les mé- decins qui se conformaient aux enseignements donnés par les
professeurs
de Nancy, il y avait lieu de croire que leur doct
notre étude, nous adopterons la division cli-nique adoptée par M. le
professeur
Charcot et nous envisagerons successivement l'emp
nt de toutes les médications ? Comme l'a si justement exprimé M. le
professeur
Charcot, tout ce qui frappe vivement l'esprit, to
S. GUÉRI EN DEUX SÉANCES PAR LA SUGGESTION Par le docteur P. BUROT,
professeur
à l'Ecole de médecine de Rochefort. Mme Bon...,
(Du Jeudi 8 acùt au 12 août 1889) PRÉSIDENTS D'HONNEUR : MM. les
professeurs
Charcot (de l'Institut), Brown-Séqcard (de l'inst
U COMITÉ D'ORGANISATION : M. le Dr G. Ballet, médectc des hôpitaux,
professeur
agrégé à la Faculté de médecine. M. le Dr Beaun
taux, professeur agrégé à la Faculté de médecine. M. le Dr Beaunis,
professeur
à la Faculté de Nancy, directeur du laboratoire
mbre de la Société de psychologie physiologique. M. le Dr Bernheim,
professeur
a la Faculté de médecine de Nancy. H. Bordier, av
Paris, membre de la Société de médecine légale. H. le Dr Bourru,
professeur
à l'École de médecine de Rochefort. H. le Dr Brun
le Dr Bruno, médecin en chef de l'Asile de Villejuif. M. le Dr BUrot.
professeur
à l'École de médecine de Rochefort. M. le Drr Col
Société médico-psychologique. M. le Dr Déjérine, médecin de Bicêtre,
professeur
agrégé à la Faculté de médecine. H. le Dr Duboi
Dieu, secrétaire général de la Société de biologie. M le Dr Fontan.
professeur
à l'École de médecine de Toulon. M. le Dr Forel,
arnie*, médecin en chef de la Préfecture de police. H. le Dr Grasset,
professeur
a la Faculté de Montpellier. M. Pierre Janet, pro
Dr Grasset, professeur a la Faculté de Montpellier. M. Pierre Janet,
professeur
agrégé de philosophie, membre de la Société de
le Dr Ladame, privat-docent à l'Université de Genève. M. A. Lalande,
professeur
agrégé de philosophie. M. le Dr Liébeault, de Nan
r agrégé de philosophie. M. le Dr Liébeault, de Nancy. M. Liégeois,
professeur
à la Faculté de droit de Nancy. M. le Dr Mabille,
re de la Société de psychologie physiologique. M. le Dr Manouvrier,
professeur
à l'École d'anthropologie, membre de la Société d
alpêtrière, membre de la Société médico-psychologique. M. Emile Yung,
professeur
à 1 Université de Genève. BUREAU : Président
à l'Hôtel de Ville. Vendredi 9 Août. A 3 h. 1/2. — Rapport de M. le
professeur
Bernheim— Discussion. — Communications diverses
A 9 h. — Visite à la Salpêtrière. A 3 h. 1/2. — Rapport de M. le
professeur
Liégeois. — Discussion. — Communications divers
nous suffira de dire que ce Congrès, organisé par les soins de M. le
professeur
Charles Richet, a groupé des psychologues de la v
A la fin du Congrès, parlant au nom des adhérents étrangers, M. le
professeur
Masoin a exprimé dans les termes suivants, l'impr
oyaient plus généralement l'hypnotisme, comme agent thérapeutique. Le
professeur
Meynert, si célèbre par ses belles recherches d'a
rès la méthode persuasive de suggestion qui a été enseignée par M. le
professeur
Bernheim. Pour ma part, après des centaines d'hyp
ce qu'une seule observation analogue publiée tout récemment par M. le
professeur
V. Krafft-Ebing dans le premier volume des Archiv
s lourde que celui dont je viens de rapporter l'observation. Aussi le
professeur
de Gratz. qui vient d'avoir l'honneur d'être nomm
(Du jeudi 8 août au 12 août 1889) PRÉSIDENTS D'HONNEUR: MM. les
professeurs
CHARCOT (de l'Institut); BROWN-SÉQUARD (de l'Inst
publiciste à Paris. Mme la comtesse DrANDLAU, à Paris. M. le Dr AZAM,
professeur
à la Faculté de Bordeaux. M. le Dr BABINSKI, anci
de clinique de la Faculté. M. le Dr G. BALLET, médecin des hôpitaux,
professeur
agrège à la Faculté de médecine. M. le DrBARÉZY
juif. M. BAUDIH Pierre, avocat a la Cour d'Appel. M. le Dr BEAUNIS,
professeur
à la Faculté de Nancy, directeur du laboratoire d
embre de la Société de psychologie physiologique. M. le Dr BERHEIM.
professeur
a la Faculté de médecine de Nancy. M. BINET Alf
e France. M. le Dr BOURDON, médecin à Méru (Oise). M. le Dr BOURRU,
professeur
à l'École de médecine de Rochefort. M. BOURIOT Em
Dr BRIAND, médecin en chef de l'Asile de Villejuif. M. le Dr BUROT.
professeur
a l'École de médecine de Rochefort. M. CAUSTIER
ipal de l'armée, en retraite. M. le Dr DÉJÉRINE médecin de Bicêtre,
professeur
agrégé à la Faculté de médecine. M. delcro Jule
Paris. M. et GRANDMAISON. interne des hôpitaux. M. le Dr GRASSET,
professeur
à la faculté de Montpellier. M. le Dr GRIMOUX H
NEU , conseiller général à Nolay (Côte d'Or). M. le Dr GUERMONPREZ,
professeur
a la Faculté libre de Lille. M. GUILHAUD, licen
iété d'ophtalmologie de Paris. M. JANET Pierre, docteur ès lettres,
professeur
agrégé de philosophie. Mme JUGLAR,de la Société
le Dr LACAILLE, lauréat à la Faculté de Paris. M. le Dr LACASSAGNE,
professeur
de la Faculté de Lyon. M. LADAME James, ingénie
LAMY Ernest, de la Société d'anthropologie de Paris. M. A. LALANDE.
professeur
agrégé de philosophie. M. LANZENBERG, publicist
culté de Paris. M. le Dr LIÉBEAULT, médecin a Nancy. M. LieGEOIS,
professeur
4 la Faculté de droit de Nancy. M. le Dr MABILL
STRATI, médecin a Paris. M. MÉRIC l'abbé Elle), docteur ès lettres,
professeur
a la Sorbonnc. M. le Dr MAGNIN Paul, membre la
embre la Société de psychologie physiologique. M. le Dr MANOUVRIER,
professeur
à l'École d'anthropologie, membre de Société de
l'Hôtel-Dieu, membre de l'Académie de médecine. M. METZGER Daniel,
professeur
de sourds muets ù Paris. M.le Dr MONIN, rédacteur
direetcurde l'asile de Riazanne (Russie). M. le Dr BASALO Rodulfo,
professeur
à la Faculté de Caracas (Venezuela). M. le Dr S
SESSIM Omer, médecin-major de l'Armée Ottomane. M. le Dr BOUSSAKIS,
professeur
a la Faculté d'Athènes ; délégué du gouvernement
délégué de la Société russe d'Hygiène de St-Petersbourg SL.DELBŒUF,
professeur
a l'Université de Liège. M. le Dr DEVANT, médec
armée Suédoise. M. le Dr FOREL, médecin en chef de l'Asile d'aliénés,
professeur
à l'Université de Zurich. M. le Dr FRAENKEL, méde
en médecine (Etats-Unis de Colombie). M. le Dr HERRERO Abdan Sanchez,
professeur
a la Faculté de Valladolid. (Espagne). M. HURRI
ve. M. le Dr LEVINSON, médecin à St-Pétersbourg. M. le Dr LEDRESSEUR,
professeur
à l'Université de Louvain. M. 1e Dr LOMBROSQ Césa
SSEUR, professeur à l'Université de Louvain. M. 1e Dr LOMBROSQ César,
professeur
de médecine mentale a la Faculté de Turin. M. l
. M. le Dr MARÉCHAL Amédée, médecin a Bruxelles. M. dt MEDVECZKY,
professeur
à l'Université de Buda-Pest. M. MEMORSKI Alexan
da-Pest. M. MEMORSKI Alexandre, avocat à Moscou. M. le Dr masoiN,
professeur
à l'Université de Louvain, délégué officiel de
s. M. le Dr VELANDER, médecin à Yonkoping (Suéde,). M. EMILE YUNG
professeur
à l'Université de Genève. M. le Dr WARDE, chiru
ogrés dans l'étude de l'hypnotisme : Vous savez. Messieurs, que M. le
professeur
Bernheim accorde a la suggestion une part presque
sive dans tous les phénomènes de l'hypnotisme, et peut-être le savant
professeur
de Nancy serait-il disposé à penser que ceux qui
de se montrer plus convaincu et d'être plus éloquent que le savant
professeur
de Nancy, mais qu'il me permette de le dire « la
lle. A côté de nos concitoyens, je suis heureux de citer les noms des
professeurs
Delbœuf (de Liège; Ladame , Yung. (de Genève) et
le aux travaux de notre collègue le docteur Mesnet et aux mémoires du
professeur
Azam de Bordeaux, de M. Azam auquel Braid offrait
sur la neurypnologie, et cela en reconnaissance de la sanction que le
professeur
de Bordeaux avait donnée par ses expèriences pers
de Manchester. Personne de nous n'a oublié avec quelle sagacité le
professeur
Azam a analysé, il y a de cela vingt-neuf années,
N'oublions pas non plus de rappeler qu'un homme qui n'est plus, le
professeur
Bouley, ce vulgarisateur, cet éloquent défenseur,
édecine de Belgique n'a-t-elle pas désigne l'un de ces membres, M. le
professeur
Masoin, pour la représenter officiellment á notre
es recompenses el des encouragements à MM Panl Richer et Bérillon. Le
professeur
Brown-Sèquard n'a-t-il pas signe la pré-tace de l
oint été déçues et aujourd'hui ses principaux collaborateurs sont des
professeurs
de différentes Facultés et Universités françaises
oyale de médecine de Belgique a désigné un de ses membres. M. Masoin,
professeur
à 1'Université de Louvain, pour la représenter au
uvain, pour la représenter au Congrès, en conséquence il invite M. le
professeur
Masoin prendre place au bureau. L'ordre du jour
ubliques d'hypnotisme n'apparaît pas évidente t toute le monde, et un
professeur
de philosophie de Liège, M. Del- bœuf, n'est fa
gie criminelle est encore une science à faire,a dit modestement M. le
professeur
Lacassagne, au début du Congrès. Il y a trois ans
ychologique et l'anatomie, n'admet pas le type criminel décrit par le
professeur
de Turin. Le crime, dit-il, est une matière socio
présidence d'honneur à l'éminent doyen de la Faculté de Paris. M. le
professeur
Brouardel. Art. V. — Les Sociétés composant l'A
y, ancien directeur d'Alfort, président de l'Académie des sciences et
professeur
de pathologie comparée au muséum. Nous nous assoc
rrions en ajouter vingt autres qui prouveraient que la sollicitude du
professeur
Bouley pour les jeunes chercheurs ne s'est jamais
médecine légale et les étudiants en droit pénal, accompagnés de leurs
professeurs
, fussent autorisés à entrer dans les prisons pour
ons pourra être accordée aux étudiants en droit recommandés par leurs
professeurs
; mais il n'en sera probablement pis de même pour
rtains troubles de la menstruation Par le docteur Arthur GASCARD,
Professeur
libre de gynécologie à l'Ecole pratique de la Fac
tifs à la repro-« duction. Les beaux et intéressants travaux de M. le
professeur
Claude « Bernard relatifs à l'influence du cervea
isme sous l'empire d'une suggestion puisque, d'après mon maître M. le
professeur
Charcot, c'est précisément à celle période que le
e très intéressante, du nom de Charlotte, dont mon cher maître. M. le
professeur
Pozzi. dira quelques mots dans son Nouveau traité
tibilité au point de vue thérapeutique. Par M. le docteur BERNHEIM,
professeur
de la Faculté de Nancy Valeur relative des dive
crétaire de la Commission administrative de l'Asile, assisté de M. le
professeur
Liégeois, vice-président du Congrès, ne cessa jus
terminant, permettez-moi de protester contre une allégation de M. le
professeur
Forel, de Zurich, qui en partant avec trop de mod
ise, à M. le président Carnot. (Vifs applaudissements.) M. Liégois,
professeur
à la faculté de droit de Nancy, vice-président du
t l'accomplissement des œuvres du progrès et de moralisation. M. le
professeur
Boussakis, d'Athènes, levant son verre dit que re
les liens de sympathie qui unissent la Hollande a la France. M. le
professeur
Forel (de Zurich) exprime les sentiments fraterne
pousser toutes les attaques des ennemis les plus puissants. » M. le
professeur
Delbœuf (dé Liège) se joint à M. Forcl pour porte
régnante est d'origine française, porte un toast à la France. M. le
professeur
Medveczki (de Buda-Pest) rappelle l'accueil fait
laçant le directeur, leur était offert. A la fin de ce lunch, M. le
professeur
Masoin (de Louvain) membre de l'Académie de médec
lui permet de réaliser une économie considérable. Dernièrement, M. le
professeur
Brouardel nous disait avoir vu. chez une mondaine
algré de nombreuses tentatives, ni à la consultation externe de M. le
professeur
Charcot, ni dans le service M. Magnan où elle fit
UN JEUNE HOMME DE VINGT ANS Par le docteur J.-A. FORT, (1) Ancien
professeur
d'anatomie. Si Ici médecins faisaient connaître
lité au point de vue thérapeutique. (1) Par M. le docteur BERNHEIM,
professeur
de la Faculté de Nancy DISCUSSION' M. Forel (
ette dernière affection, je me trouve encore en contradiction avec le
professeur
de Nancy. Je ne vois pas, en effet, quel peut-ê
e la suggestion. Avec un talent que personne ne peut contester, M. le
professeur
Bernheim nous a admirablement établi toute la dex
l'opinion professée a Nancy et soutenue si éloquemment ici par M. le
professeur
Bernheim. Messieurs, nous venons d'entendre une
ale et de thérapeutique. C'est 1 un des beaux morceaux littéraires du
professeur
éloquent qui a jeté tant d'éclat sur l'enseigneme
Karkoff), dans une autre assemblée. Je n'ai pas 4 l'apprendre à M. le
professeur
Bernheim : c'est lui-même qui présidait la séance
périeures (attention, perception, etc.j. M. Dumontp allier. — M. le
professeur
Bernheim a dit dans son rapport que la métallothé
à l'assertion de M. Bernheim et je n'hésite pas le faire. Le savant
professeur
de Nancy n'ignore pas l'admiration sincère que j'
te observation de métallothérapie expérimentale : à une époque où les
professeurs
Claude Bernard, Charcot et Béclard étaient convai
nce autant par son caractère que par ses travaux scientifiques, M. le
professeur
Vulpian, doutait encore et voulait être converti
soigné dans un asile. H. Félix Hement. — Permettez, Messieurs, à un
professeur
qui pendant de longues années s'est beaucoup préo
DE MÉDECINE —clinique des maladies du système nerveux — m. Charcot,
professeur
. mardi, vendredí, à 9 heures 1/2 à la Salpétrière
es 1/2 à la Salpétrière). — Clinique de pathologie mentale—M. Bill,
professeur
, dimanche, jeudi, à 10 heures-et (àl'asile Sainte
imis-expert. lauréat da l'académie de médecine, ancien préparateur du
professeur
Brouardel. fera pendant l'année scolaire 1889-189
TIVES SUGGÉRÉES DANS LE SOMMEIL NATUREL OU ARTIFICIEL (1) Par M. le
professeur
BERNHEIM (de Nancy). J'ai le premier appelé l'a
L'AUTO-SUGGESTION EN MÉDECINE LÉGALE (0 Par le docteur P. BUROT.
Professeur
à l'École de médecine de Rochefort. Les acciden
Baron Von SCHRENCK-NOTZING (de Munich). Encouragé par le mémoire du
professeur
docteur von Krafft-Ebing, qui, après six séances,
La responsabilité dans les états hypnotiques (1). Par M. Liégeois,
professeur
I la Faculté de droit de Nancy. Le rapport de M
ndividu agréable (3). » Au contraire, MM. Le docteur Licbeault, les
professeurs
Bcrnheim et Beaunis, de la faculté de médecine de
r le rechercher et le découvrir ? Avant d'exa- (1) Rapport de M. le
professeur
BERSHEIM sur la question II. (2) t vol. in-8, Pub
tre grand regret, à ne citer que les conclusions par lesquelles M. le
professeur
GRASSET a résumé et clos la discussion. (3} Ibi
que par l'ignorance ou la mauvaise foi. Les fous en liberté M. le
professeur
Ball a repris dimanche ses leçons cliniques à. l'
iques à. l'asile Sainte-Anne, au milieu de l'affluence accoutumée. Le
professeur
traitait, dans cette première leçon, des fous en
, demanda à la jeune X.....mise en somnambulisme, de dire le nom du
professeur
Parrot qu'il lui désignait. Elle le nomma sans hé
A VOLONTÉ ARRÊTÉE DU SUJET Par le docteur ABDON SANCHEZ HERRERO
Professeur
de clinique médicale à la Faculté de médecine de
ré-sence de plusieurs de mes collègues et entr'autres de M. Fontorbe,
professeur
de clinique chirurgicale et de M. Duval, professe
s de M. Fontorbe, professeur de clinique chirurgicale et de M. Duval,
professeur
de physiologie, j'endors le malade et je lui dis
Turc 1 ; Vénézuélien 1. Les médecins étaient au nombre de 106; les
professeurs
et étudiants de l'Université, de 23; les magistra
ville, adjoint au comité perpétuel de l'Académie royale de chirurgie,
professeur
démonstrateur d'anatomie et de clinique à l'École
oici, d'après l'Echo de Paris et le Petit Parisien l'opinion de M. le
professeur
Charcot : « J'ai observé des faits très curieux
r la suggestion. Le caractère psychologique de cet état, d'après le
professeur
de la Salpétrière, est la crédulité sans bornes q
discussion fut soulevée au sujet des conclusions du rapport de M. le
professeur
Liégeois, sur la possibilité d'obtenir la réalisa
ent tout acte suggéré, fut-il repré-hensible ou criminel. Aussi M. le
professeur
Bernheim interrogé à son tour par un correspondan
Guermonprez qui essaye, aujourd'hui, de le réfuter dans le Monde. Le
professeur
de l'Université catholique de Lille continue sa m
magnétisme, il a conclu ainsi : « Nous sommes désormais avec M. le
professeur
Pitres, avec M. Pierre » Janet. avec b en d'aut
'autres encore et surtout avee ce maître éminent qui est » l'illustre
professeur
Charcot. avec tous ceux qui se font un devoir de
notisme s'est terminé par une agape fraternelle, et que le Dr Masoin.
professeur
de l'Université catholique de Lou-vain, et délégu
l'hypnotisme dans un but immoral, et j'ai rappelé l'opinion de M. le
professeur
Bernheim. qui affirme que lors même un crime sera
mie. — morphenomanie.— Un des savants les plus connus de Berlin. le
professeur
Westfalen. vient d'être interné dans une mission
tudié la morphinomanie. — Cours et conférences. — M. Gilbet Ballet,
professeur
agrègé, a repris ses conférences sur la pathologi
a circulaire en fait foi, que sur des racontars. Ont-ils consulté les
professeurs
compétents? Ils s'en seraient bien gardés. Est-ce
IONS CRIMINELLES Leçons professées a la Faculté de Nancy, par M. le
professeur
BERNHEIM Les expériences auxquelles vous avez a
du 2 juillet 1868. se lève pendant la nuit, se rend vers l'un de ses
professeurs
et le frappe de trois coups de couteau qui, mal d
à l'étude médico-légale de l'hystérie et de l'hypnotisme. Par M.le
professeur
J. GRASSET (de Montpellier) Deux faits récents
qu'à la fin des vacances, était confié à mon excellent collègue M. le
professeur
agrégé Brousse. Le diagnostic d'hystérie se tro
p. 70. Les recherches rar l'hypnotisme laites par M. Krafft Ebing,
professeur
de psychiatrie et de néuropathologie à l'universi
tructive à tous égards, nous pouvons citer: m. leprofesseur Verneuil,
professeur
de clinique chirugicalc, MM. les docteurs Mesnet,
production en phototypie d'excellentes photographies ducs au regretté
professeur
Damaschino. Ensuite il étudie les peintures de
tel-Dieu. Au n° 14 de la salle Notre-Dame, dans le service de M. le
professeur
Verneuil, se trouve une jeune fille de dix-huit a
eçon faite par M. le docteur Dumontpallier, sur l'invitation de M. le
professeur
Verneuille, dans l'amphithéâtre de la clinique ch
IONS CRIMINELLES Leçons professées d la Faculté de Nancy, par M. le
professeur
BERNHEIM (Suite et fin) J'ai dit que certains s
inspiré de la brochure publiée à Neuchâtel, en novembre 1880. par le
professeur
de magnétisme humain, en réponse aux attaques de
on, d'ailleurs indiscrète, j'ai dit que « M. Charcot, loin d'être mon
professeur
, comme on se le figurait, « s'était, au contraire
jouterai que tous les académiciens. « Il est possible que le savant
professeur
de la faculté de Paris ne « m'ait jamais vu. Il l
D ..comme touts les magnétiseurs forains tranche assez volontiers du
professeur
A l'en croire, sans lui, l'Ecole de la sulpétrièr
anmoins par une récréation. Dr GALIPPE. NOUVELLES COURS. — M le
professeur
Brocarde: a commencé le cours de /médecine le lun
tômes de la neu-rasthémie se manifestèrent et il vint consulter M. le
professeur
Bouchard qui diagnotiqua une dilatation de l'esto
te. (1) Communication présentée à l'Académie des sciences par M. le
professeur
Charcot. De plus, l'élude de la courbe des excr
nous reportons a l'incident visé par M. Després, une lettre de M. le
professeur
Bernheim publiée par le journal des Débais et. d'
montpallier peuvent vous rassurer complètement, et la leçon que M. le
professeur
Bernheim a bien voulu faire à l'Hôtel-Dieu a gard
es jours, un des médecins les plus distingués du Val de tGrâce, M. le
professeur
Duponchel, présentait à la société médicale des h
oi de la suggestion hypnotique fut tenté chez ce malade. Mais M. le
professeur
Duponchel appartient au corps de santé militaire
dopter résolument la proposition "depuis longtemps formulée par M. le
professeur
Brouardel : s'il n'est pa» possible d'imposer à t
» de suggestion et d'hypnotisme étudiés par l'école de Nancy. M. le
professeur
Bernheim, par des expériences concluantes faites
M. les docteurs Dumontpellier, Mesnet, médecins A l'Hôtel-Dieu. M. le
professeur
Proust, M. le docteur Tillaux, chirurgien de l'hô
ant notre séjour Télé passé, à Nancy, nous avons visité le service du
professeur
Bernheim et la clinique du Dr Liébeault, Grâce à
' activité humaine, par PIERRE JANET, aucun élève de l'Ecole Normale,
professeur
agregé de philosophie, docteur ès-lettes. (2)je n
es deux extrêmes il ne se trouve plus aucun point de conformité. Le
professeur
Delbœuf, de Liège par exemple, vous présentera un
encore beaucoup d'exemples. Citons entre les plus remarquables, les
professeurs
Ewald et Mendel de Berlin (1), d'autant plus que
stique du sommeil provoqué attendu qu'il dérive comme l'a démontré le
professeur
Forci des propriétés comme du sommeil naturel. En
60 fr. d'amende, et chargea de l'exper- tise M. le docteur Masoin,
professeur
de physiologie à l'Université de Louvain qui s'es
t ce que les consultants offraient Au cours de sa déposition, M. le
professeur
Masoin a stigmatisé, au nom du Corps médical belg
dical.Nous reviendrons prochainement sur l'important travail de M. le
professeur
Masoin. NOUVELLES Académie de Médecine. — Not
OUVELLES Académie de Médecine. — Notre émirent collaborateur. M. le
professeur
. Lacassagne vient d'être elu membre correspondan
icrobes pathogènes. Les remarquables expériences instituées par M. le
professeur
Chauvcau ont mis hors de doute la facilité redout
rien ne faisait prévoir l'apparition. Comme le fait remarquer M. le
professeur
Bouchard, dans ses magistrales leçons sur les aut
vriers très habiles. Dans les écoles profes- sionnelles. quelques
professeurs
onl déjà remarqué qu'ils avaient peu d'aptitude p
ue qu'à un certain âge. Dans ces cas la. il s'agirait de ce que M. le
professeur
Charles Richct a appelé un réflexe psychique, pro
eu tant de peine à laisser pousser sont dévorés eu un clin d'o'il. In
professeur
de sciences nous disait récemment qu'il ne cesse
meurs adénoïdes du pharynx nasal. Dans ses [leçons cliniques. M. le
professeur
Charcot insiste sur la présence des stigmates de
ifs el les plus dévoués, le quart des élèves se ronge les ongles. Les
professeurs
que nous avons interrogés sur les aptitudes des é
LA MÉDECINE L'École arabe et la croyance aux sortilèges par M. le
professeur
PROUST. M. le professeur Proust, étudiant dans
et la croyance aux sortilèges par M. le professeur PROUST. M. le
professeur
Proust, étudiant dans son cours, à la faculté de
ur tous ceux qui s'intéressent aux progrès de la pédagogie. MM. les
professeurs
el instituteurs qui voudront collaborer à cette e
ogiques de l'hvpnolisme. et place sous le |iatronagc de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
ctro-physiologie ¦ Faculté de médecine de Paiiis. — L'assemblée des
professeurs
a dressé la liste de présentation pour la chaire
e clinique des maladies mentales, vacante par suite du décès de M. le
professeur
Bail. Voici cette liste : Fit première ligne M.
M. Ball. Faculté de médecine dk Madrid. — M. le Dr Sanchez Herrero.
professeur
ii la faculté de Valladolid. bien connu par d'imp
ortants travaux sur l'hypnotisme et la suggestion, vient d'être nommé
professeur
a la Faculté de Madrid. Institut hypnotique et
des hypnotises. Nous recevons de notre éminent collaborateur. M. le
professeur
Delbœuf, la lettre suivante que nous nous empress
comme ailleurs. les autorités s'inspirent volontiers des conseils de
professeurs
émérites chez lesquels l'age a affaibli la notion
à travers les corps opaques. de suggestion mentale à distance. M. le
professeur
Poucliet a pensé qu'il était temps de recommencer
t rien II risquer. Cette clause est d'autant plus nécessaire que le
professeur
Pouehet, dans son impartialité et son désir de pé
de perdre un de ses plus illustres représentants. La mort inopinée du
professeur
Charroi plonge «tans le deuil les innombrables él
AS DE DIAGNOSTIC CHIRURGICAL POSÉ AU MOYEN DE L'HYPNOSE Par M. le
professeur
J. delbœuf, de Liège Dans son article intitulé
son article intitulé Suggestionslehre und Wisscnschaft (1) mon ami le
professeur
A. Forel m'a pour ainsi dire invité à faire le ré
ofondeur, comme un corps étranger : qu'il avait appelé l'attention du
professeur
sur ce point et qu'eulin ils avaient dëi'îdé. pou
puis par un grand nombre d'expérimentateurs, entre autres par MM. les
professeurs
Hernheim et Delbieuf. " En outre, en ce livre i
r Raggi. de Bologne, a fait Uti ni assez cldidu sur ce sujet el M. le
professeur
Verga, de Milan, en fait l'objet d'une communic
o Ijombarilo tlellr scinizr. i-lv. Mais i-n r'raurc c'est le regretté
professeur
Hall I qui a décrit cet élut smis le nom de claus
giques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de- savants et de-
professeurs
autorisés, est destiné a fournir aux médecins et
heures et deniie au théâtre de Besancon, sous lu présidence de M. le
professeur
Bouchard, de l'Institut, et au milieu d'une afllu
de la médecine et sur la santé publique. » ï-a présidence île M. le
professeur
Bouchard avait ap|c|é à Besancon un grand nom
OGRAPHIQUE Hypnotisme et double conscience (1) Par le Docteur Azam.
professeur
honoraire à la Faculté de médecine de Bordeaux.
physionomie-s les plus personnelles de ce temps. Savant distingué,
professeur
émiucut. observateur saguee. rliuieien prudent et
lles dans ce qu'elles avaient île vrai et de pratique, Charcot fut un
professeur
incomparable. Quel silence lorsque, impénétrabl
853. En 1856, il était nommé médecin du bureau central des hôpitaux ;
professeur
agrégé de lu Faculté de médecine de Paris en 1860
eux. Membre de l'Aeadémie de mède, cine en 1873. il fut nommé ru 1886
professeur
de clinique des mala-dies nerveuses, chaire créée
, de Nancy. ( Suite) Une fois entre autres, de concert avec M. Ic
professeur
Liégeois, nous finies ù une jeune tille endormie
êveurs somnambules du sommeil ordinaire, je me lemande ce que MM. les
professeur
Rernhein et Delbu-uf out voulu dire en se rallian
acceptable, parce qu'elle est la plus sensée. En attendant que ces
professeurs
jettent plus de lumière sur leur singulière formu
des dormeurs ordinaires. J'ai vu. dans leur lit. à la clinique de ce
professeur
, des malades donnant de ce sommeil, qui paraissai
eure; quand soumises ù su volonté. les infirmières endormies de M. le
professeur
Forel surveillent les malades confiées à leurs so
manière défectueuse de ehanler et j'obtins que la malade vit une dame
professeur
de talent, qui lui enseignât à émettre scientiliq
érie. Tolstoï et la philosophie de l'Amour. Par M. Georges Dumas.
professeur
agrégé de philosophie. Analyse par M. Alberi Cola
ogiques île l'hypnotisme, et place sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné :à fournir aux médecins et
tion au grade de chevalier de la Légion d'honneur de M. le Dr Thulié.
professeur
à l'Ecole d'anthropologie et de M. le Dr Babinski
s plus intéressantes, quia été faite au Congres de Besançon par M. le
professeur
Schiff. non en séance de section, mais inter pocu
ociété de médecine de- Besancon et de la Franche-Comté, lorsque M. le
professeur
Schiff, se levant, demanda qu'on lui prêtât un pe
à mes tendons longs péroniers. comme vous pouvez en juger, a M. le
professeur
Schiff, très applaudi, se mettant au milieu de l'
uery. Dix-sept membres ont assisté à cette séance que présidait M. le
professeur
Corail, et à laquelle ont pris part les deux memb
nouvellement admis. MM. Fournier et Bérillon. Candidatures : M. le
professeur
Fargues, de Montpellier, pour le journal le Nouve
logiques de l'hypnotisme, el placé gous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
m le samedi des démonstrations pratiques d'électro-ph ysiologie. Le
professeur
Senator (Berlin) a célébré le 7 coût dernier le v
ique pas, maïs, généralement, l'horreur du sang est, comme, le dit le
professeur
Mendés de Barcelone (1) le patrimoine des neurast
IÉTÉS Le Juif errant A la Salpetriere. Sous les auspices de M. le
professeur
Chareot. M. le Dr Henry Meige n étudié certains n
les manifestations de la névrose, ("est lu un point sur letpiel M. le
professeur
Charcot a fréquemment insisté dans ses leçons, et
récédente séance, nu sujet dis la première autorisation accordée à un
professeur
d'appliquer l'hypnotisme a présente ù l'Académie
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
ysiologie. Faculté de médecine de Vienne. — M. le Df J. von Wagner,
professeur
extraordinaire â la Faculté de médecine de Gratz,
fesseur extraordinaire â la Faculté de médecine de Gratz, a été nommé
professeur
ordinaire de psychiatrie et de neurologie. M. l
M. le docteur Joh. Fritsch, privât docent de psychîatrie. est nommé
professeur
extraordinaire. Un LAboratoire de Psycho-Physiq
. Il constitue une annexe à l'Université : le recteur. M. IL Denis.
professeur
de philosophie i la Factthédês Sciences, i chargé
le d'Anthropologie. — Cours d'anthropologie biologique : M. Labortle.
professeur
, le mercredi à 4 heures : Les Sensations et les o
anes des sens. Cours d'anthropologie physiologique : M. Mauouvrier,
professeur
, le vendredi à 5 heures : L'intelligence et tes s
ntelligence et tes sentiments. Cours de sociologie : M. Letourneau,
professeur
, le samedi à 'i heures : L'évolution de f esclava
Avellan et son état-major. A la table d'honneur, présidée par M- le
professeur
Cornil, on remarquait «l'abord les cinq médecins
est officier de marine à bord du Hynda, et l'un des (ils du regretté
professeur
Botkin. de Saint-Péterbourg. A côté d'eux avaient
ient pris place M. le Dr Roux, remplaçant M. Pasteur empêché. MM. les
professeurs
\ crncuil. Bouchard. Sappcv, M. Brouardcl de l'In
corps médical. Fêtes en l'honneur de virchow. — l.e 20 octobre, le
professeur
virchow a fêté sou cinquantenaire de doctorat.
photismes, schè- mes visuels, personnifications, par Th. FlournoY.
professeur
extraor-dinaire de Psychologie expérimentale à l'
rt peu nombreuse, exclusivement composée de médecins, de philosophes,
professeurs
ou amateurs, et de publi-cîstes qui subissent plu
a Société d'un de ses présidents honoraires le» plus illustres, M. le
professeur
Char-cot. I.a Société d hypnologîe ot de psycholo
au deuil du monde M vaut, à la Irîslc nouvelle de la inorl subite du
professeur
Charcot. « L'avenir consacrera l'importance dur
logique el on nonropathologie. Dans les dernière» années de sa vie te
professeur
Charcot avait vulgarisé, par sou enseignement à l
eptait en grande partie le» enseignements de l'Ecole de Nancy. « Le
professeur
Charcot était membre honoraire de notre Société d
ment à tirer de ce fait, c'est que. ainsi que l'a fort bien montré le
professeur
Bernheim. l'état de suggestibilité domine les cho
CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Distinction honorifique. M. Bernheim,
professeur
à la Faculté île médecine de Nancy, a été nommé c
nce de reprise des travaux de la Société de médecine de Berlin, M- le
professeur
Leyden a prononcé quelques paroles émues en l'hon
e professeur Leyden a prononcé quelques paroles émues en l'honneur du
professeur
J.-M. Charcot, dont la renommée s'est étendue bie
r et de désintéressement. La psychologie du neurasthénique. M. le
professeur
Kournier, dans une de ses leçons à Saint-Louis, v
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeur
» autorisés, est destiné h fournîr aux médecins et
annee — n° 7. Janvier 1894.. LA VOLONTÉ Par M. T.. Manouvrier,
professeur
à l'école l'anthropologie de Paris I Les effo
s le plus récemment émises et avec le plus d'autorité, celle de M. le
professeur
Ribot me parait présenter une importance particul
des manifestations d'un étal nerveux hystérique. Ce fut alors qu'un
professeur
d'humanités. M. Petilpoisson. qui s'intéressait a
nt-Vin-cent dont M"" Robert était une locataire et devant l'honorable
professeur
Petitpoisson qui. tous trois, m'ont assuré la réa
(de Nancy ; qu'avant les leçon» de notre regretté collègue et ami, le
professeur
Charcot, sur l'hystérie et l'hypnotisme, il e»t j
ait relevé dans se» observations la double personnalité à laquelle le
professeur
A/.iii de Bordeaux a attaché son nom ; qu'il avai
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
liniqur des maladies mentales et des maladies de l'encéphale. — M. le
professeur
Uomor. Amphithéâtre de l'asile Sainte-Anne, les m
8°- ANNEE - N° 8. Fevrier 1891. LA VOLONTÉ Par M. !.. Makouvrier.
professeur
à l'école d'Anthropologic de Paris. (Suite.)
ine: M. le docteur Manouvrier, de l'Ecole d'anthropologie; M. Boïrac,
professeur
de philosophie à Condorcet ; l'auteur de tant de
viction à ce sujet, de relire l'observâtion de Félida, rédigée par le
professeur
Azam pendant une période de trente années, et plu
8e annee. - N° 9. Mars 1894.. LA VOLONTÉ Par M. L. .Manouvrier.
professeur
à Pérole d'anthropologie de Paris. (Suite et fin.
gestion Indirecte. Par M. le Dr Antoine MAVROUKAKIS D'après M. le
professeur
Beruheîm la suggestion est une influence provoqué
doit être entendu de lui seul et continuer selon le conseil de M. le
professeur
Bernheim. â se défier des gens qui dorment. Séa
a foi peut guérir il n'est pas indispensable d'aller à Lourdes. M. le
professeur
Romme-laere avait traité sans succès une malade a
au. dePidoux, dcGubler, de Bouehardat. de Dujardin-Heaumetz. voire du
professeur
Germain Sée. tous maîtres qui sont, révérence par
n que les homme» tristes et mélancoliques. Mon excellent maître, le
professeur
Fonssagrives. qui n'était pas un homme folâtre —
plus il faut lu! opposer d'efforts persévérants, » Ailleurs, le doux
professeur
insiste encore : « La gaieté des matelots est le
isait, il y a quelques jours, un maître de renseignement officiel, le
Professeur
Landouzy, « c'est exceller en l'art de faire la g
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants el de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
OTISME A L'HOPITAL DE MUNICH Étude critique Par M. le Dr BERNHEIM
professeur
â la Faculté de médecine dis Nancy. L'hypnose c
tome VI, par le ï)r L. Friedrich, ancien assistant de la clinique du
professeur
Zicmssen, de Munich. Voici les conclusions de c
estible et avait quitté ce service améliorée. Rentrée dans celui du
professeur
Ziemssen. elle fui soumise de nouveau à L'hypnoti
ur expliquer physiologiqucment les manifestations de l'hypnotisme, le
professeur
français reste à un point de vue que la science a
riences nombreuses sur ce sujet et toujours avec un plein succès. I.e
professeur
de Nancv n affirme cependant pas que | on pourrai
e pour Ion*. La présidence générale du Congrès a élé donnée * M. !¦
professeur
Bacelli, minisire de l'Instruction publique t'ii
nce fondamentale du protoplasma el ses modification» par la 'ic ». le
professeur
llanilewsky signale Ira conséquences que l'escei
oH l'année dernière... d une pneumonie. Le Doctorat en droit. Les
professeur
» de la faculté de droit de Pari», qui avaient ten
r les conclusions de la Faculté. NÉCROLOGIE Georges Pouchet. Le
professeur
Georges l'ouchet a succombé, vendredi dernier, au
succombé, vendredi dernier, aux ;Ucintcs d'ene pneumonie infectieuse.
Professeur
d Analouiic comparée au Muséum d'Histoire naturel
ront toujours le souvenir de sa franchise et de sa bienveillance Le
professeur
l'ouchet lègue toule sa fortune à la Société de B
'adieu soient seules pronoucees. au nom de ses amis, par M. Gri-maux,
professeur
de chimie â l'École polytechnique. Nous avions
ole polytechnique. Nous avions elè pendant quelques mois l'élève du
professeur
Pouchel. an Muséum d'histoire naturelle. Au premi
le congrès de Honnit donné lieu à une manifestation éclatante. M. le
professeur
Kichel qui présidait lu section de psychologie a
sa nationalité, succéder d'emblée à l'illustre Claude Bernard, comme
professeur
de médecine expérimentale au Collège de France. F
ir de modèle aux génération» ù venir. Le» obsèques civile* de M. le
professeur
Brown-Séquard ont eu lieu au milieu d'un grand co
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorises, est destiné a fournir au médecins et a
inique de genes. — Une polycliniquc vient d'être créée à Genes. M. le
professeur
Morselli s'est chargé de la direction de lu c
nerveuses. L'installation de sa clinique est très confortable. M, le
professeur
Morselli y appliquera le traitement psychothérapi
es. Facclte de .medecine de Paris — M. Itayiunnd vient d'être nommé
professeur
à. la chaire de Clinique des maladies du système
ire de Clinique des maladies du système nerveux en remplacement de M.
professeur
Chareol. — Par arrèlé préfectoral, le Ds Saint-
lier de la Légion d honneur. — Note- distingué collaborateur. M. le
professeur
Brèmaud. de Brest, membre de In Société d'hypnolo
s du Congiès, pourront être difficilement surpassés. La présence du
professeur
Lombroso comme président de la section de neurolo
x études sur la psychothérapie. M. Lombroso était secondé par MM. les
professeurs
Tamburini et Bianchi, vice-présidents pour la neu
discussions plus importantes. Le lendemain une communication de M. le
professeur
Hirt, de Brcslau, remettait la question de l'hypn
en hypnologle, a combattu vivement les idées tic l'auteur, mais M. le
professeur
Hitzig, de Hallé, dont l'autorité dans toutes ces
a durée de la convalescence, et surtout les dangers de rechute. M. le
professeur
Tanzi (de Palerme), quia traité un morphinomane i
ogie, de psychiatrie et d'anthropologie criminelle présidée par M. le
professeur
Lombroso, membre d'honneur de notre Société. La
ALLOCUTION DE M. DUMONTPALLIER, PRÉSIDENT, A L'OCCASION DE LA MORT DU
PROFESSEUR
BROWN-SÉQUARD. « Messieurs, Un savant qui, de
acquis une situation considérable dans les études physiologiques, le
professeur
Brown-Séquard, vient de mourir â Paris à l'âge de
gine et sa confirmation dans les nombreuses expériences que le savant
professeur
avait entreprises sur le système nerveux et se ra
On ne saurait passer sous silence l'ardeur avec laquelle le savant
professeur
chercha à démontrer que la théorie des localisati
ologie, à la médecine, à la thérapeutique ne restait étranger pour lo
professeur
du Collège de France. Aussi, lorsque le monde sav
ion. Toujours actif et en quête de découvertes nouvelles, lo savant
professeur
du Collège de France démontrait l'action toxique
cette proposition il sera juste d'en rapporter la plus grande part au
professeur
du Collège do France. Dans ce rapide exposé de
a été do montrer que, jusqu'à la dernière heure de sa vie, le célèbre
professeur
n'a cessé de travailler. Tout son temps se passai
nt décrits. Dans une courte préface, ou plutôt dans une dédicace au
professeur
Lombroso — dont les théories même les plus discut
e qu'il a voulu faire. 11 portera le flambeau de la méthode du fameux
professeur
italien dans le domaine de l'art et de la littéra
plutôt d'auto-suggcstion. L'abus des drogues La communication du
professeur
Stokvis, d'Amsterdam, au Congrès de Rome, sur c l
logiques de l'hypnotisme, et placé sou* le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné a fournir aux médecins et
voix la proposition de nommer membres d'honneur de la Société MM. les
professeurs
Tamburini (de Reggio-Emilia), Hilzig(dc Halle), M
sur l'oreiller. Déglutition de dentiers pendant le sommeil. Le
professeur
Krönlein [de Zurich-, dnns une communication fait
chologiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
ion de médecine en remplacement de Et. B rown-Séquard. M. d'Arsonval,
professeur
suppléant au Collège de France, a été nommé par 3
s et qui aura la haute main sur toul le personnel. Il sera assisté de
professeurs
et d'ouvriers capables de diriger les épileptique
octorat en droit (le), 315. Double conscience et hypnotisme, par le
professeur
Azam, 28, 62. Douleur (sommeil suggéré contre la)
-]\1. CIIARCOT l'Ulll.ll'F. SOUS LA DIRECTION DR MM. A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales à la Facu
e médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Aunc). F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies du système nerveux
Par MM. Paul COURMONT et CADE. {Travail de la clinique de tll. le
professeur
73o·zclet.) L'histoire et particulièrement l'hi
s avons pu étudier avec soin clans le service de notre maître M. le
professeur
Bondet, alors sup- pléé par M. le professeur ag
de notre maître M. le professeur Bondet, alors sup- pléé par M. le
professeur
agrégé Pic. I. OBS1 RV.\TJOl'l CLINIQUE ET .11.
sur une branche d'une artère ou d'une artériole pie-mérienne. M. le
professeur
Lépine a attiré l'attention, dans un mémoire im
ants dont quelques-uns ne sont susceptibles d'aucune éducation et 4
professeurs
du sexe mas- culin et 10 du sexe féminin. Les p
sin. Orthopédie morale et hypnotisme. M. Voisin. Une jeune fille,
professeur
de musique, économe, travailleuse, rangée, est
de à toutes les manifestations de notre activité. J. Bort : ,s,
Professeur
: 1 l'insllluL llIédico-pédagogitlllC. III. Rec
fricrc. Nous avons pu observer dans le service de notre maître le
professeur
Raymond, quatre malades atteints de méningo- my
f. Nel'venheilk., XXII, N F. X, 1899 ) M. de Schrenck reproche au
professeur
russe de s'être donné comme l'inventeur de cett
e par la maman. « Que ne connaissais-je ce moyen, alors que j'étais
professeur
à Kasan, j'eusse sauvé une petite fille de cinq
Clinique des maladies du système nerveux (quatrième série) ; par le
professeur
RAYMOND. In-8° de 606 pages avec 59 figures et
. (Libr. 0. Doin, 1900.) La quatrième série des Leçons cliniques du
professeur
Raymond contient des leçons faites à l'hospice
re généralisée, nystagmus, exagération des ré- flexes tendineux. Le
professeur
Raymond discute le diagnostic entre une méningi
tuberculeuse et la sclérose en plaques. La leçon suivante permet au
professeur
d'établir l'état actuel de la question de la sc
septième paires gauches, coincidant avec une hémiplégie droite. Le
professeur
en profite pour esquisser les différentes varié
s'as- socier à des poliomyélites, altérations du même système. Le
professeur
Raymond peut en montrer deux cas : l'un où l'exam
phie musculaire progressive Aran Duchenne. Ces leçons permettent au
professeur
d'établir les diverses modalités de l'ophtalmop
n syndrome rare. Après une revue des principaux cas ana- logues, le
professeur
Raymond étudie les diverses solutions ; mais, e
ec Déjerine et J.-B. Charcot, la maintenir dans la nosographie ? Le
professeur
Raymond se range à cette dernière opinion et pr
a présentation d'un malade qui réalise cette association, permet au
professeur
de passer en revue les associations morbides pr
nt nette et précise, pour que le diagnostic soit facile à faire. Le
professeur
Raymond put en présenter deux exemples à ses au
x exemples à ses auditeurs. Complétant ses tra- vaux précédents, le
professeur
profite de cette occasion pour reprendre et exp
Paris, 2-9 août 1900.) I. Section de Neurologie. Président, M. le
professeur
F. Raymond; vice-présidents, MM. Bris- saud, Dé
in, à la Sorbonne, dans l'amphithéâtre Richelieu. Discours de M. le
professeur
Raymond, président du Comité d'organisation. No
rlin). Ueber paranoïa periodica (De la paronoïa périodique), par le
professeur
Meschede (de Koenigsberg (Allemagne). Sur la fo
médecin de Bicêtre. La vraie cause de la paralysie générale, par le
professeur
Wladimir Tschisch (de Dorpat (Bussie). La famil
iégeant à Bar-le-Duc, devant laquelle comparaissait un VARIA. 189
professeur
de seconde classique de Verdun, M. Bivrum, sous
Tout couvert de sang, le malheureux proviseur parvint à désarmer le
professeur
que le jury meusien a déclaré coupable sans prémé
. - Université de Würzbourg (Bavière). (Faculté 'de médecine : 8'
professeurs
ordinaires; 8 professeurs z extraordinaires; 40
urg (Bavière). (Faculté 'de médecine : 8' professeurs ordinaires; 8
professeurs
z extraordinaires; 40 privat-docenten ; 998 étu
emprunterons les éléments de notre description aux publications du
professeur
Rieger . Conçue sur un plan tout à fait nouveau
mule impérieusement la psychiatrie contemporaine. C'est en effet le
professeur
de la clinique psychia- trique lui-même, le Dr
aces, chambres d'examen, laboratoires pour le personnel médical (le
professeur
de clinique et cinq médecins) et un certain nom
é de discuter cette question à l'étranger. 200 ' ENSEIGNEMENT. du
professeur
de -Würzbourg sur cette question des quartiers
uite l'argument tiré des malades bruyants. Il rappelle l'opinion du
professeur
Hitzig, qui exprime le regret de se voir obligé
r l'isolement des agités. Le docteur Scholz est, plus encore que le
professeur
Rieger, systématiquement opposé à la création d
897 : 220 malades (98 hommes, 122 femmes). -Pei-sonnel médical : le
professeur
, deux assistants, dont l'un est privat-docent,
ersité de Giessen (Grand-Duché de Hesse). (Faculté de médecine : 17
professeurs
et privat-docenten ; 140 étudiants.) Nous emp
omme en France; à la même heure. Le personnel médical comprend le
professeur
, M. le De Sommer, qui est aussi directeur de la
Le bâtiment principal comprend : au rez-de-chaussée, le cabinet du
professeur
, les bureaux administratifs, la policlinique (con
cal : Il y a, à Giessen un infirmier pour 2,5 à 3 malades. Outre le
professeur
de clinique, qui remplit les fonctions de direc
ciales suivront cet exemple. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 207 Le
professeur
Sommer est l'auteur de travaux intéressants sur :
sité d'Iéna (Grand-Duché de Saxe-Weimar). (Faculté de médecine : 12
professeurs
ordinaires ; 8 professeurs extraordinaires ; 5
Saxe-Weimar). (Faculté de médecine : 12 professeurs ordinaires ; 8
professeurs
extraordinaires ; 5 privat-docenten ; 20} étudi
admissions de malades « nerveux » va sans cesse en augmentant. Le
professeur
de psychiatrie, le 1)" O. Rinsmaner, est secondé
est secondé 208 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. par trois médecins. Le
professeur
est partisan de l'enseignement obligatoire de l
regrets à la mémoire d'un de nos rapporteurs les plus éminents, le
professeur
Korsakoff (de Moscou), qui a été ravi à l'affec
ins accentuées. La vraie cause de la paralysie progressive. M. le
professeur
WLADLI1lR Tscmscll (Faculté de Dorpat). 1° La v
nauguration, la Section de Neurologie a inauguré ses travaux. M. le
professeur
F. RAYMOND, président du Comité d'organisation,
F. RAYMOND, président du Comité d'organisation, assisté de MM. les
professeurs
,Brissaud, SECTION DE NEUROLOGIE. 2a3 il, Gra
un accident, d'ailleurs sans gravité, arrivé ces jours derniers au
professeur
Flechsig, l'empêche de venir au Con- grès ; nou
es établissements consacrés aux aliénés ; Par S. S. hO12S.1110\',
Professeur
à l'Université de )[05C0\1. Communication faite
ésultats du repos au lit appliqué dans des grands hôpi- taux, et du
Professeur
Bechterew et de ses élèves, MM. Ossi- pow etTra
, en mai 1899. Les rapporteurs DE l'alitement.. 275 en étaient le
professeur
Tschisch et le docteur Ossipow 1. Les articles
- mun avec les cellules habituelles. Nous avons des confrères, le
professeur
Betcherew et ses élèves, par exemple, qui con-
ée contre- disent cette manière de voir. Comme l'a très bien dit le
professeur
Sir A. Iluinplirey, après un examen de 19 crâne
iotie; par .1. 1111EBZEJI\I\'SKI, membre du Conseil médical, ancien
professeur
de clinique mentale à Saint-Pétersbourg. La c
de la folie ou clictolhércclfie. L'auteur du premier rapport, M. le
professeur
Korsakow est mort peu avant la réunion du Congr
énéral de la section de psychiatrie, retrace la vie scientifique du
professeur
Korsakow. Voici maintenant les conclusions du s
é. Section de Neurologie. Séance du 2 août (suite). Présidence du
professeur
Hitzig. Résumé du rapport sur l'Importance du c
tif du langage comme organe d'arrêt du mécanisme du langage; par le
professeur
A. l'rcs (de Prague). Depuis que l'on a appri
e perception. Sur la physiologie de la vision chez le chien; par le
professeur
Hitzig (de Halle). (Projections.) La plupart
es centres de projection et d'association du cerveau humain; par le
professeur
131TZIG (Halle). La doctrine de Flechsig de l'e
ratiqué soit dans la clinique de notre très distingué maître, M. le
professeur
Ray- mond, soit dans notre clientèle privée, se
é par les neurolo- gistes modernes, entre autres par nos maîtres le
professeur
Raymond, MM. Gilles de la Tourette et P. Marie.
les hémiplégiques ». Dans ses intéressantes leçons de vendredi' le
professeur
Raymond insista à maintes reprises sur le trait
ntières et, en Allemagne, elle fut étudiée dans le service de M. le
professeur
Leyden, grâce aux appareils de mécanothérapie,
gnostic. Le diagnos- tic palpatoire (die pal patorische Diagnose du
professeur
Hoffa de Wurtzbourg) est la caractéristique du
s massons l'hémiplé- 1 Leçons sur les maladies nerveuses, 1898. 5
Professeur
A. IIof1'a. Technik der massage, Zw. auplage, p.
rsonne. Si l'ataxique a table rase des coordinations des mouve- 1
Professeur
Zabloudowsky. Le traitement par le massage : (iVn
oute la force acquise pour porter le pied 'du banc par terre. M. le
professeur
Marinesco, qui a essayé le procédé d'Erben dans
ont montre dans leur intéressant travail, fait dans la clinique du
professeur
Raymond, que, normalement, l'homme porte un pie
masso-mécanothérapique permit à la malade de quitter le service du
professeur
Ray- mond trois mois après le commencement du t
re visite (semestre d'été 189É), 672 étudiants (dont 32 Saxons), 11
Professeurs
ordinaires, 1 Professeur ordinaire honoraire, 1
189É), 672 étudiants (dont 32 Saxons), 11 Professeurs ordinaires, 1
Professeur
ordinaire honoraire, 16 Professeurs extraordina
s), 11 Professeurs ordinaires, 1 Professeur ordinaire honoraire, 16
Professeurs
extraordinaires, 23 Privat-docenten. C'est, en
th, élève de Pinel, fut, en 1811, nommé par l'université de Leipzig
professeur
de psychiatrie. Il continua ses leçons jusqu'en
ées par Griesinger (la première est celle de Ileidelberj). C'est le
professeur
Flechsig qui en a conçu le plan. Commencée au p
salle des 374 ENSEIGNEMENT. cours, la bibliothèque, le cabinet du
professeur
, les salles d'examen. Au second étage : logemen
étage : logements de l'économe et d'un assistant; 2° le pavillon du
professeur
, donnant sur la rue ; - 3° le bâtiment des mach
ioration de 30 p. cent.- Décès 9 2 p. cent. Personnel médical. Le
professeur
de clinique est directeur médecin en chef de l'
de 150 malades. Les infirmieis n'ont pas de chambre spéciale. Le
professeur
Flechsig fait quatre conférences par semaine, à
ologie du cerveau. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 375 Les cours du
professeur
sont très suivis et son laboratoire, d'où sont
t, très fréquenté. Nous avons assisté à une conférence clinique. Le
professeur
, qu'accompagne un seul des trois assis-' tants,
aité parla poudre d'opium. Né en 1847, M. Paul Flechsig a été nommé
professeur
extraor- dinaire de psychiatrie à Leipzig, il t
à Leipzig, il trente ans ; et, à l'âge de trente-cinq ans, il était
professeur
ordinaire et directeur de la Clinique. La plupa
ravaux ont complètement renouvelé notre conception du cerveau. Le
professeur
Flechsig est un partisan du non-reslreint et un
sité de Halle (Prusse, province de Saxe). (Faculté de médecine : 12
Professeurs
ordinaires, 10 Professeurs extraordinaires, 10
ince de Saxe). (Faculté de médecine : 12 Professeurs ordinaires, 10
Professeurs
extraordinaires, 10 Privat-docenteu; 284 étudia
en, situé à une heure de distance de la ville. C'est en 1879 que le
professeur
Ilitzig y ouvrit une clinique psychiatrique. En
chiatrische und NCl'ven-Klinik clà Unive1'sitiit, Halle a. S.) Le
professeur
Ilitzig fut chargé d'en élaborer le plan. Jusqu
iption de la clinique de Halle, tracée d'après un rappoit, de M. le
professeur
Hitzig dans une publication ministérielle : -11
électrique. Elle est en communication directe avec le cabinet du
professeur
. Le premier étage est encore occupé par trois sal
de la clinique est ainsi composé : le direc- teur-médecin en chef,
professeur
Hilzig ; deux médecins (0&<' ? 'a) ? <)
mp;<' ? 'a) ? <), deux assistants, un médecin volontaire. -Le
professeur
fait deux leçons par semaine, à 2 h. 30 et à 4
a bonne fortune, lors de notre visite à Halle, de rencontrer lf. le
professeur
Ed. Hitzig. Les mémorables découver- tes de ce
l'ablation des deux lobes frontaux. Dans ces dernières années, le
professeur
Ed. Hilzig a fait paraitre une importante monog
modifications de l'état général. Dans la mélancolie circulaire, le
professeur
M. Halle a recours parfois aux injections sous-
de neurasthénie sont assez fréquem- ment observés à la clinique, le
professeur
Hilzig étant habituelle- ment désigné comme exp
3 malades (63 hommes, 60 femmes) ; Personnel médical : le Directeur
professeur
Hilzig, un médecin assistant ayant le titre d'0
Université de Bonn (Province Rhénane). (Faculté de médecine : 11
Professeurs
ordinaires ; 12 Professeurs extraordinaires; 11
nce Rhénane). (Faculté de médecine : 11 Professeurs ordinaires ; 12
Professeurs
extraordinaires; 11 Privat-docenten ; 400 étudi
onn (Rheinische Pt'ot)HHtt-7n'f) ? f. ! ( ? M Pilerlc-Allstall). Le
professeur
de psychiatrie, le 0" Pelman, est en même temps
sions (année 1889) : 313. Le personnel médical se compose, outre le
professeur
, d'un mé- decin chef de service (Oberart), d'un
. 391 Université de Kônigsberg (Prusse). (Faculté de médecine : 8
Professeurs
ordinaires ; 10 Professeurs extraordinaires; 15
berg (Prusse). (Faculté de médecine : 8 Professeurs ordinaires ; 10
Professeurs
extraordinaires; 15 Privat-docenten ; 230 étudi
s soumis, depuis 1890. à l'abstinence totale. Personnel médical. Le
professeur
de psychiatrie, 1)" Grashey, est directeur méde
nd est spécialement chargé d'une des deux divisions de- l'asile, le
professeur
se réservant l'autre. Il y a, en outre, 4 méde-
e nombre des infirmiers est de 45 ; celui des infirmières de 50. Le
professeur
fait, chaque semaine, deux conférences cliniques
sile qui sert aussi de salle des cours. Ils se lèvent à l'entrée du
professeur
Grashey. Ce dernier est accompagné d'un malade;
sujet et commence l'in- terrogatoire. Lorsque l'élève a terminé, le
professeur
reprend l'examen clinique, et le fait durer for
l'interrogatoire du patient lerminé, celui-ci quitte la salle et le
professeur
lit ensuite l'observation. Puis il interroge l'él
u cas, formule le traitement : abstinence complète et travail. Le
professeur
Grashey n'est point partisan de l'isolement t p
897 : 22 malades (124 hommes, 100 femmes). Actuellement (1899) le
professeur
de psychiatrie est le Dr A. Bumm. Il est second
l'irriga- tion sanguine. IIellwig a repris dans le laboratoire du
professeur
l3ernslein à Halle les expériences de Mendelsso
rovoquer le goût électrique d'une très faible excitation. M. Leduc (
professeur
à l'École de médecine de Nantes) a étudié les m
de projection et d'association du cerveau hu- lMI'1 : 1° par M. le
professeur
ILlicuac (voir p. 334) ; 3° par M. le professeu
I'1 : 1° par M. le professeur ILlicuac (voir p. 334) ; 3° par M. le
professeur
UITZIG (de Halle) (voir p. 338) ; 3" par M. le pr
é du rapport sur les centres de projection et d'association; par le
professeur
C. von )lo1\.IKow. La doctrine que Flechsig sou
thésiomèlre indi- quant la sensation minimale d'allégement ; par le
professeur
Gras- SET (de Montpellier). M. Grasset consid
avec le petit appareil décrit dans cette note. Discussion. - à. le
professeur
HITZIG (de Halle). Je ne sais pas si M. Grasset
ns l'effort que fait le malade pour tenir son bras étendu ? M. le
professeur
Grasset. C'est une contraction stérile en quelq
un déplace- ment de la chair et de la peau qui la recouvre. M. le
professeur
GRASSr.T (de Montpellier). Je n'ai pas voulu en
exigé d'ailleurs, comme on voit, par le schéma. Discussion. M. le
professeur
A. PicK (de Prague) rappelle qu'il existe des c
ion cavitaire, et cela sous l'incitation de causes variées. M. le
professeur
A. PicK (de Prague). Tout en reconnaissant que
ologique de l'autre série des cas, décrits comme état criblé. M. le
professeur
OBERSTEINER (de Vienne). -Je pense, la subs- ta
conséquence d'un prolapsus atrophique chronique du cerveau. M. le
professeur
RAYMOND (de Paris). Je voudrais ramener la ques
ard avec le reste du tissu. , Rires et pleurs spasmodiques ; par le
professeur
Brissaud (de Paris). Présentations de malades.
elles obsédantes et impulsives au point de vue médico-légal; par le
professeur
de KRAFFT Ebing. Le domaine presque exclusif
eu ; je conseille plus volontiers aux aliénés instruits, d'aider le
professeur
, en donnant eux-mêmes des leçons aux ignorants
IQUE NERVEUSE. Clinique psychiatrique DE Montpellier. (Service du
professeur
MURET.) Recherches sur le réflexe plantaire dan
endue par Charcot, Joffroy, et, à Montpellier, par notre maître, le
professeur
Maire t. ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE SPÉCIALE.
t, que ce diplôme soit délivré par un jury comprenant au moins un
professeur
spécialiste, que les différentes méthodes em- p
de la Ve Commission du Congrès de la Ligue de l'Enseignement; i .
professeur
à IIuslilul mélico-pddapognlue, \'111') -sur-Se
issions. Université de Berlin (Prusse). (Faculté de médecine : 14
Professeurs
ordinaires ; 33 Professeurs extraordinaires; 0
lin (Prusse). (Faculté de médecine : 14 Professeurs ordinaires ; 33
Professeurs
extraordinaires; 0 Privat-docenteu ; 1,3-13 étu
açon régulière à l'Université de Berlin, quand Griesinger fut nommé
professeur
de psychiatrie et directeur de la clinique. L'i
estphal (1868). Tout le monde connaît les remar- quables travaux du
professeur
de Berlin sur les réflexes tendineux t Voir Arc
nière d'aliénistes et de neuropathologues dis- tingués, aujourd'hui
professeurs
: Ludwig Meyer, Binswanger, Fürstner, Bernhardt
iversitaire se compose, pour la section de psychiatrie, en outre du
professeur
, de trois médecins assistants dont l'un est pro
en outre du professeur, de trois médecins assistants dont l'un est
professeur
extraordinaire, le Dr Koppen, et l'au 1 i-e pi@
ndé par deux médecins militaires et deux médecins volontaires. Le
professeur
Jolly donne, chaque semaine, trois leçons de psy-
iniques de neuropathologie, de psychiatrie et de médecine légale du
professeur
Mendel ; le cours (payant) du professeur Bernha
et de médecine légale du professeur Mendel ; le cours (payant) du
professeur
Bernhardt sur les maladies nerveuses, l'électrodi
vec considérations sur l'électrodiagnostic et l'électrothérapie, du
professeur
Oppen- heim; les conférences publiques sur les
im; les conférences publiques sur les maladies de la moelle par les
professeurs
Jolly, Oppenheim, Leyden ; les conférences (gra
orts des maladies du système nerveux avec les autres affections, du
professeur
Bernhardt; -les exercices pratiques (payants) d
'histologie appliquée à la pathologie du système ner- veux, par les
professeurs
Oppenheim, Mendel et Kuppen; LES CLINIQUES PSYC
du D''Golischeider; -les conférences de psychiatrie géné- rale, du
professeur
Mendel; -les conférences de psychiatrie médico-
reisswald (Prusse, province de Poméranie). (Faculté de médecine : 9
Professeurs
ordinaires ; 9 Professeurs extraordinaires; 3 P
de Poméranie). (Faculté de médecine : 9 Professeurs ordinaires ; 9
Professeurs
extraordinaires; 3 Privat-llocenten; 380 étudia
- Nombre des admissions en 1897 : 48 (24 hommes, 24 fem- mes). Le
professeur
, Ut' IL Arndt, est directeur de la clinique ; il
russe, province de Sclilesvig-Ilolsteiii). (Faculté de médecine : 7
Professeurs
ordinaires ; 8 Professeurs extraordinaires; 8 P
ig-Ilolsteiii). (Faculté de médecine : 7 Professeurs ordinaires ; 8
Professeurs
extraordinaires; 8 Privat-docenten ; 257 étudia
elui des [asiles provinciaux. Le Dr Siemerling vient d'être nommé
professeur
de clinique psychiatrique à l'Université de Kie
Goettingen (Prusse, Province de Hanovre). (Faculté de médecine : 12
Professeurs
ordinaires ; 5 Professeurs extraordinaires; Pri
e de Hanovre). (Faculté de médecine : 12 Professeurs ordinaires ; 5
Professeurs
extraordinaires; Privat-docenten ; 211 étudiant
1 mars 1890) : 392 (235 hommes, 157 femmes). Personnel médical : le
professeur
Ludwig Meyer; 1 médecin en second, le professeu
onnel médical : le professeur Ludwig Meyer; 1 médecin en second, le
professeur
Cramer ; cinq assistants '. Population (ter jan
rsité de Tûbingen (Royaume de Wurtemberg). (Faculté de médecine : 8
Professeurs
ordinaires; 5 Professeurs extraordinaires; 3 Pr
de Wurtemberg). (Faculté de médecine : 8 Professeurs ordinaires; 5
Professeurs
extraordinaires; 3 Privat-docenten; 232 étudian
à l'Université de Tûbingen dans la première moitié du siècle par le
professeur
von lschenmaycr, mais la clinique psychiatrique
ente (1891). Elle est située à proximité des autres cliniques. ' Le
professeur
Ludwig Meyer, décédé le 8 février 1900, a été rem
EMENT. Université d'Erlangen (Bavière). (Faculté (le médecine : 9
Professeurs
ordinaires ; 5 Professeurs extraordinaires ; 1
gen (Bavière). (Faculté (le médecine : 9 Professeurs ordinaires ; 5
Professeurs
extraordinaires ; 1 Privat-docent ; 338 étudian
97 a été de 200 (100 hom- mes, 94 femmes). Personnel médical : le
professeur
de clinique, Dr Specht et sept médecins. Nomb
sité de Heidelberg (Grand-Duché de Bade). (Faculté de médecine : 13
Professeurs
ordinaires; 8 Professeurs extraordinaires; 11 P
Duché de Bade). (Faculté de médecine : 13 Professeurs ordinaires; 8
Professeurs
extraordinaires; 11 Privat-docenten; 281 étudia
s. C'est le 15 octobre 1878 que fut inaugurée, sous la direction du
professeur
Fiirstner, la nouvelle clinique de p"ychiatrie
ons s'est élevé, en 1889, à 152. Le personnel médical se compose du
professeur
de psychiatrie, en même temps directeur de la c
lades. Université de Marbourg (Prusse). (Faculté de médecine : 12
Professeurs
ordinaires; 4 Professeurs extraordinaires ; 6 P
bourg (Prusse). (Faculté de médecine : 12 Professeurs ordinaires; 4
Professeurs
extraordinaires ; 6 Privat-docent en ; 216 étud
oûté plus de 2 millions, a été construit (1872-75) sur les plans du
professeur
Ludwig Meyer (de Güttingen). Situé il deux kilo
ommes,. 114 femmes). 480 0 ENSEIGNEMENT. Personnel médical : le
professeur
Tuczek, directeur médecin en chef de l'asile, u
ersité de Fribourg (Grand-Duché de Bade). (Faculté de médecine : 13
Professeurs
ordinaires; 7 Professeurs extraordinaires; 13 P
Duché de Bade). (Faculté de médecine : 13 Professeurs ordinaires; 7
Professeurs
extraordinaires; 13 Privat-docenten; 327 étudia
(81 hommes, 73 femmes). Le personnel médical se compose, outre le
professeur
, d'un médecin en second, d'un médecin assistant
de Breslau (Prusse, province de Sibérie). (Faculté de médecine : 11
Professeurs
ordinaires; 13 Professeurs extraordinaires; 16
e de Sibérie). (Faculté de médecine : 11 Professeurs ordinaires; 13
Professeurs
extraordinaires; 16 Privat-docenten ; 287 étudi
mmes). Séjour moyen des malades, 70 jours. Personnel médical ; le
professeur
Wernicke, un médecin en chel (Oberarzt) et deux
ersité de Strasbourg (Alsace-Lorraine). z (Faculté de médecine : 12
Professeurs
ordinaires; il Professeurs extraordinaires; 10
e-Lorraine). z (Faculté de médecine : 12 Professeurs ordinaires; il
Professeurs
extraordinaires; 10 Privat-docenten; 233 étudia
rs de mala- dies somatiques. Dans son discours d'inauguration, le
professeur
Jolly, faisant allusion aux desiderata formulés
de la clinique (juillet 1895) : 120 malades. Personnel médical : le
professeur
Fürstuer et trois assistants, dont l'un est Pri
. Résumé du rapport sur La nature des réflexes tendineux ; par le
professeur
E. JEKDRASSIE (de Budapest). 1° Les réflexes te
s. Résumé du rapport sur la Nature des réflexes tendineux; par le
professeur
Shehrington (Liverpool). On comprend sous ce no
es réflexes nouveaux, de nature pathologique. ' Discussion. M. le
professeur
IIitzig (de Halle). - La matière que nous trait
par la section d'autres muscles ou nerfs du plexus sacré. 11. le
professeur
IIITZIG (de Halle). -- S'il en est ainsi, il sera
Edgar BERILLON PRINCIPAUX COLLABORATEURS: MM. les Docteurs AZA M,
professeur
à II Faculté de Bordeaux; BARETY (de Nice) ; DE B
L (de Zurich); FRAENKEL (de Dessau); HACK TUKE (de Londres); GRASSET,
professeur
a la Faculté de Montpellier W. IRELAND (d'Edimbou
ur a la Faculté de Montpellier W. IRELAND (d'Edimbourg) ; LACASSAGNE,
professeur
à la Faculté de Lyon LADAME, privat-docent à l'
TARD ; Aug. VOISIN, médecin de la Salpetrière, etc ; et MM. LIEGEOIS,
professeur
à la Faculté de droit de Nancy; Paul COPIN; CHARB
pas reconnaître que c'est â la méthode rigoureuse inaugurée par M. le
professeur
Charcot, que l'on doit d'avoir pu dissiper ta
uvons formulés aussi clairement que possible dans le travail de M. le
professeur
Beaunis sur le Somnambulisme provoqué : 1° Ne j
suggestion. » Tel est le conseil sur lequel insiste avec raison M. le
professeur
Bernheim. Il faut tenir aussi le plus grand com
ÉES SANS HYPNOTISME ET DES FAUX TÉMOIGNAGES Par M. le Dr BERNHEIM
professeur
a la faculté de médecine de nancy Dans mon livr
erveuse dans sa famille. Le 21 mars dernier, M. le docteur Schmitt,
professeur
agrégé à la Faculté, étant dans mon service, je d
Il était au service depuis plusieurs semaines, quand, un jour, M. le
professeur
Forel, de Zurich, un éminent collègue qui s'occup
XPLICATION DE LA VERTU CURATIVE DE L'HYPNOTISME Par M. J. DELBŒUF
professeur
a l'université de liège L'étude dont l'indique
ollègue, M. Von Winiwarter, l'élève et le collabo-rateur de Billroth,
professeur
de clinique chirurgicale à l'université de Liège,
rmenage intellectuel et de la sédentarité dans les écoles Par M. le
professeur
Brouardel Suivant moi, l'étiolement physique et
, on conduisait à l'hôpital Saint-André, salle 16, dans le service du
professeur
Pitres, un jeune homme qui, dans une crise de som
des hypnotiques, d'après les conseils de notre collègue, leur ami, le
professeur
Azam, de Bordeaux. Nous avions encore, d'autre
e en date du 14 juillet, sont nommés : Au grade d'officier. — M. le
professeur
Lannelongue, M. le professeur Duplay, M. le docte
nommés : Au grade d'officier. — M. le professeur Lannelongue, M. le
professeur
Duplay, M. le docteur Leroy des Barres (de Saint-
887. L'Egypte ancienne et la franc-maçonnerie, par M. Paul Guiesse,
professeur
suppléant au Collège de France. — Brock. in-8, 18
excitations toujours (i) La Vie des Sociétés, par le Dr A. Bordier,
professeur
à l'Ecole d'anthro-pologie de Paris. les même
es sont régis par certaines lois fixes dont notre éminent collègue le
professeur
Charcot s'est évertué depuis plusieurs années, av
tte publication est du meilleur augure pour l'enseignement du nouveau
professeur
de la Faculté de Paris. En accordant à la psych
(Très bien.!) Finalement, après une intervention éloquente de M. le
professeur
Trélat, l'Académie a clos la discussion en votant
ssive. INOUVELLES École vétérinaire d'Alfort. — M. Edmond Nocard.
professeur
de clinique chirurgicale, membre de l'Académie de
l'hypnotisme (étude de psychologie expérimentale , par J. Delbœuf,
professeur
à l'université de Liege. Paris, Alcan, in-8, 1887
constater, en le regrettant, que cette commission, en dehors de M. le
professeur
Charcot, ne renferme aucun homme ayant prouvé qu'
collaborateurs les plus éminents et, en particulier, celle de MM. les
professeurs
Bernheim, Grasset, Burot, de M. le docteur August
hygiène et de médecine publique. Dans cette dernière section, M. le
professeur
Layet (de Bordeaux) avait annoncé une communicati
substances chez les sujets hypnotisés. Nos deux éminents confrères,
professeurs
â l'Ecole de médecine de Rochefort, ont donc cons
PRATIQUES ET INTERPRETATION Par MM. les Docteurs BOURRU et BUROT
professeurs
a l'école de médecine de rochefort Les lois gén
nclusion auxquelles sont arrivés nos éminents collaborateurs, MM. les
professeurs
Bourru et Burot. dans le livre si intéressant qu'
huit heures du matin, sous la présidence de notre collaborateur M. le
professeur
Aug. Forel, directeur de la maison de santé canto
le à celui qu'il a toujours trouvé être le meil-leur : l'eau. M. le
professeur
Forel dit que si la suggestion hypnotique n'est p
er le jeudi suivant, 1 dix heures, dans le peti amphithéâtre de M. le
professeur
Potain. Congrès international de Washington. —
au Congrès, le Médical Record. de New-York, cite les noms de MM. les
professeurs
Léon Lefort et Charpentier (de la Faculté de Pari
on à distance des substances toxiques et médicamenteuses, par MM. les
professeurs
Bourru et Burot. — Bibliothèque scientifique inte
l'hypnotisme. PendantqueM.leDr A.Voisin, à la Salpêtrière,et M. le
professeur
Forel. à Zurich, expérimentaient la suggestion hy
s dans un excellent article qui a paru le 15 août 1887 (1). Le savant
professeur
de Zurich a traité, par l'hypnotisme, 41 aliénés
ieux, pourle désaltérer, que de lui faire boire quelques verres (1)
Professeur
A. Forel, à Zurich. Einige therapeutische Versuch
evue se le rappellent: nous leur avons donné l'analyse des travaux du
professeur
Lombroso et d'autres encore. Empruntons au journa
écessité son entrée a l'hôpital. En présence de la gravité du mal. le
professeur
prescrivit sur-le-champ une médication énergique:
de régularisation des règles par suggestion. Par M. le Dr Bernheim,
professeur
à la Faculté de Nancy. MM. Liébeault et Voisin
ulsifs, traité et amélioré par la persuasion. Par M. le Dr Burot,
professeur
à l'Ecole de médecine de Rochefort. Depuis six
ON D'HYGIÈNE ET DE MEDECINE PUBLIQUE Dans la première séance, M. le
professeur
Layet. président désigné de la section pour l'ann
). ( De l'auto-suggestion en médecine légale. Par M. le Dr Burot,
professeur
à l'Ecole de médecine de Rochefort. Beaucoup d'
rigine étrangère de cette idée. M. le docteur Brulard, inspiré par le
professeur
Bernheim, ajoute quelques remarques de la plus ha
'hypnotisme. DISCUSSION M.Bérillon.— Il est regrettable que M. le
professeur
Layet, qui devait traiter dans cette section la q
le à accomplir à l'état normal, comme l'a maintes fois démontré M. le
professeur
Brouardel, le devient tout à fait dans l'état d'h
'escroquerie signature de billets, déclarations fausses, etc.). M. le
professeur
Bernhcim a récemment démontré d'une façon saisiss
périences d'hypnotisme a mystifié un certain nombre de médecins et de
professeurs
de Bordeaux. Ces faits sont regrettables, car ils
T CHRONIQUE La dualité du cerveau et de la moelle èpinière, M. le
professeur
(Brown-Séquard) a commencé devant l'Académie des
r que nous ne revenions pas longuement sur les expériences du. savant
professeur
au Collège de France. Procédé pour distinguer,
médecinede paris. — Clinique des maladies du système nerveux. — M. le
professeur
Charco: fera dans son à la Salpétrière les mardis
linique de pathologie mentale et des maladies de l'encéphale. — M. le
professeur
Ball fera, à l'asile Sainte-Anne. les jeudis et l
ques et médicamenteuses. Un grand nombre de médecins des hôpitaux, de
professeurs
de la Faculté et de notabilités scientifiques ont
-recteur de l'Académie de Paris, vice-président; 1e docteur Bouchard,
professeur
il la Faculté de médecine de Paris; le docteur Br
ujardin-Beaumetz, membre de l'Académie de médecine ; Lacazc-Duthiers,
professeur
à la Faculté des sciences de Paris ; le docteur L
docteur Perrin, membre de l'Académie de médecine ; le docteur Proust,
professeur
d'hygiène à la Faculté de médecine ; le docteur R
E DE L'ACTION MÉDICAMENTEUSE A DISTANCE Par le Docteur BERNHEIM
professeur
a la faculté de nancy L'action médicamenteuse à
s la discussion, la section de pédagogie, sur la proposition de M. le
professeur
Liégeois, déclara par un vote unanime que les con
ogues avouent .leur complète impuissance. Peu de temps après, M. le
professeur
Bernheim publiait une étude remarquable dans laqu
et au bien. Voila de quel côté se trouve la responsabilité. » M. le
professeur
Beaunis, frappe des résultats parvenus à sa conna
est plus prudent de les éviter. Le fait suivant, rapporté par M. le
professeur
Beaunis, montre aussi qae. certains obstacles peu
ujet s'arrête et est incapable de continuer. Beaucoup plus tard, le
professeur
Charcot et ses élèves se préoccupèrent à leur tou
te des séances publiques de Hansen. Cependant, un certain nombre de
professeurs
de Nancy, et en particulier MM. Bernheim et Beaun
ystérie. Pour ma part, je me rangerais plus volontiers à l'avis des
professeurs
de Nancy. Pendant mon séjour à Paris, qui a duré
, il a publié, avec M. Ramadier, un autre cas identique. M. Bourru,
professeur
à Rochefort, a fait, par suggestion, apparaître,
ion de médecine présidé: par l'éminent ophtalmologue d'Utrecht. M. le
professeur
Donders. le docteur A.-W. Renterghem, d'Amsterdam
s'initier à la méthode d'hypnotisme inaugurée par M. Liébeault. Le
professeur
Donders prie M. le docteur Van Rcnterghcm de voul
e docteur Moll, après avoir étudié, à Paris, dans le service de M. le
professeur
Charcot, et à Nancy, dans le service de M. le pro
ice de M. le professeur Charcot, et à Nancy, dans le service de M. le
professeur
Bernheim, les phénomènes de l'hypnotisme, s'en es
ntaisistes qui ont, plus que de raison, ému l'opinion publique, M. le
professeur
Charles Richet exprime ainsi, dans la Revue scien
de Wundt, nous donne aujourd'hui un résumé des mêmes questions, dû au
professeur
Sergi (de Rome). Dans un volume de 450 pages, le
nisme et de la responsabilité. Il a été traduit de l'italien par un
professeur
de notre Université, M. Mouton, qui a su rendre f
e : Histoire de la lègende de Faust. Collège de France. — M. Marcy,
professeur
d'histoire naturelle des cours organisés au Collè
'année scolaire 1887-1888, par M. François Franck.— M. Brown-Séquard,
professeur
de médecine audit Collège, est autorisé à se fair
GES REÇUS A LA REVUE La psychologie physiologique, par M. G. Sergi,
professeur
à l'Université de Rome, traduit de l'italien pa
fesseur à l'Université de Rome, traduit de l'italien par M. Mouton,
professeur
de philosophie. (Bibliothèque de philosophie cont
nt à l'étude de l'anthropologie. Cene année, le conférencier, M. le
professeur
Mathias Duval, avait choisi pour texte de son étu
davantage généralisée. C'est dans les termes suivants que l'éminent
professeur
a exposé les services que se propose de rendre la
ÉRILLON. UN ALIÉNÉ EN COUR D'ASSISES Par M. le Dr A. LACASSAGNE
professeur
a la faculté de médecin» de lyon Le docteur Lam
utre session. Trois experts furent désignés par la cour : MM. Jaumes.
professeur
de médecine légale à la faculté de Montpellier; l
te ? — Si c'est possible ? répond le docteur Barillot. Demandez aux
professeurs
et aux docteurs Bernheim, Liebeault, Beaunis, Lié
cadémie française Hypnotisme à grande distance Par M. Ch. RICHET,
professeur
à la Faculté de Paris J'ai observé pendant long
ération générale. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Une lettre de M. le
professeur
Bourru au président de la Société de thérapeutiqu
que pour déférer à un désir exprime à titre purement amical. M. le
professeur
Bourru, justement froisse du râle qu'on lui faisa
stion qui a été plusieurs fois posée en cour d'assises, et dont M. le
professeur
Brouardel s'occupait dans une de ses dernières le
rbonne, d'un cours de philosophie biologique. Il a été stipulé que le
professeur
chargé de ce cours ne pourrait être choisi qu'ave
EXPÉRIENCES SUR LE SOMMEIL A DISTANCE Par M. le Dr Charles RICHET
PROFESSEUR
A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS I La remarq
girafe, grand comme, pour : Bertrand est grand comme une girafe. Le
professeur
n'aura pas beaucoup de peine à corriger ces faute
la même heure. — Programme pour l'année scolaire 1887-1888: Hygiène:
Professeur
, M. le docteur Du-buisson. — Pansements et appare
ène: Professeur, M. le docteur Du-buisson. — Pansements et appareils:
Professeur
. M. le docteur Picqué. — Physiologie : Professeur
ments et appareils: Professeur. M. le docteur Picqué. — Physiologie :
Professeur
. M. le docteur Vallon. — Anatomie: Professeur. M.
Picqué. — Physiologie : Professeur. M. le docteur Vallon. — Anatomie:
Professeur
. M. le docteur Pichon. — Petite pharmacie: Profes
on. — Anatomie: Professeur. M. le docteur Pichon. — Petite pharmacie:
Professeur
, M. Thabuis, pharmacien en chef de l'Asile de Vau
Thabuis, pharmacien en chef de l'Asile de Vaucluse. — Administration:
Professeur
, M. le docteur Taule. — Les personnes étrangères
et de ses applications à la thérapeutique, par le docteur Bernheim.
professeur
à la Faculté de Nancy. — 2e édition, revue et aug
888 (3 fr. 5o). Des anesthésies hystériques, par le docteur Pitret,
professeur
à la Fatuité de Bordeaux. — In-8°. Bordeaux, 1887
n et les états hypnotiques, tel est le titre d'un livre publié par le
professeur
Henri Morselli. Dans cet ouvrage, écrit sous l'
sibles, dans une mesure égale, à l'action hypnotique. A cet égard, le
professeur
Morselli nous communique des statistiques fournie
. Aucun fait nouveau n'est signalé par lui dans cet ordre d'idées. Le
professeur
italien fait l'inventaire de toutes les expérienc
hypnotisme avant d'avoir acquis une compétence indiscutable. Et M. le
professeur
Morselli sera assurément de notre avis lorsque no
REVUE DE LA PRESSE L'attaque de sommeil hystérique. Leçon de M. le
professeur
Charcot - (recueillie par P. Mariel. — Bulletin m
du 12 février 1888. En présentant à ses élèves une dormeuse, M. le
professeur
Charcot est entré dans quelques considérations sp
argique, cataleptique ou somnambulique du grand hypnotisme, l'éminent
professeur
a terminé sa leçon par les conclusions suivantes
r. — Présidence de M. Charcot Les Paralysies psychiques Par M. le
professeur
Charcot - Depuis que M. Charcot a mis en lumièr
oplexie. Trois jours auparavant, désireux d'exprimer à M. le Dr Azam.
professeur
à l'Ecole de médecine de Bordeaux, toute sa recon
, chirurgien; Manchester, le 23 mars 1860. » Novembre 1878. — M. le
professeur
Chareot, dans de remarquantes leçons cliniques au
otisme à Nancy, — a eu le courage de défendre sa cause à Berlin. Deux
professeurs
de renom ont tancé d'importance et avec majesté c
majesté ce médecin de malheur. L'histoire leur en tiendra compte. Le
professeur
Ewald a eu la maladresse de dire : « La suggestio
leur fait complètement défaut. En France, les titres de docteur et de
professeur
ne se donnent qu'à ceux qui les ont réellement ac
n-8°: F. Alcan, éditeur, 1887.— 10 fr. La folie érotique, par M. le
professeur
B. Boll. (Petite Bibliothèque médicale.) J.-B. Ba
n-8°; 1888 Le caractère dans la santé et dans la maladie, par M. le
professeur
Azam. de Bordeaux, avec une préface de M. Th. Rib
ALOGIE ENTRE L'ÉTAT HYPNOTIQUE ET L'ÉTAT NORMAL Par M. J. DELBŒUF
PROFESSEUR
A L'UNIVERSITÉ DE LIEGE Dans un article publié
ement par l'imitateur. Avec la collaboration de mon collègue M. Nuel,
professeur
d'ophtalmo- logie à l'Université de Liège, je
térie; sensibilité des téguments au contact de l'or, — leçon de M. le
professeur
Peter (Gazette des Hôpitaux du 6 mars :886). Le
iences de M. Luys, la Galette des Hôpitaux publiait un cours de M. le
professeur
Peter où se trouvent relatés des faits qui justif
là, des mariages mal assortis et des unions malheureuses. M. Magnus,
professeur
à l'Université de Stockholm, d'après une lettre,
ée scolaire 1887-88 (2e semestre. — Cours de médecine légale. - M. le
professeur
Brouardel a commencé le cours de médecine légale,
. de la Tou-BKTTictA. Londe, sous la direction de notre maître, M. le
professeur
Charcot. Nous souhaitons longue vie a cette intér
complément des Archives de Neurologie que publie, depuis 1880, M. le
professeur
Charcot. — Ecole d'anthologie. — M. Mathias-D
Les variations de la personnalité, par les docteurs Bourru et Burot,
professeurs
à l'École de médecine de Rochefort. — Bibliothèqu
e des maladies du système nerveux, publiée, sous la direction de M le
professeur
Charcot, par M.M. Paul Richer, chef du laboratoir
avec la plus grande courtoisie par notre éminent collaborateur, M. le
professeur
Grasset, deux communications intéressantes, sur d
E. B. L'HYPNOTISME ET L'ÉCOLE DE NANCY Par M. le Dr BERNHEIM
professeur
a la faculté de médecine de nancy La doctrine d
sont de purs automates mus par la volonté de l'opérateur. Quand M. le
professeur
Brouardel nous fait dire que toujours la somnambu
orique. Je citerai seulement quelques passages d'un article que M. le
professeur
Forel (de Zurich), qui m'a fait l'honneur d'étudi
DE TICS CONVULSIFS AVEC ÈCHOLALIE ET COPROLALIE Par M. le Dr BUROT
professeur
a l'école de médecine de rochefort Il y a six m
pondérant. NOTES HISTORIQUES SUR LES AISSAOUA Par M. G. DELPHIN
PROFESSEUR
A LA CHAIRE PUBLIQUE D'ARABE D'ORAN La confréri
sychologie expérimentale et comparée du Collège de France Par M. le
professeur
Th. RIBOT Certes, de nos jours, la psychologie
nt public des esquisses d'une moindre étendue. Enfin, en Amérique, le
professeur
Ladd vient de faire paraître un volumineux traité
l'obéissance, mais bien sur un malade en traitement à la clinique du
professeur
Leyden (Berlin). Il s'agissait d'un jeune music
e d'un effroi subit. Il fut amené à la clinique royale, et quand le
professeur
Leyden le vit, il reconnut immédiatement, quoique
la potion se produisit exactement comme on l'avait annoncé, et que le
professeur
Leyden put, trois jours plus tard, présenter son
tudiants étonnés. » BIBLIOGRAPHIE La Folie érotique, par B. Ball,
professeur
a la Faculté de médecine de Paris. — 1888. J.-B.
ecine de Paris. — 1888. J.-B. Baillière et fils, éditeurs. Si M. le
professeur
Ball a entrepris, dans ses cliniques, de parler d
rve et la finesse que nous retrouvons dans toutes les œuvres de M. le
professeur
Ball. Hospice de la Salpètrière. — clinique d
mardis. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales : M. le
professeur
Ball a reprit son cours de clinique des maladies
e l'Académie, les magnétiseurs ambulants ont trouvé, dans M. Delbœuf,
professeur
à l'Université de Liège, un ardent défenseur. Nou
ec le plus grand intérêt le plaidoyer dans lequel il reproche à M. le
professeur
Thiriar d'avoir pris, à la Chambre des députés de
les magnétiseurs se jouent de la santé de leurs sujets. Depuis, M. le
professeur
Charcot a signalé l'apparition, dans un chef-lieu
AVEC LA JURISPRUDENCE ET LA MÉDECINE LÉGALE Par M. Jules LIÉGEOIS
PROFESSEUR
a la FACULTÉ DE DROIT DE NANCY Monsieur le Réda
et la médecine légale. (1) Cet article nous a été adresse par M. le
professeur
Liégeois auquel nous a'ions demandé de vouloir bi
suggestion est venue s'y ajouter, grâce surtout, comme l'a dit M. le
professeur
Beaunis, aux travaux des docteurs Durand (de Gros
x-mêmes et dans leur opération. Nous ne pouvons oublier que plusieurs
professeurs
de la faculté libre de Lille. MM. Guermonprez et
intemps, à l'apparition des premiers chauds rayons du soleil. M. le
professeur
Charcot à Milan. La presse italienne, à l'occas
Milan. La presse italienne, à l'occasion du récent voyage que M. le
professeur
Charcot vient de faire à Milan, a publié, à l'éga
e la Lombardia raconte un des incidents de ce voyage : « Le célèbre
professeur
français qui se trouve actuellement à Milan, pour
heures. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales ; M. la
professeur
Ball, leçons le dimanche, à 9 heures 1/2. Hôpit
pnotisme et la liberté des représentations publiques. Lettres à M. le
professeur
Thiriar, suivies de l'examen du rapport présenté
Cerveau et le surmenage scolaire (le), par Luys, 88. Charcot (. le
professeur
) à Milan, .378. Châtiments corporels (dangers d
Edgar BERILLON PRINCIPAUX COLLABORATEURS: MM. les Docteurs AZA M,
professeur
à II Faculté de Bordeaux; BARETY (de Nice) ; DE B
L (de Zurich); FRAENKEL (de Dessau); HACK TUKE (de Londres); GRASSET,
professeur
a la Faculté de Montpellier W. IRELAND (d'Edimbou
ur a la Faculté de Montpellier W. IRELAND (d'Edimbourg) ; LACASSAGNE,
professeur
à la Faculté de Lyon LADAME, privat-docent à l'
TARD ; Aug. VOISIN, médecin de la Salpetrière, etc ; et MM. LIEGEOIS,
professeur
à la Faculté de droit de Nancy; Paul COPIN; CHARB
pas reconnaître que c'est â la méthode rigoureuse inaugurée par M. le
professeur
Charcot, que l'on doit d'avoir pu dissiper ta
uvons formulés aussi clairement que possible dans le travail de M. le
professeur
Beaunis sur le Somnambulisme provoqué : 1° Ne j
suggestion. » Tel est le conseil sur lequel insiste avec raison M. le
professeur
Bernheim. Il faut tenir aussi le plus grand com
ÉES SANS HYPNOTISME ET DES FAUX TÉMOIGNAGES Par M. le Dr BERNHEIM
professeur
a la faculté de médecine de nancy Dans mon livr
erveuse dans sa famille. Le 21 mars dernier, M. le docteur Schmitt,
professeur
agrégé à la Faculté, étant dans mon service, je d
Il était au service depuis plusieurs semaines, quand, un jour, M. le
professeur
Forel, de Zurich, un éminent collègue qui s'occup
XPLICATION DE LA VERTU CURATIVE DE L'HYPNOTISME Par M. J. DELBŒUF
professeur
a l'université de liège L'étude dont l'indique
ollègue, M. Von Winiwarter, l'élève et le collabo-rateur de Billroth,
professeur
de clinique chirurgicale à l'université de Liège,
rmenage intellectuel et de la sédentarité dans les écoles Par M. le
professeur
Brouardel Suivant moi, l'étiolement physique et
, on conduisait à l'hôpital Saint-André, salle 16, dans le service du
professeur
Pitres, un jeune homme qui, dans une crise de som
des hypnotiques, d'après les conseils de notre collègue, leur ami, le
professeur
Azam, de Bordeaux. Nous avions encore, d'autre
e en date du 14 juillet, sont nommés : Au grade d'officier. — M. le
professeur
Lannelongue, M. le professeur Duplay, M. le docte
nommés : Au grade d'officier. — M. le professeur Lannelongue, M. le
professeur
Duplay, M. le docteur Leroy des Barres (de Saint-
887. L'Egypte ancienne et la franc-maçonnerie, par M. Paul Guiesse,
professeur
suppléant au Collège de France. — Brock. in-8, 18
excitations toujours (i) La Vie des Sociétés, par le Dr A. Bordier,
professeur
à l'Ecole d'anthro-pologie de Paris. les même
es sont régis par certaines lois fixes dont notre éminent collègue le
professeur
Charcot s'est évertué depuis plusieurs années, av
tte publication est du meilleur augure pour l'enseignement du nouveau
professeur
de la Faculté de Paris. En accordant à la psych
(Très bien.!) Finalement, après une intervention éloquente de M. le
professeur
Trélat, l'Académie a clos la discussion en votant
ssive. INOUVELLES École vétérinaire d'Alfort. — M. Edmond Nocard.
professeur
de clinique chirurgicale, membre de l'Académie de
l'hypnotisme (étude de psychologie expérimentale , par J. Delbœuf,
professeur
à l'université de Liege. Paris, Alcan, in-8, 1887
constater, en le regrettant, que cette commission, en dehors de M. le
professeur
Charcot, ne renferme aucun homme ayant prouvé qu'
collaborateurs les plus éminents et, en particulier, celle de MM. les
professeurs
Bernheim, Grasset, Burot, de M. le docteur August
hygiène et de médecine publique. Dans cette dernière section, M. le
professeur
Layet (de Bordeaux) avait annoncé une communicati
substances chez les sujets hypnotisés. Nos deux éminents confrères,
professeurs
â l'Ecole de médecine de Rochefort, ont donc cons
PRATIQUES ET INTERPRETATION Par MM. les Docteurs BOURRU et BUROT
professeurs
a l'école de médecine de rochefort Les lois gén
nclusion auxquelles sont arrivés nos éminents collaborateurs, MM. les
professeurs
Bourru et Burot. dans le livre si intéressant qu'
huit heures du matin, sous la présidence de notre collaborateur M. le
professeur
Aug. Forel, directeur de la maison de santé canto
le à celui qu'il a toujours trouvé être le meil-leur : l'eau. M. le
professeur
Forel dit que si la suggestion hypnotique n'est p
er le jeudi suivant, 1 dix heures, dans le peti amphithéâtre de M. le
professeur
Potain. Congrès international de Washington. —
au Congrès, le Médical Record. de New-York, cite les noms de MM. les
professeurs
Léon Lefort et Charpentier (de la Faculté de Pari
on à distance des substances toxiques et médicamenteuses, par MM. les
professeurs
Bourru et Burot. — Bibliothèque scientifique inte
l'hypnotisme. PendantqueM.leDr A.Voisin, à la Salpêtrière,et M. le
professeur
Forel. à Zurich, expérimentaient la suggestion hy
s dans un excellent article qui a paru le 15 août 1887 (1). Le savant
professeur
de Zurich a traité, par l'hypnotisme, 41 aliénés
ieux, pourle désaltérer, que de lui faire boire quelques verres (1)
Professeur
A. Forel, à Zurich. Einige therapeutische Versuch
evue se le rappellent: nous leur avons donné l'analyse des travaux du
professeur
Lombroso et d'autres encore. Empruntons au journa
écessité son entrée a l'hôpital. En présence de la gravité du mal. le
professeur
prescrivit sur-le-champ une médication énergique:
de régularisation des règles par suggestion. Par M. le Dr Bernheim,
professeur
à la Faculté de Nancy. MM. Liébeault et Voisin
ulsifs, traité et amélioré par la persuasion. Par M. le Dr Burot,
professeur
à l'Ecole de médecine de Rochefort. Depuis six
ON D'HYGIÈNE ET DE MEDECINE PUBLIQUE Dans la première séance, M. le
professeur
Layet. président désigné de la section pour l'ann
). ( De l'auto-suggestion en médecine légale. Par M. le Dr Burot,
professeur
à l'Ecole de médecine de Rochefort. Beaucoup d'
rigine étrangère de cette idée. M. le docteur Brulard, inspiré par le
professeur
Bernheim, ajoute quelques remarques de la plus ha
'hypnotisme. DISCUSSION M.Bérillon.— Il est regrettable que M. le
professeur
Layet, qui devait traiter dans cette section la q
le à accomplir à l'état normal, comme l'a maintes fois démontré M. le
professeur
Brouardel, le devient tout à fait dans l'état d'h
'escroquerie signature de billets, déclarations fausses, etc.). M. le
professeur
Bernhcim a récemment démontré d'une façon saisiss
périences d'hypnotisme a mystifié un certain nombre de médecins et de
professeurs
de Bordeaux. Ces faits sont regrettables, car ils
T CHRONIQUE La dualité du cerveau et de la moelle èpinière, M. le
professeur
(Brown-Séquard) a commencé devant l'Académie des
r que nous ne revenions pas longuement sur les expériences du. savant
professeur
au Collège de France. Procédé pour distinguer,
médecinede paris. — Clinique des maladies du système nerveux. — M. le
professeur
Charco: fera dans son à la Salpétrière les mardis
linique de pathologie mentale et des maladies de l'encéphale. — M. le
professeur
Ball fera, à l'asile Sainte-Anne. les jeudis et l
ques et médicamenteuses. Un grand nombre de médecins des hôpitaux, de
professeurs
de la Faculté et de notabilités scientifiques ont
-recteur de l'Académie de Paris, vice-président; 1e docteur Bouchard,
professeur
il la Faculté de médecine de Paris; le docteur Br
ujardin-Beaumetz, membre de l'Académie de médecine ; Lacazc-Duthiers,
professeur
à la Faculté des sciences de Paris ; le docteur L
docteur Perrin, membre de l'Académie de médecine ; le docteur Proust,
professeur
d'hygiène à la Faculté de médecine ; le docteur R
E DE L'ACTION MÉDICAMENTEUSE A DISTANCE Par le Docteur BERNHEIM
professeur
a la faculté de nancy L'action médicamenteuse à
s la discussion, la section de pédagogie, sur la proposition de M. le
professeur
Liégeois, déclara par un vote unanime que les con
ogues avouent .leur complète impuissance. Peu de temps après, M. le
professeur
Bernheim publiait une étude remarquable dans laqu
et au bien. Voila de quel côté se trouve la responsabilité. » M. le
professeur
Beaunis, frappe des résultats parvenus à sa conna
est plus prudent de les éviter. Le fait suivant, rapporté par M. le
professeur
Beaunis, montre aussi qae. certains obstacles peu
ujet s'arrête et est incapable de continuer. Beaucoup plus tard, le
professeur
Charcot et ses élèves se préoccupèrent à leur tou
te des séances publiques de Hansen. Cependant, un certain nombre de
professeurs
de Nancy, et en particulier MM. Bernheim et Beaun
ystérie. Pour ma part, je me rangerais plus volontiers à l'avis des
professeurs
de Nancy. Pendant mon séjour à Paris, qui a duré
, il a publié, avec M. Ramadier, un autre cas identique. M. Bourru,
professeur
à Rochefort, a fait, par suggestion, apparaître,
ion de médecine présidé: par l'éminent ophtalmologue d'Utrecht. M. le
professeur
Donders. le docteur A.-W. Renterghem, d'Amsterdam
s'initier à la méthode d'hypnotisme inaugurée par M. Liébeault. Le
professeur
Donders prie M. le docteur Van Rcnterghcm de voul
e docteur Moll, après avoir étudié, à Paris, dans le service de M. le
professeur
Charcot, et à Nancy, dans le service de M. le pro
ice de M. le professeur Charcot, et à Nancy, dans le service de M. le
professeur
Bernheim, les phénomènes de l'hypnotisme, s'en es
ntaisistes qui ont, plus que de raison, ému l'opinion publique, M. le
professeur
Charles Richet exprime ainsi, dans la Revue scien
de Wundt, nous donne aujourd'hui un résumé des mêmes questions, dû au
professeur
Sergi (de Rome). Dans un volume de 450 pages, le
nisme et de la responsabilité. Il a été traduit de l'italien par un
professeur
de notre Université, M. Mouton, qui a su rendre f
e : Histoire de la lègende de Faust. Collège de France. — M. Marcy,
professeur
d'histoire naturelle des cours organisés au Collè
'année scolaire 1887-1888, par M. François Franck.— M. Brown-Séquard,
professeur
de médecine audit Collège, est autorisé à se fair
GES REÇUS A LA REVUE La psychologie physiologique, par M. G. Sergi,
professeur
à l'Université de Rome, traduit de l'italien pa
fesseur à l'Université de Rome, traduit de l'italien par M. Mouton,
professeur
de philosophie. (Bibliothèque de philosophie cont
nt à l'étude de l'anthropologie. Cene année, le conférencier, M. le
professeur
Mathias Duval, avait choisi pour texte de son étu
davantage généralisée. C'est dans les termes suivants que l'éminent
professeur
a exposé les services que se propose de rendre la
ÉRILLON. UN ALIÉNÉ EN COUR D'ASSISES Par M. le Dr A. LACASSAGNE
professeur
a la faculté de médecin» de lyon Le docteur Lam
utre session. Trois experts furent désignés par la cour : MM. Jaumes.
professeur
de médecine légale à la faculté de Montpellier; l
te ? — Si c'est possible ? répond le docteur Barillot. Demandez aux
professeurs
et aux docteurs Bernheim, Liebeault, Beaunis, Lié
cadémie française Hypnotisme à grande distance Par M. Ch. RICHET,
professeur
à la Faculté de Paris J'ai observé pendant long
ération générale. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Une lettre de M. le
professeur
Bourru au président de la Société de thérapeutiqu
que pour déférer à un désir exprime à titre purement amical. M. le
professeur
Bourru, justement froisse du râle qu'on lui faisa
stion qui a été plusieurs fois posée en cour d'assises, et dont M. le
professeur
Brouardel s'occupait dans une de ses dernières le
rbonne, d'un cours de philosophie biologique. Il a été stipulé que le
professeur
chargé de ce cours ne pourrait être choisi qu'ave
EXPÉRIENCES SUR LE SOMMEIL A DISTANCE Par M. le Dr Charles RICHET
PROFESSEUR
A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS I La remarq
girafe, grand comme, pour : Bertrand est grand comme une girafe. Le
professeur
n'aura pas beaucoup de peine à corriger ces faute
la même heure. — Programme pour l'année scolaire 1887-1888: Hygiène:
Professeur
, M. le docteur Du-buisson. — Pansements et appare
ène: Professeur, M. le docteur Du-buisson. — Pansements et appareils:
Professeur
. M. le docteur Picqué. — Physiologie : Professeur
ments et appareils: Professeur. M. le docteur Picqué. — Physiologie :
Professeur
. M. le docteur Vallon. — Anatomie: Professeur. M.
Picqué. — Physiologie : Professeur. M. le docteur Vallon. — Anatomie:
Professeur
. M. le docteur Pichon. — Petite pharmacie: Profes
on. — Anatomie: Professeur. M. le docteur Pichon. — Petite pharmacie:
Professeur
, M. Thabuis, pharmacien en chef de l'Asile de Vau
Thabuis, pharmacien en chef de l'Asile de Vaucluse. — Administration:
Professeur
, M. le docteur Taule. — Les personnes étrangères
et de ses applications à la thérapeutique, par le docteur Bernheim.
professeur
à la Faculté de Nancy. — 2e édition, revue et aug
888 (3 fr. 5o). Des anesthésies hystériques, par le docteur Pitret,
professeur
à la Fatuité de Bordeaux. — In-8°. Bordeaux, 1887
n et les états hypnotiques, tel est le titre d'un livre publié par le
professeur
Henri Morselli. Dans cet ouvrage, écrit sous l'
sibles, dans une mesure égale, à l'action hypnotique. A cet égard, le
professeur
Morselli nous communique des statistiques fournie
. Aucun fait nouveau n'est signalé par lui dans cet ordre d'idées. Le
professeur
italien fait l'inventaire de toutes les expérienc
hypnotisme avant d'avoir acquis une compétence indiscutable. Et M. le
professeur
Morselli sera assurément de notre avis lorsque no
REVUE DE LA PRESSE L'attaque de sommeil hystérique. Leçon de M. le
professeur
Charcot - (recueillie par P. Mariel. — Bulletin m
du 12 février 1888. En présentant à ses élèves une dormeuse, M. le
professeur
Charcot est entré dans quelques considérations sp
argique, cataleptique ou somnambulique du grand hypnotisme, l'éminent
professeur
a terminé sa leçon par les conclusions suivantes
r. — Présidence de M. Charcot Les Paralysies psychiques Par M. le
professeur
Charcot - Depuis que M. Charcot a mis en lumièr
oplexie. Trois jours auparavant, désireux d'exprimer à M. le Dr Azam.
professeur
à l'Ecole de médecine de Bordeaux, toute sa recon
, chirurgien; Manchester, le 23 mars 1860. » Novembre 1878. — M. le
professeur
Chareot, dans de remarquantes leçons cliniques au
otisme à Nancy, — a eu le courage de défendre sa cause à Berlin. Deux
professeurs
de renom ont tancé d'importance et avec majesté c
majesté ce médecin de malheur. L'histoire leur en tiendra compte. Le
professeur
Ewald a eu la maladresse de dire : « La suggestio
leur fait complètement défaut. En France, les titres de docteur et de
professeur
ne se donnent qu'à ceux qui les ont réellement ac
n-8°: F. Alcan, éditeur, 1887.— 10 fr. La folie érotique, par M. le
professeur
B. Boll. (Petite Bibliothèque médicale.) J.-B. Ba
n-8°; 1888 Le caractère dans la santé et dans la maladie, par M. le
professeur
Azam. de Bordeaux, avec une préface de M. Th. Rib
ALOGIE ENTRE L'ÉTAT HYPNOTIQUE ET L'ÉTAT NORMAL Par M. J. DELBŒUF
PROFESSEUR
A L'UNIVERSITÉ DE LIEGE Dans un article publié
ement par l'imitateur. Avec la collaboration de mon collègue M. Nuel,
professeur
d'ophtalmo- logie à l'Université de Liège, je
térie; sensibilité des téguments au contact de l'or, — leçon de M. le
professeur
Peter (Gazette des Hôpitaux du 6 mars :886). Le
iences de M. Luys, la Galette des Hôpitaux publiait un cours de M. le
professeur
Peter où se trouvent relatés des faits qui justif
là, des mariages mal assortis et des unions malheureuses. M. Magnus,
professeur
à l'Université de Stockholm, d'après une lettre,
ée scolaire 1887-88 (2e semestre. — Cours de médecine légale. - M. le
professeur
Brouardel a commencé le cours de médecine légale,
. de la Tou-BKTTictA. Londe, sous la direction de notre maître, M. le
professeur
Charcot. Nous souhaitons longue vie a cette intér
complément des Archives de Neurologie que publie, depuis 1880, M. le
professeur
Charcot. — Ecole d'anthologie. — M. Mathias-D
Les variations de la personnalité, par les docteurs Bourru et Burot,
professeurs
à l'École de médecine de Rochefort. — Bibliothèqu
e des maladies du système nerveux, publiée, sous la direction de M le
professeur
Charcot, par M.M. Paul Richer, chef du laboratoir
avec la plus grande courtoisie par notre éminent collaborateur, M. le
professeur
Grasset, deux communications intéressantes, sur d
E. B. L'HYPNOTISME ET L'ÉCOLE DE NANCY Par M. le Dr BERNHEIM
professeur
a la faculté de médecine de nancy La doctrine d
sont de purs automates mus par la volonté de l'opérateur. Quand M. le
professeur
Brouardel nous fait dire que toujours la somnambu
orique. Je citerai seulement quelques passages d'un article que M. le
professeur
Forel (de Zurich), qui m'a fait l'honneur d'étudi
DE TICS CONVULSIFS AVEC ÈCHOLALIE ET COPROLALIE Par M. le Dr BUROT
professeur
a l'école de médecine de rochefort Il y a six m
pondérant. NOTES HISTORIQUES SUR LES AISSAOUA Par M. G. DELPHIN
PROFESSEUR
A LA CHAIRE PUBLIQUE D'ARABE D'ORAN La confréri
sychologie expérimentale et comparée du Collège de France Par M. le
professeur
Th. RIBOT Certes, de nos jours, la psychologie
nt public des esquisses d'une moindre étendue. Enfin, en Amérique, le
professeur
Ladd vient de faire paraître un volumineux traité
l'obéissance, mais bien sur un malade en traitement à la clinique du
professeur
Leyden (Berlin). Il s'agissait d'un jeune music
e d'un effroi subit. Il fut amené à la clinique royale, et quand le
professeur
Leyden le vit, il reconnut immédiatement, quoique
la potion se produisit exactement comme on l'avait annoncé, et que le
professeur
Leyden put, trois jours plus tard, présenter son
tudiants étonnés. » BIBLIOGRAPHIE La Folie érotique, par B. Ball,
professeur
a la Faculté de médecine de Paris. — 1888. J.-B.
ecine de Paris. — 1888. J.-B. Baillière et fils, éditeurs. Si M. le
professeur
Ball a entrepris, dans ses cliniques, de parler d
rve et la finesse que nous retrouvons dans toutes les œuvres de M. le
professeur
Ball. Hospice de la Salpètrière. — clinique d
mardis. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales : M. le
professeur
Ball a reprit son cours de clinique des maladies
e l'Académie, les magnétiseurs ambulants ont trouvé, dans M. Delbœuf,
professeur
à l'Université de Liège, un ardent défenseur. Nou
ec le plus grand intérêt le plaidoyer dans lequel il reproche à M. le
professeur
Thiriar d'avoir pris, à la Chambre des députés de
les magnétiseurs se jouent de la santé de leurs sujets. Depuis, M. le
professeur
Charcot a signalé l'apparition, dans un chef-lieu
AVEC LA JURISPRUDENCE ET LA MÉDECINE LÉGALE Par M. Jules LIÉGEOIS
PROFESSEUR
a la FACULTÉ DE DROIT DE NANCY Monsieur le Réda
et la médecine légale. (1) Cet article nous a été adresse par M. le
professeur
Liégeois auquel nous a'ions demandé de vouloir bi
suggestion est venue s'y ajouter, grâce surtout, comme l'a dit M. le
professeur
Beaunis, aux travaux des docteurs Durand (de Gros
x-mêmes et dans leur opération. Nous ne pouvons oublier que plusieurs
professeurs
de la faculté libre de Lille. MM. Guermonprez et
intemps, à l'apparition des premiers chauds rayons du soleil. M. le
professeur
Charcot à Milan. La presse italienne, à l'occas
Milan. La presse italienne, à l'occasion du récent voyage que M. le
professeur
Charcot vient de faire à Milan, a publié, à l'éga
e la Lombardia raconte un des incidents de ce voyage : « Le célèbre
professeur
français qui se trouve actuellement à Milan, pour
heures. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales ; M. la
professeur
Ball, leçons le dimanche, à 9 heures 1/2. Hôpit
pnotisme et la liberté des représentations publiques. Lettres à M. le
professeur
Thiriar, suivies de l'examen du rapport présenté
Cerveau et le surmenage scolaire (le), par Luys, 88. Charcot (. le
professeur
) à Milan, .378. Châtiments corporels (dangers d
Edgar BÉRILLON PRINCIPAUX COLLABORATEURS : MM. les Docteur» AZAM.
professeur
i la Faculté de Bordeaux; BARETY (de Nice): DE BE
ARCOT, prof, à la Faculté de Paris, membre de l'Institut ; CHIILTOFF,
professeur
i l'Université de Kharkoff: COLUNEAU; COSTER (d'A
lier; KINGSBURY (de Blackpool); W. IRELAND (d'Edimbourg): LACASSAGNE.
professeur
à la Faculté de Lvoo; LADAME (de Genève); LIEBEAU
de Lafond; Paul MAGNIN ; MOLL (de Beriin); I. OCHOROWICZ ; MORSELLI,
professeur
A l'Université de Gènes ; Von SCHRENK-NOTZING (
e l'Univ.; LIÉGEOIS, prof. A !a Faculté de droit de Nancy ; DELBOEUF.
professeur
à université de Liège; Pierre JANET, agrégé de IT
sterdam. Les « Zwangs Vorstellungen » — comme a nommé le premier le
professeur
von Kraft Ebing : « les idées fixes dont la durée
die, comme se l'est faite Legrand du Saulle, est justifiée on non. Le
professeur
genevois produit deux observations brèves et conc
Les paysans magnétiseurs de Braine- le -Château. — Réponse de M. le
professeur
Masoin à M. le professeur Delbceuf. Monsieur le
de Braine- le -Château. — Réponse de M. le professeur Masoin à M. le
professeur
Delbceuf. Monsieur le Directeur, Quoique la l
ait encore démontré autre chose : c'est qu'il est en Belgique certain
professeur
de philosophie qui ne sait même plus appliquer le
grande partie de la lettre qui lui avait été adressée par l'honorable
professeur
de Nancy; mais celte partie communiquée ne toucha
M. Delbœuf, à l'adresse de notre distingué collègue de Bruxelles, le
professeur
Thiriar, qui ne l'avait pas môme cité dans un dis
e à la Chambre des Représentants; qu'on Use sa réplique à l'honorable
professeur
de Genève, M. Ladame; qu'on prenne la peine de vo
ski, médecin des hôpitaux. M. le docteur Babinski, invité par M. le
professeur
Charcot, à la clinique des maladies nerveuses, à
otisme au point de vue médico-légal (!), par M. le Dr Gilbert Ballet,
professeur
agrégé à la Faculté de Paris. Le vendredi suivant
e recherches sur l'hypnotisme. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Ball (Le
professeur
B-). — Leçons sur les maladies mintales, deuxième
5 pages. — Octave Doin, 8, place de l'Odeon. 1891. Danilewsky (H.),
professeur
i l'Université de Kharkoff. — Substitution physio
ligieuse J. Leday et C", 10, rue de Mézières. 1891. Pitres (Dr A.),
professeur
et doyen de la Faculté de médecine de Bordeaux. —
nt-André de Hordeaus. — Ouvrage précédé d'une lettre-préface de M. le
professeur
Charcot, 9 volumes in-8* de 530 pages chacun, ave
Deux mois après, la malade se rendit à Saint-Pétersbourg, près du
professeur
Korschenewski, qui l'opéra. Après cette opération
mme avant. Dix mois plus tard, elle se rendit à Heidelberg, près du
professeur
Simon, alors en renom. Comme le désordre des tiss
hé. Après la mort de Simon, la malade se rendit à Fribourg, chez le
professeur
Hegar, qui l'opéra également plusieurs fois, mais
obstipation. De Fribourg, la malade se rendit à Strasbourg, près du
professeur
Kœberle, qui ne voulut pas l'opérer parce qu'il l
étiseurs de Braine-le-Château. — Première et dernière réponse de M le
professeur
Delbceuf, de Liège, â M. le professeur Masoin. de
re et dernière réponse de M le professeur Delbceuf, de Liège, â M. le
professeur
Masoin. de Louvain. Mon cher directeur, 11 n'
ue fois que j'abuserai de vos pages pour y prendre à partie l'éminent
professeur
de l'Université Catholique de Louvain. secrétaire
ne, le 28 mars, une réponse de la part de al. Masoin, son secrétaire,
professeur
à l'Université de Louvain, expert dans le procès.
les médecins, chirurgiens, accoucheurs, physiologistes, psychologues,
professeurs
de philosophie de l'Université, avocats et magist
tre médecins, chirurgiens, accoucheurs, physiologistes, psychologues,
professeurs
, avocats ou magistrats, se livrent à l'étude des
ang honorable dans le monde savant. Puis il donne ta parole à M. le
professeur
Bemheim sur la première question mise à l'ordre d
casion de l'exposer dernièrement dans une leçon que mon maître, M. le
professeur
Charcot. a bien voulu m'inviter à faite à la Sal
de la volonté humaine chez le magnétisé ? Ecoutons encore l'honorable
professeur
de Louvatn. Voici comment il s'exprime : « Il i
fréquemment ont pratiqué la « magnétisation des autres. L'honorable
professeur
de Louvain terminait ce qu'il appelait le bilan d
ous ne tarderez pas à en voir les « résultats sociaux. » Et l'émineot
professeur
conclut avec le rapporteur: « La « pratique de l'
DES PENSÉES(1) HISTORIQUE DE LA QUESTION Par H. Jean TARCNANOFF.
professeur
de physiologie à l'Académie impériale de Médecine
ifique, qui tint ses séances à Londres et qui se composait de MM. les
professeurs
Robertson, Francis Gai ton. Lancaster et Georges
ts musculaires dont s'accompagnent les pensées chez l'inducteur. Le
professeur
Sikorsky a publié presque en môme temps, dans un
s lui-même plusieurs procédés de lecture des pensées. Après lui, le
professeur
Preyer, fort de ses expériences sur le même sujet
ci vise surtout les articles de M. Elpe, dans le Novoïé wremia, et du
professeur
Morochowetz, dans le Rousskié Wédamosti. Ce sav
rédacteur en chef de la i Revue de l'Hypnotisme », par le Dr Masoin,
professeur
à l'Université de Louvain. Mon cher Directeur,
remarque générale. L'examen critique de M. Delbœuf prouve que notre
professeur
de philologie ne se fait pas une idée exacte de c
mporté. De là le singulier libellé du jugement. » Par ces lignes le
professeur
de Liège prouve qu'il n'a pas môme compris commen
• il faut une certaine audace », ainsi que le disait mon collègue, le
professeur
Crocq, à propos d'une autre affirmation de M. Del
le président annonce la présence k la séance de M. le D* À. Pierson,
professeur
à l'Université d'Amsterdam. La correspondance c
comprend des lettres de MM. le Dr Lloyd Tuckey, de Londres; de M- le
professeur
Masoin, de Louvain; de M. le Dr Ladame. de Genève
rofesseur Masoin, de Louvain; de M. le Dr Ladame. de Genève; de M. le
professeur
Herrero, de Walladolid; de M. le professeur Lombr
dame. de Genève; de M. le professeur Herrero, de Walladolid; de M. le
professeur
Lombroso, de Tunis; de M. Giulio Friedman, do Rom
Friedman, do Rome; de M. le D' Schrbnck Notzing, de Munich: de M. le
professeur
Fou kl, de Zurich; de M. le Dr Lié-•baclt, de Nan
fesseur Fou kl, de Zurich; de M. le Dr Lié-•baclt, de Nancy; de M. le
professeur
Liégeois, de Nancy, etc., qui s'excusent de ne po
a Société. La correspondance comprend en outre des lettres de M. le
professeur
Bas-naert, membre de l'Académie de Médecine de Be
Preters, de Bruxelles; Pînel, de Paris; Raffegeau, de Paris; Raymond,
professeur
agrégé k la Faculté; Rbspaut, de Paris ; de M. Ju
ences k l'École pratique des Hautes-Études; de MM. les Drt Tamburini,
professeur
i l'Université de Reggio-Kmllia; Widmer. de Lausa
uggestive, comme elle est recommandée par MM. le Dr Liébeault et le
professeur
Bemheim, me semble encore toujours la plus pratiq
es aliénés, ainsi qu'il a été démontré en plusieurs cas par le savant
professeur
, le Dr Aug. Voisin, et d'autres médecins aliénist
et Conception des mots Suggestion et Hypnotisme Par le D' Bernheim,
professeur
à la Faculté de Médecine de Nancy. J'ai pensé q
ls il s'est adressé? N'est-ce pas de la suggestion? Les orateurs, les
professeurs
, les journalistes, les hommes d'affaires, les cha
- *, en allentami Verbs de« Anion. Wien 1891.) Tarchanoff (Jean m),
professeur
de physiologie à l'Académie impériale de Saint-Pe
DES PENSÉES HISTORIQUE DE LA QUESTION Par M. Jean de TARCHANOFF,
professeur
de physiologie à l'Académie impériale de Médecine
et conception des mots Suggestion et Hypnotisme Par le Dr BERNHEIM,
professeur
a la Faculté de Médecine de Nancy. Suite (1)
qu'un des représentants les plus autorisés de l'École de Nancy, M. le
professeur
Liégeois, viendrait nous faire l'exposé des doctr
rès avoir discuté à ce propos les théories de l'honorable M. Delbœuf,
professeur
à l'Université de Liège, il ajoute : « Nous pouvo
spect qu'on puisse avoir pour l'esprit patient et chercheur du savant
professeur
de Liège, il est bien difficile de ne pas reconna
ndre pour leur compte les conclusions de certains des médecins et des
professeurs
que nous avons cités, sont unanimes à dire que ce
minemment nuisible à la santé et à ta mo-« raiUé publiques. » M. 1«
professeur
Boddaert est non moins affirmauf : « En répandant
APEUTIQUE COMME QUOI IL N'Y A PAS D'HYPNOTISME par M. J. DELBŒUF,
professeur
à l'Université de Liège. Cette proposition a to
ur public, vint à Liège. Il exhiba devant une société de médecins, de
professeurs
, de magistrats, de journalistes une nouvelle espè
mule ma conclusion en ces termes empruntés en partie à mon ami, M. le
professeur
Bernheim : « Il n'y a pas d'hypnotisme, il n'y a
E DES PENSÉES HISTORIQUE DE la QUESTION Par h. Ji«» m TARCnANOFF.
professeur
de phyricl«rie 4 l'Académie impérial* de MMecioe
raitement d'un grand nombre de maladies nerveuses. C'est à lui que le
professeur
Dr Albert Eulcnburg, l'auteur du grand dictionnai
son application, une chose si simple que voudrait le faire croire le
professeur
Ewald, de Berlin; loin de pouvoir confier la sugg
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
b d'anthropolooib db Paris.— Anthropologie biologique. — M. La borde,
professeur
, fait le mercredi, à 4 heures, un cours sur les f
fonction du tangage. Anthropologie psychologique. — il. Manouvrier,
professeur
, Tait le vendredi, à 5 heures, un cours sur Vanat
ychologie : l'hérédité psycluylogique. Sociologie. — M. Letournean,
professeur
, fait le samedi, à 4 heures, un cours tor l'évolu
rmanent de psjcho-lhcrapie. Istitut psychiatrique de Gênes. — M. le
professeur
Morselli, directeur, a organise dans cet institut
t de l'hypnotisme. Institut psychiatrique db Reggio-Emilia. — M. le
professeur
Tamburini, directeur, a organise dans cet institu
Né à Avignon en 1827, M. Félix Hément fut, pendant plusieurs années,
professeur
à Tournon, à Strasbourg, au collège Chapial et à
dem • Biologischen Ceniralblait >, mai 1891.) Jllien- (Alexis),
professeur
libre d'anatomie. — La loi de la position des cen
soigné par un médecin-major qui lui conseilla d'aller consulter M. le
professeur
Grasset. Un traitement par l'électricité statique
rétention ne cédant pas, on le fit descendre en chirurgie, chez M. le
professeur
Verneuil. On lui passa une sonde qu'il a gardée p
du reste, que si le mercure et l'iodure du potassium ont, au dire du
professeur
Fournîer, le don de guérir les alaxiques de l'hôp
ues de l'hôpital Saint-Louis, ils ne paraissent guère, à en croire le
professeur
Charcot, être doués des mêmes rertus sur les tahé
comprend des lettres de MM. Tarde, juge d'instruction à Sarlat; Azam,
professeur
à la Faculté de Bordeaux; Bourdon, de Méru; Le Me
andes douleurs, à endormir la malade par suggestion verbale, et M. le
professeur
Tillaux, qui était présent, constatait avec moi l
e cutanée à la piqûre profonde. Je profitai de la présence de M. le
professeur
Tillaux, dans mon service, pour lui montrer une a
. Observation de thérapeutique suggestive, Par M. le Dr BERNHEIM,
professeur
à la Faculté de Médecine de Nancy. Habitudes d'
uillet 1890. On se rappelle que sur la proposition du président, le
professeur
Gairdner, la section de psychologie du Congrès a
vant se renseigner suffisamment dans les livres du Dr Albert Moll, du
professeur
Bernheim et et de MM. Binet et Féré qui ont été t
septembre 1891. L'Anthropologie criminelle, par le Dr X. Francotte,
professeur
à l'Université de Liège (1) L'anthropologie cri
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants el de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
oraines de la psychologie physiologique. Asile Sainte-Anne. — M. le
professeur
Bail fait son cours de clinique des maladies ment
es psycho-névroses. Université de Vienne. — M. S. Exner a élé nommé
professeur
de physiologie à l'Université de Vienne. Facult
iversité de Vienne. Faculté db Médecins db Gênes. — M. E. Morselli,
professeur
extraordinaire de psychiatrie, est nommé professe
— M. E. Morselli, professeur extraordinaire de psychiatrie, est nommé
professeur
ordinaire. Académie db Mbdbcinb de Saint-Péters
urs, il y aura infraction punissable. La loi va même plus loin : un
professeur
de clinique ne pourra plus, sans se mettre en con
ge absolument semblable à celle de son frère et au même endroit. Le
professeur
L. Neugebauer a décrit dans un journal polonais (
également de ces taches noires. La mère de cette enfant racontait au
professeur
Billy (et c'est ce dernier qui me l'a communiqué
issait à découvert ses parties supérieures. € Pomma part, continue le
professeur
Neugebauer, je ne doute nullement de la possibili
ogiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronnage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
e la Salpêtrière. — Clinique des maladies du système nerveux. — M. le
professeur
Charcot a repris ses leçons du mardi depuis le 27
renferme un grand nombre de médecins, parmi lesquels se trouvent des
professeurs
de l'École d'Anthropologie, des membres de l'Acad
nsidérations générales sur la névropathie ou neurasthénie Par M. le
professeur
BERNHEIM, de Nancy. L'histoire clinique que je
la loi dynamique du système nerveux donnée par M. Bernheim, le savant
professeur
de Naney, toute eetlule nerveuse actionnée par un
neurasthénie (1). Par M. le profeaieur BERNHEIM, de Nancy. M. le
professeur
Bernheim rapporte a la Société l'observation d'un
rendre la parole pour répondre a quelques objections soulevées par le
professeur
Bernheim sur la question de la neurasthénie. Mais
il que j'ai publié sur ce sujet, et j'avoue que l'éloquente parole du
professeur
de Nancy ne m'a fait en rien modifier les opinion
naisons les plus diverses. Mou émineni maître de la Salpêtrière, le
professeur
Charcot, le disait tout récemment encore: i Les t
'un homme de science qui fut en même temps un homme decceur. il. le
professeur
Liégeois exprime les regrets qu'a causés à M. Lic
ndant des mois et conduire peu à peu au marasme et même à la mort. Le
professeur
Charcot dit connaître, pour sa part, quatre cas d
des détails qui paraîtront à plus d'un peut-être trop minutieux. Le
professeur
Trousseau disait qu'il n'y a pas de petites chose
ement. « Quand j'ai vu que vous étiez le maître, disait une malade au
professeur
Char col, j'ai eu peur et. malgré ma répugnance,
ès avoir fait prendre à la malade plusieurs lavements boriques, M. le
professeur
Artigalas sectionna un jour, avec l'écraseur, le
tèrent dans cet état le 28, le 29 et le 30. • Le \" décembre, M. le
professeur
Artígalas l'endormit de nouveau et lui suggéra qu
ogiques de l'hypnotisme, et placé sou» le patronnago de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
APEUTIQOE AUTOGR^PHISME socvelle observation Par M. J. DELBŒUF.
professeur
à lTnivershè de Lièire, membre de l'Académie roya
é à vérifier l'existence des phénomènes somaliques, décrits par M. le
professeur
Chareot, ont déclaré qu'ils ne pouvaient interpré
isme a été remise sur le lapis. Malgré les efforts tentes par MM. les
professeurs
Grasset, Tamburini et quelques autres, pour arriv
en voulons pour preuve que l'affirmation récemment formulée par M. le
professeur
Pitres, de Bordeaux, qui s'exprime ainsi: • Les p
. L'hypnotisme et l'expertise médico-légale. Banquet offert à H. le
professeur
Charcot. Les anciens élèves de M. Charcot ont f
de la Légion d'honneur. Autour de la table, présidée par l'éminent
professeur
, avaient pris place, entre autres, les profes*our
'interprète des agrégés; M. Dutil, des chefs de clinique; enfin M. le
professeur
Corail, sénateur, dans une allocution très applau
fut offert d'étudier des phénomènes chez un (1) L'article de M. le
professeur
Lombroso sort du cadre des études positives auxqu
uait et, tandis que les mains du médium étaient gardées par moi et le
professeur
Tamburini, le professeur Vizioli se sentait tirer
ains du médium étaient gardées par moi et le professeur Tamburini, le
professeur
Vizioli se sentait tirer les moustaches ou pincer
servèrent, à dix centimètres de distance, sur ma tète et sur celle du
professeur
Tamburini, des petites flammes jaunâtres ; mais c
sme, la défense nationale et la société civile. par M. J. LIÉGEOIS,
professeur
.V la Faculté de Droit de Nancy. M. le ])' Béri
ulièrement certaines t responsabilités (1} ». 6* M. le LV Déjerine,
professeur
agrégé à la Faculté de Médecine de Paris, a fait
rsonnel. En 1888. je me trouvais à Liège, où mon honorable ami. M. le
professeur
Delbœuf, voulut me montrer, à l'hôpital de Bavièr
ogiques de l'hypnotisme, et placé sous le patrouoagc de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
suivants, à cinq heures. Hôpital LAtisoisritaB. — M. le D'Itavmond.
professeur
agrégé, fait, tous les samedis, à neuf heures, an
n De venter, médecin en chef à Amsterdam (Hollande); D'Van Genuchten,
professeur
à l'Université de Louvain. » Origine morbide de
Europe. » — Rapporteur : Enrico Ferri, député au Parlement italien,
professeur
de droit criminel à l'Université de Pise. « Des c
ractères de l'incorri-gibilité. • — Rapporteurs : Dr Cesare Lombroso,
professeur
à l'Université de Turin ^Italie); Dr Morel, médec
s rapports. « L'obsession du meurtre. — Rapporteur : D' Ladame, ; -
professeur
à Genève. « Les suggestions criminelles et la res
inelles et la responsabilité pénale. » — Rapporteurs : Dr Benedikt,
professeur
à l'Université de Vienne (Autriche) ; D' Voisin,
conomique actuelle sur la délinquance. » — Rapporteur : Hector Denis,
professeur
d'économie politique â l'Université libre de Brux
n Garofolo, président du Tribunal de Ferrare (Italie); Dr Von Litszt.
professeur
à l'Uni-rersité de Halle (Allemagne) ; Professeur
ie); Dr Von Litszt. professeur à l'Uni-rersité de Halle (Allemagne) ;
Professeur
Benedickt, à Vienne ; Dr Masoin, professeor à l'U
l'autorité apte à en Gxer le choix. • — Rapporteurs : D' Van llamel,
professeur
do droit criminel â l'Université d'Amsterdam; Ali
iminel â l'Université d'Amsterdam; Alimena, avocat à Naples; F.Thlry,
professeur
de droit criminel à l'Université de Liège. « De
ote, vice-président de la Société de Médecine mentale de Belgique; Dr
professeur
Mendel, a Berlin; Dr Hubert, professeur à l'Unive
ecine mentale de Belgique; Dr professeur Mendel, a Berlin; Dr Hubert,
professeur
à l'Université de Louvain. • Les prisons asiles
mmis sous l'influence de la suggestion hypnotique », Par H, BALLET,
professeur
agrésé à la Faculté, mîdecin de l'hôpital Saint
état de suggestibilité, soutenues par M. le D' Liébeauli el par M. le
professeur
Bernhcim, et récemment confirmées par le l)r Béri
ES Sur un cas d'amnésie rétrograde et antérograde. — Leçon de M. le
professeur
Chakcot (clinique de la Salpêtrière). M. le pro
çon de M. le professeur Chakcot (clinique de la Salpêtrière). M. le
professeur
Charcot a consacré récemment une de sas leçons à
ogiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronnage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné a fournir eux médecins et
rière. Université db Genève. — M. le Dr Flournoy vient d'être nommé
professeur
de la chaire extraordinaire do Psychologie expéri
aux étudiants depuis le 15 février. L'universitÉ de Zurich. — M. le
professeur
Forel, professeur de psychiatrie et médecin en eb
is le 15 février. L'universitÉ de Zurich. — M. le professeur Forel,
professeur
de psychiatrie et médecin en ebef de l'Asile d'al
t la presse. Comme il fallait s'y attendre, l'article publié par le
professeur
I.ombroso dans le dernier numéro de la Revue de ?
o des sentiments généreux. La foule, selon l'heureuse expression du
professeur
Lacassagnc, est un être essentiellement special
ET THÉRAPEUTIQUE QUELQUES SUGGESTIONS Par M- le D* AcccsTC FOREL,
professeur
à Yl'Diversité de Zurich. Le numéro 11 (mai 189
de Pari»; de M. de Jol'y. avocat à la Cour d'Appel; de M. P. Millet,
professeur
au Lycée Saint-Louis, et de M. le D' Paul Joire,
it soufflé contre le visage. » Depuis les mémorables expériences du
professeur
Chareotà la Salpèlrière sur les « paralysies psyc
ogiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronoage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
l'hypnotique. Clinique médicale de l'Université de Palerme. — M. le
professeur
Lugatto, direcieur de la Clinique médicale de Paï
hur, 296. Autographisme, par Delbœuf, 257. Banquet offert à M. le
professeur
Charcot, 286. Britisch medical association, 393
Edgar BÉRILLON PRINCIPAUX COLLABORATEURS : MM. les Docteurs AZAM.
professeur
à la Faculté de Bordeaux; BARETY (de Nice): DE BE
HARCOT, prof, à la Faculté de Paris, membre de l'Institut ; CHILTOFF,
professeur
à l'Université de Kharkoff: COLLINEAU: COSTER (d'
; FRAENKEL (de Dessau); HACK TUKE (de Londres); G. GAUTIER : GRASSET,
professeur
à la Faculté de Montpellier: W. IRELAND (d'Édimbo
ur à la Faculté de Montpellier: W. IRELAND (d'Édimbourg): LACASSAGNE,
professeur
à la Faculté de Lyon: LADAME (de Genève); LIÉBEAU
e de Lafond; Paul MAGNIN ; MOLL (de Berlin): I. OCHOROWICZ; MORSELLI.
professeur
à l'Université de Cénes: Von SCHRENK-NOTZING (d
re Borras. victime d'une erreur judiciair par le docteur BERNHEIM
Professeur
à la Faculté de Médecine de Nancy. J'ai maintes
comme avant. Au mois de mai î 888. la malade consulta à Paris deux
professeurs
de la Faculté: l'un diagnostiqua une affection rh
ous avez fait pour moi. Votre tout dévoue, R.... A l'instigation du
professeur
docteur R. Von Krafft-Ebing, j'engageai le ma
omosexuels qu'il peut encore avoir. — Contrairement aux avis de M. le
professeur
Benedikt, (voyez: « Internationale Kliniscbe Rund
née, 1er Septembre 1889). « Uber psychosexuales Zwittertum » par le
professeur
Dr R. Vor. Krafft-Ebbing ( « Internationales Cent
ution moyenne, tempérament lymphatique, de petite taille, vigoureuse,
professeur
de gymnastique, cheveux châtain-clair. Pas de mal
aractère des hystériques Dans une de ses leçons i la faculté, M. le
professeur
Brouardel vient de rappeler quelques-unes des par
que. On se souvient que les conclusions générales du rapport de M. le
professeur
Masoin furent adoptées à la suite d'une important
Dr Edg. Bérillox. VARIETÉS Deontologie médicale Leçon de M. le
professeur
Eugène hubert (de Louvain}. Messieurs, l'Univer
développée, elle compte plus de 400 membres; elle est présidée par le
professeur
S. P. Lan- gley. l'astronome bien connu, et le Pr
idée par le professeur S. P. Lan- gley. l'astronome bien connu, et le
Professeur
William James. « Je vous serais infiniment obli
neurologistes éminents parmi lesquels il nous suffira de citer M. le
professeur
Gairder, M. le docteur Hack Tuke, le savant direc
nnelles. C'est ainsi qu'au banquet de la section de neurologie, M. le
professeur
Meynert a cru l'occasion propice pour tenter de r
les problèmes du fonctionnement de la pen-sée? Moins exclusifs que le
professeur
de Vienne, nous pensons, nous, que la clinique et
par un grand nombre de médecins compétents, aux méditations de M. le
professeur
Meynert. Mais nous ne lui conseillons pas pour
r les arts dans lesquels il n'excelle point. Au même banquet. M. le
professeur
Erb, après avoir rendu hommage, non sans quelque
an (dePariss.etc. etc. A ces noms, si nous ajoutons ceux de MM. les
professeurs
Charles Ri-chet (de Paris), Mendel (de Berlin), B
par le Dr Journée. LE DÉVELOPPEMENT DE LA PUBERTÉ (0 Par M. le
professeur
axel KEY (Stokholm). L'éducation de nos enfants
ÇONS SUR DEUX CAS D'HYSTÉRIE PROVOQUÉS PAR UNE MALADIE AIGUË Par le
Professeur
J. GRASSET L'année denière à l'instigation de G
année, une série de leçons faites â la clinique de Montpellier par le
professeur
Grasset (2) sur la part qui peut incomber à une m
ciser le ciagnoslic. Au lit de chacun de ses deux mala-des, le savant
professeur
de Clinique médicale de Montpellier, s'y est éver
ncontrer sur ce point avec un clinicien d'une autorité comme celle du
professeur
Grasset. Nous le sommes aussi de sentir noue mani
umettre les phénomènes de l'hypnotisme a une enquête scientifique. Le
professeur
Gairdner ajouta : Si quelque résolution utile doi
t composé des docteurs : Dr Needham, président de la section : le
professeur
Gairdner, de Glasgow ; les docteurs Hack Tuxe, de
'août. Le bureau du Congrès était ainsi composé : Président M. le
professeur
Ball (de Paris) Vice-présidents, MM. mordret (d
g. docteur en droit, président de la société, avait â sa droite M. le
professeur
Charles Richet (de Paris). Farmi les convive se t
aux représentants de la science française présents au banquet. M. le
professeur
Richct a porté ensuite un toast en allemand à la
égitime succès. M. le Dr Bérillon rappelant la part prise par M. le
professeur
Richet dans . le développement des études psychol
jour, il n'a pas fait autre chose que se consacrer a l'apologie d'un
professeur
, dont l'œuvre scientifique aura certainement pour
nce d'un catalogue Je maison de droguerie. Nous comprenons que ce
professeur
émérite pas pour les congrès une sympathie exagér
'élèverait certainement une voix indépendante pour lui dire : « M. le
professeur
, vous vous êtes trompé de porte. Vous n'êtes pas
t y écouler de vieux fonds de boutique. » En toute circonstance, le
professeur
en question ne man que jamais l'occasion de comba
ont ils ne perdront pas le souvenir. Dans l'une d'elles, d'éminents
professeurs
, redevenus étudiants pour un instant, ont bien vo
, fort spirituelles, composées en allemand et en latin pour fêter les
professeurs
, les membres du Congrès, la psychiatrie bacillair
de juillet 1885, sur 750 sujets, il trouvait 60 réfractaires. M. le
professeur
Bernheim estime â 80 pour cent le nombre EXPÉRI
n'en a trouvé que 19 qui lussent réfractaires â l'hypnotisme. M. le
professeur
Forel, sur un total de 128 personnes soumises à l
n. Contrairement à l'opinion émise il y a quelques années par M. le
professeur
Grasset, nous avons pu constater que la sug- ge
plusieurs séances eussent amené un résultat favorable. Comme M. le
professeur
Bernheim. nous avons constaté que si les troubles
notisme et de !a suggestion. DU SUICIDE DES HYSTERIQUES Par M. le
professeur
A. PITRES '(de Bordeaux) Leçon recueillie par M.
psychoses doivent être ' considérés comme maladies contagieuses. Le
professeur
Delbœuf, de Liège, vient de publier un deuxième t
hs de Vienne le docteur Muhren. de Duseldorf, le docteur Jamain et le
professeur
Nuel de Liège. L'iode, le mercure, la strychnine,
spécialiste m'était imposée. Je m'adres-sai à mon collègue, M. Nuel.
professeur
d'ophtalmologie à l'Universités de Liège, qui acc
neront la nature des phénomènes et leur valeur en thérapeutique. Le
professeur
de climatalogie d'Edimbourg, bien connu par ses v
on faite dans l'état d'hypnotisme. Contrairement à l'opinion de M. le
professeur
Merzejevski cro*is que c'est dans la grande hysté
ndormir 10 malades sur 100, on en rencontre d'autres qui, comme M. le
professeur
Bernheim, arrivent à provoquer l'hypnose chez So
vancement de. sciences a remis solennellement à M. le docteur Gariel.
professeur
de physique à la Faculté de médecine de Paru et s
en elles ont une virtualité de développement et de généralisation. Le
professeur
Wille, comme nous le dirons tout à l'heure, a exp
Société médico-psychologique de Berlin, par Jastrow et Sander (2) Le
professeur
Berger, (5) de Breslau allait beaucoup plus loin
nutes ce qui a lieu jusqu'à 5 heures 1 2 du soir. A ce moment MM. les
professeurs
Mazaïl et Lojan. les Audiffrent, Jourdan, Rubino,
s petites espèces animales. Leçons sur l'Hypnotisme a Gènes M. le
professeur
Henri Morselli qui. depuis décembre 1889. est pas
NOUVELLES Cours — CLINIQUES DES MALADIES DU SYSTÉME NERVEUX. —M. le
professeur
Vendredi, a 9 h, l/j (a la Salpétricre), CLIm
hirurgie moderne, il se trouva à la société de chirurgie, d'émi-nents
professeurs
qui dirent : « Cette opération rentre dans l'attr
Ségard, à Toulon, ni M. le Dr de Schrenck N'otzing (de Munich), ni le
professeur
Forel (de Zurich), ni le 1> Ladame (de Genève)
e professeur Forel (de Zurich), ni le 1> Ladame (de Genève), ni le
professeur
Kraft Ebing (de Vienne), ni le professeur Hirt(de
; Ladame (de Genève), ni le professeur Kraft Ebing (de Vienne), ni le
professeur
Hirt(de Brcslau), ni le D-* Tuckey (de Londres),
i me consolent de bien des sourires dédaigneux. Je proteste, dit le
professeur
Ewald. contre la qualification de médicale donnée
storique de la question ait été fait d'une façon magistrale par M. le
professeur
Liégeois dans son livre si instructif, à tant d'é
e.) LE SOMMEIL SIMULÉ CHEZ LES ALIÉNÉS Par le docteur G. BALLET
Professeur
agregé oàla Faculté de Médecine Médecin des Hôp
au ,n°11 de la salle Saint-Charles, à l'Hôtel-Dieu, service de- M. le
professeur
Proust (1). Cet homme avait été apporté la veille
S VARIATIONS DE LA PERSONNALITÉ DANS LES ÉTATS HYPNOTIQUES Par le
professeur
A. Pitres, doyen de la Faculté de Bordeaux. Dan
s quand on lui suggère qu'il est jeune ou vieux, paysan ou général,
professeur
d'écriture ou docteur en médecine, etc? « En même
TABBl'RlSl • Sulla ratura dei (erxmeni «orretici nell' ipnotismo. [
Pr.
¦-.¦risentale dì frenit- Iria. Fate. HI. 1S90).
ppel au concours d'un des hommes compétents, médecins des hôpitaux ou
professeurs
agrégés de la Faculté, qui, i Paris, se sont rall
être de l'École de Nancy en résidant à Paris. H parait même que M. le
professeur
Beaunis, que ses travaux retiennent a Paris penda
ARIATIONS DE LA PERSONNALITE DANS LES ÉTATS HYPNOTIQUES Par M. le
professeur
A. PITRES, doyne de la Faculté de Bordeaux Suite
ie. Le plus connu est celui qui .1 été étudié par mon collègue, M. le
professeur
Azam (2), sur une malade de Bordeaux, àgèe aujour
de la personnalité que j'ai donné, d'après, les indications de M. le
professeur
Espinas, le nom d'eemmene. Mes premières observ
ue M. Bottey n'ait été inspiré dans ses recherches par les écrits des
professeurs
de l'Ecole de Nancy. Lorsque son livre parut. M.
s des professeurs de l'Ecole de Nancy. Lorsque son livre parut. M. le
professeur
Liégeois avait déjà communiqué à l'Académie des s
interprétation, à des conclusions à peu près identiques. Ainsi, M. le
professeur
Beaunis, qui a étudié avec beaucoup de soin le de
. le profr Brouardel. 1« Dans sa déposition au procès Gouffé, M. le
professeur
Brouardel dit ce qui suit : - Nous avons lu. dans
our dégager la vérité. Dr BKRMtKIU. I.'*>; ; ¦.].,!¦. de M. le
professeur
DcIIkciiI. Vous me demandez mes idées sur le ca
hirurgie moderne, il se trouva, à la Société de Chirurgie, d'émiueuts
professeurs
qui dirent : Cette opération rentre dans les attr
étaire* nouvelles. II. — Dans le facultés de médecins : 1° Pour les
professeurs
, remplacer le traitement. qui fait d'eux de simpl
nous l'espérons — le triomphe des idées do nos deux maîtres, MM. les
professeurs
Charcot et Brouardel, à la défense, desquelles, d
iation s'introduisit dans le débat. Mais laissons la parole à M. le
professeur
Brouardel : • Nous aurions pu, dit-il, nous arièt
al, chaque nouvelle cause donnait raison à ses doctrines, M. Bemheim,
professeur
à la Faculté, fondait à Nancy, vers 1882, une Éco
berculeux, brightiques, rhumatisants, etc., etc. Entre les mains du
professeur
de Nancy, la suggestion acquiert une portée énorm
ne reste pas inactive ; elle a pour représentant attitré M. Liégeois,
professeur
à la Faculté de droit de Nancy, qui, lui aussi, d
ière conférence était faite à la Faculté de Médecine par M. Bertrand,
professeur
à la Faculté des Lettres. Elle avait pour sujet:
était habile par d'illustres médecins, qu'on y trouverait un corps de
professeurs
tout désignés, que la ville avait de splendides h
is MM. Charcot et Potain. qui ont leur service à l'hôpital à titre de
professeur
de clinique à la Faculté, conserveront ce service
de clinique à la Faculté, conserveront ce service tant qu'ils seront
professeurs
, c'est-à-dire jusqu'à l'âge de 70 ans. et même M.
n; M. Tarnler. né en 1828, et M. Le Fort, né en 1829, étant tous deux
professeurs
de clinique à la Faculté, peuvent garder leurs se
à Mes de Barlay et Deleener. MM. Masoîn et Delbœuf, respectivement
professeurs
à l'Université de Louvain et à celle de Liège, se
1er mai 1890.) ?itot(?.).— L'Hystérie mâle dans le service de M. le
professeur
Pitres, à l' hôpital Saint-André de Bordeaux. In-
instituées par M. Mesnet à l'Hotel-Dieu, en collaboration avec M. le
professeur
Tillaux et M. le Dr Garnier, prouvaient qu'il est
travaux méritent une mention particulière, nous devons citer MM. les
professeurs
Forel, de Zurich ; Masoin, de Louvain; MM les Dr&
soulevée en 1888, à l'Académie royale de Médecine de Belgique, M. le
professeur
Masoin, à l'appui de son rapport sur l'Opportunit
, nous en avons observé un assez grand nombre. » L'opinion de M. le
professeur
Charcot, si l'on s'en tient au texte exact de ses
encore qu'il est établi par l'instruction, par la déposition de M. le
professeur
Brouardel, que c'est à la suite d'une consultatio
e correspondant écrit ceci : * MM. Masoin et Delboenf, respectivement
professeurs
à l'Université de Louvain et â celle de Liège, se
gné]: A. Liébeault. » Certilicat de M. Liégeois : « Je soussigné,
professeur
à la Faculté de Droit de Nancy, après un examen s
ce certificat : • Vous me priez d'ajouter mon témoignage à celui des
professeurs
de Nancy en ce qui concerne le sieur Vandevoir. L
dacteur, l'assurance de mes sentiments bien dévoués. J. Dblbœl-p, .
Professeur
a l'Université de Liège. Un mot sur l'affaire L
, rue de Moscou. Enseignement de l'Hypnotisme. M. le Dr Déjérine,
professeur
agrégé à la Faculté de Médecine de Paris, a fait
l'Hospice des Enfants assistés, dans le service de clinique de M. le
professeur
Grancher, une leçon sor les applications pratique
1891. Levillain (Dr fernand). — La Neurasthénie, avec une préface du
professeur
Charcot, et suivie d'une Notice thérapeutique,
ee du cours de Gynécologie à l'Université de Liège et M. J. delbœuf ,
professeur
à la même Université La patiente qui fait le su
avant son mariage, a été souvent hypnotisée en l'année 1886 par M. le
professeur
Delbœuf. en vue d'expériences sur la mémoire et l
alysait même les mouvements du bras, M. Von Winivarter, mon collègue,
professeur
de clinique chirurgicale, le lui (I) G. Chaigne
Le travail chimique nous fournit partout d'abondantes effluves. Un
professeur
de chimie de Vienne, sensitif, et qui. malheureus
exposé le résultai de nos recherches faites dans le service de M. le
professeur
Charcot sur la nutrition dans l'hynoptisme. Celle
' F. Levillain, ancien élève de la Salpètrière. — Avec une préface du
professeur
Charcot et suivie d'une notice thérapeutique par
i fait loujours honneur au maître dont il se reconnaît l'élève, H. le
professeur
Charcot, el une richesse de détails qui dénote un
peut espérer un succès que lui assure encore une élogieuse préface du
professeur
Charcot. Mais ce n'est pas tout : le neuropatho
; 3a Sens musculaire. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Lettre de M. le
professeur
Masoin au sujet des guérisseurs de ? raine-le- Cn
ires qu'appelle l'attitude de M. Delbœuf. Agréez, etc. E. Masoin.
Professeur
& l'Université de Louviin. Enseignement de
nférences de médecine légale, faites à la Faculté de Droit, par M. le
professeur
Lacassagne et M. le Dr Henry Contagne, M. le Dr R
professeur Lacassagne et M. le Dr Henry Contagne, M. le Dr R. Dubois,
professeur
à la Faculté des Sciences, va continuer la série
urs de psycho-physiologie. Institut pstchiatrique de Gênes. — M. le
professeur
Morselli a créé à Genes un institut psychiatrique
ident ; G. Ballet, agrégé à la Faculté de Médecine de Paris; Beaunis,
professeur
a la Faculté de Médecine de Nancy; L. Marinier, m
tre de conférences à l'École pratique des Hautes Études ; Ch. Rlcbet,
professeur
à la Faculté de Médecine de Paris, et le colonel
. — Formulaire de Médecine pratique, avec une lettre-préface de M. le
professeur
Peler; in-8°, 566 pages. — Société d'éditions sci
de le Dr Wetterstrand, de Stockholm, d'après la relation que donne le
professeur
Forel, de Zurich, dans un livre dont je ne saurai
caractéristique de l'état hypnotique. Les conclusions de l'éminent
professeur
de la Faculté de Paris lui ont été évidemment ins
ces Du somnambulisme spontané avec double personnalité, par M. le
professeur
Chabcot (1). M. le professeur Charcot a examiné
avec double personnalité, par M. le professeur Chabcot (1). M. le
professeur
Charcot a examiné à sa clinique deux malades extr
un banquet. Les adhésions à ce banquet doivent être adressées à M. le
professeur
Liégeois, à Nancy, avant le 23 mai. Nous avons
y gagner. Amnésie rétrograde. Notre éminent collaborateur, M. le
professeur
Azam, de Bordeaux, communique le fait suivant à l
une démonstration des doctrines de l'Ecole de Nancy, faite par M. le
professeur
Bernheim. Le soir, ils se sont retrouvés dans un
de Dublin; Lloyd-Tuckey, de Londres; van Eeden, d'Amsterdam; de M. le
professeur
Beaunis, de Nancy; de M. le professeur Forel, de
n Eeden, d'Amsterdam; de M. le professeur Beaunis, de Nancy; de M. le
professeur
Forel, de Zurich; de MM. les docteurs Bertin. d
primaient leurs regrets de ne pouvoir assister A cette réunion. M. le
professeur
Liégeois a montré toute la valeur de la flatteuse
: Dr Mol), de Berlin. — Dr Schrenk Notzîng, de Munich. _ Dr Prayer,
professeur
a l'Université de Berlin. —Dr Schuster, d'Aix-la-
erlin. —Dr Schuster, d'Aix-la-Chapelle. Autriche : Dr Krafft-Ebing,
professeur
à l'Université de Vienne. Belgique : M. Oelbceu
Ebing, professeur à l'Université de Vienne. Belgique : M. Oelbceuf,
professeur
à l'Université de Liège. — Dr Van Velsen, de Mali
e psycho-thérapique de Bruxelles. Brésil : Dr Joachim di Figueiras,
professeur
à la Faculté de Rio—de—Janeiro. Canada : Dr Hub
Dr Hubert Neilson, médecin-major à Kingston. Espagne : D' Herrero,
professeur
à la Faculté de Vallado !îd. États-Unis : Dr An
e : Dr Bérillon, directeur de la Revue de l'Hypnotisme. — Dr Bemheim,
professeur
a la Faculté de Nancy. — Dr Beaunis, professeur à
otisme. — Dr Bemheim, professeur a la Faculté de Nancy. — Dr Beaunis,
professeur
à la Faculté de Nancy. — Dr David, de Sigeau (Aud
cy. — Dr David, de Sigeau (Aude). —- Dr Dejérine, médecin de Bicêtre.
professeur
abrégé a la Faculté de Paris. — Dr Dumontpallier,
rt. — Dr Paul Magnin, de Paria. — Dr Roth, de Divonne. — M. Liégeois,
professeur
à la Faculté de Droit de Nancy. — M. Legall, de P
ar, médecin-major, d'Amsterdam. — Dr de Jong. Italie : Dr Morselli,
professeur
à l'Université de Gènes. — Dr Sinclair-Thomson, d
elander, de Yonkoping. — Dr B uunberg, d'Upsala. Suisse : Dr Forel,
professeur
à l'Université de Zurich. — Dr George Ringier, de
me réuni on, je ne disais la part, et elle est grande, qui revient au
professeur
Bernhtin dans la vulgarisation de la doctrine thé
r Lièbeault. — Qui de cous ne se rappelle les remarquables travaux du
professeur
Bernheim sur la suggestion à l'eut de veille et d
dans l'clat somnambulique provoqué. Le traité : De la Suggestion, du
professeur
de clinique médicale de Nancy; ses savantes : Leç
eignement du maître a répandu la parole du créateur de la méthode. Lo
professeur
Bernheim a donc bien mérité la reconnaissance des
ntérêt des malades. A. cèle de M. Bernheim, nous devons réserver au
professeur
de l'Ecole de droit de Nancy, M- Liégeois, un tri
. d'Amsterdam; Cruise, de Dublin, et Kingsbury, de Blackpool. M. le
professeur
Bernheim a ensuite levé son verre en l'honneur de
, AVEC PRÉDICTIONS ET LUCIDITÉ Par il. le docteur a- i >t PoREL,
professeur
i l'Université de Zurich. Je fus chargé par les
fois par MM. Charcot et Bouchard, en 1866, (1J et sur lesquels M. le
professeur
Pitres a de nouveau attiré l'attention (1) Char
ez l'homme dans le tabès et dans la paralysie générale. Trousseau, le
professeur
Charcot ont signalé parmi les troubles gënito-uri
NTPALLIER. médecin de l'Hôtel-Dieu; Van EEDEN (d'Amsterdam); GRASSET,
professeur
à la Faculté de Montpellier; LAGELOUZE; KINGSBURY
, méd. de l'Asile de Lafond; Paul MAGN1N: MOLL tde Berlin!; MORSELLI,
professeur
à l'Université de Gènes; RAFFEGEAU (du Vésinet);
s de l'instinct de reproduction chez les oiseaux, par M. E. Caustier.
professeur
agrégé de l'Université, p. 25. III. — CHRONIQUE
aux deux éditions de la clinique médicale de l'Hôtel-Dicu de Paris du
professeur
Trousseau, et faisait à l'École pratique un c
un maître. « Quand l'hypnotisme devint officiel entre les mains du
professeur
Charcot, il ne se plia pas aux idées reçues, mais
a entendu l'un de ses membres les plus autorisés, M. Edmond Perrier,
professeur
de Zoologie au Muséum, rendre publiquement hommag
de l'instinct de reproduction chez les oiseaux. Par M. E. Caustier,
professeur
agrégé de l'Université. Parmi les légendes qui
Caire, M. le Dr Auguste Voisin, médecin de la Salpétrière, M. Boirac,
professeur
au lycée Condorcet, M. le Dr Apostoli, M. le Dr B
r de la Revue médicale, MM. les Drs Valentin, Lagelouze, M. Caustier,
professeur
agrégé de l'Université, MM. les Drs Bilhaut, Colt
l'homicide doit être attri- cuscs, parmi lesquelles celles de M. le
professeur
Pitres, de M. Alfred Robin, médecin de la Pitié,
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
fois par l'idée qui a présidé à la création du musée psychologique du
professeur
Mantegazza, à Florence, et à celle du musée de ps
zza, à Florence, et à celle du musée de psychiatrie criminologique du
professeur
Lombroso, à Turin. Ce musée, dont nous annoncio
un sentiment de vif regret que nous apprenons la mort de M. Delbœuf,
professeur
ordinaire à l'Université de Liège. L'œuvre scient
ongrès. La Faculté de Médecine de Paris étaient représentée par M. le
professeur
Richet ; la Sorbonne par MM. Philippe, Courtier e
llemagne, entraine les esprits vers les questions philosophiques. Les
professeurs
Lipps et Stümpf, de Berlin, Eb-binghaus, de Bresl
primé ces tendances générales dans d'éloquents discours. Enfin, M. le
professeur
Charles Richet, toujours bien inspiré, a synthéti
s qui abaissent la dignité humaine. Les sentiments exprimés par M. le
professeur
Charles Richet (1), ont dignement clôturé les ass
ons dans noire prochain numero, te portrait cl la biographie de M. le
professeur
Charles Richet. empereur, président de républ
es-mêmes, opèrent seules. * * * Pour en revenir au cas de M. le
professeur
Dorobetz, le problème posé est de savoir s'il y a
uer que le prestige scientifique des grands médecins consultés par le
professeur
Dorobetz, et dans le savoir desquels il devait av
e, puisse réaliser des guérisons tout aussi surprenantes que celle du
professeur
Dorobetz, c'est certain ; on n'a qu'à parcourir l
édifié là-dessus. S'ensuit-il nécessairement de là que la guérison du
professeur
Dorobetz soit suggestionnelle? Pas le moins du mo
et simplement des paroles, mais des paroles d'incantation. Que M. le
professeur
Dorobetz en prenne son parti, c'est à cette derni
t instructif relevé par le British médical Journal dans le Rapport du
professeur
Kogevnikoff, qui cherche à démontrer que la cure
ris et me trouvais rue de la Sorbonne, dans un café tenu par Gibelin,
professeur
de billard, dans une salle du fond attenant à une
es suivants : « Mon cher maître, vous n'avez pas autour de vous des
professeurs
, selon la formule employée pour désigner ceux qui
ntre eux ne soient des maîtres. Si l'on s'en tient à la définition du
professeur
moderne, donnée récemment par M. le professeur Lé
ent à la définition du professeur moderne, donnée récemment par M. le
professeur
Lépinc, de Lyon, et qui est la suivante : « Profe
ment par M. le professeur Lépinc, de Lyon, et qui est la suivante : «
Professeur
veut dire chercheur ; faire des découvertes est l
la meilleure manière d'enseigner, » ces confrères sont de véritables
professeurs
. Tous, en effet, ont attaché leur nom à une décou
t consacrés à la libre recherche de la vérité scientifique, » M. le
professeur
Chéron, dans le service duquel les premières appl
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
e quatrième Congrès aura lieu en 1900, à Paris, sous la présidence du
professeur
Ribot. M. Ch. Hichet remplira les fonctions de vi
endre part au congrès de Moscou. Notre éminent collaborateur, M. le
professeur
Bernheim, a été acclamé comme président. MM. Gras
ptembre 1896. LES MAITRES DE L'HYPNOTISME ET DE LA PSYCHOLOGIE Le
professeur
Charles Richet M. Charles Richet est né à Paris
s Richet M. Charles Richet est né à Paris, le 26 Août i85o. Fils du
professeur
de clinique chirurgicale A. Richet, bien connu de
de la Revue scientifique depuis 1878, il est à coup sûr l'un des
professeurs
les plus distingués de la Faculté de Paris. Apr
chologie française. En 1885, il eut ridée de grouper, sous l'égide du
professeur
Charcot, tous les savants français qui poursuivai
ir. Il n'en était plus de même après la démonstration faite par M. le
professeur
Bernheim, que certains sujets suggestibles peuven
y a quelques jours, à l'asile d'aliénés de Burgholzli (Zurich), M. le
professeur
Forel, nous faisait assister à une scène d'halluc
L'ÉTALAGE ET DANS LES GRANDS MAGASINS (1) Par le D' a. Lacassaqxe,
professeur
à l'Université de Lyon. Les vols dans les grand
ission de trente-trois membres. Plus tard, de 1871 à 1874, le célèbre
professeur
William Crookes en fit un certain nombre d'expéri
es de l'hypno- tismc, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
vols dans les grands magasins.— Après la lecture du rapport de M. le
professeur
Laccassagne que nous publions plus haut sur les v
he, la question a fait un pas de plus. Al'instigation de M. Lammasch,
professeur
de droit pénal à l'Université de Vienne, le Dr Pa
des hôpitaux de Bordeaux, de M. le Dr Victor Levèque, de M. Davoise,
professeur
au collège de Pont-à-Mousson, de M. le Dr Henry A
jugement aussi important, nous sommes un peu étonné d'entendre M. lo
professeur
Brouardel, dont la voix autorisée domine cependan
adopté. La correspondance comprend des lettres d'excuses de MM. les
professeurs
Raymond, Charles Richer, Jules Soury; de MM. les
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
la ménopause. Jeudi II Février, à cinq heures, M. Eugène Caustier,
professeur
agrégé de l'Université, fera une conférence sur :
ALCOOLIQUE considéré surtout au point de vue médico-légal Par le
Professeur
Xavier Francotte, de Liège. Sous le nom de Somn
mais même la rétention, ainsi qu'il en a été relaté un cas par M. le
professeur
Richet à la Société de Biologie en 1887. Note
887. Note sur le sommeil provoqué à distance. Par M. E. Boibac,
professeur
de philosophie au Lycée Condorcet. Comment se p
: ceux-là se trompent qui, se hâtant de la fermer, déclarent, avec le
professeur
Bernheim, que la suggestion est la clef de tous l
prétation. RECUEIL DE FAITS Sur un cas de somnambulisme Parle
Professeur
R. Lépine, de Lyon. J'ai pu de nouveau cette an
tion de la Société susdite, sous la présidence du Docteur C. Winkler,
professeur
de psychiatrie et de neurologie à l'Université d'
es de l'hypno- tisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
la ménopause. Jeudi 11 Février, à cinq heures, M. Eugène Caustier,
professeur
agrégé de l'Université, fera une conférence sur :
11e ANNEE. — ? 6. Décembre 1896. UNE VIE DE SAVANT : DELBŒUF
Professeur
à l'Université de Liège, Par M. J. Liégeois, pr
: DELBŒUF Professeur à l'Université de Liège, Par M. J. Liégeois,
professeur
& l'Université de Nancy. Le 13 août 1896, s
st éteint, à Bonn, des suites d'une douloureuse maladie, M. Delbceuf,
professeur
à l'Université de Liège, à qui des travaux nombre
male des Sciences de cette ville. Trois ans plus tard, il était nommé
professeur
ordinaire à l'Université de Liège, chargé du Cour
e, signée de noms Les études qu'à différentes reprises, le savant
professeur
de Liège a consacrées à d'importantes questions d
umain, résumé de recherches faites de concert avec M. Léon Frédéricq,
professeur
de physiologie à l'Université de Liège. Les aut
ière 1 ». Quelques jours plus tard, dans le même recueil2 M. Giard,
professeur
à la Faculté des Sciences de Lille, illustrait la
un million de fois plus volumineuse que le soleil 3. Le travail du
professeur
de Liège, que je viens de relire, la plume à la m
es articles, notre auteur rappelle que, en 1877, M. Boussinesq, alors
professeur
à la Faculté des Sciences de Lille, annonça qu'il
du volume de M. Boussinesq5. La philosophie mathématique du savant
professeur
de Lille ne passa pas sans protestations. En sept
e Médecine. » Nous soumettons ce qui précède aux. élèves intimes du
professeur
Charcot. Nous serions heureux d'apprendre ce qu'i
interprètes avait eu le mauvais goût de se faire la tête du regrette
professeur
Charcot. Ajoutons, pour être complets sur cet i
rmais, par la lugubre évocation physique d'un grand mort. Un aliéné
professeur
. Un malade de M. Kraft Ebing, lequel occupe, co
ale, a fait dernièrement une leçon d'une heure devant les élèves du
professeur
. Le malace, qui est atteint de crises périodiqu
dans l'amphithéâtre, est monté avec gravité dans sa chaire. Quand le
professeur
lui demanda le sujet de la leçon, il répondit qu'
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
la ménopause. Jeudi 11 Février, à cinq heures, M. Eugène Caustier,
professeur
agrégé de l'Université, fera une conférence sur :
11e année — N° 7. Janvier 1897. UNE VIE DE SAVANT : DELBŒUF
Professeur
à l'Université de Liège, Par M. J. Liégeois, pr
DELBŒUF Professeur à l'Université de Liège, Par M. J. Liégeois,
professeur
à l'Université de Nancy. (suite et fin) IV En
vis émis, il y a quelques années, dans la Médecine moderne, par M. le
professeur
Déjerine, de la Faculté de Paris2. 1. Les passa
pnotisme et la liberté des représentations publiques, lettres à M. le
professeur
Thiriar, membre de la Chambre des Députés, qui av
é aux altérations de l'organe visuel, en collaboration avec MM. Nuel,
professeur
à l'Université de Liège, et le D' Leplat, ancien
iences très intéressantes, dans lesquelles Delbœuf, assisté de MM. le
professeur
Nuel et le Dr Leplat, a entrepris d'améliorer, pa
ne dirai ici que quelques mots, pour expliquer en quoi la doctrine du
professeur
de Liège diffère de celle de l'Ecole de Nancy.
A cette doctrine s'oppose celle de l'Ecole de la Salpêtrière, dont le
professeur
Charcot était naguère encore le chef incontesté.
a abordée. Voici la liste des principaux passages où les opinions du
professeur
de Liège sont discutées, combattues ou approuvées
ière et de l'esprit, font avancer la civilisation Jules Liégeois.
Professeur
à l'Université de Nancy. 1.. Au moment où nous
vons de corriger les épreuves de cette étude, nous recevons, de M. le
professeur
Forel, de l'Université de Zurich, la Notice qu'il
ologie criminelle (de Genève). Il prononce ensuite l'éloge de M. le
professeur
Delbceuf (de Liège), récemment décédé. Il signa
iquez, O. Jennings, Armand Paulier, Vrain, H. Lemesle, Hartenberg, le
professeur
Boirac, M. Boutroue, etc.; MM. les Drs Toutain Br
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
de la ménopause. Jeudi 11 Février, à cinq heures, M. Eugène Caustier,
professeur
agrégé de l'Université, fera une conférence s
l'habitude de la morphine. Parmi eux, nous pourrions citer plusieurs
professeurs
à lu Faculté de Médecine de Paris, des membres de
lus philosophes que médecins. Je viens d'y lire, signée de M. Boirac,
professeur
de philosophie au lycée Condorcet, une note sur l
ils échappent à ma compétence. Je ne voudrais proposer à l'estimable
professeur
de philosophie qu'une réflexion philosophique qui
avantage la machine, désagréger les forces, ébranler la raison ? Le
professeur
tirera, lui, de ses expériences, un profit de glo
Mais est-il permis d'opérer sur une créature humaine ? M. Boirac est
professeur
de philosophie. Qu'il réponde ! » Sganarelle.
e et très subtile discussion entre mon collègue et ami M, Dariu et le
professeur
Delbœuf : l'un, champion de la science, l'autre,
is pas à vous personnellement. -Car j'étais par avance persuadé qu'un
professeur
de philo- sophie ne se laisserait point empor
es dé l'hypno- tisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
— Traitement par la suggestion indirecte. — Guérison (1). Par M. le
professeur
Spehl, médecin de i'hôpital Saint-Pierre, à Bruxe
seul accès et il n'a plus souffert de la tète. Parallèlement, M. le
professeur
Spehl fit observer que l'état intellectuel de Léo
les, qui sont, en somme, elles aussi, des réflexes. On a objecté au
professeur
Spehl que le succès de son traitement pouvait êtr
e indication. Traitement.— Avant son entrée-dans le service de M-le
professeur
Spehl, et dès le début de l'affection, le malade
Ce traitement a été suivi pendant ô ans, sans interruption. M. le
professeur
Spebl supprima radicalement le bromure, et fit ap
au Et je le berce. Quand il sera grand il lira sur la planche Et le
professeur
l'instruira. Mon chéri est parmi les garçonnets
ogie physiologique et pathologique et sur l'hypnotisme. Une année, le
professeur
étudie l'hypnotisme envisagé dans ses application
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
osti, un Comité « des logements n fonctionne à Moscou, présidé par le
professeur
Schar-vinsky ; un Comité « pour la réception des
r-vinsky ; un Comité « pour la réception des invités » présidé par le
professeur
Korsakolï ; un Comité de dames présidé par Mme Sk
qu'il désignait sous le nom de phénomènes de phréno-hypnotisme. Le
professeur
Romanes, dans le Nineteenth Century, du mois de s
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins
de 12 ans, fut adressé à notre clinique par M. le docteur Manouvrier,
professeur
à l'Ecole d'anthropologie. Jusqu'à Page de 6 ans,
es, mais par les suggestions qu'elles déterminent » ; et il citait le
professeur
Simpson qui avait prouvé qu'une certaine solution
'explique très naturellement de la façon suivante : Un zélé et ardent
professeur
le prescrit en haute confiance de son efficacité
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patrogage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
e et d'inhibition. Cette loi de Vidéo-dynamisme a été posée par M. le
professeur
Bernheim et étayée par lui d'exemples probants au
té allemande d'anthropologie, puis tout récemment par M. Cari Stumpf,
professeur
de philosophie à l'Université de Berlin, membre d
... 46 7 Négociants....... 57 8,7 Sans profession .... 100 15,5
Professeurs
...... 3 0,4 Magistrats....... 4 0.6 Employés.
1,5 Femmes de négociants . 12 3,4 Sans profession..... 151 43,1
Professeurs
....... 10 2,8 Employées...... 8 2,2 Ouvrières
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
série animale (l'évolution de l'), par M. Caustier, 314. Aliéné
professeur
(un), 188. Attentat contre le Dr Charpentier, m
tion, par le Dr Dumont-pallier, 113. Savant (une vie de) : Delbœuf,
professeur
a l'Université de Liège, par J. Liégeois, 161, 19
r Le Menant des Chesnais, 23. Somnambulisme (sur un cas de), par le
professeur
Lépine, 154. Somnambulisme diurne, troubles du
FIGURES CONTENUES DANS LE VOLUME Le Docteur Dumontpallier, 1. — Le
Professeur
Ch. Richet, 65. Schémas de la volonté. 18, 19. —
NTPALLIER, médecin de l'Hôtel-Dieu; Van EEDEN (d'Amsterdam); GRASSET,
professeur
à la Faculté de Montpellier; LAGELOUZE; KINGSBURY
méd. de l'Asile de Lafond ; Paul MAGNIN ; MOLL (de Berlin); MORSELLI,
professeur
à l'Université de Génes; RAFFEGEAU (du Vésinet ;
ême temps en cause dans votre important débat médico-légal avec M. le
professeur
Delbœuf, je me crois tenu de préciser mon opinion
on d'alors. Ce verdict fut et demeure entièrement affirmatif. M. le
professeur
Delbceuf est persuadé que nous sommes tombés làda
tionnels spontanés. Arrivons à l'examen de l'argumentation de M. le
professeur
Delbceuf. *** Votre antagoniste prend une à u
cette suppositon incompréhensible. Et d'autre part, que dira M. le
professeur
Delbceuf si on le prie de remarquer que ce pouvoi
, et avec une rare inintelligence, ce qui cadre mal avec ce que M. le
professeur
Liégeois nous apprend de Mlle E..., qui n'aurait
criminelles, par J. Delbœit, membre de l'Académie royale de Belgique,
professeur
à l'Université de Liège ( Extraits dos Bull, de l
ggestion (1) De la suggestion et du somnambulisme, par M. Liégeois,
professeur
à la faculté de droit do Nancy, 1 gros in-12, Par
nuances d'état mental se dessinent chez les hypnotisés. *** M. le
professeur
Delbœuf qui, après avoir épousé la doctrine de Na
u moins consciente ou inconsciente de la part de l'hypnotisé. M. le
professeur
Delbœuf nous apprend qu'il a rencontré une (l)
séance du 4 mars dernier par l'organe autorisé de M. Edmond Perrier,
professeur
de zoologie au Muséum. Quantum mutât us ab illo!
re, mon opinion sur l'imposante question débattue entre vous et M. le
professeur
Delbœuf, je ne fais que rééditer une profession d
pnotisme. M. le président met aux voix la candidature de M. Thomas,
professeur
de philosophie au lycée Hoche, de M. Max Dessoir,
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
Liège, à l'effet d'organiser une manifestation en l'honneur de M. le
professeur
Nuel, à l'occasion de sa récente nomination de ch
apeutique de l'organe visuel instituées par notre collaborateur M. le
professeur
Delbœuf. Belgique. — Nous apprenons avec un vif
rai pu d'emblée, sans sommeil préalable, les lui faire réaliser. Le
professeur
Delbœuf de Liège a écrit récemment dans la Revue
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
e hystérique ; guérison par la suggestion Par M. le Docteur Desplats,
professeur
à la Faculté libre de Lille. J'ai présenté, il
que le 28 mai 1894 ce malade avait été admis dans le service de M. le
professeur
Duret, après une chute, et qu'on avait diagnostiq
a suggestion thérapeutique. Deuxième conférence clinique, par M- le
professeur
Bersiieiu, de Nancy. Pour que la suggestion exi
ier. Parmi les nombreux assistants nous pouvons citer M. Mourly Vold,
professeur
de philosophie à l'université de Christiania ; M.
ania ; M. le D' Auguste Voisin, médecin de la Salpêtrière; M. Boirac,
professeur
de philosophie au lycée Condorcet; M. Eugène Dela
savants étrangers qui assistent au banquet, et en particulier à M. le
professeur
Mourly Vold. M. Mourly Vold porte un toast à
nt les paroles lui ont rappelé l'enseignement d'un maître éminent, le
professeur
Trousseau, qui avait prévu la révolution qui s'ac
asts par des discours applaudis. L'hypnotisme et la presse. M. le
professeur
Bernheim ayant relaté, dans la Revue médicale de
e de cette communication pour formuler diverses attaques contre M. le
professeur
Bernheim, lui reprochant d'avoir hâté la mort du
ournaux de Nancy, a provoqué une vive effervescence dans le monde des
professeurs
et des étudiants de cette ville. Pendant plusieur
à Saint-Pétersbourg, où il existe une grande école de massage dont le
professeur
est aveugle. Dans l'espoir de créer un débouché p
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés,. est destiné à fournir aux médecins et
disposition des étudiants inscrits. Académie de médecine. — M. le
professeur
Azam, de Bordeaux, qui fut un des premiers collab
. — M. le docteur F. Meschede, privat-docent de psychiatrie,est nommé
professeur
extraordinaire. Faculté de médecine de Wurlzbou
ire. Faculté de médecine de Wurlzbourg. — M. le docteur K. Iïieger,
professeur
extraordinaire de psychiatrie, est nommé professe
cteur K. Iïieger, professeur extraordinaire de psychiatrie, est nommé
professeur
ordinaire. Congrès des aliénistes. — Au banquet
Oongrès a répondu immédiatement par le télégramme suivant : Korsakow,
professeur
de psychiatrie, Université de Moscou. « Le bureau
roisième conférence clinique sur la suggestion thérapeutique Par le
Professeur
Bernheim, de Nancy. La suggestion, dit-on, n'a
à la Cour de Cassation, de M. le Dr Max Nordau et de M. Mourly Vold,
professeur
de philosophie à l'Université de Christiania. M
onneur de la Société : MM. le Dr Durand de Gros et de M. Mourly Vold,
professeur
à l'Université de Christiania. Cette proposition
e mouton. Durant le rude hiver que nous venons de traverser, dit le
professeur
Dewar, on a cité plusieurs exemples de moutons en
cours sur épreuves. Le Progrès médical extrait d'une leçon de M. le
professeur
H. de Lacaze-Duthiers, ancien interne des hôpitau
s ses interstices. Dans ces conditions, M. le docteur O. Rosenbach,
professeur
extraordinaire de médecine interne à la Faculté d
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
r l'hypnotisme. [Revue Méd. de la Suisse Rom., Avril 1895).. Pdchs (
Pr.
) — Ueber die Bedentùng der Hypnose in forensische
enir la permission du Président, qui sera enchanté de l'accorder à un
professeur
français. » Je m'empressai d'accepter, et fus b
eut souvent réaliser des merveilles. On ne saurait trop féliciter les
professeurs
de l'Ecole dentaire du succès de leurs efforts. L
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
aculté de Médecine : Clinique des maladies du système nerveux,— M. le
professeur
Raymond a commencé le cours de clinique des malad
linique des maladies mentales et des maladies de l'encéphale. — M. le
professeur
Joffroy a commencé le cours de clinique des malad
mercredis et samedis suivants à la même heure. Physiologie. — M. le
professeur
Ch. Richet a commencé le cours de physiologie le
tômes que nous avons pu observer chez des malades du service de M. le
professeur
Wannebroucq. Une observation des plus curieuses
e fille que nous avons également pu examiner dans le service de M. le
professeur
Wannebroucq, les symptômes étaient aussi curieux
Une nouvelle méthode d'expérimentation en hypnologie par M. Boirac,
professeur
de philosophie Je poursuis depuis près d'un an,
habituel qui, aidé de celui de son administration, s'adressa à M. le
professeur
Raymond à la Salpétrière. Le sujet examiné ne p
Le Comité de réception est ainsi composé : Président : Dr Lipps,
professeur
à la Faculté de philosophie ; Secrétaire général
tzing ; Trésorier : Ernst Retter. Membres du Comité : Dr Grashey,
professeur
à la Faculté de Médecine; Dr Rüdinger, professeur
omité : Dr Grashey, professeur à la Faculté de Médecine; Dr Rüdinger,
professeur
à la Faculté de Médecine ; Dr J. Ranque, professe
ine; Dr Rüdinger, professeur à la Faculté de Médecine ; Dr J. Ranque,
professeur
à la Faculté de philosophie; Dr Graetz, professeu
ne ; Dr J. Ranque, professeur à la Faculté de philosophie; Dr Graetz,
professeur
de physique à l'Université; Dr von Kersehensteine
ish; Dr Weinmann; C. Kabish. Le Congrès sera présidé par M. Stumpf,
professeur
à la Faculté de philosophie de Berlin. L'ouvert
I. PSYCHO-PHYSIOLOGIE S'adresser pour les renseignements à MM. les
professeurs
Rudinger et Graetz, Dr Cremer. a) Anatomie et p
IE DE L'INDIVIDU NORMAL S'adresser pour les renseignements à MM. le
professeur
Lipps, Dr Cornelius et Dr Weinmann. Buts. Métho
III. PSYCHO-PATHOLOGIE S'adresser pour les renseignements à MM. le
professeur
Dr Grashey, Dr de Schrenck-Notzing et M. Parish.
v. psychologie comparée S'adresser pour les renseignements à MM. le
professeur
Dr Ranke, Dr Hirth et Dr Fogt. Statistique des fa
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
ous empruntons les détails qui vont suivre : Le malade en question,
professeur
à l'Université de Moscou, est âgé de 30 ans, bien
mal, sauf une abondante desquamation. A propos de ce malade, que le
professeur
Kogevnikolï n'a pas eu en traitement mais qu'il c
es faits, l'absence de sentiments religieux, d'être un athée, etc. Le
professeur
Kogevnikoff, dans une lettre publiée dans les Mos
off acquiert une importance d'autant plus grande que l'autorité de ce
professeur
est plus considérable. Le professeur Kogevnikoff
plus grande que l'autorité de ce professeur est plus considérable. Le
professeur
Kogevnikoff est considéré, à juste titre, comme l
25me anniversaire de sa thèse de doctorat, les amis et les élèves du
professeur
Kogevnikoff lui ont dédié un recueil de travaux s
es d'origine musculaire ou optique (1) Par M. le Dr J. Mourly-Vold,
Professeur
à la Faculté des lettres de Christiania (Norvège)
(t) J'exprime toute ma reconnaissance à M. le docteur Sopus Torup,
professeur
à la Faculté de Médecine de Christiania ; à M. le
les mêmes chez toutes les malades. Dans un autre cas observé par le
professeur
Bokai, les élèves d'un pensionnat do jeunes fille
James Hinshelwood, de Glasgow, (The Lancet, 21 décembre 1895.) Un
professeur
de langues, homme très instruit et très intellige
par fascicules de 80 pages, sous la direction de M. W. Bechterew,
professeur
et directeur de la Clinique des maladies mentales
neurologie et d'hypnologie, sous la direction de M. Xavier Francotte,
professeur
de clinique neurologique et psychiatrique à l'Uni
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
nal de Moscou est composé définitivement comme il suit : Président,
professeur
Klein; vice-président, professeur Kojevnikoff; tr
vement comme il suit : Président, professeur Klein; vice-président,
professeur
Kojevnikoff; trésorier, professeur Filatoff; secr
professeur Klein; vice-président, professeur Kojevnikoff; trésorier,
professeur
Filatoff; secrétaire général, professeur Erismann
seur Kojevnikoff; trésorier, professeur Filatoff; secrétaire général,
professeur
Erismann; secrétaires, professeurs Diakonoff, Thi
sseur Filatoff; secrétaire général, professeur Erismann; secrétaires,
professeurs
Diakonoff, Thikomiroff, Neydig; membres, professe
nn; secrétaires, professeurs Diakonoff, Thikomiroff, Neydig; membres,
professeurs
Ostroumoff et Korsakoff. OUVRAGES REÇUS A LA RE
rier 1896. A PROPOS D'UNE CURE MERVEILLEUSE OE SYCOSISO Par M. le
professeur
J. Delbœdf, de Liège. . La Revue rapporte, dans
rier au miracle lé monde ecclésiastique. Quelle aubaine si ce malade,
professeur
à l'Université de Moscou, au lieu d'aller, en com
e des pèlerins. A quoi, cependant, faut-il attribuer la guérison du
professeur
, désormais célèbre? Sans contredit, à l'influence
avaient parfaitement persisté. Je la conduisis chez mon collègue, le
professeur
von Winiwarter, qui, après l'avoir examinée avec
ant son traitement, il est venu plusieurs fois à la clinique de M. le
professeur
von Winiwarter, et les élèves ont pu constater se
ans la fièvre typhoïde et dans certains états psychiques. Par m. le
professeur
Bernheim (de Nancy) On observe très souvent dan
'autopsie pour l'élude des lésions du névrose, par le ?' J. Dèjerixe,
professeur
agrégé à la faculté de médecine de Paris, médecin
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
fagen (IX, page 117), le D'Ladislas Haskovcc public une notice sur le
professeur
Charcot. A la fin de l'article l'auteur donne une
uteur donne une bibliographie très complète des travaux de l'illustre
professeur
. Le nombre des mémoire énumérés est exactement de
cérébraux ou extra-cérébraux, dont parle M. L. Manouvrier, le savant
professeur
à l'Ecole d:anthropologie de Paris, dans un artic
ritable induction. « Il est universellement admis aujourd'hui, dit le
professeur
Mathias Duval, que les cellules nerveuses sont en
ésultats de l'habitude et de l'éducation. » (Voir la Communication du
professeur
Mathias Duval à la Société de Biologie, Revue de
conférence faite à la Salpêtrière, le 3 mai 1895, dans le service du
professeur
Raymond (Voir Revue de l'Hypnotisme, juin 1895).
physiologie de M)!. Frèdè-ricq et Nuel (1883). Voici ce que dit M. le
professeur
Nuel, p. 115 du tome II, à propos de ce qui se pa
isation, quelquefois même par un simple rêve suggéré ou non, comme le
professeur
Pitres de Bordeaux en rapporte un cas très curieu
se passe dans le sommeil naturel et chez l'homme qui dort,dit ??. le
professeur
Mathias Duval; les ramifications cérébrales du ne
ideurs, des paralysies, des douleurs. Voici comment s'exprime M. le
professeur
Bernheim à ce sujet, dans son livre : « de la sug
divers processus physiologiques et pathologiques; mais la doctrine du
professeur
Bernheim s'explique maintenant tout à fait, grâce
rayons du soleil. Les moutons même pourraient aussi ('), d'après le
professeur
Dewar, tomber en léthargie.Dix-huit moutons, perd
ologiques dc l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants etde
professeurs
autorisés, (1) Arch. méd. de Toulouse, I" janvi
t, renvoyant le lecteur à l'excellente page qu'a écrite à ce sujet le
professeur
Lëpixe de Lyon {Reçue de Médecine, 1894, page 727
s pourrait être illimité. L'Ecole dc médecine n'aurait à fournir aux:
professeurs
libres que la disposition, à des heures déterminé
ologiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants etde
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
en présence d'un auditoire très nombreux. Dans la première leçon, le
professeur
, après avoir rappelé la part qui revient à M. le
Nécrologie. — Xous apprenons avec un vif regret la mort de M. Marion,
professeur
de pédagogie à la Sorbonne. M. Marion portait un
tiblement vers le but entrevu en songe, si éloigné qu'il fût. M. le
professeur
Pitres, de son côté, a montré que bon nombre de p
action pathogène en action médicatrice. C'est ce qui a eu lieu. M. le
professeur
Pitres, s'appuyant sur certains exemples tirés de
rreur. Il résulte, d'expériences déjà nombreuses réalisées avec M. le
professeur
Pitres, que les obsédés proprement dits, pour la
ssique n'en fait mention. Dans les ouvrages récemment parus, celui du
professeur
Panas, quelques lignes sont consacrées aux effets
ologiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants etde
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
gusson, de M. le Dr Heligson, de Cleveland (Ohio), et de M. Gaustier,
professeur
agrégé de l'université au lycée Hoche. M. le pr
dent. La voyant arrivée près du terme de sa grossesse, je priai M. le
professeur
Pinard de la prendre dans son service, à la Clini
t représentera le prince régent. * Après le discours d'ouverture du
professeur
docteur Slumpf (de Berlin), président, des discou
octeur en philosophie à l'Université de Leipzig. Actuellement, il est
professeur
de psychologie expérimentale et directeur dc labo
ologiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants etde
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
. le Secrétaire général fait pari ù la Société de l'élection de M. Ic
professeur
Raymond à l'Académie do Médecine. La Société ducï
e nom fait autorité et parmi lesquels je citerai plus spécialement lo
professeur
Régis. Or, comme une vérité ne saurait jamais s
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants c: de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
ne commission d'organisation. Cette commission, convoquée par M. le
professeur
Garïel, délégué général des congrès, s'est réunie
9 un nombre/page> page n="36"> considérable de médecins, de
professeurs
de philosophie, de magistrats, d'avocats et de so
la Société d'hypnologie. Vice-Présiden te. MM. Dauriac (Lionel),
professeur
à la Faculté des lettres de Montpellier, charge d
té des lettres de Montpellier, charge de cours à Paris, le D' Grasset,
professeur
a In Faculté de médecine de Montpellier. Liégeois
Grasset,professeur a In Faculté de médecine de Montpellier. Liégeois,
professeur
à la Faculté de droit de Nancy. Melcot, avocat gé
philosophiques et sociales. Présidents d'honneur. MM. le Dr Azam,
professeur
honoraire à la Faculté de médecine de Bordeaux.
seur honoraire à la Faculté de médecine de Bordeaux. le Dr Joffroy,
professeur
à la Faculté de médecine de Paris. le Dr Raymon
ffroy, professeur à la Faculté de médecine de Paris. le Dr Raymond,
professeur
à la Faculté de médecine de Paris. le Dr Richet
ofesseur à la Faculté de médecine de Paris. le Dr Richet (Charles),
professeur
à la Faculté de médecine de Paris. le Dr Durand
de la Seine. directeur de la Revue de l'Hypnolisme. le Dr Bernheim,
professeur
à la Faculté de Nancy. Boirac, recteur de l'Acadé
ble, le Dr Briand, médecin en chef de l'Asile de Villejuif. Caustibr,
professeur
au lycée Hoche. Colas (Albert), président de la
Faculté, le Dr Farez (Paul), licencié en philosophie. Je Dr Grasset,
professeur
à la Faculté de Montpellier, le Dr Legrain, médec
ier, le Dr Legrain, médecin de l'asile de Ville-Evrard. le Dr Lépinë,
professeur
à la Faculté do Lyon. Liégeois, professeur à la F
ille-Evrard. le Dr Lépinë, professeur à la Faculté do Lyon. Liégeois,
professeur
à la Faculté de droit de Nancy. Magnin (Paul), vi
le Dr Pau de Saint-?art??-, médecin-major de 1" classe, le Dr Pitres,
professeur
à la Faculté de Bordeaux, le Dr RiCHER (Paul), me
Salpèirière. COMITÉ DE PATR0NAGE Allemagne. MM. le Dr Biswasger,
professeur
à l'Université d'Iéna. le professeur Dessoih (M
emagne. MM. le Dr Biswasger, professeur à l'Université d'Iéna. le
professeur
Dessoih (Max), prof, à l'Université de Berlin, le
iversité de Berlin, le Dr von Scbrbnk Notzing, prakt-arzt, Munich, le
professeur
Stumpf, prof, à l'Université de Berlin. Anglete
Angleterre. MM. Myers (Frédéric), examinateur, à Cambridge. • le
professeur
Crookes (William), a Londres, le D Cruise (Franci
e Dr Lloyd Tockey, de Londres, le D' Milne Bramwell, de Londres. le
professeur
Solly (James), prof, à l'Université do Londres.
prof, à l'Université do Londres. Autriche. M. le dr Khaft-Ebing,
professeur
à l'Université de Vienne. Belgique. MM. le Dr
ofesseur à l'Université de Vienne. Belgique. MM. le Dr FnANCOTTE,
professeur
à l'Université de Liège, le Dr Masoik, professeur
M. le Dr FnANCOTTE, professeur à l'Université de Liège, le Dr Masoik,
professeur
k l'Université de I^ouvain. Ètals-Unis. MM. l
e Dr Hamilton Osgood, de Boston, le Dr Henirk Petersen, de Boston, le
professeur
Zéliqson (Maurice), Cleveland (Ohio), le professe
en, de Boston, le professeur Zéliqson (Maurice), Cleveland (Ohio), le
professeur
William James, prof, à l'Université de Cambridge.
inique psychothérapique, à Amsterdam. Italie. MM. le Dr Lombroso,
professeur
à l'Université de Turin, le Dr Morsblli, professe
. le Dr Lombroso, professeur à l'Université de Turin, le Dr Morsblli,
professeur
à l'Université de Turin, lu Dr .ci....:, médecin
Becetereff, prof, à l'Université de St-Pétersbourg. le Dr Kojénikow,
professeur
à l'Universté de Moscou, lo D' Ochorowicz, de Var
de Varsovie./page> page n="40"> Serbie. M. le Dr Subotic.
professeur
à la Faculté do Belgrade. Suède et Norwège. MM.
lgrade. Suède et Norwège. MM. le Dr Wettersîbako, à Stockholm. le
professeur
????a? VotD, à Christiania. Suisse. MM. le Dr
e professeur ????a? VotD, à Christiania. Suisse. MM. le Dr Forel,
professeur
à l'Université de Zurich, le Dr Laoame, privât do
ultant de la pratique de l'hypnotisme expérimental. Rapporteur: M. le
professeur
Boiiiac. INTRODUCTION A L'ÉTUDE DE L'HYPNOTISME
6"> vice-président, recteur de l'Académie de Grenoble ; de M. le
professeur
Raymond; de M. le D'Babinski, médecin de la Pitié
rofesseur Raymond; de M. le D'Babinski, médecin de la Pitié; de M. le
professeur
IJernheim fde Nancy); de M. Tarde, chef de la sta
M. Melcot, avocat général à la Cour de cassation ; M. Lionel Dauriac,
professeur
â la Faculté des lettres de Montpellier; M. le Dr
ture de nombreuses lettres d'excuses parmi lesquelles celles de MM.le
professeur
Raymond; de M.le professeur Bernheim (de Nancy);
'excuses parmi lesquelles celles de MM.le professeur Raymond; de M.le
professeur
Bernheim (de Nancy); de M. Boirac, recteur de l'A
Je laissez faire laissez passer, il est difficile d'admettre, avec le
professeur
de psychologie belge, qu'on laisse libre entre le
e de la suggestion ne pourra jamais rien. C'était à une époque où les
professeurs
Claude Bernard, Charcot et Béclard étaient déjà c
s d'une autre espèce, il n'y avait qu'un pas ; et des médecins et des
professeurs
ont fait depuis peu quelque agitation autour de c
dans la Capitale qu'on trouve de vrais savants, et tous sont titré.-,
professeurs
à la Faculté, au Muséum, au Collège de France, me
ticien accordé aujourd'hui par le jury d'examen sur avis conforme des
professeurs
de la Faculté des sciences magnétiques, à M. Desb
ogie et Enseignement) présidée par M. Levasseur membre de l'Institut,
professeur
au Collège de France, pourra offrir spécialement
octorat, des savants du monde entier, dont quelques-uns illustres, le
professeur
Bernheim, le professeur Liégeois— mon ancien maît
monde entier, dont quelques-uns illustres, le professeur Bernheim, le
professeur
Liégeois— mon ancien maître de la Faculté de droi
), Déjerine, Voisin, Delbœuf, Morselli, Preyer, (.) tous des maîtres,
professeurs
d'Universités et membres d'Académies. C'était l
Leroy. L'évolution médicale en France au XIXe siècle (') Par M. le
professeur
Giiasset (de Montpellier). N'éprouvez-vous pas
tcrCu à Lille, le '.'8 juillet 1893, par nntr.> roUaborateur M. le
professeur
Grasfst./page> page n="104"> Deux noms.
et y était représentée par Charles-Louis Dumas. A Paris, le premier
professeur
de clinique médicale est Cor-visart. Ce grand méd
avait été confié à un Français. Notre émi* nent collaborateur, M. le
professeur
Charles Richet avait choisi pour sujet de la Conf
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
ciologique, y attirent un auditoire aussi empressé que sympathique au
professeur
. Les états mentaux impliqués dans l'appréciatio
croyanco populaire ont été jusqu'à présent rares et discutables. Le
professeur
Carpcnticr a été, d'après notre confrère anglais,
ologiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage desavants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
enons avac plaisir que notre eminent collaborateur M. Lionel Dauriac,
professeur
à la Faculté de lettres de Montpellier, vice prés
dent de la sociéié d'hypnologie et de psychologie, vient d'être nommé
professeur
de philosophie au Lycée Janson de Sailly. àPaiis.
t s'être mariés, et dont 36 étaient des solitaires de Port-Royal; 1
professeur
de philosophie, 1 chirurgien, 1 médecin, 3 admini
Ils sont quatre qui se sontparticulicremcntcngagés àfond : M. Myers,
professeur
à l'université de Cambridge, un des hommes les pl
ment comme expérimentateur, mais comme moraliste et philosophe; M. le
professeur
James, dont !a Nouvelle Psychologie f:iit fureur
s-Unis, aussi bion dans les milieux sa\unts que dans le monde ; M. le
professeur
Lodge, physicien distingué, et enfin ie docteur H
ologiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage desavants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
nons avec un vif regret la mort, à l'âge de 77 ans, de M. le Dr Azam,
professeur
honoraire à la Faculté de Médecine, associé natio
u chimique. nécrologie Le docteur Azam Les obsèques du regretté
professeur
Azam, mort à l'âge de soixante-dix-huit ans et do
par les deux gendres du défunt : MM. l-louch, uégo-*lant, et Jullian,
professeur
a !c Faculté des Lettres, suivis d'unefoule nom--
is d'unefoule nom--breuse en tète do laquelle marchaient er: robe les
professeurs
et agrégés de l'Université de Bordeaux, et G Asso
t tenus par MM. de Nablas. doyen de la Faculté de Médecine ; Saignât,
professeur
à ïa Faculté de Droit, vioe-présïdent du Conseil
idence de 1888, Il reçut dans notro Compagnie le jeune et remarquable
professeur
qui devait bientôt aprea dovcph- son cendre I S
logiques de l'hypnotisme^ et placé sous ?? palrouage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
e Gros. Jeudi 25 Janvier, à huit heures et demie, M. LionelDauriuc,
professeur
honoraire do la Faeu'.té de lettres de Montpellie
tres. Jeuci Î5 Février, à huit heures et demis, M. Eugène Caustier,
professeur
agrégé de l'Université, fera une conférence sur :
ion particulière, car la suggestion religieuse est un art. Elle a ses
professeurs
, ses traités, ses recueils (sermonologes, homilia
luxation externe. Un médecin espagnol, le Dr Abdon Sanchez Herrero,
professeur
de clinique médicale à la Faculté de médecine de
ontrairement à l'opinion courante qui déclare ces tics incurables, le
professeur
Spehl considéra le cas actuel comme justiciable d
age n="257"> tisme, et place* sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné â fournir aux médecins et
c*roin»nt collaborateur, M. Tarde vie» d'être élu par l'Assemblée des
Professeurs
po;:r occuper la chaire do philosophie moderne.
cuper la chaire do philosophie moderne. Institut de France. — M. le
professeur
Riaor vient d'être élu Membrdi de l'Académie des
té décide de prendre part à la souscription ouverte par les élèves du
professeur
Ribot, dans le but de lui offrir un objet d'art à
ires occupent une importance de premier ordre. On sait que, pour le
Professeur
Fournier, le tabes et la paralysie générale ont u
r, le tabes et la paralysie générale ont une origine syphilitique; le
Professeur
Erb confirme cette opinion. Néanmoins des neurolo
plus je me vois forcé d'incliner en iaveur de cette hypothèse. » Le
professeur
Van Gehucten est tout à fait de cet avis. D'après
ltant de la pratique de l'hypnotisme expérimental. Rapporteur : M. le
professeur
BoinAC. La mémoire dans les différentes races.
page n="289"> tisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
ils. Institut de France. — Notre eminent collaborateur M. Liégeois,
professeur
à l'Université de Nancy vient d'Être élu Membre c
« Méca-nothérapie -, 470 p., prix: 10 fr, Félix Alcan. Paris, 1899.
Professeur
Grasset. — La Distribution segmentaire des symptô
olique en a tiré un merveilleux parti. Elle eut ses compositeurs, ses
professeurs
(maîlres de chapelle), ses écoles de chant (manic
périodique : La Cliniea, publiée par notre collègue Sanchez Herrero,
professeur
à la Faculté de Madrid; une brochure intitulée: A
ille. Le secrétaire général de la société annonce l'élection de M. le
professeur
Liégeois, de Nancy, comme membre correspondant de
ulaire, il s'agit d'une photophobie purement mentale. Comme !e dit le
Professeur
Raymond, a c'est par le traitement moral beaucoup
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
ion médico-légale de la responsabilité pénale. Salpetrière. — M. le
professeur
Raymond reprendra ses leçons de clinique des mala
et adopté. La correspondance imprimée comprend une lettre de M. le
professeur
Tarde, remerciant la Société de ses témoignages d
ie naturelle. M. le Secrétaire général présente un travail de M. le
professeur
Stumpf, de Berlin, dans lequel l'auteur, après av
ET CONFÉRENCES Quelques cas de fugues inconscientes (i) Par M. le
professeur
Raymond On peut distinguer trois sortes de fugu
ue. Un cas d'œdème hystérique ; rôle de l'auto-suggestion. Par le
professeur
Com be ma le, et l. CamL'S, externe des hôpitaux.
e la Société d'hypnologie. Vice-Président*. MM. Dauriac (Lionel),
professeur
honoraire à la Faculté des lettres de Montpellier
ionel), professeur honoraire à la Faculté des lettres de Montpellier,
professeur
de philosophie au lycée Janson de Sailly. le doct
fesseur de philosophie au lycée Janson de Sailly. le docteur Grasset,
professeur
à la Faculté de médecine de Montpellier. Liégeois
rasset, professeur à la Faculté de médecine de Montpellier. Liégeois,
professeur
à la Faculté de droit de Nancy. Mklcot, avocat gé
phiques et sociales. Présidents d'honneur. . MM. le docteur Azam.
professeur
honoraire à la Faculté de médecine de Bordeaux.
honoraire à la Faculté de médecine de Bordeaux. le docteur Jopfboy,
professeur
à la Faculté de médecine de Paris, le docteur Ray
oy, professeur à la Faculté de médecine de Paris, le docteur Raymond,
professeur
à la Faculté de médecine de Paris, le docteur Hic
sseur à la Faculté de médecine de Paris, le docteur Hichet (Charles),
professeur
à la Faculté de médecine d«-Paris. le docteur D
teur Durand de Gros. lo docteur Liébeault, de Nancy. Souby (Jules),
professeur
à l'École pratique des Hautes-Etudes./page>
ltant de la pratique de l'hypnotisme expérimental. Rapporteur : M. le
professeur
Boirac. N. B. — Pendant la durée du Congrès, le
pem rendre la guérison stable et empêcher les rechutes. Hommage au
professeur
Lépine. Les élèves et les amis de M. le profess
es. Hommage au professeur Lépine. Les élèves et les amis de M. le
professeur
R. Lépine (de Lyon) ont eu l'heureuse Idée de com
enseignement. Le samedi 1 avril un grand nombre d'élèves et d'amis du
professeur
Lépine se sont réunis à Lyon pour lui remettre un
illustres; elle l'est par le chef actuel de l'école française, M. le
professeur
Ch. Bouchard. Comme le disait Claude Bernard, l
(1890) associé national. Nous ajouterons ù tous ces titres que M. le
professeur
Lépine eel un de ceux qui se sont le plus intéres
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
rut définitivement. Hypnotisme et suggestion par M. le Dr Beknheim,
Professeur
â la Faculté de Médecine de Nancy. Je ne suis p
terruption de pratiques journalières de somnambulisme (') par M. le
professeur
Raymond. Cette femme, âgée de quarante-quatre a
lieu le dimanche 12 août, à trois heures, sous la présidence de M. le
professeur
Raymond, membre de l'Académie de médecine. prog
triere, président du congrès. 2° Discours d'inauguration, par M. le
professeur
Raymond, président d'honneur du congrès. 3« Com
dicale, p. 24, 91. Khuff (Nécrologie), p. 128. Lépine (Hommage au
professeur
), p. 348. Liébeault (Anniversaire du Dr). par M
HARCOT, prof, à la Faculté de Paris, membre de l'Institut ; CHILTOFF,
professeur
a l'Université de Kharkoff; COLLINEAU; COSTER (d'
lier; KINGSBURY (de Blackpool); W. TRELAND (d'Édimbourg : LACASSAGNE,
professeur
à la Faculté de Lyon; LADAME (de Genève); LIEBEAU
à la Faculté de droit de Nancy ; BOIRAC, agrégé do l'Univ.; DELBŒUF,
professeur
à l'Université de Liège; Pierre JANET, agrégé d
ujourd'hui il devient nécessaire de rappeler la recommandation que le
professeur
Pitres adresse à ses élèves: - Surtout restez méd
rideaux furent arraches; la chaise de Lombroso lui fut retirée, et le
professeur
dut se tenir debout; il fut pincé à diverses part
LES PIGEONS VOYAGEURS FACULTÉ d'ORIENTATION Par M. EUGÈNE CAUSTIER.
professeur
au lycée Biaise-Pascal. Nous devons nous demand
ent d'être nommé, à Cambridge (Etats-Unis. Mass.) Harvard University,
professeur
de psychologie expérimentale et directeur du labo
er août 1892 et les trois Jours suivants, sous la présidence de M. le
professeur
H. Sidgwick. Le Congres se réunira dans les salle
ion aux travaux du Congrès, nous relevons ceux de MM. les docteurs ou
professeurs
Beaunis, Bérillon, Bernheim. Binet, Pierre Janet,
d's Congress Auxiliary. Chicago. (III.. 0. S. A.) NOUVELLES m. le
professeur
Charcot vient d'être nommé grand-croix de l'Ordre
e de la couronne de Roumsnie. Faculté dm médecine do N?n??. — M. le
professeur
Bernheim est nommé asses-seur du doyen. Autrich
T THERAPEUTIQUE VUE ET SENS DE LA DIRECTION Par le D' Avo. FOREL,
professeur
a. l'Université de Zurich. Le travail de M. Cau
ée) a besoin d"un temps égal pour franchir quelques mètres. » M. le
professeur
Caustier se hâte trop de trancher la question de
Baréty, de Nice, Ladame. de Génève, de Tong. de La Haye. Minouvrier,
professeur
à l'École d'Anthropologie. Babinski, médecin des
itaux, Scbrenk-Notzing, de Munich, Lloyd-Tuckey. de Londres. Lalande.
professeur
de philosophie au lycée Condorcet. M. le secrétai
a Cour d'appel de Paris; de M. le D* Cruise, de Dublin; de M. Boirac,
professeur
au Lycée Condorcet: de M. Plista, publiciste: de
on. Le questionnaire de psychologie physiologique formulé par M. le
professeur
Lacassagne, de Lyon, est distribué aux membres de
ue vient de démontrer encore, mais avec plus d'éclat que personne, le
professeur
Tamburini, de Reggio Émilla (1). Dans l'hypnoti
cette fête intime, et parmi les assistants nous pouvons citer il. le
professeur
Bernheim, M. le Dr Hamilton Osgood. de Boston, M
Boston, M le Dr Auguste Voisin, médecin de la Salpêtrière. M. Boirac.
professeur
de philosophie au Lycée Condorcet, M. le Dr Ernoo
Société le concours de leur expérience et de leur dévouement. M. le
professeur
Bernheim remercie M. Dumontpallier du libéralisme
les Drs Ribémont-Dessaignes, proresseur agrégé à la Faculté. Ricard,
professeur
agrégé à la Faculté, Faisans, médecins des hôpita
nt à se considérer les élèves des maîtres de Nancy. En Allemagne, les
professeurs
Forel, von Kraft-Ebing, Hirt, sont de ce nombre.
t que les symptômes. Le succès énorme de la Psychopathia sexualis, du
professeur
von Kraft-Ebing. — la quatrième édition date de 1
dre la main pour éviter la récidive. C'est bien ainsi que l'entend le
professeur
Forel. qui compte tant de succès dans le traiteme
ankenuebertraguns.— Édition allemande comprenant les écrits divers du
professeur
Ch. Kichet sur la transmission des pensees, parus
1889, avaient décidé de continuer l'œuvre due à l'initiative de M. le
professeur
Charles Richet. Le siège du second Congres fut fi
organisation du Congrès de Londres fait le plus grand honneur à M. le
professeur
Sidgwick. qui a présidé les travaux avec un dévou
N'oublions pas de mentionner le séduisant programme tracé par M. le
professeur
Charles Richet, dans une lecture sur l'avenir de
otatifs dans le traitement de l'hystérie, Par M. le le G. LEMOI.NE,
professeur
a la Faculté de Lille, et M. le Dr P. JOIRE. de
avons observés à l'hôpital de la Charité de Lille, dans le service du
professeur
Lemoine, ont été traités avec succès par la métho
rsity Collège, Gower Street, le 1er août, sous la présidence de M. le
professeur
Sidgwick, assisté des vice-présidents dont les no
erons l'analyse des autres. L'Avenir de la psychologie, par M. le
professeur
Charles Richet. Quoiqu'il soit toujours témérai
t à atteindre. Résultat d'une enquête sur les concepts, par M. le
professeur
Th. Ribot. Le but de cette enquête a été de rec
*** De la nature psychique de l'amaurose hystérique, par M. le
professeur
Bernhem, de Nancy. J'ai le premier démontré, en
gestion, pendant le sommeil provoqué, par MM. le Dr LAÉBEAULT et le
professeur
LAÉGEOIS, de Nancy. La Commission dont il s'agi
ie du suicide, si surtout, comme il l'a fait conjointement avec M. le
professeur
Liégeois, chez la mono-mane dont il relate l'obse
s sont passés et n'en retrouve plus la trace l'instant suivant. M. le
professeur
Charcot a désigné l'altération principale de ta m
ne laissent aucune trace. L'Empoisonneuse d'Aïn-Fezza. par M. le
professeur
Liégeois, de Nancy. Dans son mémoire, il. le pr
par M. le professeur Liégeois, de Nancy. Dans son mémoire, il. le
professeur
Liégeois tente l'application de son système à une
Dû l'appréciation du temps par les somnambules, par M. J. Delbœuf,
professeur
à l'Université de liège. Dans ce travail, il n'
er est admise pour les mêmes sens. *** Arithmogenèse, par M. le
professeur
W. Reyer. Les idées ne peuvent naître que par l
ui se suivent. *** Théorie de la vision des couleurs, par M. le
professeur
H. Ebbinghaus, de Berlin. Je crois pouvoir tire
rmi les plus brillantes réceptions, nous devons citer celles de M. le
professeur
Horsley, de M. le professeur F. Myers et de l'exp
tions, nous devons citer celles de M. le professeur Horsley, de M. le
professeur
F. Myers et de l'explorateur Stanley, de H. Fowle
ne mention particulière aux banquets offerts dans son hôtel par M. le
professeur
Ferrier, et à ceux qu'ont donnés M. le Dr Myers e
de Londres. Pendant lo Congrès de psychologie expérimentale, M. le
professeur
Ferrier avait invité un certain nombre de membres
Plusieurs de nos confrères se sont livré*, sur l'invitation de M. le
professeur
Ferrier, à des applications cliniques de l'hypnot
e début remontait à un an. La puissance du système nerveux. M. le
professeur
Brown-Séquard, invité à faire une Conférence, à l
Bcauregard; Mme Juglard, eie. Dans le cours de la Conférence, M. le
professeur
Brown-Séquard a exposé sa théorie de l'inhibition
ans le sens de l'augmentation, soit dans le sens de la diminution. Le
professeur
a surtout appelé l'attention sur cette force nerv
Durham. dans le territoire de laquelle compte 12 étudiants et... 5
professeurs
. Un musée de psychiatrie criminologique va être
ologique va être établi à l'Université de Turin, sous la direction du
professeur
César Lombroso. Le but est de rénnir une collecti
i à attirer à sa modeste clinique, une dizaine d'années plus tôt, les
professeurs
de Nancy, avant l'avènement de la doctrine de l'h
xaltation de l'ataxie psychique. Le sommeil — comme le dit si bien le
professeur
Forel — exhalte la suggestibilité parce qu'il pro
ogiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronnage de sifunis et de
professeurs
autorises, est destiné à fournir aux médecins et
par MM. les Drs Bérillon et O. Jennings. Faculté de Nancy. — M. le
professeur
Bernheim. consacre chaque année, pendant le semes
Il traitera de l'Audition intérieure. Université de Zurick. — M. le
professeur
Forci a inauguré, pendant le semestre d'hiver 188
The american psychological association . — Sur l'invitation de M. le
professeur
Stanley Hall, de la Clark university, une réunion
ité de Wercester (Massachussets). La réunion était présidée par M. le
professeur
Fullerton. de l'Université de Pensylvanie. Elle
teurs connus par des travaux importants. Le secrétaire général est le
professeur
Jastrow (Madison. Wisconsîn). Un nouveau journa
1) Par M. Paul SOURIAU. Ancien élève de l'École normale supérieure,
professeur
a la Faculté des Lettres de Lille. Dans l'opini
ation de la suggestion au diagnostic et au pronostic (1), Par M. le
professeur
BERNHEIM. Je désire vous communiquer deux faits
lié dans la Reçue générale des Sciences, a amené, de la part de M. le
professeur
Bernheim, la publication de la note suivante :
je suis revenu à la charge avec de nouveaux faits, c'est parce que le
professeur
Pitres et M. Gilles de la Tourelle ont récemment
ogiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronnage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
édecine de Paris. Clinique des maladies du système nerveux. — M. le
professeur
Charcot, le mardi et vendredi, à dix heures. Leço
DES COULEURS FONDAMENTALES DU SPECTRE ÉTUDE PSYCHOLOGIQUE Par M. le
professeur
CHaUVEaU. de l'Institut. Dans la théorie Yung-H
andidatures de MM. Dumas, ancien élève de l'Ecole normale supérieure,
professeur
agrégé de philosophie; Dr Dechtereff. de Saint-Pé
ogiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronnage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
VELLES Dans sa dernière séance, l'Académie des Sciences a élu M. le
professeur
Brouardel a la place d académicien libre. Celle n
es faites sur des sujets en état d'hypnotisme. Rappelons le malade du
professeur
Charcot, dont l'observation a été publiée par M.
os d'un cas de manie homicide guérie par suggestion Par M. DELBŒUF,
professeur
à l'Université de Liège. I Depuis plus de qua
ndres, et j'ai été heureux et fier de l'entendre corroborer par M. le
professeur
Bernheim. Qu'on n'aille pas se méprendre sur ma
et adopté. M. le Président annonce la présence à la réunion de M. le
professeur
Brémaud, de Brest, dont il rappelle les travaux s
le D' Dariex, directeur des Annales psychiques; de M. le Dr Brémaud,
professeur
à l'École de Médecine de Brest; de M. le Dr Charl
ns de l'inclinaison latérale. C'est pendant mon externat chez M. le
professeur
Lannelongue que j'ai eu l'occasion d'observer ces
rrait être fatale. Un examen institué par le DrM. de L... cl par un
professeur
de la Faculté constate en effet une affection org
ogiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronnage de savants et de
professeur
autorisés est destiné à fournir aux médecins et a
par MM. les Drs Hérillon et O. Jennings. Le Musée psychologique du
professeur
Mantegazza. Dans une séance de la Société itali
e la Société italienne d'anthropologie, tenue le 28 novembre 1886, le
professeur
Paolo Mantegazza, président, avait présenté le pr
colles. Et ainsi de suite s. Aujourd'hui, le Musée psychologique du
professeur
Mantegazza est réalisé: ce n'est plu* seulement u
la done trouvés les éléments pour le nouveau musées. Actuellement, le
professeur
Montegazza a réuni les objets qu'il avait recueil
été guidé dans notre visite par M. Ehrenfreund, le brillant élève du
professeur
Montegazza, auquel nous devons aussi les détails
grès international de Psychologie expérimentale de de Londres, par le
professeur
bernheim. verre de lunette correspondant à l'œi
que — nous inspirant des enseignements de notre maître d'alors, M. le
professeur
Charcot — nous avions cru pouvoir donner : l'isol
de rentrée des Facultés, le 3 novembre 1892, « Par M. le Dr BERNHEIM,
professeur
A la Faculté de Médecine de Nancy. Monsieur le
de Médecine de Nancy. Monsieur le recteur, Messieurs, C'est à un
professeur
de la Faculté de Médecine qu'incombe, cette année
ogiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronnage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
dans le catalogue officiel. Tous les envois doivent être adressés au
professeur
Joseph Jastrow, Madison (Wisconsin), directeur de
fois par L'Idée qui a présidé à la creation du Musée Psychologique du
professeur
Mantegazza, a Florence, et par celle que M. la pr
ologique du professeur Mantegazza, a Florence, et par celle que M. la
professeur
Jastrow de Madison (Wisconsin), se propose de réa
Congrès international de Rome, a décidé, sur la proposition de ht. le
professeur
Lombroso, que l'anthropologie criminelle serait a
, tenue à Philadelphie, en décembre 1392, sous la présidence de M. le
professeur
Stanley Hall, de Clark University. De très intére
lieu à Columbia. Le bureau de l'Association a été ainsi formé : M. le
professeur
Stanley Hall, président; M. le professeur Ladd, v
n a été ainsi formé : M. le professeur Stanley Hall, président; M. le
professeur
Ladd, vice-président, et M. le professeur Jastrow
nley Hall, président; M. le professeur Ladd, vice-président, et M. le
professeur
Jastrow, secrétaire. Nouveau traitement de l'hy
. HYSTÉRIE GRAVE GUÉRISON PAR LA SOGGESTION HYPNOTIQUE (1) Par le
professeur
F. R. de KRAFFT-EBIXG, de Vienne. Mlle P. B...,
nt d'exemples très frappants de ces actes réflexes désignés par M. le
professeur
Ch. Richet sous le nom de réflexes psychiques. En
té. M. le secrétaire général annonce que la Société a reçu de M. le
professeur
JastroW. secrétaire de la section de psychologie
ngué confrère de Paris, le D' Viallc, après une consultation de M. le
professeur
Charcot, qui avait prescrit l'isolement à la camp
mois, les parents se décidèrent à conduire leur petite fille près du
professeur
Charcot, qui conseilla de la placer dans un établ
consolider la guérison. VARIÉTÉS La guérison par la foi. M. le
professeur
Charcot vient de publier dans la New Review un in
ogiques de l'hypnotysme, et placé sous le patronnage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
Tours, etc., ainsi que le volume classique, paru il J a trois ans du
professeur
Emminghausen, sur les maladies psychiques de l'en
du professeur Emminghausen, sur les maladies psychiques de l'enfance (
professeur
à Dorpat, en Russie, et maintenant appelé en Alle
a immédiatement répondu par un envoi de témoins, MM. Letulle et Gley,
professeurs
agrégés, que M. Marie a mis en rapport» avec ses
en faire cadeau à un étranger. N ÉCROLOGIE Benjamin Bail. M. te
professeur
Ball est mort, le jeudi 23 février, des suites de
it d'être créée 4 la Faculté da Médecine de Paris. Depuis lors. M- le
professeur
Bail s'est consacré exclusivement à l'élude des m
reux travaux de pathologie mentale. M. Bail laissera le souvenir d'un
professeur
éloquent et d'un naître bienveillant. NOUVELLES
ale de Brest- L'observation suivante pourrait, a l'exemple de M. le
professeur
Grasset, être intitulée « le Roman d'un hystériqu
défendue par une thèse récente de la Faculté de Lyon, inspirée par le
professeur
Lacassagne (3). Dans ses conclusions, l'auteur di
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savante et de
professeurs
autorises, est destiné à fournir aux médecins et
, à deux heures. Hôpital des Enfants assistés. — M. le Dr Déjerinc,
professeur
agrégé, a a repris son cours sur les maladies ner
rée en sep- tembre 1890à l'hôpital Saint-Pierre, dans le service du
professeur
Rommelaere; elle occupe actuellement le lit 10 de
trouvait, en avril 1893, à l'hôpital Saint-Pierre, dans la service du
professeur
Bommelaere, salie 30, lit 2. Les parents sont b
trée eu mars 1893, à l'hôpital Saint-Pierre, dans le service de M. le
professeur
Rommelaere. Elle occupe le lit 8 de la salle 37.
2. Joséphine a été à l'hôpital Saint-Pierre, dans le service de M. le
professeur
Rommelaere; elle est partie au bout d'un mois for
ée en octobre 1892 à l'hôpital Saint-Pierre, dans le service de M. le
professeur
Rom-melaere; elle occupe le lit 6 de la salle 30.
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
iffère l'observation suivante que nous devons à l'obligeance de M. le
professeur
Lemoine qui a bien voulu nous la laisser prendre
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et do
professeurs
autorises, es: destiné à fournir aux médecins et
nnaissance qu'il mérite. Et enfin notre éminçât collaborateur, il. le
professeur
Grasset, en disant qu'on aurait pu, au bas du bus
t, au bout de deux siècles, coalisés pour lui élever une statue. Le
professeur
de Montpellier a terminé en disant anx jeunes : »
sée de psychiatrie criminologique (un) . 96. Musée psychologique du
professeur
Mantagezza de), 222. Musée dé psychologie et de
médecin do l'HÔtel-Diou; Van EEDEN (d'Amsterdam); P. PAREZ; GRASSET,
professeur
à la Faculté do Montpellier; LAGELOUZE; KINGSBURY
médecin de l'Hotcl-Dieu; Van EEDEN (d'Amsterdam); P. FAREZ; GRASSET,
professeur
k lm Faculté do Montpellier; LAGELOUZB; KINGSBURY
Asile de Lafond;Paul MAGNIN ; MOLL (de Berlin); Max NORDAU; MORSELLI,
professeur
â l'Université de Gènes; RAPFEGEAU 'du Vésinet);
utorisation avait été accordée sur l'avis favorable exprimé par M. le
professeur
Brouardel, doyen de la Faculté de médecine, au li
s lors, chaque année fut marquée par un progrès sensible. Un corps de
professeurs
se constitue. Les conférences de MM. Dumontpallie
, professé par M. le Dr Paul Joire, est inauguré à Lille en 1894. Aux
professeurs
viennent se joindre un groupe de chefs de travaux
fois par l'idée qui a présidé à la création du musée psychologique du
professeur
Mantegazza, à Florence, et à celle du musée de ps
zza, à Florence, et à celle du musée de psycbiatric criminologiquc du
professeur
Lombroso, à Turin. Ce musée, commencé en 1894,
nalité et de la criminologie. Les travaux originaux publiés par les
professeurs
et les élèves sont nombreux. Ils ont paru presque
t demandé à soumettre leurs expériences à l'examen et au contrôle des
professeurs
de l'Institut Psycho-physiologique. Ils ont toujo
nition qu'un maitre éminent, M. Lépine, de Lyon, donnait récemment du
professeur
moderne: « Professeur veut dire chercheur. Faire
inent, M. Lépine, de Lyon, donnait récemment du professeur moderne: «
Professeur
veut dire chercheur. Faire des découvertes, est l
l'hypnose fortuite ï L'HYPNOSE FORTUITE Par M. le Dr Desplats,
professeur
à la Faculté libre de Lille Vous serez peut-êtr
n d'articles, publiés pur le R. P. Coconnier, dans la Reuue Thomiste,
professeur
à l'Université de Fribourg, sur la question de l'
L'hypnotisme franc n'est pas en soi diabolique Par le P. Cocotier,
professeur
a l'Université catholique do Fribourg. Trois co
membres de la Société, qui ne peuvent assister à la séance : MM. les
professeurs
Ch. Richct, Ebbinghans (do Breslau), Mourly Vold
qui est aboli. Examen électrique des muscles (note remise par M. le
professeur
Bergonié). — Conservation de l'excitabilité farad
es ont confirmé, » Le premier traducteur de Braid fut M. W. Preyer,
Professeur
de Physiologie à l'Université de Gênes, qui publi
ue le Dr Luys jouait encore avec ses poupées de gomme élastique et le
professeur
Bénédikt avec ses aimants. (à suivre) CHRONIQ
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destine à fournir aux médecins et
out 1897. L'HYPNOTISME AGENT THÉRAPEUTIQUE par M. le Dr Desplats,
Professeur
de clinique médicale a la Faculté libre de Lille.
nt à tout ce qui avait été dit et fait par Braid lui-môme. Suivant le
professeur
Béncdikt: « Certaines formes d'hystérie sont mieu
devons citer MM. Auguste Voisin, médecin de !a Salpètrière ; Boirac,
professeur
de philosophie au lycée Condorcct; Bérillon, insp
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
t la suggestion dans leurs rapports avec la médecine légale, et M. le
professeur
Bernheim avait été naturellement désigné pour la
ganisateurs de la section des maladies nerveuses et mentales, MM. les
professeurs
Kojénikoff, von Korsakoff, W. Roth, Minot et Serb
sans réserves, l'organisation des nouvelles cliniques de Neurologie (
professeur
Kojénikofî) et de Psychiatrie (professeur von Kor
es cliniques de Neurologie (professeur Kojénikofî) et de Psychiatrie (
professeur
von Korsakoff) récemment construites, grâce aux l
ttre de M. le Professeur Stuwpf, de Berlin.) Nous recevons de M. le
professeur
Stumpf, la lettre suivante, que nous nous empress
Farez. Connaissant la haute autorité et la grande compétence de M. le
professeur
Stumpf dans toutes les questions philosophiques e
gogiques, nous l'avions loué de son initiative. Le caractère de M. le
professeur
Stumpf, auquel les psychologues allemands rendaie
la plus éclairée. En se chargeant de l'éducation de cet enfant, M. le
professeur
Stumpf a accompli une bonne action et nous po
e passage où j'expliquais quels devaient être les devoirs présents du
professeur
, et je les donne ici : « Ce précepteur devra, s
légères différences existent entre les opinions de Braid et celles du
professeur
Forel sur la valeur des passes, etc. Lorsque Brai
s, mais étendant ses recherches dans toutes les voies pos-sibles.a Le
professeur
Bennett donne, dans son Textbook of Physiology,
et fermentées. Les Neorologistes russes et français. M. Raymond,
professeur
de clinique des maladies nerveuses à la Faculté d
e des maladies nerveuses à la Faculté de médecine de Paris, a reçu du
professeur
Beohteref, de l'Académie militaire de médecine de
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
ONS CRIMINELLES ses origines, son état actuel (1). Par M. Liégeois,
professeur
à l'Université do Nancy. § 1- Le criminel malgr
l'Université do Nancy. § 1- Le criminel malgré lui. M. Deibceuf,
professeur
à l'Université de Liège, a prononcé le 15décembre
ui contredit les opinions soutenues à Paris, à la Salpêtrière, par le
professeur
Charcot et MM. Brouardel, Motet, Ballet, Gilles d
détruit l'argument tiré d'une expérience négative. IV. Le regretté
professeur
de Liège avait voulu vérifier également si l'on p
ritique de cette opinion. Expériences contraires de M. le Dr Forel,
professeur
à l'Université de Zurich. II M. Brouardel n'adm
de 6,4 %. — En Italie, Rossi donne un minimum de 5,2 %, tandis que le
professeur
A. Marro, que nous avons eu la bonne fortune de r
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
s clairs de cette théorie fut publié en iSoi par John Hughes Bennett,
professeur
do Physiologie à l'Université d'Edimbourg. Au poi
appréciation sur les services rendus â la science parle regretté
professeur
Delbceuf, dont la mort prématurée est déplorée pa
MILNE Bramwell Et de son rapport lu au Congrès de Bruxelles, Par le
Professeur
Bernheisi, de Nancy. Dans son rapport sur la va
pnotisme resta méconnue après lui; et lorsque, plus tard, en 1859, le
professeur
Azam ressuscita le braidisme en France et lui don
un autre qui avait revêtu ma forme et pris mes fonctions. » M. Norlh,
professeur
de Physiologie à l'hôpital de Westminster, éprouv
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
sir que notre émi-nent collaborateur, M. le Dr Max Dessoir, est nommé
professeur
de Psychologie à l'Université de Berlin. — M.
Psychologie à l'Université de Berlin. — M. le Dr Roncati est nommé
professeur
ordinaire do clinique psychiatrique à la Faculté
iatrique à la Faculté de Bologne. — M. le Dr- Al. Grigorjev est nommé
professeur
de médecine légale à la Faculté de Varsovie. NÉ
de Varsovie. NÉCROLOGIE W. Preyer La mort prématurée du célèbre
professeur
de physiologie Guillaume Preyer, enlevé, à 59 ans
rdents promoteurs des recherches sur l'hypnotisme. M. Preyer, alors
professeur
à l'Université de Gènes,publia le premier, en 188
s apprenons la mort d'un éminent physiologiste allemand,' Keidenhain,
professeur
à l'Université de Breslau. Heidenhain, né le 29
ons dans notre prochain numéro une notice biüographique sur ce savant
professeur
. L'Administrateur-Gérant : Emile BOURIOT y 170,
Une note discordante avait été donnée par un universitaire, M. Blum,
professeur
agrégé de philosophie. Ce professeur, partisan de
e par un universitaire, M. Blum, professeur agrégé de philosophie. Ce
professeur
, partisan de la théorie des idées innées, considé
ccessivement venir à nous, des hommes qui, comme MM. Marion, Buisson,
professeurs
à la Sorbonne, Henry Joly, IL Monod, le P. Didon,
ISME & DE LA SUGGESTION (0 par M. le Dr Paul Joire (de Lille)
Professeur
à l'Institut psycho-physiologique de Paris Chargé
ersonnelle de la thèse soutenue au récent Congrès de Moscou par M. le
professeur
Bernheim. Cette communication amène un échange de
cré et le diabète insipide. En 1865, il obtenait, sur un rapport du
professeur
Longct, un prix à l'Académie des sciences pour se
r atteindre un âge avancé. Et M. Sawyer cite l'exemple du Dr Legge,
professeur
de chimie â Oxford, qui vécut jusqu'à l'âge de 82
avail de la journée. Dans un des derniers numéros de Cosmopolis, le
professeur
Max Muller rapporte une conversation qu'il eut av
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
voûtements.) Jeudi 24 Février, à cinq heures, M. Eugène Caustier,
professeur
agrégé de l'Université, fera une conférence sur :
ils. Faculté de Médecine. — Cliniques des maladies nerveuses: M. le
professeur
Raymond, les mardis et vendredis, à 9 h. 1/2 (Sal
s, à 9 h. 1/2 (Salpétrière). Clinique des maladies mentales : M. le
professeur
Joffroy, les mercredis et samedis, à 9 h. 1/2 (As
e, pour son livre sur l'Epilepsie 'y — Prixltard: MM. les D" Grasset,
professeur
à la Faculté de Montpellier, et Raugier. Nous a
induction scientifiques et philosophiques, avec une préface par M. le
professeur
Boirac. Société d'éditions scientifiques, in-12,
YPNOTIQUES CRIMINELLES Dangers et remèdes. Par M. Jules Liégeois,
professeur
à l'Université de Nancy. Au premier siècle de l
elgique tenait, à Bruxelles, sa séance publique annuelle. M. Delbœuf,
professeur
à l'Université de Liège, y prononça un discours s
ller, un coup de pistolet à bout portant, sur sa mère. Et alors, le
professeur
de Liège de s'écrier : a A qui fera-t-on croire «
Dans son rapport au dernier Congrès international do Moscou, M. le
professeur
Bernheim (de Nancy) s'est fait le défenseur d'une
rrait être appelé un état d'anidéisme (1). II Mais si la thèse du
professeur
lîernheim me parait exacte au point de vue théori
pendant plusieurs années, a été guérie parle sommeil provoque. M. le
professeur
Bernheim a vu cette malade à Nancy, et cela sur m
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destine à fournir aux médecins et
envoûtements.) Jeudi 24 Février, à cinq heures, M. Eugène Caustler,
professeur
agrégé de l'Université, fera une conférence sur :
YPNOTIQUES CRIMINELLES Dangers et remèdes. Par M. Jules Liégeois,
professeur
ù l'Université de Nancy. (cuite) IV Delbœuf
ppui. Revue de l'Hypnotisme, avril et mai 1895, p. 2«9 et 330. il. le
Professeur
Masoin m'a, par erreur, attribué, dans les faits
calleux; ces recherches ont été faites à Iéna dans le laboratoire du
professeur
Bins-wanger, communiquées à la Société des médeci
ès avoir été en anatomie, en psychiatrie, et en hypnologie l'élève du
professeur
Forci, il dirige, sous le patronage de ce dernier
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
res. conferences Jeudi 3 Mars, a cinq heures, M. Eugène Caustier.
professeur
agrégé de l'Université, fera une conférence sur :
PNOTIQUES CRIMINELLES Dangers et remèdes. Par M. Jules hitarxtxr,
professeur
à l'Université de Nancy. (suite) VII Divers
, l'on y a renoncé trop vite. D'ailleurs, à celte opinion du savant
professeur
de médecine légale de la Faculté de Paris, nous a
is, lors du premier Congrès de l'Hypnotisme, en 1889, M. le D' Forel,
professeur
de psychiatrie à l'Université de Zurich, directeu
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
induction scientifiques et philosophiques, avec une préface par M. le
professeur
Boirac. Société déditions scientifiques, in-12, 3
nations. Les fatras de rhétorique des psychologues officiels et des
professeurs
en Sorbonne de cette" époque auront disparu depui
ttaques convulsîves se répétant cinq à six fois par jour. Bernheim,
professeur
à la Faculté de médecine de Nancy, expérimenta à
ggestion et de ses applications à la thérapeutique.» Beaunis, alors
professeur
à Nancy, suivit bientôt avec son livre sur le som
ntôt avec son livre sur le somnambulisme provoqué (1886) et Liégeois,
professeur
à la Faculté de droit, reconnut les rapports de l
répandue. Partout se sont fondés des instituts psychothérapiques. Des
professeurs
éminents le regardent comme un Maître. Mais qu'a
YPNOTIQUES CRIMINELLES Dangers et remèdes. Par M. Jules Likgrois.
professeur
à l'Université de Nancy. (fin) VIII MM. Bin
rer à une démonstration aussi compromettante. En 1891, M. Déjcrine,
professeur
agrégé à la Faculté de médecine de Paris a, dans
n eux le souvenir, qui paraissait d'abord tout à fait aboli. Donc, le
professeur
Charcot et ses disciples, chaque jour maintenant
ience, objt-ction ressassée, nous l'avons vu, par Delbceuf, le savant
professeur
de Paris, ajoute : « Je ne crois pas que, parmi
onque. C'est un moyen que M. Liébcault et moi, et, avec :nous,MM. les
professeurs
Bernheim et Beaunis, avons souvent employé, avec
ps, de la suggestion à l'état de veille, et les quelques disciples du
professeur
Delbœuf qui ont admis, avec lui, cette opinion ir
doctrine de la grâce. Jansen. de retour dans les Pays-lias, fut nommé
professeur
à l'Université de Louvain, puis évéque d'Ypres. D
, de leur résumer ici les conclusions auxquelles est arrivé le savant
professeur
do l'Université de Rennes. D'après M. Bourdon,
édentes, la séance annuelle sera suivie d"un banquet. L'élection du
professeur
Charles Rlchet à l'Académie de médecine. L'él
professeur Charles Rlchet à l'Académie de médecine. L'élection du
professeur
Charles Kiehet à l'Académie de Médecine a été acc
ue du Figaro, a acueilli le nouveau succès de M. Richet : a Fils du
professeur
Didier-Dominiquc-Alfred Richet. membre de l'Insti
r lequel nous professons la plus vive afleelion. En hypnotisme, M. le
professeur
Charles Richet est un véritable initiateur, et no
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné â fournir aux médecins et
duction scie nu* tiques et philosophiques, avec une préface par M. le
professeur
Büikac. Société d'éditions scientifiques, in-12,
Julliot, Lépinay. Elle a choisi, comme présidents d'honneur, MM. les
professeurs
Azam, Raymond, Charles Richet et MM. les D" Duran
Rivista di patologia nervosa e mentale, juillet 1897. — M. Sommer,
professeur
de Psychiatrie à l'Université de Giessen, décrit
èves les plus autorisés de l'Ecole de la Salpétrière. M. Paul Richcr,
professeur
à l'Ecole des Beaux-Arts, est l'auteur d'un trava
logiques de l'hypnotisme, et placé sous le patronage de savants et de
professeurs
autorisés, est destiné à fournir aux médecins et
induction scientifiques et philosophiques, avec une préface par M. le
professeur
Boirac. Société d'éditions scientifiques, in-12,
nberg, 155. Richet (Charles), à l'Académie de médecine (élection du
professeur
), 317. Richer (Paul) Election à l'Académie de M
Edgar BÉRILLON PRINCIPAUX COLLABORATEURS : MM. les Docteurs AZAM.
professeur
à la Faculté de Bordeaux; BARETY (de Nice) : DE B
at-docent à l'université de Genève; LIEBEAULT (de Nancy); LETOURNEAU,
professeur
à l'Ecole d'Anthropologie: LUYS. membre de l'Acad
HE DE L'AUTEUR D'UNE SUGGESTION CRIMINELLE Par M. Jules: LIÉGEOIS
professeur
a la faculté de droit de nancy Supposons qu'un
e ne sent rien. Rendue à son état normal, elle a tout oublié. M. le
professeur
Bernheim, que j'avais entretenu des faits qui pré
DIRE LES SÉANCES PUBLIQUES D'HYPNOTISME (1) Par le Dr GUERMONPREZ
professeur
a la faculté libre de lille Messieurs, ce n'est
sur les faits si bien présentés dans le remarquable rapport de M. le
professeur
Masoin. Il est cependant quelques autres faits qu
magnétisme sous sa forme actuelle de neurhypnotisme. Cependant, M. le
professeur
Lombroso, MM. les docteurs Bozzolo et Silva ont s
tablir la responsabilité de l'hypnotisme a propos d'hystérie. M. le
professeur
Charles Richet a rapporté, dans la Revue philosop
s dont l'histoire est rapportée dans une des récentes leçons de M. le
professeur
Charcot. Il est vrai que c'était le spiritisme, e
e maladie aussi déplorable que l'hystérie. Ce n'est pas tout. M. le
professeur
Azam a signalé un cas dans lequel les manœuvres h
de profession ont une responsabilité qui a été bien établie par M. le
professeur
Lombroso, de Turin, dans une lettre adressée à M.
cacher la vérité sur ce point, et le rapport si remarquable de M. le
professeur
Masoin rappelle, fort à propos, la situation de c
sous la » dépendance absolue de l'hypnotiseur. » Ce mot est de M. le
professeur
Beaunis ; il est remarquablement dit et il tradui
uéri et maintenu guéri par la suggestion seule. » Dr A. Forel., »
Professeur
de psychiatrie à la Faculté de médecine de Zurich
pêtrière. — Court de clinique des maladies du système nerveux : M. le
professeur
Charcot. Leçons le mardi et le vendredi, à 9 heur
APEUTIQUE UN NOUVEL ÉTAT PSYCHOLOGIQUE(1) Par M. Jules LIÉGEOIS
PROFESSEUR
. A LA FACULTÉ DE DROIT DE NANCY Parmi les phéno
jeune garçon de quatorze ans observé par Dufestel dons le service du
professeur
Grancher, se dit en proie à de violents maux de t
séances publiques d'hypnotisme, M. le D* Guermonprez a reçu de M. le
professeur
A. Pitres, la lettre suivante qui vient corrobore
possible du sujet, qu'à se souvenir du laconique conseil donné par le
professeur
Bernheim : « Défiez-vous de la suggestion. » Cr
s et cliniques sur la tuberculose publiées sous la direction de M. le
professeur
Verneuil. — Secrétaire de la rédaction. Dr L.-H.
-12, 1887. Les origines du dogme de la trinité, par M. Courdaveaux,
professeur
à la Faculté des lettres de Douai. — Broch. in-8°
e que je préparais. Dans un numéro de la Semaine médicale de 1888, le
professeur
Lépine a publié, sur un sujet analogue, un articl
sés, suivant l'état où cette excitation surprend le centre. Le savant
professeur
de Lyon a vu autrefois que l'excitation du bout p
C'est a ce point de vue que récemment encore le docteur Masoin, soin,
professeur
de médecine mentale à l'Université catholique de
édecine et l'exercice de cet art pouvaient être permis aux femmes. Le
professeur
Waldeyer, de Berlin, s'est prononcé contre l'admi
T L'AMOUR OU MERVEILLEUX Dans la séance du 9 octobre dernier, M. le
professeur
Brown-Séquard. en présentant à l'Académie des sci
e cet amour du merveilleux auquel faisait si justement allusion M. le
professeur
Brown-Séquard. Ce juge d'instruction de Paimb
. dans une aflairc récente, faisait appel à la lucidité d'un de ces *
professeurs
d'hypnotisme(:)* qu'on rencontre habituellement d
moindre résultat. L'analyse psychologique que lait ce jeune et savant
professeur
est une affirmation du succès que j'ai obtenu dan
l'incontinence est la suite de la surexcitation nerveuse. Aux yeux du
professeur
Atkînson ,3 ,qui vient de publier sur le sujet d'
ra travailler dans cette voie sans tenir compte Je ce que cet éminent
professeur
a fait et écrit. Une foule de publications ne c
10 qui ont été réfractoires à l'hypnose. Après cette constatation, le
professeur
Kwald ne pourra se refuser à accepter que l'état
ie qui n'entendent rien à la médecine, il faut bien reconnaître qu'un
professeur
, dont le devoir est de connaître, d'exposer et de
t dit tout ce qu'il faut dire. Il est précédé d'une courte préface du
professeur
Dujnrdin-Benumctz, dont je vaux citer quelques li
t vainement à lui arrecher des aveux, lorsque arriva dans la ville un
professeur
d'hypnotisme ":' nommé Zamora. qui stupéfia la po
blait obtenir des résultats étonnants. M. de Penemprat alla voir le
professeur
, fut stupéfait et ravi, et songea u se servir de
à l'une ées extrémités delà ville. Arrivé en face du vieux mur. le
professeur
s'arrêta net, frappa du pied la terre et commença
cat de Pichereau, U* Brunschwig, il se pourrait bien cependant que le
professeur
Zamora fût un joyeux fumiste, et qu'instruit du v
er la véracité du fait. Nous pouvons gager que d'ici peu ce singulier
professeur
, qui joue à volonté le rôle d'hypnotisé ou d hvon
n sous un jour entièrement nota-veau; après avoir étudié Ampère comme
professeur
, il dit : La métaphysique vint constamment à la
ls ils pourraient essayer de corrompre les gardiens. Cours de M. le
professeur
Charcot. * M. le pni:c>>eur Charcot a rec
à des malades atteints de grande hystérie. En terminant. l'émincnt
professeur
a démontré, au moyen de l'hypnotisme, par quel
sous les veux. u NOUVELLES Faculté de médecine de Paris. — M.le
professeur
Charcot a commencé le cours de clnique des maladi
quart, et le continuera les mardis suivants, a la même heure, M. le
professeur
Ball commencera le cours de clinique des maladies
es, adressées à la Rédaction. ouvrages reçus a la revue Liégeois,
professeur
a la Faculté de droit de Nancy. De la suggestion
N DATANT DE 35 ANS, GUÉRIE PAR LA SUGGESTION Par M. le Dr p. BU ROT
professeur
a l'école de u£»ecine de rochefort Mme V..., 55
nts de ce genre doivent être conjurés, ce n'est pas, que je sache, au
professeur
de philologie, ni même au professeur d'ophialmolo
, ce n'est pas, que je sache, au professeur de philologie, ni même au
professeur
d'ophialmologie que l'on s'adresse. Sous ce rappo
es magnétiseurs se jouent de 1*' santé de leurs sujets. Depuis. M. le
professeur
Charcot a signalé l'apparition,: dans un chef-lie
uemment par les partisans de la liberté des exhibitions publiques, le
professeur
Morselli, de Turin, dit. dans le traité qu'il vie
nt pour etTet d'instruire le public; il faudrait, pour cela, d'autres
professeurs
que ceux qui opèrent actuellement sur les tréteau
rtant, d'accord avec la logique, démontre que ces élèves supposent un
professeur
, que les séances privées et les conséquences qu'e
demment répété ailleurs. Comme nous l'avons vu plus haut, l'émïnent
professeur
de la Faculté de Paris. M. Chircot, dans sa leçon
sera alors probablement passée ; que dirait-on. au moment actuel. du
professeur
d'electricité qui consacrerait presque tout* sa l
de faite de bonne foi. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Cours de M. le
professeur
Giard sur l'évolution des êtres organisés. M. A
a l'étude de l'embryogénie. Eugène Caustier. Conférence de M. le
professeur
Preyer sur l'hypnotisme. Le célèbre physiologis
notisme. Le célèbre physiologiste M. Preyer vient de se fixer comme
professeur
agrégé a l'université de Berlin. Il a ir.auguré s
lettre que venait de lui écrire son éminent collègue de Paris, M. le
professeur
Charles Richet, qui le félicitait d'aborder l'ens
viendrons sur l'intéressante et importante initiative prise par M. le
professeur
Preyer. m. d. Vols dans l'état de somnambul
, chimiste, ancien préparateur du laboratoire de toxicologie de M. le
professeur
Brouardel, commencera le 3 décembre un cours prat
toire, 7, rue des Saints-Pères. Cours. — Asile Sainte:-Anne — M. le
professeur
Bail a repris son cours de cli-, nique dimanche m
le sur les Forces non définies. Collège de France. — Cours. — M. le
professeur
Brown-Séquard commençera. le cours de médecine le
est-i-dire la contracture. Du jour où notre éminent collègue, M. le
professeur
Charcot, eut tracé la description de ces trots ét
cours et conférences /attaque de sommeil Leçon clinique de M. Ic
professeur
Ciuscot Recueillie par M. le D' Bcrikj, chef de c
de la tt'tener ,\fed. Presse, a fnit au laboratoire de physiologie du
professeur
Basch. sur des chiens curante* c: soumis i la res
stés longtemps en repos. NOUVELLES M. Mairet, agrégé, est nommé
professeur
de clinique des maladie» mentale* ci nerveuses à
ecine de Montpellier. Faccltk de «koïcine dk Nascr. — M. Bernheiro,
professeur
de clinique médicale, membre du Conseil general d
nnée par M. Delbœuf pouvant, dans les termesoù elle est donnée par le
professeur
de Liège, être mal saisie par le lecteur et lui s
HYPNOTIQUE DANS UN CAS DE SCLÉROSE EN PLAQUES Par let D* J- FONTAN,
professeur
îl l'École de Toujon et Cn. SÈGARD, médecin princ
rvice de santé; Forné. médecin en chef; Bertrand et Galliot, médecins
professeurs
, docteur GuiUabert, et par nous-mêmes à diverses
aires des parties paralysées. M. le docteur Cunéo, médecin en chef,
professeur
de clinique médicale à l'école de Toulon, après a
le travail difficile s'impose, comment faire: — Alors, dit le savant
professeur
d'Abcrdecn. évertuez-vous i apprécier, avec juste
e la durée de ses études, l'étudiant est soumis à la surveillance des
professeurs
et de leurs aides; il est obligé d'assister à tou
stre suivant, de fournir des certificats d'assiduité délivrés par les
professeurs
sous la direction desquels il a travaillé. Il ne
i aspirent à une charge dans 1 enseignement officiel de la médecine :
professeurs
, assistants, médecins des hôpitaux, chefs et aide
aux, chefs et aides de laboratoires, etc. Sous l'ancien régime, les
professeurs
nommaient eux-mêmes les titulaires aux chaires va
e pouvait nommer un candidat autre que l'un de ceux présentés par les
professeurs
. D'après le nouveau régime, la Faculté fait une
uses et des maladies mentales est concentré entre les mains d'un seul
professeur
chargé de la chaire spéciale de psychiatrie. Un
es nerveuses fut négligé, ou, du moins, il fut purement théorique, ce
professeur
s'occupant exclusivement des maladies mentales. M
GUERIE EN ONE SEULE SÉANCE PAR LA SUGGESTION Par 1« D' P. BU ROT,
professeur
à l'Ecole de médecine de Rochefort Mlle E..., 1
extérieure, les perceptions sans objety selon la définition de M. le
professeur
Bail, peuvent être provoquées chez les hypnotisés
onnelles. « Nos erreurs, nos illusions, nos hallucinations, dit M. le
professeur
Bernheim (2), ne sont pas toutes spontanées, nées
maginaire, que je leur décris avec toute l'autorité que peut avoir un
professeur
sur ses élèves. Je mets entre leurs mains une pré
ré pour la première fois par mon savant ami. M. le D' Léon Frédéricq.
professeur
de physiologie à l'Université de Liège, lequel a
. (A suivre.} UN CAS DAUTO-H YPNOTISATION Observants de M. le
professeur
FORF.L, de Zurich Une après-midi, étendu sur un
Les bâtiments ont été construits sous la direction de M. Kojewnîkoff,
professeur
de clinique des maladies mentales et nerveuses a
fermée*, les malades sont dirigés sur les hôpitaux de la ville et les
professeurs
et leurs aides sont libres jusau au 20 3oût. date
ffet, dans le cours de ma mission, j'ai voulu connaître L'opinion des
professeurs
a ce sujet, et tous m'ont répondu que cette organ
nt les vacances, et cela dès la première année de sa fondation. M. le
professeur
Mierjiewsky. a Saint Péicrsbourg, nous a affirmé
st celle de Saint-Petersbaurg ; je la prendrai comme exemple. M. le
professeur
Mierjiewsky fait, par semaine, trois leçons sur l
inique des maladies mentales et ncr- veuses, ils som les aides du
professeur
, complètent son enseignement et tont chacun une l
ce qui épargne à l'étudiant des pertes de temps considérables. Les
professeurs
de clinique des maladies mentales et nerveuses da
irection de M. le docteur Moc-zoutkowsky. privat-docent. c'est-à-dire
professeur
agrégé Je la Faculté de Saint-Pétersbourg, un ser
es, j'ai joint ù mon rapport le plan du laboratoire de la clinique du
professeur
Kojcw-nikolf. Quoique l'enseignement de la ncur
e du système nerveux. Les plus connus de ces travaux appartiennent au
professeur
Bcchtercw. de Kazan. En Russie, toutes les Facu
e clinique et légale et de la .\europatho-togie, sous la direction du
professeur
Mierjiewsky.Ce journal parait deux ou trois fois
e, de Neurologie et de Psycho'pathologie légale, sous la direction du
professeur
Kowalewsky. de KarkotT. Ce journal parait six foi
a paru, à Karkoff, un nouveau journal : Le Recueil fkyziologique, du
professeur
Danilewsky, journal ne publiant que dci travaux o
es lisions des méninges et du cerveau dans la fièvre typhoïde, par le
professeur
Popoff, 1887. Sur ta Pathologie de la lèpre (Lé
Physiologie de la région psrcho-motrice de l'écorce cérébrale, par le
professeur
Bechtercw, 1880. Traité de Psychiatrie, par le
e, par le professeur Bechtercw, 1880. Traité de Psychiatrie, par le
professeur
Kowalewsky; ouvrage en deux volumes, paru en 1887
ués confrères, parmi lesquels nous citerons : M. Bcaunis, l'emi* nent
professeur
de la Faculté de Nancy, MM. les 11" Cotlineau, Hu
e, le D' Bérillon, se conformant à la méthede d'enseignement de M. le
professeur
Charcot qui a donne à la Salpctrière de si brilla
ée, et en même temps d'enregistrer la Domination de M. T. Ribot comme
professeur
titulaire. Cette création en appelait évidemment
. Ce laboratoire est placé sous la direction de M. Beaunis. l'éminent
professeur
de physiologie a la Faculté de Nancy. Sans tard
Hospice de h Salpétrikre. — Clinique des maladies nerivuscs. — m. le
professeur
Charcot fait les mardis, a 9 heures 1/2, une leço
lades. Asile Sainte-Aune. — Clinique des maladies mentales. — m. le
professeur
Balen fait, les dimanches et les jeudis, des leço
ci quelques exemples, extraits de mes notes : Un physicien émïneni.
professeur
dans une de nos facultés des sciences, soumis à l
pés. Il y a là un défaut contre lequel nous devons réagir, et que les
professeurs
appelés à diriger les premiers pas d'un débutant
ON GUÉRIS PAR LA SUGGESTION HYPNOTIQUE Par le Docteur A. CHILTOFF
PROFESSEUR
A LA PACULTÉ DE KHAREOFF / Le prêtre Nicolas Bo
sur les maladies mentales et nerveuses. Dans la première leçon, le
professeur
a fait l'étude des symptômes de ht paralysie géné
ns cliniques faites avec tant d'autorité, à la Salpciricre, par M. le
professeur
Charcot, notre éminent maître a étudié un cas de
Hospice: de la Salpêtrière. — Clinique des maladies neveuses. — M. le
professeur
Charcot fait les vendredis, à 9. heures 1/2, une
ique des maladies mentales. — Clinique des maladies mentales. — M. le
professeur
Balen fait, les dimanches et les jeudis, des leço
on 1 (personnelle) Recueillie à l'asile Sainte-Anne, service de M. le
professeur
Bail. Marie femme C..., âgée de Sa ans, est ent
La vérité est entre ces deux extrêmes. « Pour le public, dit M. le
professeur
Bail, ou plus exactement pour » les profanes qui
ité, une sorte de terrain neutre, de zone mitoyenne, à laquelle M. le
professeur
Bail a donné le nom heureux de Frontières de la J
autorisation de donner leurs dangereuses représentations. L'émineni
professeur
de médecine légale de Paris. M. le D'Brouardel, e
DE MONTPELLIER LEÇONS SUR LE GRAND ET LE PETIT HYPNOTISME Par le
professeur
J. GRASSET Recueillies et publiées par G. RAUZ1ER
réguliers sur un tableau, par exemple, comme l'ont fait valoir le
professeur
Honsley et d'autres, n'est pas recevable, attendu
e (pression artérielle dans la), par Féré. 369. Conférence de M. le
professeur
Preyer sur l'hypnotisme, 190. Congés d'hypnolog
a Faculté, 349. Cours de M. le Dr Auguste Voisin, 316. Cours de M. le
professeur
Charcot, 157. Cours de M. le professeur Giard, 18
e Voisin, 316. Cours de M. le professeur Charcot, 157. Cours de M. le
professeur
Giard, 189. Dangers de l'hypnotisme, par Séglas
oup sûr qu'il est hystérique (1). Une seconde raison réside pour le
professeur
Pitres dans ce fait que tous les symptômes que l'
que. a Entre l'hypnose provoquée et l'hypnose spontanée, conclut le
professeur
Pitres, il n'y a aucune différence de nature. Hyp
mmeil, qui développe la suggestibilité, qui fait la guérison. M. le
professeur
Bernheim dégage la suggestion du sommeil provoqué
t à nous, nous nous refusons absolument à partager l'opinion de M. le
professeur
Bernheim. Elle nous parait en contradiction forme
phénomènes observés dans l'hypnose démontrent qu'ainsi que l'a dit le
professeur
Brissaud, chacun des segments superposés dont l'e
des produits de l'automatisme cérébral. Ainsi que l'a si bien dit le
professeur
Raymond, on retrouve « pour rendre compte des phé
Physique et de Chimie dans un lointain collège de province. Un vieux
professeur
à l'apparence bourrue nous diefait mot à mot son
s un élève se fût permis de demauder un éclaircissement quelconque au
professeur
, il eût été considéré comme un mauvais esprit et
que à laquelle les lignes suivantes étaient écrites: « M. Malaguti (
professeur
de chimie agricole à la Faculté de Rennes) a appe
. » Au bout de 15 secondes, la plupart des auditeurs placés près du
professeur
levèrent la main. En 40 secondes 1' a odeur» se r
s malades appartenaient à toutes les classes de la société : savants,
professeurs
, médecins, prêtres, marchands, commis, ouvriers,
Répond, Séglas, von Schrcnck-NoUiwr, Tokarsky, Jules Voisin, etc.
professeur
d'histoire de la médecine et de la chirurgie à la
son état sans le guérir. Le jeune violoniste Kun Arpad Par M. !o
Professeur
Lionel Dauhiac. Invité par M. le Dr Bérillon à
uhiac. Invité par M. le Dr Bérillon à examiner, de concert avec les
professeurs
de l'Ecole de Psychologie, le jeune violoniste Ku
COURS ET CONFÉRENCES TJn cas d'hystéro-traumatisme {') Par m. le
professeur
Raymond L'homme que je vous présente est un ouv
ait danser au Moulin-Rouge ! Un cas de folie morale (1) Par M. le
professeur
Raymond Voici une jeune fille de seize ans qui
c être uniquement moral. Un cas d'eedème hystérique (1) par M. le
professeur
Rayuond. Voici une affection qui a souvent donn
triôrc présidait. Parmi les nombreux convives nous devons citer M. le
professeur
Lionel Dauriac, M. Melcot, avocat général à la Co
rinaire, M. le Dr Moiroud, dentiste des hôpitaux de Paris, M. Dumont.
professeur
à Tunis, etc., etc. M. le Secrétaire général do
ure de nombreuses lettres d'excuses parmi lesquelles, celles de M. le
professeur
Raymond, de M. le professeur Jolïroy, de M. le pr
xcuses parmi lesquelles, celles de M. le professeur Raymond, de M. le
professeur
Jolïroy, de M. le professeur Proust, do MM. les D
es de M. le professeur Raymond, de M. le professeur Jolïroy, de M. le
professeur
Proust, do MM. les D" Paul Richer et Huchard, mem
ie de Grenoble, de M. le Dr Deny, médecin de la Salpétrière, de M. le
professeur
Bianchi,de l'Université de Parme, de MM. les 1)"
" Félix Rcgnault, Aragon, Wateau, Henry Lemcslc, de M. Marcel Dubois,
professeur
à la Sorbonne, de M. le professeur Beaunis, de M.
enry Lemcslc, de M. Marcel Dubois, professeur à la Sorbonne, de M. le
professeur
Beaunis, de M. le professeur Tarde, de M. Albert
bois, professeur à la Sorbonne, de M. le professeur Beaunis, de M. le
professeur
Tarde, de M. Albert Colas, trésorier. M. le Dr
es facilités ont été données au directeur de notre Institut pur M. le
professeur
Oustalefr pour pratiquer certaines expériences à
du doc-, leur Jules Voisin comme dans celle récemment publiée par le
professeur
Raymond, est la rapidité et la facilité de la gué
nseurs dans MM. Lombroso, Enrico Ferri, Sighèle, Carrara, et dans les
professeurs
Iiénédick, devienne, et Tschisch, de Dorpat. -
Lejeune, ancien ministre de l'intérieur en Belgique; par M. Gauckler,
professeur
à la Faculté de droit de Nancy. Nous reviendron
'adresser de vifs remerciements aux organisateurs du Congres. MM. les
professeurs
Van Hamel, président, Winkler, vice-président, We
urs, il y aura infraction punissable. — La loi -va même plus loin; un
professeur
de clinique ne pourra plus, sans se mettre en con
nseurs des représentations publiques d'hypnotisme sont : M. Delbceuf,
professeur
à l'Université de Liège, M. le professeur Morsell
notisme sont : M. Delbceuf, professeur à l'Université de Liège, M. le
professeur
Morselli, de Turin, MM. Ruel et Kuborn, de l'Acad
M. Jules Voisix. La correspondance comprend des excuses de MM. les
professeurs
Joffroy,Raymond, Ch. Richet. de la Faculté de méd
eurs Joffroy,Raymond, Ch. Richet. de la Faculté de médecine, de M. le
professeur
Beaunis, de M. le professeur Tarde, du Collège de
het. de la Faculté de médecine, de M. le professeur Beaunis, de M. le
professeur
Tarde, du Collège de France ; de MM. les D" Paul
iété charge le Secrétaire général d'exprimer ses condoléances à M. le
professeur
Raymond, membre de la Société, à l'occasion de la
de sa gestion et lui vote des félicitations. Candidatures: M. le
professeur
Beaunis est élu, à l'unanimité, membre d'honneurd
en particulier pour l'étude de la musique Par le Dr Paul Joire.
Professeur
à i'institut Psycho-physiologique de Paris, Prési
Nous venons d'avoir l'occasion d'observer, dans le service de M. le
professeur
Combemale, une hystérique qui y est entrée pour u
ier 1901, entrait à l'hôpital de la Charité, dans le service de M. le
professeur
Combemale, la nommée Dh.....Octavie, dévideuse, â
RS ET CONFÉRENCES Un cas intéressant de fugue mixte (3) Par M. le
professeur
Raymond Au point de vue clinique, on distingue
vera de le guérir. Maladie des tics avec eoprolalie (1) Par m. le
professeur
Raymond Voici une jeune fille de 13 ans et demi
remarquable ouvrage de M. Georges Guinon, ancien chef de clinique du
professeur
Charcot, Les agents provocateurs de l'hystérie.
nir la création de centres psychiques d'arrêt et à utiliser ce que le
professeur
Renault, de Lyon, désigne d'une façon si heureuse
relatif aux pseudo-{/rosse.sses à substratum organique. En effet, le
professeur
Cantacuzène de Bukha-rest, nous a fait connaître
CES Angoisse hystérique et angoisse psychasthénique ('( Par M. le
professeur
Raymond Voici deux malades qui se plaignent de
lisme. Sur lui et sur son frère Eusèbe, médecin comme lui. Gui Patin,
professeur
de médecine au Collège de France, est catégorique
e, Henri Aimé rapporte un cas de tympanite hystérique, observé par le
professeur
Haushalter, et qui présente une analogie frappant
es. Paroxysmes d'angoisses, ëpllepsie et hystérie (') par m. le
Professeur
Raymond i Notre premier malade est âgé de 52
à M. Albert Colas, trésorier, 1, place Jussieu. Les sensations d'un
professeur
électrocuté Au lendemain de l'électroculion de
un journal, les sensations éprouvées par M. André Broca, le distingué
professeur
agrégé de physique qui, expérimentant un jour une
e. Vendiiedi 31 Janvier, à huit heures et demie, M. Lionel Dauriac,
professeur
honoraire à la Faculté des lettres de Montpellier
française; Boirac. recteur de l'Académie de Grenoble; Lionel Dau-niAC,
professeur
honoraire de la Faculté de Montpellier; Marcel Du
niAC,professeur honoraire de la Faculté de Montpellier; Marcel Dubois,
professeur
& la Sorbonne ; Giard, professeur à la Sorbon
é de Montpellier; Marcel Dubois,professeur & la Sorbonne ; Giard,
professeur
à la Sorbonne ; Huchard, membre de l'Académie de
eur à la Sorbonne ; Huchard, membre de l'Académie de médecine; Kibot,
professeur
honoraire au Collège de France, membre de l'Acadé
ences morales; Albert Robin, membre de l'Académie de médecine; Tarde,
professeur
au Collège de France, membre de l'Académie des sc
'Académie de médecine. Hypnotisme thérapeutique M le D' Bérillon,
professeur
. Objet du cours : l-a thérapeutique des maladies
lundi i3 janvier. Hypnotisme expérimental. M. le D' Paul kUfflflN,
professeur
. Objet du'cours : L'hypnotisme et la suggestion c
¡3 janvier. Hypnotisme sociologique. M. le Dr Félix Ui-gnault,
professeur
. Objet du cours : Action organique et vaso-motric
janvier. Psychologie normale et pathologique. M. le Dr Paul Farez,
professeur
. Objet du cours : La psychologie du sommeil natur
mardi 14 janvier. Psychologie de reniant. M. le Dr Belleuanièhe,
professeur
. Objet du cours : Du rèlo de la suggestion dans l
rtir du jeudi 16 janvier. Psychologie du criminel. M. le Dr Wateau,
professeur
. Objet du cours : L'enfance délinquante et crimin
anvier. Psychologie des foules et Folklore. M. le Dr Henry Lemesle,
professeur
. Objet.du cours : La foule religieuse. Pèlerinage
ier. Anatomie et Psychologie comparées. ' M. e. Caustier, agrégé,
professeur
de l'Université. Objet du cours : Les fonctions p
ir du samedi 18 janvier. Psychologie des animaux. M. le D* Lépinay,
professeur
. Objet du cours : Névroses et psychoses chez les
médecin de la Salpêtrière, membre du Comité de patronage, et tous les
professeurs
de l'Ecole, MM. les Drt Bérillon, Paul Magnin, Fé
nault, Paul Farez, Belle-manière, Wateau, Henry Lemesle, M. Caustier,
professeur
agrégé de l'Université, et M. Lépinay, secrétaire
tation de l'Ecole. Elle était composée de médecins, de magistrats, de
professeurs
de l'Université, de publicistes et d'étudiants de
on do M. le D' Bérillon Messieurs, Mon premier devoir, au nom des
Professeurs
de l'École de Psychologie, est d'exprimer toute n
la Pitié, dans une de ses leçons intitulée le Nouveau vita-lisme, le
professeur
Albert Robin disait excellemment : « à l'organism
ernière, vous avez applaudi aux encouragements que nous donnait M. le
professeur
Tarde, lors de notre séance d'inauguration. Nous
nage s'est complété par trois adhésions des plus précieuses : MM. les
professeurs
Berthelot, du Collège de France, G-iard et Marcel
livre pour lui adresser l'expression de notre vive admiration. Les
professeurs
de l'Ecole de psychologie, poursuivant leurs étud
ons de cette étude ont été présentées à laSociété d'hypnologie par le
professeur
Lionel Dauriac et par le Dr Félix Regnault. Un pe
nsées, m. Modiano est venu, de Salonique, se soumettre à l'examen des
professeurs
de l'Ecole de psychologie. Nous avons pu constate
ité de notre Comité de patronage, au zèle et au dévouement de nos
professeurs
, mais surtout à l'excellent et au bienveillant co
e et la suggestion chez les hystériques (') l'ar le D' Paul Magnin,
professeur
à l'Ecole de psychologie Le cours de cette anné
des phénomènes du sommeil provoque réside, comme l'a fort bien dit le
professeur
Pitres, dans l'inconstance et la mobilité des phé
de Jésus devant la science hypnotique (') par le Dr Félix Regnault,
professeur
à l'Ecole de psychologie ON Plusieurs auteurs
YCHOLOGIE Un soi-disant liseur de pensée Par M. le Dr Paul Fabez,
professeur
à l'École de Psychologie Il y a quelques jours,
hologie Il y a quelques jours, M. le Dr Bérillon avait convoque les
Professeurs
de l'École de Psychologie à une séance de lecture
service La lecture de pensée chez les animaux. par M. Lépinay,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. M. le Dr Farez vient
use. — Le Martyre de Robert d'Arbrissel Par M. le Dr Henry Lemesle,
professeur
à l'Ecole de Psychologie Afin de conserver leur
n composée de MM. les docteurs Paul Magnin, Henry Lemesle et Lépinay,
professeurs
. Les cordons du poêle étaient tenus par MM. Surug
éthode d'une manière éclatante. Il a conquis même le camp adverse. Le
professeur
Raymond, successeur de Charcot à la Salpëtrière,
me et la suggestion chez les hystériques (') Par le Dp Paul Magnin,
professeur
à l'Ecole de psychologie (Suite) On a fait à
ainsi dire à l'infini. Dans ses leçons cliniques sur l'hystérie, le
professeur
Pitres ne distingue pas moins de douze états déri
ie peut apparaître très tard. Dans une de ses dernières cliniques, le
professeur
Raymond rappelait qu'il l'avait vue débuter non s
ins de la ville, qui sont toujours assidus aux leçons si pratiques du
professeur
de l'hôpital Necker. M. Huchard a traité de la
ULLETIN l'hypnotisme et la psychologie au Collège de France M. le
professeur
Pierre JANET La chaire de Psychologie expérimen
lement approuvée dans le monde philosophique et médical. Le nouveau
professeur
du Collège de France n'a que quarante-cinq ans. A
, de line analyse et d'expérimentation vraiment scientifique. Nommé
professeur
de philosophie dans les lycées de Paris, m. Pierr
ses à la Salpêtrière, il publie, en 1898, en collaboration avec M. le
professeur
Raymond, Névroses et idées fixes, deux gros volum
s thérapeutiques de l'hypnotisme. Nous n'avons pas oublié que M. le
professeur
Pierre Janet fut un des membres fondateurs de la
acteurs de cette Revue, un très agréable devoir d'adresser au nouveau
professeur
du Collège de France les félicitations les plus v
es. La psychothérapie et la suggestion vigile Par M. le dr Spehl,
professeur
à l'Université de Bruxelles Dans l'enseignement
obscur encore ! Ceci nous remet en mémoire cette boutade d'un vieux
professeur
, très savant et très distingué, de l'Université d
t hypnotisme chez les hystéro-épileptiques . par le Dr Paul Magnin,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. Dans l'avant-dernicre
ipation opiniâtre et suggestion hypnotique Par M. le Dr Paul Farez,
professeur
à l'Ecole de Psychologie. Je désire vous dire q
nent avec l'opérateur. Les observations que M. le docteur Paul Parez,
professeur
à l'école de psychologie, vient de présenter à la
an térograde et intoxication par l'oxyde de carbone (') Par M. le
professeur
Raymond Voici un malade au sujet duquel on pour
ur de muscles, et sensibilité tactile. Nous avons reçu de M. Giard,
professeur
à la Sorbonne, une très flatteuse et très intéres
la Revue Thomiste, sous le titre : Les limites de la biologie, M. le
professeur
Grasset, de Montpellier, s'applique à démontrer l
1G« ANNEE — ? M. Mai 1902. La sociologie criminelle (') Par M. le
professeur
Nicbforo, de Lauzanne On croitgénéralement que
née — ? 12. ^ÇjwgSr Juin Ï902. La sociologie criminelle Par m. le
professeur
Niceforo, de Lauzanoe (suite et fin) Celui qu
n et fausse pelade. —Méfaits d'hypnotiseurs amateurs {'), par M. le
professeur
Raymond. La jeune fille que voici n'a pas les c
Ce livre est précédé d'une très remarquable introduction de M.Parodi,
professeur
agrégé de philosophie au lycée de Bordeaux. m. Pa
ur le comprendre, et de liberté, pour le juger. » Alors qu'il était
professeur
au lycée de Rodez, M. Parodi eut la bonne fortune
logie, p. 192, 223, 225, 255, 352. Electrocuté (Les sensations d'un
professeur
), p. 221. Enseignement médical de la Pitié (L")
RVEUSES ET MENTALES Fondiïiï par J.-M. CHARCOT PUH A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales a la Facu
ychiatrique comme pour les autres, et cela, non en considération du
professeur
, mais au point de vue de l'enseignement. L'Etat
point de vue de l'enseignement (évacuation sur un asile) . 4° Le
professeur
de psychiatrie, ajoute Griesinger, doit être un
atrie n'est qu'un chapitre delà pathologie du système nerveux. Le
professeur
Kraepelin se base sur les exigences bien distinct
e traitement ne serait pas, ou aurait cessé d'être nécessaire. Le
professeur
Meschede est également partisan de la création
leur banlieue. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 33 Policlinique. Le
professeur
Fùrstner insiste avec raison sur les services c
de Wurzbourg n'en possède que 60, mais il convient d'ajouter que le
professeur
de psychiatrie dispose en outre d'un quartier d
ce) est partout appliqué. Il a été adopté, dès l'année 1861, par le
professeur
Ludwig Meyer, alors à Hambourg, et par Griesing
répandu dans les asiles allemands puis dans ceux de l'étranger. Au
professeur
Ludwig Meyer, de Gôttingen, revient le mérite d
re l'application du traitement par le lit. Rappelons que d'après le
professeur
Rieger, l'alitement, devant être appliqué d'une
états de faiblesse, d'épuisement d'anémie d'amaigrissement. Pour le
professeur
Ludwig Meyer (de Gottin- ger) qui, depuis plus
par le sulfonal. Depuis la Semaine Médicale a publié un article du
professeur
Lépine relatant dix cas de mort après l'emploi
tabétiques des cordons posté- rieurs de la moelle épinière; par le
professeur
Ch.-L. DANA (de New-York). Les colonnes posté
d'après les malades du service de Charcot ou de son successeur, le
professeur
Raymond. Les modèles ont été naturellement choi
pu en observer un nouvel exemple dans le service de notre maitre le
professeur
Raymond. Observation clinique. Gulz... 45 ans.
eure du cône médullaire doit, après les observa- tions cliniques du
professeur
Raymond et les recherches anato- miques de Mull
ce normale, pouvait être rap- prochée de la monstruosité double. Le
professeur
Fournier, comme M. Porak, croit qu'il faut rapp
ile-école pour les enfants idiots et arriérés, sous la direction du
professeur
Paryse. Nous n'avons pas, malheureu- sement, à
miplégie organique, et l'hémiplégie hystérique ; par David Feurilr,
professeur
de neuro-patbotogie à King's Collège, Londres.
l'hémiplégie organique et de l'hémiplégie hystérique; par W. Roui,
professeur
à l'Université impériale de Moscou. L'étude a
. IIO : .IFN (d'IIelsingfors). Tumeur de la moelle épinière; par le
professeur
llEIOEclm ? Sur lui moyen pour étudier les vari
'obsession. r, Séance de clôture, jeudi 9 août. Présidence de M. le
professeur
TAMBURll'\1 (de Reggio). conférences De MAI
chronique qui rectifie lui-même ses hallucinations. Il s'agit d'un
professeur
, d'in- telligence très cultivée, mais aussi de
irréductible dans son délire. Il voit en ce moment un autre aliéné,
professeur
de philosophie, instruit, qui puise dans ses co
e favorisée par l'affection principale. Enfin les observa- tions du
professeur
Pitres ont rapport à des individus isolés, et b
ement y faire rentrer la maladie particulière qui nous occupe. Le
professeur
Charcot et M. Marie ont décrit, en 18863,une va
moelle dans la même famille, et si la loi d'hérédité établie par le
professeur
Dieulafoy pour le cer- veau pourrait être retro
de trois à huit heures. Elle fut guérie par la quinine. Aussi le
professeur
Landouzy considére-t-il ce cas comme une para-
Le jury d'examen, présidé par le doyen de la Faculté, se compose de
professeurs
de l'Université, désignés chaque année par les au
bre de fois par semestre. Ils examinent les malades sur lesquels le
professeur
fait sa leçon et sont interrogés par lui. 1 8
gratuite ou rétribuée,.est subordonnée à.l'autorisation spéciale du
professeur
. 11 (Convient ;.de, signaler.unsdétail.dontlles é
détail.dontlles étudiants parisiens apprécieront l'importance : les
professeurs
etlestPrivat- docentenseconcertent de, façon à
en effet données au choix,sans concours; mais il est-évident que le
professeur
de clinique a tout : intérêt à-iiei choisir i pou
attaché. la clinique en qualité de médecin en second, -suppléant du
professeur
; ;<être nommé professeur extraordinaire, ju
té de médecin en second, -suppléant du professeur ; ;<être nommé
professeur
extraordinaire, jusqu'au jour ou. unei Univer-
inaire, jusqu'au jour ou. unei Univer- sité lui offre'une place der
professeurs
ordinaire. »'En 'général' on débute pan les ! U
s riches, fait remarquerai. Mauclaire, se disputent les meil- leurs
professeurs
...' Pour le professeur l'enseignement pur et simp
ai. Mauclaire, se disputent les meil- leurs professeurs...' Pour le
professeur
l'enseignement pur et simple estime carrière de
entales fassent partie du programme de l'examen d'Etat. De même, le
professeur
Fürstner voudrait que tous les mé- decins prati
il convient en effet de faire d'abord l'éducation des médecins. Le
professeur
Binswanger (d'Iéna) est également partisan de l
Fischer, 1893. 218 ENSEIGNEMENT. Universités allemandes par des
Professeurs
ordinaires, des Pro/'es- seurs extraordinaires
- sitaire des renseignements que nous résumons ci-dessous). * Les
professeurs
ordinaires (0,tleiitliche ? , Pi-ofesso-) sont .
tat,- ni par l'Université. SU est en rapport avec la- réputation du
professeur
et l'éclat de son enseignement.* Les professeurs
c la- réputation du professeur et l'éclat de son enseignement.* Les
professeurs
ordi- ,naires,,iiiaitres absolus de leur chaire
zisse2-oi-tlenilicheiPi,ofesso7,) n'ont .point les prérogatives des
professeurs
ordinaires. On peut compa- rer leur situation à
eurs'cours. C'est parmi eux'que les Universités i recrutent 1 les i
professeurs
«-ordinaires, mais nombre d'entre eux n'arriven
ent pas à obtenir ce, titre. L'ancienneté' ne joue aucun rôle. * Le
professeur
extraordinaire attend tout'de sa réputa- tion s
sireuse de se l'attacher. 1 Quant aux Pniuvl-elocezzlen,ce sont des
professeurs
libres qui ont obtenu de la Faculté l'autorisat
cutives, un cours en présence d'un audi- toire suffisant, est nommé
professeur
extraordinaire. . Nous avons donné plus, haut q
durent en général qu'un semestre et même moins, tandis que ceux des
professeurs
durent toute l'année (Mau- claire). Ce n'est
r une population de 120 malades, le personnel' médical suivant : le
professeur
de cli- nique psychiatrique (directeur-médecin
s; un médecin volontaire. A la clinique de Berlin (188 malades); le
professeur
: est secondé 'par quatre assistants (dont un p
nctions d'assistant remplies par un privat-docent. Pas plus que les
professeurs
(ordinaires ou extraordinaires), pas plus'que '
ans même. ' « Ce n'est pas humilier la science française, dit M. le
professeur
agrégé Lejars, c'est la servir que de reconnaît
mbreux personnel médical il possible d'organiser, comme l'a fait le
professeur
Rie-er à Wurzbourg, un service de surveillance
e, une série de dix-neuf cours faits par des privat-docenten ou des
professeurs
. Ces cours, d'une durée de deux à trois semaine
ale) ; six cours de maladies nerveuses et éleclrolltét'apie par les
professeurs
ou privat-docenten M. Bernhardt, Goidscheider.
étrangers les- suivent en foule. Dans l'espace de cinq;semaines, un
professeur
, traite complètement tout'un genre d'affections
la moindre influence; et t le privat-docenttmarcbe de pair avec le'
professeur
. C'est donc une lutte ai armes presque- égales et
docteur'étranger. ou français pendant' son mois de vacances. Les.
professeurs
, d'autre part, s'efforceraient d'avoir des élèves
formalité qu'un certificat de. médecin; sous la responsabilité' du
professeur
de clinique. Les cliniques, étant. des établissem
et effet ! par les univer- sités. Dans la plupart d'entre elles, le
professeur
dispose à son gré d'un certain nombre de lits (
e 15 octobre 1878, à proximité immédiate des autres cliniques. Le
professeur
, docteur, Fïirstner, a publié dans une intéressan
vernement du royaume de Saxe ne partagea pas cet avis et chargea le
professeur
Flechsig de l'organisation de la clinique, qui
ue psychiatrique de Strasbourg fut inaugurée le 29 octobre 1886. Le
professeur
Jolly arrive à des conclusions analogues et ins
e Triboztry-eza-Brisgctzt, dit M. La- dame, fut ouverte en 1887. Le
professeur
Emminghaus, qui en est le directeur, m'annonce
s caractères com- muns qui ont été proclamés par divers auteurs. Le
professeur
Hitzig, de Halle, qui avait reconnu les inconvé
nd ihoe Wirksamkeit in den'Jahî,en 1882-1886, von Dr Paul Flechsig,
professeur
de psychiatrie et directeur de la clinique (mit
nvisagée jus- qu'ici au seul point de vue de l'enseignement. « Le
professeur
Ludwig Meyer a fait à Gôttingen des expériences
cessaire pour la clinique. C ? exactement comme si l'on plaçait les
professeurs
des clinique^ médicales et chirurgicales à la t
rançais la très intéressante classification qu'a publiée en 1899 le
professeur
Kraepelin. Nous reproduisons ci-dessous le tablea
ui ne peut s'acquérir et se développer que s'il existe déjà chez le
professeur
une disposition naturelle spéciale... L'étudian
es. Dans celles-ci on apprécie sans doute aussi particulièrement le
professeur
qui ne se borne pas à vivre sur le fonds commun
Mais, dans le domaine de la psychiatrie, le travail person- nel du
professeur
est précisément la condition sine qua non de son
dans sa science spéciale. « Les cliniques psychiatriques, ajoute le
professeur
Wernicke, sont en première ligne des instituts
e, en admettant, comme cette dernière, les maladies nerveu- ses. Le
professeur
0. Binswanger, de Iéna, développa cette pensée
urs fait le 20 novembre 1891, à l'occasion de sa nomi- nation comme
professeur
ordinaire de cette université. « Plus les conna
t de l'enseignement universitaire, comme nous venons de le voir, le
professeur
l31eer, à Wuizburg, met spé- cialement en relie
moins important. Leur personnel est considérable ; les cours des
professeurs
ordinaires et extraordinaires, des privat-docente
guérison les plus élevés, à savoir de 55 à 61 p. 100 Le public ' Le
professeur
Meschede fait remarquer avec raison que le public
on I. Le 19 octobre 1899, entre dans le service de mon maitre M. le
Professeur
Mossé, le nommé Antoine L..., âgé de trente-six
Paris, juillet 1900.) L'auteur, adoptant les idées exposées par le
professeur
Kroepelin, dans sa dernière classification de 1
IER. XIV. Manuel du praticien. Aide-mémoire de Neurologie; par le
Professeur
P. LEMET. ]3aillère, éditeur, 1900. Ce manuel,
il's à son asile. VARIA. La clinique de Tuuingen. Une notice du
Professeur
Siemerling fournit les renseignements suivants
les courants constants et induits, qui sert aus-i de table pour le
professeur
; d'un appareil à projections qui peut donner un
x (J.). Diagnostic el traitement des maladies nerveuses. Piéface du
professeur
J. Teissicr. In-16 cartonné de 550 pages, avec 65
E.. «, L'Épilepsie partielle. Pathogénie et traitement'' ? Par le
professeur
RAYMOND, M6dGcnidûIaëa ! pti'iôre. ' Messieur
la Clinique des maladies du système nerveux, t. V (sous presse), du
professeur
F. llaymond. ' ? ' ARCHIVES, 2- Série, t. XI. 2
voie, inaugurée par Horstey. La récente publication d'un mémoire du
professeur
Braun', de Koenigsberg, qui comprend un exposé
, entre autre la formation des cristaux d'hématoïdine, etc. M. le
professeur
Roth indique nombre de travaux russes que M. Pr
rique s'observent même chez des personnes bien por- tantes. M. le
professeur
Roth doute également de la valeur diagnos- SOCI
gauche. Le fond de l'oeil, examiné à la clinique ophtalmologique du
professeur
liadal, ne révèle pas de lésions. ' 2° Embarr
agérant dans certaines positions, et reconnue à l'examen, par M. le
professeur
Lanelongue et son chef de clinique le D1' de Bo
e sa cuisse, exécutée dans le laboratoire de physique de mon ami le
professeur
Bergouié. Elle montre la perfection du cal osse
action plus ou moins grande du tissu osseux. Grâce à l'amabilité du
professeur
Bergonié, qui a bien voulu radiographier la cui
Quant aux hernies musculaires de cavalier, chez mon malade, que le
professeur
Lannelongue de Bordeaux et son chef de clinique
et disparition des accès depuis un an; Par le Ur J.-A. ESTEVES,
Professeur
agrégé de la faculté et médecin des hôpilauv de B
En nous retournant les épreuves de son travail (mars 1901), M. le
professeur
Estèves y ajoute les notes suivantes qui en aug
és. Dresde a été la première ville allemande qui, sur la motion des
professeurs
Kern et Staetzner, a créé une classe auxi- llai
! t,cni[ : RË\\'(0o'M : e/)- clvcclrü, I\', 1S99). Il s'agit d'un
professeur
neurasthénique, qui sourit malgré lui, mal à pr
ques. A vous de juger. 0 ' Journal des Connaissances médicales du
professeur
Cornil, numéro Il 11 décembre 187'J. 5012 SOC
prier le cas et qualifier la lésion de para-syphi- lilique. M. le
professeur
Raymond a d'ailleurs publié trois observations
. F. r ! oiss)ER. ' Séance du 2 m<tt 1901. PRIIDE £ ÇCE de M. le
Professeur
Raymond. Contribution et l'Anatomie pathologiqu
E ET DE PSYCHIATRIE DE MOSCOU. Séance du 24 février 1900. M. le
professeur
Rotii présente cinq malades atteints de paraly-
es travaux de la clinique des maladies ner- veuses et psychiques du
professeur
13ECIITEREFI ? 1899, t. II. Saint-Pétersbourg.
ants de chaque religion. Ce sont les célibataires qui ont fourni au
professeur
Bekbtereff le plus grand nombre d'aliénés , 60.
emmes de seize à quarante ans (28,4 p. 100). De tous les malades du
professeur
t3ehlrtereff, 86 p. 100 appartenaient aux lettr
- cipale dans le traitement des aliénées. Comme hydrothérapie, le
professeur
Bekhtereff préfère les bains tièdes, agissant à l
et les illettrés 82. Les ma- ladies nerveuses sont divisées par le
professeur
t3eclilaerell'en cinq catégories : y 1° Malad
00 et sans cause 20 p. 100). P. KOUI.NDJY. VARIA. HOMMVGE A M. LE
PROFESSEUR
LACASSAGKE. Les collègues, élèves et amis de no
e Peters. 'f01. Hersage des nerfs, par de Buck, 1 12 Hommage au
professeur
Lacassague. 527. Ilrrernvnrtose. Gnérison d'u
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION Du
PROFESSEUR
CHARCOT (DE L'INSTITUT) PAR PAUL RICHER GILLE
après des vicissitudes diverses, a défini - 1. Notre maître, M. le
professeur
Charcot, nous a donné l'idée de ce travail et dir
graphie. Grâce à l'impulsion féconde donnée par notre maitre, M. le
professeur
Charcot, son domaine a été mieux exploré, ses l
ues » a été, dans ces dernières années, mise en lu- mière par M. le
professeur
Charcot. Nous en citerons, à titre de con- tras
Et on pourrait appliquer aux myélopathies organiques ce que M. le
professeur
Charcot dit quelque part de l'ataxie locomotrice
, tantôt celui de la sclérose en plaques ». Cinq mois après, lf. le
professeur
Pitres2 publiait une série d'intéressantes leço
) et aujourd'hui en voie de publication. Le 43 novembre 1880, M. le
professeur
Charcot consacrait à ces mêmes tremblements une
n, entre le 21 juillet 1890, salle Priiss, dans le service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires. Du côté de s
ue le gauche. Au bout de cinq mois, il quittait le service de M. le
professeur
G. Sée et reprenait son travail qui lui était p
. Il y a dix-huit mois, ri entre à Necker, dans le service de M. le
professeur
Dieulafoy pour un tremblement survenu sans caus
entré le 26 juin 1889, salle I'rüss, n° 4, dans le service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires. -Le malade n
. Il entra alors à l'hôpital Lariboisière, dans le service de M. le
professeur
Bouchard. où il resta trois mois et demi. Duran
ctuel (février et septembre 1890). - BI... a été présenté par M. le
professeur
Charcot à ses auditeurs du mardi (1889). Son obse
montre un tracé pris par M. Dutil et publié dans la leçon de M. le
professeur
Charcot. Mais si ce tremblement est atténué il n'
r hystérique. Cette dé- monstration a été faite amplement par M. le
professeur
Charcot. Ons. III (inédite). (La majeure partie
TEURS ». 27 OBs. IV (inédite). (Recueillie dans le service de M. le
professeur
Dieu- laloy par notre ami M. Poulalion). - Synd
La simulation semble ici complète. Avant d'entrer à Necker où M. le
professeur
Dieulafoy fit le diagnostic d'hystérie, ce malade
SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». z ? ;) ) provoquée par M. le
professeur
Tarnier, à la suite d'accidents éclamptiques av
an. Hystérie et rien qu'hystérie, tel a été le diagnostic de M. le
professeur
Charcot. Nous l'avons revu cette année même, le 1
e tremblante (schuttelneurose). A propos de cette observation, le
professeur
Eichhorst rappelle qu'il a connu un homme chez
sur la fréquence desquelles in- siste depuis plusieurs années M. le
professeur
Charcot. Du reste, les observations citées par
it quelque chose aux yeux ; on parla de le faire examiner par M. le
professeur
Panas. Mais à cause de l'encombrement produit à
lles de la Tourette et Dutil', la première étude inspirée par M. le
professeur
Charcot sur cette question qu'il a encore récem
avons cités. C'est dans le service de notre éminent maître, M. le
professeur
Charcot, pendant l'année où nous avons eu l'hon
t de la température au niveau de l'oedème. Dans une seule, celle du
professeur
Damaschino, il y a, mais d'une façon constante,
s avons expérimenté sont des femmes hystériques du service de M. le
professeur
Charcot, que notre maitre a bien souvent, depui
ne fille de vingt-trois ans, entrée en 1886 dans le servicede M. le
professeur
Charcot. Son histoire clinique est des plus cha
puisse livrer intégralement à la publicité les résultats obtenus
Professeur
LANNELONGUE. . Dans un cas de Craniee/omy /'or
oquées par diverses manoeuvres qui mettent en évidence ce que M. le
professeur
Charcot a désigné sous le nom de diathèse de cont
leinement la remarque formulée, il y a plus de trois ans, par M. le
professeur
Charcot touchant, le rhythme de ces tremblement
es de phy- siologie , 1887), dans les leçons de notre maître lll.le
professeur
Charcot, dans une thèse récente faite sous l'in
eur de chaises, est entré à la Salpêtrière dans le service de M. le
professeur
Charcot le 26 juin 1889. Antécédents héréditair
les trois mois qu'il passa à Lariboisière, dans le service de M. le
professeur
Bouchard, on lui donna plusieurs fois son attaque
sont empruntées, l'une à la leçon déjà citée de notre maître M. le
professeur
Pitres, l'autre à la thèse de notre ami Souques
ROMES SIMULATEURS ET DE LA SCLEROSE EN PLAQUES De l'avis de M. le
professeur
Charcot et de M. P. Marie, l'hystérie et la scl
organiques ont été mises en lumière pour la première fois par M. le
professeur
Charcot. L'hystérie est une névrose dont la fré
ement embarras- sante, si l'on veut se rappeler cesparoles de M. le
professeur
Charcot : « Vous n'oublierez jamais, dit-il, qu
E V PARAPLÉGIES HYSTÉRO-TRAUMATIQUES S31ULATRICES , C'est à M. le
professeur
Charcot que revient l'honneur d'avoir, il y a c
IMULATEURS ». 141 Cette observation se passe de commentaires. M. le
professeur
Charcot montre sans peine que les nerfs périphé
attouchement royal. Lisez ce qu'écrivait en '1714 le savant Dionis,
professeur
d'anatomie au Jardin des plantes et chirurgien de
us avons observé récemment, dans le, service de notre maitre, M. le
professeur
Charcot, une jeune fille atteinte d'une maladie i
entre le 22 avril 1891, salle Cruvcilher, dans le service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires. Son père est
' wagons-lits, est entré à la Salpêtrière, dans le service de M. le
professeur
Charcot, en juillet 1889 : Antécédents hérédita
le 8 avril 1889, salle Duchenne, lit n° 3, dans le service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires. Grand-père p
re le 6 juin 1889, salle Priiss, lit n° 8, dans le service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires. Père alcooli
la question. Et je ne pourrais citer à ce pro- pos que le livre du
professeur
ll'Iorselli qui, dans une série de remar- quabl
atomiques et physiologiques de ces différen- ces. » (Leçon de M. le
professeur
Charcot.) Nous reviendrons d'ailleurs sur ce po
e spasmodique. Dans cette première publication inspirée par M. le
professeur
Char- cot, qui m'avait confié plusieurs malades
etrouveront leur vigueur nor- male. Grâce à l'obligeance de M. le
professeur
Charcot, j'ai pu étudier deux nouveaux faits qu
nt de l'année 1888, la malade revient à Paris, pour consulter M. le
professeur
Charcot el se confier aux soins de M. le Dr ltamb
t les tissus périphériques de l'articulation étaient indurés. M. le
professeur
Charcot conseilla d'opérer la section des tendons
ions spinales de la syringomyélie1. A son tour, notre maître, M. le
professeur
Charcot, vientd'en donner la preuve clinique, à
plupart d'entre eux sont empruntés à une leçon magistrale de M. le
professeur
Le Fort dans le service duquel notre malade ava
entre le 4 février 1891, salle Prüss n° 7, dans le service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires. Les renseign
eptembre 1890, le malade entra à la Pitié, dans le service de M. le
professeur
Le Fort, où il séjourna jusqu'au 13 janvier 1891,
o-urinaires, toutes les fonctions s'exécutent normalement : . M. le
professeur
Le Fort, en présence d'un doigt à jamais impotent
'ac- tualité, nous l'emprunterons à la leçon de notre maître, M. le
professeur
Charcot. « Nous sommes, dit-il, en présence d'u
SALPÊTRIÈRE. nom de paralysie bulbaire supérieure proposé par M. le
professeur
1 Charcot, qui réserve à la paralysie labio-glo
être négligé. D'une façon générale, ainsi^que le fait remarquer le
professeur
lIorselli, les notions qu'on en retire doivent
qui l'avait conduit à l'hôpital Necker, à la consultation de M. le
professeur
Guyon. Troubles de la sensibilité. - Hémihypoes
e lté21a2esthésie gauche qui fut constatée dans le service de M. le
professeur
Duplay. Guérie de ses blessures, elle resta bie
5 mai 1887. En janvier 1888 on la retrouva dans le service de M. le
professeur
Cornil, toujours dans le même état. De longue
TUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 307 l'avis de M. le
professeur
Fournier', donne un coup de fouet aux acci- den
aris, 187.i, p. 816. 30S NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
professeur
Charcot). Mlle B... G..., vingt ans, habitant à M
tt 318 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. hystérique. M. le
professeur
Charcot en a rapporté des exemples dans ses Leç
r absence. OBs. XLVI (inédite) (Recueillie dans le service de M. le
professeur
Dieulafoy, et communiquée par notre collègue et
entre le 6 mars 1890, salle Monneret, 30, dans le service de M. le
professeur
Dieulafoy, à l'hôpital Necker. Antécédents héré
, entre le 19 mai 1890, salle Prûss, n° 1, dans le service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires. Du côté de s
par un événement fortuit. Nous le désignerons, à la suite de M. le
professeur
Charcot, sous le nom de diathèse de contracture-.
ssez souvent à celle du facial et du même côté. L'an dernier, M. le
professeur
Charcot en mon- trait un exemple remarquable da
llègue et ami M. Pou- lalion et recueillie dans le service de M. le
professeur
Dieulafoy). Para- plégie hystérique simulatrice
mai, salle lIonneret, à l'hôpital Necker, dans le service de M. le
professeur
Dieulafoy. Antécédents. Dans l'enfance, la mala
gie hystérique simulant une paraplégie spinale syphilitique.- M. le
professeur
Polain discute le diagnostic. Après avoir soulevé
ique simulant une paraplégie syphilitique. « Pour moi, disait M. le
professeur
Sée, cette malade est probable- ment atteinte d
ble des manifestations hystériques. Déjà Landouzy, Bri- quet, M. le
professeur
Jaccoud (Path. inl., t. I, p. 409) s'étaient élev
de M. Michaut, sur le pseudo-labes hystérique. s A son tour, M. le
professeur
Pitres* vient ces jours derniers de publier une
luence de l'obscurité sur sa production. Briquet', Lasègue 3, M. le
professeur
Jaccoud', Topinard5, Leyden" 0 traitent de cett
d'astasie et d'aba- sie. C'est là un état morbide sur lequel M. le
professeur
Charcot est fréquemment revenu dans ses Leçons
le 29 novembre 1888, salle Cruvei- lhier, dans le service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires. Du côté des
cordons postérieurs chez un saturnin. » Or, le 28 juin 1886, M. le
professeur
Charcot démontra que « chez un sujet 396. NOUVE
ons hystéro-tabétiques. . CHAPITRE X DES « PSEUDO-TABES » M. le
professeur
Pitres rapportait, il y a deux ans, un exemple fo
ffections peuvent coexister en même temps chez le même sujet. M. le
professeur
Charcot, qui a mis en lumière ces associations
aire que de reproduire ici le tableau synoptique suivant dû à M. le
professeur
Charcot (Leçons du mardi). TABLEAU SYNOPTIQUE D
lution du problème que nous avons énoncé. C'est en 1880 que M. le
professeur
Charcot a démontré, contraire- ment à l'opinion
s leçons cliniques du premier semestre de l'année 1889-1 890, M. le
professeur
Charcot a montré qu'on ne pouvait plus actuelleme
entre le 18 août 1890, salle Cruveilhier, dans le service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires. Pas de ren
au datant de la pre- mière enfance, est chose exceptionnelle. M. le
professeur
Charcot en cite cependant un cas dans ses Leçon
ollègue et ami Bourges, qui l'a recueillie dans le service de M. le
professeur
Proust). Amyotrophie hystérique simulatrice de
. Le 1" août 1888, le malade entre à l'Hôtel-Dieu (service de M. le
professeur
Proust), dans lo même élal. C'est à ce moment
vue, ce cas rappelle un cas analogue étudié l'an dernier par M. le
professeur
Charcot dans ses Leçons du mardi 1. Mais en o
rme un historique très complet de cette question'. En France, M. le
professeur
Debove, le premier, l'a diagnostiquée sur un ma
s'y présente d'habitude sous deux types : 1° L'un décrit par M. le
professeur
Titres sous le nom de </terme- anesthésie hy
ffirmer l'hystérie, et l'événement est venu donner rai- son à M. le
professeur
Charcot. OBs. LXXIV (Roth, in Diagnostic de la
alité. Mais ne sait-on pas, depuis les exemples qu'en a cités M. le
professeur
Charcot, qu'elle est loin d'être exceptionnelle
e. Et cette association n'est pas faite pour nous snrpcndre.111. le
professeur
Charcot, ne vient-il pas de publier, dans le Pr
cès de la névrose traumatique a été suffisamment instruit par M. le
professeur
Charcot. « Il n'est point, dit-il, une seule de
moire récent de Weir Milchell3; (b) L'oedème bleu, sur lequel M. le
professeur
Charcot a le premier l'an dernier3 appelé l'att
Ce médecin a importé la méthode de Motschoutkovsky en France. Le
professeur
Cliarco (2) après troismois d'étude publie les pr
ion dans la statistique. Ne serait-il pas arrivé la même chose au
professeur
IIyrt ? C'est d'autant plus probable que z103 d
mptômes spinaux, l'action de la suspension sa manifeste, d'après le
professeur
Charcot, avant tout par une amélioration de la
EAUX DOCUMENTS SATIRIQUES SUR MESMER Grâce à la libéralité de M. le
professeur
Charcot, dui bien voulu nous ouvrir encore une
BAaf : , ÉOITI : UR NOUVLLLE Iconographie DE la Saipftrière. T. 1%
Pr.
X LY1 PJ-.lOTOT'o' ? 1 : . 15c.Tite A LONDE K P
ar J.-M. Cil ARGOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE M.I. A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales à la Facu
e médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND
Professeur
de clinique des mendies du système nerveux
éveillée par le néoplasme. Cette dernière opinion, émise par M. le
professeur
Joffroy à propos de faits analogues, est la plu
sent que chez des individus prédisposés, ainsi que l'indiquaitM. le
professeur
Joffroy à propos des hallucinations unilatérale
oduisant des contacts protoplas- miques. D'après l'opinion de M. le
professeur
Bechtereff, ces derniers seraient plus nombreux
s dendrites et des fibres cylindraxiles : Un savant français, M. le
professeur
Renaut, dans un ouvrage récent où il traite la
Z L'ENFANT QUI ENTEND. (UN cas DE GUÉRISON.) Par Auguste BOYER,
Professeur
agrégé à l'Institution nationale des sourds-muets
des mouvements etdes positions desorga- nes vocaux. Exécutés par le
professeur
et reproduits presque simultané- ment par l'enf
lement décrits dans un intéressant ouvrage publié en 1890 par M. le
professeur
Goguillot : Comment on fait parler les sourds-m
cas DE sclérose latérale amyotrophique A début bulbaire; par M. le
professeur
F. RAYMOND. (Presse médicale, 19 et 20 mai 1897
taines affections des centres nerveux est un sujet sur lequel M. le
professeur
F. Raymond aime à revenir. Dans les leçons que no
omi- que, de quelles lé- sions dépendent ces troubles ? M. le
professeur
F. Raymond rappelle d'abord que certains sy
ide éphémère dans laquelle on engloba la maladie de Little. M. le
professeur
Raymond rappelle avec quelle prudence Charcot a
eau pyramidal et comme étiologie la naissance avant terme. Or M. le
professeur
Raymond, reprenant les observations de Raillon,
pour expliquer les manifestations spasmodiques que sera amené M. le
professeur
Raymond par la discussion du problème compliqué
des faisceaux blancs latéraux ou des fais- ceaux pyramidaux, M. le
professeur
Raymond répond nettement par l'affirmation de l
s 1. En 1409, Jofré Gilabert, moine charitable et savant, plus tard
professeur
à Sala- manque, vivait à Valence et s'apitoyait
GIE ET DE PSYCHIATRIE DE MOSCOU. Séance du 12 avril 1896. M. le
professeur
KOJEVNIKOFF. De la paralysie asthénique bulbaire
up de précautions remarqua l'auteur, car il y avait un cas, chez le
professeur
Op- penheim, où un malade mourut subitement d'a
repos, mais toute fatigue quoique légère les augmentaient. M. le
professeur
RoTH ayant examiné le système musculaire de la
ulbaire, vu la variété et l'étendue des symptômes morbides. M. le
professeur
RoTH partage l'avis du rapporteur et pense que
peut se manifester même, par les signes de dégénérescence. M. le
professeur
RoTH. - Un cas très rare de développement d'iinne
cussions : MM. Fokarsky, Korniloll', Mou- ratuff, Schataloff, et le
professeur
Kojevnikoff. Séance du 10 mai 1896. I. M. Mou
toutes les inflammations chroniques du cerveau. Remarques de M. le
professeur
Kojewnikoff. II. M. ORLOVSKY. Un cas de gomme s
rragies, comme suite de l'accès épileptique. M. Mouravieff et M. le
professeur
RoTH ne pouvaient accepter cette opinion : 1° à
que. Aux débats prirent part encore M. MINOR, M. PosrowsgY et M. le
professeur
110JE\'NIHOFF. II. M. Mouratoff. Des accès conv
rochent des cas d'épilepsie partielle continue décrite par l' M. le
professeur
Kojewnikoff. L'auteur signale les convulsions c
ez les paralytiques aux symptômes très graves. Discussions. M. le
professeur
KOJEWNIKOFF remarque que la principale particul
é musculaire chez des paralytiques avec démence profonde. ' M. le
professeur
KOVALEVSKY (de Varsovie) mentionne plu- sieurs
E. I. Clinique des maladies du système nerveux (2° série); par le
professeur
RAYMOND (1897. 0. Doirr, éditeur). Fidèle à la
0. Doirr, éditeur). Fidèle à la tâche utile qu'il s'est imposée, le
professeur
Raymond livre au public médical les leçons si r
aspect de la polynévrite à forme de poliomyélite antérieure), M. le
professeur
Raymond éta- blit qu'au point de vue anatomo-pa
eloppement les intoxications et les infections est considérable. Le
professeur
Raymond étudie d'abord un cas clinique de polyn
osis et les troubles sensitifs manquent. Dans la leçon suivante, le
professeur
Raymond revient en détail sur le diagnostic dif
avec Strumpell, Oppenheim, Dejerine, Darchkewitch et J. Charcot, le
professeur
Raymond sou- tient l'existence et l'autonomie d
ns spasmodiques. 11 n'existe pas de trace de troubles cérébraux. Le
professeur
admet avec réserve l'existence d'une hématomyél
est pas rare, et son impor- tance est capitale à bien connaître. Le
professeur
Raymond expose d'abord l'histoire d'une malade
s fait le sujet de la 1XVI1° leçon. Faisant oeuvre de clinicien, le
professeur
Raymond insiste sur les grandes lignes de l'aff
ction d'une paralysie alterne d'origine embolique est fort rare. Le
professeur
Raymond en publie une observation très intéress
'explique l'anatomie topographique de la région. C'est ainsi que le
professeur
Raymond a pu montrer à ses élèves, une paralysi
l' Althaus (de London) : « Patho- genesis and Treatment of Tabes. »
Pr.
M. Benedikt (de Wien) : « Die Theorie derTabes
a- niectomic. > Communications annoncées sur d'autres thèmes :
professeur
Cesare Lombroso (de Turin) : « Les nouvelles fo
re Lombroso (de Turin) : « Les nouvelles formes des épilep- sies. »
Professeur
B. Sachs (de New-York) : z Hereditary spinal Af
aris) : « Communication sur un sujet de neuropathologie clinique. »
Professeur
J. Crocq (de Bruxelles) : « Un nouveau symptôme
hèmes de programme. 1. Obsessions et idées fixes. Rapports prévus :
professeur
Pitres (de Bordeaux) et Dl' Régis (de Bordeaux)
Dl' J. Althaus (deLondon) : a Déli- mitation ofgeueral Paralysis. »
Professeur
Homén (de Helsin-fors)* « Nouvelles contributio
ec les mala- dies mentales et la médecine légale. Rapports prévus :
professeur
Bernheim (de Nancy) : « L'hypnotisme et la sugg
motif. » VARIA. oc Communications annoncées sur d'autres thèmes :
professeur
Jolly (de Berlin) : Thema Vorbehalten. Professe
d'autres thèmes : professeur Jolly (de Berlin) : Thema Vorbehalten.
Professeur
Cesare Lombroso (de Turin) : « Chaque dégénérat
génération a-t-elle un type ? D Dr Morel (de Gand) : Thème réservé.
Professeur
Fuerstner (de Strassburg) : Thema vorbehalten.
réservé. Professeur Fuerstner (de Strassburg) : Thema vorbehalten.
Professeur
Xavier Francotte (de Liège) : « Le délire génér
Er F. Christian (de Saint-Maurice, Seine) : a Sur hébé- phrénie. »
Professeur
Meschede (de Koenigsberg in Pr.) : < Ueber G
ne) : a Sur hébé- phrénie. » Professeur Meschede (de Koenigsberg in
Pr.
) : < Ueber Geistesstôrung bei Lepra. » Eu
ipation aux discussions sur différents thèmes du programme, MM. les
professeurs
E.-V. Ley- nen (de Berlin), S. Henschen (de Ups
ADIES DU SYSTÈME NERVEUX ET SCLÉROSE MULTIPLE DISSÉMINÉE ; Par le
professeur
GRASSET. LEÇONS cliniques' recueillies ET publi
n pendant trente-quatre ans, du moment où elle a été décrite par ce
professeur
jusqu'à celui de sa mort, et elle paraît égalem
ho-physiologie employées par le '140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
professeur
Kræpelin dans son laboratoire de Heidelberg. On n
écrire ici en détail les procédés forcément minutieux aux- quels le
professeur
a recours pour mesurer la fatigue, en se met- t
s, et délivrât des diplômes ; cette pratique exalterait le zèle des
professeurs
et des élèves. Une école centrale d'infir'miers
lcoolisme, de leur en faire comprendre toutes les conséquences. Les
professeurs
et les instituteurs s'acquitteront de ce rôle a
adultes, sociétés de tempérance, etc. a Il est à désirer que les
professeurs
des universités s'intéressent également à cette
es : descendance. Dans un article très intéressant de notre ami, le
professeur
N. Charles, sur l'influence de l'iodure de pota
forte influence que sa raison ne tarda pas à s'en ressentir. Ses
professeurs
, qui s'en aperçurent, lui en firent l'observation
res.ter. muette devant la tombe de Pinel, un de ses plus glorieux
professeurs
, il est vrai, récemment frappé de disgrâce, lorsq
tose centrale du cervelet et de la base de l'encéphale. : 11\i.llosL,
professeur
à la Faculté de médecine de Toulouse, et Cavali
le et rappelant sur ce point les vues exprimées récemment par M. le
professeur
Joffroy sur la question, a combattu les conclus
trière comporte quelques dangers, comme l'affirmait récemment M. le
professeur
Joffroy dans une de ses leçons cliniques il Sai
es, situés dans les villes où il existe une Faculté de médecine, le
professeur
de clinique deviendrait directeur-médecin, ayan
ut, aux trop grands établissements. M. REY (d'Aix) estime que les
professeurs
pourront difficilement être en même temps direc
rs. Si cependant la chose avait lieu, il conviendrait de donner aux
professeurs
un médecin adjoint spécialement chargé de les s
hiser entre eux les médecins traitants. En outre, il estime que les
professeurs
ne pourront cumuler avec la charge de l'enseign
te séance s'est terminée par la communication d'un travail de M. le
professeur
n1 : 11RET, de la Faculté de médecine de Montpe
e temporale, ainsi que des lésions trophiques de la cornée. M. le
professeur
Iionrwmrorr fait remarquer que l'ophtalmie névr
ion de la portion radiculaire intra-cérébrale du trijumeau. M. le
professeur
KojEWKOEOFF indique encore que les troubles de
0-SPIVLE ET ICIITYOSE; par L. LÉ ? Sous le nom de meiopragie, M. le
professeur
Potain désigne la réduction de l'aptitude fonct
nt et tout de même il n'y avait pas d'accès épileptiformes. M. le
professeur
Roru ne trouve pas possible d'attribuer aux cha
it d'abord, conti- nue d'agir jusqu'à la fin de la maladie. M. le
professeur
KOJEVNIKOFF fait attention à ce que la cause do
erveux des enfants se trouve encore dans un état d'évolution. M. le
professeur
1\0RSAKOFF. De l'Association des aliénistes et
ncipalement les masticateurs. A l'entrée du malade à la clinique du
professeur
Kojewnikolf tous ces phénomènes étaient très ma
n ont pris part MM. ROSSOLDIO, AIOLTCIIANOrI·, Korniloff et MM. les
professeurs
KojEWNiMFF et Rora. M. Oar.ovsxr. Syphilis et s
ont pris part : MM. Rossow1l0, Minor, Mouratoff, Postowsky et M. le
professeur
KOJEW.NIKOFF. Séance du 14 février 1897. 1).
o- moteurs des artères.- Dans la discussion M. MooRaTOFF et M. le
professeur
KojEwnrorOFF admettent que dans de pareils cas
des dégénérescences secondaires dans le cas du rapporteur. M. le
professeur
Roth différencie le cas donné des cas typiques
fectieuse ? ) pour lequel la myéline sert de milieu nutritif. M. le
professeur
KojEWNiKOFF note l'intérêt que présentent les r
ici à une paralysie d'origine centrale et non périphérique. M. le
professeur
KOjEWNIKOFF fait remarquer, que si même on peut
des cellules survient dans soixante-et-onze heures environ. M. le
professeur
KOJEWNIKOFF ne trouve pas possible de convenir
. Des remarques ont été faites encore par M. SCH : 1TALOFF et M. le
professeur
KORSAKOFF, M. Mouratoff. De certaines particula
sement cubital des doigts (Féré). L'examen du crâne, fait par M. le
professeur
Zeruofl' à l'aide de son encéphalomètrc, démontra
peuvent être expliqués de cette façon. D'après l'opinion de M. le
professeur
KOJEWNIK01,,r, d'accord avec celle de l'auteur,
tées sont en faveur de la méthode mise en honneur surtout par M. le
professeur
Bernheim. Nous exprimerons toutefois le regret
ixation des contre-indications de la méthode de traitement de M. le
professeur
Bernheim, contre-indications qui, à notre avis,
individus de cette race ; fait mis magistralement en lumière par le
professeur
Charcot qui insistait à maintes reprises sur ce
nt. Le malade succomba le 27 mai 1897. Autopsie. (Rédigée par M. le
professeur
OnItEGr : 1). Le cadavre moyennement développé,
ravail a été fait sous l'inspiration de notre éminent maître, M. le
professeur
Obregia, médecin en chef et directeur de l'hospic
lisée par.le sang, repré- sente son degré d'alcalescence. L'éminent
professeur
de l'Université de Greisswald et les expérience
maladie de Basedow sont encore peu nombreuses. llirschl, élève du
professeur
Kraft-Ebing, a donné un résumé des 43 principau
de la part de leurs bonnes, gouvernantes, serviteurs et servantes,
professeurs
. Le plus généralement (13 observations) une per
que comparable à la maladie de Lasègue. De la suggestion ; par le
professeur
13ERIIEIM., La suggestibilité est une propriété
epsie nerveuse et son rapport avec les névroses en général. M. le
professeur
l3osisNIICm (de Berlin). - L'auteur considère la
cli- nique des maladies mentales ; Arrête : . Article premier. Le
professeur
titulaire de la chaire de la clinique des malad
médecin du quartier des aliénés de la Salpêtrière sera accordée au
professeur
de la clinique comme médecin en chef d'un servi
ublic d'aliénés. ' ART. 4. - En cas d'absence ou d'empêchement du
professeur
, le chef de clinique remplira les obligations i
cents francs (1.200 francs). Dans le cas d'absence simultanée du
professeur
et du chef de clinique, le chef de clinique adjom
té du 8 octobre 1879, qui réglait antérieurement la question, M. le
professeur
Bail, titulaire de la chaire des mala- dies men
fermes du nouvel arrêté pris par M. le Ministre de l'Intérieur, le
professeur
titulaire de la clinique des maladies mentales
édecin en chef; et ce n'est qu'en cas d'absence ou d'empêchement du
professeur
que le chef de clinique satisfera aux obligatio
IÈRE \ CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX FONDÉE PAR LE
PROFESSEUR
CHARCOT (DE L'institut) PUBLIÉE PAR PAUL RICH
et nous permettront d'exposer l'enseignement de notre maître M. le
professeur
Fournier en la matière. Ons. I. X., 23 ans, men
YSIES SYPHILITIQUES 5 vés à la Salpêtrière dans le service de M. le
professeur
Charcot et dont l'o- rigine syphilitique était
rié, la paralysie dans notre cas, se fut rapidement aggravée. M. le
professeur
Fournier nous a communiqué l'observation d'un mal
I3fE DE CERTAINS MUSCLES Dans une leçon publiée en mars 1885, M. le
professeur
Charcot, par l'étude clinique de plusieurs cas
d'ob- server à la Salpêtrière, dans le service de mon maître M. le
professeur
Charcot, et dans lequel, le diagnostic de myopa
ut donc, conclure, conformément aux idées émises dès 1885 par M. le
professeur
, Charcot, M. P. Marie et moi, à l'identité des fo
our moins de temps. C'est sur ces entrefaites qu'un jeune et savant
professeur
de la Faculté est ap- pelé en consultation aupr
même temps qu'une plus grande facilité de leurs mouvements. M. le
professeur
Charcot est alors appelé en consultation auprès d
sie du petit malade. Son examen dut intéresser vive- ment l'éminent
professeur
, puisqu'il le fil durer plus d'une heure et qu'il
Mais ce qui va suivre justifie si largement le diagnostic de M. le
professeur
Charcot que nous ne pouvons le passer sous sile
enlevait tous les doutes, c'était le dénoûment inattendu que M. le
professeur
Charcot put saisir son origine, quand la contract
même de mettre sous vos yeux deux exemples de ce genre. » Et M. le
professeur
Charcot insiste sur ce fait que dans les deux c
en note, après cette observation, que l'enfant guérit, comme M. le
professeur
Charcot l'avait annoncé, mais seulement après q
a repris le même sujet en l'appuyant de nouveaux faits (6) et M. le
professeur
Charcot a adopté pleinement sa manière de voir,
n 1856, avait été défendue jus- qu'en ces. derniers temps par M. le
professeur
Charcot. C'est seulement 38 NOUVELLE ICONOGRAPH
rculaires qui sont perpendi- culaires au grand axe du membre. M. le
professeur
Charcot qualifie cette distribution de morpholo
mots et les images motrices graphiques. « Lorsqu'il y a, dit M. le
professeur
Charcot (1), suppres- sion de la mémoire pour l
l et pédonculaire. Telle est du moins l'explication que donne M. le
professeur
Charcot des paraly- sies dissociées de la 3e pa
de ces divers noyaux (1). Nous renvoyons à la même leçon du savant
professeur
pour la discus- sion du cas unique que nous lui
'il ne s'agit plus d'un enfant comme dans les observations de M. le
professeur
Charcot. Observation XVI. Syndrome hystérique
nt il est souvent difficile de fixer le siège et la na- ture. M. le
professeur
Panas a rapporté un cas assez typique à cet égard
ité sectionnée d'un nerf dans un moignon d'amputé. A. LE DENTU,
Professeur
de clinique chirurgicale. Clinique médicale de
rme d'une baonnette.. Fig. 3. Détails de l'appareil à suspension du
professeur
Revilliod. TROIS cas d'arthropathies MYÉOPATHIQ
Iconographie, t. 1, 1888, Pl. X. Dr L. REVILTIOD, Dr H. AUDEOUD,
Professeur
de Clinique médicale à l'Université de Genève. le
examen anatomique, s'élevait à peine à 3 ou 4 : un fait dû à M. le
professeur
Potain, concernant une induration de la moelle
n les grands progrès que doivent aux diverses publications de M. le
professeur
Fournier nos connaissances sur la syphilis céré
bscurité, le jeu des paupières se fait normalement. En outre, M. le
professeur
Charcot a signalé l'abaissement du sourcil du c
e battue en brèche de toutes parts, puis remise à l'étude par M. le
professeur
Debove (3) et par M. Barié (4). Les auteurs qui l
qu'en témoigne l'observation XX rapportée dans notre thèse. M. le
professeur
Pitres, tout en admettant que la fièvre est possi
rès les notes de M. le Dr Guinon, chef de clinique-adjoint de M. le
professeur
Grancher, et de M. COSTINFscu, externe de service
. Observation XXIV (inédite). Recueillie dans le service de M. le
professeur
GRKNCIIEII sur les indications de M. le Dr Guin
de neuro- pathologie et de psychiatrie dédié par ses élèves à M. le
professeur
Kochvnikoff à pro- pos du 2u' anniversaire de s
'c SUR UN CAS D'AHTlIROPATI11E TABÉTIQUE DES DEUX HANCHES M. le
professeur
Charcot a rapporté, dans une leçon qui a été recu
t déjà. Jean Moneg, âgé de lil ans entre dans le service de M. le
professeur
Charcot, le 8 mars 1893. Antécédents hérédita
moelle ? Une interpréta- tion semblable a déjà été donnée par M. le
professeur
Hayem (1) dans deux cas remarquablement étudiés
ière amorphe qui sépare les éléments de la substance grise. » M. le
professeur
IIayem (1874) à propos des deux cas de myélite ce
r et de tous les muscles de la face. Pl. XXII-XXV Fig. 4. M. Scb.
professeur
d'une école moyenne, marié, âgé de 36 ans. Para
us présente à cet effet un intérêt sérieux. Le malade (figure 4),
professeur
dans un collège, homme fort intelligent, à mesu
ssement ou la privation totale de la mi- mique. J. SIIi01tS11Y,
Professeur
à l'Université de Kiew (Russie). (1) Schùtz. l.
rradiées ; fourmillements, engourdissements dans les membres. M. le
professeur
Charcot dans une clinique toute récente à la Salp
insi que chez le ma- lade W... qui fit l'objet de la leçon de M. le
professeur
Charcot(ohserv.V), la rachialgie, après avoir o
e de suivre cette évolution descendante dans beaucoup de cas. M. le
professeur
Charcot faisait récemment cette remar- que, en
que. (Cette malade a été vue en consultation et traitée par MM. les
professeurs
Charcot et Fournier. Nous remercions vivement M
périllé- aux. Elle se présente le 2 mai à la consultation de M. le
professeur
Fournier, qui porte le diagnostic de syphilis (
e a pris seulement une petite quantité d'iodure de potassium. M. le
professeur
Fournier, consulté à la fin d'octobre, prescrit
ntant de commerce. Entre à la Salpêtrière, dans le service de M. le
professeur
Charcot, salle Bouvier iio 20, le 18 mars 1893.
GRAPHIE DE LA SALPETRIERE. Observation VI. (Communiquée par M. le
professeur
Charcot). Chancre induré en 1886. Cinq ans plus
ante que nous avons recueillie cette année dans le service de M. le
professeur
Charcot. Ici le traitement iodo-mercuriel.a a p
8 ans, couturière entrée le 17 mars 1892 dans le ser- vice de M. le
professeur
Charcot, il la Salpêtrière, salle Cruveilher, iio
de toute altération des vertèbres. Dans le même ordre d'i- dées, le
professeur
Kahler de Vienne avait distingué une polynévrite
s sphincters. On peut d'ail- leurs admettre, suivant la remarque du
professeur
Erb, que les affections syphilitiques de la moe
nstant la grande figure de son directeur, de noire vénéré maître le
professeur
Jean-Martin Charcot qu'une attaque soudaine d'ang
uction médicale. Puis, il aborda les concours dans lesquels lui, le
professeur
incompara- ble, il eût certainement échoué sans
emain d'un procès célèbre où l'on vit ce singu- lier spectacle d'un
professeur
de droit administratif intronisé expert en mati
endemain en excursion archéolo- gique avec deux de ses élèves : les
professeurs
Debove et Strauss, et M. Valle- ry-Radot, gendr
appartien- nent bien aussi à la méningo-myélite syphilitique. Le
professeur
Erb, dans une publication récente (1), déclarait
ons eu celle année même, a la Salpêtrière, dans le service de M. le
professeur
Charcot, l'occasion de vérifier à plusieurs rep
e des paralysies oculaires, bien connue depuis les travaux de M. le
professeur
Fournier. On sait également que ces (1) Oppenhe
e du même genre que nous avons recueillie à la consultation deM. le
professeur
Charcot à la Salpêtrière. Les symptômes oculaires
Eugène, 26 ans, ferblantier, se présente à la consultation de M. le
professeur
Charcot Ù la Salpêtrière en décembre 1892. Bonn
, 38 ans, menuisier, entré le 4 avril 18H2 dans le service de M. le
professeur
Charcot, salle Prus, n° 2. Pas de maladie nerve
ré qui a été reconnu et traité il St-Louis dans le service de M. le
professeur
Fournier. Les accidents se- condaires ont été t
ois après le début de la maladie. Pas d'autopsie. M. X... 35 ans,
professeur
, contracte un chancre induré en septembre 1888.
ésigne sous le nom de myélite centrale aiguë. Rappelons que M. le
professeur
Hayem en 1874, à l'occasion des deux observatio
les céphalées de la syphilis cérébrale, ainsi que l'a montré M. le
professeur
Charcot; à lel point qu'elle mérite- rait d'êtr
ait à lire la mu- sique couramment. En 1885, il alla consulter le
professeur
Benedicld qui l'examina soigneuse- ment et fit
TION DE LA SUGGESTION SUR CES CONTRACTURES Les expériences de M. le
professeur
Charcot et plus tard celles de M. Hei- denhain,
édecins hongrois ont ci té des faits remarqua- bles ce sujet. M. le
professeur
Laufenauer etsurtoutM. le professeur Hogyes se
remarqua- bles ce sujet. M. le professeur Laufenauer etsurtoutM. le
professeur
Hogyes se sont occupé particulièrement des cont
s de la rétine de l'oeil gauche. (A suivre) Chaules SCHAFFER,
Professeur
agrégé à la Faculté de Budapest. vi 22 OSTÉO-
faire ren- trer les militaires observés par M. le D' Duponchel (2),
professeur
au Val- (1) Ph. Tissié, Les aliénés voyageurs,
ment quelque jour d'être l'objet d'une étude approfondie ». M. le
professeur
Benedick (1) de Vienne s'est attaché il résoudre
es névropathes voyageurs, 28, 29, 31, 32. Suspension, appareil du
professeur
Revil- liod. 3 Suture des nerfs, 2. Trépana
par J.-M. CIIARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MJI. A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales à la Facu
e médecine Médecin de l'Asile clinique (Sie-Anne). F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies du système nerveux
ccasion de suivre, dans le service de notre excellent maitre, M. le
professeur
Grasset, un malade atteint z d'une tumeur céréb
eu Saint-Eloi de Montpellier, salle Fouquet, n° 5, service de M. le
professeur
Grasset. Rien à noter du côté des antécédents
ois de novembre, il fut examiné au point de vue oculaire, par M. le
professeur
Truc, qui diagnostiqua une tumeur probable du c
enant l'examen histologique d'après la note que nous a remise M. le
professeur
Kiener. La tumeur a été étudiée sur des coupes
de sarcome; nous avons vu que l'élude histologique, faite par M. le
professeur
Kiener, dont on con- naît la grande compétence,
ie puerpérale a été le sujet de très intéressantes recherches. Le
professeur
Depaul range sous quatre chefs les hypothèses t
age est le but que l'on doit se pro- poser dans beaucoup de cas. Le
professeur
chargé de l'éduca- tion d'un enfant épileptique
e publiée intégralement d'après le texte du manus- crit original du
professeur
Charcot,. Exemple d'un cas d'aphasie transitoir
irconflexes ne sont certainement pas sinueux. On voit que, comme le
professeur
Raymond l'annonce en com- mençant, ceci est bie
. ' SESSION DE DRESDE. Séance du 21 septembre 1894. Présidence du
professeur
.IOLLY. M. Sommer. La psychologie criminelle. D
le rapport de M. SOLDER, le prix Bel- homme est accordé à M. BoYER
professeur
à l'Institut médico-péda- ! logique de Vitry (Sei
aitement, 2 volumes. PLOrr et Ci., éditeurs. Dans la préface que le
professeur
Charcot a consacrée au Traité clinique et Théra
on enseignement et des travaux qu'il a inspirés à ses élèves. Si le
professeur
Charcot avait pu lire la seconde partie de ce t
e, les deux derniers sont l'inter- prétation fidèle des opinions du
professeur
Charcot et des travaux de l'école de la Salpêtr
es par le maître, et ils jugeront comme nous cet ouvrage tel que le
professeur
Charcot l'aurait voulu. Fidèle aux traditions d
particulière. M. Gilles de la Tourette y a mis tout le fruit que le
professeur
Charcot avait patiemment recueilli à ce sujet d
sion sous la présidence du Dr Ch. Bouchard, membre de l'Ins- titut,
professeur
à la Faculté de Médecine de Paris. Elle s'ouvrira
s : 1° Des myélites infectieuses. Rapporteurs : M. le Dr Grasset,
professeur
à la Faculté de Montpellier; M. le Dr Vaillard, p
2° DES antithermiques analgésiques. Rapporteurs : M. le or Schmitt,
professeur
à la Faculté de Nancy; M. le Dl' Laborde membre
l'Académie de médecine de notre excellent ami M. le Dr P. Regnard,
professeur
de physiologie à l'Institut agronomique, avec l
a Chambre des Députés, à propos de l'alcoolisme, ont été pour M. le
professeur
Lannelongne qui, laissant de côté le problème f
ouvrira à Bor- deaux le jeudi ler août, sous la présidence de M. le
professeur
Jor.FROV. Adresser, dès maintenant, les inscrip
ARRIÉRÉS ; PAR BOURNEVILLE, ET T J. BOYER, Médecin de Bicètre.
Professeur
à l'Institut médico- pédagogique de Vriry. La
sont pas suffisants. Antisepsie intestinale. Depuis les travaux du
professeur
Bouchard, sur les auto-intoxications, la thérap
rts ENTRE la SYPHILIS ET la PARALYSIE générale progressive ; par le
professeur
P. KOVALEVSKY. Tous les auleurs qui donnent u
ème, troisième et quatrième années, au nombre de 250 environ. Les
professeurs
de ces classes assistaient à la leçon et, à leur
leur tête, le directeur de l'école. Tous les ans, quelques-uns des
professeurs
des Écoles d'infirmières et, en particulier, no
dans la clinique de notre maître très regretté et très illustre, le
professeur
Charcot, auquel je ne puis malheu- reusement pl
re le 11 février 1892, salle Duchenne de Boulogne (service de M. le
professeur
Charcot). M. Dutil a vu cette malade pour la pr
elle n'a été atteinte que dans 12 cas, 1 Je remercie vivement M. le
professeur
Hlava qui a bien voulu mettre à ma disposition
Delcurrou, premier président; Calmon, président du tribunal civil;
professeur
Pitres, doyen de la Faculté de médecine; Dr Rég
s locaux environnants, à la disposition du Congrès par notre ami le
professeur
Pitres. M. BERNIQUET souhaite la bienvenue aux
re; je veux profiter de la présence du jeune et distingué doyen, le
professeur
Pitres, qui a su en quelques années donner à la
l'aliénation mentale. Qu'il me suffise de rappeler que le regretté
professeur
Bail l'a fait avant moi en termes éloquents.
les suivantes ont lieu à la Faculté de méde- cine. Le doyen, M. le
professeur
Pitres, a bien fait les choses : la grande port
MM. Paul Garnier, délégué du préfet de police, et Gilbert Ballet,
professeur
à la Faculté de Paris, sont nommés vice-pré- si
eune fille de vingt ans, basedowienne type, mon collègue et ami, le
professeur
agrégé Jaboulay, a enlevé un lobe de thyroïde q
expérimentaux, quelle est l'hypothèse la plus vraisemblable ? M. le
professeur
Joffroy qui a mis en cause, il y a quelques ann
ns employé le thymus de veau, comme l'indiquait ce matin même M. le
professeur
Renaut, comme Mikulicz lui- même avait conseill
et sur la glande hépatique d'un même sujet. Après la séance, M. le
professeur
J. RENAUT a fait une très inté- ressante confér
u, délégué de M. le ministre de l'intérieur; à M. Régis, etc. M. le
professeur
Roth (de Moscou) et M. Marinesco (de Bucharest)
lle le peut. L'instruction doit être don- née non seulement par les
professeurs
des Facultés, mais aussi par tout médecin des h
a toxicité des alcools par les injections ilztra-veineuses. r M. le
professeur
Joffroy fait une communication sur un nouveau .
professeur Joffroy fait une communication sur un nouveau . Il , le
professeur
JORFROY fait une communication sur un nouveau p
. SESSION DE DRESDE. Séance du 21 septembre 1894, - Présidence du
professeur
JOLLY. Professeur BINSWANGER. La. délimitation
E. Séance du 21 septembre 1894, - Présidence du professeur JOLLY.
Professeur
BINSWANGER. La. délimitation de la paralysie géné
ueux se sont développés et les caresses spontanées qu'il fait à son
professeur
, mises en regard de son obéissance, sont la mei
bert Desjardins, or Théophile Roussel, Bar- thélémy Saint-Iliidire,
professeur
Bouchard, professeur Guyon, professeur Polain,
héophile Roussel, Bar- thélémy Saint-Iliidire, professeur Bouchard,
professeur
Guyon, professeur Polain, de Nervaux, Béranger,
r- thélémy Saint-Iliidire, professeur Bouchard, professeur Guyon,
professeur
Polain, de Nervaux, Béranger, Dietz-Monin, D1' Hé
in et du trajet des fibres ner- l'p11SeS, avec une préface de M. le
professeur
1\levoec. - Volume in-4° de 27 pages, avec 8 pl
tabes; ils ont d'ailleurs été recueillis, dans le service de M. le
professeur
Raymond, à une époque où notre attention n'avai
her dans la voie qui a été ouverte ici même par notre maître, M. le
professeur
Ray- mond' : qu'il nous permette de lui exprime
lance frappante avec une observation publiée par notre maître M. le
professeur
Raymond. (Archives de Neurologie, n° 1, 189r. O
cts de tabes, néanmoins l'ob- servation présente et celle que M. le
professeur
Raymond a publiée (loc. cit.), sont d'excellent
rvation a été publiée dans tous ses détails par notre maître, M. le
professeur
Raymond (Bull. Soc. méd. des Hop., 1892, p. 836
TUDE SUR LA. IBNINGO-NY&LITE. 299 nérés, comme l'a montré M. le
professeur
Raymond, tantôt elle est également répartie dan
u l'occasion d'étudier, dans le labo- ratoire de notre maître M. le
professeur
Raymond, les pièoes de trois cas de syphilis sp
ajoutent en quelque sorte, ainsi que l'a montré notre maître, M. le
professeur
Raymond, aux lésions scléreuses banales consécu
. Accidents cérébraux dans LE cours DE la BLE : VNGRRII1GIE; par le
professeur
Pitres. (Bévue neurologique, août 189r.) z L'au
XXVIII. SUR UNE variété particulière DE paralysie alterne; par le
professeur
RAYMOND. Parmi les nombreuses variétés de paral
côté opposé, c'est-à-dire du nerf moteur oculaire commun. . M. le
professeur
Raymond montre un exemple d'une variété rare de
il a énoncé avant tout autre et trois ans avant la communication du
professeur
Tamburini au Congrès International de Rome, ain
ue, mars 1895.) E. B. - XXXII. UN cas d'abcès DE la MOELLE ; par le
professeur
HoncEN. A part les infiltrations purulentes de
ation suivie d'autopsie et d'examen microscopique publiée par M. le
professeur
Pierret et son élève Paret. Ces auteurs ont mon
s très intenses et la perversion de la sensibilité tactile. M. le
professeur
RoTa (de Moscou). Je tiens à faire deux observa
nisme. Il paraissait très intelligent et donnait des espérances aux
professeurs
du collège Chaptal à qui il était confié. A q
é la tenue de sa prochaine session (189G) à Nancy. Notre ami, M. le
professeur
Pitres a été nommé président .de cette session,
Drouineau, inspecteur général de l'Assistance publique ; Laffitte,
professeur
au collège de France, qui habite Cadillac pen-
du rang qu'elles occupèrent momentanément. Aussi lorsqu'en 1885, le
professeur
Charcot faisait une lumineuse revision des atro
Congrès des aliénistes et neurologistes de Bordeaux, notre ami, le
professeur
Pitres, a établi une sorte de classification de
tion des établissements destinés aux incurables (1811), Reil, alors
professeur
de clinique interne à Berlin, déclare que ces a
pendant, la thèse de Griesinger a trouvé de nouveaux défenseurs. Le
professeur
Kraepelin se base sur les exigences bien distin
e traitement ne serait pas, ou aurait cessé d'être nécessaire. Le
professeur
Meschede 3 est également partisan de la créa- 1
EUTIQUE. XVI. LE chloralose ET SES propriétés hypnotiques; par le
professeur
R1CIlET. ' L'effet physiologique caractéristiqu
SSION DE CARLSRUHE. Séances des 3 et 4 novembre 1894. Présidence du
PROFESSEUR
tUBSTNE11 (de Strasbourg). M. Sommer. Rapport
dies du coeur et du rein. . Séance du 4 novembre. - Présidence du
Professeur
KR.EPFLIN. M. NISSL (rrancfort-sur-le-llfein).
VINCE RHÉNANE. . 10 novembl'e 1894, - BONN, ,NI. le Président, le
professeur
Pelman, ouvre la séance et résume les travaux d
M. Longard : Sur une affaire criminelle intéressante. Le Dl' W...,
professeur
à Cologne, vivait depuis longtemps en concubinage
angues, autour duquel il fait beaucoup de réclame, se donnant comme
professeur
de onze langues. Ensuite il se marie et n'éparg
t intellec- tuel (KR.EPGLIN) comme terminaison de la paranoia. - Le
professeur
Kraipelin a décrit une forme particulière d'aff
le Dr Toy. (Thèse de Lyon, 1895.) Guidé par l'enseignement de M. le
professeur
Pierret, l'auteur a fait une étude, basée sur s
iellement imino- l'ales et dangereuses par M. le D' Gilbert Ballet,
professeur
agrégé de la Faculté de médecine de Paris, un d
PAR ft . ' BOURNEVILLE, et T J. BOYER, Médecin de la section des
Professeur
à l'Institut médico- enfants de Bicètre.. pédag
. A. Marie. LXXI. Folie dlennorriiagique ET PYOPIIRÉNOES ; par le
professeur
S. Venturi. Dans la première partie de son tr
de ne pouvoir les analyser que très sommairement. M. le Dr Gaule,
professeur
de physiologie à l'Université de Zurich, parle
e des maladies mentales de la Faculté de médecine, chargé par M. le
professeur
Joffroy de faire une série de conférences sur l
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER
PROFESSEUR
DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE
CTION DE F. RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE
PROFESSEUR
DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES
. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES DES .MALADIES MENTALES
PAUL RICHER GILLES DE la TOURETTE MEMBRE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE
PROFESSEUR
AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DIRECTEUR HONre
E TEMPORAIRE DE WEBER AVEC HÉMIOPIE PERMANENTE PAR A. JOFFROY
Professeur
de la Clinique des Maladies Mentales. Leçon rec
pyramidal et l'hypoglosse ? L'observation d'un malade du service du
professeur
Revilliocl (de Genève), publiée par Mme Goukows
gauche ils étaient interrompus (1) Mme Anna Goukowsky (Clinique du
professeur
llevilliod). Un nouveau type d'hé- miplégie alt
LA MOELLE ÉPINIÈRE. PAR GILLES DE LA TOURETTE ET GEORGES GASNE
Professeur
agrégé, Chef de clinique Médecin des hôpitaux.
matologie, parce que, comme l'a si justement fait re- marquer M. le
professeur
il y a entre l'épilepsie parcellaire, limitée à
s convulsions partielles ou générales : « Prova évidente, dit M. le
professeur
Silvestrini, che l'accesso e sempre uno e che la
es principalement. Puis, il revint à Dresde où il fut bientôt nommé
professeur
à l'Académie et peintre de la cour. De son viva
certaine hauteur. La question, ainsi que l'a fait. remarquer M. le
professeur
Marey, est beau- coup plus complexe. Un muscle
dans cette direction par le plus ancien dermatologiste russe, M. le
professeur
A. Polotebnoff, qui durant toute sa pratique co
M. le professeur A. Polotebnoff, qui durant toute sa pratique comme
professeur
de la clinique, cherchait à re- cueillir un mat
nt l'étiologie de ces maladies. Les Etudes dermatologiques de M. le
professeur
A. Polotebnoff sont l'ou- vrage dans lequel son
ix, IIutchinson, Morris, Hardy, Ilyllairet, Lavergne, Vidal). M. le
professeur
A. Paspeloff trouve aussi dans beaucoup de cas
s des altérations bien prononcées du côté du système nerveux. M. le
professeur
Polotebnoff conclut que cette maladie apparaît
Remesolf décrit en détails un cas de lichen ruber de la clinique du
professeur
A. Polotebnoff qui est instructif en ce que le
u'au côté morphologique du lichen ruber. Dans la clinique de feu le
professeur
M. Stoukovenkoff nous avons toujours pu remarqu
qllrs. Saint-Pétersbourg, 1887 (en russe). J. HEBRA, trad. russe du
professeur
Polotebnoff. St-Pétersbourg, 1875. E. `VILSOi,
qué par M. le D Pierre Bonnier. Sur la demande de ce dernier, M. le
professeur
Dieulafoy eut l'obligeance de l'adresser à M. B
e par Gerber, mais qui avait passé inaperçue. Sous l'inspiration du
professeur
Gcrbardt, alors à Wurzbourg, Pifiter (1882) tra
inférieurs, recueillie par I. l3artMélemy, dans le service de M. le
professeur
Fournier à l'hôpital Saint-Louis. (1) Euasmus W
rs phénomènes apparaître à 1'tige de 21 ans (1); un malade de M. le
professeur
Raymond a été atteint à l'âge de 23 ans (2). Be
s indiquer ceux de Flech- sig, Pick, Dova, de Mme Léonoff (1) et du
professeur
1. Arnold (2) et d'autres. - Arrêtons-nous su
ofesseur 1. Arnold (2) et d'autres. - Arrêtons-nous sur le cas du
professeur
Arnold, car ce cas est inté- ressant par ce fai
trouve de mon devoir d'exprimer ma profonde reconnaissance à M. le
professeur
S. Korsakoff dans le laboratoire duquel j'ai fait
LPÊTRIÈRE). SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET PAR R F. RAYMOND
Professeur
de Clinique des Maladies du Système Nerveux. Me
articulier du cervelet. Témoin le cas si intéressant, publié par le
professeur
Pierre[ (1) de Lyon et celui publié plus récemm
BILITÉ DOULOUREUSE DE LA PEAU. ALGÉSIMÉTRIE PAR MOCZUTKOWSKY,
Professeur
à l'Institut Clinique de Saint-Pétersbourg. En
érentes régions de la peau en même temps que A. de Wattewitte et le
professeur
Fchirief en introduisant des énormes résis- tan
l. XXX, A). Cette déformation « natiforme », si bien décrite par le
professeur
Par- rot, a une importance capitale de par ce f
rend parfois compte de cette asymétrie, comme dans l'observation du
professeur
Lannelongue. Observation (M. le professeur LANN
me dans l'observation du professeur Lannelongue. Observation (M. le
professeur
LANNELONGUE). Fillette de quatre ans, née d'un
ctions du Muséum, qui m'ont été si. libéralement ouvertes par M. le
professeur
Hamy (1)" ? (1) J'ai trouvé dans ces collecti
e ses produits mous ; il rappelle absolument l'aspect décrit par le
professeur
Wirchow sous le nom de « carie sèche ». Une l
De cela témoigneront les observations suivantes. Obseuvation (M. le
professeur
A. Fournier) (résumée). Enfant micro- céphale,
is lors. Une autre observation, que je dois à l'obligeance de M. le
professeur
l' Lannelongue, est du plus haut enseignement.
déterminée de nombre de dystrophies na- tives. Observation (M. le
professeur
Lannelongue) (Inédite). I. - Grand- père matern
ine syphili- tique de certaines hydrocéphalies. Dans une revue du
professeur
Négrié (2), je relève le passage suivant : « Se
relève le passage suivant : « Seul de tous les auteurs modernes, le
professeur
A. 1 ou ri ier a proclamé hautement l'origine s
drocéphalies... Dans Sy- philis et mariage (Paris, 1880), l'éminent
professeur
écrit : « Il n'est pas moins avéré pour moi que
certain nombre d'observations inédi- tes (1). Observation (M. le
professeur
A. Fourrier) (inédite). - Père syphilitique et
ement sous l'influence de l'iodure de potassium. Observation (M. le
professeur
A. Fournier) (inédite). - Père syphilitique et
tution moyenne et jouissent d'une bonne santé. * Observation (M. le
professeur
A. FOURNIEU) (inédile). Trois enfants hydrocé-
x, devint maniaque, puis démente, et succomba. Observation (M. le
professeur
A.FounNIER) (inédite).- Hérédo-syphilis avec hy
e- puis lors, autre grossesse ; enfant sain. · Observation (M. le
professeur
A. Fournier) (inédite). - Hydrocéphalie sur un
mois suivants. Mort rapide. 254 EDMOND FOURNIER Observation (lLle
professeur
A. Fournier) (inédite). MmeX...,sage-femme, s'e
conceptionnelle à manifestations tar- dives ». Observation (M. le
professeur
A. Fournier) (inédite).- Père affecté de syphi-
ilitiques ; nul symptôme actuel de même ordre. » Observation (M. le
professeur
A. Fournie») (inédite). M. X... a contracté, il
céphale, qui n'a vécu que deux a trois heures. Observation (M. le
professeur
A. Fournier) (inédite). Père syphilitique : cha
us que sur les deux enfants qui l'ont précédé. OBSERVATION (M. le
professeur
A. Fournier) (inédite). M. X... contracte la sy
ossible. 236 6 EDMOND FOURNIER Observation (communiquée par M. le
professeur
Spillmann). Père âge de trente-deux ans, syphil
monie. Rien aux autres viscères. Observation (communiquée par M. le
professeur
GEam). - lui. X... contracte la syphilis à dix-
de hérédo-syphili- tique du service de mon cher collègue et ami, le
professeur
Budin, on observait ceci : d'une part, la veine
s remerciements également b - M. le doyen de la faculté de Baie, au
professeur
Rosenstein,de Leyde, aux D" Iligier,de Warsovie
s dents et des gencives de notre malade sont dus à M. Louis Seigle,
professeur
à l'école dentaire de Bordeaux ; voici une pho-
(1). (1) Avant de terminer ce travail nous tenons à remercier M. le
professeur
S. Korsa- koff pour l'accueil sympathique et co
MBRE-DÉCEMBRE 1898 INAUGURATION DU MONUMENT ÉLEVÉ A LA MÉMOIRE DU
PROFESSEUR
J.-M. CHARCOT L'Inauguration du monument dédi
UR J.-M. CHARCOT L'Inauguration du monument dédié à la mémoire du
Professeur
J.-M. Cli.),IICOTP,11 ses El èvesel ses Amis, a
l'eau forte de PAUL Richer. v 27 402 INAUGURATION DU MONUMENT
Professeur
RAYMOND, successeur de Charcot dans la chaire de
de Clinique des Maladies du Système Nerveux à la Salpèlrière, M. le
professeur
Cornu., au nom de l'Académie de Médecine et de
es éminents concourent au rayonnement intellectuel de la France, le
professeur
Charcot mérite d'être placé au premier rang. Il
l, M. le Préfet DE la Seine, Les élèves, les collègues, les amis du
professeur
Charcot ont voulu qu'un monument perpétuât leur
les peuples, qui ont le culte de la science, ÉLEVÉ A LA MÉMOIRE DU
PROFESSEUR
J.-M. CHARCOT 40H ont répondu à leur appel avec
aire à ses travaux. Mesdames, Messieurs, Des élèves personnels du
professeur
Charcot vous diront pourquoi sou nom est à jama
pporte aujourd'hui l'expression de la profonde re- connaissance des
professeurs
de la Faculté de Médecine de Paris. Nous avons
rançaise à la reconnaissance du monde civilisé. Discours de M. le
professeur
RAYMOND, successeur de Charcot dans la chaire d
eul désir est-il de mettre en lumière le rôle ÉLEVÉ A LA MÉMOIRE DU
PROFESSEUR
J.-M. CHARCOT 407 de créateur, joué par Charcot
et définies : centres de relai, placés entre ÉLEVÉ A LA MÉMOIRE DU
PROFESSEUR
J.-M. CHARCOT 409 ceux qui siègent dans le cerv
us la leur procurons souvent immédiate, grâce ÉLEVÉ A LA MÉMOIRE DU
PROFESSEUR
J.-\I. CllARCOT 411 il ce que nous avons appris
les apparences du surnaturel, et d'en ,> ÉLEVÉ A LA MÉMOIRE DU
PROFESSEUR
J.-M. CHARCOT 413 fournir une explication qui n
ravaux et se montrer digne de marcher sur ses ÉLEVÉ A LA MÉMOIRE DU
PROFESSEUR
J.-M. CHARCOT 415 traces. Mais il ne resta pas
athologique. Charcot entrait en 1872 à la Faculté de Médecine comme
professeur
de cette science et il a illustré pendant dix a
valeur des constatations ana- tomiques. En même temps qu'il était
professeur
d'anatomie pathologique, Charcot suc- cédait à
ainsi son succès de clinicien pour ainsi dire ÉLEVÉ A LA MÉMOIRE DU
PROFESSEUR
J.-M. CUARCOT 417 sans égal et dotant l'Univers
perfection. Charcot était activé alors à l'apogée de son talent de
professeur
; non qu'il possédât le don de l'éloquence nativ
ceptionnelle et une érudition des plus étendues, il était devenu un
professeur
admirable. Il captivait son auditoire par la clar
ans le bronze, on se demande si l'on a devant les yeux l'image d'un
professeur
ou celle d'un prêtre. On devine que c'est celle d
oût dernier. Théoriquement ces photographies en couleur, dont M. le
professeur
Poncet a présenté récemment un nouvel exemple à
UN^CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE. PAR LE D J. SOCA,
Professeur
à la Faculté de Médecine de Montevideo. On do
érie, la caractérise plus particulièrement et à laquelle l'illustre
professeur
de la Salpêtrière a donné le nom de tachypnée hys
cation de causalités, ces énergies morbides selon l'expres- sion du
professeur
Potain, trop' fréquentes pour les autres organes
cher son maître Lasègue et le presse si instamment que l'il- lustre
professeur
est obligé d'interrompre son cours pour se porter
i l'ont vu alors se souviennent de ces démonstrations animées où le
professeur
eu personne simulait les anomalies corporelles de
al'il( dll ({Ol'pS 011 d ! ' l'esprit. Parmi scs cul- lègues, les
professeurs
Bali el lIal'dy, p01l1' lie parler que des mo
: mieux qu'un élève, un compa- gnon de voyage, un anii, aujourd'hui
professeur
soit tour.... C'est Pierrot. Lu voyant .le port
as de les appliquer il ses propres collègues. Car il (''tait déjà
professeur
à la l'acuité lorsqu'il dessina cet Aréo- page
ployant sous le faix de son lourd ca- ducée d'argent. Le corps des
professeurs
le suit, de tailles et de mines diverses : les
t., 1 fig.), 343. Inauguration du monument élevé il la mémoire du
professeur
J.-M. Charcot (1 phot.), 401. Infantiles (Deu
e par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales à la Facu
édecine Médecin de l'Asile clinique (Ste- : lune). F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies 1 du système nerveux
t et huit ans, et celle qui s'étend de la dixième à la quator- , Le
professeur
Guyon a souvent rencontré cette relation de l'inc
es : mais l'irritabilité n'est plus guère défendue par personne. Le
professeur
Guyon et ses élèves ont brillamment soutenu la
s quand il avait achevé un devoir et qu'il devait le remettre à son
professeur
; il fallait qu'on lui « arrachât des mains » sa
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Athétose double. Leçon clinique de M. le
professeur
SPEHL, recueillie par M. le D1' F. SANO. Obse
RAPPORT DE L'ECZÉMA CHRONIQUE AVEC L'ANESTHÉSIE DE LA PEAU ; par le
professeur
Stookovenloff (de Kieff). (Nouv. iconographie d
atiquement, à ce point de vue, un nombre important d'eczémateux, le
professeur
Stoukovenkoff a pu constater que la plupart d'e
DE LA SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE DE LA PROVINCE RHÉNANE Présidence DU
professeur
PEL2fANN. - Bonn, 15 juin 1895. M. PELMANN lit
on de Lille. Jury : MM. Keraval, Adam, Boiteux, Pilleyre, Castiaux,
professeur
. 5 candidats, 5 places. Région de Nancy. Jury :
iaux, professeur. 5 candidats, 5 places. Région de Nancy. Jury : le
professeur
Simon, VerneL, Gallopain, Guyot; Paris. 4 candi
Gallopain, Guyot; Paris. 4 candidats. Région de Lyon. Jury : mu. le
professeur
Pierret, Lallemand, Lapoiole, Dumas; Brun. 3 ca
3 candidats. VARIA. 77 -1 Région de Montpellier. -Jury : M\i, le
professeur
Mairet, Maunier, Rey, Bonbila; Guillemin. Rég
Dour- sout ; Pons. 3 candidats. Région de Toulouse. Jury : MM. le
professeur
André, Nicouland, Ramadier, llialfilâtre. 3 pla
t favorables au concours régional. Dans toutes les régions l'un des
professeurs
de la Faculté de médecine faisait partie du jur
s de la folie en France et en Allemagne, avec une préface par M. le
professeur
JOFFROY. Volume 80 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
\ CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈ\lE NERVEUX. Laboratoire de )1. le
professeur
Raymond, il la Salpêtrière. I. L'existence de
i n'est plus absolument de date récente, puisque déjà en 1866 M. le
professeur
Bou- cliard' parlait après Todd, Gratiolet et a
eu l'occasion d'étudier dans le laboratoire de notre maître, M. le
professeur
Raymond, les altérations histo- logiques que pr
BLIOGRAPHIE. III. Clinique des Maladies du Système nerveux ; par le
professeur
Raymond. (Paris, 1896, 0. Doin, éditeur.) M.
par le professeur Raymond. (Paris, 1896, 0. Doin, éditeur.) M. le
professeur
Raymond publie la série des leçons qu'il a pro-
pendant l'année 1894-1895. Sui- vant l'exemple de son maître, M. le
professeur
Charcot, M. Ray- mond rassemble en un volume de
ère partie est surtout historique. Dans sa leçon d'ouverture, M. le
professeur
Raymond, rendant hommage à la mémoire de son ma
de reconstitution, fait suite l'étude des cas cli- niques que M. le
professeur
Raymond a eus à sa disposition. Sui- vant la mé
protubérantielle est aussi soigneusement étudiée. Successivement le
professeur
Raymond s'attache à la démonstration des phénom
maladie de Charcot fait l'objet de deux intéressantes leçons. M. le
professeur
Raymond refait l'histoire et la description com-
te analyse rapide montre l'importance du recueil de leçons de M. le
professeur
Raymond. Nous aurions voulu insister davan- tag
interne qui s'ouvre à Nancy le G août, sous la présidence de M. le
professeur
Pitres. VARIA. 155 de 50 p. 100 sur le tarif
rès devra, avant le 11 juillet au plus tard, faire parvenir à M. le
professeur
Pitres, président du Congrès, 119, cours d'Alsa
liniques était tellement puissante, que malgré la haute autorité du
professeur
Leyden, qui plus tard 2 donna son approbation à
rayer un chemin ? La suspension a dû attendre sept ans avant que le
professeur
Raymond vint la tirer de l'oubli immérité. Fait
avail sur le même sujet du Dr Ostankoff 2, fait dans la clinique du
professeur
Bechterew à Saint-Peters- bourg. Cet auteur a o
nt été soignés par nous à la Salpê- trière dans le service de M. le
professeur
Raymond. Les autres cinq proviennent de notre c
kel. Loc. cil. TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS. 163
professeur
Leyden l'appelle traitement compensatoire. Dans
nom le plus clair. et le plus simple est celui dont notre maître le
professeur
Raymond se sert : méthode de rééducation des mo
le tabes frappe les deux côtés du corps d'une façon symétrique.1 Le
professeur
Fournier ' est le seul auteur qui à notre conna
Cette hémiataxie est aussi une gauche. · Les cas dans lesquels le
professeur
Fournier a constaté de l'inégalité dans la répa
une forte crise de douleurs fulgurantes dans les jambes éclata. Le
professeur
Germain Sée diagnostiqua tabès dorsalis malgré
e ses plus chers et plus brillants élèves, M. le docteur Joffroy, .
professeur
à la Faculté de Paris, et qu'elles le seront dans
eaux. Je n'ai, garde, non plus, d'oublier que je parle au milieu de
professeurs
et., de médecins qui donnent leur travail et le
Université qui est l'héritière de l'Académie de Strasbourg et aux
professeurs
d'une école de médecine qui a repris avec énergie
une bonne résolution. Voici maintenant le discours de notre ami, le
professeur
Pitres. , Messieurs, Je remercie bien sincère
t à notre cher et éminent président de la session der- nière, M. le
professeur
Joffroy, qui nous a puissamment aidés de ses co
préfet de Nancy, M. HEYDENREICH, doyen de la Faculté de Nancy, M.le
professeur
Bernheim (de Nancy), M.'le Dr MEN- DELSOHN (de
e, à l'hôpital Saint-Pierre, dans le service de notre maître, M. le
professeur
Rommelaere. Elle était âgée de vingt ans et était
peut aider la solution par cette considération développée par M. le
professeur
Pierret, au Congrès de Lyon et à la Société d'E
' Nous avons visité le violon de Nancy le 3 août avec notre ami le
professeur
Spillmann. Il se compose de six cellules analogue
grès. ' C;.<" ^'après cette communication, le président, M. le
professeur
Eitres, résume les travaux du Congrès remercie
résenter à la Salpê- trière où il fut reçu dans le service de M. le
professeur
Raymond ; renvoyé au bout de quelques jours il
ades et désireuse d'unifier leur régime alimentaire, a de- mandé au
professeur
Flint, le physiologiste bien connu, une for- mu
gique, . dépendant des hospices d'aliénés, qui serait dirigé par un
professeur
spécial et où les médecins pourraient se livrer
tes. Ces derniers ont pour la plupart, suivi les cours spéciaux des
professeurs
de pathologie mentale. Us savent se servir plus
n'est pas parfaite partout. 23. Sur les 9 médecins en chef, 4 sont
professeurs
dans des col- lèges médicaux de villes voisines
e villes voisines (Albany, Syracuse, etc.). Quelque- fois, d'autres
professeurs
viennent faire des leçons cliniques à l'hôpital
DE cheval A PROPOS DE deux cas DE ces affections; par nI. RAYfoND,
professeur
de clinique des maladies du système nerveux. (N
te. A notre REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 293 3 époque, ajoute le
professeur
, les cas bien tranchés comme celui- ci n'offren
CAMUSET. XXVII. LE sein HYSTÉRIQUE; par M. Gilles DE LA TOUItETTE,
professeur
'agrégé à la Faculté de Paris, médecin des hôpi
D BILATÉRAL AVEC DISSO- CIATION SYR(NGOMY1LIQUE ; par MM. V. HANOT,
professeur
agrégé, médecin de l'hôpital Saint-Antoine et H
, thermo-anes- thésie et conservation de la sensibilité tactile. Le
professeur
main- tient pourtant le diagnostic de syringomy
is héréditaire DE la MOELLE ÉPINIÈRE; par M. GILLES DE la TOURETTE,
professeur
agrégé de la Faculté de médecine, médecin des h
rieure de la moelle. C. XXXVI. DE la cataphorèse électrique; par le
professeur
F.-P. SGOBBO, de l'Université de Naples. 11 e
stérique simulant LE tremblement DE la maladie DE Parkinson; par le
professeur
DE RENzI, de l'Univer- sité de Naples. (Leçon c
cette jeune fille, maladie de Parkinson et hystérie à la fois ? Le
professeur
de Renzi ne le pense pas, l'absence de la rigid
.\L. l'ACHY)IÍNINGITE CERMCALK hypertrophique : Leçon clinique du
professeur
de Renzi. Observation. Homme, trente-huit ans,
t d'atrophie musculaire progressive, type Araii-Duelientie5 mais le
professeur
de Renzi démontre qu'il est atteint de pachy- m
I. Saturnisme chronique avec paralysie des nerfs radiaux ; par ' le
professeur
DE RENZI, de l'Université de Naples (Leçon cliniq
e professeur DE RENZI, de l'Université de Naples (Leçon clinique du
professeur
DE Renzi.) Observation. Femme, trente-sept ans,
ezelica. Naples, 1896, 110 2.) C. 11.11. Syphilis cérébrale ; parle
professeur
DE l3EVZr, de l'Université de Naples. (Leçon cl
professeur DE l3EVZr, de l'Université de Naples. (Leçon clinique du
professeur
DE RENZI.) Observation. Jeune homme, vingt et u
Souffle cardiaque NERVEUX. OEDÈME des extrémités inférieures; parle
professeur
de RENZI, de l'Université de Naples. (Clinique
parle professeur de RENZI, de l'Université de Naples. (Clinique du
professeur
de Renzi.) Observation. Jeune fille de vingt-tr
un souffle anémique, le sang examiné ayant été trouvé normal. Le
professeur
Renzi diagnostiqua donc un souffle nerveux, pour
sage des méde- cins, des médecins légistes et des étudiants; par le
professeur
Enrico itIORSELLi. Vol. Il (Examen psychologiqu
i leur revient. A cet égard, je ne puis qu'applaudir à l'opinion du
professeur
Morselli, et comme lui je suis bien convaincu que
s sentiments; 4° de la volonté. Tel est le plan général du livre du
professeur
Morselti. Mais cette esquisse rapide ne peut do
r une conférence chaleureuse- ment applaudie, faite par M. mariner,
professeur
à l'école des Hautes-Etudes, sur le rôle de l'U
nière générale. On a soumis le régime réglementaire à l'exa- men du
professeur
Flint, qui l'a reconnu suffisant, mais il n'a pu
6.) C. XLVI11. Névrite tuberculeuse SYMÉTRIQUE ; par le Dr RENZI,
professeur
de clinique à l'Université de Naples. Observati
l'hôpital, il marchait très bien et ne souffrait plus du tout. Le
professeur
insiste sur la forme symétrique de l'affection en
T LA MARCHE DES AFFECTIONS INCFCTIEUSES pal' MM. les Drs TRAMBASTI,
professeur
libre de pathologie générale et C. ComsA, assis
sile clinique (3ainte-Atiiie. - Clinique des maladies mentales : le
professeur
A. JOPRROY. Mercredi et samedi, à 0 Ji. 1/2. Ho
DE la Salpêtrière. Clinique des maladies du Système nerveux. M. le
professeur
R.YMoND; le mardi et le vendredi à4 h. 1/2 ; -
Somnambule, Cartomancienne. Diplômée à la clinique du Dr Ciiarcot,
professeur
de magnétisme à la Salpètriêre (Paris). Dévoile
r J.-M. CHARCOT PUNLIfiE SOUS I.A DIRECTION UR plpl. A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales à la Facu
e médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies du système nerveux
l'enquête du côté des pe- tits signes du brightisme, réunis par ie
professeur
Dieulafoy. Nous avons recherché la polyurie, la
les deux phénomènes une relation de cause à effet. D'après M. le
professeur
Joffroy 1, la coexistence de trou- bles rénaux
'absence de tout autre symptôme clinique. Il est des cas, dit M. le
professeur
Dieulafoy-, où le délire apparaît comme l'uniqu
une allure spéciale, il n'en serait ' Disons à ce propos que M. le
professeur
Gilbert, MM. Lereboullet et Herscher admettent
minurie. D'une façon générale, et ce fait a été constaté déjà parle
professeur
Raymond, l'augmentation de la quantité d'albumi
la même auto-intoxication. Comme le fait justement remarquer M. le
professeur
Dieulafoy, la connaissance de cette étiologie a
uls procédés thérapeutiques ne sont pas comme semble le craindre le
professeur
Dieulafoyl, l'alimen- tation forcée et la douch
Organisation de la Clinique. Organisation du service médical. Le
professeur
de Clinique psychiatrique, M. le docteur li. So
. Lors de notre visite le personnel médical était composé, outre le
professeur
Sommer, d'un médecin en chef, Vu. le docteur Da
, d'un médecin en chef, Vu. le docteur Dannemann, ayant le titre de
professeur
extraordi- naire, de trois médecins assistants
l, c'est-à-dire à proximité ' Voir le numéro de juin, p. 13. - Le
professeur
Sommer est l'auteur de travaux intéressants sur :
ut entière entre les mains d'un seul médecin, responsable devant le
professeur
. C'est au médecin de chaque division que sont t
u médecin de chaque division que sont transmises les indications du
professeur
, les dossiers des entrants, la correspondance d
x divisions ne peuvent s'absenter simultanément : de cette façon le
professeur
absent peut toujours être remplacé par un médec
lits gratuits en nombre suffisant et de lits à prix très faible. Le
professeur
dispose de 10 lits gratuits. Le prix de pen- si
ne parlerons que du cours de psychiatrie, fait en 12 leçons par le
professeur
Sommer. M. Sommer, après une vue d'ensemble sur
ment et sur les mesures d'assistance que réclament les arriérés. Le
professeur
étudia ensuite le chapitre de l'épilepsie au po
fin de pouvoir y soumettre le plus grand nombre des malades. ' Le
professeur
R. Sommer, dans son Traité des méthodes d'exa-
avons fait de larges emprunts à l'intéressante monographie de M. le
professeur
A. Dannemann, médecin en chef à la clinique, Die
n. Karger, Berlin, 1899. Qu'il nous soit permis d'adresser à NI. le
professeur
Dannemann nos sincères remercie- ments pour son
s expérimentales sur les localisations motrices spi- nales ; par le
professeur
111anIESCO. L'auteur poursuit le cours de ses i
e comprendre ; il succomba à une affection pulmonaire chronique. Le
professeur
Heid, d'Aberdeen, qui a examiné le cerveau le d
nt. C'est pourquoi nous avons dessiné avec l'aide de M. Papillault,
professeur
à l'École d'anthropologie, le crâne au stéréogr
its bulbaires inférieurs. A l'entrée du malade à la Salpètiière, le
professeur
Raymond note : sensibilité normale, réflexes no
hinomanie. Auto-observation d'un médecin mor- phinomane ; par M. le
professeur
Debove (Presse médicale, 26 mars z). M. Debov
orphine devienne morphinomane serait le terrain névropathique. Le
professeur
dit quelques mots de l'état de besoin de la dé-
e ceux-ci. Il. Leroy. XXVI Un cas de cancer cérébelleux ; par M. le
professeur
Raymond (Presse Médicale, 8 octobre 1902). In
e malade à venir consulter à la Salpêtrière, en décembre 1901. Le
professeur
Raymond note alors : aspect général satisfaisant,
alo-racliiJien, l'absence de toute polynucléo-e du sang ramènent le
professeur
à l'idée d'une tumeur en voie d'accroisse- ment
système nerveux; par F. LWYMOonD, membre de l'Académie do médecine,
professeur
de clinique des maladies nerveuses à la Faculté
e de Clinique des maladies du système nerveux, à la Salpétrière, le
professeur
Raymond faisait paraître une première série de
n aban- donner de mes opinions personnelles. » La fidélité que le
professeur
Raymond a gardée à son programme du début se re
un point de vue essentiellement clinique. La méthode adoptée par le
professeur
Raymond s'y révèle dans toute sa rigueur et dan
classifications artificielles et au raisonnement à pnoristique, le
professeur
Ray- mond nous fait revivre, étape par étape, l
remarque qui a son intérêt ; sans doute, les leçons de clinique du
professeur
Raymond s'adressent en première ligne à ceux qu
t ; nous en citerons comme preuve, les chapitres dans les- quels le
professeur
Raymond a exposé le traitement des polynévri- l
Aussi n'hésitons-nous pas à déclarer que les leçons de clinique du
professeur
Raymond s'imposent à l'attention de tous ceux q
travaux du Congrès. La France était brillamment représentée par les
professeurs
Joffroy, Brissaud (de Paris); le professeur Pie
nt représentée par les professeurs Joffroy, Brissaud (de Paris); le
professeur
Pierret (de Lyon) ; le professeur Pitres (de Bo
Joffroy, Brissaud (de Paris); le professeur Pierret (de Lyon) ; le
professeur
Pitres (de Bordeaux) ; les Drs Gilbert Ballet,
e l'accueil fait au Congrès. Le président médical du Congrès, M. le
professeur
Xavier Fraxcotte, a remercié en quelques mots l
congressistes, à laquelle a répondu le président du Congrès, M. le
professeur
Francotte, il a conduit les assistants dans les
otte, la présidence générale, puis, sous la présidence effective du
professeur
Brissaud, l'assemblée commence ses travaux par
lbaum et de Hecker, et dont le représentant le plus autorisé est le
professeur
Kraeplin. Est-ce cette école qui nous aura enfi
e la sensibilité dans les étals neurasthéniques et mélancoliques.
Professeur
Duaots (Berne). Une hyopesthésie dans le domaine
anmoins de guérison. Principes d'une psychothérapie .rationnelle.
Professeur
Dubois (Berne). La psychothérapie qu'exerce le
. Psychopathologie légale. T. I : La psychologie criminelle; par le
professeur
Kovalevsky. Paris, Vigot frères, 1903. Ce livre
emple Gheel) sans autre limitation. La douleur à volonté. M. le
professeur
Brissaud cite trois cas très intéressants de ma-
elle est devenue dans la suite une obsession, une idée fixe. M. le
professeur
Brnnuem (de Nancy). J'ai observé beaucoup de fa
culaire diffuse exactement semblables à celles déjà trouvées par le
professeur
Raymond (Soc. MM. des Ilôp., 3 février 1893) :
ningo-myélites syphilitiques sem- blables à ceux qu'ont observés le
professeur
Raymond et nous- même. Cliniquement, nous n'a
st arrêté depuis cinq mois. Séance du 8 août. Présidence DE M. LE
professeur
Masoin. De la suggestion matérialisée à l'état
'endormir les malades et de faire la suggestion entre autres, M. le
professeur
Fore), le professeur Hirt, de Breslau; le D1' V
et de faire la suggestion entre autres, M. le professeur Fore), le
professeur
Hirt, de Breslau; le D1' Van Ilotergliem, d'Ams
c., la collaboration intime du médecin, du chirurgien parfois et du
professeur
spécialiste est nécessaire pour arriver au succ
issements d'instruction, la place de l'homme de l'art est à côté du
professeur
, et ce ne sont point seulement nos arriérés qui
ale pour la protection de l'enfance anormale, sous la présidence du
professeur
l3onfiâli, en faveur de laquelle l" la doctores
de spasme facial a été décrite dans des publi- cations récentes du
professeur
Bernhardt (de Berlin), de Kewmark (de San Franc
uet offert par l'infatigable président, toujours à son poste, M. le
professeur
FRANCOTTE, à l'hôtel Métropole où avait déjà eu
onné par M. et M-0 Crocq, et le banquet du Congrès. Notre ami M. le
professeur
Pitres a remercié le pré- sident en excellents
e alcooliques ». Un seul artiste répondit à son appel, un modeste
professeur
de dessin. Cinq cent mille cartes postales furent
d'hypophisis cerebri ! . Encore la célèbre organothérapie ! ' , '
Professeur
S. Tchiriev, Sur le traitement de morbus Basedowi
n dedans ordonné par messieurs les syphilidologues eux-mêmes '. '
Professeur
S. Tchiriev, Sur le traitement de la syphilis en
, nous employons le lysol à 2 p. 100 qui, ainsi que l'a écrit M. le
professeur
Cal- mette « présente certains avantages précie
cette cérémonie à laquelle l'Académie de médecine avait délégué les
professeurs
et Lnnouzr; la Faculté de médecine de Montpelli
professeurs et Lnnouzr; la Faculté de médecine de Montpellier, les
professeurs
Grarset. Carrieu. TLDE- vr, MAmEret ltntrzien ;
Carrieu. TLDE- vr, MAmEret ltntrzien ; la Faculté de Toulouse, les
professeurs
Fin. 23. 45 r VARIA. lllossL et Ai3ELous; c
Fin. 23. 45 r VARIA. lllossL et Ai3ELous; celle de Bordeaux, les
professeurs
Pitre et Régis : celle de Lille, le professeur
le de Bordeaux, les professeurs Pitre et Régis : celle de Lille, le
professeur
Combemale. La presse médicale pari- sienne étai
e la séance d'inauguration en donnant la pa- role à M. Pierre Brun,
professeur
au Lycée de Montpellier, qui dit une fort belle
de Lamalou, le Dr Boissier, au nom du corps médical de Lamalou. le
professeur
Raymond et le ministre, M. Trouillot. Nous avons
par la certitude, où l'on était, que l'enseigne- ment admirable du
Professeur
de la Salpêtrière avait suscité et préparé de n
avant anatomiste, expérimentateur judicieux et ob- servateur avisé,
professeur
érudit et vulgarisateur incomparable, clinicien
pas effleuré la grande existence de Charcot. Il laisse ce soin au «
professeur
éminent que, dans le monde scientifique, on app
e dernier et au commencement de celui-ci, les estimables travaux du
professeur
Dupré, de Mont- pellier, des D1S Privât, Boissi
faveur de l'exac- titude de ces conclusions, je relève les noms des
professeurs
Gras- set, Carrien, de Montpellier, et Combemal
e la moelle ; (Syndrome de Brown-Sequard). l R 3111. PEUGNIEZ
Professeur
de clinique chirurgicale à 1'l-lcLile de médeci
troisième facteur et non le moins important, mis en lumière par le
professeur
Joffroy : la prédisposition : « C'est l'état ll
olis mental; par le D' Séglas. Sous le nom de torticolis mental, le
professeur
Brissaud désigne un tic particulier consistant
aplégie spasmodique per- manente par tumeur médullaire; par MM. les
professeurs
linvuoun et CEST%N. - Des faits nombreux on)
chiatrie clinique. Depuis vingt ans, le médecin-chef (qui est aussi
professeur
de Psychiatrie clinique) fait des leçons ré- gu
ent, son dévouement sans bornes pour ceux qu'il savait ses amis. Le
professeur
Ilaymond, qui avait pour son collaborateur Phil
élèves, avec cet esprit scientifique que dé- finissait plus haut le
professeur
Raymond Nous rappellerons ses belles études sur
e ; il écrivait les examens histologiques des Leçons clini- ques du
professeur
Raymond et des Comptes rendus de 131cétre de M.
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIEE SOUS LA DIRECTION Du
PROFESSEUR
CHARCOT (DE l'institut) PAR PAUL RICHER GILLE
malade devient alors complètement maître de ses membres (-1) ». Le
professeur
Erb a dési- gné l'ensemble de ces troubles par
a Salpètrière, lorsque nous étions interne dans le service de M. le
professeur
Charcot, un malade atteint de maladie de Thomse
s photographies à la main habile de mon ami, le Dr Van Haren Noman,
professeur
de dermatologie à l'Université d'Amsterdam. 42
ces cas n'ont point d'autre explication possible. - J. A. ESTÈYES,
professeur
agrégé , Des maladies du système nerveux à la F
de Blocq et Blin, recueilli clans le service de notre maître M. le
professeur
Charcot, les mouvements limités d'abord au bras
pice do la Salpêtrière, le 10 octobre 1890 dans le service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires. Père. Mort à
à marcher en maintenant les deux genoux l'un contre l'autre. M. le
professeur
Charcot a très heureusement pour cette raison c
de la Salpètrière le 8 dé- cembre 1890, dans le service ile 11. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires. Père de 39 a
te note sur la queue des satyres et la queue des faunes, hi. Grafé,
professeur
à l'Université de Liège, m'a signalé que Ctésias
par MM. Pitres et Dallidet (1), Fischer (2), Buzzard (3). 111. le -
professeur
Charcot (4) y a de nouveau insisté dans sa leçon
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE HOSPICE DE LA SALPÈTRIÈRE - \I. LE
PROFESSEUR
C ARTHROPATHIES COXO-FÉMORALES Au début du l'
e diagnostic. Aujourd'hui, depuis les remarquables travaux de M. le
professeur
Four- nier, travaux qui ont complété et étendu,
ie ; il rentre par là dans la catégorie des faux urinaires de M. le
professeur
Guyon. Enfin le malade nous a dit qu'il avait é
çon de bureau, entre le 31 octobre 1891, dans le ser- vice de M. le
professeur
Charcot, salle Prus. A. Il. Père hémiplégique i
moment d'avoir indiqué les théo- ries proposées. Ajoutons que M. le
professeur
Charcol, dans sa classifica- tion des symptômes
ont été, aussi, étudiés méthodiquement et très complètement par le
professeur
Erb. Voici, en résumé, les résultats auxquels i
out le monde connaît aujourd'hui la craniectomie proposée par M. le
professeur
Lannelongue pour le traitement de l'hydrocéphalie
GINE probablement HYSTÉRIQUE (Hôpital Saint-Louis. Service de M. le
professeur
Fournier). Nous voulons simplement exposer le c
e en 1892 à la consultation de l'hôpital St-Louis, service de M. le
professeur
Fournier. Cette malade, âgée de 17 ans, ne donn
fait par M. Gilles .de. la Tourelle qui présenta la malade à M. le
professeur
Charcot Nous nous sommes enfin demandé s'il n
ans, boucher, est venu le 21 juin, consultation du mardi, où M. le
professeur
Charcot l'a présenté concurremment avec deux au-
s l'athétose double. Chorée hystérique ou rhythmique. C'est à M. le
professeur
Charcot que nous devons une exacte description
thé- tose double. Tabes dorsal spasmodique. Ainsi nommé par M. le
professeur
Charcot, puis étudié par Little sous le titre d
, nous avons publié sur la mé- decine vibratoire une leçon de M. le
professeur
Charcot (1). Nous ne pouvons mieux faire que de
r, nous pouvons dire que la méthode vibratoire ima- ginée par M. le
professeur
Charcot a donné jusqu'ici les résultats les plus
vons eu l'occasion d'observer dans le service de notre maître M. le
professeur
Charcot un hystérique mâle qui présentait un déve
ons, entre à la Salpè- trière, salle Prus, dans le service de M. le
professeur
Charcot, le il août 1891. Antécédents hérédit
utopsies de MM. Joffroy et Achard et la leçon de notre maître M. le
professeur
Charcot ont établi cette doctrine unitaire sur de
les jours. Le 7 novembre 1886 était admis dans le service de M. le
professeur
Grancher, parce que depuis 3 mois l'enfant reje
he, 1891). Cazauvielh. Arch. gén. de méd., 1827 (cité par P. Marie,
professeur
agrégé, dans l'article Hémiplégie infantile du
PHIQUE DE LA FRANGE ET DE L'ÉTRANGER - Dirigée par Th. RIBOT Il
Professeur
au Collège de France. ... . Dix-huitième anné
est laissé au hasard. - « Tout s'y passe au con- traire, dit M. le
professeur
Charcot, suivant des règles, toujours les mê- m
té ses observations personnelles. Ce pas décisif fut fait par M. le
professeur
Charcot et l'École de la Sal- pètrière, en même
ystérie masculine ou fémi- nine, mais une seule hystérie, dit M. le
professeur
Charcot, « une et indri- visible ». Cela est
Nous devons pourtant citer, après les leçons magistra- les de M. le
professeur
Charcot, les Recherches cliniques de Bourneville
noclt y échappe à peine; c'est néanmoins dans les leçons du célèbre
professeur
de Berlin qu'on trouve, avec le moins de parti-pr
s et par conséquent, ne nous sont pas d'une grande utilité. M. le
professeur
Grancher (2) a observé un cas pour lequel l'hysté
revêt des formes frustes quelquefois bien curieuses (1) ». M. le
professeur
Pitres, dans ses Leçons cliniques, consacre une c
euse du premier âge l'expliquent suffisamment, « En réalité, dit le
professeur
Pitres (2) on naît hystérique, on ne le devient
ormes délirantes d'hys- térie infantile, si bien décrites par M. le
professeur
Charcot (1), dans les- quelles les accès de dél
-il imprudent de vouloir encore généraliser ces propositions. M. le
professeur
Charcot a déjà démontré leur peu de fondement en
us semble donc plus sage d'adopter ici les conclusions suivantes du
professeur
Pitres (1) : « Les divisions de l'hystérie fondée
plus nouveau, mais aussi le plus ardu de la question ? C'est M. le
professeur
Charcot qui, dès 1865, a posé les termes du pro-
rni deux exem- ples où les lésions avaient suivi l'hystérie (1), le
professeur
Grasset (2), de son côté, et M. Cénas (3) (de L
ous menons de voir quelle pari considérable revenait encore à M. le
professeur
Charcot et à son école dans l'étude complexe des
es attaques d'hystérie étaient des farces ». Ainsi, après West, les
professeurs
de pédiatrie avaient leur siège fait, les petit
urions mieux faire que de les renvoyer encore à ces lignes de M. le
professeur
Charcot qu'il faut citer décidément il tout pro
michorée associé à une forme d'héttre.aableaent hystéri- que. M. le
professeur
Debove (4) (1890), MM. Joffroy et Séglas (5) (189
r les tremblements hystériques (7), ainsi que les le- çons de M. le
professeur
Pitres sur le même sujet (8). « L'histoire des tr
jet (8). « L'histoire des trem- blements hystériques, conclut M. le
professeur
Charcot (9), est donc un chapitre de plus, à aj
vec des caractè- res qui permettraient de la reconnaître, et que le
professeur
Charcot a résumé en étudiant ce phénomène qui à
enons cette assertion si concluante, si péremptoire dans l'étude du
professeur
Charcot auquel nous nous sommes rapporté. Après l
r Charcot auquel nous nous sommes rapporté. Après l'avoir citée, le
Professeur
de la Salpêtrière ajoute : Placez devant Porcz...
ui disparaissentengrande partie dans le cas que nous étudions. Le
professeur
Charcot avait émis ce propos une hypothèse à l'ap
uels nous assistons. Dans une série d'intéressantes expériences, le
professeur
de la Salpè- trière commença par faire voir qu'
paralytiques que développe le trau- matisme. A ce propos, dit le
professeur
Charcot en commentant ces expériences dans une
s d'une véritable suggestion ». Comme vous le voyez, l'hypothèse du
professeur
Charcot est non seule- ment brillante, mais rep
malade. Dol* A. ORREGO Luco, Directeur de l'Ecole de médecine et
professeur
de Clinique des maladies du système nerveux : l
é des médecins russes à S. Pétersbourg, sous la présidence de M. le
professeur
Slaviansky. LA FARADISATION THÉRAPEUTIQUE 381
ce que d'après les auteurs fran- çais les plus éminents comme M. le
professeur
Charcot et Vulpian le tabes dorsal est au fond
conformation féminine chez un jeune hystérique du service de M. le
professeur
Charcot, nous a conduit à faire quelques re- ch
d.-M. CIItIRC(1T PIIIM1KE SOUS LA DiiiFcrioN nE MM. A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales ? [J\ Facul
de médecine hléJecm nle l'Aile clmiyue (Sie-Anne). F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies du système nerveux
e la moelle dorsale équivalant à une secti , Par E. BRISSAUD, 1 .
Professeur
à la Faculté de médecine de Paris, médecin de l'I
y a pas cependant, longtemps, que le fondateur de.la neurologie, le
professeur
Charcot, disait de la suspension que « les résu
avons faites dans la cli- nique de notre très estimé maître, M. le
professeur
Raymond, où nous sommes attaché depuis trois an
conséquent, son véritable parrain et propa- gateur. La confiance du
professeur
Raymond dans le bien- fait de la supension n'a
a suspension dans une de ses leçons du vendredi, dans les ter- »I
Professeur
Charcot : Leçons du mardi à la Salpêtrière. Polyc
s sans avoir besoin d'appui ' ». Telle est égale- ment l'opinion du
professeur
Erb, d'après qui, « la suspen- sion agit bien s
onne souvent de bons résultats par son action réelle. Pour les deux
professeurs
cités plus haut, la suspension serait un traite
tres, comme illusoire. Parmi ces derniers, se trouve le distingué
professeur
von Leyden. L'opinion de cet éminent savant est
ce et que nous avons introduit dans la clinique de notre maître, le
professeur
Raymond, y sert pour faire l'ex- tension dans l
mpres- sion, etc. MM. IIaushalter et Adam sont également d'avis '
Professeur
Raymond : Clinique des maladies du système nerveu
stion, il est indéniable que celle-ci joue le rôle prépondérant. Le
professeur
Bernheim, de Nancy, est absolu- ment contraire
oupçonnait même pas son existence. Lorsqu'en 1888, notre maître, le
professeur
Raymond, fut envoyé en mission en Russie, il vi
plus grand nombre appartient à l'inventeur de la suspension, M. le
professeur
Motchoullcowski, qui soigna jusque l'année dern
on, 25 sans modification, J aggravation et 9 incer- tains. N 1 Le
professeur
Benedikt, de Vienne, est, après les profes- seu
a suspension. Il se prononça pour le procédé de Bonnuzzi 2. Pour le
professeur
de Vienne, l'extension par la suspension est pr
e tous les neuropathologistes qui s'occupaient de la suspension, le
professeur
Ilirth est pres- que le seul qui eut peu de cha
traitement et une fois habitué, il revient à son état primitif. Le
professeur
Grasset dit dans son dernier tra- vail sur la s
chronique destiné aux affections choniques. En ce qui con- cerne le
professeur
Grasset, il s'est déclaré partisan de la suspen
à arrêter la marche de la lésion anatomo-pathologique du tabes. Le
professeur
Lépine tient la suspension pour un des moyens l
à la suite de la pendaison, faite par le patient lui- même, dit le
professeur
1\1otchoutlco\Yski. Il est évident que ce n'est
sion, répercutèrent sur le sort même de cet agent thérapeutique. Le
professeur
Motchoutkowski accuse, et non sans raison, la l
de Sayre modifié légère- ment par M. Chazal sous les indications du
professeur
de Saint-Pétersbourg; il est composé d'une pièc
chives, 2. série, t. XIII. 3 34 - ' THERAPEUTIQUE. étudiés par le
professeur
Leyden et tout récemment par notre maître M. le
s par le professeur Leyden et tout récemment par notre maître M. le
professeur
Raymond dans sa leçon sur la mé- thode de Frenk
rs le tronc, quand le patient est couché sur un canapé (fig. 9). Le
professeur
Benedikt vante beaucoup ce procédé. Blondel l'a
rte que ce mode d'exten- sion n'est autre chose que la pendaison du
professeur
Mot- chouLkowski sur une planche inclinée, ce q
ncipalement sur la nuque, ce qui est contraire aux prescriptions du
professeur
Motchoutkowki, qui exige, et avec raison, que l
e pendant plusieurs semaines un patient pesant 85 kilos, à qui le
professeur
Spilmann de Nancy interdit la suspension après
gie méningée spinale en dehors de la dure-mère ; Par A. COCHEZ,
Professeur
de clinique médicale à l'École de Médecine d'Alge
CIÉTÉ DE NEUROLOGIE Séance du 11 novembre 1901, PRÉSIDENCE DE M. LE
professeur
RAYMOND,. ' Diagnostic de la poliomyélite et
observations d'élongation trophique qui m'ont été adressées par les
professeurs
San Martin, Otero Acevedo, Ramonede (Espagne),
San Martin, Otero Acevedo, Ramonede (Espagne), Navarro (Uru- guay),
professeur
Roucoli, Drs Moutini, lllariani (Italie), Vince e
s centres nerveux. ' Séance du 5 décembre 1901. PRÉSIDENCE DE M. LE
professeur
RAYMOND. Tumeur cérébrale chez un enfant. M
E NEUROLOGIE- CLINIQUE NERVEUSE.. Travail DE la clinique DE M. LE
professeur
A. Pitres. ' , ... ? 1 i Étude sur six cas de
ns le service et à la consultation externe de notre maitre, M. le
professeur
Pitres, treize cas. - Sept de ces cas répondaie
, raccommo- deur de porcelaine, entre à l'hôpital, service de M. le
professeur
Pitres, pour une monoparésie du membre supérieu
r son pain, à se vêtir, et se présente à la consul- tation de M. le
professeur
Pitres le 22 septembre 1900. Etat actuel, le 22
us le faradisons pour la première fois dans le laboratoire de M. le
professeur
Pétré. Le résultat est à peu près nul. Les trou
ux en général, et sur la moelle épinière en particulier ? Pour le
professeur
Motchoutkowski, la suspension et par- ticulière
ement, 0,03, 0,04 et 0,045. Cette allon- galion agirait, d'après le
professeur
de Saint-Pétersbourg, sur la circulation des mé
anes nerveux intraduraux un peu moindre que celle indiquée par le
professeur
Motchoutkowsky. Cette élongation varierait d'ap
Die Dehnuag des 7{MM ! M) ? M'iener 1lfedic. Blciller. 1881. z z
Professeur
Charcot. Leçons du mardi à la Salpêtrière, 1888-1
nt suivant qu'elle sera plus pro- longée et plus intense. » Pour le
professeur
Bechtereff, les modifications de la circulation
s, de la substance grise, et dans un cas, de la moelle épinière. Le
professeur
Benedict compare l'action de la suspension à ce
agirait comme un moyen de suggestion. Tel est également l'avis du
professeur
Leyden, de Haushalter, d'Adam et Bernheim. Notr
S MALADIES NERVEUSES. 119 gurantes. Dans ses leçons du vendredi, le
professeur
Ray- mond disait de la suspension : qu'«elle au
troubles génitaux, urinaires et sur l'incoordination motrice ». Le
professeur
Motchoutkowski donne dans ses récentes leçons s
yeux fermés et marche sans difficulté en arrière. La statistique du
professeur
Motchoutkowsky montre . que l'amélioration du s
tions de deux malades, soignées dans .le service de notre maître le
professeur
Raymond, et qui ont bénéficié incontestablement
lle - action de la suspension sur les lésions du nerf optique, le
professeur
Bechtereff l'explique, comme nous l'avons vu plus
ar conséquent les mêmes pour toutes les affections nerveuses, M. le
professeur
Ray- mond les formules comme suit : la suspensi
- cations, faites par nous de l'extension soit dans le service du
professeur
Raymond, où se trouve la seule et unique planche
communes des physiologistes et la consommation de l'alcool; par le
professeur
C.-11. Hughes. M. D. (The Alienist uzacl AMrû/s
erveux (paralysie générale et démence sénile). - . Discussion. Le
professeur
Rotin fait remarquer que des lésions analogues
G.-I. Rossolimo. L'art, les nerfs malades et l'éducation. - M. le
professeur
v. Krafft-Ebing (de Vienne), est élu à l'unani-
. L'essence de giroffle a déjà été employée dans le même but par le
Professeur
Nikiforov. M. Melnikoff-Rasvedenkoff communique
t pathologique (directeur : Dr Toulouse), par J.-J. van BIEIIVLIET,
professeur
de psychologie à l'Université de Gand, volume i
oby, Pearce Bailey et Ira Van Gieson. L'envoi couronné est celui du
professeur
Carlo-Ceni (de Pavie). Le manuscrit, qui a pour
- mier. Smou. XV. L'étiologie de la paralysie progressive; par le
professeur
li. v. KRAFFT-ËBiNG; traduit parle D1' W. Alfre
Il s'agit en réalité d'un jeune homme de seize ans, qui a tué son
professeur
à coups de couteau. C'est un dégénéré à la limite
alheureux, après une série de mauvaises nuits, avait vu en songe ce
professeur
se quereller avec lui et qu'il l'avait tué dans
songe avait engendré le projet suivant : a il irait demander à son
professeur
de parler pour lui aux autres maîtres qui lui ava
ents ultérieurs lui montrèrent l'inanité de la bienveillance de son
professeur
, alors qu'il fût intervenu. Mais l'impulsion étai
tervenu. Mais l'impulsion était donnée, l'élève était paresseux, le
professeur
lui marque une note insuffisante : le délire re
pointu en poche; il ne répond pas à l'interrogation que lui fait le
professeur
, il est mis à la porte de la classe. Après être d
et demande pardon : refus REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 33 'net du
professeur
; l'élève alors frappe, ses yeux se troublent, il
son gré, s'il résiste à l'injonction, c'est la formule . que M. le
professeur
Bernheim a mise comme base de l'hypno- tisme et
eux. C'est une explication peu explicite et, malgré l'auto- rité du
professeur
de Nancy et de l'auteur du travail analysé, j'a
du mot`1 Dans un cas, cité par M. Vires, un sujet ne voyait pas le
professeur
bibliographie. 231 1 Sarda présent après le s
ons insisté, dans un travail publiéenl892, en collaboration avec le
professeur
Raymond'. l, Nous avons établi l'existence habi
bons chez un épicier. Dans une pension où il est, il va trouver son
professeur
pour lui demander des leçons particulières, à l
envoyer et qu'il est chargé par ses parents de s'en- tendre avec le
professeur
de musique pour prendre des leçons par- ticuliè
msen ; par W. SEIFFEh. (\'eurolog. Centralbl., XIX, 1900.) Feu le
professeur
Gessler avait pensé que la maladie de Thomsen é
axie de la folie. M. Arnaud donne une analyse d'un travail de M. le
professeur
Funaioli (de Sienne), sur les causes et la prop
s au Brésil. M. DUPAI : -¡ analyse un ouvrage de M. Nina-Hodrigues,
professeur
de médecine légale au Brésil et ayant pour titr
d'académie, M. DL.1111'E; archi- tecte de Uicctre, et M. 1,N rrit,
professeur
de chant à l'asile-école de Bicétre. Sous ce
NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES. -
PROFESSEUR
RAYMOND. Sur trois cas d'hémianopsie ; MESSIE
août prochain, à Grenoble, sous la présidence de M. le Dr E. Régis,
professeur
de psychiatrie à l'Université de Bordeaux. Le
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION Du
PROFESSEUR
CHARCOT (DE L'INSTITUT) PAR PAUL RICHER GILLE
us donnons ici l'histoire ont été observés dans le service de M. le
professeur
Charcot et ont fait l'objet de ses leçons clini
ns, journalier, est entré à la Salpêtrière dans le service de M. le
professeur
Charcot le 16 juin 1889. Un de ses frères apr
s, il était couché à l'hôpital de la Pitié dans le service de M. le
professeur
Verneuil, où ses camarades l'avaient transporté.
d'attitudes vicieuses, le premier principalement, décrits par M. le
professeur
Charcot. Les poignets, les coudes, les genoux e
ion normale des diverses parties du corps. C'est un point que M. le
professeur
Charcot, avec la haute autorité qui s'attache à
l l'histoire d'une malade observée par lui dans le service de M. le
professeur
Potain et qui présentait, à côté de troubles hy
e 1. L'idée première de ce travail appartient a notre maître, M. le
professeur
Charcot. Nous le prions de recevoir nos remerci
uets à cet égard. On peut lire cependant, dans les Leçons deM. le
professeur
Charcot,, plusieurs passages dans lesquels notr
fut publiée que quelques mois après, dans le Progrès médical, M. le
professeur
Pitres insiste également sur la diversité des f
V..., a été présenté à la Policlinique de la Salpêtrière, par M. le
professeur
Charcot, dans la leçon du décembre 1888. Notre
ées directement dans l'en- seignement de notre éminent maître M. le
professeur
Charcot, et que l'on trouvera éparses dans ses
des tra- vaux d'un de ses élèves les plus distingués, M. Ballet i,
professeur
agrégé, sans oublier MM. Marquézy 2 et Tabaraud
ar des raisonnements, par des exemples empruntés au leçons de M. le
professeur
Charcot. Ces exemples sont d'autant plus frappant
s suivant dont l'expertise fut confiée à notre éminent maître M. le
professeur
Brouardel, alors que nous avions l'honneur d'êt
dont je donne ici l'histoire a été étudiée dans le service de M. le
professeur
Charcot. Elle est un exemple d'une des généralisa
lonne vertébrale cancéreuse pour se rendre compte de ce fait. M. le
professeur
Charcot a fait voir clans ses. leçons cliniques
ographie a eu la bonne fortune de publier plusieurs extraits, M. le
professeur
Charcot et son collabora- teur M. Paul Richer n
jet avant la Leçon du mardi, 23 octo- bre 1888, dans laquelle M. le
professeur
Charcot présenta aux audi- teurs de la Clinique
dyspnée, la chorée rhythmée qui, du reste, comme l'a montré M. le
professeur
Charcot, s'entremêlent parfois avec la manifestat
is ans, entré le 2 août 1889, salle Pruss, dans le service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires. - Nous ne re
héâtre des leçons à la Salpêlrière; pour-y être présentée par M. le
professeur
Charcot à ses auditeurs, suffit pour provoquer
ont établi par des recherches entreprises dans le service de M. le
professeur
Charcot, que l'analyse des urines de la période
DE QUELQUES AUTRES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ' Depuis que M. le
professeur
Charcot a publié le résultai de ses recherches
, 85 tabétiques furent soumis à la suspension, à la Policlinique du
professeur
Mendel, comprenant un total de 2,400 suspension
de ces résultats qui ne font que corroborer ceux obtenus par M. le
professeur
Charcot. Il nous semble préférable d'insister s
et nous confier lors d'une récente visite dans le service de M. le
professeur
Charcot. Cet appareil, que produit la figure 44
ioencéphalomyélite) Dans sa dernière leçon du semestre d'été, M. le
professeur
Charcot présentait à ses auditeurs deux malades
urs POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES Travail du Laboratoire de M. le
professeur
Charcot (Suite') 1) Examen histologique. Moel
e observa- tion, que nous devons pour la plus grande partie à M. le
professeur
Ilayem (qui a aussi consenti à examiner nos pré
r- vations, avec les poliomyélites. Uns. V (Communiquée par M. le
professeur
Hayem). - Annette Péron, âgée de quarante-neuf
ngue. L'intelligence reste 1"16. ai. - (Dessin communiqué par M. le
professeur
Ilayem et représentant la main de la malade en
euf ans, entré le 14 juin 1890, salle Prus, n° 11, service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents hériditaires. - Son père,
rieures, des mains et des avant-bras, des oreilles et du dos. M. le
professeur
Charcot nous a fait voir tout récemment un cas
. Nous ajouterons que c'est le diagnostic qui a été porté par M. le
professeur
Charcot dans la leçon clinique qu'il a consacré
FORMATION DU TRONC DANS LA SCIATIQUE I Le 5 septembre 188G, M. le
professeur
Charcot remarquait pour la première fois une dé
mations rétrospectives et apparaître de nou- veaux travaux. M. le
professeur
Erb, dans une lettre publiée par le Nettrolog. Ce
de faits et d'études sur cette question. Dans sa monographie, le
professeur
Gussenbauer revendique la prio- rité pour son p
de la déviation. Il fait ensuite remarquer qu'avant Nicoladoni le
professeur
Albert avait publié dans la Wien. merl. Presse,
n travail récent, croit devoir faire honneur de cette découverte au
professeur
Vanzetti. C'est là en somme un point d'historiq
scoliose neuropathique. ' Depuis ses premières observations, M. le
professeur
Charcot a maintes fois, dans ses Leçons du mard
'il ne serait pas sans intérêt de le rapporter. Notre maître, M. le
professeur
Charcot, a bien voulu nous signaler un cas anal
re le lOdécembre 188cl, salle Prüss, n° 8, dans le service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires. -Père mort d
un espoir sérieux. C'est alors que j'appelai auprès du malade M. le
professeur
Charcot. Se basant sur l'insuccès des autres médi
X POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES ' Travail du Laboratoire de M. le
professeur
Charcot - (Suite el fini) L'histoire clinique
el fini) L'histoire clinique si soigneusement recueillie par M. le
professeur
Ilayem offre un très grand intérêt. Disons tout
it; sa sincérité étant au moins douteuse, à ce que nous a dit M. le
professeur
Ilayem. On peut se demander s'il ne s'est pas a
et que nous avons eu l'occasion de prendre dans le service de M. le
professeur
Charcot. Bathilde F..., âgée actuellement de ci
ANT PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES' ; Par M. le D' Michel CATSARAS,
Professeur
agrégé de la Faculté d'Athènes; Médecin de l'asil
roman de la guillotine. D'ailleurs M. le Doyen de la Faculté, M. le
professeur
Brouardel, le dit dans la préface où il présent
0 Doin, 1889.) On se souvient qu'au mois de mai 1884, M. Liégeois,
professeur
de droit à la Faculté de Nancy lisait devant l'
endions en effet pour en faire notre profit à voir discutées par un
professeur
de droit devant la compétence duquel nous nous
conduit à des discussions dans lesquelles on reconnaît bien plus le
professeur
de droit, habitué à discuter sur des textes que
cins des hôpitaux de Paris, pour les mé- decins des hôpitaux et les
professeurs
des facultés de médecine de toutes les grandes
éral des établissements de bien- faisance, » et il ajoute que « un-
professeur
de la Faculté ou de l'Ecole préparatoire de méd
région; 2° d'un inspecteur général, docteur en médecine; - 3" d'un
professeur
désigné pur la Faculté de médecine ; 4° d'un ju
région ; 2° ,d'un inspecteur général, docteur en médecine ; 3° d'un
professeur
désigné par la Faculté de méde- cine ; 4° d'un
e Dr Viret, médecin en chef de Fasile de Prémontré; le De Castiaux,
professeur
de médecine légale à la Faculté de Lille. Epreu
ésident : M. l'inspecteur général inapias. Jurés titulaires : M. le
professeur
Hecht, M. le professeur Bernheim, M. le Dl Lan-
r général inapias. Jurés titulaires : M. le professeur Hecht, M. le
professeur
Bernheim, M. le Dl Lan- glois, médecin en chef
dent : M. l'Inspecteur général Drouineau ; Jurés titulaires : M. le
professeur
Picot, M. le Dr Fabre, directeur-médecin de l'a
ésident : M. l'Inspecteur général Drouineau; Jurés titulaires M. le
professeur
Mairet, M. le Dr Dauby, directeur-médecin de l'
eur général, A. Re- gnard. Jurés titulaires : MAI. les Drs Pierret,
professeur
de cli- nique des maladies mentales à Lyon, méd
Faculté DE médecine DE MoNTPELLIER. M. Mairet, vient d'être nommé
professeur
de clinique des maladies mentales et nerveuses.
S CORDONS POSTÉRIEURS ' DE LA MOELLE ÉP1NIÈRE DE L'HOMME ; Par le
Professeur
N. POPOFF, de Varsovie. Les cordons postérieurs
ème ou au commencement du septième mois de la vie foe- tale. Le
professeur
Bechterefï1, continuant les recherches de Ftech
eaux (jans de la celloïdine, employé actuellement au laboratoire du
professeur
Flechsig, à Leipzig, mérite d'étte particulièreme
grand, nous nous sommes adressé à notre très honoré maître M. le
professeur
Kojewnikoff et à notre estimable con- frère M.
qu'ils m'ont fournis. Voici les renseignements que m'a donnés M. le
professeur
Kojewnikoff : Dans les trois dernières années
'ac- cord avec celle qui se remarque dans la statistique de M. le
professeur
Kojenwiiikoff, c'est-à-dire dans 60 à 70 p. 100
2 février 1882, à l'hôpital Saint-Antoine, dans le service de M. le
professeur
llayem. Elle n'a fait aucune maladie antérieure,
étendue aussi de l'oeil du même côté'. Les récentes recherches du
professeur
Schafer et de Sanger Brown, ont donné un résult
NANT PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES', Par M. le D Michel CATSAReIS.
Professeur
agrégé de la Faculté d'Athènes : Médecin de l'asi
que de la suggestion, elle présenta, en présence de son frère et du
professeur
Bianchi, tous les phé- nomènes des trois états
apidement lieu toutes les fois qu'on faisait agir l'aimant. M. le
professeur
Despine, de Genève, vint me rendre visite à Dem
CIPAUX TRAVAUX RUSSES, CONCERNANT LA NEUROLOGIE5; Par F. RAYMOND,
professeur
agrégé à la Faculté de médecine, médecin de l'h
d'un système anatomique et certains troubles fonction- nels. Or le
professeur
Popoff a relaté un fait rare dans lequel ce rap
d'une augmentation de la contraction est dile état de pessimum. (Le
professeur
Marey, en France, avait déjà signalé ce fait.)
le bureau. La faible majorité des voix données cette année à il. le
professeur
Ball, s'explique par ce l'ait que beaucoup de m
on de l'action des cellules ou centres trophiques comme le pense le
professeur
bibliographie. 33'1 Bouc)iard ? Cette dernièr
les éléments ont mêmes fonctions'. Précisément à ce sujet, M. le
professeur
Charcot écrivait, en 1876 : « En présence des e
ennes, et en particulier de celles que mettait alors en avant M. le
professeur
l3rown-Séyuard, dans les mémorables discussions
considérée comme une seconde édition '. Un physiologiste, Luciani,
professeur
et directeur de l'Institut physiologique de Flo
continuons d'associer à leurs noms celui de Tamburini, l'illustre
professeur
de psychiatrie et directeur de l'asile d'alié-
asile d'alié- nés de Reggio d'Emilie, le premier collaborateur du
professeur
Luciani, avec Maragliano et Riva. Il y a je ne
rveau, de François-Franck, revivent tant d'admirables recherches du
professeur
Pitres, comme en témoigne si souvent l'auteur d
ci était bien fait pour l'exalter, car, on l'a deviné, il s'agit du
professeur
ù0 1-1 PHYSIOLOGIE. Charcot et de ses doctrin
surtout la doctrine des centres absolus et des centres relatifs du
professeur
de Vienne, repro- duit en partie, en les citant
Juifs, j'ai pris le plus grand chiffre, car sur les 3 cas de M. le
professeur
Kojew- nik-off, un est inscrit au nombre des 2
ve que ce rapport de 1 : 4 est vraiment trop minime, c'est que le
professeur
Kojewnikoff n'a pas eu un seul de ces tabes sur
e notre part, il n'ait pas été dit dans les statistiques de M. le
professeur
Kojewniko0' et de M. le Dr Korsakoff, com- bien
vaient eu indubitablement la syphilis. Dans la statistique de M. le
professeur
Kojewnikoft', il n'y a pas un seul cas; dans ce
ouvons y joindre qu'un seul cas pris dans la statis- tique de M. le
professeur
Kojewnikoff. Par consé- quent je connais 4 cas
nées, j'ai eu à examiner très en détail dans la clinique de 111. le
professeur
Kojew- nikoff en cas de paralysie arsenicale da
de présen- ter des préparations anatomiques de ce cas à 119. les
professeurs
Charcot, Westphal, Merziejewsky, Fuczek, etc. I
NANT PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES'; Par M. le Du Michel CÀTSARAS,
Professeur
agrégé de la Faculté cl'.ltliènes : Médecin de l'
clinique médicale Karamitsas, qui suppléait à ce moment le regretté
professeur
Préteuteris Typal- dos et qui m'a fait l'honneu
SPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME "NERVEUX
Professeur
: CHARCOT Compte rendu du service ophthlamologi
hystériques hommes ont été adressés de différents hôpitaux à M. le
professeur
Charcot qui, dans ces der- nières années, s'est
CIPAUX TRAVAUX RUSSES, CONCERNANT LA NEUROLOGIE'; Par F. RAYMOND,
professeur
agrégé à la Faculté de médecine, médecin de l'h
n avec la peau ne produit rien, fait antérieurement constaté par le
professeur
G. Sée. L'antipyrine injectée en solution à z10
e de la moelle (Svvadowsky). La myélite aiguë d'origine toxique. Le
professeur
Popoff a démontré que l'arsenic, le plomb, le m
VROSÉS. Etudes comparées sur l'hypnotisme chez .les animaux. ' Le
professeur
Danilewsky (de Karkofi) a entrepris une série d
UES OBSERVES EN RUSSIE. L'examen des préparations de M. Loukianotf,
professeur
d'anatomie pathologique à Varsovie, démontre qu
d'hématoxiline est la plus souvent employée. Nous avons vu chez le
professeur
Mierjiewsky, à Saint-Pé- tersbourg, une série d
ollaboration avec M. Rosenbach). 11-Rosenbacli, chef de clinique du
professeur
Mierjiewsky, nous a montré des préparations de
en perception des couleurs, observé à Kiew dans le service de M. le
professeur
Sikorsky. Le malade, aveugle de- puis trois ans
gnerie, ses causes et son traitement; traduit par P.-J. Kovalevsky,
professeur
des maladies mentales et nerveuses à l'Universi
L'étoffe de ce mémoire est à peu près constituée par la théorie du
professeur
Arndt, sur la folie en général. Nous avons dans c
par A. HERZEN. (Paris, in-16, 1888. J.-B. Baillière, éditeur.) Le
professeur
de physiologie de Lausanne tente d'asseoir la p
eur du Musée de Bicêtre fondé en 1879 par Ils. Bourneville et fut
professeur
d'hygiène à l'école des infirmiers de cet hospice
de la Société médico-psychologique. Vice-président : M. BaLL (B.),
professeur
de clinique des maladies mentales à la Faculté
fus obligé, d'avoir recours à mon collègue très estimé, M. Lezius,
professeur
de phi- lologie classique, pour comprendre au m
fonctions normales psychiques ne peut plus se faire. Cependant le
professeur
IL Nothnagel, dit dans son oeuvre Topischen Dia
asmes se trouvent dans la partie frontale du cerveau. Auparavant le
professeur
P. Flechsig était parvenu au même résultat. Der
les fonctions du cerveau et émanant du célèbre histo- logiste M. le
professeur
S. Ramon y Cajal. Il critique l'hypothèse de Fl
n faveur de la Neuronthéorie, par exemple les observations de M. le
professeur
V. Uschinsky (3). Ce savant n'obtenait, en[irri
raire des observations des auteurs précédents et aussi de celles du
Professeur
Flechsig et du Dr Gianelli, que la cons- cience
u lapin et du chien furent pris par mon collègue très estimé, M. le
professeur
d'anatoutie humaine F. A.' Stephanis et par son
eaucoup plus infime que chez l'homme. Ici il faut ajouter que M. le
professeur
Flechsig dit dans son oeuvre Gehirn und Seele,
ndess Reineswegs endgültig erwiesen (p. 12). » D'ailleurs le même
professeur
Flechsig et le Dr A. Gianelli sont par- venus à
grand observateur et expérimentateur de la neuro- logie moderne, le
professeur
Hitzig (1). M. Hitzig a fait plusieurs constata
juin 1900 à l'Hôpital cantonal de Genève, dans le service de M. le
professeur
Bard. Résumé de l'observation prise par le Dr M
PERMANENTE, d'ÉTIOLOGIE INCONNUE. PAR F. RAYMOND et H. GOUGEROT
Professeur
de Clinique des maladies nerveuses Interne de la
énage, entre le 28 décembre 1907 dans le service de notre maître le
professeur
Raymond pour des douleurs et un oedème de la ma
LTÉRATIONS DU CRANE DANS LA DYSOSTOSE CLÉIDOCRANIENNE PAR Il le
Professeur
J. V. HULTKRANTZ (d'Upsal, Suède). Nos connaiss
donné d'examiner est le crâne de Bonsdorff déjà mentionné,que M. le
professeur
Groenroos de Ilelsingfors a eu l'obligeance de
nnées par Manouvrier et Terry et les communications personnelles du
Professeur
Romiti montrent que des relations analogues exi
re, cède un peu aux lave- ments. , (1) Travail du laboratoire des
professeurs
Landouzy, à l'hôpital Laminée, et Gilbert Balle
yndrome de Basedow comme une manifestation de l'hys- térie. Pour le
professeur
Debove, sous l'influence d'un choc moral ou de la
Parhon et Marbé, admet- tent une véritable folie basedowienne. Le
professeur
Joffroy met les psychoses des basedowiens sous la
dence. Il y a d'ailleurs des nuances dans l'interprétation. ' 'Le
professeur
Gilbert Ballet, cherchant la signification nosolo
proprie et s'en sert pour réaliser les idées de persécution. » Le
professeur
Raymond et Sérieux considèrent la folie des based
nce et d'une disposition psychique. Taubmann, sous l'inspiration du
professeur
Brissaud, montre qu'il existe chez les basedowi
De même, l'observation de Thomas (de Genève). Sur les conseils du
professeur
Mayor, une femme de 47 ans, timide et très nerv
abilité de M. le docteur Franchini, interne dans leservice de M. le
professeur
Dagnini de Bologne, qui avait déjà constaté les
ade. Dans un cas analogue que j'ai observé dans le service de M. le
professeur
Broca, aux Enfants-Malades, chez une jeune fill
'hystérie traumatique dans les Leçons de clinique médicale de M. le
professeur
Grocco de Florence.Il s'agissait d'un malade qu
énorme. J'ai observé il y a quelques jours dans le service de M. le
professeur
Brissaud un jeune homme qui, pendant la marche,
Florence. Là, un médecin florentin, Guido Guidi, qui fut plus tard
professeur
en médecine au Collège de France (152-448), ent
UN CAS DE POLIENCÉPHALO-MYÉLITE AIGUE, PAR BRISSAUD ET A. GY
Professeur
la Faculté de médecine. Interne des hôpitaux. O
IQUE D'UN CAS DE MICROGYRIE HÉMISPHÉRIQUE, PAR P. HAUSHALTER,
Professeur
ET R. COLLIN, Professeur agrégé à la Facu
ÉMISPHÉRIQUE, PAR P. HAUSHALTER, Professeur ET R. COLLIN,
Professeur
agrégé à la Faculté de médecine de l'Université
ÉLIQUE iL - RHUMATISME ANKYLOSANT VERTÉBRAL ET TABES PAR ODDO
Professeur
à l'Ecole de médecine de Marseille, médecin des
de leur partie profonde ni de l'état du ligament. Plus récemment le
professeur
Raymond (2) a rapporté une très in- téressante
ns l'un ou l'autre membre. En somme, ainsi que le fait remarquer le
Professeur
Raymond, l'exis- tence de symptômes très accusé
RIEURES DE FLORENCE. CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE DIRIGÉE PAR III. LE
PROFESSEUR
SEN. PIETRO GIWCCO, CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
ût faire soupçonner une hémianopsie bitemporale. Deux mois après le
professeur
Guaita de la Clinique oculistique de Florence con
de la papille. » L'examen fait cette année (15 mai 1908) par M. le
professeur
Casagli, a donné le résultat suivant : « Papill
une luxation du septum cartilagineux, déviation que le spécialiste
professeur
Monselles déclara d'origine traumatique. Le sep
arvient pas à palper ni les ovaires ni les trompes (Examen de M. le
professeur
Resinelli). , Le bassin est assez rétréci dans
. M. Nuova, où je pus l'étudier à mon aise dans le service de M. le
professeur
Sclmpfer que je tiens à remercier ici. En dehor
saires. . (A suivre) CLINIQUE MÉDICALE DE FLORENCE DIRECTEUR :
PROFESSEUR
GROCCU » ENCORE SUR L'ACROMEGALIE NOTES clini
certitude que dans le Basedow il peut y avoir hérédité directe ; le
professeur
Grocco en a rappelé quelques cas; un d'un typiq
DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS PAR R. WEBER,
professeur
. En raison du temps qu'exigent le durcissement
906, 19117. (2) L'observation à été mise à ma disposition par M. le
professeur
Bard, le cerveau par M. le professeur Askanazy
se à ma disposition par M. le professeur Bard, le cerveau par M. le
professeur
Askanazy ; je les en remercie tous deux vivement.
e ne les eût pas fait soupçonner. Suivant l'opinion de M. Askanazy,
professeur
d'analomie pathologique, le durcissement au liq
E CLINODACTYLIE CHEZ UN DÉMENT PRÉCOCE DÉGÉNÉRÉ, PAR E. RÉGIS
Professeur
de Clinique Psychiatrique à l'Université de Borde
xtrémités du malade ont été radiographiées dans le service de M. le
professeur
.l3ernonié (PI. LXIV et LXV). Voici l'intèrpré-
SUPÉRIEURES DE FLORENCE. CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE DIRIGÉE PAR LE
PROFESSEUR
SE1\. PIETRO GROCCO. CONTRIBUTION A L'ETUDE
Sciences, 1898. ' RAYMOND. Le sommeil dans les tumeurs cérébrales.
Pr.
médicale, 3 janv. 1906. REONAULT. - La base du
dorsale, no OSPEDALE 31AURIZIANO UMBERTO I DI TORINO SERVICE DU
PROFESSEUR
GRAZIADEI. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES GANGR
sse pas d'une gangrène de la peau, je désire rappeler ici que M. le
professeur
, Kraft Ebing a réussi à produire par suggestion
des aliénistes et neurologistes, Genève et Lausanne, août 1907). LE
PROFESSEUR
JOFFROY Le Professeur Joffroy est mort, subitem
ogistes, Genève et Lausanne, août 1907). LE PROFESSEUR JOFFROY Le
Professeur
Joffroy est mort, subitement, le 24 novembre 1908
enirs d'une figure regrettée, infiniment respectable. * . .. Le
Professeur
Joffroy était né à Stainville, dans la Meuse, en
la même appréhen- sion de l'imprévu. Devenu maître à son tour, le
Professeur
Joffroy, dans sa méthode de travail et dans son
nt d'une plus grande responsabilité. Toute l'oeuvre scientifique du
Professeur
Joffroy porle l'empreinte de son esprit laborie
influence de l'enseignement de Charcot, il se spécialisa bientôt LE
PROFESSEUR
JOFFROY 1844- 1908. LE PROFESSEUR JOFFROY 511
, il se spécialisa bientôt LE PROFESSEUR JOFFROY 1844- 1908. LE
PROFESSEUR
JOFFROY 511 dans l'étude des maladies nerveuses
.-18S). C'est à partir de 1890 que les travaux et l'enseignement du
Professeur
Joffroy s'orientèrent surtout vers la pathologi
Appelé, en 1893, à la chaire de Clinique des Maladies Mentales, le
Professeur
Joffroy commença à l'asile Sle-Anne l'enseignemen
capital que joue aussi l'hérédité prédisposante. Les recherches du
Professeur
Joffroy et de ses élèves sur l'alcoolisme n'ont
tales, qu'il était chargé d'ensei- gner, l'occupât spécialement, le
Professeur
de psychiatrie n'avait pas 512 HENRY MEIGE ce
si, lorsqu'en 189G fut fondée la Société de Neurologie de Paris, le
Professeur
Joffroy se trouva tout désigné pour en être le pr
tion pour une vie de labeur et de probité. L'oeuvre scientifique du
professeur
Joffroy eut mérité d'être mieux com- mémorée. C
n de tous. . * .... -<f- Dans son enseignement, la parole du
Professeur
Joffroy était sobre, pondérée, économe d'effets
négociateur où la prudence s'alliail utile- ment à la ténacité LE
PROFESSEUR
.10FFROY . 513 S'il est vrai qu'au premier abor
avec les membres d'un Congrès une colo- nie familiale d'aliénés, le
Professeur
Joffroy aperçoit un bambin qui s'é- vertue mala
le jouet et faisant au gamin ébahi une démons- tration pratique, le
professeur
de psychiatrie s'improvise... professeur de cer
mons- tration pratique, le professeur de psychiatrie s'improvise...
professeur
de cerf-volant. Par ce geste paternel, le maîtr
Ainsi, l'on apprenait il l'aimer, sans cesser de le respecter. Le
Professeur
Joffroy est mort, comme Charcot, de mort subite.
t. Sur ce col dénudé, il 2.000 mètres-l=alkiude,-nous occupions, le
Professeur
Joffroy et moi, deux chambres contiguës d'un ch
inrent, hélas ! confirmer le pressentiment de cette triste nuit. Le
Professeur
Joffroy ne s'y trompa point,encore qu'il ne fit
e nal n'en fut dérangé. Dans la préparation de ce voyage ultime, le
Professeur
Joffroy appa- raît tout entier, avec sa nature
chirurgiens grecs attribués au Primatice (6 pl.). 247. Meige. Le
professeur
Joffroy (1 pl.), 510. 31LItlE. Deux cas d'oxycé
IQUE DES MALADIES DU SYSTEME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION Du
Professeur
CHARCOT (DE L'INSTITUT) PAR PAUL RICHER GILLE
ements que nous avons reçus de toutes parts, et l'intérêt que M. le
professeur
Charcot té- moigne a notre publication est la m
le genou, le tibia et la hanche droite. Il va alors consulter M. le
professeur
Fournier qui ordonne des douches froides, 8 gra
malade à ses auditeurs elle était sur le point d'être opérée, et le
professeur
émettait l'espoir de la présenter de nouveau à
7° Enfin, antérieurement aux quatre dernières observations, M. le
professeur
Charcot avait fait, le 15 février 1884, une premi
s spasmodiques, avait nécessité une intervention chirurgicale. Le
professeur
faisait du reste remarquer, au cours de sa leçon,
racture est fort rare. Le premier cas qui ait été signalé est dû au
professeur
Hergott, de Strasbourg'. ' Un cas rapporté par
Nous avons eu la bonne fortune d'observer dans le service de M. le
professeur
Damaschino, l'hôpital Laënnec, sept cas d'arthrop
re décrit des cas d'arthropathie labliqllc, lorsque, en 1808, M. le
professeur
Charcot publia la pre- mière observation d'arth
thie du pied n'était signalé jusqu'en 1883, époque à laquelle M. le
professeur
Charcot décrivit le pied tabétique. « Presque t
question. Dans ses leçons (inédites) de '1SSG, sur l'ataxie, M. le
professeur
Damaschino a consacré toute une leçon it l'étud
d'un malade qui est actuellement soi- gné dans le service de M. le
professeur
Damaschino. « La voûte plan- taire persiste, di
, couturière, entre salle Moimerct, if 30, dans le service de M. le
professeur
Damaschino, a l'hôpital Laënnec. L'ataxie loc
ulaire, la surface est jaunâtre, mame- lonnée, irrégulière. M. le
professeur
Damaschino nous a communiqué les notes suivantes
bliée par moi en )884', el qui fit le sujet de deux leçons de M. le
professeur
Charcot 2. Je rappellerai rapidement les phases
l'équinisme. Au mois de juin 1887, elle vient à la consultation du
professeur
Charcot qui conseille la section des tendons d'
-six ans 1. Ces deux malades ont fait le sujet d'une leçon de M. le
professeur
Charcot qui compare les lésions qu'elles onf pr
travail donné les observations de deux malades du ! service de M. le
professeur
Charcot; et, à cette occasion, recherché et ' r
outre récemment sur cette question, . parmi lesquels celui de M. le
professeur
Erb doit être tout spécialement t signalé. Enfi
ne de matité au niveau du sternum, suivant les indications de M. le
professeur
Erb, n'a donné aucun résultat. La voix du malad
e malade à venir (mai 1888) d'Espagne à Paris, pour consulter M. le
professeur
Charcot, c'était uniquement une céphalalgie per
ologiques. Il était venu d'Espagne tout exprès pour consulter M. le
professeur
Charcot, et la seule chose qui l'avait détermin
pied bot diffère chez notre malade du type qu'a si bien décrit M.le
professeur
Charcot. Il manque un détail : le relèvement des
athologie des déformations, de la colonne lombaire. II. DURENT,
Professeur
de clinique chirurgicale à la Faculté catholique
our la seconde fois, le 31 janvier 1888, dans le ser- vice de M. le
professeur
Damaschino ; nous croyons inutile de décrire tous
PIED. 197 le 15 avril 1882, salle Louis, n° 16, dans le service du
professeur
Damas- chino, à l'hôpital Laënnec. Toujours b
in 1888, salle Bayle, à l'hôpital Laënnec, dans le service de M. le
professeur
Damas- chino. Le malade a eu la syphilis à l'âg
du premier orteil. Ce malade a été soigné en 188 dans le service du
professeur
Potain, et son observation a été publiée par MM
est entré au commencement de l'année 1888, dans le service de M. le
professeur
Damaschino, et, après en être sorti après quelque
x ans, entre le 26 juin, «aile Bayle, nu9, dans le service de M. le
professeur
Damaschino. On ne trouve rien de particulier à
e. Le 7 juillet, entre àl'hôpital Laënnec, dans le service de M. le
professeur
Damaschino la nommée Julie S..., âgée de cinqua
isé par' la désorganisation perma- nente de l'articulation. M. le
professeur
Damaschino a fait voir, dans ses leçons professée
ans les autopsies d'arthropathies tabétiques qu'il a faites, M. le.
professeur
Damaschino a le plus souvent rencontré ces lésion
deux autopsies d'arthropathies tabé- tiques, faites par lui, M. le
professeur
Damaschino a observé la grande prédominance des
ropathie du genou, M. le NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
professeur
Damaschino n'a pu y découvrir aucun tube nerveux
, recherche souvent très diffi- cile parce que, comme l'a montré le
professeur
Charcot, l'arthropa- thietabétique frappe souve
abinet. La description, aujourd'hui classique, qu'en a donnée M. le
professeur
Charcot n'est point à refaire. Elle subsiste dans
aut comp- ter aujourd'hui avec le chapitre des exceptions, et M. le
professeur
Charcot a été conduit, au sujet d'un malade de
in 1888, à l'Hôtel-Dieu, salle Saint-Jean, dans le service de M. le
professeur
Richet. Son père et sa mère sont morts, cette d
7, à la consultation externe de la Salpêtrière, du service de M. le
professeur
Charcot. Grand'mère maternelle rhumatisante. Pè
888.. 2. Cette observation prise à la consultation externe de M. le
professeur
Charcot nous a été obligeamment communiquée par
'elles font partie des quatre cas observés dans le service de M. le
professeur
Charcot. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. 1. pL. XLVI
eau et sa. significa- tion a notre regretté maître de Strasbourg le
professeur
KiÍf3. Il nous l'a signalé jadis si sa clinique
cette malade ne put jamais s'habituer aux fausses dents. M. le
professeur
Charcot m'a dit avoir été appelé en consultatio
laico ' / e la coscienza (Firenze, 18T9) 3. L'élève bien connu du
professeur
Schiff, dont il fut le propagateur au labo. rat
s citerons la Lettre de Golgi que ces Remarques ont value au savant
professeur
du Muséum d'histoire naturelle. G. Pouchet esti
et rendu perplexe par l'article de G. Pouchet, écrivit au célèbre
professeur
d'histologie de Pavie, à Golgi lui-même, pour a
première publication où ce syndrome soit mentionné est un livre du
professeur
1 Communication faite en allemand au Congrès in
. Ladame décrit un cas de cette affection sous forme d'accès3 et le
professeur
Binswanger vient de publier un travail très rem
de ce malade : «Le malade L..., lorsqu'il a été présenté par M. le
professeur
Charcot à la clinique de la Salpêtrière, n'étai
tement. Les indications manquent pour les autres sur ce point. Le
professeur
Henoch 2 parle du même syndrome survenu lenteme
crises d'hystérie. Le malade, âgé de 55 ans, un négociant, dont le
professeur
Binswanger nous re- late l'histoire, fut pris d
cas de vieillards, dont l'un a été vu par M. Charcot et un cas du
professeur
Binswanger. De plus, cinq à six cas se sont pré-
s synergiques coordonnés pour des actes ; et commel'ont démontré le
professeur
Yeo et moi-même 1, les mêmes muscles ou les mêm
ure après l'opération. Chez un autre singe, auquel mon collègue, le
professeur
G. F. Yeo, enleva les deux tiers des deux lobes o
bes. J'ai déjà dit que mes premières expériences, comme celles du
professeur
Yeo, montrent qu'une lésion destructive unilatéra
face de ses yeux. Six semaines après l'opération, mon collègue, le
professeur
Mac Hardy, examina ]'alll- mal qui était très d
nt central qui fut examiné avec grand soin à ce point de vue par le
professeur
Mac Hardy et moi-même, on n'obtint pas la trouv
rs le côté gauche et un examen péri- métrique fait avec soin par le
professeur
-Mac Hardy démontra que la ligne de division pa
aits annoncés ont été contrôlés par Fraenkel, puis en France par le
professeur
Lépine, de Lyon, qui a étudié en outre l'action
sur la névrose traumatique. Il en a observé 24 cas à la clinique du
professeur
Erb. 11 les divise en trois groupes. SOCIÉTÉS S
Je ne saurais trop, Messieurs, disait avec sa haute autorité M. le
professeur
Charcot dans une de ses lumineuses leçons de la
ie.. Faculté DE médecine DE STRASBOURG. M. le D1'. Cari FÜRSTNER,
professeur
à la faculté de médecine de Heildelberg, est nomm
ER, professeur à la faculté de médecine de Heildelberg, est nommé
professeur
ordinaire de psychiatrie, en remplacement de M. J
Jolly. Faculté DE médecine DE LAUSANNE. M. le Dr Rabow est nommé
professeur
extraordinaire de psychiatrie et clinique psychia
anglaise. Nécrologie. Le Dr SANDEUET DE VALONNE (Joseph-Edouard),
professeur
honoraire à l'école de médecine de Besançon, méde
l'autorité de l'auteur, appuyées s'il en était besoin de celles du
professeur
Charcot et de l'Ecole de la Sal- pêtrière. Les
e et alcoolique, cette variété d'incoordination motrice que M. le
professeur
Charcot appelle le steppage et qui, malgré son an
DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION 2 Par M. P. TROLARD,
Professeur
d'anatomie à l'Ecole de médecine d'Alger 3. iI
mpagne une maladie spinale organique. Blocq suscite l'étonnement du
professeur
Binswanger, quand il distingue trois formes de
aller. Mais nous ne discuterons pas plus l'étude si remarquable du
professeur
Binswanger; car le Dr Moebius en a fait la criti-
s le laboratoire de physiologie de Florence et sous la direction du
professeur
Luciani, avec l'aide de Dario Baldi. LES FONCTI
sensorielles, th. de Genève, 1889), mais évidemment inspirée par le
professeur
Schiff, dans le laboratoire duquel ces recherch
te pendant tout le temps. Dans mes recherches ultérieures avec le
professeur
Yeo, nous avons établi d'abord dans une longue sé
'explosion d'une capsule dans la salle. Comme les expéiietices du
professeur
Scoehfer, auquel je vais , Expériences XI, XII,
de lésions locales de l'oreille, le malade fut soumis à l'examen du
professeur
Lucae. Le résultat de cet examen fut négatif. O
HEREAU. Le Secrétaire général donne lecture du discours que M. le
professeur
13aLL, indisposé, devait prononcer. Dans ce disco
ident du conseil de surveillance de l'assistance publique, et M. le
professeur
Char- cot ont successivement rendu hommage à la
RAEPELIN, pro- fesseur àla Faculté de médecine de Dorpat, est nommé
professeur
ordinaire de psychiatrie, en remplacement de M.
09 seur extraordinaire de psychiatrie et de neurologie, est nommé
professeur
ordinaire. Asile d'aliénés de BRON. - Le concou
LECTEURS, Je vous donne ici le moyen dont se servent Messieurs les
professeurs
de Médecine, ainsi que certains artistes donnan
lysie totale de la troisième paire. Or, 1 Ces jours derniers, M. le
professeur
Charcot demandait à M. le D' Landolt s'il conna
s détails de l'observation qui a servi de thème à la leçon de M. le
professeur
Charcot : OBSERVATION, - 1 ... Nov ? ka, âgée d
ister sur les carac- tère spéciaux de ces suggestions'. Enfin M. le
professeur
Charcot, faisant allusion aux cas de M. Pitres
uline). Cette malade est depuis quatre ans dans le service de M. le
professeur
Charcot. C'est une hystérique typique avec tous
M. Z... (Il s'agit de divers internes ou chefs de clinique de M. le
professeur
Charcot.) Ah ! là, là ! pourquoi sommes-nous venu
ué sa chaufferette par la fenêtre. Déjà avant nos recherches, M. le
professeur
Charcot dans une leçon clinique avait montré qu
éparation sur le délire hystérique, d'après l'enseignement de M. le
professeur
Charcot. G. G. A PROPOS DU BÉGAYEMENT HYSTÉRI
gie un mémoire complet sur la même question. D'un autre côté, M. le
professeur
Pitres, de Bordeaux, vient de fane tout récemme
heures, en fractionnant par prises de 0 gr. z)5. D'autre part, le
professeur
Fraser d'Edimbourg, recommande l'emploi de dose
lée : Contributions cliniques sur la mélancolie, faite à Berlin, le
professeur
Mendel propose une classification des types cli
er en persécuteur. Sous le titre : « Les Persécutés en liberté», le
professeur
Bail décrit toute une catégorie de persécutés q
oite entre la pensee et son expression par la parole. De même M. le
professeur
Bail dit que si les hallucinations auditives jo
nza, qui ont fait l'objet d'un mémoire présenté récemment par M. le
professeur
Revilhod à la Société médicale de Genève. Che
'épilepsie, au saut, par exemple. Un autre malade de la clinique du
professeur
Pick présente ce même type de curso-rotation, s
. DE H NATURE DES PHÉNOMÈNES SOMATIQUES D ANS L'HYPNOTISME ; par le
professeur
A. T.mi3uRiNi. (Riv. Sper. di /)'en., vol. XVI,
s. Séance du 17 janvier (Maladies nerveuses). Présidence de M. le
professeur
KOJEVNIKOFF. Présidence d'honneur DE M. LE prof
ence de M. le professeur KOJEVNIKOFF. Présidence d'honneur DE M. LE
professeur
Sikorski (de Kieff). M RoTT (de Moscou) a fait
e développement du système musculaire de l'individu malade. M. le
professeur
KojEWMhon'- a lu un travail sur la paralysie al
, principalement du coeur. A propos de cette communication, M. le
professeur
Sikorski a demandé si dans les cas où on a trou
intense grâce aux parésies vaso-motrices existant chez eux ? M. le
professeur
HojEWNmoi'F a répondu que dans l'origine des né
ividus divers, toute la différence dépend de l'individualité. M. le
professeur
Sikorski cite des exemples d'a- phasie où. la l
épondérant; l'influence certaine est celle de l'épuisement. M. le
professeur
SITRORSKI insiste à démontrer que les aliénistes
ier nos classifications et nos descriptions symptomatiques. M. le
professeur
KojEVNiMFF trouve que l'exemple de l'aphasie do
dent; G. Ballet, agrégé à la Faculté de médecine de Paris; Beaunis,
professeur
à la Faculté de médecine de Nancy; L. Marinier,
re de conférences à l'Ecole pratique des Hautes Etudes; Ch. Richet,
professeur
à la Faculté de médecine de Paris, et le colone
tre Faculté qui exige de ses agrégés, parmi lesquels se recrutent les
professeurs
, la connaissance de tout l'ensemble. D'ailleurs
nerveux, une chaire magistrale. Car, seule, une chaire occupée par un
professeur
titulaire pourra dignement répondre, en raison de
es presque aussi intenses. 1. M. Rùmpf a étudié, dans le service du
professeur
Erb, les réactions électriques des muscles dans l
ont le traitement électrique sera poursuivi, nous avons, comme dit le
professeur
, le choix entre la faradisation, cela est le ca
, dans certaines atrophies considérables de cause rhumatismale. M. le
professeur
agrégé Regimbeau (de Montpellier) a constaté, de
une notion aujourd'hui vulgaire, et, dans ces dernières années, M. le
professeur
Verneuil et ses élèves ont mis en pleine valeur l
inture, par l'intermédiaire des nerfs moteurs correspondants. » M. le
professeur
Duplay, dans plusieurs passages de son livre, ain
mment *. 1. Depuis cette leçon, M. Charcot a reçu de M. Dreschfeld,
professeur
de pathologie à Manchester, la photographie de la
diagnostic est malheureusement des plus faciles à établir. M. L...,
professeur
d'histoire, venu en France pour étudier le droit,
s hystérogènes. De cette étude, entreprise sous la direction de M. le
professeur
Pitres, de Bordeaux, il résulte qu'il existe des
de la cécité verbale ne remonte pas très haut. C'est, je crois, M. le
professeur
Kussmaul qui l'a le premier décrite, à titre d'es
. I, 1838. 4. Peter. — De l'aphasie a'après les leçons cliniques du
professeur
Trousseau (In. Arch. gén. deméd., 1865). que, i
tte langue, Virgile et Horace lui étaient très familiers. Son père,
professeur
de langues orientales à L..., possède, lui aussi,
i, une mémoire des plus remarquables. Il en est de même de son frère,
professeur
de droit à W .., d'une de ses sœurs, peintre dist
d'une façon peu ordinaire, et elle existe aujourd'hui chez mon frère,
professeur
de droit à l'Université de X... ; chez mon père,
hie qui atteint les jeunes gens ou les enfants. C'est celle que M. le
professeur
Erb (d'Heidelberg), a décrite dans ces derniers t
mplète de toute lésion spinale. La forme juvénile décrite par M. le
professeur
Erb est donc bien distincte des amyotrophies de c
maladie, «e cas me semble 1 se rapporter à la forme décrite par M. le
professeur
Leyden, sous le nom de forme héréditaire de latro
e fît transporter de nouveau à l'Hôtel-Dieu, dans le service de M. le
professeur
Panas. Il paraît qu'on craignit alors l'existence
iée 1. Deux jours après que la présente leçon a été délivrée, M. le
professeur
Charcot a admis dans son service un jeune homme d
e qu'il s'agissait là d'une de ces paralysies, bien étudiée par M. le
professeur
Le Fort et par M. Valtat, et qui se produisent en
r une articulation et qui ont été particulièrement étudiées par M. le
professeur
Le Fort et par M. Yaltat1. Après ces éliminatio
s étudiées d'une façon méthodique et systématique, en 1879, par M. le
professeur
Russell Reynolds, dans un excellent travail où so
ions matérielles ; et encore est-il bon de faire remarquer avec M. le
professeur
Verneuil, que dans les coxalgies organiques récen
oite. C'est bien là, me disait l'autre jour mon collègue et ami M. le
professeur
Lannelongue, auquel je présentais une bonne photo
ions organiques plus ou 1er cas. (Observation communiquée par M. le
professeur
Lannelongue). Garçon de 11 ans; la mère a de nomb
s'est produit un abcès symptomatique. 2e cas. (Communiqué par M. le
professeur
Lannelongue). Petite fille ce 13 ans. Père attein
relativement bénin, avec la stupeur locale que décrivait récemment le
professeur
Verneuil, dans une de ses leçons cliniques. Ici,
tères de la contracture spasmodique. Dans ces derniers temps, M. le
professeur
Volkmann d'abord, puis, après lui, M. Léser1 ont
blié qui m'a été obligeamment signalé par mon éminent confrère, M. le
professeur
Janet, Rey Régis, docteur en médecine de la Facul
ue ses auditeurs fussent témoins de ce qui en pourrait advenir, M. le
professeur
Charcot fait alors, séance tenante, faradiser les
. Des faits récemment observés dans le service de mon maître, M. le
professeur
Charcot, l'ont amené à établir que ce caractère n
ci, attiré l'attention comme elle le mérite ; c'est le mutisme. M. le
professeur
Charcot a traité ce sujet, dans ses leçons 2, à p
alors, selon son degré, elle produit l'aphonie ou le mutisme. » Le
professeur
Revilliod (de Genève), qui a eu pendant longtemps
de ce genre ; en joignant aux observations prises dans le service du
professeur
Charcot les plus importantes de celles qui ont ét
de 37 ans, entré, le 8 novembre 1885, salle Bouvier, service de M. le
professeur
Charcot. Comme antécédents de famille, voici ce q
ll... Antoinette, âgée de 21 ans, entrée à la Salpêtrière, service du
professeur
Charcot, issue d'une famille de musiciens. Sa mèr
de II ans, entrée à la Salpêtrière le 21 avril 1885, service de M. le
professeur
Charcot. Le père a eu des convulsions fréquente
ans la voix chucholée. Je me serais moins étendu sur ce sujet si le
professeur
Revilliod n'avait cherché à expliquer par une sim
observation. Ch.. a passé plusieurs mois dans le service du distingué
professeur
de Genève pour les mêmes accidents qui l'ont amen
éral et de l'Agraphie en particulier, d'après l'enseignement de M. le
professeur
Charcot. Par Pierre Marie1. Dans une leçon fa
ie1. Dans une leçon faite en décembre 1887, à la Salpêtrière, M. le
professeur
Charcot a montré à ses auditeurs un nouveau cas à
n là une agraphie vraie. L'agraphie, d'après la définition de M. le
professeur
Char-cot, c'est la perte plus ou moins complète d
dernières années, grâce à la double série de preuves qu'apporta M. le
professeur
Charcot (Leçons de 1883, publiées par Rummo *). E
4. 2. Une autre observation d'agraphie pure a été publiée par M. le
professeur
Pitres (Rev. de Méd.), 1884. faculté graphique
ffet, c'est là, on le sait, la base des opinions professées par M. le
professeur
Charcot sur la fonction du langage que cette mult
quelquefois même plusieurs espèces; d'aphasie. Comme renseigne M. le
professeur
Charcot^ l'aphasie n'est qu'une amnésie^'pl inv
que par une sorte de réflexe parti des premiers. Cette théorie, M. le
professeur
Charcot la rejette presque entièrement comme beau
types de langage intérieur a été introduite dans la science par M. le
professeur
Charcot, et si nous y insistons ici c'est que son
relle, et que l'agraphie n'en reste pas moins, comme l'a montré M. le
professeur
Charcot, une forme d'aphasie parfaitement autonom
éral et de l'agraphie en particulier, d'après l'enseignement de M. le
professeur
Charcot, par M. Pierre Marie. 511 TABLE ANALYTI
nd un air de fête. L'harmonium est descendu grâce à l'obligeance du
professeur
de chant, M. Sutter et, sous sa direction, nos
nement du chant. - Cet enseignement est fait' par M. Eugène Sutter,
professeur
de chant à l'Asile-école de Bicêtre. De même qu
nts et de 7 élèves. Elle est placée sous la direction de M. Suttcr,
professeur
de chant. - Cette fanfare qui, l'an dernier, ét
vements sont aussi variés que possible et chaque année notre dévoué
professeur
, M. Gov, en introduit (1) Voir Compte-rendu de
l. Nous avons essayé de dresser un infirmier afin de remplacer le
professeur
en cas d'absence. Société de gymnastique. - Les
de 1.800 fr. à 2,100 fr. - Nomination do M. Dumont à l'emploi de
professeur
de dessin (par arrêté préfectoral du 6 avril).
cole des enfants à l'asile d'aliénés de Saint-Yon ; - M. Dusouchet,
professeur
au Lycée Henri IV, de Paris ; M. le Dr Deler
l de médecine de Stockholm, attachée au service orthopé- dique du
professeur
Kirmisson à l'hôpital Trousseau ; Melle Corner,
Mednicaroff, étudiant en médecine à Montpellier; - M. le D1' Pouey,
professeur
à la faculté de médecine de Montevideo ; M. Par
noms sont venus ce jour-là. Nous convoquons, à leur intention, les
professeurs
de chant, de gymnastique, de danse et parfois l
insti- tuteurs : MM. MESNARD, LANDOSSE, CAMAIUJAC et DERUETTE; un
professeur
de chant, M. SUTTER,; un professeur de gymnasti
SE, CAMAIUJAC et DERUETTE; un professeur de chant, M. SUTTER,; un
professeur
de gymnastique, M. GoY ; un professeur de dessi
eur de chant, M. SUTTER,; un professeur de gymnastique, M. GoY ; un
professeur
de dessin, M. Dumont; un maître de danse, M. LA
s Combes, Hérisson, Mallet. II. Arrêté relatif à la nomination du
professeur
de dessin. Nous reproduisons ici l'arrêté rel
dessin. Nous reproduisons ici l'arrêté relatif à la nomination du
professeur
de dessin à titre de document. Le Préfet de la
n de l'augmentation de la population, il serait nécessaire quo le
professeur
donnât doux leçons par semaine. L'Administratio
nommé directeur de l'hôpital Ricord. M. Dumont, nommé à l'emploi de
professeur
de dessin, a pris possession de son poste le 6
ent est fait depuis 1895, à titre gracieux, par M. Eugène Sutter,
professeur
de chant à l'asile-école de Bicêtre. De même qu
ois que les femmes feraient de meilleurs Classes spéciales. cxiii
professeurs
que les hommes, dans nos établissements spé- ci
doit marcher de pair avec l'éducation physique; et j'estime que le
professeur
doit veiller aussi soigneusement aux progrès da
u a ceux qui donnent la preuve du succès obtenu et de l'habileté du
professeur
. Ceci ne s'applique pas seulement à la pratique
être réalisé que grâce à l'intelligence et à l'habileté dont les
professeurs
auront fait preuve dans le choix du procédé d'é
secondaires et supérieures ; mais je voudrais que les instituteurs,
professeurs
, et chargés de cours, accordassent plus de soin
an dernier un rapport de 64 pages. Une préface du D'' l11.1 ? PLIN,
professeur
de psychiatrie à IIeidellaerg, donne de ce rapp
asses spéciales. - (1) Nous en devons la traduction il M. J. Boyer,
professeur
il l'Institut médico-pédagogique. Classes spé
s moins de 30 écoles spéciales, avec un personnel enseignant de 115
professeurs
, pour l'Alle- magne seule. - Les dernières stat
présenté par l'auteur montre que ces chiffres sont doublés.) Les
professeurs
sont mieux payés et le coût des constructions e
nfants a une telle importance que dans leur éducation, médecin et
professeur
doivent marcher « la main dans la main. » En te
discute les méthodes spéciales de traitement préconisées par divers
professeurs
(1). (Trad. de M. L. E. MonEL). Ces deux notes
de Ebberodgoard, M. le Dr A. Friis, et de Keller-Aus- talt, M. le
professeur
et Dr Chr. Keller. Les institutions sont propri
e, atteinte d'une affection douloureuse de la vessie, à laquelle le
professeur
Lotar a donné, avec succès, des capsules de bro
bons chez un épicier. Uans une pension où il est, il va trouver son
professeur
pour lui demander des leçons particulières, à l
envoyer et qu'il est chargé par ses parents de s'en- tendre avec le
professeur
de musique pour prendre des leçons par- ticuliè
udc, faite aulaboratoirecd'anthropologie sous la direction de M. le
professeur
Manouvrier, a été com- muniquée à la Société d'
ent ou mieux d'un retard de développement. Comme l'a si bien dit le
professeur
Brissaud (1), ce qu'on appelle dans le langage
dulaire, les muscles n'y prenant qu'une part insignifiante. M. le
professeur
Marcy, par ses magnifiques et intéressan- tes r
de sa cachexie progressive. A propos d'une communication de M. le
professeur
Joffroy au Congrès de Limoges (août 1901) sur D
général, prélevant sur subven- tion de 7.000 fr., 1.000 fr. pour le
professeur
de dessin (poste créé), il ne reste plus que G.
tre fourni par l'Assistance publique sur son budget comme celui des
professeurs
de cliant, de gymnas- tique, etc. RÉSUMÉ COMP
e et aboutissant au ventricule latéral. Bourneville, Bicêtre, 1901.
Pr.
. XVI BoUwrwr.r.e. Bicêtre, 19ü(. Hi TABLE DES
ondée par J. M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX
ESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIES
FROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIES
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILIT
CTEUR HONre DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE GILLES DE LA TOURETTE
PROFESSEUR
AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS MÉDE
oculaires de V... présentent les caractères que leur a dé- crits le
professeur
Fournier. Ce sont des paralysies partielles, pres
S0l2Glti'eS, facilement résolutives sur lesquelles a tant insisté le
professeur
Fournier. En un mot, nous nous trouvons en prés
oigts du rhumatisme blennorrhagique, décrite par notre maître M. le
professeur
Fournier sous le nom de doigt en radis. On y tr
9 : .>, hospice St-Louis, salle St-Louis n° 18, service de M. le
professeur
Fournier. Antécédents héréditaires. Père mort d
tisme articulaire aigu et fut alors soigné dans le service de M. le
professeur
Debove, à l'hôpital Andral. Les articulations d
contraire est tout a fait caracté- ristique, elle suffit pour M. le
professeur
Fournier à faire sans aucune hési- tation, sans
YPERKINÈSES DE LA TÈTE ET DES EXTRÉMITÉS . , PAR G. ROSSOLIMO
Professeur
agrégé à Moscou. Dans le courant des deux derni
ILATÉRAL AVEC DISSOCIATION SYRINGOMYÉLIQUE Par MM. . V. HANOT
Professeur
agrégé, médecin de l'hôpital Saint-Antoine. e
IS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE PAR GILLES DE LA TOURETTE,
Professeur
agrégé à la Faculté de médecine, Médecin des hô
hilis héréditaire tardive publiées en 1886 (-1) notre maître, M. le
professeur
A. Fournier, s'exprimait ainsi : « Autant les d
, in-8c, Paris, 1886. Nous adressons tous nos remerciements à M. le
professeur
Fournier pour les docu- ments inédits qu'il nou
la syphilis congénitale et dont M. Iludelo (1), chef de clinique du
professeur
Fournier, a donné une excellente interpré- tati
ns à peine une observation (celle que nous avons publiée avec M. le
professeur
Fournier et dont nous reparlerons) où la localisa
CHIRURGICALES DE PHOTOGRAPHIES DE ROENTGEN PAR PIERRE DELBET
Professeur
agrégé à la Faculté de Médecine, Chirurgien des H
(1), et d'un re- cueil plus complet publié en collaboration avec le
professeur
Charcot, les Démoniaques dans l'Art (2). Des
IS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE PAR GILLES DE LA TOURETTE,
Professeur
agrégé à la Faculté de Médecine, Médecin des hô
articulièrement. Dans un mémoire publié en collaboration avec M. le
professeur
Four- nier (1) nous nous efforcions de mettre e
n° 1, p. 22, IS95. Ces faits avaient été signalés en 189 par M. le
professeur
Fournier : Les affections para- syphilitiques,
inante. Dans son ouvrage sur la syphilis héréditaire tardive, M. le
professeur
Fournier s'exprime en ces termes (2) : (1) Bo
L. « Mais il y avait des lésions dentaires que notre maître 111. le
professeur
Fournier auquel nous présentâmes ce malade et q
euriste, entre en novembre 1895, hôpital St-Louis, service de M. le
professeur
Fournier, adressée par M. Nélaton, chirurgien de
. Elle se fit t soigner à l'Hôpital temporaire (Laennec) chez M. le
professeur
Dieulafoy où, parait-il, elle prit de l'iodure
le d'hôpital, il cetle époque, ne l'estpas davantage. Aussi M. le
professeur
Fournier, dans le service duquel la malade était
aire lui-môme est principa- lement touché. ' Les travaux de M. le
professeur
Raymond (1) publiés dans ce recueil, la thèse d
nec etBensaude, interne des hôpitaux, qui l'ont communiquée à M. le
professeur
Fournier et nous ont autorisé à la publier,ce don
3 novembre 1895, salle Henri IV, hôpital St-Louis, service de M. le
professeur
Fournier. A. Il. Ses parents sont morts tous le
ladie de Duchenne développée chez des hérédo-syphilitiques. M. le
professeur
Fournier (1) a observé 3 malades atteints de tabe
, Chef de consultation chirurgicale à la Salpêtrière. En 1889, le
professeur
Lannelongue, devant le Congrès de chirurgie pui
ont permis de classer didactiquement, en nous aidant du travail du
professeur
Lannelongue sur les déforma- tions consécutives
entôt pensionnaire, puis bibliothécaire de l'Académie des sciences,
professeur
d'anatomie et d'accouchements, etc. (2). Fort
chacun des assistants s'inclina et rendit hommage à la sagacité du
professeur
de la Faculté de Paris. Mes- 230 NOUVELLE' ICON
Morand,, Ecuyer, Docteur-Régent de la Faculté de Médecine de Paris,
Professeur
d'Anatomie, et de l'Art des Accouchements, pour l
il restât une personne sûre auprès de la malade, M. Viard prêtre et
professeur
de théologie au séminaire de Langres, ci-devant d
son diagnostic. La plupart d'ailleurs ont été entrevus par l'érudit
professeur
d'anato- mie, qui, s'appuyant sur l'oeuvre de S
simulaient chez Geneviève les co- liques néphrétiques. En cela le
professeur
d'anatomie ne faisait d'ailleurs qu'accepter l'op
mblable d'être renseigné sur l'état et la valeur des muscles. M. le
professeur
Imhert a bien voulu faire un examen électrique
septembre 189G, en dehors de l'hôpital et dans le service de M. le
professeur
Raymond, un malade tabétique, qui réunissait tr
elles sont assez rares. « Je vous signale, dit notre maître M. le
professeur
Raymond (2) un véritable contraste entre le tab
nôtre, tous assez connus ; et il y a lieu de se demander avec M. le
professeur
Grasset si la rareté de ces faits ne vient pas
eté de ces faits ne vient pas de ce qu'on les néglige trop. M. le
professeur
Fournier sur 224 cas de tabès relève 1 paralysie
u- tile d'y insister plus longuement. z Oppenheim, cité par M. le
professeur
Raymond, relate l'observation d'un cas de tabès
in après rupture de la synoviale, ainsi que l'a fait remar- quer le
professeur
Debovev. 1 . ^ v.. z ;M. Brissaud donne comme c
tion reconstituante, est indiqué. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE il[. LE
PROFESSEUR
RAYMOND. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE. LOCALISAT
taire [nous devons à l'obligeance de M. Gastou, chef de clinique du
professeur
Fournier, la certitude de cette affirmation], il
ONGLES 373 Observation III (maladie de Raynaud). Z..., service du
professeur
Raymond. L'ongle du médius droit est cannelé. S
ervation IV (maladie de Raynaud). Caroline D..., 48 ans, service du
professeur
Raymond. Tous les ongles, sauf ceux des pouces,
. « Homme momie ». Sclérodermie géné- ralisée congénitale, par le
professeur
Grasset, 258. Infidélité du borax dans le tra
s dans l'Art, par Henry MEME, 161. Paralysies arsenicales, par le
Professeur
F. RAYMOND, 321. Les Peintres de la médecine.
r G. GASNE, 278, 352. Syringomyélie avec anesthésietotate, par le
professeur
P. Raymond, 5. Tabes supérieur avec conservatio
in sur des membres douloureux, les douleurs se calmaient. » Ce savant
professeur
nous apprend encore, qu’atteint depuis longtemps
agissent comme des dérivatifs cutanés. « Un empirique, rapporte le
professeur
Alibert(i), est récemment parvenu, par des fricti
les leçons du Collège de France, et je feuilletai tous les livres des
professeurs
distingués. Tous ces travaux n’eussent été rien
cteurs, comment je me préparai à mon apostolat; comment, avant d’être
professeur
, il me prit l’envie de savoir quelque chose de ce
nerveuses que le magnétisme combat si victorieusement. J. lliolan,
professeur
d’anatomie et doyen de la Faculté de médecine de
oyen de la Faculté de médecine de Paris, ainsi que Thomas Bar-tholin,
professeur
de médecine à Copenhague (2), nous font l’exposé
s ici le texte : « Mongruel, ancien instituteur primaire, se disant
professeur
de magnétisme, et Rosalie Lefebvre, long- (1) V
es, passage Dauphine, un cours public et gratuit. l’auvre et chétif
professeur
, enfant perdu de la science, j’enseignai d’abord
r par des aveugles. Ah 1 me disais-je, la fortune me sourit, me voilà
professeur
! Et je rentrai chez moi joyeux et le cœur cont
non le premier; ce rôle m’écrasait. Je ne savais point alors qu’un
professeur
pouvait devenir illustre sans beaucoup de science
régulièrement, tous les jeudis soir, une quarantaine d'auditeurs. Le
professeur
reçoit toutes les objections qui lui sonl faites
i du magnétisme. Il fit une distinction entre lui particulier, et lui
professeur
. Le professeur ne pouvait pas accepter l’expérien
. Il fit une distinction entre lui particulier, et lui professeur. Le
professeur
ne pouvait pas accepter l’expérience. D’ailleurs
-ci : — Un particulier peut bien avouer qu’il s’est trompé, mais un
professeur
peut-il venir dire à quarante personnes : Le syst
t que le triomphe n’est pas douteux. Un des jeunes et très-éloquent
professeur
de la Faculté de médecine, M. Malgaine, a parlé l
ela lient uniquement à son manque d’instruction. Il ne se pose pas en
professeur
infaillible de science et de philosophie; il se c
onner à l’abbé Faria de se renfermer dans l’exercice de son emploi de
professeur
de philosophie. Le mépris avec lequel l’empereur
ant se porte mieux que jamais. Messieurs les médecins s’unirent à des
professeurs
et autres savants non moins incrédules par systèm
ut lieu le -x!\ décembre iS5o, en présence de douze médecins, de sept
professeurs
, de plusieurs ministres et pasteurs, d’avocats, d
pourrait au besoin tenir lieu d’intuition somnambulique. Gilibert,
professeur
d’anatomie à Lyon, rapporte(i) une expérience don
iques, fut un M. Levingston. Un jour Davis, sur qui les tentatives du
professeur
avaient été infructueuses, se trouvant dans la bo
ient d’atteindre un riche financier du temps. On court chercher M. le
professeur
que vous voudrez. Il arrive en redingote; il ques
ais le malade et l’assistance, croyez-vous qu’ils se fassent de M. le
professeur
la même idée que nos pères se faisaient de Sylva
ifs de ces rigueurs projetées. Audience du Î2. « Le sieur Possin,
professeur
de magnétisme, et Claude Cuny, dit Ferdinand, som
été magnétique de la Nouvelle-Orléans au Banquet du 23 mai. _ M. le
professeur
Gregory a fait dernièrement à l’Université d’Éd
hier, à College-Hall, au réveil d’une jeune fille, magnétisée par le
professeur
Rodgers, et laissée en état magnétique depuis qui
(MM. Rupalley, docteur en droit; I’ecavelier, négociant, et Desalns,
professeur
de physique) ne tarda pas à apporter une améliora
riche). A M. WINNEN , instrumentiste à Paris. A M. le D' GREGORÏ,
professeur
à l’Universilé d’Edintbourg. A M. RLESSON, pein
avons été heureux de recueillir les paroles de l’honorable M. Crova,
professeur
de physique au collège de Perpignan, concernant s
la somnambulisai en trois minutes, en présence de M. el Mme S...., du
professeur
Flandcrs et du capitaine l’aine. En quelques inst
ivé le magnétisme sous un de ses plus fervents adhérents, aujourd’hui
professeur
à la Faculté ; que pendant douze ans do notre pra
écouvertes. Je ne sais si je vous ai déjà dit que M. le D' Bennctt,
professeur
de physiologie à l’üniversité d’Edim-. bourg, a d
es-uns de mes confrères ont été bouleversés en lisant qu’un médecin ,
professeur
de l’Uni-versité, osât parler en faveur de la luc
mme une bombe dans les murs académiques (i). M. le Dr Alison, notre
professeur
de médecine pratique le plus distingué, autrefois
n, notre professeur de médecine pratique le plus distingué, autrefois
professeur
de physiologie, qui a entendu mes leçons, vient d
les non-voyants. Telle est, en résumé, la substance des Lettres du
professeur
Gregory; s’il fallait en relever tous les mérites
nt être les premiers à accueillir le progrès de la science. Le savant
professeur
prit occasion de dire que la jalousio en était la
l’ÉlccIro-Biologic, donnera aujourd'hui une séance à Vrmorv Hall. Ce
professeur
distingué étant sur le point d'ouvrir un cours à
ences surprenantes et amusantes aura lieu après la leçon. LEÇONS DU
PROFESSEUR
FISKE.— Ce moderne magicien a fait hier de nouvel
e théorie électrique de l’univers. CLASSE DU SOIR DE M. FISKE. — Le
Professeur
Shaw va prendre sa place pour cc soir à Armory Ha
re d'en faire hq> plication à la guérison des maladies. LEÇON DU
PROFESSEUR
SIIAW. — M. Sliaw donnera ce soir, à Ai moryHall,
ès. Nous apprenons par une annonce de l’un des journaux d’hier, qu’un
professeur
de bumpo-biologie est parmi nous, et qu’il préten
le, nous ne puissions, en moins de cinq minutes, rencontrer plusieurs
professeurs
des deux sciences combinées. Ceci nous rappelle
de cette précieuse trouvaille, il alla vile à la recherche du savant
professeur
, dans la bienveillante intentionjde lui fournir u
ouloir bien se retirer. L’ivresse n’était pas assez caractérisée , le
professeur
ne voulait pas (I) Hum-biologie, bug-biologie,
doptées par les classes de M. Fiske, et qui sont très-favorables à cc
professeur
. Les noms qui s’y trouvent annexés sont une garan
J.-E. CALDWELL, S.-W. TAYLOR, T.-O. SULLY. BUMPO-BIOLOG\ (i). — Le
professeur
l’oans est arrivé, et va bientôt paraître au salo
ences de la liumpo - Biologie, de la Phrénologie et du mesmérisme. Le
professeur
donnera des consultations aux malades, de sept he
rlequin. Ils ramènent tout à coup le sujet du monde idéal créé par le
professeur
, aux affaires triviales de cette sphère. All ri
nouvelle théorie, il venait juste de quitter la classe à laquelle le
professeur
dévoilait ses mystères, cl, ail riglit lui-même,
appuyant sur le corps de la victime pourres- piror un moment. Si le
professeur
était ici, il le réveillerait, lui, c’est certain
Nous vîmes de loin Timothée, se dirigeant à pas précipités chez le
professeur
, pour se faire remettre lui-même, ail right des c
ence, » mais je crois l’avoir deviné, pour avoir écoulé et observé le
professeur
et les élèves. Je puis donc vous dire ce que j’en
ses élèves, sont les mêmes que celles qui lui ont été imposées par un
professeur
. Sauf erreur, donc, je considère que l’électro-
de magnétisme à ce qui n’est pas le « somnambulisme, etc... » Quel
professeur
!... Il était venu seul, sans sujets pour opére
biologie, sont mille fois plus fortes que le témoignage sur lequel le
professeur
Webster a été condamné comme assassin. Nous avons
isation, mais ce n’est jamais que lorsque leurs moyens ont échoué. Le
professeur
Ros-tan a écrit : « Ils étaient bien peu médecins
ue vous ne voulez pas vous placer au point de vue de la vérité. M. le
professeur
Léon Simon vous l’a dit dans ses leçons : « Ce qu
sons cette lettre en disant, par imitation de notre savant ami, M. le
professeur
L. Rostan : « Ils soijt bien peu médecins, peu ph
rrerait enfin. Son auditoire s’était accru de quelques curieux, et le
professeur
, après beaucoup de préliminaires, a enfin dit sa
en fait, rien étudié, rien pro- (luit; mais, de sa haute raison, le
professeur
nous condamne, et nous sommes morts. Voilà déjà
orme de folie ses symptômes, à chaque symptôme scs remèdes. » M. le
professeur
Esquirol ne fut pas aussi heureux dans les essais
diplôme à nos jeunes antagonistes. En 1825, M. Rostan, qui a été leur
professeur
, écrivit son article Magnétisme du Dictionnaire d
e séances publiques d'électro-biologie, données aux Etats-Unis par le
professeur
Fiske et consorts; avec de curieux détails par M.
publique de magnétisme, donnée au Collège de Perpignan, par M. Crova,
professeur
de physique. Compte-rendu par M. Ch. Bruyas, 444.
OT & BOURNEVILLE PUBLIEE SOUS LA DIRECTION DE MM. A.JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales à la Facu
clinique | (Ste-Anne). COLLAOaA7EUR5 PRINCIPAUX : F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies du système neneux
ne retiendrai donc aujourd'hui que les changements apportés par le
professeur
de Munich à sa conception du groupe des psychos
tre en valeur la nouvelle classifi- cation des maladies mentales du
professeur
de Munich, mais jusqu'à présent son appel n'a g
s les cas la dégénérescence, dans le sens large que lui a dévolu le
professeur
Jolfroy, est nécessaire comme ter- rain. (Revue
e, le Dr Drouineau, représentant M. le Ministre de l'intérieur ; le
professeur
Grasset,deMont- pellier, président du Congrès ;
sera pas moins féconde queles précédentes.Il fait l'éloge de M. le
professeur
Grasset, l'éminent neurologiste, ap- pelé à dir
i logique et si raison- née, a été particulièrement goûtée. M. le
professeur
CiR 4 SSET, à qui M. le maire donne la parole,
ingestion de fruits. De l'Etal mental des Hystériques. M. Joinre,
professeur
de l'Institut PsychoPhysiologique de Paris, Pré
itement de cer<a'ne maladies du système nerveux. 11, P. Joire,
professeur
à l'Institut Psycho -Physiologique de Paris, pr
binski, guérison.) Par M. le D' NOICA, Médecin adjoint de 111. le
Professeur
1), Mal'ineseo, Chef du service des maladies ne
et par conséquent d'émettre un pronostic grave. La cause, dit le
professeur
Raymond, tient à la difficulté que nous avons d
qui a duré pendant une année et puis a disparu d'elle-même. M. le
professeur
Marinesco croit, et nous sommes de son avis, qu
ion et délire alcoolique; . par il IŒMOXU (de lleLz),
Professeur
de clinique des ma- ladics men laI cs à l'enh"c
psie. - Syphilis héréditaire probable ; i Par le D' .1. CRESPI.N.
Professeur
suppléant à l'Ecole de Médecine d'Alger. flot,.
Président : Le prof. Prévost (de Genève). Secrétaires géné- raux :
professeurs
Berdez (de Lausanne), Long (de Genève). Comité
anne), Long (de Genève). Comité d'organisation : Comité Genevois.
Professeurs
: Prévost, Bard, Weber, d'Espine, Flournoy, Mar
8 congrès DES médecins aliénistes et neurologistes. Comité Vaudois.
Professeurs
: Berdel, Bouyet, Mahaim Forel, IIerien, Deucre
is- tère de l'inférieur, désigné parle ministre, président; 2° Un
professeur
ou agrégé choisi par le ministre de l'intérieur
rois noms présentés par la faculté de médecine de Paris ; 3° Deux
professeurs
titulairesde facultés de médecine de l'Etat, t,
s asiles situés hors du ressort des académies qui auront fourni les
professeurs
, les agrégés ou les chargés de cours. Cependant
ail de la discussion de cette, loi, et la relation parlementaire du
professeur
Bianchi. J. Séglas. 11. - La réforme des asiles
gion mentale, ne joue aucun rôle dans la folie gémellaire. II. Au
professeur
Bail revient le mérite d'avoir nettement établi
au contraire, nous le répétons, est exceptionnel ; dans sa leçon,ce
professeur
n'a rapporté qu'un cas, et nous aussi, en trent
quelle vésanie,du moins par les trois conditions signalées par le
Professeur
Ball. Quelles sont donc ces trois conditions ? z
es singuliers phénomènes de la troisième con- dition formulée parle
Professeur
Bail, et que nous a éga- lement offerte le cas
rt au loin de cet élément morbide par un zéphir favorable. Quand le
professeur
Bail a mis en doute la folie induite ou folie t
ndre de diverses circonstances de leur vie ; tout de même le savant
professeur
déclare que dans des cas semblables, il faut en
Z5G PATHOLOGIE MENTALE. tion,dans un journal français,du mémoire du
Professeur
de \loscou. . Pourtantle cas de Rush est très
e d'u- ne pareille identité d'organisation cérébrale. Or, pour le
professeur
Bail, c'est seulement, et il l'affirme, cher, q
Archives, 2' série, 1906, t. XXII 17 258 PATHOLOGIE MENTALE. Le
Professeur
Ball exigeait donc comme nousuneprc- disposion
en soit, à en juger par les faits recueillis depuis sa leçon, le
Professeur
Bail s'est trompé ; ces faits tendent à nous do
e gémellaire, nous dirons que si les idées théoriques émises par ce
professeur
expliquent parfaitement la si- multanéité et l'
ion, devraient tous être atteints de la folie gémellaire. Mais le
Professeur
Bail rattache la folie gémellaire à la consangu
corder à notre compatriote une large place. Mais il semble que le
Professeur
Bail ait senti toute la faiblesse des développe
t en lumière les statistiques dres- sées à ce propos en 1900 par le
professeur
Brouardel, dontnous voulons rappeler les princi
it la fréquence de la phtisie parmi les aliénés de Vienne et par le
Professeur
En- (1) Drapes. Phtisis and in-anilv. (Journal
Nous ne saurions trop rendre hommage à tout le tact dont l'éminent
professeur
Tamburini a fait preuve durant sa pré- sidence.
reuve durant sa pré- sidence. Le secrétaire général, le très dévoué
professeur
Ferrari, mérite plus que des éloges : il a droi
congrès international de l'assistance DES aliénés. de citer ceux du
professeur
Tamburini, de Lombroso, dont l'arrivée à la sal
salle des séances provoqua des tonnerres d'ap- plaudissements et du
professeur
Bianchi, l'ancien ministre de l'Instruction pub
Roma; pour le gouvernement allemand : M. BONHOEFFER (doct. Kart),
professeur
de psychiatrie et de neuro-pathologie à l'Unive
r le gouvernement de Roumanie : M. OBR> : GIA (doct. Alexander),
professeur
d'histologie à l'Université de Bu- karest ; pou
influence suggestive du médecin traitant, la psycho- thérapie. Le
professeur
Brauchli (de Zurich) montre dans son rap- port
avec les architectes les plans des bâtiments à édifier, formant ses
professeurs
, ses chefs d'a- telier, ses infirmiers Depuis l
es aliénés et spécial. lement de leur assistance familiale et M. le
professeur
D'even- ter, le progrès dans le traitement des
rbulents, inattcntifs, qui troublent laclasse eldcnnenl du mal leur
professeur
Ce sont de faux anor- maux. Les vrais anormaux
auteur a ouvert de nouveaux horizons à nos élèves », dit M. Garçon,
professeur
à la Faculté de droit, dans la préface. C'est l
Cette proposition avait été immédiatement contresignée par MM. les
professeurs
Lombroso, (de Turin), et Marie (de Paris), et a
907 (7<= année) Hypnotisme thérapeutique.- M. le 1)., L3ÉRILLON,
professeur
. Objet du cours : 10 Psychothérapie générale :
ale. M. Lionel Dauriac, prof. lion. de l'Université de Montpellier,
professeur
. Objet du cours : Elude des sentiments. Les ven
ndredi 11 janvier. Psychologie pathologique. M. le 1)'' Paul FAREZ,
professeur
. Objet du cours : Les états de mort apparente.
u samedi 12 janvier. Psycho-physiologie de l'Art. M. Félix HÉGAMEY,
professeur
. z Objet du cours : Les princes du dessin. Infl
sychologie des dégénérés et des atypiques. M. le Dr Pl- net-Sanglé,
professeur
. Objet du cours : Jésus de Nazareth. Les samedi
l psychologie comparées. M. E. 0 ? us,riER, agrégé de l'Université,
professeur
. Objet du cours : La vie sociale des plantes et
ir du mercredi 17 janvier. Psychologie des anintaux.- \I. LÉPINA Y,
professeur
. Objet du cours : Les méthodes de dressage ; ut
du mercredi 17 janvier. Psychologie musicale.-)I. le U 11. Pamart.
professeur
. Objet du cours : La psychologie des grands maî
s membres, par Valobra, p. 391. Discours. A propos du de 5t. le
Professeur
Grasset au Con- grès de Lille, p. 329. Distin
ts par le sphacèle ; des irrigations pratiquées journellement, par le
professeur
Jarjavay, facilitèrent la sortie de ces caillots.
ion.) Polypes du larynx. A la page 184 de la thèse de concours du
professeur
Gerdy, intitulée : Des Polypes et de leur traitem
Après cette expulsion la voix reprit son timbre ordinaire. « M. le
professeur
Andral a vu, il y a quelques années, à la « Chari
pour le chirurgien, d'entendre cet aveu d'impuissance formulé par un
professeur
, un investigateur tel que Gerdy, toujours dans la
e mort certaine, selon l'expression d'Ehrmann, le vénérable et savant
professeur
de Strasbourg, dans sa belle monographie sur les
is voir ce malade à M. de Grœfe pendant son séjour à Paris. Le savant
professeur
fut d'avis qu'un travail pathologique semblable d
bésité ou de polysarcie que nous avons sous les yeux. D'après M. le
professeur
Hardy, ce développement exagéré du tissu cellulo-
nous préférons une solution plus concentrée à celle préconisée par le
professeur
Béhier, dont la formule est : Chlorhydrate de m
ITAUX DE PARI Deux observations de restauration du périnée Par le
professeur
Richet. Ayant eu assez souvent l'occasion d'obs
e. A. Després. Lipomes symétriques (Deux cas observés par M. le
professeur
Verneuil) Les deux planches photographiques qui
ence lipomateuse qu'elles présentent. Il y a quelques années, M. le
professeur
Verneuil appela sur les tumeurs de cette nature l
si dans la galerie du musée une série d'aquarelles offertes par M. le
professeur
Bazin, et exécutées par Bion, sous la direction e
il n'a pas été fait, jusqu'à ce jour, mention de l'œuvre de ce savant
professeur
soit dans les colonnes des journaux, soit encore
s une famille d'agriculteurs. Hypospadias Par le docteur Rochard,
professeur
libre de dermatologie à Paris. Toutes les fois
. Sur Vorigine par contagion des conjonctivites catarrhales, par le
professeur
Gosselin. — L'ophthalmie franchement purulente es
? L'examen de ces questions importantes fait l'objet du mémoire du
professeur
Gosselin. L'étude des faits le conduit à adopte
HOPITAUX DE PARIS Eléphantiasis des Arabes, Par le D Gosselin,
professeur
de clinique chirurgicale à la Faculté de Paris.
ause principale admise par tous les auteurs, depuis M. Meckel et le
professeur
Isidore Geoffroy Saint-Hilaire, dans la productio
HOPITAL DE LOURCINE. Clinique syphiliographique de M. A. Fournier,
professeur
agrégé. leçon d'ouverture. Après avoir rapide
erminer ce rapide exposé de la leçon de M. Fournier sans féliciter le
professeur
dont le talent oratoire et l'intelligente éruditi
par l'atrophie de la rétine et de la papille optique. Ed. Meyer,
Professeur
d'ophthalmologie. Anévrisme de l'aorte abdomina
d, en 1865, il fut fait mention du cas que nous allons décrire par un
professeur
portugais, Augusto de Macédo. Juan Batista de l
appé à notre mémoire dans le cours de cette description. Ch. Robin,
Professeur
à la Faculté de médecine de Paris. Lèpre des Gr
démie des résultats complètement opposés à ceux obtenus par l'éminent
professeur
; mais M. Tardieu ne se tenant pas pour battu, vi
té du diagnostic des maladies chirurgicales, par Fou-cher et Després,
professeurs
agrégés à la Faculté de médecine de Paris, chirur
onséquent au bassin une figure plus ou moins semblable à celle que le
professeur
Nœgelé a décrite sous le nom de bassin oblique ov
uvelles depuis. Nous ajoutons à l'intéressante description de M. le
professeur
Gosselin une photographie (Planche XXXIV) qui rep
Endocardite puerpérale typhoïde Par le docteur Habran (service du
Professeur
Hardy.) L'endocardite puerpérale est admise auj
re satisfaisante de la physiologie de l'œil : en dehors des leçons du
professeur
Gavarret, nous ne croyons pas avoir jamais lu de
CIIA1VCOT 1 l'UISL11·,E SOUS LA DIRECTION DE bl3l. A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales a la Facu
guérir à tout prix, il entre à l'hôpital, dans le service de M. le
professeur
Pitres et réclame des sangsues. On lui applique
à pousser d'essai de psychothérapie à ses dernières limites. M. le
professeur
Demons, après avoir endormi A..., lui fait une
ennuis de sa situation, c'est que, lorsque les surveillants ou les
professeurs
lui reprochaient quelque chose, il avait beau dir
arut en une vision éclatante et caractéristique. Un malade de M. le
professeur
Bail 3 est en communication avec Dieu dont il e
r J. ROCBlNOVITCH, 0. Dons, éditeur, Paris, 1896. La préface que le
professeur
Joffroy a écrite pour le livre de M. Roubinovit
ARIA. ERMITE jeûneur. Dans ses Esquisses d'histoire suisse, M. le
professeur
P. Vaucher, parlant de l'antagonisme des pays e
(août 1886), His (octobre 4586) arriva à la même conception que le
professeur
de l'Université de Zurich. Dans le muscle non p
logiques; par Antoine GU1LIIOU. Très bon travail, du laboratoire du
professeur
Jolyet, à con- sulter. - IX. DE la. névrose C
E; par Jean-Hippolyte GOUDAUD. L'auteur croit, avec Krishaber et le
professeur
Dieulafoy, que la névrose cérébro-cardiaque con
entre autres, 33 opérations recueillies, sous la direction de M. le
professeur
Coyne, à l'Institution nationale des sourdes-mu
cente d'un cas de fibromatose généralisée congénitale étudié par le
professeur
Popoff (de Kasan), qui a constaté à l'au- topsi
hanee Martis, médecin-directeur de l'asile des Aliénés, a été noumé
professeur
ordinaire de psychiatrie (théorie et clinique), e
aire de psychiatrie (théorie et clinique), en remplacement de M. le
professeur
Olivet. démissionnaire. Incendie A l'asile d'al
ice dans LE traitement DES maladies NER- VEUSES ET mentales; par le
professeur
L. MEYER (de Gottingen). (The Journal of Mental
insanity, juillet 1896.) E. B. XVIII. UN fait d'anarchisme ? par le
professeur
Bombarda. Les problèmes que soulevé l'étude méd
ont guère aptes à recevoir des solutions rapides ou absolues. M. le
professeur
Bombardo est d'avis qu'il faut répri- mer la pr
quel aussi il décrit quel- ques-unes des méthodes appliquées par le
professeur
de IIeildeberg. R. M. C. XXXIII. Etats mentau
96. BonN (Allg. Zeitschr, f. Psychiatrie, t. lui, fasc. 4.) M. le
professeur
PELMAN ouvre la séance. M. WEBER présente un ca
: « l'odorat et le goût ne sont jamais sensiblement troublés. » Le
professeur
Raymond '* dans son remarquable article du Dict
Mas- sary 8 dans sa thèse récente indique les leçons cliniques du
professeur
Raymond comme contenant quelques observations o
t. Le malade devient un persécuté. Comme l'ont fort bien indiqué le
professeur
Pierret' et ses élèves, les symptômes sen- sori
ernes de la putréfaction des cadavres. Rapport de M. le D1' Malvoz,
professeur
de bactériologie à l'Université de Liège. 2nvc
s par l'ingestion des viandes. Rapporteur : M. le Dr Van Grnrengeu,
professeur
de médecine légale et de bactériologie à l'Univ
: L'intoxica- tion par l'oxyde de carbone. Rapporteurs : M. Berge,
professeur
de chimie à l'Université libre de Bruxelles et
ion : La docimasie pulmonaire. Rapporteur : : \1. le Dr Dallemagne,
professeur
de médecine légale à l'Université libre de Brux
mie de médecine de Belgique ; premier vice-président : D'' llalvoz,
professeur
de bactériologie iL l'Université de Liège ; sec
x Allemand, 1,800 francs. Le prix est décerné à M. RApii%EL Aubois,
professeur
à la Faculté des sciences de Lyon, pour son Etu
séance du 9 novembre, à 3 heures. Présidence DE I. LUDR'IG. - Le
professeur
Kirn (Fribourg), ouvre le Congrès. Le Dr LuDmG
prirent part MM. Mourakoff, Stepozobr, Ser- bsky, Cepetir, et M. le
professeur
Kojewnikoff, Roncelauzobr qui doute qu'il s'agi
ique de la maladie en question. La discussion ont pris part MM. les
professeurs
Rothet, Kojewnikoff, et M. le D. Mou- ratoif.
l'ordre du jour. Née en France avec les magistrales leçons de M. le
professeur
Fouruier, il semble que cette question passionn
chez une fillette indiscutablement hérédo-spécifique, vue par M. le
professeur
Raymond, et à propos de laquelle le savant prof
e par M. le professeur Raymond, et à propos de laquelle le savant
professeur
s'est demandé si l'infection congénitale n'avait
stre de l'Intérieur et de l'Instruction publique. Président : M. le
professeur
VERRIEST, de Louvain. Vice-Présidents : M. le p
nt : M. le professeur VERRIEST, de Louvain. Vice-Présidents : M. le
professeur
VAN GEHUCHTEN, de Louvain et M. le D1' LENTZ, d
de l'épilepsie. Ses indications et ses consé- quences. Rapporteur :
professeur
Wineler, d'Amsterdam (Hol- lande). II. Pathogén
II. Pathogénie et traitement du goitre exophtalmique. Rapporteur :
professeur
EULENI1URG de Berlin (Allemagne). III. Pathogén
bourg (Russie). IV. (Question à fixer ultérieurement). Rapporteur :
professeur
OPPENnEIM, de Ber- lin (Allemagne). V. Influenc
et mentales que présentent ultérieurement les enfants. Rapporteur :
professeur
ANTON, de Graz (Autriche-Hon- grie). VI. Pathog
dans les affections organiques du système nerveux. Rappel'- leur :
professeur
VAN GEHUCIITEN, de Louvain (Belgique). B) Psych
longtemps les manifestations de la paralysie générale. Rapporteur :
professeur
'faouEN. de Bonn (Allemagne). II. Psychoses et
essive des aliénés durant les trente dernières années. Rapporteur :
professeur
l\IENDEL, de Berlin (Alle- magne). IV. Des rela
ue des réactions électriques des muscles et des nerfs. Rapporteur :
professeur
DOUMER, de Lille (France). II. La valeur thérap
a valeur thérapeutique des courants à haute fréquence. Rapporteur :
professeur
BERGONI, de Bordeaux (France). D) Hypnologie.
uggestions criminelles. Ses origines, son état actuel. Rapporteur :
professeur
Liégeois, de Nancy (France), Les questions mi
des progrès de la paralysie générale... » Sans insister autant, le
professeur
Bail ' émet une opinion analogue : « Presque to
tion peut se résumer ainsi : homme de trente-neuf ans, célibataire,
professeur
de chant ; ses parents, ainsi que ses dix-sept
la neurasthénie EN FINLANDE, SES symptômes ET SES causes ' ; par le
professeur
H. HOLSTI. Afin d'être fourni des renseignement
. DE la PERTE DE connaissance dans LES attaques D'HYSTÉRIE ; par le
professeur
Pitres. Les nosologistes anciens croyaient avoi
s irrésistibles. 1\1>\1. SERBSRY, Rossouno, FOKARSKY et le M. le
professeur
Kojev- vmorr, étant d'accord avec l'auteur sur
nd le malade s'en débarrassa la narcolepsie disparut aussi. M. le
professeur
KORSAKOFF est d'accord avec l'opinion de M. Ryb
omalies impulsives, qui ont été obser- vées chez le malade. M. le
professeur
KOJEWNIKOFF ne consent pas à regarder la nar- c
une lumière sur le cours probable de l'issue de la maladie. M. le
professeur
KORSAKOW pense que les troubles du langage dans
s; outre cela ce phéno- mène peut dépendre, d'après l'avis de M. le
professeur
Korsakow, de l'affaiblissement, des arrêts et d
s arrêts et de la tendance à dire des sottises singulières. M. le
professeur
KOJEWNIKOV indiqua sur la signification pro- gn
ncernant la communication, des questions furent adressées par M. le
professeur
Korsakoff, M. le Dr Mourakofl et M. le professe
ressées par M. le professeur Korsakoff, M. le Dr Mourakofl et M. le
professeur
Kojewnikoff. G. RossoLmo, N. SCHATALOFF, A. FOK
s), d'après des documents cliniques puisés dans le service de M. le
professeur
Raymond à la Salpêtrière. Il montre combien l'é
ion de Paris. 1 vol. de 258 p. Ernest Flammarion. Paris, 1897. Le
professeur
Lombroso fait précéder la seconde édition de son
mal gouvernés. On trouvera, dans cet ouvrage très intéressant du
professeur
Lombroso, les qualités et les défauts du savant
e reçoit de l'Etat, en fa- veur des veuves ou des enfants, soit des
professeurs
, soit des agrégés de la Faculté de médecine de
doncule cérébral gauche, P, de la moitié gauche de la protubérance,
Pr.
, de la pyramide antérieure du même côté, Pi, et d
CIIAICOT NUltl.ll : li SOUS LA UItIILCIION UR 1111. A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales à la de m
adémie de médecine Médecin de l'Asile clinique z F. RAYMOND
Professeur
«le clinique des maladies du système nerveux
papille ; 2° Aug- mentation du tissu conjonctif de la rétine. Le
professeur
Schmidt Rimpler signale, en 1898, des alté- rat
eutique : cette période est marquée par l'influence française. Le
professeur
Raymond, en effet, après avoir constaté les pre
été faites aux troubles d'origine psychique (Raymond et Janet) ; le
professeur
Brissaud nous a appris à traiter les tics suiva
er les premiers essais de traitement compensatoire entrepris par le
professeur
Leyden à une époque bien antérieure à ses premi
ermettre une sorte d'entraî- nement. Au Congrès de Moscou (1896) le
professeur
Zablu- dowslci a réclamé la priorité dans ce ge
France les travaux de l'école de la Salpêtrière inspirés par M. le
professeur
Raymond ; après les leçons de M. Raymond, M. Fa
lk, XXIII ,N. F. 01. 1900.) Analyse très consciencieuse du livre du
professeur
Wernicke, inti- tulé Grundriss der Psychiatrie.
au Ministère de l'Intérieur; Membres titulaires : M. le De Mairet,
professeur
de clinique des maladies mentales la Faculté de
adies mentales la Faculté de Médecine de Montpellier; le Dr Rémond,
professeur
de clinique des maladies mentales à la Faculté
Normand, 12 décembre 1902). EFFET DE l'hérédité alcoolique. Le
professeur
Demms, de Stuttgart, a étudié dix familles de b
suivit assidûment les leçons cliniques de Charcot puis celles du
professeur
Raymond. A la section des maladies neiveuses et m
RGE SOUXHANOrI. 1VÉCROLOGIE.- Nous apprenons à l'instant la mort du
professeur
KRAFTELI,NG ; le célèbre spécialiste pour les m
ique des maladies mentales et des maladies de l'eizcé- phale. M. le
professeur
Joffroy a commencé le cours de clinique des mal
t de fonder une clinique de maladies nerveuses et a dési- gné comme
professeur
le célèbre neurologiste E. JENDRASIK (Ungnr Med
et surtout celui de Nina Rodriguès9 sur la folie des foules, où le
professeur
bré- silien développe le rôle important de la s
ne soeur; trois frères dont deux jumeaux morts en bas-âge. Un frère
professeur
, est nerveux. Une soeur bien portante s'intéres
12 janvier, à cinq VARIA. 207 heures, sous la présidence de M. le
professeur
Guno, membre de l'Académie des sciences, profes
idence de M. le professeur Guno, membre de l'Académie des sciences,
professeur
à la Sorboune. La leçon d'ou- verture a été fai
à la Sorboune. La leçon d'ou- verture a été faite par M. Causrten,
professeur
au lycée Hoche sur lv méthode en psychologie zo
sychologie zoologique. Hypnotisme thérapeutique. M. le Dr Béiullon,
professeur
. Objet du cours : 1° La thérapeutique des malad
u jeudi 15 janvier. Hypnotisme expérimental. M. le Dr Paul lllacsm,
professeur
. Objet du cours : L'hypnotisme chez les hystéri
lundi 12 janvier. Hypnotisme sociologique. M. le Dr Félix REGNACLT,
professeur
. Objet du cours : L'hypnotisme dans les religio
r du mardi 13 janvier. Psychologie du criminel. M. le D1' Wateau,
professeur
. Objet du cours : La femme délinquante et crimi
à partir du samedi 17 janvier. Psychologie des animaux. M. LÉPINAY,
professeur
.Objet du cours : L'éducation et le dressage des
uit heures et demie, La psychologie de l'éléphant, par M. Caustier,
professeur
au lycée Hoche (asec projections). Vendredi 20
èse de Truelle, 189S. Thèse Margoliez, 1898. Thèse Guvot, 1899. 2
Professeur
foffroy (Ili-esse i)2é(liectie, 19 mars 1898). Pr
1899. 2 Professeur foffroy (Ili-esse i)2é(liectie, 19 mars 1898).
Professeur
Berger [Médecine moderne. 17 juin 1899). - Prof
9 mars 1898). Professeur Berger [Médecine moderne. 17 juin 1899). -
Professeur
Duplay in'reste médicale, 28 juin 1899). ' Ca
iente, à savoir la prédisposition héré- ditaire ou acquise. M. le
professeur
Joffroy a soutenu la même opinion dans son inté
pu exister, mais a diparu presque complètement : une observation du
professeur
Wal- ther, de Gothemberg, nous montre la diffic
vation suivante nous a été adressée par notre excellent confrère le
professeur
Walther de Gothembourg (Suède). Observation I
pparaît d'une façon très évidente. Mais plus enthousiastes que le
professeur
de Bordeaux, ces auteurs ont proclamé des guéri-
THOLOGIE NERVEUSE XXVI. Les porencéphalies traumatiques ; par M. le
professeur
L : 1NDOUZY et M. Labbé {Presse médicale, 19 ao
myopathies familiales paroxystiques, myotonie, myo- plégie ; par le
professeur
ODDO. Parmi les syndromes familiaux à caractère
être pratiquée qu'avec la plus extrême prudence. M. DIDE.- M. le
professeur
Joffroy, ayant eu la pensée de faire des inject
démenti. Le psychothérapeute, au contraire, est, au sens propre, un
professeur
de volonté. SOCIÉTÉS SAVANTES. 301 Les /H6 !
. RAOUL, directeur de l'asile d'aliénés de Bron (Rhône); M. Rémond,
professeur
à la Faculté de médecine de Toulouse (chaire de
nquième série de cinq observations). Par le Dr Cwo.ns BINET-SANGLÉ,
professeur
à l'Ecole de psychologie. . Observation I. Marg
intéressant. Il s'agit d'une femme soignée dans le service de M. le
professeur
Pierret et qui, du fait de la diète lactée, a e
ation des troubles musculaires et des troubles psychiques) ; par le
professeur
JORFROY. La chorée de Sydenham, la chorée de Hu
née de phénomènes basilaires et s'étant terminée par la guérison.
Professeur
W. Rotii a observé pendant l'épidémie de l'influe
ur traitement, par Henry 111mc et E. Feindel, avec préface de M. le
professeur
HntssAUD (Paris. Masson et Ci0, édit. 1902). '
ième série de cinq observations). Par le D1' Chaules BINET- SANGLÉ,
professeur
à l'Ecole de psycholod (Suite et fin.) Observ
t-Royal de Paris, où préchoit alors M. Singlin '. 11 eût enfin pour
professeur
de philosophie Jean Bourgeois, abbé de la Merci
estions posées sur les différents cours de la semaine, tant par les
professeurs
que par leurs camarades qui, dans ce but, se gr
iytle Cül Sé>'219)z de Tr2mccl, (avec présentation d'un malade).
Professeur
W. Rom. Le malade présenté est un trafiquant de
ens pour éterniser la mémoire du défunt président de la Société, le
professeur
A.-J. KOJEVNIIZOI-7F. A.I3EwsTElrr, B. Mouravil
Médecin en chef de la Maison de santé de Ville-Evrard. En 1835. le
professeur
de psychiatrie F. v. Ritgen proposa la fondatio
oir faire aboutir le projet, malgré de longues discussions. ' M. le
professeur
Grasset (de Montpellier) vient de faire paraître
de l'asile de Heppenheim, a dû être modifié sur les'indications du
professeur
Sommer, qui fut nommé directeur de la clinique
Eclairage électrique. ' La Faculté de médecine de Giessen compte 17
Professeurs
et Privat- Docenten et 149 étudiants. CLINIQU
éloignée des pavillons, mais assez près cependant pour faciliter au
Professeur
l'accomplissement de ses'devoirs professionnels
de l'oeil, des réflexes (appareil mul- tiplicateur des réflexes du
Professeur
Sommer), pour la craniomé- trie, etc.) Le lab
les photographies diaposi- tives, les cylindres phonographiques. Le
Professeur
fait ses leçons placé sur une tribune, sur laqu
r le corridor de la moitié gauche du bâtiment donnent le cabinet du
Professeur
, une salle d'attente, l'utelier du mécanicien e
plus que n'en demande Flechsig pour une clinique psychiatrique. Le
professeur
de Leipzig réclame en effet sept quartiers, mai
chiatrique DE l'université DE GIESSEN. 52U la cuisine,' la villa du
professeur
, les chambres des médecins de chaque division a
ppeler directement le concierge, de chaque pavillon, de la villa du
professeur
, des chambres des mé- decins. 5° Réseau micro
hémiatrophie gauche, mais un exa- men plus détaillé, vérifié par le
professeur
d'anatomie D. Zernoff, indique que c'est seulem
r cite les expériences des auteurs étrangers et aussi le travail du
professeur
Sinitzine. Il présente à l'appui les crânes de
initzine. Il présente à l'appui les crânes de lapins, opérés par le
professeur
Sinitzine, qui a eu l'amabilité de les lui prêt
ofonde des vais- seaux veineux et lymphatiques correspondants. Le
professeur
W.HoT); insiste sur ce fait que' simultanément on
th. En discutant sur la question d'éterniser la mémoire du défunt
professeur
A. J. Kojevnikoff, la Société a décidé, entre aut
très distingués. Le Secrétaire général, Dr J. Crocq. Le Président,
Professeur
Francoti-e. N. B. Prière d'envoyer l'adhésion à
matomanie. Obsession du mot. Impulsion à le répéter. C... (Yves),
professeur
dans un collège, âgé de trente et un ans, est e
DIFFUSE ? J. o '1 1 , ,,»,ts , 1/1 ¡ \ljl i P Par le D' LEROY,
Professeur
à la Faculté de médecine de Lille. . \ l - -
DES hémiplégies consécutives A L-INToXl cation oxsGAEBOSyuE; par le
professeur
iV.-11. POPOFF. (iJledi- zinsk. Obozr., n° 18,
ROISIÈME SESSION A GRAZ (STYRIE). Séance du 5 octobre 1891. M. le
professeur
lllexrrEaT, ouvre le Congrès. Puis MM. WAGNER D
ce commune des mêmes médecins, des mêmes administrateurs, des mêmes
professeurs
, on puisse faire fusionner les sections et leur
r fonction- nelle puissent avoir une provenance différente. M. le
professeur
Kojewnikoff, en considération des données de l'
tionalités employée par l'auteur. A la discussion ont pris part, le
professeur
KOJEWNIKOFF et le 'Dr BAJÉNOFF qui invoque pour
lysie générale est très rare. Séance du 15 novembre 1891. M. le
professeur
BoBRow. Epilepsie traumatique. Obturation ostéo-
, la parole est plus nette, la scoliose est en voie d'évolution. Le
professeur
KOJEWNIKOFF et les Drs RossoLIMo, CHATaLOw, DARx-
TION; par UNVERRICHT. (The Lancet, 12 décembre 1891, p. 1354.) Le
professeur
Unverricht a rapporté, à une session récente de l
lioration consi- dérable à la fois physique et intellectuelle. Le
professeur
Unverricht lui-même est si satisfait du résultat
les. 1 J. Séglas.. III. Leçons du mardi à la Salpétrière, par M. le
professeur
CHARCOT. Policlinique de 1887-1888. Notes de co
ement. P. S. V. Clinique des maladies du système nerveux; par M. le
professeur
CHARCOT. Publiée par G. Guinon. - Tome I. Paris
ier, vers quatre heures et demie, les enfants sous la conduite d'un
professeur
, sortaient de l'école communale, rue Etienne-Ma
es sangsues dans le corps. Disant ces mots, elle se dirigea'vers le
professeur
,' M. Le- breton, et à deux reprises différentes
omanie était fréquente parmi elles. NÉCROLOGIE. '- « Tu. MEYNERT,
professeur
de psychiatrie à l'Université de Vienne est déc
us nous rappelons avec bonheur la période florissante où le célèbre
professeur
réunit autour de lui non seulement la jeunesse
inique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière. Leçons du
professeur
, mémoires, notes et observations des années sco
epsie partielle (sensitivo-sensorielle, ou motrice, ou mixte) M. le
professeur
Charcot a indiqué le pre- mier un trouble nerve
E MOTRICE PURE AVEC LESION CIRCONSCRITE; Par 111AI. GicneaT BALLET,
professeur
agrégé à la Faculté de médecine, médecin de l'h
es de l'hémisphère gauche 1. Cependant il faut rappeler que M. le
professeur
Charcot dit avoir vu plusieurs fois l'oblitérat
ale, si éloquemment exposée pour- tant, par notre vénéré maître, le
professeur
Hughes Bennett. Nous pensions à cette époque qu
ème cas, on ne trouva pas de tumeur, et dans le quatrième, celui du
professeur
Wood el le mien, on découvrit un kyste occupant
essistes ont déjeuné à Chambord. « MM. Th. Roussel, Doutrebente, le
professeur
Pierret, Gilbert- Ballet, Joffroy, dit ['Indépe
traitement chirurgical ou la craniectomie a été préconisé par M. le
professeur
Lannelongue. Sa première opération a été faite
s étendue. Il 1 De la cranieclomie dans la microcéphalie, par M. le
professeur
Lannelongue. (Acad. des sciences, 3U juin 1890,
oût 1888, en la présence et avecl'assis- tance du Dr R.-H. Plummer,
professeur
d'anatomie au collège médical Cooper et du Dr C
seur d'anatomie au collège médical Cooper et du Dr Chas. E. Farnum,
professeur
d'anatomie. L'anesthésie fut employée. Une inci
§. III. La CRANIECTOMIE dans la MACROCéPHALIE; par le Dr A. WIETH,
professeur
de chirurgie à la policlinique' de New-York, ch
niec- tomie) dans LES cas DE MICROCÉPHALIE; par le Dr W.-W. KEEN,
professeur
de chirurgie, à l'Académie de médecine Jefferso
et d'un autre, identique, communiqué par le Dr J.-C. Mac Clintock,
professeur
de chirurgie à l'Académie de médecine de Kansas
OTOMIE linéaire POUR la microcéphalie ; par le Dr Joseph RANSOHOFF,
professeur
d'anatomie et de chi- rurgie clinique à l'acadé
1892. Cette brochure est une apologie justifiée de Laënnec comme
professeur
de clinique. L'auteur y publie deux lettres du sa
ine médicale). FAITS DIVERS. 363 Distinctions honorifiques. M. le
professeur
J. M. CaencoT a été récemment nommé grand' croi
ami, M. Gilles DE la Tour- nETTE, ancien chef de clinique de M. le
professeur
Charcot, vient d'être nommé officier d'Académie
DE Berne. il. le Dr W. VON SPEYR, docent de psychiatrie, est nommé
professeur
extraordinaire. Faculté DE médecine DE BERLIN.
ERLIN. M. le Dr SIEMERLING, privât docent de psychiatrie, est nommé
professeur
extraordinaire. Faculté DE MÉDECINE de Halle. M
ON MEDICAL COLLÈGE DE PHILADELPHIE. M. le Dr F. X. DERCUM est nommé
professeur
de pathologie nerveuse. NEw-Yon6 POLICLINIC. M.
inique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière. Leçons du
professeur
, mémoires, notes et observations des années sco
des cas d'établir le diagnostic. 4 Travail de la clinique de M. le
professeur
CHARCOT. 388 pathologie nerveuse. Mais parfoi
Mme Gi... enlre à la Salpêtrière en janvier 1891 (service de M. le
professeur
Ciurcot). Antécédents de famille. Père nerveux,
d'exprimer ici toute notre gratitude à notre opinent maître, AI. le
professeur
Charcot ; le souvenir de la généreuse hospitali
ouveau obligée de rentrer à la Salpêtrière dans le service de M. le
professeur
Charcot. Son état de santé à cette époque était
e suivant, qui forma l'objet d'une intéressante conférence de M. le
professeur
Charcot. Il s'agit d'une jeune femme, laquelle
hographe, entre le 15 juin 1892 à 1a Jalpélrière (service de 11. le
professeur
Charcot). Antécédents DE famille. Ses aïeuls ma
servés dans l'épilepsie, mais seulement d'une façon transitoire. Le
professeur
Charcot L'UYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES D
lète et profonde que dans l'hystérie : c'est ce qu'enseigne M. le
professeur
Charcot. Contre cette manière de voir se sont éle
de Limoges, entre le 3 juin 1892 à la Salpêtrière (service de M. le
professeur
CHARCOT). Antécédents de famille. Son père mour
cas d'hystérie bien avérée, provoqués par l'éclat de la foudre. Le
professeur
Charcot, dans ses Leçons du mardi1, en rapporte
ent dont il fut victime. Je répondrai par les exemples cités par le
professeur
Charcot dans la leçon dont il s'agit. Le premie
seur Charcot dans la leçon dont il s'agit. Le premier appartient au
professeur
Nothnagel2. Il concerne un forgeron âgé de tren
FAITE A LA SALPTlt1) : EE LE 1°r AVRIL 1892. Par M. Pierre JANET,
Professeur
agrégé de philosophie, docteur ès lcltres, élève
ment intentionnel (observation recueillie dans le service de AI. le
professeur
Gros, 1 Les autres études qui complètent ces pr
ci l'anatomie pathologique de la maladie de Basedow. - En 1887, un
professeur
de quarante-huit ans présen- tait du goitre, de
st réuni à Londres, le 4lv août 1892, sous la pré- sidence de M. le
professeur
Sidgwick, a prouvé, par un succès éclatant, la
t, la vitalité de notre nouvelle science. Le président, M. Sigwick,
professeur
de philosophie, à Cam- brigde, les deux secréta
s neurologistes et psychologues anglais, beaucoup de médecins et de
professeurs
1 Le Congrès international de psychologie expér
es hommes, sans user d'instruments ou de pro- cédés spéciaux. M. le
professeur
Alexandre Dain a précisément exposé au congrès
de M. Bourneville, en usage à Bicêlre pour l'examen des idiots. Le
professeur
M. Lange, d'Odessa, insiste sur une loi de la p
congrès ses nouvelles recherches sur l'audition colorée. Enfin, le
professeur
Lloyd Morgan montre les limites de l'intelligen
ssaire de connaître pour connaître pour discuter cette question. Le
professeur
Ho rsley a montré les incertitudes qui existent
de sensation et les phénomènes de mouvement sont inséparables. Le
professeur
A. Schefer rapporte ses recherches expérimentales
parallèle, aux modi- fications pathologiques de la sensibilité. Le
professeur
W. Tschisch, de Dorpat, étudie le rapport entre
périmentales sur le rapport entre la respiration et l'attention. Le
professeur
H. Umensterberg expose quelques expé- riences s
ns des mouvements dans les émotions. Citons également le travail du
professeur
M. Preyer (d'Iéna), sur l'ori- CORRESPONDANCE.
inique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière. Leçons du
professeur
, mémoires, notes et observations des années sco
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION Du
Professeur
CHARCOT (DE l'institut) PAR PAUL RICHER GILLE
d'internat que j'ai eu l'honneur de passer dans le service de M. le
professeur
Charcot à la Salpêtrière, j'ai observé un certa
4 mai 1886, salle Andral, n° 8, à l'hôpital Tenon, service de M. le
professeur
Straus. Antécédents héréditaires. Le père du ma
1887, et occupe le lit nez 1 salle Rayer, dans le service de M. le
professeur
Charcot. , Antécédents héréditaires. - Son gran
1887, à la consultation externe de la Salpêtrière, service de M. le
professeur
Charcot. Elle demande nos soins pour divers tro
re .le 2 dé- cembre ·1887à la Salpêtrière, dans le service.de I. le
professeur
,Charcot, Antécédents .héréditaires ? 'IL'lra :
ET Barye, ÉDITEURS UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. la
professeur
Panas qui m'apermis d'envisager cette hypothèse a
Aussi, étant données les conceptions dès longtemps formulées par le
professeur
Charcot sur le rôle prépondérant de l'hérédité da
ons eu l'occasion d'en observer un exemple dans le service de M. le
professeur
Charcot, à la Salpêtrière, et nous avons pensé
gonflement du cou parmi les signes de possession démoniaque. M. le
professeur
Charcots a fait connaître, à ce propos, un docu
-aniiexe, salle Saint-Antoine, lit n° 1-2, dans le service de M. le
professeur
Coruil. Notre ami M. Bouel, interne du service,
e il la clinique des maladies du sytème ner- veux, service de M. le
professeur
Charcot, salle Duchenne de Boulogne, le Il mai
orta immédiatement il l'hôpital Trousseau, dans le service de M. le
professeur
Lannelonguc, qui constata une paralysie flasque d
quelques-unes de fort inté- ressantes ; de plus, notre mâître,M.le
professeur
Charcot, a bien voulu 60 ' NOUVELLE ICONOGRAPHI
lement, le tracé 1. Les tracés ont été pris au laboratoire de M. le
professeur
Charcot avec le concours de M. Il net, interne
- (de l'Institut). 1. Depuis que cette leçon a été publiée, M. le
professeur
Charcot a eu l'occasion dans une de ses confére
QUELQUES AUTRES MALA- DIES DU SYSTÈME NERVEUX). Depuis que M. le
professeur
Charcot a publié les résultats intéres- sants q
mois de novembre 1887, nos fonc- tions de chef de clinique de M. le
professeur
Charcot, nous avons trouvé dans la salle Duchen
e à ' la Salpètrière, salle Duchenne, de Boulogne, service de M. le
professeur
Charcot, le 22 septembre 1887. Antécédents hé
on- sulter à la Salpêtrière, et elle entra daus le service de M. le
professeur
Charcot au mois de septembre 1887. On remarqu
On connaît la méthode expérimentale nouvelle inaugurée par M. le
professeur
Charcot. Dans ses leçons des deux dernières année
entiels, la description aujourd'hui classique, qu'en a donnée M. le
professeur
Charcot et cette description n'est certes pas à
ans, plumassière, entre à la Salpètrière, dans le service de M. le
professeur
Charcot, le 18 juin 1889. Antécédents héréditai
ptique a crises séparées, entrée à la Salpêtrière, service de M. le
professeur
Charcot, en 1878; sortie, puis entrée de nouvea
II), nous a été gracieusement com- muniqué par M. Dastre, l'éminent
professeur
de physiologie de la Sorbonne, auquel nous adre
n étudiée par l'École de la Salpêtrière. Dr Charles LAUFENAUEH, ,
Professeur
à l'Université de Buda-Pestli. OBSERVATION DE C
ANNÉES J'ai eu l'occasion de voir, en 1882, avec mon maître, M. le
professeur
Charcot, une jeune malade atteinte de contractu
ilialade-étalit morte, il y a environ deux ans, dans le service du
professeur
Charcot, mon excellent ami Marie m'a chargé d'é
binski, chef de clinique, suivant en cela l'en- seignement de M. le
professeur
Charcot, rompant pour ainsi dire en visière ave
ES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. -253 « , 1889-1890, M. le
professeur
Charcot nous a appris que l'atrophie musculaire
, israélite, entré le 6 juin 1889 salle Prus n° 8, service de M. le
professeur
Charcot. t. Antécédents héréditaires. - Père
le voir décrit à nouveau dans une remarquable observation de M. le
professeur
Damaschino l. En 1883, A. Fabre9, professeur de
observation de M. le professeur Damaschino l. En 1883, A. Fabre9,
professeur
de clinique à l'Ecole de Marseille, qui connaît
gique qu'il croit être le premier à décrire. Le 28 juin 1889, M. le
professeur
Charcot, dans une de ses Leçons du mardi4 aétud
e 21 mai 1889, salle Prus, n° 9, à la Salpêtrière, service de M. le
professeur
Charcot. 1. Des troubles trophiques dans l'hyst
dans l'une des trois observations suivantes que notre maitre, IL le
professeur
Charcot, a bien voulu nous communiquer. Ons. II
sous la direction et dans le service de notre éminent maître, M. le
professeur
Charcot. Elles sont en cours depublicationdansl
observation à la Leçon du Mardi, 5 février, que notre maître, M. le
professeur
Charcot a consacrée, en partie, à ce cas intére
a Nutrition dans l'hystérie, entre- prises dans le service de M. le
professeur
Charcot, pendant les années 1888 et 1889, nous
malade dont nous rapportons l'observation a été présenté par M. le
professeur
Charcot dans une de ses Leçons cliniques du mois
TÉRIE DANS L'ARMÉE ALLEMANDE , Depuis les derniers travaux de M. le
professeur
Charcot, le cadre de l'hystérie s'est singulièr
o- chenschrift, n° 10, 11 mars 1889. Ce cas a été analysé par M. le
professeur
Charcot dans ses Leçons du mardi à la Salpêtriè
11. CIIAltCO'1 PU13LIÉE SOUS LA DIIIECTION DE 1)1. A. JOFFROY I
Professeur
de clinique z des maladies mentales . a là
er pourtl'étude'desipliéuomènesde la mémoire et de l'attention). --
Professeur
. 31. Sanfoéd, assisLa7nt 2. ? < «onlo ? vrlii
ature,* dès' phénomènes et des lois delà motilité et de·lavolonté ?
Professeurs
? IIAi : I : 41acDoûald,'docent; et Gilman, ins
me de'la coéducation 15l tl- (qui passionne tant les Américains).
Professeurs
: D'' Burnliaiti, instructeur, etM. Hall 0\j sb
s motrices de la peau,,etc. sj, â1ri0;. nu * ? L pliipart'dé's autres
professeurs
sont des hommes dont. la 16 - PSYCHOLOGIE. ré
es) ; 3° le musée pédagogique, annexe des cours d'été, destinés aux
professeurs
d'autres écoles, qui viennent à l'université tr
III. 2 18 HISTOIRE ET CRITIQUE. et deviennent ultérieurement des,
professeurs
spécialisés, très recherchés par les divers col
aboratoires de psychologie, suffiront à montrer quelle impulsion un
professeur
de talent peut donner à une institution', quels
t à la physiologie pathologique des masses centrales du cerveau, le
professeur
consacre sa leçon à l'exposé anatomo-clinique d
ports de l'hystérie et de la folie. Rapporteur : M. Gilbert Ballet,
professeur
agrégé de la Faculté de médecine de Paris; 2° P
nerveuse : Des névrites péri- plaériques.Rapporteur : M. P. Marie,
professeur
agrégé de la Fa- culté de médecine de Paris; 3°
e MM. les D15Droui- neau, inspecteur-général, président, Combemale,
professeur
, à la Faculté, Cortyl (Bailleur, Taguet (Arment
ancy. "Le 'jury était' composé de' MM. les Drs Drouineau, Scllmidt,
professeur
à la Faculté; Langtois'(Mare- ville), Paris (Ma
s. - Jury : Drs H. Napias, inspecteur général, président ; Joffroy,
professeur
à la Faculté de Paris ; Giraud, Briand, Cayès,
yon. --Jury : D1S H. Napias, inspecteur général, président ; Mayet,
professeur
à la Faculté de Lyon ; Pierret, profes- seur,'
E GOLGI Par les Dr' KLIPPEL et AZOULAY. Travail du laboratoire du
Professeur
JOFFROY (clinique des maladies mentales). La mé
lysie générale, à l'opinion défendue à plu- sieurs' reprises par le
professeur
Joffroy et par d'autres auteurs, à savoir que d
clinique médicale de l'Université de Liège. (Laboratoire de M. le
professeur
Francotte.) . Les paralysies par intoxication a
ncore guère étudiée. CAMUSE. XI. Épilepsie PARASYPAILITIQUE, par le
professeur
Fournier. On voit parfois se produire au cours
A l'étude DES actes purement automatiques CHEZ les aliénés, par le
professeur
M. Bombarda. Les faits d'observation qui font l
la folie à deux. Paris. IV. Vade Piecuin du médecin-expert; par le
professeur
LaCASS.1GNG. (Storck et Masson, Paris, 1894.)
M. Ladame, privat-docent à l'université de Genève ; Gilbert Ballet,
professeur
agrégé de la Faculté de médecine de Paris, et P
agrégé de la Faculté de médecine de Paris, et P. Marie, également
professeur
agrégé à la même Faculté, se sont fait [inscrire
rand, le bureau a été constitué ainsi qu'il suit : président, M. le
professeur
P1ERRET, médecin en chef de l'asile de Bron, dé
but ! J'ai connu ce temps et, sur ce point, mon collègue et ami, le
professeur
Joffroy, ne me démentira pas ce temps où, pour
ent, dans la cellule, le noyau et les plastidules; il faut, avec le
professeur
Gauthier, épier et surprendre les actions et le
(Thèse de Bordeaux, iio 79.) Les résultats obtenus à la clinique du
professeur
Bergonié démon- BIBLIOGRAPHIE. 271 trent que
important travail de 180 pages, fait sous l'inspira- tion de M. le
professeur
Pitres et où sont passées en revue, dans une ét
ble de vic- times, a été exposée à l'Académie de médecine par M. le
professeur
Brouardel. Il est inutile de la reproduire ici.
SUR LE RÔLE du nerf facial dans la sécrétion DES larmes ; ' par le
professeur
Jendrassik. Quelques observations de M. Goldzie
à l'incu- rabilité et à la démence. Au cours de la séance, M. le
professeur
JOFPROY (de Paris) a été élu président du Congr
ous borner à reproduire les réflexions faites à son sujet par M. le
professeur
J. Renaut. M.RENAUT(deLyon).Les faits indiqué
E la folie DE Charles VI. M. Auguste BRACHET, ancien examinateur et
professeur
à l'École polytechnique, lauréat de l'Institut,
eur de M. Casimir Périer, le digne successeur de M. Carnot. M. le
professeur
Pierret, président du Congrès, dans un toast pl
ssel, du conseil général de la Seine, ont fait les honneurs à M. le
professeur
Pierret et aux Congressistes qui l'accompagnaient
Traité des maladies du système nerveux, publiée en 1885, par M. le
professeur
Grasset avec la quatrième édition qu'il vient d
sset a fait appel à son fidèle et ancien collaborateur, M. Rauzier,
professeur
agrégé à la Faculté de Montpellier, c habitué d
rès le conseil et sous la direction de notre excellent maître M. le
professeur
Joffroy, ce travail sur l'urine des paralytique
tte espèce. Ce sont évidem- ment là des leçons destinées aux futurs
professeurs
et aux fu- turs directeurs de laboratoires. Dan
l'un des expérimentateurs les plus connus en Europe. C'est M. le
professeur
Hugo Munsterberg, docteur en philo- sophie et d
Hugo Munsterberg, docteur en philo- sophie et docteur en médecine,
professeur
de psychologie expérimentale, élève de l'école
à peu près 1 la division supérieure de nos lycées. 2 M. le D' Ladd,
professeur
de philosophie à Yale University, est l'au- teu
s de laboratoire, et explique les principaux chapitres du Traité du
professeur
Ladd, de Yale University. Il initie en outre le
cience avec expé- riences à l'appui. Tous deux sont faits par M. le
professeur
Edward Bradford Titchener, docteur en philosoph
docteur en philosophie, assistant professor of psychology. Le même
professeur
fait deux autres cours pour les étudiants plus
ue aux précédents et organisé sur un plan tout à fait identique. Le
professeur
est M. Lightner Witmer, ' M. Nichols, quoique e
ho- logie expérimentale : leçons et recherches au laboratoire. Le
professeur
, pour la partie expérimentale, est M. James Me
Collège OF NEW-JERSEY. Au Collège de New-Jersey, à Princeton, M. le
professeur
Scott a fait en 1892-1893 un cours de psycholog
ignée d'après les méthodes nouvelles ; et c'est encore le traité du
professeur
Ladd qui est le livre de chevet des étu- diants
de l'université de Wurzbourg (1885) et de Leipzig (1889-91), ancien
professeur
«assistant depsychologieàCornell University (18
core sous forme de conclusions. On remarquera que la plupart de ces
professeurs
de psy- chologie expérimentale sont si jeunes q
d'Assistance publique qui a eu lieu tout récem- ment à Lyon, M. le
professeur
Pierret a soulevé une question qui lui a semblé
s des médecins alié- nistes de Lyon, dans la presse médicale, M. le
professeur
Pierret a constamment et énergiquement plaidé l
iété est devenue très nombreuse; nous sommes à Heppen- licini ; des
professeurs
de clinique et de neurologie d'Heidelberb ainsi
urologistes et aliénistes de l'Allemagne du Sud, en y admettant les
professeurs
des écoles supérieures, afin de rayonner sur la n
Cette thèse, très intéressante, faite sous l'inspiration de M. le
professeur
Pitres, est une étude à la fois clinique et psych
rs, la présence de stigmates actuels n'est pas indispensable. M. le
professeur
Debove' a insisté sur l'existence d'une polyuri
hèse de Lyon, 1894.) Ce travail de pure critique, inspiré par M. le
professeur
Pierret, a pour but de montrer, en s'appuyant s
VI. Nature et traitement du goitre exophtalmique, par A. Joffroy,
professeur
à la Faculté de médecine. (Aux bureaux du Progrès
la Faculté de médecine. (Aux bureaux du Progrès médicale.) M. le
professeur
Joffroy dans des leçons soutient la théorie déjà
ent d'un organe altéré. Dans les quatre autopsies personnelles du
professeur
Joffroy, il y a des lésions du corps thyroïde,
yroïde, et il faut remarquer ainsi que cela a déjà été faite par le
professeur
Renaut (de Lyon) qu'on trouve les lésions les p
craindre les mêmes accidents avec une évolution similaire. M. le
professeur
Joffroy passe ensuite en revue avec beaucoup de
uri- 520 VARIA. naires, pendant le courant de l'année, est dû au
professeur
Lépine de Lyon. Nous retrouvons des noms comme
en ébullition, et fut apporté couvert de brûlures, à la clinique du
professeur
Ehrmann. Il y mourut de tétanos. A l'autopsie o
es sensorielles est générale chez les Italiens. Bianchi, le célèbre
professeur
de l'Université de Naples, considère non seulemen
rtit de cette vue, profonde selon nous (que lui avait inspirée le
professeur
Morselli, directeur de l'asile), que la con- ti
cas publiés jusqu'ici, on ne connaît guère que celui de Giovanardi,
professeur
de l'Université de 'Charcot. - Leçons sur les l
n Italie une base scientifique dans les études de Golgi, le célèbre
professeur
de Pavie, sur l'histologie des centres nerveux.
parée de l'Institut royal de Florence, et sous la direction même du
professeur
Luciani, quelques recherches expérimentales sur
ANT PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES'; Par M. le Dr MICIIEL CATSARAS,
Professeur
agrégé de la Faculté d'Athénes; Médecin de l'asil
des accidents en ques- tion au refroidissement et à la fatigue. Le
professeur
Caramitsas a vivement combattu cette théorie da
e contracter cinq à quinze minutes après l'injection. » Le savant
professeur
de Nancy, Feltz, dans son re- marquable travail
lades du système nerveux. Dans sa Policlinique du 1 mai 1889, M. le
professeur
Char- cot présentait trois malades atteints à d
côté des douleurs et des symptômes d'incoordination. M. Raymond 2,
professeur
agrégé de la faculté de Paris rapporta de son v
e, les notions de ce traitement. En 1887, M. le Dr John Marshall,
professeur
à l'University Collège de Londres, y faisait allu
chirurgien, assistant de Vi'estminster hospilal et VicLor Horsley,
professeur
de pathologie à University Collège de Londres.
des observations soit inédites, soit empruntées à la clinique du
professeur
Charcot ou à ses élèves. Toutes ces observations
r et le nombre des dissidents au début de chacune des recherches du
professeur
Charcot et aussi l'évanouissement graduel des o
aux cent dix-huit observations à l'appui des descriptions du savant
professeur
allemand, on ne ren- contre aucune ambiguïté. L
ébro- spinal. On conçoit, puisqu'il s'agit d'enseignement, que le
professeur
ait à coeur de répéter les mêmes descriptions,
le Dr L. Lichtviiz (Paris 1887). Dans ce travail inspiré par M. le
professeur
Pitres, l'auteur s'est proposé l'étude des anes
anthropologie criminelle sont à l'ordre du jour en Italie, où M. le
professeur
Lombroso s'est occupé de ce sujet avec prédilec
ystérie, qui peu- vent ètre la conséquence du traumatisme, comme le
professeur
Charcot l'a démontré; il en a été publié de nom
NANT PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES'; Par M. le Dr MICHEL CATSARAS,
Professeur
agrégé de la Faculté d'Athènes, Médecin de l'asil
MYXOEDÈME OU CACHEXIE PACHYDEXMtQUE (CHARCOT); Par P. KOVALEVSKI
Professeur
de maladies mentales et nerveuses a l'inisersité
le D'' Olive * déclara que cette maladie était connue bien avant du
professeur
Lasègue, qui en avait mon- tré un cas classique
la même époque que l'étudia Ord, par le célèbre savant français le
professeur
Charcot, qui avait déjà étudié une quantité de
vit un cas de myxoedème chez une dame qui lui fut recommandée parle
professeur
Charcot. Ne partageant pas la théorie d'Ord sur
mie. A une époque antérieure, le Dr de Ranse2 publia une leçon du
professeur
Charcot dans laquelle le célèbre professeur tra
se2 publia une leçon du professeur Charcot dans laquelle le célèbre
professeur
traite la question de la thérapie du myxoedème;
oxiques inconnus de la métamorphose du sang et sous ce rapport le
professeur
Paschoutin est enclin à admettre une certaine a
mme vexatoire la troisième proposition du rapporteur. Selon eux, le
professeur
est maître de son programme et personne ne peut
MENT DE LA PERSON- NALITÉ, GUÉRIE PAR LA SUGGESTION. M. LIÉGEOIS,
professeur
de droit à Nancy, lit son rapport sur la questi
a01lt, ' Faculté de médecine DE Brunn. M. le Dr Pelmann est nommé
professeur
ordinaire de psychiatrie. Faculté de médecine.
atrie. NEV-YOR6 POLICL1NIC. M. le Dr Sans, de New-York, est nommé
professeur
de neurologie et de psychiatrie. Interdiction d
on mentale en SuissE.-Suivant une statistique dressée par M. PoREL,
professeur
de psychiatrie à Zurich, le nombre des aliénés
dont le plan est calqué sur celui des « Leçons du Mardi » de M. le
professeur
Charcot. L'auteur dit d'ailleurs dans sa préface
ent pour établir cette démonstration qu'a faite dès longtemps M. le
professeur
Charcot, mais pour en montrer les conséquences
int de vue clinique une non moindre valeur pour le médecin. M. le
professeur
Charcot a appelé l'attention, comme nous l'avon
faiblement par excitation, lumineuse, même par convergence 1. Le
professeur
faisait remarquer au sujet de cette- observatio
, employée, entre le loir dé- cembre 1887, dans le service de M. le
professeur
Charcot, à l'hos- pice de la Salpêtrière, et oc
le calme règne dans les esprits pacifiés. Et, comme s'exprime M. le
professeur
Charcot, « le temps, ce juge suprême, équitable
inferiori. - Archivio ital.per 1. mat. nel'v" 188 1, 55. L'auteur,
professeur
de physiologie à l'Université de Pavie, a réussi
es centres d'actions réflexes, non à des. centres moteurs, etc., le
professeur
de Florence- témoignait qu'il suffit d'être fam
tait pas arrivé du premier coup à cette dernière interprétation. Le
professeur
. Schiff en prend souvent texte pour répéter, à
ce ne sont pas des centres corticaux. » V. les savants mémoires du
professeur
Schiff, Cebeo die E"I'egbm'keit des Ruckenmarks,
ure réflexe des effets de l'excitation de la zone motrice, l'ancien
professeur
de physiologie de Florence n'a pas prouvé que l
YXOEDÈME OU CACHEXIE PACHYDERMIQUE' (Charcot); Par P. KOVALEVSKI,
Professeur
de maladies mentales et nerveuses à l'Université
ur de maladies mentales et nerveuses à l'Université de Kharcoff. Le
professeur
Virchow' émit son avis sur le myxoedème en le b
uqueux. Mais une étude minutieuse des préparations convainquit le
professeur
Virchow que cette supposition n'était pas juste,
e du mxyaedème et les phénomènes cliniques qui l'accompagnent, le
professeur
Virchow trouve une rélation pathogénique entre
écédé (2° classe). - z Arrêté du 19 novembre : M. le Dr COMBE;IALE.
professeur
agrégé à la Faculté de médecine de Lille, décla
E DE Klausenbourg. - M. le Dr K. LECHNER . de Buda-Pesth, est nommé
professeur
ordinaire de psychiatrie et de psychologie médi
ARGVE, privat- docent à la Faculté de médecine de Vienne, est nommé
professeur
extraordinaire de neuropathologie et de psychia
NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hospice de la S1L.I ? fItIItC. M. le
professeur
CHARCOT A PROPOS D'UN CAS D'HYSTÉRIE MASCULINE
e mule dans le seul service de clinique générale dirigé par M. le
professeur
Pitres % dans l'espace de deux ans. - Je ne par
, août 1890). . 13ltut. - L'hystÙie mule dans le service de .ll. le
professeur
Pitres si t hôpital ,Sainl-Imlré clc Bordeaux,
vergence d'opinion essentielle entre nos confrères et nous. M. le
professeur
Mendel a montré la fréquence de l'hystérie chez
s la peine, parce qu'un des prêtres qui la possèdent est son ancien
professeur
. Aujourd'hui elle ne cesse de demander à être e
dément fouillée que celle des paralysies hystéro-trau- matiques. Le
professeur
Charcot en a décrit l'histoire en son entier, e
gnalons enfin l'absence de paralysie faciale, fait sur lequel M. le
professeur
Charcot insiste beaucoup, et qui offre dans not
s le cas de monoplégie par névrite du plexus brachial opposé par le
professeur
Charcot en guise de contraste à une monoplégie
r. La guérison complète et rapide semble être la règle. ' Pour le
professeur
Germain Sée, la chorée électrique a plus d'une
es reconnaissant pour cause une vive frayeur : « la terreur, dit le
professeur
Charcot, entraîne avec elle une véritable parés
Pour le traitement, nous avons mis en pratique les précep- tes du
professeur
Charcot : à une paralysie psychique, nous avons
se ont également échoué. Nous avons alors employé la sugges- ' Le
professeur
Charcot cite des exemples de disparition subite d
de manifestations non équivoques de la névrose. Plus récemment, le
professeur
Grasset publiait l'histoire d'un hystérique, qu
es d'épilepsie a été très bien faite, en Italie, par Silvestrini l,
professeur
à l'Université de Sassari. Après une revue exac
Séance du 21 octobre 1890 1. Après un discours du président, M. le
professeur
KOJEVNIIIOF, sur la tâche delà. Société et l'hi
dans lesquels la faculté de faire quelque chose est troublée. M. le
professeur
Kojewnikof, au con- traire, trouve qu'il est pl
tique électrothérapelltique, Dans la discussion qui s'ensuit, M. le
professeur
Kojewnikof fait remarquer l'intérêt de la quest
la moelle son dédoublement. A propos de cette communication, M. le
professeur
KOJEVNIKOCF a attiré l'attention de la section
e. En levant la séance, M. le D1' Motschoutkovsm a remercié M. le
professeur
Kojevnikofl pour l'hospitalilé remarquable des ne
é, sur sa demande et pour raisons de-santé à M. le docteur Pierret,
professeur
de clinique de maladies men- tales. M. le docte
édecine D'1NNSBRUCK. M. le docteur Auton, privat- docent, est nommé
professeur
extraordinaire de psychiatrie à Innsbruck. Le
és en Italie. Le ministre de l'intérieur vient de confier à MM. les
professeurs
Ces. Lombroso (de Turin) et Aug. » Tamburini (d
DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION' Par M. P. TROLARD,
Professeur
d'.lI1alomic à l'Ecole de médecine d'Alger. w
tion cérébrale, une manie, et comme telle sujette à traitement. Le
professeur
Eulenburg (de Berlin) a reconnu cette semaine,
argent qui lui était nécessaire pour s'enfuir. Sur le témoignage du
professeur
Eulenburg, l'officier voulait ren- trer en poss
on de voir de M. Charpentier. 240 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. CADÉAC,
professeur
à l'Ecole Vétérinaire, communique des planches
. Présidence DE M. W. SaiVna. M. SANDER prononce l'éloge funèbre du
professeur
Westphal, La Société s'occupe ensuite de sa par
se terminer par la nomination de M. Dutil, ancien interne de M. le
professeur
Charcot. Il entrera en fonctions le leur novem-
le nouveau règlement, il est nommé pour un an avec faculté pour le
professeur
de le proroger, deux fois d'une année. DISTIN
gion d'honneur, nous relevons les noms suivants : officiers : M. le
professeur
Ch. BOUCHARD, Dr Terrier, chirurgien de l'hôpit
Bichat ; - chevaliers : MM. JOFFROY, méde- cin de la Salpêtrière ;
professeur
Ch. RICHET; CUFFER, médecin de l'hôpital Tenon;
e : Dr Eisler : sur le plexus lombo-sacré. Section de physiologie :
professeur
Grutzner : excitabilité desnerfs moteurs; profe
physiologie : professeur Grutzner : excitabilité desnerfs moteurs;
professeur
Ewald : fonctions du labyrinthe; le chien sans
du labyrinthe; le chien sans moelle, d'après des recherches avec le
professeur
Goltz. Section de pathologie générale et d'anat
w : dégénéra- tion secondaire dans la couche optique chez l'homme ;
professeur
Flechsig : anatomie pathologique du tabes dorsa
pie-mère chez un épileptique. Section des maladies des oreilles :
professeur
Zanfal : exploration du cerveau dans la pachymé
OCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ'; DE la clinique DE H. LE
professeur
CHARCOT) PAR Georges Guignon, Chef de clini
iques. La notion du pseudo-tabes diabétique date du jour où M. le
professeur
13ouchard' signala l'absence fré- quente des ré
e, que les douleurs fulgurantes mentionnées par notre maître, M. le
professeur
Charcot, et par MM. Raymond et Oulmoutb, était
s plus loin. Voici quelques exemples que nous devons encore à M. le
professeur
Charcot 2 : - TABLEAU XV 320 CLINIQUE NERVE
e.) CLINIQUE NERVEUSE IIEMIATROPHIE FACIALE PROGRESSIVE; Par le
professeur
N. POPOFF (de Varsovie). Il y a soixante-dix an
ne précision suffisante. Une de ces observations appartient à M. le
professeur
Miercvzejewski. Il s'y agit d'une petite fille
va lire est en quelque sorte le résumé d'une leçon faite par M. le
professeur
Charcot à la clinique de la Salpêtrière le 14 m
re brachiale totale. 361 racines; après l'opération faite par M. le
professeur
Rose, le domaine du nerf musculo-cutané conserv
L (Diethylsulfone dimelhl méthane.) Par P. YVON. En 1885, M. le
professeur
Baumann (de Fribourg) a décou- vert une série d
s antérieurs, et au bout d'un temps variable, l'animal s'endort. Le
professeur
Lépine a étudié l'action de cet agent sur la te
,bücherf. Psychiat., IX, 1 et 2.) Le titre' dit assez que le savant
professeur
de Vienne entend ran- ger sous une même étiquet
ve du nombre des guérisons dans les asiles français signalée par le
professeur
Pierret au con- grès de Lyon, M. Sollier a pous
économie autant que par humanité2. Je crois en conséquence avec le
professeur
Pierret que le retard apporté à l'isolement est
ance, le titre de membre honoraire à notre éminent directeur, M. le
professeur
Charcot. Médecins morphinomanes. - Le Mercredi
eux; Camuset, médecin-directeur de l'asile de Bonneval; Bail ( ? ),
professeur
à la Faculté de médecine; suppléant, M. Schils,
e Saint-Robert; Faucher, médecin de l'asile de la Charité; Pierret,
professeur
de clinique mentale ; sup- pléant, Dr Fabre, mé
de Clermont; Taguet, médecin de l'asile d'Armen- tières ; M. X...,
professeur
à la Faculté de médecine; suppléant, M. Cortyl,
de l'asile d'Aix;Boubila, médecin de l'asile de Marseille; mairet,
professeur
de clinique mentale à la Faculté ; suppléant, D
LLE éPINIèRE 'ETUDE CLINIQUE ET CRITIQUE Par les Drs L. DTJMÉNIL,
professeur
de clinique chirurgicate à l'École de médecine,
de qui en fait l'objet a vécu jusqu'en 1884, et a été vue par M. le
professeur
Charcot, qui a contrôlé le diagnostic rétrospec
on. Nous avons nous-même, sur les conseils de notre maître, M. le
professeur
Charcot, analysé les travaux des trois précéden
et qui résistent aux révolutions de l'âge. Deuxième partie. M. le
professeur
Charcot a vu à plu- sieurs reprises cette malad
e année il a eu le prix d'honneur; à ce moment (juillet 1880) son
professeur
remarqua que l'épaule et le bras droits étaient
ntra à l'hospice de la Salpêtrière (salle Bouvier, service de M. le
professeur
Charcot), les mouvements ne firent que s'accroî
1883, se présente en mai t8rt'a à la consultation externe de M. le
professeur
Charcot, hospice de la Salpêtrière. ' Son pèr
il de révision. Observation VIII (Inédite). Communiquée par M. le
professeur
A. Pitres (de Bordeaux). 1\1"e X..., âgée de qu
appréciables de la sensibilité, pas de parésie des membres. M. le
professeur
Pitres nous écrit, en outre, à la date du 27 oc
n asile d'aliénés. On épargne ainsi le nombre des médecins et des
professeurs
. Certes, il incombe à l'Etat de bientôt fonder de
E DU SUD-OUEST' SESSION DE BADE Séance du 16 juin 1884 .. M. le
professeur
Rns (d'HeideIberg) ouvre la séance, en sa qua-
ance, en sa qua- lité de premier curateur. Sur saproposition, M. le
professeur
Kuss- maul est choisi comme président de la pre
g-enmûnster, un télégramme de souhaits de prospérité est adressé au
professeur
Hagen d'1 ? rlannen qui fête en ce moment le so
t ci 1(i p(itho- logie de lu sensibilité tactile. Les recherches du
professeur
liumpf ont été exécutées à l'aide d'un cesthési
utées à l'aide d'un cesthésiomètre construit sur les indications du
professeur
llerin,n,, de Prague, instrument qui, sans être
qu'on y trouve des lésions du nerf optique. Discussion : M. le
professeur
SCIIULTZE, fait remarquer qu'il y a assez long-
cessus réflexe; il faut encore que le tendon puisse vibrer. M. le
professeur
SCHUL1'ZIs. Sur la myélite 'ftuma< ! « ? Les a
, les engins de gymnastique suédoise exposés à Friedrichsbad par le
professeur
Zander de Stockholm. (Archiv. f. Psych. u. 1'cr
onversation était aux mains des divers corps d'état du bâtiment, le
professeur
Muguenin de Zurich était attendu avec impatienc
e son maître, le Archives, t. IX. 9 130 BIBLIOGRAPHIE. D Campa,
professeur
d'obstétrique et de pathologie spéciale de la f
ion anatomique réside dans l'appareil de la génération, et comme ce
professeur
n'est pas de ceux qui croient que l'hystérie es
Cette section de l'histologie récente de Toldt, écrite par M. le
professeur
Kahler, présente les particularités suivantes : a
çïoerx&i, je connais; le corps); elles ont été inspirées par le
professeur
Kussmaul. Travail rempli déchiffres et de mensu
Delaliaye et Lecrosnier.) C'est la dernière oeuvre du regrettable
professeur
, originale, cons- ciencieuse et pleine d'érudit
s de clinique des maladies du ! ! )/s<entC) ! erue ! <j ? AL le
professeur
Cuvrcot a commencé les cours de clinique des ma
théâtre. Asile SA'TE-A\'\E. Clinique des maladies mentales. M. le
professeur
BALL a commencé le cours de clinique des maladies
été d'anthropologie a décerné le prix l3roca à M. le Dr Léo TESTUT,
professeur
à la Faculté de médecine de Lilie pour son livr
formé son bureau comme il suit pour l'année l8Sa : Président, M. le
professeur
Duverger; vice-présidents, 11\I. Boucliardat, T
-- . lsTllDE CLI\IQI : I : FI' CIiITI(ll : ^ Parles D L.DUIÉ\IL,
professeur
de clinique cllirurgicale à l'École de médecine
teints du Jumping. Elle dé- 1 L'observation VIII appattient à M. le
professeur
Pitres (de Bordeaux), qui nous l'a communiquée
rc du champ visuel. Autopsie 2. lIm° IL ? quarante-cinq ans, ancien
professeur
de piano. - Hé- 1 lî. Tliomsen et H. Oppenheim.
e i Névi,oputologii). An 11, fascicule 2 (décembre 1884). L'auteur,
professeur
de syphiligraphie à Saint-Pétersbourg, a recuei
rts avec les autres formes de l'aberration génésique. Le travail du
professeur
Tarnowsky est très 1 elle en observations clini
rtout de sénilité précoce furent heureusement employées par MM. les
professeurs
Richet et Verneuil pour expliquer la gravité de
us faible, et c'est tout. « On a l'âge de ses vaisseaux », a dit le
professeur
Peler; c'est vrai, mais quelque respect que nous
13AIIDIE. Le prix Fossiati vient d'être décerné à M. Luigi Lucioni,
professeur
à l'université de Florence, pour son mémoire su
RF SCIATIQUE Etude expérimentale faite dans le laboratoire de M. le
professeur
Jean 1111ERZEJEVt'SKI (de Pétersbourg). Par P
ui ne reçut droit de cité qu'en 1872, à la suite d'une opération du
professeur
Nussbaum, suivie d'un succès éclatant. Nous nou
ons de nerfs pratiquées dans un but thérapeutique. En 1860 61, le
professeur
Nussbaum ' faisait une résection de l'articulat
urs élongèrent le nerf cubital en même temps que le nerf médian. Le
professeur
Verneuil', qui modifia la méthode de l'élongati
la dé- marche. Weltrubsky1 (1882) entreprit, dans la clinique du
professeur
Lussenbauer, toute une série de tractions nerve
ELLE ÉPliNIÈRE3 ETUDE CLINIQUE ET CRITIQUE Par les D" L. DUMÉNIL,
professeur
de clinique clirurgicale a l'École de médecine,
lger. Les arriérés incombant à la ville ont à leur dispo- sition un
professeur
supplémentaire. Cette prévision existe pour les
de la rate, etc. Cn. F. XII. Raison et Folie; par Auguste Tebaldi,
professeur
de psychiatrie à l'université de Padoue. In-42
e de Droit. Après avoir entendu une allocution chaleureuse de M. le
professeur
A. Duverger, le rapport sur la si- tuation mora
es pour faire comprendre FAITS DIVERS 449 clairement la pensée du
professeur
. 3° Les préparatifs de l'opéra- tion seront dan
ce des auditeurs. 4° Les vivi- sections ne seront faites que parles
professeurs
ou Privât docents ou sous leur responsabilité.
Oudart, inspecteur général des établissements d'aliénés; Lefebvre,
professeur
à l'Université de Louvain; Heger, professeur à
s d'aliénés; Lefebvre, professeur à l'Université de Louvain; Heger,
professeur
à l'Université de Bruxelles; R. Boddaert, profe
ouvain; Heger, professeur à l'Université de Bruxelles; R. Boddaert,
professeur
à l'Université de Gand; Semai, médecin-directeu
C Il A n C 0 T. PUBLIÉE SOUS I.A DIIIEC'IION DE MM. A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales à la Facu
de médecine Médecin de l'Agile clinique (Sle-Annc) F. RAYMOND
Professeur
de clinique Jcs m;nl,nJics du svstemc nerveux
ES DES CORDONS POSTÉRIEURS ; , . 1 . , ' l'AR ¡ . A. JOFFROY,
Professeur
de clinique des maladies mentales. ET T Et.
érieur. Observation. Asile clinique (Sainte-Anne). , , Service du
professeur
JOFFROY. Le nommé A..., Alpbonse', garçon tripi
elle ÉPINIÈRE avec polynévrite dans un cas DE diabète sucré; par le
professeur
E. Bonardi. (Il Morgagni, n°8, 1807.) Observa
31TOTROPHIQUE A DÉBUT BULBAIRE CHEZ UNE FILLETTE DE DIX ANS; par le
professeur
E. BO : ÜItOI, (Il Morgagni, n° 10, 1897.) Il
rveau. CONTRIBUTION A l'étude DES localisations cérébrales ; par le
professeur
LUIGI L.MARCHII. (Il Morgagni, n° 12, 1897.)
en, a toujours été considérée comme échappant à tout traitement. Le
professeur
Betcherew publie un cas, le premier de ce genre
bons résultats à MM. Frenkei, Leyden, Hirschberg, Targowla à M. le
professeur
Raymond, etc. Sur4S cas connus, dans lesquels e
Fr. 62 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XIII. Polyclinique HYPNOTIQUE du
professeur
FonEL, A ZURICn; par le Dol' Bauer. (Zeitschrif
rapportée en détail par l'auteur a déjà fait l'objet d'une note du
professeur
Debove, à la Société médicale des hôpi- taux, e
omène trophique ou vaso-moteur reste encore ouverte. Discussion. Le
professeur
Kojewnikow n'admet pas qu'il s'agisse chez la m
Paralysie géné7·ale (Etiologie, Pathogénie, Traitement); par MM. le
professeur
MAIRET (de Montpellier), correspondant de l'Aca
n France par notre excellent maître et ami le Dr Régis, et par le
professeur
Fournier. Quelle cause eut jamais de meilleurs
psychiatrie, électricité médicale et hypnologie de Bruxelles, M. le
professeur
Doumer (de Lille) a présenté un très intéressan
nts de haute fréquence provenant de l'appareil ima- giné par 11. le
professeur
d'Arsonval sur les neurasthéniques artliri. tiq
urvenu aucun progrès pendant un espace de temps assez long. M. le
professeur
Doumer (de Lille) a montré par plusieurs obser-
e. Pour terminer, nous citerons un remarquable travail de 111. le
professeur
Bergonié (Arch. d'électr. méd. oct., 1897) sur le
n primitive se trouve dans un trouble du métabolisme du corps. Le
professeur
Ilamilton (d'Aberdeen) insiste sur l'étude de la
UE DE THÉRAPEUTIQUE. XX. Pathogénie ET traitement du tabès ; par le
professeur
de ]iE,471. (La Nuova Rivesta clinico-thempellt
if DE L1 névralgie du trijumeau (tic douloureux de la face); par le
professeur
Bergonié, de Bor- deaux. (Presse médicale, 5 ja
ue de la province. Ce sont : VARIA. 151 1 MM. Gilbert Ballet,
professeur
agrégé de la Faculté de Paris, médecin de l'hôp
in-directeur de l'asile de Saint-Yon (Seine-Inférieure); Jof- froy,
professeur
à la Faculté de Paris, médecin à l'asile Sainte-
de l'Académie de médecine, médecin à l'asile Sainte-Anne ; Mairet,
professeur
à la Faculté de Montpellier, médecin en chef de
decine, Parant, médecin de la maison de Santé de Toulouse; Pierrot,
professeur
à la Faculté de Lyon, médecin de l'asile de Bro
ésents statuts. Il peut toujours être modifié dans la même forme.
Professeur
DELOOEUF de Liège; par Foret. (Zeitsch/'i{t sur h
(Zeitsch/'i{t sur hypnotis- 111US, t. V, fasc. 1.) Nécrologie du
professeur
Delboeuf (1831-1896) et énumération de ses prin
acultés, des écoles de plein exercice, qui déjà trouvent, auprès du
professeur
de cli- nique des maladies mentales, un enseign
de chaque année judiciaire la liste des médecins experts. « M. le
professeur
Brouardel, doyen de la Faculté de médecine de P
nt leur souvenir dans cette Ecole de médecine où le directeur M. le
professeur
Legludic et ses collègues nous offrent une si c
cole de Médecine d'Angers ; vice-prési- dents : MM. le Dr Parissot,
professeur
agrégé à la Faculté de Nancy ; le Dr Brunet, ex
voyons apparaître successivement les deux remarquables cliniques du
professeur
Ma iret, de Montpellier, et la thèse de son élè
e, Franhl. lIochwart en Allemagne, et Calderon en Por- tugal. M. le
professeur
Le Dentu (1891), dans deux importantes leçons à
ois, dernières années.. < Nous arrivons enfin à la clinique du
professeur
Joffroy en mars 212 2 SOCIÉTÉS SAVANTES. 18
fixe qui absorbe toute l'attention, captive toute la pensée, M. le
professeur
Joffroy, Mosse dans son livre sur la Peur, Dent,
tes de Moscou. Le Congrès a répondu par le télégramme suivant :
Professeur
Clinique psychiatrique Université impériale. Mo
érée comme à peu près purement spinale. Un jour, une observation du
professeur
,Kojevnikov vint montrer que, chez les malades d
morbide spécial. Il faut avouer que, quand on lit la description du
professeur
de Vienne, on songe malgré soi à l'épilepsie. C
ogie nerveuse, actuellement si en progrès. « Je salue M. Joffroy,
professeur
de médecine mentale de la Faculté de Paris, MM.
Société médico-psychologique, à la ville d'Angers, à nos hôtes, aux
professeurs
de l'Ecole de mé- decine. Je mets dans ce toast
observation est absolument identique à celle déjà publiée par le
professeur
Grasset. . Des centres corticaux des viscères.
de trente-trois ans, blanchisseuse, admise dans le service de M. le
professeur
Debove pour des acci- dents alcooliques, et che
OGIE MENTALE. 1. TROUBLES psychiques I'oST-oIL`R.1TOIRES; par M. le
professeur
Joffroy. (Presse médicale, 19 mars 1898. Les
Les observations de trois malades de son service ont fourni à M. le
professeur
Joffroy l'occasion d'étudier dans une de ses leço
PRÉCÈDENT DE LONGTEMPS LA MANIFESTATION DE LA MALADIE ', par M. le
professeur
Thomsen (de Bonn). (Journal de Neurologie et d'
réflexes rotuliens sont exagé- rés. Impuissance génitale. III. -
Professeur
, âgé de cinquante ans. A partir de 1879, dou- l
colorées par la tionine, des microcoques en petite quantité, que le
professeur
Nikiforoff a reconnus pour ceux de l'actynomyco
iforoff a reconnus pour ceux de l'actynomycose. Discussion. - M. le
professeur
Goaewrrlrow montre l'intérêt de l'observation d
énistes de province. Sont nommés par acclamation : 111111. Pierret,
professeur
de clinique des maladies mentales à la Faculté de
ychoses de la puberté. Rapporteur pour l'Allemagne : M. Th. Ziehen,
professeur
à l'Université d'Iéna. Rapporteur pour l'Italie
au point de vue zzédico-léral. - Rapporteur pour l'Autriche : M. le
professeur
deKrafft-Ebing,de Vienne. Rapporteur pour l'Itali
ofesseur deKrafft-Ebing,de Vienne. Rapporteur pour l'Italie : M. le
professeur
Morselli, de Gênes. Rapporteur pour la France :
LXXXVI. Troubles 'gastriques DE nature hystérique. - Clinique du
Professeur
DE RENZ) ; par le Dr ScoTT assistant. (La Nuova R
E L'ÉPILEPSIE, au POINT DE VUE CLINIQUE ET biÉDICO-Li : GAL; par le
professeur
! \OVALEYSKY. L'épilepsie se divise en épilepsi
- raient employer utilement leur temps et rendre des services. Le
professeur
GLASSTER accepte les propositions de M. Mercier
ns mentales pendant les cinq années que durent leurs études. Si les
professeurs
enseignaient la psychiatrie en se basant sur le
'de psychologie médicale. Journal publié sous la direction de M. le
professeur
Sikorsky. (Kiew, t. II, 1897.) Les Questions
onditions psychologiques du dépeçage criminel, par Niiia- Rodngues,
professeur
de médecine légale à la Faculté de Bahia (Brési
égions du suprême bonheur. » Evolution de la peine, par Makaiewicz,
professeur
à l'Université de Cracovie. Ce travail étendu e
LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA CLINIQUE ET DU LABORATOIRE DE il. LE
PROFESSEUR
RAYMOND. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NE
al de Pott ayant évolué d'un bout à l'autre, sans gibbosité : M. le
professeur
Raymond et moi, avons rapporté quatre faits de
us avons récemment observé le cas suivant dans le service de M., le
professeur
Raymond à la Salpêtrière. Il s'agit d'une femme
matologie répond à la description qu'en 20 ALQUIER esquisse M. le
professeur
Raymond à propos d'un cas de mal de Pott cer- v
emple, nous avons récemment autopsié une malade du service de M. le
professeur
Raymond, atteinte d'une paraplégie spasmo- diqu
Nous avons suivi, pendant plus d'un an, dans le service de M. le
professeur
Raymond, un jeune homme de 20 ans atteint de tube
E PRONONCÉE CHEZ UN TUBERCULEUX PAR E. BRISSAUD, et F. MOUTIER,
Professeur
à la Faculté de Médecine, Interne des Hôpitaux.
r J. TEISSIEII, de Lyon. - Cliché très obligeamment communiqué par le
professeur
Teissier). Remarquer la rectitude de cette co
la même justesse, avec la même rigueur-de logique. En 1894, M. le
professeur
Brissaud, faisant une belle découverte, a saisi
t il a soutenu l'autonomie nosographique et pathogénique. L'éminent
professeur
, dans une magistrale étude, décrit et oppose ces
e inaptitude absolue pour les sciences. C'était inutilement que les
professeurs
se dévouaient et entouraient son éduca- tion de
te de tout point à notre cas ; donc, suivant les idées de l'éminent
professeur
, nous devons avoir un infanti- lisme myxoedémat
de l'analyse chimique, qui a été faite par le Dr Alberto d'Aguiar,
professeur
à l'Ecole de médecine, et par le Dr Aarao de La
r, professeur à l'Ecole de médecine, et par le Dr Aarao de Lacerda,
professeur
à l'Académie polytechnique, parce que ces donné
table. ACROMÉGALIE PARTIELLE AVEC INFANTILISME PAR P. K. PEL,
Professeur
de médecine interne à l'Université d'Amsterdam.
VATIONS OCULISTIQUES DANS L'ART ITALIEN 123 sculpture antique et le
professeur
oculiste de Breslau, Magnus (1), s'occupa du mê
DIF ET SCOLIOSE DES ADOLESCENTS PAR E. BRISSAUD ET F. MOUTIER
Professeur
à la Faculté de médecine. Interne des hôpitaux.
05 à l'hospice de la Salpêtrière, salle Charcot, dans le service du
professeur
Raymond, pour des troubles de la marche. On est
sensibilité chez les deux frères, voici maintenant la note de M. le
professeur
Marinesco sur les lésions du nerf que j'ai enle
ation. Ces préparations ont été faites dans le laboratoire de M. le
professeur
Marinesco par M. le D' Goldstein. 16(' NOICA.
re étiquetée. Pour le moment, il nous semble que l'opinion de M. le
professeur
Marinesco. qui croit qu'un élément nerveux s'es
meurs développées dans la peau.) La littérature étrangère que M. le
professeur
Cadiot a bien voulu con- sulter à notre intenti
re, de nous avoir mis en relation, de près ou de loin, avec MM. les
professeurs
Cadiot et Petit, de l'Ecole vétérinaire d'Alfort,
18). SUR UN CAS DE « PARALYSIE DES BÉQUILLES », PAR F. SOCA,
Professeur
à la Faculté de Montevideo. R... Rodriguez, sol
TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS (Suite). PAR le
Professeur
R. WEBER. (de Genève) Il m'est possible aujou
du cervelet pour confirmer le diagnostic. Or l'examen histologique (
professeur
Askanazy) démontra que ce tubercule était en ré
SPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA CLINIQUE ET DU LABORATOIRE DU
PROFESSEUR
RAYMOND. ÉTUDE SUR LES PARAPLÉGIES PAR RÉTRACTI
Depuis, nous avons continué ces recherches dans le service de M. le
professeur
Raymond dont le riche matériel nous a été préci
t aussi dans les divisions de la Salpê- trière que Démange et M. le
professeur
Hayem ont eu l'occasion d'observer les exemples
ropathie est radioscopée et radiographiée par notre collègue, M. le
professeur
agrégé Froelich, qui constate une grande trans-
centimètres. La radiographie actuelle, due à notre collègue, M. le
professeur
agrégé Guilloz, ainsi que les réactions ci-dess
répondant bien au type de Charcot, sont surtout connues : celle du
professeur
Joffroy et celle de Lloyd. Cette seconde (1),
conde (1), sur la nature de laquelle la figure annexée à l'étude du
professeur
Brissaud (2), ne peut laisser de doute,concerne u
giquement par une sclérose systématique des cordons postérieurs. Le
professeur
Joffroy (3) a rapporté le cas d'un malade qui ava
étaient en apparence indemnes de toute altération. Notre maître, le
Professeur
Dejerine, a bien voulu examiner nos préparation
xte. x.x 24 LES APHASIES MUSICALES - PAR Joseph INGEGNIEROS
Professeur
à l'Université de Buenos-Aires. 1. -Premières o
tural, etc. Dans notre service de l'hôpital Saint-Roch (clinique du
professeur
Ramos Mejia) nous avons . pu personnellement ob
ARTHROPATHIES SÉNILES DES DOIGTS PAR P. PARISOT ET ' G. ETIENNE
Professeur
à la Faculté de Chargé de la Clinique des maladie
radioscopique et radiographique, pratiqué par notre collègue M. le
professeur
agrégé Guilloz, a montré (V. radiog.9 , PI. LVII)
on des lésions observées dans notre cas à la bienveillance de M. le
professeur
Bosc : c'est dans son laboratoire qu'ont été fa
malade ; aussi a-t-il été porté dès le premier examen fait par M.le
professeur
Gras- set et a-t-il permis de supposer une alté
ION A l'académie DES beaux-arts A l'occasion de l'élection de M. le
professeur
PAUL Richer à l'Académie des Beaux-Arts, le 22
e 22 juillet z, ses élèves et ses amis, sous l'inspiration de M. le
professeur
Raphaël Blanchard, se sont réunis pour lui offrir
er son propre hommage d'affection et d'admiration à ceux dont M. le
professeur
Raphaël Blanchard s'est fait l'interprète. J
est fait l'interprète. J Henry lfIEIGE. . * L'élection de M. le
professeur
Paul Richer à l'Académie des Beaux-Arts, le 22
lirent avec empressement la proposition que je leur fis d'offrir au
Professeur
Paul Ri- cher, en cette circonstance mémorable,
rtagée de tous. La Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, dont le
professeur
Paul Richer à été l'un des fondateurs et qu'il
d'être question. R. Blanchard. Allocution prononcée par 111. le
Professeur
Raphaël Blanchard, membre de l'Académie de méde
rnent personnelle- ment el qu'elles niellent en cause le savanl, le
professeur
ou l'arli.Me. C'esl pourquoi nous avons résolu
Voilà dans quelles circonstances est née votre association avec le
professeur
Char- cot, qui devait être si féconde et si pro
l'Etat et qui orne actuellement le Muséum d'histoire naturelle. Le
professeur
de Quatrefages ne se méprenait pas sur la haute v
SUR ? 1 ? 11RESCLNCC DE LA MOELLE PAR G. MARINESCO et J. MINEA.
Professeur
à la Faculté de Médecine Professeur du Laboratoir
PAR G. MARINESCO et J. MINEA. Professeur à la Faculté de Médecine
Professeur
du Laboratoire de- de Bucarest. la Clinique des
i ont inquiété la mère. Il est reçu à la Crèche, dans le service du
professeur
(brancher. L'enfant est né de parents bien port
t village près de Valence (Espagne), entre dans le service de M. le
professeur
Grasset, à t'hô- pital suburbain lelermai 1906
R L. MARCHAND, et G. PETIT, Médecin adjoint de l'asile de Blois.
Professeur
à l'Ecole nationale vétérinaire d'Alfort. L'é
du mal comitial. L'un de nous a publié un cas semblable (1). M. le
professeur
Raymond, dans une de ses cliniques (2), mettant e
ppartenant surtout au côté droit. mu 31 TRAVAIL DE LA CLINIQUE DU
PROFESSEUR
RAYMOND A LA SALPÊTRIÈRE. ? DYSTROPHIE D'ORIGINE
ues ayant pré- senté des troubles nerveux, dans le service de M. le
professeur
Ray- mond.V ici, le plus brièvement possible, l
Incontinence des urines. , Puis, il entre dans le service de M. le
professeur
Raymond, où l'on constate ce qui suit : les mem
inuent. 14 mois après le début, elle entre dans le service de M. le
professeur
Ray- mond, avec une paraplégie complète aux pie
bligent à s'aliter. 5 mois après, il entre dans le service de M. le
professeur
Raymond pour ces douleurs, qui ont le caractère
e pus. 5 mois après le début, il fut admis dans le service de M. le
professeur
Ray- mond, on constata : z Paralysie de tous
gie complète des membres inférieurs ; elle entre dans le service du
professeur
Raymond où on constate ce qui suit : la tête es
également. 4 mois après le début, il entre dans le service de M. le
professeur
Raymond où on constate : Mal de Pott avec gibbosi
orps vertébraux. CLINIQUE MEDICALE DE LAENNEC SERVICE DE : 11. LE
PROFESSEUR
L. LANDOUZY. HÉHASYNERG1E DROITE PAR HÉ111ORRHA
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER
PROFESSEUR
DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE
CTION DE F. RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE
PROFESSEUR
DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES
. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES DES MALADIES MENTALES
PAUL RICHER GILLES DE la TOURETTE MEMBRE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE
PROFESSEUR
AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DIRECTEUR Honore DU LABORAT
opsie) PAR P. LADAME et C. von MONAKOW Priv. doc. de Neurologie
Professeur
de Neurologie à l'Université de Genève à l'Univ
PRÉDOMINANCE CERVICALE. PAR n P. E. LAUNOIS, et . R. BENSAUDE,
Professeur
agrégé à la Faculté, Chef de laboratoire Médeci
meur fut examinée au laboratoire d'Anatomie patliologique et NI. le
professeur
agrégé Paviot a bien voulu nous remettre la note
de Paris, Poirson provoqua un débat contradictoire. Et l'on vit un
professeur
émérite, - les uns attri- buent le fait à Fagon
NGÉ PENDANT SEPT MOIS PAR TUMEUR DE L'HYPOPHYSE ' PAR F. SOCA
Professeur
à la Faculté de Médecine de Montevideo. J'ai ob
e rendu de l'examen pratiqué dans les premiers jours de mai, par le
professeur
Isola : Vision centrale et périphérique perdue.
prisonnée dans un fin réticulum. De l'examen du cerveau fait par le
professeur
d'Anatomie pathologique Caf- fera, je relève :
ments. L'article du Dictionnaire des sciences médicales fait par le
professeur
Raymond date de 1884 et ne signale que la premièr
ajouter celles prises par nous, durant ces dernières années. M. le
professeur
Pitres a de nouveau eu l'occasion d'examiner lui-
'y rapportent el qui sont conser- vées dans le lahoratoire de M. le
professeur
Pitres. Nous avons ainsi relevé quelques nouvea
ois à l'hôpital Saint-André de Bor- deaux, dans le service de M. le
professeur
Pitres, le 5 juin 1884. Elle a trente-sept ans
erons, sans y insister, et selon la doctrine de notre maître, M. le
professeur
Grasset, qu'il y a place, à côté des labes sens
idérable, il se décide entrer dans le service de notre maître M. le
professeur
Grasset, où nous notons les détails suivants :
OLYNÉVRITE SYPHILITIQUE 155 Cas. I. - Personnelle (Service de M. le
professeur
Raymond, à la Salpêtrière). Résumé clinique : S
isson, de lésions rénales. La malade présentée par notre maître, le
professeur
Raymond, est typique à ce sujet et ce sont les co
ILLAIN Nous avons eu l'occasion d'observer dans le service de M. le
professeur
Raymond une malade présentant une affection con
radiale. La pression artérielle mesu- surée au sphygmomanomètre du
professeur
Potain est normale à droite et à gauche d'aille
PAR M. G. MlARINESCO, Médecin en chef de l'hôpital Pantelimon,
Professeur
à la Faculté de Médecine de Bucarest. Il s'agit
MINANCE CERVICALE. (Suite) PAR P. E. LAUNOIS, ET R. BENSAUDE,
Professeur
agrégé à la Faculté, Chef de laboratoire de la
NTANT LES 1 «ARRACHEURS DE PIERRES DE TESTE», PAR H. GAUDIER,
Professeur
agrégé à la Faculté de Médecine de Lille. Il y
us dirons quelques mots de sa genèse. Il nous fut inspiré par M. le
professeur
agrégé Pierre Marie. Notre maître ayant dans son
texte pour qu'on puisse les consulter si besoin est. Monsieur le
professeur
0. Tilmann,de Greisswald,a fait des expériences
de la pau- pière supérieure, notamment dans un cas publié par M. le
professeur
Grasset. - Schéma VI. Schéma VII. 224 REN
ent pal- liatif et expectatif. En voici une observation due à M. le
professeur
Berger. Observation 'I. X La fille R. fut ame
n de ses amis qui était précisément survenu, de le conduire chez le
professeur
Millier. Mais son ami ayant refusé il retourna se
lus fréquente que dans la forme immédiate. Dans le cas suivant du
professeur
von Krafft-Ebing, la paralysie tardive se compl
d'hémicranie. En voici le résumé : , Observation XII. Le sujet du
professeur
von KrafTt-Ebing était, le 17 mars 1890, âgé de 3
ssement de la mémoire, en même temps que la paralysie survenait. Le
professeur
Krafft-Ebing signale ensuite l'apparition de sign
CERVICALE. (Suite et fin) PAR P. E. LAUNOIS, et R. BENSAUDE,
Professeur
agrégé à la Faculté, Chef de laboratoire de la
BS. XXIII.- Observation inédite due à l'extrême obligeance de M. le
professeur
Démons de Bordeaux. Les photographies ont été pri
observer un jeune s1.Aiet, entré dans le service de notre maître le
professeur
Brissaud, pour une fièvre typhoïde, mécanicien
t d'une fille. FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX (clinique DE M. LE
professeur
Pitres) LES OS'rÉ0-ARTIIROPATIIILS VERTÉBRALES
sont toutes inédites, elles comprennent deux cas observés par M. le
professeur
Pitres, et quatre observations per- sonnelles.
entre à l'hôpital Saint-André le 17 octobre 1898, service de M. le
professeur
Pitres, pour troubles ataxiques. Son père est
pital Saint-André de Bordeaux, salle 6, lit n° 26, service de M. le
professeur
Pitres le 4 novembre 1899 pour douleurs fulgura
d'un article de ll. Marinesco). PAR Il . GILLES DE LA TOURETTE
Professeur
agrégé à la Faculté de Médecine de Paris Médeci
difications qu'il nous a paru utile d'apporter au procédé du savant
professeur
de Louvain. Nous ne lavons plus à l'eau, ayant
31;i. 3H CHAULES LADAME Nous verrons plus loin (1) que le savant
professeur
de Louvain a mo- difié son opinion à la suite d
es sont l'ex- plication d'observations semblables à celles de M. le
professeur
Marie, de Bramwell, de Bergmann, de Bechterew,
traitement suffisant. C'est d'ailleurs celui que recommandent M. le
professeur
Bergmann et aussi M. le professeur Gralf, surto
urs celui que recommandent M. le professeur Bergmann et aussi M. le
professeur
Gralf, surtout dans les cas où un projectile es
rte de substance cérébrale. Cela s'est produit dans un cas de M. le
professeur
Berger que nous avons relaté plus haut. Egaleme
t nous avons reproduit plus haut l'observation d'un cas due à M. le
professeur
Berger dans laquelle cette conduite ayant été sui
ères. C'est ce que fait penser aussi cet autre cas mentionné par le
professeur
Berger. Un magistrat ayant fait condamner un in
tre à la clinique des maladies des enfants dans le service de M. le
professeur
Baumel, le 23 février 1900. Antécédents hérédit
TABAC (1716-1720) PAR A, BEAUVOIS, C'est sur les conseils du
Professeur
Brissaud que nous avons entrepris de retracer l
terceptées par les artères de la bouche et du ne ? Louis Ferrant,
professeur
à la faculté de médecine de Bourges, publie en
tiqne, 1 (1) Traité du tabac en sternutatoire, par Louis Ferrant,
professeur
en la Faculté de médecine en l'Université de Bo
que n ous en a laissée le neveu de Cohausen, S.E.E. Cohausen ( 1),
professeur
à l'univer- sité de Trêves, dans son C01llmerci
de J. H. Cohausen. ' (2) Le livre fut traduit en allemand par un
professeur
de Leipzig en n20 ( Comme)'- cium lilterarium).
t en 1720 paraissait à Leipzig la traduction allemande faite par un
professeur
de /'Université de cette ville. Le Raptus ecs
de Budapest. J'ai eu l'occasion d'observer dans le service de M. le
professeur
Laüfe- naûer une malade atteinte de paralysie b
u laboratoire de photogra- phie du D' Londe, à la clinique de M. le
professeur
Raymond. L'examen des clichés (Pl. LXXIV et LXX
on amélioration. Observation XXXVI. Personnelle (service de M. le
professeur
Marie). (N. B. L'état intellectuel de ce malade
NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË (') PAR G. MARINESCO
Professeur
à l'Université de Bucarest. « La notion qui doi
t pour des recherches ultérieures. Il est juste' de rappeler que le
professeur
von Leyden, dès l'année 1875, dans son li- vre
symptomatologie des myélites. Toutefois les re- cherches du savant
professeur
de Berlin ont été faites à une époque où la thé
testables sur la myélite aiguë, je dois citer en première ligne, le
professeur
Babès. Dans les derniers temps, les observation
ial par Buzzard et Russel. C'est ici l'endroit de rappeler que le
professeur
Schultze, de Bonn, a FiG. 7-8. Cellule nerveuse
ont inscrits depuis le commencement pour défendre son autonomie, le
professeur
von Leyden occupe une des premières places- C'e
plus dé- monstratifs à cet égard'a été communiqué en mon nom par le
professeur
Leyden à la Société de médecine interne de Berl
été reprise par Babès, Hoche, etc. ; il est juste d'ajouter' que le
professeur
Babès, depuis longtemps déjà, avait fait interv
IBUTION A L'ÉTUDE DE L'ÉCRITURE EN MIROIR PAR M. GILBERT BALLET
Professeur
agrégé à la Faculté de Médecine, Médecin de l'H
nous pourrons joindre prochainement, grâce à l'obligeance de M. le
professeur
Herzen, un chien qui a été opéré il y a plus d'
ns d'instruments spé- ciaux, récemment publié par M. L. 1,ENIEII.E,
professeur
à l'Ecole dentaire de Paris (Paris, publicat. d
HI&ROSB FABRICE Di'AQUAPENDENTO, fameux médecin, chirurgien, et
professeur
anatomique en la célèbre université de Padoue. Se
e par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales a la Facu
e médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies du système nerveux
coce dans l'immense majorité des cas de paralysie générale. M. le
professeur
Joffroy, dans la thèse de son élève, M. Ricu, a
édico-psychologique de la Grande- Bretagne et de l'Irlande ; par le
professeur
Monrrz Benedikt. (The Journal of Mental Science
pouvons accepter absolument cette opinion de notre éminent ami, le
professeur
Benedikt. (B.) REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 45 l
anatchikofi », près l'asile Alexeïeff. D'après les données de M. le
professeur
ROTH, Moscou possède environ 3'j0 idiots, âgés
chez une autre l'examen révéla la tuberculose des sommets. M. le
professeur
ilotii voit tout l'intérêt de la communication de
mai 1900, provoquée par la mort du vice-président de la société, le
professeur
S. Ko7-saliog». Des discours ont été prononcés,
ours ont été prononcés, consacrés à la mémoire du défunt, par M. le
professeur
Roth, A. Korniloff, Serbsky, Tokarsky, Bajenoff
accusés, à savoir, arthro- pathies, cyphose,, scoliose, etc. M. le
professeur
Roth ne croit pas que dans les 52 p. 100 de M.
truction et les théories pédagogiques de Hel'ba¡.t; par M. Mauxion,
professeur
de philosophie à la Faculté des Lettres de Poit
collective, à cause de la spécialisation qu'y peuvent présenter les
professeurs
. Son rêve serait de voir la famille s'occuper d
servations du service des épilepti- ques du Perron dirigé par M. le
professeur
agrégé Pic. Parmi les causes prédisposantes l'h
sur les avantages qu'il y aurait à confier dans beaucoup de cas aux
professeurs
aveugles l'éducation des enfants aveugles, sur
ressistes. A 9 h. 1/2, séance à l'école communale; 1 M. Dussouchet,
professeur
au Lycée Henri IV, est un pédagogue des plus di
affections où l'hystérie ne pouvait être invoquée. En outre, M. le
professeur
Jolfroy l'a signalée l'année dernière chez un m
ru en présence du cadavre d'un nègre. L'au- topsie pratiquée par le
professeur
de médecine légale donna des résultats nuls, à
Confirmant son mémoire russe de l'Obozrénié psichiatrii de 1899, le
professeur
rappelle que. dans la partie postérieure de l'éco
rapports pri- mitifs de la corde dorsale et de l'intestin ; par le
professeur
U. Rosti. (Lo Sperimenlale, t. IV, 2, 1900.)
OCIÉTÉ DE NEUROLOGIE Séance du 4 juillet 1901. -PRÉSIDENCE DE M. LE
professeur
RA YMOND. Abcès du cerveau. MM. HEITZ et BEND
hype1'plastique, décrite il y a déjà près de trente-cinq ans par le
professeur
Hayem et trop oubliée depuis, présente, outre l
travaux manuels pour imbéciles, les normaliens et les maîtres », le
professeur
agrégé Ilowix de Dusseldorf ; - de 1 heure à 1
qui s'inté- ressent aux idiots : magistrats, médecins, prêtres ,'et
professeurs
. Comité de la neuvième conférence : Directeur B
69. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DE M, LE
professeur
André Moussons. Hystérie juvénile chez une fill
endemain 18 juin, elle vient à la clinique ophtalmologique de M. le
professeur
Badal, où elle est examinée en détail par notre
ette crise qu'elle revient à la clinique ophtal- mologique de M. le
professeur
Badal. Il lui est absolument impos- sible de se
cette époque, le 21 juillet, qu'elle va à la consultation de M. le
professeur
Pitres qui lui conseille un traitement hydro et
des Enfants, où elle est admise, salle 15, dans le service de M. le
professeur
A. Moussous. , Etat actuel (16 fév. 1901.- A
es mouvements par le regard, caractère sur lequel a insisté M. le
professeur
Pitres 1. Notre attention s'est plus particuliè
decine; M. le 1)" Chénieux, directeur de l'Ecole de médecine; M. le
professeur
Bouchard ; M. le D1' Bourneville, médecin de Bi
fesseur Bouchard ; M. le D1' Bourneville, médecin de Bicêtre; M. le
professeur
Brissaud; M. le professeur Grasset; M. le profe
' Bourneville, médecin de Bicêtre; M. le professeur Brissaud; M. le
professeur
Grasset; M. le professeur Joffroy; M. Je profes
Bicêtre; M. le professeur Brissaud; M. le professeur Grasset; M. le
professeur
Joffroy; M. Je professeur Mendelssohn, de Saint-P
Brissaud; M. le professeur Grasset; M. le professeur Joffroy; M. Je
professeur
Mendelssohn, de Saint-Péters- bourg ; M. le De
- bourg ; M. le De Motet, membre de l'Académie de médecine; M. le
professeur
Pitres; M. le professeur Raymond. Vice-présiden
t, membre de l'Académie de médecine; M. le professeur Pitres; M. le
professeur
Raymond. Vice-présidents : Dl. le D'' Boubila,
le D'' Boubila, médecin de l'asile de Marseille ; M. le De Lannois,
professeur
agrégé à la Faculté de Lyon. Secrétaires : MM.
mme démontré l'identification du microbe isolé depuis par le savant
professeur
de Naples. La .question de la spécifité du déli
oliques. Ils peuvent du reste avoir des idées de suicide. ' M. le
professeur
BRISSAUD, qui présidait cette séance, résume très
la parole à son confrère et ami, M. le Dr Brissaud. Le distingué
professeur
, bien -que pris au dépourvu et Limousin lui-mêm
tis, ce sont les docteurs parisiens qui viennent à Limoges. M. le
professeur
Brissaud remercie donc ses gentils con- frères
u niveau des membres. A ce moment le trai- tement indiqué par M. le
professeur
Brissaud pour le torticolis mental est institué
irmer les SOCIÉTÉS SAVANTES. ' , 271 1 idées de son maître, M. le
professeur
Brissaud, reprises par lui dans plusieurs trava
lusieurs cas de ce qu'on appelle le torticolis mental et dont M. le
professeur
. Brissaud a donné une; J magistrale description
n torticolis qui ont été de courte durée et que, comme le dit M. le
professeur
Brissaud, il a bien pu remarquer que l'amé- SOC
un manoeuvre. En décembre 1897, il entre dans le service de M. le
professeur
Lépine, qui l'envoie à l'Asile avec le diagnost
ulaires dans la maladie de Païkinson (en collaboration avec 111. le
professeur
ag. Gilbert Ballet). Revue neurologique, octobr
des fibres de projection chez le chien (en collaboration avec M. le
professeur
a-. GILBERT Ballet). Médecine moderne, 29 mars 18
formes de confusion mentale primitive (en collaboration avec M. le
professeur
ag. GILBERT Ballet). Presse médicale, 30 novem-
hnoïdienne de cocaïne chez des tabétiques dans le service de JI. le
professeur
Landouzy.. , Traitement médico-péda[]ogi'1ue de
itaux de Lyon. Th. de Lyon, 1\)00. Ce travail, inspiré par 11. le
professeur
Pierret, a pour but l'étude de la pathogénie de
ligue de protection s'est créée à leur profit sous la présidence du
professeur
Baccelli. A Mel- bourne, à Victoria, des écoles
s qu'elles comprenaient était resté assez restreint. C'est à feu le
professeur
Koeppe que-revient le mérite d'avoir, par la fo
'adresse suivante : ' Lettre, Papiers d'Affaires. A Messieurs les
Professeurs
de l'Ecole de Droit de Paris, Monsieur Alglav
l des travaux de la cli- nique des maladies nerveuses et mentale du
professeur
13FCIiTCnEV, Saint-Pétersbourg, 1900, n° 2.)
CHAKCOT f'UIILII.( : S()US LA DIIiRC'l'ION 11F : mn. A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales a la Facu
e médecine Médecin de l'Agile clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies du système lier* eux
cas de tremblement segmentaire dans la sclérose en plaques ; par le
professeur
Grasset. (Revue Neurologique, avril.) (Voir p.
Deux cas d'ophtalmoplégie externe chez deux frères jumeaux;' par le
professeur
Homen. Il s'agit de deux cas d'ophtalmoplégie e
es contractures et la portion spinale du faisceau pyramidal; par le
professeur
Grasset. - De tous les chapitres de localisatio
ple inférieur (médul- laire), et c'est ce centre automatique que le
professeur
Grasset place dans la protubérance. En résumé
NAYROU. XV. Sur quelques variétés d'hémorragies méningées; par le
professeur
BOINET, Cet article a été analysé dans le numér
és. Le prix avec une somme de 450 francs est accordé à M. J. Boyer,
professeur
à l'Institut médico-pédagogique à Vitry. Une me
estion du traite- ment chirurgical de la folie sympathique. M. le
professeur
Joffroy, dans une leçon clinique très remar- qu
. (WEHN1ChE in G1'll1 ! dl'iss, etc.) Demoiselle de quarante ans,
professeur
de sciences dans une école supérieure de filles
lui-même s'en mêle : il cause pendant les heures de loisir avec le
professeur
en question et le retient éloigné d'elle à un t
celui qu'il avait coutume d'occuper jadis. Quelque temps après le
professeur
quitte l'école et s'en va à l'étranger. Pendant l
nt évidem- ment connus, car toutes les fois qu'il était question du
professeur
parti, elle sentait des insinuations. Le direct
s énergiques, et fût devenue une persécutée persécutrice. Pour le
professeur
de Breslau, la pluralité des cas analo- gues do
tile et dangereux. A. FEXAYROU. 111. La morphinomanie ;'par M. le
professeur
DEBovE. (Presse médicale, le, février 1899.)
e, février 1899.) De la leçon sur la morphinomanie, faite par M. le
professeur
Debove dans son cours de pathologie interne, no
zzcs, février 1899.) . , E. B. VIII. Lèpre et aliénation ; par le
professeur
Kov ALEYSKY. On a observé chez les lépreux les
r A. Iiorniloff, agrégé : Sur l'assistance des épileptiques : 20 le
professeur
Kojevnikolf : Les troubles de la circulation sous
idives sont dues à l'auto-intoxication puerpérale. Discussion. Le
professeur
Hoth, qui a vu et examiné deux malades de Déjer
bien portants. Des observations ont été faites en outre, par M. le
professeur
Kojewnikoffet )1. Savey-Vloâilevitclr. Secrétai
GIE. Séance du 0 juillet 1899. Présidence de M. A. JOFFROY. M. le
professeur
JOFFROY ouvre la séance en donnant un aperçu de
ment du traitement. (A suivre.) IV. Névroses et idées fixes; par le
professeur
F. RAYMOND et le Dr l'. Janet. 2° série, grand
Le système nerveux est un chemin de la force, répète volontiers le
professeur
Pierret. L'écorce cérébrale reçoit de l'influx
du côté gauche. Température 3'J,2 à droite, 38°,8 à gauche. il. le
professeur
Mossé a bien voulu nous communiquer celte obser-
Léon, cinquante-cinq ans, tailleur d'habits, entre à la clinique du
professeur
Grasset le 18 février 1898, salle Fouquet, n° 13.
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 1. Sur les causes de la cyclopie; parle
professeur
Francesco Leggb. (Bull. délie scienze medicltc,
ève Quinty par l'élève Vacher. Presque tous les témoins étaient des
professeurs
ou des élèves de l'école. Ils ont tous défendu
ément psychique semble aussi avoir été réduite à son minimum. M. le
professeur
Joffroy ' attribue à cet élément représenté par
s consécutivement à une intervention chirurgicale, le rôle pré- '
Professeur
Joffroy. Loc. cit. RELATION D'UN CAS DE CONFUSI
e l'hémianesthésie ? Les coupes ont été faites en présence de M. le
professeur
Pitres qui a pu vérifier l'exac- titude des sch
Très fine observation clinique sur un cas diagnostiqué tubes par un
professeur
anglais de neuro- logie. Le malade vint trouver
PATHOLOGIE ET DE PSYCHIATRIE DE MOSCOU. Séance du 9 avril 1899.
Professeur
FILATOFP. 'Encéphalite infectieuse chez deux frèr
nse que l'affection pourrait êlre d'origine post- infectieuse. Le
professeur
IioAL1'i\Ih01·F croit à la possibilité d'une méni
tômes (voir la séance du 19 février 1899) sont restés in statu quo.
Professeur
HOTH et D1' IvANOrr. Trois cas de cysticerques du
nt sur de nombreux documents personnels, empruntés à la clinique du
professeur
Raymond ou au service de M. Bourneville à l'hos
uel dommage qu'en France on ne rencontre point, avec des légions de
professeurs
et de privat-docen- ten, d'immenses laboratoire
que nous publions cette observation, recueillie à la clinique du
professeur
Bondet, avec des résultats histologiques et bac
édullaires ou névritiques. A l'heure actuelle, comme l'indiquait le
professeur
Raymond dans une de ses cliniques', l'examen du
ATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES. 375 psychomotrices verbales. M. le
professeur
Joffroy 1, dès sa première leçon d'ouverture à
d'abord des hérédi- taires, puis ont cette prédisposition que M. le
professeur
Joffroy2 nomme hallucinogène. 2° Une excitati
au collège de HYSTÉRIE DE L'ENFANCE. 393 Soissons. La vue de son
professeur
qui avait, nous dit-on, la voix brève et les ye
de la moelle épinière. Leur physiologie pathologique ; par M. le
professeur
Van GEIIUCIlTE ? (Presse médicale, 10 mai 1899.)
mmodation de la rétine. P. KERAVAL. XXIV. Le bulbe rachidien; parle
professeur
Mignault. (Union mé- dicale du Canada, n° 5, 18
de Pinel se répandirent rapidement en Allemagne : Reil (1759-1813),
professeur
de clinique interne à Berlin, demande que les a
mélancolie, ne parait guère avoir été imitée. En effet, en 1890, le
professeur
Ball, qui cite la méthode de l'alitement, en pa
2, à l'asile Alexan- dre III près de Saint-Pétersbomg8. En 1895, le
professeur
Korsakov et ses élèves Bernstein et Rybakov exp
Pétersbourg, le traitement par le lit est appliqué, en 1896, par le
professeur
BeUiterev et ses assistants Trapezni- kov et Os
énient de déterminer (W 1- constipation et de l'anorexie 1. Pour le
professeur
BecUteayyr le traitement par le lit est indiqué
avait vu cette preuve sont d'origine périphérique; notre maitre, le
professeur
Pitres, a montré qu'elles disparaissaient par l
ntraction musculaire qu'on doit surtout considérer. Notre maître le
professeur
Pitres a dit à ce propos : « La contraction d'un
THOLOGIE NERVEUSE. XLIX. Quatre observations de tremblement; par le
professeur
BOINET. Dans le premier cas, il s'agit d'un o
lte théorie, qu'admettent de nombreux auteurs, en particulier M. le
professeur
Hichet et son élève Pachon, la fré- quence et l
est à rapprocher de celle des deux jeunes filles présentées par le
professeur
Raymond à la dernière séance. M. CIIIPAULT. Bal
ectuelle s'en ressent. Un esprit disposé à obéir au commandement du
professeur
de gymnastique ie sera égale- ment à tout autre
a SALPÊTRIÈRE. - Cours de clinique des maladies du système nerveux (
Professeur
M. BAYUOND). M. Gilles de la Tou- rette, chargé
Hôtel-Dieu. Pathologie mentale et nerveuse. - M. le Dr E. Dupré,
professeur
agrégé, a commencé ses cours le vendredi 17 nov
maçon, entre le 10 juin 1800, salle Prus, dans le service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents HÉRÉDITAIRES.- Son père, t
voir dans la meilleure société. Témoin le cas communiqué par 'le
professeur
Pitres, d'une jeune fille de Bordeaux, âgée de
PATHOLOGIE NERVEUSE I. HÉIIIATROPHIE faciale PROGRESSIVE, par M. le
professeur
POPOFF. . (Revue médicale de Moscou, 1890, na 2
ofesseur POPOFF. . (Revue médicale de Moscou, 1890, na 22.) M. le
professeur
N. Popoff (de Varsovie) décrit un cas d'hémia-
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 115 berg, en 1877, sur la proposition du
professeur
Meynert, la folie primaire (p1'imoe1'e Verrùckt
alpêtrière; par M. le Dr Gilles de n TUUnE'l'TC. Pré- face de M. le
professeur
CHaRCOT. T. ICI', Hystérie normale ou itzterpar
stique. Paris, 1891, librairie Pion. « Le présent traité, dit M. le
professeur
Charcot, dans la préface qu'il a écrite pour l'
me, c'est-à-dire le groupe de ces affections parentes qui, selon le
professeur
Bouchard, relèvent d'une cause commune, la nutr
eux ; Camuset, médecin-directeur de l'asile de Bonneval; G. Ballet,
professeur
agrégea la Faculté de médecine ; suppléant, M.
e Sainl-Robert; Faucher, médecin de l'asile de la Charité; Pierrot,
professeur
de clinique mentale; suppléant, Dr Fabre, médec
Clermont; Taguet, médecin de l'asile d'Ar- mentières ; M. Castiaux,
professeur
à la Faculté de médecine, sup- pléant, M. Corty
l'asile d'Aix; Boubila, médecin de l'asile de llfarseille; Jaumes,
professeur
à la Facullé; suppléant, D'' 111auuier, médecin
n ce moment même, il y a à la Salpêtrière, dans le service de M. le
professeur
Charcot, un ménage de morphinomanes, dans leque
'il était absolument sans exem- ' Voir à ce sujet la leçon de M. le
professeur
Charcot parue dans le n" G du Mercredi Médical.
TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ 1 ; (TRAVAIL DE LA CLINIQUE DE M.' LE
PROFESSEUR
CHARCOT) PAR GEORGES GUI\0, A. SOUQUES, Che
vons pu encore, grâce à l'obligeance extrême de notre maître, M. le
professeur
Charcot, qui s'est livré à des recherches de ce
s analogues DE folie du DOUTE (Paranoïa 1'tldimentail'e),- / par le
professeur
E. Morselli. (La informa medica, 1891, n° 185.)
ives au traumatisme. - Depuis le congrès international de Berlin le
professeur
a examiné douze malades de ce genre. Onze d'entre
les altérations anatomiques de la paralysie saturnine. 1\I1. les
professeurs
KOJEVNIKOFF et KORSAKOFF. L'existence de l'exag
Dans ce travail, fait à la Salpêtrière, sous l'inspiration de M. le
professeur
Charcot, l'auteur s'est proposé d'étudier certain
naissance de l'hystérie mâle, de plus en plus approfondie par M. le
professeur
Charcot, est venue faciliter la tâche. En tous
ience d'hypnotisme. M. X... dort depuis trois jours, depuis' que le
professeur
Z... l'a endormi dans une séance d'hypnotisme q
donnait dans un café. Cette séance eut lieu au cours de laquelle le
professeur
Z... hypnotisa plusieurs con- sommateurs avec d
traditionnelles, et le patron vaincu tomba dans un sommeil dont le
professeur
lui-même n'a pu encore le tirer. Les médecins,
ion morale; de l'imitation, etc., etc.). M. Ar.FnEU l41aunY, ancien
professeur
d'histoire et de morale au Collège de France, d
E A LA SALPÊTRIÈRE LE VENDREDI 11 MARS 1892, Par M. Pierre JANET,
Professeur
agrégé de phitosophie, docteur ès lettres, élève
ycées et qui lui appartiennent : voici bien des années que tous les
professeurs
de philosophie parlent tous les ans à leurs élè
ner ma reconnaissance : il y a déjà dix ou douze ans, quand j'étais
professeur
de philosophie en province, je suis venu sans t
rs, autrefois, été considéré comme relati- ment satisfaisant par le
professeur
Potain. Nous divisons ainsi l'albuminurie en :
citations qu'elle lui a envoyée à l'occasion de sa nomination comme
professeur
à Berlin. 11 l'invite à participer au Congrès des
celle-ci ne se montre qu'à la suite d'une névrose complicatrice. Le
professeur
mentionne aussi des épisodes caractérisés par l
anie. Mais il ne s'agit point d'un système organisé ; il accuse son
professeur
, le- médecin de la pension, l'inspecteur des é
osses rétromaxil- laires du malade. Au cours de la discussion M. le
professeur
Kojew- niltoff et les Drs Korniloff et Netschae
T A M. LE PROFESSEUR CHARCOT. Le samedi 5 mars, les élèves de M. le
professeur
Charcot, réunis autour du Maître, au restaurant
(odontologie) ; - Londe (photographie). A la fin du diner, M. le
professeur
Cornil, le plus ancien des internes présents, s
terne de M. Charcot, en 1862, était mon camarade et ami M. Soulié,
professeur
de thérapeutique à la Faculté de Lyon, retenu par
pour la réalisation duquel nous buvons de grand coeur. Puis M. le
professeur
Pitres (de Bordeaux) prend la parole au nom de
tion de l'oeuvre. C'est en 1862, en effet, que Soulier, aujourd'hui
professeur
de thérapeutique à la Faculté de Lyon, a été, à
nternes. Puis cela été le tour de mon cher ami Cornil, actuellement
professeur
à la Faculté de médecine de Paris, président de
l Mueli, privat- .docent de psychiatrie et de neurologie, est nommé
professeur
extraordinaire. UNE statue A DUCHENNE (de BOU
d'une jeune fille qui se trouvait en 1890 dans le service de M. le
professeur
Charcot. Pendant des crises somnambuliques noctur
CAYPAN, médecin de l'asile d'aliénés de Rodez. M. le Dr James Ross,
professeur
adjoint de médecine à Otten's College, Manchest
inique des maladies du système nerveux de la Salpétrière. Leçons du
professeur
, mémoires, notes et observations des années sco
urcs dans les troubles men- taux, par Baker, 234. Banquet à M. le
professeur
Charcot, 411. 1. BASEDOw (maladie de), psycho
e par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales à la Facu
e médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies du système nerveux
u myxoedème par les injections de suc thyroïdien et, en 1892, M. le
professeur
Bou- chard communiqua à l'Association française
sley, qui ont suivi la publication des recherches physiologiques du
professeur
Schiff d'abord, puis du D' Eiselsberg. - 3 Bouc
s fait examiner le malade au point de vue de la voix par M. Sutter,
professeur
de chant de notre service. Voici la copie de la
PPEL. Chef de laboratoire de la Faculté de médecine. (Clinique du
professeur
Joffroy.) La question du début des dégénérescen
elle dans cette maladie; altération sur laquelle notre maitre M. le
professeur
Joffroy' et nous-même avons insisté. Mais out
Du 4 au 7 août 1896. Comité de réception. Président : D1' Lipps,
professeur
à la Fa- cullé de philosophie, Georeenstrasse,
ann. Comité international d'organisation. Présidents : Dr Stumpf,
professeur
à la Faculté de philosophie à Berlin, et membre d
' démie des sciences, Berlin W., Nùrnberâerstrasse, 14. Dr Lipps,
professeur
à l'Université de Munich, Georgenstrasse, 18 ? Se
IPsyclto-physiùlogie. S'adresser, pour les ren- seignements, à les
professeurs
Rüdinger et Graetz, D1' Cremer. a) Anatomie et
individu normal. S'adresser, pour les ren- seignements, à 11111. le
professeur
Lipps, Du Cornelius et Du Wein- mann. Buts. Mét
III. Psycho-pathologie. S'adresser, pour les renseignements, à le
professeur
DI Grashey, D1' de Schrenck-N'olzing et 11. Paris
hologie comparée. -S'adresser, pour les renseignements, à Blini. le
professeur
Dl' Ranche, D1' Ilirth et D1' Fogt. Statistique d
éIllOLO- (dE, publiées sous la direction de il. V. V. l'owosaoTrrl,
professeur
à l'Université de Iileti, avec la collaboration
ARCHIVES DE NEU CLINIQUE MENT^ ? Asile CLINIQUE (SAINTE-ANNE .
PROFESSEUR
JOFFROY. LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES ; LE
e diagnostic et la théra- peutique. ÉLECTRO- PHYSIOLOGIE. M. le
professeur
d'Arsonval a lu à la société de biologie une note
; l'appareil est décrit dans les Archives d'électricité médicale du
professeur
Bergonie, de Bordeaux. Il se compose essentiell
des peignes métalliques divers : argent, nickel, aluminium. , Le
professeur
Raymond, dans son article sur ]e ltlyoclonus (Pro
I. Sur la FOLIE morale ET ses rapports avec la criminologie; par le
professeur
BENGDIKT (de Vienne). (The Journal of mental Sc
pour lequel toute note jouée sur le piano avait le même son, et un
professeur
de musique a déclaré à l'auteur qu'il con- nais
e SUR LES questions ¥DICOP5rt()'LOGIQUES, en1 ALLEMAGNE, d'après LE
professeur
LUDIVŸG111 : YEIi, de GOTT\GE1V par A. R. URQUI
ude. et l'ob- l'internat DES asiles d'aliénés DE la SEINE. 157 le
professeur
Pierret l'a montré, moitié moins de guérisons q
entales, au lieu de rappeler des établissements de détention ? 1 Le
professeur
Rieger (de Wurzbourg) s'élève, avec juste raison,
lules des cornes antérieures de la substance grise. ' C'est M. le
professeur
Iiorsalcow3 qui démontra dans sa mo- ' Degenera
issu conjonctif dans le faisceau de Goll. Dans l'ouvrage de M. le
professeur
Kojéwnikow 1 sont cités cinq cas de paralysie a
tants sont logés dans les pavillons des malades tranquilles. 1l. le
professeur
Rieger demande (loc. cit.) que ces médecins aie
malade reçut le conseil de voyager, et à Heidelberg, il consulta le
professeur
Kussmaul qui lui conseilla des lavements d'huil
IL;" «.* \<ï £ J «^S CM AtO^- '" LE CERVEAU DU MOUFLON; par le
professeur
Benedikt (de Vienne). B6\EDIhT (de Vienne) fait
pas de doute que ce complexes symptomatique a été observé avant le
professeur
Charcot, ainsi que le démontraient par exemple
Charcot, ainsi que le démontraient par exemple les observations du
professeur
Rosenthal ( Wiener Illedic. Presse, 1879) où il y
isse- ment notable de la température locale. Ainsi dans un cas du
professeur
Charcot la différence dans la température des deu
rofonde reconnais- sance à mon éminent et très honoré maître, M. le
professeur
Raymond, pour l'intérêt qu'il a montré pour mon
it paraître l'analyse de la Note très intéressante de notre ami, le
professeur
Raymond, sans les figures', nous avons cru devo
ES localisées dans le domaine DU NERF fémoro-cutané EXTERNE; par le
professeur
BERNHARDT. (Revue neurologique, novembre 1895.)
frustes et peu actives. P. KERAVAL. GLUI. Encore une RRM.41SQUE au
PROFESSEUR
FLECBSIG. relativement A son travail sur UN nou
vision 01<, la SUR- face du cerveau; par ADAMKJEW)CZ. Réponse DU
professeur
F'LECIISIG. (Nell1'olog, Ce)'c[/6 ? XIV, 1895.)
404 SOCIÉTÉS SAVANTES. Discussion : M. BENNECICE. A la clinique du
professeur
Binswanger (Iéna), il est mort, de paralysie gé
qu'aux besoins théoriques. L'association d'infirmiers créée par le
professeur
Zimmer oblige ses membres à passer un an dans u
la provocation du penchant criminel. (Rapp. : Ber- nardino ADMENA,
professeur
de droit criminel à l'Université de Naples.)
égale du somnambulisme alcoolique (pro- posé par M 111EIIZEdEWSIiI,
professeur
à Saint-Pétersbourg. (Rapp. : Dr Xavier FnANCuT
erlin, et se fixa à Padoue comme docent de psychiatrie, puis devint
professeur
titu- laire. Son principal ouvrage est intitulé
ous avons faites en février 1896, à la Clinique de notre maître, le
professeur
Jolfroy. Nous sommes heureux de lui exprimer en
a pris cette expression, et aussi la manière dont notre maître, le
professeur
Joffroy, mettant en parallèle les lésions anato
'erraccl, 189'r. Iconographie de la Sal- pêtrière, 1895. De plus le
professeur
JoITroy a fait sur le même sujet plusieurs leço
erich d'autre part. C'est ce que nous avons vu avec notre maître le
professeur
Joffroy chez les paralytiques généraux, sauf un
ndues à tort, selon moi, par quelques auteurs. » Récemment, M. le
professeur
Grasset, dans une leçon très intéressante, a di
SÉRIEUX. BIBLIOGRAPHIE. XII. Leçons de clinique médicale; par le
professeur
J. Grasset, de Montpellier. (Paris, Masson, édi
. (Paris, Masson, édit.; Montpellier, C. Coulet, édit., 1896.) Le
professeur
Grasset a eu l'heureuse inspiration de publier le
e neurasthénie,- Au sujet de cinq intéressantes observations, M. le
professeur
Grasset expose en une succession de leçons le t
èvre typhoïde anormale. Délire transitoire dans la pneumonie . - Le
professeur
insiste sur le délire qui survient parfois dans
omotrices, par A. Voisin et Charpentier, 80. unilatérales, par le
professeur
Joffroy, leçon recueillie par Tou- louse, 07.
ONDÉE par J. M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX
ESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER
FROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILIT
YPHILITIQUES PAR PAUL RICHER MEMBRE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE
PROFESSEUR
d'ANATOMIE A L'ÉCOLE DES BEAUX-ARTS GILLES DE
SSEUR d'ANATOMIE A L'ÉCOLE DES BEAUX-ARTS GILLES DE la TOURETTE
PROFESSEUR
AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE ' MÉDECIN DES
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE MÉDICALE .DE GENÈVE (
Professeur
L. Bard). L'ACROCYANOSE CHRONIQUE HYPERTROPHIAN
Pendant un séjour de quelques semaines fait à la clinique de M. le
professeur
Bard, j'ai pu suivre un cas qui nous a paru, de t
) à la pleurésie. (1) J'adresse ici mes vifs remerciements à M. le
professeur
Bard pour les obligeants conseils qu'il n'a ces
se fait donc très lentement. 7. Examen ophtalwoscopique par 111. le
professeur
Haltenhof Vision : OD 1/2 » OG 1/3 Des deux
tané au point de vue de la réaction thermique suivant la méthode du
professeur
Hutinel. L'injection a été faite à midi. La tem
a fréquence clinique ont été bien mises en lumière récemment par le
professeur
Poncet ? Ces deux éléments incitent donc à pens
IQUE MÉDICALE DE L'IFOPITAL SAINT-ÉLOI, DE VIONTPELLlER (Service du
professeur
Grasset.) UN CAS D'HLMfATROPHI FACIALE PROGRESS
malade se présenta à l'Hôpital Général, à la consultation* de M. le
professeur
agrégé Rauzier, qui prescrivit un traitement él
actilité électrique dont l'examen a été obligeamment Jait par M. le
professeur
Imbert, est normale. Pour le squelette, la palp
qu'il résulte d'un examen laryngoscopique du à l'amabilité de M. le
professeur
Ilédon qui a bien voulu examiner également le l
INIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE (
Professeur
RAYMOND) THOPHOEDÈME CHRONIQUE, ACQUIS ET PROGR
t entrée le 12 juin 1902 à la Salpêtrière, dans le service de M. le
professeur
Raymond, adressée a l'un de nous par MM. Peyrot
uu). 17e année N° 2 Mars-Avril HOTEL-DIEU LABORATOIRE DE Dl. LE
PROFESSEUR
BRISSAUD. SYRINGOMYÉLIE ; ARTHROPATHIE DE L'É
IRE ET THERMO-ANALGÉSIE DU TYPE TRANSVERSAL PAR R E. BRISSAUD
Professeur
à la Faculté et BRUANDET Interne des Hôpita
ÉGÉNÉRATIONS SECONDAIRES. PAR PIERRE MARIE et GEORGES GUILLAJN.
Professeur
agrégé, Médecin de Bicêtre Chef de clinique à l'h
certaines malformations. Observation (due à l'obligeance de M. le
professeur
agrégé Haushalter). Résumé. - Garçon de 11 ans,
EZ UN TABÉTIQUE. HÉRÉDO-SYPHILIS ET TABES, PAR a J. SABRAZÈS,
Professeur
agrégé, médecin des hôpitaux de Bordeaux. Le rô
u que des indispositions sans gravité. 1 A 10 ans, en 1896, M. le
professeur
Kirmisson pratique une opération destinée à fac
UIN UN CAS D'E111;NCIPtIlLll : AVEC AMYÉLIE PAn Il E BRISSAUD
Professeur
à la Faculté de médecine de Paris. ET BRUAN
C PACHYMÉNINGITE NÉOPLASIQUE PAR MM. P. SPILLMANN et L. HOCHE
Professeur
de clinique médicale Chef des travaux d'anatomie
rachi- (1) Travail du laboratoire d'anatomie pathologique de M. le
professeur
Baraban. 146 SPILLMANN ET MOCHE dien, on rema
NIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE BUDAPEST (SERVICE lJE.11, LE
PROFESSEUR
bl0RAC31K). GIGANTISME PRÉCOCE AVEC DÉVELOP
notre malade à la discipline psycho-motrice, préconi- sée par M. le
professeur
Brissaud et perfectionnée depuis par MM. Henry
e fille de 18 ans fut amenée par sa mère à la consultation de M. le
professeur
Brissaud, à l'Hôtel-Dieu, le 27 octobre 1902. De
s de la largeur totale. FACULTÉ DE MEDECINE DEjLYON CLINIQUE DU
PROFESSEUR
JABOULAY ARTHROPATHIE NERVEUSE TRAITÉE PAR LA R
T Paul CAVAILLON, Interne des hôpitaux, Tout dernièrement M. le
professeur
Jaboulay, dans un cas d'arthropathie nerveuse d
âgé de 34 ans, demeurant à Valence, entre dans le service de M. le
professeur
Jaboulay, le 4 janvier 1903, pour une affection d
la grandeur d'un pois. La sécrétion devient si considérable que le
professeur
von Bramann se décide à intervenir. Sans anesth
e même légèrement. LA SYPHILIS DANS L'ART PAR R. BLANCFiARD
Professeur
à la Faculté de médecine de Paris, Président de
5 Septembre-Octobre HOTEL-DIEU TRAVAIL DU LABORATOIRE DE 111. LE
PROFESSEUR
BRISSAUD RAPPORTS DU TABES AVEC LA PARALYSIE GÉ
). (1) En terminant je tiens à exprimer ma vive gratitude à Ni. le
professeur
Brissaud, qui avec tant de bienveillance m'a ad
NIQUE Symptômes. Diagnostic. Pathogénie (1) PAR MAURICE DIDE,
Professeur
suppléant, chargé du cours de neurologie et de ps
toire de photo-radiographie de l'Ecole de médecine dirigé par M. le
professeur
Castex, l'ama- bilité duquel je tiens à rendre
18 gr. ; l'examen histologique en fut pratiqué avec l'aide de M. le
professeur
Perrin de la Touche. La majorité des vésicules
rent exempts d'infiltration élastique. Nous avons d'ailleurs, M. le
professeur
Perrin de la Touche et moi, publié récemment un
en jeu. Ceci n'a d'ailleurs rien de nouveau et depuis longtemps le
professeur
Bris- saud (1) a montré la disposition métaméri
eut faire encore une autre supposition, qui a été mentionnée par le
professeur
S. S. Korsakoff dans les examens cliniques des
orbide dont il s'agit, se trouvent dans le Manuel de Psychiatrie du
professeur
S. S. Korsakoff (1), d'après l'avis duquel le d
de la maladie. Le trouble mental, décrit il y a peu de temps par le
professeur
W.-M. Bechterew (4) sous le nom de « psychose h
apportant sa pierre à l'édifice.' Après la mort de Charcot, M. le
professeur
Raymond tint à honneur de rester fidèle aux tra
Salpêtrière. Avec ses bienveillants encou- ragements, avec ceux des
professeurs
Fournier et Joffroy, la Nouvelle Ico- nographie
E MÉDICALE. DU VERTIGE DES ATAXIQUES (Signe DE ROllBEIIG); Par le
Professeur
J. GRASSET. LEÇONS CLINIQUES RECUEILLIES ET PUB
du système nerveux. «Nous ne saurions, disent-ils 1, à l'exemple du
professeur
Grasset, ranger parmi les vertiges le signe de
à la maladie des tics : l'un est em- prunté à l'ouvrage de : lL le
professeur
Pitres, à l'obligeance duquel nous devons de po
is ans, tanneur, entre le 4 novembre à la Charité (service de M. le
professeur
Potain)1. Antécédents DE famille. La famille de
nt cette occasion pour remercier vivement mon éminent maître, M. le
professeur
Potain, pour m'avoir permis de recueillir cette
pierres, entre le 29-juin 1892, à la Salpêtrière (service de M. le
professeur
Charcot). Antécédents DE famille. Son père mo
décembre, un article du directeur des Archives de Neurologie,^, le
professeur
Charcot. Nous en empruntons la traduction il la
crois que celles-ci ont toujours été de la nature de celles que le
professeur
Russel Reynolds 2 a qualifiées du terme général
e l'ai appelé, et l'on sait aujourd'hui, après les travaux de M. le
professeur
Renaut, de Lyon', que l'oedème, lorsqu'il est p
ralgésio au toucher avec l'analgésie à la piqûre. Discussion : Le
professeur
Korsakow croit que l'auteur en em- ployant le m
vement à une altération des cellules de la substance grise. M. le
professeur
KAJEWNIKOW. - Les recherches du rapporteur offr
ines dans le sang en dehors de tout processus pathologique. M. le
professeur
Kaorsakow serait plutôt d'avis que la similitude
doivent être mises en cause. M. le Dr IDNOW se range à l'avis du
professeur
Korsakow et invoque à l'appui les travaux de l'
et notamment à l'ablation d'une ou deux arcades vertébrales. M. le
professeur
BoBOw veut bien se charger de l'opération. M. le
iété au courant de l'histoire de cette malade. Discussion : M. le
professeur
Bobarow se prononce contre une luxation et pour
complètement prouvé le diagnostic de gliomatose médullaire. M. le
professeur
KOJRVNIKOFF a à son service de la clinique un m
rophie de cette partie à la suite de l'extirpation de l'iris, M. le
professeur
KOJEVNIKOFF, porte l'atten- tion sur le rôle ph
tée à la séance du mois de février. L'opération fut faite par M. lé
professeur
A. Bobrow et consistait dans l'ablation de l'ar
arsovie la même année, que sous l'oeil du comité de construction le
professeur
de psychiatrie (vous avez bien lu ! ) Balinsky
lle, de huit médecins : un médecin direc- teur ; un vice-directeur,
professeur
de psychiatrie à l'Université, avec deux chefs
n stigmate. DU VERTIGE DES ATAXIQUES (Signe de ROMBEnG)' J Par le
Professeur
J. GRASSET. LEÇONS CLINIQUES RECUEILLIES ET PUB
archer ». Et Duchenne ajoute qu'à l'aide de ce fait, il démontra au
professeur
Trousseau la différence et l'indépendance compl
Par PAUL BLOCQ et G. MARINESCO. (Travail du Laboratoire de M. le
professeur
Charcot.) Nous avons eu récemment l'occasion de
M. Kurella raconte que, par ordonnance royale datant de 1888, les
professeurs
sont tenus de signaler aux inspecteurs scolaires,
39 sur l'instruction publique. (En Italie, pour les nominations des
professeurs
, cette façon de procéder est adoptée. Si le conco
? ). , Faculté DE médecine D'IF : NA. M. le Dr ZICIIEN est nommé
professeur
extraordinaire de psychiatrie. , Epidémie. de s
(du Japon). Au commencement du mois de mars de cette année, M. le
professeur
Charcot a présenté dans ses leçons du mardi quel-
tier, entré le ii février 1892 à la Salpêtrière (ser- vice de M. le
professeur
CHARCOT), salle Prus, lit n° 2î ? 1 Charcot. Su
hésie concomitante. Expérimentalement chez les hypnotiques, M. le
professeur
Charcot a pu réaliser des monoplégies sans trou
s, nous pensons qu'il faut encore s'en tenir à la remarque de M. le
professeur
Charcot et ne pas préjuger, quant à présent, ce
caractère de l'oedème hystérique tel qu'il a été dé- crit par M. le
professeur
Charcot 2. Généralement associé tan- ' f , '
e. RECUEIL DE FAITS UN CAS SINGULIER DE L'HYSTÉHIE MALE; Par le
professeur
N. 11. PoroFr (de Varsovie). Ce n'est pas depui
résidence de M. Christian. M. le Président annonce la mort de M. le
professeur
Ball et celle du Dr Picnox. Il donne lecture du
tés pendant longtemps à l'asile et que Griesinger lui-même était un
professeur
de pathologie interne, il en était de même pour
sych., XLIX, 3.) . P. KERAVAL. NÉCROLOGIE BENJAMIN BALL M. le
professeur
BALL est mort, le jeudi 23 février, des suites de
on enseigne- ment, contrairement à l'obligation qu'a tout auteur ou
professeur
« de tenir compte - c'est lui-même qui parle -
vir d'enseignement ! Voici la liste des principaux travaux de M. le
professeur
Ball : Leçons sur les maladies mentales, 1883;
(llict. encyc. des se. méd..) ; Argent, emploi médical, avec M. le
professeur
Ga,RCOT (ibis,) ; Maladie bronzée (Ibid.) ; Malad
ude n'a commencé d'une manière précise qu'avec les travaux de M. le
professeur
Charcot, à la Salpètrière, sur les accidents tr
etc., et avoir signalé leur persistance parfois indé- finie, M. le
professeur
Pitres conclut en ces termes : « En présence de
st possible qu'elles deviennent des- tructives. Discussion. M. le
professeur
Iioaevrrmor. croit que beaucoup de symptômes qu
artie de cet ouvrage considérable d'un savant suédois, M. Henschen,
professeur
à Upsal, déjà avantageusement connu par des tra
de l'université de Kazan, paraissant sous la direction de - DI, le.
professeur
V : M. Bechterev, l'un des représentants les plus
a Sur les altérations des nerfs optiques dans le tabes », par M. le
professeur
N. M. Popov; « Sur les centres corti- caux des
mirnov; « Sur les appareils terminaux du nerf gustatif », par M. le
professeur
K. A. Arnstein; « Sur les bases physiologiques
ques et psychologiques de l'esthétique contempo- raine », par M. le
professeur
A. J. Smirnov. Nous souhaitons le plus grand su
e médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-anuc). F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies du système nerveux
aralysie du facial supérieur et inférieur. Coingt a observé chez le
professeur
Charcot un hémiplé- gique avec paralysie du fac
cérébro-spinale épidémique. Quelques cas observés à la clinique du
professeur
C.-P. Delyannis; par M. D. Assnns (d'Athènes).
rand, Guyon, Lannelonnue; l'Académie de médecine, son président, le
professeur
Jaccoud, son secrétaire perpétuel et MM. lier-
tance publique. Nous devons encore signaler la présence de M. le
professeur
Chauveau, du professeur Lépine (de Lyon), du prof
devons encore signaler la présence de M. le professeur Chauveau, du
professeur
Lépine (de Lyon), du professeur Grasset et du p
ce de M. le professeur Chauveau, du professeur Lépine (de Lyon), du
professeur
Grasset et du professeur agrégé Rauxier, venus
auveau, du professeur Lépine (de Lyon), du professeur Grasset et du
professeur
agrégé Rauxier, venus exprès de Montpel- lier p
. M. le Dr NAVARRE, au nom de Paris, a accepté le monument. M. le
professeur
RAYMOND, qui a brillamment succédé à Charcot da
à Charcot dans son enseignement clinique à la Salpêtrièrs, et M. le
professeur
Cornil, un de ses premiers élèves et collaborat
BIBLIOGRAPHIE. I. Clinique des maladies du système nerveux ; par le
professeur
Raymond (3° série). Doin, éditeur. Le profess
nerveux ; par le professeur Raymond (3° série). Doin, éditeur. Le
professeur
Raymond fait paraître la troisième série de ses
ssite la connaissance appro- fondie. Nous ne suivrons pas le savant
professeur
dans cette étude si complète et nette, où il pa
ladie de Friedreich est une maladie essentiellement fami- liale. Le
professeur
Raymond présente d'abord un cas typique, comple
ions qu'il faut s'efforcer de faire le diagnostic ; c'est ce que le
professeur
Raymond, avec sa précision et sa netteté habitu
le est une affection héréditaire et familiale encore peu connue. Le
professeur
Raymond a pu en montrer à ses auditeurs quatre
II). A propos d'un cas d'hémisection traumatique de la moelle, le
professeur
expose magistralement, au point de vue de la phys
figures.- Prix : 14 francs. Paris, librairie F. Alcan. Raymond (le
professeur
F.). Leçons sur les maladies du système nerveux
est constatée par le concierge, alors que ce fonctionnaire, dont le
professeur
Lasègue faisait malicieusement l'âme de nos asi
. XII. Pseudo-appendicites et affections pseudo-viscérales; parle
professeur
Albert Abrams. (Occidental médical Times, juin 18
nguine chez l'homme normal. Après les expériences si concluantes du
professeur
Bou- chard, il ne nous reste rien à dire ; néan
al : LA TOXICITÉ DU SANG DANS L'ÉPILEPSIE. 187 D'autre part, le
professeur
Depaul invoque la congestion cérébrale, la lési
tout et avant tout une prédisposition cérébrale, sur laquelle M. le
professeur
Jotiroy a si souvent insisté dans ses leçons et
uvrage du Dr Wolff(de Strasbourg). Au congrès de Moscou de 1897, le
professeur
Mesehedes (K5nigsberg) en rapportant l'histoire
; ses conséquences pour l'individu, l'état et la société; par AL le
professeur
DEuovE. (Presse médicale, 16 et 19 novembre 189
ofesseur DEuovE. (Presse médicale, 16 et 19 novembre 1898.) M. le
professeur
Debove joint sa voix à celle des nombreux mé- d
En attendant, il ne faut pas négliger les moyens individuels. M. le
professeur
Debove recommande aux jeunes médecins auxquels il
s malades Il et 111). 248 SOCIÉTÉS SAVANTES. Discussion : M. le
professeur
KojEWNmow rappelle l'observation de Pelizoeus d
une jeune femme qu'il avait d'abord exa- minée dans la clinique du
professeur
Kojewnikow. Son affection a débuté vers la fin
du Dr Ascher. 111. L. Minor. Courte notice à propos delà lettre du
professeur
Pick sur les troubles de la sensibilité dans le
s le Neurol. 250 SOCIÉTÉS SAVANTES. Centralbl., 1898, n° 13, le
professeur
Pick reproche à M. Minor d'avoir à son tour oub
'on trouve à Giessen un infirmier pour trois malades et qu'outre le
professeur
de clinique, qui remplit les fonctions de direc
. Un typhique entre autres, placé dans le service de notre ami le
professeur
Arnozan, et très agile la nuit, revenait à lui
Presse Médicale il dit que « son délire ressemble à un rêve ». Le
professeur
Francotte, dans un article tout récent, s'expri
de la moelle dans deux cas de Mal de Pott ; par William G. SPILLER,
professeur
de Pathologie nerveuse à la polyclinique de P7t
</A., XXI, N. F. ;x, 1898.) Travail de patience exécuté par un
professeur
non médecin. L'esprit humain, dit l'auteur, ass
n à la connaissance des courants oscillants à haute tension; par le
professeur
E. Jendrassik. A l'expression courants de haute
e nerveux et ses relations topographiques avec les cellules; par le
professeur
H. ALIATIIY. L'idée fondamentale de ces théorie
autres articulations qui maintiennent la position du tronc. M. le
professeur
KoJEwmKow croit que l'ankylose des vertèbres pe
intellectuel. R. Cii.Ro". LXV. Polynévrite et polyomyélite ; par le
professeur
RAYMOND. (Nouv. Iconogr. delà Scclpcstoière, n°
pêché de faire son rapport sur les psychoses polynévritiques, M. le
professeur
Ballet fait, en ces termes, un remarquable expo
de très près, à la famille médicale par sa parenté étroite avec le
professeur
Bernheim qui fut souvent notre collègue et nous
anté, mon cher collègue et aussi à celle de votre savant maître, le
professeur
Pierret. Dans quelques jours, les pouvoirs du P
ire. Mesdames, Messieurs, je porte la santé du De Gilbert Ballet,
professeur
agrégé à la Faculté de médecine et médecin des hô
des Hôpitaux, si brillamment représen- tée par son Président M. le
professeur
Arnaud. Nos confrères des hôpitaux, dont la sci
ivorce, celle-ci a formé une Commission sous la présidence de M. le
professeur
S. Korsakoff. Voici le résumé du rapport de la
une grande habitude des malades, un sens clinique exercé ; mais le
professeur
russe exige encore de nous une somme de perfect
antisémitisme en France confirme pleinement les thèses de l'éminent
professeur
. Medici. VARIA. Meeting DE L1 Britisii Asso
'0-Splilale épidémi- que. Quelques cas observés à la clinique du
professeur
P. Delati- nis, par Assimis, 61. Paralysie al
et Paviot, 402. Sensibilité. Comte notice propos de la lettre du
professeur
Pick sur les troubles de la dans les myélites
PATHOLOGIE NERVEUSE DU BÉGAIEMENT HYSTÉRIQUE : GILBERT BALLET,
Professeur
agrégé à la Faculté, médecin des hôpitaux. et
gauche, qui fut rapportée à l'hystérie, dans le service de M. le
professeur
G. Sée, où il fut soigné (hémianes- thésie droi
ent peut servir de prodrome au mutisme, ainsi que l'indique M. le
professeur
Charcot^ Les troubles de la prononciation qui c
TREMBLEMENT SINGULIER DE LA TÈTE ET DES MEMBRES GAUCHES; Par le
professeur
J. GRASSET (de Montpellier) '. Recueillies et p
IE. SCLÉROSE COMBINÉE. MYÉLITE AIGUË) Par le Dr Xavten FRANCOTTE,
Professeur
à l'Université d(; Liège. III. - Deux cas de my
e femme, Thérèse R..., âgée de vingt et un ans, du service de M. le
professeur
Masius. Cette personne tombe malade le 19 févri
git d'un homme de soixante-deux ans, admis dans le service de M. le
professeur
Masius, qui en quarante- huit heures est pris d
ch. f. Psych., XLIII, 4 5.) Recherche dans le laboratoire de feu le
professeur
de GUDDEN. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P
x ou vaso moteurs . (Substance grise latérale postérieure) ; par le
professeur
.1. Cras- set, recueillies par le W G. Jtanxier
n de savantes dissertations sur les localisations médul- iairea. Le
professeur
pense qu'il n'est pas exact d'inféoder le syn-
l des établissements de bienfaisance, docteur en médecine ; 3° d'un
professeur
désigné par la faculté de médecine de la région
al. - KING'S Collège DE Londres. - M. le Dr E.-E. White est nommé
professeur
de psychologie. Un Conseil supérieur DE Médecin
notabilités scientifiques. NÉCROLOGIE.- M. le Dr Maia BETTENCOURT,
professeur
de clinique psychiatrique à la faculté de médec
e à la faculté de médecine de Bhid; M. le Dr Via- GNUS Huss, ancien
professeur
de clinique interne à la faculté de médecine de
, en nous fon- dant principalement sur des observations que M. le
professeur
Charcot a présentées et analysées dans son ense
s loin l'histoire ont fait le sujet d'une leçon clinique de M. le
professeur
Charcot'. A la suite de cette leçon, où il étai
e soit du service, de la clinique, soit de la policlinique de M. le
professeur
Charcot. ' Nous remercions ici bien sincèrement
' Nous remercions ici bien sincèrement notre éminent maître, M. le
professeur
Charcot, des conseils qu'il a bien voulu nous don
acteur, entré le 22 avril 1890, salle Prus, n° 16, service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires. - Mère viole
PATHOLOGIE NERVEUSE. COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. l'avis de M. le
professeur
Charcot lorsqu'il présenta ce malade dans une d
REMBLEMENT SINGULIER DE LA TÈTE ET DES MEMBRES GAUCHES ' ; Par le
professeur
J. GRASSET ( de lltontpellier ) . Recueillies e
tout MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT. 203 dernièrement ï11 ? 1e,
professeur
Castan a publié une leçon sur un cas de pseudo-
SÉRIEUX, Médecin-adjoint des asiles d'aliénés de la Seine. M. le
professeur
Charcot a démontré par l'étude clinique et expé
t de la partie, qui est en même temps froide, pesante et livide. Le
professeur
Charcot insiste également sur la séparation à é
la stupeur locale telle qu'elle a été décrite plus récemment par le
professeur
Verneuil. Dans ces derniers cas, à la suite d'u
à sa clinique officielle de Tokio. Il exalte les mérites de feu le
professeur
Westphal. La Société décide de contribuer à la
ogation des malades, de l'analyse du symptôme, du groupement par le
professeur
des éléments mor- 294 bibliographie. bides en
Vertige cardio-vasculaire ou vertige des artério-scléreux ; par le
professeur
Grasset ; leçons recueillies par G. RANziER. Mont
NziER. Mont- pellier, C. Coulet. - Paris, Masson, éditeurs. M. le
professeur
Grasset réunit sous ce même titre de vertige bi
ns du coeur seulement, ou la compression du bulbe, à laquelle M. le
professeur
Charcot l'attri- bue 1. A. l3aooLT. XVIII. Ap
ction des asiles est confiée à un médecin. Université DE BERLIN. Le
professeur
JOLLY (de Strasbourg) est nommé à la chaire des
et nerveuses de l'Uni- versité de Berlin, vacante depuis la mort du
professeur
Westphal. Faculté DE MÉDECINE DE BOLOGNE.- M. l
E L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION; Par M. Il. THO LARD,
Professeur
d'anatomie à l'Ecole de médecine .1'aller. Dans
juillet 1890, je viens de me procurer, sur les indications de M. le
professeur
Lannegrace, de Montpellier, une bro- chure inti
es ont porté sur deux cents malades réunis dans le service de M. le
professeur
Charcot à la Salpêtrière (Clinique, infirmerie,
de nouveau. Ce qui est nouveau, c'est l'argumen- 'tation du savant
professeur
allemand ; une argumentation se lit. P. K. LV
que les con- sultants offraient. Au cours de sa déposition, M. le
professeur
Masoin a stigmatisé, au nom du Corps médical be
l'un et l'autre dans la 3° classe. Hospice de la Salpètrière. M. le
professeur
Charcot a repris ses leçons du mardi le mardi 2
érieurement. t. Faculté de médecine DE Naples. M. le Dr L. Blanchi,
professeur
extraordinaire à la Faculté de médecine de Païe
de médecine de Païenne, est nommé, pour l'année scolaire 1890-1891,
professeur
extraordinaire de psy- chiatrie. Faculté DE m
oin et le traitement des aliénés. » FAITS DIVERS. 461 Nécrologie.
Professeur
BuoNomo, député au parlement italien et vice-pr
lature ; il avait été directeur du manicome provincial de Naples et
professeur
de psyhiatrle à l'université de cette ville.
ts d'hémiplégie d'origine cérébrale. Il résulte des observations du
professeur
du Collège de France, qu'une lésion cérébrale u
dehors des attaques des caractères spéciaux. Notre maître, M. le
professeur
Charcot, nous a en- gagé à vérifier le fait sur
enue très pénible. C'est dans cet état qu'il est venu trouver M. le
professeur
Charcot qui nous l'a confié. Etat actuel, 2t ja
cations que nous trouvions dans les importants travaux de l'éminent
professeur
de Vienne. Deux mots d'abord sur le procédé de
L'auteur rapporte l'histoire d'un malade de la clinique de M. le
professeur
Mierzejewsky, qui présenta pendant la vie le ta
n des urines, qui a été fait depuis le mars, dans le laboratoire du
professeur
Hoffmann, à l'aide du réactif de Frôhde (soluti
est-elle un symptôme important exigeant une attention sé- rieuse.
Professeur
JOLLY. De la capacité de tester des aphasiques. A
reins comme cause de psychose'), malade auparavant observée par le
professeur
Jolly (Berlii. lilin. Wochensch., 1873, 21), l'
- Le Dl Firmin LAGAMELLE. médecin en chef de l'a- sile d'aliénés et
professeur
chargé du cours clinique des maladies mentales
médicale, 1879). Il est alors venu à l'es- prit de notre maître, le
professeur
Grasset, sous la direction duquel se faisaient
echerches' à la Clinique des maladies mentales de mon maître, M. le
professeur
Mierzejewski, à Saint-Pétersbourg , l'examen gy
ière. R. de M.-C. XIII. Sur la pathogénie de l'épilepsie, lettre au
professeur
Luciani; par le prol'esseur V. Chirone. (Il Mor
; par le prol'esseur V. Chirone. (Il Morgagni, 1881, fasc.VI.) Le
professeur
Chirone affirme que l'écorce cérébrale n'est pa
re indispensable des mouvements épileptiques, ainsi que le pense le
professeur
Luciani pour lequel l'excitation de la moelle a
pour le priellubanel que se disputaient sept concurrents, MM. Azam,
professeur
à Bordeaux, Verkamf, Débâcher, Régis, iiergeron
. Azam, professeur à Bordeaux, Verkamf, Débâcher, Régis, iiergeron,
professeur
à Lille, Marcel Bnand et un autre candidat dont
s'occuper de l'ordre du jour, le Président consacre à la mémoire du
professeur
Waldenburg quelques paroles de regret. M. Westp
proprement dit; évidemment cette humeur noire est physiologique. Le
professeur
fait remarquer qu'un internement prolongé à l'a
ureau est ainsi constitué pour l'année 1881-1882. Président : M. le
professeur
Meynert ; Vice-président : Dr Gauster, Tré- sor
: D*' Fritsch et Hollaender. Membres du conseil' d'administration :
Professeur
Ilofimann; - Drs Piluger, Pohl, Wimmer. MM. P
rables depuis cette époque, et la tâche confiée à M. Huchard par le
professeur
éminent, si prématurément ravi à la science, tout
1882. 0. Doin, éditeur. Ce travail, fait sous la direction de M. le
professeur
Pitres, de Bordeaux, et basé sur des observatio
e sous-comité est ainsi constitué : M. W. Bowman, Sir J.-D. Hooker,
professeur
Huxley, M. C.-T. Newton et Sir H. Pollock. Prés
swoode, président de la Société royale ; secrétaires honoraires, le
professeur
Bonney et M. P. Edward Dove. (British. med..lou
xpériences de Flourens et de ses successeurs, les leçons de M. le
professeur
Charcot, les travaux des élèves de la Salpê- tr
ues recommdndables dans. le vertige. Tout dernièrement encore M. le
professeur
Charcot a montré' tout le parti qu'on peut tire
? L'on serait certainement mal venu de dire à ses auditeurs que le
professeur
distingué dont ils admirent chaque jour l'éloqu
ans; les notes qui nous ont été communiquées par notre maître M. le
professeur
Charcot. Plusieurs sont particulièrement intére
sur l'état des urines. Nous avons souvent entendu notre maître, le
professeur
Fabre (de Marseille), insister sur cette insomn
gendie sur des chiens soumis à un régime excessivement sucré. M. le
professeur
Panas insiste souvent sur la nécessité de révis
cation. En général, les deux yeux sont iné- galement atteints. Le
professeur
Panas ' a le mieux décrit cette forme d'amblyo-
usieurs manquent de détails et d'analyses d'u- rines suffisants. Le
professeur
Panas4 pense, avec la plupart des autours, que
eurs ouvrages français et étrangers. Depuis plusieurs années, M. le
professeur
Charcot a introduit ces recherches sur la circu
ammations du conduit auditif est aujourd'hui un fait bien connu. Le
professeur
Troltsch rappelle à ce propos la phrase digne d
as et ne parait pas connaître le mémoire, classique en France, du
professeur
Brouardel, inséré dans les Bulletins de la Sociét
rnat des hospices civils de Nancy. Les juges du concours sont trois
professeurs
désignés par la Fa- culté. Le concours terminé,
cée, peu de temps après la mort de Charcot, sous le patro- nage des
Professeurs
F. Raymond, A. Joffroy etA. Fournier, la Nouvel
a vu s'é- tendre progressivement le champ de ses publications. Le
Professeur
RAYMOND a tenu à perpétuer la tradition de la C
euse de témoigner son attachement permanent à la Clinique. Grâce au
Professeur
JOFFROY, qui a si largement contribué à l'union
t venus s'ajouter les études de pathologie mentale. De son côté, le
Professeur
Fournier a ma- gistralement opéré la fusion ent
RIEDREICH et HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE \1) PAR F. RAYMOND,
Professeur
de Clinique des Maladies du Système Nerveux. Me
on recueillie et publiée par M. CHARTIER, interne des Hôpitaux. (2)
Professeur
RAYMOND, Clinique des maladies du système nerveux
A GAUCHE. - SIX MOIS PLUS TARD, HÉMATORACHIS. - GUÉRISON. par LE
PROFESSEUR
Léon RÉVILLIOD (de Genève). t En mars 1902,
ionnée par Vulpian ('1), nous en retrouvons un exemple donné par le
professeur
Raymond (2) ; le surjet observé présentait le s
, de mettre à exécution le projet d'aller consulter à Heidelberg le
professeur
Erb, lequel se prononça, ainsi que le professeur
er à Heidelberg le professeur Erb, lequel se prononça, ainsi que le
professeur
Brauer, pour une « beginnende circumscripte Mye
ue le trauma peut être mis en cause, j'eus la faveur de recevoir du
professeur
Brauer la réponse suivante : « Dass das Trauma di
ordre. Outre les prescriptions sur lesquelles nous reviendrons, le
professeur
Erb conseilla une cure à Nauheim qui fut faite
r- rachement du sciatique (Hayem, Soc. de Biologie, 1873). Enfin le
professeur
Erb informé de cet incident, voulut bien répond
aux données de la physiologie. Rappe- lons le chien présenté par le
professeur
Prévost à la Société médicale de Genève, SCLÉRO
la ménopause. Enfin, encouragée par la lecture très suggestive du
professeur
Grasset (2) qui emploie la médication hydrargyr
2. Clinique médicale, Leçon XIV. 30 RÉVILLIOD A Heidelberg , le
professeur
Erb fit les prescriptions suivantes : 1° Couran
ion intense. Ces séances furent faites avec beaucoup de soin par le
professeur
Brauer. 2° Nitrate d'argent en pilules de 0 gr.
juin au 17 juillet, seconde cure à Nauheim. Enfin sur le conseil du
professeur
Erb, Mme X... reprendra en automne quelques dem
nt la localisation prête à discussion. Dans cet ordre d'idées M. le
professeur
Pitres a repris il y a quelques années l'étude
des difficultés dans l'interprétation des faits clini- ques. M. le
professeur
Hamy et M. Verneau, assistant à la chaire d'anthr
non calcifié. LE PUÉRILiSME DEMENTIEL SENILE PAR ERNEST DUPRÉ
Professeur
agrégé, médecin des hôpitaux. Ah ! comme les vi
Thèse Paris, 1904. (2) J'adresse ici mes plus vifs remerciements au
professeur
Brissaud, pour l'amabi- lité avec laquelle il m
S AMIS DE L'UNIVERSITÉ) LE 12 JANVIER 1905 AMBROISE PARÉ PAR LE
PROFESSEUR
DEBOVE, Doyen de la Faculté de Médecine. mb
plus ce qu'ils disaient que les enfants à qui dans les collèges les
professeurs
font répéter des harangues grecques. » lus ta
HËRËDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE (1)1 [suite et fin), PAR F.RAYMOND
Professeur
de Clinique des Maladies du Système Nerveux. Me
AL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS PAR R. WEBER- et A. PAPADAKI
Professeur
Privat-docent à l'Université de Genève. C'est
dégénérescence* allant jusqu'à la destruction totale. CLINIQUE DU
PROFESSEUR
GRAZIADEI, HOPITAL 1JAURIZIANO, TURIN. SYNDROME
ui le pré- cédèrent. Le 2 novembre, elle entre dans le service du
professeur
Dieulafoy et le 8 no- vembre 1902, salle Ste-An
Dr Vaquez. R° OSPEDALE MAUR1ZIANO UMBERTO I DI TORINO. SERVICE DU
PROFESSEUR
GRAZIADEI. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CH
rsiste ; la fièvre est augmentée. Il entre dans le service de M. le
professeur
Graziadei qui pose le diagnostic de fièvre typh
isit aucun phénomène du côté de la peau. OBS. III. M. G..., 38 ans,
professeur
à la Faculté médicale de Turin, juif. Il m'a do
tiques de l'ataxie locomotrice. Et en se rapportant à l'autorité du
professeur
Erb, on devrait même trouver des lésions dans l
crivains par le massage méthodique,et la gymnastique appropriée. Le
professeur
Hoffa a obtenu des améliorations très encourage
endant deux ou trois mois. En 1883, notre confrère de Berlin, M. le
professeur
Zabludowski, publia son premier mémoire dans le
interne, nous suivons les indications de notre estimé maître, M. le
professeur
Raymond, qui prescrit tous les deux jours ou mê
érale, mais dont t (1) Le cas de Curioni, étudié dans le service du
professeur
Brissaud, concerne un paralytique générât dont
RCHAND Médecin-adjoint de l'asile de Blois 1 G. PETIT et COQUOT
Professeurs
à l'Ecole d'Alfort. Les lésions bien observées
ée de 63 ans, entre à l'hôpital suburbain, dans le service de M. le
professeur
Grasset, le 30 décembre 1904. Elle est hémiplég
vons eu l'occasion d'étudier longtemps ensemble, dans le service du
professeur
Dejerine, une malade atteinte de cette affection,
01 salle Pinel, lit 24, dans le 248 8 DUPRÉ ET PAGNIEZ service du
professeur
Dejerine à la Salpêtrière, pour une faiblesse gén
aitement par l'isolement et la psychothérapie suivant la méthode du
professeur
Dejerine et on obtint une certaine amélioration
fait à la clini- que psychiatrique de la Charité dans le service du
professeur
Jolly, une étude critique très consciencieuse d
re malade. R° OSPEDALE MAURIZIANO UMBERTO I DI TORINO. SERVICE DU
PROFESSEUR
GRAZIADEI. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CH
aussi, car les faits clini- ques sont aussi démonstratifs. Chez le
professeur
dont nous avons relaté l'observation, quelques
etale. J'ai pu entreprendre cette étude grâce au matériel que M. le
professeur
Prenant à eu l'extrême obligeance de mettre à m
es nombreux cas décrits, chez l'un des foetus communiqués par M. le
professeur
Prenant. Ce sujet ne présentait ni engonce- men
PRIMITIVE PROGRESSIVE. z PAR le D' NOICA, Médecin-adjoint du
professeur
Marinesco de Bucarest. Le 7 octobre 1903, sont
e Bucarest. Le 7 octobre 1903, sont entrés dans le service de M. le
professeur
Ma- rinesco, deux frères atteints d'atrophie mu
de dix-huit ans, est entré le 7 octo- bre dans le service de M. le
professeur
Marinesco de l'hôpital Pantelimon. Antécédents
ené chez lui, où il est resté jusqu'à son entrée dans le service du
professeur
Marinesco. Il prétend qu'à l'hôpital il ne pouv
0 ans, paysan, est entré le 7 octobre 1903 dans le service de M. le
professeur
Marinesco, à l'hôpital Pantelimon. On a lu ses
la guérison alla vite à partir du jour où nous avons confié à notre
professeur
de gymnastique suédoise une rééducation attenti
PAIiIION SHUNDA ET ZALPLACHTA Grâce à l'extrême obligeance de M. le
professeur
Obregia, nous avons pu étudier un second cas da
allons reproduire cette observation (très résumée), en priant M. le
professeur
Obregia de recevoir nos vifs remerciements pour l
de 84 ans, interné dans l'hospice d'a- liénés Marcoutza, service du
professeur
Obregia, le 3 septembre 1898. On ne trouve rien
ous ont été suggérées par une remarque très judicieuse faite par le
professeur
Obregia qui a vu avec l'un de nous le malade de n
itique. Pro OSPEDALE l\IAURIZIANO UMBERTO I DI TORINO. SERVICE DU
PROFESSEUR
GRAZIADEI. DIFFORMITE CONGENITALE DES MEMBRES
er de jardinier. En 1901 il entra à l'Hôtel-Dieu dans le service du
professeur
Boudet où on lui lit de l'extension forcée de s
u pinceau d'un peintre alsacien, M. Martin Feuerstein, actuellement
professeur
à l'Ecole des Beaux-Arts de Munich. Il s'agit d
DU CARTILAGE DE CONJUGAISON PAR P. E. LAUNOIS et F. TRÉMOLIÈRES
Professeur
agrégé, Interne Médecin de l'hôpital Tenon. des
ire). Peut-être y a-t-il du décollement de la rétine (diagnostic du
professeur
Tartuferi). Cet enfant présenté dès sa naissance,
Elle fut exécutée à l'Hôpital majeur Sainte-Anne en Ferrara par le
professeur
Eugène Casati, que je remercie tout spécialement
se » (Traité de Chirurgie DUPLAY et RECLUS. Traduction revue par le
professeur
Novaro). En outre, Verneuil, cité par le même V
l d'ossification (1). (1) J'ai l'agréable devoir de remercier M. le
professeur
Rocme 'l'AM8RoNI,Directeilr de l'hôpital des al
il divague, a vu des rats, des souris, (1) Je tiens à remercier le
professeur
Weber dont l'obligeance n'a procuré les élé- me
s notre ancien maître de la Faculté des sciences de Besançon, M. le
professeur
Charbon- nel-Salle, les omoplates ailées ne se
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER
PROFESSEUR
DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE
CTION DE F. RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE
PROFESSEUR
DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES
. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES DES MALADIES MENTALES
PAR PAUL RICHER GILLES DE la TOURETTE DIRECTEUR DU LABORATOIRE DE
PROFESSEUR
AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE LA CLINIQUE DE
parmi les périodiques illustrés. Fondée so-us le haut patronage du
professeur
Charcot, l'Icollo- graphie a bénéficié de la gl
Salpêtrière n'a pas de représentant plus autorisé que le nouveau
professeur
de clinique des Maladies du Système NCl'Oell.1 !
son précieux concours. Enfin, cédant à nos sollicitations, M. le
professeur
Fournier qui, dans le domaine des maladies cuta
t publiée intégralement d'après le texte du manuscrit origi- nal du
professeur
J. M. Cliarcot qui nous a été obligeamment confié
IDE PAR ÉLONGATION DES DEUX NERFS CIRCONFLEXES par F. RAYMOND
Professeur
de Clinique des Maladies du Système Nerveux. 1
e ouverte, on a cru devoir incriminer le froid. Mon collègue, M. le
professeur
Panas, a fait justice de cette théorie a /1`iyoe
A. MALADIE DE LITTLE PAR A. FOURNIER et GILLES DE LA TOURETTE
Professeur
des maladies cutanées Médecin des Hôpitaux et s
rt utiles. Ons. II. En novembre 1893, M. X... vient consulter M. le
professeur
Fournier pour sa fillette qui est âgée de 11 mo
venons de rapporter et qui avaient été signalées dans l'ouvrage du
professeur
A. Fournier : Les affections parasyphilitiques,
LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE '> PAR - A. JOFFROY,
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES. L'étude des
ER LA SENSIBILITÉ DE LA PEAU A LA DOULEUR. par A. MOCZVTKOWSKI,
Professeur
des maladies du système nerveux à l'Institut clin
si du derme. (1) Ces recherches ont été faites sous la direction du
professeur
Unna, à Hambourg. (2) ! t ! onalscl'i{t f. prak
Clinique des maladies du système nerveux du système nerveux M. le
professeur
Raymond a récemment présenté à son cours un malad
minisme. En 1890, à l'hôpital de la Pitié, dans le service de M. le
professeur
Brouardel qui attirait souvent l'attention sur
son ai peu près terminée, on le fit passer dans le service de M. le
professeur
Brouardel pour y finir sa convalescence. Nouv.
HEVAL A PROPOS DE DEUX CAS DE CES AFFECTIONS . PAR F. RAYMOND
Professeur
de Clinique des Maladies du Système Nerveux. Le
démarcation d'une façon arbitraire. Voici celle qu'a proposée M. le
professeur
Charpy, de Toulouse, dans sa remarquable étude
clusivement à la sphère d'innervation de la vessie et du rectum, le
professeur
RosentUal, de Vienne, n'a pas hésité à porter l
elle comporte. LE SEIN HYSTÉRIQUE . PAR GILLES DE LA TOURETTE
Professeur
agrégé à la Faculté de Paris, médecin des hôpitau
giens français. Dans le cours de la môme année, notre maître, M. le
professeur
Verneuil, nous a montré, dans son service de l'Hô
SUS ET SOUS-JACENTES. GUÉRISON OPÉRATOIRE ET FONCTIONNELLE. M. le
professeur
Duplay a bien voulu nous autoriser à étudier et à
DE LA SALPÊTRIÈRE HÉMATOMYÉLIE DU CONE TERMINAL par F.RAYMOND
Professeur
de Clinique des Maladies du Système Nerveux. Le
ntinence des matières par moments et une eschare de décubi- tus. Le
professeur
Erb avait diagnostiqué une lésion de la queue de
PPORT DE L'ECZÉMA CHRONIQUE AVEC L'ANESTHÉSIE DE LA PEAU PAR le
Professeur
STOUKOVENKOFF (de Kieff). La peau est un organe
tho- logistes et principalement à ceux de l'illustie observateur el
professeur
, le regretté Dr-Charcot, nous savons que l'hyst
ait être posé avec une certitude parfaite, comme l'a démontré M. le
professeur
llevilliod dans sa leçon du S février 1894. Il
gstraaten, d'abord médecin à Dor- drecht, philologue érudit, devint
professeur
, puis correcteur à l'Ecole latine d'Amsterdam.
ales dénominations cle cette affection pour laquelle Jean Varandal,
professeur
à Montpellier, a proposé le premier, en 1G15, l
ué par M. le Dr Cathelineau, chef du laboratoire de chimie de M. le
professeur
Fournier à l'hôpital Saint-Louis, montra que la
l'hôpital de la Pitié, le 30 juillet 1890, dans le service deVl. le
professeur
Brouardel. ' Elle a toutes les apparences d'une
ans le récent traité de Fraiicl,[-Ilocliwai-1 (1). En 1886, M. le
professeur
Raymond (2) faisait entrer la question dans une
uis pour une ulcération qu'il porte à la cuisse gauche. Comme M. le
professeur
Fournier en récuse catégoriquement la nature sy
'atrophie mus- culaire syphilitique publiée par notre maître, M. le
professeur
Raymond en 1892 (Bulletin de la soc. med. des h
ces « impulsions morbides à la déambulation » que M. Duponchel (1),
professeur
agrégé au Val-de-Grâce, a observé lui aussi et
tait le chef du laboratoire de notre éminent maître, lors-qu'il était
professeur
d'anatomie pathologique. Nous remer-cions M. Gomb
de la clinique1 !. Je crois savoir, de source certaine, que l'un des
professeurs
éminents auxquels je faisais allusion tout à l'he
. Une petite bron-che, appartenant à la catégorie de celles que M. le
professeur
Sappey désigne sous le nom de sublobulaires, pénè
grâce à l'envoi qui m'a été fait obligeamment par mon collègue, M. le
professeur
Parrot, des pièces provenant de l'hospice des Enf
e pour la 2e édition du Dictionnaire de Médecine en 2o volumes. M. le
professeur
Grisolle n'avait pu suivre qu'une seule fois l'év
és les plus avancés de l'affection. On peut alors désigner avec M. le
professeur
Cruveilhier, sous le nom de Métamorphose fibreuse
de cet ordre de faits l'observation intéressante rap-portée par M. le
professeur
Cruveilhier dans la 32" livraison de Y Atlas d? a
tion de l'état aigu à l'état chronique : « On voit d'abord, dit M. le
professeur
Grisolle *, la maladie s'amender, en apparence du
r à Tétat chronique. On sait, en effet, par les observations de M. le
professeur
Grisolle, qu'un lent retour du poumon à l'état no
exemple, pourra produire ce ré-sultat, comme l'ont vu Requin et M. le
professeur
Grisolle. L'existence d'un état cachectique, déte
ctivité, paraît avoir aussi une certaine influence. Ainsi, suivant le
professeur
Heschl2, Vin-duration pulmonaire (pneumonie chron
our ne citer qu'un exemple, dans cette forme de la mélanose que M. le
professeur
Nafalis Guillot a fait connaître1, et qu'on ob-se
fé-rieur du poumon gauche. 2e cas. (Observation du service de M. le
professeur
Hardy, communiquée par M. Landouzy.) La durée de
if. Pneumonie caséeuse des auteurs. (Dessin fait sur nature par M. le
professeur
Charroi). A, zone centrale caséeuse. B, cellules
rculisation aiguë n'a pas été méconnu par tous les observateurs et le
professeur
Roki-tansky, en particulier, n'a pas négligé de l
qu'ici complètement inaperçue. Je puis dire, dès à présent, que M. le
professeur
Trousseau l'a quel-quefois rencontrée, et je tien
l'a quel-quefois rencontrée, et je tiens de bonne source que MM. les
professeurs
Yelpeau etNélaton ont, de leur côté, observé plu-
Fuller. — The Lancet, Jul. and oct. 1846. 5. V. Wintrich (Virchow),
Pr.
Ver. Zt., 3. 1847 ; Schm. Jahrb. Bd. 39, p. 182.
llules proprement dites que des analogies éloignées: Ainsi pensent le
professeur
Meckel et le docteur Planer. Toutefois, dans un c
Meckel et le docteur Planer. Toutefois, dans un cas observé par M. le
professeur
Virchow, les granules de pigment étaient contenus
e mes recherches sur ce sujet dans les publications récentes de M. le
professeur
Lebert (Atlas danatom. pathologique, Ire li-vr.,
las danatom. pathologique, Ire li-vr., kystes puriformes du cœur), du
professeur
Rokitansky, (Lehrbuch der Pathol, anatom. 3 auflä
'influence immédiate des mouve-ments respiratoires. On doit à M. le
professeur
Virchow 1 d'avoir fait remarquer que, chez la plu
ois qu'il i Lasègue. — Thrombose et embolie, exposé des théories du
professeur
Virchow. (Archivesgénérales de médecine, octobre
r des cas précédents une intéressante observation rapportée par M. le
professeur
Cruveilhier, dans son Atlas d anatomie pathologiq
des deux lobes inférieurs. Suivant une importante remarque de M. le
professeur
Cru-veilhier1, — remarque confirmée, d'ailleurs,
jusque dans les veines hypo-» gastriques. C'est là, ajoute l'éminent
professeur
, l'élément » ou le point de départ de la phlegmat
s le cours, mais surtout à la suite de la fièvre typhoïde. Suivant le
professeur
ïluss3, 1 Klinger, toc. cit., p. 370. * Virchow
obable. III. Que faut-il penser de la proposition émise par M. le
professeur
Virchow, à savoir, que, dans tous les cas où la c
t une affection des plus fréquentes. En France, JBroussais et M. le
professeur
Bouillaud vinrent prêter l'appui de leur autorité
uit Roki-tansky à l'envisager d'une façon différente. Pour le célèbre
professeur
de Vienne, il s'agirait ici d'une affection spéci
en a rassemblé quelques observations. — La pre-mière est due à M. le
professeur
Andral, qui trouva une dou-zaine de petits abcès,
tant ouverte dans le vaisseau. — La troisième a été publiée par M. le
professeur
Schutzenberger : l'abcès avait le volume d'une no
t bien en convenir, c'est la découverte de l'aus-cultation dont M. le
professeur
Bouillaud a si heureusement fait ressortir les co
, et en sacciformes. Cette dernière classification appartient à M. le
professeur
Cru-veilhier. Nous la suivrons dans le cours de c
r, ne permet pas, en général, d'en continuer longtemps l'usage. M. le
professeur
Lebert condamne définitivement l'usage in-terne d
ue par aggra-ver les symptômes qu'il est destiné à combattre. M. le
professeur
Lebert, auquel nous empruntons les ré-flexions pr
e de potasse, le nitrate de soude ont été quelquefois employés. M. le
professeur
Lebert a vu souvent administrer avec de bons résu
e espèce ont été rapportés par Shekelton, Pennock, Henderson et M. le
professeur
Bouil-laud. Rokitansky n'a jamais rencontré rien
genre, dans laquelle le diagnostic fut porté pendant la vie (!). Un
professeur
célèbre de l'Université de Padoue, Carlo Patini,
rrêter dans l'aorte elle-même. C'est ainsi que Cruwel, cité par M. le
professeur
Andral, a vu l'orifice aortique occupé par une
t d'abord un mémoire publié en 1846, dans le Journal de Prague, parle
professeur
Bochdalek (Prager Vierteljahrs., 9 Bd., 1846, S.
ons où les vaisseaux présentent le plus haut degré d'altération. Le
professeur
Heschl, dans un récent travail (Prager Vierteljah
aire l'autopsie d'un sujet atteint de l'affection décrite par M. le
professeur
Charcot sous le nom de sclérose latérale amyotr
n mémoire publié en 1875 dans les Archives de Physiologie par M. le
professeur
Charcot, avec notre collaboration 1. Il s'agiss
erveuses). 3 3t ANATOMIE PATHOLOGIQUE. malade observé par M. le
professeur
Charcot,'et dont voici l'histoire abrégée : une
et douloureux à la pression. C'est sur ce cordon, réséqué par M. le
professeur
Vernèuil, que notre examen a porté. Outre un ép
ce que fera bien comprendre la citation suivante, empruntée à M. le
professeur
Vulpian' : « Puisque les fibres musculaires- de
UE D'ANATOMIE. lingual « fibrille à fibrille », comme le dit M.- le
professeur
Sappey, mais qu'elle est contenue avec lui dans
D'OUVERTURE DU COURS DE CLINIQUE DES maladies mentales ; par M. le
professeur
BALL. En ouvrant la série de ses leçons cliniqu
chiâtrique. Ce ré- sumé est loin de renseigner sur les tendances du
professeur
de clinique des maladies mentales. Quand il par
vant tout. » Cette déclaration est fort naturelle dans la bouche du
professeur
de clinique, mais elle ne remplace pas l'exposé
t.) - De l'anesthésie par le protoxyde d'azote, par la mé- thode du
professeur
P. BERT. - Un vol. de 101 pages avec 3 figures. P
dégénération. L'autre supposition consiste à admettre, avec M. le
professeur
Charcot, que les modifications qui se pro- duis
xpérience; nous nous sommes servis des appareils imaginés par M. le
professeur
Marey, que ce savant maître a bien voulu mettre
^ t. l' , t f 1 | , '-vT' si \ manifestement séparés l'un l'autrè'(
Pr.
V, fii '8). ' 1 '\11' 1 f ¡ l ' t .. ? 1' Il 1
nt de départ des présentes re- cherches faites sous la direction du
professeur
Erb. La mé- thode suivie fut celle de l'auteur
he DE la strychnine dans LE cerveau ; par A. GRANDVAL et H. LAJOUX,
professeurs
à l'école de médecine de Reims. (Note présentée
.1 '.l> (j14)UI"11 ? at : n ! Uo ii 'Alors fut pratiquée par le
professeur
' 1 Schrimèr 1 1 a)'névroto-3 mie du- sus-orbit
ce phénomène et cite, en terminant; l'hypothèse proposée par4e 77
professeur
Stirlirig^d'un ferment'spécial qui .pourrait amen
us parait donc.trop absolue,1 et nous aurions voulu que l'éminent
professeur
indiquât, au moins d'un, mot, qu'elle comporte ce
onner récem- ment. École d'anthropologie. M. le Dr Mathias DUVAL,
professeur
agrégé de la Faculté, est nommé directeur du la
u laboratoire d'antliro- 352 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. pologie et
professeur
d'anatomie et de physiologie anthropologiques.
(observation . DE porencéphalie fausse ? double) ; r .. ' Par le
professeur
MIERZEJEWSKY. Dans certaines régions distinctes
squelette de Bogdanow a été déposé dans le cabinet ana- tomique du
professeur
Landzert : celui-ci a été assez aimable pour bi
nt nous avons rapporté plusieurs cas précédemment '. Enfin, M. le
professeur
Mierzejewsky a exposé, devant le Congrès médica
s os de l'homme prise sur un membre amputé dans le service de M. le
professeur
Gosselin; puis, elles ont été con- trôlées par
XVIII. SUR LES phénomènes ET la nature DU magnétisme animal; par le
professeur
BERGER. (Journal de médecine de Breslau, 28 fév
fin définitivement décrite dans la monographie devenue classique du
professeur
Lasègue (Arch. de méd., 1854). Aupoint de vue d
B. XXXVI. La psychiatrie ET L'ENSEIGNEMENT psychiatrique; par le
professeur
C. WESTPHAL. Dans cette conférence, faite à l'I
. Dans cette conférence, faite à l'Institut médical militaire, le
professeur
de psychiatrie de l'Université de Berlin, après a
i dans l'asile de Reggio, que dirigeait alors l'éminent et regretté
professeur
Carlo Livi, l'une des illustrations de l'Italie
l, en remplacement de M. Almandon. Asile DE BRON. M. le Dr Pierret,
professeur
à la Faculté de médecine de Lyon et médecin-adj
CÉRÉBRALES (observation DE PORENCÉPHALIE fausse DOUBLE) ; Par le
professeur
MIERZEJEWSKY (Suite). Dans cette seconde partie
* « M[rf<51L,r,n.'>.| ? t ? Vi'ff .♦rpl * ', «i-trr ? M.'lè
professeur
Vu] pian relate des faits analogues : " rinrfi
DES CENTRES NERVEUX ET DE L'ATÉLECTASIE médullaire spinale; par le
professeur
Schikp (de Genève). (Archiv f. Psych. u. Nerven
EVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 58t proportion qui est celle de M. le
professeur
Fournier résulterait pour M., W. de l'immense m
disséminés. Enfin la thérapeutique bydrargyrique n'ajamais donné au
professeur
W..., de guérison d'un seul cas de tabès : on s
la même direction que le cours du sang artériel. Aussi, d'après le
professeur
Adamkie- wicz, le tabes dorsalis n'est-il autre
antôt à travers eux. (Dans une note jointe au travail précédent, le
professeur
Westphal , reconnaît l'exactitude des lésions d
ues entre LES inflammations orbitaires 'et INTRA-CRANIENNES; par le
professeur
BERLIN (de Stuttgart). (Congrès de Bade, 4880 e
e anatomique (prédisposition matérielle) aux NÉvRo- PATHIES; par le
professeur
Schultze (d'Heidelberg). (Congrès deBade,,18R0.
eidelberg). (Congrès deBade,,18R0. Archiv. f. Psyclazâtrie.) . Le
professeur
Sehuitze fait remarquer, qu'il existe une série
L'EMBOLIE graisseuse CHEZ LES aliénés EN état d'agitation ; par le
professeur
F. JOLLY (de Strasbourg). (Archiv. f. psych. u.
par les preuves ana- tomiques ; deux d'entre eux sont personnels au
professeur
;' 'la dernière observation émane du travail de
éter- miné quelques symptômes,, elle aurait été soupçonnée par le
professeur
Bennett, qui était un des plus grands cliniciens
MYOSIS spinal ET immobilité réflexe DE la PUPILLE ; par WILLELMERB,
professeur
à l'Université de Leipzig. [Arch. of lL; New-Yo
central avec la paralysie générale progressive des aliénés ; par le
professeur
LR. ScHULTzE, d'Heidelberg. (Arch. f. Psychiatr
ULTzE, d'Heidelberg. (Arch. f. Psychiatrie u. Nervenk., 1880.) Le
professeur
Schultze décrit à ce propos une observation con
'Académie de médecine; - Béclard, membre de l'Académie de médecine,
professeur
à la Faculté ; Brouardel, membre de l'Académie
fesseur à la Faculté ; Brouardel, membre de l'Académie de médecine,
professeur
à la Faculté; VARIA. 643 Lasègue, membre de l
la Faculté; VARIA. 643 Lasègue, membre de l'Académie de médecine,
professeur
à la Faculté; - Accarias, professeur à la Facul
bre de l'Académie de médecine, professeur à la Faculté; - Accarias,
professeur
à la Faculté de droit; - Bail, professeur à la
la Faculté; - Accarias, professeur à la Faculté de droit; - Bail,
professeur
à la Faculté de médecine; - Dr Lunier, inspecteur
mestriel, consacré aux maladies du système nerveux et dirigé par le
professeur
Charcot. M. Bourneville en est le rédacteur en
ologie (Archives de Neurologie) publié à Paris sous la direction du
professeur
J. Charcot et dont M. Bour- neville est le réda
des Archives de Neurologie, qui, sous la direction compétente du
professeur
Charcot, résumeront toutes les études faites sur
le fondée et publiée par M. Bourneville, sous la direction de M. le
professeur
Charcot, et avec la collaboration de la plupart
IE GÉNITO-GLANDULAIRE PAR Oscar de SOUZA, et Aloysio de CASTRO,
Professeur
de Physiologie à la Faculté Professeur de Cliniqu
SOUZA, et Aloysio de CASTRO, Professeur de Physiologie à la Faculté
Professeur
de Clinique médicale à la de médecine de Rio de
, 50 ans, célibataire, laboureur, observé en 1914 à l'infirmerie du
professeur
Miguel Conto. Les parents étaient forts et sain
taire, laboureur, a été observé par nous en 1914, à l'infirmerie du
professeur
Valladores (t), et en 1915 dans celle du profes
l'infirmerie du professeur Valladores (t), et en 1915 dans celle du
professeur
Terra. Parents morts, un frère vivant, sain. No
. (.4 suivre.) CLINIQUE PSYCIIIATIiIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GENÈVE
Professeur
: R. Weber PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCÉPHA
aire. Ce dernier indice d'une pression exagérée a été décrit par le
professeur
Weber dans certains cas de tumeurs cérébrales (
'ACROMÉGALIE ET MALADIE DE RECKUNGHAUSEN PAR Aloysio de CASTRO,
Professeur
de Clinique médicale à la Faculté de Rio de Janei
, où nous l'avons examiné dans le service de notre vénéré maitre,le
professeur
Miguel Couto. , ¡ \ f,. La radiographie faite a
CAROTIDES DANS L'ÉPILEPSIE ET L'HYSTÉRIE PAR C. TSIMINASKIS,
Professeur
agrégé à la Faculté de médecine d'Athènes. On s
Le gérant : O. Porée. HOSPICE DE LA I : 3ALPÊTRIÈRE Service du
Professeur
Pierre Marie. DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESS
VES AUX PLAIES DE GUERRE PAR LAIGNEL-LAVASTINE et PAUL COURBON,
professeur
agrégé, médecin des hôpitaux, médecin-adjoint des
I un,» t'mJR') CHEZ LES « BLESSÉS NERVEUX » PAR R André LÉRI,
professeur
agrégé à la Faculté de Paris, chef du Centre Ne
main affinée, doigts effilés ont été très justement observés parle
professeur
Pierre Marie et IVlme Bénisty, IV1. Meige, etc...
n S comme ceux des « mains séniles » que nous avons décrits avec le
professeur
Pierre Marie ; mais les articulations métacarpo-p
ons nous paraît en faveur de la théorie, soutenue notamment par les
professeurs
J. Tessier et Roque, qui attribue la rétraction d
ion ne paraît avoir été publiée, au moins en France. Une revue du
professeur
Boinet, en 1901, met la question au point. L'ét
UN CAS DE TUMEUR DE L'ANGLE PONTO-CÉRÉBELLEUX PAR Egaz MONIS,
Professeur
de Neurologie à la Faculté de médecine de Lisbo
nximum, 10 minimum. Le malade a été opéré le 21 janvier 1916 par le
professeur
Francisco Gentil par la méthode de Krause. '
AIGUËS ÉPIDÉMIQUES DEUX ÉPIDÉMIES MILITAIRES PAR G. ETIENNE,
Professeur
de Clinique médicale à la Faculté de médecine de
5 centimètres cubes de sérum (Cottin), due à l'obligeance de M. le
professeur
Netter et de M. Salanier, après extraction de 2
OU MERCURIELLE (observation D'UN cas mortel) PAR Karl PETREN
Professeur
à la Clinique médicale de l'Université de Lund (S
sal (où j'étais DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 227
professeur
alors), le -27 juillet 1908 (Observé d'abord par
ides de Malpighi montrent une quan- tité de sang augmentée. M. le
professeur
Quensel conclut qu'il n'y a rien qui contrarie l'
actère fami- lial (1). (1) Je tiens à remercier mon Maître, M. le
professeur
Dagnini, médecin-major à l'Hôpital de Bologne,
DE-JANEIRO SUR QUELQUES CAS D'HÉMIMÉUE PAR Aloysio de CASTRO,
Professeur
de Clinique médicale à la Faculté de médecine de
ièrement dans le 296 ALOYSIO DE CASTRO service de notre maître le
professeur
Miguel Couto, à l' « Hospital da Miseri- cordia
l'aphasie motrice a été remise en discussion depuis les travaux du
professeur
P. Marie (1) qui la considère comme un affaibli
la zone du noyau lenticulaire. Cette opinion a été combattue par le
professeur
Déjerine (2) et par ses élèves, Bernheim, Toulous
de Chirurgie pour une,appendicite, Elle a été opérée à froid par le
professeur
Kummer le 10 avril et est sortie guérie vers la
TEUR DE LA SECONDE FRONTALE. EXTIRPATION (1), PAR ' Egas MONIZ,
Professeur
de neurologie àja Faculté de médecine de Lisbonne
hyse'mastoïde de ce côté. L'opération a été faite le février par le
professeur
Francisco Gentil. Dans la partie antérieure de
ans de bonnes dispositions. Elle a fait sur la proposition de M. le
professeur
Gentil des applications de rayons X et elle a d
ACULTÉ DE MÉDECINE DE LUND Médecin en chef : M. le Dr KAIÙ, PETREN,
professeur
à la Faculté. SUR LES HÉMORRAGIES MÉNINGÉES,
uelques cas, que nous avons observés à la clinique interne de M. le
professeur
Karl Pétren, lesquels présentaient d'un côté le
ement de l'étiologie des hémorragies méningées. Deux cas, que M. le
professeur
de Pathologie et de Médecine légale de la Faculté
ma profonde et respectueuse reconnaissance à mon cher maître M. le
professeur
Karl Petren pour la bienveillance' avec laquell
DULAIRE (suite) . PAR R Oscar de SOUZA, et Aloysio de CASTRO,
Professeur
de Physiologie de la Professeur de Clinique médic
car de SOUZA, et Aloysio de CASTRO, Professeur de Physiologie de la
Professeur
de Clinique médicale de la Faculté de médecine
xaminée par l'un de nous, avec la per- mission de notre collègue le
professeur
Fernando de Magalhaès, en 1913, à la Maternité
ancourt où il reste trois mois, puis est soumis à l'examen de M. le
professeur
Pierre Marie à la Salpêtrière, qui a l'obligeance
un séjour à St-Germain : il a enfin été à la Salpêtrière d'où M. le
professeur
Pierre Marie nous l'a adressé, le 27 septembre 19
, couturière, envoyée le 15 novembre 1884, dans le service de M. le
professeur
Charcot, par M. le Dr Brissaud, avec le diagnos
arois des vais- seaux sanguins. Weltrubski 3 (Progrès clinique du
professeur
Gussèn- bauer) fit une traction bilatérale du n
r d'une inflammation purulente des reins. L'autopsie faite par le
professeur
Klebs montra une sclérose typique des cordons p
ALTÉRATIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 37 Rosenstein' 1 (Clinique du
professeur
Bergère à Breslau) : Un malade ancien syphiliti
ade mourut un mois après l'opération. L'au- topsie fut faite par le
professeur
Marchand. Dans sa partie supérieure, la moelle
ea et broya les nerfs, sur une sonde cannelée selon la méthode du
professeur
Verneuil. Le Dr Duvault observa Ja dégéné- resc
e bout central restait normal. Le Dr Geu fit dans le laboratoire du
professeur
Tarchapopo, à Saint-Pétersbourg, des recherches
ogiques qui s'élaborent dans les nerfs. Zederbaum 1 (laboratoire du
professeur
Kronecker) fit des expériences sur le poids que
ue, l'aide sent nettement la moelle se déplacer sous ses doigts. Le
professeur
Güssenbauer fixant un point déterminé au niveau
microscopiques, de moelles durcies provenant de lapins auxquels le
professeur
Gudden avait préalablement arraché les nerfs sc
ment le sujet qui nous fut désigné par notre vénéré maître, M. le
professeur
Jean lllierzejewski; et en 1880, nous entreprîm
u terme de notre tâche, nous prions notre très honoré maître, M. le
professeur
Jean Mierzejewsky, de vouloir bien accepter le
DE LA CURABIUTÉ DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES; Par Michel CATSARAS ,
Professeur
agrégé de la Faculté d'Athènes, chargé du cours
la sclérose en plaques, appelé avec juste raison polymorphe par le
professeur
Charcot. DE LA CURABILITÉ DE LA SCLEROSE EN PLA
, nous avions posé le diagnostic de la sclérose en plaques. MM. les
professeurs
Caramitzas, Orphanides, Magginas avec M. le Dr
it d'arrêter brusquement les convul- sions. On sait que c'est M. le
professeur
Charcot qui a découvert les zones hystérogènes.
bibliographie. III. La Pathologie de l'Esprit; par Henry MAUDSLEY,
professeur
de médecine légale à University-collège; tradui
première partie du second volume du traité de pathologie interne du
professeur
de clinique de Leipzig renferme les mala- dies
UR LA TENSION DES MUSCLES COMME SUBSTRATUM DE L'ATTENTION; Par le
professeur
SIKORSKI. Fechner a démontré le premier, que l'
fité pour mettre ce cas en parallèle avec la fameuse observation du
professeur
Azam (de Bordeaux) 3, et celles moins classique
ie chez un malade QUI N'ÉTAIT pas gaucher; par M. Michel CAT5,\nAS,
professeur
agrégé à l'Ecole de médecine d'Athènes. (Fr. 7n
liuda-Pestli) : l'assemblée se lève en leur honneur. Invitation du
professeur
Flechsig à visiter la clinique officielle..n ,
"' - - "1"sd les manières I ? f, ,V cite- iii ex e -I* de voir'du
professeur
Hazan,' des directeurs Wendt, Hasse, des docteu
ecteurs Wendt, Hasse, des docteurs'KnehL, Blanche, Luys, Magnan, du
professeur
Charcot, dé M. Voisin, en un mot tous les docum
ibution à la physiologie du cerceau); par le Dr Arthur CIIRISTIANI,
professeur
à Berlin (Berlin, 0. Enslin, 1885.) Ce livre
é- moire du Dr Philippe Pinel, médecin en chef de la Salpêtrière,
professeur
à la faculté de médecine, membre de l'Académie de
une Société médico-psychologique. Ce clini- cien si remarquable, ce
professeur
libre si suivi et si écouté pen- dant plus de v
ui les honneurs sans qu'il les ait recherchés. Nommé successivement
professeur
de la Faculté de médecine, membre de l'Institut
rzets. Asile de l'État (130 malades), directeur et médecin en chef,
professeur
Dr OLIVET. Canton de VAUD. - I Bois deCéry. Asi
nés curables (clinique psychiatrique). Directeur-mé- decin en chef,
professeur
Dr.A. FOREL; médecin en second, D Lauffer; méde
lieu a Grenoble, le jeudi 13 août 1885, sous la présidence de M. le
professeur
Verneuil. Congrès pour l'instruction des AVEU
la création d'une chaire de l'histoire des civilisations et a nommé
professeur
de cette chaire M. le Dr LETOURNEAU. NoMtNATi
nt l'objet d'un rapport : l'une de la part de ,1\1. le Dr Lcfebvre,
professeur
à l'Université de Louvain, l'autre de la part d
. Traduit et annoté par P. KÉRAYAL; précédé d'une préface par M. le
professeur
CuencoT. Volume in-8° de 677 et xxi pages, avec
te observation que nous devons à l'obli- geance de M. Tschetschoff,
professeur
agrégé delà faculté de médecine de Saint-Péters
de 1881, elle fut placée dans la section des maladies nerveuses du
professeur
agrégé Tschetschoff. L'examen, fait en novembre
'.) Vingt-sept enfants, garçons ou filles, ont été confiés à des
professeurs
d'articulation presque tous employés chez les s
sant de lire, par le menu, les rapports remis à M. Bcrkhan par les
professeurs
chargés des petits groupes confiés exclusi- vem
i, parmi les faits publiés dans les anomalies sexuelles', le cas du
professeur
de faculté, atteint d'inversion du sens génital,
imprimé, attitude imposée et l'on sait avec quelle précision M. le
professeur
Charcot a poursuivi l'étude des phénomènes de s
t des asiles inter-départementaux. Nécrologie. - Le De 0. Berger,
professeur
extraordinaire de neuro-pnthologieà à 13reslau,
sproportion est-elle due ? Après les beaux travaux du très regretté
professeur
Brissaud sur l'in- fantilisme vrai, il faut pen
de l'infantilisme d'origine thyroïdienne, assez bien connu grâce au
professeur
Brissaud, nous ayons aussi un infantilisme sem-
assez démonstratif, et j'ai été heureux de la voir acceptée par le
professeur
Brissaud dans les termes suivants : «... la sim
de l'état du corps thyroïde, 33 cas d'ostéomalacie à la Clinique du
Professeur
llofmeier (il Wurzburg), et voici ce qu'il a tr
ologique nouvelle, une nouvelle unité pathologique. - Eu 1892, le
Professeur
HekhteretI a décrit cinq cas « d'une affection
t des aliénistes de Moscou. xxiv '' IJ2 r ? W aH0lo . ment au
Professeur
Pierre Marie qui a fait, en 1898, une 'descriptio
dou- loureuse ; le système nerveux est normal. Observation VI.
Pr.
F..., 28 ans, ouvrier. Se présenta dans le servic
va cum corpusculis oryzoideis multipllcibus. » Observation XIV.
Pr.
M..., 27 ans, marchand ambulant, admis dans le se
URS SECONDAIRES MÉTASTATIQUES MULTIPLES PAR li G. CARYOPHYLLIS,
Professeur
agrégé à l'Université d'Athènes. Il est depuis
IONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS (1) PAR le
Professeur
R. WEBER (de Genè\e). àl. V. Monakow, dans son
nètre à travers l'ouverture du crâne et est soudé au cerveau. M. le
professeur
Askanazy, qui procéda à l'autopsie, fut immédiate
ier l'abstention d'une méthode, qui, suivant les propres paroles du
professeur
Fournier (1), o n'est pas une médication qui pu
tisme, d'où le nom de « cyphose bérédo-traumatique » (P. Marie). Le
professeur
Bekhtereff explique tous les phénomènes clini-
alade en différentes articulations. 7° Spondylose myopathique. - Le
professeur
Senator et Cassirer, de la clinique d'Oppenheim
crites, on ne pouvait songer qu'à la spondylose rhizomélique. 8° Le
professeur
Raymond a décrit en 1901, sous la dénomination de
en chef M. Iena Saritcheff et 31. P. Préobrajensky, actuellement 1
professeur
de l'Université de Varsovie, d'agréer ma profonde
de s'enri- chir d'une nouvelle oeuvre d'art : un buste en bronze du
professeur
Bris- saud. C'est un portrait sincère, qui a
llA.YS IIOSPII'AL, D, ! N EJf A}OE Travail du laboratoire de M. le
professeur
Pierre Marie, et du laboratoire de M. le profes
atoire de M. le professeur Pierre Marie, et du laboratoire de M. le
professeur
HOHMELLE, SUR LA GLANDE PINEALE CHEZ L'HOMME
sposition. (2) Nous tenons a remercier profondément : d'abord M. le
professeur
Pierre Marie, qui nous a incité à faire ce trav
des matériaux et nous a aidé pen- dant notre séjour à Paris ; M. le
professeur
Roussy et M. le docteur Ameuille, qui nous ont
nous ont aidé pendant notre travail dans le laboratoire de -NI. le
professeur
Pierre Marie ; i M. le professeur Rohmell qui n
il dans le laboratoire de -NI. le professeur Pierre Marie ; i M. le
professeur
Rohmell qui nous a permis de travailler dans sou
roupe à granulations iriégulieres. (Travail du Laboratoire de M. le
professeur
Pierre Marie) RECHERCHES CYTOPATHOLOGIQUES SU
s heureux d'a- voir l'occasion de remercier notre cher Maître M. le
Professeur
Pierre Marie qui nous dirige et nous donne tout
oyau par une zone plus ou moins large de cytoplasma, Mais (1) M. le
professeur
Prenant qui a eu l'obligeance de regarder nos mic
droite et gauche. HOSPICE DELA SALPÊTRIÈRE Laboratoire de lI. le
professeur
PIEIIRE MAIllE. HÉMISYNDROME BULBAIRE PAR LÉSIO
té morbide spéciale a été décrite pour la pre- mière fois par M. le
professeur
Marie, en 1886; à partir de ce moment, le nombr
où manquent quelques symptômes signalés comme classiques par M. le
professeur
Marie. Ainsi ,on a vu des cas où il n'y avait p
905. '1 ri CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES DE ROMPE Directeur :
Professeur
G. Mingazzini. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES DIF
nexée à la clinique des maladies nerveuses dont le directeur est le
professeur
Mingazzini et qui est destinée aux mala- des du
e 52 ans, cordonnier, entré le 3 mars 1911 dans le service de M. le
professeur
Stoicescun il l'hôpital Coltzea et sorti le 17 av
, que nous en avons vu dernièrement un cas dans le service de M. le
professeur
Marinesco ; à cause de l'hypotonie du genou genu
uivre), CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES DE L'UNiVERSiTÉ DE MOSCOU
Professeur
: W. Roth. ATROPHIE CURIEUSE ET RARE DE LA MOEL
AR R A. HEIMANOWITSCH Grâce à la direction bienveillante de M. le
professeur
W. Rotli à qui j'adresse tous mes remerciements
à elle seule plusieurs cahiers d'obser- vations de la Clinique ; le
professeur
Roth et plusieurs de ses assistants ont contrib
SUR SON ORIGINE ÉTIOLO- GIQUE ? PAR ' J. EUZIÈRE et J. DELMAS
Professeur
agrégé Chef de clinique à la Faculté de médecin
à l'hôpital Saint-Potbin, ensuite à l'Hôtel-Dieu dans le service du
professeur
Courmont, enfin à la clinique médicale du profe
le service du professeur Courmont, enfin à la clinique médicale du
professeur
Roque. Cinq frères et soeurs sont morts pour de
rragie con- sidérable qui a nécessité son entrée dans le service du
professeur
Courmont. A ce moment ont été constatés des sig
malade est parti la campagne. Mais il est revenu dans le service du
professeur
Roque, où il a été examiné il nouveau en octobre
SERVATION CLINIQUE ET ANATOMIQUE. Par MM, Ii. GOUGEROT et A. GY
Professeur
agrégé Chef de clinique à la Faculté de Médecin
S2 ans, porteur aux Halles, entre le 30 mai 1908 dans le service du
professeur
Brissaud, salle Saint-Charles, n° 12. Il vient
l faire plusieurs séjours à l'hôpital ; il entre dans le service du
Professeur
Ballet en juillet 1907, le traitement thyroïdien
Eu janvier 1908, il entre salle Saint- Charles, dans le service du
Professeur
Brissaud, on le traite incidemment pour un peti
son état ne s'améliore pas, il rentre de nouveau dans le service du
Professeur
Brissaud, le 30 mai 1908. En résumé, cet homm
Les clichés que nous devons à l'extrême obli- geance de M. Gascaud,
professeur
à l'Ecole de médecine de Rouen, montrent comme
e confiserie, entre le 24 no- vembre 1910 dans le service ,de M. le
professeur
Nanu-Muscel, à l'hôpital Filanthropia. Il vient
vapeur : elle en prend dix-sept. En même temps, dans le service du
professeur
Bail, on J'électrise avec des courants induits
Observation 1. (Rédigée d'après les notes communiquées par M. le
professeur
Charcot.) MIlle L... vient consulter M. Charcot
encement de xyphose, par ramollissement d'une vertèbre dorsale. Les
professeurs
Thomas et Cantani de Naples, où il fut conduit
à 111. le Ministre de l'intérieur. Nous, soussignés, J. Charcot,
professeur
de clinique des ma- ladies nerveuses à la facul
ulté de médecine de Paris, officier de la Légion d'honneur ; DUPRÉ,
professeur
de clinique médicale à la faculté de médecine d
ntpellier, sénateur, officier de la Légion d'honneur; PIERRrT (A.),
professeur
de clinique des maladies mentales à la faculté
leur enseignement spécial. Le plus diffi- cile est la question des
professeurs
; il faut à cet égard aviser à trouver des maîtr
taire ainsi qu'une grande lourdeur dans les mou- vements. · M. le
professeur
WIEDERSIIEIM (de Fribourg). Contribution il l'his
e par le trou pariétal qui existe encore chez les sauriens. M. le
professeur
ERB (d'Heidelberg). Etat anatomique des muscles
n mot, de l'hypertrophie vraie, complètement géné- ralisée. M. le
professeur
1 oEns'rwa (d'Ileidelberâ). Lésions spinales dans
nche postérieure du trac- tus cérébelleux sensoriel direct. M. le
professeur
Thomas (de Fribourg). S1tI'Wl cas de polynévrite.
it et marche à l'aide de deux cannes. Démarche spasmodique. M. le
professeur
HACK (de Fribourg). Contribution à la thérapeu-
et organe. SOCIÉTÉS SAVANTES. 129 Séance du 23 mai. Présidence du
professeur
BEnLIN. Sur la proposition du professeur JOLLY,
e du 23 mai. Présidence du professeur BEnLIN. Sur la proposition du
professeur
JOLLY, la prochaine séance du congrès aura lieu
atrique nouvellement installée. Secrétaires pour l'année suivante :
professeur
Jolly (de Strabourg); Dr Fischer (d'Illenau).
Présenlation par M. RIEGEn du nouveau galvanomètre à res- sort du
professeur
KOIILRAUSCH; simplicité, bon marché, retour rap
le dessin, à l'aide de cet instrument, toutes les cellules. M. le
professeur
KAST (de Fribourg). Contribution à l'anatomie p
donnant naissance à la forma- tion de cellules granuleuses. M. le
professeur
SCHOLTZE (d'Heidelberg). Présentation de prépa-
ui-ci parait n'avoir déterminé aucun accident pendant la vie. M. le
professeur
SCHOTTELlUS (de Fribourg). Des vaccinations pré-
es réseaux de fibres nerveuses dans les colonnes de Clarke. M. le
professeur
Berlin (de Stutlgarl). Nouvelles observations de
nt admis à concourir : les membres de l'Académie de mé- decine, les
professeurs
et agrégés des lacullés de médecine, les docteu
n concours sur titres, encore une fois; c'est ainsi qu'on nomme les
professeurs
des facultés de mé- decine et des différentes f
ar lui; un membre de l'Académie de médecine, élu par l'académie; le
professeur
de la faculté de médecine de Paris chargé de l'
t tout à coup à se déshabiller dans son cabinet; Gowers3, cite un
professeur
de musique qui, en donnant une leçon à une demo
et dont le rapport médical fut confié à notre éminent maître, M. le
professeur
Brouardel', qu'une hysté- rique à attaques de s
ontribution à l'histoire de l'hystérie, faite sous l'inspiration du
professeur
Pitres. Ce tra- vail comprend deux parties. Dan
liée par MM. les D™ G. Lncoé et G. DE la ToupETTE. Préface de M. le
professeur
Charcot, membre de l'Institut. Un beau volume i
chidiennes ET DES nerfs périphériques) ; , Par le Dr A. PITRES,
Professeur
à la Faculté de Médecine de Bordeaux. Quand Duc
aralysie faciale, alternant à droite et à gauche. Tout récemment le
professeur
Troschel (de Kiew) communiquait à M. Charcot l'
paralysie faciale. Voici le résumé de cette observation dont M. le
professeur
Charcot a bien voulu nous donner connaissance :
cette très intéressante observation prise dans le service de M. le
professeur
Charcot par M. Blocq, interne des hôpitaux, qui
tte remarqua- ble observation, dont nous sommes redevable à M. le
professeur
Charcot, ne comprend pas moins de cinq cas de p
ant a, depuis de longues années déjà, été mis en relief par M. le
professeur
Charcot, dans ses leçons de la Salpêtrière. D
reproduire le vertige marin expérimentalement. Notre maître, M. le
professeur
Cornil, et M. Chan- temesse ont eu l'extrême ob
temesse ont eu l'extrême obligeance de nous présenter à M. Dastre,
professeur
de physiologie expérimen- tale à la Faculté des
du cerveau et sur l'épilepsie cérébrale; par le Dr François FRANCS,
professeur
suppléant au Collège de France. - Octave Doin,
rnières années au Collège de France, tandis qu'il sup- pléait M. le
professeur
Marey. Elles sont consacrées à l'Etude expérime
esque tous de travaux poursuivis en commun par l'auteur et par M.le
professeur
Pitres (de Bor- deaux). C'est dire que le côté
s rigoureuse en appliquant à ces recherches la méthode graphique du
professeur
Marey. En utilisant toutes les ressources que f
ployé ainsi ce nouveau moyen d'investigation sur les conseils du
professeur
Charcot. Les résultats obtenus montrent qu'ils
ondée par J. M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX
ESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER
FROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILIT
CTEUR Honte DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE GILLES DE la TOURETTE
PROFESSEUR
AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS MÉDE
E DE LA MOELLE 1 (SYNDROME DE BROWN-SÉQUARD) par F. RAYMOND
Professeur
de Clinique des Maladies du Système Nerveux à l
ices digiti- formes se sont produits sur son extrémité libre. M. le
professeur
Mathias- Duval admet cette hypothèse. Pour lui
pper le système nerveux ne fait que confirmer leur opinion. M. le
professeur
Lannelongue a récemment constaté dans la moelle
E SANS LOCALISATION POSSIBLE PAR E. BRISSAUD et E. DE MASSARY
professeur
agrégé, ancien interne des médecin de l'Hôpital
stique, est entrée au mois d'octobre à la Salpê- trière, service du
professeur
Raymond. Dans les antécédents héréditaires et p
dans un cas d'hématomyélie qui a été puplié par noire maître, M. le
professeur
Raymond que j'ai vu un oedème très prononcé ave
ui désire approfondir cette question des vaso-moteurs au travail du
professeur
Grasset, de Montpellier, sur le syndrome bulbo-mé
r 1894 salle La Rochefou- cauld, lit n° 2, dans le service de M. le
professeur
Raymond, la Salpêtrière. Antécédents héréditair
Le Pédicure, d'après un dessin attribué à Brouwer. ' Collection du
professeur
Charcol. 132 HENRY MEIGE Il y a lieu, en outr
la Tourette, Brouwer aurait fait l'étude au crayon que possédait le
Professeur
Charcot. Dans une pièce rustique, aux murs nus,
lpteurs, singes fumeurs,joueurs et buveurs, singes élèves et singes
professeurs
, etc. ce troupeau de quadrumanes pourrait donne
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE PAR GILLES DE LA TOURETTE ET A. CHIPAULT
Professeur
agrégé à la Faculté. Consultant de Chirurgie à la
édecin de Lamalou, les appuie de son expérience. Tout récemment, le
professeur
Raymond (4) déclare que la méthode deMoczut- ko
t sur 100 cas de tabes traités par la suspension dans le service du
professeur
Charcot à la Salpêtrière. Aucun de-nos malades
ELLE , (SYNDROME DE BROWN-SEQUARD) (Suite) . PAR F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies' du système nerveux. I
normalement. L'autre observation a été publiée par un assistant du
professeur
Erb, le D'' Hoffmann, de Heidelberg (2) ; elle~
itons les objections comme celles que de Quervain (I), assistant du
professeur
Kocher, a faites au torticolis mental : « Jamai
horloger » que Toby Colin (1) vient d'observer à la policlinique du
professeur
Mendel. Notre cas n'est donc pas isolé. Son int
rapie. DE L'INFANTILISME MYXOEDÉMATEUX (1> PAR E, BRISSAUD
Professeur
agrégé Médecin de l'hôpital Saint-Antoine. ,
l'histoire a été recueil- lie par Henry Meige dans le service du
professeur
Brouardel (Fig. G et 7) appar- tient également
NERVEUX ESSAI DE PATHOGÉNIE ET d'ÉTIOLOGIE . PAR G. ÉTIENNE,
Professeur
agrégé à la Faculté de médecine de Nancy. Depui
e 15 ans, se présente au mois d'octobre 1890 à la Clinique de M. le
professeur
Spillmann. Nous ne relevons rien de particulier
ier 1896 à la consul- tation externe annexée à la clinique de M. le
professeur
Spillmann, at- teinte d'une indisposition banal
et de la branche de Willis. X..., 10 ans. Entre au service de M. le
professeur
Gross, pour une tu- meur de la lèvre supérieure
ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES PAR GILLES de la TOURETTE,
Professeur
agrégé, médecin des hôpitaux. L'atrophie muscul
(SYNDROME DE BROWN-SEQUARD) (Suite et fin.) (i) PAR F.RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies du système nerveux ? - -
ADIOGRAPHIE DES OS DANS LA PARALYSIE INFANTILE PAR , Ch. ACHARD
Professeur
agrégé . Médecin de l'hôpital Tenon. ET LÉO
ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES PAR GILLES de la TOURETTE,
Professeur
agrégé, médecin des hôpitaux. (Suite et fin 2
D » ET ASYMÉTRIE DU CORPS CHEZ UNE ÉPILEPTIQUE (f) F. RAYMOND
Professeur
de Clinique des Maladies du Système Nerveux.
. 1). (1) Extrait d'un ouvrage qui sera publié prochainement par le
Professeur
Rai- MONI) et le Docteur Pierre Janet sous ce t
parut dans cette revue (juillet et août 1897, n° 4) une clinique du
professeur
Grasset sur un spasme poly- gonal post-professi
ar les démons (1). Le Dr Keller qui en avait eu connaissance par le
professeur
Küs, de Strasbourg, a émis à son sujet une opin
les exhibitions foraines sous le nom d'homme-momie sur lequel M. le
professeur
Grasset a publié dans ce recueil une intéres- s
. Tic du Colporteur (spasme polygonal post-professionnel), par le
professeur
Grasset (3 phototypies), 218. Torticolis ment
T & BOURNEVILLE PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE Vlf. A.JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales à la Facu
inique ; | (Ste-Anne). COLLABORATEURS PRINCIPAUX : F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies du système nerveux
st entrée à l'hôpital St-Antoine, dans le service de notre ami le
professeur
Brissaud. Un mois après, bien qu'il y ait eu hé
et des internes de cinquième an- née ; ces derniers jugés par leurs
professeurs
actuels, leurs amis journaliers. Or, on aurait
d et Motet ont étudié le problème sous ses différents aspects. Le
professeur
Fournier ne considérait dans la communi- cation
ement celles relatives au bon fonctionnement du système nerveux. Le
professeur
Four- nier insiste d'ailleurs sur la fréquence
l'origine sensorielles de ce phé- nomène, récemment soutenue par le
Professeur
Bard. Avec MM. Déjérine et Roussy, M. Debray pe
iques. BIBLIOGRAPHIE 1. - Precis de. psychiatrie, par E. Régis,
Professeur
adjoint à l'Université de Bordeaux, chargé de c
d'autant plus volontiers à cet éloge que l'oeu- vre scientifique du
Professeur
de l'Université de Bordeaux et son Précis de Ps
nistère de l'intérieur désigné parle ministre, président ; 2° Trois
professeurs
, titulaires de facultés de mé- decine, ou, des
asiles situés hors du- ressort des académies qui auront fourni les
professeurs
, les agrégés ou les chargés de cours. En cas d'
its DIVERS. 79 La prochaine session aura lieu en 1906à'Lille. M. le
professeur
Grasset (tic Montpellier) et M. le Dr CHOCRFAUX
ns eu l'oc- casion d'observer dans le service de notre maitre, le
professeur
Raymond, et dont l'intérêt réside dans son évol
le 5 juillet U)().-) à taSa)})(''h'ic ! 'c dans le service de M. le
professeur
Raymond pour une paralysie complète, survenue,
maladies mentales et nerveuses, sous la direction du D'' H. Sommer,
professeur
de Psychiatrie à Giessen. Les matières suivan
Sommer et Dan- nemann, de l'Université de Giessen, le Dr Weygandt,
professeur
de Psychiatrie à l'Université de Wtirzburg, et
par unoobservation personnelle, recueillie dans le service de M. le
professeur
Rohmcr et analysée lrar : 11. l1ernheilll qui rej
LAJOUE (mai 1 ! )0;1, 85 pagus. Elude d'ensemble inspirée par 1. lu
professeur
Spillmann. L'auteur, dans unesériu du chapitres
matériaux d'éludé, et a été composé sous l'inspiration du }I. te
professeur
llaushallur. Le nom de syndrome do Littte a été l
tous les exercices, tous les mouvements et au besoin remplace le
Professeur
quand il est absent. Elle a également fait des
cellules de Purkinje ; par André Thomas. (Travail du laboratoire du
professeur
Déje- rine, à la. Salpêtrière). Chez la malad
es services administratifs, président. Membres : MM. le Dr Joffroy,
professeur
à la faculté de mé- decine de Paris ; le 1) \Ia
oy, professeur à la faculté de mé- decine de Paris ; le 1) \Iairet,
professeur
à la faculté de méde- cine de Montpellier ; le
rofesseur à la faculté de méde- cine de Montpellier ; le Der Régis,
professeur
à la faculté de mé- decine de Bordeaux ; le Dr
ires ont été pré- sentes. Le prix est décerné à M. Emile Lauvriere,
professeur
agrégé au lycée Charlemagne, Paris : Edgar Poe,
'exécution de la médaille est confiée iL M. le docteur Paul nicher,
professeur
à l'Ecole des Beaux-Arts. Le chiffre' de la cot
l'institut départemental de sourds-muets d'Asnière; le Dr BÀuMEI.,
professeur
à la faculté de médecine de 111ontpellier; le D
seur à la faculté de médecine de 111ontpellier; le D1' IZEAUVISAGE,
professeur
à la fa- culté de médecine de Lyon, adjoint au
Dr DEVAY, médecin en chef de Saint-Jean-de-Dieu, Lyon ; ])'UPO-4'T,
professeur
à l'institution nationale des sourds-muets de P
rs de psychologie ap- pliquéeet de psychothérapie. )).leD Périllon,
professeur
à l'Ecole de physiologie, commencera ce cours l
à 9 h. 1/2. REVUE CRITIQUE L'épilepsie et la migraine; Par le
professeur
P. KOVALESKY Nous sommes partisan de la théorie
il est question. 7° Différentes autointoxications et diathèscs 1.
Professeur
P. KovALEVSKY. La migraine et son traitement' 1
sa aller dans un fauteuil, et sa première question fut celle-ci : «
Professeur
, tout est rouge ici. En est-il toujours ainsi ? »
ournal, 1898. (2) L0\VENFELU. - Neurasthénie sexuelle, p. 32. (3)
Professeur
P. KovAt.EYSKY. L'épilepsie et son traitement,
u Dr Brouardel . ' A la suite de la démission de M. IROUARDEL comme
professeur
de médecine légale à la Faculté de médecine de
levard Saint-Michel. Mme L ? ne tarit pas d'éloges sur le savant
professeur
et le crémier exulte. Montaigne a cité le cas s
e tenir il Lille du 1er au 7 août 1906, sous la présidence de M. le
professeur
Grasset, de Montpellier. Rapports et discussion
antine de l'humeur et de l'in- telligence, crédulité, niaiserie. Le
Professeur
Raymond, dans ses Cliniques, considère ces phén
des maladies d'origine conceptionnelle ou héréditaire décrit par le
professeur
Joffroy sous le nom de myopsychies (1) ? . Il
tenir à Lille, du 1er au 7 août 1906, sous la présidence de JI. le
professeur
Grasset, de Montpellier. Pour tout ce- qui conc
CONOGRAPHIE SALPETRIERE FONDÉE par J. M. CHARCOT . F. RAYMOND
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX
ES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE A. JOFFROY
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER
FROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES CUTANEES ET SYPHILIT
H0 ! <" DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE GILLES DE la TOURETTE
PROFESSEUR
AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS MÉDE
LA SALPÊTRIÈRE). POLYNÉVRITE ET POLIOMYÉLITE PAR F. RAYMOND,
Professeur
de Clinique des Maladies du Système Nerveux. Me
OI' LIMI3S) ET LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE PAR TOMMASI DE AMICIS
Professeur
à la Clinique dermo-syphiligraphique de Naples.
amen des yeux a été pratiqué à la clinique ophtalmologique de M. le
professeur
Badal par M. Cabannes, médecin oculiste des hôp
ctions ÉLECTRIQUES. L'examen des muscles a été pratiqué par 1\1. le
professeur
Bergomé. Au membre supérieur droit, conservation
E LA D1L'l'IUIRIL DANS LES TROPHONÉVROSES (1) PAR E. BRISSAUD
Professeur
agrégé à la Faculté de Médecine de Paris, Médec
des auteurs, dit M. Ilallopeau, sont d'accord pour admettre avec le
professeur
Pick une angionellrose, à laquelle il faut ajou
este encore problématique. Fig. il et 12. - Vitiligo luétanlél-isé (
Professeur
Fournier). Deux mots d'abord sur l'angiokéralom
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE AVEC AUTOPSIE par GILLES DE LA TOURETTE
Professeur
Agrégé, médecin de l'hôpital St-Antoine ET
entrée à l'hôpital suburbain de Montpellier dans le service de M. le
professeur
Grasset. Il a eu dernièrement quelques symptôme
bre supérieur DROIT ET DU côté DROIT Du cou (20 juillet), par M. le
professeur
Bergokié. Io Aucun muscle ne donne la réaction
nsi qu'en témoigne le fait suivant observé dans le service de M. le
professeur
Lanne J. G..., âgé de 56 ans, tombe dans un e
les sphères des nerfs médian et radial. Quinze jours après, M. le
professeur
Bergonié fait les constatations suivan tes :
t Kasso- witz, il peut naître un enfant très faiblement affecté. Le
professeur
Four- nier, dans ses leçons si remarquables sur
sans hérédité paternelle, sont relativement très rares, puisque le
Professeur
Fournier, dans son livre, n'en présente que 13
îné la mort de tous ces enfants. Mais, comme l'a fort bien dit le
professeur
Fournier, « la syphilis céré- brale héréditaire
inent, clinicien expérimenté, nosologiste célèbre, médecin répandu,
professeur
suivi, il a été universellement connu et appréc
ses théories mé- dicales de l'amour. » C'est en ces termes que le
professeur
Grasset, de Montpellier, rend hommage à la mémo
se aujourd'hui introuvable sont exposées en détail dans le livre du
professeur
Grasset auquel nous ferons de fréquents emprunt
gstraaten, d'abord médecin à Dordrecht, philolo- gue érudit, devint
professeur
, puis correcteur à l'Ecole latine d'Amsterdam. Il
bre de monographies. Comme modèles du genre, nous citerons celle du
professeur
Pel à Amsterdam, et celle plus récente du Dr G. B
divers. Nous rapportons dans huit observations du service de M. le
professeur
Raymond ces troubles sensitifs. Nous avons étab
DE LA SALPÊT1UÈRE NOTE SUR DEUX TICS DU PIED PAR F. RAYMOND.
Professeur
de la Clinique des Maladies du Système Nerveux.
1,-ch, IV, p. 5. FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY CLINIQUE DE 111. LE
PROFESSEUR
.S7/7\W. SUR LES ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESS
ULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE PAR . G. ETIENNE
Professeur
agrégé à la Faculté de Médecine de l'Université d
déterminante de la localisation mor- bide, comme l'a bien montré le
professeur
Raymond dans les cas réunis par lui. C'est ains
fance d'une poliomyélite aiguë. C'est ce fait rare étudié par M. le
professeur
Bernheim (1) et par Sterne (2). Mais des observ
tte étude des réactions électriques, faite par notre collègue M. le
professeur
Guilloz. Membre supérieur gauche : réactions él
s rapportons est celle d'un malade observé dans le service de M. le
professeur
Raymond. Ce malade s'est présenté à la consulta
nous a donné 17 centimètres de mercure avec le sphygmomanomètre du
Professeur
Po- tain, chiffre tout à fait normal. Les urine
lésions des articulations qui, elles, sont fré- quentes. ' M. le
professeur
Raymond rapportait récemment encore des exemples
de par l'absence de lésions médullaires. Sur les conseils de M. le
professeur
Raymond, nous avons profité de l'observation de
rlendemain dans le coma après deux jours de délire ? D'ailleurs, le
professeur
Grasset, dans son remarquable article déjà cité,
entrée, vers- la fin du mois de juin 1898, dans le service de M. le
professeur
Brissaud. Elle était venue à l'hôpital Saint-An
ques doubles. Aussi, M. Mathieu, s'appuyant sur les rapports que le
professeur
Potain admet entre les oedèmes névropathiques e
son de santé pour les maladies nerveuses de Toulouse. Depuis que le
professeur
Brissaud et ses élèves ont attiré l'attention des
ît pas non plus que nous ayons à faire ce spasme dé- crit par M. le
professeur
Jaccoud, sous le nom d'hyperkinésie de l'acces-
ENTES, ATTITUDE DE PRÉDICATEUR ET ACROMÉGALIE PAR R SABRAZÈS,
Professeur
agrégé à Faculté de médecine de Bordeaux. SOMMA
es glandulaires. L'examen électrique des muscles pratiqué par M. le
professeur
Bergonié a donné les résultats suivants : Con
sciatique n'est pas un sujet épuisé. jf Il y a un an environ, M. le
professeur
Charcot atti- rait l'attention de ses auditeurs
ASIQUE) Par le D' LADAME (de Genève) '. En février dernier, M. le
professeur
Charcot me fit voir dans son service à la Salpê
les Leçons sur un cas d'hystérie niale avec astasie- abasie, par le
professeur
Grasset, recueillies par L. Bourget, (Olottpellie
acune de ces formes peut exister sous de nombreuses variétés. M. le
professeur
Grasset, a UN cas d'abasie-astasie. - 47 Î re
rapporter. Je ne terminerai pas cette note sans témoigner à M. le
professeur
Charcot tout ma gratitude pour l'ama- bilité av
T PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES * ; Par M. le Dr AZICHEG CATSARAS,
Professeur
agrégé de la Faculté d'Athènes, Médecin de l'asil
s à air comprimé. La voici : 24 août 1880, dans le service de M. le
professeur
Cunès, s'est affaissé hier matin en sortant du
ri- tatif absolument secondaire. Notre cher et éminent maître, le
professeur
Jaccoud, avait donc raison d'appeler déjà en 18
USE. ' Pour être complet, on ne peut pas omettre le tra-' vail du
professeur
Leyden intitulé « De l'affection de la moelle é
E C01fU1\ÉE. - MYELITE AIGUË) , - Par le D X.\Y1ER f131\C01'TE (
Professeur
à l'Umvcrsité de Liège. I. GLIOMATOSE, formatio
tes, la sensation musculaire manquera. Un autre disciple éminent du
professeur
Golgi, Victor Marchi, a publié, sur la structur
hypoglosse, etc. De l'Institut anatomique de Turin, dirigé par le
professeur
Giacomini, sont sortis aussi de remarqua- ' Rom
été admis par tous ceux qui y ont prêté attention à l'exception du
professeur
H. Munck et du D'' Drobnik. Je partage l'avis d
tanie, par le D'' Anton von Eiselsberg, assistant de la clinique du
professeur
Billroth. Dans son travail M. Eiselsberg, après
il a répété et étendu l'observation fondamentalement importante du
professeur
Schiff sur les effets de la transplantation de
toine. En z1886, j'ai rapporté dans ce journal les recherches du
professeur
Schiff, qui, le premier a montré que chez les chi
ent sauve la vie à l'animal. Il me semble que ces observations du
professeur
Schiff, et du D'' Eiselsberg ont une valeur parti
Une question bien plus difficile à résoudre est celle que pose le
professeur
Schiff dans son travail et que l'expérience ré-
onneur de son jubilé. L'assemblée se lève ensuite en l'honneur du
professeur
Rü6le, décédé dans le courant de l'été dernier.
R.1Z. - M. le Dr F. Muller, privat- docent de neurologie, est nommé
professeur
extraordinaire d'élec- tro-diagnostic et d'élec
janvier 1885, a été fondé sous les auspices 298 FAITS DIVERS. du
professeur
Forel, de Zurich, un des champions de la lutte co
la maison nationale de Charenton. Nécrologies M. le Dr ROSENTHAL,
professeur
extraordinaire des maladies nerveuses à la Facu
decin de la marine, médecin-adjointde l'asile de V ducluse. - M, le
professeur
W¡';STPlI \L (de Berlin). Né à Berlin le 23 mar
puis il alla, à la mode allemande, suivre de ci de là les cours de
professeurs
célèbres à Heidelberg et même à Zurich. Choisi
le poste de médecin dirige, m du LUI service de la variole (1868).
Professeur
, extraordinaire en il Il fit des cours sur les
urs sur les maladies nerveuses et cérébrales; en 1874, il fut nommé
professeur
ordinaire de psychiatrie. Dans les dernières an
rankung ohne anat. Befutztl, etc., etc. M. le Dr RUDOLPH SCHOElOER,
professeur
extraordinaire de psychiatrie à la faculté de m
te, surtout de diabète grave, ainsi que l'a le premier montré M. le
professeur
Bouchard dans ses leçons de 1881 et dans une in
te, M. Leyden cite le Dr Raven (1887)'. \ Mais les travaux de M. le
professeur
Bouchard datent de trois ans auparavant (1884).
trière. expérimentale de BÜcarest. (Travail du Laboratoire de M. le
professeur
Charcot.) I. L'étude de la maladie appelée pa
e de psychologie physiologique de Leipzig, sous la direc- tion du
professeur
Wundt, est devenu le centre de ce genre de rech
SCLEROSE COU131VLE. - MYÉLITE AIGUË) Par le Dr XAVIETI FRANCOTTE
Professeur
à l'Université du Liège. II. SCLÉROSE combinée
ier '181n7, à une tuberculose pulmonaire, dans le service de \l. le
Professeur
Alasilis. Le malade était entré à l'hôpital d
Mais il existe une tradition pour ainsi dire classique, qui crée au
professeur
l'obliga-tion de s'expliquer tout d'abord, d'une
ecueil et, par dessus tout, le monument impérissable édifié par M. le
professeur
Cruveilhier, sous le nom d'Atlas $ anatomie patho
a été professée en 1867. 2. Allusion au discours prononcé par M. le
professeur
Virchow, à Ha-novre, au Congrès des naturalistes
ent du cerveau, par L. lloslan, médecin de la Salpé-trière. (1820.)
professeur
Cruveilhier, pendant son séjour à la Salpétrière,
ple, dans les cellules cérébrales, d'après les obser-vations de M. le
professeur
Vulpian(2), dont j'ai pu souvent constater l'exac
ouvent souvent remplies, ainsi que l'ont fait voir Paget (2) et M. le
professeur
Robin (3), de granulations graisseuses ; et M. Vu
G011.I, p. 211, Londres, 1803. se forment les dépôts, d'après M. le
professeur
Rouget; aussi, la boue blanchâtre qu'on rencontre
ier; et cela, dès le premier accès, comme l'ont signalé Todd et M. le
professeur
Trousseau (1). III. La goutte, on le sait dep
étions de l'oreille externe signalées par Ideler, Scudamore, et M. le
professeur
Cruveilhier; Garrod a su montrer tout le parti qu
ée Syden-ham, ou les pages éloquentes consacrées à ce sujet par M. le
professeur
Trousseau. Voyons maintenant quelles sont les p
trouve, sous forme de stupeur, dans la goutte, d'après Lynch et M. le
professeur
Trousseau. Les convulsions qui se manifestent d
catarrhe de la vessie, et d'autres phénomènes de cette espèce. M. le
professeur
Laugïer a bien voulu me com-muniquer une observat
goutte bien caractérisés ne pouvait-être révoquée en doute ; et M. le
professeur
Laugier nous a communiqué une observation dans la
n Hollande et en Belgique, d'après Coley, et en Suisse, d'après M. le
professeur
Lebert. Elle a presque dis-paru dans les endroits
nettement le rhumatisme de la goutte. D'après les recherches de M. le
professeur
Mon-neret (1), si le rhumatisme est mono-articula
qui, le plus souvent, est frappée la première, d'après Budd et M. le
professeur
Monneret. On voit souvent les arthrites rhumati
ndiquer; elle serait, en effet, de huit à quinze jours, d'après M. le
professeur
Bouillaud ; de vingt et un jours, d'après Le-grou
it aussi que dans ses études si remarquables sur l'endocardite, M. le
professeur
Bouillaud avait longuement insisté sur la rougeur
équemment dans le rhu-matisme subaigu, malgré la loi célèbre de M. le
professeur
Bouillaud, loi rigoureuse, loi tyrannique, si j'o
. le Dr Ollivier a recueilli tout récemment, dans le service de M. le
professeur
Grisolle, l'observation d'un homme âgé de vingt-t
sme articulaire. Dans la forme aiguë de cette dernière maladie, M. le
professeur
Monneret avait déjà démontré l'inutilité du colch
adie. La teinture d'iode, à l'intérieur, a été préconisée par M. le
professeur
Lasègue. La dose prescrite était élevée progressi
diagnostic des maladies fébriles par la température, sur lequel M. le
professeur
Sée appelait récemment l'attention de ses auditeu
upart des auteurs, du rhu-matisme articulaire chronique, et par M. le
professeur
Piorry des arthrites chroniques et des arthropath
nt analysées dans le chapitre du livre des maladies du rein, de M. le
professeur
Rayer qui traite des rapports de la néphrite albu
alté-rations ont été parfaitement décrites et représentées par M. le
professeur
Cruveilhier, dans son bel Atlas danatomie patho-l
l'aide du microscope, par divers auteurs et par nous. Suivant M. le
professeur
Monneret (1), Leuwenhoeck aurait vu au microscope
s propositions de M. Garrod, les affections saturnines, au rapport du
professeur
Christison, ne s'observent que très rarement. La
rigine, la forme chronique, pour spécitier les cas de ce genre, M. le
professeur
Monneret propose la dénomination de goutte chroni
and chronic Rheumatism of the joints. London, 1843, p. 35), et M. le
professeur
Trousseau fait remar-quer, de son côté, qu'une pr
alvules mitrales étaient composées, suivant une ana-lyse faite par le
professeur
Masuyer, de phosphate et d'urate de chaux et de s
anes, comme dans la rate, pendant l'acte de la désassimilation. M. le
professeur
Robin a indiqué une nouvelle source de l'acide ur
nés par la mort. Sous ce rapport, comme l'a bien fait ressortir M. le
professeur
Boucbardat (Annuaire de thérapeutique, p. 13(5, P
du cœur se sont développées sous sa seule influence. I. En 1846, le
professeur
Romberg (Klinisch. Ergebn. Berlin, 1846. p. 11.5)
culaire. La relation dont il s'agit avait été signalée déjà par M. le
professeur
Trousseau (Clin, méd., t. Iff, p. 302). La néphri
lpêtrière à la con- DE LA PARALYSIE FACIALE. 9 sultation de M. le
professeur
Charcot (26 avril 1887), l'histoire bien curieu
l'observation médicale. ' Travail du laboratoire clinique de M. le
professeur
Charcot à la Salpê- trière. 48 PSYCHOPHYSIQUE
er ici notre profonde reconnaissance à notre illustre maître, M. le
professeur
Charcot, pour le précieux con- cours qu'il a pr
ion de Bérard aîné 2, concernant un malade atteint de phéno- 1 Le
professeur
Semmola, dans une lettre qu'il nous adressa il ce
rale et, en particulier, du système osseux. Il y longtemps que le
professeur
Charcot avait appelé l'attention sur l'étal patho
, aujourd'hui, comme preuve partielle, mais indéniable des idées du
professeur
Poincaré et de moi, un exemple d'une dénu- trit
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 1. 10,NOI'LEGIA ANÆ5TlllnICA; par le
professeur
Adamkiewicz. (Wielle/' Mediziiiischeiz, Bldtter
de quatre observations nouvelles que d'une statistique empruntée au
professeur
Bouchard à qui l'on doit d'avoir le premier mis
de sa clientèle jusqu'au moment de sa mort. De 1864 à 1869, il fut
professeur
d'anatomie, et, depuis 1872, il occupa la chair
atorze ans et demi, entre le 9 mars 1887 dans le service de M. le
professeur
Charcot, salle Duchenne de Boulogne. Les antécé-
semblèrent cependant un peu diminuées. Je m'adressai alors à M. le
professeur
Charcot, qui voulut bien m'aider de ses conseil
ettre sous presse, je viens de prendre connaissance d'un mémoire du
professeur
Adamkiewicz (de Cracovie), paru le 5 juin derni
résumer ces deux faits et d'analyser l'interprétation que donne le
professeur
allemand, ne serait-ce que pour faire voir les
n contingent notable de professions libérales (médecins, avocats,
professeurs
, artistes, ingénieurs, fonctionnaires), tan- di
ues (traumatisme, insolation, excès, ' C'est la conclusion de M. le
professeur
Lefèvre de Louvain; mais il y est arrivé par de
as plus que les mouvements rythmiques du coeur sur le myocarde. Les
professeurs
ont adopté une méthode dite de Stuttgart, dans
26 mars 1887.) A. RnouLT. VII. Remarques adressées A la théorie du
professeur
Arndtsur les hallucinations et les illusions. [
tion en date du 18 mai 1887; 2° une consultation signée de M. le
professeur
Charcot, en date du 24 mai; 3° une série d'écrits
, en date du 24 mai, a été rédigée à la suite de la visite de M. le
professeur
Charcot à la maison de santé. L'état de M. Seil
t Pensées sur les causes de la folie. Cette même année il fut nommé
professeur
de psychologie et de jurisprudence médicale au
rganiques) et sur l'épilepsie cérébrale, précédées d'une préface du
professeur
Clarcot.- Volume in-8" de 571 pages avec 83 fig
nées ET provoquées CHEZ LES hystériques); Par les Drs J. GRASSET,
professeur
de Clinique médicale, et A. BROUSSE, professeur
les Drs J. GRASSET, professeur de Clinique médicale, et A. BROUSSE,
professeur
agrégé à la Faculté de médecine de Montpellier.
oi, dans le service de la Clinique médicale, dirigé alors par M. le
professeur
agrégé Mossé, et où il nous est donné de l'obse
'ont reprise et qu'elle n'a plus eu d'accès de tremblement. M. le
professeur
Grasset étant survenu pendant qu'elle est endor
t l'heure fixée chez M. Grasset, où se trouvent déjà réunis MM. les
professeurs
l;ator, Jaunies, Dumas, etc. A 4 heures et demi
ément à l'ordre donné antérieurement, et nous la présentons à M. le
professeur
Dupré. Nous répétons devant lui les expériences
nous fit renoncer momentanément à un diagnostic plus détaillé. Le
professeur
Kahler fut plus heureux : chez le ma- lade qu'i
e, correspondait aux symp- tômes cliniques de son malade. Le cas du
professeur
Schultze ", publié quelques mois plus tôt, prés
nce relative des malades appartenant à cette catégorie. Ainsi, le
professeur
Schultze à Heidelberg, a étudié anatomiquement
n accidentelle. Grâce à l'habitude prise dans le service de M. le
professeur
Kojewnikoff, de rechercher d'une manière plus s
troite à constriction postérieure (casque neu- rasthénique de M. le
professeur
Charcot), mais fréquemment la douleur s'atténue
avocat à la cour de cassation, et M. Albert Desjardins, aujourd'hui
professeur
à la faculté de droit de Paris. Une commissio
'; l'autre : L'urt de soigner les nerveux et les insensés 2, par le
professeur
Charles mille ? Eh bien ! ce qu'on doit faire p
iée par MM. les Drs G. LEGUÉ et G. DE la TounETTE. Préface de M. le
professeur
Charcot, 'membre de l'Institut. Un beau volume
laquelle sans cela il leur serait interdit de prétendre. M. Eustis,
professeur
à la faculté des sciences de l’université de Camb
e par-dessus; symphonie d'instruments!... tout cela a’est, pour M. le
professeur
Eustis, qu’un tour, un tour d'escamoteur exécuté,
gré tout, je ne me crois pas fondé à mettre en doute 1e. bonne foi du
professeur
. Que voulez-vous, cet homme est lui-même une vict
personne qui, en présence et à la satisfaction d’un certain nombre de
professeurs
de l’Université de Cambridge, reproduirait quelqu
ée d’examiner les prétentions des aspirants au prix, se composait des
professeurs
Pierce, Agassiz, Gonld et Horzford, tous quatre s
, étonne beaucoup les gens qui ne sont pas habitués à voir les fameux
professeurs
d’escamotage, consiste h rendre les corps alterna
re tourbillon un rang considérable, seraient sans action sur nous? Le
professeur
de magie n’a-t-il donc pu rien imaginer au de
« (Page 12/i). Voilà qui va nous économiser les frais d’écoles et de
professeurs
; on remplacera tout cela par. la prière qui ne c
et sont attentifs à ce qui doit arriver. Philosophes et savants,
professeurs
à la Sorbonne, magistrats, avocats et médecins, t
écoles de médecine chercher les idées systématiques de nos illustres
professeurs
sur les maladies et la santé... Bientôt on n’intr
e magnétisations et que cette cure extraordinaire, est due au célèbre
professeur
des .sciences occultes, M. Brunet de Ballans. J
es traitements médicaux. Je ne saurais trop remercier l’élève et le
professeur
de cette heureuse guérison qui tient du prodige,
après examen minutieux des expériences et traitements magnétiques du
professeur
Brunet de Ballans, estime : -1° que ses«xpéii
ux en même temps d’exprimer ici ma profonde reconnaissance au célèbre
professeur
pour le service éminent de la guérison dont il s’
e avoir été traitée pendant dix-huit jours par M. Bi unet de Ballans,
professeur
de magnétisme, d’une amaurose grave que j’avais d
un religieux devoir de déclarer que cette guérison estdue.au célèbre
professeur
M. Bru-net de Ballans, et m'empresse, par ces pré
loeq , docteur-médecin ; Phosseter, docteur-médecin et savant; Pigny,
professeur
à l'université ; Pelletin, rédacteur de l’Écho; A
professeur à l'université ; Pelletin, rédacteur de l’Écho; A Stenner,
professeur
; C. de Geneffe, com-missairede police ; E. Acton,
Stenner, professeur; C. de Geneffe, com-missairede police ; E. Acton,
professeur
à l’université ; A. Re-not, chimiste ; Dupré, sav
es, indûment guéris par les lucides, viennent gambader à la barbe des
professeurs
et rire effrontément de leurs anathèmes. Aussi so
possèdent des mâchoires, Dont Samson eût armé ses mains. Flourens,
professeur
ridicule, Quand il nous frappe de ses coups, Mé
viennent de l'air et y retournent. » Cette déclaration do l'itlustie
professeur
confirme pleinement l'assertion des savanls d’aut
BLIOGRAPHIE. LE SOMNAMBULISME DEVANT LA SORBONNE. M. Ch. Lévêque,
professeur
à la Faculté des lettres de Paris, a fait paraîtr
s quant aux points fondamentaux de sa doctrine, par MM. Baudrillai t,
professeur
au collège de France, et Oscar de Vallée, avocat
mmençai à chanter la même chanson ; mais il paraît que Jinn n’est pas
professeur
de guitare, car son accompagnement ne consistait
plus de détails, au premier volume du Cours de Physique de M. Jamin,
professeur
de physique à l’Ecole polytechnique, publié par M
de Philadelphie, je profitai de cette circonstance pour aller voir le
professeur
Hare et m’informer des développements et des déco
ée par une notabilité de la science médicale, — M. le docteur Bonnet,
professeur
à l'école de Lyon,—dans une lettre adressée à l'a
ne. Baïhaut. VARIÉTÉS. M. Guidi, meir.bre du jury magnétique,
professeur
de magnétisme à Nice, rédacteur en chef du journa
GIE. Nous apprenons avec peine la mort du docteur Williams Grégory,
professeur
de chimie à l’université d’Edimbourg, membre de l
ous faire une assez longue histoire. Il y a six ans, j’étais encore
professeur
dans une institution dirigée par des ecclésiastiq
n ouvrage de philosophie de l’abbé Cau-pert (1), prêtre desSS. Cœurs,
professeur
de théologie, membre de plusieurs sociétés savant
l’autre vers le nord ou l’ouest. La même chose arriva en présence du
professeur
Xavier Epp, que l’académie de Munich avait envoyé
sont d’un grand poids. « Nous avons la confiance, dit l'abbé Maupied,
professeur
d’Ecriture sainte à la Sorbonne et membre de plus
squels nous distinguons des prélats romains, des grands-vicaires, des
professeurs
de grands et petits séminaires, loin de voir dans
digne de leur savoir éminent ; elle avait ainsi épuisé sa fortune. Le
professeur
Gross , de I.ouisville , après lui avoir fait sub
ma question. Et plus tard, bêlas l ia physiologie, livcçs et maîtres,
professeurs
et docteurs ne m’eu surent pas dire davantage. Pa
st venu ce proverbe : le dernier i/ui parle a toujours raison. Chaque
professeur
d’éloquence sacrée ou profane a son pathos ;ï lui
tes, des fripons ou des visionnaires. Voyez-vous tous ces illustres
professeurs
de médecine exacte, cherchant dans le temple élev
urnal du Magnétisme a parlé lorsqu'elles ont paru. Depuis , ce savant
professeur
a publié deux volumes : L'Homme sen-sitif et ses
iterons quelques lignes dUm ouvrage philosophique de l’abbé Cau-pert,
professeur
de théologie et membre de plusieurs sociétés sava
PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL LEÇONS DU MARDI À LÀ SALPETRIEM
Professeur
CHARCOT POLICLINIQUE 1888-1889 Notes de Cours
lement avec insistance : dans les leçons très préparées à l'avance le
professeur
conduit ses auditeurs dans des chemins préalablem
e, excellente pianiste, dont l'histoire m'a été communiquée par M. le
professeur
Pitres, laissait échapper bruyamment les mots qui
nous considérerons le sujet vu de face et nous constaterons l.M. le
professeur
Erb, d'Heidelberg, dans une lettre publiée parle
h.....ey y fut admis dans le service de chirurgie, dirigé par M. le
professeur
Richet. C'est là seulement qu'il paraît avoir p
Il fut, nous l'avons dit, admis à Laè'nnec dans le service de M. le
professeur
Damaschino le 29 mars 1887 ; il y resta jusqu'au
rnerai à vous rappeler à ce propos l'observation bien connue de M. le
professeur
Quatrefages, relative à une famille de quatre enf
ur l'immense majorité des cas que la classification établie par M. le
professeur
Erb, des paralysies faciales en forme légère, moy
lète. » Ces cas qui paraissent échapper aux règles posées par M. le
professeur
Erb doivent être certainement fort exceptionnels.
msen d'avoir appelé l'attention sur cet ordre de faits. Un élève du
professeur
Mierzeewski, de Saint-Pétersbourg,le Dr Finkelste
t observer ce phénomène remarquable de l'amnésie rétrograde que M. le
professeur
Azam de Bordeaux a bien étudié (1) dans ces derni
ndée sur des considérations purement théoriques ; il s'appuie, dit le
professeur
Lanne-longue dans un livre excellent dont je vous
s plus importants : l'examen de la souplesse du rachis, suivant M. le
professeur
Lannelongue (1), de la mobilité des vertèbres peu
le « Physician and Surgeon » 1883. October, n° X. — M. John Marshall,
professeur
à University college, et M. le Dr Raymond y ont f
eomme à ce dernier, relever de l'hystérie ; ce cas appartient \ M. le
professeur
Tessier fils, de Lyon. 2. Communication de MM.
à Brest où existe une école bien connue dans laquelle enseignent des
professeurs
fort distingués. Mais bah! on préfère, sans doute
nd à l'étude et se met à tourner de l'encre de Chine. A ce moment, le
professeur
lui parle et c'est alors seulement qu'il reprend
allait se mettre au lit. J'ai revu, ces jours-ci, un pauvre diable de
professeur
attaché à une école professionnelle qui m'a consu
ambula lion observées chez des militaires, par le Dr Emile Duporchel,
professeur
agrégé au Val-de-grâce. Paris, 1888. ï î. de îa
r ce sujet, après Sahli 1885, Simonin, thèse de Lyon, inspirée par le
professeur
Lépine, 1833, — J. Hoffmann sur Symptomatologle d
nce de la maladie tabétique. Cependant, il y a six ou sept ans, M. le
professeur
Leyden, de Berlin (2), a proposé d'introduire dan
. Vulpian a fait allusion aux cas de ce genre (1). Un malade de M. le
professeur
Fournier était sujet à des crises durant environ
ue forme que ce fut, était expulsé séance tenante. Une observation du
professeur
Pitres publiée dans le Journal de médecine de Bor
oppement est semblable à celui qui, suivant les observations de M. le
professeur
Straus, produit chez certains ataxiques, des ecch
méro de la Medicina contemporanea (n° 1, p. 6), journal dirigé par le
professeur
Sem-mola. Ce travail a pour titre : Sur une forme
re mention du syndrome se trouve dans un ouvrage déjà ancien de M. le
professeur
Jaccoud intitulé : Paraplégie et ataxie du mouvem
et vraiment saisissante. Après cela, j'ai trouvé dans un ouvrage du
professeur
Weir-Mitchell, de Philadelphie, sur les maladies
portent à la question (1). Tout récemment, ces jours-ci même, M. le
professeur
Grasset a commencé à faire paraître dans le Montp
la présente leçon, ainsi que celui qui vient d'être publié par M. le
professeur
Grasset, peuvent être cités comme des types du ge
à Aubervilliers où il enseigne les trucs de bateleurs. C'est chez ce
professeur
qu'il a appris à avaler des sabres, des étoupes e
re année d'études, ayant été un jour molesté et humilié par un de ses
professeurs
, qui lui avait « tiré les oreilles », il ripost
savant directeur de l'observatoire météorologique de Velletri, M. le
professeur
Ignazio Galli, dans divers numéros du Bulletin me
solument défaut ; c'est ce qui a été constaté entre autres, par M. le
professeur
Tourdes (3), sur un homme foudroyé à 1. S:i=tie
ion, du Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales (1), et le
professeur
Nothnagel dans un mémoire fort intéressant inséré
oici encore un fait du même genre rapporté par mon savant confrère le
professeur
de Quatrefages (1). « Lorsque M. Roaldès eut été
ions auxquelles je faisais allusion tout à l'heure appartient à M. le
professeur
Notlmagel (1). Il s'agit d'un forgeron âgé de 36
point (2). C'est à deux auteurs allemands, M. Schultze, aujourd'hui
professeur
à Dor-pat, et M. Kahler, professeur à Prague, qu'
lemands, M. Schultze, aujourd'hui professeur à Dor-pat, et M. Kahler,
professeur
à Prague, qu'on doit d'avoir, à partir de 1882, d
la sensibilité thermique.^Ce type a été parfaitement décrit par M. le
professeur
Pitres de Bordeaux, sous le nom de thermo-anesthé
des wagons-lits, est entré à la Salpêtrière, dans le service de M. le
professeur
Charcot, le 3 juillet 1889. Antécédents hérédit
». Il fut admis salle Saint-Luc, lit n° 13, dans le service de M. le
professeur
Peter suppléé par M. Ballet. 1. L'opération a é
SOUS I.A DII1ECTION DE ù111. A. JOFFROY Pt-uresseut'dechtnque 1
Professeur
de clinique des maladies mentales à I, Facu
GOMMEUSE DE L'ENCEPHALE; ? " - ' PAII ns DOCTEURS J. TEISSIER.
Professeur
à la Faculté de médecine doL¡on. ET T JO.\X
ue du mal. Les infirmières ont murmuré quelque chose contre elle au
professeur
qui pour cette raison, n'est pas venu la voir;
S6.) Pendant quelques semaines qu'il passe dans le laboratoire du
professeur
Laufenauer, l'auteur constate quatre fois l'hétér
emporaine, sur- tout en Allemagne et en Russie. Sur l'initiative du
professeur
Kors- sakoff, l'auteur a appliqué, pendant l'an
hropologie CRIMINELLE, la MÉDECINE légale ET la psychiatrie; par le
professeur
A. ZUCC : 1RELLI. L'anthropologie criminelle, t
versité de Lyon a entrepris, depuis trois ans, sous la direction du
professeur
Lacassagne, une série d'enquêtes psychologiques
lité de s'orienter dans l'espace. Examen ophtalmologique (par M. le
professeur
Ewetsky) fut cons- taté ce qui suit : la vue =
Des remarques ont été faites par MM. Mouratoff, Korniloff, M. le
professeur
Kojewnikoff et 1\1. Tokarsky. M. MAMOUROWSKY et
Après des remarques faites par MM. Orlowsky et Pribytl : ofï, M. le
professeur
Kojewnikoff a relevé la signification de l'étude
même pendant la vie des malades. Séance du 23 mai 1897. I. M. le
professeur
Ko.tewvhorr.. Paralysie bulbaire asthénique. Pr
de préparations microscopiques. A la discussion ont pris part M. le
professeur
Rots, MM. KouNt- LOFF,lIIINOR, illoURATOFF et \
. le professeur Rots, MM. KouNt- LOFF,lIIINOR, illoURATOFF et \i.le
professeur
KOJEWNIKOFF; ce dernier souhaita aux rapporteur
trois ans, entrée le 24 juillet 1894, au 3 femmes, service de M. le
professeur
Teissier. Antécédents héréditaires. Son père et
ntrée le 6 janvier 1896, salle 3° (femmes) dans le service de M. le
professeur
Teissier. Antécédents héréditaires. Son père es
urd'hui. La meilleure solution du problème a été donnée par M. le
professeur
Fournier, quand il a décrit, sous le nom de a pse
localisée au niveau du 8 segment cervical et du le, dorsal. M. le
professeur
110JEWN11101·1 attire l'attention sur la pureté d
re nommé commandeur de la Légion d'honneur; M. le D'' F. RAYMoND,
professeur
de clinique nerveuse, médecin de la Salpêtrière,
tous les médecins titulaires et adjoints des asiles de la Seine, du
professeur
de clinique des maladies mentales et de MM. Terri
llard. 2 ? 00 fr. (Triennal). Un prix de 1.200 fr. à M. J. Grasset,
professeur
à la Faculté de Montpellier, et M. G. Rauzier.
Grasset, professeur à la Faculté de Montpellier, et M. G. Rauzier.
professeur
agrégé à la même Faculté. Mention honorable avec
tuels que notre humanité décadente a mis à la mode ? Le Dr Forel,
professeur
à l'université de Zurich, psychiatre distin- gu
nous avons plutôt le devoir de détruire. Cette réponse, M. Désirée,
professeur
à l'universilé de Bruxelles, me la fournit par
l'inges- tion d'alcool, le résultai est complètement modifié, etle
professeur
raconte avec humour comment un partisan de l'al
on sine yttct non du bruit, ainsi que l'a si bien mis en lumière le
professeur
Pilres. On les observe surtout chez lesfemmes à
s la pathologie du système nerveux. Rapporteur : M. le Dr Sabrazès,
professeur
agrégé de la faculté de médecine de Bordeaux. M
vements involontaires chez les tabétiques, dans le riche service du
professeur
Raymond. Les conclusions de son travail sont le
. de médecine mentale de Belgique, septembre 1897.) En qualité de
professeur
de clinique psychiatrique, M. Francotte propose
se décharger de ces excitations. THÉORIE DES NEURONES 379 - Le
professeur
von Lenhossék a donné récemment une descrip- ti
çzle, mai 1897.) E. B. LXIV. DE la substitution musculaire : par le
professeur
THOMAYER. Les deux observations rapportées par
DE SUR LE trajet DES fibres exogènes DE la moelle épinière ; par le
professeur
Donetti. Les opinions sont très diverses à prop
éré comme une DES MA111PEST.aLIOYS DE la syphilis cérébrale; par le
professeur
BECHTEREW. Jusqu'à présent, les états d'obnubil
OCULO-MOTEUR (sezni-décussatiozz de l'oculo-moteur commun); par le
professeur
Grasset. A l'aide d'une série d'arguments physi
? .) E. R. LXXII. LES neurones, L'HYPNOSE ET l'inhibition ; par le
professeur
Bombarda. La vie psychique entière rencontre
ienne que ne le pense M. Régis. Elle remonte à 1847 et est due à un
professeur
agrégé de Montpellier qui en a observé quelques
ue peu différente des foyers inflammatoires. Dans la discussion, le
professeur
RoTH fait remarquer que la dé- signation du pro
tion des fibres arci- formes de la sphère motrice. Discussion. Le
professeur
KojEwmxow et le Dr Minor s'oppo- sent à la dési
ens (la moelle n'a pas été examinée par la méthode de Nissl). M. le
professeur
KojEWNmow prend aussi part a la dis- cussion. ·
le traitement des névroses, pré- cédées d'un avant-propos de M. le
professeur
Charcot. 11 a, l'un des premiers, vulgarisé l'e
cun trouble encéphalique. Le diagnostic porté à ce moment par M. le
professeur
Teissier fut : Paraplégie spasmodique. Pas de t
n'avons rien vu là qui puisse permettre, comme dans le cas de M. le
professeur
Raymond, de considérer que nous avions affaire
IQUES. 481 LXXX. LE grand sympathique ET LE corps thyroïde ; par le
professeur
J.-P. Morat (de Lyon). (Presse médicale, 22 déc
DÉVELOPPEMENT DU TÉTANOS ET L'LMMU- NITÉ antitétanique; par MM. les
professeurs
GIL1NTElIGSSE et Mari- NESCO. (Presse médicale,
spects et deux différentes origines, ce qui a été constaté par le
professeur
Stieda (de Dorpat). Dans les derniers temps, Ma
d'une espèce morbide nouvelle. Il rapporte que son maître, M. le
professeur
Lasègue, « rappelait à ce sujet l'obser- vation
zie, lorsqu'il prit connaissance des recherches de Ord. » Le savant
professeur
de Paris avait, en effet, observé plusieurs cas
nous devons aussi mentionner la savante leçon cli- nique de M. le
professeur
Charcot que M. de Ranse a fait paraître dans la
t. I, p. 27, 413 3 et : j6t. 88 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Le
professeur
Gamgeo (de Manchester) assista aussi aux di- ve
Nécrologie. M. le Dr Briquet, membre de l'Académie de mé- decine,
professeur
agrégé de la Faculté, médecin honoraire des hôp
t donné d'observer dans le service de notre excellent maître, M. le
professeur
Grasset. Observation (personnelle). Honorine
ans une leçon clinique faite à l'occasion de notre malade. 31. le
professeur
Grasset pense que la cachexie pachy- dermique t
l Association » invi- 32t I· REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tait le
professeur
Preyer (d'Iéna) à faire une conférence sur l'hy
ux heures et demie de l'après-midi, M. le premier curateur Baumler (
professeur
à Fribourg) ouvre la séance par des paroles de
envenue. La présidence est ensuite décernée par acclamation à M. le
professeur
RcvEC6Ea. M. le professeur JOLLY est désigné po
ensuite décernée par acclamation à M. le professeur RcvEC6Ea. M. le
professeur
JOLLY est désigné pour présider la seconde séan
me du Congrès International de médecine de Londres, le rapport du
professeur
BUNSEN touchant l'analyse de la source de la gale
aux. On passe ensuite à la série des communications qui suivent :
Professeur
FÜRSTNER et Dl Zacher (d'Heidelberg) : sur une an
à la région lombaire, bien que le canal vertébral soit unique. Le
professeur
Fùrstner fait une nouvelle communication relative
n et demi après la lésion, seront intégralement publiées 2. M. le
professeur
Schûltze (d'Heidelberg) présente au Congrès une
culaire est encore conservée. Du Paramyoklonus multiple par M. le
professeur
Friedreich. Il s'agit d'un cas spécial de convu
dans le poids du corps, qui suivent les accès d'épilepsie ; par le
professeur
dully (de Strasbourg). Par les recherches entre
ourg). Par les recherches entreprises sur ce sujet à la clinique du
professeur
, M. Lehmann se proposait de contrôler les indic
alement aux trois classes les plus inférieures de vertébrés; par le
professeur
Wiedersheim. Cette communication en- visage cin
t levée à cinq heures trois quarts. Séance du 22 mai. Présidence du
professeur
JoLLY. La parole est donnée à 51. le professeur
mai. Présidence du professeur JoLLY. La parole est donnée à 51. le
professeur
Bêcher pour une commu- nication sur la pathogén
Des analogies entre la commotion rétinienne et cérébrale, par le
professeur
BERLIN. Traçant d'abord une courte esquisse d'une
. Contribution à l'étude de la paralysie ascendante aiguë, par le
professeur
SCHULTZE (d'Heidelberg). Le cas rapporté par M. S
u système nerveux. Par un autre décret de la même date, M. Charcot,
professeur
d'anatomie pathologique à la Faculté de médecin
Par arrêté ministériel, en date du 12 janvier 1882, M. Lacassagne,
professeur
de médecine légale, est nommé directeur du labo
Rosenthal. A côté de ces faits vient se ranger le suivant que M. le
professeur
Richet nous a engagé à publier. Observation.
ire admettre des mouve- ments volontaires de la pupille ; ainsi, le
professeur
Béer (de Bonn), pouvait volontairement contract
e Romande, 1881, nos 1, 2, 3.) Le travail très intéressant de M. le
professeur
Prévost est divisé en deux parties. La première
uelles s'applique nettement la division en périodes établies par le
professeur
de la Salpétiière. M. Richer a pu en outre, dan
ONDÉE PAR J. M. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX
ESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY
PROFESSEUR
DE CLINIQUE IDES MALADIES MENTALES A. FOURNIE
ROY PROFESSEUR DE CLINIQUE IDES MALADIES MENTALES A. FOURNIER
PROFESSEUR
DE CLINIQUE DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILIT
CTEUR HONre DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE GILLES DE la TOURETTE
PROFESSEUR
AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE MÉDECIN DES H
SALPÊTRIÈRE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE NERVEUSE DE 11. LE
PROFESSEUR
RAYMOND ( z CONTRIBUTION CLINIQUE A L'ÉTUDE
brachial à la syringomyélie. Mais dès 189o les leçons cliniques du
professeur
Brissaud attiraient l'at- tention des neurologi
ressions segmentaire et radiculaire. Sous l'influence des leçons du
professeur
Brissaud, les neurologistes ont donc étudié que
recueillie à la Clinique Charcot dans le service de notre maître le
professeur
Raymond. .Uns. III. Henri Seg... 9 ans. (Planch
un Pectoral cos- tal innervé par la VIF, divisions adoptées par le
professeur
Raymond et par Déjeiine(Séiiiéiologie du systèm
tion précédente ce deuxième fait : Oi3s. IV. Le 29 juin 1899, M. le
professeur
Raymond a adressé à l'un de nous, pour pratique
Cet enfant a été conduit à l'Hôtel Dieu à la consultation de M. le
professeur
Brissaud en mai 1901 avec le diagnostic de chor
ement des paupières. L'examen ophtalmoscopique prati- qué par M. le
professeur
Ifaltenholf n'a révélé aucun trouble paralytique
trouvera un bel exemple dans le traité des maladies ner- veuses du
professeur
Grasset. Les deux cas que nous publions, observés
ux cas que nous publions, observés à la clinique de notre maître le
professeur
Raymond, nous ont paru re- marquables d'abord à
rax porté en avant : l/l) Ces deux malades ont été présentés par le
professeur
Raymond à la leçon clini- que du 31 janvier 190
emblables à la démarche en crapaud et au maintien du malade dont le
professeur
Grasset a rapporté l'observation dans ses leçon
NOUVEAU CAS D'AMYOTROPHIE A TYPE CHARCOT-MARIE PAR R F. SOCA,
Professeur
à la Faculté de Montevideo. Le cas suivant prés
, et notamment - au lit. Les autres sens sont en parfait état. Le
professeur
d'ophtalmologie qui a exa- miné l'oeil, l'a tro
E CONTRIBUTION A L'A THÉORIE DES MYOPATHIES PAR G. ROSSOLIMO,
Professeur
agrégé à l'Université de Moscou. Pour la maladi
UEUE DE CHEVAL ET DU SEGMENT INFÉRIEUR DE LA MOELLE, PAR R Le
Professeur
. RAYMOND (1). Messieurs, Le cas du malade qui
lacée devant vous Elle est emprun- 92 RAYMOND tée à un travail du
professeur
Schultze, de Bonn. Les hachures, que vous aperc
uction primitive du segment postérieur de la capsule interne). Le
professeur
von Strümpell a publié un cas de tabes dorsal spa
, à laquelle M. Jacques Cherechewsky a consacré sa thèse (1), M. le
professeur
Grasset une place hono- rable dans son récent t
dernier numéro de la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, M. le
professeur
Dejerine nous écrit pour nous faire re- marquer
laiques, dont la disposition radiculaire a été découverte par M. le
professeur
Dejerine, en nous ap- puyant sur des cas que no
OME. - GLlO1\IATOSE DIFFUSE) ? . PAR , 1. MM. Gilbert BALLET ET
Professeur
agrégé à la Faculté de Médecine Médecin de l'Hô
tait évidente. (1) Ce malade a fait l'objet d'une leçon clinique du
Professeur
Debove (Médecine Moderne, 4 mai 1902). UN CAS
NCE DU SPLENlUM ET DU TAPETUM DU COTÉ DROIT, PAR E. BRISSAUD,
Professeur
à la Faculté de Médecine de Paris, Médecin de l
son admission à l'Hôtel-Dieu et est placé dans le service de M. le
professeur
Duplay, où il resta pendant six mois. Pen- dant
, p. 361. DÉVIATIONS DE LA COLONNE VERTÉBRALE 379 le service du
professeur
Charcot, par M. Londe, et que l'on peut voir da
e, présente un réel intérêt. Nous devons à la bienveillance de M.le
professeur
Mossé d'avoir pu étu- dier l'autre dans son ser
urants, le malade ne se plaint pas. 'Examen de la vision. - M. le
professeur
Frenkel a bien voulu nous com- muniquer le résu
de Paris. Dans le premier numéro de l'année 1902 de cette revue, le
Professeur
Soca (de Montevideo) publie un cas d'atrophie m
onnelle que cette hypothèse puisse paraître. Le cas publié par le
professeur
Soca vient combler une lacune, parce qu'il est
trace d'atrophie. Ce fait vient donc à l'appui de l'observation du
professeur
Soca et j'estime qu'en présence de pareils cas,
EUE DE CHEVAL ET DU SEGMENT INFÉRIEUR DE LA MOELLE (1) PAR Le
professeur
F. RAYMOND. Messieurs, Il y a quelques semain
it admettre à l'hôpital Nccker, dans le service de mon collègue, le
professeur
Guyon. On le sonda pendant une hui- taine de jo
aminer deux cas mis très obligeamment à notre disposition par NI.le
professeur
Pierret.Enfin en dernier lieu nous avons pu ret
s apparente sur une coupe colorée au carmin et déjà ancienne que le
professeur
Pier- ret a bien voulu nous confier. On peut mê
t, en effet, plusieurs verres d'absinthe par jour. M. Papillâult,
professeur
à l'École d'anthropologie, a bien voulu compléter
issement excessif des os (Henry Meige) (1). Il y a peu de temps, le
professeur
Joffroy (2) évoquait le souvenir de Lorain mont
e gigantisme des eunuques est le squelette rapporté d'Egypte par le
professeur
Lortet et qui se trouve actuellement au musée L
IQUE DES maladies i min mm M. le Professeur CHARCOT Leçons du
Professeur
, Mémoires, Notes et Observations Parus pendant
a sclérodactylie. La sclérodermie dactylique, comme l'appelle M. le
professeur
Bail, qui en a fait une importante étude, est une
e saurais préciser. Quelque temps après la leçon qui précède, M. le
professeur
Charcot montrait, dans une de ses conférences cli
ncore à peu près inconnu aujourd'hui. Premières observations de M. le
professeur
Charcot, travaux récents sur cette question. Desc
toutes nos tentatives thérapeutiques. Quelque temps après que M. le
professeur
Charcot eut fait la leçon qui précède sur l'œdème
facteur, entré le 22 avril 1890, salle Prus, n° 16, service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires.— Mère violen
rrhagie porte parfois son action sur les nerfs. Tout récemment, M. le
professeur
Panas signalait la névrite optique blennorrhagiqu
ature, elle est, depuis longtemps, connue, grâce aux travaux de M. le
professeur
Four-nier. Il est bon d'y penser dans des cas ana
d'insister là-dessus. « Dans le mal de Pott lombo-sacré, dit M. le
professeur
Lannelongue, elles se présentent sous la forme de
vait quelque chose aux yeux ; on parla de le faire examiner par M. le
professeur
Panas. Mais à cause de l'encombrement produit à l
ressant. Il a été recueilli à la consultation particu* Iière de M. le
professeur
Charcot. Obs. V. — Polioencêphalomy élite. Homm
trophiés, l'administration de l'iodure de potassium à l'intérieur. Un
professeur
de Vienne prescrivit des frictions mercuriclles,
trition, soit que celle-ci soit retardée, suivant la théorie de M. le
professeur
Bouchard, soit qu'elle soit accélérée, ainsi que
te, surtout de diabète grave, ainsi que l'a, le premier, montré M. le
professeur
Bouchard dans ses leçons de 1881 et dans une inté
diabète, M. Leyden cite le Dr Raven (1887) Mais les travaux de M. le
professeur
Bouchard datent de trois ans auparavant (1884).
térie mâle dans le seul service de clinique générale dirigé par M. le
professeur
Pitres 2, dans l'espace de deux ans. Je ne parl
d., août 1890.) s Bitot. — L'hystérie mâle dans le service de M. le
professeur
Pitres à l'hôpital Saint-André de Bordeaux, Th. B
e divergence d'opinion essentielle entre nos confrères et nous. M. le
professeur
Mendel a montré la fréquence de l'hystérie chez l
de la Salpélrière, 1889, p. 110 et 118. 2 Ces jours derniers, M. le
professeur
Charcot demandait à M. le Dr Lan-dolt s'il connai
les détails de l'observation qui a seimrde thème à la leçon de M. le
professeur
Gharcot : Observation. — I... Nov...ka, âgée de
ssassinat et reçut, en voulant s'interposer, un coup (1) Un éminent
professeur
de lettres, que nous avons consulté, croit qu'il
ut être complète, absolue. Et je pourrais, à ce propos, vous citer un
professeur
distingué dans la catégorie du droit que nous avo
ertain nombre d'auteurs, entre autres M. ßouicli(l),un élève de M. le
professeur
Debove, et M. Babinski (2), sont entrés dans cett
te question a été remise à l'ordre du jour. M. Strümpell, aujourd'hui
professeur
à Erlangen, consacrait en 1887, dans son livre, u
, la dyspnée, la chorée rythmée qui, du reste, comme l'a montré M. le
professeur
Charcot, s'entremêlent parfois avec la manifestat
u ont établi, par des recherches entreprises dans le service de M. le
professeur
Charcot, que l'analyse des urines de la période d
ncore à peu près inconnu aujourd'hui. Premières observations de M. le
professeur
Charcot, travaux récents sur cette question. Desc
CAPSU- LAIRES CHARGÉES DE TRANSMETTRE LA PAROLE; Par le Dr BITOT,
professeur
honoraire de la Faculté de médecine de Bordeaux
vons en effet, en ce moment, dans le service de notre maître, M. le
professeur
Charcot, un cas qui, par bien des points, se ra
înement perdirent le simulateur. La seconde observation concerne un
professeur
, coupable de faux, qui, en se faisant passer po
il vit en bonne intelligence avec les médecins. Il n'existe pas de
professeur
spécial. La cuisine n'utilise pas la vapeur non p
f ont de- chaires de pathologie mentale, sept des cours libres. Les
professeurs
sont di- visés en ordinaires, extraordinaires e
e l'Académie de médecine, doyen de la faculté de médecine de Paris,
professeur
de physiologie à la même faculté; -Paul Bert, m
de physiologie à la même faculté; -Paul Bert, membre de l'Institut,
professeur
de physiologie générale à la faculté des scienc
e à la faculté des sciences de Paris; Uouley, membre de l'Institut,
professeur
de pathologie comparée au Muséum d'histoire nat
re naturelle,- le De Villernin, membre de l'Aca- démie de médecine,
professeur
de clinique médicale à l'école d'application de
pharmacie militaires de Paris; le Dr Vulpian, membre de l'Institut,
professeur
de pathologie comparée et expérimentale à la fa
trophie relative à la troi- sième frontale gauche, publié par M. le
professeur
Charcot en 1874, et connu depuis cette époque p
tarde,pas à s'apercevoir que, malgré la clarté des Leçons do M. le
professeur
Charcot sur l'anatomie des circonvolutions céré
t tenir trois séances qui seront successivementjpresidéeSj'par les,
professeurs
Jolly, Kirn, Hitzig; secrétaires, Allll. Hinden
es 'modernes. Cer- tains élèves doivent en outre être confiés à des
professeurs
parti- culiers. L'enseignement manuel et artist
ille viennent un peintre-dessinateur, un peintre sur porcelaine, un
professeur
de gymnastique, des professeurs d'horticulture.
ateur, un peintre sur porcelaine, un professeur de gymnastique, des
professeurs
d'horticulture. On dirige les jeunes gens surie
ces, des jeux, des chants; Deux par des travaux horticoles. ' Les
professeurs
de science sont encore chargés de lasurveillauce,
manaient, de la lésion du faisceau solitaire. Ce faisceau, 'pour le
professeur
français, prend son origine dans le faisceau inte
V 111, p. )OU. ; \ous ralyelous yuc l,v couronuc vaut 100 ures ou 1
Pr.
40 c. 256 VARIA. quitte la station terminale
inaison. M. X..., âgé de dix-neuf ans, nous est adressé par M. le
professeur
CHARCOT. C'est un jeune homme de stature moyenne
-cinq ans, entrée à la Pitié, salle Laënnec, n° 9, service de M. le
professeur
Jaccoud, le 26 novembre 1883. Cette femme a t
tent. Le 8 décembre, au matin, pendant la visite, au moment où le
professeur
Jaccoud s'approche d'elle, la malade est prise
: Psychiatrie; Vienne, 1881, qui constitue le dernier mot du savant
professeur
de Vienne sur tout ce qui touche à l'anatomie d
E MENTALE. tion cardiaque sont accélérées au début'. Les tracées du
professeur
Tamburini et les observations de Heidenhain con
hypnotisé; c'est ainsi qu'une impression ou une suggestion, 1 M. le
professeur
Bernheim a donné de cette accélération initiale u
SESSION DE BADE Séance du 16 juin 1883 M. le premier curateur,
professeur
JoLLY (de Strasbourg), salue l'assemblée. Il lu
e se lève en leur lionneur. Enfin, il souhaite la bienvenue à M. le
professeur
Erb (d'IIeidelberg) dui, par acclamation, est cho
de l'homme un épithélium aciIsvibrati)s ? Tei estleprobtème que ce
professeur
s'est posé. La muqueused'un supplicié est venue
é de Psychiatrie à l'usage des médecins et des étudiants, M. Arndt,
professeur
et directeur de la cliniquepsychiâ- trique à l'
logie neuropathologique ordinaire; de même que partout ailleurs, le
professeur
ne perd jamais de vue le terrain objectif. C. L
ommés membres honoraires. La France a comme représentants : MM. les
professeurs
Charcot et Pasteur. Nécrologie. Les journaux po
' (contribution A l'étude CLIXIVUE des myélites .mixtes); Par le
professeur
GRASSET (de Jtuutpellirr). IV. ANATOMIE ET PHYS
En terminant, je saisis avec plaisir l'occasion de remercier M. le
professeur
Charcot delà libéralité avec laquelle il m'a do
eim' Zeitsclcrift sur Psychiatrie, se trouve une com- munication du
professeur
Jolly (de Strasbourg); il avait fait des expéri
n'existe aucun trouble grossier de la voix. Voici, par exemple, un
professeur
tabétique qui, malgré la paralysie d'une corde
xistence d'irradiations ilio-fémorales de la douleur, admet avec le
professeur
Nielly que l'affection vul- gairement appelée t
logie pathologique de la chorée les thèses des deux élèves de M. le
professeur
Pierret, de Lyon (Foucherand, 1883; .Sage, 4881
Schadelwachàthum, Munich, 1874; le même traduit en français, par le
professeur
Forel z6); Experimentclle - Anatomische Untersu-
e solennelle le 30 mai 1886, sous la présidence de M. A. DUVBRGEIi,
professeur
à la faculté de droit de Paris. Après avoir ent
oucher, trente ans, entre, le 18 mai 1885, dans le service de M. le
professeur
Charcot, à la Salpêtrière. Antécédents hérédita
TE AIGUË (Paralysie LANDRY), observé à la clinique thérapeutique du
professeur
Lacnxcmrcu ; Par M. SOUDEYKINE, à Karkoff.
phénomènes de la paralysie du coeur et de l'oedème des poumons. Le
professeur
Kryloff a pratiqué l'autopsie. Autopsie. Passon
en microscopique de la moelle épinière a été fait au laboratoire de
professeur
Kryloff, auquel je suis heureux d'ex- primer ma
S LOCALISATIONS FONCTIONNELLES DU CERVEAU; Par M.-E.-A. HO11ÈN,
Professeur
agrège d'a.^.atomic pathologique a l'iuhersite de
octeur Ribilkine. ( TŸestnik) (le Messager de psychiatrie, de M. le
professeur
Mierzejewsky, 1885, t. I.) Les points à relever
Vielle ! ' Klinik, cali. Vlll et IX, août, sept. 1884). Leçons du
professeur
de Cracovie, résumant ses communica- tions sur
carbone; par le Dr W. SARDINE. IVFStnik de . psychiatrie, de M. le
professeur
Mieuzejewsky, '1885, t. 1.) Dans ce travail, l'
stérieure, de la périphérie il la base de l'organe. P. K. XXVII. LE
professeur
: DAll611 \V1CZ E'l' LETABES dorsal; pal' SCHUL'l
fesseur : DAll611 \V1CZ E'l' LETABES dorsal; pal' SCHUL'l'ZE. M. LE
professeur
Schultze 1'1' ses critiques : par A. Adamkiewicz.
par le Dr P. DUKoFF. (Le lVestnz'k (le Messager) de psychiâtrie, du
professeur
J. Mierzejewsky, 1885, t. II.) Après un aperç
u 22 juin 1886. M. le Dr Georges LEIOmE, interne à l'asile de Bron,
professeur
agrépéà la Faculté de Médecine de Lille, est no
macro- pie. Ces deux derniers troubles ont été indiqués par M. le
professeur
Charcot, l'année passée, dans une de ses leçons
rappellent la cachexie pachydermique, expression heureuse de M. le
professeur
Charcot, pour désigner le myxoedème des auteurs
im- portante, puisqu'elle est basée sur ce fait, démontré par le
professeur
Schafer et par moi, à la suite d'expériences sur
rogrès de la chirurgie cérébrale jusqu'à ce que le Dr Ferrier et le
professeur
Yeo aient démontré entièrement, au meeting de l
ce que j'ai acquise pendant les deux dernières années, comme Brown,
professeur
de patho- logie à l'université de Londres, gara
g. Il fut aussitôt admis à la Royal Infirmary, dans le ser- vice du
professeur
Annandale, qui trouvé une fracture en éclats, a
communication (Proceedings of the Royal Society, no 231, 1884), le
professeur
Schâfer et moi nous avons montré que le centre
t juste à l'extrémité pos- térieure du sillon frontal supérieur. Le
professeur
Ferrier a mon- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 39
ant son apparilion, coïncide avec le temps indiqué récemment par le
professeur
Charcot. Cette parésie, à la date de la réunion,
psychiatrie et devint en 1855 directeur de l'asile de Werneck, puis
professeur
de psychiatrie à Zurich (1869) : de là il fut app
M. le Dr V. DEsGuiN. Statistique internationale des aliénés, par le
professeur
LEFEBVIIE. Relations entre la criminalité et la
par J.-M. CIIAIICOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maindies mentales à la Facu
médecine Médecin de l'Asile clinique · (Ste-Anne). F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies du système nerveux
lésions SYPHILITIQUES DES vaisseaux; Par M. le docteur F. RAYMOND,
professeur
agrégé, Médecin de la Salpêtrière. Le rôle co
ris, 1891. . Traduit en allemand, par P : Brie, avec une préface du
professeur
Pel- man, Hambourg, 1891. Traduit en polonais,
ntence, et l'affaire fut portée devant la cour d'appel deModène. Le
professeur
, Tamburini avait, dans l'intervalle, examiné.tr
? 4893.)i, » -., j J · . . - XXV. LES discours DES aliénés; par le
professeur
Venturi. (Il DTc2721co- mio, fasc. 1-2," 1893.)
ur LES prévenus DE la '.cuise DU « LIBRO . DEL COM .ÀNDO 1»; par le
professeur
A. ÏAMBURiNi.'(I61cZ.) - ' 4 C'est une étude mé
cération d'un testa- ment ; LYPÉMAMM,AVEC délire DE ruine;, par, le
professeur
TAmi3A- R 1 N (Riv. sp. · ·J difren., ' f \· .
nique des maladies mentales et des maladies de l'en- céphale. M. le
professeur
JoFFROY. Amphithéâtre de l'asile Clinique, les
Vervieis (Belgique). Attentat d'un aliéné contre un médecin. M. le
professeur
et doyen Mairet, de Montpellier, médecin en che
ieure. Le bois a perforé la joue. Le sang a jailli'en abondance. Le
professeur
a été ramené à son domicile. On nous assure que
1 1 " .7' 1 . ,. c y , ." Par C. 'ANLAIR , 1 ' " nl , 1 : ? 1 , 1
Professeur
à l'Université de Liège. ? , Dans, un. travail
, J - : I ' >UL> > ' ·; rC·1 Par M. le docteur F. RAYMOND,
professeur
agrégé, c/im >.2 Médecin de la Salpêtrière.
lllB CO)'tiCO-Cé1'('- bralede cette névrose). Revue générale par le
professeur
Grasset. (Nouveau Montpellier Médical, nos 44 e
le, » Quanta en conclure que l'hystérie est une maladie mentale, le
professeur
de Montpel- lier établit une distinction, et ré
LES découvertes récentes sur LE système nerveux : lu par F. BAFER,
professeur
d'anatomie à l'université de Washington. (Socié
P. Janet, membre de l'Académie des sciences morales et politiques,
professeur
à la Sorbonne; P. Dubois, membre de l'Académie
seurs à la Faculté de médecine de Paris. MM. Marey, Ranvier, Ribot,
professeurs
au Collège de France; Milne-Edwards, directeur
cteur du Muséum d'histoire naturelle, membre de l'Institut ; Ilamy,
professeur
au Muséum d'histoire naturelle. MM. le D'' Labo
r Pitres, doyen de la Faculté de médecine de Bordeaux; le D'' Azam,
professeur
à la Faculté de médecine de Bordeaux; le Dr Fol
seur Lortet, doyen de la Faculté de médecine de Lyon; le Dr Lépine,
professeur
à la Faculté de médecine de Lyon; le D'' Mairet,
MM. Planchon, directeur de l'Ecole supérieure de pharmacie; Riche,
professeur
à l'Ecole supérieure de pharmacie ; le Dr Heyden-
- reich, doyen de la Faculté de médecine de Nancy; le Dr Demange,
professeur
à la Faculté de médecine de Nancy; le Dr Caubet,
e d'Alfort, membre de l'Académie de VARIA. 181 médecine ; Nocard,
professeur
à l'Ecole vétérinaire d'Alfort, membre de l'Aca
édecine de Paris; le Dr Cornil, président de la Société anatomique,
professeur
à la Faculté de médecine; Chau- veau, président
D'' Ricliet, président de la Société de psychologie physiologique,
professeur
à la Faculté; le D'' Marcel Baudouin, secrétair
Gock, de Magnan, de Charcot, aux leçons de notre savant maître, le
professeur
Lanassagne (Lyon, 1885), et aux ou- vrages plus
c : hyperplasie de la névroglie centrale. Mais en réfléchissant, le
professeur
voit que l'atrophie musculaire est celle de la
sont incon- , , c - . 1 Quand notre illustre et vénéré maître, le
professeur
Charcot, est mort, il préparait, en collaborati
Myers et Podmore, traduit et abrogé pur DI. avec préface du 111. le
professeur
Chartes Ricliot, Paris, lBJI. m., r, 1 · v ? af
V. 2 Loc. cit., I, p. 6. lr/ f ? U1/I a ? - . ' .. J ' Préface du
professeur
Richet, p. vu. - ."t " ' - *<* ' · QUE FAUT-
tte théorie. se, présente e sous le patronageid'un sâvnt éminent,du
professeur
, de phy- siologie de la Faculté de médecine de
? * £ «*' ? «'; ? ""«-a* ai ? t3 ab J'.vi;t34 '1)) EU' - Préface du
professeur
Richet, p. xut. go, Préface, p. vu, note. 4 q ^
o9 ? LI) 1> ClOm i, l9q &iOCn nu u jiref (sern,ice de II. le
professeur
Sp)tA) . «, » > r(,Q - ` bin 191111 9171.01
JnB.A&fl ? '' L'examen /ttS(o<ot9Me ? prattqué,.par 11 : le,
professeur
: ca"régé Hausha[ter,'a)6rscliargé du cours d'a
on. ' "- 1 Consulter à ce sujet une'très remarquable leçon de M. le
professeur
J Joffroy : Sur les formes spinales de la paral
ne £ nous paraît pas encore acquise; 'c'est là, comme le dit M'rle
professeur
Grasset} une c exagéra- tion de doctrine * '. Q
ternationale de sept anthropographes, laquelle fut composée par les
professeurs
LACASSAGNE, Benedikt, BERTILLON, L031BROSO, Man
e pendant nombre d'années, dans mes rapports avec eux en qualité de
professeur
. Je présente pour, le moment les résultats de m
éder NÉCROLOGIE , 469 d'emblée à l'illustre Claude Bernard, comme
professeur
de méde- cine expérimentale au Collège de Franc
-Unis; membre honoraire de l'Académie i,o3,ale- d'Irlaiide ? ancien
professeur
de physiolo- gie et de pathologie du système ne
nes DES parois DE la cavité rachidienne par le D'' TuoLARD. M. le
professeur
Trolard frappé de la différence que présente su
connaître dans la suite l'histoire détaillée de la maladie. M. le
professeur
KOJERNIKOF. Sur l'acromégalie, avec présenta- t
'ÉPINIÈRE (SYRINGOMYÉLIE A TYPE SPASMODIQUE) Par le D' RAYMOND,
Professeur
agrégé à la Faculté de Médecine, médecin de l'hôp
courageants. La célèbre observation de mal de Pott donnée par M. le
professeur
Charcot, les observations chirurgicale de Ilors
. Au dernier Congrès des chirurgiens d'Amérique, à Vasllinton; le
professeur
Agnew, basant son opinion sur les, opérations fai
se ce très distingué neurologue. » Telle est la conclusion de M. le
professeur
CHARCOT, dans l'avant-propos où il recommande a
mplémentaire des maladies mentales. z Université de Vienne. M. le
professeur
von Ivrafft-Eling, est nommé premier professeur
té de Vienne. M. le professeur von Ivrafft-Eling, est nommé premier
professeur
de psychiatrie en remplacement de M. Meynert, d
re de clinique des maladies mentales laissée vacante parle décès du
professeur
Bail. - 1 - J.-B. Charcot et Georges GUINON.
i sont demeurées enfouies dans ses car- tons. · Nommé, en 1872 ',
professeur
d'anatomie patholo- gique à la Faculté de médec
1891). OBSÈQUES DE M. LE P'' CHARCOT La cérémonie des obsèques du
professeur
Charcot a été célé- brée samedi matin, 19 coura
ient placés le chapeau et l'épée d'académicien ainsi que la robe de
professeur
de M. Charcot. Auprès du catafalque étaient ass
Fournier, Guyon, Proust, Germain Sée, Straus, Tillaux, Verneuil,
professeurs
à la Faculté de Médecine ; M. le profes- seur P
nt dans la mélancolie. Le Congrès se sépare après avoir nommé M. le
professeur
PIER- RET (de Lyon) président du prochain Congr
EAU : z UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF Par M. le D' F. RAYMOND
Professeur
agrégé à la Faculté de Médecine, Médecin de l'hôp
M. le Dr MINOR donne lieu à des observa- tions de la part de M. le
professeur
KOJERNIKOV et de M. le Dr Ion- NILOV. M. le D
nri. Meige étudie'certains névropathes voyageurs sur lesquels M. le
professeur
Charcot a .déjà plusieurs fois attiré l'attenti
Charcot : Les vagabonds [sont-ils tous des neurasthéniques ? M. le
professeur
Benedickt, qui s'est atta- ché à la résoudre, a
ndes analogies avec celui qu'a publié autrefois notre maître, M. le
professeur
Pierrret; il sera intéressant de rappro- cher c
ibres olivaires. Les pièces ont été portées au laboratoire de M. le
professeur
PIEItItÉT, et leur aspect macroscopique lui a i
ais les résultats de l'expérience ont été absolument négatifs. Le
professeur
Kaposi, d'accord avec le professeur Kundrat, pe
ont été absolument négatifs. Le professeur Kaposi, d'accord avec le
professeur
Kundrat, pense qu'il s'agit d'une lésion hypert
manière dont il se manifeste. Séance du 19 février 1893. 1. M. le
professeur
Filatov : Sur la chorée paralytique. Après avoi
dans la catégorie de la chorée dite molle (limp chorea West). Le
professeur
Kojevnikov ne pense pas que, dans les cas du genr
pas le tableau ordinaire de l'empoisonnement par le phosphore. Le
professeur
Korsakov se range à l'avis du D'' Sémidalov et in
au premier rang dans le lathyrisme. SOCIÉTÉS SAVANTES. 419 J Le
professeur
Kojevnikov. Les recherches faites sur le lathyris
IBLIOGRAPHIE- VII. Traité élémentaire des maladies mentales; par le
professeur
S. S. Korsakov. Moscou, 1893, 604 p. (en russe)
uestions pratiques relatives à l'assistance des aliénés', l'éminent
professeur
de l'Université de Moscou publie aujourd'hui un
et de l'aperception. Après le résumé des notions psychologiques, le
professeur
traite d'une façon très vaste la psychopatholog
venait de quitter le bras en écharpe, et au grand étonnement de son
professeur
, il écrit avec la même aisance, la même facilit
de faire remar- quer, comme l'a fait tant de fois mon maître M. le
professeur
Charcot, le rôle que joue la suggestion dans l'
dans ce cas la paralysie s'est produite plus rapidement que M. le
professeur
Charcot ne l'indique. Elle fut immédiate. Il est
lit, pas trop affaiblie 1 Voir à ce sujet le remarquable article du
professeur
Charcot : « La foi qui guérit » dans le n° du l
BIBLIOGRAPHIE VIII. Un cas de pseudo-tabes post-iizfectieux; par le
professeur
Gras- SET. Ch. Boelm, édit. Montpellier, 1892.
de sclérose en plaques et hystérie associés, avec autopsie ; par le
professeur
Grasset. Montpellier, 1892. C'est un bel exempl
rois observations. J. Nom. XII. Un cas de maladie de Morvan; par le
professeur
Grasset. Mont- pellier, 1892. Il s'agit d'un
été mis en berne, et, pendant la journée du lendemain, le cours du
professeur
des maladies nerveuses a été exclusivement cons
24 septembre (6 octobre), après avoir entendu l'éloge du regretté
professeur
CHARCOT, prononcé par le président, a décidé à l'
ance de ma considération la plus distinguée. - AL. KOJEVNIKOFF,
Professeur
de l'Université; Président de la Société des Mé
Charcot. - : Clinique-des maladies du système nerveux (leçons du
professeur
, mémoires, notes et observations). Parus pendant
(5) Élcm. de Médecine, t. Il, p. MO. (C) Électricité animale. Lu
professeur
Esquirol voyait dans le somnambulisme une forme p
mènes magnétiques que des manifestations de l’esprit malin. — M. le
professeur
Oifila citait dernièrement un fait que le magnéti
mé, constaté par les hommes les plus recommandables. Des savants, des
professeurs
de l’Université d’Heidelberg, MM. Mit-termair et
e la nouvelle secte a déjà atteint des proportions formidables. Ces
professeurs
de nouvel ordre prétendent que toute l’économie h
reçu un sou diet sur la figure, dont il porte encore les traces. Le
professeur
Mettermayer explique ce mystère en ces termes :
or fin. M. le Dr Coddé, juge très-compétent, soit en sa qualité de
professeur
de magnétisme, soit pour avoir examiné de près, e
males à l'aide d’une robe de chambre magnétisée. Le rhumatisan est un
professeur
de l’École de médecine, M. M...... qui n'a pas ét
e proviseur du collège, M. Le Chevalier, aussi conseiller de juge, le
professeur
M. Michel Saint-Martin, et quelques élèves : troi
publiques. « Samedi dernier, M. François Guidi, homme de lettres et
professeur
de magnétisme, avait réuni dans ses salons une so
ns la séance à laquelle nous avons eu le plaisir d’assister, l’habile
professeur
, après avoir, en quelques instants et sans la moi
. Béiiaid , in 1er ne-lauréat des hôpitaux. 1 vol. in-18, revu par le
professeur
Ch. Kon.'.v. Paris, 1855, Gcrmer-Baillière. — P
à entendre nier. En allant plus loin, M. Béraud se serait aliéné les
professeurs
qui ont affirmé le contraire, ce qui est dangereu
ations qui sont tombées devant l’examen d’hommes sévères. Ainsi M. le
professeur
Ce ni y a contribué à réduire à néant toutes ces
eaucoup d’autres. Quand M. du Potet, prenant cette fois le langage du
professeur
, a déclaré qu’U ferait revivre la magie, il savai
père vous faire plaisir en vous prévenant que le savant abbé Caupert,
professeur
de philosophie au grand séminaire de Versailles,
isés. On lit dans 1 'Akhbar du 7 juin : « Dimanche dernier, M. le
professeur
Philips a donné, au Grand-Théâtre, une séance de
lesquels l’expérimentation a été faite, ont rendue la tâche facile au
professeur
; et, cette fois, comme aux séances données à la
rdant d’abord leur volonté d’agir en sens contraire. Vain combat ! Le
professeur
triomphe. Ainsi il commande ou arrête le mouvemen
contours qu’il croyait aussi admirer dans Fatma ; mais la volonté du
professeur
, homme de goût et de science avant tout, a donné
iologie et les résultats complets et concluants obtenus par le savant
professeur
. La foule qui envahissait la salle de la rue de l
e charme et l’intérêt d’un drame complet aux mille péripéties. « Le
professeur
a démontré que, dans un temps donné, tout le mond
Si, après une épreuve préparatoire, l’influence ne se dessine pas, le
professeur
rejette les individus pour ne garder que ceux qui
iminaires. Mercredi, il y a eu une lutte ouverte entre un sujet et le
professeur
. « Le premier, bien connu à Alger, M. M..., jeu
igente quand une expérience manquait, car les premières tentatives du
professeur
échouaient contre cette jeune et énergique volont
e combat moral entre deux volontés était palpitant d’intérêt; mais le
professeur
, animé par la lutte, a voulu dominer complètement
e, a eu recoure à ses mains pour faire jouer sa mâchoire ; alors le
professeur
a collé les mains du jeune homme, et, chose bizar
aboyer près de lui. Ensuite le loup devient chien et suit partout le
professeur
en marchant à quatre pattes. « Pour terminer, M
de bois, et il se la fut arrachée par échardes, avec les dents, si le
professeur
ne l’eût rendu à lui-mème, en disant : «Vous êtes
itoyens, en plein théâtre, par la vertu de l’électro-biologie. « Le
professeur
en est tellement persuadé, qu’il vient d’écrire a
vec la traduction française, publiées sous la direction de M. Nisard,
professeur
d’éloquence au collège de France. Paris, 1845.
Voici la preuve du contraire. M. Pichard ayant appris que l’éminent
professeur
s’était montré sympathique au but de la Société P
erse s’établira plus tard. 1° Doutes et objections. M. Ch. Drion,
professeur
de physique au collège d’Orléans , dans un articl
ce matin, dans le Journal des Débats, l’extrait d’une lettre de M. le
professeur
Chevreul à M. Ampère et son interprétation d’un p
que pour l’ancienne. En résumé, la voici : « 1“ D'après l’illustre
professeur
, il existerait îles mome-ments musculaires en deh
ctions musculaires en dehors de la conscience, comme le pense i\l. le
professeur
Chevreul ; i 2° Des contractions musculaires in
re opinion. Dans un de vos derniers numéros, vous louez la méthode du
professeur
Gregory, qui a soin, dites-vous, toutes les fois
précaution. Néanmoins il est constant, et il ne peut être ignoré d’un
professeur
de magnétisme, que beaucoup de somnambules ont mo
, expérience qu’à son grand regret n’a pu faire réussir M. Ch. Drion,
professeur
au collège d’Orléans (l), je l’ai vu faire et fai
R,J.-M. CMARCOT ' FUItLIf : E SOUS I.A DIIIKC11ON DE A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales à la Facu
ne Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). MM. : F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies du système nerveux
pas encore. instituée définitivement. Il n'y a pas longtemps que le
professeur
Fehige a fait un essai d'instituer une étiologi
mplètes. Une autopsie d'un catatonique, faite dans la clinique du
professeur
Fehige, à Jourieff (Derpt), démontra une atrophie
me dans deux de nos observations, et dans l'une des observations du
professeur
Fehige. Puis survient une réci- dive de maladie
X. Sur un cas de tumeur du canal rachidien (segment dorsal); par le
professeur
RAYMOND. (Journ. de neurologie, 1903, n° 9.) Il
e cas de tumeur du canal rachidien (segment dorso-lombaire), par le
professeur
Raymond. (Journ. de iietiro- logie, 1903, n° 11
de neurologie normale et pathologique, publié par A. VAN GEHUCHTEN,
professeur
d'anatomie à l'Univer- sité de Louvain, avec la
canisme des mouvements respiratoires de la glotte chez le chien;
Professeur
A. Plca : Zur Deutung abnormer 1;'asei-bündel im
seur Ribot (Paris) : De lavaleur des questionnaires en psychologie; ?
Professeur
Th. Flournoy (Genève) : Note sur une communicatio
r Th. Flournoy (Genève) : Note sur une communication typtologique ;
Professeur
J. Grasset (Montpellier) : La sensation du « dé
Professeur J. Grasset (Montpellier) : La sensation du « déjà vu » ;
Professeurs
F. Raymond et P. Janet (Paris) : Dépersonnalisa
'auteur s'est proposé de rechercher, à la clinique psychiatrique du
professeur
von Wagner, à Vienne, si les Juifs ont une dispos
la suite de nos réclamations persistantes appuyées par notre ami le
professeur
Joffroy, émises aussi par le jury du concours d
ité aux diverses mises au point. Observation XXIII. - Dev..., femme
Pr.
.., quarante-huit : ! ns; entrée le 1 avril 1903
ion organique là où il n'y a que perversion dyna- mique, dit 11. le
professeur
Charles Richet z, parlant de l'hys- térie, c'es
n fréquente de l'épilepsie pendant la grossesse, signalée par M. le
professeur
Pinard, remarquée par nous-même (évacuation rég
epsies dites partielles ? . Epilepsies DITES secondaires. - M. le
professeur
Dieulafoy, dans son manuel de pathologie intern
ieur, le plus efficace est le signe de l'orbiculaire signalé par le
professeur
l3evilliod. Il consiste dans l'expérience suivant
d'autrefois. Nanisme ancestrul, achondroplasie ethnique, par M. le
professeur
l'O;'\CET et M. Lai- CHE. (Lyorz médical, 3j oc
E. (Lyorz médical, 3j octobre 1903, n° 43 et tirage il part.) M. le
professeur
Poncet pense que dans la classe des nains achon-
Drs Legrain. médecin de l'asile de Ville-Evrard et Félix Regnault,
professeur
à l'Ecole de psychologie. M. le Dr Jules Vois
e d'Espagne, deux chanoines de Salaman- que, le vice-recteur et les
professeurs
de droit de l'Université de cette ville, le rec
ait mal écrit quelques chif- fres sur le tableau noir, Detitius,son
professeur
, lui heurta violem- ment, par deux fois, la têt
DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Hospice DE la Salpêtrière. M. le
professeur
F. RAYMOND. Les localisations du cancer sur le
spontanée chez une vieille syringomyélique dans le service de M. le
professeur
Déjérine à la Salpêtrière. Femme de soixante-si
. G. Carrier. ' XXXII. Incontinence urinaire et myélite ; par M. le
professeur
Weill (Société médicale des hôpitaux de Lyon, 2
uelle et sociale. Cette table bibliographique a été composée par le
professeur
War- ren avec la collaboration de savants de di
dra cette année à Pau, du 2e au 7 Août, sous la présidence de M. le
professeur
Rnis- sauD. Les questions suivantes sont l'obje
t de même sens, devront se produire. Or, voici comment s'exprime le
professeur
Potain au sujet des rapports de l'activité motr
istère de l'Intérieur, désigné par le ministre, pré- sident ; Trois
professeurs
titulaires de facultés de médecine ou, à défaut
asiles situés hors du res- sort des académies qui auront fourni les
professeurs
, les agrégés ou les chargés de cours. En cas d'
ndra cette année à Pau du 1er au 7 août sous la présidence de M. le
professeur
Brissaud. Adresser les adhésions et communicati
us soit permis d'exprimer ici notre gratitude à notre maître, M. le
professeur
. Weber, d'avoir attiré notre attention sur un c
rmées sur le cerveau même. L'auteur répond à quelques objections du
professeur
Schûfer, et en terminant, il déclare que si sa
prof. R. Tripier (Province médicale, n° 29, 19 juillet 1903). M. le
professeur
R. Tripier rapporte six observations de ménin-
ies indiquant la méningite confirmée. Interprétant ces faits, M. le
professeur
R. Tripier admet qu'c peut supposer l'existence
au début des maladies mentales. Il pré- conise un système que M. le
professeur
Clouston a depuis égale- ment défendu et dévelo
ndra cette année à Pau du 1er au 7 août sous la présidence de M. le
professeur
Brissaud. Adresser les adhésions et communicati
J.-M. CHARCOT PIJIIII(-.1 SOUS I.A ootFCnon urs MM. A. JOFFROY
Professeur
de clinique des maladies mentales 3 la [''a
e médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Annc). F. RAYMOND
Professeur
de clinique des maladies du système nerveux
ne atteinte d'une affection douloureuse de la vessie, à laquelle le
professeur
Lotar a donné, avec succès, des capsules de bro
s la bibliographie. P. KERAVAL. Kyste dermoïde du cerveau; par le
professeur
J. ÏÏALVA. L'auteur décrit un cas de kyste derm
appareil qu'il a expéri- menté dans le service de clinique de M. le
professeur
Joffroy pour la recherche et la mesure des réfl
I. Diagnostic des maladies de la moelle. Siège des lésions ; par le
Professeur
Grasset. (Les actualités médicales, 1 vol., 96 pa
ère de l'Intérieur, désigné par le ministre, pré- sident ; 2° trois
professeurs
, agrégés ou chargés de cours des ma- ladies men
rieur, sur la proposition du Comité des inspecteurs généraux. Les
professeurs
, les agrégés ou les chargés de cours seront elioi
es asiles situés hors du ressort des Facultés qui auront fourni les
professeurs
, les agrégés ou les chargés de cours. En cas d'
e d'aliénés de Rennes. Nécrologie. M. le Dr Meredith Clymer, ancien
professeur
des maladies nerveuses à l'Albany Médical Collè
Il rapproche de ce fait les observations publiées dans la thèse du
professeur
Lan- douzy, où, dans certaines affections céréb
sont abolis. G. D. XII. Sur un cas de cancer vertébral; par Al. le
professeur
Raymond. (Journ. de Neurologie, 1902, n° 3.)
VIII. Le Juif aliéné, lettre ouverte au D1' C.-F. Beadles, par le
professeur
M. Benedikt. (The Journal of Mental Science, juil
onnel. A. Marie. VI. Analomie clinique des centres nerveux ; par le
professeur
Gras- SET. (Vol. in-16 carré de 100 pages avec
mbre aucun point de technique; si bien que, suivant l'expression du
professeur
Gariel, toute personne qui aura compris les élé
ible à la pu- tréfaction. Je n'en remercierai pas moins ici MM. les
professeurs
Régis et Félix Lagrange, de Bordeaux, pour le c
égis, de Bordeaux, président du Congrès ; M. le D'' Gilbert Ballet,
professeur
agrégé de la Faculté de Paris ; M. Mottet, cons
directeur de l'Ecole de Médecine. Dans l'assistance, de nom- breux
professeurs
et médecins étrangers, tels que MM. Jof- froy,
to-Arman, d'Oviedo (Espagne) ; Obregia, de Bucharest ; Mendessholn,
professeur
de physiologie, à Saint- Pétersbourg ; Crocq, d
ac, recteur de l'Académie. Présidents d'honneur étrangers : MM. les
professeurs
Arman, Ladame, Obrégia, Mendessholn. - Présiden
l de Grenoble), dans la personne de leur distingué Président, M. le
professeur
Régis, les membres du XIIO Congrès des médecins
t bien et j'apprécie hau- tement le travail de mon excellent ami le
professeur
Brissaud sur le tic mental. Je ne diffère d'opi
ipes. Un matin, pendant qu'elle s'énervait vainement à imiter son
professeur
d'après les procédés qui lui avaient été indiqués
l'Ecole de méde- cine, mise gracieusement par son directeur, M. le
professeur
Bor- dicr, a la disposition dn Congrès. les a
IIIJR. Nous avons pu recueillir dans le service de notre maître, le
professeur
Raymond, quinze observations avec autopsies, se
deux cas cliniques que nous avons pu recueillir dans le service du
professeur
Raymond, tendent à démontrer que la maladie de
écédents. Ceux du président Régis, du secrétaire général, de AI. le
professeur
Jof- froy qui a rappelé l'oeuvre de l'Universit
les réflexes tendineux, cortical pour les réflexes cutanés. M. le
professeur
Grasset, confondant absolument les manifesta- t
En même temps que nous étudiions la tache blanche au laboratoire du
professeur
François Franck au Collège de France, nous noti
e de France, nous notions à l'hôpital, dans les services de MM. les
professeurs
Raymond et André Petit, des variations chez les
x secondaires portant sur les fonctions de la nutrition ; par M. le
professeur
Hayeu (Revue médicale, 20 août 1899). - Il n'
tous, le Dl' Henri Dagonet, médecin honoraire de l'Asile clinique,
professeur
agrégé de l'ancienne faculté de médecine de Str
des jurisconsultes les plus remarquables de l'Allemagne mo- derne,
professeur
il la Faculté de droit de Heidelberg depuis 1821,
GIE MENTALE. XV. Études cliniques sur le rêve pathologique ; par le
professeur
Pick (de Prague), traduction de James lIIDDLEUs
camarades abusaient. Il avait vingt-quatre ans lorsqu'il fut nommé
professeur
de philo- logie à l'Université de Bâle, ce qui
d'histoire de l'art, déclare que Baie n'a jamais possédé un pareil
professeur
, et il parait avoir eu une grande influence sur
ses lettres Dio- nysos : une de celles-ci étant parvenue à Bâle au
professeur
Over- beek, il vint à Turin, où se passaient ce
er, vraisemblablement peu fréquent, sur lequel notre maître M. le
professeur
Charcot a appelé notre atten- tion et qui jusqu
s symptômes de l'affec- tion pour laquelle il vient consulter M. le
professeur
Charcot que vers l'âge de dix ans ; il ne se ra
is- sions aucun travail sur ce sujet; c'est notre maître, 111. le
professeur
Charcot, qui, en nous confiant le soin de prend
. Dans une leçon publiée récemment dans le Progrès médical, M. le
professeur
Charcot signale des cas de paralysie générale d
ne peut s'appuyer que sur les lésions destructives en foyer. M. le
professeur
Ferrier", un des plus zélés défenseurs de la lo
ue jour, de nouvelles preuves surgissent à l'appui de. l'opinion du
professeur
de la Salpêtrière : que dans la grande attaque
ançais, il donne une analyse détaillée de tous les travaux de M. le
professeur
Charcot et de ses élèves sur la matière. Il r
avons donnée de la grande attaque hystérique, à la suite de M. le
professeur
Charcot. (1 suivre.) REVUE D'ANATOMIE I. Sur
ait celui de la dégénérescence première demeurée stàtionnaire. Le
professeur
Schultze rapproche l'absence de réflexe patel-
Paralysie BULBAIRE apoplectique avec anesthésie AL- TERNE ; par le
professeur
H. SENATOR. (Arcla. f. PSYCH. ZI. l'e2,veîik; X
. Les uns savent par un système finement combiné, en trompant leurs
professeurs
, se préserver de l'excès de travail ; les autre
ck, chez Friedrich Viëweget fils, 1880. 124 SOCIÉTÉS SAVANTES. et
professeurs
poursuivant le même but doivent s'entendre sur le
r un écho à l'unisson de l'importance du sujet dans les réunions de
professeurs
. Une vive discussion s'engage sur ce thème. L
scussion s'engage sur ce thème. Le Dr Wahrendorff fait remonter aux
professeurs
la responsabi- lité de ce surmenage; ceux-ci po
lle et familière du pré- sident, qui a chaleureusement félicité les
professeurs
de l'école de leur dévouement et de leur zèle,
e rapporter. L'un des malades a fait l'objet d'une leçon de M. le
professeur
Charcot. Il présentait tous les symptômes d'une
UDE DES NÉVRITES PËR ! PHÉRIQUES NON TRAUMAT1QUES. Par A. PITRES,
professeur
à la faculté de médecine de Bordeaux, et. L. V.
, suit une mar- che, connue d'avance, conforme àdes lois dont M. le
professeur
Charcot a indiqué les grandes lignes et les pri
de l'organe s'op- posait à la conductibilité des impressions. M. le
professeur
Schultze fait remarquer, comme une anomalie, l'
M. Pamtor. [Revue de médecine, 1 S3 ? .) Celle lésion, dont 11. le
professeur
Parrot donne pour la première fois une descript
venue adressées à l'Assemblée par le premier curateur, M. Fùrstner,
professeur
à Heidelberg, la pré- sidence est décernée par
. m· ,il 1, r Une malade, observée par lui a la clinique de nI. le
professeur
Panas et bien/connue des neuropathologisles de
ion des réflexes tendineux, delà 'T... a été revue à la clinique du
professeur
Panas, qui a pu, le 20 novembre 1882, assister
ies DES reins considérées comme causes d'aliénation mentale; par le
professeur
HAGEN (d'Erlan- gen). (fllly. Geitsclro. f'. Ps
ximum de 67 à 82 grammes. Les quatre cas en question, personnels au
professeur
IIagen, sont relatifs à un délire aigu et à tro
ns supplémen- taires ont été indiquées après coup. Telles celles du
professeur
Sie- hert (de Iéna) : sur la valeur diagnostiqu
r (d'Ileidel- lier-) sur les blessures de télé et les psychoses. Le
professeur
Furstner a notamment demandé d'être entendu auj
i même, le temps lui manquant pour '.demain ; en conséquence, M. le
professeur
Westphal a offert de remettre sa communication
mp d'études pathologiques plus vaste permette de mieux préciser, le
professeur
Furstner apporte son con- tingent de travail au
btlialmologistes français. Il ne mentionne pas le récent mémoire du
professeur
Panas dans lequel il eut pu glaner beaucoup. Aprè
bre 1816, est décédé le 20 mars 1883, à l'âge de soixante-sept ans.
Professeur
de clinique médicale à la Faculté et médecin en
ef des travaux de la statistique munici- pale de la ville de Paris,
professeur
de démographie à l'Ecole d'an- thropologie, vie
, vient de mourir à l'âge de soixante et un ans. SI. le Ur Arthaud,
professeur
de clinique des maladies men- tales à la Facult
MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX M. le Professeur CHARCOT Leçons du
Professeur
, Mémoires, Notes et Observations Parus pendant
une nouvelle cause d'apport et de dépôt bacillaire. M. le Dr Poirier,
professeur
agrégé à la Faculté, chef des travaux anatomiques
ous avons expérimenté sont des femmes hystériques du service de M. le
professeur
Charcot, que notre maître a bien souvent, depuis
Pauline). Cetto malade est depuis quatre ans dans le service de M. le
professeur
Oharcot. C'est une hystérique typique avec tous l
é sa chaufferette par la fenêtre. Déjà, avant nos recherches, M. le
professeur
Charcot dans une leçon clinique avait montré qu'e
euvent encore être reprehensibles, comme en témoigne l'histoire de ce
professeur
qui, sous l'influence d'une crise de ce genre, se
nsition que nous nous proposons d'étudier ultérieurement. Enfin M. le
professeur
Charcot, faisant allusion à ce cas de M. Pitres,
iter cela, c'est très curieux... Il y a un tas de médecins et puis le
professeur
, M. Charcot... Il me fait peur, cet homme-là. Qua
t pour désigner l'état second dans le cas de Felida observé par M. le
professeur
Azam. 11 est préférable de beaucoup au terme « so
ois, à Necker d'abord, puis à La-riboisière, dans le service de M. le
professeur
Proust, où elle présenta de la chorée et des cris
ois à Necker, puis à Lariboisière ; elle reconnaît parfaitement M. le
professeur
Proust, qui nous fait précisément l'honneur d'ass
ffirme que la malade L..., qui, vous vous le rappelez, lui a servi de
professeur
en ces matières, n'est ici que depuis quinze jour
ès quelque temps, la malade fut confiée aux soins de M. Pierre Janet,
professeur
agrégé de philosophie, élève du service, qui cont
oché, suivant le pronostic qui avait été porté dès le début par M. le
professeur
Charcot. (G. G.). Association du Tabes avec le
ar MM. Georges Guinon" et A. Souques. Travail de la Clinique de M. le
professeur
Charcot, publié dans les numéros 66 et 67 des Arc
hentiques. La notion du pseudo-tabes diabétique date du jour où M. le
professeur
Bouchard1 signala l'absence fréquente des réflexe
ple, que les douleurs fulgurantes mentionnées par notre maître, M. le
professeur
Charcot, et par MM. Raymond et Oui mont4, était b
bservations cliniques. Dans une leçon récente \ notre maître, M. le
professeur
Charcot, parlant des rapports du diabète avec le
p. 257, n° XIII, Sur un cas de paraplégie diabétique. (Leçon de M. le
professeur
Charcot publiée antérieurement dans : Arch. de Ne
te association; la malade qui en est l'objet a été examinée par M. le
professeur
Charcot tout récemment. ¦ Observation I (pers
ons plus loin. Voici quelques exemples que nous devons encore à M. le
professeur
Charcot2 : TABLEAU xv . côté paternel côte ma
par nous, soit à la clinique, soit dans la clientèle privée de M. le
professeur
Charcot. Observation III. A. Lem..., cinquant
on, entre Je 19 juin 1890, à Ja Salpêtrière, dans le service de M. le
professeur
Charcot. Antécédents héréditaires.— Son père, t
avons pu encore, grâce à l'obligeance extrême de notre maître, M. le
professeur
Charcot, qui s'est livré à des recherches de ce g
suivante, qui a été recueillie dans le service de notre maître M. le
professeur
Charcot. Elle est tout à fait analogue à l'observ
sujet : Charcot. Clinique des maladies du système nerveux; leçons du
professeur
, mémoires, notes et être très grande suivant le
comprend tous les malades non hospitalisés, venant pour consulter le
professeur
, tant de Paris que de la province et souvent même
'on ne voit partout ailleurs en plusieurs mois, et l'examen répété du
professeur
, en particulier dans les cas difficiles, constitu
peut se voir dans la meilleure société. Témoin le cas produit par le
professeur
Pitres, d'une jeune fille de Bordeaux, âgée de qu
également, nous n’avons rien à redouter. EXTRAIT D’UN RAPPORT Du
Professeur
EMOSER IIBF.R DIE VURDE UND DEN STANDPÜNCKT DES
avoir aucun signe d’intelligence et de sensibilité. J’obtins de M. le
professeur
de clinique interne la permission de magnétiser,
ment guérie. Mais bientôt défense fut signifiée par les sœurs à M. le
professeur
de clinique de permettre le magnétisme , et à moi
jours en présencede plusieurs témoins, parmi lesquels on comptait des
professeurs
de l’école de médecine, plusieurs élè- ves et d
libération, que des élèves se sont permis de magnétiser ; c’est M. le
professeur
de clinique lui-même qui a donné cette permission
à l’examiner, et j’étais encore au lit de la malade quand déjà M. le
professeur
de clinique interne était sorti avec mes condisci
onstance. Je l’ai rapporté tel que vous venez de l’entendre à MM. les
professeurs
de l’école do médecine, à qui je demandais justic
es que je viens de citer en sont la preuve, car la plupart de MM. les
professeurs
ont encouragé mes essais à l'hôpital, et si je su
sançon, le 26 février 1840. P. S. J’ai oublié de dire que M. Pécot,
professeur
de clinique chirurgicale, avait demandé comme une
u du moins né parvint point à entraver la marche de la maladie. M. le
professeur
Fou-quinr, appelé en consultation, joignit ses ef
, parmi lesquelles je citerai MM. Esquirol, Ferrus, Cottereau, Bussy,
professeur
à l’école de pharmacie; les autres étaient des ho
s... Guérit-il? Voilà la dernière question. Ecoutez ce que dit le
professeur
Rostan : « Ils étaient bien peu médecins, peu p
mé, le docteur Harwood, de Boston, en présence des docteurs Teadwell,
professeur
à l’Univer-sité d’Harvard, Ware, Lewis, Lodge, Pa
de Médecine, ordinairement désert malgré l’éloquence et le savoir des
professeurs
, se trouva tout à coup encombré. Lo mot de magnét
quel puissant intérêt excite celle importante question. M. Trousseau,
professeur
de thérapeutique, parut bientôt. Un silence com
jamais je n’en ai vu en ce lieu s’établit aussitôt. Alors l’éloquent
professeur
commença son discours. Mais au mots de magnétisme
omment, s En présence de déclarations aussi positives faites par un
professeur
estimé, on demande de loutes parts des expéricn-
rêt à être présenté à son maître. Il s’est trouvé si bien fait que le
professeur
en fut étonné, et d’autant plus que le jeune somm
s mouillées, prit les deux conducteurs, un dans chaque main; alors le
professeur
de chimie, pharmacien distingué de la ville, fit
répétée plusieurs fois en présence de juges éclairés; notamment M. le
professeur
de physique et les docleurs Leclere, Lecœur. Vale
eur Iîd. I.angleliert, ancien membre de l’école pratique de médecine,
professeur
d’anatomie cl de physiologie, a bien voulu se cha
tion. Chciboui'tc, £0 octobre 18/|5. Giron, il.-m. P.— L. Durand,
professeur
. — I.oïsf.i., il.-ni. P. — L. Daraoon, professeur
.-m. P.— L. Durand, professeur. — I.oïsf.i., il.-ni. P. — L. Daraoon,
professeur
. — Maria D’Aldanei.. — Delente, directeur des lil
tisée simule les attaques de la malade en présence de MM. Kiihnholtz,
professeur
agrégé et bblio-tbécaire de la Faculté de Médecin
léans.................................................10 M. Javary,
professeur
de cliimie à l'école vétérinaire d'Aliou- Zabel
lementaires et admission de quatre membres stagiaires. M. Ilippeau,
professeur
à la Faculté des Lettres de Strasbourg, est nommé
57 Mémoire de Mesmer sur ses découvertes. 51, 100, 145 — de M. le
professeur
Ennemoser, de Munich. H Magnétisme musical. 518
celle des matérialistes. Paracelse, alchimiste du seizième siècle,
professeur
de physique et de chimie à l’Universilé de Bâle,
ériences très-intéressantes vient d’être accomplie par M. Ilelmhollz,
professeur
de physiologie à Kœnigsberg, ayant ppur but de co
ion de l'agent nerveux le long des nerfs, dans les muscles. Le savant
professeur
a eu recours à l’action irritante d’un courant in
ts fort remarquables, dont nous rendrons compte lorsque le travail du
professeur
de Kœnigsberg sera terminé. Mais il y a, parmi ta
système nerveux, et des effets si variables du magnétisme. Petetin,
professeur
de médecine à Lyon, attribuait à l’électricité to
) Repoov, loc. cit. nous devoir répéter les termes dans lesquels le
professeur
américain expose ses convictions à ce sujet1. N
ion inductive ne nous paraisse pas très-solide, on doit savoir gré au
professeur
américain d’avoir franchement reconnu que l’état
ause ae la nouveauté du sujet, et peut-être aussi parce que le nom du
professeur
, M. Hébert d’Avenay, donnait lieu à une confusio
me à l’homéopathie, au grand détriment des deux systèmes , ce nouveau
professeur
est parvenu à faire déserter la salle au bout de
rises pour qu’aucune communication appjéç^ble ne fût établie entre le
professeur
et 1 élève , ef jes expériences commencèrent. Tou
e témoin de la lecttire d’une lettré « cachée aux yeux du sujet et du
professeur
. J’ai vü « plus de cinquante Somnambules ou magné
uelle a été renfermé Riéder est une maison d’aliénés. M. Boulanger,
professeur
de français, a été consulter le prévenu On l’a in
ns les universités, suivant les cours scientifiques, et choisis comme
professeurs
de la génération médicale naissante, ne peuvent v
s seraient-ils destinés à remplacer les écoles, et les romanciers les
professeurs
? C’est ce que la suite nous apprendra bientôt.
s partisans. Qui aurait cru, en effet, qu’un homme aussi grave que le
professeur
américain eût pu descendre et s’abaisser jusqu’au
crire, sous la dictée d’un pouvoir surnaturel, une lettre destinée au
professeur
Bush, ainsi que l’indique le document qui nous ap
ines contraires. Et malgré ces contradictions par trop grossières, le
professeur
Bush, s’appuyant sur le passage du document où Da
IDENT : H. ALLAIS (ils, avocat à la Cour. CENSEUR : A. RAVAL'D,
professeur
de musique. SECRÉTAIRE ET TRÉSORIER : C. RAVA
AL'D, professeur de musique. SECRÉTAIRE ET TRÉSORIER : C. RAVAUD,
professeur
de littérature. Nous vous prions de uous affili
chirurgien, habitant Calcutta. 2° Médailles de bronze. M. DURAND,
professeur
de philosophie, habitant Cherbourg. M. LOYSEL,
autant..... Regardez, en effet, et comptons les tentes où sont ces
professeurs
de sciences occultes. Voici sur le champ de foire
suis venu à Boulogne, fin de l’été dernier; je nie suis annoncé comme
professeur
de langues, de chimie, de physique, de mathématiq
uis une réputation de grand savant, de puils de science (sic) , comme
professeur
de chimie, de physique, d’hygiène et de médecine
gne, placée à l’entrée de la salle des Spectacles-Concerts, que M. le
professeur
Idjiez montre les merveilles du magnétisme avec M
s on éprouve le fluide électrique. Mais voici une expérience que le
professeur
Mat-ieucci appelle conti action par induction. Ap
u mica empêche ce phénomène. Il faut donc conclure de ceci, avec le
professeur
Matteucci, que le fait de la contraction induite
leur logique de démonstration. L’idée, du reste, en revient encore au
professeur
dont je viens de citer le nom. Quand on réfléch
ons sont confirmées. Cependant, comme le fait remarquer lui-même le
professeur
Four- nier (4), « une maladie lente, et surtout
aux organiques et une diminution des matériaux minéraux (1). Or, le
professeur
A. Robin (2), dont la haute compélence est bien
d'une malade qui fut soignée dans le service de notre maître M. le
professeur
Lannois et dont l'histoire est très intéressante
IX). Femme M..., 57 ans, ménagère. Entre dans le service de M. le
professeur
Lannois, le 19 février 1904. Rien à noter dans
nuque et dernièrement dans un mémoire vraiment intéressant (4), le
Professeur
Ferrio de Turin,en étudiant le plo- sis de ta t
iés en 19d4 dans l'occasion du XXVe anniversaire de l'enseignement du
Professeur
C. Sozzolo de Turin. POLIOMYÉLITE ANTERIEURE
tres syndromes né- vropathiques sont dans ce cas. » Cette phrase du
professeur
Pitres, qui sert de préface au livre de René Cr
tous ceux qui m'ont aidé dans la rédac- tion de ce travail : M. le
professeur
agrégé Sicard qui m'en a inspiré le sujet; M. le
: M. le professeur agrégé Sicard qui m'en a inspiré le sujet; M. le
professeur
agrégé Claude ; M. le D' Meige ; M. le D' Kouindj
a une bonne hygiène, peut remplir ses fonctions assez fatigantes de
professeur
et il conserve un excellent état général. )2
t plusieurs traitements, restés d'ailleurs sans résultat. Enfin, le
professeur
Brissaud constata sur la branche antérieure du ra
motion : il s'agissait 90 MACÉ DE MPINAY d'un abbé, âgé de 4 ans,
professeur
, très surmené par ses cours, la correction des
lis spasmodiques ont, à n'en point douter, une origine mentale ; le
professeur
Brissaud qui les a bien décrites les a assimilé
sculaires, surtout à la base. De son examen histologique, le savant
professeur
conclut que « l'existence d'altérations spécifiqu
EURES DE FLORENCE CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE, dirigée par 1VI. le
Professeur
Sén. PIÉTRO Gnocco, SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHOND
NELLES 215 Crampe des pianistes. Les pianistes de profession, les
professeurs
de piano, obligés de jouer de leur instrument p
main sur le clavier. Savill (198) cite de même une femme de 32 ans,
professeur
de piano, qui avait un spasme de l'index et du
ns observé récemment un exemple dans le service de notre maître, le
professeur
Pierre Marie ; il s'agissait d'un myopathique d
VILLE DE TURIN SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET PAR Le
Professeur
B. PESCAROLO Médecin en premier de l'hôpital.
ans sa traduction italienne d'Albutt, et qui a trait à un malade du
Professeur
Bozzolo de Turin. Il s'agissait d'un homme de 6
GIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE, PRÉTENDUE COTE CERVICALE e PAR ' - Le
Professeur
A. STCHERBAK (de Varsovie). Observation. Il
é- cessairement comme le métier de télégraphiste, de greffier, de
professeur
de piano, par exemple d'un double surmenage muscu
l'emploi mériterait d'être généralisé. Lanel a, tout dernièrement (
Pr.
? Me ? 27 janvier 1909), vanté les bons effets
tion aux crampes pro- fessionnelles et aux tics date des travaux du
professeur
Brissaud (22), de Meige et Feindel (235). Kouin
erveu- ses, 1895, p. 502. Claudication intermittente douloureuse.
Pr.
méd., 15 juillet 1899. 23. Broyer. - Writer's c
JUILLET 1909) TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES, PAK E. BOINET,
Professeur
de clinique médicale, Agrégé des Facultés, Méde
INIQUE MÉDICALE DE L'UNIVERSITÉ D'UPSALA (SUÈDE) Service de J11, le
professeur
K. Petren. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE
. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË PAR R K. PETRÉN,
Professeur
. et L. EHRENBERG, Interne à la clinique.
vons eu l'occasion d'étudier dans le service de notre maître, M. le
professeur
Gil- bert Ballet et dans lequel les lésions mus
l'Hôtel-Dieu le 21 mai 1908, dans le service de notre maître, M. le
professeur
Gilbert Ballet. Il n'y a rien à noter de partic
ravail de l'un de nous. (1) Travail du service et du laboratoire du
professeur
Gilbert-Ballet, à l'Hôtel-Dieu. SOCIÉTÉ DE NEUR
nous a appris l'exa- men du fond de l'oeil fait par le spécialiste,
professeur
Casagli. Laissant de côté l'oeil gauche dont le
de, la 9e racine dorsale. Observation 5. Loig..., âgée de 40ans,
professeur
de piano, entre dans noire service à l'hôpital
'la présentation de notre malade à la Société médicale d'Odessa. Le
professeur
Lewascheff a fait observer la situation basse d
e elles. Nous avons pu les examiner grâce à l'obli- geance de M. le
professeur
Batoueff. Sans discuter sur les causes de la sy
POLICLINIQUE GÉNÉRALE DE TURIN Section des maladies nerveuses du
Professeur
D NEGRO SUR UN CAS D'OSTÉO-ARTHROPATHIE TABÉTIQ
médicale, je me bornerai à rappeler que, jusqu'à la publication du
Professeur
C. Baduel (1) en 1905, on en connaissait vingt-
CLINIQUE MÉDICALE DE L'UNIVERSITÉ D'UPSALA (SUÈDE) Service de D. le
professeur
K. PETRÉN, ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE
ÉN, ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË PAR K. PETRÉN,
Professeur
. et L. EHRENBERG, Interne nia clinique. (
d'abord à la clinique médicale chez qui plus tard mon collègue, le
professeur
Lennauder, a pratiqué la première partie de l'o
X (hospice DE la S,\LPÊl BIL.IOE) Travail du laboratoire de M. le
professeur
Raymond. ATROPHIE OLlVO-RUBRO-CLRI;JBELLL,.USE
très réduite à droite. L'examen ophtalmologique, pratiqué par M. le
professeur
Manolesco, donne : les pupilles sont insensibles
gestives. Dans le cas de Crouzon on eut neuf attaques en 18 ans. Le
Professeur
Mingazzini aussi m'a raconté un cas semblable q
INIQUE MÉDICALE DE L'UNIVERSITÉ D'UPSALA (SUÈDE) Servit de ! If, le
professeur
K. Petren. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE
en. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË PAR K. PETRÉN,
Professeur
. et L. EHRENBEFG, Interne à la clinique.
retrouve, du reste, certains caractères dans les corps inanimés. Le
professeur
Benedikt (1) ne nous montre-t-il pas dans les c
tous phénomènes na- turels dont aucun n'étonne ni ne surprend. Le
Professeur
E. BRISSAUD Au moment où va paraître le dernier
nnée 1909, peu de jours après l'anniversaire de la mort du regretté
Professeur
Joffroy, un nouveau deuil vient attrister le mo
ur Joffroy, un nouveau deuil vient attrister le monde médical. Le
Professeur
BRISSAUD est mort le 19 décembre 1909. L'émotio
o ? t- NOUV. iconographie; DE la salpêtrière T. XXI, PL. LXXIV
PROFESSEUR
E. BRISSAUD MASSON ET C^, Éditeurs. TABLE DES
l'enfant était gâteux, ne marchait pas. Le caractère était sombre,
Pr.
.. restait accroupi dans un coin. Actuellement
ments sont aussi variés que possible et chaque année notre dévoué
professeur
, M. Uor, en introduit de nouveaux. Nous ne pouv
thèse si souvent soutenue par nous devant l'Administration, qu'aux
professeurs
de gymnastique, d'escrime, de chant, de danse,
La fanfare et l'orphéon sont placés sous la direction de M. Sutter,
professeur
de chant. La fanfare se compose de 14 exécutant
otographie. Diverses de ces vues ont été utilisées par M. Bonnairc,
professeur
à l'Ecole municipale d'infirmiers et d'infirmiè
de Varsovie) ; M. Costa, étu- diant en médecine, à Paris; M. Combe,
professeur
à l'Université de Lausanne ; M. Carrier, intern
crétaire du groupe de la Solidarité des femmes (de Paris); M. Koht,
professeur
à l'Uni- versité de Kristian; Mme Koht, profess
Paris); M. Koht, professeur à l'Uni- versité de Kristian; Mme Koht,
professeur
à l'école primaire de Kristiania; M. Lacroix, d
Dr Torchut (de Royan); M. Turin, ingénieur à Paris; Dr Vorotynsky,
professeur
agrégé à la faculté de médecine de Kazan ; 1)1'
d'appel; M. Wonnacott, architecte (de Londres); 1\I",o'Volfring,
professeur
à l'école primaire de Kristiania; Zunz, ancien
es noms sont venus ce jour-là. Nous prévenons, à leur intention, le
professeur
de chant et celui de gymnastique, dont les heur
urs : MM. MESNAHD, LA-s-DOSSE, CA11 : 11LHA( : et DERUETTE ; - un
professeur
de chant, M. Sutter; un professeur de Gymnastiq
11 : 11LHA( : et DERUETTE ; - un professeur de chant, M. Sutter; un
professeur
de Gymnastique, M. Goy ; un maître de danse, M.
Cet enseignement est complètement suspendu depuis 1897, faute de
professeur
. Il y aurait pourtant, comme nous le disions l'
, comme nous le disions l'an dernier, une réelle utilité a avoir un
professeur
de dessin pour la Fondation et pour le service
Enseignement du chant. - Cet enseignement est fait par M. S1JTTElI,
professeur
de chanta l'Asile-école de Bicêtre. Ainsi que l
i que les années précédentes, confor- mément à nos instructions, ce
professeur
s'est occupé, successivement de tous les enfant
directeur du Département médical au Ministère des Cultes, et M. le
professeur
Dr D.wTZ, délégués du ministre des Cultes et de
divers endroits, (1) Nous en devons la traduction il M..1. IIoyeb.
professeur
il l'Institut médico-pédagogique, à Vitry-snr-S
vre la classe où on l'a placé au collège de Soissons. La vue de son
professeur
qui avait, nous dit-on, la voix brève et les ye
en empare aussitôt et s'amuse à dessiner une devinette qu'un de ses
professeurs
lui avait expliquée dans la journée. Il s'agiss
HI E DE LA SALPÊTRIÈRE L'INFANTILISME VRAI PAH E. BRISSAUD,
Professeur
à la Faculté de Médecine de Paris. Le sujet de
CHRONIQUE - VERTÉBRAL PAR M. F. RAYMOND, et M. L. BABONNEIX,
Professeur
à la Faculté de médecine. Chef de clinique de la
a présenté deux cas dans ses Leçons du vendredi (1), et dont M. le
professeur
Berger (2) a publié récemment un autre cas, a é
D... fait quatre séjours de courte du- rée dans le service de M. le
professeur
Revilliod. Les notes prises à cette épo- que pa
emment. Mort le 16 septembre 1903. A l'autopsie,faite par 1\1. le
professeur
ZaUn,on constate la présence d'un néo- plasme d
t en particulier depuis les communications faites en 1903 par M. le
professeur
Fournier et M. le professeur Lanne- longue à l'
ommunications faites en 1903 par M. le professeur Fournier et M. le
professeur
Lanne- longue à l'Académie de médecine, la ques
, brodeuse, entre à la Salpêtrière, salle Charcot (service de M. le
professeur
Raymond) pour des [phénomènes ostéo- articulair
es et la malade vient consulter à la Salpêtrière dans le service du
professeur
Raymond, le 21 juillet 1906. Etat actuel. C'est
Plus récemment, l'année dernière, a paru un livre du Dr Bruandet,
professeur
suppléant à l'Ecole de médecine de Reims, inspiré
TIIOGÉNIE DES OEDÈMES TRAUMATIQUES D'ORIGINE NERVEUSE) G. ETIENNE
Professeur
agrégé à la Faculté de médecine de Nancy, charg
s que j'étais chargé de la consultation ex- terne de la clinique du
professeur
Heydenreich. , Observation II Elle concernait
main droite qui fut reconnue de nature cancéreuse et opérée par le
professeur
A. Reverdin. A cette occasion une radiographie
duit. Il ne semble pas d'ailleurs trop fréquent. En Roumanie, M. le
professeur
Marinesco en a observé un cas et nous ve- nons
ors- qu'il n'est pas dangereux. 176 HENRY MEIGE A ce propos, le
professeur
rappelait le geste d'Ingres brisant une statue
militaire, chirurgien aux armées de la première Républi- que, puis
professeur
au Val-de-Grâce, Salvage, entreprit, vers 1796, d
culaire commun. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE (LABORATOIRE DE 111. LE
PROFESSEUR
RAYMOND) LES LÉSIONS ANATOMO-PATHOLOGIQUES DE L
, ayant examiné cinq moelles épinières dans le laboratoire de M. le
professeur
C. Savas, de l'Université d'Athènes. Grâce à l'ob
l'Université d'Athènes. Grâce à l'obli- geante courtoisie de M. le
professeur
F. Raymond, j'ai pu examiner dans le laboratoir
je dois rappeler sur- tout les travaux deLeyd2n et Schrotter. M. le
professeur
E. Leyden examina une moelle et trouva des lési
eu la bonne fortune d'observer, dans le service de notre maître, le
professeur
Badal, un cas fort curieux de mydriase paralytiqu
éphrite épitliéliale doulou- reuse, avec du sable dans l'urine ; le
professeur
Pousson, soupçonnant un calcul, pratiqua une né
ntion d'urine, qui a cédé, chaque fois, à un seul cathétérisme ; le
professeur
Pousson n'a pu découvrir la cause de cette rétent
ET TROUBLES TROPHIQUES INTENSES, par F. RAYMOND et P. LEJONNE
Professeur
de Clinique Chef de clinique des Maladies du Sy
pparaît ; elle n'est pas délimitée par une membrane (fig. 5). M. le
professeur
Askanazy en con- firme la nature syphilitique e
En juillet 1902, la vue baisse, V = 2/3 à gauche et à droite M. le
professeur
Dufour,à Lausanne, écrit « que cette vision 2/3
ienne double, hémimélie thoracique gauche), d'après un manuscrit du
professeur
J. Fages. Gaz. hebdomadaire des sciences médicale
. 265-271. - Le sujet est une femme de 58 ans, malade du service du
Professeur
Deje- rine. La cuisse est légèrement raccourcie
oire clinique de ce cas que nous devons à l'extrême obli- geance du
professeur
Battistini dans le service duquel a séjourné la
DE NANCY DES ECCHYMOSES ZONIFORMES SPONTANEES PAR G. ÉTIENNE
Professeur
agrégé à la Faculté de médecine de Nancy. L'obs
t-être en serait-il encore de même ( ? ) dans le cas signalé par le
professeur
Bouchard (2), d'après Brown-Séquard, « d'ecchymos
que de M. Faisans, dans le cas hypothétique de névralgie faciale du
professeur
Bouchard. Et pour saisir l'ensemble de la quest
btenu des hémorragies sous-cutanées dans l'oreille du côté lésé. Le
professeur
Bouchard (2), après avoir arraché le ganglion cer
PARTIES DU CERVEAU SUR LA SURFACE DU CRANE PAR . G. ROSSOLIMO
Professeur
agrégé à la Faculté de Médecine de Moscou. Malg
oter sur la surface du crâne, la partie sous-jacente du cerveau. Le
professeur
Zernoff a pris pour hase de son invention la fo
tion qu'elle va tomber en arrière. Il y a deux ans elle consulta un
professeur
d'Odessa qui diagnostiqua la neurasthénie et lu
e la valériane et enfin du fer et des bains froids. Il y a un an le
professeur
SCECOr.ErF d'Odessa lui prescrit du fer et de l'a
rté de se vaincre réciproquement. » B... entre dans le service du
professeur
Brissaud à l'Hôtel-Dieu, fin 1906. Dès ce momen
e les parents alar- més ramenèrent -Turin, où il fut examiné par le
Professeur
Pescarolo qui établit à cette époque le diagnos
on de la névrite optique consécutive à l'hypertension cérébrale. Le
Professeur
Raymond, Directeur de la Clinique ophtalmique d
r ici, pour le très courtois accueil que j'ai reçu chez eux, MM. le
professeur
Carrara, directeur de l'Institut de médecine léga
directeur de l'Institut de médecine légale de la l'acuité, et M. le
professeur
Scagliosi, directeur de l'Institut anatomo-pathol
DE RECKLINGHAUSEN AVEC L'ACROMÉGALIE, PAR Aloysio DE CASTRO,
Professeur
à la Faculté de Médecine de Rio-de-Janeiro. Je
biu- trants à l'intervalle de quelques minutes. L'un de nous (M. le
professeur
Mari- nesco) appelé, institue un traitement bro
ue a beaucoup diminué. L'examen ophtalmoscopique pratiqué par M. le
professeur
Stanculeanu montre de la stase papillaire des deu
resque la naissance. (TRAVAIL DU LABORATOIRE ET DE LA CLINIQUE DU
PROFESSEUR
ROCQUE A LYON.) DE LA CONSERVATION ET DU RETOUR
Sainte-Anne le 10 juin 1911. A son entrée dans le service de M. le
professeur
Gilbert Ballet, il présente des alternatives d'ex
TROUBLES MENTAUX CHEZ UNE JEUNE ARABE PAR R 1 MM. J. CRESPIN,
Professeur
à la Faculté de médecine d'Alger. et BONNET
t sqfj. (4) Institutions anatomiques de Gasp. Bartholin, Docteur et
Professeur
du Roy de Dannemarck, Augmentées et enrichies p
UROLOG(I : AU MOYEN DE L'ULTRAMICROSCOPE PAR M. G. MARINESCO,
Professeur
à la Faculté de Médecine de Bucarest. La cytolo
un autre segment rachidien. De cette opinion, se rapproche celle du
professeur
Ph. Dwight (4). Il admet en effet une segmentat
SUR UN CAS DE DYSOSTOSE CLl;IDO-CItANIENNE PAR N. MALDARESCO i
Professeur
à la Faculté de Médecine, médecin en chef l'hôp
E, ÉTUDIÉE D'APRÈS LA CINÉMATOGRAPHIE - PAR Aloysio DE CASTRO
Professeur
à la Faculté de Médecine de Rio-de-Janeiro. L'é
sérieuse. Par suite de l'intervention bienveillante de mon chef, le
professeur
Ga- rlelius, je fus chargé, à la fin de 1910, p
ie de Caroline concorde sur divers points avec un cas publié par ie
professeur
Gadélius (llygiaea 1894). Chez un tailleur de 3
(Haute-Marne) HOPITAL CANTONAL DE GENL VC Laboratoire de 111. le
professeur
Bard. ^SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS SÉA1\CE
fait un premier séjour à l'Hôpital cantonal, dans le service de M. le
professeur
Bard, du 20 janvier au 25 février 1901. L'obs
e d'autopsie, dicté par le Dr Boéchat, premier assistant de 1\l. le
Professeur
Askanazy, nous relevons les faits suivants :
0 diamètres). HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE Travail du laboratoire du
Professeur
Dejerine. MÉNINGO-MYÉLITE CHRONIQUE DE LA RÉGIO
lle ce malade est examiné pour la première fois, dans le service du
professeur
Raymond, les douleurs se sont atténuées dans la j
lO-SCAPULO HUVIH;RAL Etude clinique, PAR le P' G. MINGAZZINI,
Professeur
de clinique des maladies nerveuses à l'Université
e pyramidale. TRAUMATISME ET SYNDROME DE PAGET PAR André LÉRI
Professeur
agrégé à la Faculté de médecine et Gaston LEG
ÈME NERVEUX. HOSPICE DE LA SALPÈ1HIÈRE. Tiavail du laboratoire du
professeur
Dccwrrc. SYRINGOMYÉLIE, HYPERPLASIE DU TISSU
tissu conjonctif, c'est l'hypothèse qui nous a été proposée par le
professeur
Prenant,ou bien il s'agit d'une hétérotopie rem
E DU RADIUS PAR C. PASTINE (Assistant à la Clinique Médicale du
Pr.
E. Alaregliano, à Gênes) Le cas que nous publio
faits. L'examen du fond de l'oeil, prati- qué par l'ophtalmologiste
professeur
Grignolo, ne révèle aucune altération. Le visus
ostéophy- tes, en sont la marque la plus caractéristique ; aussi le
professeur
Tissier a justement proposé la dénomination de
n & Cie, éditeurs. UN CAS DE SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE PAR le
Professeur
CONTO, de Rio de Janeiro. Depuis que le Profe
QUE PAR le Professeur CONTO, de Rio de Janeiro. Depuis que le
Professeur
Pierre Marie a appelé l'attention sur les états
S CAS DE TUMEURS DE L'ANGLE PONTO-CÉRÉBELLEU1 par Egas MONIZ,
Professeur
à la Faculté de Médecine de Lisbonne. Des trois
UDE DE L'OBÉSITÉ DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX l'Ali Al. OBREGIA,
Professeur
de Psychiatrie à la Faculté de Médecine de Bucare
directeur et médecin en phef de l'Hospice Marcoutza. C. PARHON,
Professeur
de Clinique des Maladies Nerveuses et Mentales à
icle : Prokop Divis Vylicèni jeho pivota a àsluch vèdeckych, par le
professeur
Fr. Nusl. Prague, 1899. (Publications de l'Académ
bis etc.. grâce à laquelle il fut promu docteur en médecine. Devenu
professeur
d'histoire naturelle il a écrit beaucoup de tra
▲