s lames aponévrotiques de la région, l'influence de la pesanteur, les
pressions
extérieures, celles des muscles, déterminent la d
ation de corps chauds ou froids, le pincement, la piqûre ou la simple
pression
avec un instrument mousse déterminent sur-le-cham
qui consiste à faire coucher le malade sur le ventre et à exercer des
pressions
sur la colonne pour affaisser la gibbosité. On ap
ne fille atteinte de gibbosité lombaire, sans abcès ni paralysie. Des
pressions
modérées sur l'épine, des exercices gymnastiques,
ui devient paroi du canal d'une part, de l'autre, paroi du kyste; les
pressions
exercées en sens inverse par l'atmosphère et le l
erveux offre ce caractère particulier, qu'il y a peu de douleurs à la
pression
et dans les mouvements, soit actifs, soit communi
te instantanément. C'est par des extensions douces et lentes, par des
pressions
ménagées sur les points saillants , tels que l'ax
x luxations pathologiques. Dans l'une, la tête du fémur, exerçant une
pression
constante sur un côté du cotyle, s'y creuse une d
cations aujourd'hui sont en présence : a. La luxation est due à des
pressions
extérieures ; elle s'est opérée d'une manière méc
a valeur de ces diverses explications. 1° La luxation est due à des
pressions
extérieures. — M. Cruveilhier l'admet (1). Dans l
us dirai que l'on rejette généralement cette opinion. On admet que la
pression
peut prédisposer à la luxation, mais non qu'elle
réception sous l'influence de certains mouvements physiologiques, des
pressions
extérieures puissent augmenter cette disposition,
xemple de la disposition que je signale ; elle montre l'influence des
pressions
mécaniques sur la forme des os. Les muscles ne jo
quées sur celles des luxations traumatiques. Les efforts manuels, les
pressions
sur le grand trochanter sont nécessaires pour cre
t. Suivant M. le docteur Caffe, qui s'est soumis à la strabotomie, la
pression
des paupières dans ce premier temps lui a causé l
ts. Hippocrate expliquait la formation des pieds bots natifs par la
pression
de l'utérus sur le fœtus (2), à laquelle, plus ta
n de l'utérus sur le fœtus (2), à laquelle, plus tard, on a ajouté la
pression
du fœtus sur lui-même. Je ne veux pas donner trop
r M. F. Martin (Zi) ; mais on ne peut nier que, dans certains cas, la
pression
des membres du fœtus paraisse réellement donner l
facile.nent des causes mécaniques qui agissent sur le squelette, des
pressions
, des tractions qu'il supporte de la part des musc
eine saillant. On pourrait cependant attribuer encore à l'effet de la
pression
l'atrophie de celte épiphyse cartilagineuse. (t
es orteils se relèvent par l'action de leurs extenseurs, aidée par la
pression
du sol; ils se renversent plus ou moins sur le mé
les voyez, sur ces moules, étalés, aplatis, élargis par l'effet de la
pression
. Le pied prend ainsi une configuration particul
primée dans le haut, sans doute par suite de son inclinaison et de la
pression
du tendon d'Achille; tout l'os paraît allongé et
ssi souvent qu'il le faudrait, ni relâcher ou augmenter à volonté les
pressions
, en varier le siège suivant les indications journ
le renversement du pied d'un côté ou de l'autre. C'est à l'aide de
pressions
, au moyen des coussins et des courroies, que l'on
nnent trop pâles, ou s'ils prennent une teinte violacée, c'est que la
pression
est trop considérable. Dans les premiers temps,
urer de l'état de la peau dans les points où elle supporte le plus de
pression
, où elle est mince et collée aux os, aux tendons,
nne du gros orteil. On diminue, on adoucit ou on change les points de
pression
, dès qu'on aperçoit des rougeurs permanentes. Cet
a pu éviter la formation d'une escarre, on se hâte de supprimer toute
pression
dans ce point. Si l'escarre est superficielle, ce
ceux-ci se moulent en effet très-exaclement autour des parties, leur
pression
est uniforme; mais nous avons vu qu'ils avaieni d
a quantité d'air qu'ils renferment ; il est facile alors de varier la
pression
sans toucher aux courroies ni à l'appareil. J'esp
est congénial. L'équinisme du varus surtout ne cède alors qu'avec des
pressions
plus ou moins pénibles au cou-de-pied, h la plant
nt les résistances dans une proportion considérable , elle réduit les
pressions
à celles qu'exigerait un pied bot du premier degr
tourne le tranchant du côté du tendon, qu'on divise en entier par des
pressions
mesurées, sans laisser échapper le plantaire grêl
sse entre la peau et le tendon; je retourne l'instrument, et, par des
pressions
successives et de légers mouvements de scie , je
, l'écartement forcé, le tiraillement, le frottement de ses bords, la
pression
de quelque pièce d'appareil. Une extension trop f
rosis. Dans cet état, le moindre effort, une chute légère, une faible
pression
, suffisent pour produire des fractures des membre
apporter en naissant des fractures déterminées dans l'utérus par les
pressions
que les os peuvent y subir, fractures dont les un
te de ce qui se passe ici. La paroi thoracique supporte sans cesse la
pression
atmosphérique dans le mouvement d'inspiration. El
e dans le mouvement d'inspiration. Elle ne peut plus résister à cette
pression
, qui l'enfonce et la déprime plus ou moins. Auss
de haut en bas, ou clans le sens du diamètre antér o-postérieur, la
pression
du rachis étant diamétralement opposée à la résul
a pression du rachis étant diamétralement opposée à la résultante des
pressions
exercées sur les cavités cotyloïdes; les pubis se
de développement réduit en outre le bassin dans tous les sens. Si la
pression
est égale à droite et à gauche, si la moitié anté
plus ou moins d'enfoncement du pubis. Dans la deuxième variété , la
pression
est inégale des deux côtés, l'arrêt de développem
à d'autres causes que le rachitisme. Dans la troisième variété, les
pressions
latérales sont assez égales, mais le ramollisseme
rti; le corps du pubis résiste plus que les cotyles, qui, cédant à la
pression
des membres inférieurs, s'enfoncent plus ou moins
orps et la courbure naturelle des os. Il faut y ajouter seulement les
pressions
extérieures et certaines modifications de nutriti
loi bien simple dans sa déformation. Ses courbures s'exagèrent par la
pression
que supportent ses deux extrémités. De plus, sa c
subir. Ce sont surtout les poumons qui portent les traces de cette
pression
des parois thoraciques. Les renflements costaux s
ouleurs quelquefois spontanées dans les os ramollis. Le mouvement, la
pression
des membres lui arrachent des cris, quand on le s
nd on le soulève par les bras. En général, la sensibilité des os à la
pression
se lie à leur flexibilité ; obscure lorsque la so
uand il y a indication d'employer un de ces appareils, il faut qu'une
pression
porte sur la convexité des arcs osseux, et une au
culaire. Mais, à la longue, ces courbures deviennent permanentes; les
pressions
constantes exercées par l'action musculaire au co
assaignac (2), que les courbures normales du rachis augmentent par la
pression
de haut en bas qui agit sur lui dans la station,
ans la station, et qu'elles diminuent lorsqu'il est soustrait à cette
pression
par l'effet de la position horizontale. Ainsi s'e
ordinaire la flexion habituelle du rachis en avant, qui détermine une
pression
plus considérable sur la partie antérieure des ve
eur partie antérieure , et qui n'est pas d'ailleurs exposée aux mêmes
pressions
. Il est plus facile de prévenir la lordose lomb
antérieur et des graves inconvénients qu'entraînerait une trop forte
pression
de l'abdomen. Il peut, du moins, servir à préveni
ement limitée par les résistances qu'elle rencontre, notamment par la
pression
réciproque des apophyses épineuses. C'est assur
rum et du coccyx, et les accoler à la partie postérieure du crâne. La
pression
du liquide céphalo-rachidien repoussant les vertè
une série de désordres qui paraissent dériver d'une même cause, d'une
pression
mécanique ! ARTICLE VIII. COURBURES LATÉRALES
rmale; elle suit du reste les mêmes lois. La rencontre des os et leur
pression
réciproque donnent quelquefois en outre des direc
vertèbres, et la rotation totale me paraît due à l'inégalité de la
pression
supportée par les deux côtés du rachis déformé. O
es deux côtés du rachis déformé. On ne peut douter de l'influence des
pressions
sur les vertèbres; celle qui résulte de la situat
ogique vous a montré à chaque pas, pour ainsi dire, les marques de la
pression
verticale exercée par la pesanteur et l'action mu
ée par la pesanteur et l'action musculaire. Mais comment l'excès de
pression
sur un côté des vertèbres les fait-il tourner aut
ber latéralement ; c'est aussi sur elles qu'agit plus spécialement la
pression
qui tend plus tard à accroître les courbures. Cet
aison relativement exagérée des corps, une fois produite, la force de
pression
verticale tombe obliquement sur leur plan supérie
ns les côtes par certains changements de direction du rachis, par les
pressions
qui les inclinent diversement sur les vertèbres o
alement affecté. Vous vous ferez aisément une idée des effets de la
pression
, des froissements exercés par les côtes sur les m
échappe, par sa situation dans la région tho-racique antérieure, à la
pression
directe des vertèbres et de la partie postérieure
ppliqué contre les deux parois thoraciques. Il est fort rare que la
pression
réduise très-notablement le volume du cœur, comme
érieure du foie (2). Le lobe droit est celui qui souffre le plus delà
pression
des organes voisins : diversement tronqué, arrond
ofondément enfoncée dans l'bypochondre, la rate fuît plus aisément la
pression
. On la trouve sensiblement normale dans quelques
Elle porte très-souvent à sa surface, ainsi que le foie, la trace des
pressions
voisines, des sillons, des excavations superficie
utres pièces figurées ici, à la réduction, à l'atrophie causée par la
pression
des vertèbres déviées à gauche (2). Sur l'une de
niques; leur extrémité supérieure, très-rétrécie, finit en pointe, la
pression
et l'atrophie ayant porté davantage sur cette par
de la concavité, quand leur partie supérieure a été soumise à quelque
pression
latérale (2). Scoliose congénitale. — Les faits
des vertèbres et de leurs ligaments sont modifiés par l'inégalité de
pression
des côtés droit et gauche, et la forme arquée de
e consistance. Les vertèbres et leurs ligaments s'affaissent sous les
pressions
qu'ils supportent, ou cessent de croître dans un
ils supportent, ou cessent de croître dans un sens par l'effet de ces
pressions
. Si colles-ci étaient égales, si le ramollissemen
uillet 1857. d'une mollesse plus grande à droite ou à gauche, d'une
pression
plus habituelle dans un sens que dans l'autre par
squelette , serait par elle-même incapable de déformer le rachis; la
pression
latérale de l'aorte sur la tige osseuse altérée e
orte de lutte entre la force de développement de ce côté gauche et la
pression
de la colonne sanguine artérielle à sa surface. D
nt, la force plastique, l'emporte pendant longtemps, et l'effet de la
pression
est tardif et peu prononcé : cet effet, c'est la
ents passifs imprimés aux vertèbres par le poids des parties, par des
pressions
extérieures, etc. ; 2° dans les mouvements actifs
actifs déterminés par les muscles. a. Action de ia pesanteur et des
pressions
extérieures.— La position horizontale et la stati
mprimés à la concavité des courbures par le poids des parties, par la
pression
des muscles qui font équilibre à ce poids ; dans
tent dans la situation droite, fait cesser ces effets immédiats de la
pression
verticale. Les ligaments s'étendent à la concavit
orme ; le corps grandit dans un cas, se rapetisse dans l'autre. Les
pressions
extérieures d'un plan inégal sur lequel le corps
onné à la forme du plan et au côté du corps qui lui correspond. Des
pressions
agissant sur les côtés du tronc, dans la station,
s articulations vertébrales, et, d'une autre part, c'est supprimer la
pression
verticale qui gêne le développement du rachis à l
'autant plus nuisibles qu'ils sont plus élevés, par l'augmentation de
pression
qu'ils déterminent à la concavité des courbures.
p. 182 et 211. poids qu'il supporte dans la station, et diminuer la
pression
du côté concave des courbures. L'instinct révèle
les mains sur les cuisses pour se soustraire au malaise causé par la
pression
des vertèbres affectées. J'ai particulièrement re
sant au glissement vertical des facettes articulaires et à l'excès de
pression
des ligaments intervertébraux. En somme, sauf q
fet, comme la position horizontale , de soustraire les vertèbres à la
pression
exercée sur elles par les parties supérieures. El
courbures, un écartement, une tension des tissus à la concavité, une
pression
variable, le plus souvent faible ou même remplacé
suspension ne produit pas sur le rachis, du côté de la convexité, une
pression
capable de modifier sa forme. Ces faits nous serv
extensions momentanées, dans la position horizontale, accompagnées de
pressions
sur la [gibbosité (3). Cela paraît concerner plut
l'extension et la contre-extension du rachis; les autres agissent par
pression
latérale. 1° Extension et contre-extension. — N
èle, .doit presser aussi également que possible; mais, pour éviter la
pression
des arcades dentaires, on la fait porter beaucoup
l'occiput et sur les apophyses mastoïdes. On a soin de surveiller la
pression
exercée sur la peau de ces parties, pour prévenir
dans ce but, comme vous le voyez ici, de manière à ne pas exercer de
pression
sous l'aisselle. Us n'agissent plus alors comme l
soient pas trop brusques. On s'attache surtout à prévenir un excès de
pression
du collier, et la tendance aux congestions vers l
logrammes du côté de la tête, et dix à quinze du côté du bassin. 2°
Pressions
. — Les pressions latérales, perpendiculaires à l'
de la tête, et dix à quinze du côté du bassin. 2° Pressions. — Les
pressions
latérales, perpendiculaires à l'axe du corps, éta
ix-huitième siècle, qu'un exemple d'application des extensions et des
pressions
hippocratiques dans le décubitus, et c'est un réc
onsidérablement diminué (1).- Jusqu'à la fin du siècle dernier, les
pressions
mêmes qu'on pratiquait dans la station étaient pe
utre but que de repousser ce qui était saillant. Levacher établit des
pressions
*plus méthodiques, au moyen d'un fauteuil qu'il im
tension, tels que celui de Vene!, n'avaient pas encore d'appareils de
pression
. Cé n'est qu'au commencement de ce siècle qu'on i
a sur les lits le mécanisme adapté par Levacher à son fauteuil. Les
pressions
latérales ont à la fois pour objet de modifier la
essant en sens inverse sur son milieu et sur ses deux extrémités. Ces
pressions
fournissent en outre un moyen de contre-extension
lons rechercher, sur ces enfants, quels sont les effets immédiats des
pressions
latérales, seules ou associées aux extensions.
rizontale. Si la déviation ne fait que diminuer par le décubitus, les
pressions
la diminuent davantage ou la font disparaître aux
par le décubitus, comme sur cette enfant que vous avez déjà vue, les
pressions
courbent en sens inverse la ligne des apophyses é
apophyses épineuses. On fait une remarque analogue en associant les
pressions
aux extensions. Après l'effet produit par les tra
ns parallèles à l'axe du corps, on en obtient un nouveau au moyen des
pressions
perpendiculaires, le renversement de la courbure,
e disparaître par les extensions, n'est pas seulement effacée par les
pressions
latérales; on va jusqu'à la retourner; après avoi
en grande partie dans l'articulation du bassin avec le rachis. Les
pressions
seraient encore plus puissantes si l'on pouvait s
and que j'ai déjà cité, me paraît avoir confondu l'effet direct de la
pression
, qu'il pratiquait sans aide à peu près de cette m
s mous de l'abdomen. La mobilité de ces parties affaiblit l'effet des
pressions
, et la sensibilité de plusieurs d'entre elles, le
liaque succéda, dans les premiers temps de l'orthopédie moderne, à la
pression
trop forte et trop continue du flanc gauche chez
es courbures multiples et à peu près égales cèdent moins aisément aux
pressions
qu'une courbure unique ou dominante, parce qu'il
ouvons en même temps redresser l'autre. Cependant, en équilibrant les
pressions
vis-à-vis des deux convexités et aux deux extrémi
'extension, lorsqu'on fait concourir les deux genres d'efforts. Les
pressions
ou tractions latérales opposées, considérées au p
parvenir à réaliser cette flexion ; leurs procédés se réduisent à des
pressions
latérales. Mais il faut bien le dire, ce moyen de
ertébrale à la rectitude et de l'y maintenir. En même temps que les
pressions
sont dirigées de manière à changer la direction d
la saillie antéro-gauche, vous aurez une idée de ce mode d'action des
pressions
latérales. Elles placent le thorax déformé, allon
re oblique opposé, accidentellement réduit. Le poids du corps rend la
pression
plus forte sur la convexité postéro-droite, et ce
u'on ne voit pas la saillie postérieure modifiée immédiatement par la
pression
; ce n'est qu'à la longue que cela peut avoir lie
S'il n'existe pas de saillie antérieure ou si elle est médiane, la
pression
antérieure se pratique sur le sternum ou déborde
est située du même côté en avant et en arrière. L'efficacité de ces
pressions
, pour rétablir la forme du thorax, serait certai
es os eux-mêmes, et cette disposition anatomique borne le pouvoir des
pressions
sous ce rapport. N'oublions pas non plus que la d
end aisément compte de ce fait. Il est facile de comprendre que les
pressions
latérales, pratiquées en avant et en arrière au n
calisation de Vextension. On n'a guère moins varié les appareils de
pression
et de traction latérales, pendant le décubitus, q
me limiter, je ne m'arrêterai donc pas à vous décrire les appareils à
pression
fixe, les gouttières de Récamier, de M. Bonnet, e
a donné (1). Je ne vous présenterai, comme exemples des appareils de
pression
, que ceux dont je fais habituellement usage. D
ession , que ceux dont je fais habituellement usage. Des pelotes de
pression
, des bandes de peau ou de cuir mince, de longs re
ces sont supportées par ces plaques doubles dites à soufflet, dont la
pression
est amortie par des ressorts placés entre leurs d
rmédiaire, le milieu de la convexité de la courbure du ra-chis. Si la
pression
était tout à fait postérieure, elle agirait très-
'en place d'abord qu'une seule, afin d'agir toujours par degrés. La
pression
antérieure se fait au moyen de cette large bande
qui est ordinairement le côté antéro-gauche au-dessous du sein. Si la
pression
doit s'étendre plus haut, on se sert d'une bande
n n'applique cette bande que lorsque les sujets sont habi lues à la
pression
des pelotes produite par le seul poids du corps.
par le seul poids du corps. Les tractions latérales, opposées à la
pression
de la pelote pos-téro-latérale dans la déviation
moins ces pièces selon le degré de constriction des courroies. Les
pressions
élastiques qui résultent de cette disposition son
ition sont évidemment plus douces et plus faciles à supporter que des
pressions
fixes. Les mouvements respiratoires, en particuli
èdent à l'effort des muscles à chaque inspiration. Les appareils de
pression
sont habituellement associés aux extensions; mais
tamment sur les poumons , le cœur et l'estomac, et l'on n'augmente la
pression
et la constriction qu'autant que ces organes n'en
on. — Ces moyens agissent, comme les précédents, par extension ou par
pression
, ou bien ils réunissent à la fois ces deux modes
parents eux-mêmes peuvent pratiquer ces manœuvres. 2° Extensions et
pressions
avec tes mains dans la station. — On a cherché à
lonne dorsale. Cherchons à apprécier de la même manière l'effet des
pressions
dans l'attitude de la station. Soit, comme sur
s déjà vu dans les attitudes du premier ordre d'exercices et dans les
pressions
pendant le décubitus. Mais il faut de plus grands
la courbure lombaire. Dans les courbures lombaires principales, les
pressions
latérales, dans la station, produisent un redress
difficilement; ce n'est que dans les déviations commençantes que des
pressions
opposées, analogues à celles que l'on pratique su
me vous le voyez sur cette enfant. L'association des extensions aux
pressions
, dans la station, ajoute peu à l'effet produit.
s déviations dorsales principales, peut, dans certains cas, céder aux
pressions
latérales avec la même facilité dans la station e
s. On donne même alors plus d'étendue à l'inclinaison inverse par les
pressions
, dans l'attitude verticale, que par les extension
un point d'appui sur des sièges ou fauteuils pour leurs appareils de
pression
et d'extension ou plutôt de sustentation (2). Ce
ls portatifs. — Mais presque tous les appareils de sustentation ou de
pression
qui appartiennent à cette catégorie sont fixés,-
de supports. Ils sont utiles dans certaines limites; ils diminuent la
pression
du rachis en transmettant directement au bassin u
orce, et les épaules s'élèvent d'une manière disgracieuse. L'excès de
pression
des croissants a aussi des inconvénients pour les
béquilles et des tuteurs permanents. On a supposé autrefois que la
pression
circulaire du bassin par ce genre d'appareils p
ne connais pas de fait qui justifie cette crainte. Les appareils à
pression
latérale ont pour principal moyen d'action une ou
sur les tuteurs ou articulées avec eux, de manière que l'on gradue la
pression
avec des vis. Les bandes, fixées par une de leurs
nt par l'autre extrémité sur un tuteur opposé ou sur la ceinture. Ces
pressions
agissant suivant une double direction, comme les
rbure dorsale principale à convexité droite, il suffit d'une pièce de
pression
à droite, avec ou sans tuteur de ce côté, et d'un
rtement le tronc à gauche; on le maintient dans cette position par la
pression
de l'appareil sur le côté droit. La ceinture à
me quelques inconvénients propres à la ceinture à levier, tels que la
pression
excessive de la courroie sur le flanc droit, la f
etc. Je préfère incliner simplement le tuteur qui porte la plaque de
pression
, dont on règle d'ailleurs l'action au .moyen d'un
n n'était arrêté par les obstacles que j'ai signalés à l'occasion des
pressions
pratiquées dans la position horizontale. Il est
s doubles, mais non égales, auxquelles on croit devoir appliquer deux
pressions
vis-à-vis les deux gibbosités. La pression inféri
oit devoir appliquer deux pressions vis-à-vis les deux gibbosités. La
pression
inférieure devient nuisible dans ce cas, pour peu
ende à devenir prédominante, comme cela a lieu le plus souvent; celte
pression
favorise l'inclinaison de l'arc lombaire. Il faut
avorise l'inclinaison de l'arc lombaire. Il faut alors se borner à la
pression
sur la convexité dorsale ; celle circonstance peu
t suffisamment corrigée. Dans ce cas, il ne faudrait pas appliquer de
pression
sur la convexité lombaire, car il y a déjà un com
ils sont bien construits et convenablement appliqués. Les ceintures à
pression
et à inclinaison peuvent, dans certains cas, fair
dement malgré tous les supports de la station, malgré les ceintures à
pression
ou à inclinaison latérale, malgré la gymnastique
out lorsque l'accroissement du corps en hauteur n'est pas terminé. La
pression
du squelette sur les viscères, sur les nerfs, sur
côté, tout ce qui peut distendre les muscles spinaux ou augmenter la
pression
supportée par les vertèbres dans la station. Il n
sition horizontale, de la suspension gymnastique, des extensions, des
pressions
et tractions latérales sur les lits, de la force
dépriment le mieux le côté convexe des courbures; ce sont surtout les
pressions
et tractions latérales inverses, combinées avec l
conformation de la colonne vertébrale, soit par l'effet direct des
pressions
, qui peuvent influer à la longue sur leur nutriti
ploi des moyens mécaniques. Le bien-être causé par la cessation de la
pression
des organes rend assez bien raison de ce fait. Le
ments sur les courbures....... 440 a. Action de la pesanteur et des
pressions
extérieures. . . . 441 b. Effets de l'action mu
............ 490 1° Extension et contre-extension......... ib. 2°
Pressions
.................. 495 £. Moyens mécaniques empl
. 503 1° Suspension verticale. . ........... ib. 2° Extensions et
pressions
avec les mains dans la station.................
on sus-pubienne. A première vue, les organes génitaux donnent l'im-
pression
de l'hermaphroditisme. A un examen plus attentif
ous les auteurs sont d'accord pour attribuer à l'augmentation de la
pression
intracrânienne un rôle important dans le mécani
ndaire à l'atrophie optique. Du côté du crâne, l'un des signes de
pression
les plus nets à l'autopsie est l'existence d'im
sp. BI. f. Schweizer Aerzte, 1915. 16 FLOURNOY sous l'effet de la
pression
lordose basilaire, selon Bertolotti n'exis- ter
(1), ce qui n'empêche pas le peu de liquide qui y reste d'être sous
pression
; ce fait est à com- parer avec certains cas de
ycéphalie ; elle agirait alors en rompant subitement l'équilibre de
pression
entre les cavités crânienne et rachidienne (3).
nostic de paralysie générale est confirmé par la ponction lombaire (
pression
forte, quantité notable de globulines, Noguchi et
semblent prouver . qu'il y avait une augmentation permanente de la
pression
. Ce sont l'étroitesse dessillons, l'existence d
s vasculaires à la surface de l'écorce (1) sont aussi l'effet de la
pression
. Il en est de même de la dilatation des ventricul
ance blanche sur le pourtour ventriculaire. Ce dernier indice d'une
pression
exagérée a été décrit par le professeur Weber dan
érébrales (2). Quel peut être le mécanisme de celte augmentation de
pression
? Agit- elle de dehors en dedans, ou en se fais
aussi la névrite optique, celle-ci pouvant être due simplement à la
pression
de l'infundibulum sur la Il,, paire. Au point d
ARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UNE ORYCÉPHAL1QUE 25 Asymétrie des effets de
pression
. Dans le cas particulier, la pres- sion n'a pas
ndue impossible. C'est probablement à cet effet plus prononcé de la
pression
sur l'hémis- phère gauche qu'il faut attribuer
férieur du côté droit pourrait aussi être conséquence des effets de
pression
, le côté droit ayant peu à peu suppléé au gauche
, dont l'empreinte est si marquée des deux côtés du crâne (signe de
pression
), n'irriguent pas le cerveau. Les altérations
s haut parlenl toutes en faveur d'une augmentation permanente de la
pression
intracrânienne. Mais ce phéno- mène seul n'expl
c de Syl- vius : il faut absolument qu'il fonctionne (1), sinon une
pression
intra- crànienne exagérée et accompagnée d'oedè
les causes de l'ano- malie crânienne elle-même et des phénomènes de
pression
permanente qui l'accompagnent. Dans notre obser
séquence d'un canal osseux trop étroit. Elle est en rapport avec la
pression
intracrânienne et intraventriculaire exagérée,
en résulte ; . 2° La paralysie de la IIIe paire dépend aussi de la
pression
intraventri- culaire. C'est une paralysie nuclé
e inférieure et lombaire supérieure. Par contre, la palpation et la
pression
sur les masses musculaires lom- baires sont net
cielle et profonde reste négatif ; pinçon, épingle, chaud et froid,
pression
, diapason, sens muscu- laire sont bien sentis e
de médecine d'Athènes. On sait que des études ont été faites sur la
pression
et la ligature des artères carotides aussi bien
carotides aussi bien chez l'homme que chez les animaux. De même la
pression
et la ligature de ces artères ont été faites chez
leur historique. Les études de Griesinger, Concato et Naunyn sur la
pression
des caroti- des, quoiqu'ayant été faites dans u
emps, je me suis occupé d'études de clinique expé- rimentale sur la
pression
des carotides chez les épileptiques, dernière-
é épileptique ou hystérique. - J'ai donc essayé de provoquer par la
pression
des carotides une anémie cérébrale instantanée
gras, à cou très court ou ayant des amvg- dales'hyperlrophiques, la
pression
parfaite des carotides est quasi impos- sible.
pression parfaite des carotides est quasi impos- sible. De même la
pression
des carotides est parfois impossible à cause de
s sur elles. Après nous être assuré que nous pou- vons pratiquer la
pression
des carotides, nous le faisons brusquement et e
les épileptiques artério-scléreux, nous n'avons jamais pratiqué la
pression
, pensant qu'en de pareilles circonstances de tell
, âgées de 18 à 30 ans, ayant choisi des individus chez lesquels la
pression
était praticable; nous ne l'avons cependant jamai
s en général. Anesthésie de la cor- née, pas d'autre symptôme. A la
pression
des carotides elle perd immédiatement connaissa
nd il revient à lui, il sent une fatigue générale et du vertige. A la
pression
des. carotides, perte de conscience, puis légèr
e- ment s'est plaint d'une céphalée intense survenue le matin. A la
pression
des carotides, immédiatement perte de conscienc
ucune différence entre les réflexes des deux moitiés du corps. A la
pression
des ca- rotides, il perd immédiatement conscien
gique, sauf cependant une exagération des réflexes en général. A la
pression
des carotides, perte de cons- cience immédiate
xagération des réflexes en général, anesthésie de la cor- née. A la
pression
des carotides, perte immédiate de conscience et c
sente plusieurs cicatrices de la laugue provenant de morsures. A la
pression
des carotides, immédiatement perte de cons- cie
de la cornée, intelligence bornée. Réflexes phy- siologiques. A la
pression
des carotides, immédiatement perte de connaissanc
actuel. Anesthésie de la cornée, réflexes exagérés en général. A la
pression
des carotides, immédiatement perte de conscience,
duré pendant 15 jours. Etat actuel. - Anesthésie de la cornée. A la
pression
des carotides, immé- 62 TSIMINASKIS diatement
t actuel. Réflexes très exagérés, pas d'autres symptômes. A la com-
pression
des carotides, immédiatement perte de conscience
ctuel. Léger tremblement des membres supérieurs à l'extension. A la
pression
des carotides, perte de conscience avec convulsio
t même depuis un an. , Dans les 42 cas, sans aucune exception, à la
pression
des carotides est survenu l'accès hystérique ou
s, ayantpris mes "précautions pour ne pas les suggestionner. Par la
pression
des ovaires, je n'ai pu obtenir l'accès que che
erf et des vais- seaux. L'examen du pouls radial et l'étude de la
pression
artérielle au moyen du sphygmomanomètre de Pach
laire concomitante. L'étude des commémoratifs, du pouls et de la
pression
artérielle con- firmera d'ailleurs bien souvent
relief le fait que les réactions électriques sont peu touchées, la
pression
artérielle égale à celle du côté opposé, les trou
au chaude. Le refroidissement est sans effet sur la tonicité. 11.
Pression
. - Le manomètre de Pachon fournit les résultais s
otricité et température. Très léger refroidissement habituel. 1 \ .
Pression
: ' 88 LAIGNEL-UVASl1NE ET PAUL COURBON griff
ide. La main malade conserve un peuplus la chaleur que la saine. 9.
Pression
. - Pachon : 90 LAIGNEL-LAVASTINE ET PAUL COURBO
thermiques ; la main malade garde plus longtemps la chaleur. il.
Pression
: 92 LAIGNGL-LAVASTINE ET PAUL COURBON main e
s, ni thermiques. La main malade perd plus vite la chaleur. . Il.
Pression
: . 94. LAIG1VEL-LAVAS1'rNE ET PAUL COURBON a
eur que l'autre. seize déformations PARATONIQUES DE la main 95 9.
Pression
. - L'appareil Pachon fournit le résultat suivant
aso motricité et température. - Léger refroidissement habituel. 11.
Pression
: 100 LAIGNEL-LAVASTINE ET PAUL COURBON baïon
ns l'eau chaude, la main malade garde plus longtemps la chaleur. 9.
Pression
. Pachon : SEIZE DÉFORMATIONS PARATONIQUES DE LA
ude, la main malade se refroidit un peu plus vite que l'autre. 9.
Pression
. Le manomètre Pachon fournit les résultats suivan
t plus vite que l'autre, après avoir été trempée dans l'eau chaude.
Pression
. Pachon : . SEIZE DÉFORMATIONS PARATONIQUES DE
s-jacente aux deux cicatrices, surtout à celle du bord cubital ; la
pression
y est douloureuse. 7. Réflectivité. Normale.
la chaleur. Le réchauffe- ment ne diminue en rien la raideur. 11.
Pression
: SEIZE DÉFORMATIONS PARATONIQUES DE LA MAIN 10
s-. 10. Vaso-motricité et température. - Pas de modification. 11.
Pression
: 108 LAIGNEL-LAVASTINE ET PAUL COURBON vité
mécanique. Sudation au niveau des doigts dès qu'il fait chaud. il.
Pression
: SEIZE DEFORMATIONS PARATONIQUES DE LA MAIN 11
bles trophiques apparents. Il. Réflectivité. Rien à signaler. 12.
Pression
. 13. Interprétation. L'abduction extrême du pre
nte à droite un oedème très prononcé de la main et des doigts. A la
pression
on a la sensation d'un empâtement mollasse dans
ais un peu moins marqué à leur extrémité. Cet oedème est mou, et la
pression
sur le dos de la main y détermine facilement un
ignet. Il n'y a pas de douleur au repos, mais tout contapt ou toute
pression
des 3,e ! Jt 46 doigts paraît partiçuljèrenieiit
e, en poing demi- fermé. Matrice des ongles épaissie. Douleurs à la
pression
(PI. XXVIII, E). Passivement les doigts peuvent
pouls droit est beaucoup plus petit que le gauche et filiforme ; la
pression
artérielle, mesurée au Potain, est de 28 à gauc
, etc.), soit simplement par les signes cliniques (pouls filiforme,
pression
artérielle diminuée, etc.). Pourtant, comme M.
doute par des manoeuvres répétées de traction sur le poignet et de
pression
sur la main, de façon à relâcher ses ligaments.
uoique un peu moindre, du pli transversal inférieur, une légère dé-
pression
du pli moyen, un bourrelet entre les deux plis et
latoire : Normal. Pouls 72, rythmique récurrent. Bonne ten- sion.
Pression
: 151ninximum, 10 minimum. Le malade a été opér
niforme. Il y avait deux kystes. Quand on a ouvert la dure-mère, la
pression
est tombée et la respiration cessa. Après l'app
espiration s'est rétablie. Après que la tumeur eut été extirpée, la
pression
est de nouveau descendue. Nouvelle crise respir
uleur extrêmement vive dans la zone épi- gastrique, exagérée par la
pression
; sous la zone hépatique, point douloureux 200
ion ; sous la zone hépatique, point douloureux 200 ' ETIENNE à la
pression
. Tête très mobile. Pas de raideur de la nuque. Ré
es normaux ; pas trace de Kernig. Douleurs vives , exagérées par la
pression
, dans les zones hépatique et épigastrique. Douleu
igastrique et hypogastrique droites, douleurs très exagérées par la
pression
. 3. T. : 35°3 à 36°. P. : 62. Impotence compl
de M. Salanier, après extraction de 25 centimètres cubes sous forte
pression
. 8. Aucune réaction méningée. Frisson dans la n
res régions, sensibilité musculaire conservée. Pas de douleurs à la
pression
des muscles ; atrophie musculaire ; pas de contra
rral des voies digestives. Montée de T. : 37°5. Les douleurs à la
pression
des masses musculaires sont moins vives. La dou
ion lombaire donne issue à un liquide parfaitemeut limpide avec une
pression
renforcée. L'examen de ce liquide est resté négat
vée. Sensibilité normale au niveau des cuisses. Pas de douleurs à la
pression
dans les mollets. Mollets mous ; atrophie muscu
ÉPIDÉMIES MILITAIRES 209 \ 10. -'Sein gauche gonflé, sensible à la
pression
. Aucun ganglion dans l'aisselle, sans adhérence
agitée. Douleurs dans les jambes et dans les cuisses. Douleurs à la
pression
dans la masse musculaire. Céphalée vive. Raid
T. : 37 ? Dans la soirée, ponction lombaire. Liquide normal et sans
pression
. 7. La céphalée parait diminuée. Urines : 1.5
du pied des deux côtés. \ Le malade ne peut marcher. Douleur à la
pression
de la colonne lombo- sacrée. La céphalée a disp
22. Epistaxis peu abondant. L'excitabilité réflexe s'atténue et la
pression
au niveau de la colonne verté- brale est beauco
sthésie est nette. Hyperesthésie, au contraire, à la piqûre et à la
pression
dans l'obser- vation V. Les douleurs spontané
s. IV, V, VIII, XI), douleurs plus vives (obs. V). En aucun cas, la
pression
au niveau des émergences nerveuses n'a ren- for
rgences nerveuses n'a ren- forcé la douleur notablement plus que la
pression
des muscles ou de l'os. ' Les viscéralgies extr
u cours du 4e jour de la période d'état, le liquide s'écoulait sans
pression
, clair comme de l'eau de roche, ne donnant pas
cubes de liquide, de constitution identique, s'écoulent sous forte
pression
. Pression augmen- tée du liquide clair comme de
liquide, de constitution identique, s'écoulent sous forte pression.
Pression
augmen- tée du liquide clair comme de l'eau de
; avec, pendant la période précoce, une légère augmen- tation de la
pression
, accroissement constant des protéides, et pleiocy
le. Les mouvements ne causent pas de douleurs ; pas de douleur à la
pression
. Réflexes rotuliens normaux. « Réflexes plantai
l'urine. 27. - On trouve, en faisant l'examen par le rectum, que la
pression
au côté antérieur du coccyx et du sacrum cause
le côté postérieur du sacrum, on n'obtient pas de dou- leurs par la
pression
. 228 PETREN 29. Le signe de Lasègue est posit
on. 228 PETREN 29. Le signe de Lasègue est positif (à 60°), et la
pression
sur le grand nerf sciatique cause un peu de dou
nous trouvons une quantité de mercure de 1,8 milligramme. 17. La
pression
sur les grands nerfs sciatiques et même à côté de
ant l'examen du rectum, on ne trouve pas maintenant de douleurs par
pression
. Pas de signe de stomatite. 19. L'éruption syph
ègue, et les troncs du grand sciatique étaient très douloureux à la
pression
, c'est-à-dire qu'il y avait nombre de phénomène
n cubi- tal avec des douleurs spontanées, fortes, des douleurs à la
pression
de l'olécrâne du même côté et ensuite des doule
e durée inconnue. Polynévrite assez typique. A la ponction lombaire
pression
un peu augmentée et une faible réaction de Was-
es jambes, sensibilité normale, les troncs ner- veux sensibles à la
pression
, les réflexes exagérés, ataxie considérable des
'une lésion nerveuse. Le point d'Erb est d'ailleurs douloureux à la
pression
; et l'in- tégrité des muscles de l'épaule dont
es omoplates ; elle peut à peine les lever, et avec une très légère
pression
, on arrive à empêcher le mouvement. Impossibilité
éritable, les téguments ne présentant pas de godet à la suite de la
pression
digitale, représente un trouble identique, à no
orce dynamométrique : main droite, 22 ; main gauche, 21 (échelle de
pression
). Diadococinésie. Il n'y a pas d'ataxie, d'apra
lement. Céphalée frontale, plus forte à droite, qui augmente par la
pression
oculaire et frontale. Photophobie. Torpeur. Ell
MONIZ appréciables, d'aspect uniforme et brillant à l'oeil nu. Par
pression
ne donne pas de suc. ' Les coupes faites perp
gnaler. La température : 37 ? Le pouls ; 95 à la minute, rythmé. La
pression
de sang (selon Riva-Rocci et avec une large man
agments de cylin- dres granuleux. A cause de l'augmentation de la
pression
du sang, des symptômes d'hyper- trophie du coeu
o- sité cérébrospinale a présenté une forte coloration sanguine. La
pression
est enregistrée 250 millimètres. On fait écoule
du côté droit. , 1 Une nouvelle ponction lombaire a été pratiquée.
Pression
: 210 millimètres ; 10 centimètres cubes du liq
es doigts dans le champ visuel gauche. Nouvelle ponclion lombaire ;
pression
: 120, globules rouges : 56.000, blancs : 300 p
ne, mais y arrive à peu près sans marquer de sensations de douleur.
Pression
du sang : 135 millimètres mercure. La températu
d'altération chronique. Les symptômes d'hypertrophie du coeur, la
pression
un peu élevée du sang, ainsi que la présence da
sidération des cas d'hémor- ragies méningées à l'état urémique avec
pression
surélevée du sang, que l'on trouve décrits dans
difications de l'hé- mianopsie sont expliquées par la différence de
pression
des masses de sang dans différentes occasions.
ombaire, dans la position couchée (côté gau- che), on a observé une
pression
de 190 millimètres. 12 centimètres de liquide s
12 centimètres de liquide sanguinolent ont été obtenus. Sur quoi la
pression
est descendue jusque ,1 .. (.C)\UO12.\l'Fill. m
. Le pouls : 86. 7 heures du soir. Nouvelle ponction lombaire. La
pression
: 210 millimètres. Un liquide clair légèrement
mbait furtemeut au-dessus de la ligne du milieu, exerçant une forte
pression
sur l'hémisphère gauche. A la palpation, on a tro
es ménin- gées dans les maladies qui amènent une augmentation de la
pression
du sang, surtout les néphrites chroniques. A l'
iers peuvent être attribués à l'action de choc sur le névraxe, à la
pression
exagérée du sac durai et à l'influence irritant
le jet de sang produit aux environs de la rupture, mais aussi de la
pression
que les masses de sang exercent là où elles . s
s un de ses cas. Il en énonce la conjecture qu'elle dépendait de la
pression
du sang épanché sur la bandelette optique. Dans m
age ne lui a pas été disponible en original) en lui attribuantl'ex-
pression
« leptoméningite hémorragique, débutant comme l'a
r une maladie qui se distingue en principe si peu de celle-ci. La
pression
augmentée, qui se produit après une hémorragie da
ion lombaire, une partie du liquide cépha lorachid ien s'écoule, la
pression
s'abaisse et en conséquence une nouvelle possib
exemple un profond coma de longue durée permet de soupçonner une
pression
intra-cérébrale si exagérée que la vie soit en da
e soit en danger, on semble être autorisé à essayer d'alléger celle
pression
. Dans le coma, les risques sont toutefois si gr
u'on ne doit pas craindre une nou- velle hémorragie en abaissant la
pression
au la ponction lombaire. De l'autre côté, il se
s numériques qui permettent de nous former une opinion exacte de la
pression
cérébrale pendant le processus héntafo- lytique
la la ponction lombaire, pour caractériser les différents degrés de
pression
.Froin fait ressortir que l'écoulement est plus
ection. Sans doute, on a le droit de'comparer, l'exacerbation de la
pression
cérébrale et les symptômes tardifs d'irritation
ombaire doit être d'une grande utititéthérapeutique en allégeant la
pression
et en éloignant les éléments sanguins'décomposés.
s, il est nécessaire de bien observer l'abaissement de sorte que la
pression
normale ne tombe pas au-dessous de 100 millimètre
etite que la gauche, le tonus des deux, globes oculaires égal. La
pression
artérielle, prise à l'avant-bras avec l'oscillomè
- à droite : 16-9-3 » à gauche : 15-9-3 respectivement pour les
pressions
maxima, minima et l'amplitude maxima des oscill
ît paradoxal, de même d'ailleurs que l'abaissement corrélatif de la
pression
artérielle du membre supérieur gauche (Mx. : 15
ilitude avec les syndromes Babinski-Froment. Il faut révéler par la
pression
digitale l'hyperesthésie du tronc nerveux. On c
nstate ainsi que le sujet est désa- gréablement impressionné par la
pression
au niveau du point d'Erb du côté malade et même
donnée clinique que fournit l'hyperslhésie des troncs nerveux à la
pression
. Les syndromes frustes d'irritation du plexus b
achial (C V et C VI) est démontrée cliniquement par la douleur à la
pression
des divers éléments du plexus brachial et élec-
xus brachial est démontrée cliniquement par l' l'hyperesthésie à la
pression
du poiut d'Erb, du nerf circonflexe, du nerf radi
De plus, tous les muscles atrophiés sont légèrement sensibles à la
pression
. La distribution des lésions permet d'incri- mi
participation du plexus brachial est manifestée par la douleur à la
pression
au niveau des divers éléments de ce plexus. L'étu
est mise eu évidence cliniquement par l'existence de douleurs à la
pression
au niveau du point d'Erh, du mé- dian, du radia
xus brachial est manifestée cliniquement par l'hyper- esthésie à la
pression
au nivean du point d'Erb et da médian. Les autres
urs spon. tanées et une forte hyperesthésie des troncs nerveux à la
pression
. L'examen électrique ne révèle aucune lésion pa
ervés. La circulation est normale et les deux poufs radiaux ont une
pression
de 12-18. L'articulation de l'épaule semble cli
e de l'épaule qui ne-paraisse douloureuse. A plus forte raison, les
pressions
même légères sont-elles mal supportées. Ainsi e
de l'omoplate sur le tra- versin pendant la nuit et, le jour, de la
pression
de la capote sur les épaules. Cette pression es
uit et, le jour, de la pression de la capote sur les épaules. Cette
pression
est si désagréable que le sujet préfère ne pas so
le médian, sont en effet nettement et électivement douloureux à la
pression
digitale. Au niveau du point d'Erb, la pression
ent douloureux à la pression digitale. Au niveau du point d'Erb, la
pression
paraît même intolérable. Il existe en outre une
ation du plexus brachial démontrée par l'existence de douleurs à la
pression
au niveau du point d'Erb et du tronc du médian.
comme d'ordre réflexe si l'on n'examinait le plexus brachial. La
pression
digitale au point d'Erb et au niveau du médian dé
ompression auriculaire est suivie d'autres phénomènes, affectant la
pression
artérielle et la respiration, phénomènes décrit
aint de fourmillements intermittents particulièrement aux mains. La
pression
des troncs nerveux est douloureuse, mais ne déter
. L'auscultation du coeur ne révèle-pas de lésions vàlvulaires ; la
pression
artérielle est augmentée (20-14) ; peut-être es
s condyles tibiaux ou fémoraux, on ne détermine aucune douleur à la
pression
; l'exploration osseuse fut beaucoup plus facile
her comme deux haricots, de consistance moyenne, peu sensibles à la
pression
. F... affirme avoir souvent des érections matinal
(t) PENDE, op. cit., p. 133. ' DYSTROPHIE GÉNITO-GLANDULAIRE 415
pression
est admise aujourd'hui), les traits de la virilit
bdomen. La colonne vertébrale n'est pas déviée et est indolore à la
pression
. Les masses musculaires sont également indolore
ntre, les masses musculaires sacro-lombaires sont douloureuses à la
pression
. Sur l'abdomen on remarque trois plis transversau
. La masse musculaire sacro-lombaire est également douloureuse à la
pression
. Lorsque l'on fait coucher le malade par terre,
: de même la masse musculaire sacro- lombaire est douloureuse à la
pression
, mais moins que la colonne vertébrale. Si on fa
la malade, il n'y aurait pas de différence entre les deux côtés ; la
pression
sur une seule de ces régions ne détermine pas d'a
ces régions ne détermine pas d'attaques, mais la « fait avaler. » La
pression
simultanée, et assez énergique, produit aussitôt
, et assez énergique, produit aussitôt une crise convulsive ; 2° La
pression
est douloureuse de chaque côté de la cinquième ve
nt Y aura ; 3° Les deux régions ovariennes sont hyperesthésiées. La
pression
donne lieu à la sensation de boule ; cette sensat
point douloureux à la partie centrale du flanc gauche. Toutefois, une
pression
même un peu forte est, aujourd'hui, impuissante à
ons du corps, en général très circonscrites, au niveau desquelles une
pression
plus ou moins forte produit dans un temps variabl
la traction des cheveux, le passage du doigt ne sont pas perçus. Une
pression
même modérée, le passage brusque du peigne, sont
ême modérée, le passage brusque du peigne, sont douloureux. Une forte
pression
calme la souffrance. Il existe une douleur sponta
éférence après les attaques ; avant, il n'y a rien de semblable. — La
pression
ne produit pas de crise con-vulsive, ni aucun des
le, au pincement. Pas de douleur spontanée en dehors des attaques. La
pression
développe très promptement une grande attaque.
s légère excitation; — les autres ne déterminent d'attaques que si la
pression
a été énergique, et après un temps assez long; —
ique, et après un temps assez long; — enfin, il en est d'autres où la
pression
ne parvient à produire que quelques-uns des phéno
t de la région ovarienne. A ce niveau, l'anesthésie est complète. Une
pression
d'intensité moyenne fait éclater une attaque comp
La rachialgie n'intervient pas dans le développement de l'aura. La
pression
sur les apophyses vertébrales correspon- dantes
s convulsions n'éclatent que 10 à 15 minutes après l'excitation. La
pression
sur la région sous-mammaire agit plus vite ; mais
par excellence c'est la région sus- Fiff. S. inguinale : là, une
pression
modérée détermine en quelques secondes une attaqu
ntre (tympanite) et de la tension des muscles abdominaux. — Une forte
pression
sur la région sous-mammaire donne les mêmes résul
rant 8 minutes. On voit que, chez M..., il y a trois régions où une
pression
, plus ou moins intense, détermine en un temps p
a septième vertèbre cervicale ; la gouttière gauche est sensible à la
pression
qui est de nul effet dans la gouttière droite. La
étruite dans la région correspondante à la rachialgie. C'est là où la
pression
détermine surtout et promptement une attaque hyst
voquée. (Fig. 2.) 4° Point douloureux au centre du flanc gauche. La
pression
donne lieu à une sensation d'étouffement. Pas d'a
5° Hyperesthésie ovarienne gauche, avec insensibilité de la peau. La
pression
ne détermine pas d'attaque. La compression ovarie
aralgie, rachialgie, région latéro-mammaire droite. — Influence de la
pression
. — Rôle des régions hystérogènes dans Y aura. D
s, est sensible. Au niveau des 16e, 17e, 18e vertèbres dorsales, la
pression
provoque une attaque que ne suspend pas une surpr
nt à expliquer les phénomènes notés du côté de la tempe droite. Une
pression
, même modérée, sur la région ovarienne gauche, dé
des gouttières gauches des 5e, 6e, 7e et 8e vertèbres dorsales où une
pression
même légère suffit à provoquer une attaque sur-le
e examen, malgré l'attention que nous apportions à ne pas exercer une
pression
trop forte, nous avons déterminé une attaque. L
tte qu'à droite et par conséquent il n'y a pas d'hyperesthésie. — Une
pression
vigoureuse ne nous a point paru suspendre les con
sur 4 selon la malade) et vers le milieu du bord externe du sein. Une
pression
légère a provoqué une attaque que nous avons pu a
. La production artificielle de l'attaque est la plus rapide par la
pression
de la région hystérogène vertébrale, puis par cel
ticipe pas aux phénomènes de l'aura. Provoque-t-on une attaque par la
pression
des apophyses épineuses, aussitôt, B... a eu seco
e chatouillement simultané des deux zones est plus vif à gauche. La
pression
d'une seule zone ne détermine d'attaque qu'à la c
e zone ne détermine d'attaque qu'à la condition d'être très forte. La
pression
, même modérée, des deux zones à la fois amène une
au plus dix minutes. La rachialgie ne subit aucune modification. La
pression
sur la région ovarienne ne provoque pas d'attaque
celle des flancs. — Leur intensité n'est pas la même : tandis que la
pression
sur la région rachidienne n'est suivie d'attaques
ion des zones hystêrogènes. — Certaines attitudes peuvent empêcher la
pression
sur les régions hystêrogènes de produire une atta
des 7e, 8e et 9e vertèbres dorsales, échappe parfois aux effets de la
pression
en portant les épaules en arrière, en incurvant f
e catégorie de symptômes; on les voit répondre de moins en moins à la
pression
et enfin, ne plus y répondre du tout. L'observati
ne de chaque côté du sternum, au niveau du 4e espace intercostal : la
pression
détermine un peu d'oppression. — 3° Zone latéro-m
timètres environ au-dessous de l'épine iliaque antérieure gauche : la
pression
occasionne les sensations de « quelque chose, qui
et fait étouffer ». — 5° Hyperesthésie ovarienne gauche. Une forte
pression
n'amène pas d'attaques ; il n'y a pas de douleurs
rès intense chez elle, agissant instantanément sous l'influence de la
pression
, a presque complètement disparu et la pression es
sous l'influence de la pression, a presque complètement disparu et la
pression
est de nul effet. — Chez cette même malade, alors
s hystérogènes, jouit d'une double propriété : souvent à l'aide d'une
pression
modérée, il est possible de faire éclater une att
l était facile d'arrêter les attaques en cours, en exerçant une forte
pression
sur la principale région hystéro-gène2. Nous ra
on clou hystérique. L'attaque en cours est facilement arrêtée par une
pression
énergique. de l'hyperesthésie ovarienne, et qu'
Si ceux-ci ne sont pas à plat, les orteils se con-tracturent. — Toute
pression
, même modérée est très pénible. — Lait glacé, bai
les, mais ces symptômes sont moins prononcés qu'il y a deux jours. La
pression
, supportable sur les bras, reste très douloureuse
u côté droit. 1° Zones hystérogènes. — Clou hystérique. — Rien à la
pression
; mais, un peu en arrière de l'angle antérieur des
feste surtout avant les attaques. 2° Hyperesthésie des flancs. — La
pression
simultanée des flancs, tout près du rebord des fa
out près du rebord des fausses côtes, détermine de la suffocation; la
pression
sur le flanc gauche donne lieu à une simple gène
flanc droit rien. 3° Point latéro-mammaire. — En dehors du sein, la
pression
produit une sensation de serrement au cœur, avec
eux dernières vertèbres dorsales, prédomine dans les gouttières. La
pression
fait mal « comme quelque chose qu'on enfoncerait
rdant ». La douleur répond à l'épigastre , amène de ia dyspnée. Si la
pression
est forte, il survient une attaque. Le frôlement
sommeil. — Amaurose hystérique. — Zones hystérogènes. — Effets de la
pression
. — Prodromes et symptômes des attaques de sommeil
, à 10 heures du soir. Elle dort encore ce matin, à la visite. Par la
pression
au-dessous du sein gauche (zone hystérogène), M.
membres, pas de catalepsie. Elle est réveillée, sans attaques, par la
pression
de la région sous-mammaire; elle est mécontente,
de contracture. Une de ses compagnes a provoqué deux attaques par la
pression
de la zone hystérogène : la parole est revenue. —
fuse de divulguer ce qu'elle voit. — Une attaque est provoquée par la
pression
sur la partie àw. sternum qui correspond aux troi
de la dixième vertèbre dorsale; 4° la région sous-mammaire droite. La
pression
sur ces différents points donne lieu à des attaqu
le sent une boule qui remonte 46 à l'estomac, puis à la gorge. La
pression
sur l'une ou l'autre de ces régions est douloureu
avec suffocation. Ces phénomènes paraissent plus intenses lorsque la
pression
s'exerce sur la région ovarienne gauche. — Par mo
out à droite et au niveau des trois premières vertèbres dorsales : la
pression
exagère d'abord cette douleur, qui diminue ensuit
oit le pincement, mais non le simple contact et le chatouillement. La
pression
sur les régions ovariennes détermine une vive dou
s ces zones, la sensibilité reste obtuse, il faut que la piqûre ou la
pression
soient assez fortes pour être perçues ; le simple
être employés pour mettre fin aux attaques de sommeil. Telles sont la
pression
sur une région hystérogène (alors le sommeil surv
— 3° zones latéro-mammaires, avec prédominance du côté droit : par la
pression
simultanée, on détermine sur-le-champ une attaque
II, p. 183.) — 1° Ovaralgie droite ; anesthésie cutanée complète; la
pression
de l'ovaire ne détermine pas d'attaques. — 2° Zon
ensibilité est conservée dans une largeur d'un centimètre et demi; la
pression
simultanée des deux zones produit une attaque. —
ttaque. — 3° Clou hystérique] la peau correspondante est sensible; la
pression
ne donne pas d'attaques, mais occasionne un malai
ne largeur de trois centimètres ; cette zone est la plus active ; une
pression
, même modérée, détermine immédiatement une attaqu
elle d'une pièce d'un franc. Il n'y a pas de douleur spontanée. Parla
pression
, on détermine une douleur vive qui s'irradie vers
empes. —La sensibilité, dans ces zones, existe, mais est obtuse. — La
pression
ne provoque pas ..d'attaques.—Elles ne participen
ns une étendue de trois centimètres de diamètre (contact, piqûre). La
pression
produit une douleur comparée par la malade à un c
t une douleur comparée par la malade à un coup qu'on se donne ; si la
pression
est forte, elle éprouve une constriction vers l'é
ques qui n'ont d'autre effet que de rendre plus vifs les effets de la
pression
. Si celle-ci est énergique, elle produit une atta
st énergique, elle produit une attaque, mais moins promptement que la
pression
exercée sur la zone rachidienne. Un jour, en se c
ux ostéo-fibreux, inextensibles, les grands amas de sang noir dont la
pression
aurait été funeste à la substance nerveuse.Enfin
ace antérieure. Enfin son épaisseur et sa densité augmentent avec les
pressions
habituelles qu'elle subit : c'est ainsi que, par
cuisse, au voisinage du bassin. Dans les points où s'exerce une forte
pression
sans mobilité, elle prend une épaisseur et une de
e commune, ou l'aponévrose plantaire , destinée à supporter d'énormes
pressions
, est la plus forte de toutes celles du corps huma
ré leur minceur, il est remarquable à quel point elles résistent à la
pression
et peuvent se conserver intactes dans le voisinag
n'ont pu être si solides que, dans beaucoup de cas, ils ne cèdent aux
pressions
qu'ils ont à supporter : c'est ce point de vue dy
s. La largeur des orifices diaphragma-tiques des gros vaisseaux et la
pression
des viscères, soit par le fait de la gravitation
de la situation déclive de ces orifices, ils cèdent lentement sous la
pression
des viscères mobiles, soit l'intestin, ou, plus f
uinal n'échappe pas aux inconvéniens de sa situation déclive, sous la
pression
des viscères. On sait, en effet, que la hernie in
de leraillenient et de l'alongcment des adhérences fibreuses sous la
pression
continue des viscères. De cette théorie il résult
pres, et se trouvant modifiée dans ses formes et son extension par la
pression
des aponévroses, et dans ses complications par le
t volume de ces vaisseaux, la texture serrée des parties molles et la
pression
déterminée par le voisinage des os, sont les caus
ettant la dilatation des membranes rachidiennes et de la peau sous la
pression
du fluide cérébro-spinal, donne lieu à la maladie
onditions anatomiques dont la coïncidence avec les frot-temens et les
pressions
dont elle est le siège, explique la fréquence des
tique pour entrer clans la cuisse, circonstance qui rend compte de la
pression
accidentelle de ces nerfs dans la station assise.
lipomes. Profondément la dilatation des orifices vascu-laires sous la
pression
des viscères, donne lieu dans des cas très rares
xal est quelquefois affecté de fractures, soit par attrition sous une
pression
énorme, soit par un choc direct dans la crête ili
s en rapport. Quant aux parties composantes, la peau, soumise à des
pressions
fréquentes,est âpre, rugueuse et ridée en regard
s la main par la naissance des éminences thénar et hypothénar. Par la
pression
du doigt au travers des chairs, on y sent de chaq
. Transversalement une dépression circulaire, facile à sentir sous la
pression
du doigt, indique la hauteur du plan inter-arti-c
la veine et le nerf saphènes postérieurs et leurs ramifications ; la
pression
qu'éprouvent les veinules au-dessous du mollet, a
réquemment parcourue par des végétations épi dermiques causées par la
pression
des chaussures en regard de la saillie des tendon
xtension du pied. 2° Couche sous-cutanée. Disposée en vue d'une forte
pression
habituelle, elle présente dans cette région une d
nt de végétations épiderrniques, sur les saillies tendineuses, par la
pression
des chaussures. 2° Couche sous-cutanée. Formée pa
ne fait que terminer la demi-voûte transversale et ne supporte qu'une
pression
légère, est beaucoup plus mince. RÉGION PLANTAI
dans la portion voûtée médiane comprise entre les deux coussinets de
pression
sous-calcanien et sous-métatarsien , où elle est
le forme une conclu; isolante très épaisse, destinée à protéger de la
pression
du sol les parties molles sous-plantaires; de for
saillies articulaires, des nodosités épidermiipies déterminées par la
pression
des chaussures. Les deux orteils extrêmes, plus e
le rapprochement habituel des orteils. Les faces latérales, par leur
pression
commune, sont fréquemment le siège de cors très d
pulpe, arrondie en un bourrelet demi-sphérique, la peau, soumise à la
pression
, prend une grande épaisseur, ef forme sur les bor
vent douloureux. Enfin, le refoulement vers l'ongle, déterminé par la
pression
, plus commun sur les deux orteils extrêmes qui fo
er immédiatement, puis lier le vaisseau, et pratiquer sans retard des
pressions
méthodiques et de légères secousses sur la paroi
ciant, ou, ce qui nous paraît plus exact, en sciant avec l'aide d'une
pression
, car c'est l'action de scier qui joue le rôle pri
ment qui les comprime avant de se laisser pénétrer. Mais si, après la
pression
la plus légère, on tire l'instrument clans un sen
ment des tissus fermes et résistans, tandis qu'il faudra une force de
pression
et un degré de tension beaucoup plus considérable
te sûreté de la main, qui fait que le chirurgien, habile à graduer la
pression
, n'incise jamais ni trop ni pas assez profondémen
ons vu que, sans cette précaution, les tissus flasques fuient sous la
pression
de l'instrument, en formant des rides au-devant d
vant du tranchant ; et, si on essaie de vaincre la résistance par une
pression
plus forte, on risque de pénétrer de suite beauco
. La sécheresse et la dureté de la peau n'influent pas moins sur la
pression
à employer que la résistance des tissus sous-jace
constances pour y proportionner la tension à donner aux parties et la
pression
exercée sur l'instrument. 3° Application du bis
milieu, à faciliter la section des chairs en augmentant à volonté la
pression
. Enfin, l'annulaire et le petit doigt, fléchis co
et l'on peut guider la profondeur à laquelle il doit pénétrer par la
pression
de 1 indicateur de l'autre main sur le plat de la
t de la main de gauche à droite, on incise les parties en graduant la
pression
suivant la profondeur à laquelle l'instrument doi
l'incision avait été commencée de dehors en dedans, on conçoit que la
pression
nécessaire pour la continuer mettrait en danger d
vre le trajet courbe que doit avoir la section. L'opérateur, par la
pression
déterminée avec le bord cubital ou l'extrémité de
décrite. Lorsqu'elle est parvenue au fond du foyer, on abaisse par la
pression
du pouce 1 ecusson de la sonde sur le doigt indie
Ici, au contraire, chaque denticule, en tombant, doit produire par la
pression
tout l'effet nécessaire; la section dans tous les
ant d'être coupées, elles éprouvent successivement tous les degrés de
pression
intermédiaires. La contusion qui est la suite de
ion, suivant que l'épaisseur et la résistance des parties exigent une
pression
plus ou moins forte, on pique brusquement, d'un s
uvrir de petits abcès ; on aide à la sortie du liquide par de légères
pressions
: toutefois on ne doit pas, dans le but d'obtenir
n masse est employée, suivant les cas, pour deux indications : i° par
pression
modérée, dont l'effet est de gêner ou d'intercept
xtrémités du lien aussi fortement qu'il est possible; un aide, par la
pression
du doigt, assujettit ce premier nœud pendant qu'o
btenir un effet continu avec un même lien dont on gradue à volonté la
pression
à divers temps, de manière à serrer ou relâcher à
, et que l'on dépose sur la partie malade en exprimant le liquide par
pression
, et pénétrant avec soin dans la profondeur de la
en crayon pour l'insinuer dans les cavités; en touchant on gradue la
pression
suivant la profondeur à laquelle doit agir la cau
la profondeur des parties que l'on veut détruire, en graduant par la
pression
l'action du caustique. Les trochisques, autrefois
l'instrument, permet de les assujettir l'une à l'autre par une vis de
pression
; en sorte qu'un même manche peut servir pour plus
cautère diminue de température, l'opérateur doit exercer une moindre
pression
sur les parties, dans la crainte cpie, par leur d
le on opère sur les tissus, à l'aide de divers moyens mécaniques, une
pression
dont l'objet répond, suivant les circonstances, à
ysique, on retrouve la théorie du levier : une puissance qui agit par
pression
, un point d'appui pour la force, et une résistanc
trajet des vaisseaux, son siège le plus habituel, il détermine, parla
pression
des nerfs, des lymphatiques et des veines, des do
crochets mousses, ou, mieux, les doigts d'aides intelligens, dont la
pression
et les cléplacemens s'har-monient mieux avec les
e que le spasme des parties soit un peu dissipé avant de reprendre la
pression
. En opérant ainsi avec prudence, on parvient souv
s ou du membre ménagée de telle sorte que la plaie ne supporte aucune
pression
. Les organes qui en font partie et ceux qui l'avo
ontinuité, rassemblent et en quelque sorte expriment de loin, par une
pression
lente et graduée, les lambeaux charnus et cutanés
eaux musculo-cutanés ou trop courts ou très mobiles, ou exposés à des
pressions
d'organes plus profonds : tels sont les cas de be
ints de suture les moins essentiels, et maintenant les chairs par une
pression
légère des doigts pour éviter leur traction. S'il
globes qui adhèrent à mesure qu'ils se déroulent, en refoulant par la
pression
les deux masses charnues latérales l'une à la ren
ais le radial échappe nécessairement par sa profondeur en arrière. La
pression
, du reste, ne peut être long-temps maintenue, à c
on superficielle ou assez peu profonde pour pouvoir être atteinte par
pression
ou refoulement des tissus ; 2° le voisinage d'un
'appui solide, soit une surface osseuse ou fibreuse qui réagit sur la
pression
. Moyens et procédés de compression. La compre
vier ou point d'appui osseux par rapport à l'artère, et, par quelques
pressions
lentes, ménagées avec douceur, reconnaître dans q
ans quelle direction le vaisseau tend à se déplacer pour y adapter la
pression
. 3° Dans l'application du corps comprimant, soi
ou tout autre objet de forme appropriée, diriger la résultante de la
pression
suivant une ligne perpendiculaire à-la-fois au va
l'on agit, par sa direction normale ou accidentelle. 4° Graduer la
pression
peu-à-peu, mais sans trop de lenteur, de manière
dépend moins de l'intensité que de la bonne direction de la force de
pression
. Pour en gouverner les effets, à mesure que l'on
par un mouvement de la main ou le plus souvent du malade lui-même, la
pression
se détourne de sa ligne, au lieu d'appuyer immédi
ptitude la direction première perpendiculaire au plan osseux. 7° La
pression
doit être continuée sans interruption jusqu'à ce
la transforme en cachet par un manche court qui n'éloigne pas trop la
pression
intelligente de la main. COMPRESSION MÉCANIQUE.
lacs circulaire à la manière d'une ligature en masse. Pour rendre la
pression
plus directe, la bande ou la pelote, en compriman
la précision et la rapidité qu'il exige pour suspendre et rétablir la
pression
, s'il est besoin de donner un jet de sang; (e) co
s'il est besoin de donner un jet de sang; (e) comme conséquence de la
pression
des nerfs et des veines, de ne pouvoir être maint
e par des ardillons ( Pl. 18-21), est commode pour la com- T. VI.
pression
des artères superficielles de médiocre calibre; a
ipe est le même, le membre étant compris entre deux pelotes, l'une de
pression
, l'autre d'opposition, réunies par un lacs circul
membre, en posant la pelote d'opposition en sens inverse de celle de
pression
. Sans cesser de comprimer, on engage ou on fait e
du lacs dans la boucle de l'autre extrémité, et on le fixe lorsque la
pression
par raccourcissement du lien est portée au degré
s ; (d) et enfin , ce qui est très important, de graduer à volonté la
pression
à tous les degrés par l'action de la vis, sans mê
ns de bascule dus à la longueur de la vis, qui déplacent la pelote de
pression
; mais il n'appartient qu'aux compresseurs à lacs,
ppui. Si l'une de ses branches est coupée en travers, il suffit d'une
pression
sur chaque lèvre de la plaie avec une compresse g
rébraux, trop imparfaitement suppléés par les artères basi-laires, la
pression
devrait être ménagée avec lenteur, en se contenta
rieur en dedans à la portion interne du triceps en dehors, la moindre
pression
par les quatre doigts, le pouce isolément, le gar
a même manière. Pour les collatérales des doigts, il est besoin d'une
pression
perpendiculaire assez forte sur la phalange en re
ument étant ouvert, après avoir posé perpendiculairement la pelote de
pression
dans la ligne de l'artère au fémur, on abat la ch
jarret, la jambe demi fléchie; mais comme elle est douloureuse par la
pression
des nerfs sciatiques poplités, incommode et peu s
vivans, de la facilité et de la promptitude avec lesquelles, par une
pression
très modérée, on interrompt tout battement clans
interrompt tout battement clans les artères iliaques externes. Cette
pression
même peut être maintenue quelques minutes chez un
couvert, fixé en situation relevée, un aide y exerce avec la main une
pression
molle, continuée pendant tout le temps que de for
des médius fléchis. Un premier nœud étant fait, un autre aide, par la
pression
d'un doigt, empêche qu'il ne se desserre, tandis
deux tiges cylindriques de la pince à refoulement, en remontant avec
pression
sur le vaisseau, de manière à rompre et refouler
dorsale des articulations des orteils où elles sont le résultat de la
pression
et du frottement des chaussures trop étroites. On
é seulement de couches de mucus concret superposé à la longue, par la
pression
, dans les frottemens, il donne lieu, au-dessous d
lé, il le saisit avec des pinces à disséquer, et le déchausse par une
pression
lente avec un poinçon rond ou aplati à bord émo
t une simple plaque épi-dermique peu épaisse, en regard des points de
pression
, au talon, à la surface du coussinet sous-métatar
iquide s'écoule immédiatement et il s'évacue en entier par une légère
pression
. Le même procédé s'applique à l'extraction des co
s chairs. C'est le nom d'une maladie assez commune. Par suite d'une
pression
trop forte des chaussures, les chairs étant refou
, la présente en place et, avec le fouloir pointu, la fait entrer par
pression
dans les inégalités les plus profondes» Dès que l
e répond la modification de M. Dclabarre, qui garantit la pulpe de la
pression
en commençant par la revêtir d'une petite capsule
alvéolaires par l'interposition d'un morceau de liège qui empêche la
pression
sur la dent luxée, proéminente, et on attend que
s deux origines. Ordinairement, pour la faire cesser, il suffit de la
pression
du doigt et d'un gargarisme acidulé, salé ou alco
re. On commence par engourdir la sensibilité du lobule par de légères
pressions
entre le pouce et l'indicateur; puis on applique
on de liège dune résistance médiocre, destiné à faire opposition à la
pression
de l'instrument. On opère de chaque côté avec la
and(fig. 6), qui agit de lui-même; l'autre, à manche, qui agit par la
pression
de la main; tels sont les scarificateurs de M. La
étant armé, on applique sa surface vulné-rante sur la peau, avec une
pression
modérée , suffisante pour tendre les tissus, mais
ambeau. 7° Tant que la langueur du lambeau persiste, on évite toute
pression
à sa surface; mais dès que la chaleur naturelle,
ue que la circulation se rétablit, il devient utile d'y maintenir une
pression
légère pour faciliter l'exacte apposition du lamb
e suture, et aplatir d'autant le relief de torsion du pédicule. Cette
pression
, continuée pendant tout le temps que dure la réun
aut, et le fait ressortir de l'autre côté : puis, par un mouvement de
pression
vers le talon, il prolonge en bas, d'un pouce, le
ette lame est parvenue de l'autre côté du tendon; par un mouvement de
pression
en sciant, la section complète est immédiatement
masse sanguine : dans le premier cas l'art agit physiquement, par la
pression
atmosphérique; et dans le second, le vaisseau lui
des sur une partie, en la soustrayant plus ou moins complètement à la
pression
atmosphérique au moyen du vide. La ventouse la pl
sation de l'air et de la vapeur alcoolique. La peau, comprimée par la
pression
atmosphérique extérieure, plus forte que l'intéri
té de la ventouse, d'une quantité proportionnée à la diminution de la
pression
. 20 Avec évacuation de sang. VENTOUSE SCARIFI
ssant l'espace et réagissant par sa tension élastique, l'équilibre de
pression
ne tarde pas à se rétablir, le sang ne coule plus
re de nouveau le vide, et, par des succions répétées, à mesure que la
pression
diminue, de remplir de sang la cavité de la cloch
plir de sang la cavité de la cloche. Cet effet obtenu, l'équilibre de
pression
étant rétabli, la ventouse se détache d'elle-même
agir, et pour cela les recouvrir d'un linge humide, en évitant toute
pression
qui pourrait les gêner ou des manœuvres inutiles
malade, il est bien préférable de les faire lâcher directement par la
pression
de l'ongle sur leurs ventouses orales, la main ét
bouchait les petites plaies avec de la charpie qu'il y accumulait par
pression
. (b) Succion. M. Ridolfo di Tacca se loue de l'
de l'usage de la ventouse à pompe, avec laquelle il exerce une forte
pression
sur les piqûres. Un caillot se forme immédiatemen
ulement, et ne doit agir comme suspensif qu'à l'aide d'une très forte
pression
qui boursoufle, renverse en dehors, et, par consé
loyés; le dernier est préférable. On ajoute 36 à son effet par la
pression
de la pulpe du doigt continuée une ou deux minute
le même but, une petite pince à ressort terminée par deux plaques de
pression
, et qui agit également bien. (e) Suture. Enfin
cuation de sang. GRANDES VENTOUSES. (Pl. 28.) Jusqu'à ce jour, la
pression
atmosphérique n'avait encore été employée que sur
étendu. Depuis quelques années, M. Junod a eu l'idée de faire agir la
pression
de l'air sur de grandes fractions ou sur la total
rte de chambre d'isolement dans laquelle est renfermé le malade. La
pression
peut être employée de deux manières en sens inver
partie de l'air dans l'intérieur de l'appareil ; c'est proprement la
pression
atmosphérique qui s'exerce de dehors au dedans :
s ; d'où l'augmentation de la tension élastique, et par conséquent la
pression
de dedans en dehors. mode d'action. Pression lo
, et par conséquent la pression de dedans en dehors. mode d'action.
Pression
locale sur les membres : 10 par le vide. En théor
rieur contenu dans une cloche appliquée à la surface d'une partie, la
pression
atmosphérique n'ayant pas varié sur toute l'étend
nt y affluent avec une force proportionnée à la diminution même de la
pression
. Ainsi donc, comme dans la petite ventouse ordina
(manomètre) dont la hauteur de mercure indique le degré en plus de la
pression
atmosphérique extérieure, ou, si l'on veut, le de
n atmosphérique extérieure, ou, si l'on veut, le degré en moins de la
pression
intérieure. 20 Par refoulement. Dans cette mani
r refoulement. Dans cette manière d'agir au contraire on accumule par
pression
artificielle la quantité de l'air atmosphérique c
ir atmosphérique contenu sous la cloche, et par conséquent on rend la
pression
de l'air intérieur condensé plus forte que celle
he et refoulés vers la masse du corps. Ainsi, en résumé, dans toute
pression
partielle sur les membres, le corps étant envelop
lle sur les membres, le corps étant enveloppé par l'air extérieur, la
pression
par le vide attire les liquides des centres circu
centres circulatoires vers la partie contenue dans l'appareil, et la
pression
par refoulement au contraire chasse les liquides
chasse les liquides de cette partie vers les centres circulatoires.
Pression
générale. D'après ce qui précède on conçoit que l
ui précède on conçoit que le corps entier étant sous le récipient, la
pression
par le vide appelle tous les fluides des centres
es fluides des centres vers la périphérie cutanée et muqueuse , et la
pression
par refoulement les accumule de la périphérie ver
ogiques. Les effets physiologiques, inverses pour les deux modes de
pression
, varient dans chacun d'eux suivant le degré de la
ssant pas encore déterminées par un assez grand nombre de faits. i°
Pression
par le vide. La pression atmosphérique exprimée
s par un assez grand nombre de faits. i° Pression par le vide. La
pression
atmosphérique exprimée parle tube barométrique à
étant, comme l'on sait, de 28 pouces ou 76 centimètres de mercure, la
pression
employée habituellement n'excède pas un neuvième
t légèreté au cerveau. Si l'effet persiste trop long-temps , ou si la
pression
est accrue brusquement, nausées, lipothymies, syn
l ; sensation générale de bien-être et de liberté des fonctions. 2°
Pression
par refoulement. Phénomènes locaux. Diminution
areil. Procédant avec lenteur et ménagement on élève graduellement la
pression
à 6 centimètres et peu à peu à 8 ou 9 , mais en s
ar tâtonnement le degré de tension que le malade peut supporter. La
pression
une fois commencée, on l'entretient par des coups
rapeutiques, étend singulièrement la sphère cle son application. i°
Pression
par le vide. Ses avantages ont été constatés à l'
fréquemment par l'application cle la ventouse à un seul membre. 20
Pression
par refoulement. Son application la plus efficace
u'aux deux, limites extrêmes de leur action, en quelques minutes la
pression
par le vide peut produire la syncope par anémie d
ide peut produire la syncope par anémie du cerveau et du cœur ; et la
pression
par refoulement, une congestion brusque et même l
que de procéder avec lenteur et méthode en n'élevant pas trop haut la
pression
et surveillant l'effet général produit sur le mal
t l'effet général produit sur le malade. J'ai indiqué comme ternie de
pression
8 à 10 centimètres ; j'ai vu des malades qui ne s
uspendue dans les membres. Au reste, on conçoit que l'intensité de la
pression
et l'étendue de la surface sur laquelle peuvent a
ture, et on exerce avec la main , appliquée en travers ou à plat, des
pressions
graduées, en amenant le sang des rameaux vers le
ltre dans le tissu cellulaire. Pendant ce temps l'autre main, par des
pressions
légères des rameaux vers les troncs, refoule le s
onction qui doit être suivi de l'élévation, mouvement de retrait avec
pression
par lequel on retire la lame de la plaie. Tous de
, de la ramener en dehors et un peu en haut avec le pouce; mais cette
pression
ne doit plus être abandonnée. Si néanmoins cett
moins cette manœuvre est insuffisante, il faut, tout en maintenant la
pression
, ramener le bras clans l'extension et la supinati
'accès du vaisseau ; puis on ouvre la veine au milieu, entre les deux
pressions
, par une incision longitudinale. Le chirurgien al
pérateur adapte prompteincut le tube métallique, chasse l'air, par la
pression
du piston, pour faire affleurer le sang à l'extré
du premier aide comprimant, qui, glissant de haut en bas, déplace la
pression
pour la reporter sur la veine et la canule. Le ch
résente à des temps différens et qui consiste à faire évacuer, par la
pression
, le sang qui gonfle les vaisseaux variqueux. L'év
le rapprochement. L'objet de cette opération est de déterminer par la
pression
une inflammation adhésive. Pour éviter la mortifi
our éviter la mortification des tissus, ce chirurgien n'exerce qu'une
pression
modérée et change par intervalles le lieu d'appli
qu'il en existe. Les veines étant coupées en travers, on exprime par
pression
le sang qu'elles contiennent et on panse à plat a
u est mobile et roulant sous la peau, on le fixe préalablement par la
pression
des doigts, sur le côté, pour conserver le parall
'à vingt-cinq centimètres. Vider t. vi. ensuite les veines par la
pression
et remplir la plaie de charpie avec interposition
bre placé comme il a été dit plus haut, reconnaître par t. vi. la
pression
des doigts le sillon sous-cutané, oblique en bas
récaution n'a point été prise, et faire remonter par un aide, avec la
pression
des deux mains à plat, la masse intestinale vet*-
les effets de l'engorgement et permet de modérer sur l'anévrisme une
pression
qui, trop forte, en pourrait déterminer la ruptur
dier. Pour plus de promptitude et de sécurité, on préfère, quant à la
pression
locale, l'emploi des compresseurs. Compression
but de la ligature étant d'obtenir l'oblitération de l'artère par la
pression
circulaire d'un corps étranger de petit volume, f
bre dans le serre-nœud de Desault, avec lequel on gradue à volonté la
pression
pendant le temps que l'on juge convenable. A. Dub
appliquée sur l'artère, et remplit ses conditions de n'exercer qu'une
pression
douce sur une surface un peu large, afin de ne do
nière à contondre et broyer ses deux tuniques profondes, puis, par la
pression
de bas en haut de l'instrument, de les refouler v
tre, un mouvement de rotation en sens inverse, auquel on aide par une
pression
modérée. Pour empêcher que la tige ploie, on la s
rojectiles par l'impulsion de la poudre à canon, ou enfoncés sous une
pression
quelconque. Si le corps étranger fait saillie au
scularité de la partie. On aide à la sortie du liquide par de légères
pressions
. On ne doit pas cependant, sous prétexte d'obteni
istantes). Inciser d'un même coup la peau et le kyste ; le vider, par
pression
, de la substance cpi'il renferme, détacher ses p
pour déchirer le tissu cellulaire, en aidant à cette manœuvre par la
pression
du pouce gauche ou d'un manche de scalpel. La pla
bistouri à plat, une ouverture assez considérable pour vicier, par la
pression
, le double kyste des petits corps blancs et du li
ans les canaux ou les aréoles du tissu vasculaire. Dès que, par cette
pression
, la tumeur est complètement affaissée, appliquer
t une route dans le tissu osseux en écartant et en disjoignant par la
pression
les lamelles qui le composent. Pour que ces ins
me un peu différente. Ces instrumens agissent toujours par une double
pression
, et leur force d'action est d'autant plus considé
répétés qu'on recommande au malade ont pour intention de provoquer la
pression
des fragmens l'un sur l'autre et par suite leur a
, il ralentit graduellement les mouvemens de rotation en diminuant la
pression
qu'il exerçait sur l'instrument. Il retire encore
ieurs points et que la partie osseuse circonscrite est mobile sous la
pression
de l'ongle ou d'un élévatoire qui déterminent alo
uvemens alternatifs de gauche à droite et de droite à gauche avec une
pression
convenable, on tracera une voie suffisante à la c
nécessaire de les lier : sûr du pansement, il ne faut point, par des
pressions
immodérées chereber à rapprocher les têtes articu
iter à la face plantaire des cicatrices sans cesse compromises par la
pression
et la sécrétion de la sueur, et enfin l'abondance
ranlement des os par la scie, leur écartement après l'opération,et la
pression
que leur pointe exerce sur la cicatrice. M. Malga
la cicatrice cen traie qui en résulte n'est plus compromise par la
pression
; elle le serait peut-être davantage si elle siége
l'écoulement du pus; et les Anglais, transversalement, pour éviter la
pression
de la cicatrice sur le coussinet. MM. Sédillot et
nt par le toucher, à travers la peau, ou, si l'on ne le peut, par des
pressions
méthodiques, faites dans une direction présumée l
a pour objet de tendre la peau, a l'inconvénient de la retirer de la
pression
déterminée par laide et d'empêcher l'incision d'ê
un lambeau qui serait ici inférieur ou plantaire, formant coussin de
pression
avec la plaie linéaire en dessus. AMPUTATIONS D
, parce qu'il donnerait une cicatrice plantaire ou dans le sens de la
pression
. Enfin, l'amputation de Chopart peut être pratiqu
sustentation; et la cicatrice (fig. 2), quoique formant la surface de
pression
, n'empêche pas le malade sur lequel nous l'avons
coiffe cutanée qui laisse la ligne de réunion en arrière du sommet de
pression
. C'est avec raison, à notre avis, que M. Malgaign
e du membre au-dessus de la tubérosité sciatique, par un mouvement de
pression
en sciant descendre de huit centimètres (trois po
se rétracte beaucoup, et que, la fesse étant ramenée en avant par la
pression
, sur la grosse tubérosité sciatique, de la branch
ngle du bas, et un peu remontée en avant pour s'écarter des points de
pression
des tiges iliaque et ischiatique de la cuisse art
que les angles se rapprochent des points où, par la suite, portera la
pression
. La ligne de réunion déterminée ou par le choix
solément, de pouvoir chaque jour, au besoin, augmenter ou diminuer la
pression
sur une ligne déterminée. Quant au choix de la
sseur de la carotide, et, sur le trajet de l'artère axillaire, par la
pression
des doigts. COMPRESSION DES ARTERES DE LA FACE.
gmens qui glissent l'un sur l'autre, et sont maintenus par une vis de
pression
comme dans le' compresseur de Dupuytren , de mani
rmant avec lui une articulation orbiculaire, maintenue par une vis de
pression
. 4° La pelotte mobile (L), étroite et longue [fig
e, s'appuie en arrière sur le muscle triceps brachial ; la pelotte de
pression
, gouvernée par la vis de rappel, est appliquée su
se compose d'une seule pelotte (a), appliquée sur l'artère, la vis de
pression
(b), qui commande la plaque d'opposition (c), agi
double garantissent la peau de toute meurtrissure dans les points de
pression
. La pelotte (A) comprimant sur le pli de l'aine,
e deux segmens glissant l'un sur l'autre, et maintenus par une vis de
pression
, de manière à augmenter ou diminuer à volonté l'é
a voûte de cet os. Une compresse en double (L) préserve la peau de la
pression
directe du lacs de contension sur les tendons ext
dans un cylindre tournant (a) à l'extrémité du panneton, qui rend la
pression
moins dure. 5. Autre modèle. Un demi-anneau, da
ue par un mécanisme qui maintient les mors en contact, sans exiger la
pression
continue des doigts. 1. Pince de M. Charrière.
croisées enX, se faisant mutuellement ressort, l'instrument ouvre par
pression
des branches et se ferme de lui-même; un petit te
e de tous. 7. Pince maintenue fermée par un ressort que commande la
pression
d'un bouton. Cet instrument est d'un usage très c
re, au contraire, en action. L'artère étant saisie d'une main, par la
pression
sur la pince, les doigts de l'autre inain, en mêm
ibia. 4. Muscles extenseurs des orteils, déprimés en arrière par la
pression
de deux doigts de la main gauche de l'opérateur.
revêtu de son feuillet fibro- celluleux, décollé et maintenu par la
pression
des doigts, pour mettre à découvert la fosse ilia
ide faisant crochet. Ces deux surfaces se présentent bosselées par la
pression
des anses d'intestins. 8. Nerf iléo-scrotal, qu
monte et descend à volonté dans une rainure et se fixe par une vis de
pression
, sert à limiter la profondeur à laquelle doit agi
out est maintenu par une canule extérieure d'enveloppe ( d ), dont la
pression
rapproche les mors de la canule intérieure. Fig
le détacher. d. Main droite d'un aide qui comprime, par une double
pression
opposée , les vaisseaux fémoraux dans les chair
existe ; mais on constate que les muscles sont plus sensibles à la
pression
qu'à l'état normal et que cello-ci cause au mal
e une douleur assez vive pour qu'il demande à ce que l'on cesse les
pressions
. (J CLINIQUE NERVEUSE. 20 El.80°. Ka S = co
ELLE. La première méthode d'investigation s'appelle l'épreuve des
pressions
centripètes. Dans la deuxième, le 1 Voir les Ar
TIGE DE MHNIHRE. 25 médecin ausculte l'oreille du sujet pendant les
pressions
centripètes; celle-ci diffère totalement de la
thèse générale, mes procédés se résument à modifier, au moyen de
pressions
douces exercées sur la surface tympanique, une
nternational de Londres, 1881, t. III, p. 370.) . A. Éhreacve des
pressions
centripètes : Lucoe comprime l'orifice du méat
ge parle crâne à l'oreille se trouve atténué brusquement à chaque
pression
de la poire dont l'air comprime le tympan et to
la poussée d'air annule totalement le son, qui peut renaître, la
pression
cessant. Ces variations causées par les pres- s
serve aucune modifica- tion du son du diapason sous l'influence des
pressions
; tantôt le son est éteint net à chaque poussée
bien il reste encore une petite distance à franchir, et la moindre
pression
rend l'étrier immobile; et par suite empêche le
re aussi* dans les cas où l'extinction des sons du diapason par les
pressions
s'observe. Une des causes les plus fréquentes d
produit. C'est dans ce cas que le plus souvent on constate que les
pressions
causent l'extinction nette, ou bien ne produise
vertiges s'il relève la tête et non quand il la baisse. Epreuve des
pressions
centripètes : Belles variations de la sensation
e; à gauche, extinction brusque du son du diapason frontal à chaque
pression
. En auscultant l'oreille pendant les pressions
ason frontal à chaque pression. En auscultant l'oreille pendant les
pressions
avec la poire à air, il y a également extinctio
enfonçure extrême, opacité et déformation du tympan. Epreuve des
pressions
. Al'oreille gauche, pas d'effet; adroite, aupre
us ces phénomènes spontanés ou provoqués ont totalement disparu. La
pression
amène la rémittence nor- male du son du diapaso
nt un claquement dans l'oreille et elle tombe étourdie. Epreuve des
pressions
: Nul effet ; audition nulle à droite par la vo
mber, et se retient aux meubles pour éviter la chute. Epreuve des
pressions
. Au premier coup, étourdissement qui dure quelq
nduit auditif et la caisse s'est vidée ainsi. Aussi l'é- preuve des
pressions
ne donna-t-elle plus lieu au vertige après cett
ertige. Elle est tourmentée par un balancement continuel. Par les
pressions
centripètes, extinction brusque du son du diapa
es os ; à droite 12 cent. et par os, très faiblement. Epreuve des
pressions
. Nulle à droite et à gauche ; avec l'auscultati
oite et à gauche ; avec l'auscultation transauriculaire pendant les
pressions
centri- pèles, rémittence du son pour l'observa
a vu par les faits cités et l'on comprend que cet accroissement de
pression
a lieu sous l'influence de l'accumulation de pr
nément, et a pu également être expéri- mentalement provoqué par des
pressions
centripètes très légères, et l'étrier seul subs
rolongée a tout détruit, hors le petit osselet resté mobile sous la
pression
du stylet, et sous la poussée de l'air de la po
let. 'Vertige et bourdonnements provoqués du premier coup par les
pressions
centripètes ; en même temps rougeur vive à la jou
le crâne. Le diapason est entendu posé sur le front. Epreuve des
pressions
centripètes, diapason vibrant sur la bosse fron
onne le résultat normal. Un mois après, état amélioré ; épreuve des
pressions
à gauche, au premier coup, extinction 32 CLINIQ
est possible ; les bourdonnements continuent encore. Épreuve des
pressions
: intermittences, variations nettement perçues pa
e l'étude actuelle, toutes les phases par lesquelles le signe des
pressions
a passé. L'immobilité constatée au début fait p
servation. Pour le diagnostic et le pronostic, les épreuves par les
pressions
ont une supériorité in- contestable. Observat
vertige de Ménière ; bourdonnement intense, agaçant. Épreuve des
pressions
. Vertige brusque au premier choc de l'air de la
tinction du son et à peine du malaise. Un mois après, l'épreuve des
pressions
donne des rémittences ad libiluna du son du dia
mais faible. Audition à 30 cent. à droite et à gauche. Épreuve des
pressions
centri- pètes, nul effet; pas de variation du s
s provoqués ; épreuve d'auscultation transauriculaire : pendant les
pressions
centripètes, il y a extinction nette du son pou
il a été causé une fois par une injection d'oreilles. Épreuve des
pressions
centripètes. Très nette, quoique faible à gauch
rvation suivante [montre avec quelle délica- tsese, au moyen de ces
pressions
aériennes, et des mou- vements ainsi communiqué
'apophyse mastoïde également, à droite et à gauche. L'épreuve des
pressions
centripètes, faites au moyen d'un tube de caout
extinction brusque du son transmis, qui repa- raît aussitôt que la
pression
cesse ; et cela à volonté. Ce fait est dès l'ab
ve objective. Auscultation transauriculaire excellente. Epreuve des
pressions
centripètes, le diapason vibrant sur la bosse f
r la bosse frontale gauche. A la première et surtout à la seconde
pression
, extinction nette du son du diapason indiquée par
illement et sans otorrhée cependant. A ce moment, l'épreuve par les
pressions
centripètes, le diapason posé au front, donne d
oix a totalement reparu de ce côté. On voit que les résultats des
pressions
, les variations du son qu'elles produisent, ont
e de mouvements insolites, grâce au relâche- ment de son tissu, les
pressions
dépassant les limites de la tension normale, ag
On peut donc analyser au moyen de ces résultats de l'épreuve des
pressions
, l'état anatomique des par- ties auriculaires,
aroi labyrinthique causant l'enfonçure de l'étrier, et à la moindre
pression
il y a extinction du son, c'est-à-dire que le m
préparées pour la démonstra- tion de ce que valent les épreuves des
pressions
centripètes au point de vue du diagnostic des l
vertex donne sensation maximum du côté non blessé. Epreuves par les
pressions
centripètes. Extinction nette à la première pou
festait suivant tous ses modes : au contact, à la température, à la
pression
, au chatouillement, sans qu'il y eût le moindre r
tait hors de proportion avec la taille géné- rale du malade. Par la
pression
on éprouvait une sensation spéciale de tissu la
boule à la gorge, serrement à l'épigastre qui devient sensible à la
pression
, engourdissement de toutlc côté gauche. La régi
dans l'inter- valle des attaques, devient alors très sensible à la
pression
. Parfois il y a des battements de coeur, des éb
ut. « Bien que la région ovarienne gauche soit très sensible à la
pression
, la compression ovarienne n'arrête pas l'attaque.
frontale du crâne, et l'épigastre sont en tout temps sensibles à la
pression
, et la malade en ressent un violent malaise. On
it dans les leçons de M. Charcot, de la compression ovarienne. La
pression
fut exercée sur l'ovaire gauche, à cause de la gr
euvre. D'abord la malade paraissait souffrir beaucoup, mais plus la
pression
était profonde, plus le soulagement devenait gr
e avait été complètement établie, j'aurais simplement augmenté la
pression
au lieu de la suspendre. » Dans la suite de l'o
verté- brale étaient le siège d'une hyperesthésie très accusée. La
pression
ou la manipulation de ces régions amenait en qu
urs fois de la même façon ou avec quelques irrégularités. Une forte
pression
de la région des ovaires ne parvenait pas général
lation. (Sarcomes du quatrième ventricule, du plexus choroïde, d'où
pression
dans l'excavation cérébelleuse, aplatissement d
Si oui, on ne peut songer qu'à des perturbations circulatoires. La
pression
exercée dans la cavité cérébelleuse entravera l
supérieure; car les cavernes commencent à se former là où cesse la
pression
croissante déterminée dans l'excavation cérébel
euse; un diverticule ne pourra donc s'étendre que par en bas, où la
pression
sera moindre. Mais pourquoi un diverticule ? et
ps, de la grosseur d'un fort tuyau de plume d'oie, douloureuse à la
pression
. Réflexes tendineux : faibles à droite, nuls à
·ürcl : . Dans un second mémoire, M. Gibney cite deux cas de com-
pression
de la moelle par l'apophyse odonloîdc ; le premie
ux anté- rieurs qui paraissent être le point de réflexion des im-
pressions
lumineuses sur le système moteur, d'après les e
is de perte de connais- sance ; céphalalgie fréquente; sensation de
pression
sur la tête. La marche est un peu incertaine ;
ELLL. Quand on n'obtient ni vertige, ni extinction du son par les
pressions
et qu'elle ne causent aucune modifi- cation du
est en droit de conclure que la platine de l'étrier n'obéit pas aux
pressions
, et qu'elle est immobile. Nous avons vu par les
n, l'effet est le même : le son peut passer, mais les variations de
pression
n'ont pas lieu; l'étrier ce- pendant est libre.
entimètres : bonne au front et à l'apophyse mastoïde. Epreuve des
pressions
centripètes. Le diapason est placé sur la bosse
ètes. Le diapason est placé sur la bosse frontale gauche ; à chaque
pression
douce de la poire : extinction du son nette, br
l'otoscope, parla déglutition ni par valsalva-épreuve. Epreuve des
pressions
centripètes à gauche : belles rémittences ad li
is arrivé. B. Zreuve cl'auscultation transauriculaire, pendant la
pression
centripète, le diapason vibrant est posé sur la b
le son qui s'écoule ainsi, pendant qu'on le modifie au moyen des
pressions
sur la poire à air, comme dans la première de n
et la membrane du tympan : si celle-ci obéit bien à l'action des
pressions
centripètes, le son entendu par l'obser- vateur
er, la caisse tympanique et la platine de l'étrier. Si, pendant les
pressions
centripètes, le sujet perçoit des variations da
'intensité de ce son crânien, c'est que l'étrier a subi l'effet des
pressions
, et qu'il est mobile ; s'il y a silence brusque
a pas bougé, qu'il n'obéit plus aux mouve- ments communiqués par la
pression
centripète à tout l'appareil de transmission.
ées dans l'intensité. Si l'on pouvait douter encore de l'action des
pressions
sur la base de l'étrier et du rôle des déplacem
ier était en place et visible, j'ai pu, dis-je, cons- tater que les
pressions
centripètes, qui ne causaient pas le vertige co
teur a donc pu produire à volonté toute la série des effets que les
pressions
centripètes, plus haut décrites, ont la faculté
pas d'amélioration de l'ouïe après cette opé- ration. Epreuve des
pressions
. A chaque pression sur la poire à air, le son d
e l'ouïe après cette opé- ration. Epreuve des pressions. A chaque
pression
sur la poire à air, le son du diapason frontal
cet accident démonstratif. Epreuve de l'auscultation pendant les
pressions
centripètes, le diapason vibrant sur la bosse f
les variations légères imprimées au son du diapason par le fait des
pressions
, mais de plus je ne lui provoque plus de vertig
ent les modifications imprimées au son transmis au moment de chaque
pression
d'air. L'opposition est évidente : elle indique
tre au contraire, ou tout au moins ne l'est plus assez pour que les
pressions
centripètes de notre expérience le mettent en j
e ; épreuve objective nette à droite et à gauche. Epreuve de Gellé (
pressions
centripètes pendant que le diapason vibrant est
sans secousses. Epreuve de l'auscultation pendant qu'on exécute les
pressions
centripètes, le diapason étant en vib·atioa sur
ches quoique faibles du son transmis, et bien concordantes avec les
pressions
de la poire à air ; mais le sujet ne perçoit rien
de la gorge, la surdité reparait avec ténacité. Epreuve de Gellé,
pressions
centripètes au moyen de la poire de caoutchouc,
u son du diapason appliqué à la bosse frontale sous l'influence des
pressions
centripètes. Les variations d'intensité perçues
'auscultation du son du diapason frontal pendant qu'on effectue les
pressions
centripètes, sur le tympan, au moyen de la poir
perçoit en- tièrement nettes, et tout à fait concordantes avec les
pressions
sur la poire de caoutchouc, à droite et à gauch
s le vertige était à la fois spontané et facile à provoquer par les
pressions
centripètes. Dans trente et un cas, le vertige
vertige naissait spontanément et ne pou- vait être éveillé par les
pressions
. Dans sept autres cas, le vertige n'existait pa
rtige n'existait pas à moins d'être provoqué; dans cinq cas par les
pressions
, et deux fois par la douche d'air de Politzer.
Sur les trente et un cas, où le vertige n'a pas été produit parles
pressions
centripètes, onze fois celles- ci ont amené l'e
absence totale de modifications du son crânien sous l'influence des
pressions
: épreuve néga- tive. Dans les cas où les press
l'influence des pressions : épreuve néga- tive. Dans les cas où les
pressions
ont causé des varia- tions dans la sensation so
q cas où les variations normales ont été annoncées par l'action des
pressions
, et où le vertige semblait lié à des poussées c
fois que les rémittences franches, nettes et concordantes, avec des
pressions
centripètes très- douces, ont été notées, l'aff
rence grave, telles que certains aspects du tympan. L'épreuve des
pressions
permet de voir au delà, pour ainsi dire ; et l'
as de vertige des cent vingt-six observations où les épreuves des
pressions
ont été employées, il reste soixante-treize fai
st cu- rieux de mettre en regard des données des épreuves par les
pressions
centripètes dans le cas de vertige, celles qu'o
s seulement les mêmes troubles de l'audition pendant l'action des
pressions
centripètes ont pu être enregistrés. 186 CLINIQ
t, que j'ai pu provoquer l'ap- parition du vertige par l'action des
pressions
centri- pètes non seulement chez des sujets ver
ur application. Toujours est-il qu'on peut logiquement comparer aux
pressions
que fait l'observateur, les effets de la déglut
sses nasales. Quand le terrain est préparé, on l'a vu, une faible
pression
détermine la réaction vertigineuse. Cette pres-
immobilisées se trouve transformé en une sorte de manomètre de la
pression
sanguine : le vertige est le signe indiquant un
le vertige ou l'extinction du son crânien sont produits pendant les
pressions
, prouvent que c'est bien sur l'étrier que les p
pendant les pressions, prouvent que c'est bien sur l'étrier que les
pressions
agissent dans les expériences instituées. L'a
ériences instituées. L'auscultation transauriculaire, pendant les
pressions
centripètes, permet d'étudier à la fois la mobi
de vertige ne fournissent pas le même résultat sous l'influence des
pressions
, de même que celles-ci rendent manifestes (exti
ouleur spontanée de la région doit être cherché. Il rapporte que la
pression
n'a chez aucun de ces malades déterminé l'aura,
ne oophorite ou périophorite, surtout alors que l'exagération de la
pression
coupe un accès. La nature pure- ment nerveuse d
e s'est pas produite. XIII. Cas DE tumeur tériméningée ayant par la
pression
entraîné la complète disparition DE la RÉGION c
douche en jet, ou la douche de vapeur, la douche filiforme à haute
pression
, etc. Le service de surveillants et surveillant
Les gencives sont rouges, un peu tuméfiées, non ulcérées, et par la
pression
laissent'éeouler'un peu ciel'sa'ii'-T"a'u"iii\,
bord, des lausses cotes ; sa' surface parait régulière, lisse et la
pression
n'y développe aucune douleur. ? t '' ? .' .Jril
piqûre," en ayant bien soin de n'exercer dans ces manoeuvres aucune
pression
même légère surj]es''parties profondes K n'ont'
). t ni' u W ,m ? ' «' * ficaces, il faut une excitation mécanique,
pression
ou - 1 y t .. 11 t ' t t .' i- i < -i ? 1 ?
anées t. ·,1 t ( iii ' ? i, ... les plus légères; dans ce cas, la
pression
ou la malaxa- .t tion des masses musculaires, d
par des moyens plus doux, tels que les passes dites magnétiques/la
pression
sur lslt" pes, la pres- sion ou friction douces
ensibilité.dalos,tout,le côté^ droit. La sensibilité au tact, à. la
pression
, à la température, est. abolie des deux côtés.
hysionomie les. aspects les plus·divers. ,11 existe^une^douleur.àla
pression
,très nette sur.iétrajetjdu pneumo-gastnque gau
c'0j'enarriôre..de l'apphyse'mastode etquon ? eveiHe[.en- 'coreà la
pression
dans tout le trajet cervtcat.du nerf ? OTI, ? ? i
ts'douloureux sur' le trijumeau'sbnl1 réveillés'par'la -plus'légôre
pression
? 1 ? 1' ,u Il 9ulrm1 noal : nwnt`r n-t .n-i'u ?
'ciiti'iéç,°l'otôrrliéé'â'·81sprù; les points I douloureux',1 à la'
pression
'du é'aù,'p'é'l" ! 31stënt'(Ioique imoins nets;
cilitée par la série de préparations suivantes : le hydrotomie sous
pression
uniforme pendant vingt-quatre heures; 3" hydrot
ssiper qu'à la suite d'une opération qui fait disparaître la com-
pression
. Quant aux troubles intellectuels, ils peuvent
e clarté admirable dans son ma- gnifique ouvrage intitulé : « De la
pression
baromé- tique. » Là, nous trouvons les nombreus
yant lieu aussi bien pendant la compression que pendant la décom-
pression
, nous ne concevons pas pourquoi ces conges- tio
donner le coup de grâce à cette théorie. Elle nous enseigne que la
pression
barométrique n'a pas d'influence directe sur le
nfluence directe sur les liquides de l'organisme, l'équilibre de la
pression
existe dans toute la masse sanguine. L'incompre
tenus en simple dissolution dans le sang, doivent augmenter avec la
pression
, et si la compression a duré suffisamment longt
de chacun de ces gaz absorbée par le sang soit proportionnelle à sa
pression
dans l'air condensé où l'on respire. Dans l'éta
fort d'autant plus grand, à séjour égal dans l'air comprimé, que la
pression
qu'on aura subie était plus considérable. C'est
que des tissus extérieurs qu'il expose ainsi : « L'accroissement de
pression
du milieu nm- 86 . CLINIQUE NERVEUSE. biant p
sus se condensent, mais ils résistent dans une certaine mesure à la
pression
extérieure, et en neutralisent une fraction. La
esure à la pression extérieure, et en neutralisent une fraction. La
pression
subsistante condense les couches placées au-des
ties centrales, les tissus sont de moins en moins condensés, et les
pressions
de plus en plus affaiblies. Mais le sang conten
ns tous les sens, à toutes les profondeurs et presque également, la
pression
extérieure, Par conséquent, dans tous les point
de ses vaisseaux de dedans en dehors, et tendant à les dilater, une
pression
presque égale à la pression qu'il supporte exté
n dehors, et tendant à les dilater, une pression presque égale à la
pression
qu'il supporte extérieurement. « Pour résiste
vaisseaux, chaque tissu a sa résistance propre, et la fraction de
pression
extérieure qui a pu se propager jusqu'à lui à t
u- tant plus grande que les tissus sont plus profonds, puisque la
pression
extérieure transmise aux tissus par les tissus
séquent, dilatation des vaisseaux dans les tissus profonds, où la
pression
venant de l'extérieur est faible; diminution du
du calibre des vaisseaux dans les couches superfi- cielles où la
pression
extérieure est forte, tout cela dans une mesure
I libre soit partout rétabli. A chaque nouvel accroisse- ment de
pression
; il se produit un effet analogue; une nouvelle
r le fait, que les accidents n'éclatent qu'au moment de la décom-
pression
, supposent que « la transition soudaine d'un ai
t ayant leurs vaisseaux protégés de même, ne peuvent pas céder à la
pression
atmosphérique, aussi facilement que les parties
les plus élastiques. Ainsi le cerveau, quand l'ouvrier est sous une
pression
excessive, ne peut, si cette pression est enlev
quand l'ouvrier est sous une pression excessive, ne peut, si cette
pression
est enlevée de la surface, s'accommoder à cette
modification aussi rapi- dement que les autres organes ; l'excès de
pression
sur le cerveau et la moelle doit s'en aller par
anguins sont creusés rend cette issue plus pénible, et l'excès de
pression
se porte sur les délicates parties nerveuses, '
ession. Le volume de l'abdomen deviendra quatre fois moindre, si la
pression
est de quatre atmosphères. Alors la paroi est d
même à sa contractilité et, par suite, à diminuer dans l'abdomen la
pression
qui avait été équilibrée par ce refoulement de
ominale en sens inverse, vont faire subir aux organes du ventre une
pression
positive qui expul- sera le sang emmagasiné dan
le sang d'un homme qui est resté pendant plusieurs heures sous une
pression
de quatre atmos- plières doit donc renfermer un
t cet acide carbonique dissous reviendra à l'état gazeux dès que la
pression
extérieure diminuera. Si la décompression se fa
bo- nique, et aucun accident ne se manifestera; mais si la décom-
pression
est brusque, l'acide carbonique tendra à faire ir
gestif, on voit qu'au sur et à mesure que l'animal est soumis à une
pression
de moins en moins forte, des bulles de gaz s'éc
nt au dégagement de ces bulles les accidents dus à la diminution de
pression
. Oh ne peut en effet qu'admirer le passage suiv
léchis que (comme je l'ai démontré expérimentale- ment ailleurs) la
pression
de l'atmosphère et l'élasticité de l'air agisse
pe -, qui, après avoir fait un grand nembre d'expériences sur des
pressions
de moins en moins fortes afin d'expli- quer les
u gaz dans l'intérieur des vaisseaux par une rapide diminution de
pression
. Il n'en est pas de même chez les amphi- bies.
agérée des gaz libres, en dissolution dans le sang, par suite de la
pression
considérable à laquelle les plongeurs peuvent êtr
t d'un casque métallique fixé sur la collerette de ' Mémoire sur la
pression
atmosphérique, dans ses rapports avec l'or- nan
outis- sant à l'arrière du casque. Rien ne règle ni le débit, ni la
pression
de l'air injecté dans l'enveloppe. Il en résult
s de gaz libres à l'état de solution, l'absence de régulateur de la
pression
doit même souvent faire que l'atmosphère de l'e
doit même souvent faire que l'atmosphère de l'enveloppe soit à une
pression
, plus grande qu'il n'est nécessaire. L'homme es
ux que dans le système artériel en cas de changements brusques de
pression
. Maintenant nous arrivons à une deuxième questi
- finie d'un gaz quelconque en dissout un volume qui, ramené à la
pression
de cette atmosphère, est pour une température d
gaz dissous pour un volume donné de liquide est proportionnel à la
pression
que le gaz non dissous exerce sur le liquide ».
eurs gaz, l'eau dissout chacun d'eux comme s'il était isolé avec la
pression
qu'il possède dans le mélange. Mais lorsque ces
s aux lois énoncées de solubilité des gaz, car jusqu'à une certaine
pression
, il se combine avec l'hémoglobine et, à des pre
à une certaine pression, il se combine avec l'hémoglobine et, à des
pressions
108 CLINIQUE NERVEUSE. plus élevées, la propo
de l'oxygène dissous dans le sérum loin d'être en rapport avec les
pressions
ex- térieures augmente à peine, avec une extrêm
ine, avec une extrême lenteur et d'une façon variable pour une même
pression
. -«Un ouvrier, dit Paul Bert, qui travaille à l
une même pression. -«Un ouvrier, dit Paul Bert, qui travaille à la
pression
de 2 à 5 atmosphères n'a pas beaucoup^ plus d'o
atmosphères n'a pas beaucoup^ plus d'oxygène dans son sang qu'à la
pression
normale. « Si cependant la pression est suffisa
oxygène dans son sang qu'à la pression normale. « Si cependant la
pression
est suffisante, l'augmentation de l'oxygène abo
« La proportion de l'acide carbonique, en cas d'augmentation de la
pression
barométrique, peut augmenter parfois, mais dans
aux lois. de l'équilibre et subit en conséquence les changements de
pression
extérieure. » Donc il est bien établi que la pl
é des gaz repasse à l'état libre lors des change- ments brusques de
pression
. Cette conclusion est confirmée aussi par le fa
bre est constituée par de l'azote, si on soumet des animaux à des
pressions
élevées d'un air très pauvre en azote et qu'on
de pus dans la partie interne de la plaie qu'on fait sourdre par la
pression
. Le pus siège évidemment sous l'aponévrose cell
eparaît ainsi que la douleur de la jambe. Rou- geur et douleur à la
pression
au niveau du creux poplité. Issue abondante de
s expirations sont diminuées. Le pouls devient plus fréquent, et la
pression
artérielle paraît plus élevée qu'à l'état norma
ent; 5° une paralysie radiale, passagère sans doute due à la com-
pression
; 6° rupture d'une artériole athéromateuse due à
pour arrêter immédiatement l'lié iiio ie et limiter ainsi la com-
pression
produite par le caillot. (Analyse du British médi
(après avoir vu double pendant l'été de 1886) une sensation d'op-
pression
dans la région stomacale, des nausées, de temps à
atées chez les animaux de différentes espèces, soumis à de fortes
pressions
. C'est ainsi que les oiseaux peuvent supporter
ainsi que les oiseaux peuvent supporter les changements brusques de
pressions
excessivement fortes bien mieux que les mammifè
sentées par les animaux des différentes espèces soumis à de hautes
pressions
, c'est principalement sur l'ob- servation chez
-) 11 1 que plus la profondeur est grande, autrement dit, plus la
pression
est forte, plus de gaz d'après la loi de Dalton
ée ici à titre d'élément étiologique, car le même temps de décom-
pression
a été employé par ce plongeur pour toutes les p
si ce n'était la grande profondeur en d'autres termes la très forte
pression
, la décom- pression brusque ne jouerait pas son
e profondeur en d'autres termes la très forte pression, la décom-
pression
brusque ne jouerait pas son rôle pathogénique a
ne s'était pas dissous une grande quantité de gaz pendant la forte
pression
de 32 brasses, il ne se serait pas dégagé penda
du séjour. La profondeur aussi bien que la rapidité de la décom-
pression
ne peuvent être acriminées en aucune façon, car
\Ill un chien périr assez rapidement en sortant de l'appareil où la
pression
de six atmosphères avait été entretenue pendant
es, même durée du séjour huit à dix minutes, même temps de décom-
pression
sans accident, de sorte que ces trois élé- ment
asses de pro- fondeur, 15 minutes de séjour et 1 minute de décom-
pression
, et cependant les six immersions antérieures qu
l'élimination DE L'EXCÈS DE GAZ DEVENUS LIBRES LORS DE LA DÉCOM-
PRESSION
. Les quatre éléments étiologiques que nous veno
s de gaz, qui s'effectue progressivement au furet à mesure que la
pression
devient de moins en moins forte. Cette éliminat
mpression, soit la durée de séjour, soit la rapidité de la décom-
pression
comme causes possibles de cet accident, car le
i à la durée du séjour de dix minutes, ni à la rapidité de décom-
pression
de 1 minute. Un coup d'oeil en effet, jeté sur
ession, ou par la durée du séjour, ou parla rapidité de la décom-
pression
, car le plongeur à scaphandre qui en a été atte
entdelasensibilité cutanée. Ord explique tous ces phénomènes par la
pression
du liquide muqueux sur les racines des cheveux,
cuisses peu mobiles, oedème des pieds ne conservant pas de trace de
pression
, la peau pâle, à teinte gris-blanchâtre, même u
peuvent produire certains phénomènes hypnotiques, par exemple la
pression
des muscles ou des nerfs produisant la contractur
née qu'il s'agit, selon Schiff. La sensibilité à la douleur et à la
pression
est conservée. Cette ataxie motrice des extrémi
bral ; seulement, outre la sensibilité tactile, la sensibilité à la
pression
, la thermoesthésie, le sens musculaire, lui ava
s l'écorce, mais sans 1 Schiff attribue ces troubles des sens de la
pression
et de la tempéra- ture, qu'il n'a pas observés,
che de la ligne médiane. Douleurs spontanées après les attaques. La
pression
donne des picotements sans irradiations ; 2° au
au niveau du vertex : douleurs spontanées api les attaques : par la
pression
, ii radiations douloureuses vers le front; une
es : par la pression, ii radiations douloureuses vers le front; une
pression
plus forte détermine des étourdisse- ments; 3°
e dorsale ; parfois douleurs spontanées après les attaques : par la
pression
picotements sans irradiations. La sensi- bilité
ternum ;- 3° un autre point des deux côtés au niveau des flancs. La
pression
serait plus douloureuse à droite et déterminera
ureux dans la région correspon- dant aux ovaires chez la femme ; la
pression
détermine une dou- leur irradiée vers l'épigast
leur irradiée vers l'épigastre en déterminant une sensation d'op
pression
. Le point abdominal est plus douloureux à droite.
'op pression. Le point abdominal est plus douloureux à droite. La
pression
des testicules détermine des irradiations doulou-
ence que cette enflure myxoedémateuse ne retient pas la trace de la
pression
du doigt, parfois cette trace après pression du
t pas la trace de la pression du doigt, parfois cette trace après
pression
du doigt apparaît aux jambes, mais en revanche, i
as. La peau était froide et sèche au contact. L'enflure cédait à la
pression
du doigt, mais dès qu'on ôlait le doigt, toute
la pression du doigt, mais dès qu'on ôlait le doigt, toute trace de
pression
dispa- raissait de suite. Du côté du coeur, rie
vie; mais la gaine, 436 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. cédant à la
pression
, ne tarda pas à se rompt et le sang se répan- d
névrite optique des affections cérébrales à une augmentation de la
pression
intracrânienne qui, compri- mant les vaisseaux
tranglée ne participe pas d'un élément inflammatoire, mais c'est la
pression
intracrânienne qui, en déterminant de l'hy- dro
ultiples coïncidant maintes fois avec des accidents de même nature (
pression
) et de même allure du côté de l'encéphale, et n
oulsen excitant le centre- du pneumogastrique et diminuent ainsi la
pression
sanguine. M. Bartels. Des néologismes des alién
rébrale ,arrêt des hémorrhagies de l'artère --moyenne par la com-
pression
de la carotide primitive), par Horsley, 147.
est tantôt mou et fragile, se rompant sous l'influence de la moindre
pression
et laissant échapper un sang dont les caractères
du rachis, et je faisais remarquer à ce propos que l'influence de la
pression
exercée sur les parties qui supportent le poids d
de; elle disparaît en tout cas, momentanément, sous l'influence de la
pression
du doigt. Le lendemain ou le surlendemain, une ta
abord 2 ou 3 centimètres, est indélébile; elle ne s'efface pas par la
pression
; à son niveau, l'épidémie se déchire bientôt, ou
étaient devenus très friables et se divisaient sous l'influence de la
pression
, en très petits fragments. Le liquide abondant qu
ténues, sont disposés à se rompre très facilement sous l'effort de la
pression
du sang. 111. Une fois constituées, les néo-m
intermédiaire, cèdent facilement et se déchirent sous l'effort de la
pression
sanguine ; d'autant mieux que, dans certains cas,
arties tuméfiées offraient une consistance ferme, comme lardacée ; la
pression
des doigts n'y laissait pas d'empreinte. Le tégum
es caractères de l'œdème, il était dur, résistant, ne cédail pas à la
pression
des doigts et n'en conservait pas l'empreinte.
ée des cataplasmes. Aucune douleur spontanée ou provoquée soit par la
pression
exercée sur les parties gonflées, soit par les mo
, sans traces d'cedème, sans rougeur. D'ailleurs, pas de douleur à la
pression
non plus que par les mouvements spontanés ou prov
r iourdement. Aux membres inférieurs, les sensations de contact, de
pression
, de température sont amoindries, mais non complèt
luisante. Les parties gonflées n'étaient nutlement douloureuses à la
pression
: elles présentaient une consistance dure, et M.
nesthésie presque complète aux membres inférieurs : les contacts, une
pression
même très forte ne sont pas perçus. Le malade sen
filtration d'une nature spéciale et non pas l'œdème ordinaire, car la
pression
des doigts n'y laissait pas auprès d'elle des tra
eine après l'accident, de telle sorte que l'influence mécanique de la
pression
ne saurait être considérée ici cme comme une circ
nre ne se révèlent guère que sous l'influence des mouvements ou de la
pression
exercée sur les membres ; ou si elles se montrent
parfois spontanément, elles sont néanmoins toujours exaspérées par la
pression
ou les mouvements ; elles dépendent d'une inflamm
lésion encéphalique. En ce qui concerne les douleurs exagérées par la
pression
qui, dans les mêmes circonstances, occupent fréqu
des gros troncs nerveux, et sont exaspérées très manifes-ment par une
pression
exercée sur la partie interne du bras, en dedans
ccupent le corps des membres et qui sont rendues plus vives par une
pression
exercée sur le trajet des gros troncs nerveux. A
s douleurs qui occupaient le corps du membre et s'exaspéraient par la
pression
exercée sur le trajet des cordons nerveux. Les mu
bjets de fer n'agissaient pas simplement par leur température, par la
pression
qu'ils déterminaient, etc. ; d'ailleurs, aucun au
contraction des muscles qu'il innerve. Ainsi, il suffit (l'une légère
pression
faite en avant du lobule de l'oreille, au point o
phénomène se manifeste. Dans une période d'accalmie, il suffit d'une
pression
subite sur cette région ovarienne pour produire u
énomène en question est mis en évidence en excitant mécaniquement par
pression
, à l'aide d'un bâton, d'un manche de plume, par e
, soit dans l'état cataleptique, en exerçant sur le vertex une simple
pression
ou une friction légère. Cet état paraît correspon
e usage que de l'excitation purement mécanique, telle que le choc, la
pression
, la malaxation, le massage. Nous avons écarté à d
nomène sont quelque peu changées. Le choc n'agit plus seul, la simple
pression
produit des effets un peu différents, mais égalem
esser la contracture d'un même coup partout à la fois, au moyen d'une
pression
légère de la région ovarienne droite, sans pour c
cela amener la cessation du sommeil; ce qui eût été inévitable si la
pression
avait été énergique. Un choc répété sur les ten
bilité réflexe existe à un haut degré, un seul choc suffit. Alors, la
pression
sur le tendon conduit au même résultat, ainsi que
mécanique du tendon, tels que la malaxation, la friction et la simple
pression
. Ces manœuvres, que nous allons étudier maintenan
—Effets de l'excitation tendineuse par malaxation, friction ou simple
pression
, Chez les sujets peu sensibles nous avons vu pa
t à un haut degré l'hyperex-citabilité neuro-musculaire que la simple
pression
du tendon fait merveille, et est douée d'une effi
qui est obtenue par le même procédé pendant la veille, tandis qu'une
pression
, si peu prolongée qu'elle soit, ne saurait produi
tendineuse, non seulement le choc n'est pas nécessaire mais la simple
pression
est beaucoup plus efficace. D'où il suit égalemen
tambour myogra-phique est appliqué sur le corps du grand palmaire. La
pression
sur le tendon est très modérée et le signal Marce
choc et qu'elle débute moins brusquement. Fig. 7. — Contracture par
pression
légère exercée sur le tendon pendant la léthargie
almaire. S, Signal électrique indiquant le moment et la durée de la
pression
. Au dos de la main, l'expérience offre encore u
est possible. Cette sorte de friction peut être considérée comme une
pression
qui se déplace et s'exerce ainsi successivement s
i successivement sur différents points de la longueur du tendon. La
pression
peut être brusque ou graduelle. Les effets de l
don. La pression peut être brusque ou graduelle. Les effets de la
pression
graduelle sont démontrés dans l'expérience citée
s l'expérience citée plus haut et accompagnée du tracé (Fig. 7). La
pression
brusque se rapproche du choc et tient, en quelque
cture se produit plus rapidement et plus brusquement. Il s'agit d'une
pression
brusque exercée sur le tendon du grand palmaire.
n du grand palmaire. Le signal Marcel Despretz indique la durée de la
pression
. Nous pouvons conclure de ce qui précède que la
ui suit le choc sur le tendon et celle qui est obtenue par une simple
pression
exercée au même point, sont des phénomènes de mêm
des nerfs ou le corps du muscle lui-même. Fig. 8. — Contracture par
pression
brusque sur le tendon pendant la léthargie G P.,
maire. ,S., Signal électrique indiquant le moment et la durée de la
pression
. § IL Excitation des nerfs. L'excitation méca
'atteindre sûrement. Son excitation mécanique au moyen d'une simple
pression
faite avec le doigt, ou indifféremment avec l'ext
t l'abduction. L'expérience a montré que la malaxation ou la simple
pression
des masses musculaires amenait la contracture des
xercer une friction sur le corps du sterno-mastoï-dien, ou une simple
pression
sur un point de ses fibres, pour que ce muscle en
perposition de plusieurs muscles, de sorte qu'il est difficile que la
pression
d'un muscle superficiel ne retentisse pas sur les
ces nous ont donné des résultats forts précis. Lorsque, par la simple
pression
avec l'extrémité mousse d'un petit bâton, on cher
ples feront bien comprendre : En comprimant un muscle superficiel, la
pression
, pourvu qu'elle soit un peu intense, se communiqu
brides aponévrotiques qui les relient. Il est impossible, lorsqu'une
pression
assez forte est exercée au niveau des espaces int
sont également susceptibles d'être excités mécaniquement. Une simple
pression
, exercée directement sur le muscle lui-même ou su
anique, dans les cas d'hyperexcitabilité neuro-musculaire, lorsque la
pression
exercée dépasse certaines limites qui varient sui
sujet: 1° La localisation la plus exacte est obtenue à l'aide d'une
pression
modérée, pratiquée avec l'extrémité arrondie d'un
° La contraction du muscle cesse le plus souvent en môme temps que la
pression
. Elle persiste quelquefois très peu de temps aprè
on, l'action produite ne tarde pas à s'épuiser. Tout en maintenant la
pression
à un degré égal sur le point qui a provoqué la co
malade hypnotisée, l'excitation de ces mêmes muscles, par une simple
pression
exercée sur les points d'élection, nous a donné l
: La contraction isolée du Frontal est très facile à obtenir par la
pression
du point (Fig. 16, 1) qui correspond au nerf fron
ssion du point (Fig. 16, 1) qui correspond au nerf frontal, ou par la
pression
portée sur un point quelconque du muscle (Pl. V,
: le petit doigt de la main droite est placé dans l'extension par la
pression
sur le point moteur désigné sur. la figure 15, 6.
eu et a repris l'attitude normale du relâche-chement musculaire. La
pression
sur la masse des muscles de la région postérieure
mains reposant sur une table, la face dorsale regardant en haut. La
pression
légère du tendon du médius de la main droite au-d
ndons, par la malaxation musculaire et par l'excitation des nerfs. La
pression
du nerf cubital en arrière de l'épitrochléc contr
ocs, et l'on voit la contracture s'accentuer graduellement. La simple
pression
sur le tendon est impuissante. 3° L'hyperexcita
l'endormir de nouveau. On y parvient cependant sans difficulté par la
pression
des globes oculaires. Le même état hémiparalytiqu
neuro-musculaire. 31 janvier 1881. C... s'endort facilement par la
pression
sur les globes oculaires et su? les tempes. L'éta
ée peut être obtenue par la malaxa-tion des masses musculaires, et la
pression
des nerfs. D'ailleurs les résultats que l'on obti
a piqûre, — en ayant bien soin de n'exercer dans ces manœuvres aucune
pression
même légère sur les parties profondes — n'ont qu'
solument négatif. Une excitation plus légère, comme le frôlement, une
pression
modérée, pourvu que l'on ait soin d'isoler le poi
rs dans leur chemin vers le'centre nerveux. Lorsqu'à la suite de la
pression
du nerf cubital au coude, par exemple, la contrac
anées seules demeurent inefficaces, il faut une excitation mécanique,
pression
ou malaxation qui intéresse les parties sous-cuta
'influence des excitations cutanées les plus légères; dans ce cas, la
pression
ou la malaxation des masses musculaires, des nerf
e par des moyens plus doux, tels que les passes dites magnétiques, la
pression
des tempes, la pression ou friction douce sur les
ux, tels que les passes dites magnétiques, la pression des tempes, la
pression
ou friction douce sur les globes oculaires. Son i
sissants. En effet, quand, elle existe, en excitant mécaniquement par
pression
à l'aide d'un petit bâton, d'un manche de plume,
résultats de l'expérience citée plus haut doivent être attribués à la
pression
exercée sur le muscle gaslrocnémien et non pas au
iction sur les antagonistes, le massage général du muscle, une légère
pression
sur les tendons. Si, malgré cela, la contracture
xcitation est variable : on peut employer le massage, la friction, la
pression
soit avec la main, soit avec une bande élastique
ent de la contracture léthargique peut nécessiter au commencement une
pression
des masses musculaires énergique et prolongée pen
ts hystéro-gênes, grandes attaques). On cherche à l'hypnotiser par la
pression
sur les yeux ; la malade s'endort en léthargie, e
es yeux à la faire passer en catalepsie, mais on ne peut y réusir. La
pression
sur le vertex fait passer la malade de la létharg
on de la contracture par les manœuvres que nous avons déjà signalées (
pression
avec les mains, avec une bande élastique, etc.) ;
s dilatations anévrysmales dont l'une a éclaté sous l'influence de la
pression
. Fig. 4. — Anévrysme miliaire qu'on a fait écla
pression. Fig. 4. — Anévrysme miliaire qu'on a fait éclater par la
pression
et qui montre son contenu coagulé. ijmnbui .-ou
—, p.321,325,329 ; — effet de 1' — par malaxation, friction et simple
pression
,, p. 332. T ét an î s ait o n parcourants indui
ie, recevant un ballon de la seconde. Si, dans ces circonstances, une
pression
vient à être exercée sur les différents ballons,
es. Il semble plutôt que les facettes sont produites par une sorte de
pression
que les calculs, entassés dans la vésicule, exerc
cul engagé dans cet étroit conduit. Il y progresse surtout grâce à la
pression
exercée par la tunique musculeuse, sou-vent hyper
le calcul est parvenu dans le canal cholédoque, il faut y ajouter la
pression
exercée par la bile constamment sécrétée par le f
il faut d'ordinaire trois jours pour que l'ictère soit cons-titué. La
pression
à laquelle est soumise la bile dans les con-duits
déchirant, la mu-queuse des conduits biliaires, soit en augmentant la
pression
dans le système des voies biliaires; — b) de déte
ouchon est souvent éliminé et l'obs-tacle franchi à l'aide de simples
pressions
exercées sur la vésicule (Gehrardt. — Volkmann's
mps que l'effacement des espaces et des fissures, un des effets de la
pression
réciproque que subissent les di-vers lobules engl
llules semblent disparaître sous l'influence en partie au moins d'une
pression
qui s'exerce dans toutes les directions. Les ce
des parties aqueuses de l'urine : l'un d'eux consiste à dimi-nuer la
pression
artérielle dans le rein, soit par une saignée abo
ariantes de la précédente. On peut contrebalancer l'influence de la
pression
sanguine jusqu'à l'annihiler, en augmentant la pr
fluence de la pression sanguine jusqu'à l'annihiler, en augmentant la
pression
en sens con-traire qui se fait dans les canalicul
ronique. Charcoï. Œuvres complètes, t. vi, Maladies des reins. 22
pression
exercée sur un point limile du lube par le tissu
ctionnent encore (la quantité de sang restant d'ailleurs la même), la
pression
du sang sur les parois artérielles et sa vitesse
loïdes ne traversent pas les membranes, tandis que, par le fait d'une
pression
plus forte, elles diffusent au moins en petite qu
ë ; l'insuffisance mi traie qui en résulte a pour effet d'abaisser la
pression
cardiaque ; en outre, par le fait de la fièvre, i
l'un des reins. Par l'artère émulgente on in-jecte sous une certaine
pression
un liquide quelconque. Ce liquide s'écoule à la f
me dans les conditions normales. Si en ce moment, dans l'uretère, une
pression
équivalant à 35 millimètres de mercure vient à êt
'est plus facile à expliquer que ce premier temps de l'expérience. La
pression
artérielle est supprimée en même temps que l'appo
e, y apporte de nouveau le matériel de sécrétion en même temps que la
pression
normale s'y rétablit. Et cependant, la sécré-tion
est ainsi, carie matériel de sécrétion est là toujours présent, et la
pression
artérielle ne cesse de s'exercer sur les parois d
Ici encore, M. Ileidenhain oppose sa théorie à celle de Ludwig. La
pression
persiste dans le glomérule, mais un nou-vel éléme
e, que la diminution de Vitesse intervient ici. Le sang artériel sous
pression
, arrêté au milieu des tissus, perd bientôt ses qu
pine. — Albuminurie latente. Théorie mécanique : Augmentation de la
pression
sanguine intra-gloméru-laire. — Diminution de la
ation de la pression sanguine intra-gloméru-laire. — Diminution de la
pression
. — Artériosténose et phlébosténose. — La pression
— Diminution de la pression. — Artériosténose et phlébosténose. — La
pression
n'est pas l'élément physique le plus propre à fav
e dans le sang. D'autres invoquent une augmentation momen-tanée de la
pression
artérielle. Ce sont là deux hypothèses fort diffi
nt dans les vaisseaux de cet organe, une modification par excès de la
pression
sanguine. Cette théorie courante, si l'on peut
aujourd'hui bon nombre d'auteurs, l'albuminurie à une augmentation de
pression
survenue dans le glomérule, soit par le fait d'un
'albuminurie, et que dans les cas où il y a à la fois augmentation de
pression
(-f- P) et albuminurie), il y a toujours interven
'un autre côté, il est des cas où très certainement l'augmentation de
pression
ne peut être invo-quée. L'albuminurie survient al
albuminurie survient alors dans des conditions où l'abaissement de la
pression
glomérulaire (— P) est évidente. Les cas du der
l'ordre de chose établi, ait cru devoir substituer à la théorie de la
pression
augmentée, comme cause d'albuminurie, ce qu'on po
comme cause d'albuminurie, ce qu'on pourrait appeler la théorie de la
pression
diminuée. M. Riineberg se base d'abord sur des
es et des émulsions, en général, est d'autant plus abondante que la
pression
à laquelle est soumise la substance à filtrer s'a
thélium de la membrane de Descemet, en pleine vitalité, même sous une
pression
de 208 mm. de mercure, empêche la pénétration dan
à établir, contrairement à l'opinion dominante, que la diminution de
pression
sanguine dans le glomérule du rein, au même titre
averser par une proportion plus considé-rable de transsudats quand la
pression
du sang augmente dans ces vaisseaux. Ainsi, en de
de fois citée d'Overbeck, il ne peut s'agir d'une augmentation de la
pression
sanguine à l'intérieur du glomérule. En effet, dè
P ?—• V (P signifiant pres-sion, et V vitesse) ; c'est-à-dire que la
pression
sanguine diminue dans le glomérule en môme temps
il y a stase sanguine absolue ou relative, mais sans augmentation de
pression
. 2° Si, d'un autre côté, nous considérons lapht
aissons que, contraire-ment à ce qui a lieu dans le cas précédent, la
pression
est augmentée dans le glomérule, car, on doit adm
tandis que, de l'autre, aucune modification n'étant survenue dans la
pression
cardiaque, le sang continue à-affluer dans le glo
accompagne la polyurie n'est pas la consé-quence de l'augmentation de
pression
survenue dans cer-tains glomérules, ceux qui sont
-rectement sur le cœur, en entravant la petite circulation. Alors, la
pression
artérielle s'abaisse et la pression veineuse s'él
la petite circulation. Alors, la pression artérielle s'abaisse et la
pression
veineuse s'élève. Une expérience d'Overbeck est,
strument est parvenu à destination. Lorsque l'ex-périence réussit, la
pression
tombe rapidement de 137 m. m. de mercure à 22 m,m
rines deviennent rares et albumineuses. On peut admettre ici que la
pression
augmente dans le système veineux du rein ; très c
lles sont dans la phlébo-sténose sans abaissement de la xraleur de la
pression
cardiaque. En tout cas, un élément sur lequel il
on de l'albumine et la diminution de la pres-sion artérielle. Plus la
pression
diminue, plus les urines sont rares et albumineus
favorable pour le reflux du sang veineux. Il est donc probable que la
pression
est diminuée dans le glomérule, malgré la stase v
rie, ce n'est, je le répète, ni l'augmentation ni la diminution de la
pression
sanguine intra-glomérulaire qu'il faut incriminer
e con- trairement à un préjugé très répondu, une augmentation de la
pression
sanguine dans le système artériel, alors même qu'
ésentée par la suivante : formule -f- P + V ; ce qui veut dire que la
pression
collatérale est augmentée en même temps que la ci
orte prévoir ce qui devra survenir. En raison de l'augmentation de la
pression
latérale (+ P), la sécrétion de l'eau urinaire de
devra faire défaut. Ainsi sont les choses en réalité. Donc, quand la
pression
du sang dans le glomérule est accrue et que la ci
ccasion d'y revenir. b) Par contraste avec les cas dans lesquels la
pression
s'é-lève dans le système aortique, je vais mainte
ve dans le système aortique, je vais maintenant considérer ceux où la
pression
s'abaisse dans ce système, en même temps qu'elle
on. Lorsque cela est fait, l'animal tombe dans un état syncopal et la
pression
artérielle s'affaisse rapidement de 137 milim. Hg
ie du sang veineux. Mais l'action du cœur persistant telle quelle, la
pression
artérielle n'est en rien modifiée, et en conséque
en conséquence le sang, retardé dans son cours, s'accumule sous forte
pression
dans le glomérule (—V H- P)- Les circonstances,
rtérielle, ne se trouve pas accumulé dans le glomérule sous une forte
pression
. Sans doute par le fait de la diminution de la pr
ous une forte pression. Sans doute par le fait de la diminution de la
pression
artérielle, la pression s'élève dans les veines,
Sans doute par le fait de la diminution de la pression artérielle, la
pression
s'élève dans les veines, mais non pas autant qu'e
e, dans ces cir- constances, l'état d'asystolie s'étant déclaré, la
pression
sanguine baisse dans le système artériel, et que
ineuses. Si, au contraire, par l'effet d'une médication appropriée la
pression
se relève, on voit dans le même temps les urines
e albumineuses. Mais si, par suite d'une circons-tance quelconque, la
pression
artérielle vient encore une fois à s'abaisser, l'
es où le cours du sang à l'intérieur du giomérule se ralentit, que la
pression
soit d'ailleurs plus élevée ou, au contraire, moi
déjà émise, que la circulation du sang ne s'y fait pas sous une forte
pression
. Quoi qu'il en soit, je tiens à vous faire rema
si la lésion peut persister, alors que, par suite du relèvement de la
pression
aorliquc, l'albuminurie a depuis longtemps dispar
enfants, etc. Ici, la stase veineuse dans le glomé-rulc, sous faible
pression
, nous paraît pouvoir être invoquée comme la cause
pine. — Albuminurie latente. Théorie mécanique : Augmentation de la
pression
sanguine intra-gloméru-lairc. — Diminution de la
ation de la pression sanguine intra-gloméru-lairc. — Diminution de la
pression
. — Artériosténose et phlébosténose. — La pression
— Diminution de la pression. — Artériosténose et phlébosténose. — La
pression
n'est pas l'élément physique le plus propre à fav
lbuminurie latente, 428 ; Théorie mécanique, 428 ; — In-fluence de la
pression
et de la vi-tesse sur l'albuminurie, 429, 435;
se brisent par les plus légers efforts; le poids du corps, la moindre
pression
extérieure, l'action de se retourner dans son lit
z l'adulte. Or, pour les os, le défaut d'exercice, c'est Le défout de
pression
, de traction, de frottement. Lorsqu'un individu
l'un de l'autre, la réunion osseuse est empêchée; 2° par Y absence de
pression
suffisante de l'un des fragmens contre l'autre, c
les deux faces correspondantes du cylindre osseux. i° Le défaut de
pression
des fragmens l'un contre l'autre peut-il être inv
acapsulaires du col du fémur? Mais d'abord il faudrait prouver que la
pression
des fragmens l'un contre l'autre est une conditio
utre est une condition de consolidation; et dans l'hypothèse où cette
pression
serait nécessaire, je dis qu'elle existe à un plu
se déforme presque constamment, de même que la cavité cotyloïde ; les
pressions
, les frottemens n'ayant plus lieu, suivant la dir
uvent sur cette tête lorsqu'elle est soumise à un frottement ou à une
pression
de la part du fragment inférieur? Le ligament ron
e, et qui, pour être la suite d'une attitude vicieuse du fœtus, d'une
pression
exercée sur le fœtus, n'en est pas moins une viol
son, i° que les luxations congéniales du fémur sont le résultat d'une
pression
, d'une violence extérieure, subie par le fœtus da
d'une violence extérieure, subie par le fœtus dans la cavité utérine,
pression
, violence extérieure qui sont de même nature que
e de conformation, connu sous le nom de pied-bot main-bot ; que cette
pression
a pour résultat non le déchirement, mais l'allong
e; une traction légère peut allonger le membre, comme aussi une forte
pression
, dirigée de bas en haut, peut opérer un raccourci
se, susceptibles d'être réduites ou plutôt flétries par l'effet d'une
pression
graduelle,susceptibles d'augmentation, de tension
ltoïde, une tumeur qui entourait l'humérus, tumeur très sensible à la
pression
, donnant au bras le même aspect que, s'il était l
i occupaient la continuité des membres, qui n'augmentaient pas par la
pression
, mais s'exaspéraient par les mouvemens, et qui n
es qui ont agi dans les premiers temps de la vie intra-utérine. Si la
pression
et l'immobilité des surfaces articulaires sont ap
ève en quelque sorte jusqu'à l'état normal; on conçoit que la moindre
pression
exercée sur des organes aussi délicats doive atro
qu'à l'état embryonaire, et il ne répugne nullement d'admettre que la
pression
exercée sur l'ovule fécondé par la partie étroite
orrespondent de telle manière qu'elles exercent l'une sur l'autre une
pression
considérable et anormale, par suite d'une positio
ma manière de voir, la monopodie ou sirénie serait le résultat d'une
pression
à laquelle auraient été soumis les membres inféri
ion des membres inférieurs autour de leur axe, et leur fusion par une
pression
latérale, peuvent être l'effet d'une seule et mêm
monopodie peut très bien s'expliquer par une cause mécanique, par une
pression
latérale exercée sur le bassin et sur les membres
térale exercée sur le bassin et sur les membres inférieurs; que cette
pression
latérale survenant à une des premières époques de
e ou dans le passage du germe fécondé à travers la trompe), que cette
pression
latérale, dis-je, détermine la fusion des membres
e, détermine la fusion des membres ; que, suivant les degrés de cette
pression
, la fusion sera plus ou moins complèle, avec ou s
l'inversion des membres inférieurs puisse être le premier effet de la
pression
bi-latérale, surtout si l'on admet que la cause c
ligne médiane avec fusion des parties latérales, il me semble qu'une
pression
latérale, à laquelle le fœtus aura été soumis dan
scères abdominaux dans le thorax, des éventrations, tous effets d'une
pression
considérable à laquelle le fœtus ou l'embryon aur
u monopodie, savoir que ce vice de conformation est le résultat d'une
pression
latérale, qui, à une époque très peu avancée de l
héorie, est on ne peut plus facile à expliquer, parle seul fait de la
pression
latérale, vu l'obliquité d'avant en arrière et de
l du fémur; il suit de cette obliquité, que le premier effet de cette
pression
bilatérale, c'est la rotation; que le second effe
la rotation; que le second effet, c'est la fusion. On conçoit que la
pression
bilatérale puisse s'épuiser dans la production d'
ouvait faire suinter par l'orifice buccal de ce canal, au moyen d'une
pression
légère. L'anatomie pathologique des glandes par
e-de-vin se présente, mais tellement visqueux, qu'il faut exercer une
pression
assez forte pour l'expulser. Des lambeaux gangren
uis propre à évacuer le mucus contenu au centre des granulations ; la
pression
exercée sur ces granulations ne fait suinter du m
consistans, un peu élastiques, arrondis, non bosselés, indolens à la
pression
, et ne sont le siège d'aucune douleur spontanée :
rmal : il n'y a pas de toux. L'abdomen est tendu, gros, indolent à la
pression
: on y sent profondément des masses dures qui en
constipation persistant, le ventre est resté tendu, peu sensible à la
pression
et faisant de temps en temps ressentir quelques c
dans l'hypochondre gauche; cette tumeur est extrêmement sensible à la
pression
. Ce qui me frappe, c'est la circonscription par
est plus petit que dans l'état naturel, il est ramolli, et une légère
pression
suffit pour le réduire en bouillie; son volume es
vert. Tout le reste du tronc est parfaitement conservé; il offre à la
pression
plus de souplesse que la tête, surtout dans les p
nalogue à l'oléine. « La partie solide, dégagée de l'oléine par une
pression
graduée entre deux feuilles de papier Joseph, et
ransverse des bosselures de la grosseur d'une noix, douloureuses à la
pression
, et qui disparaissaient après deux minutes de dur
rée. Les crises terminées , le ventre était souple et insensible à la
pression
. Il n'y avait ni hoquets ni vomissemens. Point de
hes augmentent, diminuent, se dénaturent par suite des tractions, des
pressions
exercées sur la hernie. A gauche, le sac herniair
omen est le siège de vives douleurs qui ne sont pas augmentées par la
pression
; les muscles abdominaux sont contractés et raides
t parfaitement à travers les parois abdominales. Ventre sensible à la
pression
: hypogastre souple; les lavemens n'amenaient rien
ntinue; le ventre se me-téorise et devient douloureux, surtout par la
pression
: insomnie, délire, point de selles, urines rares
frant une fluctuation liquide manifeste, et d'ailleurs indolente à la
pression
: la peau présentait une rubéfication qui annonça
phénomène fort curieux fixa mon attention : c'est qu'en exerçant une
pression
légère sur la tumeur, j'éprouvai la sensation de
ces noyaux de cerises, qui fuyaient sous le doigt par la plus légère
pression
, déterminait une sensation analogue au bruissemen
ré était aréolaire et pénétré de suc cancéreux qu'on exprimait par la
pression
: on pouvait reconnaître au milieu de ce tissu de
'explorais tous les matins la poitrine à l'aide de l'auscultation, la
pression
de ma tête contre les parties emphysémateuses dét
t de la rupture de petits kystes, rupture que l'on produisait par une
pression
très forte. L'autopsie justifia pleinement le dia
l'irritation exercée par le contact des vêtemens et peut-être par des
pressions
fréquentes et par des tentatives réitérées de réd
bonne partie des poumons. Le pus ruisselait comme d'une éponge par la
pression
exercée sur cet organe. Rien dans le canal intest
n depuis huit jours; nausées sans vomissemens, abomen douloureux à la
pression
. Les jours suivans, exaspération des symptômes.
bdominale, uniforme, plus de bosselures; abdomen très douloureux à la
pression
; respiration courte; léger délire. Mort pendant l
rminée par induration. La preuve, c'est que la rate est sensible à la
pression
; c'est qu'on peut combattre efficacement l'hypert
présentaient des formes très variées qui résultaient probablement des
pressions
auxquelles ces productions libres avaient été sou
à une hépatite traumatique circonscrite à une suppuration du foie. La
pression
exercée sous le rebord des côtes n'éveillait qu'u
s-tans que le foie était exclusivement le siège de cette douleur. Une
pression
, exercée sous la dernière côte, aux limites supér
es cartilages, et paraissait essentiellement fibreux; et cependant la
pression
exercée sur la coupe de ces tumeurs en faisait su
suc cancéreux suintait de tous les points de la coupe à l'aide de la
pression
la plus légère. La charpente fibreuse de ces dern
éponge de toute la surface de la coupe par l'effet de la plus légère
pression
. J'ai vu rarement des tumeurs pénétrées d'une plu
oie. — La figure i montre un des effets des corsets sur le foie. La
pression
circulaire de ce vêtement s'exerçant essentiellem
pens des granulations superficielles de l'organe. Par l'effet de la
pression
circulaire du corset, le foie gagne en hauteur ce
nt en haut : son bord inférieur ayant seul supporté l'influence de la
pression
alors très considérable qui est exercée sur cet o
gnes d'une péritonite des plus graves; ventre ballonné, sensible à la
pression
, surtout au-dessous du rebord des fausses côtes d
équent et faible. L'anxiété permanente et la douleur qu'augmentait la
pression
le long du rebord des côtes faisaient, en quelque
ience, à tel point qu'on est obligé de provoquer sa manifestation. La
pression
exercée sur l'épigastre, le long du rebord des
aucune sensibilité. Je dois dire cependant que, dans quelques cas, la
pression
exercée en arrière, le long de la dernière côte,
, le long de la dernière côte, est plus impatiemment supportée que la
pression
pratiquée en avant, le long du rebord cartilagine
du thorax. Dans quelques cas aussi, c'est en promenant le doigt avec
pression
dans les espaces intercostaux qui correspondentan
extrême. Aucune douleur, aucune intumescence à la région du foie ; la
pression
la plus forte ne développe aucune sensibilité.
n peu d'épanchement dans le péritoine, et l'abdomen est sensible à la
pression
. Le i4 juin , pour la première fois, vomissemens,
a sensibilité de la région du foie, vive d'abord et augmentant par la
pression
, diminua par la suite ; mais le malade éprouvait
, qui paraissait n'exister que depuis un an, était très sensible à la
pression
, sa couleur était noire, sa surface inégale comme
quide, était parfaitement circonscrit par des caillots sanguins. La
pression
exercée par le corps thyroïde sur la trachée peut
. La quantité de suc cancéreux était très considérable, et la moindre
pression
le faisait suinter, sous la forme d'une bouillie
tance circulaire, et cette perte de substance était le résultat de la
pression
exercée par le bord postérieur du cartilage thyro
ésente un exemple, i° de laryngite sous-muqueuse, i° d'altération par
pression
de la paroi postérieure du pharynx. Je dirai d'ab
ai déjà eu occasion de rencontrer plusieurs fois cette ulcération par
pression
de la paroi postérieure du pharynx, par un goître
u pharynx, par un goître volumineux; que cette perte de substance par
pression
serait bien plus fréquente, si le goître occupait
en arrière le cartilage thyroïde, et par conséquent à prévenir toute
pression
de la partdu bord postérieur de ce cartilage. Dan
tissu qui se déchirait avec la plus grande facilité. Sous la moindre
pression
, cette sérosité ruisselait à-la-fois et par les
roit. Accroissement lent d'abord, puis rapide, qu'elle attribue à une
pression
très forte et très douloureuse exercée par un méd
aussi complètement que de coutume. Il est plus ou moins sensible à la
pression
: le mouvement fébrile, dit fièvre de lait, ne se
ine du tissu cellulaire sous-cutané. Le moindre mouvement, la moindre
pression
sont extrêmement douloureux. Je reconnais la mala
uleurs vives, exaspérées par le moindre mouvement, par la plus légère
pression
. Sous la seule influence du repos, de la position
rapportent aux parties gangrenées elles-mêmes, douleur que la moindre
pression
exaspère, elle me paraît le résultat, non de l'in
bles que le malade ne peut goûter un instant de repos. La plus légère
pression
exercée sur le membre augmente les souffrances Le
alysie artérielle, les artères ont cessé de battre dans le membre; la
pression
exercée le long des troncs artériels est douloure
nt pas perçus; mais une douleur très prononcée est déterminée par une
pression
exercée sur le trajet de l'artère fémorale. Cette
hiale était petite, avec battement filiforme, dure et sensible à la
pression
, j'ajoutai à ma note que la paralysie purement lo
écédent, les douleurs intercostales, bien évidemment produites par là
pression
des nerfs intercostaux, céder à cette application
tème artériel, que cette contraction s'accompagne d'une percussion ou
pression
du sang contre les parois de la poche contractile
fibreuse; de même que le tissu fibreux, lorsqu'il est le siège d'une
pression
, d'une distension longtemps continuées, mais qui
; que la poche était cartilagineuse et osseuse, résistant à une forte
pression
, et qu'elle était tapissée par de la fibrine conc
e sérosité gélatineuse, facilement déchirables, friables même sous la
pression
du doigt, et ayant en conséquence perdu cette ton
quable de ce tissu qui se morcelait avec une extrême facilité par une
pression
, ou par une traction légère au voisinage de la pe
e cavité ; les secondes contenaient un pus visqueux et rougeâtre : la
pression
des parois de ces poches en faisait suinter du sa
t du côté de l'artère une convexité « que l'on ne peut effacer par la
pression
, et fixée aux parois artérielles par trois petits
peu d'épanchement dans l'abdomen. Région du foie un peu sensible à la
pression
. Point de signes d'épanchement dans les plèvres.
e de rhemoptïsie: tabdomen, jusque-là indolent, devient sensible à la
pression
; orthopnée, immobilité, sueurs, pouls misérable.
aient le siège d'une tuméfaction douloureuse avec rougeur. La moindre
pression
, le moindre mouvement exaspéraient la douleur ;
nt que l'œdème est ou n'est pas accompagné de congestion sanguine. La
pression
exercée sur le poumon fait couler la sérosité à f
uvé de vestige, et j ai peine à croire qu'ils aient pu résister à une
pression
assez forte pour user aussi profondément l'os pie
ingulièrement aminci les parois de la base du crâne, tellement que la
pression
du doigt aurait suffi pour les briser dans une mu
e répète, on ne conçoit pas comment la vie peut se concilier avec une
pression
aussi considérable exercée sur des parties aussi
touillement est-il perçu dans quelques points, et pourtant la moindre
pression
est douloureuse partout. J'explique cette apparen
ais qui aujourd'hui est douloureuse dans toute sa hauteur. La moindre
pression
sur toute la longueur de la colonne est impossibl
ulèvement du thorax est douloureux. Tout le corps est sensible à la
pression
; la jambe droite n'est plus aussi douloureuse qu
ysie paraît subordonnée à la douleur. La sensibilité douloureuse à la
pression
a cessé depuis les orteils jusqu'au genou gauche,
région dorsale; 20 un point au bas de la région cervicale. La moindre
pression
sur ces deux points est excessivement douloureuse
6 juillet et jours suivans: douleur dorsale, qui s'exaspère par la
pression
et même par le simple attouchement. Il semble à l
la paralysie. La jambe droite est lourde, engourdie, douloureuse à la
pression
, douloureuse par l'effet de la contraction muscul
ion, soit douleur véritable, elle refuse d'y supporter la plus légère
pression
. Réflexions. Le caractère de la paraplégie par
la deuxième période. Les muscles sont douloureux et par le fait de la
pression
, et par le fait de la contraction volontaire ou n
aire, douleur répondant en quelque sorte à tous les stimulans, à la
pression
, aux mouvemens communiqués, aux mouvemens spontan
as congénial, mais bien le résultat de l'usage d'un corset serré. lia
pression
circulaire de ce vêtement au niveau de la base du
us sur les jambes, les orteils fortement fléchis. Je me demande si la
pression
des couvertures n'a pas été pour quelque chose da
eils. Lorsque les membres in férienrs n'étaient pas contenus par la
pression
des couvertures, ils étaient agites des mouvemens
enne du gros orteil, maladie que je considère comme le résultat de la
pression
des couvertures, qui ont porté le gros orteil dan
ôt de larges et de profondes eschares, sous la double influence de la
pression
et de l'action des urines. Chose remarquable! les
u niveau des apophyses épineuses, communiquaient entre elles ; car la
pression
exercée sur l'une d'elles retentissait manifestem
dis à la malade de me serrer la main, elle exerce à peine une légère
pression
. Voici les commémora tifs : il y a huit ans, qu
milieu de cette excessive douleur du membre par l'effet de la moindre
pression
et du moindre mouvement, la peau a conservé son i
approche du doigt la fait crier d'avance; mais si je n'exerce pas de
pression
, je puis pincer violemment la peau, au niveau de
ncidence de douleurs très vives produites par les mouvemens ou par la
pression
des muscles et de l'insensibilité presque complèt
r la limite supérieure de la paralysie. L'abdomen est sensible à la
pression
. Rétention d'urine. Voici les commémoratifs qui m
leurs de l'abdomen. Examen de la colonne vertébrale. Douleur par la
pression
au niveau des dernières vertèbres cervicales et d
plus grand soin,ne présente, il est vrai, aucune déviation; mais une
pression
forte exercée sur le sommet des apophyses épineus
uleur avec rigidité des muscles de la nuque, douleur qu'augmentait la
pression
exercée sur cette région. Au bout de ce temps, di
antes, tombant et se reproduisant avec la plus grande facilité. Une
pression
long-temps continuée peut être la cause détermina
ésentent de semblables productions dans tous les points soumis «à une
pression
habituelle, aux coudes, aux genoux, au front : un
et, parmi elles, on est tout surpris d'en trouver qui donnent par la
pression
une quantité énorme de suc cancéreux. Indépenda
présentent constamment un renflement gangliforme. Les frottemens, les
pressions
auxquelles sont soumises ces extrémités nerveuses
rajet et dans l'épaisseur des cordons nerveux. Les nerfs soumis à des
pressions
considérables présentent aussi très souvent des r
sa couleur livide on présume être produite par un abcès urineux : une
pression
exercée sur cette tumeur détermina en effet l'éco
ade se plaint constamment du rein droit, qui est très douloureux à la
pression
: elle dit que son rein est plein de pierres , el
'on touche ses pierres, suivant son dire, et supporte impatiemment la
pression
nécessaire pour reconnaître et circonscrire le re
t de reconnaître aucune tuméfaction dans la région du rein, et que la
pression
ne réveillait aucune doLileur. Le fait suivant,
s partielles atrophiques qui résultent du volume des calculs et de la
pression
mécanique qu'ils ont exercée sur les calices et s
tites, causait des douleurs intermittentes : elle était sensible à la
pression
. Depuis deux mois seulement, les douleurs avaient
us haut. Leur tissu était extrêmement dense et de nature fibreuse. La
pression
la plus forte n'en faisait soudre aucun liquide.
reuse de cette tumeur cancéreuse, j'ai pu faire suinter par mie forte
pression
un suc cancéreux et séreux. Tous les autres organ
boue rougeâtre ou suc cancéreux qu'on faisait suinter par une légère
pression
, à la manière de l'eau contenue dans une éponge.
tre oblongs, comme olivaires très durs et de ne donner aucun suc à la
pression
. 5° Plaques cancéreuses de la plèvre.—Les plaqu
eux , d'une dureté pierreuse, et cependant on en fait suinter par une
pression
forte du suc cancéreux. Ces petits lobules sont e
ns de la peau seule qui s'épaissit considérablement à leur niveau. La
pression
des coupes faites à la peau en fait suinter du su
taient remplies de suc cancéreux pultacé qu'on faisait suinter par la
pression
à la manière du vermicelle. Le corps de l'utérus
st comme creusé dans l'épaisseur de cette paroi antérieure CV, CV. La
pression
exercée sur la coupe des parties altérées en fais
y avait communication entre ces cellules et les veines libres; or la
pression
extérieure, en même temps qu'elle faisait suinter
de du manche du scalpel, s'effile sous la forme de vermicelle par une
pression
latérale, ou est emportée à l'aide d'un filet d'e
ssive fragilité de leurs parois : la moindre traction, la plus légère
pression
suffisent pour les lacérer; et quand on a enlevé,
e de l'épigastre jusqu'à la gorge. Altération profonde des traits. La
pression
abdominale est médiocrement douloureuse; l'abdome
cancéreux. La coupe de ce tissu présentait l'aspect de la fig. 2. La
pression
exercée sur les bords de la coupe faisait suinter
us est transformé en un tissu spongieux d'où l'on fait suinter par la
pression
, sous la forme de vermisseaux, un suc cancéreux p
nde quantité de suc cancéreux qui suinte de toutes parts à la moindre
pression
. La dégénération s'arrête d'une manière nette et
ait lieu sans que cette lésion ne soit accompagnée d'une douleur à la
pression
ou indépendante de la pression le long de la colo
ne soit accompagnée d'une douleur à la pression ou indépendante de la
pression
le long de la colonne sacro-coccygienne : c'est c
nce élastique, comme si elles étaient distendues par un corps mou. La
pression
exercée du pavillon vers l'utérus faisait refluer
fluer dans la cavité utérine une matière d'apparence tuberculeuse. La
pression
exercée de l'utérus vers les pavillons des trompe
; et à la vue de ce liquide purulent qu'on fait passer à l'aide d'une
pression
légère de la trompe dans la cavité péritonéale, o
t plus impunément que lui des changemens de forme par le fait soit de
pressions
extérieures, soit de pressions exercées par les a
hangemens de forme par le fait soit de pressions extérieures, soit de
pressions
exercées par les autres viscères, qu'en un mot, c
mot, cet organe est comme ductile et malléable sous l'influence d'une
pression
lentement exercée. XXVe LIVRAISON. peuvent exer
le d'être exprimée à la manière du suc cancéreux cérébriforme: par la
pression
, le tissu se déchire et les doigts restent couve
ortueux. En examinant avec soin le tissu de l'épiploon , privé par la
pression
de tout le suc cancéreux qu'il contenait, j'ai re
ifeste, soit contenu dans des loges ou retenu par des adhérences. Une
pression
brusque, exercée dans divers points, opérait le d
oration de ces tumeurs, il importe d'user de prudence, d'éviter toute
pression
considérable; il est certain que, sans la présenc
, sans la présence du liquide contenu dans la cavité péritonéale, une
pression
ordinaire, exercée dans le but de reconnaître ou
obtuse dans l'abdomen, douleur que n'augmente nullement la plus forte
pression
; soupçon de liquide dans la cavité abdominale ; l
des organes respiratoires et circulatoires. 40e liv., pl. iv, p. 5.
PRESSION
. Une pression long-temps continuée peut être la c
spiratoires et circulatoires. 40e liv., pl. iv, p. 5. PRESSION. Une
pression
long-temps continuée peut être la cause détermina
s). Maladies du corps thyroïde: accidens auxquels peut donner lieu la
pression
exercée par le corps thyroïde sur la trachée. Goi
nerf sus-orbitaire gauche, n'est pas notablement doulou- reux à la
pression
. Si l'on provoque la contraction des muscles pa
mateuse du cer- veau : conséquence nécessaire de l'accroissement de
pression
dans les artères profondément dégénérées et don
l'espèce, on ne note l'absence de malaises nerveux (sensa- tion de
pression
céphalique, paresthésies sensorielles, tremblemen
ielle est uniquement la conséquence d'un arrêt de développement par
pression
, de même que, dans l'asymétrie des hémisphères
faclif ne parvient pas à son complet développement à cause de la
pression
exercée par l'apophyse crista-patli, sur laquelle
. Une femme, grosse de huit mois, est prise successivement de dé-
pression
et de manie furieuse. On la guérit en pratiquant
e. en des conditions toutes spéciales, et, en particulier, que la
pression
de la colonne sanguine à l'intérieur d'un vaissea
lle exerce sur la paroi du même vaisseau, enfin qu'une partie de la
pression
peut être transmise au liquide cérébro-spinal,
es ou élastiques de cette cavité. Mais quelle est l'intensité de la
pression
qui normalement relève du liquide cérébro-spinal
liquide cérébro-spinal ? Quelle influence une modification de cette
pression
exerce-t-elle sur les fonctions du cerveau ? Ex
our étrangères aux formules. Soit un tuyau R fermé et plein d'eau à
pression
nulle, à parois rigides; on le fait traverser par
irige dans le vaisseau élastique un courant continu de liquide sous
pression
d'une colonne d'eau A; il s'évacue dans l'unité
r le vaisseau élastique; cette quotité devient faible bien que la
pression
se soit accrue. 11 est de prime abord difficile d
Il dans tout tuyau élastique parcouru par un courant de liquide, la
pression
la plus faible règne à l'extrémité périphérique
2" dans le tuyau élastique G, tant que son contenu est eu repos, la
pression
se transmet également sur toutes ses tranches;
s, la pression se transmet également sur toutes ses tranches; cette
pression
peut être partiellement ou totalement transmise
ntenu de tuyau R; par conséquent, dans le cas le plus favorable, la
pression
a 1 intérieur de R sera égale à la pression de
s le plus favorable, la pression a 1 intérieur de R sera égale à la
pression
de l'intérieur de G mais n'y sera jamais plus h
pos ; - 3° dans le tuyau R, il s'exerce sur toutes les tranches une
pression
égale, positive, quand le liquide coule à trave
e, on voit les vibrations du vaisseau se produire dès que dans R la
pression
atteint la hauteur indis- pensable pour presser
contre l'autre les parois du vaisseau élastique G remplies d'eau à
pression
nulle. Donc. plus les parois de G sont rigides,
stique G a des parois si délicates qu'elles se peuvent toucher sans
pression
, le vaisseau vibre, dès que la pression atteint
les se peuvent toucher sans pression, le vaisseau vibre, dès que la
pression
atteint dans R une valeur positive. Rétrécit-on
, en dehors de l'appa- reil, un tuyau élastique, ce qui augmente la
pression
à l'extrémité périphérique du vaisseau G, aussi
du vaisseau cessent; ces vibrations ne reparaissent que lorsque la
pression
à l'intérieur du tuyau R, subissant une élévation
, subissant une élévation, est devenue assez grande pour vaincre la
pression
dans l'extrémité périphérique du vaisseau G.
: A l'extré- mité périphérique du vaisseau G, règne la plus faible
pression
lorsqu'il est parcouru par un courant de liquid
urant de liquide; dans le tuyau R se produit pendant le courant une
pression
positive qui comprime l'extrémité périphérique
e courant de liquide ; mais, en même temps que cesse le courant, la
pression
positive croit à l'extrémité périphérique de G.
ble, et le courant interrompu se rétablit; ce qui abaisse encore la
pression
de l'extrémité périphérique de G, et en permet
nées à la théorie de la circulation intracî,dnieiiie. 1° Quand la
pression
relative au liquide cérébro-spinal s'accroît, il
es des vaisseaux de l'encéphale, en supposant que l'augmentation de
pression
ne provienne pas de ces extrémités mêmes. 2° Ce
miète e SOCIÉTÉS SAVANTES. 105 s'efface sans qu'il se produise de
pression
extérieure positive, il suffit que la pression
qu'il se produise de pression extérieure positive, il suffit que la
pression
cérébrale s'accroisse pour que les veines cérébra
ent dans les sinus. 3° Ces vibrations sur- viennent aussitôt que la
pression
du liquide cérébro-spinal devient plus grande q
ue la pression du liquide cérébro-spinal devient plus grande que la
pression
régnante dans les eatrémités lniphérntnes des v
on régnante dans les eatrémités lniphérntnes des veines cérébrales,
pression
qui, comme l'on sait, estégale.'i la résistance
ntation de cette résistance peut arrêter les vibrations tant que la
pression
cérébrale n'a pas subi une élévation parallèle.
n cérébrale même dans un crâne intact; leur existence prouve que la
pression
cérébrale a atteint un degré d'élévation égal pou
tance que nous venons de consigner. 5° La doctrine ac- tuelle de la
pression
cérébrale prétend établir que, lorsque cette pres
tuelle de la pression cérébrale prétend établir que, lorsque cette
pression
augmente, les capillaires cérébraux sont compri
; les veines, au contraire, s'affaissent sans qu'il se produise de
pression
extérieure positive. Par conséquent, c'est la p
produise de pression extérieure positive. Par conséquent, c'est la
pression
du sang à l'intérieur des capillaires ou des gr
moins grande conipressibilité des uns ou des autres. On sait que la
pression
du sang dans les capillaires est supérieure il
t que la pression du sang dans les capillaires est supérieure il la
pression
du sang dans les grosses veines cérébrales; par
ans les grosses veines cérébrales; par suite, l'augne Million de la
pression
cérébrale déterminera une cont- pression des gr
ite, l'augne Million de la pression cérébrale déterminera une cont-
pression
des grosses veines du cerveau et non une compress
ue munirent que, dans certaines circons- tances, une élévation delà
pression
artéi ielle n'active pas la circulation 1 l'iut
t-à-dire une ovarie bien tranchée, accompagnée d'hyperesthésie à la
pression
, de toute la moitié du corps du même côté et en
dents du décubitus la peau bien plus résistante, en régulaiisunt la
pression
, en procédant à des pansements, etc. L'expérien
es névropathes chroniques. Depuis décembre 1882, l'auteur a noté la
pression
, la température, l'étal hygrométrique et ozaomé
la paupière inférieure. La peau est à ce niveau, rouge, tendue ; la
pression
du doigt y laisse son empreinte, la température
res. Le fond de la cicatrice est ferme quoique non osseux, et une
pression
raisonnable ne fait pas souffrir le malade. L'e
culaires, les articulations et les os ; elles sont exagérées par la
pression
des parties douloureuses ou par la traction des
jours, avant l'apparition des phénomènes arthritiques; en effet, la
pression
exercée sur les tissus qui entourent les articu-
ractéristiques. A gauche, la contraction des muscles faciaux par la
pression
du nerf facial est faible; le sterno-mastoïdien
s membres supérieur et inférieur ne se contracturent pas bien. La
pression
du médian, du radial donne la contracture et la g
ondantes; pour le cubital, il faut insister davantage, car, par une
pression
égale à celle exercée sur les deux autres nerfs,
festations nerveuses sont les griffes des muscles résultantes de la
pression
des trois nerfs : médian, cubital et radial). L
ate un contenu quasi-liquide, ou du moins très mou, qui en sort par
pression
, et se transforme en coagula généralement granu-
es du mouvement protoplasmique. Une longue observation ou la com-
pression
d'une cellule entraine la disparition très prompt
« que la production de chaleur est d'autant plus grande que l'im- «
pression
reçue par l'animal lui est, pour un motif quelcon
83 nemis ; mémoire extraordinairement affaiblie. Diagnostic. Com-
pression
du lobe occipital gauche par une exostose consécu
l'opération en question, cicatrice sensible dont-il s'échappe, à la
pression
, une gouttelette de sérosité, etc... Les dimens
s grande sensibilité à la plante des pieds sous l'influence de la
pression
: réaction normale des pupilles. Le troisième t
sche2c, on a établi une conduite d'eaux très riche, jouissant d'une
pression
considérable. On a transformé et agrandi le dép
e et manifestement exagérées soit par les mouvements, soit par la
pression
des muscles; la sensibilité est normale dans ses
ni une contraction, ni une contracture se pro- duire après la seule
pression
du tendon. De plus, si, pendant la léthargie, n
e plus, si, pendant la léthargie, nous augmentons peu à peu cette
pression
, ce qu'indique le tracé sphygmographique, la co
un haut degré l'hyperexci- tabilité neuro-musculaire que la simple
pression
du tendon fait merveille et est douée d'une ell
'irritation c'est la fonction psychique du cerveau; aussi les im-
pressions
extérieures ne provoquent pas toujours les même
res : dans les membres, dans le thorax, l'abdomen, de tension, de
pression
circulaire, gastralgiques, dans les lombes, etc.
ommis au plein d'un état de désarroi intellectuel et moral, sous la
pression
de la misère et de la faim, doit être considéré n
ment ventriculaire. Les phénomènes observés après la mort (com- -
pression
des circonvolutions les unes contre les autres, e
lésion dans J'attaque terminale; mais cela était évidemment dû à la
pression
exercée par un caillot relativement volumineux
la promène de haut en bas sur les points douloureux en exerçant une
pression
forte. On se sert soit de courants faibles ou m
u (nutcitiou du), par llteynert, 233; - (irritation, lésion, com-
pression
du), par Adamlciewicz, 291 ? atroplue desfibres
age que de l'excitation purement mécani- que, telle que le choc, la
pression
, lainalaxation, le massage. Nous avons écarté i
mène sont quelque peu changées. Le choc n'agit plus seul, la simple
pression
produit des effets un peu différents, mais égal
sur le tendon, soit au moyen d'un choc brusque, soit au moyen de la
pression
. 38 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. A. E#els de la
ser la contracture d'un même coup partout à la ibis, au moyen d'une
pression
légère de la région ovarienne droite, sans pour
la amener la cessation du sommeil ; ce qui eût été inévitable si la
pression
avait été énergique. Un choc répété sur les ten
lité réflexe existe à un haut degré, un seul choc suffit. Alors, la
pression
sur le tendon conduit au même résultat, ainsi q
nique du tendon, tels que la malaxa- tion, la friction et la simple
pression
. Ces manoeuvres, que nous allons étudier mainte
ffets de l'excitation tendineuse par malaxation, friction ou simple
pression
. Chez les sujets peu sensibles nous avons vu pa
à un haut degré l'hyperexcitabilité neuro- musculaire que la simple
pression
du tendon fait mer- veille, et est douée d'une
est obtenue par le même pro- cédé pendant la veille, tandis qu'une
pression
, si peu prolongée qu'elle soit, ne saurait prod
neuse, non seulement le choc n'est pas nécessaire mais la simple
pression
est beaucoup plus efficace. D'où il suit égalem
ambour myographique est appliqué sur le corps du grand palmaire. La
pression
sur le 58 . , PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. .>
successivement sur différents points de la longueur du tendon. La
pression
peut être brusque ou graduelle. Les effets de l
don. La pression peut être brusque ou graduelle. Les effets de la
pression
graduelle sont démontrés dans l'expérience cité
expérience citée plus haut et accompagnée du tracé (Fig. 7). - La
pression
brusque se rapproche du choc et tient, en quelq
ure se produit plus rapidement et plus brusquement. Il s'agit d'une
pression
brusque exercée sur le tendon du grand palmaire
du grand palmaire. Le signal Marcel Despretz indique la durée de la
pression
. Nous pouvons conclure de ce qui précède que la
suit le choc sur le tendon et celle qui est obtenue par une simple
pression
exercée au même point, sont des phénomènes de m
gt; z M 0 r 0 0 s a Mt /'/(/. S.- Contracture par
pression
brusque sur le tendon, pendant la léthargie. G
lmaire. S., Signal électrique indiquant le moment et la durée de la
pression
. ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 61
tteindre sûrement. Son excitation mécanique au moyen d'une simple
pression
faite avec le doigt, ou indifféremment avec l'e
montrent que la douleur n'est pas le fait de l'arthrite, mais de la
pression
du liquide articulaire sur les tissus de l'arti
liquide articulaire sur les tissus de l'articulation. L'absence de
pression
intra-articulaire dans l'arthro- pathies des at
conserver longtemps un état. élec- trique, par le frottement ou la
pression
. Il faut y joindre encore l'ivoire, l'os, certa
ont la preuve n'est d'ailleurs pas encore faite. En un mot, sous la
pression
des faits nouveaux, le point de vue s'est dépla
qui met obstacle à la contraction du tibial antérieur, mais bien la
pression
que la main exerce sur les jumeaux et le soléai
ain, en tout cas, qu'elles sont indépendantes de l'intensité delà
pression
sanguine. E. B. 122 REVUE DE PHYSIOLOGIE. III
DES MUSCLES. L'expérience a montré que la malaxation ou la simple
pression
des masses musculaires amenait la contracture d
r une fric- tion sur le corps du sterno-mastoïdien, ou une simple
pression
sur un point de ses fibres, pour que ce muscle
rposition de plusieurs muscles, de sorte qu'il est difficile que la
pression
d'un muscle superficiel ne retentisse pas sur l
s nous ont donné des résultats forts précis. Lorsque, par la simple
pression
avec l'extrémité mousse d'un petit bâton, on ch
es feront bien comprendre : En comprimant un muscle superficiel, la
pression
, pour- vu qu'elle soit un peu intense, se commu
rides aponévrotiques qui les relient. Il est impossible, lorsqu'une
pression
assez forte est exercée au niveau des espaces i
ont également susceptibles d'être excités mécaniquement. Une simple
pression
, exercée directement sur le muscle lui-même ou
e, dans les cas d'hyperexcitabilité neuro-nlusculaire, lorsque la
pression
exercée dépasse certaines limites qui varient s
et : 1° La localisation la plus exacte est obtenue à l'aide d'une
pression
modérée, pratiquée avec l'extrémité ar- rondie
a contraction du muscle cesse le.plus souvent en. même temps que la
pression
. Elle persiste quelquefois très peu de temps ap
action pro- duite ne tarde pas à s'épuiser. Tout en maintenant la
pression
à un degré égal sur le point qui a provoqué la
alade hypnotisée, l'excitation de ces mêmes muscles, par une simple
pression
exercée sur les points d'élection, nous a donné
La contraction isolée du Frontal est très facile à obte- nir parla
pression
du point (Fig. 16, 1) qui correspond au nerf fr
ion du point (Fig. 16, 1) qui correspond au nerf frontal, ou par la
pression
portée sur un point quelconque du muscle (PL. I
le petit doigt de la main droite est placé dans l'extension par la
pression
sur le point, moteur désigné sur la figure 15,
eu et a repris l'attitude normale du relâchement musculaire. , La
pression
sur la masse des muscles de la région postérieu
t sur une table, la face dorsale regardant* en' haut.. 1 - . 3 La
pression
légère du tendon du médius de la main droite au
rrhagies du- cerveau' étant causées soit par une augmentation de la
pression
intravasculaire, soit par une alté- -ration des
onditions se trouvent réalisées. Pour démon- trer l'augmentation de
pression
intravas cul aire, t il admet' que l'hyperémie
i, . ? .. j 'O ? ' L'auteur a injecté différents liquides, sous des
pressions
diverses, dans la caisse du tympan d'un grand n
é les faits suivants : Lorsque la quantité de liquide.injecté.et la
pression
. sont suffisantes, il survient/du nystagmus, e
on, souvent aussi des mouvements de roulement et de manège. Plus la
pression
est forte, plus la température des liquides inj
de la mort a été la paralysie des muscles respiratoires par com-
pression
brusque des origines des"nerfs ? phréniques'et'au
la maladie de Basedow. 'A ce ''propos, 1 M. Muller rappelle' que la
pression
1 épigastrique 1 engendre,1 ellei aussi, deilég
mpagne d'un abaissement de température ,'malgré,l'élévation de' la'
pression
artérielle,' malgré même l'interruption de la c
e Hitzig,·après'sectin',dés nersswagués,,n'a'pas d'influence sur la
pression
artérielle,,et que , la ^destruction^ totale,, de
la protubérance ? et en coupant les nerfs splanchniques,,on voit la
pression
! artérielle - s'élever quand l'asphyxie se pro
ou, névrite consécutives/ soit à l'emprisonnement', soit à la com-
pression
du nerf par le cal. Les troubles de. la sensibili
quement. L'observateur donne ou in- terrompt l'éclairage par simple
pression
sur un bouton interrupteur. Il n'a d'autre so
cun des cheveux de la série, on a' déterminé à l'avance le degré de
pression
qu'il exerce au moment de son incurvation. On rec
ndé sur la méthode précédente. Une aiguille note , sur un cadran la
pression
exercée par le cheveu au moment où la sensa- ti
ort spécial ; 2, petit pignon; 3, grande roue dentée; 4, ressort de
pression
. - (C) 1, aiguille; 2, ressort : 5, petit pigno
cervical. Dans certaines affections du sympathique cervical (com-
pression
, etc.), avant la destruction des fibres nerveuses
us auriculaire, on invoque des causes variées : modifications de la
pression
labyrinthique, irritation ou interruption du ne
E L'OEIL. Le globe oculaire possède une sensibilité particulière li
pression
qu'il peut perdre dans certaines conditions. Ce
Tumeurs de' la base. llemianopsies variables suivant que la com-
pression
s'exerce sur la bandelette ou sur le chiasma (p.
pression du cubital dans la gouttière de l'otecrane, phosphènes par
pression
sur les globes oculaires, sensation gustative par
breux travaux de Barany. A l'état normal, l'épreuve galvanique, la
pression
directe, le refroidissement ou le réchauffement
eux. En vertu de cette disposition et de cette communica- tion, la
pression
du liquide qui remplit ces canaux varie dans chac
eux avec chaque changement d'attitude de la tête. Ces variations de
pression
excitent les extrémités nerveuses- d'un nerf sp
iale sur les voies nerveuses du sens de l'espace ou en modifiant la
pression
cndotymphatiquc du labyrinthe. Nous en dirons a
s sont, comme les précédents, dus il de rapides modifications de la
pression
endotymphatiquc de l'oreille interne. Tous ce
s semblent donc dues, en bonne partie au mains, à l'augmentation de
pression
du liquide céphalo-rachidien dont on connaît le
rfois un signe objectif per- mettant de déceler une augmentation de
pression
du liquide céphalo- rachidien sY11lptomatiqlle
mais en sens inverse; ces sensations sont dues aux modifications de
pression
dans le liquide des canaux semi-circulaires.
l'appareil vesti- bulaire peut être excité par les modifications de
pression
du liquide qu'il contient. 5" Toutes les mala
oies auditives. Il serait dû soit aux modifications générales de la
pression
sanguine, soit aux irritations anormales de l'app
e peuvent déterminer du vertige auriculaire par l'exagération de la
pression
infra- labyrinthique : bouchon de cérumen dans
iculaires, ayant pour point de départ une brusque modifica- tion de
pression
du liquide labyrinthique. De même, c'est peut-êtr
s ménin- gites et des tumeurs cérébrales. Les modifications de la
pression
sanguine dans les artères labyrinlhi- ques, et
hute sur les genoux, les pieds, etc.; c) variations exagérées de la
pression
de l'air dans le conduit auditif externe (trava
e intervenir aussi dans sa production et les Illodili- . cations de
pression
et de perméabilité des artères labyrilllhiques (P
autre de ces parties que par l'intermédiaire de modifications de la
pression
sanguine ou de la structure des vaisseaux (arte
confirmé le pouvoir curatif ; elle agit sans doute en diminuant la
pression
du liquide )abyrinthiqne('). Elle atténue ou fait
Certains auteurs ont vu que l'hallu- cination se dédoublait par la
pression
du doigt sur le globe de l'oeil qui modifie le
ure physique, moléculaire. Le contact exagéré donne la sensation de
pression
; pour d'autres, le tact et la pression sont fon
xagéré donne la sensation de pression; pour d'autres, le tact et la
pression
sont fonction, soit d'appareils de réception diff
d'appareils de réception différents (corpuscules de Pacini pour la
pression
, corpuscules de lleissner pour le tact), soit d
i des points pour le chaud, pour le froid, pour la douleur, pour la
pression
. A ces quatre sens cutanés, répondent quatre ca
inaisons sensitives (von Frey) : : corpuscules de lleissner pour la
pression
; terminaisons libres pour la douleur ; corpusc
e, celle des troncs ner- veux, des os, des ligaments, le sens de la
pression
. Enfin, il faut, comme résultante de ces différ
t être assez légère de façon à ne pas déterminer une sensa- tion de
pression
ou de douleur. La sensibilité tactile peut être
déplaçant sur une échelle graduée, en grammes, l'équivalent de la
pression
exercée. L'emploi de ces appareils est souvent
dans la me- sure rie la douleur ; le plateau sert il mesurer la
pression
(hareslhcsiomèlrel. ys-i i. vl\Ififf.l'l ?
mesurer la pression (hareslhcsiomèlrel. ys-i i. vl\Ififf.l'l ?
pressions
sensitives ne sont plus perçues, tituitc très var
ôté sain seulement. 11 faut, au contraire, augmenter notablement la
pression
et agir plus fortement sur la région qui présen
exaltée. Nous ne parlons pas ici de la sensibilité des muscles à la
pression
, constatée au moyen d'appareils spéciaux (myoes
- rew). L'élude de cette question se rattache à celle du sens de la
pression
que nous étudierons plus loin. B) Sensibilité
ns avec le sens musculaire. C) Sensibilité des troubles nerveux. La
pression
des troncs nerveux éveille une sensation de fou
dans la sphère de distribution du nerf comprimé; si on augmente la
pression
, la sensation devient nettement douloureuse. On r
t profondément situés dans les tissus mous. La douleur vive : 't la
pression
des nerfs est un signe important en semeio- log
es j'rcmiers syni- 1) ! ÙllIes de la maladie. D) Sensibilité à la
pression
. Baresthésie. - La pression des tissus profonds
lIes de la maladie. D) Sensibilité à la pression. Baresthésie. - La
pression
des tissus profonds, exercée avec le doigt, éve
n spé- ciale « sui generis », qui nous renseigne sur le degré de la
pression
exercée en un point du corps et nous permet ain
ainsi d'apprécier le poids des objets. Dans la notion du sens de la
pression
iigurent des éléments [ROUSSY.] 2')2 SENSIBIL
qu'ici, les neurologistcs confondent, en général, la sensibilité à la
pression
avec la sensation de contact et n'attachent auc
clarté dans cette question et montrer qu'à la notion du sens de la
pression
s'attache un intérêt à la fois doctrinal et sém
uelques détails. Von Strumpell (') a montré que la sensibilité à la
pression
est indépen- dante de la sensibilité tactile et
abétiques, etc.) une disparition com- plète de la sensibilité il la
pression
, avec conservation parfaite de la sen- sibilité
ement dissociées en clinique. Pour Strümpell, la sensi- bilité à la
pression
n'est pas ou fort peu transmise par la peau; la p
bilité à la pression n'est pas ou fort peu transmise par la peau; la
pression
de la peau chez les individus présentant une ce
résentant une certaine laxité des tégu- ments permet de voir que la
pression
de la peau soulevée ne révèle pas la sensation
r que la pression de la peau soulevée ne révèle pas la sensation de
pression
; mais ce sont les terminaisons nerveuses des ti
ses) et du périoste qui se chargent de ce rôle. La sensibilité à la
pression
, connue le sens musculaire et la sensibilité vi
e des cordons postérieurs » : perte de la sensibilité au tact, à la
pression
et au mouvement, avec conservation des sensatio
on des sensations douloureuses et thermiques. La sensibilité à la
pression
est dite baresthésie (Marinesco) ; comme les au
e, &et ? 7cr ? cc. Recherche. Pour explorer la sensibilité à la
pression
, on peut sim- plement comprimer avec l'index, a
Tabès. - Topographie radiculahe des troubles de la sensibilité à la
pression
(1). Fig. 4. - Tabes. Troubles de la sensibilit
pression (1). Fig. 4. - Tabes. Troubles de la sensibilité . à la
pression
plus étendus. -294 SENSIBILITE'. sur 25) et c
mes de la sensibilité. Dans les paraplégies, la sensibi- ité à la
pression
peut être altérée m même temps que les autres
utres ibrmes de sensibilité ou, au con- traire, l'anesthésie à la
pression
et m diapason peut exister seule, dors que le
venheilk, Bd., 57, 2. Fig. 5. Paraplégie. Troubles scnsitifs à la
pression
. THOUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 295 ci
compagne la perte du sens musculaire et la perte de la sensation de
pression
. L'anesthésie vibratoire peut quelquefois revêt
fonde dans l'hémiplégie. A gauche, troubles de la sensibilité il la
pression
; il droite, troubles de la sensibilité vibratoire
acquises par l'expérience. Une excitation périphérique (mouvement,
pression
, choc, etc.) est nécessaire pour faire naître ces
5° La notion du mouvement actif, elle aussi, est basée, sur les im-
pressions
périphériques parties des surfaces articulaires e
our le diagnostic du tabes, c'est l'anesthésie du nerf cubital à la
pression
(signe de Biernacki). , C'est dans le tabes e
a colonne vertébrale révélant une déformation ou de la douleur à la
pression
donne de précieux renseignements sur le siège de
tique, dans les radiculites où l'exsudat méningé, agissant par com-
pression
sur les racines nerveuses, peut être reconnu le p
parties du corps, puis je pince la peau, je la pique, j'exerce des
pressions
avec le doigt, je croise les doigts les uns sur
écrit les « zones hysté1'ogènes » ou « zones spasmogènes », dont la
pression
provoquait, pensait-on, l'attaque hystérique. C
e ou de l'analgésie. On a signalé l'anesthésie du nerf cubital à la
pression
(signe de Biernacki), qui pourrait servir pour di
er les altérations sensitives des viscères, il suffit d'exercer une
pression
sur l'organe à explorer, lorsqu'il est superficie
diminuée (60 pour 100). On la recherche soit en exerçant une simple
pression
digitale sur le testicule, soit au moyen d'un a
aire. La sensation douloureuse particu- lière, 1 ? oV(Hlu¡"e par la
pression
des seins chez la femme, disparait chez plus de
e la sensibilité gas- trique se manifestent par une anesthésie à la
pression
du creux epigas- iriquc (moitié des cas) et par
arer dans des détails inutiles. On essaie ensuite de révéler par la
pression
, par le contact, par des mouve- ments approprié
rche à réveiller la douleur par l'ef- fleurement de la peau, par la
pression
profonde des masses musculaires, des'troncs ner
nts; nettement localisées en un point, soit spontanément, soit à la
pression
, elles limitent immédiatement les investigation
ns dans une direction donnée : telles, par exemple, la douleur à la
pression
des troncs nerveux dans les névrites, la douleu
à la pression des troncs nerveux dans les névrites, la douleur à la
pression
des apophyses épineuses dans le mal de Pott, le
ENSIBILITE. crâne, ou circonscrite en un point, et exaspérée par la
pression
à cet endroit. Sa durée, extrêmement variable,
elle peut être dans ce cas nettement localisée et exaspérée par la
pression
en un point déterminé. Le plus souvent, elle es
un point de la voûte crânienne ; exaspérée par la percussion et la
pression
en cet endroit, elle acquiert la valeur d'un sy
ir art. Névralgies). Les douleurs apo- physaires spontanées ou à la
pression
se rencontrent dans les affections dcs vertèbre
ou externes; elles sont aussi exaspérées par les mouvements, par la
pression
au niveau des articulations, et calmées par le
d'hyperesthésie quelquefois très intense. Le contact de la peau, la
pression
même légère provoquent de vives douleurs. ^ L
des brûlures superficielles ou profondes, à des élancements, à des
pressions
violentes et douloureuses qu on exercerait sous
oxysmes; exaspérées par les mouvements, elles ne le sont pas par la
pression
des tissus su- perficiels, des muscles ou des o
es névralgies créées par des périostoses du voisinage, par des com-
pressions
scléreuses ou gommeuses. Les névralgies sont fr
persistantes, très tenaces, elles ne semblent pas augmentées par la
pression
, ne correspondent à aucun territoire nerveux pr
phériques; les troncs nerveux d'ailleurs sont moins douloureux à la
pression
que dans les névralgies. Les douleurs sont réve
oux, l'éternuement, la déglutition; elle est provoquée aussi par la
pression
dans la fossette de la nuque et au niveau du poin
du plexus brachial; [GUILLAIN.] 390 .NÉVRALGIES ET ALGIES.' la
pression
des différents nerfs du bras réveille ces douleur
vant-bras d'un autre. La même variation existe pour la douleur à la
pression
; quelquefois on ren- contre des points douloure
du cordon, mais le testicule lui-lèmu n'est pas doulou- reux il la
pression
; tantôt il s'agit d'une névralgie des nerfs sperm
face interne de la cuisse jusqu'au genou. Le toucher vaginal et la
pression
du nerf au niveau du canal obturateur, les mouv
la marche, la station assise, la défécation. Le toucher rectal avec
pression
sur le coccyx est très doulou- reux. La coccygo
ie postérieure, et inférieure de la malléole externe. A la jambe la
pression
sur les masses musculaires du mollet réveilln l
smes violents. L'examen local ne montre rien de spécial, souvent la
pression
au niveau de la face plantaire réveille des dou
oisée sur l'autre, on place une main à demi-fermée, en exerçant une
pression
modérée sur le point à examiner. La main est plac
elle due à la cachexie, peut-être est-elle due à l'accroissement de
pression
du liquide cérébro-spinal. Les réflexes peuve
ied et de flexion des orteils provoqués chez l'individu sain par la
pression
du tendon Dans les cas pathologiques, la mêmes
plifier l'effort dans ce mouvement, on s'oppose à la flexion par la
pression
de la main sur la face antérieure de la cuisse.
expliqué, ainsi que de l'hyperesthésie des apophyses épineuses à la
pression
ou à la chaleur. Les signes radiculaires sont b
us- et non sous-jacentes. Syndrome cervical supérieur. Les com-
pressions
de la moelle cervicale portent, au ni- veau d
lysés, les différents usages de la main sont abolis, la plus légère
pression
exercée sur la face antérieure des deux dernièr
faible pour la partie interne de celui-ci, puisque une très légère
pression
exercée sur le premier métatar- sien empêche fa
jeu que dans les actes respiratoires exagérés pour lutter contre la
pression
aérienne exagérée que cette pression vienne du
exagérés pour lutter contre la pression aérienne exagérée que cette
pression
vienne du dehors comme cela se voit dans une fort
s de la partie inférieure de la face réveille, l'énergie dans l'ex-
pression
et dans les centres nerveux. » Foitx a indiqué
orise la circulation par appel du sang veineux et contre-halance la
pression
atmosphérique. Aussi il se contracte dans le ch
ieurs cas de paralysie radiculaire, une diminution très nette de la
pression
artérielle du côté de la paralysie. La paralysi
membre est douloureux. Les douleurs peuvent être provoquées par la
pression
des racines sur les transvérses, par la pressio
provoquées par la pression des racines sur les transvérses, par la
pression
dans le creux sus-claviculaire au niveau du poi
on dans le creux sus-claviculaire au niveau du point de Erb, par la
pression
des troncs nerveux, par la pression des masses
niveau du point de Erb, par la pression des troncs nerveux, par la
pression
des masses musculaires. Ces phénomènes le plus
. Paralysies radiculaires dans les pachyméningites, dans les com-
pressions
intrarachidiennes. - 'Les paralysies radiculaires
causes de la paralysie du spinal sont : les traumatismes, les com-
pressions
(lésions de la colonne vertébrale, mal de Pott, t
cas de paralysie radiale; dans les paralysies a frigore ou par com-
pression
on ne les observe presque jamais. Les troubles
le long de la trachée : la parole fait souvent revenir l'accès. La
pression
vers la grande corne de l'os hyoïde, ou au-dess
t la mesure du mou- vement exécuté. Un petit dynamomètre donnant la
pression
en kilo- grammes est l'instrument dont on se se
re névralgique, souvent fulgurant ou térébrant, et en douleurs à la
pression
des nerfs ou des muscles. Les troubles objectifs
tronc nerveux et les masses musculaires ne sont pas sensibles à la
pression
; les douleurs sont parfois vives et localisées à
nt pour cause une compression nerveuse : compression du cubital par
pression
pro- longée sur le bord d'une lable chez les ta
sont très intenses, le nerf et les muscles sont très sensibles à la
pression
. Les névrites par compression sont plus fréquen
es diversement localisées dans cette affection sont dues à des com-
pressions
radiculaires. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARA
té qu'une hyperesthésie cutanée des mains et une hyperesthésie à la
pression
des troncs nerveux aug- mentés de volume et des
ements, des douleurs spontanées intermit- tentes, des douleurs à la
pression
du nerf atteint; ces douleurs s'ac- cusent, dev
, paroxystiques, intermittentes ou rémittentes, réveil- lées par la
pression
des nerfs ou des muscles, les troubles de la sens
pas de troubles sensitifs subjectifs ou objectifs, de douleurs à la
pression
des troncs nerveux ou des masses musculaires, t
ndes sali- vaires) ; système cardio-vasculaire : diminution de la
pression
artérielle, troubles cardiaques; système nerv
oires, l'acuité du début du processus, la douleur spontanée et à la
pression
, la faiblesse de la contraction évite- ront tou
énitaux et, en général, de tous troubles viscéraux, la douleur à la
pression
des troncs nerveux et des masses musculaires, l
accessoires que nous avons énumérés plus haut et de signes de com-
pression
cérébrale, souvent de signes d'altération d'organ
l'écluili- bre peu stable obtenu dans la position verticale par la
pression
récipro- que des os plus que par l'action syner
ns involontaires de matières et d'urines. Le pouls est fréquent, la
pression
artérielle élevée. Au bout de quelques secondes
servent au même titre que les salivations exagérées. TROUBLES DE LA
PRESSION
ARTÉRIELLE. 959 L'hyperidrose a été signalée da
nt quelquefois associées à des affections nerveuses. TROUBLES DE LA
PRESSION
ARTÉRIELLE La pression artérielle peut être tro
à des affections nerveuses. TROUBLES DE LA PRESSION ARTÉRIELLE La
pression
artérielle peut être troublée dans quelquos malad
dans quelquos maladies ner- veuses. La technique pour rechercher la
pression
artérielle est la sui- vante : l'appareil le pl
s'applique à l'artère radiale ; le manomètre doit être amorcé à une
pression
intérieure de 5 centimètres de mercure par exem
tion donnée par le manomètre, et le chiffre indiqué correspond à la
pression
artérielle. La pression artérielle mesurée avec
ètre, et le chiffre indiqué correspond à la pression artérielle. La
pression
artérielle mesurée avec cet appareil est, pour l'
arey : l'excès des battements du coeur entraîne la diminution de la
pression
artérielle. Cette tachycardie s'accompagne dans
rein; le testicule est rétracté, souvent dou- loureux lui-même a la
pression
. Les vomissements sont à peu près cons- tants.
l ne fait constater ni mobilité, ni augmentation de volume, mais la
pression
révèle une certaine douleur sur le trajet de l'
provoquer le besoin d'uriner; par le toucher vaginal, ou rectal, la
pression
sur la vessie est indolore, et enfin le jet res
la vessie est indolore, et enfin le jet reste plutôt affaibli et la
pression
vésicale s'abaisse. Enfin, l'urine ne renferme
RÉTENTIONS D'URINE. f neuse. arrondie, souvent douloureuse il la
pression
qui augmente le besoin; certaines circonstances
italement, soit par vice de fonctionnement, il ne résiste pas à une
pression
intravésicale si, comme pendant le sommeil, la
t pas par le repos, une légère dou- leur lombaire et urétérale à la
pression
et souvent une augmentation de volume du rein,
produirait, suivant quelques auteurs, pendant la défécation par la
pression
du bol fécal, chez les sujets qui ont observé u
trouve une prostate amplifiée, bosselée et sensible; à l'aide d'une
pression
modérée sur sa face postérieure on expulse du l
issant de même sur les vésicules on les trouve normales sans qu'une
pression
du doigt produise le moindre suintement. ¡Il .e
cile, leur mastication pénible, et contre des dents éversées par sa
pression
constante s'appuie une énorme langue cylin- dro
ractère paroxys- tique des douleurs spontanées ou provoquées par la
pression
des cornes de l'hyoïde ou des parois latérales
ominaux d'ailleurs : le ventre est souvent rétracté, c'est toul. La
pression
soulage plutôt le malade. Bientôt se prononce u
sse- ments et de troubles intestinaux. Le pouls est fréquent, et sa
pression
diminue de même que baisse la température. Plus
spepsie. L'ingestion des aliments ou des liquides glacés, la simple
pression
au creux épigastrique parfois, la provoquent. E
t indemne. La rétrac- tion ne peut être vaincue ; la traction, la
pression
sont douloureuses, et plus tard la paume est
veines sont comme voilées, mais il n'y a pas d'oedème véritable, la
pression
n'y laisse pas de godet. Les doigts sont fusifo
paroxysmes lancinants, dilacérants, spontanées et exagérées par la
pression
, le gonflement rouge violacé, « pivoine », chau
participation d'autres jointures, mais la raideur, la douleur a la
pression
, l'eeclènle persistent souvent beaucoup plus lo
itente, d'ordinaire partiellement ou totalement réduc- tible par la
pression
, ne laissera, pas de doute sur la cause de la par
ar traumatisme de la moelle, section incomplète, écrasement ou com-
pression
, par myélite Iransverse, par méningite ou )1J('.n
assurant l'équilibre de l'instrument. On se servira de la vis de
pression
selon l'indication fournie plus .loin (Voir D.
quand on sera parvenu à la dimension cherchée, on serrera la vis de
pression
. maintenant ainsi au degré voulu l'écartemeut d
ct sénile. A un âge plus avancé, la tare héréditaire n'a plus d'ex-
pression
aussi accentuée, il s'agit simplement d'enfant ma
tent pas de porter un jugement définitif sur leur valeur. ? '. La
pression
demande il être distinguée de la percussion. Elle
u de la base du crâne, la sensibilité de la voûte pharyngienne à la
pression
, dans les cas de tumeur de la fosse cérébrale m
a suite d'une ponction lombaire. Résultats de la ponction lombaire.
Pression
. Le liquide s'écoule en général goutte à goutte
en jet, ou très rapidement; dans ces cas, il y a augmentation de la
pression
; cette pression peut être mesurée à l'aide d'un
rapidement; dans ces cas, il y a augmentation de la pression; cette
pression
peut être mesurée à l'aide d'un manomètre, plus
ube permet- tant au liquide de s'écouler dans le tube à essai. La
pression
calculée suivant l'appareil de Frank Eve est norm
que, on peut souvent se passer du manomètre et l'on appré- ciera la
pression
du liquide d'après l'écoulement, à condition que
l'ai- guille ait été bien nettoyée et bien ramonée au trocart. La
pression
du liquide céphalo-rachidien a pu être étudiée da
udiée dans l'épilepsie expérimentale sur des chiens; il a trouvé la
pression
augmentée pendant l'accès épileptique. La pre
il a trouvé la pression augmentée pendant l'accès épileptique. La
pression
a été trouvée encore augmentée dans les méningite
eim, Naunya), dans l'urémie, dans l'hyd1'o- céphalie. Cependant une
pression
normale a été rencontrée, dans ces mêmes maladi
ne peut tirer aucun argument de l'absence de cette augmentation de
pression
. Quantité du liquide céphalo-rachidien. La quan
es, lorsqu'il existe de fortes céphalalgies, a vu souvent de fortes
pressions
du liquide céphalo-rachi- dien. Dans dix cas su
les affections labyrinfhiques con- sécutives il une exagération de
pression
du liquide de l'oreille interne. Elle provoque
laire, les modifications physiques (accroissement de quantité et de
pression
) peuvent être soupçonnées non seulement par la
chidien. Dans la crainte d'exagérer la différence déjà anormale des
pressions
intra- et extra-ventriculaires, il faut renonce
sible, sa répétition ne faisant qu'exa- gérer les différences de la
pression
intra-vcntriculaire et arachnoïdienne. 11 est à
inutile et peut devenir nuisible car elle exagère la différence des
pressions
intra- et extra-ventriodaires. II faut alors, s
ner un certain nombre de paraplégies traumatiques tardives par com-
pression
de la moelle. 2 ? DÉFORMATIONS PATHOLOGIQUES DU
dans certains cas de compression des nerfs, notamment dans les com-
pressions
produites par des tumeurs. L'électrodiagnostic, e
ou d'une névrite du nerf acoustique, ou d'affections augmentant la
pression
intra-cranienne comme les tumeurs de l'encé- ph
retentissement sur les organes du labyrinthe que l'augmentation de
pression
du liquide céphalo-rachidien rendrait plus gran
généralement plus grande qu'avec une concentration plus forte. La
pression
des électrodes sur les points où elles sont appli
sont appliquées entre aussi en ligne de compte. En augmentant cette
pression
, dans certaines limites toutefois de façon que
plus particulièrement les douleurs, soit spon- tanément, soit à la
pression
. Les principaux points douloureux dans la sciat
, accompagné souvent d'ilypcrcstliésie avec points douloureux il la
pression
; il s'y ajoute a intervalles irréguliers et plu
, névralgie, 595. Paralysies radiculaires, 621. - Lésions et com-
pressions
, atrophies secondaires, 718. - lombo-sacré. Par
des paralysies radiculaires et des lésions médullaires, 342. Com-
pression
. Pied bot, 1055. - sacré. Paralysies radiculair
550. Pott. Radiothérapie des compressions mé- dullaires, 1187.
Pression
artérielle, troubles, 95J. Priapisme, 968. - Tr
éiologique, 303. Sensibilité. Examen dans l'aphasie, 216. - li la
pression
, 291. Voy. Pares- thésie. - articulaire, 291. C
a cloison du sinus maxillaire, se brisent avec facilité parla moindre
pression
, et occasionnent de fausses routes. Le seul moyen
glissait sur sa rainure une sonde cannelée qu'il introduisait avec la
pression
né-cessaire jusque dans la fosse nasale, pour fra
, la tuméfaction des membranes diminuant peu à peu par le fait de la
pression
permanente, la canule devient vacillante dans le
quitter cette rainure, retirer peu à peu la lame à mesure que par une
pression
médiocre on enfonce le mandrin. Le bistouri retir
u bord de la cornée ( fàg. 5,8). A ce moment l'œil étant fixé par une
pression
in-stantanée, en accord, des doigts de l'aide et
en bas. Suivant l'auteur il suffirait alors d'un simple mouvement de
pression
pour faire descendre le cristallin seul, par l'éc
t en quelque sorte, dans ce cas, qu'une évacuation, exposant, sous la
pression
nécessaire, à vider l'œil, comme l'ont démontré S
plat, opérer par de légers mouvemens de rotation de l'instrument une
pression
lente et bien graduée sur la paupière supérieure,
doigt devait s'insinuer entre l'œil et le plancher orbitaire. Sous la
pression
de haut en bas le cristallin s'incline sur son ax
cristallin franchit l'ouverture pupillaire. Les choses à ce point, la
pression
étant maintenue sur la paupière inférieure, et la
sens contraire, at-tendre un instant, fixer l'œil de nouveau par une
pression
un peu plus forte de l'indicateur vers l'angle in
ues instans; puis relever doucement la paupière, et, comme la moindre
pression
pourrait faire vider l'œil, il vaut mieux aller s
son con-tour déborde l'ouverture pupillaire. 8° Parfois , malgré la
pression
convenable, le cristallin n'est point expulsé. Il
une raison pour modérer mais non encore pour abandonner absolument la
pression
qui doit expulser cette lentille. Toutefois l'opé
ratomie. Seulement pour l'exécution de ce temps dernier on exerce des
pressions
douces et modérées sur la paupière inférieure, qu
, ou eu extrait ce que l'on peut; le reste est broyé sur place par la
pression
que l'on communique aux mors de la pince. Si le c
lement à l'ouver-ture de la cornée. M. Gibson alors exerce une légère
pression
sur l'œil, pour faire saillir cette membrane entr
é soit elle-même, dans tous les cas, facilement pratiquée sans que la
pression
nécessaire augmente la déchirure. 3° Procédé d'
as, on commence par engourdir la sensibilité du lobule par de légères
pressions
entre le pouce et l'indicateur ; puis on applique
de liège, d'une résistance médiocre, destiné à faire opposi-tion à la
pression
déterminée par l'instrument: on opère à droite de
le charge-ment du polype et aider à la rupture de son pédicule par la
pression
du doigt en arrière de l'instrument. 3° Par les
dans tous les cas, lors même que l'on y emploierait quelque moyen de
pression
mécanique, une pelote à vis, un bandage à ressort
et empêcher le canal de se fron-cer, Louis conseille d'y exercer des
pressions
douces avec les doigts, et de tendre les tégumens
ubstitué un trocart très délié ( fig. 3 ), dont le bouton terminal de
pression
se dévisse de manière que l'instru-ment tout enti
ritablement compri-mée qu'à sa surface cutanée, à moins d'exercer une
pression
si forte qu'il en résulterait des accidens. Mais,
fait une piqûre pour la vider. On aide à l'évacuation, par une double
pression
combinée au dedans de la bouche et au dessous de
es en avant de l'angle de la division. La section se continue par une
pression
légère en sciant obliquement de manière à diviser
ce intime du tissu vasculaire sous-muqueux avec le périoste, et de la
pression
continuelle de la langue contre la voûte palati
la fourchette, elle plonge dans l'amygdale, puis, par un mouvement de
pression
du pouce, qui fait faire bascule à son manche sur
développe, il distend outre mesure la peau et les muscles, et, par sa
pression
en profondeur, gène de plus en plus chaque jour l
flet est introduit dans l'extrémité de la sonde, et comme luté par la
pression
des doigts ou par un linge mouillé. C'est le chir
hronique ou actuel, il faut bien se garder néanmoins de forcer par la
pression
au passage de l'air. L'essentiel au reste n'est p
des parois tho-raciques, et on aide à la rendre plus complète par une
pression
méthodique exercée à-la-fois, avec les deux mains
ue mise en jeu par une tige centrale produit l'écartement; mais cette
pression
par trois points n'a eu que peu de succès. Enfin,
e d'a-bord , de le laisser renfermé dans la cavité de la plèvre où la
pression
qu'il exerce tend à en modérer ou en tarir la sou
ort par hémor-rhagie, la cavité qui en est le siège, dégagée de toute
pression
, se remplissant de nouveau, au fur et à mesure qu
moitié du liquide , en aidant , s'il esl besoin, à sa sortie, par une
pression
légère, détachant avec des pinces ou les doigts
ens cpii formaient au-dehors une tumeur fluctuante et rentrant par la
pression
dans la cavité delà plèvre. Dans le cas de M. Cru
pposition qu'aussi-tôtla plèvre percée, cet organe est refoulé par la
pression
atmosphé-rique; et si le poumon est adhérent, la
le doigt armé d'un dé, parvint à la rechasser à l'exté-rieur par une
pression
directe de dedans en dehors; mais si la lame s'en
ibres tout-à-coup, tandis qu'ils ont été long-temps affaissés sous la
pression
d'une force graduellement croissante. On fait ces
du liquide a été évacuée, l'auteur facilite l'expulsion par quelques
pressions
doucement ménagées et déterge la surface du foyer
tant que possible, de débrider vers l'angle supérieur de la plaie, la
pression
des viscères abdominaux s'exerçant avec d'autant
ctère essentiel est de pouvoir disparaître sous l'effort d'une légère
pression
, ou bien même par le seul effet d'une position fa
ns ; cette membrane souple et extensible se laisse dis-tendre sous la
pression
du viscère pour constituer un sac qui se moule su
hernie est dite irréductible, lorsque le dé-cubitus horizontal et la
pression
méthodiquement exercée sur la tumeur ne parvienne
canal conserve sa longueur naturelle, mais dans la hernie ancienne la
pression
continue des viscères a pour effet de redresser l
lammation, soit par le fait de la distension des enveloppes, ou de la
pression
exercée sur elles par les bandages, ces lamelles
exercés sur les fibres aponévrotiques de la ligne blanche, ou par la
pression
des viscères intérieurs, et, comme après tout, le
re par sa face externe, se confond avec lui, et plus tard, lorsque la
pression
des viscères ou des bandages s'est fait long-temp
ploon, lorsqu'il y a entéro-épi-plocèle. Le précepte de diriger les
pressions
suivant le trajet parcouru par la hernie , indiqu
peut être la source s'il est employé sans mesure ou sans méthode. Une
pression
brusque, trop forte ou mal dirigée peut confondre
la hernie et à la stature du malade; il faut que le brayer exerce une
pression
douce, uniforme et constante sur l'ou-verture apo
émorrhagie prove-nant cle la section d'artérioles superficielles ; la
pression
exercée par le doigt d'un aide, la torsion avec l
t polie, à sa forme spbérique, au Iremblottement qu'on y éprouve à la
pression
, par la présence presque constante d'une certaine
ir, se fermer même assez solidement pour résister définitivement à la
pression
des organes du ventre. Ce moyen d'obtenir la cure
eur, le cercle d'adhérences, tiraillé, s'allonge et se dilate sous la
pression
, et il se forme, entre l'in-testin et la fistule,
ar une grande mortaise; l'un et l'autre sont traversés par une vis de
pression
qui sert à les rapprocher ; en un mot, les branch
plication. Alors on les rapproche graduellement à l'aide de la vis de
pression
, en ayant l'attention de ne comprendre en arrière
ren lui-même recommande de porter rapidement, dès le premier jour, la
pression
qu'ils exercent, jus-qu'au point d'éteindre la vi
de bandes pour l'empêcher de vaciller , et chaque jour on augmente la
pression
, de manière qu'en sept à huit jours il se détach
t sur le vivant, car il tient à la présence des ma-tières fécales. La
pression
avec le doigt et la percussion sont les meilleurs
on est sur un intestin quel-conque. Le colon résistant davantage à la
pression
, le défaut de résistance en dehors est un signe
autre affection qui a pour effet d'entretenir une irrita-tion ou une
pression
au pourtour de l'anus. La fissure anale, en rai
l, la peau est plus ou moins violacée avec ou sans amin-cissement. La
pression
y donne la sensation d'un vide et déter-mine l'éc
pas précisément à l'orifice de l'in-testin, par un léger mouvement de
pression
en va et vient, tra-verse sa paroi et se loge dan
rer le bourrelet d'un linge fin; c'est en outre un moyen de rendre la
pression
moins forte et moins douloureuse. Bien qu'on reco
ons delà décrire : elle pouvait même causer de graves accidens par la
pression
qu'elle exerçait sur la partie pro-statique de Eu
ire franchir la portion prostatique de l'urètre, en le guidant par la
pression
de l'indi-cateur qui la fait pénétrer dans la ves
issant dans la vessie, sans cesser d'avoir la conscience de la légère
pression
qu'il exerce sur la paroi du canal qui lui sert d
insi la portion du canal qui restera à traverser ne supportera aucune
pression
capable d'en augmenter la courbure. Si le veru mo
on ôte le mandrin et l'on aide à la sortie de l'urine au moyen d'une
pression
douce et soutenue sur la région hypogas-trique en
rme et sa position. Il ne faut presser ni trop, ni trop peu ; par une
pression
trop forte, la cire deviendrait trop molle, s'éte
ion et pourrait se casser dans le rétrécissement, tandis que, par une
pression
trop faible, elle ne se moulerait pas suffisammen
emandrindeplomb ne fûttrop faiblepourré-sister, sans se courber, à la
pression
qu'il faut exercer contre le rétrécissement, a pr
ant d'abord assez fortement et en di-minuant ensuite graduellement la
pression
. Il serait inutile d'insister sur les inconvéni
etendue de h eau térisalion; 4" enfin d'un curseur, armé d'une vis de
pression
, ap-pliqué au tube et destiné à mesurer la profon
trajet rétréci, dans l'espèce de cul-de-sac formé en ce point par la
pression
de l'urine, de ma-nière à faire obstacle un premi
lle contient. Celui-ci ne pouvant ressortir de l'urètre à cause de la
pression
exercée sur le canal, pénètre bientôt dans l'ouve
irection rectiligne, pendant que le bec de la sonde s'insinue sous la
pression
de la main droite qui tient le pavillon, le chiru
ù elle serait enchatonnée à l'aide de la curette, du crochet et de la
pression
extérieure; ce qui ne présenterait pas beaucoup d
siège d'un prurit fréquent, quelquefois très douloureux; sentiment de
pression
sur le fondement; augmentation delà douleur par l
sme. La sensation d'un choc contre un corps dur et qui fuit sous la
pression
, indique la présence d'un calcul; offrant alors l
y a des calculs tellement friables, qu'ils s'écrasent sous la moindre
pression
. En général ce sont ceux qui contiennent le plus
s. 5° Mobilité ou fixité. La facilité à faire fuir le calcul par la
pression
de la sonde, indique qu'il est libre de toute adh
un état de demi-réplétion qui, en augmentant l'espace, empêche toute
pression
latérale sur la pierre; (c) par l'introduction, d
oulève le bas-fond de la vessie, en combinant cette manoeuvre avec la
pression
de la sonde. Toutefois si la pierre est d'un gran
le soulèvement du bas-fond par le doigt porté dans le rectum, avec la
pression
directe, sur la pierre, de la sonde in-troduite d
ir. Plus en avant encore existe une rondelle qui sup-porte une vis de
pression
destinée à fixer les deux canules l'une sur l'aut
vons indiqué, immédiatement au-dessous de sa boîte à cuir. Une vis de
pression
la fixe solidement en ce point. Une pièce mobile
rosse canule sur le litholabe au moyen de la rondelle et de la vis de
pression
dont nous avons parlé, on pousse le foret jusque
uffit, après avoir en-levé l'archet et l'étau, de desserrer la vis de
pression
qui fixe les deux canules l'une sur l'autre, et d
n fait rentrer le litholabe dans la chemise. Si dans les mouvemens de
pression
on est parvenu à faire éclater la pierre, il peut
onsécutif de cette coque s'opère ordinairement sous l'influence de la
pression
exercée à sa surface par les branches du litholab
uivi de l'éclatement du calcul. — Procédé de M. Rigal, faisant agirla
pression
de dedans en dehors; c'est à pro-prement parler p
ls en-tiers comme à leurs fragmens. Ce brisement peut s'obtenir par
pression
ou par percussion, ou bien à-la-fois par pression
peut s'obtenir par pression ou par percussion, ou bien à-la-fois par
pression
et par percussion. i° Broiement des calculs par
ois par pression et par percussion. i° Broiement des calculs par la
pression
seule. Cette espèce de broiement comprend deux
, tend à l'écraser. De cette double action résulte pour le calcul une
pression
qui augmente à chaque coup de levier; dès-lors il
nous avons déjà parlé dans l'article précé-dent, peut aussi agir par
pression
et servir pour l'écrasement ; mais comme l'une de
ncrée en demi-lune, au retrait du bassin en arrière. écrasement par
pression
combinée avec la percussion. D'une part, la per
r y déterminer des lésions plus ou moins graves ; et d'autre part, la
pression
seule suffisant quelque-fois pour opérer l'écrase
ortées au mode daction et à l'intensité de la force comprimante. \"
Pression
avec la main. Ce moyen ayant paru suffire dans le
e presse la paume de la main. Plus tard , M. Bancal, pour obtenir une
pression
plus forte, fit adapter à chacune des branches de
mentait graduellement. Sans doute avec ces deux poignées, la force de
pression
était beaucoup accrue, mais leur emploi a été gén
gmens d'une pierre déjà morcelée par l'emploi des autres moyens. 20
Pression
avec la vis et l'écrou. Pour agir avec une force
t l'écrou. Pour agir avec une force bien supérieure et substituer une
pression
régulière et graduelle à une pression brusque et
en supérieure et substituer une pression régulière et graduelle à une
pression
brusque et irrégulière, M. Touzay, en 1832, ima-g
la branche mâle pénètre jusqu'au fond de cette poignée où une vis de
pression
, située à l'extérieur, pénètre dans une petite go
ident que dans le système de Touzay, Clot-Bey et Sirhenry, lorsque la
pression
paraissait suffisante et même dangereuse, on ne p
magina une gouttière semblable à celle de Touzay, seulement sa vis de
pression
était creuse et tra-versée dans toute sa longueur
sans secousses ; il peut d'ailleurs servir comme les autres soit à la
pression
, soit à la percussion qu'on exerce plus com-modém
ionnemens incontestables dont nous venons de parler, les instrumens à
pression
et à percussion lais-saient quelque chose à désir
ression et à percussion lais-saient quelque chose à désirer. Ainsi la
pression
et la percussion se succédaient et n'avaient pas
eu en même temps, et de plus on ne savait pas reconnaître le degré de
pression
que pouvait supporter l'instrument sans se rompre
la partie des calculs qui fait saillie à travers les yeux s'opère par
pression
, à l'aide d'un mandrin flexible et articulé qui r
ui ont été signalés par tous les observateurs, sont sou-vent dus à la
pression
et au développement du calcul lui-même, et peuven
on de l'urine. M. Ci-viale conseille, en pareil cas, de pratiquer une
pression
douce et graduée sur le point du canal où existai
au jugement commun de tous les chirurgiens, les nouveaux instrumens à
pression
et à percussion ont doublé depuis la valeur de la
t dans sa partie membraneuse. Il paraît aussi destiné à résister à la
pression
des viscères, et forme une barrière qui ré-siste
il bascule et fait sortir la lame qui rentre aussitôt qu'on cesse la
pression
. Le mécanisme est commandé par un ressort dont un
vec l'incision et extérieure, mais cet angle s'efface aisément par la
pression
« exercée avec le doigt et n'oppose aucun obstacl
stituantes du périnée , peut nécessiter de la part de l'opérateur une
pression
et des efforts cpii le fassent agir par saccade,
l'index était trop court pour atteindre la pierre, on exercerait des
pressions
sur l'hypogastre avec l'autre main, pour abaisser
est parvenu à en extraire un, gros comme un œuf, qui s'écrasa sous la
pression
des tenettes. L'extraction du calcul par l'inci
collement des tissus qui résulterait des efforts de la femme et de la
pression
de la tête contre les parties environnantes. Buef
introduire le doigt à travers l'ouverture de l'hymen ou d'exercer des
pressions
suiT'hypogastre pour hâter la sortie du sang, par
ièrement à la palpation des organes de l'abdomen et du bassin , parla
pression
qui fait distinguer les différentes sortes de tum
manche sont fixées au point d'écartement qu'oui désire par une vis de
pression
qui presse sur une traverse. Le spé-culum de M. R
er à volonté, et la ramener au centre du bassin à l'aide d'une vis de
pression
. Dans la figure 31, le spéculum porte une branche
deux ou trois fois par jour, exprime le fluideurinaire par la simple
pression
qui réagit sur l'éponge, et vide en entier l'inst
dernier, qui forme la base, est libre, et peut être rapetissé par la
pression
. Lorsqu'on veut le placer, on réduit sa base en l
e écrou, dont cette plaque est inunie, on peut graduer à volonté e sa
pression
. Cette machine comprime à-la-fois l'anus et le pé
t-il , est très fatigante , et lorsqu'on veut opérer la réduction, la
pression
qu'on exerce sur l'utérus cause une douleur si po
M. Amussat fut obligé de faire suspendre les tractions, parce que la
pression
du col sur son doigt l'empêchait d'agir. En vain
membres inférieurs, causés par les tractions du chirurgien et par la
pression
de la masse utérine sur les plexus nerveux hypoga
facilement à la présence d'une espèce d'an-neau, au-dessus duquel la
pression
fait sentir du vide. Alors, il confie les érignes
, 24°-242. Ecrasement parla percussion seule, 242-244; écrasement par
pression
et percussion, 244- 246. — Broiement et extractio
duite par rallongement du diamètre antéro-postérieur que détermine la
pression
des muscles de l'œil, aux deux côtés des diamètre
nale, et qu'elle peut guérir, à ce qu'il paraît, en faisant cesser la
pression
, ou, en d'autres termes, en pratiquant dans l'un
n et le trouble instantané de la vue quand on exerce avec le doigt la
pression
la plus légère sur la paupière supérieure; la sec
gard des bords périphériques des cartilages tarses, et par une légère
pression
enfoncent, ou, comme leur nom l'indi-que, refoule
art de rotation qui incline la lame en avant, et d'exercer une petite
pression
pour diviser le muscle dont la section s'annonce
s où cette membrane n'est pas largement ouverte. On y remédie par une
pression
légère qui évacue le sang, au besoin par une piqû
u-rose soupçonnée par contraction musculaire, ou en quelque sorte par
pression
de la rétine sous l'influence des muscles droits
mment l'atrophie ou la résorption d u tissu osseux dans les points de
pressions
, et produit, en particulier, ces incurvations du
dantes aux concavités à l'ex-térieur, et se creuse, par l'effet de la
pression
continue, un canal supplémentaire. Les nerfs scia
er est plus ou moins épaisse, la section s'en opère ou par une simple
pression
en reti-rant l'instrument, ou par de petits mouve
eux mains qui se succèdent et se suppléent sans jamais interrompre la
pression
. Si la section doit être sous-musculaire, l'ins
e, qu'un plancher mou qui ne permet pas de diriger méthodique-ment la
pression
, comme, par exemple, la section du sterno-cléido-
d'une part les liens se relâchent, et de l'autre, le pied cédant à la
pression
de l'appareil diminue de volume, et se trouvant p
appareils de fracture et de luxation, la régularité et le degré de la
pression
doivent être surveillés attentivement, pour ne pa
le plus de ménagement possible une partie du moule , et alors, si la
pression
du plâtre avait donné lieu à quelques lésions, en
ion impossible. Les condyles du fémur s'aplatissent sur les points de
pression
et s'atrophient sur les autres ; les cavités du t
ture inconnue, mais dont l'effet estde dé-terminer dans les points de
pression
une absorption, ou, si l'on veut, une atrophie du
la collection n'est que très peu abondante, on peut, en aidant par la
pression
, lui donner issue de cette manière. Que si, au co
du chirurgien ( h), de manière a fixerait besoin l'œil entre les deux
pressions
. L'instrument est tenu de la main droite de l'opé
que décrit le cristallin pour son expulsion au dehors sous la double
pression
du doigt indicateur au-dessous de l'œil (d), et d
lie du cristallin. Figure 5. Sortie du cristallin au dehors sous la
pression
du doigt et du manche de l'instrument. C'est le m
pression du doigt et du manche de l'instrument. C'est le moment où la
pression
doit être enlevée. Figure G.- Extraction avec d
allin pour son expulsion par la plaie de la cornée. Les deux modes de
pression
sont renversés, et les incli-naisons du cristalli
de deux ressorts (e) et s'ouvrent à la volonté de l'opérateur par la
pression
sur deux boutons (f). Cette pince introduite ferm
istallin. Ligure 10. Réelinaison du cristallin. La lentille, par la
pression
de l'aiguille en avant de son contour supérieur s
gra-dué dans l'étendue de 25 millimètres; une virole avec une vis de
pression
(c) empêche la sonde de remonter sur le mandrin.
rps étranger et le ramène sous les branches de la tige b. Deux vis de
pression
(e, f) fixent les tiges préhensives (b, d) dans l
articulées par des genouillères sphériques, se prête, sans cesser la
pression
, à toute espèce de mouvement. Figure 4. Détails
al on les voit s'enfoncer en dehors, où elles ont été écartées par la
pression
des viscères. (e) Vaisseaux épigastriques, situ
que l'on fait glisser le long de la canule et que l'on y accumule par
pression
en tirant au dehors sur les bords de la chemise d
r la portion prostatique de l'urètre, guidée dans ce mouvement par la
pression
de l'in-dicateur qui la fait pénétrer dans la ves
e. — e. Muscles pubio-urétraux. Ils se relè-vent vers le pubis par la
pression
de la sonde droite (fig. 6). — f. g. Les deux lèv
at (1827). Il agit par un mouvement de va-et-vient des mors, et par
pression
en les rentrant dans la canule. Cet instrument es
astique (Charrière). Depuis le premier inventeur, les instrumens de
pression
et percussion ont subi de nombreuses modification
niers instrumens offrent l'assemblage de ces diverses combinaisons.
Pression
graduelle par une vis et une poignée. 23. Goutt
nouveaux, réunissent toutes les conditions imaginées pour graduer la
pression
et faire écraser ou éclater le calcul. 28. Perc
permettre au calcul de s'y engager. 29. Percuteur h trois genres de
pression
. 1° A l'extrémité une plaque (a) pour appuyer a
n pignon dans une douille horizontale (Charrière). 3° Enfin, si cette
pression
est encore insuffisante, le marteau vient frapper
URÉTHRALE. Figure i . A. Main d'un aide qui relève le pénil, par la
pression
, à plat, de son bord cubital, en remontant sur le
e sorte que l'instrument, dans son entier, représente la lettre K. La
pression
de la main sur la branche courbe (d), qui l'appli
e con-ductrice. 37,38. Sondes à dard. — 37. Sonde du frère Côme. La
pression
sur le bouton (a) du stylet (b), dégage la pointe
s viscères repoussés en haut dans le sac péritonéal sont fixés par la
pression
des doigts de la main gauche d'un aide (a), tandi
en relief sous les tégumens, le doigt indicateur gauche dirigeant la
pression
. FIGURES 3, 4, 5. Section du tendon d'Achille d
lé l'existence chez son malade, d'une douleur apparaissant par la
pression
dans la région qui correspond à celle de l'o- v
sorte; on sait même que les infirmières réduisent souvent la com-
pression
des ovaires à sa plus simple expression en s'as
une mensuration directe : l'action de tel poids sur le sens de la
pression
est trois fois celle de tel autre; telle lumièr
res points, il s'est atta- ché d'une manière spéciale au sens de la
pression
. Il s'est demandé : étant donnée une série de p
de 1/100 pour le sens de la vue, elle est de 1/3 pour le sens de la
pression
, de la température et du son, et de 1/17 pour l
ction de nos muscles; pour d'autres, il nous fournit les notions de
pression
, ou encore de poids et de résistance. Pour un g
LE SENS MUSCULAIRE. 85 pour le distinguer du sens tactile. Par la
pression
cutanée, en effet, nous ne pouvons percevoir qu
ement. Il serait fort possible que l'appréciation du poids et de la
pression
, dans le cas où nous soulevons et résistons, so
re. Les dernières, c'est-à-dire les sensations déter- minées par la
pression
externe ont leur siège en partie dans la peau e
chair, auquel cas elles appartiennent au sens musculaire. Ces im-
pressions
sont de simples modifications des nerfs sensitifs
r le courant électrique seul. Il montra de plus que la sensation de
pression
nous permet d'apprécier beaucoup plus faiblemen
ent, il naît en même temps dans les mêmes centres spinaux des im-
pressions
qui vont renseigner le sensorium sur l'exécution
une résultante provenant de trois facteurs différents, sensation de
pression
de la peau et des parties sous-cutanées, sensat
Bras droit. Rien de particulier à la palpation. Douleur nulle à la
pression
sur les troncs nerveux, sur le plexus brachial,
. La peau de- 102 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. vient livide à la
pression
, froide, humide, légèrement oeJématiér. Doigts
e dos de la main. Anesthésie complète de la peau au toucher, à la
pression
, à la piqûre, à la brûlure. On peut la tiraille
on sudorale, sans troubles de la sensibilité, sauf une douleur à la
pression
au point de Erb. REVUE DE pathologie NERVEUSE.
rche des points hystérogènes, susceptibles de déterminer par com-
pression
, soit de vraies attaques de nerfs, soit des auras
de quelques secondes : seulement, chez les prédisposés, cette im-
pression
persiste et engendre la notion cérébrale d'une
la grosseur d'une noi- sette, qui la faisait souffrir, surtout à la
pression
. Soignée à Saint-Antoine par des applications d
tc. Au dynamomètre, elle donne facile- ment avec la main gauche une
pression
de 40 kilog., tandis que de la main droite elle
uer la peau, sans que la ma- lade perçoive autre chose qu'une im-
pression
de contact : elle est également incapable de dist
fort à faire pour produire un mouvement déterminé, pour fournir une
pression
un peu soutenue par exemple : mais il est possi
oujours aussi considérable et la malade pouvait à peine fournir une
pression
de 4 ou 5 kilogrammes avec sa main droite, alor
uvements de l'avant-bras, il recom- manda à la malade d'exercer une
pression
sur un dynamomètre quatre fois par jour, pendan
mplir un mouvement voulu. Elle donne mainte- nant, sans effort, une
pression
de 30 kilogrammes au dynamo- mètre avec sa main
e au niveau du court adducteur du pouce, lequel est douloureux à la
pression
: sauf ce léger malaise, la malade peut être co
ule évocation du mouvement lui-même, en exerçant méthodiquement des
pressions
sur le dyna- momètre. 198 PATHOLOGIE NERVEUSE
on tient souvent le malade éveillé. Les nerfs sont sensibles à la
pression
et dans l'extension du membre. Ce même fait de
ainsi que du sens musculaire ; conservation de la sensibilité à la
pression
sur tout le cuir chevelu, le front, le long de
diens, maisl'organe lui-même est demeuré mou, indolore, même à la
pression
; on yperçoitun bruit systolique très net, un peu
sentir partout, surtout dans la jambe droite devenue sensible à la
pression
même légère. La malade dort beaucoup, mais son
nou et phénomène du pied vigoureux. Crâne également douloureux à la
pression
et à la percussion des deux côtés; rien du côté
ue instantanément. L'attaque peut aussi être déterminée par l'im-
pression
de tout ce qui frappe l'imagination de la malade,
lés. On les provoque de même par la fixation du regard ou la com-
pression
des zone= hystérogènes (ovaii es, régions sous-ma
e l'état de sommeil au réveil complet, on peut en cessant la com-
pression
immobiliser le sujet les bras en croix; si on rap
frénateurs, car, une fois le sommeil produit, c'est par leur com-
pression
qu'on détermine le réveil. Nous avons déjà vu q
l'avant-bras gauche, mais ce moyen échoue. On l'endort alors par la
pression
du poignet, et, pendant son sommeil, on lui sug-
net, et, pendant son sommeil, on lui sug- gère de s'endormir par la
pression
de l'avant-bras gauche. Une fois éveillée, on c
a ramène à l'attaque primitive de sommeil. 14. On l'endort par la
pression
du poignet gauche et on lui ordonne de s'habill
indifférente : par la suggestion, par la fixation du regard, par la
pression
des zones hypnogènes, nous arrivons toujours au
es, c'est-à-dire les procédés les plus simples, fixation du regard,
pression
du vertex, rayon électrique, etc. Tout changeme
éthargie. Est-elle en somnambulisme provoqué ? Nous avons essayé la
pression
sur le vertex (moyen classique de passer au som
eption des impressions tactiles était aussi diminuée; cependant une
pression
un peu accen- tuée fut perçue dans toute la rég
passifs) est normal. Les nerfs et les muscles sont insensibles à la
pression
. Il existe toute une série de troubles inconsta
ugmentés. L'appétit est bon. Après une nourriture abondante, il y a
pression
à l'épigastre, 'parfois des renvois. Le ventre es
e, 'parfois des renvois. Le ventre est lé- gèrement douloureux à la
pression
; il y a tendance à la consti- pation. Pendant t
s coxalgies d'origine capsulaire, la douleur est réveillée par la
pression
directe de la fête fémorale, au-dessous de l'arca
moïde (en avant du sillon crucial), détermine une augmen- tation de
pression
qui s'établit à la suite d'une phase latente pl
établit à la suite d'une phase latente plus ou moins longue ; 2° la
pression
après avoir diminué augmente quand on excite di
endant, dans ces conditions, on ne constate que de la diminution de
pression
. 3° L'excitation de la région de passage entre
ne du sillon crucial) détermine généralement une augmentation de la
pression
qui s'installe après une période de latence ; q
me qui environne la scissure de Sylvius détermine un abaissement de
pression
qui n'est jamais suivi d'hyperpression. C'est l
t 4 H revue d'anatomie ET DE physiologie. les modifications de la
pression
que l'on obtienne par l'excitation de la région
cerveau. Leur excitation détermine tou- jours une exagération de la
pression
sanguine. C'est surtout celle de la couche opti
allidus du noyau lenticulaire qui exerce l'action la plus nette. La
pression
est encore manifestement augmentée quand on exc
e optique) ont bel et bien la propriété d'exa- gérer directement la
pression
sanguine. Et les hémisphères cérébraux renferme
ion de la partie posté- rieure de la couronne rayonnante exagère la
pression
sans que le coeur soit en rien atteint. 0 Enf
iastole. P.K. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 115 VI. DE la
pression
GERÊURALE ET DE la COIPnESSI01LITÉ DU cerveau-
t que de 36 millionièmes 63, landisquel'eau bouillie, sous une même
pression
, a une compres- de 46 millionièmes'23. Mêmes ré
s est moins compressible que l'eau bouillie. -En ce qui concerne la
pression
contre la manière de voir d'Adamkiewicz ' relativ
la dépendance qui existe entre le liquide céphalo- 1 achidien et la
pression
sanguine, M. Grashey rappelle que cette mérite
e élastique et introdui- sons-y une quantité croissante de liquide (
pression
accélérée du sang), ou a beau augmenter continu
pression accélérée du sang), ou a beau augmenter continuellement la
pression
par ce procédé, le tube élastique ne se comprim
diurne, son intensité est modérée, c'est une sensation pénible de
pression
et de serrement plutôt qu'une douleur au sens pro
par Audry, 111. TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. 459
Pression
cérébrale et compressibi- lité du cerveau, par.
n cérébrale et compressibi- lité du cerveau, par. Grashey, 415.
Pression
sanguine (de l'influence de l'écorce du cerveau
apason, bruit intense et inattendu (bruit du gong), fixité du regard,
pression
des globes oculaires. C'est également à ces premi
çoive. La force musculaire est affaiblie, principalement à droite. La
pression
dynamométrique est de 9 pour la main droite et de
hystériques le docteur J. Moreau s'exprime ainsi : « C'est sous la
pression
d'idées de vengeance, de terreur, le plus souvent
jambe droite; les muscles présentaient aussi de l'hyperesthésie à la
pression
et au contact du lit, et la malade était obligée
douleur n'est pas spontanément accusée; il faut la rechercher par la
pression
, et, en pareille circonstance, on note les phénom
ntale se trouve le foyer douloureux qu'accusent les malades et que la
pression
exercée à l'aide du doigt met d'ailleurs en évide
ry), compliquées parfois de nausées et de vo-missements ; puis, si la
pression
est continuée, surviennent bientôt des palpitatio
TÉROGÈNES Nous avons vu que l'attaque pouvait être provoquée par la
pression
sur l'ovaire douloureux. C'est là le point de dép
té signalé par les auteurs. Ainsi Willing et Turk ont constaté qu'une
pression
exercée sur les apophyses épi-neuses pouvait prov
er des convulsions et même des attaques. Dans d'autres cas, c'est une
pression
profonde sur l'ovaire ou la rég'on épigastrique (
les grandes attaques il semble que l'excitabilité soit épuisée, et la
pression
de la zone indiquée n'a-mène plus aucun phénomène
ions. Ce fait est déjà connu depuis longtemps pour ce qui est de la
pression
ovarienne. Aux auteurs qui ont prétendu que la co
les existent, la même manœuvre les fait cesser. Nous avons dit que la
pression
ovarienne légère déterminait l'apparition des phé
rdait pas à suivre. A peine les convulsions ont-elles dé-buté, qu'une
pression
un peu plus forte les arrête instantanément. Qu
dans le premier cas; dans le second il faut donner la préférence à la
pression
. Quand la malade possède plusieurs zones hystér
nnée par le frottement sur les apophyses épineuses est arrêtée par la
pression
sur les côtés du sternum et réciproquement. Chez
née par le frottement sur les apophyses épi-neuses est arrêtée par la
pression
ovarienne et réciproquement-L'expérience peut êtr
chemin de fer ». Chaque fois que nous avons réveillé la malade par la
pression
ovarienne au milieu de ces mouvements, elle nous
es hallucinations de la troisième période. Wit..., réveillée par la
pression
ovarienne au milieu de l'arc de cercle, laisse éc
passionnelle. si on lui demande, en la réveillant subitement par la
pression
ova-rienne, pourquoi elle regarde ainsi, et ce qu
is d'appeler du nom de Camille celui qui, arrêtant son attaque par la
pression
ovarienne, amène ce délire de la qua-trième pério
e série de séries. Cet ordre est tellement invariable que si par 1a
pression
ova-rienne on supprime l'attaque n° I à son début
tant mieux... Oh! tout ce sang!... c'est bien fait. » 10 h. 22. La
pression
ovarienne ramène la connaissance, qui disparaît a
clonique par la compression ovarienne. La malade reprend ses sens. La
pression
sur le point hyperesthésique mammaire pro-voque u
on. —Vision affreuse en haut et à droite; la malade veut fuir. Par la
pression
thoracique nous arrêtons l'attaque et la malade r
côté gauche (elle montre la région ova-rienne). Pendant la crise, une
pression
même légère au sommet de la tète sous les seins o
oration des tissus, et une hyperesthésie générale assez prononcée. La
pression
sur l'ovaire droit est très douloureuse. Les règl
eux sortes de cris : des cris d'effroi et des cris de douleur sous la
pression
ovarienne. — La voix est entrecoupée de sanglots.
se sent brisée et se plaint amèrement de la douleur consécutive à la
pression
. Celte douleur dure toujours 4-8 heures au moins.
, il y a hyperesthésie, et cette douleur qu'il faut rechercher par la
pression
est limitée à l'ovaire (ovaralgie); car partout,
énomènes catalep-tiformesl. Je signalerai également l'influence de la
pression
caro-tidienne sur l'arrêt des attaques et celle d
normal. » La jambe est froide; le ventre ballonné, douloureux à la
pression
; colique soif, appétit augmenté. (Potion antispa
son appartement ; là, comme ces joujoux à ressort que la plus légère
pression
fait sauter dans tous les sens, elle exécutait de
on devoir M. Schiitzenberger provoquer des attaques en pratiquant une
pression
sur la région ovarique. Ici, tout au contraire, u
uant une pression sur la région ovarique. Ici, tout au contraire, une
pression
sur la région ovarique arrête l'attaque. Si, au d
res nettement tranchés et se succédant comme il convient. De plus, la
pression
ovarienne arrêtait les attaques ; il existait mêm
e. Tandis que tout le reste du corps était insensible, la plus légère
pression
sur le testicule droit déter-minait de grands mou
ds mouvements s'arrêtaient subitement au mo-ment précis où cessait la
pression
. Ce n'était point la sensibilité spéciale à l'org
contraction des muscles qu'il innerve. Ainsi, il suffît d'une légère
pression
faite en avant du lobule de l'oreille, au point o
e l'état hypnotique. La malade n'a absolument conscience de rien ; la
pression
de la zone hystérogène, qui arrête l'attaque, ne
veaux coups de gong la mettent en catalepsie. On la réveille par la
pression
ovarienne : elle recouvre ses sens, mais un résul
OBSERVATION. — LÉTHARGIE HYSTÉRIQUE PRODUITE SOUS l'iN-FLUENCE de LA
PRESSION
DES GLOBES OCULAIRES. La pression des globes oc
PRODUITE SOUS l'iN-FLUENCE de LA PRESSION DES GLOBES OCULAIRES. La
pression
des globes oculaires, suivant le procédé employé
ire B... porte sur le sommet de la tête une zone hyperesthésique ; la
pression
en est fort douloureuse. Lors- qu'on pratique c
e ; la pression en est fort douloureuse. Lors- qu'on pratique cette
pression
, on provoque une sorte de vertige épileptoïde, la
ie avec hyperexcitabilité musculaire. Si alors on vient à exercer une
pression
sur le sommet de la tête, on voit survenir une éb
t. Pendant ce deuxième état de sommeil, si l'on vient à exercer une
pression
sur les globes oculaires, la malade pousse un pro
ité, ou la léthargie sans hyperexcitabilité, suivant qu'on exerce une
pression
sur les globes oculaires ou sur le sommet de la t
e nous avons plusieurs fois ar-rêté subitement les convulsions par la
pression
sur le sommet de la tête et amené la production d
ènes épileptoïdes du début sont plus ou moins accusés sui-vant que la
pression
du vertex est plus ou moins forte. 2" La produc
éthargie hystérique proprement dite, n'existe pas ici. Le massage, la
pression
laissent le muscle inerte; mais la contracture mu
alors dans le même état que celui que nous pou-vions provoquer par la
pression
du vertex, et ce qui nous confirma encore dans ce
i nous confirma encore dans cette opinion c'est que nous pûmes par la
pression
oculaire faire reparaître l'hyper-excitabilité ne
et inattendus. c) . Si le gong demeure actaellenient sans effet, la
pression
sur le conduit auditif externe du côté gauche seu
ptique parfait, qui se transformait immédiatement en léthargie par la
pression
sur les globes oculaires. Une sorte de catalepsie
ation légère suffit pour réveiller la malade : souffle sur le visage,
pression
ovarienne, etc. La pression sur les globes ocul
ller la malade : souffle sur le visage, pression ovarienne, etc. La
pression
sur les globes oculaires, comme la suspension bru
aleptique. Le simple souffle sur le visage ne suffit plus. Il faut la
pression
ovarienne qui immé-diatement ramène la connaissan
ieure fait le plus souvent tomber la malade en léthargie. Enfin, la
pression
sur les globes oculaires peut chez certaines hyst
Lasègue décrit ainsi l'invasion du sommeil hystérique provoqué par la
pression
oculaire : (( Lorsque, chez une hystérique du t
leurs principaux caractères. Par exemple, Rar... est rendue, par la
pression
du verlex, léthargique sans hyperexcitabilité (vo
du verlex, léthargique sans hyperexcitabilité (voy. obs. p. 381). La
pression
sur les deux yeux peut modifier son état et faire
ux peut modifier son état et faire reparaître l'hyperexcitabilité. La
pression
sur un seul œil ne fait revenir l'hyperexcitabili
cet état que j'appelle pour plus de concision le deuxième sommeil, la
pression
sur l'œil gauche ramène l'hyperexci-tabilité dans
les résultats obtenus par M. La-sèguc sur certaines hystériques parla
pression
des globes oculan^es. En effet, la catalepsie qu'
tante chez la plupart de nos malades par la friction ou simplement la
pression
sur le vertex pendant l'état de léthargie avec hy
t les suivants : 1° Lorsque le début est brusque, occasionné par la
pression
du vertex, il est accompagné, comme dans la létha
pas. Il est impossible de provoquer la contracture du muscle, par la
pression
ou le massage. Mais il existe un ordre de contrac
ve un assez grand nombre dans les auteurs -. 12" Possibilité par la
pression
oculaire de faire reparaître la lé-thargie avec h
mbres supérieurs. En insistant un peu, fon n'obtient rien de plus. La
pression
des ovaires ne produit aucun résultat; la pressio
t rien de plus. La pression des ovaires ne produit aucun résultat; la
pression
sur les globes oculaires également. Quand elle
ue et profonde, tantôt prolongée et énergique ; j'excitai par la même
pression
tous les muscles de la face du côté gauche, rien
e prolongeais l'excitation du facial droit en maintenant fortement la
pression
du doigt, pour voir si je n'arriverais pas à une
rrêtée par la production du sommeil hystérique sous l'influence de la
pression
oculaire. Mais, chose singulière ! une seule pers
n'intervient pas, ne peuvent être arrêtées que par un seul moyen, la
pression
oculaire et frontale, et encore ce moyen ne réuss
instants, mais la série des lamentations n'est point interrompue. La
pression
des ovaires, la pression sous les deux seins, o
s lamentations n'est point interrompue. La pression des ovaires, la
pression
sous les deux seins, ou sur le sommet de la tête
lle n'en existe pas moins manifestement ici. En effet en exerçant une
pression
immédiatement au-dessous du lobule de l'oreille p
scles voisins de ceux qui ont été touchés. Aux membres supérieurs, la
pression
sur la partie antérieure de l'avant-bras, amène u
plaçant ma main sur le front et les yeux de la malade pour essayer la
pression
oculaire, je ramène la crise convulsive qu'il m'e
uand elle mange. Le ventre se ballon-nait, était très douloureux à la
pression
. Constipation habituelle. Mangeait peu, et vomiss
d'ammoniaque placé sous la narine droite. Une fois réveillée par la
pression
ovarienne, la malade est plongée par la fixité du
nes. L'hyperexcitabilité musculaire existe. — On contracture par la
pression
les muscles des bras. A la face on contracture le
ruit la malade, quand elle a sa connaissance, tombe en catalepsie. La
pression
ovarienne la réveille. Favrot rapporte un cas d
ter, au moins immédiatement, une fatigue apparente.....(p. 45). Une
pression
, si minime qu'elle fût, amenait, quoique après un
des résultats identiques ; ainsi, la jambe fléchie sur la cuisse, la
pression
des muscles gastro-cnémiens amenait son extension
nait son extension; inversement, la flexion suivait immédiatement une
pression
exercée au niveau des extenseurs... (p. 46). En
nt notable, et qu'au lieu de la parésie ha-bituelle en pareil cas, la
pression
de la main indique une force en rapport avec le d
lusieurs semaines, plusieurs mois, voire plusieurs années. La moindre
pression
, le moindre frôlement, le moindre mouvement provo
arrondie. — Sur cette tige, seconde bague supportant la grande vis de
pression
. )) Les deux bagues pouvant être fixées par une
'ensuit que FiG. lOi. l'on peut diriger l'axe de la grande vis de
pression
dans telle direc-tion que l'on voudra, et la main
mmuable dans cette direc-tion. )) A l'extrémité de la grande vis de
pression
est vissée une pelote compressive en liège et à p
rande vis de pression est vissée une pelote compressive en liège et à
pression
continue au moyen d'un ressort à spirale; la pelo
es deux vis pour garder cette direction et à tourner la grande vis de
pression
jusqu'à ce que la pelote compressive soit venue r
anger, puisque la pelote est vissée à l'extrémité de la grande vis de
pression
. » Signalons encore la disparition des points h
les grands secours. Les petits secours consistaient en attouchements,
pressions
, coups modérés sur diverses parties du corps, et
se montrer les stigmates du crucifiement, se creusaient comme sous la
pression
d'un corps en demi-relief. En môme temps, cette p
e observation. — Léthargie hystérique produite sous l'influence de la
pression
des globes oculaires.............................
tion. — Production d'une autre variété de léthargie hystérique par la
pression
sur le vertex. — Léthargie sans hyperex-citabilit
de l'étendue d'une pièce de cinquante centimes, douloureuse à une
pression
même légère. A la suite de cette blessure, il est
ge, que ces attaques peuvent être infailliblement provoquées par la
pression
sur cer- taines zones, telles que les globes oc
écissement du champ visuel; le testicule gauche est douloureux à la
pression
; l'hémiplégie est absolue pendant une durée de
ule gauche remonte jus- qu'à l'anneau, et il est très sensible à la
pression
; la douleur provoquée par la pression ne reste
et il est très sensible à la pression; la douleur provoquée par la
pression
ne reste pas localisée au testicule,. elle remo
ains in- dividus ; ceux-ci sont obligés d'accepter la dernièreim-
pression
, parce que ou leurs images de mémoire sont perd
endantes et de leur voisinage ? Les recherches d'Adamkiewicz sur la
pression
cérébrale (Acad. des sciences de Berlin, t. LXXXV
ont nous décorons le mot délire pour rendre, conformément à l'ex-
pression
des faits décrits par les aliénistes allemands mo
l'aliénation mentale au caractère de l'individu (tendance à la dé-
pression
exagérée pour le motif le plus futile), à l'exist
D'ordinaire, ni en écrivant, ni en parlant, il ne se trompe d'ex-
pression
, cet état s'aggrave pendant les quatre mois suiva
es de connexion, mais par simple diminution dans la durée des im-
pressions
sur les éléments sensoriels, ceux-ci, altérés dan
x; cette hyperémie dans la boîte crâniene produit une diminution de
pression
du sang dans les artères, et nécessite une impu
tres de long, blanche, dépourvue d'adhérences, non douloureuse à la
pression
, parallèle à la suture sagittale et située à 3
point un enfoncement eu rigole, large comme le doigt, sensible à la
pression
, mais non épileptogène. D'ailleurs, il s'agit d'u
on lacrymale s'est tarie du même côté. Sensibilité très grande à la
pression
du nerf sous-orbitaire à son point d'émergence, p
ce travail, on y trouve une étude de l'état et les variations de la
pression
128 VARIA. sanguine sous l'influence de cette
l inguinal, une petite tumeur assez dure, mais non douloureuse à la
pression
qui parait être le testicule droit. A droite, a
(Voir fig. 9 et 10.) Le testicule droit est un peu douloureux à la
pression
. Dans le flanc droit existe un point très doulo
x des deux côtés. Le malade n'a jamais eu d'attaques de nerfs. Le
pression
au niveau des fosses iliaques , du rebord costal
les, la paume de la main est exulcérée et sanieuse, en raison de la
pression
prolongée qu'elle a subie et de la macéra- lion
Voir Charcot, /. c. 210 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XVI. DE la
pression
cérébrale et DE la compression du cerveau. par
e Vienne. D'après ses expériences, il n'y a pas de transmissions de
pression
à travers l'ensemble des centres nerveux par l'
médiane (rougeur et douleurs accou- tuméesl. Points douloureux à la
pression
dans le domaine du tri- jumeau (sus-orbltaire);
eux-mêmes malades (douleurs en ceinture, sensibilité extrême à la
pression
de certaines apophyses épineuses et d'une partie
symp- tômes initiaux suivants : hébétude, sensation de tension, de
pression
de douleur céphalique, état de mauvaise humeur,
urs dans les bras et les jambes; gros troncs nerveux sensibles à la
pression
; affection articulaire passagère avec fièvre ;
s phénomènes, con- servation des réflexes cutanés, sensibilité à la
pression
des gros troncs nerveux); il analyse comparativ
a pu constater que l'accès pouvait à volonté être provoqué par une
pression
sur la région de l'épi- gastre. Du 21 novembre/
entièrement disparu; du côté gauche elle n'est pas dé- rangée. Une
pression
exercée sur le plexus droit et sur ses nerfs de
nne droite, et neuf jours après, des élancements, plus forts à la
pression
, dans le côté droit, sans aucune lésion ,dans les
l'emploi du sali- cylate de soude, ni à celui des narcotiques; une
pression
superficielle des articulations causait des dou
n'est pas franc; les bords vont en se perdant vers l'avant-bras, la
pression
digitale laisse une empreinte blanche très fuga
, tempe, et région pariétale, est rosée et un peu z oedématiée ; la
pression
du doigt laisse une empreinte. On ne peut que p
ourrelet périphérique; la peau n'est ni chaude, ni douloureuse à la
pression
; les ganglions sous-maxil- laires ne sont ni t
ticulier. Le canal cholédoque est perméable ; il s'en écoule par la
pression
une bile claire, peu visqueuse. Vésicule biliai
en la prenant entre les doigts mesure plus d'un centimètre; l'im-
pression
du doigt ne s'y marque pas comme dans l'oedème, m
e l'os, il y a les tuméfactions bien marquées, qui glissent sous la
pression
et, quoique donnant aux doigts la sensation du
nt, puisque d'un seul morceau, il offre une entière résistance à la
pression
du cerveau; ce que ne peut faire la réunion des
Fermeture de la plaie. -Après avoir arrêté tout suintement par des
pressions
avec des éponges fines, le lambeau doit être ra
une réunion solide en 4 ou 5 jours. Nous désirons aussi établir une
pression
sur le cerveau qui tend, comme nous l'avons vu,
la plaie est pansée avec soin en maintenant une douce et constante
pression
au milieu du lambeau. Si l'exsudation qui se ra
int difficile du traitement : c'est de savoir si on doit laisser la
pression
continuer ou s'arrêter. En s'arrêtant à cette d
n s'arrêtant à cette dernière mesure, on perdra les avantages de la
pression
; aussi ce point réclame une attention spéciale.
si la réunion par première intention menace d'être empêchée par la
pression
ou non. Dans le premier cas, la pression peut ê
e d'être empêchée par la pression ou non. Dans le premier cas, la
pression
peut être facilement diminuée en ouvrant doucemen
pas douteuse; mais on désire attirer l'attention sur ce fait que la
pression
élevée, jusqu'à l'absorption complète, a deux b
près 25 milli.nètres et était paral- lèle à la suture sagittale. La
pression
sur la cicatrice était toujours douloureuse : l
ment la cicatrice. La plaie a complètement guéri en une semaine. La
pression
du sérum fut deux fois relâchée (une fois probabl
icatrice et le cuir chevelu environnant étaient très sensibles à la
pression
. Le malade avait à ce point souvent de très vio
tube fermé à parois rigides et rempli il'eau, tout accroissement de
pression
imprimé à un courant de liquide que l'on dirige
e l'on dirige continuellement dans ce tuyau [image du sang et de sa
pression
) entraîne des vibrations toutes particulières du
irculatoire. Cet arrêt de la circulation au moment où l'on élève la
pression
[sanguine) ne se produit que lorsque le tube en
nt (boite crânienne) n'est pas fermé de toutes parts, mais alors la
pression
atteint dans ce tube [pression intra- crânienne)
fermé de toutes parts, mais alors la pression atteint dans ce tube [
pression
intra- crânienne) une valeur positive, détermin
s mêmes quelle que soit la façon dont on s'y prend pour modifier la
pression
à l'inté- rieur du tube (intru-c1't ! nienne) q
tuyau élastique [vaisseau sanguin) qui se dilate [exagération de la
pression
vasculaire), on enfin qu'on fasse intervenir les
e d'écoulement du liquide céphalo-rachidien, on voit se produire la
pression
voulue pour que l'arrêt de la circulation du tu
, est entouré d'un liquide mobile, dont l'écoulement varie sous une
pression
positive. Ce liquide cérebio-apinat ? évacue de
lentissement, sous l'iniluence, par exemple des modifications de la
pression
du sang ou du diamètre des vaisseaux exlen-ible
surface grande comme une pièce d'un marc, et fortement épaissie. La
pression
de ce bourrelet a aminci la voûte crânienne réd
avec la cavité de la vésicule; et, dans le cas de communication, une
pression
légère exercée sur la vésicule fait refluer le li
tion anti-émétiq. de Rivière.) Le i5, l'abdomen est douloureux à la
pression
, surtout dans leflanc et la région iliaque gauche
le ramollissement du tissu paraît dans tout son jour. La plus légère
pression
, la plus légère traction suffisaient pour le morc
un flot de liquide on reconnaît une tumeur volumineuse, sensible à la
pression
, dont on présuma q«© le siège est dans le rein ga
s points de la substance de ce rein, on exprimait, par la plus légère
pression
, une grande quantité de liquide lie de vin épais
a cuisse d'un cheval. 11 fallut une énorme quantité de liquide et une
pression
long-tems continuée pour pouvoir débarrasser le p
est-elle dans quelque agent extérieur qui exercerait sur le fœtus une
pression
médiate ? Il semble, au premier abord, que, dans
ur cacher une grossesse illicite, avaient exercé sur cette cavité une
pression
considérable et permanente. Mais si la déviation
contraste avec la densité du tissu malade; tandis que, par une légère
pression
, on fait suinter du premier une bouillie rougeâtr
u premier une bouillie rougeâtre, on n'obtient rien du second par une
pression
beaucoup plus considérable. Je dois ajouter qu'ay
W^t convertie en une pulpe d'un gris sale qui s'écoule par la moindre
pression
} et ce qui reste dans les mains est un parenchyme
ierce avant de devenir rémittente. Une douleur vive, augmentée par la
pression
, existait à l'épigastre et surtout à l'hypogastre
ntenu dans une poche unique. J'y fis une ouverture, et à l'aide d'une
pression
légère j'obtins un liquide de consistance de boui
, qui me parait représenter l'œdème de la gangrène des extrémités. La
pression
du tissu malade fait suinter une sérosité trouble
entive ne me fait découvrir aucune tumeur dans Fhypochondre droit. La
pression
sur cette région n'augmente pas la douleur; du re
ie n'a rien qui doive nous étonner. Elle est le résultat de la double
pression
latérale à laquelle il a été soumis par le dévelo
ent d'un côté à l'autre; d'autres fois, c'est d'avant en arrière : la
pression
, assurément très-douce, à laquelle il est soumis
iiie livraison. i jambes; Le malade ne scni absolument rien; la
pression
est douloureuse dans la région du cou, au niveau
essous de l'ombilic, deux tumeurs arrondies, un peu douloureuses à la
pression
, mobiles , et que la main, promenée sur elles, dé
'alors était aplati, indolent, devient ballonné et très-sensible à la
pression
. La face est profondément altérée. Le pouls redev
toujours ballonné, très-fortement contracté, n'est plus sensible à la
pression
. Le malade n'a nullement la conscience de son éta
en indolent, aplati jusque-là, est devenu volumineux et sensible à la
pression
. Enfin la perforation date seulement du jour de
merai ainsi : « Les « articulations qui éprouvent les frottemens, les
pressions
les plus considérables, sont le siège « spécial d
ct, j'ai presque dit né-« cessaire, avec le degré de frottement et de
pression
. » Ainsi la goutte se déclare essentiellement d
les articulations qui éprouvent dans la marche et dans la station les
pressions
, les frottemens les plus considérables; après le
d'un jeune enfant; matière qu'on exprimait comme d'une éponge par une
pression
légère. Cette matière est entraînée par le lavage
elle-même, suite de perforation intestinale, a lieu sans douleur. La
pression
abdominale, soit antéro-posté-rieure, soit latéra
otalité de l'abdomen devient volumineux, ballonné, et résiste sous la
pression
. XX. Il n'est pas rare de voir la maladie prése
ertain point de cette absence de douleur, même sous l'influence de la
pression
, par la position de l'intestin malade dans la cav
t l'hypogastre, deviennent plus tendus, et néanmoins insensibles à la
pression
; la respiration redevient aussi fréquente que le
fréquent et peu développé ; abdomen un peu volumineux, sensible à la
pression
dans les régions iliaques, lombaires et dans l'hy
ès-fréquent et très-petit. Le malade n'accuse aucune douleur; mais la
pression
de l'abdomen paraît douloureuse. ( Sinapismes ; p
quent ; chaleur naturelle : ventre un peu ballonné et insensible à la
pression
. La langue est large et moins sèche que les jours
stupeur; langue rouge, un pen sèche; aucune douleur abdominale par la
pression
; diarrhée; pouls fréquent; respiration fréquente
d'un volume considérable, étaient, tellement ramollis, que la moindre
pression
suffisait pour les déchirer; ils ne contenaient p
d'un volume considérable, étaient, tellement ramollis, que la moindre
pression
suffisait pour les déchirer; ils ne contenaient p
de toute contiguité; mais les circonstances normales et anormales de
pression
, de traction, de contiguité, apportent dans le dé
essentiel de la maladie; il est induré, volumineux, peu sensible à la
pression
. Un traitement mercuriel est employé, mais sans s
e , pour quelques articulations sujettes à supporter des chocs et des
pressions
extrêmement fortes, des lames cartilagineuses lib
. Lorsque la luxation n'est pas réduite, on conçoit aisément que la
pression
de l'extrémité inférieure de l'humérus contre la
uvelle cavité articulaire s'établit creusée, en quelque sorte, par la
pression
de la tête, ce qui veut dire que les points de l'
t usées, et que l'usure est en raison directe des frottemens ou de la
pression
. Ainsi, dans l'usure de l'articulation du genou,
été renversées sur le cartilage, aplaties par le frottement et par la
pression
; elles étaient d'ailleurs enduites d'un cartilag
et ne pouvait plus s'en détacher. Du reste, aucune douleur locale. La
pression
exercée sur tous les points de l'abdomen ne dével
le i5 décembre 1829. Abdomen ballonné, extrêmement douloureux par la
pression
; coliques atroces; face profondément altérée; pou
le les matières contenues dans l'estomac sortaient par la plus légère
pression
. Cette perforation répondait, dans l'intérieur de
ocation; l'abdomen était contracté, dur, affaissé, très-sensible à la
pression
. Les accidens diminuent un instant pour se réveil
dés et accompagnés de douleurs assez vives. Ainsi, une douleur par la
pression
m'a permis de diagnostiquer, dans plusieurs cas,
ris, et je vis avec étonnement la veine se vider complètement par une
pression
exercée de dehors en dedans, et la saillie que fo
ente au jumeau interne, prête à s'ouvrir, en sorte qu'une très-légère
pression
en exprima un pus visqueux et rougeâtre mêlé de q
ur hypogastrique vive fixée dans le globe utérin, et augmentée par la
pression
la plus légère. Je diagnostiquai une phlébite w
céphalalgie, tendance à la syncope, hypogastre très-peu sensible à la
pression
» Quelques cuillerées de potion avec un grain d'ex
de n'éprouve aucune douleur ni dans le thorax, ni dans l'abdomen ; la
pression
abdominale n'en développe dans aucun point. Cepen
irrégulières (fig. 2 , Pl. 1 ). Si on soumet ces tumeurs à une forte
pression
(et je me sers pour cela d'un étau), on est tout
oie, et qu'on exprime les sucs qui la pénètrent, à l'aide d'une douce
pression
latérale, on voit sortir d'une multitude de point
qui se prolongeait dans l'hypochondre droit, e'tait douloureux par la
pression
et indépendamment de la pression ; vomissemens ra
ndre droit, e'tait douloureux par la pression et indépendamment de la
pression
; vomissemens rares ; constipation ; langue blanc
: l'exploration de l'abdomen ne me fait découvrir aucune lésion : la
pression
la plus forte ne développe aucune sensibilité. Je
les dernières côtes, je reconnais quelques bosselures. Du reste, une
pression
, même assez forte, ne de'termine aucune douleur.L
permet de reconnaître aucun point douloureux, aucun engorgement; une
pression
même assez fortement exercée n'y développe aucune
s qui s'accompagne d'une grande fragilité. La tumeur s'écrase sous la
pression
sans fournir de suc cancéreux; 3° la tunique péri
ité de de la trompe était en effet pleine de pus, si bien que par une
pression
légère, d'une part, on faisait pénétrer le pus da
é d'une assez grande quantité de sérosité, qu'on fait suinter par une
pression
légère dans son épaisseur se voient un grand nomb
était volumineux, mais la malade ne manifestait aucune douleur par la
pression
. Je prescrivis, pour l'acquit de ma conscience,
se aucune douleur; cependant l'abdomen est médiocrement sensible à la
pression
( l'utérus est incliné à gauche): trois selles en
in, la malade paraît mieux; Pabdomen n'est presque plus sensible à la
pression
; le pouls est à 140°, mais toujours dépressible;
vraison. 4 plus mal* abdomen volumineux, médiocrement sensible à la
pression
; pouls petit, fréquent; respiration fréquente ; n
veloppé; face rouge ; céphalalgie intense; hypogastre douloureux à la
pression
: la toux et les mouvements y développent delà se
ADIES DE L'UTÉRUS. hypogastrique et sur-tout à gauche ; il faut une
pression
assez forte pour développer la sensibilité. Du re
ble, il est d'ailleurs extrêmement fréquent ; abdomen insensible à la
pression
, léger délire. Potion avec sulfate de quinine,
cholériques; parfois sentiment d'étouffement; abdomen insensible à la
pression
; tendance à l'assoupissement. Commémoratifs. M
Le 14 , malaise général ; douleur à l'épigastre qui augmentait par la
pression
; langue rouge; soif; anorexie ; point d'évacuati
ositions avec calme. L'abdomen est volumineux, consistant; la moindre
pression
,et sur-tout la moindre commotion de l'abdomen pro
ment; la malade repousse les couvertures; l'abdomen est sensible à la
pression
. Dix sangsues aux apophyses mastoïdes. Glace su
sement est moindre ; la malade se plaint de coliques abdominales ; la
pression
sur l'abdomen est un peu douloureuse; la respirat
s ou autres, ne peuvent être supportés dans la période asphyxique. La
pression
qu'exerce le liquide sur les parois thoraciques,
piquées: le bras, le pied ont été plongés dans un liquide chaud; des
pressions
exercées; des mouvements imprimés pour exprimer l
phalie, j'examinai d'abord le canal raehidien : le rachis ouvert, des
pressions
alternatives ont été exercées sur le crâne, et la
rable; extrémités froides ; ventre volumineux, mais peu sensible à la
pression
; vomissements continuels : la malade vomit, en ma
leur à l'hypochondre droit, à l'épaule du même côté; d'autres fois la
pression
la plus forte et la plus variée sur la région du
considérable, à tel point qu'on réduit complètement le liquide par la
pression
, sans que des accidents notables soient le résult
lasque et comme flétri, la réduction se fit en bloc par l'effet d'une
pression
légère exercée de bas en haut;mais bientôt des co
ûr que j'étais dans une bonne direction, j'exerçai un léger effort de
pression
: un obstacle fut surmonté, l'urine coula libreme
tueuses dans cette position, que dans les positions précédentes , une
pression
modérée mais progressive fut exercée ; l'obstacle
plaint que de la jambe gauche, où elle éprouve des élancements ; une
pression
, même légère, augmente la douleur. L'abdomen est
rs dans ce genou, qui est œdémateux plutôt qu'enflammé et supporte la
pression
sans la moindre douleur. Lesdeux genoux mesurés,
pulmonaire ; l'abdomen assez consistant n'est nullement sensible à la
pression
; le pouls est petit et fréquent. Je regarde le g
L'oedème commence à diminuer; le genou devient plus douloureux à la .
pression
ainsi que le membre abdominal tout entier et plus
Le lendemain: région hypogastrique et iliaque, très sensibles à la
pression
; fréquence du pouls. Je reconnais une péritonite
ntes ; elles étaient nulles : l'abdomen est volumineux, sensible à la
pression
. Quelques personnes crurent au choléra; je crus à
diaphragme, les poumons sont remplis d'air, et exercent une certaine
pression
sur le muscle, on concevra la rareté des hernies
les parties latérales : sa paroi antérieure molle , flasque , ridée.
Pression
douloureuse sur-tout à l'épigastre et au flanc dr
sous la peau, puis plus profondément du côté des sinus frontaux. Une
pression
exercée de haut en bas , détermine la sortie de p
embres inférieurs s'infiltrent.L'abdomen devient très douloureux à la
pression
qui permef de reconnaître la présence de tumeurs
céreux dont ils sont pénétrés, et qu'on rend manifeste à l'aide de la
pression
la plus légère. La présence du suc cancéreux es
geur, ni tuméfaction, ni chaleur, et la douleur n'augmentait pas à la
pression
; de sorte qu'elle fut jugée de nature rhumatisma
t amincies; et leur diminution d'épaisseur provenait évidemment de la
pression
exercée sur eux par la tumeur. La masse la plus v
que j'ai eu occasion d'observer ce tissu se morcelait à l'aide d'une
pression
ou d'une traction légère. Cette fragilité présent
mons.—Tout le lobe inférieur droit est hépatisé au premier degré : la
pression
fait suinter des bronches un liquide grisâtre abo
e irrégulier : la région épigastrique n'était nullement sensible à la
pression
: le point rachidien qui avait si cruellement tou
'éructations et de vomissemens dont la saveur était désagréable. La
pression
de la région épigastrique déterminait une douleur
tent pendant plusieurs jours : l'épigastre est tendu et sensible à la
pression
: décoloration de la face: oedème général (potion
endant les crises de douleurs, la malade ne supportait pas la moindre
pression
sur l'abdomen, qui est quelquefois tendu et comme
nt as la hanche. En outre D... présente deux zones hystérogènes (la
pression
à ce niveau amène l'aura; elle n'exagère ni ne
zone hystérogcne n'existe plus. Ces points sont très sensibles à la
pression
et provoquent des attaques/si la pression persi
sont très sensibles à la pression et provoquent des attaques/si la
pression
persiste. En outre, il existe une zone spasmo-f
divers viscères sont sains. Il existe une douleur provoquée par la
pression
sur l'épigastre et l'hypocondre gauche. En outr
ne. Le sens musculaire subsiste pourtant dans cette région, car une
pression
forte y est perçue. Les mains tremblent un peu
du genou. Le 30 novembre 181 7, crise de douleurs exaspérées par la
pression
sur l'origine des nerfs. La contraction paradox
f avec une très grande rapidité (dix à quinze secondes selon que la
pression
a été plus ou moins forte). Le point déprimé de
iolette ou rouge reparaît un peu exagérée dès que le doigt cesse la
pression
. La main malade est manifestement plus froide q
se et grande hypnotique. Le 14 mars '1890 nous l'hypnotisons par la
pression
sur les globes oculaires. Dans la période létha
es, contractures, etc. Le 16 mars 1890, nous l'hypnotisons par la
pression
sur les globes oculaires. Pendant la phase léth
Traumatisme. Le traumatisme y a sa part et l'on sait que la com-
pression
dite obstétricale se produit à un haut degré dans
noncé à m'en servir. L'hémorrhagie a toujours cessé après une com-
pression
par un petit tampon maintenu entre les bords de l
Zone hystérogène. On peut aussi provoquer l'attaque en exerçant une
pression
assez forte, soit sur la région du flanc droit,
immobilisant complètement les membres inférieurs du malade par une
pression
très énergique exercée sur ses genoux alors qu'il
illie précédente avec un peu d'oedème dans la région lombaire. La
pression
à ce niveau n'est pas douloureuse. Les membres in
et c'est à cela qu'il faut peut-être rapporter la sensibilité à la
pression
de l'ovaire gauche qui existait alors, mais qui
mais qui a disparu depuis ; il en est de même de la sensibilité à la
pression
de la colonne vertébrale et de la région rachid
reins. Au dynamomètre : M.'D., 27 kil. ; M. G., 20 kil. (échelle de
pression
). La sensibilité est normale. Elle se plaint se
e hyperesthésie du cuir chevelu qui la gênerait pour se coiffer. La
pression
cependant n'y réveille aucune sen-. sation doul
Pas de troubles oculaires. Zone hystérogène. Lorsqu'on exerce une
pression
un peu énergique au niveau de la partie droite
ession de l'un ou de l'autre ovaire, ou bien en exerçant une légère
pression
au creux épigastrique. La malade accuse d'abord
blesse générale, céphalée constriclive permanente avec sensation de
pression
à l'occiput, sensation de compression à la région
ur ce tremblement, car cette zone est très sensible; la plus légère
pression
provoque immédiatement l'attaque. A côté de ce
, mais prédominant à la région occi- pitale ; sensation de gêne, de
pression
, permanente au niveau de la région sacrée; dimi
t conservé. ` ? 0 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Par la
pression
des régions et. des points suivants, on détermine
elu est un peu hyperesthésiquc. A la nuque. Dans toute la région la
pression
est douloureuse, mais il y a un point il gauche
s troncs nerveux. Il s'agit là d'une sensibilité douloureuse qu'une
pression
profonde, un pen énergique, révèle seule. La pe
infirme. Les muscles atrophiés sont flasques, non douloureux à la
pression
et animés de contractions fibrillaires. Celles-
à l'état actuel. 252 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. des
pressions
assez fortes, l'extension presque complète. Le so
er frôlement, se perçoivent avec la plus grande netteté. Le sens de
pression
, le sens musculaire, sont aussi conservés. Mais
ue que la tuméfaction, dont elle respecte le tiers externe; sous la
pression
du doigt cette coloration disparaît pour revenir
re en garde contre l'existence du pro- gnathisme artificiel dû à la
pression
de la langue sur les incisives (Hamy); ce fait
rajet du sciatique et du crural, surtout du côté droit, sans que la
pression
de ces 1. Audry, Lyon médical, 1887. 2. Merli
stérogène dou- loureuse au niveau de la région ovarienne droite; la
pression
réveille des phénomènes d'aura. Quant aux troub
ers présentent également une déformation thoracique produite par la
pression
de la forme sur la poitrine. Au niveau des arti
vant. Beauchêne a cité un cas dans lequel un sujet réussit, par des
pressions
répétées sur le sternum, à produire la disjonct
ès la naissance, ZuckerKandl admet comme cause de la déformation la
pression
du maxillaire inférieur du foetus sur le ster-
ui refouleraient en arrière le sternum. Ilagmann fait intervenir la
pression
du talon in utero. D'autres invoquent l'interve
plus mobiles, s'excave à chaque inspiration sous l'influence de la
pression
atmosphérique. Ebstein pense qu'il s'agit d'un
la dénomi- nation d'excitations ostéo-fibreuses, en y ajoutant la
pression
et la pcrcussion directe des os. I ? c. 65. 3
egré qu'avant l'expérience et la malade se plaint de souffrir de la
pression
des doigts et des ongles dans la paume de la ma
on de ces plaques. Cette coloration s'efface mo- mentanément par la
pression
. Il y a une différence très nette dans les mêmes
du rachis, douleur déterminée par le frô- lement et surtout par la
pression
, sans phénomènes d'aura, douleur déchi- rante e
point la sensibilité est exquise au plus léger frôlement, et si la
pression
est plus forte, on déter- mine les phénomènes d
ccuse une sensation de contact. En certains points d'ailleurs celle
pression
profonde provoque une vive douleur. Il existe u
e). La peau est sensible d'ordinaire au plus léger frôlement, et la
pression
à ce niveau détermine souvent les phénomènes de
disparu; les mesures dynamométriques donnent le résultat suivant :
pression
, 12 kilogrammes. L'atrophie est ici surtout marqu
ntreprises chirurgicales, tant qu'il n'existe pas de signes de com-
pression
. La coexistence de lésions prédominantes dans l
de la cir- culation collatérale qui dépend de l'augmentation de la
pression
laté- rale dans les gros troncs vasculaires. Ma
oglie soumise à une traction devient moins dense, ce qui diminue la
pression
exercée sur les tubes nerveux et augmente leur
il doit s'y produire une tendance au vide ou, plus exactement, une
pression
négative. Il s'agissait de vérifier ces données
it graduellement en indiquant de cette façon une augmentation de la
pression
à l'intérieur de la cavité. Celte augmentatio
la pression à l'intérieur de la cavité. Celte augmentation de la
pression
doit être expliquée comme il suit : le canal ra
e céphalo-rachidien, exerce sur le fond et les parois latérales une
pression
qui est en raison directe de sa hauteur; le canal
re position la colonne de mercure du manomètre se trouvera sous une
pression
infiniment plus grande que dans la position horiz
mer que, étant donnée une position toujours verticale du rachis, la
pression
qu'accusera le manomètre sera différente quand la
s'étendre, la cavité de la dure-mère augmenter de capa- cité et la
pression
subie par le mercure diminuer. Cependant nos pr
ue sur le cadavre, c'est-à-dire, dans les deux cas, que, grâce à la
pression
néga- tive dans la cavité du rachis, il se prod
a dure-mère qui adhère à la paroi osseuse ne peut avoir lieu, et la
pression
négative qui se produit pendant la sus- pension
vivant si on pouvait éviter l'aspiration de la dure-mère ; mais la
pression
négative qui apparaît pendant la suspen- sion a
dure-mère beaucoup plus parce que la résistance qu'elle offre à la
pression
atmosphérique est plus faible que celle des paroi
atmosphérique est plus faible que celle des parois vasculaires à la
pression
sanguine; si on intervertissait ces rapports de
aires à la pression sanguine; si on intervertissait ces rapports de
pression
et de résistance, la pression négative s'exercera
si on intervertissait ces rapports de pression et de résistance, la
pression
négative s'exercerait plus facile- ment sur les
. Pour en arriver là il s'agissait tout simplement de diminuer la
pression
atmosphérique dans l'espace limité par la dure-mè
es parois de la gouttière. Mais comme j'avais besoin de diminuer la
pression
atmosphérique tout en continuant à faire mes obse
raréfaction de l'air dans le manomètre et par cela même diminuer la
pression
atmo- sphérique dans l'espace limité par la dur
it par la suspension de 3/4 à 1 cen- timètre sous l'influence de la
pression
négative et de l'aspiration de la dure-mère. Ma
au d'eau restait sensiblement le même, d'où il faut conclure que la
pression
négative n'exerçait pas son action sur la dure-
bouchait le manomètre et que la dure-mère subis- sait de nouveau la
pression
atmosphérique qui venait de recouvrer sa forme
nomètre ne baissait pas, même après le rétablissement complet de la
pression
atmosphérique. Dans l'espace de ces trois à cin
as de doute que cette hyperhémie doit être mise sur le compte de la
pression
négative qui se produit pendant la suspension,
'était pas difficile d'élucider cette question. Si, en dehors de la
pression
négative, il existe d'autres causes d'hyperhémie,
ir en faisant l'extension même dans des conditions qui empêchent la
pression
négative de se produire, sinon cette hyperhémie n
cette hyperhémie n'aura pas lieu. Il était très facile d'éviter la
pression
négative : il suffisait avant l'extension de tr
obilisées par des cro- chets, sont adossées, puis mortifiées par la
pression
graduée d'une autre partie qui rappelle l'entérot
t bon de faire porter une ceinture hypogastrique, afin de diminuer la
pression
des intestins sur la vessie. Pour empêcher la r
érinée est déjà suffisamment distendu pour laisser passer la tête; la
pression
continuant, le périnée se dé-chire. Les causes
est bien assuré qu'ils sont exactement au lieu convenable, une simple
pression
du doigt les porte à l'incandescence; l'opération
r fait une exploration répétée parle toucher vaginal et par de fortes
pressions
abdominales clans les régions de la vessie et des
rant dans le manche ; on l'y fixe à la longueur voulue par une vis de
pression
; elle est divisée en centimètres et porte en ou-
cica-trices ou naturellement très-étroit comme chez les vierges; une
pression
un peu forte et au besoin un léger débridement pe
aiguë ou chronique, si toutefois on n'a pas été obligé d'exercer des
pressions
ou des frottements rudes pour faire pénétrer la s
cervicale ; ces fongosités peuvent disparaître sous l'influence de la
pression
et de la déplétion séreuse que produit l'é-ponge,
, et même, dit-il, un polype fibreux gros comme un œuf de pigeon ; la
pression
et le drainage produits par l'éponge expliquera
ystéralgie à la présence sur le col utérin d'un point douloureux à la
pression
; point douloureux presque toujours unique et pre
ou sur le siège précis de l'occlusion si on a pu le déterminer. Cette
pression
doit être faite pendant la contraction utérine; l
ve-ment la marche. Supposons l'instrument introduit clans le col, une
pression
sur le manche fait sorhr la lame de sa gaîne, bru
{voj. fig. 17, 18, 19). Après avoir bien ar-rêté l'hémorrhagie par la
pression
avec une éponge, M. Sims fait un pansement auquel
ent où la chaîne rentre, il se fait sur l'orifice de cette canule une
pression
considérable qui tend à la déformer. Il faut que
îne plate doit être taillée en biseau sur le bord qui doit exercer la
pression
; cette condition, indispen-sable lorsqu'il s'agi
oucement sur les instru-ments qui l'ont accroché, on fait exercer des
pressions
sur l'hypogastre. Lorsque le col est arrivé à la
omme le cranioclaste de M. Simpson. L'utérus ayant été abaissé par la
pression
, le doigt put être introduit dans le col jusqu'au
t l'indicateur droit est introduit dans le col pour augmenter par des
pressions
l'étendue des incisions. Puis, ce même doigt est
ormée. Quant aux parois abdominales, elles sont dis-tendues, et si la
pression
qu'elles ont à subir est trop forte, elles peuven
d'arrêt ou à crémaillères pour les tenir fermées; de petites pinces à
pression
continue, munies d'un fil pour éviter qu'elles ne
des ligatures isolées ou en masse suivant le cas, et par des pinces à
pression
con-tinue. Les ligatures sont généralement main
le. La torsion expose trop au retour de l'hémor-rhagie ; des pinces à
pression
continue et l'acupressure valent mieux, surtout q
sous-cuisses; il faut le surveiller et le réajuster, de peur que des
pressions
inégales ne blessent les intestins ou la vessie ;
le, sans imprimer le moindre mouvement à la malade et sans exercer de
pression
sur le ventre. Lorsque le kyste est aux trois qua
ntre des adhérences. Pour seconder son opération, il faut établir une
pression
ab-dominale graduée et faire des injections d'eau
tendre que la souffrance ait épuisé les forces de la malade ou que la
pression
d'une tumeur pesante ait déterminé des lésions da
s ténacu-lums. 1^ Des pinces à griffes, à mors plats, à pansements, à
pression
continue ; des pinces porte-épingks, etc. 3" Des
vaisseaux de la paroi abdominale, ou d'y placer de pe-tites pinces à
pression
continue, de manière à opérer à sec et à bien dis
haque côté de la malade, doivent exercer, d'une manière soutenue, une
pression
douce et uniforme, dans le but de faire saillir l
uel que soit l'instrument dont on se sert, il ne faut pas omettre les
pressions
faites par les deux aides parce que c'est au mome
s et appliqués l'un contre l'au-tre dans toute leur hauteur par cette
pression
bi-latérale. — M. Wells pratique sa suture avec d
eo-vaginales et autres solutions de continuité analogues. Il agit par
pression
continue; sur la ligure, il est fermé; trois grif
épression pour loger Furèthre. Figure xxv. Autre dilatateur dont la
pression
porte surtout sur la four-chette et sur le périné
ette artère, on n'a plus qu'à tirer sur le coulant. Figure x. Pince à
pression
continue, servant à comprimer les artères, ou les
uide sort avec peine parla ponction vaginale. Figure xviii. Clamp à
pression
parallèle de Robert et Colin. Figure xx. Clamp
inscrit sur le cadran C par une ai-guille. Figure xiii. Tenettes à
pression
(Nélaton et Mathieu) pour fragmenter les gros cal
les coins disposés en sens inverse, de telle sorte qu'en exerçant une
pression
avec la vis à volant V, on fait éclater la pierre
r une chaîne d'écraseur par la canule. La prostate est aplatie par la
pression
du cathéter, de sorte que son diamètre vertical e
n voit ouvert ici. 11. Obturateur pour sonde de gomme ; une pince à
pression
continue maintient les deux pièces unies. Robert
pas de vis très-allongé. M. DieUlafoy. 14. Dilatateur métallique à
pression
excentrique; il est vu ouvert. Ro-bert et Collin.
à diffé-rents égards, offre ceci de particulier qu'il fait porter la
pression
également sur tous les points du canal. 16. Dil
volants et une poignée pour exercer les mouve-ments de rotation et de
pression
que possèdent les parties mobiles de cet instrume
la lithotritie périnéale, grandeur naturelle. Figure vu. Tenette à
pression
pour faire éclater les calculs gros et durs, modè
e levier transversal, on fait avancer la branche mâle, qui exerce une
pression
intermittente avec choc. Le mors creux de la bran
evé ; quand il est abaissé il prend la place de la ligne ponctuée. La
pression
qu'il produit varie de 1 à 45 kilogr. ; elle peut
is servent à serrer la ligature. Figure vi. Serre-nœud de Ricord, à
pression
continue par réaction. On voit la disposition des
rotation pour le phimosis. Bonnafond. Figure ix. Pince à dents et à
pression
continue de Vidal de Cassis, pour l'opération du
s, pour l'opération du phimosis. Figure x. Autre pince à anneaux, à
pression
continue, pour Fopération du phimosis. Figure x
ince dilatatrice olivaire, de Guersant. Figure m. Pince dilatatrice à
pression
continue. Figure iv. Dilatateur à ressort, de Mas
t exécuter, et sa force est égale à droite et à gauche. La force de
pression
, mesurée au dynamomètre, est de 15 kilogrammes à
es très saillantes, un peu ru- gueuses, se détachant sous la simple
pression
du doigt. Rien au niveau des méninges encéphali
'occupation, survenant par suite de l'attitude professionnelle avec
pression
des muscles ou des nerfs. Mais ces douleurs ou pa
he était normale, à droite le pouls était à peine percepti- ble. La
pression
artérielle, qui était sur la radiale gauche, et l
issent à la suite de l'attitude professionnelle, occa- sionnant une
pression
des muscles ou des nerfs, et siègent sur le terri
ucun trouble de la sensibilité, ni du bras, ni de l'avant-bras ; la
pression
du cubital au niveau de la gouttière épitroclilée
Les divers phénomènes observés ne sont, pour la plupart, que l'ex-
pression
directe ou indirecte d'un trouble général de la c
HEREw, que le thalamus est le centre important des mouvements d'ex-
pression
innée (1). Le thalamus est relié d'une part à l
cesse de parler, tous ces phénomènes spasmodiques cessent et l'ex-
pression
du visage devient à peu près normale ; les lèvres
ix est enrouée, la parole pénible comme tonalité d'abord, comme ex-
pression
articulaire ensuite, les premiers mots étant pron
s. Les masses musculaires et les troncs nerveux sont indolents à la
pression
. Les réflexes tendineux et périostaux sont norm
e impulsion dans toute l'acception du terme, j'ai subi au moins une
pression
. Je me suis laissé aller à l'écrire sans penser
et en partie complète, j'avais placé dans l'étage inférieur, sous la
pression
des ESSAI SUR LA PHYSOLOGIE DE L'ESPRIT 183 a
i-ci ait continuellement une tendance à réappa- raître, lorsque, la
pression
devient plus forte, l'homme à un moment donné de-
ible de comprendre que celui-ci choisisse le meilleur parti sous la
pression
des seules actions mécaniques, si l'on admet, ce
a réalité elles se combinent, se pénètrent, s'enchevêtrent. Sous la
pression
d'excitations extérieures, la cellule nerveuse or
et on les considéra comme un réflexe ; ou bien on sup- posa que la
pression
pouvait agir ici comme une excitation centrifuge
és aux doigts pour jouer sur la première corde notamment, et par la
pression
continue qu'imprime la corde sur la pulpe du doig
Les deux épaules portées en avant tendent se séparer du corps ; dé-
pression
sous-claviculaire marquée à droite. MYOPATHIE G
tement ; l'opposition du pouce est possible. La force musculaire de
pression
ou de traction mesurée au dynamomètre est absolum
'esthé- siomètre, le frôlement d'une bande de papier, la piqûre, la
pression
profonde, les agents thermiques montrent qu'il
D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 257 si le rebord costal, exerçant une
pression
sur l'os iliaque, l'eût deformé en le repliant
malade ne peut se plier, ni ramasser un objet placé à ses pieds. La
pression
des apophyses épineuses des vertèbres est parfait
ogue à celle que l'on peut observer chez les bossus. L'examen de la
pression
artérielle fait avec le sphygmo-manomètre de Riva
TTI Il est évident que cette dépression du foie a été causée par la
pression
de la cage thoracique sur le viscère. La rate
rations sphygmomanométriques. Nous avons remarqué en effet que la
pression
artérielle loin d'être augmentée, comme il est
e les professions mécaniques peuvent causer la lésion du fait de la
pression
mécanique des outils ; la cicatrice qui s'en su
plaint d'aucune douleur spontanée dans ses membres inférieurs ; la
pression
des régions cedématiées est douloureuse. 2 no
très épaissie et repose sur un tissu de consistance plus molle. La
pression
du doigt ne détermine pas de godet. On n'observe
res inférieurs et gémit dès qu'on exerce sur la peau la plus légère
pression
; or, le trophoedème est indolore. Notre observ
peau des régions oedématiées était rosée ;on obtenait un godet à la
pression
; le gonflement augmentait à la suite de la sta
iques il ne restait plus qu'une certaine sensation douloureuse à la
pression
du nerf médian et du nerf cubital du côté droit
et les faits et constatés pendant l'opération. Les symptômes de la
pression
qu'exercent parfois les côtes cervicales sur le
simultanément, d'une manière importante, les conditions locales de
pression
du sang, la vitesse de circulation de ce dernier,
que écartant soi- gneusement les muscles ; et l'on exerce alors une
pression
vigoureuse. Le massage est la base de la méthod
u contracture : Or, le massage, surtout deux de ses manoeuvres, les
pressions
profondes et les percussions, a pour fonction d
des interos- seux se fait avec la pulpe de l'index, et consiste en
pressions
circulaires puis en percussion légère "[Pcssard
5°; douches sédatives sur les parties malades, en pluie et à faible
pression
, à 35° pendant 10 minutes ; et enfin massage lé
enteur, et avec une pres- sion se rapprochant de plus en plus de la
pression
ordinaire. Au bout de quelque temps de cet entr
erne. La peau des membres inférieurs est d'une pâleur cireuse. La
pression
de la région iliaque gauche et des masses muscula
e, tandis que la polynévrite est accompagnée de vives douleurs à la
pression
des troncs nerveux et des masses musculaires.
ombaire, insiste beaucoup sur la nécessité de mesurer exactement la
pression
sous laquelle le liquide se trouve. Il nous paraî
rs pratiquée. On a indiqué des méthodes différentes pour mesurer la
pression
; nous avons employé la méthode toute simple et b
e liquide en penchant le tube de verre jusqu'à ce qu'on arrive à la
pression
qu'on se propose d'atteindre. Contre cette mé
e méthode on peut faire' l'objection bien connue qu'on ne mesure la
pression
qu'après qu'une certaine quantité du liquide est
s méninges ; évidemment cela doit faire qu'on trouve en général une
pression
qui est trop basse. Souvent on a employé des appa
auxquels on fait la ponction, car on a l'assurance certaine que la
pression
du liquide céphalo-rachidien ne s'ahaissera pas
on du liquide céphalo-rachidien ne s'ahaissera pas au-dessous de la
pression
désirée, ce qui est impor- tant surtout si l'on
a ponction. Si l'on a trop négligé en France cette recherche sur la
pression
du liquide, il faut reconnaître, par contre, qu
t la jambe droite. Le 26 mars une ponction lombaire était faite; la
pression
trouvée était 340 millimètres. Nous avions recu
t 340 millimètres. Nous avions recueilli 10 centimètres cubes et la
pression
était tombée à 260, quand des vomissements nous
ives. Etat le 19 mars. - Il y a une raideur marquée de la nuque. La
pression
sur la colonne vertébrale ne cause pas de doule
t-elle se tenir assise dans le lit. La ponction lombaire montre une
pression
de 280 millimètres ; nous avons prélevé 12 cent
; nous avons prélevé 12 centimètres cubes d'un liquide clair et la
pression
tombe à 220 mil- limètres. Le liquide contient
d'au- tres éléments. Le 23. mars, nouvelle ponction lombaire. La
pression
, de 230 millimètres s'abaissa à HO millimètres
r millimètre cube. Le 1er avril une ponction lombaire a donné une
pression
de 240 millimètres. Nous avons pris 10 centimèt
Il y a des douleurs, d'ailleurs assez médiocres, si l'on exerce une
pression
sur la colonne. Il y a une parésie considérable
sé régulièrement. Une ponction lombaire est faite le 23 janvier. La
pression
était de 90 milli- mètres ; nous avons trouvé 1
ment. Le 27 janvier, une nouvelle ponction lombaire a été faite. La
pression
était de 120 millimètres. La numération nous do
ise dans le lit. Le 3 septembre,une ponction lombaire est faite. La
pression
était 100 milli- mètres ; le liquide était mêlé
ion cervicale de la colonne vertébrale il a des douleurs pour toute
pression
que l'on exerce, mais ce n'est pas le cas pour le
es ganglions sous-occipitaux sont uu peu gonflés et douloureux à la
pression
. Les membres inférieurs sont complètement paral
Le 25 août une ponction lombaire était faite ; nous avons trouvé une
pression
de 200 millimètres, qui s'est abaissée à 100. L
re, nous avons fait une nouvelle ponction lombaire, qui a donné une
pression
de 120 millimètres, un liquide clair et 16 lympho
mptôme, qu'on puisse rapporter à une méningite. Quand on exerce une
pression
sur la colonne vertébrale, elle ne sent pas de
st normale. Le 10 novembre, une ponction lombaire est pratiquée. La
pression
étai de 100 millimètres ; nous n'avons pris que
n'avons pris que 3 à 4 centimètres cubes d'un liquide clair, et la
pression
s'est abaissée à 60 millimètres. Par suite d'une
, quelquefois raideur de tout le dos et douleurs si l'on exerce une
pression
sur les vertèbres. Le signe de Kernig n'a pas é
rvation est remarquable en outre par le manque d'augmentation de la
pression
constatée dans tous les autres cas que nous avo
é, nous trouvons que la règle, c'est qu'on a une augmentation de la
pression
du liquide céphalo-rachidien et une lymphocytos
ous avons constaté (2 fois) qu'on peut avoir une augmentation de la
pression
sans qu'il existe de symptômes méningitiques. N
nous avons pour le liquide céphalo- rachidien l'augmentation de la
pression
et une lymphocytose pure. Quand il y a les para
degré d'opistotho- nos. Il ressent des douleurs si l'on exerce une
pression
sur la colonne vertébrale cervicale. Il y a une
e être apathique. Pas de raideur de la nuque, mais il semble qu'une
pression
exercée sur la colonne vertébrale cervicale cau
. - Pas de raideur de la nuque, pas de douleurs quand on exerce une
pression
sur la colonne vertébrale. Paralysie presque comp
s puissants, manque ici de cet appui et devient proéminente sous la
pression
des autres muscles qui s'insèrent sur le thorax e
moniaque par exemple. Appareil circulatoire. Le pouls bat à 92 ; la
pression
artérielle de la radiale prise au sphygmomanomè
que, régulier, très ample un peu tendu. 68 pulsations ;'1 la minute
pression
v.<sale : HO mm de Hg au Riva-Racci. La resp
re. Ces artères pé- riphériques sont légèrement athéromateuses : la
pression
vasale est assez élevée, 140-145 mm. de Hg. L
L'incision du lobe supérieur montre une hépatisa- tion typique. La
pression
fait sortir un liquide spumeux. La surface de sec
ouleur, ni localisée, ni diffuse, ni spontanée, ni provoquée par la
pression
. Depuis ce fait, il se fatiguait beaucoup plus
iques palpables, on perçoit aussi une paroi épaissie, scléreuse. La
pression
sanguine (Riva-Rocci) : 140 millimètres. Appare
considérable. Le malade manifeste de la douleur quand on exerce une
pression
sur les premières vertèbres dorsales, mais non su
'après-midi la ponction lombaire était faite. Nous avons trouvé une
pression
de 170 millimètres et avons pris 10 centimètres c
s pris 10 centimètres cubes d'une liqueur qui est un peu louche. La
pression
tombe à 150 millimètres. Pendant la ponction, l
statée pour la poliomyélite aiguë. Nos recherches démontrent que la
pression
du liquide céphalo-rachidien est souvent aug- m
la ponction lombaire dans un but théra- peutique qu'en mesurant la
pression
pendant tout le temps que le liquide s'écoule.
de liquide céplialo-rachidien clair et qui s'écoule avec une forte
pression
. Le lendemain le malade a des maux de tète très v
icules situés à la périphérie de la glande sont aplatis par la com-
pression
.Leurs limites ne'sont pas aussi précises qu'à l'é
la biologie et de la physiologie ; laissons de côté toutes ces ex-
pressions
psychologiques qui ne représentent pas des choses
onse, un son se fait entendre. Grâce à un ajustement intérieur, une
pression
s'est changée en son. Telle est une comparaison
l côté (chimiotaxie positive ou négative). Une action inégale de la
pression
en deux points du corps peut aussi déterminer c
activité auto- matique et dont le fonctionnement déclanche sous la
pression
d'excitations déterminées. Si on substitue, par
uit le même effet ; l'Apollon du Belvédère me fait beaucoup d'im-
pression
. Quand je rencontre un homme dont la jeunesse et
sations de raideur, de froid, d'engourdissement. Mais nulle part la
pression
du doigt ne détermine de godet, et l'urine ne r
me se retrouve sur toute la surface du corps, mais nulle part, la
pression
ne détermine de cupule. La sensibilité générale
de l'affaissement des traits du visage, de l'augmentation dans la
pression
intra-oculaire ; l'amaurose que l'on signale sur
était en moyenne de 2 ou 3 heures, la dou- leur, spontanée ou à la
pression
, extrêmement intense. La plu- part des malades
s, par la malaxation musculaire et par l'excitation des nerfs. La
pression
du nerf cubital en arrière de l'épitroclilée cont
s, et l'on voit la contracture s'accentuer graduellement. La simple
pression
sur le tendon est impuissante. 3° L'hyperexci
dormir de nouveau. On y parvient cependant sans dilficulté par la
pression
des globes oculaires. Le même état hémi- paraly
, de froid, d'eau qui lui courait dans les jambes, de torsion et de
pression
des chairs. En même temps aussi, elle avait des
un oedème brightique. Mais le doigt ne détermine pas de cupule à la
pression
; le gonflement est surtout marqué au niveau de
ce dernier présente une fausse apparence d'oedème sans cupule à la
pression
du doigt, nulle part mieux marquée qu'à la face
', pendant qu'elle était dans cet état, de provoquer un accès par
pression
sur un de ses points hystérogénes, elle s'est tro
gles, elle était agitée ; j'ai provoqué une série d'attaques par la
pression
sur son point vertébral, elle n'a pas eu de nou
ne sent ni le contact, ni la piqûre, ni le froid, mais elle sent la
pression
sur les parties profondes, et le sens musculair
es apophyses épineuses de la 12, dorsale et de la 1° lombaire. La
pression
sur la région ovarienne gauche arrête les attaque
gion ovarienne gauche arrête les attaques qui sont prévenues par la
pression
du bandage à ressort. V... tombe en catalepsie
abdominale antérieure. On n'y voit aucune rougeur, mais la moindre
pression
, le contact de la chemise exaspère les douleurs
, ibi fluxus) qui amènerait par la distension des veines une com-
pression
des nerfs au niveau de leur sortie du canal ver
gion ovarienne gauche est spontanément douloureuse et sensible à la
pression
. Points hyslérogènes. il sur la 12° côte gauche
is ouvertures vraisemblablement artificielles et pro- duites par la
pression
du doigt qui a dû rompre les adhérences pleural
aissie et d'une couleur brune, rougeâtre, un peu ochreuse. La dé-
pression
superficielle est comblée par un réservoir du liq
r des masses charnues et l'abondance du système pileux, par l'ex-
pression
mobile de la physionomie, l'animation facile des
ncéphaliques récentes ou anciennes (Stark), ni les conditions de la
pression
intra-utérine anormale (Klebs), de ne pas établ
lles doivent être incriminées, agiraient, pour lui, en modifiant la
pression
intra-utérine et vasculaire de l'em- bryon et p
absence de réflexe patellaire, sans symptômes du tabès au début. La
pression
permanente exercée sur le tronc du facial n'eng
atement après la lésion, par suite de la répartition uniforme de la
pression
hydrostatique sur l'ensemble de la rétine et de
arésie de la face du côté f6 242 sociétés savantes. atteint. La
pression
exercée sur le nerf sous-orbitaire faisant disp
certains aliénés (Brewster) '. M. Despine a a pu constater, par la
pression
latérale 1 C'té par Despine. ' ' P. Despine.
, que les deux ovaires puissent être sentis en même temps; mais, la
pression
sur les points qu'ils occupent détermine une se
ne se reproduisirent pas, et on ne pouvait pas les provoquer par la
pression
sur les anciens points hystérogenes. Pendant le
etites régions dou- loureuses, que nous venons de localiser, que la
pression
peut provoquer le réveil. Le doigt, introduit d
pro- duire rien qui ressemble aux phénomènes qui accompagnent la
pression
sur le point douloureux abdominal. En cherchant
absolument impossible, soit par la fixité du regard, soit par la
pression
oculaire ; le bruit du tam-tam, la lumière du mag
ail, contrôler par le réveil le siège des points ovariens ; mais la
pression
sur ces points provoque toujours une sensation
de l'utérus qui formait alors sous les doigts un plan résistant. La
pression
sur cette petite tumeur provoquait les phénomèn
sur cette petite tumeur provoquait les phénomènes ordinaires de la
pression
sur le DE L HYSTUITO -ÉPILEPSIE. 301 point do
'ombilic se trouve alors à 20 cen- timètres au-dessus du pubis). La
pression
sur ces points pro- voque une douleur vive et l
ion DE l'ovaire. Depuis que M. Charcot a remis en honneur la com-
pression
ovarienne pour arrêter l'attaque d'hystérie, on
ystérie, on a tenté, à différentes reprises, de remplacer la com-
pression
manuelle, qui ne peut être longtemps main- tenu
r; de sorte que, bien qu'elle soit assez résistante pour donner une
pression
suffi- sante, elle conserve une certaine molles
toujours suffisante. On sait d'ailleurs que, s'il faut un effort de
pression
assez Fig. 25. Compresseur ovarique gauche, en
e déplacer la pelote dans tous les sens et de modifier à volonté la
pression
( Ifig 26). Pour les rares malades qui ont beso
her de l'épine iliaque. - D, Brisure du bandage, munie d'une vis de
pression
permettant de fermer plus ou moins le ressort,
lus ou moins le ressort, et d'augmenter ou de diminuer à volonté la
pression
. de L'HISTI : .RO-FI'ILRPS1E. 309 sous le cou
é neuro-musculaire. 31 janvier 188t. C.. s'endort facilement par la
pression
sur les globes oculaires et sur les tempes. L'é
ée peut être obtenue parla malaxation des masses musculaires, et la
pression
des nerfs. D'ailleurs les résultats que l'on ob
e; cette région présente, à la palpation, un empâtement profond. La
pression
y est douloureuse. Les ganglions cervicaux ne s
a tête à gauche s'exécute un peu plus facilement qu'au début ; la
pression
sur les apophyses épineuses des deux premières ve
a fi- gure suivante, montrent seulement la possibilité de sa com-
pression
par des lésions très diversement situées du cerve
r- cher à les localiser, d'autant qu'en saine physiologie, la dé-
pression
et l'exaltation ne constituent pas des fonctions,
tement de l'absence d'influx nerveux; elles sont la conséquence de la
pression
prolongée et du contact des urines altérées, ains
on peut voir se former, principalement sur les régions soumises à la
pression
, des ulcérations, voire même des es-chares ; mais
amais la sensibilité de la face ne disparut complètement ; une légère
pression
était àla vérité imparfaitement sentie; mais une
une légère pression était àla vérité imparfaitement sentie; mais une
pression
un peu forte ramenait de vives douleurs. — La con
ration qui donna issue à un liquide puri-forme sous l'influence de la
pression
de l'œil. La mort arriva inopinément. A l'autopsi
; elles se développent surtout sur les régions du corps soumises à la
pression
, au frottement, au contact pro- 1. Voyez Zeitsc
sans l'intervention d'une cause extérieure quel-conque, telle que la
pression
par exemple (2). Mais ce ne sont là encore que
s du côté gauche présenta sur tous les points soumis a la plus légère
pression
des bulles qui bientôt firent place à La scléro
t une atrophie très marquée, limitée à certains groupes de muscles.
pression
exercée par une tumeur, par le mal vertébral de P
es les parties du tronc ou des membres soumis dans le décubitus à une
pression
quelque peu durable. Une pression des plus lé-gèr
bres soumis dans le décubitus à une pression quelque peu durable. Une
pression
des plus lé-gères et de très courte durée suffit
onnels, où elle paraît se produire sans l'in-tervention de la moindre
pression
ou de tout autre cause occasionnelle du même genr
se voit principalement lorsqu'elles se produisent sur des points oùla
pression
n'a pu être que de courte durée, peu intense, et
sombre, violacée même, mais qui cède toujours, momentanément, sous la
pression
du doigt. Dans des circonstances assez rares et q
enoux, aux chevilles, au cou-de-pied, partout où il s'est produit une
pression
accidentelle ou une irritation. Elles contiennent
arurent aux pieds et à la partie interne des genoux, là où existe une
pression
réciproque. Deux points méritent surtout d'être n
s profondes sur tous les points des parties paralysées, soumises à la
pression
. Loc. cit. pp. 421, 422). 1. Après R, Bright, i
t où le genou gauche fléchi paraît avoir, pendant la nuit, exercé une
pression
un peu prolongée, on observe une bulle du volume
réole érythémateuse peu étendue. Le genou gauche, dans le point où la
pression
a dû s'exercer, ne pré-sente, lui, aucune trace d
nts du membre inférieur paralysé qui peuvent être soumis à une légère
pression
. Je ne dois pas omettre de vous faire remarquer
ment pas défaire in-tervenir, comme élément unique, l'influence de la
pression
exercée sur les parties où il se manifeste. La pr
fluence de la pression exercée sur les parties où il se manifeste. La
pression
, en effet, est égale pour les deux fesses, et l'é
schare. D'ailleurs, quelle peutètre, en pareil cas, l'influence d'une
pression
qui ne s'exerce que depuis deux ou trois jours ?
les divers points des membres para-lysés qui sont exposés à subir une
pression
même très légère et de courte durée, — les malléo
au voisinage du pied, provoque de la douleur : il en estde même de la
pression
. Un pincement lé-ger, le chatouillement, sont sui
omène : évidemment, il faut rejeter au se-cond plan l'influence de la
pression
, celle aussi de la paralysie vaso-motrice, qui pe
lards de cet hospice, et j'ai pu me convaincre plu-sieurs fois que la
pression
exercée sur les parties qu'occupe l'éruption ne j
nre ne se révèlent guère que sous l'influence des mouvements ou de la
pression
excercée sur les membres ; ou si elles se montren
arfois spontané-ment, elles sont néanmoins toujours exaspérées par la
pression
ou les mouvements ; elles dépendent d'une inflamm
ence de Ludwig, laquelle montre que, pendant l'irritation du nerf, la
pression
manomé-triquedans le canal de Wharton est supérie
la pression manomé-triquedans le canal de Wharton est supérieure à la
pression
du sang dans les conduits artériels. D'ailleurs
on sacrée et sur tous les points des membres inférieures soumis à une
pression
prolongée, des eschares qui prennent parfois des
resthésie ovarienne, est jusqu'à un certain point pathognomonique. La
pression
, en l'exaspérant, détermine des sensations irradi
stale; sensibilité ovarienne développée du côté gauche, douleur à. la
pression
; anesthésie en divers points de la peau: anesthé
nfluence déjà signalée autrefois et, plus tard, mis en doute, de la
pression
de la région ovarienne sur la production des phén
eresthésieque l'on constate. Cetorgane peut être très douloureux à la
pression
, alors que la paroi abdo-minale correspondante es
a douleur n'est pas spontanément accusée ; il faut la chercher par la
pression
, et, en pareille circonstance, on note les phénom
ontale se trouve le foyer douloureux qu'accusent lesmalades et que la
pression
, exercée à l'aide du doigt, met d'ailleurs en évi
Piorry) compliquée parfois de nausées et de \romissements;puis,si la
pression
est continuée, surviennent bientôt des palpitatio
mes ainsi conduit à reconnaître, avec cet éminent observateur, que la
pression
du flanc dans la région ovarienne ne fait que rep
11 raconte ailleurs être parveuu lui-même à arrêter un accès, par une
pression
énergique, exé-cutée avec les deux mains réunies
compression, devient pour lui le point de mire. « Une forte et large
pression
, exercée par l'intermédiaire de la main sur la ré
onstriction laryngée, pleurs, urines abondantes. Chez elle, aussi, la
pression
ovarienne modère l'intensité des phéno-mènes de l
re est le siège d'un ballonnement considérable avec douleur vive à la
pression
de la région ovarienne gauche, douleur d'un carac
norme de l'abdomen;—cl) les régions ovariennes sont douloureuses à la
pression
, et, en insistant un peu dans l'exploration, on n
anément à l'approche des crises. En tout temps, on l'exas-père par la
pression
. C'estau niveau de ce point douloureux que la sen
ain degré d'hémiamyosthénie. Ainsi, tandis que pour la main gauche la
pression
dynaraomé-frique est de 25 kilg., elle est représ
'une ac-tion traumatique et se localiser dans les parties mêmes où la
pression
, la contusion, la foulure, etc., se sont produite
ces à polir. Il s'ensuivit im-médiatement, sur la partie soumise à la
pression
, une assez vive douleur, un gonflement avec ecchy
écuter un mouvement et aussi lorsqu'on vient à exercer la plus légère
pression
sur un point quelconque du membre. Elle est surto
n sur un point quelconque du membre. Elle est surtout vive lorsque la
pression
a lieu sur la face antérieure de l'avant-bras, pa
lusieurs semaines, plusieurs mois, voire plusieurs années. La moindre
pression
, le moindre frôlement, le moindre mou-vement prov
uations alvines consécutives à la néphrotomie, 279. — Influence de la
pression
sur la production do l'urée, 297. Uretères (Con
de bas en haut ; ses diverses parties avaient été déformées par la
pression
de l'anévrysme. Les planches I, Il et III annexée
r les fibres arciformes externes qui sont très amincies par la com-
pression
. La formation réticulée du bulbe présente aussi
nexes (par exemple l'arrêt de la circula- tion et les "effets de la
pression
sur les parties du cerveau postérieur op- posée
mous et friables et légers. Il semblait que par de lentes et douces
pressions
on aurait pu modeler à sa guise ce bizarre thorax
, pâteuse, sans qu'on puisse, toutefois, déterminer de godet par la
pression
. On peut, à ce point de vue, distinguer trois v
esthésiés. Seules les glandes mammaires sont très douloureuses à la
pression
. Les sens sont absolument indemnes, le champ vi
n se présente au repos avec sa forme et sa consistance normales. La
pression
même profonde est bien supportée à t'épigastre,
e sous ses diverses modes (piqûre, contact, chaleur, froid) les im-
pressions
sont égales des deux côtés : l'appréciation du si
transitoire amènerait la sur- distension de l'abdomen par excès de
pression
des gaz intestinaux qui ne trouveraient plus, d
nt, disait-elle, y être enfermée. Elle en sentait la pensanteur, la
pression
, le ballottement, et pour se délivrer de cette to
s d'équation nécessaire entre la réalité et l'efficacité de la com-
pression
. L'efficacité ou l'innocuité de la compression dé
leur hauteur. Leur surface extérieure est parsemée de trous, de dé-
pressions
, de fines trabécules, sculptées dans la substance
dans les mouvements. Pas de douleurs vertébrales spontanées ou à la
pression
. Etat stationnaire jusqu'en janvier 1898.A cett
on pénible. Insensibilité ovarienne droite : un peu de douleur à la
pression
de la fosse iliaque gauche. Les membres supérie
dorsales. Nulle part, la colonne rachidienne n'est douloureuse à la
pression
: elle n'a jamais été non plus le siège de doul
, présentent le volume d'une plume d'oie ; elles se rompent sous la
pression
du doigt. On suit leurs moindres divi- sions ju
it. Les nerfs et les masses musculaires ne sont pas douloureux à la
pression
. ' Cas. III. - RODET, Gazette médicale de 1859.
sible, vacillante, masses musculaires des jambes douloureuses il la
pression
avec engourdissements des extrémités. Pa résie
alysie complète des 4 membres avec atrophie musculaire, douleurs la
pression
des troncs nerveux mais sans trou- bles objecti
muscles Abolition des réflexes rotulien et plantaire. Douleurs à la
pression
des masses musculaires et des nerfs des membres
ec quelques fourmille- ments dans les extrémités, sans douleur à la
pression
des nerfs et des masses musculaires, avec une a
ensation de paquet de ficelle et se réduisant avec facilité sous la
pression
de la main qui palpe et appuie. Il s'agit en somm
tuels sur l'artère axillaire, l'artère humérale, sur la radiale. La
pression
artérielle mesu- surée au sphygmomanomètre du p
ctif. Quelques varicosités toutefois sont légèrement sensibles à la
pression
. Dans le membre hypertrophié la malade souffre so
meurs sont douloureuses spontanément et légèrement sensi- bles à la
pression
. Elles ne présentent aucun battement, aucun sou
ie était moins marquée que dans le côté opposé ; 174 SOUQUES à la
pression
'dynamométrique la main droite donnait 19 et la g
en servir que pour quelques mouvements très restreints. La force de
pression
au dynanomètre était nulle, malgré que les mouvem
uffre de constipation. La région ovarienne gauche est sensible à la
pression
. Les détails de l'observation qu'on vient de li
osition grotesque. Un patient lié à un fauteuil se débat sous l'im-
pression
de la douleur que lui cause le chirurgien qui l'o
rovoque du larmoiement. Les globes ocu- laires sont douloureux à la
pression
; bien plus les attouchements occasionnent des
iminution de la sensibilité cutanée (à la douleur, au contact, à la
pression
) et de la sensibilité musculaire et périostique
Diminution de la sensibilité cutanée à la douleur, au contact, à la
pression
. Diminution de la sensibilité musculaire et pér
'autre par un grand espace anormal, et sont aussi douloureuses à la
pression
, quoi- que à un degré moindre. La pression est
aussi douloureuses à la pression, quoi- que à un degré moindre. La
pression
est douloureuse aussi à l'examen de la ré- gion
htient le même résultat même un degré supérieur, si on exerce cette
pression
soi-même, en inclinant on même temps le thorax
production de la cyphose lombaire. La palpation un peu forte ou la
pression
dans cette région ne détermine pas de la douleur
ent peu à peu mais non tout à fait : il persiste une sen- sation de
pression
dans le rachis et les lombes. Il semblait au mala
e seulement. Pas de craque- ments articulaires. Douleurs vives à la
pression
et à la percussion. Mort en août 1899 de conges
ofonde. Insensibilité des régions ovariennes. Pas de douleur à la
pression
de la colonne vertébrale. Il n'y a pas de défor-
onstrictif quelquefois, la malade les compare alors elle-même il la
pression
d'un étau. Ces douleurs ne viennent pas par cri
es pièces du squelette thoracique est sup- portée par la malade, la
pression
ou la percussion, même légères, réveillent aux
aire, existent même des irrégularités, des nodosités nombreuses. La
pression
éner- gique ne réveille en aucun point de doule
une. La crête épineuse saillante sous la peau, n'est pas épaissie. La
pression
exercée le long de la colonne ne réveille ni do
possible dans une petite étendue. Pas de douleurs spontanées, à la
pression
ou à la percussion brusque. Pas de craquements
convergence sont normaux. Il n'existe pas d'analgésie oculaire à la
pression
. Rien à signaler à la face. La musculature en e
amaigrissement du cou ou du tronc. Pas d'analgésie tra- chéale à la
pression
. A ce moment de- l'examen, on découvre une déviat
flexes testiculaires sont normaux. La sensibilité testiculaire à la
pression
est conservée, mais affai- blie. Les érections
produits. L'articulation est d'ailleurs complètement indolente : la
pression
brusque, le tiraillement, la dis- location de l
'analgésie osseuse, articulaire, ligamenteuse ou mus- culaire il la
pression
, il la percussion ou il la torsion. LES 0STÉ0-A
e lombaire seule semble isolée de ses voisines : En aucun point, la
pression
ou la percussion fortes ne réveille la moindre do
éningée moyenne ou de ses branches une collection qui agit par com-
pression
sur les zones motrices et sur le centre de la par
ns les jours qui suivent l'accident, un simple suintement, puis, la
pression
sanguine aidant, sur- vient une rupture vascula
faudrait alors admettre l'hypothèse de la rupture d'équilibre de la
pression
sanguine dans les vaisseaux par suite de l'ébran-
gues et par suite ont une moindre capacité pour se dilater quand la
pression
sanguine augmente ou quand elles sont violemmen
explication du processus de cette lésion réside dans l'action de la
pression
hydrodynamique. M. Tilmann le démontre par les él
s coupants. La dépression admet facilement le bout du doigt et à la
pression
on sent au fond une résistance comme si le doigt
âne il serait bon d'intervenir pour les relever et empêcher la com-
pression
. Enfin, même s'il n'y a qu'une simple contusion d
plus dures, irrégulières pouvant se rapprocher ou s'écarter par la
pression
perpendiculaire ou latérale. ' Les mouvements d
aucun moment ni douleurs spontanées ni douleurs pro- voquées par la
pression
ou par la percussion. La grande loi des artllropa
s, disparaître enfin spontanément pour réapparaître sous la moindre
pression
. Nous considérons encore une fois le fait comme
e qui persiste quelques jours et laisse après elle une sensation de
pression
dans le rachis et les lombes (obs.VII). Ces phé
s. VI). Douleur lombaire, tressautement des vertèbres, sensation de
pression
abdominale représentant, sinon toute vraisemblanc
ébrales,, puisse de même fournir de précieux rensei- gnements. La
pression
, la percussion de la colonne vertébrale sont des
: à peine en quelques en- droits limités et rarement d'ailleurs, la
pression
du doigt réveille une légère douleur (obs. VI).
ns le procès morbide des enveloppes spinales. La modification de la
pression
dans la cavité du système nerveux central, le t
ltérées, les fibres radiculaires peuvent s'ex- poser à une certaine
pression
, ce qui peut empêcher la transmission régulière
osité de ces os, z leur légèreté étonnante, leur friabilité sous la
pression
du doigt ou leur rupture sous le moindre effort
ement se fait plus rare. La vertèbre offre moins de résistance à la
pression
exercée sur elle. Or, du fait de l'existence d'
e. Or, du fait de l'existence d'une déviation plus fréquente, cette
pression
s'exercera en des points symétriques superposés
e partiel de la vertèbre va diminuer sa hauteur au point maximum de
pression
. Elle va s'aplatir, les faces vont s'incliner l'u
ouvent insignifiant. La vertèbre la plus atteinte cédera sous cette
pression
inac- coutumée. Le malade perçoit aussitôt un c
on de leur situation, elles sont constamment soumises au maximum de
pression
. Elles supportent non seulement le poids de la pa
lle l'absence de toute sensation douloureuse à la palpa- tion, à la
pression
, de la gibbosité, et le calme le plus complet des
limpide qui remplit la vacuole et la distend eu tous sens avec une
pression
égale. Tandis que la vacuole prend de l'extensi
ui fait parfois une assez forte saillie hors de la cellule. Sous la
pression
de plus en plus grande du liquide qui distend les
plus en plus disten- due crève bientôt sous l'effort continu de la
pression
du liquide. On trouve alors pêle-mêle les débri
articulièrement à droite, mais ces phénomènes ayant indiqué la com-
pression
autant que l'irritation de l'encéphale, il faudra
ptomatique semblable dans tout le côté musculaire ? Et si cette ex-
pression
symptomatique avait dû varier, devait-on trouver
e la sortie du nerf occipital gauche est décidément plus molle à la
pression
et hyperesthésiée. C'est le point où la douleur
première. Tout l'ensemble des tissus est oedématié et sensible à la
pression
. Pas de frac- ture du crâne Guérison. - Obser
umatique 551 niveau aucun renflement notable,je fais sourdre par la
pression
une quantité de pus telle que l'existence d'un
vité de la cellule. Cette néoformation, qui donne tout à fait l'im-
pression
d'un follicule glandulaire, a été désignée par Va
ce. Les points d'émergence du trijumeau ne sont pas douloureux à la
pression
: il n'existe en aucun point de trou- bles trop
it pas disparaître complètement. Elle se rappelle qu'à ce moment la
pression
avec le doigt laissait un godet sur la jambe et
é, de telle sorte qu'il est au niveau de la styloïde cubitale. « La
pression
exercée en avant sur la ligne médiane, auniveau d
douleur est locale et n'irradie pas dans les doigts. La douleur à la
pression
sur le médian, jointe à la déformation considérab
nes,au-dessous du mamelon gauche et dans les deux fosses iliaques. La
pression
profonde à ces niveaux occasionne une dou- Fig.
t décisif, de l'exagérer ou de le faire reparaître de nouveau par une
pression
exercée sur les points hysté-rogènes. Chez cert
ez à volonté le faire reparaître avec son intensité première, par une
pression
exercée sur les points hystérogènes, en même temp
nal de l'omoplate du côté gauche, l'autre dans l'hypocondre droit. La
pression
en ces points exagère le tremblement ; elle donne
ues. Il s'accroît notablement sous l'influence des émotions, par la
pression
sur une zone hystérogène rachidienne, après les a
leur profonde qui n'est pas exaspérée par les attouchements ou par la
pression
. Elle remonte bientôt, toujours limitée au côté d
e de 46 ans. Analogie de ces deux cas. Caractère du gonflement, où la
pression
du doigt ne laisse pas d'empreinte : œdème dur, c
parlait seulement d'un œdème blanc. Rajoute que cet œdème est dur, la
pression
du doigt n'y laissant pas de godet. Il fait remar
ait cependant, du moins dans la règle, de l'impression laissée par la
pression
des doigts. Je n'y ai pas trouvé, autant que je s
ui de Sydenham, est représenté par une tuméfaction ne cédant pas à la
pression
du doigt, mais qui en diffère par deux caractères
ain, le poignet sont le siège d'une tuméfaction dure, sur laquelle la
pression
du doigt ne laisse aucune impression. De plus, to
ndant possibles. La peau ne paraît pas douloureuse, mais seulement la
pression
profonde. Il est remarquable que, quand on plie l
contracture visible et sensible au toucher des muscles adducteurs. La
pression
aux points d'élection sur l'articulation coxo-fém
Les mouvements sont douloureux comme précédemment. Douleur vive à la
pression
dans la région de la cuisse. 19 février.— L'hyp
de la sensibilité à la face plantaire du pied. Pas de douleur à la
pression
. Douleur spontanée, continue, profonde, entrecoup
oit supérieur, de telle sorte qu'il n'est nullement protégé contre la
pression
de la tête fœtale. Il en résulte que c'est toujou
ments, du moins dans les trois premières atteintes, exaspérées par la
pression
au niveau des points d'élection, nettement exagér
r spontanée, sur le trajet du sciatique, a complètement disparu. A la
pression
, dans les mêmes régions, la douleur est à peu prè
au niveau du point péronier. Il n'existe pas non plus de douleur à la
pression
des masses musculaires du mollet. Une pression pr
n plus de douleur à la pression des masses musculaires du mollet. Une
pression
profonde assez énergique sur la région des muscle
surtout de douleurs vives au mollet. Les régions douloureuses à la
pression
sont les points fessier, poplité, malléolaire, do
mollet droit. Il existe un certain nombre de points douloureux que la
pression
réveille, points sacro-lombaire, fessier, trochan
r le sol sans le steppage. Mais à cause de la douleur que provoque la
pression
du pied sur le sol, elle ne marche pas franchem
rémités de la jambe et se rejoignent vers la partie médiane. Par la
pression
on produit des élancements douloureux aux lieux d
poplité, trajet péronier, point dorsal du pied et point plantaire. La
pression
en masse des muscles delà cuisse et de la jambe e
et de la jambe est sensible. La recherche des points douloureux, la
pression
des muscles, l'exécution des mouvements du pied e
et du sciatique, existaient spontanément et étaient exacerbées par la
pression
et la marche. Elle indique aussi vaguement les po
ciatique ont presque complètement disparu; ni spontanément, ni par la
pression
, la malade n'accuse de souffrance aux points si d
eule, l'extrémité inférieure du tendon d'Achille est douloureuse à la
pression
et pendant la marche. Dans le pied et la jambe,
raison, car nous pouvions douter de sa sincérité. Mais voilà que la
pression
des masses musculaires ne semblait occasionner qu
la conservation des réflexes patellaires, l'absence des douleurs à la
pression
des masses musculaires. J'ajoute que, s'il n'est
périphériques. Il n'y a, en effet, aucune douleur spontanée, ou à la
pression
des muscles, aucune prédominance de la paralysie
douloureuses tant spontanées que développées par le frôlement ou la
pression
profonde. Ici le malade n'accuse aucune de ces se
e, mais qui a complètement disparu aujourd'hui, et de la douleur à la
pression
des muscles du mollet, qui persiste encore aujour
membres, la langue offre souvent une diminution de la résistance à la
pression
du côté correspondant (Revue philosophique, juill
vant; plaque hyperesthésique siégeant sur l'hypocondre gauche dont la
pression
détermine la production de convulsions en arc de
ints douloureux, dans les régions des lombes et des mamelles, dont la
pression
réveille les phénomènes de l'aura; son champ visu
en des points symétriques et une médiane dans la région lombaire; la
pression
au niveau de ces zones réveille les phénomènes de
il faut, pour la bien mettre en évidence, la provoquer à l'aide de la
pression
et de la percussion. On obtient, par ces procédés
aucune exostose, contrairement à ce qui arrive quelquefois. Mais une
pression
un peu forte, et surtout la percussion, révèlent
yngée ; diminution de l'ouïe du côté droit ; douleur provoquée par la
pression
de la région ovarienne gauche. La malade a été
l'un dans la région ovarienne droite, l'autre sous le sein gauche. La
pression
en ces points, si elle ne provoque pas d'attaque
e de 46 ans. Analogie de ces deux cas. Caractère du gonflement, où la
pression
du doigt ne laisse pas d'empreinte : œdème dur, c
sang ayant perdu presque le ciii- quième de son volume a diminué de
pression
, et par conséquent a absorbé des liquides de l'
possible, avant et pendant la traversée, car la dimi- nutiort de la
pression
sanguine qui eu résulte empêche la manifestatio
s femmes, sont plus prédisposées au vertige marin que les autres.
Pression
sanguine et balancement sur notre avpareil. Dan
balancement sur notre avpareil. Dans une série d'expériences sur la
pression
sanguine, DU VERTIGE MARIN. 13 nous avons r
GE MARIN. 13 nous avons réussi à prendre simultanément les deux
pressions
, celle de l'artère carotide et celle de la fémo-
les deux artères. Alors le chien étant atta- Fig. 16. Tracés de la
pression
des artères carotide et fémorale. Les tracés do
ébut des tracés jusqu'à la première ligne verticale, nous avons les
pressions
en repos. Ensuite les tracés en balancement lent,
en repos, sur notre appareil, nous avons pris sur le même tracé la
pression
sanguine des deux ar- tères en même temps. Ceci
temps. Ceci fait, nous balançons le chien et nous prenons les deux
pressions
au début des mouvements. Les tracés de deux art
ous l'avons constaté expérimentalement. Ayant pris simultanément la
pression
de la carotide et de la fémorale, nous avons co
onctionnels. Les nerfs sciatiques et cruraux sont douloureux à la
pression
, le nerf scia- tique gauche plus que le droit.
n ceinture dans la par- tie inférieure du ventre et des reins. La
pression
sur les apophyses épineuses est douloureuse par p
gmenté. Les douleurs dans les membres inférieurs spontanées et à la
pression
diminuaient peu à peu depuis l'été de 1883 et d
et disparurent presque complètement vers le printemps de 1885,- la
pression
ne provo- quait qu'une paresthésie agréable. Le
nne que la force motrice est bonne. La sensibilité douloureuse à la
pression
sur les nerfs et les muscles n'existe plus main
sensation difficile à décrire à l'épigastre; point de douleur à la
pression
, la langue est nette, pas de phénomènes dyspept
sont normaux. Les nerfs et les muscles ne sont pas douloureux à la
pression
. Le malade se plaint de toute une série de symp
Cette courbature apparaissait spontanément et n'augmentait pas à la
pression
faite sur les épaules et au mouvement. Il n'y
xcepté ceux des doigts et de la main du côté gauche, où la force de
pression
du poing est égale à 40 kilo-. (tandis qu'à dro
teur du pouce. Les muscles et les nerfs ne sont pas douloureux à la
pression
. Les mouvements des membres inférieurs sont nor
atre centres fonctionnels corticaux de la mémoire du mot ou des im-
pressions
(centres d'impressions, impressions sur l'oreille
osses iliaques et les régions sous-mammaires sont douloureuses à la
pression
. Asymétrie faciale (côté droit plus petit) : ne
ifférence de poids successifs que de l'autre côté. Le contact et la
pression
sont moins bien perçus à gauche qu'à droite; la
de ses signes, la maladie des tics convulsifs est toujours l'ex-
pression
d'une tare le plus souvent héréditaire. M. Guin
ie ; le tact est simplement un peu émoussé à droite, notamment à la
pression
. Dans les quelques semaines qui succèdent à l'o
rf ; ces perturbations sont elles-mêmes dues à l'augmentation de la
pression
cérébrale. Pièces à l'appui. D'autres prépara
ne sorte de timidité d'esprit ou peut-être et plutôt h une certaine
pression
venanl de l'intérieur, à une pression ayant son
être et plutôt h une certaine pression venanl de l'intérieur, à une
pression
ayant son point de départ dans un courant erron
ttre particulière, en- voyée par Denayrouze au célèbre auteur de la
Pression
barométrique, dont voici le contenu : « J'ai
ns les mêmes conditions. Tous ces gens-là respiraient de l'air à la
pression
du milieu ambiant, soit à 4 ou 5 atmosphères. C
eu ambiant, soit à 4 ou 5 atmosphères. Cinq hommes sont morts à ces
pressions
, un grand nombre d'autres ont été atteints de d
reste de son travail est consacré à l'étude des dangers des fortes
pressions
. Les maladies des plongeurs sont divisées par l
ation d'ataxie locomotrice, consécutive à des accidents de décom-
pression
brusque par rupture d'un scaphandre. » Ce disti
t brasses, un quart d'heure de séjour dans le fond, et une décom-
pression
brusque. Dix minutes après l'enlèvement du casque
vement du casque, le malade est attaqué de douleurs aux lombes avec
pression
doulou- reuse dans le creux de l'estomac et aus
de trente-cinq mi- nutes ; décompression brusque d'une demi-minute.
Pression
douloureuse constrictive de la nuque; douleurs
es, après un séjour de trente-cinq minutes de durée et une décom-
pression
brusque d'une demi-minute, qu'il a été atteint de
e étant d'origine cérébrale. A côté de ces symptômes, c'est-à-dire,
pression
avec constriction à la nuque, douleurs à l'épau
ation opiniâtre. Le 11 octobre, la douleur de l'épaule droite et la
pression
dou- loureuse et constrictive de la nuque ont d
profondeur de 25 brasses; séjour de plus de vingt minutes; décom-
pression
brusque moins de une demi-minute. Douleurs au-
IV, VI, VII, X, XI, XIII, et tantôt quelque temps après la décom-
pression
, comme cela a eu lieu aux Observations 1, III,
bre de symptômes secon- daires, deutéropathiques. 1 Le sens de la
pression
marche ordinairement côte à côte avec le sens d
ns vu que la douleur peut exister avec l'a- naque l'augmentation de
pression
dans le sys- tème veineux (la toux, Féternuemen
t. Dans l'état normal, les centres nerveux subissent une certaine
pression
de la part de ce liquide. La soustrac- tion de
taine pression de la part de ce liquide. La soustrac- tion de cette
pression
normale provoque d'après Magendie le trouble de
Le liquide céphalo-rachidien à l'état normal exerce une certaine
pression
sur les centres nerveux, A la suite de la suppr
s verres d'eau par jour. En évitant les boissons, nous diminuons la
pression
du sang et, par conséquent, nous diminuons les
s il ne faut pas en abuser, car l'alcool en grande dose augmente la
pression
sanguine. Pendant le voyage, ou doit manger peu
parties du corps; ainsi le malade de l'OBSERVATION III avait une
pression
douloureuse constrictive à la nuque. Ceux de ]'
, symptômes du groupe céphalique : ou comme à l'OBSERVATION III, la
pression
douloureuse constrictive à la nuque et les doul
nombre d'immersions à cette profondeur sans accidents, la décom-
pression
ayant été isochrone, mais il n'aurait jamais deme
elle. L'illusion a continué durant la com- 390 CLINIQUE NERVEUSE.
pression
de la cinquième immersion; pour cette rai- son,
e facilité les fibres nerveuses s'écartent et s'accommodent à une
pression
se formant lentement de côté. D'autre .part, ce
au- teurs d'une même moelle. On ne pourrait donc pas invoquer une
pression
en masse occasionnée ici par le néoplasme, là p
eulement dans les voies sensitives la faculté de conduire les im-
pressions
thermiques. On peut appliquer le même raisonnem
tumeur, mais agissant sur l'organe malade non par la masse, par la
pression
mais en y provoquant des altérations d'élection
sont épais, boursouflés, comme oedémateux, bien que nulle part, la
pression
du doigt ne laisse d'empreinte ; 91 la voix est
ew explique les atta- ques congestives par les fluctuations dans la
pression
du liquide cérébrospinal et dans' ses stagnatio
t une légère proéminence de la 1 re dorsale et une sensibilité à la
pression
des premières vertèbres lombaires, permettant le
férieurs. Flexion et extension de la tête douloureuses ainsi que la
pression
des premières vertèbres dorsales, mais l'absenc
carie étendue de la ° vertèbre dorsale à la'lre lombaire avec com-
pression
et ramollissement de la moelle. ' Le malade de
d'extension du rachis sont difficiles et douloureux ; douleur à la
pression
au niveau des apophyses épineuses de la région
: tuberculose pulmonaire bilatérale : dé- formation et douleur à la
pression
au niveau de la région sacrée. Atrophie mus- cu
, inégalité pupillaire.» La contracture musculaire, la douleur à la
pression
sur la partie latérale gauche de la 3e vertèbre
a tête à gauche, et, quelques jours avant la mort, sensibilité à la
pression
des VIe et Vlle vertèbres cervicales. Or l'auto
olécranien et des radiaux, pas d'inégalité pupillaire ; douleur la
pression
des vertèbres dorsales supérieures (Il n'est pa
rs, et qu'on trouve, soit le signe de Lasègne, soit la douleur à la
pression
du nerf (cas de Triot), et surtout si la pseudo
- dément atteinte que les sensibilités thermique et douloureuse. La
pression
et la percussion des apophyses épineuses était
épineuses de plusieurs vertèbres dorsales étaient douloureuses à la
pression
. Telles sont les principales causes d'erreur qu
ion osseuse. Il n'en est pas de même de la douleur réveillée par la
pression
ou la percussion des vertèbres malades ; on retro
ne horizontale passant un peu au-dessous des seins et douleurs à la
pression
au niveau de plusieurs vertèbres dorsales supér
la sensibilité, légère incontinence des sphincters et douleurs à la
pression
au niveau de plusieurs apophyses épineuses, alo
n dor- sale moyenne. On constate encore une douleur très nette à la
pression
des 8" et 9" apophyses épineuses. Il n'existe r
colloïde, ou distendue par un faux oedème, mou et élastique, où la
pression
du doigt ne persiste pas. La peau qui la couvre
r 37 ? . Certains jours quand les douleurs; soit spontanées soit à la
pression
soit fortes, le thermomètre monte quelquefois j
hé, la peau, vous remarquez des taches rondes, disparaissant par la
pression
, et qui persistent pourtant longtemps, signe d'
écaniquement et chimi- quement une influence sur l'assimilation, la
pression
sanguine, la circulation, la pression cérébrale
luence sur l'assimilation, la pression sanguine, la circulation, la
pression
cérébrale, et probablement aussi sur la sécrétion
l'on pourrait expliquer les douleurs spontanées, les douleurs a la
pression
, l'élévation de la température, les gonflements d
température extérieure : on les trouve en juin,juillet ; ni avec la
pression
puisqu'elles subsistaient,après 2 mois de séjou
ar étale- ment de leur base ils semblent accolés l'un à l'autre, la
pression
, comme du reste celle du pied entier, en est do
es les masses musculaires et osseuses sont encore douloureuses à la
pression
. Troubles de la marche : la marche est anormale
La sensibilité vibratoire au diapason d'Egger et la sensibilité à la
pression
sont normales. ' Au contraire la perception d
ilité vibratoire toujours normale. Au contraire la sensibilité à la
pression
est très atteinte cette fois-ci, les pres- sion
on sur tout le corps, sauf sur le cou et la tête où la sensation de
pression
est bien perçue. Il est à remarquer que sur le
erçue. Il est à remarquer que sur le dos des mains et des pieds les
pressions
très fortes provoquent des douleurs. Sur la pau
ur la paume des mains et sur la plante des pieds il ne sent pas les
pressions
légères, mais il a la sensation de pression si on
pieds il ne sent pas les pressions légères, mais il a la sensation de
pression
si on appuie très fort. Si on lui serre la verg
10 novembre 1905. - Topographie des troubles de la sensibilité à la
pression
. Sur les dos des pieds et des mains, les pression
sensibilité à la pression. Sur les dos des pieds et des mains, les
pressions
très fortes sont dou- loureuses. 1 56 NOICA
lles au froid sont normales. Les sensibilités profondes (vibration,
pression
, perception des altitudes seg- mentaires) et le
la sensibilité tactile. Les troubles thermiques, algésiques ou à la
pression
, ont à peu près la même topographie. 158 NOIC
tate aussi chez ce malade, des troubles intenses de sensibilité à la
pression
, reproduisant presque en entier la, topographie
la tige du diapason d'Egger, le malade ne sent ni une sensation de
pression
ni une sensation de douleur, tandis que sur les f
ante des pieds, sur la peau de l'abdomen, sur le cou et la tête les
pressions
sont normalement senties. Les organes génitaux
rre, sont sensibles. Sur le dos et sur le thorax le malade,avec des
pressions
très fortes, sent très peu la pression, mais pl
e thorax le malade,avec des pressions très fortes, sent très peu la
pression
, mais plus souvent une douleur ou une piqûre d'ép
tion, de consistance, d'épaisseur. Aucune douleur spontanée ou à la
pression
; 2) La seconde, ressemblant à une grosse figue
l'effet d'un sac en bonne partie vidé. Les indices habituels de la
pression
exagérée (sillons fermés, circonvolutions aplat
oplasme de petites di- mensions put soumettre tout le cerveau à une
pression
exagérée, d'où résulta surtout une dégénérescen
e relation étroite entre ce fait et celui du manque de symptômes de
pression
à l'autopsie. Le néoplasme étant un sarcome, sans
. Il y a eu sans doute action combinée du sarcome (locale) et de la
pression
exercée par le cerveau dilaté sur le ten- tor.
git d'un gonfle- ment oedémateux des cellules névrogliques, dû à la
pression
aiguë exercée par la grande hémorrhagie. 5. L
-rachidien peut constituer un moyen de remédier à l'augmentation de
pression
produite par la croissance d'une tumeur. En p
localisation. Remarques générales. 1. L'écorce résiste mieux à la
pression
que la substance blanche. Sans doute que la nut
eux d'association ? 2. L'épendyme paraît réagir à l'augmentation de
pression
par un. épais- sissement et la formation de pin
entant la résistance des parois pourrait être une défense contre la
pression
du liquide intra-1)entriculaire. 3. L'épendyme
. Pour l'observation VII, il ne peut guère s'agir que d'un effet de
pression
; pour l'observation VI, il y a sans aucun dout
n ; pour l'observation VI, il y a sans aucun doute effet combiné de
pression
et de traction, par suite de la dilatation vent
es atrophiés et rétractés donne la sensation de cordes rigides, une
pression
un peu. forte détermine des douleurs assez vive
t fort pénibles et s'étendent à toute la continuité du membre. La
pression
des muscles, du quadriceps fémoral, du groupe pos
des poumons, du coeur. Ce dernier n'est pas augmenté de volume, la
pression
artérielle varie de 17 à 14 ; les artères périp
sât pas 17 de Hg au sphygmomamomètre de Polain. Dans deux cas où la
pression
était basse (14) nous avons constaté à l'autopsie
ie des parois du coeur qui est peut être responsable de ces faibles
pressions
. - Evolution. Pour être progressive, la marche
uleurs vives le long des troncs nerveux, douleurs réveillées par la
pression
et affectant une allure paroxystique bien diffé
aphie musi- Motriceoudex-1 i . otrlce . ou (ex- ca 1 e. amusies
pression
. cale. ins- D< P ? s'on. P 1 mIe ins- . tr
ieur puisque nous ne trouvions pas le signe caractérique de la com-
pression
du chiasma à sa partie postérieure, c'est-à-dire
vacuoles et comme chassées vers la périphérie à la suite de la com-
pression
. Ces fibres moniliformes représentent le premier
icat dont les mailles sont dilatées à différents degrés. Lorsque la
pression
du liquide qui se trouve à l'intérieur de ces dil
on de la cicatrice médullaire qui s'est formée au niveau de la com-
pression
de la moelle par luxation de la première lombaire
quer par la compression du cerveau sous l'in- fluence de l'excès de
pression
du liquide céphalo-rachidien. L'examen his- tol
res ; les fibrilles névrogliques forment de lar- ges mailles. Cette
pression
, en s'étendant aux autres éléments de l'écorce, a
omalie des réflexes, force musculaire au-dessous de la moyenne à la
pression
des mains, mais pas d'inégalité apparente ni fai-
. Ils ne paraissent cependant pas sensiblement plus douloureux à la
pression
que dans l'état normal. Nous revîmes régulièrem
les artères d'un cadavre préalablement injectées à la gélatine. La
pression
enfin de ces troncs nerveux, même intense, ne ré-
e hyper- trophique, une véritable analgésie des troncs nerveux à la
pression
et à l'excitation électrique. Les lésions que
; son intensité est loin d'être proportionnelle au degré de la com-
pression
: enfin, et surtout, on l'observe ailleurs que da
bles sphinctériens. Gibbosité dor- sale inférieure douloureuse à la
pression
. Mort un an après. Autopsie. - Tuberculose cavi
orteil indifférent. Masses musculaires légèrement douloureuses à la
pression
: signe de Lasègue net des deux côtés. Hypoesthé-
ns la moelle, les lésions sont analogues dans les obs. 1 (avec com-
pression
osseuse), V, VI (compression par le foyer épidura
ollatérales et terminales du plexus brachial sont douloureuses à la
pression
; l'examen électrique pratiqué par M. Huet montr
racines cervicales enserrées dans un tissu de sclérose ; cette com-
pression
n'avait, cliniquement, déterminé aucun symptôme.
ptômes et des lésions. Les signes rachidiens : endolorissement à la
pression
, raideur, ne coï- cident pas toujours absolumen
des trois derniers espaces interosseux. Le malade ne sentait pas la
pression
ni les excitations produites par les courants éle
s par le cuhital(P1; Il) ? , ' ? > ? ? ' . ' ? , , .. , . v La
pression
du nerf dans la gouttière et tout, le long de. so
perficiel se trouvait presque fatalement exposé à des traumatismes,
pressions
ou chocs venus du dehors. Le malade, interrogé
uperficiel, et fut exposé, privé ainsi de toute protec- tion, à des
pressions
et des' chocs réitérés, d'où état irritatif et né
ant, mais les picotements reviennent par accès. Pas de douleur à la
pression
. 1. Du rôle de la prédisposition nerveuse dans
s la nuit que dans la journée. Le rachis est un peu douloureux à la
pression
dans la région dorso-lombaire et surtout dans la
ig. 5), se lisantde droite à gauche, qui représente 0 , D ., D la
pression
de la main gauche indique une ascension à la fois
, mais la force dont dispose le malade est en général assez faible.
Pression
de la main au dynamo- mètre gauche, 20 k. ; dro
ats, sur leurs bords quand la malade est debout, les chairs sous la
pression
rebroussent sous forme d'un large bourrelet (ii
u mois de septembre 1887. On remarqua alors que l'on pouvait, parla
pression
sur les globes oculaires, la mettre dans l'état
1ÈHL. A la lète. une héinicalotte d'aneslhésie du côlé gauche. La
pression
de l'ovaire gauche est douloureuse et détermine u
nature manifestement hystérique. IIortense J. est hypnotisable par
pression
sur les globes oculaires. Elle ne présentait d'
tique, elle présente désormais deux phases du grand hypnotisme : la
pression
sur les yeux la met en léthargie et elle a alor
ter son aphonie par le môme moyen. La malade étant hypnotisée par
pression
sur les globes oculaires, puis mise dans la pha
e mouvement des articulations de l'épaule et du coude et la moindre
pression
, le plus léger frôlement de la peau à leur nive
une très faible excitation, telle qu'une légère traction, une légère
pression
ou percussion. Le 29 décembre, même état. L
l hystérique avec raideur qui dure depuis deux jours. Réveillée par
pression
de la zone hystérogène qu'elle porte dans le flan
ble est le siège d'une hypcreslhésie très marquée (fig. 41, 45), la
pression
, même légère, est douloureuse, le plus léger fr
ituitaire, de sorte qu'on'ne sait si celle-ci avait disparu sous la
pression
de la tumeur, ou si la tumeur n'était pas simpl
entier, en même LES MALADES UAPi5 L'ali'l'. 119 temps que par la
pression
dont il est l'objet, il fait refluer le sang des
ait dévier l'aiguille d'un dynamomètre jusqu'au 60 de l'échelle par
pression
de la main droite et jusqu'au z0 par la main gauc
e attaque complète (ordinai- rement présentée par la malade) par la
pression
des deux zones hystérogénes habituelles situées
u de l'angle de l'omoplate. Puis nous arrêtons celle attaque par la
pression
de l'ovaire gauche et l'inhalation de 60 gramme
esl identiyuc à celui d'Alex... que représente la planche XXX). La
pression
oculaire fait cesser momentanément le spasme. L'e
eloppement insolite. Et vice versa, les côtes sous cette incessante
pression
produite par les viscères durent s'allonger davan
e la contracture de la langue par excitation directe. Par la simple
pression
d'une baguette j'ai pu, en touchant le bord droit
res et déviations se montrent sous l'influence du diapason ou de la
pression
par la baguette (pl. XXXVI). Toutefois, la si-
tions mécaniques portées sur le durillon peuvent provoquer l'accès (
pression
, percussion). Les applications d'acide acétique a
aque d'épiderme induré et épaissi, mais tout à fait insensible à la
pression
. Seulement le troisième orteil est un peu tu- m
elles surviennent spontanément ou qu'elles soient provoquées par la
pression
exercée sur la zone hystérogène sus-indiquée, o
perte du sens musculaire. Du côté droit, sensibilité émoussée. La
pression
du testicule droit, de la glande et non de la pea
ans le flanc, une zone hystérogène très nette, pseudo-ovarienne. La
pression
de ces zones n'airétc pas les attaques, mais el
déterminent une sensation de cuisson insupportable. Par contre, une
pression
forte exercée sur une large surface est bien to
uche et à la main. Les attaques le ramenaient plus considérable. La
pression
pro- longée du doigt ne donnait pas, ou donnait
tel que l'avait indiqué Sydenham, c'est un oedème dur sur lequel la
pression
prolongée du doigt ne laisse que peu ou pas d'e
pas l'employer dans l'espèce : c'est un gonflement dur; mais l'ex-
pression
nous paraît consacrée par l'usage qui a force de
individus à la ceinture, aux endroits où les vêtements exercent une
pression
éner- gique, un boursoufflement diffus de la pe
Nous n'avons envisagé jusqu'ici que les excitants mécaniques par
pression
. Les piqûres d'épingles légères s'entourent d'une
ait aussi profond que l'instant d'auparavant. Chez cette malade, la
pression
seule d'une zone hystérogène était susceptible d'
hystéro-épileptiques. » M. Charcot réveille alors la malade par la
pression
d'une zone hystérogène située au niveau de l'ov
ression d'une zone hystérogène située au niveau de l'ovaire gauche,
pression
qui déter- mine une attaque convulsive. Le soir
mulaire en marbre de 1'crrocliio, 50. l,1)tlepsie (durillon dont la
pression
pro- voque l'accès ,1' -J, 6l. Epileptiques (
omme paralysé aux quatre membres, au tronc et à la face. La moindre
pression
, exercée sur une masse musculaire quel- conque,
e la sensibilité ob- jective superficielle; au contraire la moindre
pression
exercée sur les masses musculaires développait
lques secousses fibrillaires. Le pouls battait 120 à la minute ; la
pression
de la dixième paire était douloureuse. La tempé
t très douloureux ; les masses musculaires sont très sensibles à la
pression
, surtout à droite. Quant aux réflexes rotuliens
ysiologique, à l'exception des mouvements d'extension des mains. La
pression
au dynamomètre est de 15 à droite et de 16 à ga
ma- lade n'éprouvait pas de souffrances spontanées, mais partout la
pression
des masses musculaires provoquait des douleurs
e polynévrite : vous vous rappelez qu'à un moment donné, la moindre
pression
exercée sur les masses musculaires du malade, l
alcoo- liques. Sitôt disparu l'endolorissement des muscles il la
pression
, sitôt les malades devenus maniables et transpo
oignement, l'opposition des doigts s'exécutent convenablement. La
pression
dynamométrique est de 19 kilos à gauche, de 14 ki
t verruqueux, dont la coloration rouge ou violacée disparaît par la
pression
prolongée. « Celte affection encore désignée
e porté au contact du petit doigt mais, pour exercer la plus légère
pression
, il doit utiliser l'action de son fléchisseur (
nces, on est obligé de maintenir le poignet du malade. A gauche, la
pression
dynamométrique de la main est de 47 kilogrammes.
anément en extension forcée qu'on peut encore pousser plus loin par
pression
sur le bout des doigts. Dans toutes ces articul
oncs nerveux se traduit par une hyperalgésie encore plus vive. La
pression
du nerf scapulaire supérieur, au point où il pass
che que lui offre la base de l'omoplate, est très douloureuse. La
pression
du nerf du grand dentelé contre la paroi tboraciq
ntelé contre la paroi tboracique est égale- ment très pénible. La
pression
exercée sur tout le plexus brachial au-dessus de
e la clavicule et dans le creux de l'aisselle est douloureuse. La
pression
exercée sur les branches radiculaires à leur sort
es trous de conjugaison et en dehors des scalènes l'est aussi. La
pression
exercée sur le circonflexe au moment où il sort d
du triceps et l'humérus, est extrêmement douloureuse. De même la
pression
du musculo-cutané et celle du radial dans la gout
sion du nerf médian au milieu du bras est douloureuse, ainsi que la
pression
exercée sur son tronc au pli du coude et au nivea
. La préhension des nerfs collatéraux des doigts est indolore. La
pression
du cubital est peu douloureuse au-dessus de l'épi
ouloureuse au-dessus de l'épi trochlée ; au- dessous de ce point la
pression
provoque les sensations habituelles. La sensibi
relet saillant on remarque une zone érythé- mateuse s'effaçant à la
pression
et tout aussi marquée à droite qu'à gauche. Le
quelque temps. Pas d'ictère. Appétit conservé. Douleur légère à la
pression
du creux épigastrique et de l'hypo- chondre dro
e symptôme. La sensibilité est intacte sous tous ses modes. Mais la
pression
exercée sur les troncs nerveux en dehors des sc
innervés par ces trois nerfs sont aujourd'hui moins douloureux. La
pression
osseuse de l'humérus n'est pénible qu'au point
épendamment de la surdité, du bourdonnement, du vertige et de l'op-
pression
labyrinthique, qui sont les symptômes cardinaux d
les téguments sont le siège de variations de forme, d'expansion, de
pression
, etc. Si nous analysons une même attitude segme
à l'intérieur des segments la sensation de tension, de traction, de
pression
, de gonflement, de déplacement des parties profon
tile ; elle résulte d'une intensité variable dans les sensations de
pression
au contact ou de tiraille- ment. Ces sensations
il est en effet impossible d'abaisser l'épaule droite, même par une
pression
très énergique, lorsque le malade résiste à cette
bue aujourd'hui à une compression du nerf. Ne s'agit-il pas de com-
pression
, dans les paralysies du grand dentelé, survenues
un léger enfoncement du frontal avec diminution de résistance à la
pression
. Pas de trouble de sensibilité au niveau do la ta
gle abdominale, peu solide, se laisse distendre passivement sous la
pression
du contenu solide et gazeux des intestins. La her
formation des varices chez la femme enceinte s'explique par la com-
pression
des troncs veineux iliaques. Personne n'a jamais
chera l'emphysème pulmonaire de faire de nouveaux progrès, et l'op-
pression
s'en trouvera beaucoup soulagée, en vertu du prin
vis de pertes considérables. La vésicule biliaire est sensible à la
pression
et même douloureuse. La délimitation du niveau in
ovaires sont très sensibles. L'utérus est gros, très sensible il la
pression
. Le traitement commence le Il juin 1898, à la d
frontales, des épaules, bras, genoux. - Douleurs plantaires. - Op-
pression
et palpitations nocturnes. Mlle J..., religieus
Partie moyenne D 41 G 41 z Les genoux ne sont pas douloureux à la
pression
. La pression profonde est surtout douloureuse d
e D 41 G 41 z Les genoux ne sont pas douloureux à la pression. La
pression
profonde est surtout douloureuse dans le bras gau
son niveau, fait des plis à la surface ; les muscles sont mous à la
pression
. Aux éminences hypothénar, l'atrophie musculair
ssible à droite ; à gauche se faisant jusqu'à l'hori- zontale. La
pression
des deux mains est absolument rudimentaire. L'a
schares multiples se produisant en tout point du corps exposé à une
pression
un peu prolongée (1). Observation VI. Atrophi
uante. Trois semaines plus tard, la tumeur est encore sensible à la
pression
, ayant la forme d'un épais bourrelet dans l'ais
périphérie, les contours de la moelle sont fortement ondulés ; dé-
pression
assez forte en vallées et en sillons. Sclérose va
est grisâtre, décoloré, granuleux à la surface, avec nombreuses dé-
pressions
de néphrite interstitielle. Orchite tuberculeus
Le deltoïde droit et le deltoïde gauche sont un peu douloureux à la
pression
profonde; il existe quelques craquements dans l
l, il n'a aucun trouble oculaire. Tous ses orga- nes sont sains. La
pression
artérielle aux bras droit et gauche nous a donné
le 2e cas, au contraire, à la suite de dégénération par simple com-
pression
, par exemple d'une ou de plusieurs racines postér
sique. Ici encore, l'oedème est blanc, dur, absolument indolore. La
pression
du doigt n'y détermine un godet qu'à la conditi
uloureuse : dou- leurs spontanées exaspérées par les mouvements, la
pression
, elles avaient débuté au pli de l'aine ; mais l
que des jambes. L'oedème était dur, très résistant, douloureux à la
pression
, rappelant certains éléphantiasis nostras en ce
lors était mou, dépressible au doigt, et nullement doulou- reux. La
pression
aux points d'émergence et sur le trajet des sciat
es jarretières ; mais elle ne garde pas la trace du doigt après une
pression
de courte durée, même énergique. Au toucher, el
l lui soit nécessaire, pour maintenir la tête, d'opposer la moindre
pression
, et de faire un léger effort. (1) Féré, Revue
x dernières phalanges. Pas de douleur spontanée ni provoquée par la
pression
, mais sensation permanente de froid sans phé- n
e dorsale de la main est le siège d'un gonflement considérable ; la
pression
légère produit une zone de pâleur blanchâtre qu
uit une zone de pâleur blanchâtre qui disparaît rapidement, mais la
pression
forte imprime aux téguments un véritable godet pe
sont t aussi froids qu'à gauche, mais la cyanose est moindre ; une
pression
forte creusesur la peau oedémateuseun godet pro
re, cyphose cervico-dorsale à grande cour- bure, sans douleurs à la
pression
, sans déviation angulaire, accompagnée d'une sc
passé les observations suivantes, faites par lui sur l'effet de la
pression
partielle sur les fonctions du cerveau : « Al
ng and coma.» L'os frontal a été considérablement grossi et faisait
pression
, a on both of the anterior lobes of the brain » e
es os pariétaux étaient épaissis jusqu'à 1/3 pouce et faisaient une
pression
: « on the anterior lobes on the brain, both an
uite d'une tumeur, qui commençait à l'hypophysis cerebri et faisait
pression
sur les lobi frontales. A. Gianelli (7) enfin v
es centres de perception de Flechsig, et simultanément avec ces im-
pressions
ou perceptions commence l'activité psychique; par
a véritable machine motrice, mais une machine motrice toujours sous
pression
, toujours apte à fonctionner. Le faisceau pyramid
a substance grise médullaire est une véritable machine motrice sous
pression
, l'autre que le faisceau pyramidal joue le rôle
moteurs médullaires sont comme « une machine motrice toujours sous
pression
, toujours apte à fonctionner.» La comparaison n'e
, du moment que le cerveau ne pouvait plus inhiber, la machine sous
pression
se mettait à marcher exagérément d'elle-même. M
l'index n'a pas de douleurs spontanées, il n'est douloureux qu'à la
pression
; le pouce est indolent. Pouce. L'épiderme sous
nt il continue de croître. Cette lésion qui n'est douloureuse qu'à la
pression
date de trois mois. Médius. - Le doigt est tu
d'une douleur au niveau de l'insertion brachiale du deltoïde. La
pression
sur les interlignes articulaires de la main, sur
ure ; si l'on exerce, sur la partie inférieure des deux jambes, une
pression
légère il l'aide du doigt et qu'on la cesse brus-
s profonds ; sa consistance est dure, surtout en bas ; toutefois la
pression
y détermine par places un godet toujours' peu mar
plaint aussi d'une sensation de froid fréquente dans ce membre. La
pression
ne détermine pas de doulenr, sauf en bas et en av
icale. L'oedème, quoique dur, se laisse déprimer en un godet par la
pression
du doigt ; ce godet ne peut être obtenu en tous
propre du trophoedème chronique est moins l'absence du godet il la
pression
que la difficulté de sa produc- tion, son incon
n oedème dur, le pied était le siège d'un oedème mou. Le godet à la
pression
s'observait - il chez notre homme il y a quarante
que les premiers malades n'ont pas même le temps de préparer l'ex-
pression
symbolique du délire dans l'habillement, tandis q
nographie. La tête reproduite (PI. XV, B) est remarquable par l'éx-
pression
de tristesse de la partie inf3rieure de la figure
bords des fontanelles s'opposent énergiquement à l'hypothèse d'une
pression
intracraniale trop forte. 96 HU LT.ItANT2 c
ins. Au niveau des 4e et 5e vertèbres dorsales, la percussion et la
pression
éveillent une douleur ; il existe, en ce point, u
nt géné- ralisée, avec peau ichtyosique, rouge à tous les points de
pression
, grosse hydrocèle double. Coeur et viscères d'a
ND ET ALQ1TIER membres inférieurs, avec douleurs spontanées et à la
pression
au niveau de la 3e dorsale. L'excision des 2e,
lement bilatéraux. Ici l'unilatéralité des symptômes explique l'ex-
pression
: syndrome de l'hémi-queue de cheval. En anatom
nerfs crâniens. Le ventre est toujours gonflé et très sensible à la
pression
. La diarrhée et la fièvre persistent. La fièvre
ique très légère, des masses musculaires et des troncs nerveux à la
pression
. Un dernier fait d'une certaine importance sera
ut dire que le malade a, pour les traduire, une gamme infinie d'ex-
pressions
mimiques ou graphiques. Il est intéressant de s
és, très chauds au toucher, dou- loureux, et si sensibles que toute
pression
sur ce membre inférieur droit pensait provoquer
es parties paraissaient fermes ; mais en exerçant avec le doigt une
pression
forte et plus prolongée qu'il n'est nécessaire
du toucher, le sens musculaire était correct et la sensibilité à la
pression
était normale si l'on veutbien tenir comptede l
DITAIRE 183 purent être palpées étaient normales ; le maximum de la
pression
du sang dans l'artère brachiale prise en différ
u pied et de la cheville était moindre et pouvait être enfoncé à la
pression
. La rougeur s'était étendue un peu au-dessus du
laire est considérable et paraît égale à droite et à gauche pour la
pression
de la main, pour la flexion de l'avant-bras sur,
on y voit en général à la suite de Gilbert Ballet et Moebius, l'ex-
pression
d'une excitation thyroïdienne. Néanmoins myxoedèm
COLONNE VERTÉBRALE 293 La sensibilité spéciale des testicules à la
pression
est supprimée bien que la sensibilité tactile d
nce des branches de la Va et de la Vlle paire sont indo- lents à la
pression
digitale. ' La peau est sur toute la figure trè
à l'auscultation des sommets pulmonaires et des gros vaisseaux. La
pression
digitale de la trachée réveille une sensibilité n
pas de lordose lombaire dans la station debout. Pas de douleur à la
pression
et à la per- cussion. L'énergie des muscles d
complètement dans les mouvements lents et doux. Pas de douleur à la
pression
soit des masses musculaires soit des troncs ner
soit à signaler. Examens spéciaux : Urines, rien de particulier.
Pression
artérielle humérale droite au Riva-Rocci 158 mill
Même chose pour l'examen du sang. Absence de réaction myasthénique.
Pression
artérielle humérale droite 135 millimètres Hg.
augmentation de l'hémoglobine (105 0/0 à l'hémomètre de Heischl).
Pression
artérielle à l'humérale droite, 90 millimètres Hg
me a-t-il, dans certains cas, association des deux processus : « la
pression
modérée d'une hydrocéphalie méningitique agis-
récissement osseux (Manz) (2). 4° Névrite due à une augmentation de
pression
intracrânienne due à la soudure prématurée (Fri
généraux et des locaux. L'angoisse est allribuable sans doute à la
pression
intracérébrale exagérée et à la privation de la
ssissement épendymaire est général ; c'est un mode de réaction à la
pression
. Les mesures des coupes au planimètre indiquent
n feutrage de grosses cellules. C'est encore une réaction à la com-
pression
, analogue à l'épaississement épendymaire. 2. Le
et les masses grises de la base paraissent avoir peu souffert de la
pression
. Même dans les circonvolutions adjacentes à la
e vastes destructions qui se traduisent par l'hémiplégie et la sup-
pression
plus ou moins complète de la sensibilité. Enfin l
extérieurement; mais outre les signes macros- copiques usuels de la
pression
exagérée, l'aspect particulièrement bombé du ge
corps calleux à l'autopsie, il s'en déversa un jet de liquide sous
pression
, mais cette stase n'était certaine- ment pas de
e était couverte de masses organisées. La réaction épendymaire à la
pression
se manifeste par la production de pinceaux névr
tie re- poussé, mais aussi en partie « mangé » par le néoplasme. La
pression
a at- teint un degré moindre que par exemple da
ient penser à une tumeur. Le manque de phénomènes 368 R. WEBER de
pression
cérébrale tels que ralentissement du pouls, vomis
netteté des phénomènes cliniques. Malgré le peu d'exagération de la
pression
, l'hémisphère où siège la gomme est altéré dans
facilement démontrable. La grande difficulté est évidemment que la
pression
cérébrale exagérée peut, à elle seule et en peu
de celles décrites plus haut : ces dernières sont le résultat d'une
pression
chronique. Il est donc, pour le moment, impossi
édifice moléculaire ne se produisent pas spontanément, mais sous la
pression
des excitations thermiques, chimiques, mécaniqu
- tion de bourses séreuses nouvelles dont l'effet est d'amortir des
pressions
inaccoutumées (port de sabois), l'apparition de
elle qui est armée contre les excitations faibles, succombe sous la
pression
de poussées plus fortes ou plus souvent répétées.
es cas de tumeur de l'hypophyse et elle est déterminée alors par la
pression
de la masse de la tumeur sur les fissures orbital
nt tout à fait atténués : voilà pourquoi nous ne trou- vâmes qu'une
pression
peu augmentée. L'examen histologique nous donna
'oedème anémique. Dans ces conditions, l'épiderme cède parfois à la
pression
intradermique, d'où la production des bulles. Si
en outre de raideurs, contractions, constrictions, soubresauts, de
pressions
dans un étau de bois, de marbre, de coton, sens
ment. La face interne de la cuisse garde longtemps une sensation de
pression
, comme par un corps étranger appliqué contre el
viendrons plus loin à propos du diagnostic, l'absence de douleur à la
pression
des os, d'altérations des extrémités, de contra
adultes : dou- leurs osseuses multiples, surtout provoquées par la
pression
sur les os et ren- dant la marche difficile ou
qu'il y eut des barbiers pour mettre, excusez la vulgarité de l'ex-
pression
, la main à la pâte. Un médecin consentait à disse
e trouvera son guide dans l'art, où sont déjà mis en relief les ex-
pressions
les plus caractéristiques. (i) Pinacothèque de
axi- mum de compression et d'atrophie des tissus correspondant à la
pression
exer- cée par la tumeur s'est sans doute trouvé
2). Comme il y avait communication large entre ces deux parties, la
pression
a dû nécessairement être la même partout et l'i
rescence, dégénérescence activée sans doute par l'exagération de la
pression
intracrânienne. Résumé. Grande tumeur partant d
se 'trouvaient dans un état plus ou moins pathologique par suite de
pression
exagérée. Nous comprenons le caractère menaçant
des corps amylacés. Nous estimons que ce sont là des effets de com-
pression
et de destruction. Quelquefois les espaces périva
ance cérébrale de faire place (p. ex. c. de la Pl. XXV soumis à une
pression
directe de haut en bas et à une autre de dedans e
ta que les 3e et 5e vertèbres lombaires étaient dou- loureuses à la
pression
; marche spastique parétique ; légère ataxie ; ré
du noyau et des fibres. D'autres sont sans doute des effets de com-
pression
à courte distance, comme par exemple l'ébauche d'
s puissants (Obs.4 et ).C'est par le moyen des ventri- cules que la
pression
exagérée se distribue sur tout le cerveau. A ce p
ent finir par obstruer la circulation ventriculaire (Obs. 2). 3° La
pression
intracérébrale, si on peut la mesurer d'après les
ssivement l'intensité. 4° Sous l'influence d'une augmentation de la
pression
intracrânienne, les circonvolutions se rapproch
atives (lobe frontal). A mesure que la corne frontale se dilate, la
pression
à supporter par les tissus restant la même par
e, vomissements. 17 novembre. Ponction lombaire, liquide sous forte
pression
, cytodiagnos- tic négatif, somnolence invincibl
a portion tuméfiée du membre est pâle; la peau est un peu ridée. La
pression
du doigt ne laisse pas le godet. La température l
ilité cutanée n'a jamais montré de troubles de cette fonction. La
pression
sur les apophyses vertébrales n'était pas doulour
aires, de tous les extenseurs de la main. Ensuite, nous faisons les
pressions
superficielles, que nous ne tardons pas de rempla
ssions superficielles, que nous ne tardons pas de remplacer par les
pressions
profondes, circulaires, unidigitales ou multidigi
essions profondes, circulaires, unidigitales ou multidigitales. Les
pressions
sont suivies par les percussions, le tapotement e
e de l'index ; les manoeuvres, utilisées pour leur massage, sont la
pression
circulaire et profonde et la percussion légère. N
premier et du cinquième doigts, nous faisons les effleurages et les
pressions
avec la face palmaire des deux pouces ; cette d
on dynamométrique donne à la main droite 20, puis 18 à une deuxième
pression
, à la main gauche 22 puis 15. L'épuisement semble
augmen- tation dans cette filtration causée par une augmentation de
pression
dans les capillaires du sang du fait de la [sta
on de la lymphe indépendamment de toute aclion vasomotrice ou de la
pression
capillaire. Cela le conduit à songer que la pro
tient une vasodilatation active associée à une aug- mentation de la
pression
qui est la conséquence d'une diminution des rés
d'atropine à l'animal et il a vu que les vaisseaux se dilatent, la
pression
du sang augmente, mais la quantité de la lymphe
pendance de la sécrétion de la lymphe de la vasodilatation et de la
pression
du sang ; tandis qu'elle nous prouve que dans l
de l'augmentation de la stase capillaire et de la diminution de la
pression
artérielle. Nous désirons seulement remarquer q
ent inac- ceptables les théories de Borner (98) (augmentation de la
pression
dans les gros vaisseaux), et d'Unna (99) (augme
roite, de la faiblesse à gauche. L'on trouve un peu de douleur à la
pression
à la nuque et sur la partie supérieure des trap
is des déformations du thorax consécutives pour Sachs et Gross à la
pression
de l'omoplate non retenue par l'arceau claviculai
es. C'est ainsi que Murait (1) met les hémorragies sur le compte de
pressions
anor- males exercées durant l'accouchement. Ver
omme conséquence de cette courbure, il se produit des phénomènes de
pression
, pouvant aboutir à la rupture ; celle-ci suffit p
btenir de fixation complète du cerveau. Le liquide, même sous forte
pression
ne pénètre pas, ou pénètre trop peu dans les espa
De même, Mübius a observé chez un de ses malades des douleurs à la
pression
dans les masses musculaires. Dans une observati
le (tactile, à la douleur), thermique, pro- fonde (vibratoire, à la
pression
et sens musculaire) est normale sur tout le cor
l'inspection, à la palpation, qu'elle soit par- tout indolente à la
pression
localisée. Car nous devons savoir qu'une ar- th
énopathie, d'atrophie musculaire, et surtout une douleur fixe, à la
pression
localisée, sur une extrémité osseuse, sur un cu
uleurs spontanées « dans les os » et en effet au pre- mier abord la
pression
sur le pied paraît mal supportée. Mais un examen
peu circonstancié démontre qu'il n'en est rien. Elle se plaint de la
pression
localisée en des endroits dépourvus de toute fi
externe du pied, à un autre sur le bas du tibia, et cette fois, de
pression
en pression, on remonta le long de la face intern
pied, à un autre sur le bas du tibia, et cette fois, de pression en
pression
, on remonta le long de la face interne de la jamb
ce soit probant. De même, pour un léger degré d'hyperesthésie à la
pression
sur la région ovarienne droite. Le père est m
le talon. Ce fut alors la variabilité des points doulou- reux à la
pression
qui, jointe à l'absence de tout signe appréciable
lantes que norma- lement, et au niveau des 3', 4e, 5a vertèbres, la
pression
forte réveille de la douleur. L'examen du phary
'hyperesthésie très marqués au ni- veau de la région occipitale. La
pression
des testicules est particulièrement douloureuse
r les masses latérales à un point bien précis, très douloureux à la
pression
. Chez nos malades, rien de semblable. Etait-c
eau du quadriceps, au- cun ganglion dans l'aine, aucune douleur par
pression
au niveau de la hanche, du triangle de Scarpa,
de la fesse ; aucune douleur ron plns n'est éveillée à distance par
pression
des condyles fémoraux. Il n'existe pas de modif
de la tête, la région ovarienne est particulièrement sensible à la
pression
. Le diagnostic de scoliose névropathique est po
nombreuses observations mentionnent des douleurs spontanées ou à la
pression
sur la colonne vertébrale, ou bien, comme dans no
les plutôt que profondes et osseuses. Chez un malade de Raymond une
pression
forte et prolongée sur un point douloureux vertéb
ambes à quelques centimètres seulement au-dessus du plan du lit. La
pression
forte au niveau des os, fémur et tibia, provoque,
la plante du pied droit; par contre, quelques régions où la simple
pression
réveille dé grandes douleurs. La sen- 466 BROCA
éphalo-rachidien, clair, eau de roche, coulant goutte à goutte sans
pression
exagérée. Son examen histologique et bactériolo
ans le genou, de toute atro- phie musculaire, de toute douleur à la
pression
. Au milieu de l'interro- 470 BROCA ET HERBINET
lantation. Ces os courts, mais aux reliefs accentués, donnent l'im-
pression
d'os athlétiques regardés dans un miroir cylindri
i de l'épiphyse, comme si, au cours du développement-, par suite de
pressions
anormales, de contractions musculaires, on plus
odelage méca- nique des os et d'après lequel, chaque fois qu'il y a
pression
en un point d'une diaphyse, les ostéoblastes so
aux arrêts de développement tératologiques ou mécaniques, par com-
pression
intra-utérine (oligoamnios, enroulement du cordon
nt des os et subit les déformations aux points où il sup- porte les
pressions
. C'est donc ordinairement une propulsion du sacru
e complètement et qui peut par : . des ad- hérences ou bien par des
pressions
abnormes, modifier ou bien empêcher le développ
êt de développement, déviations, inflexions selon l'intensité de la
pression
, et particulièrement suivant la durée du manque d
entent tous les caractères d'une atrophie de la peau résultant d'un
pression
exercée du dehors en dedans. Il ne faut pas oub
psie du nommé César L... Dès l'ouverture du crâne, les signes d'une
pression
exagérée apparu- rent si évidents qué l'on se m
ait résulté une dilatation ventriculaire avec tous les signes d'une
pression
exagérée. C'est sans doute de cette observation q
s'obstruer de masses purulentes et dès ce moment les phénomènes de
pression
cérébrale jouè- rent un rôle prédominant. C'est
de pression cérébrale jouè- rent un rôle prédominant. C'est à cette
pression
que sont attribuables la dilatation ventriculai
cérébro-rachidienne ne se fait pas dans un tube rigide et fermé. La
pression
hydraulique intense et généra- lisée, avec tout
s dans le sinus droit et les veines de Galien par suite de la forte
pression
exercée des deux côtés sur la tente du cervelet
nt également cette hypothèse. Enfin il est encore probable que la
pression
intraventriculaire aura mis obstacle au dévelop
omparaison de nos coupes avec celles de tumeurs céré- brales que la
pression
à elle seule ne conduit pas à un état moniliforme
l'obstruction de l'aqueduc de Sylvius qu'a pu naître chez L... une
pression
intracrànienne exagérée, produisant des phé- no
la stase du liquide céphalo-rachidien et non pas du sang que cette
pression
exagérée se transmet partout. - Bibliographie.
ue, le sujet fait parvenir l'aiguille à l'extrémité de l'échelle de
pression
, sans difficulté, des deux mains ; à l'échelle
es dont il est le siège. Sous l'effort du choc, sous l'effort de la
pression
, l'inflammation se transmet du foetus à l'annexe,
ous restait à savoir quelle cause nous devions attribuer cette com-
pression
cervicale ; la lymphocylose du liquide céphalo-ra
t endroit est très diminuée, elle est mollasse et cède à la moindre
pression
du doigt. Enfin, nous venons de pratiquer des cou
leur faiblit ; ver- 38 ROTSTADT tèbres lombaires sans douleur. La
pression
du thorax sur les côtes et sur le devant, surto
rovoque aussi des douleurs aux en- droits mentionnés plus haut ; la
pression
des côtes 6 et 7 à droite, paraît la plus doulo
s vif.Poids 981ciI.Ecoulement du liquide céphalo-rachidien à faible
pression
: quantité d'albumine dans le liquide considérabl
les endroits indiqués plus haut. Le malade supporte saus douleur la
pression
exercée sur la tête et les épaules ; par contre
leur la pression exercée sur la tête et les épaules ; par contre la
pression
sur la 12e vertèbre dorsale, ainsi que sur les
le changement de position d'un côté sur l'autre, ainsi que dans la
pression
de la partie basse du sternum et de l'apophyse
e du sens musculaire pour les mouvements des orteils et des pieds ;
pression
des vertè- bres lombaires également douloureuse
s intra-médullaire; ils peuvent en effet être parfois causés par la
pression
d'une tumeur extra- médullaire ; par contre, co
férieures dans le sens ascendant, à mesure de l'accroissement de la
pression
par la tumeur méningée, confirme l'opinion déjà
telle violence qu'elles attiraient toute l'attention du malade. La
pression
sur ces endroits provoquait une douleur encore pl
'Pouls : régulier, bien frappé, battant à 84 par minute en moyenne.
Pression
artérielle 12 maxima au Puchon et 9 minima. P
torsion est très accentué et délimité en haut par la crête de l'im-
pression
deltoïdienne et en bas par une crête très proémin
yllabes, qui sont prononcées d'une voix aphone. Pouls rythmique, de
pression
normale : -la température est comme dans les jo
s. Etat du 2 juin. - On pratique la deuxième ponction lombaire ; la
pression
du liquide obtenu au moyen de l'instrument de Q
imètres de liquide cérébro-spinal, on constate 180 mil- limètres de
pression
. A l'examen cytologique, chimique et bactériologi
inaux, négatif. Avec la ponclion lombaire on a extrait un liquide à
pression
fortement augmentée, avec un contenu d'albumine
es, pouls rare, tous symptômes en relation avec une augmentation de
pression
endo-crànienne, due à l'éventuelle existence d'
ères chimiques du liquide cérébro-spinal évacué avec une si notable
pression
, ne pouvaient s'adapter à cette conception, aus
est moins frappé que les autres, avec une élévation relative de la
pression
endoventriculaire il ne pouvait y avoir de dout
me en certains cas d'hydrocé- phal ie on arrive à des élévations de
pression
considérables. Le liquide a un aspect clair, in
urs de la première, permit de constater la diminution notable de la
pression
intrarachidienne et le retour à l'état normal d
lioration de l'état subjectif et des phénomènes objectifs, dus à la
pression
, s'observent dans des cas nombreux. Peu d'autre
es déposaient pour ce siège. Alors on comprend comment, bien que la
pression
intrarachidienne fut notablement diminuée après
hy- diopalhique, une tête énormément grande, sans sensibilité à la
pression
des sutures, on est autorisé à penser la réacut
la moelle ou est- elle produite par la stase et augmentation de la
pression
du liquide céré- bro-spinal dans la région lomb
ue ces modifications dans les faisceaux ne dépend pas du tout de la
pression
ou de la destruction produite par la tumeur sur
la tumeur ; les autres auteurs les attribuent aux changements de la
pression
du liquide céphalorachidien. Nous som- mes port
uide cé- phalo-rachidien augmenté de volume et présentant une forte
pression
. En faveur de la supposition du rôle de l'augme
ession. En faveur de la supposition du rôle de l'augmentation de la
pression
dans la production des lésions de la moelle dor
dans cet endroit présentent un moment favorable pour l'action de la
pression
augmentée. Le même auteur en notant la fréquente
e sont dues, d'après Hoche, à la même cause, à l'augmentation de la
pression
du liquide cérébro-spinal. Le mécanisme par leq
la pression du liquide cérébro-spinal. Le mécanisme par lequel la
pression
augmentée produit dans la moelle dorsale les mo
subissant LES MODIFICATIONS DANS LA MOELLE ÉPINIÈRE 255 une forte
pression
, le liquide cérébro-spinal présente un obstacle,
orsale. Cette stase veineuse et lymphatique et l'augmentation de la
pression
intramédullaire, qui s'ensuit, nous paraissent
bres nerveuses : oedème et même dégénération, si elles ont subi une
pression
prolongée. On peut croire avec Batten et Collie
dans la moelle dorsale sont dues non seulement à l'intensité de la
pression
intra- médullaire, mais aussi et dans une large
isées autour des pla- ques, qui sont complètement indolentes, et la
pression
à leur niveau n'est nul- lement douloureuse.
Le thorax présente une légère cyphose dorsale, pas de douleur à la
pression
du rachis. L'examen du système nerveux donne
oint de départ au vitiligo, jouant à son égard le même rôle que les
pressions
répétées ou des lésions traumatiques banales. E
de l'abdomen et pas de tumeurs dans le bassin qui puisse causer une
pression
anormale sur les vaisseaux sanguins ; pas de ga
=Toute douleur a disparu ; le nerf n'est plus du tout sensible à la
pression
. Actuellement, M. V... est en excellente santé.
e avec élancements douloureux sur le front et les yeux ; la moindre
pression
exercée sur le crsne ou la moindre commotion im
e dessinent cependant à la partie antéro-interne de ce muscle. La
pression
d'un objet de petit volume se fait à peu près éga
che. En réalité, il y a une très légère diminution de la force à la
pression
de la main droite et de la force de résistance
orps résistant déjà éprouvée au niveau de l'écorce ; en faisant une
pression
un peu plus forte, on énuclée de la couche opti
volume d'une noisette ne présente pas la sensibilité spéciale à la
pression
, on ne sent pas l'épididyme séparé du testicule.
bès rachitique, n'est-il 1 pas une condition nécessaire pour que la
pression
intracrânienne puisse déterminer son empreinte
du côté des nerfs, qui n'étaient pas hypertrophiés ni douloureux la
pression
. Locomotion . En observant le malade debout, on
lus la disposition normale des éléments composants. Grâce à la com-
pression
générale bien marquée de tout le protoplasme et à
, en même temps les membranes perdent leur capacité de produire une
pression
sur elle dans les espaces périvasculaires. L'es-
f central sphéno-basilaire : il est aussi absolu et dû à ce que, la
pression
du cet veau étant exagérée par l'enfoncement da
tout naturellement sous l'influence du poids du cer- veau et de la
pression
intracrânienne ; elle se l'ait aisément sur un cr
ur, si ce n'est un certain degré de tachycardie (96 pulsations). La
pression
sanguine prise au Riva-Rocci est dans les chiff
ponction (111°-IVe vertèbres lombaires). Le liquide est sous petite
pression
, jaunâtre, faiblement opalescent. Réaction Nouue-
pation. 1 A la ponction lombaire, on extrait un liquide cilrin sous
pression
diminuée. La réaction des globulines avec le su
g.... On ne constate nulle déformation de la colonne vertébrale, la
pression
de la l'a et de la 11e vertèbres lombaires est do
ngienne, il y a une plaque rouge non ulcérée tenant sans doute à la
pression
des couvertures. Légère eschare au talon droit,
n irrégulière ou trop forte de l'alcool, durcisse- ment irrégulier,
pression
avec le couvre-objet) peut rompre en un point c
axes de trois à vingt se comprimant, s'étouffant, se détruisant par
pression
réciproque. Altération indépendante en tous ces
ouleur n'ap- paraît qu'après sa formation et sous l'influence de la
pression
ou du frottement des vêtements, ce qui les dist
ière et de bas en haut; on exerce alors dans la région indiquée une
pression
rapide et élastique sur la paroi abdominale qu'
enfant assez bien développé; coloration un peu pâle du visage, ex-
pression
stupide; c'est un gaucher. Asymétrie somatique :
e dans l'ensemble des phéno- mènes de l'aura hystérique, et dont la
pression
a pour effet, soit de déterminer l'attaque conv
s zones hypnogènes sont des régions circonscrites du corps, dont la
pression
a pour effet soit de provoquer instantanément l
notisés. La principale zone hypnogène connue est le vertex, dont la
pression
fait passer l'hystérique de l'état de léthargie
la compression de ces zones produit l'effet spécifique, une com-
pression
en dehors des zones ne donne lieu qu'à une douleu
ubdivisent eu trois groupes : les zones hypnogènes simples, dont la
pression
pratiquée sur des suJEts à l'état de veille dét
u sommeil hypnotique; zones hypnogènes à effets successifs, dont la
pression
donne lieu successivement à des phases de plus
n plus énergique; les zones hypnogènes à effets incomplets, dont la
pression
ne produit pas le sommeil chez le sujet éveillé
rogènes et hypnogènes coïncident quelquefois, de telle sorte qu'une
pression
légère produitle sommeil hypnotique, et une exc
ie, l'attaque produit une léthargie plus profonde, dans laquelle la
pression
de l'ovaire, des zones hystérogènes ne produit
me c'est le cas avec un couple de danseurs, et il n'y aura point de
pression
exercée par l'un sur l'autre. En cas de désacco
e de plusieurs moments. 1) Le lecteur ne sent pas de choc, mais une
pression
continue ou une « indication de volonté)), parc
coups ; si la direction de notre marche est contraire à celle de la
pression
aérienne, nous ré- sistons au vent sans chocs,
, AVEC DÉDOUBLEMENT DE LA PERSONNALITÉ. ARRET DE L'ATTAQUE PAR LA
PRESSION
DES TENDONS ; Par le Dr Jules VOISIN, médecin d
de la grande attaque; zone hysté- rogène. Arrêt de la crise par la
pression
des tendons. Catalepsie, sommation, aphasie pro
disparu. Mais la zone sous-axillaire d'hyper- esthésie subsiste. La
pression
légère, à ce niveau, arrache des cris au malade
te. La pression légère, à ce niveau, arrache des cris au malade; la
pression
forte détermine la crise d'hysléro-épi- lepsie.
rs suivies d'une crise. On interrompt l'atta- que convulsive par la
pression
du globe de l'oeil, et le malade reste alors hy
gauche a disparu. Mais il reste là une zone liysté- rogène dont la
pression
provoque la crise. Dans la recherche da l'aphas
i, on avait inutilement cherché à arrêter les attaques, soit par la
pression
du testicule, soit par la pression des fosses i
rrêter les attaques, soit par la pression du testicule, soit par la
pression
des fosses iliaques ou de la zone d'hyperesthés
esthésie, soit par tout autre moyen. On constate aujourd'hui que la
pression
d'un ten- don (tendon d'Achille, tendon rotulie
faible sur ses jambes et se dandine en voulant se tenir debout. La
pression
dynamométrique de la main droite est plus faible
particulière que nous avons décrite. L'arrêt de l'attaque par la
pression
d'un tendon, tous les autres procédés d'inhibit
maintenant le malade sur le lit que nous nous sommes aperçus que la
pression
du tendon rotulien provoquait l'arrêt de l'atta
sion du tendon d'Achille et nous arrivâmes au même résultat. Cette
pression
s'effectuait en comprimant fortement le tendon
en comprimant fortement le tendon entre les doigts et le pouce. Une
pression
légère ou une percussion à l'aide d'un petit ma
it aux phénomènes que l'on observe quand on augmente brusquement la
pression
encéphalique. Les attaques apoplectiformes témo
ormes témoignent d'une augmentation générale et temporaire de cette
pression
, tandis que lesattaques épileptiformes indiquen
res cas, ce sera une congestion cérébrale active qui, en élevant la
pression
artérielle, engendrera de l'apoplexie avec conv
ons générales, parce que le liquide céphalo-rachidien chassé par la
pression
sanguine, ne refluant pas assez vite (lésions d
nairement epaissisjà l'intérieur ont, pendant ! la vie, exercé une.
pression
qui permet de comprendre, l'état mental.. A la tu
développé, la colonne vertébrale ne présentant pas de douleur à la
pression
. A la partie supérieure des deux poumons, la re
nécropsies démontrent qu'il s'agit tantôt d'une myélite par com-
pression
, tantôt d'une myélite transverse, syphilitique
re. Cette région est le siège d'une voussure' très douloureuse à la
pression
; le foie est gros et déborde les fausses côtes
ajoutions les suggestions verbales ou bien nous avions recours à la
pression
des globes oculaires, mais avec moins de succès
- La malade étant revenue en léthargie par l'occlusion des yeux, la
pression
sur le vertex détermine le sonmambulisme, les y
s classiques qui nous ont toujours réussi; le dédoublement par la
pression
du globe oculaire des hallucinations provoquées,
roit. Chacune de ces tumeurs a déterminé au-dessus d'elle une dé-
pression
de la surface inférieure du cervelet, en avant un
- pression de la surface inférieure du cervelet, en avant une dé-
pression
du bord postérieur du pont de Varole, et en dedan
attaques apoplectiformes dérivent d'oscillations fréquentes dans la
pression
intra-céré- brale du fait de la maladie elle-mê
émiplégie faciale gauche. La zone hystérogène, le testicule dont la
pression
arrête l'attaque convulsive, ont éga- lement ch
le sait, de montrer, par de nombreuses expériences, qu'une légère
pression
sur la région médiane du vertex a une action réfl
e action réflexe simultanée sur les deux hémisphères, tandis que la
pression
uni- latérale n'a qu'une action réflexe unilaté
réflexe unilatérale croisée, sur l'hémi- sphère du côté opposé à la
pression
. BIBLIOGRAPHIE. 459 Braid avait déjà constaté
vecdedoubie- ment de la personnalité et arrêt de l'attaque par la
pression
des tendons), par J. Voisin, 212, 4.5 ! ) ; -
issent on peut diminuer et même arrêter leur ecou- Il-ment pal' une
pression
sur la partie supérieure du front, on peut même
s doigts des mains sont en flexion et que la main droite exerce une
pression
particulièrement vive sur sa poitrine ; il accu
e double ; signe de Lasègue très net des deux côtés, dou- leur à la
pression
le long du trajet du sciatique (tout le long delà
yphose des dernières ver- 96 CLINIQUE NERVEUSE. tèbres lombaires,
pression
douloureuse au niveau du sa- crum ou des vertèb
physe sacro-ilaque droite une tuméfaction paraissant élastique à la
pression
; la compression bilatérale du bas- sin provoqu
n bilatérale du bas- sin provoquait de la douleur, en ce point ; la
pression
externe sur le sacrum n'était pas douloureuse,
t à la symphyse sacro-ilia- que droite étaient très douloureux à la
pression
. Dans le 2e cas, la partie supérieure de la sym
eure de la symphyse sacro-iliaque était légèrement douloureuse à la
pression
, ainsi que la pression bilatérale du bassin. \
-iliaque était légèrement douloureuse à la pression, ainsi que la
pression
bilatérale du bassin. \ Dans notre cas, le sacr
umet les parties environnantes n'offraient rien à l'inspection ; la
pression
n'était pas douloureuse en aucun point ; l'auto
les préfets soient invités à réclamer des conseils généraux l'im-
pression
des rapports annuels des directeurs et médecins e
umine et une lymphocytose extrême- ment forte. L'augmentation de la
pression
du liquide a éLé ren- contrée 12 fois qui se dé
termine (le il une faible anémie préalable passagère. Elle élève la
pression
gé- nérale du sang. Par la voie gastrique, elle
on l'intro- duit dans le sang ; mais, en revanche, son effet sur la
pression
sanguine dure plus longtemps. P.IE2AVaL. r
papille étranglée provient d'après OENGER de l'augmenta- tion de la
pression
intra-cranienne. En effet, elle manque sou- ven
s voies sanguines et lymphatiques d'écoulement. L'é- lévation de la
pression
cérébrale joue le rôle principal dans la genèse
rales inopérables. La ponction lombaire montre l'augmentation de la
pression
du liquide cérébro-spinal en pareils cas, et pe
peut-elle manquer ou rétrocéder spontanément' ! Le plus souvent la
pression
, une prolifération cellulaire, un rétrécissement
ssipée dans le sinus caver- neux. AoAMKtEwicz. 1. Il n'y a pas de
pression
cérébrale parce que quand le liquide céphalo-ra
and le liquide céphalo-rachidien afflue dans la cavité crânienne sa
pression
n'atteint jamais celle des capillaires sanguins q
par les veines du diploé toujours ouvertes. -2. L'augmentation de
pression
du liquide céphalo-rachidien n'a lieu que lorsqu'
se mêlent des produits de l'inflammation en rapport, eux, avec une
pression
exagérée. La rétrocession de la papille étranglée
entalement la papille étranglée en augmen- tant artificiellement la
pression
à l'intérieur du crâne ; on n'ob- tient jamais
a syringomyélie,clans les traumatismes de la moelle, dans la com-
pression
de la moelle, dans l'hemaiomyelie centrale et l'a
stion à l'état de la veille n'ont eu d'influence évidente : mais la
pression
de certains points du corps (en particulier la
lace, à St-Yon, dans la pratique de Morel et de Brocard. A faible
pression
, et avec quelques légères modifications d'outilla
- ditions sanitaires et des réactions individuelles. Selon l'ex--
pression
de Scoutteten « nulle pratique n'a réclamé un tac
permanents, d'enveloppements humides, de douches à forte ou faible
pression
, de demi-bains, d'affusions, etc. En dehors de
ecourir au bain prolongé (Brierre) ou à la douche tempérée à faible
pression
. j Les crises d'excitation chez les épileptique
id ou graduellement refroidi, de la douche froide à faible ou forte
pression
, des emmaillo- tements humides froids, on pourr
e se prêtent ad- mirablement les bains ou douches en pluie à faible
pression
, et, en particulier, la pratique des bains d'as
es ou chaudes (bains prolongés de 28à 34°, douches tempérées faible
pression
, douche baveuse de Vidal ou bain en pluie). Cha
datifs (bain tiède plus ou moins prolongé, douche tempérée à faible
pression
, bain en pluie). Les épisodes aigus, mélancol
219 règles générales applicables aux états d'excitation ou de dé-
pression
psychiques ; mais c'est ici surtout qu'il faudra,
robinet fut-il ou- vert, à peine les inhalations, activées par des
pressions
sur le ballon, eurent-elles été commencées quel
c des' muscles auriculaires et d'un tic de plissement du front»; la
pression
légère des bretelles déter- mina un tic des épa
3° les muscles intercostaux qui s'opposent par leur tonicité à la
pression
atmosphérique qui tend il déprimer le thorax lors
erfs servant il conduire, les uns, les impressions de contact ou de
pression
, les aulres les impressions de chaud, les trois
s ne subissent pas de décussation connue les nerfs . du tact, de la
pression
, etc. ; qu'ils se rendent, ccux du côté droit,
l'hé- misphère gauche intervient seul dans la perception des im-
pressions
douloureuses, le centre droit n'entrant en jeu qu
ents'au point de vue du diagnostic. L'élude de la densité et, de la
pression
osinolique présente encore un intérêt plus scie
s travaux ont été faits, ne nient pas d'une façon absolue la com-
pression
osseuse directe de la moellc;ils conviennent que
ales ad- jacentes aux méninges suffise à produire, même sans com-
pression
, la myélite. La théorie inflammatoire de Michau
rencontrées comme la conséquence d'une stase lymphatique ; lacom-
pression
qui s'exerce sur les méninges gênerait la circu-
ussi une lésion mécanique directe des fibres nerveuses parla com-
pression
; celles-ci alors offrent une condition encore pl
sion et celui des accidents médullaires, pour le fait qu'une com-
pression
déjà modérée de la périphérie de la moelle peut
ités épidurales sont 'si légères qu'elles ne peuvent exercer aucune
pression
. Pour ces cas, la seule explication possible se
e 1)tellyiiiéiiiiigitc,' et bien que l'arête osseuse ait porté sa
pression
sur un point limité de la moelle, elle a engendré
ace subdu- ral est capable d'élever encore plus l'augmentation de
pression
qui peut déjà exister dans l'espace sous-arach-
ce fait que la compression provoque une altération des rapports de
pression
de la moelle, d'où dilatation passagère des voi
es cas où la compression médullaire est très intense, par la com-
pression
des vaisseaux de la pie-mère ou de la moelle elle
mener une stase dans le système lymphatique de la moelle par com-
pression
des voies lymphatiques et sanguines efférentes.
rier 190.">. On constate alors une cyphose .non douloureuse à la
pression
à la ré- gion dorsale'avec maximum au niveau de
plus d'expliquer l'abolition des réflexes par l'augmentation de la
pression
du liquide cc·1>ltalo-raclti- dien : le sign
entuée au niveau (le,la 11-121" vertèbre dorsale, douloureuse il la
pression
: douleurs spontanées également : pa- ralysie p
parait être à l'origine des phénomènes convulsifs. Une étude sur la
pression
artérielle viendra sous peu appuyer ces faits.
éder à la fois, elle prévoit leur arrivée, elle les sent « qui font
pression
» dans sa tête avant d'éclater. Elle s'efforce de
nt, c'est-à-dire l'enveloppe osseuse, ne cesse de s'adapter à cette
pression
intra-cranienne anormale. D'ail- leurs, sans av
ormation est la preuve de l'adaptation de la boite cra- nienne à la
pression
interne. Nous jugeons inutile d'entrer dans de
te pas la cavité cranienne, mais en même temps il n'exerce aucune
pression
sur l'endocrâne ; aussi le tissu osseux par- fa
nce intersti- tielle des parois craniennes n'est pas limitée par la
pression
intra-cranienne, de là son épaisseur parfois in
OPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 31 avec cette loi que partout où la
pression
est augmentée, l'os tend à s'amincir (et dans l
imum on a, en effet, des parois extrêmement minces) et que là où la
pression
diminue la paroi s'épaissit. < La figure 8 e
PL. 1 et II donnent un exemple frappant de cette modification de la
pression
intracrânienne au niveau de la loge frontale.'
ure des loles frontaux : il en était donc résulté une diminution de
pression
dans la loge anté- rieure et conformément à la
e 8, où l'on voit la coupe de cet os. Dans la microcéphalie où la
pression
est extrêmement faible, puisque la masse entièr
les deux hémisphères se développent également et simultanément, la
pression
sup- portée par l'apophyse crista galli sur ses
se déve- lopper, qu'arrive-t-il ? Le demi-cerveau sain exerce sa
pression
d'une part sur la paroi résistante de la voûte cr
galli. Mais toute cette paroi interne se laisse déprimer parla '
pression
normale de l'hémisphère sain, qui n'est pas contr
ormale de l'hémisphère sain, qui n'est pas contre- balancée par une
pression
en sens contraire. L'hémisphère au cours de sa
nflé en totalité, ce qui n'a rien d'étonnant puisque l'absence de
pression
est générale'. 1, 2° Que les hémiplégiques, déc
enà à la saillie de cette crête osseuse interne. La différence de
pression
a amené également une asymé- tre du corps du sp
lus oblique que celui du côté opposé : il tend à la verticalité. La
pression
plus forte a modifié aisément le corps de l'os
. 37 un aspect normal, tandis que du côté répondant à une moindre
pression
on a un aspect qui serait normal si le sujet ét
sain ; il est parfaitement appréciable à la vue. - En arrière la
pression
cérébrale a produit un véritable renversement d
de cette lui que' nous avons signalée plus haut, que partout où la
pression
diminue la paroi s'épaissit là où elle est augm
tés plus profondes, mais au niveau des sillons qui les séparent, la
pression
est nulle et la prolifération osseuse se faisan
lade. Pourquoi cet aspect ? Parce que, comme nous l'avons dit, la
pression
à ce niveau est moindre. Toutefois, remarquons-
nérale est peu transformée en raison des fai- bles variations de la
pression
interne et de l'épaississement des parois. On p
que le crâne est en rapport non pas avec le cer- veau mais avec la
pression
intra-crânienne », et nous en donnions des exem
é considérable de liquide dont la présence suffisait à maintenir la
pression
intracrànienne. Les ventricules cérébraux (voir
ns les lymphatiques. (Revue neurologique, janvier 1903). E. B. V.
Pression
intraartérielle dans la névrose traumatique; par
de ses recherches, l'auteur con- clue que le degré de hauteur de la
pression
du sang et ses change- ments éventuels n'ont pa
corder Strauss. L'intérêt serait plus grand si nous connaissions la
pression
du sang avant le traumatisme et si nous pouvion
paraissent avoir été la manifestation grave et unique de la com-
pression
des noyaux du pneumogastrique. (Revue neurologiqu
action sur les méninges. Le liquide était très abondant, sous forte
pression
, clair; l'aspect cytologique était normal, la l
se diffuse. Toutes les masses adipeuses sont très douloureuses à la
pression
. Des trou- bles psychiques existent chez la mal
s nerfs périphériques (manque de réflexes patellaires, douleur à la
pression
de certains troncs céré- braux, démarche mal as
'aucune douleur spontanée. Il n'existe pas non plus de douleur à la
pression
, contrairement à ce qui se passait avant le tra
irement à ce qui se passait avant le traitement suivi en France; la
pression
des nerfs, .leur simple effleurement éveillaien
t frôler sa joue; plus fréquemment, elle sent très distinctement la
pression
de lèvres sur ses mains et sur sa bouche. Ce so
.rétablissement de son contrôle, travail encore inachevé dont l'ex-
pression
subliminale arrivait ainsi jusqu'à sa conscience.
s d'une des carotides sauf la carotide interne. On prend ensuite la
pression
du bout central et du bout périphérique de la c
de la carotide à l'aide du kymographe enre- gistreur, de Ludwig. La
pression
du bout périphérique n'est autre que celle des
aisseaux du cercle artériel de Willis; celle du bout central est la
pression
de la partie ascendante de l'aorte. Ces deux pr
entral est la pression de la partie ascendante de l'aorte. Ces deux
pressions
se trouvent inscrites sur le ruban sans fin de l'
1° Pendant la copulation, on observe une élé- vation marquée de la
pression
générale du sang. 2° On observe une hyperémie m
a- tations des vaisseaux du cerveau avec chute et élévation de la
pression
générale du sang, qui dépendent des divers moment
t le maximum d'hyperémie de cet organe. 5° Après la fin du coït, la
pression
du sang générale tombe notablement, l'animal est
e tumeur volumineuse au lobe préfrontal gauche. L'augmen- tation de
pression
céphalorachidienne est-elle capable d'abolir l'
. Les réactions psycho-motrices les plus variées (excitation, dé-
pression
, stupeur) peuvent s'observer dans toutes les form
ues, hygrostatiques, thermostatiques main- tiennent le niveau de la
pression
, de l'hydratation, de la température intérieure
er, qu'elle steppe, son pouls est fréquent, ses réflexes abolis, la
pression
des masses mus- culaires n'était pas douloureus
igoureusement à l'hyperémie corticale : à la suite de l'attaque, la
pression
du sang tombe dans le cerveau, celui-ci est en
à la stase lymphatique et vasculaire; cette stase tenait à la com-
pression
dorsale. Sans compter qu'il y a eu de ce fait (du
résultante de plusieurs actions élémentaires qui, elles, sont l'ex-
pression
de la fonction d'un muscle isolé. Donc, toutes ré
n des meilleurs signes des démences. Dans la paralysie générale, la
pression
du liquide céphalo-rachidien étant accrue, deux
a capa- cité des ventricules latéraux : l'atrophie cérébrale, et la
pression
exagérée du liquide céphalo-rachidien résultant
s plexus choroïdes enflammés. Dans les autres formes de démence, la
pression
du liquide est normale et l'ampliation des vent
n. Résection, régénération autogène, par Durante, 501. Névrose.
Pression
intraartérielle dans la traumatique, par Has-
-gène, c'est-à-dire que quand on y produit un frôlement rapide ou une
pression
unpeuvive,le malade ressent quelques-uns des phén
ance déjà est bien faite pour éveiller l'attention du connaisseur. La
pression
dynamométrique donne pour la main gauche parésiée
être provoquée parfois chez quelques sujets, par les mêmes manœuvres (
pression
des globes oculaires, fixation du regard), qui ch
musculaire qui appartient exclusivement à la léthargie hypnotique. La
pression
sur les muscles, sur les trajets nerveux, ne déte
ution complète, absolue des membres, antérieurement bien entendu à la
pression
exercée sur les muscles ou sur les troncs nerveux
es ; je me borneà signaler pour le moment qu'au niveau des mollets la
pression
exercée sur les muscles est douloureuse, douloure
s d'un mois à peu près complètement confiné au lit. Les douleurs à la
pression
étaient vives, ainsi que les douleurs nocturnes ;
Yaura provoquée elle-même, peut-être au moins en certains cas, par la
pression
des zones hystérogènes déterminée inconsciemment
oup : puis, en dernier lieu une diminution très marquée delà force de
pression
dynamomé-trique. Ainsi tandis qu'un homme vigoure
ques cutanés ou sous-cutanés pouvant survenir comme conséquence de la
pression
exercée sur les parties, et, en particulier, pas
près le début de l'affection, il existe une certaine sensibilité à la
pression
sur le trajet du sciatique (1) entre le trochante
as à 1. On éveille dans le membre paralysé un peu de douleur par la
pression
sur les points suivants : 1° Au niveau de la sort
une douleur affreuse. M. Charcot : Peut être même que là une forte
pression
eût été moins douloureuse que le frôlement ? La
changer de caractère. Lorsque, en dehors des crises, on exerce une
pression
surla région ovarienne droite, la malade ressent
ûlure ou un vésicatoire à vif; mais elles sont exaspérées soit par la
pression
, soit par les moindres mouvements du tronc, et da
rachiclienne d'exercer à l'aide du doigt,avec une certaine force,une
pression
profonde sur les apophyses épineuses', sur les ap
', sur les apophyses transverses, sur les gouttières vertébrales. Une
pression
des plus légères, un simple attouchement, un frôl
de la peau que l'on comprime en suite entre le pouce et l'index. Une
pression
même très légère de ce repli cutané suffît pour p
très légère de ce repli cutané suffît pour produire la douleur ; une
pression
un peu forte la porte au plus haut degré. La pr
douleur ; une pression un peu forte la porte au plus haut degré. La
pression
a encore un autre effet sur lequel il nous faut p
ouïes hystériques, et surtout cette sensation oVaura consécutive à la
pression
, ne sont pas l'expression d'une névrite intercost
ur des régions lombaires et sacrées ; c'est là où la sensibilité à la
pression
est la plus vive ; de chaque côté, à droite et à
es et j'ai montré laque cette aura se manifeste, en conséquence d'une
pression
exercée sur les parties douloureuses. Lorsque l'a
des expirations, sont diminuées. Le pouls devient plus fréquent et la
pression
artérielle paraît plus élevée qu'à l'état normal.
iles. Réflexes auriculaires: l'épreuve binauriculaire réussit par les
pressions
sur la droite, non par pression àgauche. Le diapa
reuve binauriculaire réussit par les pressions sur la droite, non par
pression
àgauche. Le diapason au vertex est perçu comme so
es excitations cutanées sont perçues normalement; pas de douleur à la
pression
. Le sens musculaire est parfaitement conservé ; l
es entières, ne pouvant être modifiées par aucune de ces manœuvres, —
pression
ovarienne ou de divers points hystéro-gènes — qui
es yeux. Je ne voudrais pas omettre de vous parler d'une sensation de
pression
, de constriction pénible que le malade éprouve d'
-elle faire quelque pas sans voir s'exaspérer le sentiment pénible de
pression
qui occupe la région du sacrum — Aucun phénomène
ccentuée au membre supérieur où elle était restée fort incomplète; la
pression
dynamométrique cle la main gauche donne en effet
ie. Fig. 55. — a. Anesthésie. b. Hyperesthésie. b. Hyperesthésie.
pression
exercée sur la partie inférieure des muscles demi
4 mai 1889 et suivants. sera l'effet, par rapport au sommeil, d'une
pression
exercée sur ce point douloureux. Vous n'ignorez p
e compression ovarienne énergique détermine l'arrêt des attaques, une
pression
moins forte peut avoir pour effet au contraire d'
genou Celui-ci est douloureux lorsqu'on le meut ou qu'on y exerce une
pression
profonde et la boiterie qui, aujourd'hui encore,
prolongé des membres droits avec la terre humide en même temps que la
pression
à laquelle ils ont été soumis par l'action du poi
comme les équivalents d'un agent traumatique localement appliqué. La
pression
a été dans ces membres la cause d'un engourdissem
ément et celles qui se manifestent seulement par le contact ou par la
pression
. Les premières, fort accentuées, consistent en
estent également, et d'une façon plus accentuée, lorsqu'on exerce une
pression
un'peu forte sur les masses muscu- 52 laires,
Fig- 80. La peau du scrotum à gauche est très sensible à la moindre
pression
; le testicule correspondant est plus douloureux
errogez en ce moment précis, il vous répond: « Cela monte, j'ai de la
pression
dans l'estomac, je ne puis plus respirer, j'ai ma
vons ici des stigmates très accentués,des points hystérogènes,dont la
pression
détermine la production de l'aura. Ce malade n'au
e que vous m'avez fait l'autre jour... » Un jour je lui ai fait cette
pression
sur l'abdomen dont vous venez de voir l'effet. Il
Le point hystérogène existe toujours,mais il faut exercer sur lui une
pression
beaucoup plus forte pourpro-voquer le phénomène d
onné les résultats suivants (2) : sur quelques mus 1. Main droite :
pression
dynamométrique 15 k. Main gauche : — — — 30 k.
empérature fixe, pendant un certain temps tout au moins. Une vis de
pression
, située à la partie supérieure des cylindres, per
che, une zone ou plaque hystérogène. Le moindre frôlement, la moindre
pression
exercés sur ces plaques font apparaître les prodr
Pas de troubles oculaires. Zone hystérogène. — Lorsqu'on exerce une
pression
un peu énergique au niveau de la partie droite de
Le testicule gauche, sans être complètement insensible, supporte une
pression
beaucoup plus forte que celui du côté droit. Le
73, 274. — Attitudes passionnelles, 275. — Début, 67. — 1 Effet de la
pression
ovarienne,275. — 2 Effet des excitations extéri
, sq., 194. —Douleurs lombaires, 190. — Sensibilité du raclais à la
pression
, 192. — Stigmates, 186, sq., 192. Hystérie. — e
aque,166. — Phénomènes laryngés, 7. — Po-lyopie monoculaire, 166. —
Pression
ovarienne, 275, 276. — Pronostic, 9. — (Rachialgi
t Paralysie faciale, 225. — Pathogénie, 225. Ovarienne (Effet de la
pression
), sur les phénomènes hystériques, 275, 276. Oxy
et hystérie. — Douleurs lombaires, 190. — Sensibilité du rachis à la
pression
, 192.— Stig-. mates, 186, sq., 192. Pott (Mal d
ssez intenses pour em- i CHEVALLIER pêcher le sommeil. La moindre
pression
détermine des douleurs intolérables. Les côtés
gulière : entaillée, et l'ongle proprement se continue avec une dé-
pression
anfractueuse, c'est le lit recouvert d'écailles e
ATOME HYPOPHYSAIRE 17 18 BERTOLOTTI troncs nerveux indolores à la
pression
, aucune parésie aux membres. Les sphincters son
me de Mannkopf. Le pouls a subitement disparu quand on a exercé une
pression
sur le nerf susorbitaire dou- loureux, et est r
ur le nerf susorbitaire dou- loureux, et est reparu aussitôt que la
pression
a cessé. Voici le cas : ' V. H..., 46 ans, co
aiement. Mémoire altérée, amnésie, émo- tivité exagérée. Pendant la
pression
sur le nerf sus-orbitaire le pouls dispa- raît
sus-orbitaire le pouls dispa- raît subitement et revient dès que la
pression
cesse. , J'ai observé ce phénomène dans d'autre
e. Tronc ner- veux de l'extrémité supérieure droite douloureux à la
pression
. Tremblement de l'extrémité supérieure droite,
la position couchée et 102 dans la posi- sition debout. Pendant la
pression
ur la région sacrée ou quand on force le malade
phénomène forme, comme la différence de tempé- rature cutanée ou de
pression
intraartPrielle entre le côté sain et le c4té a
enflement, dont la moitié droite est tuméfiée et fluctuante sous la
pression
digitale. Après durcissement de la pièce par le
he, ils refusent de marcher à cause de la douleur que leur cause la
pression
sur la peau des pieds. Aussi beaucoup gardent-i
xcitations. Mais si elle existe en même temps, alors le contact, la
pression
, la chaleur et les courants électriques augmenten
eur du tronc nerveux se trouve dans la période ascendante, alors la
pression
sur la tumeur même ou sur ses branches augmente
sion sur la tumeur même ou sur ses branches augmente la douleur. La
pression
au-dessus de la tumeur (entre elle et le centre
cependant il perçoit le passage du doigt ou du porte-plume avec une
pression
moyenne. Aux membres supérieurs, t'anesthésie e
dui- sent de la douleur et la marche est fort pénible à cause de la
pression
sur ces endroits. Beaucoup de ces malades s'exp
isissons des doigts les orteils du malade. Alors, n'exerçant que la
pression
juste nécessaire pour nous en rendre maître, no
ancée de la maladie accusent, lorsqu'on pratique l'examen, la seule
pression
de la peau, soit sur les orteils, soit en desso
d il y a altération visible et palpable d'un tronc nerveux, la com-
pression
exercée sur elle et sur un point du nerf lui-même
de dislance, on peut, s'il ne s'abstient pas des frottements et des
pressions
habituelles. voir, après un certain temps, se p
totale du nerf. 170 13ARBAQUER La deuxième conclusion est que les
pressions
, les frottements elles variations thermiques ha
rès nettement perceptibles à la palpation. Tous sont indolores a la
pression
, insensibles et inexcitables au courant électriqu
n- draxe des excitations extérieures, qui explique l'indolence à la
pression
et surtout l'absence complète de contraction mu
, ce signe ait une valeur indi- catrice supérieure à l'élévation de
pression
du liquide qui pour Sicard constituerait un « g
it presque normale. Elle est très peu diminuée. La sensibilité à la
pression
, au diapason, sont légèrement diminuées dans le
hésique, qui peut être réveillée par le souvenir tout seul de l'im-
pression
reçue (Patrizi) (1). L'hystérie' trouve donc sa
so-moteurs, sécrétoires, etc., lesquels ne sont eux-mêmes que l'ex-
pression
d'une réactivité exagérée des centres cénesthésiq
le au niveau des 9e et 10e vertèbres dorsales, du côté gauche, com-
pression
représentée pendant la vie par ses symptômes clas
acine de la cuisse droite. D'autres fois, la malade compare ses im-
pressions
à celles d'une femme enceinte qui perçoit les con
lle au contact, à la piqûre, à la chaleur, de sensibilité profonde (
pression
, sens des attitudes), sauf cependant au niveau
a sen- sibilité superficielle (tact, douleur, chaleur) et profonde (
pression
, sens des attitudes), il n'y a pas de dissociat
trition continue donc et avec elle la croissance; en conséquence la
pression
augmente. Sans doute, les tissus se tassent, ma
nsinuée dans tous les recuins de l'enceinte, puis elle a exercé une
pression
très forte qui aboutit à provoquer une rupture
avec sa haute teneur en adrénaline, agit nettement en augmentant la
pression
sanguine et, par conséquent, pourrait peut-être
e attaque. Admis à l'hôpital, il montre une grande sensibilité à la
pression
de la région temporale droite atteinte et de no
es phénomènes de foyer, le trauma- tisme, la forte sensibilité à la
pression
locale, et un alcoolisme modéré avoué par le ma
vent toutefois être déjà tellement pleins qu'ils exercent une forle
pression
sur les parties environnantes, ainsi la circula
ne se comporte alois comme des méninges épaissies et cause, par une
pression
directe sur l'écorce cérébrale, des troubles de c
rrasser des toxines : l'action du coeur est fortement augmentée, la
pression
sanguine s'élève, la circulation devient donc aus
ange gazeux en est augmenté el, par l'importante augmentation de la
pression
sanguine, la fonction rénale est fortement accé
e osseux, on entaille la dure mère et on arrive ainsi à diminuer la
pression
des membranes cérébrales oedémateuses, épaissies
ênée) par les méninges épaisses et oedémateuses; si l'on diminue la
pression
inlra- cranienne et spécialement l'entassement
es parties plus profondes qui, soit par augmentation générale de la
pression
intraérânienne, soit par des processus locaux d
droite. La peau est moite et en toutes régions liyperestliésiée une
pression
légère au niveau des membres ou du thorax provoqu
ns les mors de l'appareil, la rapidité avec laquelle a été faite la
pression
, tout cela exerce une grande influence sur l'am
a douleur persiste pendant un certain temps,si on n'augmente pas la
pression
. Les piqûres produisent dans la peau des modifica
e complètement disparaître par suite de l'effet analgé- sique de la
pression
. Cependant la première sensation de douleur aura
c les effets des piqûres consécutives. Si avec l'augmentation de la
pression
la douleur au lieu de diminuer augmente, cela p
ppareil il est nécessaire d'appuyer fortement. L'in- tensi té de la
pression
est sans influence sur la force de la douleur. En
momètre à mon appareil je me suis convaincu que des varia- tions de
pression
entre 50 et 600 grammes n'avaient aucune influenc
le la résistance de la peau est trop insignifiante par rapport à la
pression
d'une si petite surface que la pointe d'une ai-
ace que la pointe d'une ai- guille. La peau cède facilement à cette
pression
et la pointe de l'aiguille s'y enfonce libremen
oncer plus profondément dans le tissu il faut augmenter la force de
pression
. D'un autre côté, par suite de la forme conique
e les choses se passent autrement. Ici, avec l'augmenta- tion de la
pression
la peau couverte par la surface du bouton subit é
e par la surface du bouton subit égale- UN ALGÉSIMÈTRE 45 ment la
pression
. Par conséquent, quel que soit le degré de pressi
ÈTRE 45 ment la pression. Par conséquent, quel que soit le degré de
pression
, celle- ci se répartit d'une façon uniforme sur
la pointe de l'aiguille. Outre cela, la pointe, quelle que soit la
pression
de l'instrument, ne s'enfonce pas sensiblement
n millimètre, dans laquelle la peau peut s'enfoncer au moment de la
pression
par suite de la différence de résistance de la
te ouverture, la peau s'y en- fonce à peine, môme à une très grande
pression
. La pression, qui certainement exerce une influ
a peau s'y en- fonce à peine, môme à une très grande pression. La
pression
, qui certainement exerce une influence sur la cir
nement plus considéra- ble dans l'appareil de Bjôrnstrm. Puisque la
pression
est une donnée constante, elle n'empêche pas la
e. L'algésimètre peut donner lieu à deux sensations distinctes : la
pression
et la douleur, qui se manifestent diffé- remmen
i se manifestent diffé- remment dans différentes circonstances : la
pression
peut diminuer la douleur, et la douleur peut fa
er la douleur, et la douleur peut faire disparaître la sensation de
pression
. Dans ces phénomènes la perception physique des
ctile, il n'existe que des différences de quantité; la sensation de
pression
se trouve entre les deux. La sensa- tion tactil
un corps solide devient ^douloureuse si l'attouchement devient une
pression
. C'est pour cela que toutes ces sensations devr
ouleur et les sensations thermiques, tactiles, de l'espace et de la
pression
. - 17' En comparant les résultats obtenus avec
lonne verté- brale, mais surtout dans la région lombaire. Enfin, la
pression
des muscles de la cuisse et notamment du quadri
ai signalés du côté du quadriceps fémoral, me paraissent être l'ex-
pression
d'une hypere : rcitaliilité neuro-musculaire en r
re lombaire et suivre la crête iliaque. Elles sont exagérées par la
pression
. " Les .phénomènes vésicaux, qui ont été d'abor
llet droit, augmentait singulièrement l'intensité de la douleur. La
pression
profonde paraissait plutôt l'atténuer. Dans les
vertébrale révélait l'existence d'une hyperesthésie très vive à la
pression
, avec sensa- tion d'aura. Bref, il s'agissait d
, SUR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 77 Actuellement, la
pression
des muscles des mollets développe chez lui des
alade se plaint d'une douleur sié- geant dans le sein et la moindre
pression
avec les doigts la fait crier. Par- fois, le se
e, toutes les affections douloureuses du sein dans lesquel- les les
pressions
fortes sont moins pénibles que les pressions légè
dans lesquel- les les pressions fortes sont moins pénibles que les
pressions
légères. L'hyperesthésie cutanée est fréquente
ée lors d'une friction légère, superficielle, qu'à l'occasion d'une
pression
large et profonde. Elle est parfois si exquise
de la chemise alors que, dans certains cas, mais non dans tous, la
pression
du corset semble soula- ger les phénomènes doul
ésiques, lesquelles se transforment alors en zones hystérogènes. La
pression
directe, les émotions vives peuvent faire entrer
iers osseux qu'ils font mouvoir, ne manquerait pas d'entraîner. Les
pressions
que subissent les corps charnus musculaires, de
jectives, localisées à la région lombaire et provoquées soit par la
pression
soit par la percussion. Elles s'irradient sous fo
e la sensibilité. Tous les nerfs du côté droit sont douloureux à la
pression
. Le bras droit est un peu plus faible que le ga
t régulièrement arrondies, il n'y restait aucune trace de poils, la
pression
n'y déterminait aucune empreinte. A leur limite
tex. Points ovariens. Toutes ces zones sont douloureuses et si la
pression
est continuée un certain temps, elle provoque d
ne douleur spontanée très vive au niveau des gaines, douleur que la
pression
et les mouvements de la main exagéraient fortemen
éfaction fluctuante des plus nettes. Remarquons que la douleur à la
pression
à ce niveau était d'autant plus frappante que tou
Brissaud et son école, suivant laquelle l'acromégalie serait l'ex-
pression
d'une hyperactivité hypophysaire dans une période
la grandeur relative des extrémités osseuses qu'ou constate par la
pression
et puis encore à cause de la musculature qui est
XIIe vertèbres dorsales et la I° lom- baire sont douloureuses à la
pression
. Quand on appuie sur toute la colonne vertébral
l'atropliie musculaire générale et surtout des muscles fessiers. La
pression
des dernières côtes à gauche est douloureuse, A
arquée au niveau des vertèbres dorsales moyennes et inférieures. La
pression
de la XIIe vertèbre dorsale est douloureuse.
ale est douloureuse. Le malade immobilise sa colonne vertébrale. La
pression
des dernières côtes à droite est douloureuse au
ver- tébrale dans sa partie dorsale. A l'examen on constate que la
pression
des fil° eLX' côtes à droite et à gauche est do
rs en ceinture. Tous les 3-4 heures, des injections de morphine. La
pression
sur la colonne vertébrale au niveau de la XIIe ve
r- tèbre dorsale provoque des douleurs. La colonne est immobile. La
pression
sur les dernières côtes du côté droit est doulo
nsidérable celle des fesses. Les nerfs cruraux sont douloureux à la
pression
. La sensibilité intacte. Etat actuel. Malade d'
elle se penche, la douleur dans la région lombo-sacrée augmente. La
pression
exercée sur toute la colonne vertébrale depuis le
ïde et celle du sternum. La colonne vertébrale est douloureuse à la
pression
exercée sur la XIIe dor- sale et la I''8 lombai
Les vertèbres XII° dorsale et Ire lombaire, sont douloureuses à la
pression
. Une tuméfaction très douloureuse du côté droit
symptômes radiculaires sacrés pourraient provenir aussi de la com-
pression
des racines sacrées exercée par une tumeur située
es vertèbres sacrées. Ces dernières n'étaient pas douloureuses à la
pression
, et à la palpation ne donnaient pas d'im- press
ouloureuses à la pression, et à la palpation ne donnaient pas d'im-
pression
d'être envahies par la tumeur (qui se terminait a
ononcés et des contractures des membres. Notre malade faisait l'im-
pression
d'un individu auquel le courant électrique a cont
iome, endothéliome) ne diffère pas sensiblement de celui de la com-
pression
ordinaire de la moelle (les symptômes de la compr
e, peuvent apparaître des lésions considérables à l'endroit de com-
pression
et de dégénérescence secondaire. Ces lésions sont
u membre supérieur droit n'est pas particulièrement douloureux à la
pression
. 12. La peau des doigts de la main droite est l
enu à la conclusion que ces chan- gements des racines sont dus à la
pression
exagérée du liquide céphalo- rachidien. Obser
rvicales inférieures et dorsales supérieures sont douloureuses à la
pression
. La tête peut exécuter des mouvements bien limité
olume. Les vertèbres IVe, Ve et VI" dorsales sont douloureuses à la
pression
. Le Ve espace intercostal est douloureux sur la
de la nuque. Les vertèbres cervicales ne sont pas douloureuses à la
pression
et à la percussion, par contre les muscles de l
ussion, par contre les muscles de la nuque sont très sensibles à la
pression
. Atrophie des muscles splénius, deltoïde, rhomb
résentaient aussi des changements (leur finesse) à cause de la com-
pression
. Puis nous arrivons à une autre question : faut
ertébrale, même jusqu'aux trous de conjugaison, y provoquer la com-
pression
des nerfs et des vaisseaux radiculaires, mais n'a
qui nous démontre que les lésions produites il l'endroit de la com-
pression
sont peu nocives. Pourtant dans quelques cas on n
nétrait dans le canal rachidien en provoquant des symptômes de com-
pression
de la moelle. Bien que au cours de l'opération on
s il celui-ci sont d'ailleurs connus des physiologistes. Ainsi : la
pression
faible sur la patte de derrière de la grenouille
renouille amène l'augmentation notable du réflexe de préhension, la
pression
forte, au contraire, produit son abolition. R
pparaissent pas augmentés de volume, et ne sont pas douloureux à la
pression
. La force musculaire est un peu diminuée aux me
normales ; le deuxième aortique est renforcé. Pouls 80, rythmique,
pression
moyenne normale. Abdomen mal- léable, insensibl
environ de liquide lim- pide incolore qui sort sans augmentation de
pression
. Albumine : 0,75 0/00. L'examen cytodiagnostiqu
et 1110 vertèbres lombaires. Celles-ci ne sont douloureuses ni à la
pression
, ni pendant les mouvements de la colonne vertéb
s, des genoux et des cuisses. Les vertèbres sont douloureuses il la
pression
. Quand on le secoue, il ressent une douleur mod
pendant les mouvements. Les vertèbres ne sont pas douloureuses à la
pression
. A l'opération, on constata un ramollissement d
venue plus vraisemblable du moment qu'on a constaté la douleur à la
pression
et au courant galvanique de la IV, vertèbre dor
e et sur la tête ne démontre pas de modifications pathologiques. La
pression
des points du nerf trijumeau ne provoque pas de
flexes tendineux (du muscle triceps) et périostaux sont normaux. La
pression
des troncs nerveux est indolore. Le tonus muscu
K.J. ; lavements ; pyramidon ; bains électriques. 28 septembre. La
pression
légère et profonde de l'hypochondre gauche et d
la paralysie des deux membres. 2 octobre. - Ponction lombaire ; la
pression
est médiocre, on a pris 5 centimètres cubes de
einture dans le bas-ventre.La colonne vertébrale est douloureuse à la
pression
, dans toute son étendue,surtout dans la partie
ffaiblie au membre inférieur gauche; on constata de la douleur à la
pression
, dans la région des vertèbres dor- sales moyenn
entôt mesure qu'on s'éloigne un peu de l'endroit de maximum de com-
pression
néoplasique, les modifications de la structure mé
lusivement du côté de la tumeur. Les lésions provoquées par la com-
pression
portent le caractère de lésions mécaniques. Nulle
ême dans les han- ches). La colonne vertébrale est douloureuse à la
pression
au niveau du IXO segment dorsal. Une escarre gr
ion cervicale inférieure et dorsale supérieure est douloureuse à la
pression
. Quand on fait asseoir le malade, les douleurs
Le plantaire, vif, normal. Sensibilité, conservée. Pas d'ataxie. La
pression
sur les troncs nerveux et les os est dou- loure
TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 357 La
pression
de l'articulation de la hanche droite, de l'hypoc
avu T... Notes cliniques. - 26 ans, paraplégie spasmodique par com-
pression
de la moelle. Contractures des membres inférieurs
sées, ou lorsque leur état d'équilibre trophique est vicié par sup-
pression
ou par adultération de l'influx nerveux apporté à
des attitudes seg- mentaires, et la perception stéréognostique. La
pression
des troncs nerveux périphériques n'est pas doul
. On extrait 10 centimètres cubes de liquide limpide, transparent à
pression
normale. L'examen chimique révèle une très légère
serait enfin principalement le fait de l'absence de la douleur à la
pression
des troncs périphériques, la manière de marcher
it de mal de Poil, parce que la malade n'accuse aucune douleur à la
pression
, en aucun point de la colonne vertébrale, qu'el
tion du côté radial de quelques nodules para-osseux douloureux à la
pression
forte; les parties molles du médius ont un volu
autres). En général il faut prendre en considération la force de la
pression
qu'on exerce sur les vertèbres et la suggestion
tre cas nous avons constaté une vertèbre dor- sale douloureuse à la
pression
et à l'électrisation (le cathode). Ce phéno- mè
nce molle de couleur jaunâtre et s'écrasant facilement à la moindre
pression
du doigt. Une coupe, pratiquée horizontalement à
faut encore ajouter l'atrophie déterminée par l'augmentation de la
pression
intraventriculaire. Or, cette couche étant en g
latins semblent avoir été comprimés les unes sur les autres par une
pression
latérale externe, de telle façon que le diamè-
fait remarquer que la moelle épinière est très résistante à la com-
pression
. En effet, maintes fois les médecins ont pu se co
s sensitifs, les plus persis- tants sont les troubles du sens de la
pression
(bathyanesthésie) (Oppen- heim). Dans notre X
que dans ces cas le rôle important soit joué par les troubles de la
pression
habituelle de liquide cépllalo-ra- chidien. Le
élire. Le développement physique et intellectuel était régulier. La
pression
dynamométrique était de 35 pour la main gauche et
sibi- lité cutanée avec ses modes délicatement différenciés : tact,
pression
, douleur, température, sensibilité articulaire,
leurs segments, dite encore le sens de l'espace, ou la sensation de
pression
, et M. Aba admet que ces six facteurs réunis co
es passions elles-mêmes qu'elles reflètent et de leurs moyens d'ex-
pression
. Je me contenterai d'en citer un ou deux exempl
ations ver- ticales, et d'une atténuation des chocs produits par la
pression
du pied sur le sol. Or, on sait, disent-ils, qu
la marche ordinaire. On peut faire remarquer, d'ailleurs, que si la
pression
sur le sol est (1) Méthode du commandant de Rao
de la nutrition et de l'innervation des mus- cles déterminé par la
pression
que les masses osseuses peuvent exercer sur les
'un jaune pâle un peu rougeâtre au centre, lardacée, résistant à la
pression
, elle mesure 6 centimètres verticalement, et un
doigts sont normales et les mêmes que du côté gauche. Toutefois la
pression
dynamométrique n'est que de 32 à droite tandis
organes génito-urinaires, sauf le réflexe crémastérien aboli et la
pression
testiculaire non douloureuse. 11 existe une lég
un liquide purulent. Les glandes mammaires étaient gonflées et à la
pression
il en sortait du colostrum. Le poids de l'enfan
ec l'audiphone on n'obtenait presque aucune perception. De plus, la
pression
centripète du nerf auditif ne déterminait pas de
n de capacité delà boite intra- crinienne et une augmentation de la
pression
qui règne dans cette cavité. Pour peu que la tu
comme étirée, très allongée dans le sens vertical, par suite de la
pression
énorme exercée sur ses parties latérales. Les péd
sation de toucher; touché plus fortement, il donne une sensation de
pression
, et touché encore plus fortement la douleur. Ic
appareils de toucher provo- quent le sens de loucher ou le sens de
pression
, et au delà de ces limites la douleur. De sorte
aiguë, térébrante etc. Probablement le degré de la lésion (piqûre,
pression
, écorchure, broyement), le nombre des éléments
ec un simple toucher de la langue de même qu'avec un doigt, sans la
pression
nécessaire, on n'a pas la sensation du pouls. -
, de l'espace, de la sensation tactile ainsi que la sensation de la
pression
. 11 y a une con- tradiction fondamentale entre
ur un crâne en terre glaise, on avait exercé latéralement une forte
pression
pour rejeter de droite à gauche une portion du
u membre inférieur. Pas d'hyperesthésie des masses musculaires à la
pression
. Le membre est constamment froid. Il est le siè
la région dorsale gauche, moins dure, légère- ment douloureuse à la
pression
; elle couvre les trois premières côtes et va j
dentelé, élastique et ferme, elle n'est pas osseuse et crépite à la
pression
. Cette tumeur s'est développée autour d'une exost
neux, tumeur fusiforme, pâteuse, mal circonscrite, douloureuse à la
pression
. Rien ailleurs dans la cuisse et les os du bass
e masse; une autre, grosse comme un oeuf de cane, douloureuse ;i la
pression
, apparaît à la région ingui- nale droite, et di
mmédiatement sous la peau saine, une tumeur osseuse, indolore it la
pression
, composée de petits tubercules et de travées, f
Partie de l'épine iliaque supérieure, une tumeur, douloureuse à la
pression
, se dirige en bas et en avant, elle est longue
l'annulaire gauche, la plus grosse des quatre, est douloureuse à la
pression
. Atrophie musculaire. Vitiligo. Avec les déform
ne se produisaient qu'à l'occasion de mouvements. Les douleurs à la
pression
sont différentes des précédentes par leur locali-
'épine iliaque antérieure et supérieure gauche sont sensibles il la
pression
ondes points limi- tés et fixes. La douleur il
es il la pression ondes points limi- tés et fixes. La douleur il la
pression
est surtout vive à l'union du sacrum et des lom
De plus, il existe au milieu du sternum un point très douloureux la
pression
; c'est ce même point qui est douloureux lorsqu
cas que nous connaissons. Ils sont de deux sortes : la douleur à la
pression
en UN CAS DE SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 337 cert
la voûte crânienne étaient écartés et s'enfonçaient facilement à la
pression
sous le doigt; au toucher, la tète paraissait mol
l y a une telle accumulation de liquide, que sous l'influence de sa
pression
, presque toute l'écorce cérébrale s'est transfo
ecouverte. Evidem- ment,elles n'ont pas pu résistera la force de la
pression
et se sont atrophiées complètement à l'endroit
e pouvai plus se développer parce qu'elle se trouvai t soumise à la
pression
du liquide de l'amnios. C'est ainsi que viennent
de la colonne vertébrale. La moelle épinière sous l'influence de la
pression
du liquide de l'amnios se transforme bientôt en
que les tissus qui l'entourent, ne pouvant pas supporter une telle
pression
, le canal cérébro-spinal s'ouvrit suivant toute
sa partie antérieure transformée en membrane sous l'influence de la
pression
exagérée du liquide d'amnios. NOUV. ICONOGRAP
seuse se trouvent dans différents endroits du corps, indolores à la
pression
; la peau est mobile à leur niveau. Les mieux d
gent dans le cerveau et les appareils chargés de recueillir les im-
pressions
les plus diverses ou de produire le mouvement ; c
nt saillantes sont molles au toucher, en partie réductibles par une
pression
prolongée. Ces caractères de mollesse et de réd
nts particulièrement fréquents. Il existe de la sensibi- lité il la
pression
entre la neuvième et la onzième apophyses épineus
trace. n'y,vait plus ni anesthésie, ni dysesthésie,ni douleurs à la
pression
dans les régions désignées. Mais les troubles d
ême base, à gauche comme à droite, surtout à droite. Du côté droit la
pression
est extrêmement douloureuse à l'endroit signalé
colonne vertébrale au niveau des dernières vertèbres cervicales la
pression
, même légère, est très douloureuse. A la perc
raient qu'à la suite d'une provocation (toux, respira- tion forcée,
pressions
). La respiration était absolument normale. La pro
it très marquée, et encore au niveau de la 7° vertèbre cervicale la
pression
provoque les mêmes réac- tions hystériques. L
able description de la Salpêtrière. L'action phrénatrice de la com-
pression
de l'ovaire confirmerait, s'il était besoin, le d
st variable, plus on se rapproche du tendon, plus elle est dure. La
pression
sur les mus- cles est légèrement douloureuse. P
ue pâteux, avec légère rougeur de la peau et douleur très vive à la
pression
; pas de fièvre. - Le 13 juin excision d'un pet
un gonflement mou, comme la paume de la main, très douloureux à la
pression
au début, puis plus petit, plus dur et moins sen-
La bandelette qui se termine sur la 10e côte est très sensible à la
pression
, et de là, de violentes douleurs s'irradient le
'hypnose, soit avec des agents très faibles, comme un bruit subit, la
pression
des globes oculaires ou du vértex, soit par des p
Dans l'état de rapport, les phénomènes psychiques provoqués par des
pressions
sur différents points du crâne, et que j'ai décri
té. La figure 3 montre l'extase avec vision religieuse obtenue par la
pression
surte milieu du front (3). Dans la figure 4, Beno
vision a complètement changé dénature sous la simple influence de la
pression
du point n° 18, correspondant au 6e sens. — Les y
les phénomènes d'extase religieuse et sensuelle se produisent par la
pression
des points correspondants ; la tête se renverse e
cles du tronc, du cou et des bras; moins aux jambes, pas de chute. La
pression
des muscles ou des nerfs nerf cubital), le choc o
'adminisira, suivant ma recommandation, une injection chaude, à forte
pression
, mais avec les deux tiers seulement d'une seringu
n de la JlcxibUius eerca* Les mouvements voient! res tris limités, la
pression
sur les musses et les mouvement* imprimés sont do
mandant de fixer un objet brillant, soit en exerçant sur les yeux une
pression
douce et prolongée, on détermine chez elle ce qu'
sterait à toute tentative de ce genre. Nous n'avons d'efficace que la
pression
de l'ovaire ; encore ne parvenons-nous, par ce mo
nsciente; je l'appelle conception ou perception consciente. L'im-
pression
simplement perçue (phénomène physiologique) par l
e s'est pas néanmoins modifié : la constipation cède. Dynamomètre :
Pression
, main droite 5 lui.; main gauche 8 kil. 14 déce
dans l'expérience de Fleming et d'Augustus Wallcr, consistant en une
pression
exercée à la fois sur la carotide, le sympathique
t très manifestes sur les bras en état cataleptique. — la plus légère
pression
, le moindre contact sur le trajet des fléchisseur
int connaissance des mouvements que sa main exécute, non plus que des
pressions
ou des frictions exercées sur ses bras. Ces diver
un sujet en léthargie, on exerce avec une pointe-mousse une certaine
pression
au niveau d'un tronc nerveux, on détermine les mô
état de catalepsie ou de léthargie, une friction légère ou une simple
pression
sur le vertex. Le somnambule présente l'apparen
r-excitabilité cutano-musculairc qui provoque de vives réactions à la
pression
d'un muscle, au moindre contact de la peau. Celle
production d'un bruit subit, la projection d'une vive lumière, ou la
pression
du vertex. que l'on arrive à endormir le sujet ;
ée dernière (i). La fixation du regard, l'occlusion des paupières, la
pression
du vertex, déterminaient chez lui. non pas le som
nt utile de le traduire peur le publier ici. Albert dk Roch»s. LA
PRESSION
ARTERIELLE DANS LES PAROXYSMES ÉPILEPTIQUES ET DA
ler antérieurement 1] quelques faits relatifs aux modifications de la
pression
artérielle dans les paroxysmes épi-leptiques. Je
l'aide du sphvgmomètre de M. Bloch. Lorsqu'on réussit à prendre la
pression
artérielle pendant l'aura, on constate en général
on constate en général une augmentation de 200 ou 3oo grammes. Cette
pression
forte se maintient pendant la période convulsive;
gmentation de tension qui peut aussi atteindre 200 ou 3oo grammes, la
pression
retombe au-dessous de la normale lorsque l'agitat
essous de la normale lorsque l'agitation a cessé. L'augmentation de
pression
que l'on observe dans les périodes d'excitation p
1" Avec la ventouse en botte de Junod, j'ai obtenu un abaissement de
pression
de io5o à 85o. Cette diminution artificielle de l
sement de pression de io5o à 85o. Cette diminution artificielle de la
pression
s'est accompagnée de la cessation momentanée de l
et de l'agitation; cinq minutes après l'enlèvement de l'appareil, la
pression
était remontée à q3o et l'agitation revenait. 2"
tait remontée à q3o et l'agitation revenait. 2" Dans un autre cas, la
pression
étant de o5o, un bain sinapisé la rit descendre à
bains sinapisés, chaque intervention déterminant un abaissement de la
pression
artérielle. J'ai expérimenté la ventouse de Jun
et le bain sinapisé en dehors des conditions d'élévation anormale de
pression
, l'abaissement n'a pas dépassé 10 grammes (1).
Les observations précédentes semblent indiquer que l'augmentation de
pression
est une des conditions physiologiques de la produ
ormes. On peut en déduire que les moyens qui permettent d'abaisser la
pression
sans perte de sang méritent d'être tentés lorsqu'
ui existent entre les paroxysmes epileptiques et l'augmentation de la
pression
artérielle nous expliquent comment les efforts vi
s accès. Dans ces conditions, en effet, il existe une augmentation de
pression
que l'on connaît bien dans l'effort, mais (i) D
ieurs circonstances de ce genre, j'ai pu observer une augmentation de
pression
qui atteint à peu près les chiffres que l'on obse
rès les chiffres que l'on observe dans l'aura ; ainsi, F... qui a une
pression
normale de 800, avait. le 14 lévrier, dans une pé
de colère motivé par une contestation avec une sous-surveillante, la
pression
était de 1100. Cette constatation lait comprendre
posthénisante des plus évidentes, je fis comparaître l'infirmier : la
pression
remonta immédiatement à 1100. Un cocher que j'ai
après. Ces chiffres montrent que, sous l'influence de la colère, la
pression
artérielle peut augmenter de plus d'un quart. On
égradation sociale. 93. Clinique des maladies nerveuses. 454. Colère (
pression
artérielle dans la), par Féré. 369. Conférence
0, 122. Enseignement clinique de l'hypnotisme. 285. Epileptiques (
pression
artérielle dans les paroxysmes), par Féré, 369.
ait à la malade que les os fussent atteints, et, d'un autre côté, une
pression
même légère, occasionnait des souffrances insuppo
de, lourde ; il y a des bourdonnements d'oreilles et une sensation de
pression
au niveau des tempes. Le sujet éprouve de l'oppre
s de haut sur 4 de large et 2 d'épaisseur ; elle est molle, cède à la
pression
. Sa surface est lisse, mais offre des sail-lies,
due à la résorption du tissu osseux provoquée à son tour, soit par la
pression
de la poche ara-clmoïdienne, soit par un travail
ring, c'est-à-dire la perforation des parois osseuses du crâne par la
pression
du liquide contenu soit dans les ménimges (méning
ège précis de sa base d'implantation. La tumeur était indo-lente à la
pression
et n'avait jamais été le siège d'aucune douleur s
cerveau par exemple. » VI. Influence de la diminution brusque de la
pression
, par P. Bert. — Le 17 juillet 1871 M. Bert a fait
tion qui peut être ainsi résumée : « Lorsqu'on diminue brusquement la
pression
à laquelle est soumis un vertébré à sang chaud, j
s les bronches. — Relati-vement à l'épuisement de l'air pour une même
pression
, les ani-maux qui laissaient le plus d'O. et qui
enouilles et les chats nouveau-nés, enfin les cochons d'Inde pour les
pressions
supérieures à 26 centimètres; au-dessous, les gre
O. qui reste dans l'air après la mort est d'autant plus grande que la
pression
est plus faible, la quantité de CO2 formé varie e
nde quantité de globules sanguins, et surtout de la diminu-tion de la
pression
intra-vasculaire, l'abaissement de cette dernière
4° Que le sang artériel contient davan-tage d'O. et de CO2 lorsque la
pression
atmosphérique est plus élevée et réciproquement.
se du poids de la masse morbide, que de la douleur qu'occasionnait la
pression
du pied sur le sol. — Pendant un an, le malade es
e, sont le siège d'un très-léger œdème. On attribue cet accident à la
pression
exercée par l'appareil sur la partie supérieure d
ble, s'étendant par en haut jusqu'à la tubérosité ischiatique. Par la
pression
on en fait sortir environ 200 grammes d'un pus fé
a substance semblait une pulpe noirâtre qui s'écoulait par la moindre
pression
. Les vaisseaux du foie étaient également gorgés '
esthésie ovarienne, est jusqu'à un certain point patbognomo-nique. La
pression
, en l'exaspérant, détermine des sensations irra-d
ur; il tend, au contraire, à l'exagérer par le mécanisme suivant : la
pression
du membre viril s'effectuant, vu la conicité du c
térus, pénétrait à une profondeur de 10 à 11 cen-timètres, suivant la
pression
exercée sur le manche de l'instrument. En portant
distinguer la quantité d'eau élevée à une certaine température et la
pression
de la vapeur d'eau qui, selon l'expression consac
llement de la quantité d'eau chauffée ; elle est proportionnelle à la
pression
extérieure qu'elle supporte. De même dans une pil
t donc se comparer à la force de pro-jection de la vapeur d'eau, à la
pression
d'un liquide, et l'appareil médical employé pour
épineuses ne révèle ni saillie anormale ni douleur rachi-dienne à la
pression
. La sensibilité cutanée est conservée dans tous
le col est long mais aminci et peu volumineux, de telle sorte que la
pression
du pénis sur celui-ci doit être insignifiante. Qu
olongeait en arrière du col. Elle était chaude, très-douloureuse à la
pression
, résistante sous le doigt et présentant des bat
de dénudation artérielle, de même que les eschares produites par une
pression
continue dont M. "Verneuil a publié un exemple da
it une éponge mouillée. Avec ces rhéophores, pour peu qu'on exerce de
pression
on met les bords du tube en cuivre en contact ave
a section de la corde du tympan. XXIX. Les nerfs vaso-moteurs et la
pression
du sang. — « Tous les tissus, tous les organes,
'époque des règles, la tumeur devient plus grosse, plus sensible à la
pression
et même au toucher, les battements sont plus fort
ce soit lui-môme qui maintienne les tampons. C'est à lui à savoir la
pression
nécessaire, le point spécial qui doit être éleclr
e d'un effort, de la marche prolongée ou d'une fatigue quelconque) la
pression
du col sur le rectum annonçait des phénomènes ner
puis, maintenant toujours les mains à la même place, on exercera une
pression
légère qu'on augmentera graduellement. Après avoi
ion légère qu'on augmentera graduellement. Après avoir continué cette
pression
un certain temps, il faut la di-minuer peu à peu.
cette pression un certain temps, il faut la di-minuer peu à peu. Les
pressions
sur le fond de l'utérus doivent être dirigées deh
vaginal, était souple, élastique, rosée et nullement douloureuse à la
pression
. Il y a douze jours, l'ablation fut pratiquée ave
xiques, ces poisons accélèrent les battements du cœur et diminuent la
pression
en produisant la paralysie des pneumogastriques e
tion spéciale sur les reins, mais bien par suite de leur effet sur la
pression
intra-va-cu-laire. A mesure que la quantité des u
musculaire; 2° la contraction des petites artères fait aug-menter la
pression
artérielle dans les gros troncs ; 5° cette action
s, dont la contraction a pour effet de faire baisser momentanément la
pression
dans les artères. Reste la quatrième partie, l'
sujettes à des exacerbations qui survenaient sous l'influence de la
pression
, de la fatigue, et quelquefois sans cause appré
n peuvent être effectuées sans souffrance, et, d'autre part, que la
pression
, sur certains points particuliers, tels que la
mouvement peut être aussi étendu de ce côté que du côté opposé. La
pression
sur les points ischiatique et poplité pro- voqu
ses muscles. D'autre part, le malade, tout en évitant d'exercer une
pression
du côté affecté, laisse son pied 22 ) PATHOLOGI
modique, et les deux membres inférieurs exercent sur le sol la même
pression
, con- trairement à ce que l'on voit dans la sci
e la plante du pied pose sur le sol, c'est-à-dire lorsque les im-
pressions
centripètes résultant du contact mettent en jeu
e de ses com- pagnons, parce qu'il titubait comme un homme ivre. La
pression
était ressentie avec douleur au niveau des vert
nctions organiques, dans de bonnes conditions; seulement, la simple
pression
provoquait une légère douleur dans la colonne v
iant parfois à l'épigastre, exagérées parles mouvements, non par la
pression
. , Fi ? S.. Archives, t. XV. 4 o PATHOLOG
- viron cinq minutes après le repas il n'y a plus de sueur. L'im-
pression
seule des aliments suffit pour amener la sudation
e dans l'épaule. On ne détermine d'ailleurs au- cune douleur par la
pression
sur les nerfs du membre supé- rieur droit, non
mais il n'y a aucun signe de névralgie intercostale. Cependant la
pression
provoque de la douleur à la partie moyenne des
'y avait aucun trouble pupillaire, aucun trouble de sensibilité. La
pression
au niveau des apophyses épineuses des dernières
lésion des ganglions du sympathique cervical reste possible : la
pression
sur le sympathique gauche dit Guttmann est un p
ces cellules petites, ratatinées et comme atrophiées par la com-
pression
; elles sont fortement colorées en rouge par le c
rd au tronc, qui paraissait par des efforts de torsion fuir sous la
pression
du doigt, se généralisaient bientôt à tout le c
int possible, sans provoquer aucune réac- tion, d'exercer de fortes
pressions
sur la partie moyenne du sternum. Peu de temp
yphilis. Nouvelles éludes sphygmo- graphiques d'après lesquelles la
pression
et la tension artérielle dé- croit dans le bain
, le pouls revient rapidement à la fréquence normale, tandis que la
pression
et la tension vasculaire montant considérableme
quent, ces mots : « des anciens notaires ou avoués ». A cette sup-
pression
, je trouve deux avantages : le premier, c'est qu'
rax. Les cordons nerveux et les muscles ne sont pas douloureux à la
pression
. Eleclro-contructilité. Courant constant. Les c
férentes douleurs, par exemple : dans le côté droit par suite de la
pression
des côtes sur la crête iliaque ; puis dans les
n du. côté gauche, il existe une certaine anesthésie. Le sens de la
pression
examiné sur la paume et le dos de la main paraî
malade est assez inattentif et ne perçoit que.les différences de
pression
de 1/2 ou de 3/4 (au baresthésiomètre de Iiowaews
s et les doigts. Sur les paumes de la main, le malade ressent une
pression
de 300 grammes comme si c'était un attouchement
m- mes, tout cela d'une manière égale des deux côtés. Il sent une
pression
de 100 à 200 grammes sur le dos et une augmen-
s et profondes. Le plexus brachial est douloureux par places à la
pression
. Une pression produite sur lés nerfs et les mus
. Le plexus brachial est douloureux par places à la pression. Une
pression
produite sur lés nerfs et les muscles périphéri
ales ; douleurs sourdes de temps en temps, mais pas de douleur à la
pression
. La sensibilité est normale dans le reste du co
ordons nerveux, ce qui explique leur sensibilité douloureuse à la
pression
. Observation V. Homme de trente ans. Thermane
ce du corps. Le malade détermine infailliblement la diffé- rence de
pression
entre 300 et 350 grammes sur les paumes des mai
x centimes sur la face dorsale; ces tumeurs sont assez plates, la
pression
du doigt ne laisse pas de trace, on observe dans
à 10 heures du soir. Elle dort encore ce matin à la visite. Par la
pression
au-dessous du sein gauche (zone hystérogène) M. C
res, pas de cata- lepsie. Elle est réveillée, sans attaques, par la
pression
sous- mammaire. D Nous avons dit que les zone
. B.. présenta au creux épigastrique une zonehypé- résique, dont la
pression
déterminait des attaques convulsives. Au bout d
nvulsif. Y Nous avons déjà vu que M. Charcot avait observé que la
pression
d'une zone hystérogène faisait cesser le sommeil
un danger par la dénutrition qu'elle entraine. Or, sachant que la
pression
d'une zone hystérogène, par l'attaque convul- s
ion. M. LE Président. Monsieur de Gavardie, vous demandez la sup-
pression
de l'article ? M. de Gavardie. Oui, monsieur le
- nentes. Mais il me semble que vous devez aussi demander la sup-
pression
des mots « et des médecins adjoints », puisqu'il
este après elle aucun retentissement douloureux dans la hanche : la
pression
sur les trochanters est indolente ; l'articulat
que le gauche. Sa consistance est plus molle et sa sensibilité à la
pression
et au choc est très affaiblie. Le malade ignore
Le testicule gauche n'a pas diminué de volume. Sa sensibilité à la
pression
et sa con- sistance sont normales. Le réflexe
che. Il ne vomit pas. Le ventre est excavé, rétracté, indolent à la
pression
. Respiration à 42, entrecoupée de gémissements,
des pneumo-gastriques augmente- beau- coup la vitesse du sang et la
pression
dans les artères, car la section des pneumo-gas
faradisation, le diaphragme subit des mouvements pathétiques par la
pression
intes- tinale, qui se fait sentir pendant la ch
être modifiés ou suspendus par les changements de position, par la
pression
d'une zone spasmo-frénatrice; ils s'observent l
t de 12 centimètres, le diamètre transver- sal de 7 centimètres. La
pression
et la percussion au-dessus d'elle ne provoque p
ses des dernières vertèbres lombaires, qui sont douloureuses à la
pression
, tandis que celle-ci ne provoque pas de douleur s
ent avec la paume de la main et à quatre ou cinq reprises de fortes
pressions
sur la colonne vertébrale du malade. Là s'arrêt
on observe les vaisseaux de la pie-mère; on mesure en même temps la
pression
dans le cercle artériel deWillis et l'aorte. On
is et l'aorte. On voit ainsi que, pendant l'attaque d'épilepsie, la
pression
monte dans les artères cérébrales, tandis qu'el
me. Ausssi M. Féré examine-t-il d'abord l'influence de l'air, de la
pression
atmosphé- rique, de la température, de l'état h
a vitesse, la forme, l'énergie des mouvements secondaires, sur la
pression
artérielle, sur la circulation périphérique déter
à gauche. DV central mobile à volonté par l'occlusion des oreilles.
Pressions
positives, réflexes normaux, aération facile, a
e et à gauche, aération de la caisse facile à droite et à gauche.
Pressions
centripètes positives des deux côtés : D/ tube =
he : tympans mobiles avec le seigle ainsi que le manche du marteau;
pressions
positives à droite et à gauche. Réflexes exce
M. Bien perçue sur le crâne à droite et à gauche. : ' 1 A droite,
pressions
centripètes positives, D/ tube = B, D/ os. = B,
s D/ or opposé = 0, pas de réflexe. Pas de vertige provoqué par les
pressions
. Mobilité entière de la cloison et du manche du
bilité entière de la cloison et du manche du marteau. A gauche, les
pressions
sont également positives, et de même l'accommod
n perçus par l'oreille gauche, diapason mastoïde non plus à gauche.
Pressions
centripètes positives à droite et nulles à gauche
oite et nulles à gauche. SERVICE OTOLOGIQUE 221 Aucune action des
pressions
exercées à l'oreille gauche sur l'audi- tion dr
, et qu'on atténue la sensation perçue du côté sain en agissant par
pression
sur le côté sourd. Or, ici, ce réflexe est perd
ent des oscillations considérables dues à des modi- fications de la
pression
cérébrale, mais la déchéance pondérable, rapide
du corps, apparition d'une raie blanche fugace, en rapport avec la
pression
plus ou moins énergique du stylet; Cinq seconde
in, rien à l'anus. La miction doit être mise en train par une douce
pression
sur le, ventre; urines normales; conserva- tion
nerfs ne sont, pas plus que des masses musculaires, sensibles à la
pression
. Intégrité constante des sphincters. Intégrité
uë. L'isolement n'a pas d'influence nocive. M. CRAMER, - Etat de la
pression
du sang dans les anomalies pl'imi- tives de l'h
un malade atteint de folie circulaire, M. Cramer a constaté que la
pression
du sang diminue quand le stade de gaité survien
de maniaque ne se manifestait pas par de l'agitation), et que cette
pression
augmente pendant le stade de dépression (anxieu
euls entacher d'erreur SOCIÉTÉS SAVANTES. 398 l'observation de la
pression
artérielle. Il n'y avait ni exagération de la f
ntré que le nitrite d'amyle dilate les vaisseaux et fait baisser la
pression
du sang ; la clinique a permis de constater que
a contracture des vaisseaux qui se traduit par l'augmentation de la
pression
sanguine. Discussion : 111. 11\ECnT. Le sphygmo
poser un relâchement de la paroi vasculaire et une diminution de la
pression
sanguine. Chez les anxieux mélancoliques, surto
ue par force, sur une toute petite étendue : en d'autres termes, la
pression
est considéra- blement augmentée. 11 en résulte
insuccès de l'opération, car on n'avait rien fait pour combattre la
pression
exercée par la dure-mère aussi bien que par l'o
tels que les fièvres graves, celle du traumatisme et enfin des im-
pressions
morales. La symptomatologie des paralysies est
d aux cas les plus communément observés; 3° la paralysie par sup-
pression
des mouvements coordonnés (astasie-abasie). Il an
ultat est également uul pour les mouvements associés (par exemple :
pression
du dynamomètre, écriture de la main gauche).
'y a qu'à lui donner ses mains à serrer; à peine sent-on une faible
pression
, La tête a conservé la plupart de ses mouvement
a fait l'expérience, disparaissant pour un moment à la suite de la
pression
sur la région ovarienne pour céder à une contra
n'ont été aucunement modifiés. R. AI.-C. LIX. Du la sensation DE
PRESSION
sur la tète ET DE LOURDEUR DE la tète; CAREBARI
Campbell les rattache à trois groupes principaux : 1° sensations de
pression
sur la tête; 2° sensations de pesanteur de la têt
morbide et les troubles fonctionnels ne sont pas aggravés par la
pression
du liquide sur les circonvolutions sous-jacentes.
traitement abortif : si l'épanchement se produit, c'est grâce à une
pression
s'exerçant de dedans en dehors (pression sangui
produit, c'est grâce à une pression s'exerçant de dedans en dehors (
pression
sanguine) ; le traitement rationnel de l'auteur c
e) ; le traitement rationnel de l'auteur consiste à combattre cette
pression
par une autre pression contraire s'exer- çant d
onnel de l'auteur consiste à combattre cette pression par une autre
pression
contraire s'exer- çant de dehors en dedans et p
DES aliénés, avec quelques remarques SUR la DISSOLUTION DE L'Ex-
pression
; par John TURNER. (The Journal of Mental Science,
eux. 2° Femme de soixante-sept ans, mélancolique, périodes de dé-
pression
alternant avec des périodes de gaieté exhubérante
, 466. Rumination chez les aliénés, par Christiani, 25. Sang,
pression
du - dans les ano- malies primitives de l'humeu
tébrale comprimée à travers les téguments abdominaux, tandis que la
pression
en arrière ne détermine pas de douleur. Ce sign
dissocier; faisceaux primitifs durs, raides, très résis- tants à la
pression
et à l'écrasement; peu de tissu conjonctif inters
objectif local précis, on diagnostique : tumeur cérébrale avec com-
pression
et excitation des faisceaux pyramidaux. On trouve
ru. Dans un cas, la fin de la maladie a été marquée par de la dé-
pression
momentanée, due probablement à l'état d'instabili
e la sensibilité à la face plantaire du pied. Pas de douleur à la
pression
. Douleur spontanée, continue, pro- fonde, entre
supérieur, de telle sorte qu'il 1 n'est nullement protégé contre la
pression
de la tête foetale. Il en résulte que c'est tou
spontanée, sur le trajet du sciatique a complètement disparu. A la
pression
, dans les mêmes régions, la douleur est à peu prè
niveau du point péronier. Il n'existe pas non plus de douleur à la
pression
des masses musculaires du mollet. Une pression
plus de douleur à la pression des masses musculaires du mollet. Une
pression
profonde assez énergique sur la région des musc
surtout de douleurs vives au mollet. Les régions douloureuses à la
pression
sont les points fessier, poplité, malléolaire,
ollet droit.Il existe un certain nombre de points douloureux que la
pression
réveille, points sacro-lombaire, fessier, troch
mités de la jambe et se rejoignent vers la partie médiane. Par la
pression
on produit des élancements douloureux aux lieux
plité, trajet péronier, point dorsal du pied et point plantaire. La
pression
en masse des muscles de la cuisse et de la jamb
de la jambe est sensible. La recherche des points douloureux, la
pression
des muscles, ' l'exécution des mouvements du pi
emblement localisé cessant lui- même si l'on détruit par une légère
pression
le tonus du muscle correspondant. Le tremblem
ugmententle tremblement; ,il est plus marqué il jeun et pendant les
pressions
atmosphé- riques basses des temps orageux, et q
ne espèce d'engourdissement dans la main, « avec diminu- tion de la
pression
au dynamomètre et peut-être un peu d'a- nesthés
nesthésie est complète pour tous les modes de sensibilité (toucher,
pression
, température, piqûre, sensibilité ar-* ticulair
on de la sensibilité tactile, l'analgésie, et la thermo-aneslhésie.
Pression
dynamométrique MD : 3, MG 30. Le 17, quarante-h
devenue normale. La main semble toujours lourde, et le bras faible.
Pression
dynamométrique M D : 15 l\I G : 27. Pas de tran
tique ou à une épilepsie réflexe. Prescription des bromures. Sup-
pression
de l'alcool, même à petites doses, d'autant plus
K. L. Cas rare DE NÉVRITE ascendante avec paralysie réflexe (ex-
pression
consacrée) DE la moelle; par TUISSEN, (Centr. f.
oulfée d'air pénétrait dans la fosse nasale qui semble bouchée. Une
pression
exercée sur cette région, un vent violent venan
ne légère douleur dans le front et surtout dans les deux tempes; la
pression
sur la quatrième vertèbre dorsale engourdit les
Trois observations. L'une de paralysie périphérique unilatérale par
pression
: électrisation, guérison. - L'autre, de paralysi
ve- loppe une manie rapidement furieuse et bruyante suivie de dé-
pression
avec excitation : guérison. - L'autre observation
isé par les particularités que nous avons indiquées ait été l'ex-
pression
d'une lésion organique du système nerveux, ou b
es, la possibilité de faire naître ou de suspendre ces accès par la
pression
exercée sur certaines régions, l'absence d'élév
ossibilité de le faire apparaître ou disparaître à volonté, par une
pression
exercée sur certaines régions, à l'absence d'él
sque tou- jours fermé, s'exagèrent par le bruit et diminuent par la
pression
exercée sur la région affectée. - Cette premi
ence.-La région ova- rienne gauche est un peu hypéresthésiée, et la
pression
à ce niveau a provoqué pendant un examen l'appa
le rien d'anormal. - La région ovarienne gauche est sensible à la
pression
, qui, à un moment, a amené l'apparition de la vis
arition de la vision lu- mineuse à un faible degré, il est vrai; la
pression
a été aussitôt suspendue et tout est rentré dan
2° Les accès de migraine peuvent apparaître sous l'influence de la
pression
, exercée sur la région de la sixième vertèbre d
rticulièrement dans les jambes, mais on n'en déter- mine aucune par
pression
. Les autres appareils organiques ne présentent
sé au-dessus d'une auge pneumatique et rempli d'eau soutenue par la
pression
barométrique, la grenouille mon- tera d'abord a
eurs mouvements et leurs gestes, ils paraissaient ressentir les im-
pressions
faites sur les nerfs de sensation commune. Quant
- vement d'expression émotionnelle, de réactions adaptées aux im-
pressions
reçues par leurs organes des sens. Ces facultés s
. Afin d'éviter, en ce qui regarde les ex- trémités supérieures, la
pression
exercée sur la peau, M. Hitzig a faitinstallers
ultérieure- ment, le membre s'cedématie et devient douloureux à la
pression
. Plus tard, on constate une pleurésie sèche dou
nyme droite par Bruns et Schult- ze, 250; -larérale due à la com-
pression
d'une bandelette optique, par Sigaud, 430. Hé
Paralysie, isolée du regard en haut, par Thornsen, 72; - par com-
pression
du bras, par Scheiber, 78 ; pseudo-bulbaire, pa
tion, le fragment ne surnage pas. On fait sourdre un sang noir à la
pression
. Le lobe moyen est splénisé; la base gauche est
ffage. On tend à se servir partout du chauffage à la vapeur à basse
pression
, qui ne nécessite qu'un seul foyer pour tout l'
a sérosité préexistante, provoquant ainsi les phénomènes de coin. 4
pression
qui ont amené la mort. On n'a observé aucun sympt
imultanément des tumeurs intra- craniennes et des cas compliqués de
pression
intra-cranienne atig- mentée due à'd'autres cau
ans), 2 avec pres- sion intra-cranienne très forte) et sur 5 cas de
pressions
, dont3 très intenses, dues soit à une hydrocéph
ollatérales, surtout réflexes. De plus on trouve, surtout en cas de
pression
intra-cranienne excessive, des libres élargies et
ipale cause de ces phénomènes me parait être l'aug- mentation de la
pression
de la liqueur cérébro-spinale et les troubles c
, l'altération étant en une certaine mesure proportionnelle à cette
pression
, par exemple, très nette dans les cas d'hydrocé
hydrocéphalie excessive, à peine notable dans un pas de gliome sans
pression
. Par rapport à leur origine, les altérations de
La douleur répercute souvent sur le coeur : le pouls s'accélère, la
pression
sanguine augmente, le visage devient pâle (cons
délimités (noyau). La cellule est très élastique et - résiste à la
pression
. 11 y a presque toujours plus ou moins de - pig
- dendrites) sont extrêmement fragiles et se brisent à la moindre
pression
, avec une cassure nette, généralement près de la
au 12 centimètres cubes) produit chez le chien une diminution de la
pression
infra-artérielle et le ralentis- sement du poul
uls. 9. Vagotomie et atropi- nisation n'ont aucune influence sur la
pression
sanguine, après l'injection d'alcool. 10° Les m
Les modifications sont plus sensibles si on élève préalablement la
pression
sanguine par l'injection d'eau salée. 11° La di
pression sanguine par l'injection d'eau salée. 11° La diminution de
pression
s'observe même avec la com- pression de l'aorte
salée. 11° La diminution de pression s'observe même avec la com-
pression
de l'aorte, après la ligature des organes abdomin
ie pas l'écoulement du sang par une jugulaire. 13° La diminution de
pression
s'observe, même quand on tranche le bulbe, quan
l'action directe de l'alcool sur le coeur. 17° La diminution de la
pression
sanguine est causée par l'affaiblissement direc
oses faibles d'alcool causent, au contraire, une augmentation de la
pression
sanguine de courte durée et un léger ralentisseme
. Séance du 29 Octobre 1900. - PRÉSlDE1'\CE de 1\I.l\JAGNA;,\, La
pression
sanguine chez les aliénés. M. LEGUA ! ') rend c
e d'un travail de AI. Pilez, médecin assis- tant de Vienne, sur la-
pression
sanguine chez les aliénés. L'idée principale qu
incipale qui s'en dégage est que, dans les formes mélancoliques, la
pression
sanguine dépasse notablement la normale. Dans les
dans la folie circulaire, il est possible rien que par l'étude delà
pression
sanguine, de prévoir à quelques 176 SOCIÉTÉS SA
e. Si dans le stade mélan- colique, on voit tout à coup diminuer la
pression
sanguine on peut être sùr que dans quelques jou
cloale très prononcée, exagérée par la contraction musculaire et la
pression
), avec arlhropatbie de l'épaule. AI. Babinski
encore sous la forme de douleurs spon- tanées et provoquées par la
pression
, mais très supportables, au niveau de la partie
suffit souvent de poser la main sur la région douloureuse, et cette
pression
douce associée à la suggestion suffit pour fair
raissait se composer de tissu cérébral vrai. A l'aid e d'une légère
pression
, qui ne semblait pas douloureuse, on pou- vait
fications du poids du sommeil, du pouls, de la tempéra- ture, de la
pression
sanguine, etc. Le dépouillement de ces document
- volution ; il est représenté par une masse scléreuse, qui, à la
pression
, n'est qu'une petite couche de substance cortical
e toujours aussi intense, la nuque.. est raidie et douloureuse à la
pression
, la tête est lourde, les mou-. vements sont pén
tissu cérébral; la moelle était saine, sauf les efforts de la com-
pression
subie, et non adhérente à la pie-mère. La tumeur
s lombricoïdes et d'anlcylostomes; dans le sang Ciliaires perstans.
Pression
artérielle très basse, tempéra- ture irrégulièr
ans tous les locaux. Chauffage à l'air chaud et à la vapeur à basse
pression
. Eclairage au gaz (Bec Auer). A la Clinique de
pané, en un point de la région'pariétale droite au niveau duquel la
pression
digitale développait une douleur très vive. On
p. 33. c) Enfin dans six cas l'opération a été suivie de la sup-
pression
des attaques convulsives ; ces cas ont été publié
ment, par suite du trouble de la nutrition, de l'augmentation de la
pression
, des modifications de la température. Outre les
VI° paire à gauche, rien du côté des hémisphères cérébraux, com-
pression
totale du bulbe et de la protubérance avec atroph
de l'épilepsie réside dans une exagération générale ou locale de la
pression
intra- cranienne, et il croit, ce qui est très
ues et d'observation, lesquelles soutiennent l'augmen- tation de la
pression
intra-cranienne dans l'épilepsie. Kocher a obse
Il n'est pas nécessaire de faire appuyer fortement les doigts; une
pression
modérée suffit en général, une pression trop fo
r fortement les doigts; une pression modérée suffit en général, une
pression
trop forte produit la fatigue et masque la véri
ôté des jambes saisit les poignets et les abaisse, en évitant toute
pression
sur le corps ou sur les membres. Alors REVUE DE
existe depuis déjà assez longtemps une augmentation considérable la
pression
ce l'ébrospmate, par exemple les cas de tumeur
morbides, comme dans la folie à deux, mais sous l'iiiniience d'im-
pressions
pénibles, et aussi des fatigues éprouvées pendant
M. P. ilamr a déjà attiré l'attention sur cette altération par com-
pression
des amygdales cérébelleuse dans des cas d'hémorrh
ire aux membres : les douleurs sont spontanées et augmentées par la
pression
; les réflexes sont intacts; la sensibilité n'es
symptômes. Archives, 2° série, t. XI. 33 514 sociétés savantes.
Pression
artérielle dans la Myopathie alrophique. M. P.
ues il existe une dimi- nution très considérable et constante de la
pression
intravasculaire, sans qu'il existe chez eux la
Il a donc fallu l'intervention de l'intoxication pour que la com-
pression
réussisse à produire la paralysie. Des faits semb
3, 268. Lésions de. l'utérus chez les -, par Gortlou-111unn, 137.
Pression
sanguine chez les - par Legrain, 175. Lavage de
ssementsdepuislematin ; ventre un peu ballonné, partout sensible à la
pression
et, en par-ticulier dans les flancs; six selles a
u niveau de la jointure. Il diffère de l'œdème ordinaire en ce que la
pression
du doigt, pour laisser une trace même légère, doi
de paralysie. Pouls, 12a. IIypéresthés;e au plus léger con-tact; une
pression
énergique a moins d'inconvénients. — Le pouls lom
5° Les arrêts de développement de l'os iliaque se combinent avec la
pression
exagérée transmise par le fémur sain pour produir
d nombre d'années. Jamais, elles ne lui avaient causé de douleur ; la
pression
seule sur ces masses résis-tantes provoquait quel
, l'iris est déprimé; il semble que la portion de l'iris qui subit la
pression
soit paralysée ; elle n'obéit pas à la lumière au
ite dans le but de saisir la tumeur et de l'amener au dehors. Sous la
pression
de la pince, la tumeur se vide et laisse suinter
la langue tend à devenir sèche. Région lombaire droite sensible à la
pression
; région lombaire gauche indolore. Ni rétraction
t à droite, et le trajet de l'uretère droit sont plus douloureux à la
pression
. Proé-minence des glandes sébacées de la face. —
atation acquise. Vouloir, au contraire, étendre la cicatrice par la
pression
conti-nue d'une bougie de fort calibre, est une p
. État actuel. Au niveau du sein droit, tumeur dure, indolente à la
pression
, mobile en masse sur les couches profondes, du vo
e instant et le malade paraît à peine en avoir conscience. La moindre
pression
sur un point quelconque du corps suffit pour les
lie, si ce n'est au ventre, de chaque côté de la ligne médiane, où la
pression
est encore assez douloureuse pour déterminer par
chaleur mordicante. La fesse droite est inco-lore, mais sensible à la
pression
. Les plaies de la vulve et du périnée ont un bon
Enfin, le séjour prolongé de la tête du fœtus dans l'excavation, les
pressions
alternatives répétées qu'elle exerçait sur le pou
n gauche, et on manie avec la droite la pompe de compression. Cha-que
pression
sur le ballon fait venir environ 20 à 30 grammes
re est le siège d'un ballonnement considérable avec douleur vive à la
pression
de la région ovarienne gauche ; douleur d'un cara
orme de l'abdomen; — 4° les régions ovariennes sont douloureuses à la
pression
, et en insistant un peu dans l'ex-ploration, on n
plus éloignés, la marche est devenue pos-sible, môme sans soutien. La
pression
ne fait plus découvrir que trois points névralgiq
d'une heure de re-pos, le malade va à la garde-robe et par la double
pression
du rectum et de la vessie, on arrive le plus souv
extérieur, parce qu'il avait été chassé d'un urèthre saignant par une
pression
excessive. Une fois lavé, il était aussi d'un bla
met de la tumeur (4 oc-tobre) ; partout ailleurs, elle est dure. — La
pression
, les mouve-ments imprimés en sens divers, ne déte
points par de pe-tites bulles d'air, se déplaçant facilement sous la
pression
du doigt, et ressemblant assez exactement à des m
ajet, on remarque très-aisé-ment cinq à six bulles d'air qui, sous la
pression
du pouce, se réu-nissent en une seule. Poumons.
asionner au malade une souffrance bien manifeste, il faut exercer une
pression
assez forte sur l'hypochondre gauche. Ce que l'on
us ne se collecte pas, et il infiltre tout le parenchyme dont, par la
pression
, on le fait sortir mêlé à une matière épaisse, de
ans les mouvements, par la toux, par l'éternu-ment, par la marche; la
pression
l'exaspère, dans quelques cas, elle la diminue. C
nte des doigts, mais seulement lorsqu'on exerce sur les téguments une
pression
assez fortement accentuée. Cette tuméfaction augm
umeur. La disposition lobulée superficielle semble donc être due à la
pression
des vaisseaux de la tunique fibreuse et au dévelo
e faire tomber dans des mou-vements convulsifs; elle augmente par une
pression
légère, le mouvement, le poids des couvertures. »
, indurée; l'empreinte du doigt ne s'y produit que si l'on exerce une
pression
assez forte. — Les veines des jambes ne sont pas
e sa courbure à con- cavité postéro-interne. Il est douloureux à la
pression
sur toute sa longueur. 4° L'articulation tibio-
arsienne est augmentée de volume, mobile encore, mais sensible à la
pression
. Les membres supérieurs ne présentent aucune dé
ns radio-carpienues étaient augmentées de volume, douloureuses à la
pression
et dans des mouvements provoqués ; aujourd'hui
et lui commander de mordre, sans éprouver autre chose qu'une légère
pression
: ceci à droite comme à gauche. Toutefois le ma
pinale infantile. D'autres fois encore elles restaient isolées, ex-
pression
de la seule atteinte du bulbe ou de la protubéran
ur, se laissant très difficilement déprimer par le doigt,sauf à une
pression
franchement énergique,ne laissant pas de godet pe
tissu oedématié, et qu'en tout cas elle n'est pas exacerbée par la
pression
: l'oedème est in- dolore au contact et à la pr
cerbée par la pression : l'oedème est in- dolore au contact et à la
pression
; c'est ainsi par exemple, que devant nous, la
tissu conjonctif, soit qu'il s'agisse d'une simple excitation de la
pression
sanguine intra-vasculaire locale d'après la thé
théorie éclectique plus complexe, l'attribuant et à une action .de
pression
du liquide sur la paroi des vaisseaux, et à un de
es et leur durée a été courte.Ces douleurs étaient spontanées et la
pression
du membre n'était pas douloureuse. Elle souffrit
e in- térieur gauche (PI. XXXI). C'est un oedème dur, élastique, la
pression
digi- ,tale ne laisse pas de godet. La colorati
,tale ne laisse pas de godet. La coloration du membre est normale. La
pression
n'est pasi douloureuse. La malade ne se plaint
ôté opposé. C'est une espèce d'oedème dur, élastique dans lequel la
pression
digitale ne laisse pas de godet. La coloration
pression. Mais dans ce dernier cas il s'agit d'un oedème mou, où la
pression
du doigt détermine un godet et la présence des
iltration graisseuse sous-cutanée diffuse et fort douloureuse à une
pression
même faible. La face contrairement aux casses p
elle n'est point toujours, comme chez notre malade, constante à la
pression
; elle peut survenir par crises, appa- raître s
troubles et contenaient du pus. A toutes les parties soumises à des
pressions
on voyait des taches ou des bandes sombres et ble
ssu nécrotique. Le septum médian, au lieu d'être droit, à cause des
pressions
et de la résorption de la substance altérée, a
dors lombaires, abolissement des réflexes tendineux, douleurs à la
pression
des troncs nerveux et des masses musculaires, h
s aux segments supérieurs des extrémités abdominales ; douleur à la
pression
des troncs nerveux et des masses musculaires, p
douleur à la pression des troncs nerveux et des masses musculaires,
pression
très pénible à la partie antérieure et moyennede
rs spontanées, ou provoquées par les changements déposition, par la
pression
des masses musculaires et des troncs nerveux, son
9 sont tellement molles que la clavicule se déforme facilement à la
pression
. Il ne paraît pas qu'il y ait articulation de l
ulaire peut constituer un moyen de défense contre l'augmentation de
pression
causée par la croissance d'une tumeur intracrânie
e, mais continua à ressentir des douleurs atroces à la nuque. Toute
pression
sur la tête, le mouve- ment de S'asseoir dans s
ré dans l'écorce (fig. 2). ' Le tissu cérébral cède donc déjà à une
pression
moindre que celle du sang. Cette destruction lo
que ces moyens ne furent pas épuisés. Ensuite les symptômes de com-
pression
générale se déclarèrent d'autant plus nets et plu
cas « que les parois vasculaires se sont laissé dilacé- rer par la
pression
du sang ». Cette hypothèse me paraît difficilemen
que les vaisseaux sont usures, mortifiés, par l'effet simultané des
pressions
intérieure et extérieure. Leurs parois doivent
lors également que la fréquence de ces hémorragies augmente avec la
pression
, ce qui est bien le cas ici. L'hémisphère droit o
que cela ait soumis la moitié inférieure du lobe oc- cipital à une
pression
particulièrement intense et qu'ainsi s'explique
et dans l'oblongala. La région de la protubérance est déformée par
pression
agissant de droite en haut vers la gauche et en
lles extrêmement gonflées et proéminentes, bref les symptômes d'une
pression
iutra- crânienne augmentée, bien qu'il n'ait pa
ubite d'une certaine quan- tité de liquide détruisit l'équilibre de
pression
dans les cavités crânienne et rachidienne. Il e
es les précautions en vue d'éviter un changement trop brusque de la
pression
, aurait pu, ou bien déceler la situation exacte d
minuscules ; de plus, ils sont incurvés sur eux-mêmes, comme si une
pression
les avait arrê- tés dans leur développement.
le rebord orbitaire supérieur et inférieur, très douloureuses à la
pression
(Pl. LXIX). Le 23 mars, les taches ont considér
lus trace d'ecchymose le avril, mais la région reste sensible à une
pression
légère. Le 6 mai, au retour d'une permission pa
eure du col paraît d'ailleurs comme usée par les frottements et les
pressions
. Le grand trochanter, du fait de la fermeture d
eur hémimélie avec absence du péroné est due vraisemblablement à la
pression
purement accidentelle du capuchon amniotique tr
d'aucune douleur, ni même d'aucune sensibilité anormale, et que la
pression
et la palpation n'y étaient nullement pénibles.
çà et là, quelques pertuis assez volumineux d'où s'é- coule par la
pression
une très petite quantité d'un liquide visqueux, t
llement elles devinrent dures comme l'os lui-même et indolores à la
pression
; actuellement elles sont dans cet état. Les ar
'un oedème ou mieux peut-être d'un pseudo-oedème dur, élastique. La
pression
, même énergique, n'est pas dou- loureuse, et le
ui que les oedèmes sont sous la dépendance d'une augmentation de la
pression
osmotique, elle- même en rapport avec la répart
de est absolument contre-indiquée. Les douches tièdes à très faible
pression
,générales ou locales (sur les muscles contrac-
ouvais avant ma période de lit. Une autre conséquence a été la sup-
pression
des oscillations de bas en liaut et une plus gran
immo- bilisation devant la glace ; je ne ressens presque plus cette
pression
un peu douloureuse que j'éprouvais à gauche du
server le phénomène de Ch. Bell, non seulement chaque fois z que la
pression
de l'oeil est complète, mais aussi comme j'ai pu
xe causé par la stimulation mécanique produite sur la cornée par la
pression
de la paupière supé- rieure qui s'abaisse. Cepe
mme ordinaire. Si on lui fait serrer le dynamomètre, on voit que la
pression
qu'il peut donner est seulement de 29 ki- logs
auche ; la môme recherche étant répétée plusieurs fois de suite, la
pression
devient souvent un peu plus forte, mais de 2 ou 3
it que l'hyperhémie de la substance blanche dépendait surtout de la
pression
négative qui se forme sous l'influence de la su
r sans changement dans le volume de son contenu doit y produire une
pression
négative qui, à son tour, amènera une hyperhémie.
négative qui, à son tour, amènera une hyperhémie. L'influence de la
pression
négative se fera sentir plus fortement sur les
faisant dépendre l'hyperhémie de la substance grise également de la
pression
négative produite dans le canal central, je ne ni
on. Nous laissons ouverte la question à savoir si l'influence de la
pression
négative présente la somme de tous ces facteurs
ière et de la dure-mère ; l'allongement de cette dernière amène une
pression
négative dans sa cavité, l'hyperhémie des ménin
LADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 21 est de même pour le canal central. La
pression
négative produite de cette façon dans le canal
la dure-mère rachidienne, avec celle de la dure-mère crânienne, la
pression
négative doit avoir une influence sur l'encépha
quent elle modifiera avant tout les symptômes provoqués par la com-
pression
que celle-ci exerce sur les éléments nerveux. I
riences de lIoppe-Seyler et de Paul Berl ; les animaux soumis à une
pression
atmos- phérique considérable étaient tués sur l
t se guider sur les données théoriques suivan- tes : l'action de la
pression
résulte de la distension de la névroglie et de
s douleurs et d'autres manifestations morbides résultant de la com-
pression
des fibres, nous devons avoir recours a des diste
douleurs, mais même elles n'agissaient pas sur la température. Les
pressions
exercées avec toute la main calmaient les douleur
portait sans grande incommodité une vessie pleine d'eau chaude, les
pressions
fortes calmaient les douleurs, et les vomisseme
ées et il n'y avait pas de changement dans l'aspect de la peau. Les
pressions
faibles augmen-. taient les douleurs qui étaien
ns faibles augmen-. taient les douleurs qui étaient calmées par les
pressions
fortes ; la compres- sion des surfaces articula
utes températures. lorsqu'elles se développent simplement comme ex-
pression
de la névrose, n'offrent point de gravité et ne p
ntaires des fléchisseurs à l'avant-bras droit. - B. Inscription des
pressions
produites par la 11-xion volontaire des doigts. C
au-dessus de lui, à l'endroit où les téguments s'enfoncent sous la
pression
du doigt. La ligne horizontale menée par ce poi
égularité. Aucune région n'est douloureuse, ni spontanément, ni il la
pression
! i ou il la percussion. Les modifications de l
mbaire. « La 9° apo- physe dorsale est épaissie et douloureuse a la
pression
; la 7° et la 8° sont, elles aussi, douloureuse
a la pression ; la 7° et la 8° sont, elles aussi, douloureuses à la
pression
, mais a un moindre degré; un intervalle exa- gé
de part à la production de la cyphose lombaire. En cette région, la
pression
, la percussion provoquent une sensation désagréab
baires diminuent peu à peu, mais il subsiste comme une sensation de
pression
sur le rachis et les lombes ; il semblait au ma
près Kroenig. Enfin, le rachis peut être légèrement douloureux à la
pression
dans les régions précédentes. Traitement. Kroen
163 couchée. Les muscles contractures peuvent être douloureux il la
pression
ou à la traction. Les phénomènes persistent pen
iyne. -1.a scoliose liée if la sci;flictne; ou; pour employer l'ex-
pression
plus concise de M. Brissaud, la scoliose sciatiqu
alade montre que les muscles sonl con- tractures et douloureux à la
pression
. C'est là évidemment la cause directe de la dév
éprouvaient que plus le besoin de se trémousser pour employer l'ex-
pression
alors consacrée. Le trémoussoir eut paraît-il u
ait disparaître, mais la coloration revient presque aussitôt que la
pression
cesse, au contraire de ce qu'on voit dans la mala
mains, le malade est remar- quablement faible, on sent à peine leur
pression
et c'est tout juste si il atteint, par un viole
mme de son âge fait facilement monter jusqu'au 55°, 60° (échelle de
pression
). Il n'y a pas de tremblement. On ne constate p
alade les com- pare à des piqûres, à un broiement ; la marche et la
pression
des chaussures les exaspèrent, dételle manière
érieur est épaissi, la surface de la coupe, dure, laisse échapper par
pression
un liquide spumeux peu abondant. Toutes les par
ou deux points sur la crête iliaque ; 5" Le testicule gauche. Une
pression
, même légère, de tous ces points, provoque immédi
yeux. Je me permets d'expliquer ce résultat par la diminution de la
pression
sanguine dans la moelle à la suite du resserremen
sentais sous le mamelon avait grossi et durci notablement, et que la
pression
en faisait jail¬lir du lait. » — Tout récemment
é de la cavité abdominale, tandis qu'à droite il est flottant sous la
pression
du doigt exercée également du côté de l'abdomen.
pérités et à la direction des barbes, tous les mouvements, toutes les
pressions
s'exerçant sur ce corps donnent pour résultante u
uivant le trajet de l'ar¬cade dentaire supérieure, et produite par la
pression
des dents à ce niveau. La langue est refoulée s
erture, destinée au passage de l'aiguille, est bouchée par une vis de
pression
disposée comme celle d'un pressoir. VI. AIGUILL
oule perpendiculairement sur le poignet posé à plat, et amener par la
pression
le mercure jus¬qu'au zéro. La hauteur de chaque
ble ne point s'y être étendue. Par l'orifice, quand l'on exerce une
pression
continue sur la tu¬meur, il s'écoule un liquide v
eur. Celle-ci, quand elle existe, est provoquée par les chocs, par la
pression
, par l'exploration avec le stylet et surtout par
ut, pouvait se faire avec tous les doigts sauf avec l'auriculaire. La
pression
exercée par la main du malade était plus énergiqu
e K. La tige T est fixée à une table au moyen d'une presse P à vis de
pression
S. On donne à la tige la hauteur qui con¬vient au
cas échéant et on l'arrête dans cette position au moyen de la vis de
pression
S'. Après cet exposé de la construction de notr
isse peu à peu de force, sauf de rares exceptions. Voici l'énoncé des
pressions
dynamométriques exercées sur l'artère radiale, pa
ule médian, très-vasculaire, fut aisément arrêté à l'aide de pinces à
pression
continue fixées près des bords de l'incision. Deu
doigt en arrière du col, on sent un point résistant, dou¬loureux à la
pression
, et de ce point part une petite bride qui s'étend
e décolle, dans une assez grande étendue, des tissus sous-cutanés. La
pression
brusque d'une roue de voilure qui surprend obliqu
e au pied un contact qui a eu lieu sur la cuisse. La sensibilité à la
pression
des muscles est un peu émoussée. — Aux membres su
d'une blancheur mate, et ne présente pas de dilatations veineuses. La
pression
du doigt ne laisse aucune trace sur les parties t
parties tuméfiées, qui sont parfaitement exemptes de douleur : ni la
pression
, ni les mouvements, n'y réveil¬lent aucune sensat
rectum de 57°,8. 16 nov. L'œdème, oui ne se manifeste pas sous une
pression
légère, devient évident lorsqu'on presse fortemen
ique des tissus, et un amaigrissement assez mar¬qué. En outre, par la
pression
au niveau de l'hypochondre droit, on notait une e
au niveau de l'hypochondre droit, tumeur saillante, dou¬loureuse à la
pression
, et qui, parla percussion, se continuait sans lig
que pour produire une dépression même légère, il fallait exercer une
pression
considérable. Au bout de quelques jours le gonf
sonne de l'Arabe, que l'on pourrait croire exagéré, n'est que l'ex¬
pression
de la vérité : tous ceux qui ont visité l'Orient
21 déc. Les seins, médiocrement gonflés, ne donnent pas de lait à la
pression
. P. 80; T. V. 37°,4. — Soir. Les lochies sont tou
oir. Dou¬leurs vives dans les côtés du ventre qui sont sensibles à la
pression
. Les seins, gonflés, légèrement douloureux, donne
a fosse iliaque externe gauche ; le ventre est assez sou¬ple, mais la
pression
est pénible. La langue est sèche. — -Soir. P. 112
ne très sensible qui amènerait facilement une crise nerveuse par la
pression
. Cependant elle n'a ni hémianes- thésie, ni ane
normales, et également développées des deux côtés : le contact, la
pression
, la piqûre, les excitations galvaniques et fara
entre la décompression et l'invasion de l'accident. Sensation de
pression
à la nuque, engourdissements, anéantissement des
d'autres symptômes. Au bout de trois heures à midi, la sensation de
pression
à la nuque, les engourdissements, cet anéantiss
enre de symptômes sensitifs,nous devons rat- tacher la sensation de
pression
à la nuque, comme si une main le saisissait et
étourdissements; celle de 1'013SERVA-flON XXVI par la sensation de
pression
à la nuque, les engourdissements et l'anéantiss
l'épaule droite. La Archive, t. XII. , 6 82 CLINIQUE NERVEUSE.
pression
au niveau de l'apophyse transverse des trois dern
i generis, celle que donnerait une subs- tance molle cédant sous la
pression
, mais, le doigt enlevé, il ne subsiste pas d'em
itation est variable : on peut employer le massage, la friction, la
pression
soit avec la main, soit avec une bande élastiqu
it dans l'état cata- leptique, en exerçant sur le vertex une simple
pression
ou une friction légère. Cet état parait corresp
la con- tracture léthargique peut nécessiter au commencement une
pression
des masses musculaires énergique et prolongée pen
liystérogènes, grandes attaques). On cherche à l'hypnotiser par la
pression
sur les yeux ; la malade s'endort en léthargie et
eux, à la faire passer en catalepsie, mais on ne peut y réussir. La
pression
sur le vertex fait passer la ma- lade de la lét
s la recherche de l'appréciation par le malade de la sen- sation de
pression
, de douleur, du lieu d'application de la tem- p
a retard dans la trans- mission des sensations. La sensibilité à la
pression
est très émous- sée dans les deux membres infér
oits, îlots d'anesthésie complète. Sensibilité à la douleur et à la
pression
particulièrement diminuée. Hyperesthésie au fro
M. Ballet dit que les opérations cérébrales qui succèdent aux im-
pressions
de l'ouïe, quelles qu'elles soient, sont de trois
lquefois si aiguë que le malade est susceptible de recevoir l'im-
pression
acoustique la plus légère. Il entendra le tic-
EUSE. nutes, décompression brusque. Immédiatement après la décom-
pression
, à dix heures du matin, aphasie motrice. DftMS l'
es, pas de repas avant l'immersion. Immédiatement après la décom-
pression
et l'enlèvement du casque, impossibilité absolue
- prendre tout ce qui est écrit. ' Agraphie. Traitement par coin-
pression
. Immersion à 4 heures du soir. Retour de la parol
tions exactement identiques de profondeur, de séjour et de décom-
pression
. Il importe au point de vue étiologique de remarq
' 23 brasses, de douze à quinze minutes de séjour et d'une décom-
pression
brusque, il en fait une huitième dans les mêmes c
de la contracture par les manoeuvres que nous avons déjà signalées (
pression
avec les mains, avec une bande élastique, etc.)
e simullané des mouvements de la pupille et des modifications de la
pression
vasculaire montre qu'il n'y a pas de rapport en
flexe est plus courte que la période latente de l'augmen- tation de
pression
dans les carotides. Mais si l'on sectionne les
nchrone au rétrécissement des branches de la caro- tide. Lorsque la
pression
intra-oculaire augmente, la pupille se contract
a obtenu les résultats suivants : Si l'on comprime la carotide, la
pression
intra-oculaire diminue rapi- dement ainsi que l
siste. La respira- tion et les battements artériels influent sur la
pression
intra- oculaire, mais non sur la pupille. De
encore survenir à la suite de surmenage psychique. Patho- génie. La
pression
exercée par les tumeurs sur la muqueuse du nez
ne distingue nulle part une différence de 2 degrés. La sensation de
pression
est excessivement affaiblie ; dans la région de
n des deux crista* tibia;, le malade ne sent pas même la plus fo1te
pression
; dans les hanches il perçoit la pression et peut
ent pas même la plus fo1te pression; dans les hanches il perçoit la
pression
et peut même jusqu'à un certain point, en évalu
quent souvent des phénomènes parétiques et une douleur lors de la
pression
des grands troncs nerveux : aucun de ces phénom
24 brasses de profondeur, 't2 minutes de séjour au fond et décom-
pression
brusque sans accident. Quand il a fini la troisiè
deur. Impossible de définir le temps du séjour au fond, la décom-
pression
était brusque comme toujours. Il n'a plus senti a
e immersion de la journée, ci la profondeur de 23 brasses, décom-
pression
brusque, trente-cinq minutes au fond. Dix minutes
22 brasses de profondeur, une demi-heure de séjour azc fond, décom-
pression
brusque. Paraplégie double, deux heures de durée.
un grand nombre de fois à cette profondeur et avec la même décom-
pression
, sans accident, mais il importe de remarquer qu'i
ommencé, mais le malade détestant le cathétérisme tâchait,* par des
pressions
fortes à l'hypogastre, de provoquer la sortie d
du côté des sphincters, ni hypéresthésie cutanée ; dou- leurs à la
pression
le long des troncs nerveux ; réllexes cutanés e
issement de la), par Freund, 309. Morphinomanie guérie par sup-
pression
brusque, par Christian, 119. Myélite aiguë d'
s des hystériques dont les membres du côté anes- thésié donnent une
pression
inférieure de 10 ou 15 kilo- grammes à celle de
la force des membres, je me suis tou- jours servi du dynamomètre de
pression
ordinaire. Pour le membre supérieur, l'instrume
pres- sion. Or, le- membre supérieur donnant à l'état normal une
pression
notablement plus forte que le membre inférieur,
, les membres paralysés sont inca- pables d'exercer, la plus légère
pression
sur le dynamomètre; dans les paralysies incompl
- tion normale. Chez ces malades, la main paralysée développe des
pressions
différentes selon qu'elle est aidée ou non par
ie, c'est que, dans l'hémi- plégie d'origine cérébrale, la force de
pression
mesurée par le dynamomètre ne donne pas la mesu
Malgré cette égalité complète ou presque complète de la force de
pression
dans les membres symétriques, les malades auxqu
16) est dans ce cas. Ses deux mains donnent chacune 18 kilogr. de
pression
, et, malgré tout, elle sent que sa main droite
ins malades, les membres du côté paralysé peuvent même donner une
pression
plus forte que les membres symé- triques du côt
ui peuvent marcher seuls, avec ou sans canne, n'ont qu'une force de
pression
très modérée dans les membres inférieurs , tand
mène seul, sans canne, dans l'hospice et dans la ville. La force de
pression
des membres inférieurs est cependant relativeme
équille ou en se soutenant contre une table. En résumé, la force de
pression
ne donne pas la mesure de l'impotence fonctionn
deux membres inférieurs déve- loppaient exactement la même force de
pression
, et cependant ces malades ne pouvaient ni se te
ure, sont intacts sur toute l'étendue du corps. La sensibilité à la
pression
est peut-être diminuée à droite. Les pièces de
26 S,OCIRTES SAVANTES. de ce côté; de là les trois fractures et, la
pression
s'effectuant vers les régions antérieures droit
avec mouve- iiients de déglutitioii forcés, nausées,sentiiiieiit de
pression
céplialique avec étourdissements (oscillations
ré; enfin les plus grandes précautions étaient prises pour que la
pression
fût autant que possible toujours la même des de
ous sommes efforcé de démontrer le mode de production par choc ou
pression
latérale agissant obliquement de bas en haut et d
ciale des zones hystérogenes siège pro- fondément ; il n'y a que la
pression
qui la révèle. Les zones hystérogenes des membr
l n'est pas indispensable à sa production qu'une augmentation de la
pression
intra-. labyrinthique existe auparavant, comme
aines conditions de relâchement des tissus, cet accroissement de la
pression
se produit subi- tement, par un déplacement en
chant de se porter vers la caisse, et concentrant ainsi toute la
pression
dans la cavité du labyrinthe. Excès de mobilité
li pour les sous crâniens ou solidiens. Les expériences au moyen de
pressions
centripètes -opérées sur le'tympan, ne laissent
enait immédiatement une éjaculation occasionnée non pas par l'im-
pression
de la femme, mais par celle des clous. Plusieurs
oser l'extrémité de sa verge sur les clous, pour que, sans aucune
pression
de la main, l'éjaculation eût lieu 'aussitôt. A
s'il appuie sa main sur son bas-ventre, il arrive, par une légère
pression
, à augmenter l'intensité du spasme, et à en prolo
et si la femme qui les porte est jeune, jolie et élégante. L'im-
pression
est parfois telle, qu'il est sur le point de s'év
tabliers blancs ; ordonnance de non-lieu pour le dernier vol. Dé-
pression
mélancolique; tendances au suicide. C... (Augus
la substance grise s'était transformée,' sous l'in-, fluence de la
pression
exercée par la tumeur, en un simple faisceau) d
mentale. Nous voyons d'abord la grande faculté d'adaptation à une
pression
lente et croissante, dont jouissent les tissus de
e le système nerveux central se distingue des autres organes par la
pression
de deux sortes de tissus conjonc- tifs. Il poss
e simple contact des vêtements exagère ses souffrances, jamais la
pression
violente. Ces phénomènes peuvent exister sans n
on fait l'organe. Que si, comme chez le nouveau-né, l'équilibre des
pressions
peut se rétablir par l'expansion des sutures et
lésions anatomiques, dans leurs rapports réciproques. L'idée de la
pression
exercée par la pie-mère enflammée sur les racines
ne renfermant pas d'éléments; et surtout elle nous a montré que la
pression
du liquide céphalo-rachidien était augmenté d'u
r l'augmentation de lai TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 7
pression
du liquide céphalo-rachidien, dans les résultats
la région préganglionnaire par un liquide céphalo-rachidien à haute
pression
, d'autant que la tension de ce liquide est fréq
pour le pronostic, car elle implique une exagération énorme de la
pression
du liquide céphalo-rachidien et indique la gra-
lion.-VII. Impossible de localiser séparément les modalités des im-
pressions
olfactives, les classât-on simplement en impressi
ar- rière. Paralysie atrophique bilatérale de la langue par com-
pression
probable des deux hypoglosses ; par le Dr DECROLY
vertébral sous-occipital avec luxation du crâne en arrière et com-
pression
des deux nerfs hypoglosses à leur sortie des trou
i laissé la possibilité d'exercer son action sur le coeur et sur la
pression
du , sang. Mais le liquide thyroïdien conservé,
mment, entre le goitre, première étape du crétinisme, selon l'ex-
pression
bien fondée de More], et l'épilepsie. Dès 1890,
. Myosis permanent, signe d'A. Robertson, analgésie du globe a la
pression
, rétrécissement des artères du fond de l'oeil. Do
ens musculaires, de position stéréognostique; les sensibilités à la
pression
de la trachée, du testicule des nerfs radial et c
Lorsque, tout à coup, un'flot de sang pur fera irruption sous une
pression
de 150 à 200 millimètres de mercure, au milieu de
le moindre contact arrachent des plaintes à cette pauvre femme. La
pression
des masses musculaires et des points d'émergenc
onnelle des membres, l'atrophie musculaire, les vives douleurs à la
pression
des nerfs et des muscles, les signes stéthoscop
du plexus lombaire et sacré avec douleurs également intenses à la
pression
des troncs nerveux. C'est à ce moment une véri-
ension ; toutefois lorsque la main est en extension, la plus légère
pression
à la face dorsale suffit à l'amener en flexion,
oustique dérive de la sensation tactile et tient à une variation de
pression
moléculaire, ce qui vient à l'appui des faits d
SEXUEL DE L'IMPULSION MUSICALE. 371 1 La moyenne totale de ces dix
pressions
dynamométriques est la suivante pour chaque mai
de.28,2, pour la main gauche de 28,0. L'écart moyen des diverses
pressions
par rapport à leur moyenne brute respective éta
te et de 2,4 pour la main gauche. Le graphique de la variation de
pression
par rapport à leur pression moyenne est intéres-
gauche. Le graphique de la variation de pression par rapport à leur
pression
moyenne est intéres- sant et éloquent. Il dém
muscu- laire saisissable par une diminution dans l'intensité des
pressions
dynamométriques. L'observation courante directe
t dans son adaptation régulière et précise. III L'augmentation de
pression
sanguine, qui accompagne l'excitation sexuelle,
jet des rapports de l'activité motrice et de l'augmen- tation de la
pression
sanguine : « Cet effet 1 (élévation im- médiate
e la pression sanguine : « Cet effet 1 (élévation im- médiate de la
pression
artérielle) se produit au moment même du passag
vation suivante, véritable recherche expérimentale, ' C. POT11V. La
pression
artérielle de 'l'homme lc l'élal normale ! el p
UEL DE L'IMPULSION MUSICALE. 373 comme exemple de l'élévation de la
pression
sous l'in- fluence de l'excitation sexuelle.
ngt-cinq ans, servait de sujet d'expé- riences pour la mesure de la
pression
sanguine avec le sphygmo- manomètre de Ilono,
nt ressentie. On observa à ce moment une augmentation notable de la
pression
sanguine, à tel point que la contrepression, qu
150 et même 160 millimètres. Ces derniers chiffres indiquent une
pression
sanguine très élevée, et qu'il est rare de rencon
il est rare de rencontrer dans les recherches sur l'évolution de la
pression
du sang. Le- sujet avait le facies d'une person
ontre la réalité de ce phénomène biologique, l'augmen- talion de la
pression
sanguine, sous l'influence d'une excita- tion p
psycho-moteur, modifications dans la mani- festation desquelles la
pression
sanguine joue un des pre- miers rôles. 374 PH
chologique d'image motrice, 1 5° Enfin, l'élévation brusque de la
pression
sanguine sous l'influence d'une excitation sexu
, et les deux sphères se trouvent alors plus ou moins déformées par
pression
réciproque, tandis que la capsule ne subit, le
sité congénitale. R. de Musgrave-Clat. LXIX. Sur les rapports de la
pression
intra-crânienne et sur les phénomènes de la com
de ralentissement des pulsations cardiaques, avec abaissement de la
pression
et d'accélération des battements suivis d'augme
ession et d'accélération des battements suivis d'augmentation de la
pression
. Ce n'est que rarement que la fréquence du coeu
Ce n'est que rarement que la fréquence du coeur et la hauteur de la
pression
se manifestent de façon indépendante. Du côté de
porteur. Cette méthode repose sur le principe des variations de la
pression
osmotique du liquide céphalo-rachidien par rapp
Trépanation au niveau d'un point de la calotte très douloureux à la
pression
, correspondant au pied de la frontale ascendante-
ion sur deux symptômes en particulier : la douleur locali- sée a la
pression
d'une part, et la fièvre d'autre part. Le foyer d
rs de toute action initiale sensilive, sous nne simple variation de
pression
ou de composition du sang (action chimique) qui
ional, ralentissent et affaiblissent la res- piration, abaissent la
pression
sanguine, affaiblissent le contrôle vaso-moteur
à disposition périphérique, l'existence d'un point douloureux à la
pression
sur le trajet des nerfs ne laissent aucun doute s
culaire. Pas d'Argyll. Tous les troncs nerveux très douloureux à la
pression
, de même que les masses musculaires. ' Poliom
luuilée àla zone du médian, par Daillville. 312. - bulbaire, voir
Pression
intracranienne. Concours d'internat en médecine
PoTT. Cavités médullaires et mal de , par Tnomas et llauser. 21l.
Pression
1\TR.1-CR.1\II : \E. Sur les rapports de la - e
r, les muscles se raidissent soudain de plus belle pour résister à la
pression
, ce n'est pas non plus la volonté personnelle de
ion, et je constate qu'il est partout mou, dépressible, indolore à la
pression
profonde ; je constate ensuite qu'il est partout
lètement disparu ; elle n'a plus jamais reparu, ni spontanée, ni à la
pression
. Cette douleur était donc purement suggestive et
de la zone marquée par le crayon rouge, qui réagit très vivement à la
pression
, on ne détermine aucune sensibilité. Remarquez
note qu'on emploie le pétrissage, les frictions, l'effleurage et les
pressions
avec le plus grand succès. Aux Indes, les masse
la hauteur du rachis, particulièrement dans la moitié supérieure, la
pression
au niveau des apophyses épineuses était très doul
apophyses épineuses était très douloureuse, très douloureuse aussi la
pression
des muscles du cou et du membre supérieur droit.
trois fois par jour, durant une à deux heures; on la développe par la
pression
; elle ne l'empêche pas de dormir; elle ne le rév
e. Il accuse surtout une douleur abdominale vive, spontanée et à la
pression
, au niveau et au-dessous de la région ombilicale.
au-dessous de la région ombilicale. Cette douleur est très vive à la
pression
. Je la localise à volonté dans la région sus-ingu
presque disparu; mais, à l'abdomen, elle est toujours très vive à la
pression
; elle occupe nettement les régions sus-inguinales
colonne vertébrale, depuis le sacrum jusqu'à la région cervicale. La
pression
la développe surtout dans la région lombaire. 11
ins de l'abdomen, bien que le ventre soit toujours très sensible à la
pression
. Il a toujours un peu de contriction à la gorge.
, à celle constatée chez son frère. Cette région est douloureuse à la
pression
. La prétendue bosse n'est autre chose qu'une sail
nt également moins fortes. J'évite d'ailleurs de les réveiller par la
pression
. Le 22, le mal de tête disparait un peu; la dou
uleur de ventre a presque disparu. Le ventre n'est plus sensible à la
pression
. Continuation des pilules. Le 23, le mal de têt
le 2i, une douleur dans les mollets, surtout quand il est levé. A la
pression
, la partie postérieure des jambes est très doulou
mme convalescent. On ne détermine plus d'ailleurs aucune douleur à la
pression
. Le malade quitte l'hôpital, guéri, le 12 janvi
une étendue de deux à trois travers de doigt au-dessus de l'aine. La
pression
de cette région fait pousser des cris au malade ;
aussi douloureuse. La région axillaire droite est très sensible à la
pression
dans sa partie inférieure depuis le 7e espace. Le
pathologique, probablement une altération, qui fait que toutes les im
pressions
sont viciées et transformées par lui ; les impres
les malléoles, comme un engourdissement douloureux, et s'exagère à la
pression
. De plus, toutes les nuits il est réveillé une ou
mbe et de l'avant-bras ne présentent aucune sensibilité spéciale à la
pression
; il n'y a pas d'atrophie musculaire, ni autre lé
e, il n'est pas d'organe plus approprié à la mesure des variations de
pression
extérieure que l'oreille; et ces perceptions que
alades atteints d'athérome auriculaire ; les uns redoutent les fortes
pressions
, les autres ne peuvent habiter la montagne ; tous
l'appareil musculaire pendant le sommeil. On ne peut stimuler par une
pression
momentanée que les muscles qui ne sont pas couver
un tour autour de la plante pour l'empêcher de se déplacer. Par cette
pression
, une flexion plantaire avait lieu, la position du
deux gants, généralement pas boutonnés, afin d'éviter une trop grande
pression
aux artères. Sous la pression de gants étroit
nnés, afin d'éviter une trop grande pression aux artères. Sous la
pression
de gants étroits, toutes les articulations de la
périences ont été faites par moi seul. Ainsi, j'appliquais au dos une
pression
par des bûches (trois, généralement) qui étaient
sultat, dans ces cas, accusait une influence pendant le sommeil ; une
pression
qui avait été trop forte, le soir (beaucoup plus
usculaire un effet persistant. Conclusion : L'influence causée par la
pression
musculaire, le soir, est, comme telle, insignifia
leur contractilité électrique. Souvent môme la plus simple manœuvre,
pression
sur le voile avec le miroir ou tout autre attouch
es remarques très importantes sur l'influence de la variabilité de la
pression
ou' de la tension du fluide nerveux. En 1889, le
ire. 11 existe de l'hypersensibilité de toute la peau, la plus légère
pression
détermine des soubresauts et même comme des bonds
oint de dormir. Dans des cas plus rebelles, Zaou-sailoiT recours à la
pression
exercée sur les globes oculaires et à l'applicati
ant tout le temps que dure la station verticale, lorsque la moindre
pression
du membre malade sur le sol est douloureuse.
cision anatomique irréprochable. Cette douleur est exaspérée par la
pression
d'un point quelconque du trajet du nerf- La fle
a poitrine; douleur très vive à l'hypogastre, s'exas- pérant par la
pression
; matité dans la même région; n'a pas uriné depu
lents suivis de sueurs abondantes. Le 14. Abattements profonds ; la
pression
de l'abdomen provoque la sortie de matières féc
in de Darmstadt, et avait travaillé dans un caisson d'abord sous la
pression
d'une atmosphère, plus tard sous celle de deux
ard sous celle de deux atmosphères, et du 18 au 26 juillet, sous la
pression
même de trois atmosphères. Au cours de ce trava
août : le temps du travail était habi- tuellement de six heures; la
pression
variait de une à trois et deux dixièmes d'atmos
pendant dix-huit heures, avec de très brèves interruptions, sous la
pression
d'une atmosphère et six dixièmes sans accident. Q
t après sa sortie du caisson dans lequel il avait travaillé sous la
pression
de trois atmosphères et deux dixièmes pendant s
'hyperhémie collatérale. Sous l'influence de l'aug- menfation de la
pression
, les vaisseaux se dilatent et dans un bon nombr
érale dans les vaisseaux perméables; l'augmentation excessive de la
pression
en amène la rupture, de là l'hémorrhagie. Nou
testinale ; tympanisme : on vidait la vessie deux fois par jour. La
pression
de la colonne ver- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI D
ion de la moelle épinière causée par une diminution brusque de la
pression
barométrique». Ce travail intéressant est basé
e après la sortie du caisson, a senti subitement une sensation de
pression
au creux épigastrique, une gêne de la respiration
Ns L et LI doivent être rattachés, croyons-nous, à un changement de
pression
intra-Iabyrinthique dû à la présence de gaz dan
ien facile. Ne sait-on pas, en effet, qu'il suffit d'augmenter la
pression
du liquide labyrinthique, pour qu'immé- diateme
est refoulée par la compression contre la mem- brane du tympan; la
pression
exercée se transmet par l'intermédiaire delà ch
vertige réapparaît. Mais notons bien que ce mode d'augmentation de
pression
intra-labyrin- thique, ne peut enaucune façon p
me devrait faire son apparition au fond de la mer, durant la com-
pression
et non pas après la montée, immédiatement après
PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. il suraugmentation instantanée de la
pression
intra-laby- rinthique par les compressions, et
DENTS PAR L EMPLOI DES SCAPHANDRES. / / On sait qu'avec ces faibles
pressions
le sang artériel devient plus riche en oxygène
es du sens musculaire; ils renferment aussi celles du tact, de la
pression
, etc., et tous ces modes de la sensibilité géné
es volontaires, comme dans l'incoordination, mais qui donne l'im-
pression
de ce que les cliniciens appellent l'ataxie cér
ns bonne à droite. Odorat et goût, normaux des deux côtés. 26. La
pression
sur la région ovarienne droite détermine une se
mpreinte, de la dimension d'un oeuf de poule,s'apla- tissant par la
pression
et contribuant encore à faire paraître le cou p
- dait, aboyait, hurlait exactement comme ses semblables. Les im-
pressions
sonores ne déterminaient aucune réaction motrice
intestin ainsi qu'en témoignent les vomissements, la sen- sation de
pression
abdominale, de vertiges et de coliques. La vari
; diminution de l'excitabilité électrique; sensibilité des os à la
pression
; conservation des réflexes patellaires. Et cepend
ent produit du gonflement et un certain degré de sensibilité à la
pression
. Inanité des nervins, de la galvanisation, de l'h
ysiques suivants de la neurasthénie patho- génétique : sensation de
pression
de la tête, insomnie, accès de sténocardie, spa
douloureuses tant spontanées que développées par le frôlement ou la
pression
profonde. Ici le malade n'ac- cuse aucune de ce
ui a com- plètement disparu aujourd'hui, et de la douleur à 'la .
pression
des muscles du mollet, qui persiste encore aujo
à un nombre quelconque, de 1 à 20 par exemple. On exerce de légères
pressions
successives (sans que le malade le voie) sur le
. Dans cette expérience, le nombre lia été pensé consciemment; la
pression
n'a pas été perçue, et la réponse a été inconsc
cérébra- tion volontaire (ou involontaire) fait entrer cette im-
pression
dans la conscience; 2° le temps nécessaire pour
divisa la folie systématique ou Wuhnsinn (il avait répudié l'ex-
pression
de monomanie) en'folie systématique primitive ou
iode précoce, il 26 l BERTOLOT'I I y aurait eu augmentation de la
pression
endocranienne. L'on sait aussi que plusieurs au
èse que cette malfor- mation crânienne fût sous la dépendance d'une
pression
cérébrale exagé- rée. Or, cette question n'a pa
vèlent deux faits importants et indiscutables : en premier lieu une
pression
endocranienne augmentée, et en deuxième lieu un
ssemblés, nous devons tâcher de nous expliquer le méca- nisme de )a
pression
endocranienne. H ressort à première vue que l'hyp
ence réside dans le fait que, dans l'hydrocéphalie de l'enfance, la
pression
cérébrale trouve bon jeu dans ! 'épanchement de
xycépha- lie, le crâne antérieur étant enclavé par la synostose, la
pression
hydrau- lique agit dans quelques endroits limit
ion cérébrale du premier âge, m'ont démontré que le mécanisme de la
pression
hydrauli- que du liquide intraventriculaire est
eur insiste sur l'état inégal et atrophique des os déterminé par la
pression
des circonvolutions qui se retrouve dans les crân
s faites par SchÜl1er avaient déjà mis en relief les changements de
pression
cérébrale dans le crâne. Voir à ce propos : A.
cas de Marinesco prouve que, à la suite de l'hydrocéphalie, la com-
pression
de la Lige de l'hypophyse peut produire des (roub
que une ponction lombaire qui donne sortie à un liquide clair, sous
pression
moyenne. Centrifugé et examiné au microscope on c
e ponction lombaire qui laisse sortie à un liquide clair sous forte
pression
. L'examen du liquide montre une lymplio- cylose
donne pas- sage à une grande quantité de liquide et sous une forte
pression
, ce qui prouve que la communication du liquide
musculaire ; de ce fait, la force est très diminuée ; l'échelle de
pression
du dynanomètre indique une moyenne de 11 ldlogs
Du côté du tube digestif, on ne note qu'une douleur très vive à la
pression
sur tout l'abdomen mais particulièrement à l'ép
insi que d'une partie de leur enveloppe durale ; en conséquence, la
pression
cérébrale et la vascularisation ont subi des mo
es sphinctériens. Les nerfs ne semblent pas augmentés de volume, la
pression
profonde n'est pas anormalement douloureuse. La
e qui reçoit de l'ensemble du corps et qui transmet à l'àme les im-
pressions
venues du monde extérieur, l'organe qui, d'autre
ns très fines (1 et même moins), lorsqu'on soumet la gélatine à une
pression
mécanique ou à la force centrifuge lorsqu'il s'ag
e effet dans les mêmes circonstances qu'en faisant usage d'une com-
pression
très considérable. Il est à remarquer ensujte que
es altéra- tions chimiques du neuroplasma et les oscillations de la
pression
osmoti- que qui en sont la conséquence ainsi qu
embres inférieurs. Le trajet du sciatique droit est douloureux à la
pression
, et c'est à la région mal- léolaire que siègent
jet des nerfs sciatiques de points particulièrement douloureux à la
pression
. Troubles vaso-moteurs. - Refroidissement des e
Hypertrophie des troncs nerveux, sans nodosités, sans douleurs à la
pression
. Diminution considérable de la sensibilité superf
e gauche, mais persistent à droite avec leurs mêmes caractères ; la
pression
des troncs nerveux, la manoeuvre de Lasègue ne
leurs spontanées ont presque disparu ; toujours pas de douleur à la
pression
des muscles et des troncs nerveux ; il existe u
ué uniquement par des cellules graisseuses juxtaposées, tassées par
pression
réciproque, sans organisation conjonctive, sans
l'épaule gauche bien que l'observateur cherche à l'en empêcher par la
pression
de la main, il y parvient beaucoup moins bien à
nts, le sens pallastbésique, le sens stéréognostique et celui de la
pression
sont bien conservés. La vue (acuité, étendue du c
nons d'adopter. Ainsi, par exemple, il y avait une diminution de la
pression
artérielle dans la radiale droite, et cela corres
éthodiques de Guillain, qui remarqua que, chez les myopathiques, la
pression
artérielle oscillait entre 11 et 14 cm. de merc
eure de la périphérie du faisceau antérieur; à droite par contre la
pression
s'exerce sur l'endroit correspondant à la ceintur
éinée tuberculeuse sur la dure-mère hypertrophiée ; d'autre part la
pression
exercée provoquant une circulation irrégulière
hidien dans les veines méningées et les espaces lymphatiques, cette
pression
expli- que également les lésions dont il s'agit
sans effet sur le cours de la maladie et sur les phénomènes de com-
pression
. Si nous représentons l'ensemble des symptômes cl
tifs ou passifs de la tête, de la ceinture scapulaire et pendant la
pression
de la partie cervico-dorsale de la colonne vert
d'anormal du côté du coeur, des poumons et des autres viscères. La
pression
maxima au Pacbon est 160, celle minima 120. Pas
. Le sens des attitudes est conservé, ainsi que la sensibilité à la
pression
. Les vibrations du diapason sont perçues faible
a révélé ni sucre ni albumine. Examen du liquide céphalo-rachidien.
Pression
minime (liquide sortant par gouttes), aspect no
ant forment un Z. Le médius et les pieds sont intacts. 9908. - La
pression
réciproque du sternum et du pubis est encore plus
pas une localisation des douleurs. Ponction lombaire. Liquide sans
pression
. Pas de lymphocytes. La malade a suivi un trait
cutané. On ne peut pas déterminer la contrac- tion de ce muscle par
pression
sur le pisiforme alors que ce réllexe existe a
très augmentés de volume et contrastent avec le reste du corps. La
pression
du doigt ne laisse pas d'empreinte. La peau, douc
ion du coeur, mais un deuxième bruit aortique un peu claquant. La
pression
artérielle est, au spnygmomanomètre de Pachon, de
fection, l'impossibilité du pincement, l'absence de godel t sous la
pression
du doigt, la forme cylindrique de la cuisse, l'ab
multiloculaire ; que les cas typiques sont caractérisés par la com-
pression
des éléments nerveux sans dégénérescence, que les
s historiques. D'après eux, l'individu n'apparaît que comme l'ex-
pression
des manières de voir de la masse, comme la plus .
nstitutifs du nerl sont le siège d'une dégénération lente due à une
pression
graduelle et persistante, oblitérant sa conduct
rale sensible au niveau de la 2" vertèbie lombaire.; En ce point la
pression
était douloureuse. Diminution appréciable.' de
à percevoir les impressions tactiles et la conservation des sens de
pression
de température et de douleur sont suffisantes p
ns beaucoup de cas les accidents de com- SOCIÉTÉS SAVANTES. ' lg9
pression
carcinomateuse de la moelle et des racines ne rel
lle présente une hémianesthésie totale gauche avec hémiparésie : la
pression
au dynamomètre indique une force de 15 kilos po
onjonctive : mais sa recherche provoque la sécrétion des larmes. La
pression
du globe oculaire est douloureuse et normale à
sa moitié gauche : la moitié droite seule réagit sous l'effet de la
pression
. Les réflexes abdominaux supérieur et infé- rie
ombaire, anesthésiquo à gauche, réagit à droite assez vivement à la
pression
. Les fonctions rénales s'exécutent parfaite- me
celle du bras, à 15 centimètres au-dessus de l'olécrâne = 23m,5; la
pression
dynamométrique est de 17 kilos. Les sensibilité
pason (Hgger) -, est aussi nerveuse (réaction douloureuse nulle par
pression
du cubi- 'LÔ(j CLINIQUE NERVEUSE. tal), ainsi
ue celui-ci est aveugle, ou parce qu'il fait abstraction de l'im-
pression
reçue vision monoculaire 1. » De même que l'hys
ssion auditive reçue dans la surdité hystérique complète, des im-
pressions
olfactive, gustative et cutanée dans l'anosmie,
ent= ». En effet, nous savons bien, chez l'hystérique, qu'une im-
pression
quelconque, reçue par un appareil sensoriel qui
omme dans lés maladies infectieuses, il y a des modifications de la
pression
artérielle, dues à l'action de l'agent toxique
les ont une coloration rouge, pourprée, ne disparaissent pas par la
pression
. Leur maximum de confluence est au niveau des c
relativement au chloral, très peu d'action sur la respiration et la
pression
sanguine ^pour ralentir la première et diminuer
rier 1900); , par le D1' REBOUL. 11. La sensibilité oculaire à la
pression
et ses modifications dans le tabes (avril 1900)
nnervation de l'oeil, étudie ensuite la sensi- bilité oculaire à la
pression
, ses caractères normaux et son inter- prétation
ou diminuée, ou abolie, il résulte que la sensibilité oculaire à la
pression
peut être modifiée dans des mala- dies d'ordre
nt : 1° l'augmentation qui constitue l'hyperalgésie ocu- laire à la
pression
; 2° la diminution ou hypoalgésie oculaire à ha
laire à la pression ; 2° la diminution ou hypoalgésie oculaire à ha
pression
; 3° l'abolition ou analgésie ci la pression. Si
poalgésie oculaire à ha pression; 3° l'abolition ou analgésie ci la
pression
. Si l'hyperalgésie est rare, l'analgésie est pl
née à la tempéra- ture s'abolit ensuite : Enfin la sensibilité à la
pression
est perdue. Le pincement, la piqûre, la pressio
a sensibilité à la pression est perdue. Le pincement, la piqûre, la
pression
sont longtemps perçus comme tels puis comme sen
t la première, puis apparaissent successivement la sensibilité à la
pression
, la sensibilité thermique, les sensations de ch
tallation de l'analgésie cutanée. Quand celle-ci est com- plète, la
pression
énergique des muscles, la percussion forte des
s ne disparaît point tota- lement. La sensibilité testiculaire à la
pression
peut per- sister dans une analgésie dépassant l
on spermatique avait perdu toute sensibilité au pince- ment et à la
pression
. Modifications DES réflexes. 1° L'abolition des
dans un cas la conservation du réflexe pupillaire à la douleur par
pression
d'une région pathologiquement douloureuse mais
nes génitaux internes sans provoquer la moindre souffrance, mais la
pression
de l'utérus ou des annexes droites faisait appa
e souvent de l'hyperesthésie, des zones hystérogènes dont la com-
pression
arrête une crise, et possédant des lieux d'électi
eux, piriforme et tendu avec une aréole beau- coup plus marquée. La
pression
du sein en masse, le pincement de l'aréole, son
l Science, octobre 1900.) Au cours d'une série de recherches sur la
pression
artérielle chez les aliénés, les auteurs ont ét
appés de ce fait que, dans les cas de mélancolie aiguë au début, la
pression
artérielle pré- sentait une marche plus ou moin
ur, avec tendance à l'irrégularité, atteignant 90 à 120 par minute.
Pression
artérielle élevée 140 à 180 millimètres ; 3° tem-
vantes chez les mélan- coliques à l'état aigu : 1° diminution de la
pression
sangnine; 1° augmentation de l'excrétion de l'u
hute surles pieds, une chute d'un corps pesant sur les épaules, une
pression
se produisant brusquement dans le creux du jar-
4.) Pour démontrer que la gêne circulatoire provoquée par la com-
pression
de la moelle à la région cervico-dorsale n'est po
iminution du' » calibre des artères cérébrales, une élévation de la
pression
arté- rielle et une diminution de la pression i
, une élévation de la pression arté- rielle et une diminution de la
pression
interne du crâne. Après la suspension ces phéno
dissement du calibre des artères cérébrales, un abaisse- ment de la
pression
artérielle et une élévation de la pression. int
, un abaisse- ment de la pression artérielle et une élévation de la
pression
. interne du crâne. Il résulte une hyperémie du
, Visuelles. Recherches expérimen- tales sur la mémoire des im-
pressions
, par Guerwer, 225. Vomissements incoercibles gu
que est le siège d'une sensibilité exquise, exagérée par la moindre
pression
superficielle. Cette plaque d'hyperesthésie parai
uses, est le siège d'une hypéresthésie encore plus particulière. La
pression
y détermine, surtout lors- qu'elle est un peu f
rale en même temps qu'un point très douloureux spontanément et à la
pression
surtout. Au mois d'août 1887, nouvelle crise av
trépidation spinale. Signalons encore un point très douloureux à la
pression
, au niveau de la région précordiale : la céphal
r une résistance très grande; au dynamomètre il peut développer une
pression
assez considé- rable ; de la main droite il amè
jambe. Le malade ne peut mettre le pied gauche à terre, la moindre
pression
sur un point quelconque détermine une douleur e
mètres au-dessous de la tête du péroné existe un second point où la
pression
est très douloureuse. En même temps que les dou
ies par le malade dans la profondeur du membre et les douleurs à la
pression
il existe une zone d'anesthésie (figure 34), co
ure actuelle, il n'existe plus de douleurs, ni sponta- nées ni à la
pression
. Troubles 'Vaso-mote1l1'S. Au niveau de l'ancie
ans le milieu du mois de février, V... se plaignit de toux et d'op-
pression
; à l'auscultation on trouva des signes manifeste
s le pouls normal, je fais faire au sujet, avec la main gauche, une
pression
soutenue sur le dynamomètre pendant une demi- 1
avec sa main droite (du côté où le sphygmographe est appliqué) une
pression
, du dynamomètre analogue FIG. 51. Tracé du poul
t, en raison delà trémulation des muscles et de la modification -de
pression
du ressort, la forme du tracé présente des diff
ressemble pas à l'oedi'me ordinaire; il ne s'affaiblit pas sous la
pression
du doigt, et lui oppose une certaine résistance
r de véritables tu- meurs se continuant avec le corps de l'os. La
pression
exercée sur le tarse, ou les mouvements exécutés
petites eschares au nivean du talon, sous l'influence de la mojndre
pression
. Pendant ce temps, il n'y eut aucun phénomène de
r. L'éponge chaude la réveille exactement aux mêmes endroits que la
pression
. Les troubles par diminution de la sensibilité
UVEAU CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. m l'attouchement simple, sans
pression
ni frôlement, est perçu dans presque toute l'ét
triples de ceux que j'ai obtenus sur moi-même. La sensibilité à la
pression
existe partout ; cependant, elle est très émous
de la plante, sont le siège d'une vive rougeur qui ne s'efface à la
pression
du doigt que pour reparaître ensuite. Cette rou
é postérieure. Le malade fut remis sur le dos; a la place de la dé-
pression
transversale de l'abdomen existait un sillon cuta
conservée, de telle sorte que l'empreinte des pieds est normale. La
pression
n'est pas douloureuse. Le pied droit présente u
uve livré à son propre poids ou aux forces extérieures telle que la
pression
des couvertures. On constate alors l'allongemen
était presque insensible au contact, et sensible au contraire à une
pression
exercée fortement sur la masse musculaire : que
s-jacent à la masse musculaire sacro- lombaire. Pas de douleur à la
pression
. Le membre inférieur gauche n'offre rien d'anor
uvement d'extension et de flexion de la tête s'opère bien, mais une
pression
un peu énergique de la main arrive facilement à l
ssus aigu inflammatoire, non plus que d'un véritable oedème, car la
pression
ne formait pas de godet. Peu à peu les douleurs
Enfin, rien de plus naturel que le spasme soit tenu en échec par une
pression
exercée sur certains points. De Grœfe a depuis bi
taire. Mais, voici où commence la série des phénomènes étranges. La
pression
exercée par ce petit coussin est bien peu de chos
bien peu de chose ; et, d'un autre côté, s'il ne s'agissait que de la
pression
, celle-ci devrait se montrer efficace, aussi bien
régions du corps plus ou moins circonscrites, au niveau desquelles la
pression
ou le simple frottement détermine, plus ou moins
attaque une fois développée, peut être souvent arrêtée au moyen d'une
pression
énergique exercée sur ces mêmes points. Un fait i
e naître par ce moyen très simple les accidents convulsifs ; un forte
pression
arrête d'ailleurs l'attaque avec la même facilité
ues cas au moins, l'irritation du testicule, retenu dans l'anneau, la
pression
du testicule provoque ou arrête 1'allaque. 3° A
le trajet du tronc nerveux, particulièrement en certains points où la
pression
l'exaspère. Nous relevons surtout chez notre mala
iveau de la tête du péroné, au dos du pied; elle est augmentée par la
pression
sur ces points; mais c'est surtout à gauche que l
l'histoire de la sciatique ordinaire, c'est que, quand on exerce une
pression
ou une percussion, soit sur le sacrum, soit sur l
lorsque la malade est debout et marche, ainsi que la sensibilité à la
pression
et à la percussion des régions lombaire et sacrée
squisse un arc de cercle qui interrompt la monotonie de l'attaque. La
pression
sur la région ovarienne droite fait cesser la cri
spontanément. Il n'existe pas, chez II..., de point testiculaire. La
pression
exercée, sur les points spasmogènes, soit acciden
sième existe dans la région iliaque droite; de ce côté, cependant, la
pression
du testicule et du cordon ne produisent aucune se
. Elles peuvent être provoquées très facilement, lorsqu'on exerce une
pression
même modérée sur le point hystérogène. Une pressi
squ'on exerce une pression même modérée sur le point hystérogène. Une
pression
plus énergique exercée sur ce même point arrête l
ite, l'autre au-dessous des dernières fausses côtes du même côté. Une
pression
un peu forte, exercée sur ce dernier point, déter
n rien de la première et qui peut être suivie de plusieurs autres. La
pression
des points hystérogènes peut d'ailleurs interromp
Greuz... est plongée dans l'état somnambulique, à l'aide d'une légère
pression
exercée sur les globes occulaires et dont l'actio
at de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la contracture par la
pression
exercée sur les masses musculaires, les tendons o
à pas. Chaque jour on a enregistré, heure par heure, le résultat des
pressions
exercées sur le dynamomètre et, tous les jours, é
recouvre la jointure est quelquefois beaucoup plus douloureux qu'une
pression
même intense exercée profondément sur cette régio
la hanche et du genou, cette douleur s'exagère quand on exerce une
pression
sur ces régions, quand on imprime des mouvements
e à fracture qui a causé ce changement; c'est, en d'autres termes, la
pression
exercée pendant un certain temps par ce bandage q
qui a provoqué l'apparition de la rigidité spasmo-dique des muscles ;
pression
modérée cependant, car il s'agit ici d'un spasme
ligature, et que cette tendance s'est réalisée sous l'influence de la
pression
exercée par le bandage à fracture. En faveur de c
iques, disparaissent en général très aisément, sous l'influence d'une
pression
légère portant sur les antagonistes des muscles d
l a, oui ou non, fléchi son poignet, etc., etc. Je ne parle pas de la
pression
dynamomélrique qui, pour la main, accuse par exem
nnée dernière, la sensation d'aura qu'on provoque actuellement par la
pression
de la fosse iliaque gauche ; d'une zone circonfér
ubjectifs : constriction delà gorge ; à mesure que cette sensation de
pression
disparaît, le malade recouvre la parole. Chez G
Les ovaires et particulièrement l'ovaire gauche sont douloureux à la
pression
. En un mot, en dehors des troubles laryngiens et
aphonie est complète; la malade chuchote à peine. Aucune douleur à la
pression
du larynx; aneslhésie assez prononcée du pharynx.
se des faisceaux musculaires est moins épaisse à gauche, la dé-
pression
sous-acromiale est moins couverte, plus accessi
- pli de la cachexie morphinique. M. Comar l'a traité par la sup-
pression
brusque. En neuf jours, il a pu, sans accident, s
s associations et des images plus anciennes apparaissent. Des im-
pressions
nouvelles ne s'entremêlent dans les rêves que lor
a droite; et c'est en cela que ce centre est sensitif. Puis l'im-
pression
s'est réfléchie par les fibres nerveuses centrifu
ôté droit. Si on l'interroge, elle montre par sa physionomie et des
pressions
de main qu'elle comprend, mais elle ne peut par
e par laquelle s'échappent de gros caillots noirs. La plus légère
pression
déchire la substance cérébrale, pour ainsi dire
Broadbent, l'apparence exté- rieure fait penser à l'existence d'une
pression
interne éner- gique produisant la distension de
est toujours vide, le sang ne pou- vant y pénétrer par suite de la
pression
exercée sur elle par le foyer hémorragique. Dan
iculaire et offrent, par suite, un chemin facile à l'hémorragie. La
pression
exercée sur la substance cérébrale par le sang
II. L'auteur n'admet pas que cette soudure puisse résulter d'une
pression
exercée par le capuchon céphalique de l'amnios su
c d'ori- gine centrale, c'est-à-dire qu'elles sont produites par la
pression
de la faux du cerveau contre le corps calleux.
tractus de tissu conjonctif, qui ne peut être produite que par la
pression
totale exercée sur la partie postérieure du corps
sparition de l'obstacle; sinon, l'augmen- tation en ce moment de la
pression
sanguine viendrait encore nuire aux cellules dé
contre ces conclusions milite l'expérience suivante à savoir qu'une
pression
de 20 centimètres de mercure peut être supportée
observé par lui et qui évolua sous la forme d'une myélite par com-
pression
à marche rapide, sans aucuns symptômes cérébraux.
aralysie ascendante d'origine infectieuse. 368 CLINIQUE NERVEUSE.
pression
exercée sur la moelle par la tension du liquide
isée par des phénomènes sensitifs sub- jectifs, par la douleur à la
pression
des muscles et des troncs nerveux, par une évol
de trois travers de doigts les fausses côtes; il est sensible à la
pression
. L'estomac clapote au- dessous de l'ombilic. Le
nte occupait la huitième apophyse épineuse. 11 y avait douleur à la
pression
sur les côtés de cette région. Ceitains symptôm
dont la branche afférente (tractus isthmotectal) transmet les im-
pressions
optiques, acoustiques et sensitives d'autres cent
e compression du nerf fémoro-cutané. On peut supposer que la com-
pression
s'exerce, dans quelques cas tout au'moins, soit a
résistance électrique. Le traitement institué fut le suivant : Sup-
pression
des boissons alcooliques, de la bicyclette et de
psychique, mais sou- vent cette complication a lieu par excitation,
pression
, dégé- nérescence secondaire. Le tableau cliniq
ons dans l'étude du sens musculaire ni la sensation pioduite par la
pression
des muscles, ni la sensation de courbature qui
assifs, la notion de position, la force musculaire, la sensation de
pression
avec des poids différents, le sens de l'orienta
pesés ressoit seule au sens musculaire tandis que la sensation de
pression
avec différents poids ressort à la sensibilité ta
ble, bien plus grande que dans un mouvement non contrarié ; 4° La
pression
cutanée contre l'obstacle intervient également, m
s la partie médiane de la paroi orbitaire ; ils sont sensibles à la
pression
. Ni exophthalmie, ni stra- bisme. Paupières, co
e pendant l'attaque, résulte a la fois de ces contractions et de la
pression
exercée sur l'intestin et la vessie par la comp
pen- ser à une paralysie traumatique pendant un accès ou par com-
pression
pendant le sommeil. Mais Gowers a signalé les par
t au degré de l'obtusion intellectuelle (ce n'est qu'une affaire de
pression
). Occupe-t-elle les parties antérieures du lobe t
ties antérieures du lobe temporal, et, par suite, exerce-t-elle une
pression
sur la troisième fron- tale (aphasie motrice) e
n'a pu s'écouler et a gêné l'écoulement du liquide encéphalique. La
pression
intraventriculaire a comprimé la substance céré
nt et de l'engourdissement. Mais il n'a plus d'accès douloureux. La
pression
au niveau de l'épine iliaque anté- rieure et su
des douleurs irradiées de l'épaule au. cou; de la sensibilité à la
pression
de la colonne cervicale; des douleurs dans la m
ibilité à la douleur de tous les points d'élection accessibles à la
pression
; un effacement du pli nasolabial gauche; du nys
troncs nerveux sont en effet très sensibles au tiraillement et à la
pression
, mais il n'existe ni troubles fonc- tionnels, n
alcaline (2 litres) non albumi- neuse. Taches rouges multiples par
pression
sur les fesses. La colonne vertébrale, non défo
tébrale, non déformée, est libre de ses mouvements et indolore à la
pression
. La température monte à 3 î°,8 et 40 ? Accident
eures et de la face, en imposant pour l'oedème (sans empreinte à la
pression
) ; peut-être s'agissait- il d'une simple augmen
quer quand la tumeur n'est pas assez volumi- neuse pour exagérer la
pression
à l'intérieur du crâne, ou quand elle comprime
es battements cardiaques et les mouvements- respiratoires, élève la
pression
artérielle. abaisse la température centrale, il
OY. MM. DEJEUNE et l3cnNnEm. Un cas de paralysie radiale par com-
pression
, avec autopsie. La malade présentait une paralysi
etc. Il montre la colère, cette explosion d'énergie accumulée sous
pression
dans le cerveau. Il en décrit plusieurs formes
e secondaire consécutives à la coin- a34 Ir TABLE DES MATIÈRES.
pression
de la moelle, par Ques- nel, 410. Sur les titér
sie presque généralisée, une douleur à l'épigastre produite par une
pression
légère. Pas de zones véritablement hystérogènes
polyidéisme, érotisme, gaieté. Exaltation alternant avec de la dé-
pression
hypochondriaque produite par des sensations anorm
- ment continu du dynamisme cérébral, qui se produit, selon l'ex-
pression
consacrée, « à l'état d'exercice », et dépend tou
s que ceux d'un procédé de vérification : elle sert à déterminer la
pression
du liquide spinal dans l'état de santé et dans
rmal en se servant d'un manomètre à mercure, Pfaundler a trouvé une
pression
moyenne de 25 millimètres, et chez les hydrocép
ydrocéphales, de 37 millimètres; dans la méningite tuberculeuse, la
pression
moyenne est de 40 millimètres, mais dans un-cas
- rium chloralique se produit généralement sous l'influence de la
pression
brusque ; il faut donc pratiquer la décliloralisa
t de l'occiput, qui s'exaspéraient par le moindre mouvement, par la
pression
des deux premières vertèbres cervicales, et dim
ro- matique est parfois en même temps altérée, ce qui donne l'im-
pression
de solution de continuité. D'autres cellules sont
ion non convulsive, lente, durant à peu près aussi longtemps que la
pression
effectuée sur le pisiforme, qui fréquemment s'a
pagne d'une sensation nette, voire désagréable. Si l'on prolonge la
pression
pendant quelques minutes, apparaissent quelques
sagréable mais le sillon disparait peu à peu; exagère-t-on alors la
pression
, le sillon se reforme mais pour peu de temps.
téralement et bombé au-dessus des tissus voisins, et qui donne à la
pression
une sensation légère, mais nette, de fluc- tuat
l'extension des orteils qu'il obtient sont sous la dépendance de la
pression
du tendon d'Achille ou bien ne sont pas simplem
ux de la miction. Il n'a cependant jamais eu de spermatorrhée. La
pression
exercée dans la région rénale ne réveille aucune
peresthésie qui s'accompagne de douleurs sour- des, plus vives à la
pression
au renflement lombaire et d'un point de la tête
s, tout disparaît : il ne reste que quelques points douloureux à la
pression
de la colonne : la malade sent son dos. 9. Rese
de se contorsionne, souffre beaucoup de la poi- trine et lorsque la
pression
a cessé, elle respire mieux, l'étouffe- ment di
l. J'ai renouvelé plu- sieurs fois cette expérience; toujours, à la
pression
, la malade s'étouffait davantage, souffrait de
ons ; 3° Le sujet n'extériorise pas au cuir chevelu : donc, l'im-
pression
recueillie par le trijumeau reste dans le domaine
piques sur l'écriture; rapports entre la rapidité de l'écriture, la
pression
et l'effort musculaire ; par G. Ouici. (Riv. cl
duction dans les veines d'alcool augmente l'activité du coeur et la
pression
du sang : il en résulte un hypé- rémie générali
e un hypé- rémie généralisée du cerveau. Puis le coeur s'arrête, la
pression
du sang diminue, les ondes du pouls deviennent
le déjà manifeste à la fin du premier stade de l'augmentation de la
pression
. L'anémie artérielle s'associe d'ordinaire à un
veineuse du cerveau. - Troisième stade. Malgré l'abaissement de la
pression
générale, et la diminu- tion de l'activité du c
le courant carotidien augmente, mais, malgré l'exagération de la
pression
, l'hypérémie cérébrale ne reparait point. L'int
eines de petites doses d'alcool déter- mine de l'augmentation de la
pression
du sang et assez égale- ment de l'hypérémie cér
bien être celui de la modification de la circulation irienne par la
pression
déterminée sur le globe au moyen de l'énergie d
e du ventricule latéral droit du cerveau a déterminé de ce côté une
pression
qui a enfoncé l'amygdale de ce côté dans le tro
es deuxième et troisième apophyses étaient très douloureuses à la
pression
et que le territoire des troubles sensitifs diffé
bservé chez elle cette nuit pen- dant qu'elle était en cellule. Les
pressions
légères sur les globes oculaires lui font voir
tement », persistant encore quelques secondes après avoir cessé les
pressions
. Mais elle ne voit pas ceux qu'elle nomme les «
et le résultat est le même, le même bruit qui est entendu, l'im-
pression
en est rendue dans des termes identiques. Goût.
uelque temps après le premier essai. Odorat. Les moyens ordinaires (
pression
des narines, sugges- tion) n'amènent aucun résu
eux et je ne peux pas l'avaler, quel mauvais goût » » Odorat. Des
pressions
légères sur les narines ne produisent rien d'an
rescris : 1° Les douches latérales de Charcot. Sur le dos sous la
pression
de 2 à 3 atmosphères, commençant de 22"C., dimi-
En voici la description d'après Legros et Onimus 2 : « Un choc, une
pression
, un tiraillement, un déchirement survenant soit
produisent les phénomènes de con- tractilité. Lorsque le choc ou la
pression
agissent directe- ment sur le muscle, surtout s
éservé des mouvements ondulatoires violents et des variations de la
pression
du sang qui seraient là plus dangereux qu'ailleur
enue après ablation d'une tumeur abdo- minale, consécutivement à la
pression
exercée pendant une heure et demie par un appar
dant une heure et demie par un appareil de maintien. D'ordinaire la
pression
de cet appareil s'exerce entre la clavicule et
ainsi exagérée ou unifiée, ne reçoit plus de stimulations ou d'im-
pressions
mentales appréciables par les voies ordinaires de
ticulation interphalangienne est immobile. Pas de lluc- tuation. La
pression
est indolore. La radioscopie et la radiogra- ph
« des petits serpents de feu ». Longtemps après qu'on a cessé toute
pression
. F... regarde les murs de sa cellule, et aux inte
ougeàtre; on trouve un foyer hémorra- gique. La tumeur exerçait une
pression
sur la veine Galienetsurles hémisphères qui éta
dans les reins et dans le bas-ventre spontanées et provoquées par la
pression
, par la marche et par la sta-tion. La langue es
ènes typhoïdes, les régions rénales sont doulou-reuses, au moins à la
pression
, les urines rares ou supprimées, les symptômes pu
e la voix, un peu de toux ; le larynx est quelquefois douloureux à la
pression
. Mais à côté de ces cas où l'affection peut reste
ection. La déglutition devient difficile, le larynx est sensible à la
pression
; la peau qui le recouvre est souvent soulevée en
les taches pètéchiales des taches rosées qui disparaissaient sous la
pression
des doigts ; mais pareille chose a été observée d
u-dessus du ni-veau de la peau; elles s'effacent complètement sous la
pression
du doigt, pour reprendre leurs caractères primiti
n du doigt, pour reprendre leurs caractères primitifs aussitôt que la
pression
cesse. — Deuxième phase {dark, livid, semi-petech
les pâlissent un peu, mais ne disparaissent plus complètement sous la
pression
du doigt; elles ne font plus du tout saillie au-d
tion d'un pour-pre foncé. Elles ne sont plus du tout modifiées par la
pression
même la plus énergique; elles acquièrent un conto
au-dessus du niveau de la peau. Elles dispa-raissent toujours sous la
pression
du doigt, et ne se changent jamais en taches pété
e malade y éprouve une douleur brûlante qui s'exaspère par la moindre
pression
, une sensation de constriclion très pénible qui a
blesse extrême; il fuit sous le doigt, et il faut exercer une forte
pression
pour en percevoir les battements. Le plus souvent
ue, par le relâchement des parties du côté de la paume de la main, la
pression
sur le nerf eut cessé. Tant que cet état de chose
ssitôt après que l'on eut permise l'homme de se servir de sa main, la
pression
sur le nerf se renouvela, et l'ulcération des par
s-quelles la malade paraît souffrir atrocement et pousse des cris. La
pression
réveille les douleurs et les rend très vives, pri
du tissu nerveux, et qu'en outre celle-ci avait été déterminée par la
pression
qu'exerçaient sur les ganglions et sur les troncs
ux parties du système pileux soumises, pendant un certain temps, à la
pression
de la main, reparaît dans le fait qui suit : « îl
tement ; les poils sont tombés. Sur beau-coup de points exposés à une
pression
se voient des cica-trices blanchâtres, suite d'ul
forme, tendue, et qu'on pouvait déprimer un peu à l'aide d'une légère
pression
; elle avait été prise précédemment pour un engor
, on avait senti un corps lé-gèrement mobile, qui cédait à une faible
pression
exercée sur la sonde, pour revenir avec une espèc
auche, l'existence d'une tumeur grosse comme le poing, indolente à la
pression
. Les bains, l'onguent mercuriel em-ployés alors n
tre. Elle est arrondie, immobile, fluctuante, un peu douloureuse à la
pression
. Elle est d'ailleurs séparée net-tement du foie,
chose à noter, la tumeur n'avait pas complètement disparu, malgré les
pressions
réitérées qu'on avait exercées sur l'abdomen. K
influence d'émissions sanguines locales, et avec elle la douleur à la
pression
dans la région du kyste, laquelle s'était de nouv
sin, puisqu'après I évacuation d'un certain nombre d'hydatides et les
pressions
exercées sur l'abdomen, une tumeur persistait enc
. Constipation opiniâtre depuis deux jours ; douleur très vive à la
pression
dans toute la région de l'abdomen, mais bien plus
s ne cessent jamais complètement d'exister et sont exas-pérées par la
pression
. L'abdomen est habituellement volumineux ; tant
mais il est aplati, replié sur lui-même, comme s'il eut dû céder à la
pression
exercée par le liquide. Toutefois, la grande cour
maladie. Aux membres inférieurs le sens du tact est émoussé, mais une
pression
un peu forte ou un pincement lé-ger produisent de
Van Gehuchten. Les différentes formes de paraplégie dues à la com-
pression
de la moelle épinière; leur physiologie pathologi
ibilité : d'une part intégrité de la sensibilité au contact et à la
pression
, d'autre part thermoanesthésie, analgésie et pe
ion horizontale en verticale et agir ainsi sur les variations de la
pression
intra-rachidienne. · Voici maintenant, comment
s au niveau des creux poplités et des mollets s'ac- centuant par la
pression
des points de Valleix. Les réflexes ten- dineux
s des cas. Il blâme enfin la civilisation moderne et sa vie à haute
pression
, et le fémi- nisme. Peut-être aussi est-ce un
cytes dans le liquide céphalo-rachi- dien) ; . 2° La douleur à la
pression
des nerfs qui indique un certain degré de névri
a main droite. La force musculaiie est presque totalement perdue.
Pression
au dynamomètre : main gauche 40 kilogrammes, main
r de petits objets, manier leurs outils, exercer avec la main une
pression
énergique. D'autres étaient tout à fait incapable
auteur, il se produit une hyperhémie de la moelle à la suite de la
pression
négative produite par la suspension-congestion
tion céré- brale : 1° les artères cérébrales se rétrécissent; 2° la
pression
artérielle augmente ; et3° la pression intercra
rales se rétrécissent; 2° la pression artérielle augmente ; et3° la
pression
intercranienne s'abaisse. Ces phénomènes change
suspension cesse d'agir; les vaisseaux du cerveau s'élargissent, la
pression
artérielle diminue et la pression intercranienn
eaux du cerveau s'élargissent, la pression artérielle diminue et la
pression
intercranienne augmente. Notre confrère expliqu
AIICHIVES, 2' série, 1.' XIII. ' 8 H4 THÉRAPEUTIQUE. tion de la
pression
artérielle, d'où il résulte une anémie des vais
. 4° Dans la pathogénie des tumeurs cérébrales, à côté de la com-
pression
de l'encéphale qui joue un rôle peut-être non nég
asse tremblante»n'avaient pas réellement peur. Inversement, l'éx-
pression
peut faire défaut dans des états d'émotion très
produissent les mêmes effets : vaso-con- striction, élévation de la
pression
sanguine, accélération de la respiration et du
e l'écorce peut, suivant les régionsexcitées, élever ou abaisser la
pression
sanguine, accélérer ou modérer l'activité du co
nuelle à la tête, mon engourdissement, la sécheresse et souvent une
pression
considé- rable du front et une compression des
te, d'une densité à 15°, de 1,24 qui bout en se décomposant, à la
pression
normale comme dans le vide. Miscible en toutes pr
com- mande au sphincter pupillaire, ou à des modifications de la
pression
en rapport avec le pincement de l'oeil produisant
ndrie par la disparition de la sensibilité au chatouillement. Toute
pression
ou élongation de la peau fait instantanément di
sement à deux reprises, a été trouvé normal. La percussion et la
pression
du crâne ne sont pas douloureuses Vu le début b
tourdissements, puis par une sensationparticulière de gêne et d'op-
pression
qui lui remontait de la partie gauche du ventre v
uis vers la gorge. La région ovarique gauche est très sensible à la
pression
. Bromure de potassium (4 gr. par jour). il. Gra
le grosseur, du volume d'une demi-noisette et à peine sensible à la
pression
, est située sous la peau, qui ne présente d'ail
t prise (comme lors de l'accès du 5 janvier), d'une sensation d'op-
pression
qui, partant de l'hypochondre gauche, remonta ver
est très agitée. La région ovarienne gauche est très sensible à la
pression
. L'examen de la sensibilité cutanée révèle l'exis
ez violents. La région ovarienne gauche est très douloureuse à la
pression
; lorsqu'on la comprime fortement, la malade a la
ptôme consécutif des attaques, causé par la brusque élévation de la
pression
artérielle pendant ces dernières. (Binswanger 1
peu de jours, à l'état d'hyperalgésie subjective : sensibilité à la
pression
, et pares- thesie (formications). Les mêmes tro
étendue : elle fait défaut dans les cas bénins. La sensibilité à la
pression
est en général plutôt diffuse que limitée à cer
nnés à certaines provinces nerveuses. Peut-être la sensibilité à la
pression
pourrait-elle être considérée comme une hyperes
Médical Journal, 5 octobre 1901.) Les effets de la diminution de la
pression
atmosphérique, qui se traduisent par un surcroî
s ; d'autre part les effets d'un séjour dans l'air raréfié sous une
pression
atmosphérique décroissante sont analogues à ceux
nduisent à * la même conclusion, à savoir : que la diminution de la
pression
atmosphérique en éveillant, en quelque] sorte,
ltitude, le principal, sinon l'unique facteur, est la diminution de
pression
agissant par voie de modification chimique du san
'une manière évidente sur le sang. Il prétend que la diminuation de
pression
. obtenue dans une expérience de laboratoire, e
ue dans une expérience de laboratoire, en soumettant le corps à une
pression
atmosphérique diminuée, est exactement sem- bla
sujet qui gravit une montagne élevée ; il soutient que, dans cette
pression
atmosphérique diminuée, il pénètre plus d'azote
r- maux, palpitations qui sont évidemment dues à la diminution de
pression
périphérique. , Les hystériques, pour des raiso
s membranes du cerveau (tonus vasomoteur). Les climats brumeux et à
pression
basse sont également défavorables aux neurasthé
lents, des pupilles dilatées et de l'hyperesthésie abdominale il la
pression
, sans lésion. Le diagnostic porté est celui de
mot. J'ajoute, pour terminer, que chez L..., la mimique et l'ex-
pression
des sentiments sont conservées. Je vous ai dit et
s forment un ensemble d'exercices de gym- nastique des poumons ; la
pression
des lèvres contre l'embouchure de l'instrument
, né révélant ni empâtement ni matité; pas de douleur à la décom-
pression
brusque. L'enfant tousse un peu ; l'auscultatio
nt, c'est-à-dire l'enveloppe osseuse, ne cesse de s'adapter à cette
pression
intra-cranienne anormale. D'ail- leurs, sans av
ormation est la preuve de l'adaptation de la boîte cra- nienne à la
pression
interne. Nous jugeons inutile d'entrer dans de
te pas la cavité cranienne, mais en même temps il n'exerce aucune
pression
sur l'endocrâne ; aussi le tissu osseux parfait
nce interstitielle des parois craniennes n'est pas limitée par la
pression
intra-cranienne, de là son épaisseur parfois inu-
ette particularité est en relation avec cette loi que partout où la
pression
est ' M. Manouvrier a donné des explications an
imum on a, en effet, des parois extrêmement minces) et que là où la
pression
diminue la paroi s'épaissit. . La figure 1 et
PL. I et II donnent un exemple frappant de cette modification delà
pression
intracranienne au niveau de la loge frontale. L
ure des lobes frontaux : il en était donc résulté une diminution de
pression
dans la loge anté- rieure et conformément à la
e 8, où l'on voit la coupe de cet os. Dans la microcéphalie où la
pression
est extrêmement faible, puisque la masse entièr
les deux hémisphères se développent également et simultanément, la
pression
sup- portée par l'apophyse crista-galli sur ses
se déve- lopper, qu'arrive-t-il ? Le demi-cerveau sain exerce sa
pression
d'une part sur la paroi résistante de la voûte cr
a- galli. Mais toute cette paroi interne se laisse déprimer parla
pression
normale de l'hémisphère sain, qui n'est pas contr
ormale de l'hémisphère sain, qui n'est pas contre- balancée par une
pression
en sens contraire. L'hémisphère au cours de sa
nflé en totalité, ce qui n'a rien d'étonnant puisque l'absence de
pression
est générale'. ? ° Que les hémiplégiques, décédés
ien à la saillie de cette crête osseuse interne. La différence de
pression
a amené également une asymé- trie du corps du s
lus oblique que celui du côté opposé : il tend à la verticalité. La
pression
plus forte a modifié aisément le corps de l'os
que. un aspect normal, tandis que du côté répondant à une moindre
pression
on a un aspectqui serait normal si le sujet éta
té sain ; il est parfaitement appréciable à la vue. En arrière la
pression
cérébrale a produit un véritable renversement d
t de cette loi que nous avons signalée plus haut, que partout où la
pression
diminue la paroi s'épaissit là où elle est augm
tés plus profondes, mais au niveau des sillons qui les séparent, la
pression
est nulle et la prolifération osseuse se faisan
lade. Pourquoi cet aspect ? Parce que, comme nous l'avons dit, la
pression
à ce niveau est moindre. Toutefois, remarquons-
nérale est peu transformée en raison des fai- bles variations de la
pression
interne et de l'épaississement des parois. On p
que le crâne est en rapport non pas avec le cer- veau mais avec la
pression
.intra-cranienne », et nous en donnions des exe
é considérable de liquide dont la présence suffisait à maintenir la
pression
intracranienne. Les ventricules cérébraux (voir
au contraire, est altérée : dou- leur à la région lombaire, que la
pression
réveille ou accroît, anesthésie symétrique loca
bstance grise étaient amincies, probablement sous l'influence de la
pression
. De plus, à quelque distance des sacs angiomate
douloureux 52 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. spontanément et à la
pression
, la démarche est incertaine; on constate 1 : si
les plus reculées des membres, troncs nerveux un peu sensibles à la
pression
; muscles très sensibles. Violentes douleurs spo
oires" simulant ceux du glaucome, dureté des globes, dou- leur à la
pression
, cercles irisés aulour des objets lumineux, dou-
ents. Comme symptômes d'abstinence, survenus au moment de la sup-
pression
brusque de l'opium, on a noté des vomissements. P
ulbloll, 1" janvier 1896. DES FIBRES ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 83 ,
pression
des racines postérieures lombo-sacrées par un car
ssent et se laissent distendre; chez les sujets congestIfs c'est la
pression
artérielle continue ou répétée qui engendre l'alt
on. Et cependant l'anesthésie y est complète, les sensibilités à la
pression
, à la douleur, aux variations de tempéra- ture
uge accentué. Pas de chan- gement de consistance. La blancheur à la
pression
s'efface aussi- tôt. - D'autre part, une compre
tache blanche qui disparait quatre secondes après. A ce moment une
pression
de ce genre sur la face dorsale provoque aussit
es parties voisines. II y a là un point extrêmement douloureux à la
pression
. Les doigts, à musculature atrophiée, sont amin
crurale gauche, au niveau du canal inguinal. Douleur excessive à la
pression
, alors que la région symé- trique, du côté sain
u sourcil, de chaque côté. - T. G. 29°,5; T. D. 31°,2. Une légère
pression
exercée, pour en évacuer le pus, sur un petit f
ellement, en un temps relati- vement court, un oedème par friction,
pression
, ou quelque autre procédé. Le champ est si vast
du côté sain, l'écrasement complet de l'artère est obtenu avec une
pression
de 12e de mercure, et le maximum d'amplitude de
12e de mercure, et le maximum d'amplitude de la pulsation avec une
pression
de 8, sur la main enflée il faut une pression d
la pulsation avec une pression de 8, sur la main enflée il faut une
pression
de 17 dans le premier cas, et de 14 dans le sec
s deux côtés. Abolition du réflexe pharyngé, du réflexe cornéen. La
pression
sur l'hypocondre gauche fait bondir le malade.
pas la première fois que nous recueillons dans nos Congrès l'ex-
pression
de la sympathie des représentants des pouvoirs pu
it blanc bleuâtre, soit ardoisée, soit même noi- râtre ; la moindre
pression
détermine l'apparition d'une tache blanche qui
ouleurs parfois très intenses et d'un oedème cutané très marqué. La
pression
déter- mine une tache blanche et un godet qui s
ntaire et palmaire est recouverte d'une abondante transpiration. La
pression
détermine, comme dans la maladie de Raynaud et
veloppée, le moindre frotte- ment l'exaspère, alors que parfois une
pression
large, forte et con- tinue la modère. Les émoti
tion intraveineuse, l'accélération du pouls et une diminution de la
pression
sanguine iutra-artérielle. L'accé- lération du
des nerfs accélérateurs dans le bulbe. Quant à la diminution de la
pression
sanguine inlra-artérielle, elle n'est pas exclu
même le contact du drap, lui arrachaitdes cris. Cependant la forte
pression
surl'endroit doulou- reux calmait plutôt la dou
nsibilité.- Le toucher. - La malade ne sent pas le frôlement, ni la
pression
sur toute la surface des extrémités inférieures
t normal et très net. · Il existe une plaque d'hyperesthésie à la
pression
le long de la colonne vertébrale, à la hauteur
ante des pieds, jusqu'à la hauteur du ligament de Poupart. La forte
pression
est sentie par- tout. La piqûre d'épingle est p
observations que même dans les cas de paralysie générale avancée la
pression
intra-cranienne n'est pas exagérée contrairemen
rmaux. La seconde vertèbre dorsale fait une saillie prononcée et la
pression
en cet endroit produit une forte douleur. Les o
s compressions de la moelle qui en dépendent sont, après les com-
pressions
d'origine syphilitique, celles qui guérissent le
ieure des deux jambes. Le moindre mouvement des membres, la moindre
pression
les exas- pèrent. Les jours suivants un peu de
mpression en ceinture vers la base du thorax. Point douloureux à la
pression
au niveau de la quatrième vertèbre lombaire. Le
rtèbre lombaire. Les muscles atrophiés sont un peu, douloureux à la
pression
. Des orteils à un plan voisin de l'ombilic, abo
étaient pas assez prononcées, les muscles pas assez douloureux à la
pression
, etc. Pour toutes ces raisons, il proposerait d'a
et de l'influence sur l'orga- nisme de changements brusques dans la
pression
atmosphérique ? Est-elle la conséquence du régi
de l'extenseur. 2° Paralysie partielle du nerf cubital gauche par'
pression
du coude chez un xylographe. Les graveurs sur b
es épaississements périostiques des os. 3° Paralysie du radial, par
pression
, pendant la narcose chloro- formique. Opération
le épouvantable, à donner des cauchemars », pour employer les ex-
pressions
de deux de nos collègues, d'un « spectacle dont n
it à peine soupçonner l'existence, et que je ne précise que sous la
pression
de l'adversaire. Que M. Bonne soit remercié ? 5
jugement, imagination, etc.,sont à deux degrés. Les premières im-
pressions
qu'elles nous laissent sont plus ou moins obscure
; le doigt y laisse néanmoins son empreinte sous forme de godet.La'
pression
est indolente.1l est impossible de découvrir un
ivrer en présence des phénomènes précédents ne nous a révélé aucune
pression
ni aucun choc au niveau des surfaces ecchymotiq
du domaine médical ; la responsabilité devient ainsi, selon l'ex-
pression
de M. Grasset, une responsabilité physiologique.
e de l'hystérie au nom d'une définition qui n'est nullement l'ex-
pression
de la nature des troubles qui constituent la névr
-cH (New-York) fait deux communi- cations très intéressantes sur la
pression
sanguine dans les états épileptiques et sur les
plus ils dégénèrent et plus leurs descendants sont des dégénérés.
Pression
sanguine générale et cérébrale dans l'épilepsie é
in) ou de 110 volts (pour un chien) pendant quatre secondes. 3 La
pression
sanguine commence à augmenter au commence- ment
gmenter au commence- ment de la phase clonique de l'attaque ; cette
pression
augmente 230 CONGRÈS INTERNATIONAL DE PSYCHIATR
ont à leur maximum d'intensité. Puis commence l'a- baissement de la
pression
sanguine, qui descend à son niveau nor- mal qua
nd à son niveau nor- mal quand les convulsions cloniques cessent.
Pression
sanguine cérébrale. On expose le cerveau d'un c
s convulsions cloniques cessent. 3° Dans l'épilepsie électrique, la
pression
sanguine générale est présentée graphiquement d
est présentée graphiquement dans ma thèse citée ci-dessus. 4° La
pression
sanguine cérébrale a été étudiée et publiée il y
, ces états anesthésiques sont en relation avec des variations de
pression
du liquide dans les canaux semi-circulaires,qui s
tmosphérique trop brusque. Sous l'influence de l'augmentation de la
pression
atmosphérique, les gaz du sang, oxygène, acide ca
s vulnérables et leur force de régénération est presque annulée. La
pression
du corps sur les points qui lui servent d'appui
déjà rempli de ferments analogues ; qu'on nous permette cette ex-
pression
: il a réveillé des cultures. L'idée a pu être co
nt l'une a exercé sur l'autre une induction, en ajoutant à sa dé-
pression
commençante une trame de persécution plus solid
te, plusieurs points ont été, grâce à son immobilité, soumis à. une
pression
prolongée ; les talons et la paroi gauche du pl
orme des bosses distantes les unes des autres, indolores, même à la
pression
; puis céphalée, ver- tiges, poussées d'urticai
u, naturelle- ment, qui a la faculté d'ordonner ces contractions et
pressions
. Tel pourrait être le résumé schématique et rep
ers dans les asiles. Mercier (P.). - Etude sur les variations de la
pression
artérielle dans les maladies nerveuses et parti
s grands troncs nerveux et les plexus ne sont pas dou- loureux à la
pression
, mais les branches périphériques des nerfs des
hes périphériques des nerfs des extrémités sont très sensibles à la
pression
; les pressions pro- fondes qu'on exerce dans l
es des nerfs des extrémités sont très sensibles à la pression ; les
pressions
pro- fondes qu'on exerce dans les espaces inter
eds ; les branches périphériques des nerfs sont très sensibles à la
pression
. Membres supérieurs. Anesthésie vibratoire des ex
Les troncs ner- veux, comme auparavant, ne sont pas douloureux à la
pression
; par contre, les nerfs de la main sont excessi
par contre, les nerfs de la main sont excessivement sensibles à la
pression
. Cette fois encore, le malade n'a pas eu la possi
a main gauche. Les nerfs de la main et du pied sont douloureux à la
pression
. Après 8 jours, le cinquième examen (16 déc.) a
iblie. Les nerfs de la main et du pied ne sont plus douloureux à la
pression
; les douleurs spontanées ont cessé, les parest
; c'est ici qu'on constatait la sensibilité exagérée des nerfs à la
pression
, les douleurs et les paresthésies locales, les
s pieds, j'apporte une attention particulière à la sensibilité à la
pression
des branches périphériques des nerfs, laquelle
lle sensibilité peut être explorée bien simplement, en exerçant une
pression
pro- fonde dans les espaces interosseux de la f
s troncs nerveux dans ces cas ne sont pas du tout douloureux à la
pression
, et tous les symptômes névritiques sont localisés
rite : les troncs nerveux et les plexus ne sont pas douloureux à la
pression
, il n'y a pas de dou- leurs ni de paresthésies,
les diffus de la sensibilité cutanée de la main, sensi- bilité à la
pression
des espaces interosseux, etc.),mais les trouble
par la sensibilité exa- gérée des nerfs de la main et du pied à la
pression
et par les troubles locaux de la sensibilité, d
sparaître par le geste antagoniste efficace de Brissaud, par simple
pression
du doigt ; ce n'est pas cependant un torticolis
uble disparaît la nuit ou dans l'obscurité ; il cesse un moment par
pression
sur les nerfs sus-orbitaires,et leur résec- tio
de la commotion de la épinière, par Stcherback, p. 371. Coin--
pression
de la et de la queue de cheval, par Claude et'l
ont je traite (quatrième degré)1, je vois clairement que ni l'ex-
pression
, ni la pensée ne viennent de moi. Quand c'est écr
e pas les notions élémentaires : c'est ainsi qu'il prétend que « la
pression
atmosphérique n'existe pas », et que « la plant
à la nuque, à l'occiput, au plexus brachial, avec sensibilité à la
pression
des points d'élection des nerfs atteints, montr
ut que chez ceux qui gardent le lit, ou un érythème provoqué par la
pression
du décubitus. La mort subite s'observe beaucoup
escarres dans des régions où le décubitus lie pouvait déterminer de
pression
. M. C.r,ncr croit aussi à la fréquence des mort
oplasmiques, allant directement l'un vers l'autre, produisent l'im-
pression
d'une fusion réciproque, surtout si l'un observe
ant subsister celles du son, de l'odorat, du goût, du tact ou de la
pression
. En outre, les effets de cette destruction loca
trique satisfaisant) ; articulations profondément douloureuses à la
pression
, tendues, sèches, menacées d'ankylose. Intellig
coma ; durée : plusieurs heures. Il existe une aura ovarienne, la
pression
de cette région provoque et arrête les crises.
oie pas l'aiguille qui marche. Avant de commencer l'expérience, une
pression
exercée sur un des boutons supérieurs de l'appa
n exagérée, avec une sorte de nanisme cérébral consécutivement à la
pression
osseuse, et que la craniectomie en modifiant ce
incision de la dure-mère peuvent être avantageuses en atténuant une
pression
exagérée. IV. L'un des cas mentionnés dans ce
écoule soit goutte à goutte, soit en jet mince, suivant le degré de
pression
. L'inspi- ration ralentit l'écoulement, l'expir
quide s'écoule encore. Pour retirer l'aiguille, il faut vaincre une
pression
assez considérable et employer plus de force qu
nt de vue du diagnostic ; elle permet en effet de constater : 1° la
pression
que supporte le liquide cérébro-spinal ; 2° la
ve, due 214 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. à la diminution d'un excès de
pression
; elle est peut-être plus utile indirectement, e
ou reproduit ainsi en quelque sorte une image de chacune des im-
pressions
reçues soit du monde extérieur, soit des organes
image rétinienne, par exemple, se compose d'autant d'unités d'im-
pression
qu'il y a eu de cellules nerveuses simultanément
ologiques, en protégeant les cellules nerveuses voisines contre les
pressions
et les ébranlements que pourrait occasionner une
ouvent qu'une résistance insuffisante aux brusques chan- gements de
pression
. En outre, ainsi que le dit Weigert, qui parle
es propres, a insisté sur un point de fait et de doctrine dontl'ex-
pression
paradoxale avait séduit nombre de biologistes, en
ec l'amibe, il existe une extrême différence entre eux dans l'ex-
pression
de leurs fondions extérieures. La propriété des p
e dame atteinte d'hystéro-neurasthénie, avec tendance à de la dé-
pression
psychique, et de palpitations nerveuses, et qui v
ent. Il ne saurait être question, dans toute cette organisation, de
pression
exercée sur le personnel, puisque c'est avec so
e l'asile de Stephansfeld, au point de vue du signe du cubital. Une
pression
énergique exercée sur ce nerf, entre le condyle
ytiques et non épilepliques, l'auteur en a trouvé 82 sensibles à la
pression
du cubital, 16 pré- sentant de l'analgésie (che
ez 2 le résultat a été incertain). Sur 100 femmes, sensibilité à la
pression
dans 88 cas, analgésie dans 9 cas ; résultat do
D'après Biernacki, les épileptiques réagiraient normalement à la
pression
du cubital, tandis que d'après Hillenberg et Goëb
épileptiques hommes de Stephansfeld, 86,9 p. 100 réagissaient à la
pression
du cubital ; l'analgésie n'a été constatée que
cas. Pas de cas d'analgésie chez la femme. Mais la sensibilité à la
pression
disparaissait chez 12 sujets, pendant les six ou
ves à l'accès. Après une durée de douze heures, la sensibilité à la
pression
redevenait normale chez presque tous les sujets
es équivalents épileptiques (épilepsie psychique), l'analgésie à la
pression
du cubital pourra devenir un signe précieux et d'
ut dans leurs parties supérieures, une douleur très accuentuée à la
pression
des muscles, et à peine perceptible des troncs
ophyses épi- neuses étaient tout particulièrement douloureuses à la
pression
, et il y avait accompagnement d'opisthotonos. E
extrémités ; les muscles sont légèrement raides et douloureux à la
pression
, la respiration un peu difficile; les organes v
auche complète, léger oedème à la paupière supérieure, douleur à la
pression
au niveau du point d'émergence du sus-orbitaire
planlnire. Phénomènes mal définis dans la pupille gauche. Douleur à
pression
bien nettement circonscrite entre lapremière et
septième racines dorsales, et dans la région de la plus forte com-
pression
elle atteint le bord postérieur des corps des ver
so-constriction plus accusées. Cramer a mesuré l'augmentation de la
pression
sanguine dans la peur à l'aide du sphygmomanomè
ts dorsaux du pied gauche paralysé présentent un léger oedème et la
pression
laisse un léger godet. Le pied gauche en extens
-scoliose et dont le sternum et la colonne étaient douloureux il la
pression
. Deux autres malades observés par l'auteur se p
pports avec le ramollissement osseux et la sensibilité osseuse à la
pression
. C'est d'ailleurs aussi l'avis de Scholz. Roos
14), lecalcanéum était si ramolli qu'il se laissait déprimer par la
pression
au doigt. IIutschinson (115) trouve dans un aut
tôt ; la peau est mobile sur cette tumeur, qui est douloureuse à la
pression
, et même spontanément ; le malade ressent des d
r elle ; elle est de consistance plutôt solide et douloureuse il la
pression
. Le malade ressent en outre des douleurs spontané
t normaux. Toutes les régions adipeuses sont très douloureuses à la
pression
.Le moindre contact amène chez la malade des mouve
Prof. Askanazy). La dure-mère est tendue, signe d'exagération de la
pression
intra-cra- nienne. La pie-mère est sèche, les e
ns les parties postérieures clés hémisphères. Au point de vue de la
pression
, le cerveau n'est pas comparable à un liquide ;
pression, le cerveau n'est pas comparable à un liquide ; certes, la
pression
est augmentée partout, mais elle l'est en CeI'-
brales. Ces symptômes sont donc sans doute à mettre au compte de la
pression
exagérée. Voyant le vaste domaine envahi par le
nger pour le tissu cérébral. Ils favorisent la généralisation de la
pression
exagérée suivant une formule telle que par exem
ventricule. L'hémisphère épargné par la lumeur est maltraité par la
pression
du liquide. Les néoplasmes métastasiques à semi
laire donne un résultat négatif, il faut se garde de conclure à une
pression
non exagérée. En effet, les vent tricules peuve
tilité des fibres musculaires exercent sur le liquide introduit une
pression
qui facilite sa pénétration ;'1 l'intérieur des
es sous-arachnoïdiens par le cysticerque, quelquefois aussi la com-
pression
de la veine de Galien joue un rôle important. '
sur le cou et sur la poitrine jusqu'au mamelon. La sensibilité à la
pression
n'est pas intéressée. La sensibilité thermique
rtains auteurs qui s'en sont occupés l'appellent oedème dur, car la
pression
digitale ne laisse pas de godet, comme cela arr
une ou deux vertèbres ma- lades ; ces douleurs s'accentuent par la
pression
sur les vertèbres mala- des ou sur les épaules
ire restent libres. Les vertèbres cervicales sont douloureuses à la
pression
; plus tard, au cours de la ma- ladie, se dével
enneguy, nous serions tentés d'admettre que, sous l'influence de la
pression
exercée par le nucléole ou peut-être même sous
enche beaucoup mieux la tête en avant mais assez mal en arrière. La
pression
de la colonne est peut-être un peu dou- loureus
de tourner librement sa tète foi. droite et à gauche. D'autre pari la
pression
de l'atlas et de l'exis est quelque peu doulour
globes oculaires sont limités. Le nerf trijumeau est sensible à la
pression
. On note une névralgie faciale unilatérale. La
le sommeil ; quelquefois on arrivait à le provoquer en exerçant une
pression
sur le nerf trijumeau. La marche de la maladi
, livide. A la palpation, les tissus sont fermes, cartilagineux. La
pression
, qui n'est pas douloureuse, ne provoque aucun c
éri- phérique devenir plus saturée, plus violacée. A son niveau, la
pression
du doigt produit une tache blanche, qui demande
s ont une coloration rouge vineux, qui devient violacée le soir; la
pression
du doigt laisse une tache blanche nuancée de mauv
s seraient les troubles du pouls trop rarement notés : la baisse de
pression
est la règle ; elle est évidente chez le malade d
u des uranistes) qui ne deviennent sexués dans un sens, que sous la
pression
des conditions sociales qui dirigent leurvie, plu
on testiculaire qui a débuté; il est indispensable qu'il y ait sup-
pression
complète de la fonction diastématique ; les troub
y sent des testi- cules nettement atrophiés, mous, insensibles à la
pression
, de dimension infé- rieure à celle d'un oeuf de
t impubère et ne contient que deux testicules mous, indolores il la
pression
et de la taille d'une noisette. Le malade a pré
entation de la face, la pré- sence de la raie de Sergent, la faible
pression
artérielle (85 mm. au Recklin- ghausen) en semb
t ne contient plus que des glandes molles, en filasse, indolores à la
pression
, ayant le volume d'une grosse noisette ; l'épid
périeurs, sauf aux articulations sca- pndo-humérales. Le sens de la
pression
est aussi presque complètement perdu sur la mêm
serait impossible, parce qu'ayant perdu le toucher et le sens de la
pression
,il ne peut pas se rendre compte qu'il tient le
sensations périplié- riques, comme celles du sens du toucher, de la
pression
et du sens musculaire ou articulaire. Nous al
ux orteils ; le chaud et le froid sont conservés. La sensibilité la
pression
est abolie. Il localise mal les piqûres sur la
nsibilités, nous citons la sensibilité tactile, la sensibilité à la
pression
et surtout la sensibilité musculaire ou articul
particulièrement celles des mollets, sont un peu douloureuses à la
pression
; la malade accuse encore une sensation de constr
pour but ' de' soustraire 1' s ùb s t'à'n è e "n e r'- veuse à une
pression
exagérée et d'amortir les chocs auxquels elle e
e symétrie complète,, La gaine lamelleuse résiste en effet à la,,
pression
excentrique de la masse adyentive, tandis que le
ce des lamelles adventives qui se laissent alors dis- tendre par la
pression
latérale de la lymphe. Le concentrisme qui s'ob
lte en, effet que les^nerfs le plusjsujets aux tiraillements et aux
pressions
sont précisément ceux où l'hyperplasie en quest
rveux, lesquelles subiraient trop directement sans cela l'effet des
pressions
exercées sur elles^ C'est enfin, d'après lui, p
é remplacée par un cerlairi`dëgré'dh3 péresthésie à la douleur ; la
pression
des masses musculaires de la , ' ; , n-ti notas
s-corticaux ? " ' P. K. XXXVI 1. DE L'ACTION DE L'ABAISSEMENT DE LA
PRESSION
ATMOSPHERIQUE sur les aliénés ; parJ.'KRYPIAFIE
,3.) , .1 . " mi . .. C'est la soudaineté de l'abaissement, de la
pression
barométrique qui agit défavorablement sur l'éta
ts anciens, exagération, des réflexes patellaires, sensibilité à la
pression
des nerfs fémoraux et péro- niers ; analgésie d
que, chez ce malade, les fibres d'association utilisées pour l'im-
pression
psycho-chromatique passaient par l'hémisphère gau
é et la flexibilité douloureuse ou non de la colonne vertébrale, la
pression
superficielle ou' des parties molles profondes
du réflexe dorso-spinal (back symptom). Ce dernier se décèle par la
pression
brusque des deux mains sur la tête ou sur les é
lobe occipital droit, il faut encore tenir compte de la légère com-
pression
exercée à droite, par la tumeur, sur la partie mé
une néphrite aiguë; cette néphrite, en élevait considérablement la'
pression
sanguine, pré- pare évidemmentla rupture des va
ive. Il faut ajouter .des symptômes généraux par augmentation de la
pression
intra- cranienne : céplialée, névrite optique b
'égard de son entourage, se plaint de céphalalgie. Sensibilité à la
pression
seule du pariétale gauche ; légère parésie du fac
dynamomètre'trois fois de suite et prend la moyenne de'1 ces, trois
pressions
? Le nombre des'malades examines de cette façon
ntraction musculaire volontaire et 2° une tendance à J'égalité"' de
pression
de l'une et l'autre mains. Il estime,' défalcatio
ectemelaisur l'intestin, qui est devenu friable, et a cédé "sous là
pression
d'un lavement trop abondant et trop vigou- " re
e, avec - des intervalles de repos. P...s'en plaint beaucoup : c la
pression
des,. ? dents est tellement fortetque je ne peu
cteur physique, lequel n'est autre qu'un brusque abaissement de- la
pression
intra-cranienne; agissant sur la dure-mère à la
ère et' de'l'arach- noïde.1 Le premier effet de la diminution de la
pression
in(ra-cra- .niennesurlescapillairessuperficiels
taires. Mais si rien ne vient détruire les causes quiônt diminue la
pression
intra-cra- nienne, si les effets de cette dimin
x subissent à leur tour les effets déjà décrits de la diminution de
pression
. , i. -, y > . )t'y72 B&imD'ANATOMIE'ET
es : nie ni b i-aiiis,Ïtl revient'à l'examen de la diminution'de là
pression
intra-cranienue à laquelle il attribue, comme o
n n'est 'pas rare. ,11 faut noter,. toutefois, que la diminution de
pression
qui résulté de l'àtrophié"éérébrale 3pêutj étré
on.1 Le rôle' dû liquide cepnato-Mchidien'dans la régulation de' la
pression
intra-crânienne est, 'quoi qu'on en1 ait 'dit'
ta convexité du cerveau, le vide'qui provoque la diminution' de1 la
pression
intrâ crânienne rnôus",ne'pouvons'-malheureusen
ide lorsqu'il est normal, dë ? i : eevoüy, et'de, transmettre,, des
pressions
, susceptible aussi, par changement' d'état, de
robable que, à son extrémité, périphérique, sous l'influence de, la
pression
venue des centres, le nerf abandonnetune partie d
Cette théorie explique les effets bien connus^ des variations de -
pression
et de .température extérieures sur l'organisme ne
t de .température extérieures sur l'organisme nerveux ,,central. La
pression
atmosphérique agit sur 1, oi,,aiiisiiie, stermé
tions de l'axe cérébro-spinal u remplit l'office d'un régulateur de
pression
, et qu'il'constitue la voie;par laquelle le san
"dë'comb'ustion' statique au1, moyen duquel ? sous linfluence de la
pression
liquide, réglée par -le liquide spinal, se trou
. I H - ... I .1 1 ? 4 ., 1 amenant un abaissement de tension et de
pression
; c'est une com- . i . >k4 . -.1 . li If « l
sur la' partie soumise à l'expérience pour éviter les variations de
pression
. L'électrode active avait une surface de sectio
sus-indiquées : la menstruation disparaît dans les épisodes de dé-
pression
ou de stupeur; elle subsiste dans les épisodes d'
l'on enlève àlacuretto coupante. La trépanation a fait descendre la
pression
intra-cranienne, bien, qu'il n'y, ait pas eu d'
prépondérance' au traumatisme' qui d'ailleurs peut faciliter l'im-
pression
piusprofonde'de l'émotion, '-i- <* "1 '* «* "'
anlement cor- respondant une pseudo-neurasthénie avec mouvements et
pression
douloureuse, sensation de faiblesse des membres
ulté à monter les escaliers)' les muscles deviennent sensibles à la
pression
et spontanément dou)ou'rèux ? Pasd'àtaxie.Pas d
que nulle dans les'éxtrémités s il rieures. Muscles douloureux à la
pression
. En' décembre' 1891 deux mois après le début, à
es. Ils peuvent acquérir un caractère assez étendu pour troubler la
pression
sanguine générale et donner lieu à un état demi
érale et donner lieu à un état demi-syncopal, par abaissement de la
pression
sanguine, ou bien à des accès d'angine de poitr
iniformes, ren- forcement du second ton aortique et élévation de la
pression
sanguine à 0,26 au sphygmomanomètre de Potain.
guine à 0,26 au sphygmomanomètre de Potain. En dehors des accès, la
pression
sanguine oscillait entre 0,021 et 0,023. C'est
nières vertèbres cervicales et des deux premières dorsales ; par la
pression
, on remarque que cet endroit de l'épine dorsale
uloureux. Rarement toute l'épine dorsale est douloureuse, soit à la
pression
, soit spontanément. Cet état coïncidait toujour
s tabétiques d'origine centrale et indépendantes de mouvement et de
pression
. Les courbatures générales, les fourmillements,
s deuxième et troisième vertèbres dorsales un peu douloureuses à la
pression
. Foie, rate normaux. Sang : hémoglobine 100. Pl
près la troisième injection, elle se sent complètement guérie. A la
pression
, la plaque ombilicale et cervicale persiste sensi
e engorgés. Plaques cervico-dorsale et ombilicale réveillées par la
pression
. NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 103 Légère asthénopie
sion ou de serrement cardiaque; colonne vertébrale douloureuse à la
pression
avec des plaques dou- - loureuses spontanées, s
aussi bien; la colonne vertébrale restait sen- sible seulement à la
pression
, ainsi que tous les troncs nerveux sur leurs po
et ne peut exécuter aucun mouvement. Sensibilité spontanée et à la
pression
de la colonne lombaire. Pas d'ovarie. A côté de c
par le chatouillement cutané, le massage léger de chaque muscle, la
pression
sur le nerf correspondant, le heurt des tendons
difications dues à l'éducation ? La paralysie générale a subi une
pression
ascendante remar- quable. En 1880 on relevait 8
la main droite et de 19° pour la main gauche. Cette faiblesse de la
pression
dynamométrique, qui est un acte au plus haut po
ec les résultats que j'ai obtenus chez les aliénés», où la force de
pression
dynamométrique n'est point tant en rapport avec l
suite de son amnésie, le mou- vement à exécuter, ne peut avoir une
pression
dynamométrique élevée. Il faut encore noter que
es. Elle sent sur .tous les points de son corps, au contact et à la
pression
, et localise assez facilement les sensations. I
inée plusieurs fois. Quelques im- AMNÉSIE RÉTRO-ANTÉROGRADE. 1-15
pressions
, bien que très peu nombreuses, restent dans certa
cissement considérable du pariétal sur toute l'étendue de la dé-
pression
, mais aucune lésion méningée, ni corticale ; le c
probablement sous l'empire de circonstances ana- logues amenant des
pressions
prédominantes sur l'une des parois de la cavité
cles des yeux, les lésions laryngées, les altérations du sens de la
pression
. Les paralysies des muscles des yeux revêtent,
u processus gliomateux dans la région du récurrent. Le sens de la
pression
est surtout dissocié; il y a disparition de la
sion est surtout dissocié; il y a disparition de la sensation de la
pression
exercée sur la peau seule, alors que le sens du
eule, alors que le sens du tact est parfaitement conservé et que la
pression
profonde exercée comme d'ordinaire subsiste. P.
oniques. La neurasthénie syphilitique mercurielle nécessite la sup-
pression
des antisyphilitiques que l'on remplace par des t
as non plus une chorée progressive; de plus il y a sensibilité à la
pression
du sciatique st du plexus sus- claviculaire qui
son importance et dire avec Lasè-ue et Faire que l'on ne cède à la
pression
de la folie que si elle vous fait entrevoir la
latation du sys- tème vasculaire rénal, augmenter l'élévation de la
pression
sanguine locale et produire l'hyperdiurèse. Ne
urs rénaux, qui entraine la vaso-dilatation, l'augmentation de la
pression
sanguine du rein et par suite la polyurie. En r
apacité intracra- nienne ne provoque nullement l'augmentation de la
pression
intra- cranienne dans le liquide céphalorachidi
cranienne dans le liquide céphalorachidien, pas plus que la com-
pression
des capillaires de la surface de l'encéphale, qu'
res de la surface de l'encéphale, qu'on n'arrive pas à augmenter la
pression
à l'intérieur du crâne parce que, si dans l'esp
tificiellement le liquide qu'il contient, la moindre exagération de
pression
se transmet par les veines du crâne et le reflu
apille étranglée (par reflux) en rapport avec une exagération de la
pression
intracérébrale par une tumeur qui formerait, co
plus ce résul- tat. 3° Si dans le crâne on fait couler à une haute
pression
un liquide indifférent, coloré, on voit les vei
te séreuse des ventricules de Quinke; 2° à la symptomatologie de la
pression
exercée, sur le cerveau soit dans les limites d
celles de la théorie d'Adamkiewicz ; 3° à l'état, du fait de cette
pression
, de la substance blanche, de la substance grise
ouvoir ostéogénique, comme elle peut être engendrée par un excès de
pression
intra-cranienne (hydro- céphalie, volume relati
on, le cerveau avait déprimé la base crânienne et n'exerçait aucune
pression
contre le paroi supé- rieure. Celle-ci a, d'ail
leurs, une épaisseur considérable qui semble bien dénoter qu'aucune
pression
ne s'est opposée à l'ossification : mais dans c
a cependant été suffisante pour produire de l'os, aux points où la
pression
encéphalique ne s'exerçait pas. D'ailleurs le r
mais c'est l'absence de la saillie alvéolaire qui exagère cette im-
pression
. 116 RECUEIL DE FAITS. allongée en exagérant
u'à 10 grammes, en ayant soin de diffé- rer la piqûre le jour où la
pression
artérielle s'élève et d'augmenter la dose quand
ins sont d'une coloration violacée, froides et comme engourdies. La
pression
du pouce sur la peau détermine une tache blanch
ne poire de caoutchouc pour don- SOCIÉTÉS SAVANTES. 213 ner de la
pression
au liquide. Les résultats que j'ai obtenus depuis
ait que dans le sommeil la fréquence du pouls diminue, ainsi que la
pression
sanguine ; la diminution peut être telle, que l
d'être toujours aussi considérable (Brodmann). La diminution de la
pression
(normalement 105 à 130 millimètres d'après Gart
er) et de 20 à 35 millimètres (Pilez). C'est aux varia- tions de la
pression
que l'on a voulu rapporter l'origine de cer- ta
rigine de cer- taines insomnies. On peut admettre, en effet, qu'uue
pression
san- SOCIÉTÉS SAVANTES. 319 "uine moyenne cor
d à un état normal du sommeil, qu'au- dessus et au-dessous de cette
pression
, l'insomnie peut apparaître. Par analogie avec
tension exagérée, De Fleury a observé un de ces malades chez qui la
pression
, déjà souvent basse à l'état de veille (100 à 1
illimètres d'où une insomnie persistante ; tout procédé relevant la
pression
à 80 ou 90 millimètres ramenait le sommeil. Le
si remarquable par sa brutalité, dépend de la chute brusque de la
pression
sanguine à la fin de la digestion. L'hypothèse es
admet de même que l'insomnie survient aussi bien dans les cas où la
pression
sanguine est élevée que basse, mais il donne d'
r lui de 110 à 130. Il note aussi que, chez les individus sains, la
pression
, le matin, est plus élevée que le soir, tandis
e solubilité ; il est moins actif que le chloral, déprime autant la
pression
et donne lieu à des troubles digesttifs. VEthyl
d'une surveillance très exacte. Il semble aussi qu'un examen de la
pression
sanguine serait un bon guide dans son emploi. D
ntrent, d'une part, le rôle du plexus solaire surlacaenesthésie, la
pression
vasculaire la physiologie gastro-intestinale et
igne (ghoma ! ) qui en croissant en large et en dedans exerçait une
pression
sur la partie occipitale gauche du grand cervea
r la partie occipitale gauche du grand cerveau. A la suite de cette
pression
se développa peu à peu l'affaiblissement de la
e propriété indivi- duelle du malade) peuvent être expliqués par la
pression
sur la moitié droite du cervelet et sur la moel
je le fais dans tous les cas analogues, de même que dans les cas de
pression
d'un méningite exudativesurles moteurs oculaire
s neurasthénies et hystéries traumatiques de l'enregistrement de la
pression
sanguine, par H. Strauss. (neurolog. Cealrtl6.
e soupçon, déjà basé sur d'autres signes, est confirmé. Cette hyper
pression
, bien établie avec les précaution d'usage, par
atation du coeur, d'origine traumatique, sans lésion valvulaire, la
pression
était de SO-60 millimètres. Le tonomètre permet
tence de points douloureux. Dans cinq cas de névrose traumatique la
pression
sanguine a monté de 15, 20, 25, 35 et même 40 mil
nts et ceux qui correspondent aux points symétriques soumis à une
pression
d'égale intensité. Il convient encore de trouve
ion d'égale intensité. Il convient encore de trouver les lois de la
pression
sanguine, en relation avec l'effort physique et
(oboz ? é ? 71é psichiilt-il). VI, 1901. Conclusions. 1° Sous la
pression
constante du sang, la rate se contracte et se d
spléniques. 3° Il existe certainement une relation intime entre la
pression
sanguine et les dimensions de la rate, que l'on
gane à la normale a lieu plus lentement que le rétablissement de la
pression
sanguine générale. 17° L'attaque épileptoïde en
s des sensa- tions (engourdissements, fourmillements, sensations de
pression
, de gonflement). Souvent on pense à une névrite
nts les plus remarquables de l'observation sont l'abaissement de la
pression
sanguine, l'état à peu près sain des reins et l
aumatiques de l'enre- TABLE DES 11L1'l'lPttES. 551 nistremeutdela
pression
sanguine e par Strauss, 27. - voit, Troubles
irPa)'spMjy)'e.Maide sous-occipltal traumalque, par Dupré, 177.
Pression
sanguine. Voir Neurasthé- nies. Prisons. Voir
intérieur une toile épaisse, afin qu'il ne se dilate pats sous la
pression
de l'eau; la longueur du tuyau est déterminée
ssus du sol, élévation qui cor- respond à peu de chose près à une
pression
d'une atmosphère. Manuel opératoire de Fleury
a- lade ou d'un second opérateur. Nous ajouterons qu'à Bicêtre la
pression
de l'eau est insuffisante, que la mau- vaise si
uche inclus dans un pli de la peau au niveau du canal inguinal ; la
pression
en ce point ne produit pas de douleur vive ; l'
ux du même côté ont un peu diminué, ils ne sont pas douloureux à la
pression
. 17 oct. L'induration de la partie médiane de l
0 gr. 06; 3 mai : 0 gr. 07 ; 8 juin : 0 gr. 08 ; 14 octobre : sup-
pression
du traitement ; aimant. (1). (1) Voir thèse Bri
s ne serions pas éloignés d'attribuer en partie au froid, puis à la
pression
de l'aimant, quel- ques-uns des phénomènes prés
tits, iris bleus; aucune lésion oculaire. Nez petit et droit; dé-
pression
de la racine du nez peu marquée. Bouche moyenne,
le malade ne fait aucun mouvement de défense quelles que soient les
pressions
que l'on exerce. Il ne peut donner aucun rensei
iquait leur prédominance sur les parties latérales par l'absence de
pressions
musculaires en ce point; enfin, la lésion n'est
la région iliaque correspondant au point ovarien une place où la
pression
détermine de la douleur; le malade veut écarter
ne médiane un autre point au niveau du rebord des fausses côtes; la
pression
y détermine une douleur très vive qui s'irradie
fosse iliaque. - Pas de point sternal, pas de point sous-mammaire.
Pression
des testi- cules négative. Les attaques sont
s ; - la peau rouge, lisse, chaude, tendue ; taches blanches à la
pression
; phlyctènes remplies de sérosité citrinc sur la
ie postérieure de celui-ci et le pharynx ne sont sensibles qu'à une
pression
assez forte. La langue est complètement insensi
z ces malades) obte- nues artificiellement, par exemple au moyen de
pressions
exercées par le médecin pour produire l'hyperex
it, et chez lesquels l'affection était « décelée » soit à l'aide de
pressions
desti- nées à élever le talon au-dessus du plan
à deux causes de destruction, l'arrêt de la circulation et la com-
pression
par la prolifération cellulaire spécifique (Lamy)
ordon antéro-latéral. Le faisceau cérébello-spinal, grâce à la com-
pression
de la moelle, se trouve dans la partie postérieur
bien démontrée ; elle peut être attribuée, par exemple, à des com-
pressions
ou à des constrictions soit par le cordon ombilic
e parait être de même nature que celui que nous invoquons. Ces com-
pressions
peuvent d'ailleurs avoir une autre origine que le
ionnelles. Dans le cas présent, on peut facilement l'expliquer par la
pression
des ciseaux sur la branche digitale du nerf rad
télégraphistes. Cette crampe n'a été provoquée chez elle que par la
pression
répétée du petit bouton de l'appareil transmetteu
es lésions. Dans notre cas,le cerveau était soumis à une forte com-
pression
, mais l'action de celle-ci était en réalité moind
pour rechercher la sensibilité a donné naissance à une papule et la
pression
du compas sur le front, dans la mensuration cép
es. - Dans toutes les régions la coloration anormale disparaît à la
pression
du doigt pour reparaître immédiatement après. De
s une course de dix minutes : 76 ; quelques mi- nutes après : 64.
Pression
artérielle. A droite avec le sphygmog. à cadran d
spasmodique. B. - Sensibilités spéciales. - I. - Sensibilité à la
pression
el sensibilité musculaire. - Objets employés, d
en effet une coloration bleuâtre, violacée, livide, sur laquelle la
pression
de l'index fait apparaître une tache pâle. De plu
conçoit d'ailleurs que la douleur sera d'autant plus intense que la
pression
nerveuse sera plus élevée dans ces neurones.
les ondulations nerveuses, après avoir déterminé l'élévation de la
pression
dans ces neurones, sont en grande partie réfléc
éfaction molle, diffuse, qui se prolonge jusqu'au poignet ; sous la
pression
elle se réduit un peu, pour se reproduire aussitô
e pouls est très petit, égal, régulier; il bat 88 fois à la minute.
Pression
sphygmomanométrique, 14. La malade n'accuse pas
'en faut, on voit une amélioration rapide se produire après la sup-
pression
de l'usage des parfums. J'ai observé plusieurs fa
cérébrale, en général continus et proportionnels à l'intensité delà
pression
exercée, ne se produisent que momentanément, du
IV. -Dans la pathogénie des tumeurs cérébrales, à côté de la com-
pression
de l'encéphale qui joue un rôle peut-être non nég
t à 40 ans. Elle avait remarqué dès le début qu'une friction ou une
pression
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIV
one hétérogène profonde et une zone superficielle sur l'aréole : la
pression
ou le pincement détermine du grincement de dents,
lement dans l'annulaire et le petit doigt. Douleur spontanée et par
pression
à la partie inférieure du bord interne du bras,
et sim- ple où les travées se disposent toujours parallèlement aux
pressions
, perpen- diculairement aux surfaces d'articulat
t loin d'être un travail insignifiant au point de vue mécanique, la
pression
intermaxillaire dépasse souvent 60 et même 80 k
l'impression d'un membre grassouillet, d'élasticité partout égale. La
pression
digitale n'y laisse pas de cupule, bien que la
tion ; elle est assez tendue au membre inférieur pour ne causer par
pression
digitale qu'une dépression fugitive et peu marqué
e par sa consistance ferme, élastique et l'absence de godet sous la
pression
du doigt. Il faut admettre cependant l'existenc
donne l'impression d'un tissu adipeux modérément tendu, sans que la
pression
digitale cependant détermine la production d'un
uvent douloureux, dans la région des ovaires, sensible à la moindre
pression
. La patiente ne pouvait se coucher, ni sur le fla
provoqués ne causent aucune sensibilité anor- male, non plus que la
pression
sur les articulations, jamais le malade n'a sou
es sont aplaties comme si elles avaient été écrasées par une double
pression
verticale ; parfois l'aplatissement est plus pr
de et la tête semble écrasée et fortement déviée dans le sens de la
pression
qu'elle a à supporter le plus habituellement. L
pui pour le soutien du membre tout entier, en même temps que par la
pression
dont il est l'objet, il fait refluer le sang des
peut-être plus mou que le gauche, circonstance due probablement à la
pression
constante de l'avant-bras. Membre inférieur dro
ligne médiane et occupe une étendue égale à celle d'un franc. Là, une
pression
, même légère, est très-douloureuse, occasionne un
jour où les attaques ont commencé. Rachialgie. — Douleur vive à la
pression
des apophyses épineuses des 7°-l2° vertèbres dors
pond dans l'estomac. » La souffrance est plus vive, si l'on exerce la
pression
au niveau des gouttières des 4 1e, 12° vertèbres
auches persiste. V... dit que sa jambe est froide et douloureuse à la
pression
. Application de l'aimant :.1° à droite, retour
ite : cinq ou six épreuves avec le dynamomètre Mathieu ont donné à la
pression
de la main 60 à gauche et 30 à droite. Aussi L...
traction des poils, toucher, frôlement, chatouillement, contact avec
pression
(1), pincement, piqûre, froid et chaleur. (l) I
ession (1), pincement, piqûre, froid et chaleur. (l) Il faut que la
pression
soit L'anesthésie affecte également les muqueus
uis cognée à cet endroit, je suis tombée assise, toute étourdie. » La
pression
ne I provoque pas les phénomènes habituels de
la 7e vertèbre cervicale et des deux premières vertèbres dorsales; la
pression
sur les gouttières vertébrales n'est pas douloure
reuse. — Hyperesthésie latéro-mammaire à droite. Lorsqu'on exerce une
pression
sur les régions hyperesthésiées, on provoque une
ssion sur les régions hyperesthésiées, on provoque une attaque. Si la
pression
est prolongée et très-forte, on arrête d'ordinair
geur d'un à deux centimètres et une longueur de trois centimètres; la
pression
est toujours douloureuse ; la douleur spontanée e
e droite. — Chloroforme : disparition des spasmes. 3 juillet. — Une
pression
légère, exercée sur les apophyses épineuses des v
s vertèbres hyperesthésiées, provoque une attaque. A... dit que cette
pression
détermine une sensation de compression douloureus
la mamelle, une douleur très-vive au sein augmentant sous la moindre
pression
, sans tuméfaction, sans rougeur à la peau, et par
laint d'une douleur dans le sein et redoute singulièrement la moindre
pression
avec les doigts sur cet organe ; quelquefois l'ex
remarquer si elle commence par un doigt plutôt que par un autre; la
pression
la fait disparaître, mais la coloration revient p
ait disparaître, mais la coloration revient presque aussitôt que la
pression
cesse, au contraire de ce qu'on voit dans la mala
ANTE 5 des pieds. Aux membres inférieurs, la peau était tendue ; la
pression
n'y déter- minait aucun godet. Signes d'hystéri
on des yeux. Les testicules plutôt petits, sont très sensibles à la
pression
. On ne constate ni dyschromatopsie, ni rétrécis
is- tance fibreuse, sans induration d'alentour, non douloureux à la
pression
, qui se sont développés sans attirer l'attentio
tent de la con- gestion chronique. Mouvements se font bien. 10. -
Pression
artérielle. Avec l'appareil Potain : radiale dr
cependant malgré cette apparence oedémateuse du dos de la main, la
pression
ne fait aucun godet : il s'agit d'une hyperplasie
mique des paupières, etc. Le malade du service de M. Bard avait une
pression
artérielle faible à la radiale, un tracé de pou
olora- tion violacée, tendant la surface de la peau, sensibles à la
pression
. Ces lupus peuvent présenter l'atrophie central
don- nait une impression de froid plus grande que du côté droit. La
pression
ne dé- terminait le godet de l'oedème mou que s
d. Au niveau de la jambe la peau avait une résistance élastique. La
pression
au niveau du sciatique poplité interne était un
is d'hypnose, élévation du membre morbide sur un plan incliné, com-
pression
graduée, opothérapie thyroïdienne avec des glande
cé par le médius-géant, et doit-on ne voir là que le résultat d'une
pression
lente, continue et prolongée ? Il est plus prob
calisation. - Passons sans nous arrêter sur la localisation des im-
pressions
des fonctions végétatives, localisation qui, d'ap
les faces latérales el postérieures, fendillée, peu résistante à la
pression
qui la fragmente facilement. Comme les centres
depuis quelques jours. L'estomac n'est ni ballonné ni seusible à la
pression
; il a ses limites normales. Rien de pathologiq
côté relative- ment normal et sur lequel s'exerce naturellement la
pression
la plus forte. Fémur. Le fémur droit ne prése
s compact vers sa base, et de consistance inégale ; il crépite à la
pression
dans toutes ses parties. Sur la surface de sect
sez volumineux (15 à 18 fi). Leur forme générale est polygonale par
pression
réciproque ; on trouve des cellules arrondies q
ent, car dans la masse de la tumeur les cellules sont déformées par
pression
réciproque. C'est ainsi qu'il en existe de triang
is pas de dimension disproportionnée, la force musculaire bonne, la
pression
de la main droite donne 13 kgr. celle de la gau
port prolongé de l'arme sur l'épaule; la sensibilité au tact, à la
pression
, à la douleur, à la température est conservée ;
plus ferme qu'à l'état normal, surtout aux membres inférieurs où la
pression
même prolongée du doigt ne détermine aucun gode
tés, en hiver surtout, a une coloration violacée, et la plus faible
pression
y fait apparaître une tache rouge. La dispositi
ent normaux. Des points douloureux typiques sous-claviculaires à la
pression
, dans les ré- gions mammaires et dans la région
visuel des deux côtés. La colonne vertébrale très douloureuse à la
pression
. Le malade était un peu excité et timide. Le
sagères dans les jambes et dans la région du sacrum. Il sentait une
pression
et un « tremblement » dans l'estomac, et cela s
erte de la sensibilité tactile ni de la motilité. A aucun moment la
pression
sur ce nerf n'a.été douloureuse. En 1898,elle
apparition de nouveaux phénomènes douloureux dans l'avant- bras. La
pression
de l'extrémité supérieure de la cicatrice exaspèr
lus rarement, et très exceptionnellement à la face. Il donne à la
pression
, au niveau du pied, l'impression d'élasticité q
) atteint d'un tic d'encensement qui est dû très manifestement à la
pression
intempestive et réitérée du mors dans un travail
a disparu par frag- ments séparés par la carie et détachés par les
pressions
de la langue. Examinons maintenant en détail l'
p de personnes qui croient que le médium, tout en pouvant exercer une
pression
sur l'endroit de la table où se trouvent ses main
ut répéter celte expérience ; il ne lui faut pour cela que diriger la
pression
, non seulement en bas mais en même temps un peu e
le de l'hypotension impressive Att 10/ Att 15, et est endormie par la
pression
oculaire, et dans le rapport magnétique elle es
activité des fonctions de la zone solandique par la percussion ou la
pression
des points du cuir chevelu correspondant aux cent
sie existe pour tout le côté gauche du corps, au point que la moindre
pression
, le moindre contact du bout du doigt sur le bras
ommeil ordinaire, les membres du malade peuvent subir quelquefois une
pression
continue telle qu'ils se paralysent par compressi
mail l'on peut constater que le foie n'est nullement douloureux à la
pression
. Ses gestes et ses plaintes sont absolument ide
ia seule exception du peu de sensibilité que présentait le foie a la
pression
. Et pourtant, malgré cette similitude parfaite da
onnues sous le nom de slaap-verlammingen, c'est-à-dire paralysies par
pression
durant le sommeil, et que, dans ces cas spéciaux,
mbres supérieurs, exclusivement, notamment de celles occasionnées par
pression
durant le sommeil. L'obscivation s'étend sur ce
'elle avait depuis longtemps. Par la fixation du regard, suivie de la
pression
des globes oculaires, le tout accompagné de : « V
au niveau des vertèbres lombaires et a l'ovaire gauche, où la moindre
pression
était douloureuse et provoquait un gémissement.
s mots, j'ai enveloppé son cou avec le mètre, sans exercer la moindre
pression
. Un quart d'heure après je réveille la malade, je
es orbites. Anesthésie des conjonctives. Points hyperesthésiques à la
pression
le long des apophyses épineuses, et, du reste, à
s épineuses, et, du reste, à presque tous les endroits d'élection. La
pression
violente de ces points hyperesthésiques ne déterm
econdes. Pas d'anesthésie cutanée. Douleur ovarienne bi-latérale à la
pression
. Conservation des réflexes rotuliens. Pas de trép
lité en dehors des accès. — Pas d'anesthésie de la peau. Douleur à la
pression
des régions ovariennes droite et gauche, Pas 4e d
hit les membres, le tronc présente une tendance a l'arc de cercle. La
pression
des ovaires ne modifie pas cet état A ce moment l
xcitabilité neuro-musculaire se traduit nettement; si l'on exerce une
pression
modérée sur un muscle, il se contracte et reste d
au lieu de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire, c'est-à-dire que la
pression
des muscles provoque seule des contractions, la p
-dire que la pression des muscles provoque seule des contractions, la
pression
des nerfs ne produisant rien. Enfin l'état d'exta
; il y a une hyperexcitabilité neuro-musculaire telle que la moindre
pression
provoque une contracture très manifeste, enfin le
11. — DES ZONES HYPNOGÈNES. Charcot et Richer ont observé que la
pression
du vertex était susceptible de transformer l'état
état léthargique en état somnambulique ; Dumontpallier a vu que cette
pression
était capable de provoquer d'emblée le sommeil hy
ique de zones hypnogènes. des régions circonscrites du corps, dont la
pression
a pour effet, soit de provoquer instantanément le
tre fréquemment chez les hystériques, des zones circonscrites dont la
pression
provoque le sommeil hypnotique. Un problème int
périmente sur Joséphine D..., on peut facilement se convaincre que la
pression
des zones hypnogènes peut endormir le sujet sans
ssus des seins, rien ne se produisit ; nous avons ensuite pratiqué la
pression
aux bosses frontales et la malade s'endormit auss
es faits nous pouvons éviter les doutes de Pitres, et déclarer que la
pression
des zones hypnogènes est capable d'endormir le su
ant de nouveau saisi et ramené à nous le bras, nous excitons, par une
pression
légère et au moyen de petits coups répétés, les t
nifeste gardant l'empreinte des doigts ; la peau est écailleuse. La
pression
des masses 0 NOUVELLE 1CONOGIi.IYlll DE LA SALP
supérieurs participent dans une certaine mesure à la paralysie : la
pression
des mains est très faible, la malade ne peut se p
où la contraction des muscles des artérioles doit céder à la haute
pression
du sang dans les artères et l'on ne constate au
, mais non plus abolie. En retournant l'épingle, et en agissant par
pression
seulement, au (moyen de la tête, on trouve que
t par pression seulement, au (moyen de la tête, on trouve que cette
pression
, d'abord ne détermine au- cune sensation partic
veau de la main ; mais au niveau des deux phalanges en question, la
pression
détermine des fourmillements dans ces deux doig
ec, ligneux, s'élimine, sans retentissement douloureux notable : la
pression
provoquait à peine quelques sensations pénibles
selle sans que le doigt soit arrêté par une seule inéga- lité. Leur
pression
retentit, comme à l'état normal, sur le petit doi
de la main, érythémateuse, rouge brunâtre, laissant persister à la
pression
une légère pigmentation. Dans chaque aisselle on
pas les nerfs poplités ; les nerfs scia- tiques sont sensibles à la
pression
. Autour des genoux, sur le tiers infé- rieurdes
réactions sensitives. Les tes- ticules sont à peine sensibles à la
pression
. Douleurs spontanées. Sensation de constriction
d'un rouge violacé à reflets bistrés. La rougeur s'ef- face sous la
pression
des doigts tandis que la teinte bistrée persiste.
ueuses dans lesquelles avait lieu la circulation, l'augmentation de
pression
dans les vaisseaux, ont contribué pour une part
s prononcé à ce niveau. Les muscles sont légèrement douloureux à la
pression
. Pas d'oedème des extrémités. Par l'exploration
férieur, toute supposition d'un état de démence disparaît, vu l'ex-
pression
douloureuse de la physionomie (contraction du mus
tercostaux jusqu'au sein. Dou- leurs spontanées et exagérées par la
pression
, constantes, diurnes et nocturnes. Cependant le
deux régions claviculaires et la racine des membres supérieurs. La
pression
, la percussion sur les apophyses épineuses de l
as. La flexion des doigts est particulièrement faible : à droite la
pression
de la main gauche est insignifiante, à gauche e
artent, s'étendent et se flé- chissent avec une entière liberté. La
pression
dynamométrique donne : 16 kilog. à gauche ; 1
rtébrale ne présente aucune dilTormation mais elle est sënsibtea la
pression
surtout inférieurement ('12" v. dorsale et ire v.
out inférieurement ('12" v. dorsale et ire v. lombaire). La par une
pression
même légère, le malade accuse une vive douleur.
ras. On constate une légère diminution de la force musculaire il la
pression
de la main droite. De plus les mouvements de la
deux plis très accentués. Ces rides donnent la physionomie une ex-
pression
à la fois douloureuse et attentive. Les yeux peti
flure dure et douloureuse au toucher; cette dou- leur persiste à la
pression
. A la fin de novembre 1887 ces symptômes doulou
ide et serré contre la surface radiale de l'index ; par suite de la
pression
produite par les doigts, les tissus cutanés de la
redresser ou courber l'extrémité occasionnent de la dou- leur ; la
pression
exercée sur les tissus mous et les condyles est d
leur dans l'épaule ; mais pas de contracture, pas de paralysie. La
pression
des mains est forte. La marche est normale. O
ai- blesse de volonté est dominante; ainsi ils travaillent sous une
pression
morale, alors qu'ils sont incapables de travail
ller. Enfin, au mois de mars, il persiste seulement un peu de dé-
pression
; la malade est calme, s'occupe très activement;
barrassée de tout trouble nerveux ; le goitre, encore sensible à la
pression
, avait diminué de plus d'un tiers. Lesauteurs n
olutions. Mais les accidents symptomatiques de l'augmentation de la
pression
inlra- cranienne n'apparurent qu'à la suite de
adapté à l'accroissement de la tumeur et à la modi- fication de la
pression
correspondante; l'infection a détruit l'équi- l
elles cessent dès qu'il s'assied ou se couche. Rien à la peau ; la
pression
n'est pas douloureuse, mais elle provoque la sen-
t remarquer qu'il a démontré qu'on détermine une augmentation de la
pression
du sang, à la suite d'une période latente plus
surface externe de la temporale. On détermine une diminution de la
pression
latérale suivie d'hyperpression, en excitant la p
missible ici, eût-il pu exercer sur la ligne médiane du chiasma une
pression
et causer ainsi l'hémianopsie î .D'autre part u
cours de ce liquide, il se produit une stase qui fait augmenter la
pression
intra-médullaire. 1 Schultze (F.). AI'chio sur
s modifications biologiques apportées dans l'économie par la sup-
pression
d'organes aussi importants que les ovaires, ainsi
ent pu provoquer des paralysies en anémiant la moelle par la com-
pression
de l'aorte ; ils déterminaient de la sorte des lé
elation de cause à effet entre la disparition des dents et les com-
pressions
articulaires temporo-maxillaires entraînant const
mal d'où peut résulter la mort. > R. C. IX. CE QU'ON appelle la
PRESSION
cérébrale, LE mouvement DU LIQUIDE CÉPHALORACHI
rale, LE mouvement DU LIQUIDE CÉPHALORACHIDIEN DANS LE CRANE, ET LA
PRESSION
ENCÉPHA- LIQUE ; par A. ADAlKIENICZ. (Neiwolog.
le au liquide céphalorachidien le tue aussitôt, du moins dès que la
pression
artificielle produite par cette injection dépas
t une surcharge du coeur droit et de l'oedème céré- bral. Mais la
pression
exercée à la surface de l'encéphale vivant, loin
'excitation ou de la paralysie de l'encéphale. L'augmentation de la
pression
intra-cra- nienne par augmentation de la pressi
ugmentation de la pression intra-cra- nienne par augmentation de la
pression
épicérébrale, celle que détermine la pression d
ar augmentation de la pression épicérébrale, celle que détermine la
pression
d'un liquide injecté dans le crâne, se traduit
s veines de l'encéphale et [de leurs canaux de décharge. Bientôt la
pression
augmente dans les veines du cou ; il ne peut do
eut donc y avoir d'excès de tension du liquide intra- cranien ni de
pression
cérébrale puisque les veines du crâne com- pens
e liquide céphalorachidien est un produit.du sang artériel et de la
pression
de celui-ci dans les capillaires qui occu- pent
les capillaires qui occu- pent l'espace céphalorachidien. Or, cette
pression
-là ne se modifie jamais considérablement ; donc
mo- difie qu'extrêmement rarement. Sa force donne au liquide une
pression
qui fait équilibre à la pression atmosphérique ;
ent. Sa force donne au liquide une pression qui fait équilibre à la
pression
atmosphérique ; elle est à 308 REVUE D'ANATOM
de céphalorachidien de ses réservoirs. Il faudrait pour cela qne la
pression
artério-capillaire s'élevât d'elle- même, ce qu
veines, se fait par des tuyaux à parois rigides, car l'effet d'une
pression
extérieure sur les veines ordinaires à parois m
t à la stagnation du liquide céphalorachidien. Il n'y a donc pas de
pression
cérébrale. Mais il peut y avoir compression du
. Il y a compression de la substance cérébrale et non production de
pression
.cérébrale, S'agit-il d'une tumeur liquide, au
ux dispa- raissent. L'écorce cérébrale sous l'influence de la forte
pression
intérieure s'amincit jusqu'aux proportions d'un
objet mousse ou avec les doigts en allant du contact léger à une
pression
énergique, il est bon de commencer par des exci
Le traitement est délicat et difficile : il importe peu que la sup-
pression
de la morphine soit brusque ou progressive; le di
s dans le courant ordi- naire de sa vie ; tête lourde, sensation de
pression
sur le front, mais pas davantage. Ce jour-là et
nt de l'aspiration de l'éponge, on a beau, en effet, soumettre à la
pression
la plus foi te le cerveau frais ou imbibé, il n
notion des objets, mais est incapable d'identifier de nouvelles im-
pressions
avec celles qui existent déjà dans la mémoire. Ce
ion assez considérable des veines. Il n'y avait pas de douleur à la
pression
qui ne permettait de perce- voir aucune néoform
eur s'arrêtait complètement et reparaissait lorsqu'on exerçait une -
pression
extérieure sur le maxillaire. D'autres fois, le
ransmission, II. « L'activité psychique, indépendamment des im- `
pressions
sensitives qui la mettent en jeu, est liée à un
herches, la preuve que les actions réflexes suscitées par les im-
pressions
des sens dans la substance grise du cerveau, et
nt par con- séquent, à la fois, des centres de perception des im-
pressions
de la sensibilité générale ou de la sensibilité
e grande agilité. 11 existe des points hystérogènes douloureux à la
pression
: ovarique et mammaire gauches, des points spin
n'était, par con- séquent, abasique et astasique, que parce que la
pression
du corps sur les plantes déterminait ce spasme
alades, elle parait être en rapport avec des troubles du sens de la
pression
et de la faculté d'appréciation pon- dérale dan
phère lourde alors qu'elle était légère. En examinant le sens de la
pression
dans les SOCIÉTÉS SAVANTES. '139 deux mains à
ltané, concomitant, bilatéral, du sens de la force et du sens de la
pression
donne les mêmes résul- tats ; la main paralysée
ui revêt les muscles paralysés, moins tendue, est plus exposée à la
pression
des objets. L'examen isolé des extré- mités déc
s décèle que, dans la pluralité des cas, tout trouble du sens de la
pression
marche de pair avec un trouble minime du sens de'
ondérale de la main libre se fait par l'intermédiaire du sens de la
pression
. Il est donc impossible d'apprécier le rôle des
e la force quand il existe en même temps des troubles du sens de la
pression
; ceci s'applique naturellement aussi aux affect
de tableaux dans lesquels sont con- signés l'analyse du sens de la
pression
(à l'aide des sphères de Hilzig), et du sens de
réduite è un tuyau de plume, sur la longue étendue du siège de com-
pression
. (Observation en thèse Michaux.) 3 Binswanger.
enta rien d'anormal, et il n'y avait aucune cause pour augmenter la
pression
cranienne, ni d'affection secondaire des nerfs
ion du sens musculaire, était la possibilité de percevoir une forte
pression
et de diriger les mouvements avec précision : f
du tronc, de fièvres et de douleurs intolérables quandon exerce une
pression
au niveau des apophyses épineuses lombaires. Mo
enfin des phénomènes spéciaux dits d'abstinence, lors de la sup-
pression
de la morphine. Tandis que l'ivresse morphinique
établissement dans cet asile d'une étuve fixe à vapeur humide sous
pression
, pour la désinfection des linges et vêtements.
nt en état d'ivresse ont ouvert le régulateur d'une locomotive sous
pression
. La machine, abandonnée à elle- même, sans cond
ans son trajet intra^pédonculaire, soit peut-être par simple com-
pression
; les relations de l'autopsie permettent l'une
sés, à la fois, ainsi que cela s'est vu dans certains cas de com-
pression
. Mais entrons plus avant dans l'étude de ces ra
ts douloureux, dans les régions des lombes et des mamelles, dont la
pression
réveille les phénomènes de l'aura; son champ vi
n des points symétriques et une médiane dans la région lombaire; la
pression
au niveau de ces zones réveille les phénomènes
réflexes palellaires, par des attouchements sur le vertex, par la
pression
dans la région do la fosse iliaque des deux côtés
elles-ci lui étaient moins vives. Au contraire, en présence d'im-
pressions
simples comme le contact de l'eau chaude ou de
est donc un réveil dans les centres sensitifs correspondants d'im-
pressions
variées qui ont été associées avec ce mouvement p
uite d'une contrainte morale réellle, l'accusé n'a pu résister à la
pression
exercée sur lui, il cesse d'être responsable. c
XVI, fasc. I-II.) La sensibilité tactile, comme la sensibilité à la
pression
est chez les épileptiques moindre que chez les
cte généralement tout un côté de la tête; n'est réveillée ni par la
pression
ni par la percussion du crâne. · DIAGNOSTIC D
cérébrale. Ou bien les parois infiltrées de l'artère ont cédé à la
pression
sanguine, se sont déchirées avec ou sans dilata
se manifesteraient brus- quement les symptômes connus del'excès de
pression
intra- cranienne ». Dans un cas d'hémorragie ve
illeurs justifiée puisque l'inondation sanguine produit un excès de
pression
considérable. ' Loc. cil., p. 607. 12 '2 CLIN
e. Elles sont d'un rouge noi- râtre et ne disparaissent pas sous la
pression
du doigt. Ce sont bien 1 Brocq. Loc. cil., p. 8
elle s'accompagne le plus souvent d'hyperesthésie superficielle; la
pression
du crâne la réveille ou l'exaspère. La percussi
ille ou l'exaspère. La percussion l'augmente au même titre que la
pression
, mais sans lui donner ce caractère de profondeur
tivement, on trouve souvent des zones d'hyperesthésie où la moindre
pression
détermine des douleurs ; ailleurs ce sont des z
sionomie par une expression de souffrance. Elle est exagérée par ta
pression
; il y a de l'hypéresthesie de tout le cuir cheve
soient plus intenses. La percussion l'exagère au même titre que la
pression
, sans modification des caractères de la souffra
es objectifs de la sensibilité générale. Les mouvements passifs, la
pression
sur les os et les masses musculaires, ne provoq
iquées par aucune altéra- tion locale, ne sont provoquées ni par la
pression
, ni par les mou- vements actifs ou passifs. Il
stase. Les expériences de Deutschmann, en montrant que l'excès de
pression
ne suffisait pas, qu'il fallait une action toxiqu
profondes. Il n'existe sur le crâne aucun point douloureux, ni à la
pression
, ni à la percussion. - - Rétrécissement assez p
- sibles, les mouvements passifs sont empêchés par la douleur. La
pression
de la nuque est douloureuse, sans points nettemen
taire externe et sur une hauteur de 4-5 centimètres. A ce niveau la
pression
est très douloureuse, ainsi que la percussion.
eur. Réflexes rotuliens abolis. Il n'y a plus de cépha- lalgie ; la
pression
et la percussion ne sont douloureuses en aucun
ur la fréquence, dans le tabès, de l'analgésie du nerf cubital à la
pression
au niveau du canal huméro-cubital, de nombreuse
M. ALZHE131ER, INTI- TULÉ : c DES hallucinations provoquées par la
pression
DU GLOBE oculaire » ; par LIEP3tANN. (Centralbl
par Destor ; -Influence des différents processus psychiques sur la
pression
du sang chez l'homme, par Binet et Vaschide; -P
onstration de l'existence de nerfs vaso-sensitifs régulateurs de la
pression
sanguine, par Delezenne; Action de la bile et d
au toucher et à la palpation. On n'y détermine pas de godet à la
pression
. Les mains sont froides. La sensibilité cutanée y
tiques une sorte d'altération qui le rend plus friable ; la simple
pression
du doigt suffît souvent à briser les côtes sur
e som- meil, automatisme ambulatoire peuvent accompagner une com-
pression
de la région frontale, et il est en outre intéres
vagabond qui exploite l'ulcère variqueux. Les phénomènes de com-
pression
n'auraient bien souvent qu'un rôle tout à fait ac
euse du pied ainsi que de tuméfactions du frontal doulouieuses à la
pression
. La question peut alors se poser ainsi : Doit-o
le membre de vives douleurs, 1 mais sans localisation précise. Une
pression
un peu forte en un point quelconque des membres
1 vions des signes très nets de lésion extra-médullaire, de cont-
pression
radiculaire. Plus haut, il n'y avait absolument r
lt9 sensations thermiques n'étaient pas perçues ; au contraire la
pression
profonde sur les muscles, les os, était sentie et
ément inaperçu, car dans presque tous les examens qu'on fait subir (
pression
, notion de posi- tion, etc.) la sensibilité cut
ouve- ments les plus complexes, et en particulier à ceux de l'ex-
pression
par la parole, la voix du démon finissant par se
be gauche est, à son tour, atteinte, quoique à un moindre degré. La
pression
de la peau 492 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
e et à sept centimètres de la ligne médiane, qu'exaspère d'abord la
pression
, bientôt modératrice à son tour. Les mêmes acci
t plus grave, c'est qu'elle forme bientôt des amas qui exercent une
pression
sur ta peau des malades. 11 y a une dizaine d
mousse aura absorbé une grande quantité d'urine, celle-ci, sous la
pression
du corps, finira par passer à travers les joint
rice, par De- zon, 262. Il,ilLUCIN.%110,\S 1)10\0(]UéebI)at' la
pression
du globe Liepmann, 149. - (le la vue, se- méi
par des caillots noirs comme par une masse à injection poussée sous
pression
. Ceci s'observe particulièrement au niveau de l
s dans les scissures et les sillons où le sang a dû s'épancher sous
pression
. On note à la surface interne de ce feuillet méni
lave- ments fréquemment répétés, et en cas d'intolérance, la sup-
pression
de l'opium par doses progressivement décrois- s
s on peut distinguer beaucoup de libres dont l'examen donne l'im-
pression
qu'elles suivent ce trajet, bien que la direction
e de ces troubles doit être attribuée, d'après l'auteur. à la cotir
pression
des voies motrices dans leur passage à travers le
lement siéger dans la cavité orbitaire et ne peut être qu'une com-
pression
ou une altération névritique rhumatismale. G. D.
uleur qui force le corps à s'infléchir en avant pour dégager, de la
pression
supérieure du corps, les autres vertèbies malades
téléphone. Eclairage électrique. Chauffage central (vapeur à basse
pression
) avec appareils installés dans le sous-sol d'un
st constitué dans un conducteur, le potentiel, ou, si l'on veut, la
pression
nerveuse augmente peu à peu en amont, par suite
teur électrique, et par suite une contraction muscu- laire. Puis la
pression
, tombée à zéro, augmentera de nou- veau : une n
ortes, sont aussi les plus rares. Si en amont d'un diélectrique, la
pression
électrique aug- mente, les décharges électrique
De même : Sixième LOI. Si en amonl d'un 1wllI'o-diélecll'irjlW la
pression
nerveuse augmente, les décharges nerveuses aug-
e augmente, les décharges nerveuses aug- mentent de fréquence. La
pression
nerveuse augmente en amont d'un neuro- diélectr
gement explosif qui correspond à l'émotion). L'augmentation de la
pression
nerveuse eu amont du neuro-diélectrique peut mê
lumineuse constante. Inversement, si en amont d'un diélectrique, la
pression
électrique diminue, les décharges électriques d
même : SLPTlÈ.lOE loi. Si en amont d'un ueecro-diélectoictaee, la
pression
nerveuse diminue, les décharges nerveuses dimi-
use diminue, les décharges nerveuses dimi- nuent de fréquence. La
pression
nerveuse diminue en amont d'un neuro-diélec- tr
roïde exerçait une compression sur le sympathique cervical, com-
pression
que rien ne faisait soupçonner pendant la vie ; c
a trouvé 3 pintes de liquide. Les os du crâne sont séparés par une
pression
interne toujours croissante, et plus le malade es
ore parmi quelques tribus du Nord de l'Amérique, qui exerçaient une
pression
sur la tête pen- dant la vie, dans le but de se
qui s'offrent à nous sont des paralysies de la naissance, dues aune
pression
sur la tête à cause de l'étroitesse du bassin,
e trouvant sa voie dans la grande fissure longitudinale, exerce une
pression
sur les bords supérieurs des deux hémisphères.
; quand elle est faible, ils sont relativement peu apparents; si la
pression
est plus profonde, elle cause une rigidité spas
uture. Tous les linges souillés sont désinfectés par la vapeur sous
pression
. En outre de la grande construction affectée au
es de flux, à l'activité des oxydations ou à l'aug- mentation de la
pression
artérielle ? Est-ce une transformation di- rect
pliqué sur la région du coeur peut produire des modifications de la
pression
du sang et de la fréquence du pouls. Pour avoir d
rant voltaïque, 170 millièmes de volt pour le fara- dique. Seule la
pression
du sang varie, le pouls reste à peu près égal.
du sang varie, le pouls reste à peu près égal. L'augmentation de la
pression
sauguine est peu durable. On peut l'obtenir en
sans chocs de rupture ou de fermeture. L'examen des tracés de la
pression
artérielle semble indiquer l'absence d'excitati
motrice dans un membre immobile tendu. Seuil des poids perçus sans
pression
cutanée et sans mou- vements (actifs ou passifs
déplacement du membre, ni mouvement actif, ni mouvement passif. La
pression
cutanée est nulle (fil tenu entre les doigts).
nt soigneusement molletonné pour ne pas produire en ces points de
pressions
excessives. Les expériences cadavériques ont mo
tabes spasmodique, dans la paraplégie spasmodique due à une com-
pression
médullaire, il y a interruption des fibres cortic
s de la moelle, elle a dû être déterminée, d'après l'auteur, par la
pression
cérébrale : celle-ci aurait exercé sur la circu
adaptation d'un dynamo- mètre à l'instrument permet de contrôler la
pression
. Enfin on peut se servir de la surface lisse du
ittérateur qu'une femme s'amu- sait à endormir à volonté par simple
pression
d'un point hypno- 524 VARIA. gène artificiell
mbres, la langue offre souvent une diminution de la résistance à la
pression
du côté cor- respondant (Revue philosophique, j
plaque hyperesthésique siégeant sur 1 'hJ'pochrondre gauche dont la
pression
détermine la pro- duction de convulsions en arc
xiste un certain degré de parésie des mains, qui se traduit par une
pression
dynamométri- que faible : M. D : 12, M. G : 20.
i abdominale sans que D... s'en aperçoive. Ovarie gauche, aura à la
pression
. Thorax. L'anesthésie est limitée en haut par u
; dimi- nués. tG. - Nous essayons de provoquer une attaque par la
pression
sur l'ovaire gauche ; seule l'aura se produit.
oigts sont devenus sensibles à la pi- qûre, au chatouillement, à la
pression
, à la chaleur. La sensibilité articulaire y est
ésie : la moitié droite de la langue sent la chaleur, la piqûre, la
pression
; la moitié gauche est devenue insensible. 4°
rmine les phénomènes en rapport avec une élévation quelconque de la
pression
intra-crânienne (hy- drocéphalie papille étrang
ément principal de comparaison. Ce qu'il faudrait, c'est prendre la
pression
du sang; or, il n'est pas de méthode à l'abri d
avec tendance au suicide, caractérisée par de l'anxiété, de la dé-
pression
, des insomnies, des préoccupations hypocondriaque
ond os, TRAUMATISME AVEC PERFORATION DU CRANE. 181 résistant à la
pression
de la pince, et qu'on laisse en place. Il est s
uspendait les injections, pour faire place à l'état habituel de dé-
pression
et de stupeur. Parmi les déments séniles, affaibl
e pipette de Dazère, l'écoulement de l'urine étant assuré par une *
pression
mercurielle. Dans ces conditions, on a trouvé q
n des globules marche paral- lèlement à l'augmentation du poids. La
pression
dynamométrique peut être considérée comme une q
érielle des douches a paru pleinement satis- faisante, ainsi que la
pression
et la température de l'eau. La combinaison du c
inférieurs, surtout à gauche ; signe de Westphal des deux côtés. La
pression
sur les ori- gines des gros troncs nerveux (rad
r pulsatile apparut au dehors, qu'il y eut des phénomènes de com-
pression
sur tous les organes du médiastin. Et le canal ve
s hyslérogènes vraies, mais il existe deux points doulou- reux à la
pression
dans les deux fosses iliaques, sans caractère hys
imperceptible, tandis que, du côté droit, il demeurait très net. La
pression
et l'électrisation du ganglion cervical supérie
était plus basse de presque 1 degré relativement au côté droit.' La
pression
exercée sur le ganglion cervical supérieur du n
température baissée du côté affecté de la face et sensibilité à la
pression
exercée sur les ganglions cervicaux du sympathi
Salpêtrière, M. Bourneville essaie de l'endormir de nouveau par la
pression
des globes oculaires après commandement de dorm
s de plaques d'hypéresthésie ni d'anesthésie. Légère douleur par la
pression
d'un point situé à environ 5 centimètres au-dessu
entimètres au-dessus du mamelon du eôlé gauche. Pas de douleur à la
pression
des apo- physes vertébrales. Torticolis assez f
es après 37°,6. 30 août. - L'un de nous essaie de l'endormir par la
pression
des glohes oculaires, mais sans succès. 31. -
d'après ces auteurs, le sulfonal n'exerce aucune influence sur la
pression
sanguine, sur les fonctions du coeur et sur la re
rale de tous les vaisseaux du cerveau ; 2° que l'élher éle- vait la
pression
artérielle générale et augmentait le débit des
rente secondes; le lieu de l'injection reste un peu sen- sible à la
pression
pendant quelques heures et c'est tout. Il parait
ort en lui suggérant qu'elle doit dormir et 'en exerçant une légère
pression
sur les globes oculaires. Les résultats favorab
pâle, entourée d'une zone rougeâtre, douloureuse au toucher et à la
pression
, et qui correspondait exactement Eu point indiqué
tru- ment, ou du moins l'opération avortait, soit par suite d'une
pression
incertaine et inégale, soit en raison du déplace-
pas- sage qui s'enfoncent légèrement en la traversant ; cette dé-
pression
est comme une ébauche ou un vestige d'une scis-
existe différentes zones chez notre malade, au niveau desquelles la
pression
digitale est très douloureuse. En procédant de
tres en avant du vertex. Il n'y a pas de douleur spontanée, mais la
pression
détermine une sensation pénible dans toute la t
d'hyperesthésie cutanée à ce niveau, ni de douleurs spontanées; la
pression
donne au malade la sensation d'un tapotement qu
ntanée, ni hy- HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. 59 peresthésie cutanée, mais la
pression
du doigt donne lieu à des douleurs lancinantes
nts hystérogènes, on n'a pas essayé de provoquer d'attaques par une
pression
prolongée (1). Aura.- L'enfant déclare avoir la
oir se jeter à bas du lit. Grand arc de cerclo. Dou- leur vive à la
pression
au niveau de la zone hystérogène dorsale. Grand
intervalle des attaques : La douleur est particulièrement vive à la
pression
dans la fosse iliaque gauche. Nouvelles exclama
es paraissent un peu atté- nués et se montrent moins sensibles à la
pression
. Au niveau de la zone dorsale, la sensibilité à
ou- vertures vraisemblablement artificielles et produites par la
pression
du doigt qui a dû rompre les adhérences pieurales
su pulmonaire laisse écouler à la coupe un sang noir et spumeux; la
pression
fait sour- dre des gouttelettes de pus des bron
bien qu'on n'obtienne pas de gouttelettes de pus bronchique par la
pression
, on amène sur le couteau, par le raclage, un dé
ente à sa surface des dépressions allongées,plus claires, dues à la
pression
des fausses côtes. Sur des coupes, il est gras,
. Le reste du tissu est friable sous le doigt et ne surnage pas. La
pression
fait sourdre des gout- telettes de pus de la ma
aphragme, qui détermine dans la cavité thoracique une diminution de
pression
, par suite de laquelle le poumon, dont l'élasti
if à la panse et au bonnet, et qu'elle établit que la diminution de
pression
intra-pulmonaire est indispen- sable à la pénét
traces de mor- sures ; le ventre, ballonné vers le haut, donne à la
pression
dans la région épigastrique un gargouillement c
e cardia qui, on le sait, reste sans cela fermé même sous de fortes
pressions
de gaz contenues dans l'estomac. Quant aux mouv
pour produire la ré- gurgitation, en agissant sur l'estomac pir des
pressions
exté- rieures, par des contractions des muscles
vements de projection du bassin, et une dyspnée intense. La com-
pression
testiculaire ne produit aucun effet ; la pression
intense. La com- pression testiculaire ne produit aucun effet ; la
pression
sur les fosses iliaques donne un résultat très
surés de l'existence d'un certain nombre de points, douloureux à la
pression
, analogues aux zones hystérogènes qui existent
centimètres du vertex et empiétant à gauche de la ligne médiane; la
pression
et le passage du peigne sont douloureux en ce p
s spontanée dans cette région ; toujours elle est déterminée par la
pression
, mais il n'y a ni irradiation, ni troubles hypere
deux zones douloureuses symétriques, au niveau des flancs, dont la
pression
s'accompagne d'anxiété respiratoire;- 8° et 9"
correspondant au siège de l'ovaire chez la femme ; à cet endroit la
pression
du doigt est péniblement supportée et détrr- mi
rconvolutions ont conservé une très grande mollesse, la plus légère
pression
suffit pour entraîner la couche superficielle.
ne acquièrent une épaisseur inaccou- tumée destinée à résister à la
pression
qui s'exerçait sur eux (loc. cit., p. 157). » S
ient plus fins et moins abondants que sur le reste de la tête. A la
pression
on sent les battements du cerveau qu'on peut re
ngle susclaviculaire la présence d'un cordon dur et douloureux à la
pression
. C'est sur ce cordon, réséqué par M. le profess
a tête, d'écarter les cheveux ou de les couper, enfin d'exercer une
pression
égale sur chacun des réservoirs. Toutes ces pré
e température, et à en diminuer un autre, supposons le sens de la
pression
, on est forcé d'admettre que les sensations de te
, on est forcé d'admettre que les sensations de tem- pérature et de
pression
sont transmises par des nerfs différents, car u
ction agit, et la peau diminue la sen- sibilité, au contact et à la
pression
, et augmente celle-ci à la pression [douloureus
sibilité, au contact et à la pression, et augmente celle-ci à la
pression
[douloureuse. Cette dernière était mesurée au moy
ture de 38° à ai° c., augmente l'excitabilité du sens de lieu et de
pression
et dimi- nue celles du sens de température. Ain
- nue celles du sens de température. Ainsi, le sens de lieu et de
pression
d'un côté, et celui de température de l'autre ne
gements plus ou moins saillants, qui doivent évidemment exercer une
pression
DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 243 t nuisible sur
: telle malade qui, avant l'application, n'est capable que '- d'une
pression
de quelques kilogrammes, peut, lorsque la sen--
a force de 260 REVUE CRITIQUE. - A > ° r,A.. ! 'T rtf· ? - 1
pression
de la main droite chez un adulte (non gaucher), d
is rester uniquement aux mains des dentistes. En l'ab- sorbant sous
pression
et mélangé d'oxygène en parties déter- minées,
malade le mélange d'oygène et de protoxyde d'azote élevé à la même
pression
. Une plus grande simplification dans les appare
itié gqucbe¡de la face avec hyperalgészé, points j. douloureux à la
pression
et parfois irradiations étendues. Gal, wanasâta
'les points où le facial est accessible' sont'très douloureux' à la
pression
et celle-ci n'exerce aucune' action' d'arrêt; S
latives à la pathÓgénie'(lú décúbitus'aigu pour lui, ce n'est ni la
pression
exercée par le pian résistant du lit, ni le con
i est contenu dans la caisse ne tarde pas à être absorbé. Alors; la
pression
atmosphérique refoule le tympan de dehors en de
byrinthe. Ce liquide, incompressible, transmettant intégralement la
pression
sur les extrémités du nerf acoustique, celui-ci
ompe et insuffler de l'air dans la caisse, de façon à équilibrer la
pression
atmosphérique. Ce qui est facile chez l'adulte
partie gauche : à droite, en- fin, la sensibilité au tact (ou à la
pression
) et à la douleur, se montrait émoussée, mais la
région de la nuque présente une exagération de la sensibilité à la
pression
. La langue, d'aspect normal, n'était pas déviée
des phalanges des doigts sont rouges et tuméfiées. -La douleur à la
pression
est vive dans les jointures malades;-les veines
ement; une main parétique au point de ne donner qu'un kilogramme de
pression
acqué- rant graduellement, en quelques minutes,
première paire dorsale de chaque côté produit un abaissement de la
pression
artérielle des organes abdominaux et démontre p
es- sion unie, une fossette analogue à celle que déterminerait la
pression
du petit doigt. Le trou occipital a la forme d'un
es- sées de concert avec la substance du pont de Varole : la com-
pression
de la protubérance, ce centre convulsif des auteu
anque. Les ver- tèbres dorsales paraissent douloureuses à une forte
pression
. 456 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. La surdité
t;\t ? ) ? j' ? \."\y«\\\\ ? \\'t nue ses douleurs, en exerçant une
pression
avec les mains a la base du thorax, ou bien eu
ux ? san§,-élevure .,ni- 1 saillie,, sansldouleur spontanée -ni, la
pression
; elles - devienùentl, ensuite verdàtiesiret,jaà-
t31HlHb]nfO"ti.f.'JQK' petites'taches jaunâtres n éveillaient a- la
pression
la moindre ssribilifé9'etellés siégeaient la p'
? Vr'1't,q p9;'OtT.r Op1f<1.t() .} ? UffnR spontanément qu a la
pression
, tandis que les ecchy- , 'i r· ` ra nn 1 ,r rfr
nique, par suite de l'augmentation, dans la gaine de Schwann, de la
pression
qui résulte du refoulement des éléments de chaq
trouble des facultés affectives, et, de ce fait, une exagération de
pression
dans l'organe central ; sous cette influence, i
des vaso-moteurs de l'estomac. Pour Ebstein, à l'augmentation de la
pression
dans tout le système circulatoire à la suite de
es régions en général très circonscrites au niveau des- quelles une
pression
plus ou moins forte produit dans un temps varia
te. Certaines attitudes peuvent empêcher la f632 bibliographie. J
pression
sur les régions hystérogènes de produire une atta
t;'il en'est de> même de l'activité des régions hystérogènes. La
pression
des zones hystérogènes, parmi lesquelles la plu
thésie et de l'analgésie, la névralgie et la douleur provoquée à la
pression
. Tous ces phénomènes font présumer qu'il s'agit
st aplatie ainsi que la face antérieure des doigts, par suite de la
pression
continuelle de la main opposée. Nous notons enc
u niveau de son tiers interne avec son tiers moyen une petite dé-
pression
. La protubérance paraît symétrique; le sillon méd
durant six jours, deux ou trois accès débutant par une sensation de
pression
montant de l'abdomen, suivis de l'abolition de
est devenu acariâtre de doux qu'il était et emploie souvent des ex-
pressions
ordurières qu'il n'auraitjamais prononcées aupara
nsibilité de tout le côté gauche parait normale au toucher et la la
pression
: mais la sensibilité au chatouillement et au fro
trophiques); - 3° enfin que, si la sensibilité au tou- cher et à la
pression
était conservée, la sensibilité au chatouil- le
s isolées par des espaces de peau blanche, elles s'effacent sous la
pression
du doigt, pour reparaître aussitôt, et donnent
diminué depuis quelques jours et les garde-robes étaient rares; la
pression
no provoquai ! pas de douleur it l'epigastro ni
la voûte est plus accusé que le droit. , EPILEPSIE TARDIVE, 117
pression
notable, les pariétaux sont sur un plan inférieur
sements. L'abdomen n'est ni ballonné, ni déprimé; il est souple; la
pression
ne paraît pas y occasionner de douleur ; sonori
consiste en petites taches d'un rose peu intense, s'effaçant par la
pression
; elle forme autour du front, vers la racine de
de couleur sépia et fétide. Tympanismo de l'ab- domen sensible à la
pression
et sur lequel se dessine un réseau veineux supe
que droite, autre point grand comme une pièce de cinq fraucs, où la
pression
même légère, donne la sensation d'un poids cons
e une région large comme la moitié de la paume de la main, et où la
pression
produit une sensation de chatouillement toute s
ui, selon l'expression du malade, « le retourne tout entier. u La
pression
sur les apophyses épineuses et dans les gouttière
ste de véritables zones hystérogènes, mais plutôt des régions où la
pression
cause une sensation particulière de chatouillem
nsibilité est en grande partie reve- nue à droite ; la douleur à la
pression
sur les zones hysté- rogènes est très diminuée.
tion d'un point brillant, le ton impéra-tif, l'occlusion des yeux, la
pression
sur le vertex, etc., ne sont que des cas particul
igne médiane. Les sensibilités à la douleur, au chaud, au froid, à la
pression
, abolies ; l'odorat, l'ouïe complètement perdus ;
rcxcitabilité névro-musculaire existe au degré le plus élevé : — La
pression
exercée sur le facial, produit la contracture de
la contracture de la moitié de la face ; — Il en est de même de la
pression
du sterno—mastoïdien, dont la contracture porte l
vement, persiste aussi longtemps qu'on veut !e faire durer : Que la
pression
des lèvres supprime instantanément la parole et p
ouverez plus jusqu'à la fin de votre accouchement qu'une sensation de
pression
, très supportable, nullement douloureuse, et vous
t 1885, les phénomènes que nous allons décrire. Après avoir, par la
pression
des tendons rotuliens. produit la contrac-ture de
nd conscience a la Rochelle. Un astre jour, nous provoquons, par la
pression
des tendons. l'hémiplégie avec hémianesthésie dro
elle est sensible, une ébauche d'attaque qu'on arrête aussitôt par la
pression
du testicule. Immédiatement alors, on peut fair
ent alors, on peut faire passer V... i l'état de somnambulisme par la
pression
des yeux, l'ouverture des paupières et la frictio
n profonde, mais sur celle des muscles et celle de la peau ; 4° Les
pressions
profondes et les pétrissages produisent des tirai
ur les premiers. Le dynamomètre indique en effet presque toujours une
pression
plus grande après les premières et moins grande a
des vaisseaux artériels, rendant ainsi la circulation plus active, la
pression
intra-vasculaire plus grande, la température plus
roits ; cette douleur, qu'elle qualifie piquante, est exagérée par la
pression
. Elle peut remuer le membre, mais dit le mouvoi
es du poignet, de l'épaule et du coude manifestent de la douleur à la
pression
. A 4 heures 28, je la réveille. Interrogée, ell
on du sens musculaire. A 4 heures 31, la douleur est plus vive à la
pression
dans le poignet que dans les autres jointures; ma
qu'une certaine sensation de fatigue à la nuque (due sans doute à la
pression
du flacon). A 5 heures réveillée, elle se trouv
un petit comité, sans être influencé par personne, en dehors de toute
pression
. S'il n'a pas réussi a reproduire ce qu'il avait
e N..., hémianesthésique gauche, sensible à droite. Somnambulisme par
pression
du vertex. Attouchement très léger de la face dor
t spéciale) intacte. La malade est alors mise en somnambulisme, par
pression
du vertex. Ayant, au cours de l'expérience, prése
le est très sensible aux explorations avec le diapason ; de plus, les
pressions
centripètes provoquent la sensation de vertige, l
rtige, la constriction pénible des tempes, la déséquilibration et ses
pressions
sont aussi douloureuses, bien qu'extrêmement légè
que est dans le membre supérieur. Beaucoup éprouvent une sensation de
pression
, de constriction autour du poignet. Après ces pro
Il existe une douleur sus-mammaire et iliaque gauche très nette a une
pression
modérée. Diminution de la sensibilité aux piqûr
ssaie de l'hypnotiser par l'application d'une main sur le front et la
pression
sur les yeux. J'obtiens le sommeil au bout d'un q
ns le dos: des étouffements. Je constate des points douloureux à la
pression
au-dessus et au-dessous du sein gauche, dans la r
spalier; ainsi que fait le vannier de l'osier qu'il assouplit sous la
pression
continue de ses doigts agiles. Loin de nous la pe
tion d'un point brillant, le ton impéra-tif, l'occlusion des yeux, la
pression
sur le vertex, etc., ne sont que des cas particul
igne médiane. Les sensibilités à la douleur, au chaud, au froid, à la
pression
, abolies ; l'odorat, l'ouïe complètement perdus ;
rcxcitabilité névro-musculaire existe au degré le plus élevé : — La
pression
exercée sur le facial, produit la contracture de
la contracture de la moitié de la face ; — Il en est de même de la
pression
du sterno—mastoïdien, dont la contracture porte l
vement, persiste aussi longtemps qu'on veut !e faire durer : Que la
pression
des lèvres supprime instantanément la parole et p
ouverez plus jusqu'à la fin de votre accouchement qu'une sensation de
pression
, très supportable, nullement douloureuse, et vous
t 1885, les phénomènes que nous allons décrire. Après avoir, par la
pression
des tendons rotuliens. produit la contrac-ture de
nd conscience a la Rochelle. Un astre jour, nous provoquons, par la
pression
des tendons. l'hémiplégie avec hémianesthésie dro
elle est sensible, une ébauche d'attaque qu'on arrête aussitôt par la
pression
du testicule. Immédiatement alors, on peut fair
ent alors, on peut faire passer V... i l'état de somnambulisme par la
pression
des yeux, l'ouverture des paupières et la frictio
n profonde, mais sur celle des muscles et celle de la peau ; 4° Les
pressions
profondes et les pétrissages produisent des tirai
ur les premiers. Le dynamomètre indique en effet presque toujours une
pression
plus grande après les premières et moins grande a
des vaisseaux artériels, rendant ainsi la circulation plus active, la
pression
intra-vasculaire plus grande, la température plus
roits ; cette douleur, qu'elle qualifie piquante, est exagérée par la
pression
. Elle peut remuer le membre, mais dit le mouvoi
es du poignet, de l'épaule et du coude manifestent de la douleur à la
pression
. A 4 heures 28, je la réveille. Interrogée, ell
on du sens musculaire. A 4 heures 31, la douleur est plus vive à la
pression
dans le poignet que dans les autres jointures; ma
qu'une certaine sensation de fatigue à la nuque (due sans doute à la
pression
du flacon). A 5 heures réveillée, elle se trouv
un petit comité, sans être influencé par personne, en dehors de toute
pression
. S'il n'a pas réussi a reproduire ce qu'il avait
e N..., hémianesthésique gauche, sensible à droite. Somnambulisme par
pression
du vertex. Attouchement très léger de la face dor
t spéciale) intacte. La malade est alors mise en somnambulisme, par
pression
du vertex. Ayant, au cours de l'expérience, prése
le est très sensible aux explorations avec le diapason ; de plus, les
pressions
centripètes provoquent la sensation de vertige, l
rtige, la constriction pénible des tempes, la déséquilibration et ses
pressions
sont aussi douloureuses, bien qu'extrêmement légè
que est dans le membre supérieur. Beaucoup éprouvent une sensation de
pression
, de constriction autour du poignet. Après ces pro
Il existe une douleur sus-mammaire et iliaque gauche très nette a une
pression
modérée. Diminution de la sensibilité aux piqûr
ssaie de l'hypnotiser par l'application d'une main sur le front et la
pression
sur les yeux. J'obtiens le sommeil au bout d'un q
ns le dos: des étouffements. Je constate des points douloureux à la
pression
au-dessus et au-dessous du sein gauche, dans la r
spalier; ainsi que fait le vannier de l'osier qu'il assouplit sous la
pression
continue de ses doigts agiles. Loin de nous la pe
une douleur légère, avec irradiation dorsale et exagération par la
pression
et pendant la marche. Elle consulta au bout de
as la langue pendant l'attaque. On provoqua une vive douleur par la
pression
sur la région hypogastrique. D'autres crises
halalgie assez légère, mais persistante sous forme constrictive. La
pression
provoque une légère douleur le long de la colon
ir vu ses seins devenir bleuâtres pendant la crise asphyxique. La
pression
au niveau des parties asphyxiques efface lentemen
e ce mémoire. La malade fut endormie par un des procédés habituels (
pression
-.sur les globes oculaires) et tomba facilement
ion (Beaclalungszualan) soupçonneuse, ayant pour facteurs des im-
pressions
morbides hypochondriaques et des hallucinations,
ique, secousses du grand pectoral, rétention d'urine, urticaire par
pression
, absence de sudation, réflexes cutanés plan- ta
n de même qu'une accélération est suivie d'un ralentissement; 3° la
pression
sanguine s'élève; 4° la respiration change souv
t tout indiqué de se servir d'un médicament qui, en augmentant la
pression
sanguine, resserre en même temps les vaisseaux; o
quelques années, douleur au niveau du tendon rotulien gauche, parla
pression
seulement (acte de s'agenouiller) : t C'était c
peut au contraire se produire un oedème par constriction ou com-
pression
vasculaire extramédullaire (Kahler, Schmaus). Q
uoi qu'il en soit, que le foyer ou la cause d'irritation et de com-
pression
soient intra ou extra-rachidiens, il y a lieu à c
ant et en bas, les douleurs spontanées continuaient encore, mais la
pression
sur l'épine dorsale n'était pas douloureuse. Le
n. M. Cramer. Communication clinique. L'analgésie du cubital à la
pression
soit dans son trajet soit au niveau du condyle in
sensibilité est normale. Les jours suivants les progrès de la com-
pression
de la moelle deviennent des plus certains. Douleu
deuxième racine dorsale). Sensibilité circonscrite très nette à la
pression
et la percussion, dans le point de la colonne ver
. Mais il y a com- ARCHIVES, t. XXXI. 10 146 SOCIÉTÉS SAVANTES.
pression
du lobe frontal gauche et des première et deuxièm
vif. Elle est chaude. Les artères battent. La position déclive, la
pression
provoquent ou exagèrent les accès. La position
nnes, aux faces plantaire et dorsale du gros et petit orteils. La
pression
, douloureuse surtout au niveau des orteils, dimin
. La malade est endormie pour la première fois le 5 août, par la'
pression
sur les globes oculaires, elle s'endort facilemen
ôt dans l'artère . médiane, tantôt dans l'artère jugulaire, etc. La
pression
et la rapidité d'injection sont aussi évidemmen
nt normaux; point de cicatrices, point de parties douloureuses à la
pression
ou anes- thésiées. Nulle part la percussion du
sse croissante du bras droit. Pour les grands mouvements et pour la
pression
de la main il n'y avait pas de différence appré
cutanés, oedème des pieds et des jambes, sensibilité douteuse à la
pression
sur les troncs des nerfs, amaigrissement des mu
u volume d'une pièce de cinq francs, excessivement [Sensible à la
pression
et à la percussion. Vomiturition. Intégrité des p
une semaine. Le gonflement, la chaleur, la rougeur, la douleur à la
pression
et dans les mouvement ? ne laissaient aucun dou
la contracture des muscles animés par le nerf que l'on excite par
pression
lente et modérée chez l'hystérique. Suit une crit
condi- tions, un écoulement modéré au liquide à injecter avec une
pression
à peu près constante. En opérant de cette façon
tient aux nombreuses causes d'erreur inhé- rentes aux explorations (
pression
de l'électrode, humidité de la peau, etc.). L
en place à l'aide d'une bande élastique qui exerce sur la peau une
pression
toujours égale. Quand la résistance du corps hu
et en même temps de faire circuler le sang par le relèvement de la
pression
artérielle et le rétrécissement de la lumière des
vation. Homme de vingt-deux ans, chute d'un toit, vive douleur à la
pression
vers la onzième apophyse épineuse dorsale, pas
es communs, des verres de lampes, parfois un bout d'étoffe légère. La
pression
atmosphérique sera mise en évidence à l'aide du m
e notre malade se dilate au moment de la piqûre et, si l'on mesure la
pression
sanguine dans la (1) Présentation de malade fai
blancs dans les parties du derme inextensible; là l'exsudat est sous
pression
: il provoque l'anémie et la coloration bleue.
ance aux stigmates sanglants tel, le cas de Louise Lateau. Comme la
pression
exercée par l'œdème provoque de l'anémie, il suff
e par l'œdème provoque de l'anémie, il suffit que la peau subisse une
pression
même peu intense ou que le coude s'appuie d'une c
e l'insensibilité du pharynx et des conjonctives. Légère douleur à la
pression
au niveau de l'ovaire droit, mais pas de sensatio
mais, il les appellera, les suscitera, les provoquera ; par certaines
pressions
brusques et saccadées, en utilisant la fatigue et
côté des jambes, saisit les poignets et les abaisse, en évitant toute
pression
sur le corps ou sur les membres. Alors l'opérateu
appuyais sur le vertex. Quelqu'un étant venu me parler, je cessai la
pression
et laissai là ma malade. Lorsque je revins auprès
de durée de l'action hypnogénique et je constatai alors que, par une
pression
du vertex suffisamment prolongée, je pouvais fair
e. Pendant des mois, j'ai placé la malade d'emblée en léthargie par
pression
du vertex et comme d'une part, ce sujet était trè
mme d'une part, ce sujet était très sensible et que, d'autre part, la
pression
était suffisante et, par habitude, peut être touj
temps suffisant. Pour ne reprendre que le même exemple, une faible
pression
sur le vertex suffit-elle à rendre une malade som
oir la douche rectale froide, prise quotidiennement à une très faible
pression
, dans la position horizontale avec une grande can
llélogramme de forces. Vous savez qu'un corps quelconque, mis sous la
pression
de forces diverses qui le poussent en directions
nt sur le corps. L'homme est toujours comparable à ce corps sous la
pression
de mille forces différentes qui cherchent à le po
ions de morphine. Au moment où le malade se calme u*n peu, je fais la
pression
des yeux et du creux de l'estomac et, en deux min
complète. Dans le pays, on croit à un sort jeté. Elle est ensorcelée.
Pression
des points sensibles, ovaires et des yeux ; somme
yeux ; sommeil hypnotique, après deux minutes au plus. Suggestion,
pression
, massage des bras, des jambes, traitement tonique
her ne révèle rien. Ovaires très sensibles. J'endors la malade par la
pression
ovarienne et oculaire. Je suggestionne longuement
on d'organe. Creux de l'estomac très sensible (pointe du sternum). La
pression
de ce point et des yeux produit presque instantan
s, mais point sternal (pointe) très sensible produisant rétouffemenl.
Pression
de ce point et pression oculaire, sommeil hypnoti
ointe) très sensible produisant rétouffemenl. Pression de ce point et
pression
oculaire, sommeil hypnotique très rapide, suggest
, mais la constitution organique individuelle en concurrence avec les
pressions
que le milieu exerce sur lui. En disant que la co
acte de l'homme est le résultat de la constitution organique et de la
pression
du milieu dans lequel l'homme vit, — mais qu'il e
térés. Les ovaires sont LES MÉLANCOLIQUES. 4't douloureux à -la
pression
. La marche est normale. Les autres organes sont
s) sont froids, cyanoses. Les ovaires ne sont pas dou- loureux à la
pression
. Il n'existe pas de zones hystérogènes. Il n'y
Le foie est aug- menté de volume, mais il n'est pas douloureux à la
pression
. Les ganglions inguinaux augmentés de volume.
ents des doigts. La sensibilité culanée à la douleur est obtuse. La
pression
de la région des ovaires est un peu douloureuse
tique, comme si de la gélatine avait été injectée sous la peau : la
pression
au doigt ne laissait pas de trace, mais il y av
as de trace, mais il y avait comme un léger rebondissement quand la
pression
cessait. Dans sept cas sur huit la glande thyro
in suffit pour s'en rendre compte. Par contre, l'insensibilité à la
pression
du sciatique poplité interne dans le creux popl
'hémorrhagie cérébrale aura surtout pour but d'empêcher nn excès de
pression
dans les artères lésées ; éviter le travail int
ement efficace, bien que l'on puisse toujours essayer d'abaisser la
pression
artérielle par les frictions, une saignée, des
ort. Il y a trois méthodes pour traiter la morphinomanie. La sup-
pression
brusque, rapide et lente. La' suppression brusque
mesure objective, aucun point de repérer ni pour savoir le degré de
pression
à déployer chez un indi- vidu déterminé, ni pou
- mum à la pointe. L'hypochondre droit est un peu douloureux à la
pression
. Rien de pathologique aux autres viscères et orga
eine. Le foie est augmenté de volume, dépasse les fausses côtes, la
pression
sur l'hypocondre droit est douloureuse, de même
foie ne dépasse pas les fausses côtes, mais il est douloureux à la
pression
. Etat psychique. L'attitude de la malade est tr
ont conservés. L'excitabilité des nerfs cubi- taux est exagérée, la
pression
des troncs nerveux est doulou- reuse. Le réfl
droite. Il n'y a pas de signes de syphilis. Le foie douloureux à la
pression
, de même l'épigasfre ; il a des pituites matinale
mme les chevaux de bois, la machine à coudre, la bicyclette, par la
pression
des cuisses, par la rêverie, cette sorte d'onanis
des vomissements incoercibles; 4° en raison delà suffocation par la
pression
du goitre; 5° par épuisement à la suite de déli
eu comprimée par la vertèbre déplacée, dans le second cas la com-
pression
était grande et due au déplacement de la vertèbre
s de la moitié des cas de tabes l'épigastre est moins sensible à la
pression
et aux coups qu'à l'état normal et que, dans un
uleur généralisée; l'ovaire gauche parait un peu plus sensible à la
pression
que le droit; insomnie complète malgré trois gr
ouleur. Au début il existait sur le dos un point très sensible à la
pression
, à trois travers de doigt au-dessous de la bles
ait le siège de ce contact, mais n'appréciait pas l'intensité d'une
pression
ou d'une traction exercée sur les téguments. La
r de la névrite périphérique, j'avais la douleur provo- quée par la
pression
surles troncs nerveux et la masse musculaire, l
s; en outre, attitude du pied en équin, douleurs spontanées et à la
pression
des troncs nerveux, exagération des réflexes te
ganes génitaux sont normalement conformés, mais très développés. La
pression
testiculaire n'est pas douloureuse, P... assure
lien droit est aboli. Les masses musculaires sont douloureuses à la
pression
. La température vespérale oscille entre 39°,5 e
sée, masses musculaires des cuisses et des jambes douloureuses à la
pression
; pas d'atrophie, pas de troubles trophiques ;
ilement les objets. Les réflexes sont exagérés. La sensibilité à la
pression
est un peu diminuée, les autres variétés de sen
querie du début, la rapidité d'évolution de ces paralysies par com-
pression
médullaire. Le point de départ de cet hématorachi
ettes, ouverture automatique de portes par d'ingénieux mécanismes à
pression
hydraulique ou à air comprimé. Le prêtre parlai
ux arcs de cercle métalliques qui passent dans deux coulants à vis de
pression
placés sur la planchette fixe. De cette manière,
hypnotique; on recherchait alors le point de l'abdomen sur lequel la
pression
provoquait le réveil et on le marquait avec une g
face, dans le même état léthargique, se contractent également sons la
pression
, mais, à l'inverse de ce qui se passe dans les me
commande l'obturateur et permet de le laisser ouvert tant que dure la
pression
de la main. Les plaques sensibles, placées dans
entier. Le microscope se fixe sur le support au moyen d'une vis de
pression
spéciale. 20 La table qui supporte la chambre n
et le papier soient absolument secs ainsi que le matelas qui donne la
pression
. En effet, toute trace d'humidité provoquera la f
colle dans le linge, et, le tordant entre les doigts, on oblige par
pression
la colle à s'échapper. On met alors tremper dan
ue l'un contre l'autre face contre face et on les met sous une légère
pression
afin que l'adhérence soit parfaite. Une demi-he
anivelle on fait passer le plateau sous un rouleau d'acier qui par sa
pression
applique l'encre sur la feuille de papier. Châs
is spéciaux portant au fond une glace forte et des barrettes à vis de
pression
qui donnent un contact intime entre le négatif et
dits de luxe. Dans ce cas il faudra encrer davantage et augmenter la
pression
de la machine. Gélatine. — Il existe deux sorte
moine. On place le tout sous la presse hydraulique et l'on exerce une
pression
qui n'est pas moindre cpie 1 oooks par centimètre
e l'on applique pardessus une feuille de papier et que l'on donne une
pression
suffisante au moyen d'une presse spéciale, la pre
lIéd. Exp., 1853, p. 288. - Recherches sur la transmission des im-
pressions
de tact, de chatouillement, de douleur, etc. Jour
et l'anesthésie tac- tile étaient absolues. D'autre part,la moindre
pression
exercée sur les mus- cles, dans la zone d'anest
ur que l'origine de ces vices de développe- ment. On a incriminé la
pression
exercée par l'amnios, il est peu facile de comp
erce sur une partie seulement de l'individu, encore moins que cette
pression
, toute hypothétique d'ailleurs, puisse empêche
ré. En examinant de plus près ou y voit un léger réseau veineux. La
pression
du doigt sur la face dorsale de la main ne laisse
niveau du pli du poignet. Il n'y a pas d'empreinte manifeste par la
pression
de la peau et cette pression ne laisse qu'une p
n'y a pas d'empreinte manifeste par la pression de la peau et cette
pression
ne laisse qu'une pâleur passagère ; la coloration
aspect potelé; mais les fossettes, au lieu de siéger clans les dé-
pressions
intertendineuses, répondent au trajet même des te
ain, j'ajouterai qu'il ne s'agit pas d'un oedème banal parce que la
pression
de la peau détermine une pâleur transitoire san
rtains auteurs qui s'en sont occupés l'appellent oedème dur, car la
pression
digitale ne laisse pas de godet, comme cela arme
ns le tissu sous-cutané et qu'on peut refouler mécaniquement par la
pression
digitale, il est évident que ce terme n'est pas a
n effet chez tous ces'malades, il ne se produit pas de godet par la
pression
digitale. Aussi ai-je été conduit à admettre qu
me très développé à la face dorsale montrait une em- preinte par la
pression
digitale, pas de changement dans la conformation
uleurs et restait incomplet. De plus il provoquait une sensation de
pression
à l'épigastre et de la dyspnée. Durant le premi
s. S'il essaie de se redresser il éprouve aussitôt une sensation de
pression
rétro-sternale qui lui coupe, dit-il, la respir
Vous m'étouffez, vous m'étoufferiez si vous conti- nuiez. » 1 La
pression
profonde et même un simple pli fait à la peau rév
spontanées. Si on pratique, dans cette région hyperesthésique, une
pression
même légère le malade est pris d'angoisse. « Si
n cicatricielle et son pourtour. Elle est assez exquise pour que la
pression
légère amène une véritable crise nerveuse. A n'
delà de l'angle droit. Les mouvements sont douloureux, ainsi que la
pression
au niveau de l'extré- mité inférieure de l'humé
t facile de constater que les douleurs, nullement exaspérées par la
pression
sur la tête de la malade ou sur les apophyses t
égeant dans les corps verté- braux sont en effet exaspérées par les
pressions
suivant l'axe du rachis et 126 A. CHIPAULT pa
les pressions suivant l'axe du rachis et 126 A. CHIPAULT par les
pressions
sur les apophyses transverses, et les douleurs du
OIGTS EN COUP DE VENT 183 métacarpiens, on ne parvient pas, quelque
pression
que l'on exerce, à diminuer la flèche de l'arc
les collatérales croisées sont chargées de la transmission des im-
pressions
sensitives dans leur parcours intra-spinal. Il fa
mains est diminuée. La main droite serre 31 kilogr. à l'échelle de
pression
du dynamomètre, la main gauche 24 kilogr. Les fou
eut fléchir son avant-bras sur le bras, mais il ne résiste à aucune
pression
, si légère qu'elle soit. Quant à l'épaule, elle p
éral il fuit en avant, comme si le thorax avait été déformé par une
pression
bilatérale. « Cette observation semble vérifier
ns les régions lombaire et dorsale ni déformation , ni douleur à la
pression
. On constate une douleur vive au niveau de la s
re à l'épingle, le pincement, éveillent les sensations normales. La
pression
sur les masses musculaires provoque de la doule
; mais le pincement de la peau et la piqûre ne sont pas perçus. La
pression
des masses mus- culaires n'est pas douloureuse,
ex- tension de l'index droits, du pouce et de l'index gauches. La
pression
sur la masse des triceps cruraux est douloureuse,
litres. Ni sucre, ni albumine. 15° jour. - Pas de sensibilité à la
pression
sur la colonne vertébrale, si ce n'est un peu a
es inférieurs est plus pro- noncée, les mouvements plus limités. La
pression
sur la partie inférieure de la crête épineuse e
on abdominale, les muscles droits sont fortement contractures et la
pression
à leur niveau est très douloureuse. Les bras so
nt plus fréquemment et sont plus forts ; il se manifeste de l'op-
pression
. 160° jour. Les points où l'urinoir touche la f
durant six jours, deux ou trois accès débutant par une sensation de
pression
montant de l'abdomen, suivis de l'abolition de
ar jour, soit spontanément, soit provoqués par une émotion, par une
pression
brusque et imprévue sur l'épigastre ou le dos;
ux. Il faut naturellement régler aussi uniformément que possible la
pression
de la barre sur les téguments, le mouvement de
îné des troubles graves, les uns témoignant de l'augmentation de la
pression
in- tracranienne, les autres, de processus acti
ouleurs, machines). A la tête, on accuse des sensations de tension,
pression
, plénitude, vide, constriction douloureuse au n
, sens de la place, sens de la pesanteur, sens de l'espace, sens de
pression
, sens du mouvement des jointures, sens d'orient
distinction for- melle entre la sensation de frôlement et celle de
pression
et aussi entre le sens de la place (ortssinnl e
n), ainsi qu'entre les notions de pesanteur fournies d'une part par
pression
du corps sur la peau, d'autre part par l'action m
llot sanguin, il n'en est pas de même du pouvoir réflexe. La sup-
pression
de la fonction delà moelle considérée comme cen
moelle et une induration de la portion cervicale qui résistait à la
pression
. Ce cas est, pour nous, un exemple frappant d'a
à-vis, et en même temps répéta mon ordre : Jette-le, avec une ex-
pression
particulière de terreur et d'alarme ». « On me
est devenu acariâtre de doux qu'il était et emploie souvent des ex-
pressions
ordurières qu'il n'auraitjamais prononcées aupara
er la simple commotion de la contusion de la moelle et de la com-
pression
produite par un épanchement sanguin ? Les troub
ensibilité de tout le côté gauche paraît normale au toucher et à la
pression
; mais la sensibilité au chatouillement et au froi
trophiques) ; 3° enfin que, si la sensibilité au tou- cher et à la
pression
était conservée, la sensibilité au chatouil- le
intense à droite); une diminution prononcée des sens du tact, delà
pression
, de la vigueur, du lieu; mais c'est la sensibil
re les escarres qui se produisent fréquemment sousl'in- fluence des
pressions
prolongées, et en particulier les escarres au s
ivement provoquées par l'existence d'une poche à air gastrique sous
pression
plus ou moins forte. Sans doute, le médecin est
tantes éloignées de la tumeur et causées soit par l'augmentation de
pression
du liquide céphalo-rachidien, soit par des prod
par l'excitation de la peau, mais aussi au moyen de tractions ou de
pressions
exercées sur les parties profondes. Si dans les
d, l'électri- sation avec des courants faradiques ou voltaïques, la
pression
exercée sur les parties profondes, les traction
réflexe » des mouvements provoqués par le pincement de la peau, la
pression
transversale du métacarpe, la supination forcée d
ara- diques, l'application d'un corps chaud ou d'un corps froid, la
pression
exercée sur les parties profondes, les traction
fois, transfor- mation complète : tous les réflexes sont abolis. La
pression
artérielle qui avait été prise plusieurs fois d
avec la méthode des oscillations). Mais très peu de temps après, la
pression
systolique, recherchée de nouveau, n'est plus q
gauche, au niveau de l'émergence de la 7e paire dorsale. La com-
pression
est considérable et la moelle a pris à ce nivea
tive au point de vue de la symptomatologie des paralysies par com-
pression
du système pyramidal et du diagnostic précoce des
x, de même intensité exactement qu'au membre supérieur gauche. La
pression
artérielle est sensiblement la même des deux côté
des deux côtés : nom,5 à droite et 12 centimètres à gauche pour la
pression
systolique (méthode de Riva-Rocci-Vaquez) ; ell
n systolique (méthode de Riva-Rocci-Vaquez) ; elle est de 8 pour la
pression
diastolique des deux côtés (appareil de Pachon)
able diminution de l'amplitude des oscillations avec maintien de la
pression
artérielle. Mais dans le travail où nous avons
cines sacrées. 2" La dissociation des sensations produites par la
pression
; du côté où siègent les troubles de la sensibi
on ; du côté où siègent les troubles de la sensibilité profonde, la
pression
ne détermine que la douleur ; du côté des troub
côté des troubles de la sensibilité superficielle, la sensation de
pression
est nettement perçue, mais la sensation doulou-
rvention : 3 h. 1/9,. Pendant plusieurs heures après l'opération la
pression
artérielle reste très basse malgré les moyens t
le a été peut-être due, soit dit en passant, la chute brusque de la
pression
artérielle, expressément notée dans l'observation
is ; à gauche, la malade reconnaît moins bien ces excitations. La
pression
n'est pas sentie aux membres inférieurs, mais com
ncore quelques mois plus tard ; elle donne un résultat négatif : la
pression
du liquide céphalo-rachidien s'élève nettement
pratiqué certaines manoeuvres telles que la fixation du regard, la
pression
sur les globes oculaires, l'injonction verbale de
itabilité réelle des muscles ou des nerfs : s'il en était ainsi, la
pression
du doigt sur le nerf facial, par exemple, devra
ondant. Le nerf était le siège de douleurs spontanées; en outre, la
pression
exercée sur tout le trajet du nerf déterminait un
s troubles de la sensibilité (anesthésie, névralgies, douleurs à la
pression
des troncs nerveux), les troubles vaso-moteurs et
marbré ou encore d'une teinte uniforme rouge saumon. La plus légère
pression
provoque une ischémie locale et la tache blanch
fois même, c'est un oedème véritable, se déprimant en godet sous la
pression
du doigt, surtout au membre inférieur. Cet oedème
consistance est généralement dure et que le godet déterminé par la
pression
est peu profond. Aux troubles vaso-moteurs s'as
ètre, on voit que les plus grandes oscillations correspondent à une
pression
supérieure de i à 2 centimètres de mercure à la p
dent à une pression supérieure de i à 2 centimètres de mercure à la
pression
diastolique.) ; TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFL
oureuses ; les douleurs sont soit spontanées soit provoquées par la
pression
sur le trajet des troncs nerveux. Vulpian les a
eux fois plus petites au membre paralysé qu'au membre sain, mais la
pression
systolique (méthode de Riva-Rocci-Vaquez) est n
vaso-dilatation avec élévation de la tem- pérature locale et de la
pression
intra-artérielle. Il y a tout lieu d'admettre q
-dilatation prononcée, avec augmentation de 2 à A centimètres de la
pression
artérielle et élévation de la température des t
labyrinthe. Du reste cette action ne paraissait pas surprenante, la
pression
du liquide labyrinthique devant être subordonnée
aspect normal, ne présente aucune gibbosité et n'est douloureuse à la
pression
en aucun point. On pratique une ponction lombai
ressé à l'un de nous; il souffrait encore beaucoup spontanément, la
pression
sur les points classiques était encore très dou
du 1G février 1905 au 20 mai 190G. Agitation jusqu'au 10 mai. Dé-
pression
du 15 mai au 30 juin. Agitation du 20 juillet au
facteur primitif de la productiondu sommeil et l'abaissement de la
pression
san- guine un phénomène consécutif la courbe de
s. Le malade est un type de circulaire : il a des périodes de dé-
pression
d'une dizaine de jours environ, où il reste dans
atons qu'elle ne distingue aucun objet de l'O. G. et ne sent pas la
pression
sur le membre supérieur gau- che. » Le lendemai
moniques. dues à l'action directe du milieu extérieur (température,
pression
) se joignent indissolublement à des souvenirs c
t- Quant aux centres de perception,`le principe de 1' « unité d'im-
pression
ou de sensation », défendu aussi par Cajal est ég
gasinés dans le côté opposé. Du reste le principe de l'unité d'im-
pression
met encore mieux en évidence la nécessité de la s
n eau de source donne 324 hectolitre s des bouches d'eau sous forte
pression
assurent le service d'incen- die en chaque quar
olue sans solution de continuité. Dans la démence précoce, la dé-
pression
la plus profonde est interrompue par des réac-
tous les aliénés. L'attitude du malade, l'affaissement et son ex-
pression
de tristesse ne sont d'aucune importance. Les s
ra- vagances. Progressivement son apathie s'accentue. A cette dé-
pression
croissante s'ajoutent des conceptions délirantes
ans pai une longue période prodromique caractérisée par de la dé-
pression
morale. Progressivement s'affirment divers phénom
trois couleurs dites primitives. De même.une main anesthésique aux
pressions
légères et profondes conserve cependant la stér
de transfert par la métallothérapie, le « soufflet capillaire ». la
pression
sur la tête etc, avait souvent fait allusion à
SYCHOLOGIE. ganisme, il faudrait avant tout démontrer que les im-
pressions
et états de conscience anciens, dont le réveil-
importance pour la formation de la personalité, le siège des im-
pressions
par rapport à la ligne médiane n'est pas remar-
à fait accessoire, établie entie la vision par l'oeil droit (im-
pression
des deux moitiés du champ visuel de cet oeil, f
hères d'autre part : « M. C... est mise en somnambulisme par légère
pression
sur le vertex...; on lui ordonne d'ouvrir compl
l y ait, chez le coêtre dissocié, « rapport conscient entre l'im-
pression
perçue et la réaction qui s'ensuit » (p. 92). Ré-
moelle, par la contraction des artérioles et l'augmentation de la
pression
sanguine, l'autre, secondaire, caractérisée par l
Dans la seconde période (parésié' vasculaire et abaissement de la
pression
sanguine) la décharge thermique a une durée et un
lsion per- sonnelle et que d'autres n'y répondent pas. Il a l'im-
pression
d'être divisé, dédoublé. - Mais pour cela, il e
Enfin, les auteuçs pour qui le sentiment du libre arbitre est l'ex-
pression
de la réalité n'envisagent le plus souvent pas la
aie- ment. Epuisement rapide de la sensibilité au contact et à la
pression
. M. MAx'EGGER présente un travail fait dans le
s analogues au point de vue de la sensibi- lité au contact et, à la
pression
: la plupart des malades observés . ont présent
peuvent revêtir, en'.l'absence de toute lésion méningée, une ex-
pression
clinique que l'on qualifie de méningitique, alors
a production d'altérations du tissu cérébral sous l'influence de la
pression
développée par l'obstruction de ce courant par
urant par une tumeur ; la plus grande résis- tance de l'écorce à la
pression
que de la substance blanche. Les néoplasmes dév
ion de liquide céphalo- rachidien peut remédier à l'augmentation de
pression
produite par la croissance d'une tumeur. , F. T
. Les muscles prennent la forme de cordes rigides douloureuses à la
pression
; la mobilité et la force musculaire sont fonct
es entières, ne pouvant être modifiées par aucune de ces manœuvres, —
pression
ovarienne ou de divers points hystérogènes, — qui
la moyenne de» personnes. Il en était de même pour les sensations de
pression
et pour les impressions électriques. Sa mémoire t
'avait pas conscience, l'hyperesthésie, à droite, la sensibilité à la
pression
de la fos«e iliaque, symptôme, pour le dire en pa
e dire en passant, d'une saisissante analyse avec la sensibilité a la
pression
de l'ovaire, si commune chez la femme en pareil c
er, il suffit d'immobiliser l'animal pendant un certain temps par une
pression
douce, après l'avoir mis dans une position anorma
Les modifications observées indiquaient qu'il y avait augmentatiou de
pression
sanguine ne pouvant être attribuée qu'au rétrécis
oureuses sur le fond de l'utérus ; cette douleur est exaspérée par la
pression
et la marche. Clou hystérique, sensation fréquent
subluxation de la machoire qui reste béante, jusqu'à ce que, par une
pression
énergique exercée d'avant en arrière sur les cion
on sensorielle vive (lumière, son etc.) Fixation d'un objet brillant.
Pression
ou friction des régions déterminés du corps (zone
mi-heure à trois ou quatre heures. Arrêt spontané, ou provoqué par la
pression
de l'ovaire. Fatigue intense au réveil, empêchant
ation : « 18 septembre. — Endormie, non plus par fixation, mais par
pression
des globes oculaires, la malade ne peut plus parl
veil en souillant sur les paupières. » 20 septembre. — Endormie par
pression
des globes oculaires, la phase de somnambulisme s
ité n'es t absolue qu'au bout d'un instant. A la suite d'une nouvelle
pression
des globes oculaires, suivie de l'ordre d'ouvrir
est immobile, les yeux sont ouverts Elle retombe en somnambulisme par
pression
sur le vertex. .» 35 septembre. — Hypnose en état
r le vertex. .» 35 septembre. — Hypnose en état de somnambulisme, par
pression
des globes oculaires. Extase par le soulèvement d
es. Retour de la parole et de la forme habituelle de l'hypnose par la
pression
du vertex. Anesthésie absolue durant toutes ces m
rechercher s'il existait, sur le corps, des points sensibles et, des
pressions
surcertaines régions de la poitrine, déterminèren
nde; le délire continua ; c'était surtout un délire de sensations. La
pression
que j'avais exercée sur la poitrine avait produit
prérogatives et ses traditions routinières, semble cependant, sous la
pression
de l'opinion publique, se décider a faire quelque
eux de toutes les parties de son corps. L'examen se faisait sous la
pression
de l'idée préconçue : que le diable marquait le p
: par les ongles, par le grattage, par un pli de sa chemise, par une
pression
sur un meuble. Si, prenant un stylet mousse, un
mmun entre eux que la teinte érythéma-teuse qui suit immédiatement la
pression
de l'ongle ou du stylet sur la peau du malade en
tés ; elle sentait la pointe d'une épingle, le contact des objets, la
pression
sur la peau, l'impression du froid et du chaud.
a tête ; le bras levé n'a ancune résistance, il cède à la plus légère
pression
. Il ne peut étendre sa main qui reste fléchie sur
à toutes les excitations, qu'elles qu'elles soient : contact, piqûre,
pression
, chaleur, refroidissement, sont inaperçus. Tout
ar eux pour une manifestation gangreneuse. Il est dur, résistant : la
pression
du doigt ne fait que décolorer la peau sans y pro
très colorée et d'une véritable teinte cyanique ; elle est dure à la
pression
et le doigt ne s'y enfonce pas ; enfin elle est d
s grands secours. Les petits « secours consistaient en attouchements,
pressions
, coups modérés sur « diverses parties du corps :
me psychologique. 1889, p. 140. écrivant: « La suggestion est une
pression
morale qu'une personne exerce sur une autre » (1)
mot pour désigner le fusil, l'acte de le charger, celui de viser, la
pression
sur la gâchette, la détonation, la fumée, la traj
t encore, elle ne s'est point retirée spontanément ; elle a cédé à la
pression
de sa sage-femme qui intriguait pour faire agréer
sur la durée, le thermomètre sur la température, le baromètre sur la
pression
atmosphérique, l'hygromètre sur l'humidité de l'a
le thermomètre pour connaître l'état hygrométrique, la-montre pour la
pression
atmosphérique, l'hygromètre pour la durée ou le b
onnaie en argent (de 15,5 millimètres], exerçant avec elle une légère
pression
et suggérant, en même temps, une brûlure par un c
le dos de B. déjà endormie et je les appliquai sur la peau, avec une
pression
légère, en disant : « Je vous brûle réellement, c
ntinue, déjà ouverte et de forme plutôt elliptique que circulaire, la
pression
exercée par l'étui du thermomètre n'ayant pas été
at de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la contracture par la
pression
exercée sur les masses musculaires, les tendons,
i adow (contribution à l'étude de l'influence des modifications de la
pression
sanguine artérielle sur la morphologie du sang) :
espiration (sachant que la respiration agit de diverses façons sur la
pression
artérielle) et de la pression artérielle qui a ét
piration agit de diverses façons sur la pression artérielle) et de la
pression
artérielle qui a été enregistrée avec le sphyg-mo
près un choc émotif Cœur et pouls 92 80 94 Respiration 19 17 22
Pression
artérielle 13 14 — Globules rouges 4.000.000 4.
près une émotion Cœur et pouls 107 96 108 Bespi ration 18 16 18
Pression
artérielle 12 13-14 — Globules rouges -1.400.00
t Après une émotion Cœur et pouls 86 78 90 Bespiration 17 16 18
Pression
artérielle 9 9 — Globules rouges 2.750.000 4.60
cophagie. Avant Pendant Cœur et pouls 84 80 Bespiration 16 16
Pression
artérielle 11-12 13 Globules rouges 4.130.000 '
Après une émotion Coeurs et pouls KO 72 88 Respiration 17 17 20
Pression
artérielle 14 15 — Globules rouges 4.300.000 5.
plus oppressée et plus nombreuse dans la proportion de 0 à 3. 3° La
pression
artérielle se trouve légèrement augmentée dans la
dépendance directe desquels se produisent : 1° Une régulation de la
pression
. 2° Une régulation de l'afflux sanguin. Cette r
aires surtout marqués à la périphérie (et d'ici retentissement sur la
pression
générale). D'ailleurs les expériences sur les a
tation du pneumogastrique apporte, non seulement un abaissement de la
pression
artérielle, mais une chute brusque du nombre des
ématique et leucocytaire, par l'intermédiaire des modifications de la
pression
artérielle et cette modalité spéciale de la réact
es républiques autonomes. Mais elles pratiquent la fédération sous la
pression
des circonstances, et ainsi se formèrent les Co
s prononcée : le moindre frôlement exaspère la douleur, tandis qu'une
pression
un peu forte amène du soulagement. Les membres in
s symptômes qui la caractérisent résulteraient de l'exagération de la
pression
à l'intérieur du crâne. Mais il paraît prouvé qu'
quadrijumeaux, étaient fortement aplatis. Eh bien, dans ce cas, où la
pression
intra-cranienne était évidemment exagérée (l'hype
mpression simple, sans modification autre que celle qui résulte de la
pression
exercée sur les parties. C'est ce qui a eu lieu t
e même (Buming pains). L'absence de points douloureux exagérés par la
pression
, un des carac-tères objectifs des névralgies, est
le se conforme, en général, à la loi de sen-sation périphérique. A la
pression
, on observe quelques va-riétés : tantôt la douleu
uleur locale vertébrale que provoque ou qu'exaspère très nettement la
pression
ou la percussion, sont des symptô-mes concomitant
r les quatre membres, l'observation démontre, d'un autre côté, qu'une
pression
moins forte, s'exerçant sur cette même région, pe
e, mais encore sur tous les points des membres paralysés soumis à une
pression
un peu pro-longée. Ces escarres, qui, comme les
est de même, d'après mes observations, des douleurs provoquées par la
pression
qui traduisent une exaltation delà sensibilité de
ts ou des fourmillements ; 2° et aussi des douleurs provoquées par la
pression
ou la traction des masses musculaires. J'insiste
e toutes les parties des membres paralysés, soumises aux plus légères
pressions
, se cou-vrit de bulles et même d'escarres. L'ex
u processus morbide). Cellules adipeuses partout conti-guës et que la
pression
réciproque a ren-dues polyédriques.— Faisceaux mu
ssi être affectés. En conséquence, le ventre est proéminent, dur à la
pression
, séparé de la base du thorax par un pli horizonta
rieurs une paralysie du mouvement, laquelle persiste tant que dure la
pression
et même lui survit pendant quelque temps. La cons
y a lieu de croire, d'ailleurs, d'après l'ensemble des faits, qu'une
pression
quelconque exercée sur le tympan et propagée au l
ij. New-York, 1870. Pl. III et VI. 3 Paris, 1866. Pl. Il, flg. 6.
pression
symptomatique d'une même altération organique, dé
ait des progrès. Les côtes sont solides et ne cèdent nullement à la
pression
, ainsi que cela a lieu habituellement dans l'osté
u, du dos, des membres inférieurs et on constatait directement que la
pression
sur les apophyses épineuses était dou-loureuse to
3, il était calme et régulier. La sensibilité cutanée est normale. La
pression
sur les masses mus-culaires ne détermine pas de d
processus morbide). — Cellules adipeuses partout con-tiguës et que la
pression
réci-proque a rendues polyédriques. — Faisceaux m
mmatoire ne les entoure; elles sont peu ou point douloureuses il la
pression
. Au bout de quelques heures, un jour ou deux, c
s le cerveau étant en pleine évolution psychique, la durée de l'im-
pression
n'est pas en raison directe de son intensité. Aus
place la plus importante dans le syndrome qui résulte de cette com-
pression
des racines rachidiennes ; l'impotence fonctionne
s mouvements sont d'une fai- blesse remarquable, la résistance à la
pression
dans toutes les direc- tions n'atteint pas 100
les différents sens mais sans force et sans habileté. Tandis que la
pression
dynamomé- trique est de 18 à droite, elle est à
l'autre à l'hypogastre au-dessus du pli de l'aine du côté droit. La
pression
exercée au niveau de ces points détermine d'abord
LPÈTRIÈRE. nution de l'ouïe du côté droit; douleur provoquée par la
pression
de la région ovarienne gauche. , La malade a
un dans la région ovarienne droite, l'autre sous le sein gauche. La
pression
en ces points, si elle ne provoque pas d'attaque
l'affaiblissement était tel qu'elle était incapable de fournir une
pression
de plus de 50 grammes et que le temps de réacti
s volontaires. La figure 45 donne la représentation graphique de la
pression
des deux mains sur deux tubes élastiques fermés
émité et communi- quant de l'autre avec deux tambours inscripteurs,
pression
faite au commandement, par un malade atteint d'
l'apparcil ouregistcur glissant dans une irolc, D, munie d'une vis à
pression
. - E, F, Cotiiroies se réunissant derrière le c
On aspire par le tuyau flexible l'air contenu dans le goulot, et la
pression
atmosphérique y fait pénétrer de nouvelles quan
signes d'une affection périphérique du trijumeau : sensibilité à la
pression
et légère ancsthésio du territoire de la 2° bra
la douleur est très sourde; elle n'existe pour ainsi dire pas. La
pression
exercée au niveau de ces points d'élection ne la
apparence; elles sont simplementmoins fréquentes et moins vives. La
pression
sur les lieux d'élection ne les réveille point, p
sous-cutané, ce qui en rend le glissement impossible. La moindre
pression
y est douloureuse; sa consistance est assez ferme
rmalement perçus. Mais il existe une douleur exquise que la moindre
pression
, le plus petit mouvement, exaspèrent au point d
uloureuse empêchant l'extension passive et la flexion, douleur à la
pression
le long des troncs nerveux en parti- culier sur
nsable, car si le liquide céphalo-rachidien est soumis à la moindre
pression
on le voit sourdre spontanément. 18 ' REVUE D
cé son genou sur la poitrine de Maitre : Je n'ai, dit-il, exercé de
pression
que sur l'épaule du malade. Les dépositions des
es aigus des troubles senso- riels de divers genres en exerçant une
pression
sur les globes ocu- laires. Le malade voit des
-ils dans les services d'aliénés qu'à leur corps défendant, sous la
pression
de nécessités matérielles, attirés qu'ils sont
t pas. Les muscles de la jambe et de la cuisse sont douloureux à la
pression
des deux côtés. La sensibilité tactile, est amo
mip1'ive. Reverdin attribua, sans hésiter, ces troubles à la sup-
pression
des fonctions du corps thyroïde -par suite de son
tiqué la filtration avec une bougie de porcelaine; mais sous faible
pression
et même a tout simple- ment filtré sur du papie
obtenu par filtration à travers une bougie de porcelaine sous forte
pression
. Toutes ces opérations doi- vent être faites d'
sseur sur la surface externe de la portion verticale du frontal. La
pression
sur cette zone saillante ne provoque aucun symp
s douloureux sur le trajet des troncs nerveux avec sensibilité à la
pression
, d'un certain degré d'atrophie avec diminution
og. Centralbl, 1891; Archives de Neurologie), il s'est adressé à la
pression
veineuse et à celle du liquide céphalo-rachidie
Douleur au niveau de l'ovaire chez les deux malades. Chez l'une la
pression
ovarienne provoque et suspend les attaques. Cel
s douleurs fulgurantes paroxystiques, avec sensation de froid et de
pression
aux extrémités inférieures; le réflexe du genou
er à la selle qu'à l'aide de purgatifs, d'efforts violents, de com-
pression
de l'abdomen avec les mains, et que cette défécat
troubles génito-urinaires, troubles de l'ouïe, in- sensibilité à la
pression
du nerf cubital, sensation de coton à la plante
chauffage (le meilleur est le chauffage par la vapeur d'eau à basse
pression
). Les jardins doivent avoir une superficie basé
rée se fait presque brus- quement, sans nuances intermédiaires. Par
pression
avec le doigt on obtient une tache blanche et u
ré une différence de 4 à 5°. Les troncs nerveux sont indolores à la
pression
. Pour se rendre compte de l'irrigation du membr
s elle se rapproche, à un pas régulier, des idées médicales sous la
pression
de l'opinion publique renseignée par la diffusi
atomique oscillant, tels les hémorrha- gies capillaires, l'excès de
pression
due aux tumeurs cérébrales. P. K. LXVI. L'algés
; la sensibilité électrique, le sens de la loca- lisation et de la
pression
l'étaient moins. Absence des réflexes cornéen e
ation, et, inversement, l'accélération d'un ralen- tissement. 3° La
pression
du sang augmente. 4° La respira- tion, quelquef
re à la face externe et antérieure de la cuisse, de la douleur à la
pression
ou à la suite d'efforts prolongés; intégrité de
hémi-rougeur, hémi-hyperthermie, hémi-sug- gillatious à la moindre
pression
, du côté droit. En mars, cet état . subsistant,
entaires de la vie, la réponse localisée (nutrition) pour toute im-
pression
de la surface est nécessaire et rend le tact suff
ues. Ensuite, au moment où arrivée au corps cellulaire, cette im-
pression
va gagner la moelle, elle s'éloigne du centre du
eau; il ne sent pas non plus le contact de gros objets appuyés avec
pression
sur sa main. b) Sensibilité à la douleur. 1° Cô
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