chapitres, souvent très éloignés. C'est ainsi que, depuis Celse, ont procédé , avec quelques variantes, Ferrein, Dionis, Lassus

s et ferons représenter, quand ils ont assez d'importance, les divers procédés qu'elle renferme, en exposant les motifs qui peuv

ce déterminée. Cet examen comparatif de la valeur des opinions et des procédés exige beaucoup de réserve et de délicatesse. « De

situation diagonale, séparant l'espace en deux triangles, modifie les procédés opératoires qui se pratiquent dans cette région,

qu'elle offre le plus d'intérêt. Dans cet espace se rapportent trois procédés différents d'incision pour la ligature de l'artèr

a pointe du couteau dans la désarticulation scapulo-hunié-rale par le procédé de M. M. Champesmes et Lisfranc. RÉGION AXILLAI

ingue celle qui a pour objet la ligature de l'artère numérale, par le procédé de M. Lisfranc; enfin, à la portion squelette se

es réductions, les désarticulations et les résections dont les divers procédés sont, plus que partout ailleurs, fondés sur les r

sion d'actions très différentes . c'est ce que l'on nomme méthodes et procédés opératoires. Quoique ces deux mots soient très em

ve que l'on se propose ou à l'effet principal que l'on produit, et le procédé à l'ensemble des moyens pour y parvenir; de sorte

t le procédé à l'ensemble des moyens pour y parvenir; de sorte que le procédé est compris dans la méthode ; mais c'est lui qui

te une ou plusieurs méthodes, renfermant chacune un seul ou plusieurs procédés . Ainsi l'anévrisme peut se traiter par compressio

éralisée, etc., toutes méthodes différentes comprenant chacune divers procédés . Les raisons qui, dans la pratique, entraînent le

entraînent le chirurgien à choisir telle méthode ou à substituer tel procédé à tel autre, se déduisent de la nature de la mala

irurgien et ses aides pour la pratique entière de l'opération, par un procédé déterminé. Ces manœuvres, qui constituent le suje

'opérateur agissant en partie à main levée. Voici en quoi consiste le procédé . Le bistouri tenu obliquement, on prend un point

cas où il a besoin de garder la liberté de ses deux mains. Premier procédé . Incision oblique avec ponction. Son exécution se

ment sous la peau. C'est sur ces considérations que sont fondés les procédés sui-vans. Deuxième procédé. Incision à plat. Il

ces considérations que sont fondés les procédés sui-vans. Deuxième procédé . Incision à plat. Il diffère du précédent en ce q

er cette membrane et les tissus sous-jacens que couche par couche. Ce procédé est long et douloureux, mais il offre une précisi

le faire préférer dans les cas qui en réclament l'emploi. Troisième procédé . Incision sur un pli à la peau1. On rassemble ent

u tranchant. La section des deux moitiés peut être pratiquée par un procédé en sens inverse de celui que Ion vient de lire, c

cision soit de dehors en dedans, soit de dedans en dehors. Ce dernier procédé est préférable. L'incision, pour atteindre la son

e chacun d'eux. i° Ponction avec le bistouri. Elle se fait par deux procédés , directe ou oblique. (a) Ponction directe. L'in

nchant ou même on l'incline à sa sortie; mais alors on rentre dans le procédé de l'incision oblique que nous avons décrite préc

rallélisme entre l'ouverture intérieure et celle de la peau. Voici le procédé généralement usité. Muni du bistouri à lame longu

grande étendue, les parties sur lesquelles on opère. On évite, par ce procédé , une dissection méthodique toujours longue et dou

x dents, il constitue Xauulsion, très variable d'après la quantité de procédés et d'instrumens que l'on y emploie, et qui seront

Dans l'un et l'autre cas, la striction s'exerce de trois manières. procédés de striction. LiGATUHE simple. On l'opère suivant

garrot, le barillet et les diverses sortes de serre-nœuds. Premier procédé . Fils de substances végétales ou animales. On fai

centriques de plus en plus étroits, la section des tissus. Deuxième procédé . — Fils métalliques. Il ne diffère du précédent q

s extrémités du fil, que l'on tord au lieu de le nouer. C'est ce même procédé de torsion renouvelée, qui rétrécit peu-à-peu l'a

velée, qui rétrécit peu-à-peu l'aire de la circonférence. Troisième procédé . — Serre-nœuds sur diverses surfaces. 11 ne se di

e qu'elle embrasse , l'action tranchante de l'anse du fil. choix du procédé de ligatures simples. Le choix du procédé dépen

l'anse du fil. choix du procédé de ligatures simples. Le choix du procédé dépend des indications à remplir d'après la forme

anes muqueuses, il suffit de la simple ligature par les deux premiers procédés . Si, au contraire, une tumeur est très résistante

. Grœfe offre les résultats les plus certains. ligature COMPOSÉE. ( Procédé de M. Mayor.) D'après ce que nous avons énoncé

. C'est pour obvier à ce grave inconvénient que M. Mayor a imaginé le procédé très ingénieux que nous allons décrire. Le but

iné le procédé très ingénieux que nous allons décrire. Le but de ce procédé est de diviser, suivant son plus grand diamètre,

stouri, et l'on attend qu'elle soit détachée par la suppuration. Ce procédé de l'application de la potasse est celui que l'on

tumeur à envahir ou repulluler. Potasse caustique et chaux vive. ( Procédé du grand hôpital de Vienne.) Ce caustique se

manière dont elle s'applique. Nous allons indiquer les principales. Procédés opératoires. Cautérisation inhérente. Elle s'ef

ans et ceux qu'ils poussent au-devant d'eux au sein des tissus. Les procédés opératoires d'extraction , aussi nombreux que var

ranche spéciale de la chirurgie aussi certaine que brillante dans ses procédés et ses résultats. RÉUNION. La réunion est, en

ue de J.-L. Petit, on en comptait un grand nombre imitées de tous les procédés des arts ; mais depuis que Pibrac et Louis ont éc

le cas contraire, on remet à un autre jour à terminer l'opération. Procédés opératoires des sutures. suture entrecoupée ou

ires des sutures. suture entrecoupée ou a points séparés. — Premier procédé . On la pratique avec l'aiguille courbe demi-circu

l'une de dehors en dedans, et l'autre de dedans en dehors. Deuxième procédé . Lafaye pratiquait les différentes sutures, sans

ge de corps. La suture du pelletier ne s'adresse plus qu'à quelques procédés spéciaux d'entéroraphie peu justifiables en eux-m

lement qui aurait pour effet de rompre une cicatrice encore légère, procédés opératoires. i" Procédé ordinaire. Avant d'appl

t de rompre une cicatrice encore légère, procédés opératoires. i" Procédé ordinaire. Avant d'appliquer les bandelettes aggl

se conduire suivant les indications qu'il se propose de remplir. i" Procédé de M. Gaina (pour les plaies longitudinales ou ob

on les ramène en sens inverse de chaque côté au point de départ. Ce procédé d'application, qui réunit les avantages des bande

faces pour l'application de divers topiques et même de sangsues. 3° Procédé de M. Fouilby (pour les moignons imparfaitement r

t, permettent ultérieurement la réunion à la manière accoutumée. 4° Procédé ancien (dit suture sèche). Il consistait à réunir

sible. On se rappelle le malade auquel limiter amputa la jambe par ce procédé . La section des chairs ne fut pas sentie, et le m

diverses sortes de vaisseaux et la constitution du sujet. MOYENS ET PROCÉDÉS HÉMOSTATIQUES PRÉVENTIFS. Leur objet est de ral

e surface osseuse ou fibreuse qui réagit sur la pression. Moyens et procédés de compression. La compression s'opère directem

n s'appuyant sur une saillie osseuse voisine. En comparant ces deux procédés , on conçoit que le pouce, lui seul, et de prime-a

rochées par une vis de rappel fixée sur l'une d'elles. (Pl. 18-21.) Procédé d'application. Après avoir reconnu le vaisseau, o

à droite, déviation nécessitée au-dessus par le bord libre du foie. PROCÉDÉS HÉMOSTATIQUES PENDANT LES OPÉRATIONS. L'hémorrh

a compression ou la ligature. Compression. Elle s'effectue par deux procédés : i0 Compression immédiate. Elle consiste à mire

tanée, qui suspend ou même précède les sections. Ainsi, dans certains procédés d'amputation, et, par exemple, les désarticulatio

re des veines étant fréquemment suivie d'une phlébite très étendue. PROCÉDÉS HÉMOSTATIQUES APRÈS LES OPÉRATIONS. Dès que les

rsqu'on est menacé d'hémorrhagie malgré l'emploi des autres moyens. Procédé de Koch. C'est à la combinaison des deux espèces

r adhésion des parois entre elles et avec les parties voisines. Les procédés d'application des ligatures diffèrent suivant plu

ogue, susceptibles de se ramollir et d'être résorbés, Jameson, par un procédé qui rappelle les lanières en cuir de Ruysch, a es

égner pendant deux siècles. En général, la ligature se faisait par le procédé de Dionis, en cernant les vaisseaux et les chairs

seule tunique externe l'épaisseur de tissu comprise dans l'anse. Le procédé de lier les vaisseaux environnés de tissus étrang

nés dans Dionis. Dans le premier, qui forme la transition de l'ancien procédé de ligature au nouveau, l'artère était liée isolé

ouveau, l'artère était liée isolément sur un petit cylindre de linge, procédé dont l'application, plus récente, à l'opération d

ce qu'il tombe de lui-même après la déchirure des tissus, est le seul procédé usité de tout temps jusqu'au commencement de notr

upée au niveau de la plaie , ou préservée du contact de l'appareil. PROCÉDÉS OPÉRATOIRES. i0 Ligature médiate. Passer les de

urs font glisser l'anse du fil des pinces sur l'artère. Mais ici deux procédés de striction se présentent. Si le vaisseau est d'

alement l'artère avec une pince ordinaire, M. Amussat, l'auteur de ce procédé , a comprimé le vaisseau au-dessus entre les deux

me, dans un cas d'ané-vrisme. (Pl. 31, fig. 5.) Torsion. Des divers procédés de lésion des tuniques artérielles, empruntés de

'est donc de ce mécanisme combiné que résulte l'heureuse imitation du procédé de la suture dans les plaies par arrachement. P

imitation du procédé de la suture dans les plaies par arrachement. Procédé de M. Amussat. (Pl. 3i, fig. 7.) Quatre pinces so

pour cpie ce résultat, qui offre moins de sécurité, n'ait pas lieu. Procédé de M. Fricke. L'artère saisie de la mai 11 droite

rémité d'une artère et de la replier circulairement sur elle-même. Ce procédé , proposé pour les artères intercostales, aurait,

n'est également que pour mémoire que nous mentionnons la pince et le procédé de M. Stilling. Il fait, à une légère distance de

r un corps étranger. L'emploi de substances diverses simule autant de procédés . i° Cire. Conseillée très anciennement pour les

dre le vaisseau impropre à recevoir le sang, quoique non oblitéré. Le procédé d'introduction d'une substance étrangère a réussi

mme un point sur la racine avec le bec d'une plume. C. Extirpation ( Procédé de Dudon). Le malade étant assis, le pied lavé, c

dans sa nature, et aussi sujette à repulluler. L'extirpation est le procédé employé de préférence pour enlever les cors, si d

su érec-tile. On en obtient la guérison par ligature et par les mêmes procédés indiqués pour les autres excroissances, isolément

avec un fil de chanvre ciré, un fil de soie ou un fil métallique ; ce procédé est long , douloureux et infidèle. 2° Arrachement

stouri, le grattoir ou les ciseaux, en enlevant couche par couche; ce procédé se combine avec le suivant. 4° Cautérisation. Ce

itrate d'argent ou l'acide nitrique, comme il a été dit plus haut. Le procédé le plus ordinaire est l'excision réitérée suivie

médiatement et il s'évacue en entier par une légère pression. Le même procédé s'applique à l'extraction des corps étrangers, un

la courbure de l'ongle, considéré en théorie comme cause première. Procédé de Desault. Muni d'une petite plaque de fer blanc

teil et la maintenait fixée par une bande. Au rapport de Bichat, ce procédé cause de vives et longues douleurs, et a exigé tr

emploi suppose que les chairs ne sont que légèrement proéminentes. Procédé de Dionis. Enlever par le grattage jusqu'à usure

ent en amenant le côté malade et mobile vers le côté sain adhérent. Procédé de Gui/mot. Enlever par le grattage et sans arrac

seul peut être curatif. 4° Arrachement sans ablation des chairs. Procédé de Fabrice d Aquapendente. Isoler l'ongle de la c

ncarnée, jusqu'à séparation complète. Pour éviter la longueur de ce procédé , Dionis, sans interposition préparatoire d'un cor

ion terminée, il cautérisait les chairs s'il le jugeait convenable. Procédé de Dupuytren. L'orteil tenu entre le pouce et les

achement avec ablation des chairs. M. Larrey modifie et complète le procédé de Dupuytren par l'excision des chairs proéminent

que delà cautérisation consécutive. Aussi malgré ces inconvéniens le procédé en lui-même est bon, car il est curatif et donne

aujourd'hui par M. Brachet à l'ablation. Ablation avec le bistouri. Procédé de M. Lisfranc. Insinuer de dedans en dehors la l

regard, conditions dans lesquelles rentre la modification apportée au procédé de Dupuytren par M. Larrey. m 70 Ablation tot

ïncidence, comme le seul moyen vraiment curatif de l'ongle incarné. Procédé de Dupuytren. Le pied étant maintenu immobile par

onde incision longitudinale avant la section à plat. Dans un second procédé , le bistouri étant tenu à pleine main, coupe d'ab

rtain de l'épaisseur de tissu qu'il enlève. Enfin, par un troisième procédé proposé par M. Malgaigne, non encore essayé, mais

blement sans danger qu'il se reproduise. Au reste, quel que soit le procédé dont on fasse usage, l'opération terminée, il fau

est du domaine de la médecine opératoire, laissant de côté les divers procédés cosmétiques étrangers à la thérapeutique chirurgi

tres d'elles-mêmes et les canines moins blanches que les incisives. Procédés opératoires. Les soins de propreté prévus à l'ava

moins imités du trépan, mais dont l'usage n'est pas indispensable. Procédé opératoire. Le malade étant assis , on ne saurait

°aux instrumens s'ajoutent les feuilles du métal et du coton cardé. Procédé opératoire. Nettoyer la dent par le grattage de s

échauffé si l'on se sert de feuilles de plomb. Plombage a chaud. Ce procédé qui s'opère par liquéfaction de l'alliage métalli

plus doux, et permet une légère mobilité qui prévient la fracture. Procédé opératoire. Le malade étant assis en position con

er soit avec la clef, soit avec le davier ou le tirtoir. Du reste, le procédé opératoire est le même que celui pour lequel on e

ivent être assez étroits pour ne porter que sur la dent à extraire. Procédés opératoires, i° Avec le tirtoir. Cet instrument c

ent évasée, ou rétrécie et recouverte par des fongosités, le choix du procédé et de l'instrument est si variable que l'on ne pe

la lumière. Conservation pour plusieurs mois. i° Plaques de verre ( procédé de Jenner). L'illustre inventeur de la vaccine se

sec, l'étendre dans une gouttelette d'eau sur une plaque de verre. Ce procédé , qui laisse encore le vaccin en contact avec un a

is évidemment les plaques de verre sont préférables, sur-tout dans le procédé de Jenner qui permet une très longue conservation

tion indéfinie. {Tubes de verre fermés aux deux bouts.) L'objet de ce procédé est de soustraire complètement le vaccin fluide à

plètement le vaccin fluide à toutes les causes de décomposition. i0 Procédé de M. Bretonneau. Cet habile chirurgien, dont le

évenir les chocs et garantir de la lumière. Le vaccin conservé par ce procédé peut être transporté aux distances les plus éloig

uide pur, limpide, et tel qu'il a été aspiré du bouton vaccinal. 2° Procédé de M. Fiard. Il n'est autre que le précédent un p

ntre la chaleur artificielle appliquée et la température ambiante. Ce procédé , qui n'est que la copie de celui de M. Bretonneau

volume de l'appareil. Inoculation. On inocule le vaccin par quatre procédés : i0 Frictions. Pratiquées avec rudesse avec un

e imprégné de vaccin, jusqu'à déterminer l'excoriation de l'épiderme; procédé très long, fort douloureux, d'un effet peu sûr, e

t nécessaire pour que les aréoles des boutons ne se confondent pas. Procédé opératoire. Tout étant disposé, la personne que l

es. Le trocart est une tige à pointe conique reçue dans une canule. Procédé opératoire. On commence par engourdir la sensibil

C'est le moyen le plus efficace et par cela même le plus employé. i° Procédé ordinaire. Avec une petite compresse pliée en hui

quer immédiatement sur le lieu choisi. A cette variété se rapporte le procédé de Halle, qui, dans un danger imminent, au lieu d

ent des douleurs inutiles. On doit donc préférer le moyen suivant. 2° Procédé d'Anthony Carlisle. Appliquer sur la partie un li

oureusement la forme et l'étendue convenables. — B. Chaleur sèche. i° Procédé de May or. Faire immerger dans l'eau bouillante u

Ce mode très simple est efficace et d'un effet sûr, offrant, comme le procédé de Carlisle, une température suffisante à un degr

ploi est facile et toujours à portée. Du reste, comme dans les divers procédés sus-énoncés, la chaleur doit être présentée assez

pispastiques, et sa teinture sert à préparer les taffetas vésicans. — Procédé d!application. L'emplâtre étant étendu en couche

la suppuration étant établie, on remplace la charpie par un pois. Ce procédé est facile et expéditif, mais le cautère qui en r

ar une bandelette agglutinative. Toutefois, la longueur extrême de ce procédé et la douleur qui en résulte doivent le faire aba

contraire, le cautère, mais sur-tout le moxa, lui sont préférables. Procédé opératoire, i" Avec le bistouri. Le malade est as

yer vantait, à ce sujet, l'aiguille à laquelle il a donné son nom. Ce procédé sans cloute est préférable comme plus expéclitif

indifféremment de ces instrumens, du rasoir ou des scarificateurs. Procédés opératoires. i° Scarifications profondes. Ce n'es

intention comme dans toutes les tentatives de l'esprit humain, farta procédé du simple au composé. L'extensibilité de la peau

une légère compression graduée des parties voisines vers la plaie. Procédés opératoires. Avant toute manière cle procéder,

que les tégumens voisins disséqués et alongés de diverses manières. Procédé ancien. Tailler les bords de la solution de conti

a d'autant plus facile quelle aura été un peu plus prolongée. Dans ce procédé , renouvelé avec succès par M. Dieffenbach , la mo

nt au besoin le refoulement de la peau par une compression graduée, Procédé de Chopart. Si la largeur delà perte de substance

ntement, devenu plus facile, est maintenu par des points de suture. Procédé de M. Roux (de Saint - Maximin. ) Cest en fait un

océdé de M. Roux (de Saint - Maximin. ) Cest en fait une extension du procédé de Celse, pour les plaies étroites, quand la disp

la forme, la disposition et les conditions anatomiques des parties. Procédé de M. Lisfranc. Il s'applique également aux cas o

r deux lambeaux triangulaires mobiles, à large base, du même côté. Ce procédé , par les ressources qu'il offre, nous paraît très

, par la demi-torsion de son pédicule, pour s'appliquer à la plaie. Procédé ancien. La plaie étant disposée et le lambeau cir

est pour obvier à cet inconvénient que l'on a recours à l'un des deux procédés su i vans. Procédé de M. Lisfranc. Prolonger l'

inconvénient que l'on a recours à l'un des deux procédés su i vans. Procédé de M. Lisfranc. Prolonger l'une des incisions lat

peut éviter consécutivement la section du pédicule moins difforme. Procédé de M. Lallemand. C'est comme la continuation ou e

'effectue suivant un arc de cercle, sur son pédicule comme centre. Ce procédé , entant que la disposition des parties en permet

ies en permet l'application, est donc préférable à tous les autres. Procédé de M. II. Jameson. On doit à ce chirurgien une co

lication fort louable mais toute simple de la théorie régnante et des procédés usités à notre époque, et ne suffit pas pour légi

en la partageant en plusieurs cicatrices nouvelles avec écartement. Procédé opératoire. La surface de la cicatrice étant main

te des soins longtemps continués, comme nous l'avons dit plus haut. Procédé ordinaire. L'adhérence cutanée étant mise dans un

me par l'interposition d'un corps étranger dans l'angle de réunion. Procédé de M. Rudtorffer. Son objet spécial est préciséme

nt des deux plaies pour les contraindre à se cicatriser isolément. Ce procédé en deux temps est plus long, et n'ajoute pas be

r lieu ; il nous suffira donc d'indiquer, d'une manière générale, les procédés qui s'y appliquent. i° Dilatation. Llle ne remé

ection du peaucier. Employée par Gooch pour un cas de torticolis. Procédé de Gooch. La tête étant fortement inclinée sur la

le de la peau et. la ponction sous-cutanée. i"Par incision cutanée. Procédé ancien. Le malade étant couché ou assis , la tête

té dans la cannelure de la sonde, achève la section d'un seul coup. Procédé de M. Roux. Faire à la peau une incision vertical

la cannelure duquel on insinue la lame du bistouri qui les divise. Ce procédé , employé sur la partie moyenne du muscle, peut êt

de sa hauteur. 20Par ponction de la peau et incision sous-cutanée. Procédé de Dupuytren. Pincer et soulever , entre le pouce

sciant, les fibres sous la peau, de la profondeur vers la surface. Procédé de M. Stromeyer. Sur un premier malade, le sterno

doigt indicateur , insinué en crochet derrière l'attache fibreuse. Procédés de M. Guérin. On doit à cet habile orthopédiste d

x musculaires participent à la rétraction. M. Guérin opère par deux procédés : de la profondeur vers la surface, ou de la surf

e manière à faire saillir fortement le muscle sous la peau. Premier procédé . Faire , à un travers de doigt au-dessus de l'att

etirant le bistouri, la section immédiate du tendon sternal. Second procédé . Dans celui-ci, sans qu'il soit besoin d'un pli à

rface. Pour la section totale, M. Guérin agit comme dans les autres procédés , du bord sternal vers le bord clavieulaire. La

r, comme mesure de prudence , d'inciser plus haut. Quel que soit le procédé dont on ait fait usage , et la hauteur à laquelle

haut, les vaisseaux, et, en bas, la bourse synoviale du calcanéum. Procédé de Delpech. Le malade étant couché sur le ventre,

mois la cicatrice du tendon offrait un allongement de deux pouces. Procédé de M. Stromeyer. Le malade étant couché sur une t

ontentif qui maintient.le pied fléchi. Modification de M. Duval. Le procédé et l'instrument sont ceux de M. Stromeyer, seulem

erture sans avoir pratiqué une autre plaie de la peau en regard. Le procédé de M. Stromeyer et ses modifications, qui permett

librement dans sa gaine, tandis que, après la suppuration qui suit le procédé de Delpech, les trois cicatrices, unies en commun

n commune ; mais chaque variété peut amener des modifications dans le procédé opératoire. Procédé de Dupuylren. (Fig. 3.) La

e variété peut amener des modifications dans le procédé opératoire. Procédé de Dupuylren. (Fig. 3.) La main du malade étanc m

uses, et coupe celles-ci en travers après qu'elles ont été isolées. Procédé d'AsUey Cowper. (Fig. 5.) Il glisse sous la peau,

u, qui l'isole des brides fibreuses, présente un avantage réel sur le procédé de Dupuytren , en détruisant l'union, en un seul

fronto-pariétale, comme le point le moins éloigné des ventricules. Procédé opératoire. Après avoir rasé les cheveux sur le l

rontal, et accompagné par l'artère et la veine frontales profondes. Procédé de M. Felpeau. (Pl. 23, fig. 6.) Le chirurgien es

rne de l'échancrure sourcilière à la seconde dent molaire. T. VI. Procédé par la muqueuse buccale. (Pl. a3, fig. ~. Dans ce

compression directe, soit au dedans de la plaie soit à l'extérieur. Procédé par la surface cutanée. Debout en face du malade

n et l'excision. Section à l'orifice supérieur du canal dentaire. ( Procédé de M. Warren.) Diriger de quatre lignes au-dessou

et en dedans, et qui, du reste, n'entre pas dans le canal osseux. Ce procédé n'a pas encore été employé sur le vivant. Nerf

per les nombreux rameaux artériels paro-tidiens. Section profonde. { Procédé de M. Velpeau.) Pour attaquer le nerf à sa sortie

ttes de coton ou d'é-toupe, et un flacon d'alcool rectifié. Premier procédé . Echauffer préalablement la cloche de verre à la

inant et appuyant avec le doigt sur la peau du côté le plus élevé. Ce procédé est douloureux et infidèle : souvent le combustib

cacité de l'opération : le vide est toujours trop imparfait. Second procédé . Dans celui-ci, la raréfaction de l'air est confi

uffement de la cloche elle-même, soit immergée dans l'eau bouillante ( procédé allemand), soit échauffée par la flamme d'une lam

linge sous le disque de la cloche; il est clair que le vide, dans ce procédé , est encore moins complet. 20 Ventouse à pompe.

pouce et l'indicateur, est offerte à la peau par l'autre ventouse. Ce procédé est très long et réussit mal, rien ne contraignan

ainsi à deux ou trois fois jusqu'à ce que Ie sang .ne coule plus. Ce procédé , en lui-même, est assez singulier , car il s'appu

la piqûre avec une aiguille mince munie d'un fil de soie très fin. Ce procédé nous paraît à la fois long, douloureux et compliq

général n'est pas changé, les deux modes d'action se neutralisant. Procédé opératoire. Si l'on ne veut produire qu'un effe

e opératoire, chacun de nous décrit et commente journellement tant de procédés surabondans, entre les limites extrêmes de la pué

plus haut, son abouchement dans la basilique répond au nerf médian. Procédé opératoire. Découvrir préalablement le bras jusqu

la saisit avec une pince à disséquer et l'ouvre longitudinalement. Ce procédé est un peu long, mais utile dans certains cas. La

en entier ou une certaine étendue des parois du tronc,on sent que ce procédé ,qui devrait, pour avoir quelque efficacité, s'adr

e de la veine, on ouvrirait avec la lancette le vaisseau mis a nu. Ce procédé , au point de vue anatomique, n'est pas sans diffi

ositions préliminaires étant prises , il existe pour l'opération deux procédés . 10 Procédé ordinaire. Le doigt indicateur et l

inaires étant prises , il existe pour l'opération deux procédés. 10 Procédé ordinaire. Le doigt indicateur et le pouce de la

ts de l'artère et réunir par suture comme l'a pratiqué M. Magistel. Procédé de M. Magistel. Ce chirurgien emploie spécialemen

t cle son devoir cle pratiquer l'opération, d'en indiquer le meilleur procédé . Ce n'est que par une erreur physiologique que

sur un individu sain et jeune ou au moins dans la vigueur de l'âge. Procédé opératoire. Les objets nécessaires sont : des ban

ps où les chirurgiens ont reproduit, en les modifiant, la plupart des procédés anciens. Dans toutes les manières d'opérer il y

lequel, fatiguée des résultats contradictoires obtenus par les divers procédés d'opération, la chirurgie semblait avoir renoncé

spiral ou le bas lacé; 2° par un appareil mécanique qui constitue le procédé de M. L. Sanson. Procédé de M. L. Sanson (pl. 3

par un appareil mécanique qui constitue le procédé de M. L. Sanson. Procédé de M. L. Sanson (pl. 3i, fig. i, 11" 3). L'instru

ieu de son application. M. Boinet a publié trois cas de succès par ce procédé , qui en compte encore plusieurs autres. Compres

qui en compte encore plusieurs autres. Compression après incision ( procédé de Delpech). Découvrir la veine par une incision

e cérat. Dans six cas sur sept, la guérison aurait été obtenue par ce procédé . Compression avec piqûre. L'objet de ce procédé

été obtenue par ce procédé. Compression avec piqûre. L'objet de ce procédé est d'obtenir l'adhésion par une légère inflammat

il résulte que M. Davat est bien véritablement le premier en date. Procédés de M. Davat. Les essais de M. Davat ont été prati

-même (Gazette des Hop., 2 5 mai 183o, ), il aurait eu recours à deux procédés : Premier procédé de M. Davat. Soulever la vein

p., 2 5 mai 183o, ), il aurait eu recours à deux procédés : Premier procédé de M. Davat. Soulever la veine dans un pli de l

hef de la suture telle qu'elle a été employée par M. Fricke. Second procédé de M. Davat ( pl. 3 1, Kg. i,u° i ). Traverser la

xième jour,sur les veines jugulaire et crurale du chien. Ce dernier procédé , qui a prévalu, a été le point de départ des opér

e à l'aiguille.M.Franc,en «834, avaiteru imaginer de son côté le même procédé en se servant d'une aiguille à acupuncture. M. Ve

e ses nombreuses observations sur le traitement des varices par trois procédés : i° les épingles ; 20 la potasse caustique; 3° l

atoires : car, en définitive, ce qu'il s'agirait de préciser c'est le procédé qui. dans une circonstance donnée, amène une guér

ée originale en appartient à M. Davat, dont elle constitue le premier procédé . D'après ce que nous avons vu plus haut : une pre

rès cinq jours et les aiguilles retirées, la veine était oblitérée. Procédé de M. Fricke. Le chirurgien armé d'une aiguille e

re; c'est Béclard qui en a fait l'usage le plus fréquent en France. Procédé de Béclard. Faire à la peau, sur le point du memb

que, dans la plupart des cas, la récidive est inévitable. Section. Procédé ordinaire. On le pratique de deux manières : i° i

ne l'oblitération des vaisseaux. M. Vcl-peau a employé avec succès ce procédé sur plus de quarante malades; le résultat n'a été

s de quarante malades; le résultat n'a été funeste que sur un seul. Procédé de M. Brodie. Armé d'un bistouri légèrement conca

funeste. Plusieurs chirurgiens anglais ont vanté les résultats de ce procédé , M. Bougon s'en est servi une fois avec succès; m

ent que par la direction longitudinale de la plaie, se divise en deux procédés , suivant que l'incision est unique ou multiple. 1

ù il existe de vastes pelotons variqueux inattaquables par les autres procédés , vu le grand nombre et le volume considérable d'a

les maintient aplaties sous un bandage compressif. Incision unique. Procédé de M. Richerand (pl. 31, fig. 1, n° 9). Avec un b

et l'on panse comme à l'ordinaire pour obtenir la cicatrisation. Ce procédé a réussi dans quelques cas à M. Richerand et à Bé

loi du bandage compressif immédiatement après l'opération, le premier procédé nous paraît préférable. Excision. On ne la cons

e est suivie de son oblitération. Au reste, de l'aveu de l'auteur, ce procédé , qui, en général, a réussi chez l'adulte, a manqu

e des moyens d'expérimentation d'une époque plus avancée les nombreux procédés imaginés lorsque l'art était encore à son berceau

aux. Toutefois la proportion est inverse entre ces deux effets. Les procédés qui agissent sur les troncs veineux, entre le siè

ver sa perméabilité promptement suivie du retour de la maladie. Les procédés qui agissent sur le lieu, l'incision multiple, la

de la tumeur, précepte dont l'accomplissement deviendra plus tard le procédé d'Anel, si mal-à-propos nommé de Hunter. Vers i63

s tentatives des chirurgiens de nos jours varie à l'infini dans les procédés opératoires, et reçoit de jour en jour des applic

lieu. C'est donc avec raison que M. Manec choisit la ligne moyenne. Procédé opératoire. Le membre en demi-flexion et couché à

e par le bord interne du soléaire et plus haut par celui du jumeau. Procédé ordinaire. Le membre étant dans la situation indi

, elle est recouverte par ce muscle, le jumeau interne, et la peau. Procédé opératoire. La jambe demi-fléchie et placée comme

obliquement d'arrière en avant ou vers soi. On attribue à M. Manecce procédé , qu'il a publié le premier. Son exécution est fac

Anatomie topogra pli ique, pag. 37 et pl. 12. Manuel opératoire. Procédé ordinaire. Le membre étant couché sur sa face int

e insinuée obliquement en diagonale d'arrière en avant ou vers soi. Procédé de M. Lisfranc. Comme pour les deux autres artère

le chirurgien est placé en dehors. Ligature à la partie inférieure. Procédé de M. Lisfranc. Avec la pulpe des doigts cle la

ure à la pairie supérieure ou dans un lieu non déterminé à l'avance. { Procédé ordinaire.) Les préceptes sont les mêmes que ci

l'artère avec l'aiguille anglaise. 11 est inutile d'insister sur le procédé de ligature déjà connu à la partie inférieure de

e. On y parvient par deux incisions. i° Incision latérale interne. ( Procédé de l'auteur : planche 38, fig. 2.) Le sujet c

er l'aiguille du fil et faire la ligature. Il est clair que, par ce procédé , on peut lier avec facilité la partie la plus inf

ronier ou l'origine de la tibiale antérieure. 2° Incision oblique. ( Procédé de M. Marshal.) Le membre placé comme il a été

a été dit précédemment. 3° Incision latérale interne à la cuisse. ( Procédé de M. Jobert.) L'objet de l'auteur est délier l

férieure de l'espace sous le couturier (partie moyenne de la cuisse). Procédé de M. Roux. Déprimer le sillon intermédiaire du b

moyenne de l'espace sous le couturier (tiers supérieur de la cuisse). Procédé de Desault. Inciser en deux temps la peau et l'ap

érieure de l'espace sous le couturier (quart supérieur de la cuisse). Procédé de Hanter, modifié par M. Lisfranc. Déprimer le s

e à l'extrémité supérieure de la cuisse (espace sous-aponé-vrotique). Procédé deScarpa. Le faisceau vasculaire à cette hauteu

aumati-ques, mais avec des modifications dans le manuel opératoire. Procédé de MM. Lizars et Harrisson. Le malade étant couch

le la direction du vaisseau par celle de la plaie. Mais à son tour ce procédé est blâmé par M. Malgaigne, qui lui reproche, ave

. 3° Ligature à la partie supérieure du bras (pl. 42, fig. 1 ) '. Procédé de M. iÀsfranc. Nous appelons humérale, et non, c

s difficile. Ces considérations expliquent et motivent la variété des procédés qu'on emploie pour y parvenir. Le muscle petit pe

raverse la direction, sert de guide et de régulateur pour le choix du procédé et des manœuvres qui s'ensuivent. Ainsi la ligatu

parallèle ou transversale au cordon vasculaire constituent les divers procédés . i° Ligature au-dessous du petit pectoral. On p

ouvrir l'artère dans une grande étendue, et alors elle rentre dans le procédé suivant. Si, au contraire, on ne veut que lier l'

on ne veut que lier l'axillaire très bas, il vaut mieux se servir du procédé de M. Lisfranc , par le creux de l'aisselle. 2°

2° Ligature derrière le petit pectoral (pl. 45, fi g. 2, D et D2). Procédé de Desault, modifié par Delpecli. L'intention d

et D2). Procédé de Desault, modifié par Delpecli. L'intention de ce procédé est d'atteindre l'artère par une incision vertica

aponévrotique du muscle sous-clavier. A. Incision transversale. — ( Procédé ordinaire.) (Pl. 43.) Le malade couché sur le dos

me put être reconnue et liée. B. Incision transversale curviligne. ( Procédé de M. Hogdson.) L'objet principal de ce procédé e

sversale curviligne. (Procédé de M. Hogdson.) L'objet principal de ce procédé est de mettre largement à découvert le sillon des

le volume et la configuration de la tumeur. C. Incision verticale. ( Procédé de M. Lisfranc.) Ce n'est qu'une modification du

verticale. (Procédé de M. Lisfranc.) Ce n'est qu'une modification du procédé de Desault, l'intention de l'auteur, pour une mêm

purulentes le long des trajets vasculaires. D. Incision angulaire. ( Procédé de M. Chamberlayne.) (Pl. fi g. 2.) Le but de c

ngulaire. (Procédé de M. Chamberlayne.) (Pl. fi g. 2.) Le but de ce procédé est aussi de mettre largement à découvert le tria

incision transversale sous-claviculaire étant pratiquée comme dans le procédé ordinaire, il ne s'agit que d'abaisser, à partir

815, et le 22 février la guérison était complète. Appréciation des procédés de ligature de l'artère axillaire. Quand la ligat

seulement pour une cause trauniatique, l'incision transversale, ou le procédé ordinaire, qui occasionne le moins de désordres ,

on, augmenter l'écartement par l'incision verticale qui transforme le procédé ordinaire en celui de M. Chamberlayne. La simple

d nombre de cas, soit pour la ligature simple, soit pour les divers procédés de ligature d'un sac ané-vrismal au-dessus et au-

compléter pendant le cours de l'opération. Incision transversale. — Procédé ordinaire (pl. 43 • fig. 1. A et A 2 ). Le malade

à deux centimètres plus en dehors. 2° Ligature entre les scalènes. Procédés de Dupuylren. On décrit ordinairement cette lig

inairement cette ligature avec une incision horizontale qu'on appelle procédé de Dupuytren. Dupuytren , ayant pratiqué plusieur

'a pas fait précepte, et, pour ses élèves de cette époque, c'était le procédé par la première incision, tel que nous le pratiqu

tren. Ce n'est epu'ultérieurement que ce chirurgien a pu modifier son procédé , en opérant par 1 incision transversale qu'on lui

digastrique et par la glande sous-maxillaire. Manuel opératoire. Procédé ordinaire. Le malade couché sur le dos , sur un p

ue, régions sus- et sous- hyoïdiennes, l.ig. 34, 35, et pl. 2 et 6. Procédé de Mirault d'Angers. Pour un cas de cancer de la

uivi comme à l'ordinaire, il réussit à lier l'artère du côté droit. Procédé de M. Malgaigne. La grande corne de l'os hyoïde r

préfère la ligature de la carotide primitive. Manuel opératoire. Procédé ordinaire. Le malade couché sur le dos , la tête

hique et en dehors le pneumo- gastrique. M. Malgaigne reproche à ce procédé cle faire une plaie à trois directions différente

st direct d'avant en arrière. 2° Ligature à la partie inférieure. Procédé de M. Sédillot (pl. fig. 2. G et G 2 ). L'objet d

dans en dehors, ou vers soi, l'aiguille anglaise armée de son fil. Ce procédé est très facile à pratiquer sur le cadavre : on l

besoin était, en coupant le faisceau sternal sur la sonde cannelée. Procédé de M, Key. Il diffère clu précédent en ce que l'a

Procédé de M, Key. Il diffère clu précédent en ce que l'auteur avait procédé d'abord par une simple incision le long du tendon

en travers le faisceau sternal. Le reste n'offre aucune difficulté. Procédé de M. Malgaigne. Le but de l'auteur est de prendr

e M. Key a été clans l'obligation d'inciser. J'avoue qu'à mon sens le procédé de M. Sédillot paraît encore préférable. Tt'.ON

plutôt que celle cle l'opération en elle-même. Manuel opératoire. Procédé de M. F. Mott (pl. 46 , fig. 1. A et A a). Le mal

M. Mott, ce chirurgien lit la ligature avec un simple fil de soie. Procédé de M. Kincj (pl. l\G , fig. a. B et B2 ). Le mala

se du grand oblique et le cordon sper-matique. Manuel opératoire. Procédé de Bogros. Reconnaître le milieu du pli inguinal

cpie l'on ouvre sur un pli, l'origine de l'artère iliaque externe. Ce procédé nous paraît offrir trop de danger; il expose à bl

bas: en toute autre circonstance nous lui préférerions le suivant. Procédé nouveau. Si le cas se présentait de lier l'artère

ratoire. On pratique la ligature de l'iliaque externe d'après trois procédés qui appartiennent à Abernethy, sir A. Cooper et B

és qui appartiennent à Abernethy, sir A. Cooper et Bogros. Le premier procédé a seul une valeur originale ; les autres ne sont,

et n'influent que sur la hauteur à laquelle on peut lier l'artère. Procédé d Abernethy. Le malade couché sur le dos, la cuis

au-dessus et eu dedans de l'épine iliaque antérieure et supérieure. Procédé de sir A. Cooper. Pratiquer, au lieu de l'incisio

(pie de lier le tronc ou au besoin l'une des branches latérales. A ce procédé se rattache la modification de M. Norman et de M.

i font leur incision un peu plus rapprochée du ligament de Poupart. Procédé de Bogros. C'est en réalité, comme cela doit être

a hauteur à laquelle il convient de lier l'artère. Sous ce rapport le procédé original d'Abernethy est demeuré supérieur à tous

jet de permettre la ligature vers la partie moyenne ou supérieure. Le procédé de sir A. Cooper ne permet de lier avec facilité

e inférieure au-dessus de l'arcade crurale. D'où il suit que les deux procédés de Bogros et d'Abernethy nous paraissent préférab

ture à la partie supérieure , mais elle nous paraît comprise clans le procédé de ligature des iliaques interne et primitive.

ay, qui a réussi sur un homme de soixante ans. Manuel opératoire. Procédé de M. Stevens. La situation du malade et les disp

ter cette opération pour les cas de nécessité. Manuel opératoire. Procédé de M. V. Mott. Ce chirurgien, commençant son inci

rne et interne. Il est évident qu'on pourrait également se servir des procédés ou si l'on veut des incisions de Stevens ou même

us ample examen, clans le domaine de l'art, nous allons en décrire le procédé d'après son auteur. Procédé de sir A. Cooper. L

ine de l'art, nous allons en décrire le procédé d'après son auteur. Procédé de sir A. Cooper. Le malade couché en supination,

ndelettes agglutinatives. M. Jaimes suivit presque littéralement ce procédé opératoire ; M. Murray, à cause du volume et de l

t de la maladie. — i° Ligature de l'artère au-dessus de la tumeur. Ce procédé n'a eu aucun succès. Au bras, sur trois malades a

avait songé à la ligature double de l'artère et de la veine ; mais ce procédé , qui, du reste, est de nature à faire craindre un

yé.— 3° Ligature de l'artère au-dessus et au-dessous de la tumeur. Ce procédé , qui n'est que l'application à l'anévrisme variqu

nisme procède à l'oblitération des artères anévris-matiques par trois procédés : i° la résorption. Dans le cas où, l'absorption

'œil historique sur la succession des méthodes : sauf à reprendre les procédés dans un autre ordre. MÉTHODES OPÉRATOIRES. Le

conde fois. Paul dEcjine, retranchant ce qu'il y a d'inutile clans ce procédé , arrive plus simplement au même but. Il insinue,

-dessus et au-dessous, ouvre la tumeur, la vide et l'excise. C'est ce procédé qui sera recommandé au dix-septième siècle par Th

sans ouvrir l'anévrisme, traite l'incision comme une plaie simple. Ce procédé , qui témoigne d'un progrès, est le même qu'a repr

eurement comme pour une plaie ordinaire. Jusqu'à présent ces divers procédés se rattachent à deux idées générales qui caractér

elle ces opérations ont été pratiquées est nécessairement mortelle. procédés spéciaux d'application. On les divise en trois

d et le bandage enveloppait le tout. C. Au-dessous de la tumeur. Ce procédé , dont l'indication est la même que celle de la li

pas de même de la compression. D. Au-dessus de la tumeur. C'est le procédé le meilleur et par-conséquent celui que l'on empl

mpresseurs. Compression immédiate ( après incision ). Tamponnement. Procédé de Guattani. Dans un cas d'anévrisme inguinal Gua

un cas d'anévrisme inguinal Guattani lit exécuter, par Maximini, le procédé suivant, qui n'est à peu de chose près que celui

ut, le vaisseau avec une sonde de femme introduite par son orifice. PROCÉDÉS QUI S'APPLIQUENT AU-DESSUS DE LA TUMEUR. Compre

mode de compression, par des instrumens à demeure, n'est pas tant un procédé opératoire qu'une ressource précieuse après la li

de vue particulier de l'anévrisme, celle dont on a le plus varié les procédés et les moyens. Le but de la ligature étant d'ob

de ligature temporaire et permanente. ligature temporaire. On y a procédé par deux voies, l'oblitération graduelle et l'obl

d'un corps étranger sur une certaine étendue. Des expériences de son procédé faites sur des brebis, et répétées à Milan sur de

ançais. Voici donc deux grandes théories en présence; voyons en les procédés et les résultats. Ligature avec compression lat

vec compression latérale par un corps mou. Ce moyen, qui constitue un procédé mixte entre la compression proprement dite et la

d'un petit volume, dont Scarpa s'est emparé pour en faire la base du procédé qui porte son nom. L'avantage de ce mode de compr

dérée, l'adhésion de la membrane interne en contact avec elle-même. Procédé de Scarpa. L'artère est mise à découvert comme po

rait avec lenteur, en prenant garde de causer aucun ébranlement. Le procédé de Scarpa, à son exemple, a été employé avec succ

inson, A. Cooper, Travers. En résumé, la ligature temporaire par le procédé de Scarpa est celle qui compte le plus grand nomb

ures. Severin, Purman , Morand et Tenon avaient essayé de rappeler ce procédé , repoussé par Heistcr, Ricbter et Callisen. Cette

ise tout récemment et sou mise à l'épreuve des laits. L'objet de ce procédé , invoqué par Morand et développé au long par M. M

emi-flexion de la partie malade. Enfin le meilleur argument contre le procédé en question , c'est qu'en divisant l'artère il ac

e ciré sur un point de l'artère dénudé. Nous avons traité au long des procédés opératoires qui s'y rapportent pour toutes les ar

e à indiquer d'une manière générale, eu égard à l'anévrisme, les deux procédés d'application de la méthode ancienne et de la mét

de la méthode ancienne et de la méthode d'Anel. Méthode ancienne. — Procédé opératoire. Appareil. Il se compose des objets

s, et maintenir le tout par un simple bandage contentif. Méthode et procédé d'Anel. L'opération par le procédé d'Anel n'éta

bandage contentif. Méthode et procédé d'Anel. L'opération par le procédé d'Anel n'étant qu'une simple ligature, nous n'avo

SAI. C'est pour mémoire, en qualité de tentatives, et non comme des procédés ayant cours, que nous mentionnons divers moyens,

en que la ligature simple et permanente, puisque le succès des autres procédés est encoz^e remis en question. Toutefois nous nou

e les deux ligatures. A notre avis, l'inconvénient le plus réel de ce procédé est de doubler inutilement la chance de section p

6° Epingle. M. "Velpeau propose comme essai de ligature temporaire le procédé de M. Davat pour les varices, c'est-à-dire, une a

êmes effets. 70 Acupuncture. C'est encore à M. Velpcau qu'est dû ce procédé , qui ne nous semble autre chose qu'un séton métal

lusieurs disposées en zigzag. Employé sur l'homme par M. Philipps, ce procédé aurait fait obtenir la guérisond'un ané-vrisme de

re, mais, n'obtenant aucun résultat, il a dû pratiquer la ligature. PROCÉDÉS QUI S'APPLIQUENT AU-DESSOUS DE LA TUMEUR. Ils s

ous-méthode de Bras-dor, elle ne diffère en rien par son exécution du procédé d'Anel. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT AU TRAVERS

u naturel et celles caractérisées par la dégénérescence des tissus. PROCÉDÉS OPÉRATOIRES APPLICABLES AUX NÉVROSES ET A DIVERSE

soit en y joignant un courant électrique, c'est l'électro-puncture. Procédé opératoire. L'aiguille (pl. 22, fig. 10) peut êtr

ératoire. L'aiguille (pl. 22, fig. 10) peut être introduite par trois procédés .—Premier procédé. Offerte perpendiculairement à l

le (pl. 22, fig. 10) peut être introduite par trois procédés.—Premier procédé . Offerte perpendiculairement à la peau, le manche

ploie, on la soutient d'abord entre les doigts de la main gauche. Ce procédé s'effectue sans douleur, mais il est lent dans so

ffectue sans douleur, mais il est lent dans son exécution. — Deuxième procédé . L'aiguille tenue de la main gauche, frapper sur

: l'aiguille s'enfonce rapidement et aussi sans douleur. — Troisième procédé . Il consiste à enfoncer l'aiguille d'un seul coup

s l'opération en elle-même est inoffensive. Mais en est-il de même du procédé d'introduction d'un seul coup ? Quoiqu'il soit va

s'étant beaucoup multipliées, tel chirurgien a nommé acupuncture tel procédé , par exemple, celui de M. Lallemand, modifié de l

xte de spécialité, sont à peu près étrangers à la science. Outre le procédé d'électro-galvanisme décrit ci-dessus, et qui nou

tes, par frictions, etc., le malade étant ou non isolé. Ces différens procédés d'application auraient besoin d'être de nouveau e

artie sur laquelle on veut agir. Naguère M. Coster a fait usage de ce procédé avec quelque succès pour un goitre enduit de pomm

autre substance, une lame métallique, etc. Nous avons à indiquer les procédés d'extraction des corps étrangers engagés dans les

tés splanchniques, il en sera traité dans les opérations spéciales. PROCÉDÉS D'EXTRACTION. En précepte général, excepté le c

tonnée. 3° Si une balle est fichée dans un os, on a recours à trois procédés : l'extraire avec un tire-fond, l'ébranler avec u

bistouri. Nous supposerons que l'on emploie ce dernier instrument. Procédé ordinaire. Le bistouri tenu comme une plume à écr

son effet ne pouvant plus être que de s'opposer à la cicatrisation. Procédé de Petit de Lyon. Faire la ponction avec une lame

cès du pus qu'elle renferme. Petit appliquait aux abcès flegmoneux ce procédé , qui, par l'irritation franche que déterminent le

par M. Abernethy,est préférable au trocart dont se sertM.Crow-ther. Procédé de Boyer (ponctions successives). Muni d'un bisto

r qu'il renferme soit par la canule, soit par la ventouse à pompe. Ce procédé , convenable pour déterger les parois d'un abcès d

mentdes couches qu'il faut traverser nécessite certaines manœuvres ou procédés secondaires. i° Division ou écartement des tiss

pare on peut y aider par écartement, comme il a été dit plus haut. Ce procédé a été employé avec succès par M. Graves pour des

plifie beaucoup : n'ayant plus d'autre objet que de les extraire, les procédés pour y parvenir, communs à toutes, se réduisent r

de cette nature, où la surface des membres en était comme hérissée. Procédés opératoires. On traite ces excroissances par la l

es du corps, mais ils sont surtout communs au crâne. Extirpation. — Procédé ordinaire. Inciser la peau avec un bis touri co

er en déchirant les adhérences celluleuses, et l'enlever en entier. Procédé de A. Cooper et Dupuytren (pour les kystes à enve

plaie ne saigne pas : on réunit par première intention. Excision ( Procédé de Chopart pour les kystes à large base). Quand l

r. C'est cette considération de l'enveloppe qui détermine le choix du procédé opératoire. Le kyste à parois consistantes doit ê

e, et que MM. Bosch et Duméril ont jugés devoir être des hydatides. Procédé de Dupuytren. i° Ponction. Cette opération très s

uite avec rapidité. C'est pour y obvier que Dupuytren a eu recours au procédé suivant. 2° Ponction suivie de séton. Faire com

ster à demeure un ou deux jours. L'intention curative de ce dernier procédé était de provoquer, par la présence du corps étra

une matière cartilagineuse. M. Lasserve en a opéré deux à la face. Le procédé d'extirpation varie suivant le lieu : l'important

dans l'épaisseur de l'avant-bras, de la cuisse et de la jambe. Deux procédés opératoires sont applicables au lipome, la ligatu

it, eu égard à la médecine opératoire, de décrire les méthodes et les procédés employés pour les détruire, et encore d'une maniè

pour les détruire, et encore d'une manière générale, ces méthodes et procédés nous étant connus dans les opérations élémentaire

gère la difformité produite par le naevus. Voici en quoi consiste son procédé . La partie étant lavée à l'eau de savon, on irrit

des vaisseaux qui en amène l'oblitération. On y parvient par trois procédés . i° Incision et compression. Imaginé, en 1833 ,

en 1833 , par un chirurgien anglais dont le nom est resté inconnu, ce procédé , usité depuis par plusieurs chirurgiens, n'est au

iens, n'est autre chose qu'une application aux tumeurs artérielles du procédé de Richerand pour la guérison des tumeurs veineus

de Richerand pour la guérison des tumeurs veineuses ou des varices. Procédé opératoire. La compression temporaire étant faite

tinatives et un bandage contentif. L'effet, si ce n'est le but, de ce procédé est évidemment, comme nous l'avons dit, de déterm

ie par la suture entortillée; c'est à l'expérience de prononcer si ce procédé , qui n'empêche pas la circulation dans la tumeur,

rovoque des accidens, et paraît très inférieur en résultat aux autres procédés d'introduction de corps étrangers à demeure. Ét

multiplié d'un corps étranger d'ajouter l'étranglement des tissus. Ce procédé est né de la ligature en niasse, dont il ne forma

uede la ligature par ses résultats non moins que par ses manœuvres. Procédé de M. Lallemand. Les épingles sont en laiton, con

vons déjà traité parmi les opérations élémentaires. Il renferme trois procédés . i° Ligature simple. Elle ne convient que pour

ren, MM. Wal-ther, Maunoir et Velpeau en ont opéré avec succès par ce procédé . 2° Ligature traversant la tumeur. Ce n'est aut

anglement par cette forme étant beaucoup inoins favorables que par le procédé de M. Lallemand. 3° Ligature sous des épingles.

trangler la tumeur avec des liens serrés passés sous ces épingles. Ce procédé , qui a été le point de départ de celui de M. Lall

n ou la ligature des artères qui s'y rendent. On y parvient par trois procédés : i° Section circulaire au pourtour de la tumeu

ur les faces dorsales de la main et du pied. Physiek avait imaginé ce procédé . M. Lawrence l'a employé avec succès au doigt i

lidaires, nous n'aurions pas une grande confiance dans l'emploi de ce procédé . Au reste, quelle que soit la manière dont on opè

r un grand nombre de chirurgiens. Nous n'avons pas à nous occuper des procédés de ligature, qui ont été longuement décrits en le

nt eu pour objet des tumeurs érectiles à la main et à l'avant-bras. procédés de destruction de la tumeur. Squirres, cancers,

, réservant les préceptes de détail pour chaque opération spéciale. Procédé opératoire en général. 10 La forme de l'incision

tinction nous aurons à parler, en tant que réclamant l'application de procédés opératoires, des fractures et des luxations compl

est en raison inverse de létendue des surfaces articulaires des os. Procédé opératoire. On peut donner issue au fluide épanch

rs au genou que l'on a eu occasion d'extraire des corps étrangers, le procédé opératoire est uniquement relatif à cette articul

asionnent et conséquemment parles indications qu'elles offrent et les procédés curatifsqui s'y rapportent. En voici l'énumératio

: nous nous bornerons à signaler les principaux. i° Frottement. Ce procédé , qui remonte à Celse, consiste à frotter l'un con

la croûte cartilagineuse qui revêt l'extrémité de chaque fragment; ce procédé , qui est le plus ancien, paraît venir des Arabes.

gmens dans un contact parfait. C'est à cette indication que répond un procédé tout récemment mis en usage par M. Flaubert de Ro

. Un plein succès a couronné cette ingénieuse innovation. 5° Séton. Procédé de Physick. Il s'agissait d'une fracture non cons

aire enfilée d'une bandelette de soie. La condition essentielle de ce procédé , c'est que le séton traverse bien l'intervalle de

s cinq mois et demi de traitement le malade fut complètement guéri. Procédé de Wardrop. Ce procédé ne diffère de celui de Phy

traitement le malade fut complètement guéri. Procédé de Wardrop. Ce procédé ne diffère de celui de Physick cpte par la manièr

n). M. Earle, pour bâter le travail inflammatoire, conseille un autre procédé , qui consiste à racler d'abord la substance fibro

à cautériser ensuite sur le tissu osseux lui-même. 7° Acupuncture. Procédé de M. Maltjaignc. Il s'agit d introduire des aigu

méthode compte plus de revers que de succès. Peu importe le choix du procédé , si la cause de la non-consolidation est dans l'o

courcissement du membre, auquel on a essayé de remédier par plusieurs procédés opératoires. Sans entrer ici dans les différent

érablement avec les appareils à extension graduée de l'orthopédie. Ce procédé agit avec beaucoup d'efficacité lorsqu'il y a che

al. Cette méthode n'est autre chose que la précédente exécutée par un procédé plus rationnel, qui consiste à mettre le cal à dé

adresse particulièrement au cas de consolidation définitive du cal. Procédé de Wasserfuhr. Chez un enfant cle cinq ans, à la

t le cal était définitivement formé; Wasserfuhr conçut pour ce cas le procédé suivant. Ayant préalablement tendu les tégumens a

se céder aux différentes manœuvres d'extension et cle redressement. Procédé de Weinhold. 11 s'agissait d'un cas cle fracture

économie ait été préalablement purgée de ces principes morbifiques. Procédés opératoires. Quoique, à l'exemple des Grecs, J.-L

que la ligature proposée par Klein, a été complètement abandonné. Le procédé de Nicolas, qui consiste à scier la base cle l'ex

versellement adoptés par les praticiens : cle sorte qu'aujourd'hui le procédé général d'ablation des exostoses consiste à décou

ous renvoyons à ce sujet à la planche 5o et à son explication, où ces procédés sont décrits suffisamment : bornons-nous seulemen

oriser la rétraction des parois du kyste ( Dupuytren). 4° Selon. Ce procédé , qui consiste à traverser de parten part la tumeu

vre le tout avec une espèce de filet à cheveux. Galien suit les mêmes procédés , sans y rien ajouter; au contraire, trouvant le m

èrement divisée. Pour plus de sécurité on peut encore suivre un autre procédé qui consiste à enlever d'abord la table externe a

a pas de méthodes opératoires, il n'y a et il ne peut y avoir que des procédés . Toutefois, comme, à part quelques exceptions, on

esoin, pour mettre les os à découvert. LTors ces cas, on a recours au procédé suivant. Du milieu de la face dorsale de l'os mét

on en opérerait la résection de la même manière. Pour transporter ce procédé à l'index ou au petit doigt, il serait plus avant

isseaux et de nerfs qui environnent l'articulation de toutes parts. Procédé de M. Roux (pl. 56, fig. 3 et 4)- On peut, suivan

les cas, un ou plusieurs ou même la rangée supérieure tout entière. Procédé de M. Dubled. Ce procédé, plus simple que celui d

ou même la rangée supérieure tout entière. Procédé de M. Dubled. Ce procédé , plus simple que celui de M. Roux, se réduit à pr

dernier os, qui s'exécute dès lors d'une manière simple et facile. Procédé de M. Velpeau. La modification cle M. Velpeau con

après avoir passé au-dessous d'eux une plaque de bois protectrice. Procédé de [auteur (pl. 6o, fig. i, 2, 3). On peut simpli

t la résection entre les deux languettes dermo-tendineuscs suivant un procédé que nous avons généralisé et qui reçoit à l'artic

aies à lajpeau par des sutures (fig. 3). Appréciation. Aucun de ces procédés n'a une valeur rigoureuse et absolue; ils sont su

le chirurgien est appelé à remplir. Dans les cas les plus simples le procédé de M. Dubled mérite la préférence. Si l'induratio

ans les cas extrêmes, lorsque les os du carpe seront malades , que le procédé de M. Velpeau ou celui de l'auteur trouveront leu

ou celui de l'auteur trouveront leur application. Quel que soit le procédé qu'on ait mis en pratique; la plaie étant convena

ul d'entre eux. A. Résection complète de l articulation du coude. Procédé de Park. Pratiquer une incision postérieure et pa

extirpation de l'apophyse olécrane, Moreau eut avec raison recours au procédé suivant. Procédé de Moreau (pl. 56, fig. 1 et 2

ophyse olécrane, Moreau eut avec raison recours au procédé suivant. Procédé de Moreau (pl. 56, fig. 1 et 2). Dans un lit disp

de la plaie. C'est, en fait, la seule particularité importante de ce procédé , qui, pour tout le reste, est entièrement conform

ui, pour tout le reste, est entièrement conforme à celui de Moreau. Procédé de M. Jeffrey. L'invention heureuse de la scie à

rey. L'invention heureuse de la scie à chaîne suggéra à son auteur le procédé suivant. Pratiquer sur les côtés de l'articulatio

voisins et sur-tout le nerf cubital, sans rien ajouter aux dangers du procédé ni sans lui rien ôter de sa rapidité. Procédé d

jouter aux dangers du procédé ni sans lui rien ôter de sa rapidité. Procédé de M. Jceger. S'assurer, en y portant le doigt, d

e nous l'avons vu, au premier temps de l'opération de Moreau, on a le procédé le plus parfaitpour l'ablation de l'extrémité inf

andis qu'autrefois ils auraient réclamé la désarticulation du bras. Procédés opératoires. Ils peuvent tous être rangés sous de

se subdivise elle-même; 2° méthode par formation d'un lambeau. Chaque procédé se réduit également à deux temps : i° incision de

e malade doit être placé comme pour la désarticulation de l'épaule. Procédé de White. Adopté par MM. Larrey et Poret, ce proc

n de l'épaule. Procédé de White. Adopté par MM. Larrey et Poret, ce procédé consiste à faire sur le côté externe de l'épaule

e, dont les lambeaux flottans seraient une cause de suppuration. Ce procédé est le plus ancien et le plus simple de tous; mai

que porteront presque exclusivement les modifications opératoires. Procédé de Moreau. Tracer sur le deltoïde deux incisions

n n'est plus facile que d'achever l'opération comme à l'ordinaire. Ce procédé trouve surtout son application lorsqu'il est néce

l est nécessaire d'enlever les surfaces articulaires de l'omoplate. Procédé de Manne. C'est le procédé de Moreau renversé. De

les surfaces articulaires de l'omoplate. Procédé de Manne. C'est le procédé de Moreau renversé. Deux incisions latérales, par

pour résultat un lambeau quadrilatère qui doit être relevé en haut. Procédé de M. Morel. Au moyen d'une incision semi-lunaire

au qui se relève en haut et donne un résultat entièrement analogue au procédé de Manne. Procédé de lient. Une première incisi

haut et donne un résultat entièrement analogue au procédé de Manne. Procédé de lient. Une première incision étant pratiquée l

nvénient de favoriser le crou-pissement du pus au fond de la plaie. Procédé de. Sabatier. Le malade convenablement disposé, t

nt on fait la résection avec la scie ordinaire comme clans les autres procédés . Procédé de M. Syme. Abaisser une première inci

a résection avec la scie ordinaire comme clans les autres procédés. Procédé de M. Syme. Abaisser une première incision longit

un lambeau à base supérieure et postérieure (pl. 58, fig. i et 2). Procédé de M. Buzairies. Comme dans le procédé de White,

ieure (pl. 58, fig. i et 2). Procédé de M. Buzairies. Comme dans le procédé de White, pratiquer une incision longitudinale ét

ur faciliter l'ouverture cle la capsule de l'articu -lation.Comme les procédés à lambeau, celui-ci convient dans les cas où il d

cle l'humérus a acquis un développement pathologique considérable. Procédé de M. Baudens. Pratiquer sur le bord antérieur du

e fibreuse, nécessaire pour amener au dehors la tête cle l'humérus. Procédé de M. Malgaigne. Dans la deuxième édition de son

gne. Dans la deuxième édition de son ouvrage, cet auteur conseille un procédé à lambeau qui a pour but cle réunir les avantages

Sous ce rapport le lambeau postérieur et latéral, exécuté d'après le procédé de M. Lisfranc, lui paraît incontestablement supé

ès le procédé de M. Lisfranc, lui paraît incontestablement supérieur ( procédé de désarticulation cle l'épaule, cle M. Lisfranc)

oplate, si le mal l'exige, et d'en faire la résection comme clans les procédés ordinaires. Dans sa troisième édition M. Malgaign

s ordinaires. Dans sa troisième édition M. Malgaigne propose un autre procédé par incision simple, qui consiste à faire sur la

rmettent d'opérer facilement la résection de la tête cle l'humérus. Procédé de M. Robert. Du bord antérieur cle la clavicule,

la désarticulation plus facile et de ménager le nerf circonflexe. Ce procédé et le précédent ne sont guère que celui de White.

flexe. Ce procédé et le précédent ne sont guère que celui de White. Procédé de [auteur (pl. 58, fig. 3, l\ et 5). Le malade e

pointe au-dessous de l'acromion, comme pour la désarticulation par le procédé de M. Lisfranc. Alors, le couteau suffisamment en

e M. Liston ou de l'ostéotome de M. Heine. Pansement. Dans (uns les procédés , les incisions étant réunies par quelques points

pérostosc, font prévoir des difficultés pour l'extraction des os, les procédés de Morcau ou de Sabatier sont indiqués, et les in

ces exceptions, c'est-à-dire dans le plus grand nombre des cas, notre procédé nous paraît suppléer tous les autres en raison de

n cette opération, en réunissant plus d'avantages que tous les autres procédés , ne leur cède en rien pour la rapidité et la simp

aire par M. Velpeau. Nous empruntons à l'auteur la description de son procédé . « En 1828, chez une femme affectée depuis long-t

-York fit, avec un plein succès, l'extirpation de la clavicule par le procédé suivant : il pratiqua une incision curviligne, à

et que suivant les cas, si variés entre eux, chaque operateur aura un procédé approprié. Remarques, i0 11 est essentiel, dans

M. Janson fit la résection d'une grande partie de l'omoplate «par le procédé suivant. Il circonscrivit la tumeur au moyen de d

ésection des autres métatarsiens il serait facile d'y transporter les procédés que nous venons de décrire, en les modifiant un p

n doit improviser et accorder avec les circonstances pathologiques le procédé qu'il emploiera. Les luxations compliquées nécess

l'ablation de l'astragale est raisonnablement indiquée; dès lors les procédés à suivre ne peuvent être soumis à aucune règle pr

n d'Achille. Au lieu de l'incision en T M. Velpeau conseille un autre procédé qui consiste à tailler un large lambeau semi-luna

autre; le reste de l'opération serait entièrement conforme aux autres procédés . Suivant l'auteur, cette modification donne un la

s, et de pareils résultats ne sont-ils pas plus funestes qu'utiles! Procédé de Moreau (pl. 59, fig. 4)- k° but de l'opération

d'une semelle et de deux attelles fixées sur les côtés de la jambe. Procédé de M. Roux. Le malade couché sur une table garnie

une incision le long du péroné et une autre transversale, suivant le procédé de Moreau ; le lambeau disséqué, on ouvre la gaîn

eaux donnerait de la facilité pour scier et enlever les os altérés. Procédé de l'auteur (pl. 60, fig. l\, 5 et 6). La jambe r

erveux superficiels tels sont les principaux avantages qu'offre notre procédé sans le céder en rien aux autres pour la rapidité

cicatrise bien. 20 Extraction de l'extrémité supérieure du péroné. Procédé de l'auteur (pl. 61, fig. 4). La jambe dcmi-flé

lus dangereuse que l'amputation dans la continuité de la cuisse. i° Procédé de Park. Pratiquer au-devant de l'articulation du

vaisseaux en arrière et procéder de la même manière à la résection. Procédé de Moreau (pl. 62, fig. 1, 2, 3). Les analogies d

coude et celle du genou ont déterminé Moreau à leur appliquer le même procédé de résection. Sur les parties latérales du genou

malade avec une scie ordinaire, et d'avant en arrière, comme dans le procédé de Parck. Si l'ablation de la tête du tibia est c

tout sera maintenu par deux attelles latérales modérément serrées. Procédé de MM. Bégin el L. Sansón. Ce procédé ne diffère

latérales modérément serrées. Procédé de MM. Bégin el L. Sansón. Ce procédé ne diffère de celui de Moreau que par la plus gra

ent, procéder à la dénudation et à la résection des os comme clans le procédé de Moreau. Procédé de M. Sjme. La jambe fléchie

nudation et à la résection des os comme clans le procédé de Moreau. Procédé de M. Sjme. La jambe fléchie à angle droit sur la

ide d'incisions latérales , achever l'opération comme dans les autres procédés . Procédé de M. Jœger. Ce procédé plus compliqué

ons latérales , achever l'opération comme dans les autres procédés. Procédé de M. Jœger. Ce procédé plus compliqué consiste à

l'opération comme dans les autres procédés. Procédé de M. Jœger. Ce procédé plus compliqué consiste à faire au-dessous de la

u est au contraire suivie par MM. Rossi, Roux, Jœger et Velpeau. i° Procédé de White. Suivant Briot, ce procédé consiste à pr

ssi, Roux, Jœger et Velpeau. i° Procédé de White. Suivant Briot, ce procédé consiste à pratiquer à la partie supérieure et ex

ue, et à favoriser la formation d'une articulation artificielle. 2° Procédé de M. Rossi. Le malade couché sur le côté sain et

que protectrice, et d'en faire la résection au moyen de la scie. 3° Procédé de M. Roux. Former sur le côté externe de l'artic

réunit inférieurement. Le reste de l'opération ne diffère en rien du procédé de M. Rossi. 4° Procédé de M. Velpeau. Au moyen

reste de l'opération ne diffère en rien du procédé de M. Rossi. 4° Procédé de M. Velpeau. Au moyen d'une incision semi-lunai

decine opératoire, tome II, page 752. — Deuxième édition, i839). 5° Procédé de M. Jœger. Pratiquer sur le côté externe de la

ation et sa résection se font cle la même manière que pour les autres procédés à lambeaux. Si, outre la tête du fémur, la cavité

e fois M. Dieffenbach a eu occasion de constater les avantages cle ce procédé , qui mérite par conséquent d'être suivi. RÉSECT

s cancers, des ostéosarcomes, etc. Chaque chirurgien suivait alors un procédé différent en rapport avec les circonstances anato

et M. Gensoul qui les premiers en ont fixé le manuel opératoire. i° Procédé de M. Gensoul. Faire asseoir le malade sur une ch

reste réunis à l'aide de quelques points de suture entortillée. 2° Procédés de M. Velpeau. (A) Chez un malade qui portait un

e des [Hôpitaux, n" 12, tome H, 2e série, 1839). (B) Dans un second procédé , encore plus simple, M. Velpeau s'est contenté d'

re inférieure, et de là vont naître, comme nous le verrons, différens procédés opératoires. Pour que l'opération réunisse les co

tion de la partie moyenne du corps de la mâchoire (pl. 65, fig. 1). Procédé ordinaire ou de Dupuylren. Langenbeck , Syme, Cus

lace une mèche de charpie afin de favoriser l'écoulement du pus. Ce procédé a reçu des perfectionnemens et des modifications

nent se réunir vers l'os hyoïde en forme de V plus ou moins ouvert. Procédé de Delpech. 11 modifie le deuxième et le troisièm

e fixé par une anse de fil dans la suture des lambeaux de la plaie. Procédé de M. Gensoul. Il ne diffère que dans le dernier

e la tumeur n'est pas très volumineuse, on peut se diriger d'après le procédé suivant. Pratiquer horizontalement une incision l

a moitié de la portion horizontale de la mâchoire (pl. 65, fig. 2). Procédé de M. J. Cloquet. Pratiquer une incision étendue

de commencer à scier l'os sur la partie moyenne: ce qui transforme ce procédé en une double désarticulation , une pour chaque m

xent les moyens hémostatiques, et s'attachent surtout à raisonner les procédés qui conviennent le mieux pour empêcher la saillie

tations, les décrivent dans tous leurs détails, et en établissent les procédés sur des données vraiment scientifiques. Définit

parties molles, afin qu'elles pussent le recouvrir. La raison de ce procédé , si vrai dans sa conception, ne fut plus comprise

29 ). » J.-L. Petit et Cheselden revinrent enfin, mais par un autre procédé , à l'idée de Celse. Après avoir affermi les muscl

es fléchisseurs, les adducteurs et les abducteurs. Portai renversa ce procédé , et conseilla, au contraire, cle mettre les muscl

Dupuytren coupait la peau et les muscles d'un seul coup, d'après le procédé cle Celsc ou d'Alanson; divisait d'un second coup

points les plus importa ns à considérer. Il ne peut exister que deux procédés pour tailler les lambeaux, ou par ponction, c'est

férence au centre. Lowclham, Vercluin et Vennale suivaient le premier procédé , qui a été généralement adopté. Ravaton préférait

e. Quel que soit le plan du membre auquel elle se rapporte dans les procédés différens, son caractère le plus général est de p

renseignemens aussi bien pour les unes que pour les autres : car les procédés opératoires reposèrent long-temps sur des données

satisfaisantes, et que nous mettrons à profit dans la description des procédés et dans l'examen anatomique de l'avant-bras. Br

, remonter les chairs et couper l'os. On peut aussi, en renversant le procédé , faire un lambeau dorsal; si la lésion le réclama

vec la scie, soit avec les cisailles. 20 Méthode à lambeau. Premier procédé de M. Velpeau. Le chirurgien tenant lui-même les

iviser les tendons, les muscles interosseux, et couper les os. Second procédé de M. Velpeau. Former le lambeau dorsal, isoler l

sur les côtés, les exciser, et tailler ensuite le lambeau palmaire. Procédé de M. Onsenort. Il consiste à ne faire qu'un lamb

es mêmes métacarpiens. Toutefois la méthode àdeux lambeaux (premier procédé ) nous paraît préférable quand l'étendue de la lés

arpiens isolés. Premier métacarpien. On peut appliquer ici tous les procédés que nous donnerons en détail au chapitre des désa

on dans la continuité, et nous apprécierons la valeur relative de ces procédés . Méthode circulaire. M. Sédillot a proposé cett

evoir être avantageux pour la cicatrisation. Méthode à lambeau. Les procédés connus sont très variés mais reviennent tous à la

l'ovale soit sur la face dorsale, ou sur le bord cubital, ce dernier procédé nous paraît procurer une cicatrice plus régulière

rte assimiler le deuxième métacarpien au premier, et l'amputer par le procédé à lambeau externe taillé par ponction ou par diss

issent au premier métacarpien. Troisième et quatrième métacarpiens. Procédé ancien. L'espace inter-osseux reconnu, traverser

ciser l'os. Il n'est pas besoin cle montrer l'infériorité d'un pareil procédé , qui doit exposer aux accidens les plus graves à

des muscles, du centre à la circonférence sans intéresser la peau; ce procédé , qu'il trouve très simple, nous paraît inexécutab

ici par la section des os, quelle rend plus sûre et plus facile. i0 Procédé ordinaire modifié (pl. 7 2, fig. 1,2, 3). Premier

ties molles qui dépassent la fosse inter-osseuse. On a suivi divers procédés pour la seciion des chairs profondes ou des tendo

ification est sans contredit supérieure et à l'ancienne méthode et au procédé plus récent de M. Velpeau. Troisième temps. Que

arnir complètement l'espace inter-osseux. On emploie à cet effet deux procédés qui sont les mêmes qu'à la jambe. 2° Procédé an

loie à cet effet deux procédés qui sont les mêmes qu'à la jambe. 2° Procédé ancien adopté par M. Velpeau. L'avant-bras tourné

ux antérieur comme il vient d'être dit pour la face postérieure. 3° Procédé nouveau. Diviser verticalement l'espace inter-oss

érieure et postérieure. méthode a lambeaux. Grœfe, renouvelant le procédé de Verduin et de Ruysch, taille un lambeau antéri

x et Velpeau, formait deux lambeaux, un antérieur et un postérieur. Procédé à deux lambeaux (imité de Vermale). Placer le mem

les fibres inter-osseuses et le périoste, par le premier ou le second procédé , et terminer l'opération par la section des os.

u le second procédé, et terminer l'opération par la section des os. Procédé à un lambeau (pl. 72, fig, 4)- Le lambeau antérie

muscles postérieurs après avoir d'abord incisé et remonté la peau. Procédé mixte. M. Sédillot taille deux lambeaux superfici

dénude en 8 de chiffre et scie les os. Au tiers supérieur il suit le procédé de M. Sédillot, seulement il forme un cône rentra

à cet égard ; et nous pouvons plus sûrement le rapporter aux mauvais procédés suivis pour la pratiquer, aux méthodes vicieuses

nt l'emploi de cette méthode, il faudrait autant que possible user du procédé de Vermale. AMPUTATION DU BRAS. ANATOMIE OPÉR

urtout se mettre en garde contre la rétraction secondaire, et que les procédés de Bell et d'Alanson, appliqués aux fibres prof

ement les fibres profondes et détacher les muscles de l'os suivant le procédé de Bell : avec cette quadruple incision l'os est

it de couper perpendiculairement alors les fibres profondes ; mais ce procédé est insuffisant pour prévenir la conicité du moig

e à lambeaux pour l'amputation du bras, ont attaché leurs noms à deux procédés qui tiennent à celui de Vermale. Procédé de Sab

attaché leurs noms à deux procédés qui tiennent à celui de Vermale. Procédé de Sabatier. Ce chirurgien ne pratiquait de lambe

pris en avant, en arrière ou sur les côtés, et rentrent ainsi dans le procédé de Verduin. Procédé de Klein (pl. 74, fig. 1 ,

ère ou sur les côtés, et rentrent ainsi dans le procédé de Verduin. Procédé de Klein (pl. 74, fig. 1 , 2, 3). Le malade assis

ambeau postérieur de même forme et de même longueur que le premier. Procédé de M. Langenbeck. Les tégumens fortement relevés

ouces de long), les écarte et scie l'os au sommet de leur réunion. Ce procédé , qui exige que le chirurgien soit ambidextre, ne

ieure, mais ils tendraient davantage à se rétracter. Méthode mixte. Procédé de M. Sédillot. Tailler deux petits lambeaux supe

es lambeaux et diviser les chairs profondes à la manière d'Alanson. — Procédé de M. Baudens. Le bras dans l'extension, tailler

empare très facilement. Nous pouvons adresser les mêmes reproches au procédé de M. Klein, et, de plus, nous trouverons encore

beaux dont les élémens tendraient toujours à se dissocier. Quant au procédé mixte, M. Sédillot lui-même ne paraît pas y attac

ions anatomiques mentionnées plus haut ont donné naissance à quelques procédés qui reviennent en définitive à se procurer assez

ode puisse mieux y parvenir epic la circulaire mise en pratique palle procédé de la quadruple incision. Comme nous l'avons indi

it préférable; aussi les auteurs se sont-ils contentés d'indiquer les procédés mis en usage pour l'amputation au tiers inférieur

antage, que ce chirurgien n'a pas manqué de faire valoir en faveur du procédé qu'il avait adopté, c'est que la formation du lam

lors qu'à prolonger les incisions latérales et énucléer la capsule. Procédé de Louis et de Sabatier(p\. 74, fig. 4)-Le bras a

s. On pourrait, du reste, étendre à cette amputation la plupart des procédés qui ont été proposés pour la désarticulation sca-

o-humérale; c'est ainsi que M. Guthrie, par exemple, y a appliqué son procédé ovalaire : seulement le sommet du V se trouve à d

tions nous permettent encore d'établir qu'à chaque région du pied les procédés pour les désarticulations et les amputations dans

e de congélation ou de chute des ongles avec carie et ulcération. Les procédés pour l'amputation des orteils dans la continuité

la désarticulation proprement dite, et de l'appréciation relative des procédés . Indications, appareil. Cette opération est ind

res : le chirurgien se place en avant ou à côté. Lambeau interne. — Procédé de M. Lisfranc. — Premier temps. Pour le pied gau

ont l'obliquité représente celle que la section de l'os doit avoir. Procédé de Boyer et de Dupuytren, renouvelé par M. Velpea

dant qu'un aide attire les tégumens en dehors. Lambeau inférieur. — Procédé de M. Velpeau. En suivant le bord plantaire du mé

espace interdigital, isoler l'os et achever l'opération comme dans le procédé ordinaire. Procédé de Chélius modifié. i° Divis

isoler l'os et achever l'opération comme dans le procédé ordinaire. Procédé de Chélius modifié. i° Diviser, jusqu'au point de

assertion. Hilden n'ose pas rejeter l'emploi du maillet, faute d'un procédé plus sûr. Ileister le blâme formellement, et cepe

gitales in ter-osseuses, mais rarement la plantaire ou la pédieuse. Procédé ordinaire. L'appareil instrumental se compose d'u

s particulier pour lequel on opère cpii devra déterminer le choix clu procédé . Quant au premier os métatarsien : comparant d'ab

océdé. Quant au premier os métatarsien : comparant d'abord les divers procédés de la méthode à lambeaux, il ne faut point oublie

ace osseuse et la plaie latérale. Il semble, au premier abord, que le procédé à lambeau interne remplisse toutes les indication

uelle se gangrène le lambeau ordinairement trop mince. Du reste si le procédé cle M. Lisfranc est le plus brillant et le plus p

fication deZang est sans importance; le lambeau supérieur n'est qu'un procédé d'exception : celui qui donne un lambeau inférieu

ne un lambeau inférieur nous semble d'une valeur bien contestable; le procédé cle Sabatier est évidemment imparfait. Quant aux

ingénieux chirurgien, dont tous les efforts tendent à simplifier les procédés opératoires, appuie sur ce double principe: i° de

ppliquer à cette opération la modification que M. Sédillot a faite au procédé de Chopart. D'après le principe de M. Mayor, la m

s encore reçu des chirurgiens une complète et générale approbation. Procédés opératoires. L'appareil est le même qu'au lieu

uisse; le pied est soutenu par un autre aide. Méthode circulaire. — Procédé de MM. Bell, Velpeau, Roux et Goyrand. Le chirurg

erré, et de laisser une libre issue au pus. Méthode à lambeau. — i° Procédé de Ravaton. Ravaton appliqua le premier la méthod

taillait deux lambeaux charnus qu'il disséquait de bas en haut. 3° Procédé de MM. Salémi et Robert. Incision semi-circulaire

drait qu'on commençât par le lambeau postérieur. Méthodes mixtes. — Procédé de M. Blandin. Sur une incision circulaire des té

ise alors circulairement les muscles postérieurs et scie les os. 10 Procédé de M. Lenoir : donné par M. Sédillot et décrit de

eau pense que les faits ne sont pas assez nombreux pour apprécier les procédés de MM. Blandin et Lenoir. Les raisons données par

antes, puisque la méthode circulaire donne les mêmes résultats que ce procédé sans ses désavantages, Avec le procédé de M. Salé

nne les mêmes résultats que ce procédé sans ses désavantages, Avec le procédé de M. Salémi, il faut remonter trop haut pour avo

endu et qui protège efficacement les os et le bout des tendons; ou le procédé de M. Baudens, qui revient à peu près au même. Av

les mieux lier. On trouve dans Fabrice de Hilden la description d'un procédé pour l'amputation de la jambe, qui se rattache si

mouvemens qu'on imprime au membre. Méthode circulaire (pl. 82 ). Procédé de Louis. Incision semi-circulaire du bord intern

tion de la peau et des muscles du mollet, en inclinant le couteau. Ce procédé , tout incomplet qu'il est, repose cependant sur u

les os, mais qu'en avant on ne saurait trop en conserver. Comme le procédé ordinaire nous paraît défectueux à quelques égard

dre ainsi, avec leur valeur d'ensemble, tout leur intérêt pratique. Procédé ordinaire modifié. 1" Appareil. Un couteau droit,

férieure, diviser circulairement le reste des tégumens. Dans ces deux procédés , après que la peau est divisée on la dissèque cir

et inconvénient qu'Alanson taillait les muscles en biseau, suivant le procédé que nous avons indiqué dans nos généralités. Cett

a même manière les muscles profonds. On pourrait encore employer le procédé de Bell, ce serait probablement le plus convenabl

et retirer de nouveau le couteau pour le ramener au point initial. Ce procédé , dû à M. Lisfranc, et adopté par Chélius, est sim

érioste, qu'il laisse ensuite retomber sur l'os. Pansement. Avec le procédé que nous avons adopté, toutes les attaches des mu

remplacer par de meilleures. Il ne faut donc se hâter ni de juger un procédé sur les seuls motifs qui l'ont fait inventer, ni

rrière aux inventeurs de profession; le lieu, la forme, le nombre, le procédé , furent autant de sujets qui exercèrent l'imagina

exercèrent l'imagination des opérateurs. Lambeau unique (pl. 83). Procédé de Verduin modifié. Le chirurgien placé en dedans

la durée de la cicatrisation la jambe est étendue sur la cuisse. Ce procédé n'est que la régularisation de celui que Verduin

lier pour excaver le lambeau postérieur chez les personnes grasses. Procédé de M. Sédillot. Ce procédé, tout récemment invent

u postérieur chez les personnes grasses. Procédé de M. Sédillot. Ce procédé , tout récemment inventé, a été le sujet d'un Mémo

u côté interne et postérieur. Nous ne craignons pas de présenter ce procédé comme un des plus rationnels qu'on puisse imagine

si l'on veut employer la jambe artificielle de Verduin; en un mot, ce procédé réunit tous les avantages des méthodes circulaire

dé réunit tous les avantages des méthodes circulaire et à lambeaux. Procédés à deux lambeaux. Procédé de Ravaton. Faire une

des méthodes circulaire et à lambeaux. Procédés à deux lambeaux. Procédé de Ravaton. Faire une incision circulaire à douze

équer les lambeaux de bas en haut, couper les chairs interosseuses. Procédé de Vermale et de Ledran. C'est exactement celui q

s angles externe et interne. Dupuytren enseignait dans ses cours le procédé suivant, qu'il n'a jamais exécuté sur le vivant.

sseux et scier les os. Nous donnons nous-même, pl. 83, fig. 1,2,3, le procédé de Vermale, que nous avons modifié ; nous n'y rev

t plus d'espace à parcourir dans ce sens que d'arrière en avant. — Le procédé de M. Séclillot a été décrit; nous donnerons celu

udcns, qu'on pourrait peut-être mieux rapporter à la méthode mixte. Procédé de M. Baudens.—Premier temps. Faire une incision

s à saillir à travers l'angle antérieur de la plaie. Une multitude de procédés étant éliminée par ce principe, il ne reste donc

amputation de la cuisse ou dans les tubérosités du tibia. Du reste le procédé de Verduin a été adopté surtout à l'étranger, par

et qui, le plus souvent, ferait perdre les autres chances de salut. Procédés opératoires. Le choix des procédés doit être régl

dre les autres chances de salut. Procédés opératoires. Le choix des procédés doit être réglé sur la nature et la hauteur de la

er, nous pouvons, sans craindre de nous tromper, lui rapporter, comme procédé spécial, ce qu'ils nous ont laissé sous l'express

avons fait pour la jambe, une très grande extension à l'historique de procédés qui ont été suffisamment développés clans les pré

nds. Alanson et Bell, poursuivant la même idée, proposent chacun leur procédé . Valentin renchérit sur eux tous et adopte une co

t pas impossible à exécuter régulièrement. Heister suit à la fois les procédés de Louis et de J.-L. Petit : la méthode deDupuytr

ces préceptes sont ici d'une moindre importance que pour la jambe. Procédé ordinaire modifié de J.-L. Petit (pl. 85, fig. i

loie avec sécurité la torsion avec le refoulement, tandis que le même procédé ne lui réussît pas aussi bien pour les petites ar

arlé du moyen de remédier à la saillie du fémur, si elle survenait. Procédé d'Alanson. La peau incisée et disséquée, porter l

vec l'os, achever la section des parties molles de la même manière. Procédé de Valentin. Le membre dans l'abduction, la cuiss

uisse, diviser les parties molles des faces externe et postérieure. Procédé de Dupuytren. Incision des tégumens et des muscle

es rétractées, division des fibres profondes : le reste comme dans le procédé ordinaire. Procédé de M. Sanson. Si l'on veut a

on des fibres profondes : le reste comme dans le procédé ordinaire. Procédé de M. Sanson. Si l'on veut amputer sur les condyl

(Chélius, traduct. de Pigné, t. II, p. 459). méthode a lambeaux. Procédé de Vermale (pl. 86). Le chirurgien est placé ordi

ion de sang. Modifications diverses. Elles sont en grand nombre. Le procédé que Ravaton appliquait à la cuisse est le même qu

d'abandonner le malade ou de tenter une opération plus périlleuse. Procédé de M. Langenbeck (pl. 85 , fig. 3). Nous consigno

Procédé de M. Langenbeck (pl. 85 , fig. 3). Nous consignons à part ce procédé d'application générale, qui a fixé l'attention en

i rejoint le premier sur chaque face à angle aigu. Méthode mixte. — Procédé de MM. Baudens et Sédillot. La méthode de ces deu

une analogie parfaite : nous réunissons donc la description des deux procédés . Tailler deux lambeaux, interne et externe, aux d

ement et en cône rentrant les muscles profonds. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Malgaigne. Il est fondé sur ce principe : q

çon que le pus coule par l'angle externe et postérieur de la plaie. Procédé de M. Baudens. Suivant la formule générale d'un l

in scier l'os en regard de la section musculaire. On obtient clans ce procédé , comme dans tous ceux cle l'auteur, une vaste coi

r exactement le fémur; et d'abord on n'obtient pas ce résultat par le procédé à lambeaux latéraux , car l'os saillit presque in

ntrent surtout à la guerre, où les lésions si variées nécessitent des procédés opératoires qu'on ne peut pas soumettre à des règ

plus grand nombre de succès. Cependant, comme on l'a vu, le choix des procédés est loin d'être indifférent. Celui de Dupuytren

de ne pas donner assez de peau et d'exposer à la saillie du fémur. Le procédé cle Louis diffère trop peu de celui de Dupuytren,

e nous avons porté de ce dernier ne lui convienne pas également. Le procédé d'Alanson a été, d'après 8. Ccrwper, démontre mat

s, et, en outre, très difficiles à exécuter régulièrement. Après le procédé que nous conseillons, c'est à celui cle Bell que

e : seulement, elles nous paraissent avantageuses pour la réunion. Le procédé de M. Malgaigne ne nous semble pas donner complèt

. Dans les désarticulations, au contraire, tout ce qu'on a inventé de procédés , tout ce qu'on a fait de recherches, revient en d

palement de celle à lambeaux, ont donné naissance à une multitude cle procédés au milieu desquels on se perd si l'on n'a soin d'

sera plus rigoureuse pour les désarticulations en particulier, où tel procédé à lambeaux est meilleur que tel procédé ovalaire

ations en particulier, où tel procédé à lambeaux est meilleur que tel procédé ovalaire et où, par contre, la méthode circulaire

e par Sharp, Leblanc et Lassus; généralement suivie en Angleterre, le procédé en est très simple : le doigt tenu dans l'extensi

de a lamreau. — i° A deux lambeaux. —(a) Lambeaux dorsal et palmaire. Procédé de Garengeot, conseillé par Ravaton, mais renouve

de l'articulation, puis abattre la phalange. — (b) Lambeaux latéraux. Procédé de Ledran. Décrit nouvellement par M. Maingauld,

t nouvellement par M. Maingauld, blâmé par MM. Blandin et Velpeau, ce procédé consiste à tailler de chaque côté un petit lambea

une plaie verticale. — (c) Deux lambeaux dont le palmaire plus long. Procédé de Rust. Ce procédé recommandé par Richerand et M

. — (c) Deux lambeaux dont le palmaire plus long. Procédé de Rust. Ce procédé recommandé par Richerand et M. Gouraud, et qui co

mbeau palmaire plus long, ne nous paraît pas différer sensiblement du procédé de M. Lis-franc à un seul lambeau palmaire. 2°

à un seul lambeau palmaire. 2° A un seul lambeau. — Lambeau dorsal. Procédé de Laroche. Le doigt tenu la face palmaire en hau

avoir offert à la surface articulaire pour en limiter la longueur. Ce procédé , peu usité, reçoit son application spéciale dans

r un lambeau dans ce sens. — (b) Lambeau palmaire. M. Lisfranc a deux procédés différens dont le manuel opératoire différentiel

n par la face dorsale, et dans l'autre par la face palmaire.— Premier procédé de M. Lisfranc (pl. 67, fig. 2). La main tenue en

unaire de longueur convenable pour recouvrir l'articulation. — Second procédé de M. Lisfranc (pl. 67, fig. 3). La main portée e

vec une bandelette agglutina-tive. Appréciation. Le choix entre les procédés dont les lambeaux sont situés sur des côtés diffé

eau latéral.Dans les cas ordinaires, où le choix est libre, le second procédé de M. Lisfranc, à un seul lambeau palmaire, est l

ent rejetée, les autres lui étant très supérieures. Voici du reste le procédé de M. Cornuau. La main en supination, les doigts

L'opération terminée, la plaie est moins bien recouverte que dans les procédés ovalaire ou à lambeaux. Méthode a lam re aux. i

dans les procédés ovalaire ou à lambeaux. Méthode a lam re aux. i° Procédé de J.-L.Petit(jp\.6S, fig.2) (D). Le doigt dans l

diamètre transversal, soit suivant ledia-mètre antéro-postérieur. 20 Procédé de Sharp. Imité de celui de Garengeot pour les ph

de manière à former deux lambeaux dorsal et palmaire. Ce n'est que le procédé circulaire avec plus de facilité pour la désartic

procédé circulaire avec plus de facilité pour la désarticulation. 3° Procédé de Garengeot. Le doigt malade étendu et bien isol

s fléchisseurs et d'un lambeau cutané palmaire. C'est en fait le même procédé que pour les phalanges. 4° Procédé de M. Rossi. C

né palmaire. C'est en fait le même procédé que pour les phalanges. 4° Procédé de M. Rossi. Ce n'est autre que celui de .L-L. Pe

rège en ne taillant ainsi que le premier lambeau , mais évidemment le procédé lui-même est défectueux. 5° Procédé de Ledran per

mier lambeau , mais évidemment le procédé lui-même est défectueux. 5° Procédé de Ledran perfectionné par M. Walther et M. Lisfr

à la surface articulaire avant de le détacher. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Scoutetten(p\. 68, fig. i ). Tout étant dis

luxation de la phalange, la section du bord cutané palmaire; mais ce procédé , qui oblige à changer de main pour l'incision obl

celle qui donne le meilleur résultat; pour la méthode à lambeaux, le procédé de M. Lisfranc est préférable aux autres. amput

tête du deuxième métacarpien forme le sommet. Méthode circulaire. — Procédé de M. Comuau (pl. 68, fig. 4)-— Premier temps. La

ment par la peau, en soient amplement recouvertes pour la réunion. Ce procédé , d'une exécution rapide, donne un bon résultat, e

imultanée de deux ou trois doigts. Méthode a un lambeau palmaire. — Procédé ordinaire perfectionné par M. Lisfranc (pl. 68, f

à convexité antérieure, étendue de l'un à l'autre bord, comme dans le procédé qui précède. Faisant alors relever la peau sur le

e avec celle qui précède. Comme appréciation, puisque dans les deux procédés la longueur des tégumens de revêtement est limité

le plus possible, il nous semble qucla préférence doit être donnée au procédé le plusexpé-ditif et le plus simple, qui est selo

en dedans, du bord externe vers l'interne. Méthode a un lamreau. — Procédé ordinaire (pl. 70, fig. 2). La main placée en sup

che du bistouri vers le bord cubital de la main. — Modification de ce procédé . Une variante suivie par M. Walther consiste à in

s en dedans, et termine par l'incision dans l'espace inter-osseux. Ce procédé , qui donne le même résultat, mais dont la manœuvr

, mais dont la manœuvre est plus difficile, est généralement blâmé. Procédé de M. Velpeau. Pratiquer sur la face dorsale une

s, elle a été pratiquée depuis long-temps par Béclard et Richerand. — Procédé de M. Scoutellen (pl. -70, lig. 1 ). Quel que soi

r du sang de chaque côté et doivent être liées. La plaie, dans chaque procédé , se réunit par première intention, maintenue par

première intention, maintenue par des bandelettes agglutina-tives. Le procédé ordinaire est le plus facile, mais il fournit une

partie moyenne du second os métacarpien. Méthode a un lamreau.— i° Procédé ancien. La main mise en pronation, les trois prem

ant vers la phalange, le lambeau interne. Dans une modification de ce procédé on commence, au contraire, par la taille de ce mê

seuse de bas en haut. Exécuté suivant cette dernière modification, ce procédé nous paraît le plus prompt et le plus facile. — 2

cation, ce procédé nous paraît le plus prompt et le plus facile. — 2° Procédé ordinaire, perfectionné par M. Lis-franc (pl. 70,

amens inter-osseux, l'isolement de l'articulation métacarpienne. — 3° Procédé de M. Velpeau. Abaisser de l'apophyse styloïde du

arrière, afin de la réunir en pointe avec l'origine delà première. Ce procédé , dit l'auteur, imité de celui qu'il applique au p

e et le cède en résultat à la méthode ovalaire. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Scoutelten. Ce procédé est semblable à celu

méthode ovalaire. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Scoutelten. Ce procédé est semblable à celui de la désarticulation du po

l'on tord, et celle des deux collatérales, qu'il faut lier. Quant aux procédés opératoires, le procédé ancien est le plus facile

eux collatérales, qu'il faut lier. Quant aux procédés opératoires, le procédé ancien est le plus facile et la méthode ovalaire

laie quand le levier osseux a encore sa fixité. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Langenbeck. Rien de plus simple quant à la

ou interosseux entre le trapèze et la tête du deuxième métacarpien. Procédé opératoire. La main du malade tournée en pronatio

s fibreuses des tendons. Méthode circulaire (pl. 71, i{§, 1 et 2).— Procédé ordinaire. Quoiqu'il ait été très anciennement pr

re. Quoiqu'il ait été très anciennement pratiqué, on fait remonter ce procédé à J.-L. Petit, le premier qui l'ait convenablemen

'arrière en avant ou d'un côté à l'autre. méthode a deux lambeaux.— Procédé ancien (pl. 7 1, fig. 3,4). La main tournée en pr

ur, puisque, aussi bien, il n'y a que de l'avantage à la conserver. Procédé de M. Lisfranc. i° La main placée en pronation, p

M. Velpeau avec un lambeau externe et antérieur. Appréciation. Les procédés , quant à leurs avantages, se succèdent suivant l'

lequel nous les avons présentés. Le meilleur et le plus simple est le procédé circulaire; le procédé à un grand lambeau palmair

résentés. Le meilleur et le plus simple est le procédé circulaire; le procédé à un grand lambeau palmaire vient ensuite: ce der

n, mais ce n'est pas là un avantage pour le résultat ; enfin les deux procédés à lambeaux ont l'inconvénient de se pratiquer en

stérieur et des deux forts ligamens latéraux. Méthode circulaire. — Procédé de M. Velpeau. i° L'opérateur placé en dehors du

rière, séparer lolécrane par la section du tendon du triceps. Dans ce procédé il n'y a qu'une artère à lier, l'humérale; les ch

ation plus facile et donne deux artères à lier. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Baudens (pl. 91, fig. 1 ). i° L'avant-bras

ent recouvert par le vaste lambeau externe. Méthode a un lambeau. — Procédé deBiasdor. Le membre placé dans l'extension, à un

nfin, le lambeau relevé, terminer parla désarticulation du cubitus. Procédé de jacquier. L'avant bras dans l'extension , tail

n arrière, faire relever la peau et détacher l'olécrane du triceps. Procédé de Dupuytren (pl. 73, fig. 1). i°Lc membre en sup

amplement recouverte sur les côtés par les chairs. Quant au choix du procédé opératoire, il est à peu près indifférent, le rés

pace acromio-coracoïdien, qui reçoit la pointe du couteau dans divers procédés ; il forme un intervalle osseux à trois côtés, l'

a réclame aujourd'hui en faveur d'Alanson, qui l'a décrite en 1744- Procédé de Garengeot. Comprimer l'artère médiatement, fai

usqu'à l'os, enfin désarticuler dans la plaie la tête de l'humérus. Procédé de Berlrandi. Armé d'un large bistouri, inciser d

ection, de manière à confondre les deux en une incision circulaire. Procédé de M. Cornuau. Le membre relevé, diviser la peau

xtrémités de la première en formant avec elle une plaie circulaire. Procédé d'Alanson. C'est, comme nous l'avons dit, à ce ch

comme nous l'avons dit, à ce chirurgien qu'on rapporte aujourd'hui le procédé le plus méthodique d'amputation circulaire, attri

Alanson faisait comprimer par une ligature en masse; il avoue que son procédé offre de la difficulté pour la désarticulation, e

menter l'espace, une incision verticale vers l'aeromion qui change ce procédé en celui de M. Larrey. Procédé de M. L. Sanson

ticale vers l'aeromion qui change ce procédé en celui de M. Larrey. Procédé de M. L. Sanson (pl. 76). C'est en fait la méthod

e diviser la capsule en arrière et en bas. Rien de plus rapide que ce procédé quand il est bien exécuté : la seule observation

horax. Méthode à lambeau. Elle se pratique par un grand nombre de procédés que M. Velpeau range, d'après leur résultat, en d

vrement. — (a) Méthode à un lambeau ( lambeau postérieur ou interne). Procédé de Ledran. Le malade assis sur une chaise, le bra

quel se trouvent compris en dedans les gros vaisseaux et les nerfs. Procédé de Garengeot. Il diffère du précédent : i° par l'

i de l'aiguille courbe, bien préférable pour la ligature préalable. Procédé de La Paye (lambeau externe et supérieur). Pratiq

mbeau en V imité par M. Syme pour la résection de la tête humérale. Procédé de Dupuytren (lambeau externe et supérieur). Attr

thèse de i8o3) — Formule de Grosbois. Ce n'est qu'une modification du procédé de La Faye; voici en quoi il consiste : le bras e

ers l'articulation, en se servant d'un couteau courbe sur le plat. Ce procédé a eu quelque vogue en raison de la rapidité avec

nombre de fois par MM. Cline et Chiari. Méthode à deux lambeaux. — Procédé de Bell. Inciser circulai-rement jusqu'à l'os à o

tion. Il est clair que l'artère doit être préalablement comprimée. Ce procédé n'est peut-être pas aussi expéditif que plusieurs

éditif que plusieurs autres, mais il assure des lambeaux réguliers. Procédé de Laroche. C'est le même que le précédent; la di

superficiel, puis à désarticuler avant de tailler l'autre lambeau. Procédé de M. Lisfranc (pl. 7 7). C'est sous le nom de ce

le nom de ce chirurgien et sous celui de M. Champesme qu'est connu le procédé suivant, décrit d'abord par Grosbois mais avec mo

tailler le lambeau antérieur. 2° Lambeaux d'accolement. Le but des procédés qui s'y rapportent est de former des lambeaux ant

de former des lambeaux antérieur et postérieur qui se rapprochent. Procédé de Poyet et de Sharp. Inciser verticalement le de

hairs que l'on divise en taillant un lambeau externe et postérieur. Procédé de Desaidt. L'artère préalablement comprimée entr

haut et terminer par la section d'un lambeau externe et postérieur. — Procédé inverse de M. Larrey. Pour éviter l'inconvénient

érieur. — Procédé inverse de M. Larrey. Pour éviter l'inconvénient du procédé de Desault, où l'artère axillaire se trouve coupé

ens et de terminer par la section du lambeau interne et inférieur. Ce procédé permet de piquer de bas en haut pour le bras gauc

élevé, à moins d'être ambidextre et de se servir de la main gauche. Procédé de Delpech. Il se distingue par l'extrême exiguit

e M. A. Blandin (Strasbourg, i8o3) et dans une autre de M. Chasley. Procédé de M. Larrey (pl. 78, fig. 1 et 2). Le bras du ma

es au niveau des angles inférieurs des deux incisions en V. Dans ce procédé , le chirurgien étant placé en dehors du membre, i

ité, pour les trois premières incisions, un grand bistouri convexe. Procédé de M. Guthrie. Partant immédiatement du sommet de

près du bord de la peau : le reste comme il a été dit précédemment. Procédé de M. Scoutetten. Il ne diffère en réalité que pa

on des muscles. Appréciation et valeur relative des méthodes et des procédés . Le choix entre ces trois méthodes, et les nomb

et des procédés. Le choix entre ces trois méthodes, et les nombreux procédés qui en dérivent, est fondé sur un grand nombre de

t à l'état du membre et les autres aux conditions de la méthode et du procédé en eux-mêmes. A. Si [articulation et les chairs

elle sorte cpie le chirurgien, lihre d'appliquer telle méthode et tel procédé , n'ait plus qu'à juger leur valeur, son choix dép

u'à s'inosculer au contact, dès que les bords en sont rapprochés. Les procédés à lambeaux, au contraire, donnent pour résultat a

n. Le mode de section le moins facile est la taille des lambeaux. Les procédés qui exigent le plus d'habitude sont ceux à un seu

ans une grande étendue, de manière à obtenir une plaie régulière. Les procédés à deux lambeaux viennent ensuite. Les plus simple

és à deux lambeaux viennent ensuite. Les plus simples sont encore les procédés circulaire et ovalaire. — 3° La rapidité dexécuti

aire et ovalaire. — 3° La rapidité dexécution. Si l'on en excepte les procédés à un seul lambeau, qui, parles précautions qu'ils

ne lenteur calculée, la promptitude est sensiblement la même dans les procédés à deux lambeaux, circulaire et ovalaire. En résum

t choisir, nous croyons que l'opération doit être pratiquée ou par le procédé circulaire de M. Sanson, ou par le procédé ovalai

t être pratiquée ou par le procédé circulaire de M. Sanson, ou par le procédé ovalaire de M. Larrey. — B. Si les chairs ont été

r être conservées, c'est forcément le cas d'avoir recours à celui des procédés à un ou deux lambeaux qui permet encore la plaie

inales de l'un des quatre derniers, on pourrait y appliquer les mêmes procédés qu'aux désarticulations interphalangiennes des do

os orteil, et quelquefois un sous le second et sous le cinquième. Les procédés opératoires sont les mêmes qu'à la main, à lambea

est évidemment préférable. Il nous paraît inutile de revenir sur ces procédés , contentons-nous de décrire ce qui appartient au

te opération est généralement pratiquée. Rien de plus simple que le procédé opératoire. Une incision verticale étant faite su

rs déclives vers le bord externe. Méthode a un lambeau plantaire. — Procédé de M. Lisfranc. C'est l'analogue de celui que nou

e soutenant les orteils à mesure qu'ils sont détachés.—Pied droit. Le procédé est en tout point le même, la position des doigts

rieurs et un ligament externe inter-osseux. Méthode a un lambeau. — Procédé de M. Lisfranc. Le pied placé sur une table et fi

a capsule et du ligament sur la face plantaire. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Scouletten. Pied gauche. i° L'articulation

on du deuxième os métatarsien. On peut désarticuler cet os par deux procédés , à lambeaux 67 et ovalairc. in Procédé ti-un

articuler cet os par deux procédés, à lambeaux 67 et ovalairc. in Procédé ti-un lambeau externe. M. Velpcau conseille, écar

ubercule postérieur de l'os sans mâcher et taillader les chairs. — 2° Procédé ovalaire (pl. 81, fig. 4)- Le tubercule du cinqui

rnant le tubercule et coupant le tendon du court péronicr latéral. Ce procédé n'est peut-être pas aussi rapide que l'autre; mai

et Villermé fut accueillie avec faveur comme enrichissant l'art d'un procédé qui permettait de conserver pour la station, de p

ix ou huit millimètres en dedans et deux millimètres plus en avant. Procédé de M. Lisfranc (à un lambeau plantaire; pl. 80, f

tion, ce qui revient à une modification de Hey adoptée par Béclard. Procédé mixte de M. Buudens (pl. 92, tig. 2). Cet ingénie

mplifie beaucoup l'opération précédente ou plutôt la transforme en un procédé nouveau d'une exécution beaucoup plus facile et d

xtrémités osseuses sont malades. i° Le pied tenu comme pour l'autre procédé , piquer avec la pointe du couteau sous l'un des t

remier métatarsien et scier les quatre autres. Nous le répétons, ce procédé nous paraît bien préférable à l'autre; il offre l

galo-scaphoïdienne et calcanéo-cuboïdienne; aujourd'hui deux nouveaux procédés sont venus s'y adjoindre : celui de M. Sédillot,

uboïde, on est obligé de sacrifier ces os. Bien de plus simple que le procédé opératoire entièrement semblable à celui que nous

ue nous venons de décrire ci-dessus, si bien que ce n'est que le même procédé reculé de trois ou quatre centimètres plus en arr

e par la rentrée articulaire du moyen cunéiforme entre ces deux os. Procédé de Chopart (pl. 81, fig. 1 et 2). Pied droit. La

par attaquer l'articulation cuboïdienne moins incurvée que l'autre. Procédé de M. Sédillot (pl. 83 bis, fig. 5 ). Voici le pr

que l'autre. Procédé de M. Sédillot (pl. 83 bis, fig. 5 ). Voici le procédé de l'auteur, traduit fidèlement d'après une lettr

faire impunément quatre à cinq lieues par jour. Dans l'examen d'un procédé opératoire convenable Brasdor pense que l'on doit

ette opération ; et la question serait jugée négativement, n'était le procédé que nous allons décrire. Procédé de M. Baudens(

ait jugée négativement, n'était le procédé que nous allons décrire. Procédé de M. Baudens(v\. 83 bis, fig. i, 2, 3et 4). La j

la circulaire et l'ovalaire toutes récentes. Méthode a lambeaux. — Procédé de Hoin (pl. 84). Le membre étant étendu, la jamb

la longueur en l'offrant à la surface articulaire fémorale : dans ce procédé la rotule est conservée. Plusieurs chirurgiens

tit, où cet os gênait après la cicatrisation. Méthode circulaire. — Procédé de M. Velpeau. Inciser la peau circulairement à t

lairement à leur longueur au niveau de l'anse des tégumens relevés. Procédé de Béclard et Smitli. (Deux lambeaux.) Il a pour

antérieur cutané qui permet de couper l'autre beaucoup plus court. Procédé de Rossi. Celui-ci, moins favorable encore, consi

re et postérieure. Mais comme, suivant la remarque de M. Velpeau , ce procédé ne pourrait trouver d'application vraiment utile

e antéro-postérieur; si le désordre était assez restreint pour que le procédé pût encore être employé, il exigerait néanmoins d

eux vaudrait pratiquer l'amputation de la cuisse. Méthode ovalaire.— Procédé de M. Baudens(p\. 91, fig. 6). i° La jambe placée

ssion. C'est avec raison, à notre avis, que M. Malgaigne accorde à ce procédé la supériorité sur tous les autres; ses résultats

e. Valeur relative des trois méthodes, La méthode à lambeaux par le procédé de Hoin est la plus ancienne, et compte par cela

hode circulaire et surtout l'ovalaire doivent lui être préférées : le procédé de Hoin néanmoins sera conservé pour les cas où l

s où les tégumens sont trop malades sur la face antérieure. Quant aux procédés à deux lambeaux antérieurs ou latéraux, ils doive

ticulaires. La réunion se fait par première intention dans les divers procédés . Le lambeau unique de Hoin est celui dont l'exact

rugination avec la gouge et le maillet ou, en un mot, par les divers procédés de résection. Anatomie. L'articulation coxo-fém

la section pour luxer la tête de l'os : ainsi, comme dans les divers procédés on attaque l'articulation tantôt d'un côté, tantô

ambeaux, circulaire et ovalaire, chacune d'elles comprenant plusieurs procédés . Méthode à lambeaux. Cette méthode est la plu

i, par conséquent, a été pratiquée le plus grand nombre de fois. i° Procédés a un seul lambeau. Procédé de Lalouette, lambeau

tiquée le plus grand nombre de fois. i° Procédés a un seul lambeau. Procédé de Lalouette, lambeau interne et antérieur (pl. 8

membre, mais nui ne doit pa» avoir moins de sept travers de doigt. Procédé de M. Plantadc, lambeau antérieur. Imaginé en 18o

avant et terminer par un court lambeau postérieur coupé carrément. Procédé de Kest (vaste lambeau interne et petit lambeau e

édé de Kest (vaste lambeau interne et petit lambeau externe). Dans ce procédé , point de départ de celui de M. Manec, un couteau

dans, et l'os luxé, ressortir en taillant un court lambeau externe. Procédé de M. Manec (grand lambeau interne et antérieur,

n demi-circulaire en arrière, pour terminer par la désarticulation. Procédé de M. Jslimead. C'est à peu près le même que le p

section des muscles, à la ligature préalable de l'artère fémorale. Procédé de Delpech (lambeau interne: pl. go, fig. i). Com

abord un peu plus haut, et les muscles fessiers un peu plus bas. 2° Procédés a deux lambeaux. Procédé de M.Larrej (lambeaux in

les muscles fessiers un peu plus bas. 2° Procédés a deux lambeaux. Procédé de M.Larrej (lambeaux interne et externe). Ce chi

u fémur, tailler un lambeau externe de même longueur que l'interne. Procédé de Dupuylren (lambeaux externe et interne). L'art

r la section du lambeau externe comme il a été dit précédemment. .. Procédé de M. Lisfranc (lambeaux externe et interne: pl.

tronc pour le côté droit. Le malade, comme, en général, pour tous les procédés , est couché en supination, les tubérosités sciati

fectuer la désarticulation, que l'on opère comme il a été dit dans le procédé de M. Larrcy. Tel est le procédé de M. Lisfranc

n opère comme il a été dit dans le procédé de M. Larrcy. Tel est le procédé de M. Lisfranc. A notre avis, il n'est praticable

t pour obvier à un aussi grave inconvénient que nous avons modifié ce procédé (pl. 89). Rien de plus simple que d'incliner tout

e dont la soustraction ne nuit en rien à la réunion. Ainsi modifié ce procédé nous paraît d'une exécution aussi facile qu'elle

i facile qu'elle est défectueuse en y procédant de l'autre manière. Procédé de Béclard (lambeaux antérieur et postérieur: pl.

illant en ce sens un lambeau de la même longueur que le premier. Le procédé de M, Gulhrie, à deux lambeaux semi-lunaires, ne

ux, l'antérieur est un peu interne et le postérieur un peu externe. Procédé de M. Baudens(lambeaux antérieur et postérieur :

mbeaux antérieur et postérieur : pl. 9 1, X: vi. fig. 8 et 9). Ce procédé ne diffère essentiellement de celui de Béclard qu

et en bas, si le lambeau postérieur était taillé plus long. Quant au procédé en lui-même: le chirurgien étant placé en dehors

levées en avant de la main gauche : la ponction se fait comme dans le procédé de Béclard, seulement le lambeau est prolongé plu

galement à angle droit le lambeau postérieur. Méthode circulaire. Procédé d'Abernethy (pl. 90, fig. 2). Nous n'avons qu'à r

Procédé d'Abernethy (pl. 90, fig. 2). Nous n'avons qu'à rappeler ce procédé , qui est décrit suffisamment dans l'explication d

ération terminée, l'auteur procède à la réunion d'avant en arrière. Procédé de M. Grœfe. On doit considérer en quelque sorte

fe. On doit considérer en quelque sorte comme personnel à l'auteur un procédé qu'il pratique avec son large couteau concave en

iculaire sur la demi-circonférence antéro-interne. Méthode mixte. Procédé de M. Larrey (pl. 87, fig. 3). Nous appelons du n

M. Larrey (pl. 87, fig. 3). Nous appelons du nom de méthode mixte ce procédé , qui se compose d'une incision circulaire de la p

lus favorables par la facilité d'obtenir une réunion linéaire. 69 Procédé de M. Cornuau (pl. 88). Le malade est couché sur

Modification de M. Malgaigne. Tel que nous venons de le décrire, le procédé de M. Cornuau donne une plaie d'un écarte-ment un

ste de l'opération se pratique comme l'a indiqué M. Cornuau. C'est le procédé , ainsi modifié, que nous avons figuré pl. 88, fig

océdé, ainsi modifié, que nous avons figuré pl. 88, fig. i, 2 et 3. Procédé de MM.Belmas etScoutetten. Le malade, le chirurgi

ésarticulation. Pansement et valeur comparative des méthodes et des procédés de désarticulation coxo-fémorale. L'opération t

s et de dehors en dedans. Toutefois ce précepte se modifie suivant le procédé dont on a fait usage. La méthode ovalaire se trad

erne ou même antérieur permet la réunion oblique; comme il résulte du procédé de M. Baudens, dont le lambeau postérieur est trè

réunion déterminée ou par le choix du chirurgien ou par l'exigence du procédé , reste à employer les moyens de maintenir l'affro

ession sur une ligne déterminée. Quant au choix de la méthode et du procédé : si, en thèse générale, on peut dire qu'aucun ne

remontant après la section, il est rare que, par l'un ou l'autre des procédés circulaires, la plaie soit suffisamment recouvert

étend assez haut à la circonférence du membre pour exclure tout autre procédé . La méthode ovalaire par le procédé de MM. Gornua

du membre pour exclure tout autre procédé. La méthode ovalaire par le procédé de MM. Gornuau et Mal-gaigne, pourvu que Ton ne p

les muscles sont coupés plus haut que la peau (Dupuytren). Enfin les procédés de Lalouette et M. Baudens à un seul lambeau ou à

rgiens qui se contentent de faire comprimer sur le pubis et, dans les procédés qui le permettent, de faire pincer l'artère entre

morragie artérielle, 98, 99. — Hémorragie veineuse, 99. z=. Moyens et procédés hémostatiques préventifs. Compression des artères

éral, 100, 101. — Compression des artères en particulier, 101—104. — Procédés hémostatiques pendant les opérations. Hémorragie

s. Hémorragie artérielle ; compression , ligature instantanée, 104. — Procédés hémostatiques après les opérations : compression,

opérations : compression, 105. — Ligature en général; ses formes, ses procédés et ses instrumens, 105—109. — Moyens applicables

nguéale, 112. — Ongle entré dans les chairs. Redressement de l'ongle; procédés de Desault, Richerand et Dudon, 113. — Rétrécisse

dés de Desault, Richerand et Dudon, 113. — Rétrécissement de l'ongle; procédés de Dionis, La Faye, Guille-meau, 113. — Arracheme

édés de Dionis, La Faye, Guille-meau, 113. — Arrachement de l'ongle ; procédés de F. d'Aqua-pendente, Dupuytren, Larrey, Lisfran

= Vaccination. Caractères physiques du vaccin, examen microscopique, procédés de conservation, 120, 121. — Procédés d'inoculati

u vaccin, examen microscopique, procédés de conservation, 120, 121. — Procédés d'inoculation : frictions, vésicatoire, incision,

Artériotomie , 149, 150. Transfusion du sang, 150, 151. = Varices : procédés de compression, 151, 152. —Suture et ses procédés

0, 151. = Varices : procédés de compression, 151, 152. —Suture et ses procédés , 152. — Section, résection, incision, excision, c

umens de division des os, 200. — Fractures et luxations compliquées : procédés qui s'y rapportent, 201. — Articulations contre

ssion de l'artère cubitale. (A) Exemple de compression, par le même procédé , de la portion dorsale de l'artère radiale. DES

t où va s'achever la section. Figure 2. Section du tendon dAchille ( procédé de M. Stromeyer). Figure 3. Section de l'aponév

e rétraction permanente des doigts causée par une cicatrice vicieuse ( procédé de Dupuytren). La main est représentée sur une pa

d'une nouvelle cicatrice sans rétraction. Figure 4. Même opération ( procédé de M. Goyrand). Figure 5. Même opération (procé

. Même opération (procédé de M. Goyrand). Figure 5. Même opération ( procédé de Sir Astley Çooper). Figure 6. Section du ner

gure 8. Arrachement de l'ongle du gros orteil rentré dans les chairs ( procédé de Dupuytren). Figure 9. Ablation des chairs qu

Figure 9. Ablation des chairs qui recouvrent Tongle du gros orteil ( procédé de M. Lisfranc). Tome 6 Pl.22. Dessiné d'ap

jugulaire externe; et, au bras, celle de la veine céphalique par deux procédés . OPERATIONS. SAIGNÉE DE L'ARTÈRE TEMPORALE.

) Section de la branche frontale de Vartère temporale suivant Vancien procédé décrit par Boyer. Avec le bistouri droit, tenu

le mode de compression à employer avant le pansement. Au lieu de ce procédé , souvent infidèle, l'expérience ayant appris qu'e

cision porte encore sur le plan du muscle temporal, nous proposons le procédé suivant : 2° (b) Incision du tronc de l'artère

t offrir de graves inconvéniens, énoncés dans le texte, au lieu de ce procédé nous proposons le suivant : (D!) Saignée de la

rieur en avant, à la portion externe du triceps en arrière. Dans ce procédé on comprime sur le trajet de la veine, au-devant

1. (a) Compression des veines principales au-dessus des varices. 1. Procédé de M. Davat appliqué sur une branche de la veine

sur une branche de la saphène interne. Figure 2. (b) Ligature. 4. Procédé de Béclard de ligature avec excision d'une portio

e Béclard de ligature avec excision d'une portion du vaisseau. 5. Procédé de Wise par une ligature temporaire, avec un nœud

ture temporaire, avec un nœud coulant. Figure 2. (c) Suture. 6. Procédé de Fricke par un petit séton passé au travers de

avec l'intermédiaire de la peau. Figure 2. (d) Incision. 7. 7, 7. Procédé par une série d'incisions isolées. C'est par ce s

série d'incisions isolées. C'est par ce seul fait qu'il diffère du procédé ordinaire, où l'on ne fait qu'une seule longue in

inaire, où l'on ne fait qu'une seule longue incision. Figure I. (e) Procédé par incision des pelotons variqueux (Richerand).

tes, suivie de la torsion du vaisseau avec la pince plate, suivant le procédé de M. Ainussat. Figure 8. Torsion simple des pe

lanière d'un tissu animal passée au travers d'une artère, suivant le procédé de M. Horatio Jameson. Figure 10. Enlacement de

re de double séton, pratiqué avec la pince de M. Stilling, suivant le procédé de cet auteur. Tome 6. PI. 31. Dessiné d'ap

fre une type, facilement applicable à toutes les autres artères, du procédé employé par la nature pour rétablir la circulatio

présente, sur deux figures, la ligature de l'artère poplitée par deux procédés différens. Le temps choisi pour chaque opération

nd de la plaie. OPÉRATIONS. FIGURE 4. LIGATURE DE LA POPLITÉE. ( Procédé ordinaire). Le membre abdominal droit, légèreme

re les jumeaux. FIGURE 2. LIGATURE DE L'ARTÈRE POPLITÉE ;B et B2). ( Procédé de M. Marshal). Le membre, légèrement fléchi, e

aiguille d'Astley Cooper. C et C2) LIGATURE DE L'ARTÈRE CAROTIDE. Procédé de M. Sédillot. FIGURE 2. (Bet B'2) LIGATURE

llot. FIGURE 2. (Bet B'2) LIGATURE DE L'ARTÈRE SOUS-CLAVIÈRE. ( Procédé de Chamberlayne. ) 1. Section de la peau. — 2. La

s sous-cla-vière et axillaire, par les incisions transversales ou les procédés dits ordinaires. Le malade est couché, l'épaule

IONS. FIGURE 1. (A et A*) LIGATURES DE L'ARTÈRE SOUS CLAVIÈRE. ( Procédé ordinaire.) La lèvre supérieure de la plaie est

aiguille de Deschamps. (B et B2) LIGATURE DE L'ARTÈRE AXILLAIRE. ( Procédé ordinaire.) 1. Section de la peau et du peaucie

sous le corps de la mâchoire, au-devant de l'attache du masse ter. Ce procédé , outre qu'il prend l'artère plus près de son orig

on verticale, sans section du muscle scalène antérieur, comme dans le procédé de Dupuytren. 1. Section de peau. —2. Section d

sse sous levais-seau. LIGATURE DE L'ARTÈRE AXILLAIRE. (D et D2). ( Procédé de Desault). Cette plaie, nommée procédé de Des

E AXILLAIRE. (D et D2). (Procédé de Desault). Cette plaie, nommée procédé de Desault, dans la manière dont nous l'avons fig

e planche représente la ligature du tronc brachio-céphalique par deux procédés . Pour l'une et l'autre opération, le malade est c

r éclairer le fond des plaies. OPÉRATIONS. FIGURE \ (A ET A'). ( Procédé de M. Vcdentine Mott). Le cou du malade est lég

artères est embrassée par un fil à ligature. FIGURE 2 (B ET R2). ( Procédé de M. KingJ. Le chirurgien est placé du côté ga

mps. FIGURE 2. LIGATURE DE L'ARTÈRE ILIAQUE EXTERNE, (B et B'1). ( Procédé de M. Norman, modifié par M. Velpeau). a. Main

l'extrémité carpienne du cubitus. L'opération a été commencée par le procédé de M. Roux, une incision longitudinale d'où part

KI-: PLANCHE 57. RÉSECTION DE L'ARTICULATION HUMÉRO-CURITALE. ( Procédé de Moreau. ) FIGURE \. RÉSECTION PARTIELLE DE

os. PLANCHE 58 RÉSECTION DE L'ARTICULATION SCAPULO-HUMÉRALE. ( Procédé de M. Syme. ) Figure 1. Le malade étant supposé

uent l'absence de la tête numérale. MÊME RÉSECTION (côté gauche). ( Procédé de l'auteur. ) Figure 3. Résection de la tête h

nt été introduit sous l'acromion comme pour la désarticulation par le procédé de M. Lisfranc, le chirurgien l'a descendu carrém

igure l\. RÉSECTION EN MASSE DE L'ARTICULATION TIBIO-TABSIENNE. ( Procédé de Moreau. ) Cette opération, qui réunit les deux

cette planche deux applications au poignet et au coude-pied de notre procédé de résection entre les chairs. RÉSECTION COMPLÈ

s chairs. RÉSECTION COMPLÈTE DE L'ARTICULATION RADIO-CARPIENNE. ( Procédé de l'auteur. ) L'extrême gravité de cette résec

n , comme de celle de l'articulation tibio-tarsienne, par les anciens procédés , ayant.principalement pour causes l'isolement des

ur exposition a. l'air dans une grande étendue, l'objet de ce nouveau procédé est de pratiquer immédiatement, par deux traits d

eurs gouttières de glissement sur les os. Il est évident que par ce procédé on peut, suivant le besoin, enlever soit l'articu

ÉSECTION COMPLÈTE DE L'ARTICULATION TIBIO-TARSIENNE (côté gauche). { Procédé de l'auteur.) Figure 4. Résection de l'extrémité

u grand cunéiforme. FIGURE 4. RÉSECTION DE LA TÊTE DU PÉRONÉ. ( Procédé de l'auteur. ) (a) . Lambeau cutané rejeté sur

tacher. PLANCHE 62. RÉSECTION DE L'ARTICULATION FÉMORO-TIRIALE. ( Procédé de Moreau. ) Figure 1. Résection terminée. Figure

4. RÉUNION DE LA PLAIE , indiquant la trace des incisions dans le procédé de m. gensoul, Tome 6. Pl.64. Dessiné d'apr

URE. FIGURE i. RÉSECTION DE LA PORTION MOYENNE DE LA MACHOIRE. ( Procédé de Dupuytren.) La portion médiane de la mâchoir

Amputation de la première articulation inter-phalangienne du médius. ( Procédé de M. Lisfranc, à un lambeau palmaire. ) La derni

mputation dans la seconde articulation inter-phalangienne du médius. ( Procédé à deux lambeaux, palmaire et dorsal, de M. Lisfra

me opération vu de face. H, Amputation ci un seul lambeau dorsal. ( Procédé de M. Lisfranc.) L'opération est représentée term

re 4. I, ^Amputation inter-phalangienne à un seul lambeau palmaire. ( Procédé de M. Lisfranc.) g , Main d'un aide qui contient

DOIGTS (DANS LA CONTIGUÏTÉ.) FIGURE \. A, Amputation ovalaire. ( Procédé de M. Scouttetten, pratiqué dans l'articulation m

ion. FIGURE 2. AMPUTATION CARPO-METACARPIENNE DU PETIT DOIGT. ( Procédé de M. Lisfranc.) Le lambeau interne ayant été t

soutient le moignon. FIGURE 3. amputation a un lambeau palmaire. ( Procédé de M. Lisfranc.) L'avant-bras étant soutenu par l

amputation a deux lambeaux dans l'articulation radio-carpienne. ( Procédé de M. Lisfranc.) Un premier lambeau palmaire ay

la contiguïté de l'articulation huméro-cubitale. (Membre gauche.) ( Procédé de M. Velpeau. ) La section des chairs a été fa

ésentée au moment où il ne s'agit plus que de détacher l'olécrâne. Le procédé suivi sur cette figure est celui de Dupuytren, où

2 ET 3. amputation a lambeaux du bras droit dans sa continuité. ( Procédé de Klein. ) Figure 1. Section du lambeau antéri

ion a lambeaux de la partie supérieure du bras. ( Membre droit. ) ( Procédé de Sabatier. ) L'opération est représentée lors

'ARTICULATION SCAPULOHUMÉRALE. ADULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 75. Procédé de Dupuytren. ( Membre gauche. ) FIGURE I. Le

la plaie après l'opération. PLANCHE 76. AMPUTATION CIRCULAIRE. Procédé d'J/rurson modifié. (Membre droit.) FIGURE \.

RTICULATION SCAPULOHUMÉRALE. ADULTE, DEMI-NATURE. FIGURES \ ET 2. PROCÉDÉ DE M. LARREY. Figure 1. Section des chairs. Une

gature sortent par l'angle inférieur de la plaie. FIGURES 5 ET 4. PROCÉDÉ DE M. GUTHRIE. Figure 3. Section des chairs. L'

-acromiale ; ultérieurement, au travers de cette plaie, il devra être procédé à la désarticulation de la tête humérale et à la

UTATION DANS LA CONTIGUÏTÉ DES ARTICULATIONS TARSO-MÉTATARSIENNES. ( Procédé de M. Lis franc.) ( Pied gauche. ) Figure 3. Ou

E \. SECTION DES CHAIRS. La section de la peau a été faite par le procédé ovalaire de M. Sé-dillot, de (a) en (a), pour lai

URE. FIGURES 4, 2 ET 5. AMPUTATION DE LA JAMBE A DEUX LAMBEAUX. ( Procédé de Vermale modifié.) ( Membre gauche. — Lieu d'él

FIGURES 1, 2, 3, 4. Amputation dans l'articulation tibio-tarsienne ( procédé de M. Baudens). Figure 1. Surface de la plaie a

et calcanéo-cuboïdienne (méthode de Chopart) avec un lambeau interne ( procédé de M. Sédillot). Figure 5. L'opération est repr

de suture. FIGURES 7, 8, 9. Amputation sus-malléolaire de la jambe ( procédé de M. Lenoir). Figure 7. Surface de la plaie l'

RES 10 et 11. Amputation de la jambe a lambeau externe et postérieur ( procédé de M. Sédillot). Figure 10. Surface de la plaie

AMPUTATION DANS LA CONTIGUÏTÉ DE L'ARTICULATION FÉMOROTIBIALE. ( PROCÉDÉ DE HOIN.) ADULTE, DEMI-NATURE. FIGURE A. SE

par une pince pour la lier. figure 5. AMPUTATION A DEUX LAMBEAUX. ( Procédé de M. Lancjenbeck. — Membre gauche. ) On a figu

OXOFEMORALE. ADULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 87. FIGURES \ ET 2. PROCÉDÉ DE LALOUETTE. (A un lambeau interne et antérieur.

les superficielle et profonde, fessière et ischiatique. FIGURE 3. PROCÉDÉ DE M. LARREY. (Amputation ovalaire, ou circulaire

sée pat-une bandelette pour ne pas gêner la manœuvre. PLANCHE 88. PROCÉDÉ DE M. CORNUAU. ( Amputation ovalaire. ) FIGURE

ANS L'ARTICULATION COXOFEMORALE. ADULTE, DEMI-NATURE. FIGURE \. PROCÉDÉ DE BÉCLARD. Section des chairs. Après avoir tai

e du couteau, occupée à détacher le lambeau postérieur. FIGURE 2. PROCÉDÉ DE M. LISFRANC {modifié). Pour obvier à la diff

ANS L'ARTICULATION COXOFEMORALE. ADULTE, DEMI-NATURE. FIGURE \. PROCÉDÉ DE DELPECH, A UN LAMREAU INTERNE. (Membre droit.)

lui de l'obturatrice liée ( 1 ). FIGURE 2. AMPUTATION CIRCULAIRE. PROCÉDÉ D'ARERNETHY. (Membre gauche.) Le chirurgien est

paru d'autant plus convenable d'en faire dessiner le résultat que les procédés de ce chirurgien ne sont pas seulement de ces ind

dés vraiment efficaces, et il ne s'agit plus que de choisir entre ces procédés celui qui, d'après les résultats statistiques les

risme et la compression dont il sera parlé plus loin. injections. Procédé dJnel(p\. 4, %• 3). L'instrument usité est la ser

de de Laforest). i° Cathétérisme par le point lacrymal supérieur. Procédé d'Anel. L'opérateur placé derrière le malade, don

; mais on l'a conservé néanmoins comme manœuvre prépa-ratoire pour le procédé de Méjean. 2° Calhétérisme par le canal nasal.

la mé-thode de Laforest d'après le nom du chirurgien qui a inventé le procédé et les instrumens pour le mettre en pratique. L'o

nt, que forme l'axe du canal nasal avec le plan du méat inférieur. ¦ Procédé de Laforest(pl. 3, fig. i, 2 et 2 bis ; et pl. i,

nde flexible ou une algalie qu'il laissait à demeure dans le canal. Procédé de M. Gensoul (pl. 3 , fig. 3,3 bis ). Cet habile

sation, peut également servir pour les injections et la dilatation. Procédé opératoire. L'instrument tenu comme une plume à é

e saillie sous la peau dans le sac lacrymal. Rien de si rapide que ce procédé , dont, avec un peu d'habitude, les trois mouvemen

s indications comprenant elles-mêmes un plus ou moins grand nombre de procédés , qui s'emploient isolément ou se succèdent à dive

hors, le retrait des membranes tu-méfiées, sauf, suivant le cas et le procédé , à favoriser cette action par l'emploi des antiph

fice, elle a été imaginée par son auteur comme un perfectionnement du procédé d'Anel dont il empruntait le cathétérisme. Armé d

té par en bas, pour renouveler la mèche et en augmenter le volume. Ce procédé difficile, irri-tant surtout pour le point lacrym

ité. Modifications. Plusieurs chirurgiens ont essayé de modifier le procédé de Méjean ; mais les moyens qu'ils ont imaginés n

séton de Méjean une mèche de soie écrue formée de plusieurs brins. Ce procédé , qui a été mis en usage par A. Dubois, a pour but

isant pour la dilatation du canal. Méthode de Laforest. — Plusieurs procédés lui sont appli-cables : Procédé et traitement de

. Méthode de Laforest. — Plusieurs procédés lui sont appli-cables : Procédé et traitement de Laforest. Le cathétérisme étant

i qui a formulé , sinon conçu , le moyen d'y parvenir par incision. Procédé et traitement de J.-L. Petit (pl. 4, fig- 0- L'in

e rattachant au nom de J.-L. Petit, c'est ici le lieu d'en décrire le procédé mais tel qu'on le pratique perfectionné de nos jo

nasal, telle que nous venons de la décrire, est le premier temps des procédés par incision. J.-L. Petit, en même temps qu'il re

'éviter la petite difformité de la cicatrice cutanée. Tous les autres procédés empruntent l'incision de J.-L. Petit comme un pre

nutile et dangereuse de la conjonctive, n'a ja-mais été accueillie. Procédé de Lecat. Le premier il a combiné lincision de Pe

t de la plaie pour intro-duire une corde à boyau laissée à demeure. Procédé de Desaull. Après l'incision et la désobstruction

r de la cavité de la sonde pour faire descendre un fil, comme dans le procédé de Méjean, et se conduire pour le reste comme ce

la canule, se servait d'un petit stylet analogue à celui de Méjean. Procédé de Pamard. Pour rendre plus facile l'extraction d

facile à dégager. Il est aisé alors de ramener le fil porte-mèche. Ce procédé a trouvé de nombreux adhérens; toutefois Boyer ai

servait à la Charité, tandisque M. Roux employait celui de Pamard. Procédé de Jurine. Il ne différait que pour la ponction p

laçant celle de Pamard servait à guider le stylet de ce chirurgien. Procédé de MM. Sanson et Bégin. En tant que d'employer- l

re le fil par- la sonde cannelée dans son passage après l'incision. Procédé de Scarpa. Le chirurgien de Pavie employait préal

les tiges métalliques et les parois du canal. Mais la guérison par ce procédé exige huit à dix mois et même plus. A. Dubois fai

is celui dont il se servait était recourbé et d'une seule pièce. — Le procédé de M. Ware, vanté en Angleterre et en Amérique, n

4 ), simulant par sa forme six petits cônes dégra-dans et emboîtés. Procédé de Dupuytren. Pour la manœuvre opératoire, nous d

Procédé de Dupuytren. Pour la manœuvre opératoire, nous décrivons le procédé formulé par Dupuytren et également usité quelle q

it plus haut, et la lame de l'instrument engagée dans le canal nasal ( procédé de J.-L. Petit), s'assurer, par un léger mouvemen

heures , aucune gêne ; la plaie est cicatrisée le lendemain. Aucun procédé n'est plus rapide, plus facile à exécuter et ne d

. Nous avons nous-mêmes été témoin d'un grand nombre de succès par ce procédé . Toutefois il faut admettre, comme dans toutes le

Malgré les succès éclatons obtenus par Dupuytren, on a l'ait à son procédé quelques objections qu'il est bon de faire connaî

énient, qu'il faut avouer, n'équivaut pas néanmoins à ceux des autres procédés . Au reste, si on ne peut toujours préve-nir l'int

t préférable aux autres. 4° Enfin plusieurs chirurgiens reprochent au procédé de Dupuy-tren d'attaquer trop brusquement les sur

it qu'ajouter une nouvelle cause d'irritation , outre les lenteurs du procédé et l'embarras causé dans les voies lacry-males pa

'orifice inférieur du canal nasal. i° Cautérisation par la plaie. Procédé de M. Harveng. Une petite canule conductrice intr

ille s'exerce de deux manières empruntées de Méjean et de Laforest. Procédé de M. Bermond. Le fil de Méjean amené au dehors,

caustique dairs le point qui doit correspondre a u rétrécissement. Ce procédé , d'un emploi peu sûr en lui-même, réunit en outre

s de la cautérisation, toutes les difficultés et les incon-véniens du procédé de Méjean. Procédé de M. Gensoul. Les instrumen

, toutes les difficultés et les incon-véniens du procédé de Méjean. Procédé de M. Gensoul. Les instrumens sont ceux dont nous

nvénient. Au reste, tout ba-lancé, d'après ses résultats en masse, le procédé de M. Gcnsoul doit être admis avec la canule de D

teur fait fausse route dans la ponction du canal, mais converti en un procédé régulier par M. Pécot et M. Laugier : 3° sinon pa

us-méthode de Wathen. i° Trajet artificiel à travers l'os unguis. Procédé de Woolhouse. Faire au grand angle de l'œil une i

a trouvé des imitateurs. Modifications : i° Saint-Yves, revenant au procédé des anciens, perforait, au travers d'une simple p

cautère actuel. 2° Lacharrière, Dionis, Wiseman, employaient le même procédé , mais en se servant d'une canule infundibuli-form

nœuvreront fait aban-donner. 4° Scarpa et M. Bouchel ont renouvelé le procédé de Saint-Yves et de Dionis en cautérisant à trave

. 5° Enfin M. Nicod avait réuni, mais sans utilité réelle, en un seul procédé , la perforation avec le trocart et la cautérisati

de la méthode elle-même, l'objet que l'on se propose quant aux divers procédés est d'obtenir une perte de substance autant que p

te après l'incision, que l'on refermerait immédiatement comme dans le procédé de canule à demeure de Dupuytren ; et, en enlevan

e guérison définitive,des garanties bien, plus probables qu'aucun des procédés que nous venons d'énumérer. 2° Trajet artificie

enons d'énumérer. 2° Trajet artificiel à travers l'os maxillaire. Procédé de M. Pécot. Guidé par un fait accidentel de perf

e, et de laisser la canule à demeure dans l'ouverture faite à l'os. Procédé de M. Laugier (pl. 4, Hg- 5). Au lieu du mandrin

nsuccès. 3° Trajet artificiel dans la direction du canal naturel. Procédé de Dupuylren. Dans un cas d'imperforation du cana

ise n'affecte ordinairement que le conduit lacrymal inférieur. Divers procédés ont été mis en usage pour y remédier. Dans un cas

faitement sûr de tracer un trajet suivant la direction convenable. Le procédé de Pellier, qui agit de dehors en dedans, nous pa

écapitulant, au point de vue des indications à remplir , les nombreux procédés imaginés pour le traitement de la tumeur et de la

de dilatation se présentent. Les mèches, tentes, etc., empruntées du procédé de Méjean, causent l'ulcération des points et des

difforme. La canule à demeure, de préférence celle de Pellier, par le procédé de Dupuytren, j ustifiée par un nombre de succès

est fon-dée, sans doute, mais on peut l'adresser également aux autres procédés qui n'ont pas les mêmes avantages, la récidive ét

ués ou oblitérés. Enfin quanta la formation d'un canal artificiel, le procédé de Dupuytren, suivant le trajet normal, est préfé

e la conjonctive à l'état d'hypertrophie vasculaire , et alors divers procédés ont été imaginés suivant que la conjonctive seule

au travers de la peau. Applicable à l'une et l'autre paupière , ce procédé a pour objet, après l'excision de la conjonctive,

qu'à une cicatrice linéaire. Excision partielle du cartilage tarse ( procédé de Weller:pl. 5, fig. 3 ). Ayant remarqué que, da

Excision partielle de la paupière inférieure (pl. 5 , fig. 4 et 5 ). ( Procédé de M. Adams.) Publié en 1813 par cet oculiste ang

s, d'un seul coup avec des ciseaux, comme l'a pratiqué M. Velpeau. Ce procédé a donné de bons résultats à ce chirurgien, à Bécl

taille du lambeau. 11 est convenable pour les paupières de suivre le procédé de M. Lallemnnd , c'est-à-dire qu'un des bords de

et ridée , il vaut mieux avoir immédiatement recours à l'excision. Procédé ordinaire (fig. 11 et 12). Saisir entre le médius

re, d'une compresse gra-duée fixée par un tour de bande circulaire. Procédé de M. Hunt (fig. 9 et 10). Dans le cas de paralys

le-même. C'est la réalisation pratique de cette idée qui constitue le procédé de M. Hunt de Manchester. lie sourcil rasé, ave

eau qui succède à un œdème de la paupière. Rien de plus simple que ce procédé . Le sourcil étant rasé, relever la paupière supér

au besoin par quelques topiques astringens. De-mours a guéri, avec ce procédé , un assez grand nombre de ma-lades ; et M. Velpea

'en est également servi avec avantage. Cathérétiques et caustiques ( procédé de QuaJri). Nettoyer exac-tement la paupière et a

pharoptose; nous n'y revien-drons pas. Excision du cartilage tarse ( procédé deSaunders; pl. 7, fig. 2, 3). Introduire sous la

bulbes ciliaires et surtout le conduit lacrymal. L'intention de ce procédé est de diminuer la hauteur de la paupière en lui

la peau et la conjonctive. Mais, en supposant qu'il en soit ainsi, le procédé en lui-même doit-il être appliqué à une maladie a

n simple entropion, est peu faite pour encourager à faire usage de ce procédé . Procédé de M. Gulhrie (pl. 7, fig. 4 et 5), Av

tropion, est peu faite pour encourager à faire usage de ce procédé. Procédé de M. Gulhrie (pl. 7, fig. 4 et 5), Avec le bisto

ttes agglutina ti ves. La même observation, que nous avons faite au procédé précé-dent, s'applique à celui-ci. Le désordre es

On y procède de la manière suivante. Arrachement et cautérisation ( procédé de M. Champesme). Arracher un à un les cils dévié

coup, dans une section demi-elliptique, avec des ciseaux courbes. Ce procédé , qui offre l'inconvénient d'une perte de substanc

ar la surface de la peau, ou par celle de la conjonc-tive. Le dernier procédé est préférable, autant qu'on le peut, pour éviter

autérisation avec le nitrate d'argent (Lisfranc, Caron du Villars). Procédé de M. Caron du Villars. La paupière étant renvers

nsidérées ici, comme il a été dit plus liant, qu'à leur naissance. Le procédé d'excision est des plus simples : il con-siste à

l arrête l'excision à sa circonférence. Enfin M. Rognetla adopte un procédé mixte suivant l'étendue du ptérygion : s'il n'env

et cornéal du ptérygion est opaque; imitant avec un petit bistouri le procédé que Demourspratiquait avec la lancette, il pince

ns inflammatoires ont diminué d'intensité. Rien de plus simple que le procédé : il consiste dans une piqûre à la partie inférie

siècles avant notre ère, opérait avec succès la cataracte ; mais son procédé est resté dans l'oubli. A l'époque de Gelse, déjà

harp et Z. Platner; et de ces for-mules naissent peu à peu les divers procédés usités de nos jours. Caractères généraux'. Le

gnostic, la convenance de l'opération et le choix de la méthode et du procédé . — 1° Siège. Sous ce rapport on distingue quatre

raction et la méthode mixte ; les deux premières renferment plusieurs procédés . première méthode. — abaissement. Le mot abai

ent renferme aujourd'hui, sous une acception générique , les nombreux procédés qui ont pour objet de dé-placer ou de broyer avec

guille, dans l'intérieur de l'œil, le cristallin et sa capsule. A ces procédés se rapportent diverses ma-nœuvres qui empruntent

e pareeque, dans les livres, on les présente souvent à tort comme des procédés ; tandis qu'en réalité elles ne représentent que l

t que l'ensemble de manœuvres dont l'association variée constitue les procédés et les différencie. Historique. La première not

Les Arabes, au rapport d'Avicennes, outre l'extraction, emploient un procédé mixte de kératomie suivie d'abaissement par l'aig

pu-pillaire, pratique exclusivement la dépression. Sa théorie et son procédé sont suivis par G. de Chaulieu et successivement

a-quer le cristallin en arrière. Suivant le témoignage de Ferrein, ce procédé , qui, de nos jours, est devenu la hyalonyxis, est

rière du malade, l'autre placé de côté pour contenir les mouvemens. Procédés opératoires. Scléralonyxis. — Procédé ordinaire

ur contenir les mouvemens. Procédés opératoires. Scléralonyxis. — Procédé ordinaire (pl. 10, fig. 5 6, 7,8 ,9). Le malade e

a succession régulière de ces cinq temps opéra-toires que consiste le procédé ordinaire et régulier tel que nous venons de le d

int, déjà indiqué, où l'on doit piquer la sclérotique dans les divers procédés . Plus près de la cornée on pourrait blesser l'iri

r ce corps par sa face postérieure, différence en quoi consistent les procédés de M. Bretonueau et de M. Malgaigne. Enfin plus b

our, les déchirer, et les faire passer clans la chambre antérieure. Procédés secondaires. Un grand nombre de modifications a

rieure. Procédés secondaires. Un grand nombre de modifications au procédé principal ont été imaginées pour répondre à diver

r les cas de cataracte purement capsulaire, elle forme la base de son procédé et de celui nouvellement publié par M. Malgaigne.

largement les cellules hyaloïdiennes pour y enchâsser le cristallin ; procédé qui doit partager avec celui de M. Bowen le nom d

e pratiquer l'abaissement au travers d'une section de la sclérotique, procédé qui a reçu le nom de scléroticotomie. 4° Pott, Wi

eu de la dépression sim-ple , d'opérer le renversement du cristallin, procédé qui a reçu le nom de réclinaison. 5° Appuyé sur l

le morceler en fragmens ou même simplement de diviser sa membrane. Ce procédé constitue le broiement. MM. Adams et Parmi, rench

rnière modification, qui n'est qu'une manœuvre accidentelle et non un procédé , est l'enlèvement du cristallin passé dans la cha

é, est l'enlèvement du cristallin passé dans la chambre antérieure. Procédé de Petit. L'aiguille insinuée dans l'œil, la fair

cristalline et l'abaisser en arrière et en bas dans le corps vitré. Procédé de M. Bowen (hyalonyxis). Percer la sclérotique à

le chirurgien ne doit voir la pointe de l'aiguille par la pupille. Procédé de M. Malgaigne. Piquer la sclérotique dans le li

nt immédiatement dans leur lieu et s'opposeraient à la réascension. Procédé de M. Bretonneau. L'aiguille insinuée dans l'œil,

un mouvement de bascule régulier, en arrière, en bas et en dehors. Procédé de M. Gensoul (scléroticotomie). Nous ne faisons

dé de M. Gensoul (scléroticotomie). Nous ne faisons que mentionner ce procédé éprouvé par MM. Gensoul et Roux, mais bientôt aba

p-sule et l'abaissement incomplet, rendent raison de l'insuccès de ce procédé . Réclinaison. L'opération commencée comme à l'o

laire, il importe encore plus dans la kératonyxis que dans tout autre procédé d'obtenir, par l'instilla-tion préalable de la be

ont la courbure et les tranchans se prêtent à toutes les manœuvres. Procédé opératoire. Les positions relatives du malade, du

e kératomie inférieure, supérieure ou oblique, con-stituant autant de procédés . Mais, en outre, les manœuvres exer-cées sur la c

, donnent lieu à un grand nombre de modifications qui entremêlent les procédés généraux et jettent de l'obscurité sur les descri

s, l'extraction comme une chose du domaine public et bien connue. Son procédé consiste à inciser la cornée et à attirer au deho

réduit l'opération au manuel indis-pensable, et formulé nettement le procédé suivi de nos jours. Peut-être même, pour être jus

mens sont inusités, les autres seront mentionnés en leur lieu avec le procédé auquel ils appartiennent. Procédés opératoires.

t mentionnés en leur lieu avec le procédé auquel ils appartiennent. Procédés opératoires. La kératomie inférieure est la sec

de l'œil en haut, l'évacuation du corps vitré. Kératomie oblique. — Procédé de Wenzel(p\. 9, fig. 9). Ce procédé ne diffère

s vitré. Kératomie oblique. —Procédé de Wenzel(p\. 9, fig. 9). Ce procédé ne diffère du précédent que par l'inclinaison de

; manœuvre, comme nous l'avons dit plus haut, difficile dans tous les procédés , l'instrument ne pouvant, sans élargir la plaie c

1785,puis par Wenzel, Rich ter, B. Bell, et successivement, comme un procédé exceptionnel, par MM. Lawrence, Green, Forlenza,

icable en elle-même à tous les cas de kérato-mie , son adoption comme procédé général par MM. Alexandre et Jœger est motivée pa

on de la paupière. Dispositions. Lappareil est le même que pour les procédés précédens. M. Jœger, seul, se sert à cet effet de

eux derniers doigts sur la tempe au-dessus de l'arcade zygomatique. Procédé opératoire. Le malade et l'opérateur placés relat

on de la capsule et à l'expulsion du cristallin comme dans les autres procédés de kératomie. Seulement pour l'exécution de ce te

que ou altérée d'une manière quel-conque. Dans les autres cas, par ce procédé on a l'avantage de moins exposer à l'issue de l'h

e remplacer le kystotri-teur par une pince d'un usage plus commode. Procédé opératoire. Le malade étant disposé comme pour le

Procédé opératoire. Le malade étant disposé comme pour les au-tres procédés de kératomie, faire relever la paupière supérieu

sorbante de l'humeur aqueuse les détruirait en peu de temps. Par ce procédé , suivant M. Furnari, on obtient une inci-sion de

suivant les cas, ces méthodes fondamentales , d'où dérivent tous les procédés actuel-lement en usage. cas d'indication. A.

es influent d'une manière importante sur le choix de la méthode ou du procédé opératoire. On distingue quatre méthodes pour f

oir, Jurine, Sprœgel, Meiners, Odhélius, Langenbeck, et M. Velpeau. Procédés opératoires. 1" Procédé de Cheselden (pl. 11, f

rs, Odhélius, Langenbeck, et M. Velpeau. Procédés opératoires. 1" Procédé de Cheselden (pl. 11, fig. 1 ). L'instrument de C

nier résultat, une pupille oblongue placée en travers de l'iris. 2u Procédé de Sharp et W. Adams (pl. 1 i, fig. 2). Ce procéd

rs de l'iris. 2u Procédé de Sharp et W. Adams (pl. 1 i, fig. 2). Ce procédé est exactement le même que celui de Cheselden, ex

hever, en le reti-rant, l'incision de l'iris d'avant en arrière. 3" Procédé de.) anus (pl. 11, fig. 3). Deux modifications pr

us (pl. 11, fig. 3). Deux modifications prin-cipales caractérisent ce procédé : 1" ouvrir la pupille artificielle en pénétrant

ta, la pratiquait avec une lancette ordinaire. Quoi qu'il en soit, le procédé de .Tanin se com-pose de deux temps distincts :

kératotome; il donne, du reste, la même direction à l'incision. 1 " Procédé de Maukoir (pl. 11 ,fig. 4)- Ce procédé n'est qu'

direction à l'incision. 1 " Procédé de Maukoir (pl. 11 ,fig. 4)- Ce procédé n'est qu'un perfectionnement du précédent : au li

che centrale de la cornée empêche la vision, Pellier avait proposé un procédé qui se rapproche beaucoup de celui de M. Maunoir

uait sur la partie inférieure de l'iris jusqu'au ligament ciliaire. Procédé de M. Velpeau (pl. 11, fig. 5 ). Ce n'estautreque

de M. Velpeau (pl. 11, fig. 5 ). Ce n'estautrequele premier temps du procédé de Wenzel. Au moyen d'un petit couteau à double t

sant du même coup l'iris et la cornée. Toutes les modifications des procédés que nous venons de dé-crire ont pour but d'empêch

ct et Gibson ont sur-tout cherché à perfectionner cette méthode. t° Procédé de Wenzel (pl. 11, fig. (')). Ce procédé se compo

ctionner cette méthode. t° Procédé de Wenzel (pl. 11, fig. (')). Ce procédé se compose de deux temps : l'incision de la corné

ance, qui offre toutes les chances possibles de ne pas se refermer. Procédé de Guérin (pl. 1 1, fig. 7). D'après quelques aut

pl. 1 1, fig. 7). D'après quelques auteurs Guérin aurait pratiqué son procédé antérieurement à Wenzel, auquel cas ce serait à l

enouillés de Mau-noir, à exciser les angles des quatre lambeaux. 3° Procédé de Gibson (pl. 1 1, fig. 8). Après l'incision pré

exciser, l'iris au dehors au moyen de la petite airigne de Beer. — Le procédé de Beer ne diffère de celui-ci que par l'ouvertur

chet l'iris au dehors, et l'exciser dans une étendue suffisante. Le procédé de M. ffaltlier est intermédiaire de celui de Gib

avoir généralisé cette opération et d'en avoir fait une méthode. i° Procédé de Scarpa (pl. 11, fig. 9). Armé de l'aiguille à

au cercle ctliaire dans l'étendue d'environ six millimètres. Par le procédé de Scarpa, il est très difficile de pratiquer le

à blesser le cristallin et à produire une cataracte consécutive. 20 Procédé de Donegana (pl. 1 1, fig. 10). Ce procédé réunit

ataracte consécutive. 20 Procédé de Donegana (pl. 1 1, fig. 10). Ce procédé réunit l'iridodialysis à l'iridotomie. Premier te

litération de la nouvelle pupille, un des plus grands inconvéniens du procédé de Scarpa. Mais il nous paraît également douteux

pratiquée sans que la pression nécessaire augmente la déchirure. 3° Procédé d'Assalini. Pratiquer une incision à l'angle exte

ces, Bonzel se sert d'un petit crochet analogue à celui de Beer. 4° Procédé de Langenbeck (pl. 11, fig. i3). Une très petite

hode n'est rien autre chose qu'une application au bord pupil-laire du procédé qu'il avait ajouté au décollement. Elle consiste

fixé définitivement par de solides adhérences. appréciation. Nul procédé pris à part n'a une prédominance absolue sur tous

rer l'ouverture artificielle pratiquée à l'iris (Weller). De tous les procédés , celui de Gibson serait le plus rationnel si, par

ntraîne, il n'ex-posait trop fréquemment à la déchirure de l'iris. Le procédé de Wenzel, mais en diminuant l'incision de la cor

n point de sa circonférence ou lorsque l'iris est altéré (Weller). Le procédé de Scarpa est le plus avantageux lorsqu'il existe

ermet d'en opérer l'abaissement avec facilité. Dans les autres cas le procédé de M. Langenbeck mérite la préférence, enayant so

ollement de l'iris et les cataractes consécutives, auxquels expose le procédé de Scarpa. En supposant même que le cristallin mt

meur, et. des ciseaux courbes sur le plat pour couper son pédicule. Procédé ordinaire. Le malade assis sur une chaise ou, mie

l'oreille en empruntant des lambeaux de peau aux parties voisines. Procédé de M. Dieffenbach. Tenté par lui avec succès dans

ie. Si cette première manœuvre ne suffit pas, on a recours à d'autres procédés . i° Procédé ordinaire (pl. i3, fig. i i ). L'or

emière manœuvre ne suffit pas, on a recours à d'autres procédés. i° Procédé ordinaire (pl. i3, fig. i i ). L'oreille seulemen

r la membrane du tympan et pro-duire de graves aceidens (Boyer). a" Procédé de Paul d'Egine. Lorsque le corps étranger s'est

dilater le conduit et d'agir facilement sur le corps à extraire. 3" Procédé de M. Mayor. A l'aide d'une seringue ordinaire, p

embrane du tympan , il tend à en pro-voquer l'expulsion au dehors. Ce procédé est utile toutes les fois que le corps étranger a

i siègent à une grande profondeur. A. Ligature (pl. 12, fig. 8, g). Procédé ordinaire. A l'aide de pinces ou d'un stylet, fai

a portion proéminente du polype , si elle est très considérable. Ce procédé , plus parfait que tous les autres, a déplus le do

par la ponction, la trépanation ou la cautéri-sation. 1 "Ponction. Procédé de Sir À. Cooper. Le malade étantdisposé convenab

de succès, l'ouïe au malade, mais elle tend bientôt à s'oblitérer. Procédé de M. Buchanan. Armé d'un trocart dont la pointe

act avec la partie anté-rieure et inférieure du tympan, comme dans le procédé d'A. Coo-per, puis, par un coup brusque, faire pé

s ré-cemment, pàrM. Fabrizj deModène,qui l'a porté à la perfection. Procédé de M. Deleau (pl. i a, fig. io). Porter l'extrémi

de M. Fabrizj (pl. 19, fig. 11, 12, i3). Voici la description de son procédé . Saisir l'instrument avec la main droite, comme

supériorité incon-testable sur toutes les autres. 3" Cautérisation. Procédé de M. liieherand. Il consiste à dé-truire un poin

cher que le bec de la sonde s'engage dans le pavillon de la trompe. Procédé de M. Deleau. Au lieu d'une sonde en argent, en p

rin en argent ( pl. 12, fig. 4, 5 ). Tout étant disposé comme dans le procédé ordinaire, faire pénétrer le bec de la sonde jusq

par un fil métallique disposé en forme de pince (pl. 12, fig. 6 ). Procédé de M. Gairal. Faire parvenir le bec de la sonde j

le bec de la sonde jus-qu'à la base du voile du palais, comme dans le procédé ordinaire; puis, par un léger mouvement de rotati

, on parvient ainsi dans le pavillon de la trompe. Quel que soit le procédé qu'on ait mis en usage ; lorsqu'on a pénétré dans

ous avec raison que M. Mal-gaigne donne le conseil d'avoir recours au procédé de Gttyot, eu guidant avec l'index le bec de l'in

gineuse. On n'obtient seulement que la dilatation de ce dernier. Le procédé de M. Del eau doit être préféré, en ce qu'il offr

cial. Reste donc la trépanation de la mem-brane du tympan. Les divers procédés qui n'ont d'autre effet que de donner lieu à une

té enlever, comme avec un emporté-pièce, un disque de la membrane. Le procédé de M. Deleau a bien pour but. ce résultat, mais i

partielles du nez. La chirurgie a également abandonné sans retour les procédés de transplantation d'un nez ou d'un lambeau étran

usage. rhinoplastique par transposition. i° Méthode italienne. Procédé de Tagliacozzi (pl. i|, fig. 7). Ce procédé com-p

i° Méthode italienne. Procédé de Tagliacozzi (pl. i|, fig. 7). Ce procédé com-pose réellement deux opérations distincies. L

evées avec de petits bourdon-nets de charpie. Une antre variété de ce procédé consiste à pra-tiquer à l'avant-bras une incision

rapprocher sur la ligne médiane de manière à former le dos du nez. Procédé de M. Gr^efe (pl. (4-, fig. 7)- C'est celui de Ta

qu'on taille sur la partie interne du bras, absolument comme dans le procédé de Tagliacozzi. Seu-lement M. Graefe lui donne, à

n gomme élastique jusqu'à guérison parfaite. 20 Méthode indienne. Procédé ordinaire, avec la peau du front (pl. 1/1, fig. 1

avec un bistouri, en passant au-dessous de lui une sonde cannelée. Procédé de Delpech. Les modifications qui caractérisent c

annelée. Procédé de Delpech. Les modifications qui caractérisent ce procédé sont les suivantes. i° Tailler la base du lambeau

ge plaie à bords arrondis : le lambeau ensuite renversé comme dans le procédé ordinaire, on en découpe à volonté les trois poin

elques auteurs et se servir exclusivement de la suture entortillée. Procédé de M. Lisfranc Le lambeau est taillé comme à l'or

r un bord cutané moins disposé à s'irriter et à s'ulcérer que dans le procédé ordinaire, où il est constitué par un tissu de ci

harpie, et le reste de l'opération se pratique comme clans les autres procédés . Procédé de M. Blamdin. Au lieu de faire simple

e reste de l'opération se pratique comme clans les autres procédés. Procédé de M. Blamdin. Au lieu de faire simplement la sec

du nez, quand toutefois ils existent. Dans tous les autres points ce procédé est entièrement conforme à celui des Indiens. P

res points ce procédé est entièrement conforme à celui des Indiens. Procédé de M. Velpeau. Avoir le soin, dans le renversemen

elpeau. Avoir le soin, dans le renversement du lambeau frontal par le procédé ordinaire, de ne pas trop l'attirer en bas, afin

mcntsont détruits et ont déterminé l'aplatissement du nez. De là deux procédés distincts dans la méthode française. i0 Rhinopl

ame étroite, aviver ce qui reste de la sous-cloison; puis, suivant le procédé de M. Liston, tailler un lambeau convenable verti

cers, les éléphantiasiques, et les tumeurs érectiles. Relativement au procédé cle leur extirpa-tion, on doit distinguer ces tum

es ailes du nez et est venue saillir sous la peau, on met en usage le procédé de M. Rigal, qui consiste à cerner la partie mala

distinguaient encore avec précision les cas dans lesquels tel ou tel procédé mérite d'être préfère. Hippocrate trace le premie

concentrés, on a mis eu usage les nitrates d'argent et de mercure. Procédés opéra loir es. i" Caustiques et cathérétiques.

une intensité supérieure à la destruction opérée par le caustique. Procédé de Jensch. Il a été publié, en 1827, par M. Wagne

a-tion est praticable, ou, dans le cas contraire, de la méthode et du procédé opératoires qui doivent lui être préférés. Quant

re le polype, et la forme du trajet par lequel on peut y atteindre. Procédé opératoire. Aller à la recherche du polype, le di

on agit par la bouche, les longs ciseaux courbes sont préférables. Procédé de M. Wathely. Ayant à opérer un polype très volu

sant la tenette en forceps. L'arrachement peut avoir lieu par trois procédés , à l'aide d'une ligature, avec les doigts, ou ave

ostérieure, ou par toutes les deux à-la-fois. i" Avec une ligature ( procédé de Théden). Ce n'est autre que le procédé des anc

is. i" Avec une ligature (procédé de Théden). Ce n'est autre que le procédé des anciens. Voici en quoi il consiste : porter a

au dehors et s'en servir pour exercer des tractions sur le polype. Ce procédé , qui ne peut avoir de succès que sur les po-lypes

orragie, mais il y a renoncé pour les tenettes. 2" Avec les doigts ( procédé de Morand). D'une application exceptionnelle, ce

les doigts (procédé de Morand). D'une application exceptionnelle, ce procédé suppose également un polype dense à pédicule minc

pression du doigt en arrière de l'instrument. 3° Par les tenettes ( procédé ordinaire). Dispositions préparatoires. Si l'on

en, s'inspirant de lui-même, est légitimé à emprunter un peu à chaque procédé , suivant l'objet à remplir, et à faire usage de t

ir, et à faire usage de tous les moyens. Au reste, quel que soit le procédé d'arrachement auquel on ait recours , il est util

oie. Mais c'est à partir du siècle dernier que se sont multipliés les procédés de ligature; et cet élan s'est continué jusqu'à n

es ou différons par le dé-tail, nous les réunirons néanmoins à chaque procédé pour évi-ter ou les oublis ou les répétitions.

ins à chaque procédé pour évi-ter ou les oublis ou les répétitions. Procédés de Levret. — Premier procède. L'anse d'un fil d'a

omposé de deux tubes parallèles soudés entre eux. C'est en réalité le procédé de Fallope, seulement avec une canule double. Ult

le simple dont le bec était divisé en deux par une goupille. — Second procédé . Pour atteindre les polypes situés profondément.

es se terminent par deux anneaux qui reçoivent le fil (pl. 19, fig. Procédé de Brasdor. Faire glisser dans la fosse nasale un

émité et les tordre de manière à étrangler le pédi-cule du polype. Ce procédé , qui facilitait la préhension du po-lype par le j

de Brasdor. —Sous-procédé de Desault. Ce grand chirurgien a varié le procédé de Brasdor de plusieurs ma-nières , dont voici la

a modification ap-portée à cette partie de l'appareil que consiste le procédé suivant. Sous-procédé d'Ant. Dubois (pl. t5 fig

ligature con-siste à embrasser avec le lien le pédicule du polype. Le procédé d'Ant. Dubois, emprunté de ceux de Brasdor et Des

ché à l'une de ses extrémités et l'autre fil au milieu, comme dans le procédé de Brasdor. Tout étant disposé, glisser la sonde

ser et fixer le serre-nœud comme nous l'avons indiqué précédemment. Procédé de M. Biqaud. La manière de cerner le polype avec

ud. La manière de cerner le polype avec l'anse delà ligature, dans le procédé de Brasdor, laissait encore beaucoup à désirer; l

épan ou le perforatif de Desault en arrière, en haut et en dedans. Ce procédé , qu'on pourrait appeler pro-cédé d'élection, nous

s permettent d'espérer la cicatrisation de ces fistules à l'aide îles procédés généraux dautoplastique. 11 est nécessaire toutef

longue de cinq à six centimè-tres (deux pouces) et moins recourbée. Procédé de Jourdain, La malade assise dans un fauteuil, e

e six semaines. M. Matgaigne, se Luisant sur l'anatomie, propose un procédé plus régulier, qui consiste à diriger la soude ob

r de les expulser ou de les dissoudre par des injections; et alors le procédé de M. Malgaignc trouverait une heureuse applicati

n y plaçant une tente de charpie. Lorsque les dents sont saines, ce procédé peut remplacer avec avantage la perforation des a

ouverture. Weinhold emploie également la méthode du séton; mais son procédé diffère en ce qu'il ouvre d'abord le sinus par la

rices indélébiles sur le visage. Tout au plus pourrait-on recourir au procédé de Molinetti s'il existait à la joue une ou-vertu

présente à plusieurs degrés qui entraînent des modifications dans le procédé opératoire commun, l'excision. i° Bourrelet muq

ux et Dupuytren, l'a été depuis par un grand nombre de chirurgiens. Procédé opératoire. La tête est maintenue soulevée par un

tives différentes du malade, du chirurgien et de l'aide. iu Dans le procédé de M. Paillard le malade est assis sur une chaise

orrespondante, commence son excision de gauche à droite. i° Dans le procédé décrit par M. Velpeau le chirurgien est debout de

galement ceux des malades opérés avec succès par Buchner et l'ercy. Procédé opératoire. Armé d'un bistouri aigu, ponctionner

'une simple incision, fera mieux d'opérer une perte de sub-stance. Le procédé de M. Dieffenbach satisfait à cette indication et

ne toute sécurité contre une réunion anormale. Nous allons décrire ce procédé qui pourrait être appliqué avec avantage à l'obli

ntage à l'oblitération com-plète , même lorsqu'elle est congéniale. Procédé de M. Dieffenbach. Les positions relatives du mal

quatrième jour. Modifications. M. Campbell, qui a fait usage de ce procédé , a employé, au lieu de ciseaux, un bistouri aigu,

il nous semble qu'en agissant ainsi il perd le principal avantage du procédé original, c'est-à-dire d'éviter la difformité en

. A di-verses époques on a fait usage de la suture enchevillée, et le procédé nouveau de M. Mayor n'a en réalité pas d'autre ob

ité. A. Paré est le premier qui en donne une description précise; son procédé , qui consiste à introduire d'une lèvre dans l'aut

x), ou simplement avec le pouce et l'indicateur de la main gauche. Ce procédé vaut mieux que l'anse de fil passée au tra-vers d

ération est plus compliquée : à cette disposition se rapportent trois procédés opératoires particuliers. Mais dans toute opérati

r la conserver sans un inconvénient plus grave que son ablation. 1" Procédé ancien. Avec de forts ciseaux ou des pinces à rés

après, on procédait à l'opération sur la lèvre. L'inconvé-nient de ce procédé , signalé par Desault, est des plus graves. Dès l'

dération qui a engagé Desault à conserver le tu-bercule incisif. 2" Procédé de Desault. L'intention de ce chirurgien était de

nt et la réunion des parties molles furent ensuite pratiqués. Le même procédé a été employé plusieurs fois avec succès, encore

pression mécanique, une pelote à vis, un bandage à ressort, etc. 3" Procédé de Dupuytren. Le but que s'est proposé ce chirur-

ar deux points de suture. Nous ne faisons qu'indiquer sommairement ce procédé moins avancé par son intention que celui qui va s

emprunter le parti que Dupuytren a su tirer du tubercule labial. 4° Procédé de M. Gensoul. Chez une jeune personne de treize

férieur est intéressé, il faut avoir re-cours à la résection dont les procédés nous sont déjà connus (voy. tome vi, page 226-228

es lambeaux variés pour corriger les difformités, qui constituent les procédés de génioplastique et de chéiloplastique. i° Exc

t point nécessaire de tailler un lambeau, on peut les opérer par deux procédés . — (a) Procédé d'A. Paré. Passer une anse de fil

re de tailler un lambeau, on peut les opérer par deux procédés. — (a) Procédé d'A. Paré. Passer une anse de fil au tra-vers de

simultanément. Mais pour mettre un peu d'ordre dans l'exposition des procédés , nous allons les exposer avec les variétés de siè

ent l'emploi. (a) Cancer de la commissure. — Incisions elliptiques. Procédé de Celse (pl. 16, fig. 3). Cerner verticalement o

re de la lèvre inférieure, — Lambeaux cutanés pris aux dépens du cou. Procédé de M. Lal-lemand (pl. 16, fig. 1 et 2). Après avo

de la lèvre inférieure et de la i^égion mentonnière. — Incision en V. Procédé ancien (pl. 17, fig. 1 et 2). A partir des commis

inférieure avec prolongement vers la joue. — Lambeaux quadrilatères. Procédé de Chopart (pl. 17, fig. 3 et4). C'est la maladie

6,7). — 1 ° ablation par un lambeau semi-elliptique (fig. 5). Dans ce procédé de M. Roux de Saint-Maximin, le mal, comme il est

nt involontaire de salive. C'est pour y ob-vier que sont proposés les procédés suivans. 20 Procédés de M. Lisfranc et de l'aut

ve. C'est pour y ob-vier que sont proposés les procédés suivans. 20 Procédés de M. Lisfranc et de l'auteur ( fig. 6 et 7 ). Po

la lèvre inférieure qui s'étend en de-hors sur la région génienne. — Procédé de M. Serres de Montpellier (fig. 8 et 9). Rien n

un étau, devenant alors plus facile. M. V. Mott a eu recours au même procédé en lais-sant d'abord cicatriser isolément chacun

ue l'on cite plusieurs succès obtenus dans les premiers temps avec ce procédé par MM. Mott et Mighels, il paraît néanmoins que

enfin que le canal naturel au delà persiste ou est oblitéré. Divers procédés opératoires se rangent sous quatre mé-thodes qui

on de canal comprimée. 2" DJlatation du canal naturel. (a) Selon. Procédé de Morand (fig. 3). C'est à ce chirurgien (pie l'

ù la portion antérieure du canal naturel est oblitérée. De nombreux procédés ont été imaginés pour pratiquer le canal artifici

e, et fait cicatriser dessus la fistule cutanée. Jusque-là tous les procédés , dans le but commun d'établir un canal artificiel

commencer à décrire, dans leurs dif-férentes circonstances, de petits procédés qui ne diffèrent que par la matière employée. Ain

s-sent les bords par une suture. Procède de M. Déguise (fig. 3). Ce procédé se caractérise par une idée nouvelle qui est de f

rd les deux extrémités pour effectuer la section des chairs. Mais son procédé se caractérise par une diffé-rence bien plus impo

obtint, Louis et d'après lui les chirurgiens modernes ont. rejeté ce procédé comme dangereux pour la glande, Rien ne prouve en

es agglutinatives ou de la suture entortillée. C'est en fait l'un des procédés de guérison de la fistule du canal transporté à c

-teurs que pour le rejeter. Appréciation. En résumé on voit que les procédés curatifs de la fistule salivaire sont très nombre

issipée à la longue chez ceux opérés par MM. Heyfelder et Fonthein. Procédé opératoire. Peut-être, comme l'ont pratiqué plu

r la section du nerf facial. Lirjalure. M. May or, généralisant son procédé de ligature, en a conseillé l'application à la pa

ndée par un serre-nœud. Aucun lieu ne se prête moins à l'emploi de ce procédé que le creux temporo-maxil-laire, surtout vu la f

eur lymphatique, rien de plus simple que son extirpation partielle. Procédé opératoire. Pratiquer le long du bord delà mâchoi

jours, MM. Larrey et Pl. Portai sont les seuls qui aient recours à ce procédé . Mais la cautérisation , par les caustiques, a tr

e canule tendait toujours à tomber dans la bouche. Dupuytren, dans le procédé auquel il a donné son nom , est revenu à l'idée d

réunies par un étroit pédicule de quatre millimètres de longueur. Le procédé de son application est des plus simples ; la bouc

se plus aucune incommodité. Beaucoup de malades ont été guéris par ce procédé ; pourtant, nous n'avons jamais compris pourquoi,

lusieurs autres chirurgiens se contentaient d'en enlever une portion, procédé qui rentre dans l'excision. Aujourd'hui c'est l'e

uis à leur exemple, par Boyer qui l'a fait généralement adopter. Le procédé opératoire est des plus simples : une portion de

le consiste en un kyste séreux ou salivaire, peut guérir par tous les procédés dont nous avons offert le détail, mais avec des c

s à demeure sont une incommo-dité inutile ; reste donc l'excision, le procédé le plus prompt et le plus simple, puisqu'il est i

t M. Roux, en ont ren-contré dans l'épaisseur des os maxillaires. Les procédés opéra-toires convenables sont l'excision ou l'ext

ise de fourche, de la plaque fendue de la sonde cannelée ordinaire. Procédé opératoire. L'enfant assis sur les genoux d'une p

ies de la langue sè présentent sous diverses formes, qui modifient le procédé opératoire. On les opère de deux ma-nières, par l

ne lieu de craindre la repullulation. 2° Incision et dissection. Ce procédé convient dans plusieurs cas. (a) Si la maladie es

ar divers chirurgiens, qui ne sont que des cas spéciaux, dans un même procédé . Manuel opératoire. Le malade est assis sur une

s modes opératoires étant prises, voici les diverses modifications du procédé commun. i° Cancer de la pointe ou de. l'un des

ins irrégulière, s'il était latéral. (b) Excision avec les ciseaux ( Procédé de Bqyef) (fig. 1). Le côté sain de la langue éta

re en guise de l'instrument tranchant, cas auxquels se rapportent les procédés de MM. Mayor et J. Cloquet; si, au contraire, on

qu'au point néces-saire pour déterminer l'atrophie, c'est l'objet des procédés de MM. Mirault d'Angers, etMaingault. IL est util

Mirault d'Angers, etMaingault. IL est utile de faire observer que les procédés diffèrent en eux-mêmes, indépendamment de l'objet

quel on a porté la striction, et non de la manière de la pratiquer. Procédé de M. Major. Il n'est que l'application à la lang

uer. Procédé de M. Major. Il n'est que l'application à la langue du procédé général de ligature que nous avons déjà décrit. L

en arrière par une ligature serrée avec le tourniquet à cabestan. Ce procédé , tel qu'il a été employé, est mixte, puisqu'il se

t pas davantage de sépa-rer la tumeur en arrière par le même moyen. Procédé de M. ./. Cloquet (fig. 5). Celui-ci se compose u

eur pour lui tracer une voie, détermina la striction longitudinale. Procédé de M. Mirault d'Angers. Pratiquer préalablement s

-lation directe par les ramifications vasculaires longitudinales , le procédé de M. Mirault a permis à son auteur d'obtenir l'a

ation avec le même succès sur la moitié droite. Reste à indiquer le procédé proposé par M. Maingault, et qui nous paraît fort

e guérir par l'atrophie, et alors on doit préférer la ligature par le procédé de M. Mirault, ou mieux celui de M. Maingault, s'

lu. La manière de pratiquer l'excision varie beaucoup dans les divers procédés . Quelques chirurgiens saisis-sent le bord avec de

ple est incontestablement celui de M. Loudot. MANUFI, OPÉRATOIRE. Procédé df. M. Roux. (fig. 1 , 1, 3). Appareil. Il se com

c le nitrate acide de mercure (M. J. Cloquet). Tel est en détail le procédé original de staphyloraphie, celui de tous qui, da

puissent pas être habituellement remplies par tout opérateur avec un procédé où le chirurgien ne peut voir la pointe de l'aigu

t à remé-dier plus ou moins à ces inconvéniens que tendent les autres procédés . Procédé de M. A. Bérard (fig. 2 et 5). L'appar

r plus ou moins à ces inconvéniens que tendent les autres procédés. Procédé de M. A. Bérard (fig. 2 et 5). L'appareil diffère

le bistouri droit. Deux modifications principales caractérisent le procédé de M. Bérard : i° La perforation du voile musculo

es mors de la pince pour qu'ils ne tom-bent pas dans le pharynx. Le Procédé de M. Velpeau, décrit par son auteur, ne diffère

ritabilité ou atteints de quelque vice dyscrasique. Quant au choix du procédé opératoire, comme la précision et la régularité d

es ses chances, il nous paraît tout-à-fait convenable de préférer les procédés , même tout récens, qui simplifient la manœuvre, e

gementdesparties molles. C'est à cette indication que répondent trois procédés , 1° M. Roux, pour obtenir un allongement, se cont

ors les affronter, les fixe, comme à l'ordinaire, par des sutures. Ce procédé ,qui répond à tous les cas, estpréférable aux deux

e la voûte palatine, deux pro-cédés ont été mis en usage : i° dans le procédé de M. Roux, qui est la contre-partie de celui de

observer de petits fongus. La proximité de la surface osseuse rend le procédé d'extir-pation très facile. La bouche étant ouver

ppareil qui lui soit propre. Guy deChauliac, le premier, revient à un procédé raisonnable en n'employant, pour saisir la luette

angines aiguës de mauvais caractère. Ligature (pl. 23, fig. 5). Ce procédé paraît avoir été leplusgé-néralement adopté au mo

e fait, au contraire, assez aisément, mais bien de juger la valeur du procédé en lui-même. Malgré le grand nombre de chirurgien

récens ne sont qu'une imitation perfectionnée. Mésué, simplifiant le procédé , se servait d'une airigne double et d'un bistouri

aux, pour aller chercher tout ce qui est malade. Manuel opératoire. Procédé ordinaire (pl. -¿3, fig. 3). Le ma-lade est assis

M. Champion, appelé pour la visiter, trouva morte à son arrivée. Le procédé quenousvenons dedécrire,leplusgénéralementusité,

cord, qui nous paraîtrait devoir constituer le meilleur instrument. Procédé de M. Velpeau. L'instrument est tenu de la main d

nt alors être employés, mais préférable-ment la potasse caustique. Le procédé d'application nous est déjà connu; toutefois, app

a certitude que la maladie n'est qu'une simple hypertrophie. Quant au procédé opératoire, M. Quadri pose ordinairement le séton

chirurgien, mais d'un autre côté deux de ses malades ont succombé. Procédé de M. Mayor (Pl. 25, fig. 4)- La tumeur étant mis

n moyen précieux auquel rien ne peut suppléer. t. vu. Lncisions. Ce procédé , encore nouveau, a compté néanmoins un assez gran

Un troisième malade, opéré par ce chirurgien, est mort. Formulant le procédé d'incisions multiples, M. Velpeau incise la tumeu

opérations de ce genre, sur des tumeurs cancéreuses ou vasculaircs. Procédé opératoire. Le malade est couché sur le dos, la t

éterminer de compression. Extirpation combinée avec la ligature. Ce procédé mixte, convient particulièrement pour l'ablation

plus graves, la liga-ture combinée avec l'extirpation, tels sont les procédés opéra-toires, les plus rationnels pour la guériso

duit la sonde par le nez ou par la bouche. Introduction par le nez.— Procédé de Desault. Armé d'une sonde de gomme élastique t

e nouvelle tentative. insufflation. Introduction par la bouche. — Procédé de Chaussicr. Ce médecin employait pour l'opérati

enue chez les Romains, car Antylus et Paul d'Égine la décrivent. Leur procédé est simple et consiste à diviser en travers les p

tanée. Sa profondeur est d'un centimètre en haut et de deux cm bas. Procédés opératoires. Procédés anciens. Antylus divisait

d'un centimètre en haut et de deux cm bas. Procédés opératoires. Procédés anciens. Antylus divisait les tégumens et les cha

ne dissection dont la lenteur compromettrait l'existence du malade. Procédé ordinaire. Appareil. Il se compose des objets sui

avec des sections moins nombreuses des veines du plexus thyroïdien. Procédé opératoire. Le malade et le chirurgien étant plac

r la section thy-roïdienne, la voix n'a souffert aucune altération. Procédé opératoire. Les dispositions préparatoires étant

s le long du bord supérieur du cartilage thyroïde. Voici le détail du procédé opé-ratoire d'après M. Malgaigne qui l'a essayé s

o-thyroïdien : le moyen d'y remédier consiste dans l'applica-tion des procédés d'autoplastique. Pour une fistule de ce genre,

plis de flexion du cou. Dans un autre cas, M. Felpeau eut recours au procédé de Jameson, qu'il imita de cette manière : Ayant

près avoir rafraîchi les bords de la fistule , de tailler, suivant le procédé de M. Lallemand, un lambeau horizontal ou oblique

re de lui-même. Tel est, quant à l'introduction par les narines, le procédé généralement suivi de nos jours pour faire arrive

ivi de nos jours pour faire arriver la sonde dans l'œsophage. Dans le procédé original, Desault, pour pénétrer du premier coup

ler le bout supé-rieur par la narine dans un second temps, suivant le procédé de Boyer, que nous décrirons plus loin. 1° Parl

lus haut, et ne tarde pas à faire pénétrer la sonde dans l'estomac. Procédé de Boyer (fig. 3). Le chirurgien commence par int

r la sonde à demeure par le nez, réunit les avantages des deux autres procédés en évitant leurs inconvéniens. Telles sont les

ajutage conique dans lequel celui de la pompe entre à frottement. Ce procédé très simple permet de vicier l'estomac et de le n

permis d'espérer que l'on pourra en obtenir de bons résultats; car le procédé opératoire, cpii n'est autre que le cathétérisme,

oin de la recommencer à plusieurs fois avant de réussir. Au reste, ce procédé est assez satisfaisant quand le corps à extraire

de l'œsophage, et permet d'inciser avec sécurité dans sa cannelure. Procédé opératoire. Le malade étant couché sur un lit étr

imitive est immédiatement décisive, du moins quant au siège du mal. Procédé opératoire. La malade doit être couchée sur un pl

se de fil nouée sur une compresse au dehors. Huermann ne modifiait ce procédé qu'en essayant de ramener l'aiguille entre la côt

e plaie, mais la compression était moins efficace. Leber, revenant au procédé de Gérard , substituait au fil un ruban qu'il int

élas-tique en guise de serre-nœud. Toutes ces modifications, comme le procédé original de Gérard dont elles émanent, n'exercent

comme une opération grave et très difficile; mais aujourd'hui que les procédés de ligature des artè-res dans leurs détails les p

rait à volonté l'orifice avec un bouchon. Chez les Romains, les mêmes procédés continuèrent à être suivis; mais il paraît que le

sant d'une méthode à l'autre, et attribuant tour-à-tour aux vices des procédés des revers qui, alors comme aujour-d'hui, dépenda

'est la méthode hippocratique , à laquelle se rattache aujourd'hui le procédé de M. Baudens. Par opposition, MM. Audouard et Bu

er, Dupuytren, MM. Sanson, Velpeau, etc., aujourd'hui, l'invention du procédé de M. Reybard, qui s'y rap-porte , en a tellement

s à ligature en cas de lésion d'une artère. Méthode par incision. Procédé ordinaire. Le malade est assis, ou mieux, couché

nous ne croyons pas qu'elle doive être enseignée. Revenant donc au procédé ordinaire , lorsqu'enfin le foyer est ouvert, on

i nécessiterait une seconde opération. Tel est dans ses détails, le procédé général de l'opération de l'empyème, décrit dans

, dans les cas particuliers, il peut être utile d'emprunter à divers procédés pour une même opération. Ponction. i° Par la

arrive sous la peau, n'exige aucune description. %" Parle bistouri. Procédé de M. Velpeau. Ce chirurgien pour abréger l'opéra

grave. Nous n'oserions pas, nous l'avouons, conseiller l'emploi de ce procédé , quoique l'auteur dise l'avoir pratiqué cinq fois

s fois à son exemple, apparemment sans accident. 3° Par le trocart. Procédé ordinaire. L'espace intercostal étant reconnu dan

nouveler la ponction et on la ferme provisoirement avec un bouchon. Procédé de M. Baudens. Cet habile chirurgien se sert de l

ui lui donne passage. Il n'y a pour répondre à cette objection que le procédé suivant. Térèbration d'une côte. C'est à M. R

a ca-nule avec un bouchon, ce ne serait encore qu'une réapparition du procédé de térèbration anciennement connu. Mais comme il

s successives à des intervalles voulus. application des méthodes et procédés aux variétés de l'empyème. Nous empruntons à l'

port les deux surfaces du sac pseudo-pleural. Employer à cet effet le procédé par incision, ou mieux la méthode de M. Rey-bard.

re pratiquée avec le trocart. Si elle se reproduit avec rapidité , le procédé de M. Reybard peut encore trouver son application

reconnaître p.nr le diagnostic, influent sur la valeur re-lative des procédés opératoires. 1° Trépanation du sternum. Cette m

ac séreux était un kyste, et que le bord du poumon avait été lésé. Ce procédé ne nous paraît pas convenable. Le lieu de la piqû

e cartilage de la septième côte. Nous avouons ne rien comprendre à ce procédé , qui expose à blesser l'artère mammaire interne e

u'on doit être bien réservé dans le degré de confiance à accorder aux procédés qui tendent à la provoquer. La compression , ma

e par M. King, a été de nouveau essayée en France par M. Vel-peau. Le procédé consiste à enfoncer des longues aiguilles sur cin

n , se servaient d'instrumens tranchans. Mais depuis, tous les divers procédés de ce genre ont été abandonnés ; à plus forte rai

on. MM. Physick, Dorsev et Calaway donnent la préférence à ce dernier procédé , sous pré-texte, que l'opération est moins doulou

ion se fait le mieux sentir. ponction de l'ascite ou paracentèse. Procédé ordinaire. Les objets nécessaires pour pratiquer

pro-cédé suivant bien mieux calculé pour obtenir les mêmes effets. Procédé de M. Baudens. L'observation d'un cas fortuit a f

ervation d'un cas fortuit a fourni à M. Haudens l'idée première de ce procédé cpii se trouve être l'imitation de ce que lui ava

et à mesure cpie la collection se reforme. Voici en quoi consiste son procédé : L'instrument estime canule en argent, courbe,

êmes que dans toute es-pèce de ponction. La possibilité qu'offre ce procédé de faire évacuer le liquide à tout moment quelcon

temps avant cpie le malaise se fasse sentir. Tel est en sommaire le procédé de M. Baudens, qui compte jus-qu'à ce moment troi

bé à une nouvelle invasion d'une ancienne affection arthritique. Ce procédé de ponction graduée de l'ascite au moyen d'une ca

tre avis, la première condition est de dé-terminer l'adhérence. Trois procédés sont fondés sur cette doc-trine. Dans tous, le li

e rebord des côtes, a déjà donné lieu à un empâtement des tégumens. Procédé de M. Graves. La première proposition en remonte

u fort imprimé aux parois abdominales. Modification de M. Bégin. Le procédé de ce chirurgien n'est autre que le précédent; se

peut s'étendre par déchirure plus loin que la surface d'adhérence. Procédé de M. Rècamier (Pl. 20, fig. 3). Ce médecin ouvre

rmées. On a proposé dans ces derniers temps d'avoir recours au même procédé pour obtenir l'extraction des calculs de la vésic

ument que des tissus fibreux et des vaisseaux de très petit volume. Procédé opératoire. Le malade étant couché sur le dos, le

ision opérée au bas-ventre. Les moyens d'y parvenir appartiennent aux procédés gé-néraux d'entéroraphie sur lesquels nous revien

e en prolongeant un peu l'incision, comme il sera dit plus loin. Le procédé de taxis est le même que pour les hernies, c'est-

n-ternes après la réduction. Aujourd'hui pourtant, avec les nou-veaux procédés de mâchure et de torsion des artères , il semble

imples ou boutonnés, ou le bis-touri courbe boutonné de Pott. Trois procédés sont mis en usage, mais qui, dans le fait, ne son

en usage, mais qui, dans le fait, ne sont que des modifications d'un procédé unique. Manuel opératoire. Le malade étant couc

sorte de ligature semblable à celle des artères. Cependant, comme ce procédé embrasse une surface de tissu assez étendue, il p

nécessitent l'emploi de la suture , sauf l'examen de la méthode et du procédé le plus con-venable pour chaque cas particulier.

le plus con-venable pour chaque cas particulier. L'emploi des divers procédés diffère d'une manière générale, suivant que la pl

l, et réclament l'emploi de la suture. Seulement, chacun des nombreux procédés de ce genre est plus particulière-ment indiqué, s

au dehors par des emplâtres agglutinarifs. Le résultat possible de ce procédé , soit avantage dans certains cas , soit in-convé

nt dans d'autres , est de pouvoir donner lieu à un anus accidentel. Procédé de Ledran (Fig. 3). Fa longueur de la plaie étant

n. Mais il est évi-dent qu'avec l'interposition du corps étranger, ce procédé n'est applicable avec succès qu'autant qu'on se d

al, et alors la simple su-ture de Palfyn est préférable à celle-ci. Procédé de M. Reybard (Fig. 6). L'objet de ce chirurgien

ut expulsée au dehors avec les selles. On ne peut qu'applaudir à ce procédé dont le résultat a été fa-vorable. Pourtant, comm

ans un point quelconque de son trajet. Suture entrecoupée (fig. 5). Procédé de M. Jobert. Après avoir lavé les bords de la pl

, et que leurs tuniques péritonéales restent bien en contact. Dans ce procédé , on peut faire chaque suture avec un fil distinct

nt, on peut terminer l'o-pération de trois manières : i" convertir le procédé en une suture à anses multiples, en rassemblant l

s, en rassemblant les fils et les ramenant au de-hors , comme dans le procédé de Ledran ; i" Nouer séparément les deux chefs de

la cavité de l'intestin. Si l'on était toujours certain du succès, ce procédé se-rait assurément le meilleur, puisqu'il permet

n qu'il ne peut plus diriger. Suture du Pelletier (Pl. 3o, fig. a). Procédé ordinaire. Rien de plus simple que la suture à su

occasionne, celle qui se prête le moins bien à l'extraction du fil. Procédé de M. Reybard. L'intention de ce procédé est d'év

ien à l'extraction du fil. Procédé de M. Reybard. L'intention de ce procédé est d'éviter la nécessité de retirer le fil, et p

comme nous l'a-vons vu , l'une des trois indications remplies par le procédé de suture entrecoupée de M. Jobert. M. Reybard

ert à arrêter le fil. La suture est continuée ensuite, comme clans le procédé ordinaire, jusqu'à l'autre angle de la plaie, en

testin devant être laissé en vue jusqu'à cicatrisation de la plaie. Procédé de Bertrandi. Les lèvres de la plaie étant affron

rave d'opérer quelque déchirure dans les adhérences encore légères. Procédé de Bêclard. Son objet est de remédier à l'inconvé

plaie intestinale, pour extraire ces fils, et c'est là l'avantage du procédé , saisissant les deux bouts qui appartiennent à de

ques entre elles. Vappréciation de la valeur relative des différens procédés ne peut être empruntée que de ce que l'on sait du

est de mettre en rapport les deux bords de la séreuse. Les meilleurs procédés sont ceux qui multiplient le inoins les points de

de étendue. plaies transversales de l'intestin. Si la plupart des procédés décrits dans le chapitre précédent s'adressent si

plus particulièrement aux plaies longitudinales, les méthodes et les procédés qui suivent, conviennent d'une manière encore plu

considérable, soit delà totalité de l'intestin. Plusieurs même de ces procédés supposent ou que la section a été primitivement c

hirurgien l'a rendue telle pour régulariser et simplifier l'emploi du procédé . La méthode la plus ancienne est celle dite des

qui opéraient en commun , à Paris , vers la fin diixin" siècle. Leur procédé consistait à introduire une trachée-artère d'anim

acé dans l'intérieur de l'in-testin. Pourtant il ne paraît pas que le procédé des quatre-maîtres ait obtenu la sanction entière

s deux bouts de l'intes-tin. A cette dernière se rapportent plusieurs procédés renfermés sous deux groupes, suivant que la sutur

e sur un corps étranger. Méthode de Duverger. — Réunion directe. i° Procédé de Du-verger. Ce n'est autre, comme nous l'avons

et une boisson laxative donnée au malade. Dans deux ou trois cas, ce procédé de Duverger a obtenu un succès complet, le corps

pation s'est continuée jusqu'à nos jours, puisqu'un grand nombre de procédés que nous allons passer en revue, n'en sont que le

lus la même valeur aujourd'hui que le pro-cédé textuel est inusité. Procédé de M. Jobert. Celui-ci ne convient que pour un ca

il a fixé le faisceau de fils au dehors. Le résultat d'ensemble de ce procédé a bien pu être de boucher par des adhérences péri

t nous n'oserions conseiller comme un exemple à suivre l'emploi de ce procédé , tandis qu'il en existe d'autres plus ra-tionnels

en existe d'autres plus ra-tionnels. 2° Suture avec invagination. Procédé de Rhamdor. Dans un cas où une solution complète,

in une objection théorique d'une importance réelle que l'on oppose au procédé de M. Rhamdor, a pour objet l'inconvé-nient, ou p

portion du bout inférieur, flottante dans la cavité de l'intestin. Procédé de M. Reybard. C'est, commme nous avons dit, une

ne paraît pas que l'application en ait encore été faite à l'homme. Procédé de M. Amussat. C'est à la méthode de Rhamdor que

e M. Amussat. C'est à la méthode de Rhamdor que doit être rapporté ce procédé qui a recours aussi à l'invagination, disposant p

es ciseaux, toute la portion du bout extérieur qui déborde le fil. Ce procédé n'a encore été qu'expérimenté sur des chiens ; l'

succès expérimental obtenu par M. Amussat, on ne peut considérer son procédé comme acquis à la chirurgie, puisqu'il n'a point

euse et tombait dans l'intestin avec la portion étranglée. Enfin, les procédés de Dupuytren, pour l'anus contre nature, avaient

yen dès 1820; M. Denans, dont nous allons voir plus loin l'ingé-nieux procédé , réclama sa part dans l'idée originale , les expé

t affirme que c'est sans connaissance de ces débats qu'il a conçu son procédé en 1825. Il serait bien difficile et heureusement

se fonde la méthode, était déjà en quelque sorte du domaine public. Procédé de M. Jobert. (Fig. 1 et 2.) Outre les instrumens

ue l'on fixe à la pea par une mouche d'emplâtre adhésif. Tel est le procédé de M. Jobert qui a obtenu quelque célébrité quoiq

nque la garantie d'avoir été employé avec succès.su l'homme vivant. Procédé de M. Denans. (Fig. 5, G, 7, 8.) Voici assurément

. Procédé de M. Denans. (Fig. 5, G, 7, 8.) Voici assurément l'u des procédés les plus ingénieux qui aient été imaginés pour la

, c'est précisément l'effet qu'il s'agit d'obtenir. Restait dans le procédé original à combiner une suture, de ma-nière à réu

s rapports entre les parties aurait suffi pour annuler le bénéfice du procédé , dont l'objet est de pouvoir impunément abandonne

u'il ne reste exac-tement plus rien au dehors. Tel est en détail le procédé remarquable de M. Denans. Son résultat est de dét

, et il nous semble même que les autres chirurgiens qui ont décrit ce procédé , n'en font pas toute l'estime qu'il mérite. A l'e

elà réunion. S'il est un léger reproche, cpie nous adres-serions à ce procédé , ce serait concernant la matière des viroles que

catives, nous paraîtraient réunir toutes les conditions désirables. Procédé de M. Lembert. (Fig. 3, 4-) L'auteur, sans employ

sont coupés sur les nœuds, et on réduit l'intestin dans l'abdomen. Ce procédé a été employé par M. J. Cloquet sur l'homme, aprè

'est pas encore fixé sur la question principale de savoir si, dans un procédé quelconque, on est assez certain qu'il ne survien

le ventre, et fermer immé-diatement la plaie de l'abdomen. Quant aux procédés , en eux-mêmes, les meilleurs certainement sont ce

nouvelle cause de solution de conti-nuité. En soumettant les divers procédés à l'épreuve de ces trois con-ditions, celui deRha

asse l'intérieur de l'intestin par un rebord circulaire flottant. Les procédés empruntés delà méthode de Duverger ne ré-pondent

une des conditions que nous avons posées plus haut. Restent les trois procédés de MM. Jobert, Lembert et Denans. A notre avis, l

sutures, et la chute régulière des fils n'est pas assez certaine. Le procédé de M. Denans nous paraît supérieur sous tous les

mplir, pourvu que la striction des fils ait été suffisante ; enfin ce procédé , quoiqu'il paraisse complexe, est cependant le s

rculaire après les adhérences. S'ensuit-il que, même en em-ployant ce procédé , on pût sans imprudence abandonner l'intes-tin da

des acci-dens nombreux qui surviennent trop souvent ; il explique les procédés employés par la nature pour rendre le mal station

ranglée, et se sont appuyés de cette circonstance pour recommander un procédé particulier dans l'opération de l'étran-glement.

guérir radicalement l'affection. Nous examinerons successivement les procédés de réduction ou le taxis, les bandages, l'opérati

ue étant absolument indispensable pour comprendre les méthodes et les procédés que nous aurons à décrire. anatomie opératoire

ies, et nous reviendrons sur leur action lors-que nous exposerons les procédés de la cure radicale, mais l'on sait aussi que les

de ligament de Gim-bernat; il est certain qu'on évite sûrement parce procédé le tronc de l'artère épigastrique et la testicula

il faut noter que, sur le grand nombre d'opérations faites suivant ce procédé par Scarpa, Boyer, M. Roux et par d'autres, on n'

recours. Opérations ayant pour but la cure radicale des hernies. Procédé de M. Belmas. Ce chirurgien est le premier en Fra

fixa en réunissant la plaie par su-ture; il y eut guérison. Mais les procédés de M. Belmas diffèrent notablement de tous ces es

gure. Cette modification de M. Belmas est ce qui constitue son second procédé . On connaît le résultat de cinq essais faits pa

— Ces chiffres peuvent donc servir de résumé sur la valeur du premier procédé de M. Belmas (vessie de baudruche). On a de-puis

Belmas (vessie de baudruche). On a de-puis annoncé qu'avec son second procédé (fils de gélatine) , il avait obtenu de plus beau

Thierry, pour une chaire de médecine opératoire, 1841.) MÉTHODE ET PROCÉDÉS DE M. GEHUY. Cette opération n'est applicable q

e diète sévère pendant les premiers jours. Avant d'être arrivé à ce procédé simple, M. Gerdy fermait l'entrée de l'infundibul

paru définitive, même plusieurs mois après l'opé-ration. MÉTHODE ET PROCÉDÉS DE M. RONNET, DE LYON. Celte méthode consiste à

trouve quatre guérisons, trois insuccès et deux morts. methode f.t procédés de m. velpeau. M. Velpeau a employé deux méthod

it fixé sur l'ouverture du sac. Deux tentatives ont été faites par ce procédé . Chez l'un des malades , homme adulte, aucun acci

e projet de Lecat ne reçut, point son exécution. Mais depuis, le même procédé a été tenté de nou-veau par trois chirurgiens. Le

avec des résultats variés. M. Velpeau, dans trois cas de ce genre, a procédé par autant de manières différentes. Chez le premi

e s'empara du lambeau. Malgré cet insuccès, un malade, opéré selon ce procédé par M. Blandin, a guéri. Sur le troisième sujet,

M. Blandin, a guéri. Sur le troisième sujet, M. Velpeau appliquant le procédé qu'il a employé pour les fistules du larynx, em

e pince appropriée, la section isolée de toute la base de l'éperon. Procédé de Dupuytren. Il consiste à saisir entre les mors

lieu d'être plate; du reste, il agit absolument delà mémo manière. Procédé de M. Jobert. Ce chirurgien a proposé, sans que c

ppréciation. Ainsi qu'on a pu le voir par leur description , tous ces procédés opératoires ont un but commun , celui de dé-truir

e deux vis de rappel; mais cet ap-pareil n'a pas mieux réussi que les procédés dont il vient d'être question (Dict. de méd. et c

ces, 1710). Pillore de Rouen a eu l'occasion de mettre en pratique le procédé de Littre, en 1776, sur un maître de poste des en

s dans le lieu qu'il occupait. A. Dubois opéra aussi, en 1783, par ce procédé , un en-tant né sans apparence d'anus, et qui ne v

vec des succès variés. Méthode de Littre (perfectionnée par Duret). Procédé opé-ratoire (Pl. 43 , fig. 3). Ainsi que nous l'a

ais cette modification n'a pas été adoptée. Méthode de Callisen. Le procédé proposé par Callisen, chi-rurgien de Copenhague,

t pro-posée. Conçu de cette façon , avec l'incision longitudinale, ce procédé n'est pas sûr, aussi a-t-il été rejeté par tous l

lles obser-vations d'opérations d'anus artificiel, faites par le même procédé . Depuis cette époque, ce même chirurgien a eu l'o

donc parvenu, par ses modifications et ses succès, à s'approprier le procédé , et à l'introduire définitivement dans la médecin

e, parce qu'on aura attendu pour la faire aux dernières extrémités. Procédé de M. Baudens. Ce chirurgien a proposé un procédé

ières extrémités. Procédé de M. Baudens. Ce chirurgien a proposé un procédé mixte, c'est-à-dire qui tient le milieu entre c

ons graisseux, et le gros intestin est à nu; il termine comme dans le procédé de M. Amussat. M. Baudens attribue à cette inci

st sous beaucoup de rapports moins gênant et moins dégoûtant. Mais le procédé de Callisen proprement dit, c'est-à-dire la divis

méthode pendant près de l\o ans. Maintenant reste à choisir entre le procédé de M. Amussat et celui de M. Baudens. Que l'incis

e qu'on ne l'ouvre pas non plus en allant chercher l'intestin par les procédés de MM. Amussat et Baudens. Et cependant lorsqu'on

ur les cas où la fistule n'est pas située très profondément, un autre procédé qui consis-terait à introduire, par la fistule, u

dicateur ne tarde pas à reconnaître le cul-de-sac intestinal. Dans le procédé ordinaire, l'ouverture s'en pratique par une ponc

en maintenir le cali-bre jusqu'à parfaite cicatrisation. Tel est le procédé ancien le plus généralement suivi ; mais il faut

tion trop violente, d'imiter à cet égard la conduite de M. Amussat. Procédé de M. Amussat (Pl. 46, fig- 4 et 5). Le sujet de

es chirurgiens dont l'autorité est d'un grand poids, ont con-damné ce procédé à cause des dangers qui peuvent résulter delà tra

e semaine ; mais ordinairement elle en exige cinq à six. Tel est le procédé de l'incision, celui qui offre les chances de gué

moyens s'emploient toujours con-curremment; le troisième n'est qu'un procédé de vérification dans les cas douteux. i° Touche

nons de dire, Ilippocrate a traité la fistule à l'anus par les divers procédés encore aujour-d'hui en usage. Tantôt il employait

collée, puis l'enlevait avec le bistouri ou des ciseaux, ferme par ce procédé d'excision la carrière de l'antiquité. Avec les

lifie beaucoup, et n'emploie pour la section que des ciseaux; mais ce procédé ne saurait être appliqué que pour les fistules si

nvenable, créait pour ainsi dire, au sujet de la fistule à l'anus, le procédé de dilatation employé aujourd'hui pour le traitem

toucher à son illustre malade. J.-L. Petit, mieux inspiré, revient au procédé de F. d'A-quapendente, et Ronge, en y ajoutant le

fils de lin et de soie. Desault, parti-san du fil de plomb, revint au procédé de A. Paré, en l'intro-duisant par le trajet fist

mides, dumoins peut-on dire qu'elle est à-peu-près inutile. Quant aux procédés de section, il suffit de donner rémunération des

ige flexible, reste dans la pra-tique , en ce qu'il est le moyen d'un procédé d'une exécution fa-cile. Enfin il resterait à sig

u-près le seul cas qui pourrait aujourd'hui en justifier l'emploi. Le procédé le plus rationnel est celui de Sabatier qui endui

gé de l'ap-pareil instrumental. Manuel opératoire. Il existe deux procédés opératoires un peu différens qui trou-vent chacun

aniques imaginés dans ces derniers temps et qui constituent autant de procédés . Procédé de M. Bermond. L'instrument se compose

inés dans ces derniers temps et qui constituent autant de procédés. Procédé de M. Bermond. L'instrument se compose de deux ca

ir ou de fermer le passage par la canule externe. Tel qu'il est, le procédé de M. Bermond, comme tous ceux du même genre qui

rovisoirement l'appareil si le progrès de la dilata-tion le permet. Procédé de M. Costaltat. La base de son instrument est en

ère qu'on l'emploie, ne peut jamais produire qu'un effet palliatif. Procédé de l'auteur. Ce n'est que comme mention que nous

tamponnement et la cautérisation. T \ iiPONNEMENT. Quel que soit le procédé de ce genre auquel on ait recours, comme la compr

erre fortement les deux chefs inférieurs, complètent l'appareil. Le procédé de tamponnement de Boyer est celui qui produit la

la vessie employée de la même manière par Levret, ou mieux de l'autre procédé que nous avons figuré en détail (pl. 403, fig. i)

ixée sur une canule centrale dont l'orifice intestinal, comme dans le procédé de M. Bermond, peut donner issue aux gaz et aux m

que de la masse sur elle-même produite par les ligatures dans l'autre procédé , rien n'empêche, il nous semble, d'appliquer ce m

tense et l'on a inoins à craindre les accidens consécutifs. Suture. Procédé de M. Felpeau. Ce chirurgien , dans tous les cas

vant que de délivrer un malade de ses tu-meurs liémorrhoïdales, trois procédés sont mis en usage : la liga-ture, l'incision et l

e courbe avec deux ou trois fils que l'on noue séparément suivant les procédés généraux que nous avons décrits précédemment. Néa

es, et finalement en ré-clame l'emploi en cas d'accident. Excision. Procédé ordinaire. Le malade étant mis en position conven

loi du cautère actuel pour prévenir l'hémorrhagie, que se distingüele procédé de Du-puytren. Pour pouvoir agir sur les tumeurs,

préalablement l'incision du sphincter, comme il sera dit plus loin. Procédé de Boyer (Pl. 44» fig- 6)- Ees tumeurs étant ame-

singulièrement facilitée. C'est cette mo-dification qui constitue le procédé suivant. Procédé de M. Chaumet, de Bordeaux. To

ilitée. C'est cette mo-dification qui constitue le procédé suivant. Procédé de M. Chaumet, de Bordeaux. Toutes les dispositio

un peu haut, l'extrémité inférieure du sphincter rectal. Au reste, le procédé de section ne diffère pas de celui que nous avons

et d'atteindre les tumeurs situées en haut et cpii, clans les anciens procédés , devaient être abandonnées ou devenaient une nouv

du spéculum fenêtre. II ne nous reste plus qu'à faire connaître le procédé imaginé par M. Velpeau pour amener la réunion par

vec un nombre d'anses de fd proportionné à leur étendue. Jusque-là ce procédé n'est autre que celui de Boyer. Mais voici la dif

es fils, il les noue par autant de sutures séparées. Il paraît que ce procédé a été fréquemment mis en usage et avec succès par

nzième jour. » Nous ne savons quelles chances l'avenir réserve à ce procédé , mais il pourrait se faire qu'en le combinant ave

la procidence de la muqueuse rec-tale que s'adressent la plupart des procédés opératoires. La se-conde variété, relativement as

moyens sont insuffisans , il reste l'emploi, bien plus efficace, des procédés qui suivent. Excision des plis cutanés de l'anu

u'il l'a érigée du premier coup en une doctrine générale, et cpie son procédé , d'une application plus féconde, répond bien plus

hirurgien anglaisa été de reconnaître la cause delà maladie, mais son procédé est resté limité à l'altération accidentelle qui

distendue , flasque et frippée pai-lles plis irréguliers. L'objet du procédé de Dupuytren a été, en enlevant des segmens rayon

résultant de la cicatrisation, la striction de l'orifice de l'anus. Procédé de Dupuytren (Pl. 45, fig. 2). Le malade étant co

M. Rurgrœve l'ayant appliquée avec succès, l'ont beau-coup vantée. Procédé ordinaire. Le malade étant placé comme précédem-m

serrer les tissus et de favoriser la formation du tissu inodulaire. Procédé de M. Bégin. Ce chirurgien fait placer le malade

s mains dePhelys, de M. Ricord et de plu-sieurs autres chirurgiens. Procédé de Boyer. Ce chirurgien accrochait avec une érign

n tamponnant comme on le fait après l'extirpation des hémorrhoïdes. Procédé de M. Ricord. (PL 45, fig-3). Apresavoirtraverse.

que l'opération dont il s'agit a été faite un grand nombre de fois. Procédé de M. Lisjranc. On fait étendre le malade sur le

20 Lorsque toute l'épaisseur des tuniques intestinales est malade, ce procédé n'est plus applicable; il faut les enlever en éga

/Franco;mais il paraîtrait que Galien en avait dit quelques mots. Ge procédé tour-à-tour abandonné et renouvelé a été préconis

le trois-quarts. Enfin M. Laugier a , de nos jours , per-fectionné ce procédé ; il enfonce un trois-quarts dans la tumeur dont i

au nombre desquels nous citerons Bover, Dupuy-tren, Kynder Wood. 1" Procédé de Douglas. Le malade étant couché sur le dos , l

une partie du kyste avec son lam-beau ovalaire ( Pl. 47, fig. 3 ). Procédé de Boyer. Le malade et le chirurgien placés comme

. Procédé de Boyer. Le malade et le chirurgien placés comme dans le procédé de Douglas , Boyer conseillait de faire seulement

lusieurs exemples. L'opération terminée, on remplissait, comme par le procédé de Douglas, le scrotum de boulettes de charpie, a

ale, épaissie et cartilagineuse, résiste aux injections irritantes. Procédé de Dupuytren. Lorsqu'une hydrocèle était très vol

le plat, à l'excision du kyste, le plus près possible du testicule. Procédé de M. Kinder-IVood'. Ce chirurgien, adoptant l'id

nale n'était pas néces-saire à la guérison de l'hydrocèle, imagina le procédé suivant dans lequel il se borne à ne faire qu'une

le premier, persiste quelquefois jusqu'à l'âge de sept à huit ans. Procédé de Figuerie. Ce chirurgien pensant, avec raison,

izontale. Vigueriedit avoir obtenu beaucoup de succès par ce moyen. Procédé de Desault. Desault, contrairement à l'opinion de

ès par ce moyen. Evidemment en comparant l'un avec l'autre les deux procédés qui précèdent, l'intention chirurgicale de, Vigue

érences. Ce que nous di-sons de la méthode , nous le disons aussi des procédés à l'excep-tion de celui de Kinder-Wood , qui , s'

nt les motifs qui doi-vent la faire rejeter. Nous en dirons autant du procédé de Van-Onsenoort; mais si l'emploi du selon était

rocèle avec complication de caillots san-guins , nous préférerions le procédé de M. Laugier, comme plus expéditif et plus sûr.

aussi nous bornerons-nous à les énumérer pour ne nous occuper que des procédés imaginés par des chirurgiens de notre époque, pro

ccuper que des procédés imaginés par des chirurgiens de notre époque, procédés seuls réellement applicables, les méthodes ancien

diate ou sous-cutanée ont été successivement préconisées. i° Séton. Procédé de M. Frick. Au commencement de 1834 ¦ M. Frick ,

doit surveiller l'inflammation. ¦2° Acupuncture et compression. Le procédé de M. Davat, quoique imaginé dans le même but que

du reste comment on l'applique : le malade étant placé comme pour le procédé de M. Frick, et la peau du scrotum étant saisie d

. Landouzy (Pl. 4g, fig. 17 ). le malade étant placé comme pour les procédés précédens, "le chirurgien saisit le paquet variqu

igaturf. A. Ligature médiate. M. Beynaud, de Toulon, avait imaginé un procédé très simple d'exécution. Il passait un ruban de f

'exige pour, s'opérer, la section des tissus , forcent à condamner ce procédé . B. M. Velpeau est l'un des premiers qui aient

i aient mis en usage la ligature dans le traitement du varicocèle. Le procédé , qui date de i833, consiste à passer tout simplem

. Le fil est laissé en place jusqu'à ce qu'il tombe de lui-même. i° Procédé du même auteur. On se sert seulement d'un fil dou

ussi serré que possi-ble de manière à bien étrangler les veines. 3° Procédé de M. Ratier. M. Batier a apporté une modifica-ti

rocédé de M. Ratier. M. Batier a apporté une modifica-tion au dernier procédé de M. Velpeau. Au lieu de nouer tout simplement l

ec lequel il obtient tous les jours une constriction plus forte. 4" Procédé de M. Ricord. Ce chirurgien, guidé par la même id

i puisse nous faciliter l'évaluation précise de chacune d'elles. Le procédé de M. Frick, quoique meilleur que les procédés an

e chacune d'elles. Le procédé de M. Frick, quoique meilleur que les procédés anciens, offre néanmoins des inconvéniens réels;

e redissoudre, et la circulation veineuse se rétablir comme avant. Le procédé sera dangereux, parce qu'un selon passé dans une

ent, en regard de ce chiffre , ne voit-on figurer aucun revers ? Le procédé de M. Davat partage les inconvéniens de celui de

ît difficile de décider. Malgré cela, cependant, nous le répétons, ce procédé est bien préférable aux autres et d'un effet pres

avoir beaucoup été mis en usage. Nous ne nous arrêterons pas sur Je procédé de M. Reynaud , qui, quoique meilleur, a des inco

aud , qui, quoique meilleur, a des inconvéniens trop réels. Quand aux procédés de M. Velpeau : dans la première manière d'agir,

t déterminer. Mais les succès fréquens que M. Velpeau a obtenus de ce procédé compensaient grandement ses inconvéniens, et il s

enue envahir aussi cette partie de la chirurgie. Pour les deux autres procédés de M. Velpeau (méthode sous-cutanée), ainsi que p

disons d'une manière générale que, quelle que soit la perfection des procédés et des iustrumens qui s'y rapportent, il arrivera

ections et l'incision suffisant dans la plupart des cas. Injection. Procédé de M. Velpeau. Toutes les fois que le sang conten

n on les trouvait malades, il faudrait les enlever. Il n'y a point de procédé qu'on puisse employer d'une manière générale ; ch

u'il croit la plus avanta-geuse. En cela nous ne pouvons citer que le procédé mis en usage par Delpech , procédé qui pourra, si

cela nous ne pouvons citer que le procédé mis en usage par Delpech , procédé qui pourra, sinon servir de mo-dèle, du moins aid

ns aider à se diriger dans la ligne de conduite qu'on aura à tenir. Procédé de Delpech. Un nommé Autier portant au scrotum un

ombre suffisant de points de suture. C'est, à peu de chose près, le procédé que suivit Larrey en 1816, dans un cas analogue,

en T. Après avoir bien rasé les parties, on procède à l'opération. Procédé ordinaire. Il comprend plusieurs temps, le premie

tandis que cela eût été très facile en avant. Enfin, on reproche à ce procédé de rendre plus difficiles les pansemens consécuti

raticiens ne procèdent pas de la même façon. Quelques-uns, suivant le procédé ordinaire, coupent le cordon en totalité avant de

lient les vaisseaux isolément à mesure qu'ils les coupent. Dans le procédé ordinaire, on recommande à un aide de saisir le c

qui sert à l'attirer et à le maintenir au dehors. On reproche à ce procédé d'exposer à la rétraction du cordon et à l'hémorr

ouve alors à lier quelques-unes de ses artérioles. Modifications au procédé de section du cordon. Anciennement on pratiquait,

elle embras-sait , et courait moins de risques de glisser que dans le procédé de Celse. /. L. Petit, n'employait pas de ligat

de la ligature isolée ou de la ligature en masse. On a reproché au procédé de la ligature isolée des vaisseaux, après la sép

'il est arrivé. On le prévient en em-ployant le ténaculum, ou bien le procédé de Bichat, ou celui de M. Roux; et l'on y remédie

différemment dans la majorité des cas. Taille des lambeaux. Dans le procédé ordinaire dont il vient d'être question , pour pe

en masse ou la ligature des artères séparées. Comme on le voit par ce procédé , il n'y a aucune dissection à faire, la durée de

pération est pres-que nulle comparativement à celle qu'elle a dans le procédé or-dinaire, et la réunion des lèvres de la plaie

ancé vers l'orifice de l'utérus, ce qui peut nuire à la génération. Procédé ordinaire. Le malade étant couché sur le bord dro

ion , par excision et par circon-cision. i" Méthode par incision. Procédé ordinaire. Il consiste à fendre le prépuce dans s

sous le prépuce où on l'in-troduit à plat. Dans cette modification du procédé ordinaire, lorsque la pointe est arrivée à la cou

'orifice de l'urètre , il faudrait le diviser d'un coup de ciseaux. Procédé attribué à M. Jules Cloquet. Ce procédé consiste

viser d'un coup de ciseaux. Procédé attribué à M. Jules Cloquet. Ce procédé consiste à faire l'incision au-dessous du gland

ujours avec le bistouri et la sonde can-nelée. C'est au reste le même procédé que suivait Guillemeau, élève de A. Paré. C'était

i le frein remonte trop près du méat urinaire , il faut le diviser. Procédé de M. Coster. Dans ce procédé on substitue trois

u méat urinaire , il faut le diviser. Procédé de M. Coster. Dans ce procédé on substitue trois in-cisions à l'incision unique

, le besoin, et sont situées sur les parties latérales et dorsales. Procédé de M. Malapert. C'est une modification du précéde

9 à 12 millimètres, par exemple (Pl. 5o, fig. 2). Appréciation des procédés de la méthode par incision. L'inci-sion dorsale p

-ronne du gland se prolonge moins profondément. « J'ai souvent mis ce procédé en usage, dit M. Velpeau, et tout me porte à croi

326). Il est effectivement d'une application tout aussi générale. Le procédé de Coster ne convient guère que dans les cas où u

orter un remède plus efficace à la maladie. Méthode par excision. Procédé ordinaire. Lorsqu'on a fait l'incision dorsale do

es les lèvres de la plaie, pour en séparer un lambeau triangulaire. Procédé de M. Lisfranc. Ce praticien a proposé d'exciser

ns des points voisins (Pl. 5o, fig. 3). Méthode par circoncision. Procédé de M. Lisfranc. Il faut saisir le contour de l'ou

ul coup tout ce qui est en avant des pinces à anneaux (Pl. 5o, fig. Procédé de M. Ricord. Ce chirurgien commence par tirer le

rière jusqu'au niveau de la peau, et excise ses lambeaux la-téraux. Procédé de M. Bégin. Il saisit le prépuce avec le pouce e

, puis on excise ses lam-beaux latéraux. Appréciation. De ces trois procédés , les deux premiers sont indifféremment applicable

tractions exercées sur lui, nous pensons qu'il vaut mieux employer le procédé de M. Bégin. Appréciation des méthodes. Sans av

deux moyens : la ré-duction et le débridement. Réduction. Premier procédé . Le malade est assis sur une chaise, ou cou-ché s

douloureuse. Bien qu'on recommande en général de n'avoir recours à ce procédé que dans les premières heures du paraphimosis, et

u'il y eût plusieurs gerçures sur les côtés du bourrelet préputial. Procédé de M. Coster. Le gland, qui est un organe spongie

les deux médius on ramène le prépuce en avant (Pl. 5o, fig. 7). Le procédé suivant, attribué à M. Desruelles, est préférable

rocédé suivant, attribué à M. Desruelles, est préférable. t. vii. Procédé de M. Desruelles. Quel que soit le degré du parap

attire fortement le prépuce en avant (Pl. 5o, fig. 8). Bien que ce procédé soit un des meilleurs, il n'en est pas moins vrai

et même se déchirer. Il nous semble qu'il vaudrait mieux recourir au procédé suivant, indi-qué par Boyer, ou bien au débrideme

ment, que de faire endurer au malade des douleurs aussi poignantes. Procédé de Boyer. Il arrive souvent, dit ce chirurgien, q

space de quelques jours; mais pour peu qu'il y ait d'inflammation, ce procédé ne convient point. Emploi de la pommade de bell

s, aux bains, aux cataplasmes, etc. Débridement (Pl. 5o, fig. 9). Procédé ordinaire. Le chirurgien fait coucher le malade s

'autres endroits, suivant le degré de constriction qu'elle produit. Procédé de Richter. Richter voulait qu'on incisât d'abord

ture un stylet cannelé pour guider le bistouri sous l'étranglement. Procédé de M. Velpeau. Ce chirurgien veut qu'on incise le

profondeur né-cessaire. L'auteur se loue beaucoup de l'emploi de son procédé : « Il m'a si bien réussi, dit-il, même chez un t

e des doigts et des pouces, que je conçois à peine quelques cas où le procédé ordinaire soit indispensable » (JlJéd. opér. t. 4

taracte droite ou le petit ténotome de M. Bouvier. Quel que soit le procédé qu'on emploie, on arrive au même résultat, sans r

sion : tous les deux sont décrits par Celse de la manière suivante. Procédé pour le cas où le prépuce manque par vice de con-

aire un nou-veau prépuce, à reprendre la place qu'elle avait avant. Procédé pour le cas où le prépuce manque par suite de l'o

puce. J. L. Petit et Boyer sont les seuls auteurs qui en parlent. Procédé de J. L. Petit. Pour guérir cette affection, ce c

rences, bien que les moyens d'y parvenir réussissent difficilement. Procédé de M. Laugier. Ce chirurgien pense que chez les e

core bientôt le tiers de cet organe, et a cherché à y remédier par le procédé suivant. Procédé de Dieffenbach. Voici comment

rs de cet organe, et a cherché à y remédier par le procédé suivant. Procédé de Dieffenbach. Voici comment nous le trouvons dé

ère d'une muqueuse ; elle était rouge et fournissait une sécrétion. Procédé de M. Dufresse. Si l'adhérence n'existe qu'en un

uellement une petite eschare qui s'oppose à la réunion im-médiate. Ce procédé , mis en usage par M. Carron du Villards, pour gué

ant l'organe. Excision partielle d'une tumeur adhérente au pénis. Procédé de M. Lisfranc. Lorsqu'un cancer siège à l'extrém

re opéré avec succès; Heister, Bertrandi,Graefel'ontaussi employée. Procédé ordinaire. Si l'on voulait tenter la ligature de

la couche tégumentaire. 2" Amputation avec Tinstrument tranchant. Procédé de Boyer. Les objets à préparer sont : un fort bi

r une dans l'urètre pendant tout le temps nécessaire à la guérison. Procédé de M. Barthélémy. Ce chirurgien, pensant qu'il es

lacer avant l'opération et de la couper en même temps que la verge. Procédé de Schrœger. Il consiste à trancher la verge couc

aut en bas , afin de lier les vaisseaux à mesure. L'exposé seul de ce procédé suffit pour le réfuter. Procédé de M. Langenbec

seaux à mesure. L'exposé seul de ce procédé suffit pour le réfuter. Procédé de M. Langenbeck. Ce chirurgien a proposé de pass

st rarement usitée. Quant à l'opé-ration par instrument tranchant, le procédé de Boyer est évidem-ment le meilleur, surtout tel

dre que la partie postérieure du tube ne s'échappe dans la vessie. Le procédé de Schrœger est tombé dans un juste oubli, et cel

e tissu glanduleux, ce qui expose à blesser le rectum dans les divers procédés de taille périnéale. Dans les cas ordinaires, l'é

pièce de il\ sous, il faudrait imiter la conduite de ce chirurgien. Procédé de Marestin. Dans le cas où il eut occasion de l'

et M. Bégin ont pratiqué cette opération , et ont également réussi. Procédé de Dupuytren (Pl. 49, fig- 4 et 5). Dans un des c

complète. Le second cas était du même genre que celui-ci, et le même procédé fut suivi d'un égal succès. Procédé de M. Bégin

genre que celui-ci, et le même procédé fut suivi d'un égal succès. Procédé de M. Bégin. Dans ses Êlémens de chirurgie, M. Bé

mme élastique; la fistule fut cautérisée et guérit très bien. Autre procédé du même auteur. M. Bégin pense qu'on pour-rait en

vers le gland , au lieu de le diriger du gland vers la fistule. Le procédé de M. Bégin est moins dangereux que celui de Du-p

les adhérences, à mesure qu'elles tendent à se former. C'est le même procédé que l'auteur a mis en usage à la langue, après la

essus le ventre, on peut employer des sondes courbes ou droites. 1" Procédé opératoire ordinaire avec les sondes courbes (Pl.

ine, qui s'y accumule pendant l'expulsion de celle de la vessie. i° Procédé par dessous le ventre, dit le tour de maître. P

exécuter il faut faire étendre le malade sur le doscomme dans l'autre procédé , mais sur le bord droit de son lit; le chirur-

ion qu'elles occupent après l'exécution du premier temps dans l'autre procédé , c'est-à-dire dans un plan perpendiculaire à l'a

iné de la paroi supérieure de la courbure sous-pubienne. Toutefois le procédé ordinaire est plus méthodique, réellement plus fa

r à blesser les parties; en pareil cas on se trouve bien de suivre le procédé de Hey qui conseille de tenir la sonde pres-que v

ns l'urètre que s'il était conduit par le mandrin. Quel que soit le procédé qu'on ait suivi pour pratiquer le ca-thétérisme é

n bandage du corps. Mais nous pensons qu'on doit y renoncer et que le procédé suivant convient pour toutes les sondes. iCIPro

ent la verge d'une compresse ou d'une bandelette de dia-chyluni, i° Procédé . Il consiste à appliquer préalablement un bandage

sé, au suspensoir, et d'y fixer les cordons de la sonde. Le premier procédé est généralement employé malgré son in-convénient

font leur propriété, et forcent leurs contemporains à les adopter. Procédé de M. Amussat. L'auteur pense qu'on le pratiquera

lbe; s'il y en a plusieurs, il en existe toujours un dans ce point. procédés opératoires mis en usage pour reconnaitre les rét

son ouverture, sa forme et son étendue. Il existe pour cela plusieurs procédés . exploration de l'uretre. i° Procédé de Ducam

existe pour cela plusieurs procédés. exploration de l'uretre. i° Procédé de Ducamp. Four savoir à quelle distance du méat

parce que, en pressant trop fort, sans intention, on la diminuait. Procédé de M. Amussat. Ce chirurgien se sert d'un instru-

e la verge. Enfin la sonde en gomme élastiq u sera fixée par l'un des procédés cjue nous avons indiqués à l'ar-ticle cathétërism

cautérisation. La cautérisation de l'urètre, comme la plupart des procédés chirurgicaux, n'était à son origine soumise à auc

le vitriol, la sabine, l'alun, mêlés à des substances emplastiques. Procédé dA. Paré. Partageant les idées, ou plutôt les pré

abord et puis John Hunier, entrepri-rent de la remettre en honneur. Procédé de ./. Hunter. Ce célèbre chirurgien se servait d

e pût traverser le rétrécissement. On a fait de graves reproches à ce procédé , on a dit, entre au-tres choses, avec raison , qu

e canal, sans qu'on pût le retirer, et y causer de graves accidens. Procédé d'E. Home. L'observation , si bien fondée, que no

ter avec chaleur la manière d'agir de Hunter, et même de modifier son procédé d'une manière désavantageuse. En effet, négligean

n. Il serait inutile d'insister sur les inconvéniens d'un semblable procédé . On voit de suite, que non-seulement il expose pl

quer la cautérisation de l'urètre, il n'en est pas moins vrai que les procédés de Hunter et de Home sont encore suivis par la ma

on peut, sans injustice, lui en attri-buer la véritable création. » Procédé et instrument de Ducamp. Après avoir mesuré la di

mer des mouvemensde rotation sans tourner l'instrument lui-même. Le procédé de Ducamp pour la cautérisation de l'urètre qui p

n besoin qui d'un instant à l'autre pouvait de-venir une nécessité. Procédé de M. Lallemand de Montpellier. M. Lallemand donn

tait pas guéri. Voici les avantages que M. Lallemand attribue à son procédé : in le nitrate d'argent est toujours renfermé ju

la garantie positive de n'avoir d'action que sur le rétrécissement. Procédé de M. Amassât. Ce chirurgien, voulant encore préc

rd par M. Despinay de Bourg, et érigées en mé-thode par M. Amussat. Procédé de M. Amussat. Ce chirurgien fut porté à imaginer

heureux, et depuis cette épo-que les injections forcées ont formé un procédé à part. Manuel opératoire. Le malade étant assi

er des fausses routes. Nous suivrons l'auteur dans sa des-cription. Procédé de Boyer. Ce chirurgien trouvant l'emploi de la s

-être même plus fâcheux encore que celui où ils étaient d'abord. Le procédé de Boyer n'a pas trouvé beaucoup de partisans.

Baltimore (Bullet. de Férussac, t. xvn, p. 352). Manuel opératoire. Procédé de MM. Eckstrom, Arnolt, Jameson et Levanier. Une

complet chez un homme dont l'urètre était malade depuis long-temps. Procédé indiqué par M. Amussat. Ce chirurgien a proposé d

cisse-ment lui-même, et de conduire la sonde jusque dans la vessie. Procédé de M. Groniger. Lorsque le rétrécissement existe

e consi-dérer le malade comme guéri. M. Jules Cloquet a obtenu par ce procédé un succès complet (Journal Hebd., t. iv, p. 45)-

t le gonflement, et les empêcherait d'être déchi-rées par les fils. Procédé de M. AlUot. Ce chirurgien est parvenu à guérir u

. Ce chirurgien est parvenu à guérir une fistule rebelle, à l'aide du procédé suivant qui est fort ingénieux. Après avoir large

igne médiane, ainsi que le propose M. Velpeau, revient au même que le procédé de Dieffenbach, et est inférieur à celui de M. Al

ler la perte de substance au moyen d'un bouchon de peau. Mais si le procédé de M. Alliot est le meilleur, cependant il est lo

t que la fistule s'oblitérât. Dans ce but M. Ségalas a imaginé deux procédés dont le second s'adresse à un cas exceptionnel. L

dont le second s'adresse à un cas exceptionnel. L'inconvénient de ces procédés est précisément d'établir une fistule artificiell

r une fistule artificielle pour en guérir une accidentelle. Premier procédé de M. Ségalas. Il consiste à maintenir pro-visoir

ielle et donne is-sue aux urines. L'auteur a réussi deux fois, par ce procédé , à ob-tenirla fermeture de fistules qui, jusque-l

qui, jusque-là, avaient résisté à tous les autres moyens. Deuxième procédé de M. Ségalas. Il s'agissait d'une absence complè

à l'A-li) Lettre à M. Dieffenbach sur une Urétroplastie faite par un procédé nouveau, par P. E. Ségalas, 1840. cadémie de mé

. Le seul moyen d'obtenir la guérison , est d'en-lever ces corps. Les procédés opératoires, à l'aide desquels on y parvient, ser

ont les moyens à l'aide desquels on les fait disparaître. Excision. Procédé de M. Velpeau. Sur un malade qu'il opéra en 1825

sion pratiquée au périnée, est le seul moyen à employer, seulement le procédé dif-fère un peu. i° Cas d'oblitération complète

une pince qui le saisisse et l'amène au dehors. Les modifications des procédés dépendent des instrumens dont on fait usage. Lo

mieux. Il est inutile d'insister sur beaucoup d'autres instru-mens et procédés anciens dont l'action est si peu certaine, que l'

usieurs millimètres, et de ré-unir ensuite la plaie par la suture. Ce procédé , mis à exécution, réussit parfaitement. M. Gens

ture. i* Dépression du lobe médian de la prostate. Dans un pre-mier procédé , M. Leroy introduisait dans la vessie une sonde e

isse l'embrasser dans une ligature, on doit tenter cette opération. Procédé de M. Leroj [dEtiolles). Ce chirurgien a imaginé

tée en France comme méthode générale. Voici comment on la pratique. Procédé ordinaire. On se sert d'un trocart long de 19 à 2

eurs fois à Foubert lui-même, qui en fai-sait le premier temps de son procédé de taille périnéale: Saba-tier voulut, avec raiso

ar Dionis que la plupart des chirur-giens de ce pays se conduisent. Procédé d'A. Cooper. Il faisait son incision un peu à gau

e et pénétrait jusque dans la vessie par le côté gauche de son col. Procédé de M. Velpeau. Ce chirurgien préconise aussi l'in

icle précédent, si l'obstacle existait dans la région prostatique, ce procédé serait inapplicable. PONCTION DE LA VESSIE PAR

la vessie pour donner issue à l'urine, et obtint plusieurs succès. Procédé de Fleurant. L'instrument est un trocart courbe d

ait la ponction au travers, au-dessus ou au-dessous de la prostate. Procédé de. Lafaye. Ce chirurgien se servit, dans le cas

Les modifications qui nous paraîtraient devoir être apportées à ce procédé si l'on voulait pénétrer dans la vessie au-dessus

t le faire par l'hypogastre ou par le vagin, exactement par les mêmes procédés que l'on suit chez l'homme. Appréciation de l'o

cès et des revers ; combiner d'après ces re-cherches mille nuances de procédés et inventer mille sortes d'instruniens sur le méc

urs semble avoir plus d'influence sur les résultats que la valeur des procédés en eux-mêmes. Enfin telle est encore l'incertitud

sie, comprenant chacune un nombre considérable de sous-méthodes et de procédés . Mais trop souvent, il faut le dire, par l'abus m

des deux langues : Ammonius, le plus ancien, Mégès et Sostrates. Leur procédé est le petit appareil, cpie la postérité a rattac

nir du lithomètre et du tube acoustique de M. Moreau de St-Ludgère. Procédé opératoire. Le malade étant, couché, dans la posi

'appréciation est plus grave parce qu'il peut influer sur le choix du procédé . Les calculs multiples ont été rencontrés chez ce

souvent des plus impor-tantes pour fixer le choix des méthodes et des procédés opératoires. 5° Mobilité ou fixité. La facilité

établie entre la valeur comparative des méthodes entre elles, et des procédés d'une même méthode entre eux. Quant à la situatio

descriptions. En 158o, suivant lialler, Sanctorius aurait indiqué un procédé nouveau pour briser la pierre dans la vessie sans

colonel Martin est mort de la pierre en 1800, auprès de Calcutta. Ce procédé res-semble beaucoup à celui de Ebn-al-Iïarrar ; e

la même intention, comme nous verrons plus loin , que se rapporte le procédé du docteur Elgerton. Mais déjà il faut signaler u

représentée dans un ouvrage de M. Leroy, intitulé : Exposé de divers procédés employés jusqu'à ce jour pour guérir la pierre sa

era, dans la description que nous allons faire des divers méthodes et procédés de la lithotritie et des instrumens propres à les

et qu'elle se laisse plus facilement distendre pendant l'opération. Procédé opératoire de M. Civiale. On fait coucher le ma-l

iers qui résultent de l'écrasement. Le broiement d'un calcul par ce procédé , de même que par la plupart des autres, nécessita

'on a cessé de rencontrer des fragmens de pierre avec le litholabe. Procédé de M. Pravaz. Pour pratiquer les perforations suc

tre a la circonférence. Evidement suivi du brisement du calcul. ¦—- Procédé de divers auteurs. Pour obvier à l'inconvénient q

pression exercée à sa surface par les branches du litholabe ; dans ce procédé la fracture du calcul s'opère par écrasement de d

t de dehors en dedans. Evidement suivi de l'éclatement du calcul. — Procédé de M. Rigal, faisant agirla pression de dedans en

s véritable. Dépossédé aujourd'hui de son « importance par les divers procédés d'écrasement, il n'est plus « applicable qu'à cer

pussent être expulsés en totalité avec l'in-jection et les urines. Procédé de M. Meyrieux et de ses imitateurs. Le premier c

r entre les branches du litholabe, on n'a pas à craindre ce danger. Procédé de M. Rigal. Ce chirurgien commençait par perfore

. C'est à ce mode de destruction de la pierre que se rapportent les procédés d'Ebn-al-Harrar, du colonel Martin et de M. Elger

n du brise-coque de Jacobson exclusive-ment ; la seconde renferme les procédés et les instrumens imaginés depuis le moment de ce

paru suffire dans les cas où le calcul était petit ou friable, on y a procédé de deux ma-nières. D'abord on a simplement ajouté

t inventer de premier jet, le but et les moyens , et où le succès des procédés dépend de la perfection des instrumens, les résul

pourtant que, sur un grand nombre de malades opérés par les nouveaux procédés , le chiffre des succès pourrait être plus avan-ta

tructif de cette opération, il faut passer en revue ses méthodes, ses procédés , ses indications, ses contre-indications et ses r

sous le nom de Methodus Celsiana. M. Velpeau la décrit sous le nom de procédé d'Antylus ou de Paul d'Egine. Il est certain qu'e

les enfans trop jeunes. Au reste, maintenant que nous connaissons des procédés de beau-coup supérieurs et d'une exactitude presq

usuelle, avant le commencement du xvue siècle. manuel opératoire. Procédé ancien. —Appareil instrumental. Les instrumens du

e gorgeret, on se servait du bouton qui leur servait de conducteur. Procédé de Maréchal. Dans l'opération conduite ainsi que

prostate, pour l'inciser dans son diamètre antéro-postérieur. Par ce procédé Maréchal obtenait une incision de 20 à 22 millim.

e risque de conserver une fistule recto-vésicale après la guérison. Procédé de Vacca Berlinghieri. Ce chirurgien, qui contrib

rvait de guide pour conduire le bistouri et pour agrandir la plaie. Procédé de Guérin de Bordeaux. Lorsque ce chirurgien avai

vert l'urètre dans ses parties bulbeuse et membraneuse, comme dans le procédé de Vacca, il introduisait dans la plaie une tige

réciation de la taille médiane. Pratiquée en suivant à la lettre le procédé de Mariano Santo ou des Collot, la taille mé-dian

a déchirure con-sécutive des parties. Au contraire, pratiquée par les procédés de Maréchal ou de Vacca, non-seulement elle ne do

nous reste à dire. Considérée en elle-même, la taille médiane, par le procédé de Maréchal ou de Vacca, est encore employée asse

uquel on avait introduit une pierre. Voici, au rapport de M. Méry, le procédé suivant lequel il pratiqua cette opération. Pre

opératoire, tire de là occasion d'attribuer à Hunault l'in-vention du procédé de la taille latéralisée, que pratiquait Frère Ja

d d'origine, qui professait à Amsterdam l'anatomie et la chirurgie. Procédé de Raw. Il est probable que ce procédé était le m

l'anatomie et la chirurgie. Procédé de Raw. Il est probable que ce procédé était le même que celui de Frère Jacques; nous di

éprouva de vio-lens accidens. Cheselden résolut dès-lors d'essayer le procédé de Raw en suivant exactement la description qu'en

r de cette façon et obtint des succès éclatans. Voici son pro-cédé. Procédé de Cheselden. Il employait, i" un cathéter dont l

voyé à Londres, aux frais de l'Académie des sciences, pour étudier le procédé de Che-selden, publia en 1731 dans les mémoires d

lais ne pratiquait pas toujours l'opération dont il s'agit suivant le procédé décrit par Morand : celui auquel il se fixa en dé

l, arrivaient au même but, en sorte qu'à l'époque oû Morand publia le procédé anglais (1731), Perchet avait déjà ap-pliqué avec

que Ga-rengeot et lui avaient imaginé quelques mois auparavant. Le procédé de Perchet ne diffère pour ainsi dire pas de celu

son rayon oblique gauche d'avant en arrière et de dedans en dehors. Procédé de Ledran. Ce procédé, qui n'ajoute rien de bon à

he d'avant en arrière et de dedans en dehors. Procédé de Ledran. Ce procédé , qui n'ajoute rien de bon à la taille latéralisée

rgeret sur lequel il faisait glisser les tenettes. Bien que dans ce procédé l'opérateur divise le bulbe de l'u-rètre, qu'on d

ns, etc., lui [ont donné une approbation qu'il est loin de mériter. Procédé de Moreau. Après avoir fait placer son malade com

aisseur représentant deux cônes adossés par leurs sommets tronqués. Procédé de Lecat. Lorsque Lecat fut devenu chirurgien en

tel-Dieu de Rouen , il pratiqua d'abord la taille la-téralisée par le procédé de Cheselden et de Perchet; mais bien-tôt il voul

nger qu'il pouvait y avoir à dépasser les limites de la prostate; son procédé , quoi-que bon en ce sens, n'a cependant pas été a

on en ce sens, n'a cependant pas été adopté d'une manière générale. Procédé de Pouteau. Pendant que Pouteau exerçait les fonc

nc-tions de chirurgien en chef de l'Hôtel-Dieu de Lyon, il imagina le procédé suivant : son cathéter avait un manche terminé pa

nt une méthode cer-taine pour y parvenir lorsque Frère Conte donna le procédé sui-vant. Procédé de Frère Corne. Il consiste à

aine pour y parvenir lorsque Frère Conte donna le procédé sui-vant. Procédé de Frère Corne. Il consiste à introduire dans la

éviter l'un ou l'autre de ces accidens, Boyer a pro-posé de faire au procédé de Frère Côme quelques modifications dont nous al

océdé de Frère Côme quelques modifications dont nous allons parler. Procédé de Boyer. « Pour éviter, dit-il, les accidens en

es opérations de taille. Le seul reproche qu'on puisse adresser à son procédé est d'inciser la prostate sui-vant un rayon moins

principaux est le cathéter de Guérin de Rordeaux (pl. 68, fig. 5). Procédé de Guérin. Ce procédé est fondé sur l'invention d

héter de Guérin de Rordeaux (pl. 68, fig. 5). Procédé de Guérin. Ce procédé est fondé sur l'invention d'un cathéter formé de

ie. Ces deux parties de l'opération s'exécutent comme dans les autres procédés . Avec cet instrument on peut pratiquer la taille

é vers la fin du siècle dernier, en Angleterre, par Hawkins; de là le procédé de ce chirurgien, modèle de tous ceux où l'on se

on de la prostate et du col de la vessie avec le gorgeret tran-chant.— Procédé de Hawkins. L'instrument employé par cet opé-rate

épasserait les limites de la prostate; il vaudra donc mieux suivre le procédé ordinaire. Modifications dans T incision de la

Modifications dans T incision de la prostate et du col de la vessie. — Procédé de Thompson (1808). Il consiste à inciser les par

d'abord en arrière et à gauche, puis en avant et à droite. Ces trois procédés ne donnant lieu qu'à de très petites incisions de

lleurs, la lithotritie serait préférable. En résumé , dans tous les procédés de taille latéralisée qui ont succédé à celui du

sser les limites de la prostate. C'est là ce qu'on fait dans tous les procédés où l'on in-cise cette glande de haut en bas, et d

'urètre et le col de la vessie, est limitée au corps de ce viscère. Procédé de Foubert. C'est à ce chirurgien qu'est due la t

inte du couteau qui devait diviser les parties. Avant de mettre son procédé en usage, il injectait de l'eau dans la vessie, o

lle latéralisée. Enfin il terminait comme dans les autres méthodes. Procédé Thomas. C'était le même que celui de Foubert, ex-

u péritoine lorsqu'il descend très bas, et enfin le rectum. Quant aux procédés , ceux de Fou-bert et de Thomas sont trop peu cer

haussier, qui en avait publié la formule et les moyens d'exécution. Procédé de ('haussier. Ce procédé se trouve décrit dans l

lié la formule et les moyens d'exécution. Procédé de ('haussier. Ce procédé se trouve décrit dans la thèse de M. Morland : on

de Frère Côme. On le voit, il avait là toute la taille bilatérale. Procédé de Béclard. Après avoir fait à la peau une incisi

e du ca-théter; il conseillait aussi l'usage d'un lithotome double. Procédé de Dupuytmen (Pl. 64, fig. 1, 2, 3). Appareil in-

s le premier temps de l'opération, on incisait trop près de l'anus. Procédé de M. Serin. Ainsi que nous l'avons dit dans le c

nc , il commence par pratiquer la taille latéralisée suivant l'un des procédés perfectionnés, s'assure avec le doigt du volume d

pouces un quart dans son diamètre prin-cipal. Il appliqua d'abord le procédé de Frère Côme, mais s'étant aperçu que le calcul

tailles latérale, bilatérale et qua-drilatérale, suivant leurs divers procédés , et même dans la taille latéralisée par les procé

ant leurs divers procédés, et même dans la taille latéralisée par les procédés de Frère Côme et de Hawkins. Il ne nous reste plu

és de Frère Côme et de Hawkins. Il ne nous reste plus qu'à décrire le procédé mis actuellement en usage pour cette dernière esp

dernière espèce de lithotomie, la plus fréquente dans la pratique. Procédé ordinaire cl incision dans la taille latéralisée.

cautions que nous avons indiquées en parlant de ces instrumens et des procédés dans les-quels on les emploie. La plaie qui doi

ôté du périnée, ou même de faire une quadruple incision en suivant le procédé de M. Vidal (de Cassis). Dupuy-tren a conseillé,

e et la branche ischio-pubienne : voici comment agit ce chirurgien. Procédé de Physick. Il prit une aiguille courbe à manche,

l'artère et les tissus intermédiaires par un nœud. Rappro-chons de ce procédé ceux de MM. Caignon et Travers. M. Cai-gnon a pro

de fil composé de plusieurs brins. Nous ne suivrons pas plus loin ce procédé que nous avons décrit avec le tamponnement du rec

in ce procédé que nous avons décrit avec le tamponnement du rectum. Procédé de Dupuytren. Nous ne ferons également que l'indi

nterne, on pratiquerait la ligature de l'artère honteuse par l'un des procédés indiqués plus haut, mais pour plus de sécurité, c

éd. et Chir. prat.) Opération. Sanson a de prime abord imaginé deux procédés bien distincts : dans le premier on pénètre dans

prostate, dont on divise quel-quefois le tiers postérieur. Premier procédé de Sanson dans lequel on divise la prostate et le

n arrière , jusqu'au rectum qu'il ne faut pas atteindre de nouveau. Procédé de Vacca Berlinghieri. Au lieu d'introduire préal

ieure de l'intestin, puis les succès qu'a obtenus Vacca en suivant ce procédé , qui lui ont fait donner le nom de méthode de Vac

procédé, qui lui ont fait donner le nom de méthode de Vacca. Second procédé de Sanson dans lequel on divise le bas-fond de la

testin , afin d'éviter qu'il ne soit touché par l'instrument. Dans ce procédé , comme le dit son auteur, la par-tie la plus recu

ésicules séminales et les canaux éjacu-la leurs. Bien que le second procédé ait sur le premier l'avantage de présenter aux ca

sultent souvent de l'extraction delà pierre par cette voie, ce second procédé pourtant n'en a pas moins été abandonné complètem

istule recto-vésicale, ainsi qu'il en existe plusieurs exemples. Le procédé qui consiste à pénétrer dans la vessie par son co

nés ou adhérens; ces avantages ne sont vrais qu'en combinant les deux procédés . Ainsi, toutes les lois qu'on dépasse les limites

odification indiquée par Dupuytren où, réunissant en un seul les deux procédés , on prolongerait l'incision de la prostate et du

der-nière sur le corps étranger; aussi ne nous arrêtons-nous pas à ce procédé qui ne pourrait être bon que pour les cas où la p

it ni d'y pousser une injection, ni d'y introduire la sonde à dard. Procédé de Rousset. \\ faisait étendre son maladesur le d

en avec une tenette. Plusieurs modifications ont été apportées à ce procédé . i" Sous-procédé de Douglas. Ce chirurgien, le

e haut en bas, jusqu'auprès du pubis, avec un bistouri boutonné. Le procédé de Rousset, même avec toutes les modifications do

itoine. Ce sont ces in-convéniens qui ont porté F. Côme à imaginer le procédé suivant. Procédé de F. Corne. Après avoir placé

in-convéniens qui ont porté F. Côme à imaginer le procédé suivant. Procédé de F. Corne. Après avoir placé son malade comme p

r de sortir par la plaie. Dans l'espace de 20 ans, F. Corne mit son procédé en pra-tique une centaine de fois, et il affirmai

mait en avoir obtenu de grands succès. Bien que Boyer prétende que ce procédé n'ait au-cun des inconvéniens de celui de Rousset

de ce que l'on a trouvé de meilleur dans chacune d'elles, résulte un procédé commun qui n'appartient à personne en particulier

-ralement employé. Par sa simplicité il se rapproche beaucoup plus du procédé de Bousset que des autres. Au reste, il n'en es

e sus-pubienne comme de la taille périnéale. Dans cette dernière, les procédés diffèrent par toutes les conditions essentielles

es incisions, le nombre et la variété des parties divisées. Aussi les procédés sont-ils bien distincts les uns des autres, et pa

ur y parvenir se succèdent trois temps opératoires communs à tous les procédés : la section de la paroi abdominale, l'ouverture

s qui constituent les divers sous-procédés , sauf à décrire à part le procédé de M. Baudens, le seul qui se distingue, dans ses

Baudens, le seul qui se distingue, dans ses deux premiers temps , du procédé ordinaire. Procédé ordinairk.— Position du mala

se distingue, dans ses deux premiers temps , du procédé ordinaire. Procédé ordinairk.— Position du malade. On le place hori-

ns ce cas on ne peut que diviser la vessie sur la pierre , d'après le procédé de Franco. Lorsqu'on aura fait une ouverture asse

. Incision latérale a la ligne blanche. Elle comprend seule-ment le procédé de M. Baudens, car nous ne croyons pas devoir ins

e la vessie, font que cette modification n'est même pas proposable. Procédé de M. Baudens. Au lieu de pratiquer son incision

lèvres lorsqu'on veut découvrir la vessie. Voici en quoi consiste le procédé opératoire. M. Baudens ne fait aucune injection p

opinion de M. Mal-gaigne, « de n'attribuer qu'une mince influence aux procédés « opératoires sur le résultat des opérations, en

au-delà de ses limites, sera venue lui démontrer tout le vice de son procédé . Pour nous, qui n aillions pas à adopter les id

à la lithotritie. Lorsqu'on pratique la cystotomie sus-pubienne, les procédés ne diffèrent en rien de ceux qu'on met en usage c

2° le col de la vessie, et 3° son bas-fond. i" Taille vestibulaire. Procédé de Celse. C'est le même que cet auteur a décrit p

ion sur le côté gauche delà vulve, jusqu'à sa partie inférieure. Le procédé recommandé par Albucasis est le même que sui-vait

t le rectum, et qu'elle était fréquemment suivie d'hé-morrhagie. Le procédé de Celse a été reproduit dans ces derniers temps

ans ces derniers temps par M. Lisfranc: voici comment il l'exécute. Procédé de M. Lisfranc. Il fait placer la malade comme po

2" Taille urétrai.e (Incision de l'urètre et du col de la vessie). Le procédé , généralement usité au xvnc siècle, consistait, à

canal avec un dilatateur qui facilitait l'introduction du bistouri. Procédés de Louis et Fleurant. Ces chirurgiens pensèrent q

le située sur le manche, comme dans le lithotome de F. Côme. Ces deux procédés ont des inconvéniens et des suites fâcheuses, tel

long-temps, vu qu'ils n'ont jamais été adoptés par les chirurgiens. Procédé ordinaire. Il consiste à faire une incision à la

ans la vessie un gorgeret sur lequel on fait glisser la tenette. Ce procédé est pour ainsi dire abandonné, parce qu'il exposa

que l'incision était portée trop loin. On lui préfère, en général, le procédé suivant. Procédé de L. Collot et de A. Dubois.

t portée trop loin. On lui préfère, en général, le procédé suivant. Procédé de L. Collot et de A. Dubois. Il consiste à divis

ntoure jusqu'au ligament sous-pubien. L'incision qu'on obtient par ce procédé présente environ i4à 18 millim. de longueur, et p

gné dans \e Bulletin médical de Bor-deaux ( 1833) une opération parle procédé de A. Dubois, dans laquelle il retira un calcul d

re la pierre de la vessie par le vagin. Méry donna plus tard un autre procédé qu'il voulut ériger en méthode géné-rale. Bussièr

ès cette opération, dans des cas moins graves. Manuel opératoire. — Procédé de Fabrice de Hilden. Il por-tait dans la vessie,

ierre, el la retirait après l'avoir saisie avec une tenette courbe. Procédé de Méry. Commençant par introduire dans la vessie

retirait la pierre par l'ouverture qui en résultait. Méry dit que son procédé peut s'appliquer chez les filles comme chez les f

tendu qu'on ne touchait ni à l'urètre ni au sphincter de la vessie. Procédé de Bussière. Il pensait comme Méry qu'on pouvait

aillie qui en résultait. De ce que la femme qu'il avait opérée par ce procédé avait bien guéri, il pensait qu'il pouvait, dans

'il pouvait, dans tous les cas, prévenir l'incontinence d'urine. Le procédé qu'ont adopté les chirurgiens modernes diffère tr

ernes diffère très peu de celui de Méry: voici en quoi il consiste. Procédé ordinaire. La position de la femme est la même qu

action de la pierre. M. Faure qui a eu occasion de mettre en usage ce procédé sur une jeune fille, en 1808, conseille de tenir

ment recourbé. Mais plus généralement elles sont d'une seule pièce. Procédé ordinaire. On fait coucher la malade sur le dos;

es enlever, on met en pratique la ligature ou l'excision. Ligature, procédé de Priéger. On trouve dans le Journal des connais

guérir ainsi les femmes opérées dans l'espace de 7 à 8 jours; mais ce procédé ne devrait être appliqué qu'autant que les nymphe

me comme pour l'opération de la taille, et l'on met en usage l'un des procédés suivans. Procédé ordinaire. L'indicateur gauche

ation de la taille, et l'on met en usage l'un des procédés suivans. Procédé ordinaire. L'indicateur gauche étant d'abord intr

aux propres à recevoir des liens desti-nés à la maintenir en place. Procédé de M. Amassât. Il a été mis en usage sur une fill

t de pratiquer l'opération. Manuel opératoire. On peut employer des procédés différens , suivant que la déchirure est incomplè

nière égale dans toute leur étendue (Voy. pl. 69, fig. r). T. VU. Procédé de M. Dieffenbach. Dans un cas de rupture complèt

ion. La réunion fut prompte, et ne fut entravée par aucun accident. Procédé de M. Montain, de Lyon. Une fois que les lèvres d

s fissures qui donneraient passage à des matières. Appréciation des procédés par lasuture. De toutes les sutures, il est maint

bosselures formées par les fèces avec des tumeurs morbides. Premier procédé . La femme ayant le dos solidement appuyé contre u

naître la cou-leur, on essuie ce doigt sur un linge blanc. Deuxième procédé . La femme étant placée comme pour le tou-cher abd

ebout. On ne peut accorder de préférence à l'un ou à l'autre de ces procédés d'une manière générale. Lorsqu'on veut constater

, ne nous paraît pas exempte de danger, et nous préférons suivre le procédé de M. A. Jobert. Il existe un cas où aucune man

E MENT DES LEVRES DE LA PLAIE Ail MOYEN d'INSTRUMENTS PARTICULIERS. Procédé de M. Lallemand de Montpellier. Ce chirurgien ne

, avoir obtenu six ou sept succès : ce serait là un beau résultat. Procédé de Dupuytren. L'instrument imaginé par ce célèbre

y a été pour rien, et que le résultat en est dû à la cautérisation. Procédé de M. Laugier. Les deux instrumens précédens ne p

e s'écarteraient de la même manière et laisseraient passer l'urine. Procédé de M. Dufresse-Chassaigne. Dans sa thèse inaugura

rgent ou le cautère actuel. Cautérisation avec le nitrate d'argent. Procédé de Dupuytren. La malade étant placée comme pour l

re simple ou la suture entortillée. Suture simple a. points passés. Procédé de M. Malagodi. Ce chirurgien porta l'index delà

. Ce succès est l'un des plus éclatans que l'on ait encore obtenus. Procédé de AL Lewziski. Le but que se proposait ce chirur

sait la lèvre antérieure contre la postérieure. Suture entortillée. Procédé de M. Roux. Pour saisir les lè-vres de la fistule

et que la fistule avait subi un agrandissement assez considérable. Procédés de M. IVœgèle. Dans le premier procédé, après avo

ssement assez considérable. Procédés de M. IVœgèle. Dans le premier procédé , après avoir ra-fraîchi les lèvres delà fistule ,

l'aiguille d'un fil en formant un huit de chiffre. Dans le deuxième procédé , une sonde courbée portant dans sa cavité un ress

o-cédé n'est autre chose que celle que M. Lewziski imagina en 1802. Procédé de M. Felpeau. La femme est placée sur le ventre,

ords sont avivés, le reste se fait comme précédemment. On voit que ce procédé ne présente rien de par-ticulier. Procédés de M

cédemment. On voit que ce procédé ne présente rien de par-ticulier. Procédés de M. Schreger. Après avoir rafraîchi les lèvres

res M. Roux , l'ont aussi appliqué, mais sans résultat avan-tageux. Procédé de M. Jobert. (pl. 70, f. 5). On commence par ren

l'autre dans la vessie. Dans un des cas où M. Jobert a appliqué son procédé avec succès, la consolidation s'est si bien faite

poils qui la recouvraient ont repoussé dans l'uv térieur du vagin. Procédé de M. Velpeau. Un doigt étant introduit dans le r

aignans, avec lesquels elles peuvent contracter des adhé-rences. Ce procédé , mis en usage une seule fois, a échoué. Il nous p

u plus tard. Puis on laisserait cicatriser la plaie insensiblement. Procédé de M.Leroy (dEtiolles) (pl.70, f. 3 et4)- Le lamb

verture vésicale. Nous n'avons aucun avis à exprimer sur ces derniers procédés qui n'existent encore qu'en théorie. OBLITÉRATI

ar l'un des moyens que nous avons précédemment indiqués. 20 Suture.— Procédé de Saucerotte. La malade dont nous avons déjà par

et par M. Casa-Mayor; l'un et l'autre ont tenté d'y re-médier par des procédés différens. Procédé de M. Roux. Cbez la femme qu

l'un et l'autre ont tenté d'y re-médier par des procédés différens. Procédé de M. Roux. Cbez la femme qui est. le sujet de ce

r du gros intestin, au lieu de l'introduire dans le bout inférieur. Procédé de M. Casa-Mayor. Il consiste dans l'application,

on, des imprudences qui amenèrent sa perte. Malgré son insuccès, le procédé de M. Casa-Mayor mérite d'être pris en considérat

rture anormale du vagin pourrait s'oblitérer. En dehors de ces deux procédés on ne connaît actuellement contre ce genre d'affe

des abcès , des tumeurs sanguines, des kystes, des can-cers , etc. Le procédé opératoire pour les enlever varie suivant la natu

queuse seule et la suture vagino-rectale. 10 Excision des tégumens.— Procédé de Dieffenbach. Voyant que tous les moyens précéd

de sortir. Plusieurs fois, depuis Dieffenbach, on a mis en usage son procédé avec succès. Toutefois, il est à craindre que le

ée, on réunit immédiatement la plaie par la suture. Les auteurs de ce procédé l'ont employé avec succès. Il a probablement agi

rtes que celles qu'elle avait auparavant. Suture vagino-rectale. Ce procédé fut imaginé et employé avec succès, dans un cas,

ais encore pendant plusieurs jours après qu'ils ont été retirés. Ce procédé nous parait devoir suppléer avantageusement ceux

s, et à réunir les lèvres de la plaie qui en résulte par la suture. Procédé de M. Ireland. Il recommande de détacher les band

e manière ont d'abord paru guéries, mais bientôt il y a eu rechute. Procédé de M. Velpeau. L'affection dont il s'agit étant f

n 1835 , M. Fricke a écrit à M. Velpeau qu'il avait déjà applique son procédé douze fois, et toujours avec succès. D'autres chi

ier par l'allongement de celui-ci. Pour cela M. Dufresse a imaginé un procédé qui tien-draitle milieu entre celui de M.Velpeau

peut-être pas de glisser sur elle , comme dans les cas précé-dens. Ce procédé n'ayant jamais été appliqué sur le vivant, n'a en

s et plus ou moins élastiques. Enfin l'ivoire, rendu flexible par les procédés de MM. D'Arcet et Charrière, réunit à un haut deg

rer la réduction. M. Moreau assure qu'il n'a jamais pu réussir par ce procédé ; car, outre la difficulté qu'on éprouve à introdu

, et parfois même impossible, il vaudrait peut-être mieux employer le procédé de M. Evrat, qui consiste à faire coucher la femm

abaisser et à repousser le col en arrière. M. Moreau, qui préfère ce procédé comme lui ayant le mieux réussi, a fait modifier

ns d'un des plus grands diamètres du bassin. Lorsque , par l'un des procédés dont nous venons de parler , on est parvenu à réd

u-bois, et M. Grenier a en rapporté un autre dans sa thèse (i 834). Procédés opératoires. On comprend que les procédés à l'aid

re dans sa thèse (i 834). Procédés opératoires. On comprend que les procédés à l'aide desquels on peut débarrasser le vagin de

s circonstances. 1° Ligature des polypes descendus dans le vagin. — Procédés de Levret. Ainsi que nous l'avons dit, cet accouc

matin, il augmentait la constriction jusqu'à la chute du polype. Ce procédé était difficile à exécuter, outre que, le fil en

n attachait les extrémités autour delà pince pour la fixer. Ce second procédé est fort ingénieux , mais il ne peut s'appliquer

rons, ainsi qu'on le fait généralement, d'en donner la description. Procédé de Desault. L'avantage essentiel qu'il présente e

onstriction. C'est à-peu-près là, ce nous sem-ble, l'effet du premier procédé de Levret, De tout ce qui précède, il résulte q

imaginées pour la ligature des polypes ne sont que des imi-tations du procédé de Desault. Ajoutons aussi que ses instru-mens su

ce, a enrichi la pratique chirurgicale d'une opéra-tion importante. Procédé de M. Amussat. Cette opération, dit l'auteur (Rev

ersement de cet organe, ima-giné déjà par Herbiniaux, en imitation du procédé de la nature qui en a offert quelques exemples da

nes au-dessus des autres, on abrège beaucoup l'opération parce que ce procédé trouvera son application dans les cas de po-lypes

la vulve pour le couper, et, dans la seconde, on le coupe en place. Procédé d'Osiander. Le chirurgien de Goettingue, après av

es tractions ménagées, l'organe qu'il retranchait avec un bistouri. Procédé de Dupuytren. Le chirurgien de l'IIôiel-Dieu com-

que possible sur les parties saines au-delà des limites du cancer. Procédé de M. Lisfranc. Après avoir introduit un spéculum

es ou doubles, qu'on fixe sur l'extrémité inférieure de la matrice. Procédé de M. Colombat. Au lieu d'employer des érignes si

lum après l'application des pinces de Museux (pl. 74, f. 2). Quant au procédé à suivre, celui de M. Lisfranc nous paraît mérite

les de l'opération. Il prétend que, dans treize cas d'excision par le procédé de M. Lis-franc, l'hémorrhagie est survenue sept

lors on enlève l'utérus tout entier. » Excision au -dessous du col. Procédé de M. Velpeau. La tumeur fut saisie avec une pinc

pendans entre les cuisses, et dont le pédicule est très volumineux. Procédé proposé par M. Malgaigne. Soit qu'on ampute ou qu

chever seulement alors l'excision, ou de placer la ligature. De ces procédés , celui de M. Malgaigne nous parait préférable aux

agnent cette opération, mieux vaudrait agir de la manière suivante. Procédé proposé par M. Dufresse. Faire coucher la femme s

it préférer l'application préalable d'une ligature avant d'exciser. Procédé de M. Langenbeck. Après avoir incisé circulaire-m

'est celle qu'on emploie le plus fréquem-ment : elle compte plusieurs procédés . Dans presque tous on cherche d'abord à abaisser

ts qui s'y développent plus au moins en faisant tourner une virole. Procédé de M. Sauter. Voici, en résumé, comment le décrit

e seulement en ce moment de retenir les intestins avec sa main. Les procédés suivis par la plupart des autres opérateurs se ra

des choses, c'est à peine s'il y a lieu de re-chercher auquel de ces procédés on pourrait encore donner la préférence, attendu

-taches au vagin, avec de longs ciseaux conduits parla main droite. Procédé de M. Langenbeck (pl. 76 , fig. 3). C'est une lég

il faut recourir à l'incision comme le voulait Ledran. 20 Incision. Procédé de Ledran. Ce chirurgien conseillait d'inciser lo

rès la guérison de la tumeur, fi-nissait néanmoins par s'oblitérer. Procédé de Galenzowski. Dans une opération qui avait pour

e jours après, sauf une petite fistule, la guérison était complète. Procédé de Truckmuller. Sur une femme âgée de 45 ans, et

ât dès le principe, elle le fut également par Théden, qui a décrit un procédé particulier pour l'exécuter, mais ne l'a jamais f