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1 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
s lames aponévrotiques de la région, l'influence de la pesanteur, les pressions extérieures, celles des muscles, déterminent la d
ation de corps chauds ou froids, le pincement, la piqûre ou la simple pression avec un instrument mousse déterminent sur-le-cham
qui consiste à faire coucher le malade sur le ventre et à exercer des pressions sur la colonne pour affaisser la gibbosité. On ap
ne fille atteinte de gibbosité lombaire, sans abcès ni paralysie. Des pressions modérées sur l'épine, des exercices gymnastiques,
ui devient paroi du canal d'une part, de l'autre, paroi du kyste; les pressions exercées en sens inverse par l'atmosphère et le l
erveux offre ce caractère particulier, qu'il y a peu de douleurs à la pression et dans les mouvements, soit actifs, soit communi
te instantanément. C'est par des extensions douces et lentes, par des pressions ménagées sur les points saillants , tels que l'ax
x luxations pathologiques. Dans l'une, la tête du fémur, exerçant une pression constante sur un côté du cotyle, s'y creuse une d
cations aujourd'hui sont en présence : a. La luxation est due à des pressions extérieures ; elle s'est opérée d'une manière méc
a valeur de ces diverses explications. 1° La luxation est due à des pressions extérieures. — M. Cruveilhier l'admet (1). Dans l
us dirai que l'on rejette généralement cette opinion. On admet que la pression peut prédisposer à la luxation, mais non qu'elle
réception sous l'influence de certains mouvements physiologiques, des pressions extérieures puissent augmenter cette disposition,
xemple de la disposition que je signale ; elle montre l'influence des pressions mécaniques sur la forme des os. Les muscles ne jo
quées sur celles des luxations traumatiques. Les efforts manuels, les pressions sur le grand trochanter sont nécessaires pour cre
t. Suivant M. le docteur Caffe, qui s'est soumis à la strabotomie, la pression des paupières dans ce premier temps lui a causé l
ts. Hippocrate expliquait la formation des pieds bots natifs par la pression de l'utérus sur le fœtus (2), à laquelle, plus ta
n de l'utérus sur le fœtus (2), à laquelle, plus tard, on a ajouté la pression du fœtus sur lui-même. Je ne veux pas donner trop
r M. F. Martin (Zi) ; mais on ne peut nier que, dans certains cas, la pression des membres du fœtus paraisse réellement donner l
facile.nent des causes mécaniques qui agissent sur le squelette, des pressions , des tractions qu'il supporte de la part des musc
eine saillant. On pourrait cependant attribuer encore à l'effet de la pression l'atrophie de celte épiphyse cartilagineuse. (t
es orteils se relèvent par l'action de leurs extenseurs, aidée par la pression du sol; ils se renversent plus ou moins sur le mé
les voyez, sur ces moules, étalés, aplatis, élargis par l'effet de la pression . Le pied prend ainsi une configuration particul
primée dans le haut, sans doute par suite de son inclinaison et de la pression du tendon d'Achille; tout l'os paraît allongé et
ssi souvent qu'il le faudrait, ni relâcher ou augmenter à volonté les pressions , en varier le siège suivant les indications journ
le renversement du pied d'un côté ou de l'autre. C'est à l'aide de pressions , au moyen des coussins et des courroies, que l'on
nnent trop pâles, ou s'ils prennent une teinte violacée, c'est que la pression est trop considérable. Dans les premiers temps,
urer de l'état de la peau dans les points où elle supporte le plus de pression , où elle est mince et collée aux os, aux tendons,
nne du gros orteil. On diminue, on adoucit ou on change les points de pression , dès qu'on aperçoit des rougeurs permanentes. Cet
a pu éviter la formation d'une escarre, on se hâte de supprimer toute pression dans ce point. Si l'escarre est superficielle, ce
ceux-ci se moulent en effet très-exaclement autour des parties, leur pression est uniforme; mais nous avons vu qu'ils avaieni d
a quantité d'air qu'ils renferment ; il est facile alors de varier la pression sans toucher aux courroies ni à l'appareil. J'esp
est congénial. L'équinisme du varus surtout ne cède alors qu'avec des pressions plus ou moins pénibles au cou-de-pied, h la plant
nt les résistances dans une proportion considérable , elle réduit les pressions à celles qu'exigerait un pied bot du premier degr
tourne le tranchant du côté du tendon, qu'on divise en entier par des pressions mesurées, sans laisser échapper le plantaire grêl
sse entre la peau et le tendon; je retourne l'instrument, et, par des pressions successives et de légers mouvements de scie , je
, l'écartement forcé, le tiraillement, le frottement de ses bords, la pression de quelque pièce d'appareil. Une extension trop f
rosis. Dans cet état, le moindre effort, une chute légère, une faible pression , suffisent pour produire des fractures des membre
apporter en naissant des fractures déterminées dans l'utérus par les pressions que les os peuvent y subir, fractures dont les un
te de ce qui se passe ici. La paroi thoracique supporte sans cesse la pression atmosphérique dans le mouvement d'inspiration. El
e dans le mouvement d'inspiration. Elle ne peut plus résister à cette pression , qui l'enfonce et la déprime plus ou moins. Auss
de haut en bas, ou clans le sens du diamètre antér o-postérieur, la pression du rachis étant diamétralement opposée à la résul
a pression du rachis étant diamétralement opposée à la résultante des pressions exercées sur les cavités cotyloïdes; les pubis se
de développement réduit en outre le bassin dans tous les sens. Si la pression est égale à droite et à gauche, si la moitié anté
plus ou moins d'enfoncement du pubis. Dans la deuxième variété , la pression est inégale des deux côtés, l'arrêt de développem
à d'autres causes que le rachitisme. Dans la troisième variété, les pressions latérales sont assez égales, mais le ramollisseme
rti; le corps du pubis résiste plus que les cotyles, qui, cédant à la pression des membres inférieurs, s'enfoncent plus ou moins
orps et la courbure naturelle des os. Il faut y ajouter seulement les pressions extérieures et certaines modifications de nutriti
loi bien simple dans sa déformation. Ses courbures s'exagèrent par la pression que supportent ses deux extrémités. De plus, sa c
subir. Ce sont surtout les poumons qui portent les traces de cette pression des parois thoraciques. Les renflements costaux s
ouleurs quelquefois spontanées dans les os ramollis. Le mouvement, la pression des membres lui arrachent des cris, quand on le s
nd on le soulève par les bras. En général, la sensibilité des os à la pression se lie à leur flexibilité ; obscure lorsque la so
uand il y a indication d'employer un de ces appareils, il faut qu'une pression porte sur la convexité des arcs osseux, et une au
culaire. Mais, à la longue, ces courbures deviennent permanentes; les pressions constantes exercées par l'action musculaire au co
assaignac (2), que les courbures normales du rachis augmentent par la pression de haut en bas qui agit sur lui dans la station,
ans la station, et qu'elles diminuent lorsqu'il est soustrait à cette pression par l'effet de la position horizontale. Ainsi s'e
ordinaire la flexion habituelle du rachis en avant, qui détermine une pression plus considérable sur la partie antérieure des ve
eur partie antérieure , et qui n'est pas d'ailleurs exposée aux mêmes pressions . Il est plus facile de prévenir la lordose lomb
antérieur et des graves inconvénients qu'entraînerait une trop forte pression de l'abdomen. Il peut, du moins, servir à préveni
ement limitée par les résistances qu'elle rencontre, notamment par la pression réciproque des apophyses épineuses. C'est assur
rum et du coccyx, et les accoler à la partie postérieure du crâne. La pression du liquide céphalo-rachidien repoussant les vertè
une série de désordres qui paraissent dériver d'une même cause, d'une pression mécanique ! ARTICLE VIII. COURBURES LATÉRALES
rmale; elle suit du reste les mêmes lois. La rencontre des os et leur pression réciproque donnent quelquefois en outre des direc
vertèbres, et la rotation totale me paraît due à l'inégalité de la pression supportée par les deux côtés du rachis déformé. O
es deux côtés du rachis déformé. On ne peut douter de l'influence des pressions sur les vertèbres; celle qui résulte de la situat
ogique vous a montré à chaque pas, pour ainsi dire, les marques de la pression verticale exercée par la pesanteur et l'action mu
ée par la pesanteur et l'action musculaire. Mais comment l'excès de pression sur un côté des vertèbres les fait-il tourner aut
ber latéralement ; c'est aussi sur elles qu'agit plus spécialement la pression qui tend plus tard à accroître les courbures. Cet
aison relativement exagérée des corps, une fois produite, la force de pression verticale tombe obliquement sur leur plan supérie
ns les côtes par certains changements de direction du rachis, par les pressions qui les inclinent diversement sur les vertèbres o
alement affecté. Vous vous ferez aisément une idée des effets de la pression , des froissements exercés par les côtes sur les m
échappe, par sa situation dans la région tho-racique antérieure, à la pression directe des vertèbres et de la partie postérieure
ppliqué contre les deux parois thoraciques. Il est fort rare que la pression réduise très-notablement le volume du cœur, comme
érieure du foie (2). Le lobe droit est celui qui souffre le plus delà pression des organes voisins : diversement tronqué, arrond
ofondément enfoncée dans l'bypochondre, la rate fuît plus aisément la pression . On la trouve sensiblement normale dans quelques
Elle porte très-souvent à sa surface, ainsi que le foie, la trace des pressions voisines, des sillons, des excavations superficie
utres pièces figurées ici, à la réduction, à l'atrophie causée par la pression des vertèbres déviées à gauche (2). Sur l'une de
niques; leur extrémité supérieure, très-rétrécie, finit en pointe, la pression et l'atrophie ayant porté davantage sur cette par
de la concavité, quand leur partie supérieure a été soumise à quelque pression latérale (2). Scoliose congénitale. — Les faits
des vertèbres et de leurs ligaments sont modifiés par l'inégalité de pression des côtés droit et gauche, et la forme arquée de
e consistance. Les vertèbres et leurs ligaments s'affaissent sous les pressions qu'ils supportent, ou cessent de croître dans un
ils supportent, ou cessent de croître dans un sens par l'effet de ces pressions . Si colles-ci étaient égales, si le ramollissemen
uillet 1857. d'une mollesse plus grande à droite ou à gauche, d'une pression plus habituelle dans un sens que dans l'autre par
squelette , serait par elle-même incapable de déformer le rachis; la pression latérale de l'aorte sur la tige osseuse altérée e
orte de lutte entre la force de développement de ce côté gauche et la pression de la colonne sanguine artérielle à sa surface. D
nt, la force plastique, l'emporte pendant longtemps, et l'effet de la pression est tardif et peu prononcé : cet effet, c'est la
ents passifs imprimés aux vertèbres par le poids des parties, par des pressions extérieures, etc. ; 2° dans les mouvements actifs
actifs déterminés par les muscles. a. Action de ia pesanteur et des pressions extérieures.— La position horizontale et la stati
mprimés à la concavité des courbures par le poids des parties, par la pression des muscles qui font équilibre à ce poids ; dans
tent dans la situation droite, fait cesser ces effets immédiats de la pression verticale. Les ligaments s'étendent à la concavit
orme ; le corps grandit dans un cas, se rapetisse dans l'autre. Les pressions extérieures d'un plan inégal sur lequel le corps
onné à la forme du plan et au côté du corps qui lui correspond. Des pressions agissant sur les côtés du tronc, dans la station,
s articulations vertébrales, et, d'une autre part, c'est supprimer la pression verticale qui gêne le développement du rachis à l
'autant plus nuisibles qu'ils sont plus élevés, par l'augmentation de pression qu'ils déterminent à la concavité des courbures.
p. 182 et 211. poids qu'il supporte dans la station, et diminuer la pression du côté concave des courbures. L'instinct révèle
les mains sur les cuisses pour se soustraire au malaise causé par la pression des vertèbres affectées. J'ai particulièrement re
sant au glissement vertical des facettes articulaires et à l'excès de pression des ligaments intervertébraux. En somme, sauf q
fet, comme la position horizontale , de soustraire les vertèbres à la pression exercée sur elles par les parties supérieures. El
courbures, un écartement, une tension des tissus à la concavité, une pression variable, le plus souvent faible ou même remplacé
suspension ne produit pas sur le rachis, du côté de la convexité, une pression capable de modifier sa forme. Ces faits nous serv
extensions momentanées, dans la position horizontale, accompagnées de pressions sur la [gibbosité (3). Cela paraît concerner plut
l'extension et la contre-extension du rachis; les autres agissent par pression latérale. 1° Extension et contre-extension. — N
èle, .doit presser aussi également que possible; mais, pour éviter la pression des arcades dentaires, on la fait porter beaucoup
l'occiput et sur les apophyses mastoïdes. On a soin de surveiller la pression exercée sur la peau de ces parties, pour prévenir
dans ce but, comme vous le voyez ici, de manière à ne pas exercer de pression sous l'aisselle. Us n'agissent plus alors comme l
soient pas trop brusques. On s'attache surtout à prévenir un excès de pression du collier, et la tendance aux congestions vers l
logrammes du côté de la tête, et dix à quinze du côté du bassin. 2° Pressions . — Les pressions latérales, perpendiculaires à l'
de la tête, et dix à quinze du côté du bassin. 2° Pressions. — Les pressions latérales, perpendiculaires à l'axe du corps, éta
ix-huitième siècle, qu'un exemple d'application des extensions et des pressions hippocratiques dans le décubitus, et c'est un réc
onsidérablement diminué (1).- Jusqu'à la fin du siècle dernier, les pressions mêmes qu'on pratiquait dans la station étaient pe
utre but que de repousser ce qui était saillant. Levacher établit des pressions *plus méthodiques, au moyen d'un fauteuil qu'il im
tension, tels que celui de Vene!, n'avaient pas encore d'appareils de pression . Cé n'est qu'au commencement de ce siècle qu'on i
a sur les lits le mécanisme adapté par Levacher à son fauteuil. Les pressions latérales ont à la fois pour objet de modifier la
essant en sens inverse sur son milieu et sur ses deux extrémités. Ces pressions fournissent en outre un moyen de contre-extension
lons rechercher, sur ces enfants, quels sont les effets immédiats des pressions latérales, seules ou associées aux extensions.
rizontale. Si la déviation ne fait que diminuer par le décubitus, les pressions la diminuent davantage ou la font disparaître aux
par le décubitus, comme sur cette enfant que vous avez déjà vue, les pressions courbent en sens inverse la ligne des apophyses é
apophyses épineuses. On fait une remarque analogue en associant les pressions aux extensions. Après l'effet produit par les tra
ns parallèles à l'axe du corps, on en obtient un nouveau au moyen des pressions perpendiculaires, le renversement de la courbure,
e disparaître par les extensions, n'est pas seulement effacée par les pressions latérales; on va jusqu'à la retourner; après avoi
en grande partie dans l'articulation du bassin avec le rachis. Les pressions seraient encore plus puissantes si l'on pouvait s
and que j'ai déjà cité, me paraît avoir confondu l'effet direct de la pression , qu'il pratiquait sans aide à peu près de cette m
s mous de l'abdomen. La mobilité de ces parties affaiblit l'effet des pressions , et la sensibilité de plusieurs d'entre elles, le
liaque succéda, dans les premiers temps de l'orthopédie moderne, à la pression trop forte et trop continue du flanc gauche chez
es courbures multiples et à peu près égales cèdent moins aisément aux pressions qu'une courbure unique ou dominante, parce qu'il
ouvons en même temps redresser l'autre. Cependant, en équilibrant les pressions vis-à-vis des deux convexités et aux deux extrémi
'extension, lorsqu'on fait concourir les deux genres d'efforts. Les pressions ou tractions latérales opposées, considérées au p
parvenir à réaliser cette flexion ; leurs procédés se réduisent à des pressions latérales. Mais il faut bien le dire, ce moyen de
ertébrale à la rectitude et de l'y maintenir. En même temps que les pressions sont dirigées de manière à changer la direction d
la saillie antéro-gauche, vous aurez une idée de ce mode d'action des pressions latérales. Elles placent le thorax déformé, allon
re oblique opposé, accidentellement réduit. Le poids du corps rend la pression plus forte sur la convexité postéro-droite, et ce
u'on ne voit pas la saillie postérieure modifiée immédiatement par la pression ; ce n'est qu'à la longue que cela peut avoir lie
S'il n'existe pas de saillie antérieure ou si elle est médiane, la pression antérieure se pratique sur le sternum ou déborde
est située du même côté en avant et en arrière. L'efficacité de ces pressions , pour rétablir la forme du thorax, serait certai
es os eux-mêmes, et cette disposition anatomique borne le pouvoir des pressions sous ce rapport. N'oublions pas non plus que la d
end aisément compte de ce fait. Il est facile de comprendre que les pressions latérales, pratiquées en avant et en arrière au n
calisation de Vextension. On n'a guère moins varié les appareils de pression et de traction latérales, pendant le décubitus, q
me limiter, je ne m'arrêterai donc pas à vous décrire les appareils à pression fixe, les gouttières de Récamier, de M. Bonnet, e
a donné (1). Je ne vous présenterai, comme exemples des appareils de pression , que ceux dont je fais habituellement usage. D
ession , que ceux dont je fais habituellement usage. Des pelotes de pression , des bandes de peau ou de cuir mince, de longs re
ces sont supportées par ces plaques doubles dites à soufflet, dont la pression est amortie par des ressorts placés entre leurs d
rmédiaire, le milieu de la convexité de la courbure du ra-chis. Si la pression était tout à fait postérieure, elle agirait très-
'en place d'abord qu'une seule, afin d'agir toujours par degrés. La pression antérieure se fait au moyen de cette large bande
qui est ordinairement le côté antéro-gauche au-dessous du sein. Si la pression doit s'étendre plus haut, on se sert d'une bande
n n'applique cette bande que lorsque les sujets sont habi lues à la pression des pelotes produite par le seul poids du corps.
par le seul poids du corps. Les tractions latérales, opposées à la pression de la pelote pos-téro-latérale dans la déviation
moins ces pièces selon le degré de constriction des courroies. Les pressions élastiques qui résultent de cette disposition son
ition sont évidemment plus douces et plus faciles à supporter que des pressions fixes. Les mouvements respiratoires, en particuli
èdent à l'effort des muscles à chaque inspiration. Les appareils de pression sont habituellement associés aux extensions; mais
tamment sur les poumons , le cœur et l'estomac, et l'on n'augmente la pression et la constriction qu'autant que ces organes n'en
on. — Ces moyens agissent, comme les précédents, par extension ou par pression , ou bien ils réunissent à la fois ces deux modes
parents eux-mêmes peuvent pratiquer ces manœuvres. 2° Extensions et pressions avec tes mains dans la station. — On a cherché à
lonne dorsale. Cherchons à apprécier de la même manière l'effet des pressions dans l'attitude de la station. Soit, comme sur
s déjà vu dans les attitudes du premier ordre d'exercices et dans les pressions pendant le décubitus. Mais il faut de plus grands
la courbure lombaire. Dans les courbures lombaires principales, les pressions latérales, dans la station, produisent un redress
difficilement; ce n'est que dans les déviations commençantes que des pressions opposées, analogues à celles que l'on pratique su
me vous le voyez sur cette enfant. L'association des extensions aux pressions , dans la station, ajoute peu à l'effet produit.
s déviations dorsales principales, peut, dans certains cas, céder aux pressions latérales avec la même facilité dans la station e
s. On donne même alors plus d'étendue à l'inclinaison inverse par les pressions , dans l'attitude verticale, que par les extension
un point d'appui sur des sièges ou fauteuils pour leurs appareils de pression et d'extension ou plutôt de sustentation (2). Ce
ls portatifs. — Mais presque tous les appareils de sustentation ou de pression qui appartiennent à cette catégorie sont fixés,-
de supports. Ils sont utiles dans certaines limites; ils diminuent la pression du rachis en transmettant directement au bassin u
orce, et les épaules s'élèvent d'une manière disgracieuse. L'excès de pression des croissants a aussi des inconvénients pour les
béquilles et des tuteurs permanents. On a supposé autrefois que la pression circulaire du bassin par ce genre d'appareils p
ne connais pas de fait qui justifie cette crainte. Les appareils à pression latérale ont pour principal moyen d'action une ou
sur les tuteurs ou articulées avec eux, de manière que l'on gradue la pression avec des vis. Les bandes, fixées par une de leurs
nt par l'autre extrémité sur un tuteur opposé ou sur la ceinture. Ces pressions agissant suivant une double direction, comme les
rbure dorsale principale à convexité droite, il suffit d'une pièce de pression à droite, avec ou sans tuteur de ce côté, et d'un
rtement le tronc à gauche; on le maintient dans cette position par la pression de l'appareil sur le côté droit. La ceinture à
me quelques inconvénients propres à la ceinture à levier, tels que la pression excessive de la courroie sur le flanc droit, la f
etc. Je préfère incliner simplement le tuteur qui porte la plaque de pression , dont on règle d'ailleurs l'action au .moyen d'un
n n'était arrêté par les obstacles que j'ai signalés à l'occasion des pressions pratiquées dans la position horizontale. Il est
s doubles, mais non égales, auxquelles on croit devoir appliquer deux pressions vis-à-vis les deux gibbosités. La pression inféri
oit devoir appliquer deux pressions vis-à-vis les deux gibbosités. La pression inférieure devient nuisible dans ce cas, pour peu
ende à devenir prédominante, comme cela a lieu le plus souvent; celte pression favorise l'inclinaison de l'arc lombaire. Il faut
avorise l'inclinaison de l'arc lombaire. Il faut alors se borner à la pression sur la convexité dorsale ; celle circonstance peu
t suffisamment corrigée. Dans ce cas, il ne faudrait pas appliquer de pression sur la convexité lombaire, car il y a déjà un com
ils sont bien construits et convenablement appliqués. Les ceintures à pression et à inclinaison peuvent, dans certains cas, fair
dement malgré tous les supports de la station, malgré les ceintures à pression ou à inclinaison latérale, malgré la gymnastique
out lorsque l'accroissement du corps en hauteur n'est pas terminé. La pression du squelette sur les viscères, sur les nerfs, sur
côté, tout ce qui peut distendre les muscles spinaux ou augmenter la pression supportée par les vertèbres dans la station. Il n
sition horizontale, de la suspension gymnastique, des extensions, des pressions et tractions latérales sur les lits, de la force
dépriment le mieux le côté convexe des courbures; ce sont surtout les pressions et tractions latérales inverses, combinées avec l
conformation de la colonne vertébrale, soit par l'effet direct des pressions , qui peuvent influer à la longue sur leur nutriti
ploi des moyens mécaniques. Le bien-être causé par la cessation de la pression des organes rend assez bien raison de ce fait. Le
ments sur les courbures....... 440 a. Action de la pesanteur et des pressions extérieures. . . . 441 b. Effets de l'action mu
............ 490 1° Extension et contre-extension......... ib. 2° Pressions .................. 495 £. Moyens mécaniques empl
. 503 1° Suspension verticale. . ........... ib. 2° Extensions et pressions avec les mains dans la station.................
2 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
on sus-pubienne. A première vue, les organes génitaux donnent l'im- pression de l'hermaphroditisme. A un examen plus attentif
ous les auteurs sont d'accord pour attribuer à l'augmentation de la pression intracrânienne un rôle important dans le mécani
ndaire à l'atrophie optique. Du côté du crâne, l'un des signes de pression les plus nets à l'autopsie est l'existence d'im
sp. BI. f. Schweizer Aerzte, 1915. 16 FLOURNOY sous l'effet de la pression lordose basilaire, selon Bertolotti n'exis- ter
(1), ce qui n'empêche pas le peu de liquide qui y reste d'être sous pression ; ce fait est à com- parer avec certains cas de
ycéphalie ; elle agirait alors en rompant subitement l'équilibre de pression entre les cavités crânienne et rachidienne (3).
nostic de paralysie générale est confirmé par la ponction lombaire ( pression forte, quantité notable de globulines, Noguchi et
semblent prouver . qu'il y avait une augmentation permanente de la pression . Ce sont l'étroitesse dessillons, l'existence d
s vasculaires à la surface de l'écorce (1) sont aussi l'effet de la pression . Il en est de même de la dilatation des ventricul
ance blanche sur le pourtour ventriculaire. Ce dernier indice d'une pression exagérée a été décrit par le professeur Weber dan
érébrales (2). Quel peut être le mécanisme de celte augmentation de pression ? Agit- elle de dehors en dedans, ou en se fais
aussi la névrite optique, celle-ci pouvant être due simplement à la pression de l'infundibulum sur la Il,, paire. Au point d
ARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UNE ORYCÉPHAL1QUE 25 Asymétrie des effets de pression . Dans le cas particulier, la pres- sion n'a pas
ndue impossible. C'est probablement à cet effet plus prononcé de la pression sur l'hémis- phère gauche qu'il faut attribuer
férieur du côté droit pourrait aussi être conséquence des effets de pression , le côté droit ayant peu à peu suppléé au gauche
, dont l'empreinte est si marquée des deux côtés du crâne (signe de pression ), n'irriguent pas le cerveau. Les altérations
s haut parlenl toutes en faveur d'une augmentation permanente de la pression intracrânienne. Mais ce phéno- mène seul n'expl
c de Syl- vius : il faut absolument qu'il fonctionne (1), sinon une pression intra- crànienne exagérée et accompagnée d'oedè
les causes de l'ano- malie crânienne elle-même et des phénomènes de pression permanente qui l'accompagnent. Dans notre obser
séquence d'un canal osseux trop étroit. Elle est en rapport avec la pression intracrânienne et intraventriculaire exagérée,
en résulte ; . 2° La paralysie de la IIIe paire dépend aussi de la pression intraventri- culaire. C'est une paralysie nuclé
e inférieure et lombaire supérieure. Par contre, la palpation et la pression sur les masses musculaires lom- baires sont net
cielle et profonde reste négatif ; pinçon, épingle, chaud et froid, pression , diapason, sens muscu- laire sont bien sentis e
de médecine d'Athènes. On sait que des études ont été faites sur la pression et la ligature des artères carotides aussi bien
carotides aussi bien chez l'homme que chez les animaux. De même la pression et la ligature de ces artères ont été faites chez
leur historique. Les études de Griesinger, Concato et Naunyn sur la pression des caroti- des, quoiqu'ayant été faites dans u
emps, je me suis occupé d'études de clinique expé- rimentale sur la pression des carotides chez les épileptiques, dernière-
é épileptique ou hystérique. - J'ai donc essayé de provoquer par la pression des carotides une anémie cérébrale instantanée
gras, à cou très court ou ayant des amvg- dales'hyperlrophiques, la pression parfaite des carotides est quasi impos- sible.
pression parfaite des carotides est quasi impos- sible. De même la pression des carotides est parfois impossible à cause de
s sur elles. Après nous être assuré que nous pou- vons pratiquer la pression des carotides, nous le faisons brusquement et e
les épileptiques artério-scléreux, nous n'avons jamais pratiqué la pression , pensant qu'en de pareilles circonstances de tell
, âgées de 18 à 30 ans, ayant choisi des individus chez lesquels la pression était praticable; nous ne l'avons cependant jamai
s en général. Anesthésie de la cor- née, pas d'autre symptôme. A la pression des carotides elle perd immédiatement connaissa
nd il revient à lui, il sent une fatigue générale et du vertige. A la pression des. carotides, perte de conscience, puis légèr
e- ment s'est plaint d'une céphalée intense survenue le matin. A la pression des carotides, immédiatement perte de conscienc
ucune différence entre les réflexes des deux moitiés du corps. A la pression des ca- rotides, il perd immédiatement conscien
gique, sauf cependant une exagération des réflexes en général. A la pression des carotides, perte de cons- cience immédiate
xagération des réflexes en général, anesthésie de la cor- née. A la pression des carotides, perte immédiate de conscience et c
sente plusieurs cicatrices de la laugue provenant de morsures. A la pression des carotides, immédiatement perte de cons- cie
de la cornée, intelligence bornée. Réflexes phy- siologiques. A la pression des carotides, immédiatement perte de connaissanc
actuel. Anesthésie de la cornée, réflexes exagérés en général. A la pression des carotides, immédiatement perte de conscience,
duré pendant 15 jours. Etat actuel. - Anesthésie de la cornée. A la pression des carotides, immé- 62 TSIMINASKIS diatement
t actuel. Réflexes très exagérés, pas d'autres symptômes. A la com- pression des carotides, immédiatement perte de conscience
ctuel. Léger tremblement des membres supérieurs à l'extension. A la pression des carotides, perte de conscience avec convulsio
t même depuis un an. , Dans les 42 cas, sans aucune exception, à la pression des carotides est survenu l'accès hystérique ou
s, ayantpris mes "précautions pour ne pas les suggestionner. Par la pression des ovaires, je n'ai pu obtenir l'accès que che
erf et des vais- seaux. L'examen du pouls radial et l'étude de la pression artérielle au moyen du sphygmomanomètre de Pach
laire concomitante. L'étude des commémoratifs, du pouls et de la pression artérielle con- firmera d'ailleurs bien souvent
relief le fait que les réactions électriques sont peu touchées, la pression artérielle égale à celle du côté opposé, les trou
au chaude. Le refroidissement est sans effet sur la tonicité. 11. Pression . - Le manomètre de Pachon fournit les résultais s
otricité et température. Très léger refroidissement habituel. 1 \ . Pression : ' 88 LAIGNEL-UVASl1NE ET PAUL COURBON griff
ide. La main malade conserve un peuplus la chaleur que la saine. 9. Pression . - Pachon : 90 LAIGNEL-LAVASTINE ET PAUL COURBO
thermiques ; la main malade garde plus longtemps la chaleur. il. Pression : 92 LAIGNGL-LAVASTINE ET PAUL COURBON main e
s, ni thermiques. La main malade perd plus vite la chaleur. . Il. Pression : . 94. LAIG1VEL-LAVAS1'rNE ET PAUL COURBON a
eur que l'autre. seize déformations PARATONIQUES DE la main 95 9. Pression . - L'appareil Pachon fournit le résultat suivant
aso motricité et température. - Léger refroidissement habituel. 11. Pression : 100 LAIGNEL-LAVASTINE ET PAUL COURBON baïon
ns l'eau chaude, la main malade garde plus longtemps la chaleur. 9. Pression . Pachon : SEIZE DÉFORMATIONS PARATONIQUES DE LA
ude, la main malade se refroidit un peu plus vite que l'autre. 9. Pression . Le manomètre Pachon fournit les résultats suivan
t plus vite que l'autre, après avoir été trempée dans l'eau chaude. Pression . Pachon : . SEIZE DÉFORMATIONS PARATONIQUES DE
s-jacente aux deux cicatrices, surtout à celle du bord cubital ; la pression y est douloureuse. 7. Réflectivité. Normale.
la chaleur. Le réchauffe- ment ne diminue en rien la raideur. 11. Pression : SEIZE DÉFORMATIONS PARATONIQUES DE LA MAIN 10
s-. 10. Vaso-motricité et température. - Pas de modification. 11. Pression : 108 LAIGNEL-LAVASTINE ET PAUL COURBON vité
mécanique. Sudation au niveau des doigts dès qu'il fait chaud. il. Pression : SEIZE DEFORMATIONS PARATONIQUES DE LA MAIN 11
bles trophiques apparents. Il. Réflectivité. Rien à signaler. 12. Pression . 13. Interprétation. L'abduction extrême du pre
nte à droite un oedème très prononcé de la main et des doigts. A la pression on a la sensation d'un empâtement mollasse dans
ais un peu moins marqué à leur extrémité. Cet oedème est mou, et la pression sur le dos de la main y détermine facilement un
ignet. Il n'y a pas de douleur au repos, mais tout contapt ou toute pression des 3,e ! Jt 46 doigts paraît partiçuljèrenieiit
e, en poing demi- fermé. Matrice des ongles épaissie. Douleurs à la pression (PI. XXVIII, E). Passivement les doigts peuvent
pouls droit est beaucoup plus petit que le gauche et filiforme ; la pression artérielle, mesurée au Potain, est de 28 à gauc
, etc.), soit simplement par les signes cliniques (pouls filiforme, pression artérielle diminuée, etc.). Pourtant, comme M.
doute par des manoeuvres répétées de traction sur le poignet et de pression sur la main, de façon à relâcher ses ligaments.
uoique un peu moindre, du pli transversal inférieur, une légère dé- pression du pli moyen, un bourrelet entre les deux plis et
latoire : Normal. Pouls 72, rythmique récurrent. Bonne ten- sion. Pression : 151ninximum, 10 minimum. Le malade a été opér
niforme. Il y avait deux kystes. Quand on a ouvert la dure-mère, la pression est tombée et la respiration cessa. Après l'app
espiration s'est rétablie. Après que la tumeur eut été extirpée, la pression est de nouveau descendue. Nouvelle crise respir
uleur extrêmement vive dans la zone épi- gastrique, exagérée par la pression ; sous la zone hépatique, point douloureux 200
ion ; sous la zone hépatique, point douloureux 200 ' ETIENNE à la pression . Tête très mobile. Pas de raideur de la nuque. Ré
es normaux ; pas trace de Kernig. Douleurs vives , exagérées par la pression , dans les zones hépatique et épigastrique. Douleu
igastrique et hypogastrique droites, douleurs très exagérées par la pression . 3. T. : 35°3 à 36°. P. : 62. Impotence compl
de M. Salanier, après extraction de 25 centimètres cubes sous forte pression . 8. Aucune réaction méningée. Frisson dans la n
res régions, sensibilité musculaire conservée. Pas de douleurs à la pression des muscles ; atrophie musculaire ; pas de contra
rral des voies digestives. Montée de T. : 37°5. Les douleurs à la pression des masses musculaires sont moins vives. La dou
ion lombaire donne issue à un liquide parfaitemeut limpide avec une pression renforcée. L'examen de ce liquide est resté négat
vée. Sensibilité normale au niveau des cuisses. Pas de douleurs à la pression dans les mollets. Mollets mous ; atrophie muscu
ÉPIDÉMIES MILITAIRES 209 \ 10. -'Sein gauche gonflé, sensible à la pression . Aucun ganglion dans l'aisselle, sans adhérence
agitée. Douleurs dans les jambes et dans les cuisses. Douleurs à la pression dans la masse musculaire. Céphalée vive. Raid
T. : 37 ? Dans la soirée, ponction lombaire. Liquide normal et sans pression . 7. La céphalée parait diminuée. Urines : 1.5
du pied des deux côtés. \ Le malade ne peut marcher. Douleur à la pression de la colonne lombo- sacrée. La céphalée a disp
22. Epistaxis peu abondant. L'excitabilité réflexe s'atténue et la pression au niveau de la colonne verté- brale est beauco
sthésie est nette. Hyperesthésie, au contraire, à la piqûre et à la pression dans l'obser- vation V. Les douleurs spontané
s. IV, V, VIII, XI), douleurs plus vives (obs. V). En aucun cas, la pression au niveau des émergences nerveuses n'a ren- for
rgences nerveuses n'a ren- forcé la douleur notablement plus que la pression des muscles ou de l'os. ' Les viscéralgies extr
u cours du 4e jour de la période d'état, le liquide s'écoulait sans pression , clair comme de l'eau de roche, ne donnant pas
cubes de liquide, de constitution identique, s'écoulent sous forte pression . Pression augmen- tée du liquide clair comme de
liquide, de constitution identique, s'écoulent sous forte pression. Pression augmen- tée du liquide clair comme de l'eau de
; avec, pendant la période précoce, une légère augmen- tation de la pression , accroissement constant des protéides, et pleiocy
le. Les mouvements ne causent pas de douleurs ; pas de douleur à la pression . Réflexes rotuliens normaux. « Réflexes plantai
l'urine. 27. - On trouve, en faisant l'examen par le rectum, que la pression au côté antérieur du coccyx et du sacrum cause
le côté postérieur du sacrum, on n'obtient pas de dou- leurs par la pression . 228 PETREN 29. Le signe de Lasègue est posit
on. 228 PETREN 29. Le signe de Lasègue est positif (à 60°), et la pression sur le grand nerf sciatique cause un peu de dou
nous trouvons une quantité de mercure de 1,8 milligramme. 17. La pression sur les grands nerfs sciatiques et même à côté de
ant l'examen du rectum, on ne trouve pas maintenant de douleurs par pression . Pas de signe de stomatite. 19. L'éruption syph
ègue, et les troncs du grand sciatique étaient très douloureux à la pression , c'est-à-dire qu'il y avait nombre de phénomène
n cubi- tal avec des douleurs spontanées, fortes, des douleurs à la pression de l'olécrâne du même côté et ensuite des doule
e durée inconnue. Polynévrite assez typique. A la ponction lombaire pression un peu augmentée et une faible réaction de Was-
es jambes, sensibilité normale, les troncs ner- veux sensibles à la pression , les réflexes exagérés, ataxie considérable des
'une lésion nerveuse. Le point d'Erb est d'ailleurs douloureux à la pression ; et l'in- tégrité des muscles de l'épaule dont
es omoplates ; elle peut à peine les lever, et avec une très légère pression , on arrive à empêcher le mouvement. Impossibilité
éritable, les téguments ne présentant pas de godet à la suite de la pression digitale, représente un trouble identique, à no
orce dynamométrique : main droite, 22 ; main gauche, 21 (échelle de pression ). Diadococinésie. Il n'y a pas d'ataxie, d'apra
lement. Céphalée frontale, plus forte à droite, qui augmente par la pression oculaire et frontale. Photophobie. Torpeur. Ell
MONIZ appréciables, d'aspect uniforme et brillant à l'oeil nu. Par pression ne donne pas de suc. ' Les coupes faites perp
gnaler. La température : 37 ? Le pouls ; 95 à la minute, rythmé. La pression de sang (selon Riva-Rocci et avec une large man
agments de cylin- dres granuleux. A cause de l'augmentation de la pression du sang, des symptômes d'hyper- trophie du coeu
o- sité cérébrospinale a présenté une forte coloration sanguine. La pression est enregistrée 250 millimètres. On fait écoule
du côté droit. , 1 Une nouvelle ponction lombaire a été pratiquée. Pression : 210 millimètres ; 10 centimètres cubes du liq
es doigts dans le champ visuel gauche. Nouvelle ponclion lombaire ; pression : 120, globules rouges : 56.000, blancs : 300 p
ne, mais y arrive à peu près sans marquer de sensations de douleur. Pression du sang : 135 millimètres mercure. La températu
d'altération chronique. Les symptômes d'hypertrophie du coeur, la pression un peu élevée du sang, ainsi que la présence da
sidération des cas d'hémor- ragies méningées à l'état urémique avec pression surélevée du sang, que l'on trouve décrits dans
difications de l'hé- mianopsie sont expliquées par la différence de pression des masses de sang dans différentes occasions.
ombaire, dans la position couchée (côté gau- che), on a observé une pression de 190 millimètres. 12 centimètres de liquide s
12 centimètres de liquide sanguinolent ont été obtenus. Sur quoi la pression est descendue jusque ,1 .. (.C)\UO12.\l'Fill. m
. Le pouls : 86. 7 heures du soir. Nouvelle ponction lombaire. La pression : 210 millimètres. Un liquide clair légèrement
mbait furtemeut au-dessus de la ligne du milieu, exerçant une forte pression sur l'hémisphère gauche. A la palpation, on a tro
es ménin- gées dans les maladies qui amènent une augmentation de la pression du sang, surtout les néphrites chroniques. A l'
iers peuvent être attribués à l'action de choc sur le névraxe, à la pression exagérée du sac durai et à l'influence irritant
le jet de sang produit aux environs de la rupture, mais aussi de la pression que les masses de sang exercent là où elles . s
s un de ses cas. Il en énonce la conjecture qu'elle dépendait de la pression du sang épanché sur la bandelette optique. Dans m
age ne lui a pas été disponible en original) en lui attribuantl'ex- pression « leptoméningite hémorragique, débutant comme l'a
r une maladie qui se distingue en principe si peu de celle-ci. La pression augmentée, qui se produit après une hémorragie da
ion lombaire, une partie du liquide cépha lorachid ien s'écoule, la pression s'abaisse et en conséquence une nouvelle possib
exemple un profond coma de longue durée permet de soupçonner une pression intra-cérébrale si exagérée que la vie soit en da
e soit en danger, on semble être autorisé à essayer d'alléger celle pression . Dans le coma, les risques sont toutefois si gr
u'on ne doit pas craindre une nou- velle hémorragie en abaissant la pression au la ponction lombaire. De l'autre côté, il se
s numériques qui permettent de nous former une opinion exacte de la pression cérébrale pendant le processus héntafo- lytique
la la ponction lombaire, pour caractériser les différents degrés de pression .Froin fait ressortir que l'écoulement est plus
ection. Sans doute, on a le droit de'comparer, l'exacerbation de la pression cérébrale et les symptômes tardifs d'irritation
ombaire doit être d'une grande utititéthérapeutique en allégeant la pression et en éloignant les éléments sanguins'décomposés.
s, il est nécessaire de bien observer l'abaissement de sorte que la pression normale ne tombe pas au-dessous de 100 millimètre
etite que la gauche, le tonus des deux, globes oculaires égal. La pression artérielle, prise à l'avant-bras avec l'oscillomè
- à droite : 16-9-3 » à gauche : 15-9-3 respectivement pour les pressions maxima, minima et l'amplitude maxima des oscill
ît paradoxal, de même d'ailleurs que l'abaissement corrélatif de la pression artérielle du membre supérieur gauche (Mx. : 15
ilitude avec les syndromes Babinski-Froment. Il faut révéler par la pression digitale l'hyperesthésie du tronc nerveux. On c
nstate ainsi que le sujet est désa- gréablement impressionné par la pression au niveau du point d'Erb du côté malade et même
donnée clinique que fournit l'hyperslhésie des troncs nerveux à la pression . Les syndromes frustes d'irritation du plexus b
achial (C V et C VI) est démontrée cliniquement par la douleur à la pression des divers éléments du plexus brachial et élec-
xus brachial est démontrée cliniquement par l' l'hyperesthésie à la pression du poiut d'Erb, du nerf circonflexe, du nerf radi
De plus, tous les muscles atrophiés sont légèrement sensibles à la pression . La distribution des lésions permet d'incri- mi
participation du plexus brachial est manifestée par la douleur à la pression au niveau des divers éléments de ce plexus. L'étu
est mise eu évidence cliniquement par l'existence de douleurs à la pression au niveau du point d'Erh, du mé- dian, du radia
xus brachial est manifestée cliniquement par l'hyper- esthésie à la pression au nivean du point d'Erb et da médian. Les autres
urs spon. tanées et une forte hyperesthésie des troncs nerveux à la pression . L'examen électrique ne révèle aucune lésion pa
ervés. La circulation est normale et les deux poufs radiaux ont une pression de 12-18. L'articulation de l'épaule semble cli
e de l'épaule qui ne-paraisse douloureuse. A plus forte raison, les pressions même légères sont-elles mal supportées. Ainsi e
de l'omoplate sur le tra- versin pendant la nuit et, le jour, de la pression de la capote sur les épaules. Cette pression es
uit et, le jour, de la pression de la capote sur les épaules. Cette pression est si désagréable que le sujet préfère ne pas so
le médian, sont en effet nettement et électivement douloureux à la pression digitale. Au niveau du point d'Erb, la pression
ent douloureux à la pression digitale. Au niveau du point d'Erb, la pression paraît même intolérable. Il existe en outre une
ation du plexus brachial démontrée par l'existence de douleurs à la pression au niveau du point d'Erb et du tronc du médian.
comme d'ordre réflexe si l'on n'examinait le plexus brachial. La pression digitale au point d'Erb et au niveau du médian dé
ompression auriculaire est suivie d'autres phénomènes, affectant la pression artérielle et la respiration, phénomènes décrit
aint de fourmillements intermittents particulièrement aux mains. La pression des troncs nerveux est douloureuse, mais ne déter
. L'auscultation du coeur ne révèle-pas de lésions vàlvulaires ; la pression artérielle est augmentée (20-14) ; peut-être es
s condyles tibiaux ou fémoraux, on ne détermine aucune douleur à la pression ; l'exploration osseuse fut beaucoup plus facile
her comme deux haricots, de consistance moyenne, peu sensibles à la pression . F... affirme avoir souvent des érections matinal
(t) PENDE, op. cit., p. 133. ' DYSTROPHIE GÉNITO-GLANDULAIRE 415 pression est admise aujourd'hui), les traits de la virilit
bdomen. La colonne vertébrale n'est pas déviée et est indolore à la pression . Les masses musculaires sont également indolore
ntre, les masses musculaires sacro-lombaires sont douloureuses à la pression . Sur l'abdomen on remarque trois plis transversau
. La masse musculaire sacro-lombaire est également douloureuse à la pression . Lorsque l'on fait coucher le malade par terre,
: de même la masse musculaire sacro- lombaire est douloureuse à la pression , mais moins que la colonne vertébrale. Si on fa
3 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
la malade, il n'y aurait pas de différence entre les deux côtés ; la pression sur une seule de ces régions ne détermine pas d'a
ces régions ne détermine pas d'attaques, mais la « fait avaler. » La pression simultanée, et assez énergique, produit aussitôt
, et assez énergique, produit aussitôt une crise convulsive ; 2° La pression est douloureuse de chaque côté de la cinquième ve
nt Y aura ; 3° Les deux régions ovariennes sont hyperesthésiées. La pression donne lieu à la sensation de boule ; cette sensat
point douloureux à la partie centrale du flanc gauche. Toutefois, une pression même un peu forte est, aujourd'hui, impuissante à
ons du corps, en général très circonscrites, au niveau desquelles une pression plus ou moins forte produit dans un temps variabl
la traction des cheveux, le passage du doigt ne sont pas perçus. Une pression même modérée, le passage brusque du peigne, sont
ême modérée, le passage brusque du peigne, sont douloureux. Une forte pression calme la souffrance. Il existe une douleur sponta
éférence après les attaques ; avant, il n'y a rien de semblable. — La pression ne produit pas de crise con-vulsive, ni aucun des
le, au pincement. Pas de douleur spontanée en dehors des attaques. La pression développe très promptement une grande attaque.
s légère excitation; — les autres ne déterminent d'attaques que si la pression a été énergique, et après un temps assez long; —
ique, et après un temps assez long; — enfin, il en est d'autres où la pression ne parvient à produire que quelques-uns des phéno
t de la région ovarienne. A ce niveau, l'anesthésie est complète. Une pression d'intensité moyenne fait éclater une attaque comp
La rachialgie n'intervient pas dans le développement de l'aura. La pression sur les apophyses vertébrales correspon- dantes
s convulsions n'éclatent que 10 à 15 minutes après l'excitation. La pression sur la région sous-mammaire agit plus vite ; mais
par excellence c'est la région sus- Fiff. S. inguinale : là, une pression modérée détermine en quelques secondes une attaqu
ntre (tympanite) et de la tension des muscles abdominaux. — Une forte pression sur la région sous-mammaire donne les mêmes résul
rant 8 minutes. On voit que, chez M..., il y a trois régions où une pression , plus ou moins intense, détermine en un temps p
a septième vertèbre cervicale ; la gouttière gauche est sensible à la pression qui est de nul effet dans la gouttière droite. La
étruite dans la région correspondante à la rachialgie. C'est là où la pression détermine surtout et promptement une attaque hyst
voquée. (Fig. 2.) 4° Point douloureux au centre du flanc gauche. La pression donne lieu à une sensation d'étouffement. Pas d'a
5° Hyperesthésie ovarienne gauche, avec insensibilité de la peau. La pression ne détermine pas d'attaque. La compression ovarie
aralgie, rachialgie, région latéro-mammaire droite. — Influence de la pression . — Rôle des régions hystérogènes dans Y aura. D
s, est sensible. Au niveau des 16e, 17e, 18e vertèbres dorsales, la pression provoque une attaque que ne suspend pas une surpr
nt à expliquer les phénomènes notés du côté de la tempe droite. Une pression , même modérée, sur la région ovarienne gauche, dé
des gouttières gauches des 5e, 6e, 7e et 8e vertèbres dorsales où une pression même légère suffit à provoquer une attaque sur-le
e examen, malgré l'attention que nous apportions à ne pas exercer une pression trop forte, nous avons déterminé une attaque. L
tte qu'à droite et par conséquent il n'y a pas d'hyperesthésie. — Une pression vigoureuse ne nous a point paru suspendre les con
sur 4 selon la malade) et vers le milieu du bord externe du sein. Une pression légère a provoqué une attaque que nous avons pu a
. La production artificielle de l'attaque est la plus rapide par la pression de la région hystérogène vertébrale, puis par cel
ticipe pas aux phénomènes de l'aura. Provoque-t-on une attaque par la pression des apophyses épineuses, aussitôt, B... a eu seco
e chatouillement simultané des deux zones est plus vif à gauche. La pression d'une seule zone ne détermine d'attaque qu'à la c
e zone ne détermine d'attaque qu'à la condition d'être très forte. La pression , même modérée, des deux zones à la fois amène une
au plus dix minutes. La rachialgie ne subit aucune modification. La pression sur la région ovarienne ne provoque pas d'attaque
celle des flancs. — Leur intensité n'est pas la même : tandis que la pression sur la région rachidienne n'est suivie d'attaques
ion des zones hystêrogènes. — Certaines attitudes peuvent empêcher la pression sur les régions hystêrogènes de produire une atta
des 7e, 8e et 9e vertèbres dorsales, échappe parfois aux effets de la pression en portant les épaules en arrière, en incurvant f
e catégorie de symptômes; on les voit répondre de moins en moins à la pression et enfin, ne plus y répondre du tout. L'observati
ne de chaque côté du sternum, au niveau du 4e espace intercostal : la pression détermine un peu d'oppression. — 3° Zone latéro-m
timètres environ au-dessous de l'épine iliaque antérieure gauche : la pression occasionne les sensations de « quelque chose, qui
et fait étouffer ». — 5° Hyperesthésie ovarienne gauche. Une forte pression n'amène pas d'attaques ; il n'y a pas de douleurs
rès intense chez elle, agissant instantanément sous l'influence de la pression , a presque complètement disparu et la pression es
sous l'influence de la pression, a presque complètement disparu et la pression est de nul effet. — Chez cette même malade, alors
s hystérogènes, jouit d'une double propriété : souvent à l'aide d'une pression modérée, il est possible de faire éclater une att
l était facile d'arrêter les attaques en cours, en exerçant une forte pression sur la principale région hystéro-gène2. Nous ra
on clou hystérique. L'attaque en cours est facilement arrêtée par une pression énergique. de l'hyperesthésie ovarienne, et qu'
Si ceux-ci ne sont pas à plat, les orteils se con-tracturent. — Toute pression , même modérée est très pénible. — Lait glacé, bai
les, mais ces symptômes sont moins prononcés qu'il y a deux jours. La pression , supportable sur les bras, reste très douloureuse
u côté droit. 1° Zones hystérogènes. — Clou hystérique. — Rien à la pression ; mais, un peu en arrière de l'angle antérieur des
feste surtout avant les attaques. 2° Hyperesthésie des flancs. — La pression simultanée des flancs, tout près du rebord des fa
out près du rebord des fausses côtes, détermine de la suffocation; la pression sur le flanc gauche donne lieu à une simple gène
flanc droit rien. 3° Point latéro-mammaire. — En dehors du sein, la pression produit une sensation de serrement au cœur, avec
eux dernières vertèbres dorsales, prédomine dans les gouttières. La pression fait mal « comme quelque chose qu'on enfoncerait
rdant ». La douleur répond à l'épigastre , amène de ia dyspnée. Si la pression est forte, il survient une attaque. Le frôlement
sommeil. — Amaurose hystérique. — Zones hystérogènes. — Effets de la pression . — Prodromes et symptômes des attaques de sommeil
, à 10 heures du soir. Elle dort encore ce matin, à la visite. Par la pression au-dessous du sein gauche (zone hystérogène), M.
membres, pas de catalepsie. Elle est réveillée, sans attaques, par la pression de la région sous-mammaire; elle est mécontente,
de contracture. Une de ses compagnes a provoqué deux attaques par la pression de la zone hystérogène : la parole est revenue. —
fuse de divulguer ce qu'elle voit. — Une attaque est provoquée par la pression sur la partie àw. sternum qui correspond aux troi
de la dixième vertèbre dorsale; 4° la région sous-mammaire droite. La pression sur ces différents points donne lieu à des attaqu
le sent une boule qui remonte 46 à l'estomac, puis à la gorge. La pression sur l'une ou l'autre de ces régions est douloureu
avec suffocation. Ces phénomènes paraissent plus intenses lorsque la pression s'exerce sur la région ovarienne gauche. — Par mo
out à droite et au niveau des trois premières vertèbres dorsales : la pression exagère d'abord cette douleur, qui diminue ensuit
oit le pincement, mais non le simple contact et le chatouillement. La pression sur les régions ovariennes détermine une vive dou
s ces zones, la sensibilité reste obtuse, il faut que la piqûre ou la pression soient assez fortes pour être perçues ; le simple
être employés pour mettre fin aux attaques de sommeil. Telles sont la pression sur une région hystérogène (alors le sommeil surv
— 3° zones latéro-mammaires, avec prédominance du côté droit : par la pression simultanée, on détermine sur-le-champ une attaque
II, p. 183.) — 1° Ovaralgie droite ; anesthésie cutanée complète; la pression de l'ovaire ne détermine pas d'attaques. — 2° Zon
ensibilité est conservée dans une largeur d'un centimètre et demi; la pression simultanée des deux zones produit une attaque. —
ttaque. — 3° Clou hystérique] la peau correspondante est sensible; la pression ne donne pas d'attaques, mais occasionne un malai
ne largeur de trois centimètres ; cette zone est la plus active ; une pression , même modérée, détermine immédiatement une attaqu
elle d'une pièce d'un franc. Il n'y a pas de douleur spontanée. Parla pression , on détermine une douleur vive qui s'irradie vers
empes. —La sensibilité, dans ces zones, existe, mais est obtuse. — La pression ne provoque pas ..d'attaques.—Elles ne participen
ns une étendue de trois centimètres de diamètre (contact, piqûre). La pression produit une douleur comparée par la malade à un c
t une douleur comparée par la malade à un coup qu'on se donne ; si la pression est forte, elle éprouve une constriction vers l'é
ques qui n'ont d'autre effet que de rendre plus vifs les effets de la pression . Si celle-ci est énergique, elle produit une atta
st énergique, elle produit une attaque, mais moins promptement que la pression exercée sur la zone rachidienne. Un jour, en se c
4 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
ux ostéo-fibreux, inextensibles, les grands amas de sang noir dont la pression aurait été funeste à la substance nerveuse.Enfin
ace antérieure. Enfin son épaisseur et sa densité augmentent avec les pressions habituelles qu'elle subit : c'est ainsi que, par
cuisse, au voisinage du bassin. Dans les points où s'exerce une forte pression sans mobilité, elle prend une épaisseur et une de
e commune, ou l'aponévrose plantaire , destinée à supporter d'énormes pressions , est la plus forte de toutes celles du corps huma
ré leur minceur, il est remarquable à quel point elles résistent à la pression et peuvent se conserver intactes dans le voisinag
n'ont pu être si solides que, dans beaucoup de cas, ils ne cèdent aux pressions qu'ils ont à supporter : c'est ce point de vue dy
s. La largeur des orifices diaphragma-tiques des gros vaisseaux et la pression des viscères, soit par le fait de la gravitation
de la situation déclive de ces orifices, ils cèdent lentement sous la pression des viscères mobiles, soit l'intestin, ou, plus f
uinal n'échappe pas aux inconvéniens de sa situation déclive, sous la pression des viscères. On sait, en effet, que la hernie in
de leraillenient et de l'alongcment des adhérences fibreuses sous la pression continue des viscères. De cette théorie il résult
pres, et se trouvant modifiée dans ses formes et son extension par la pression des aponévroses, et dans ses complications par le
t volume de ces vaisseaux, la texture serrée des parties molles et la pression déterminée par le voisinage des os, sont les caus
ettant la dilatation des membranes rachidiennes et de la peau sous la pression du fluide cérébro-spinal, donne lieu à la maladie
onditions anatomiques dont la coïncidence avec les frot-temens et les pressions dont elle est le siège, explique la fréquence des
tique pour entrer clans la cuisse, circonstance qui rend compte de la pression accidentelle de ces nerfs dans la station assise.
lipomes. Profondément la dilatation des orifices vascu-laires sous la pression des viscères, donne lieu dans des cas très rares
xal est quelquefois affecté de fractures, soit par attrition sous une pression énorme, soit par un choc direct dans la crête ili
s en rapport. Quant aux parties composantes, la peau, soumise à des pressions fréquentes,est âpre, rugueuse et ridée en regard
s la main par la naissance des éminences thénar et hypothénar. Par la pression du doigt au travers des chairs, on y sent de chaq
. Transversalement une dépression circulaire, facile à sentir sous la pression du doigt, indique la hauteur du plan inter-arti-c
la veine et le nerf saphènes postérieurs et leurs ramifications ; la pression qu'éprouvent les veinules au-dessous du mollet, a
réquemment parcourue par des végétations épi dermiques causées par la pression des chaussures en regard de la saillie des tendon
xtension du pied. 2° Couche sous-cutanée. Disposée en vue d'une forte pression habituelle, elle présente dans cette région une d
nt de végétations épiderrniques, sur les saillies tendineuses, par la pression des chaussures. 2° Couche sous-cutanée. Formée pa
ne fait que terminer la demi-voûte transversale et ne supporte qu'une pression légère, est beaucoup plus mince. RÉGION PLANTAI
dans la portion voûtée médiane comprise entre les deux coussinets de pression sous-calcanien et sous-métatarsien , où elle est
le forme une conclu; isolante très épaisse, destinée à protéger de la pression du sol les parties molles sous-plantaires; de for
saillies articulaires, des nodosités épidermiipies déterminées par la pression des chaussures. Les deux orteils extrêmes, plus e
le rapprochement habituel des orteils. Les faces latérales, par leur pression commune, sont fréquemment le siège de cors très d
pulpe, arrondie en un bourrelet demi-sphérique, la peau, soumise à la pression , prend une grande épaisseur, ef forme sur les bor
vent douloureux. Enfin, le refoulement vers l'ongle, déterminé par la pression , plus commun sur les deux orteils extrêmes qui fo
er immédiatement, puis lier le vaisseau, et pratiquer sans retard des pressions méthodiques et de légères secousses sur la paroi
ciant, ou, ce qui nous paraît plus exact, en sciant avec l'aide d'une pression , car c'est l'action de scier qui joue le rôle pri
ment qui les comprime avant de se laisser pénétrer. Mais si, après la pression la plus légère, on tire l'instrument clans un sen
ment des tissus fermes et résistans, tandis qu'il faudra une force de pression et un degré de tension beaucoup plus considérable
te sûreté de la main, qui fait que le chirurgien, habile à graduer la pression , n'incise jamais ni trop ni pas assez profondémen
ons vu que, sans cette précaution, les tissus flasques fuient sous la pression de l'instrument, en formant des rides au-devant d
vant du tranchant ; et, si on essaie de vaincre la résistance par une pression plus forte, on risque de pénétrer de suite beauco
. La sécheresse et la dureté de la peau n'influent pas moins sur la pression à employer que la résistance des tissus sous-jace
constances pour y proportionner la tension à donner aux parties et la pression exercée sur l'instrument. 3° Application du bis
milieu, à faciliter la section des chairs en augmentant à volonté la pression . Enfin, l'annulaire et le petit doigt, fléchis co
et l'on peut guider la profondeur à laquelle il doit pénétrer par la pression de 1 indicateur de l'autre main sur le plat de la
t de la main de gauche à droite, on incise les parties en graduant la pression suivant la profondeur à laquelle l'instrument doi
l'incision avait été commencée de dehors en dedans, on conçoit que la pression nécessaire pour la continuer mettrait en danger d
vre le trajet courbe que doit avoir la section. L'opérateur, par la pression déterminée avec le bord cubital ou l'extrémité de
décrite. Lorsqu'elle est parvenue au fond du foyer, on abaisse par la pression du pouce 1 ecusson de la sonde sur le doigt indie
Ici, au contraire, chaque denticule, en tombant, doit produire par la pression tout l'effet nécessaire; la section dans tous les
ant d'être coupées, elles éprouvent successivement tous les degrés de pression intermédiaires. La contusion qui est la suite de
ion, suivant que l'épaisseur et la résistance des parties exigent une pression plus ou moins forte, on pique brusquement, d'un s
uvrir de petits abcès ; on aide à la sortie du liquide par de légères pressions : toutefois on ne doit pas, dans le but d'obtenir
n masse est employée, suivant les cas, pour deux indications : i° par pression modérée, dont l'effet est de gêner ou d'intercept
xtrémités du lien aussi fortement qu'il est possible; un aide, par la pression du doigt, assujettit ce premier nœud pendant qu'o
btenir un effet continu avec un même lien dont on gradue à volonté la pression à divers temps, de manière à serrer ou relâcher à
, et que l'on dépose sur la partie malade en exprimant le liquide par pression , et pénétrant avec soin dans la profondeur de la
en crayon pour l'insinuer dans les cavités; en touchant on gradue la pression suivant la profondeur à laquelle doit agir la cau
la profondeur des parties que l'on veut détruire, en graduant par la pression l'action du caustique. Les trochisques, autrefois
l'instrument, permet de les assujettir l'une à l'autre par une vis de pression ; en sorte qu'un même manche peut servir pour plus
cautère diminue de température, l'opérateur doit exercer une moindre pression sur les parties, dans la crainte cpie, par leur d
le on opère sur les tissus, à l'aide de divers moyens mécaniques, une pression dont l'objet répond, suivant les circonstances, à
ysique, on retrouve la théorie du levier : une puissance qui agit par pression , un point d'appui pour la force, et une résistanc
trajet des vaisseaux, son siège le plus habituel, il détermine, parla pression des nerfs, des lymphatiques et des veines, des do
crochets mousses, ou, mieux, les doigts d'aides intelligens, dont la pression et les cléplacemens s'har-monient mieux avec les
e que le spasme des parties soit un peu dissipé avant de reprendre la pression . En opérant ainsi avec prudence, on parvient souv
s ou du membre ménagée de telle sorte que la plaie ne supporte aucune pression . Les organes qui en font partie et ceux qui l'avo
ontinuité, rassemblent et en quelque sorte expriment de loin, par une pression lente et graduée, les lambeaux charnus et cutanés
eaux musculo-cutanés ou trop courts ou très mobiles, ou exposés à des pressions d'organes plus profonds : tels sont les cas de be
ints de suture les moins essentiels, et maintenant les chairs par une pression légère des doigts pour éviter leur traction. S'il
globes qui adhèrent à mesure qu'ils se déroulent, en refoulant par la pression les deux masses charnues latérales l'une à la ren
ais le radial échappe nécessairement par sa profondeur en arrière. La pression , du reste, ne peut être long-temps maintenue, à c
on superficielle ou assez peu profonde pour pouvoir être atteinte par pression ou refoulement des tissus ; 2° le voisinage d'un
'appui solide, soit une surface osseuse ou fibreuse qui réagit sur la pression . Moyens et procédés de compression. La compre
vier ou point d'appui osseux par rapport à l'artère, et, par quelques pressions lentes, ménagées avec douceur, reconnaître dans q
ans quelle direction le vaisseau tend à se déplacer pour y adapter la pression . 3° Dans l'application du corps comprimant, soi
ou tout autre objet de forme appropriée, diriger la résultante de la pression suivant une ligne perpendiculaire à-la-fois au va
l'on agit, par sa direction normale ou accidentelle. 4° Graduer la pression peu-à-peu, mais sans trop de lenteur, de manière
dépend moins de l'intensité que de la bonne direction de la force de pression . Pour en gouverner les effets, à mesure que l'on
par un mouvement de la main ou le plus souvent du malade lui-même, la pression se détourne de sa ligne, au lieu d'appuyer immédi
ptitude la direction première perpendiculaire au plan osseux. 7° La pression doit être continuée sans interruption jusqu'à ce
la transforme en cachet par un manche court qui n'éloigne pas trop la pression intelligente de la main. COMPRESSION MÉCANIQUE.
lacs circulaire à la manière d'une ligature en masse. Pour rendre la pression plus directe, la bande ou la pelote, en compriman
la précision et la rapidité qu'il exige pour suspendre et rétablir la pression , s'il est besoin de donner un jet de sang; (e) co
s'il est besoin de donner un jet de sang; (e) comme conséquence de la pression des nerfs et des veines, de ne pouvoir être maint
e par des ardillons ( Pl. 18-21), est commode pour la com- T. VI. pression des artères superficielles de médiocre calibre; a
ipe est le même, le membre étant compris entre deux pelotes, l'une de pression , l'autre d'opposition, réunies par un lacs circul
membre, en posant la pelote d'opposition en sens inverse de celle de pression . Sans cesser de comprimer, on engage ou on fait e
du lacs dans la boucle de l'autre extrémité, et on le fixe lorsque la pression par raccourcissement du lien est portée au degré
s ; (d) et enfin , ce qui est très important, de graduer à volonté la pression à tous les degrés par l'action de la vis, sans mê
ns de bascule dus à la longueur de la vis, qui déplacent la pelote de pression ; mais il n'appartient qu'aux compresseurs à lacs,
ppui. Si l'une de ses branches est coupée en travers, il suffit d'une pression sur chaque lèvre de la plaie avec une compresse g
rébraux, trop imparfaitement suppléés par les artères basi-laires, la pression devrait être ménagée avec lenteur, en se contenta
rieur en dedans à la portion interne du triceps en dehors, la moindre pression par les quatre doigts, le pouce isolément, le gar
a même manière. Pour les collatérales des doigts, il est besoin d'une pression perpendiculaire assez forte sur la phalange en re
ument étant ouvert, après avoir posé perpendiculairement la pelote de pression dans la ligne de l'artère au fémur, on abat la ch
jarret, la jambe demi fléchie; mais comme elle est douloureuse par la pression des nerfs sciatiques poplités, incommode et peu s
vivans, de la facilité et de la promptitude avec lesquelles, par une pression très modérée, on interrompt tout battement clans
interrompt tout battement clans les artères iliaques externes. Cette pression même peut être maintenue quelques minutes chez un
couvert, fixé en situation relevée, un aide y exerce avec la main une pression molle, continuée pendant tout le temps que de for
des médius fléchis. Un premier nœud étant fait, un autre aide, par la pression d'un doigt, empêche qu'il ne se desserre, tandis
deux tiges cylindriques de la pince à refoulement, en remontant avec pression sur le vaisseau, de manière à rompre et refouler
dorsale des articulations des orteils où elles sont le résultat de la pression et du frottement des chaussures trop étroites. On
é seulement de couches de mucus concret superposé à la longue, par la pression , dans les frottemens, il donne lieu, au-dessous d
lé, il le saisit avec des pinces à disséquer, et le déchausse par une pression lente avec un poinçon rond ou aplati à bord émo
t une simple plaque épi-dermique peu épaisse, en regard des points de pression , au talon, à la surface du coussinet sous-métatar
iquide s'écoule immédiatement et il s'évacue en entier par une légère pression . Le même procédé s'applique à l'extraction des co
s chairs. C'est le nom d'une maladie assez commune. Par suite d'une pression trop forte des chaussures, les chairs étant refou
, la présente en place et, avec le fouloir pointu, la fait entrer par pression dans les inégalités les plus profondes» Dès que l
e répond la modification de M. Dclabarre, qui garantit la pulpe de la pression en commençant par la revêtir d'une petite capsule
alvéolaires par l'interposition d'un morceau de liège qui empêche la pression sur la dent luxée, proéminente, et on attend que
s deux origines. Ordinairement, pour la faire cesser, il suffit de la pression du doigt et d'un gargarisme acidulé, salé ou alco
re. On commence par engourdir la sensibilité du lobule par de légères pressions entre le pouce et l'indicateur; puis on applique
on de liège dune résistance médiocre, destiné à faire opposition à la pression de l'instrument. On opère de chaque côté avec la
and(fig. 6), qui agit de lui-même; l'autre, à manche, qui agit par la pression de la main; tels sont les scarificateurs de M. La
étant armé, on applique sa surface vulné-rante sur la peau, avec une pression modérée , suffisante pour tendre les tissus, mais
ambeau. 7° Tant que la langueur du lambeau persiste, on évite toute pression à sa surface; mais dès que la chaleur naturelle,
ue que la circulation se rétablit, il devient utile d'y maintenir une pression légère pour faciliter l'exacte apposition du lamb
e suture, et aplatir d'autant le relief de torsion du pédicule. Cette pression , continuée pendant tout le temps que dure la réun
aut, et le fait ressortir de l'autre côté : puis, par un mouvement de pression vers le talon, il prolonge en bas, d'un pouce, le
ette lame est parvenue de l'autre côté du tendon; par un mouvement de pression en sciant, la section complète est immédiatement
masse sanguine : dans le premier cas l'art agit physiquement, par la pression atmosphérique; et dans le second, le vaisseau lui
des sur une partie, en la soustrayant plus ou moins complètement à la pression atmosphérique au moyen du vide. La ventouse la pl
sation de l'air et de la vapeur alcoolique. La peau, comprimée par la pression atmosphérique extérieure, plus forte que l'intéri
té de la ventouse, d'une quantité proportionnée à la diminution de la pression . 20 Avec évacuation de sang. VENTOUSE SCARIFI
ssant l'espace et réagissant par sa tension élastique, l'équilibre de pression ne tarde pas à se rétablir, le sang ne coule plus
re de nouveau le vide, et, par des succions répétées, à mesure que la pression diminue, de remplir de sang la cavité de la cloch
plir de sang la cavité de la cloche. Cet effet obtenu, l'équilibre de pression étant rétabli, la ventouse se détache d'elle-même
agir, et pour cela les recouvrir d'un linge humide, en évitant toute pression qui pourrait les gêner ou des manœuvres inutiles
malade, il est bien préférable de les faire lâcher directement par la pression de l'ongle sur leurs ventouses orales, la main ét
bouchait les petites plaies avec de la charpie qu'il y accumulait par pression . (b) Succion. M. Ridolfo di Tacca se loue de l'
de l'usage de la ventouse à pompe, avec laquelle il exerce une forte pression sur les piqûres. Un caillot se forme immédiatemen
ulement, et ne doit agir comme suspensif qu'à l'aide d'une très forte pression qui boursoufle, renverse en dehors, et, par consé
loyés; le dernier est préférable. On ajoute 36 à son effet par la pression de la pulpe du doigt continuée une ou deux minute
le même but, une petite pince à ressort terminée par deux plaques de pression , et qui agit également bien. (e) Suture. Enfin
cuation de sang. GRANDES VENTOUSES. (Pl. 28.) Jusqu'à ce jour, la pression atmosphérique n'avait encore été employée que sur
étendu. Depuis quelques années, M. Junod a eu l'idée de faire agir la pression de l'air sur de grandes fractions ou sur la total
rte de chambre d'isolement dans laquelle est renfermé le malade. La pression peut être employée de deux manières en sens inver
partie de l'air dans l'intérieur de l'appareil ; c'est proprement la pression atmosphérique qui s'exerce de dehors au dedans :
s ; d'où l'augmentation de la tension élastique, et par conséquent la pression de dedans en dehors. mode d'action. Pression lo
, et par conséquent la pression de dedans en dehors. mode d'action. Pression locale sur les membres : 10 par le vide. En théor
rieur contenu dans une cloche appliquée à la surface d'une partie, la pression atmosphérique n'ayant pas varié sur toute l'étend
nt y affluent avec une force proportionnée à la diminution même de la pression . Ainsi donc, comme dans la petite ventouse ordina
(manomètre) dont la hauteur de mercure indique le degré en plus de la pression atmosphérique extérieure, ou, si l'on veut, le de
n atmosphérique extérieure, ou, si l'on veut, le degré en moins de la pression intérieure. 20 Par refoulement. Dans cette mani
r refoulement. Dans cette manière d'agir au contraire on accumule par pression artificielle la quantité de l'air atmosphérique c
ir atmosphérique contenu sous la cloche, et par conséquent on rend la pression de l'air intérieur condensé plus forte que celle
he et refoulés vers la masse du corps. Ainsi, en résumé, dans toute pression partielle sur les membres, le corps étant envelop
lle sur les membres, le corps étant enveloppé par l'air extérieur, la pression par le vide attire les liquides des centres circu
centres circulatoires vers la partie contenue dans l'appareil, et la pression par refoulement au contraire chasse les liquides
chasse les liquides de cette partie vers les centres circulatoires. Pression générale. D'après ce qui précède on conçoit que l
ui précède on conçoit que le corps entier étant sous le récipient, la pression par le vide appelle tous les fluides des centres
es fluides des centres vers la périphérie cutanée et muqueuse , et la pression par refoulement les accumule de la périphérie ver
ogiques. Les effets physiologiques, inverses pour les deux modes de pression , varient dans chacun d'eux suivant le degré de la
ssant pas encore déterminées par un assez grand nombre de faits. i° Pression par le vide. La pression atmosphérique exprimée
s par un assez grand nombre de faits. i° Pression par le vide. La pression atmosphérique exprimée parle tube barométrique à
étant, comme l'on sait, de 28 pouces ou 76 centimètres de mercure, la pression employée habituellement n'excède pas un neuvième
t légèreté au cerveau. Si l'effet persiste trop long-temps , ou si la pression est accrue brusquement, nausées, lipothymies, syn
l ; sensation générale de bien-être et de liberté des fonctions. 2° Pression par refoulement. Phénomènes locaux. Diminution
areil. Procédant avec lenteur et ménagement on élève graduellement la pression à 6 centimètres et peu à peu à 8 ou 9 , mais en s
ar tâtonnement le degré de tension que le malade peut supporter. La pression une fois commencée, on l'entretient par des coups
rapeutiques, étend singulièrement la sphère cle son application. i° Pression par le vide. Ses avantages ont été constatés à l'
fréquemment par l'application cle la ventouse à un seul membre. 20 Pression par refoulement. Son application la plus efficace
u'aux deux, limites extrêmes de leur action, en quelques minutes la pression par le vide peut produire la syncope par anémie d
ide peut produire la syncope par anémie du cerveau et du cœur ; et la pression par refoulement, une congestion brusque et même l
que de procéder avec lenteur et méthode en n'élevant pas trop haut la pression et surveillant l'effet général produit sur le mal
t l'effet général produit sur le malade. J'ai indiqué comme ternie de pression 8 à 10 centimètres ; j'ai vu des malades qui ne s
uspendue dans les membres. Au reste, on conçoit que l'intensité de la pression et l'étendue de la surface sur laquelle peuvent a
ture, et on exerce avec la main , appliquée en travers ou à plat, des pressions graduées, en amenant le sang des rameaux vers le
ltre dans le tissu cellulaire. Pendant ce temps l'autre main, par des pressions légères des rameaux vers les troncs, refoule le s
onction qui doit être suivi de l'élévation, mouvement de retrait avec pression par lequel on retire la lame de la plaie. Tous de
, de la ramener en dehors et un peu en haut avec le pouce; mais cette pression ne doit plus être abandonnée. Si néanmoins cett
moins cette manœuvre est insuffisante, il faut, tout en maintenant la pression , ramener le bras clans l'extension et la supinati
'accès du vaisseau ; puis on ouvre la veine au milieu, entre les deux pressions , par une incision longitudinale. Le chirurgien al
pérateur adapte prompteincut le tube métallique, chasse l'air, par la pression du piston, pour faire affleurer le sang à l'extré
du premier aide comprimant, qui, glissant de haut en bas, déplace la pression pour la reporter sur la veine et la canule. Le ch
résente à des temps différens et qui consiste à faire évacuer, par la pression , le sang qui gonfle les vaisseaux variqueux. L'év
le rapprochement. L'objet de cette opération est de déterminer par la pression une inflammation adhésive. Pour éviter la mortifi
our éviter la mortification des tissus, ce chirurgien n'exerce qu'une pression modérée et change par intervalles le lieu d'appli
qu'il en existe. Les veines étant coupées en travers, on exprime par pression le sang qu'elles contiennent et on panse à plat a
u est mobile et roulant sous la peau, on le fixe préalablement par la pression des doigts, sur le côté, pour conserver le parall
'à vingt-cinq centimètres. Vider t. vi. ensuite les veines par la pression et remplir la plaie de charpie avec interposition
bre placé comme il a été dit plus haut, reconnaître par t. vi. la pression des doigts le sillon sous-cutané, oblique en bas
récaution n'a point été prise, et faire remonter par un aide, avec la pression des deux mains à plat, la masse intestinale vet*-
les effets de l'engorgement et permet de modérer sur l'anévrisme une pression qui, trop forte, en pourrait déterminer la ruptur
dier. Pour plus de promptitude et de sécurité, on préfère, quant à la pression locale, l'emploi des compresseurs. Compression
but de la ligature étant d'obtenir l'oblitération de l'artère par la pression circulaire d'un corps étranger de petit volume, f
bre dans le serre-nœud de Desault, avec lequel on gradue à volonté la pression pendant le temps que l'on juge convenable. A. Dub
appliquée sur l'artère, et remplit ses conditions de n'exercer qu'une pression douce sur une surface un peu large, afin de ne do
nière à contondre et broyer ses deux tuniques profondes, puis, par la pression de bas en haut de l'instrument, de les refouler v
tre, un mouvement de rotation en sens inverse, auquel on aide par une pression modérée. Pour empêcher que la tige ploie, on la s
rojectiles par l'impulsion de la poudre à canon, ou enfoncés sous une pression quelconque. Si le corps étranger fait saillie au
scularité de la partie. On aide à la sortie du liquide par de légères pressions . On ne doit pas cependant, sous prétexte d'obteni
istantes). Inciser d'un même coup la peau et le kyste ; le vider, par pression , de la substance cpi'il renferme, détacher ses p
pour déchirer le tissu cellulaire, en aidant à cette manœuvre par la pression du pouce gauche ou d'un manche de scalpel. La pla
bistouri à plat, une ouverture assez considérable pour vicier, par la pression , le double kyste des petits corps blancs et du li
ans les canaux ou les aréoles du tissu vasculaire. Dès que, par cette pression , la tumeur est complètement affaissée, appliquer
t une route dans le tissu osseux en écartant et en disjoignant par la pression les lamelles qui le composent. Pour que ces ins
me un peu différente. Ces instrumens agissent toujours par une double pression , et leur force d'action est d'autant plus considé
répétés qu'on recommande au malade ont pour intention de provoquer la pression des fragmens l'un sur l'autre et par suite leur a
, il ralentit graduellement les mouvemens de rotation en diminuant la pression qu'il exerçait sur l'instrument. Il retire encore
ieurs points et que la partie osseuse circonscrite est mobile sous la pression de l'ongle ou d'un élévatoire qui déterminent alo
uvemens alternatifs de gauche à droite et de droite à gauche avec une pression convenable, on tracera une voie suffisante à la c
nécessaire de les lier : sûr du pansement, il ne faut point, par des pressions immodérées chereber à rapprocher les têtes articu
iter à la face plantaire des cicatrices sans cesse compromises par la pression et la sécrétion de la sueur, et enfin l'abondance
ranlement des os par la scie, leur écartement après l'opération,et la pression que leur pointe exerce sur la cicatrice. M. Malga
la cicatrice cen traie qui en résulte n'est plus compromise par la pression ; elle le serait peut-être davantage si elle siége
l'écoulement du pus; et les Anglais, transversalement, pour éviter la pression de la cicatrice sur le coussinet. MM. Sédillot et
nt par le toucher, à travers la peau, ou, si l'on ne le peut, par des pressions méthodiques, faites dans une direction présumée l
a pour objet de tendre la peau, a l'inconvénient de la retirer de la pression déterminée par laide et d'empêcher l'incision d'ê
un lambeau qui serait ici inférieur ou plantaire, formant coussin de pression avec la plaie linéaire en dessus. AMPUTATIONS D
, parce qu'il donnerait une cicatrice plantaire ou dans le sens de la pression . Enfin, l'amputation de Chopart peut être pratiqu
sustentation; et la cicatrice (fig. 2), quoique formant la surface de pression , n'empêche pas le malade sur lequel nous l'avons
coiffe cutanée qui laisse la ligne de réunion en arrière du sommet de pression . C'est avec raison, à notre avis, que M. Malgaign
e du membre au-dessus de la tubérosité sciatique, par un mouvement de pression en sciant descendre de huit centimètres (trois po
se rétracte beaucoup, et que, la fesse étant ramenée en avant par la pression , sur la grosse tubérosité sciatique, de la branch
ngle du bas, et un peu remontée en avant pour s'écarter des points de pression des tiges iliaque et ischiatique de la cuisse art
que les angles se rapprochent des points où, par la suite, portera la pression . La ligne de réunion déterminée ou par le choix
solément, de pouvoir chaque jour, au besoin, augmenter ou diminuer la pression sur une ligne déterminée. Quant au choix de la
sseur de la carotide, et, sur le trajet de l'artère axillaire, par la pression des doigts. COMPRESSION DES ARTERES DE LA FACE.
gmens qui glissent l'un sur l'autre, et sont maintenus par une vis de pression comme dans le' compresseur de Dupuytren , de mani
rmant avec lui une articulation orbiculaire, maintenue par une vis de pression . 4° La pelotte mobile (L), étroite et longue [fig
e, s'appuie en arrière sur le muscle triceps brachial ; la pelotte de pression , gouvernée par la vis de rappel, est appliquée su
se compose d'une seule pelotte (a), appliquée sur l'artère, la vis de pression (b), qui commande la plaque d'opposition (c), agi
double garantissent la peau de toute meurtrissure dans les points de pression . La pelotte (A) comprimant sur le pli de l'aine,
e deux segmens glissant l'un sur l'autre, et maintenus par une vis de pression , de manière à augmenter ou diminuer à volonté l'é
a voûte de cet os. Une compresse en double (L) préserve la peau de la pression directe du lacs de contension sur les tendons ext
dans un cylindre tournant (a) à l'extrémité du panneton, qui rend la pression moins dure. 5. Autre modèle. Un demi-anneau, da
ue par un mécanisme qui maintient les mors en contact, sans exiger la pression continue des doigts. 1. Pince de M. Charrière.
croisées enX, se faisant mutuellement ressort, l'instrument ouvre par pression des branches et se ferme de lui-même; un petit te
e de tous. 7. Pince maintenue fermée par un ressort que commande la pression d'un bouton. Cet instrument est d'un usage très c
re, au contraire, en action. L'artère étant saisie d'une main, par la pression sur la pince, les doigts de l'autre inain, en mêm
ibia. 4. Muscles extenseurs des orteils, déprimés en arrière par la pression de deux doigts de la main gauche de l'opérateur.
revêtu de son feuillet fibro- celluleux, décollé et maintenu par la pression des doigts, pour mettre à découvert la fosse ilia
ide faisant crochet. Ces deux surfaces se présentent bosselées par la pression des anses d'intestins. 8. Nerf iléo-scrotal, qu
monte et descend à volonté dans une rainure et se fixe par une vis de pression , sert à limiter la profondeur à laquelle doit agi
out est maintenu par une canule extérieure d'enveloppe ( d ), dont la pression rapproche les mors de la canule intérieure. Fig
le détacher. d. Main droite d'un aide qui comprime, par une double pression opposée , les vaisseaux fémoraux dans les chair
5 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
existe ; mais on constate que les muscles sont plus sensibles à la pression qu'à l'état normal et que cello-ci cause au mal
e une douleur assez vive pour qu'il demande à ce que l'on cesse les pressions . (J CLINIQUE NERVEUSE. 20 El.80°. Ka S = co
ELLE. La première méthode d'investigation s'appelle l'épreuve des pressions centripètes. Dans la deuxième, le 1 Voir les Ar
TIGE DE MHNIHRE. 25 médecin ausculte l'oreille du sujet pendant les pressions centripètes; celle-ci diffère totalement de la
thèse générale, mes procédés se résument à modifier, au moyen de pressions douces exercées sur la surface tympanique, une
nternational de Londres, 1881, t. III, p. 370.) . A. Éhreacve des pressions centripètes : Lucoe comprime l'orifice du méat
ge parle crâne à l'oreille se trouve atténué brusquement à chaque pression de la poire dont l'air comprime le tympan et to
la poussée d'air annule totalement le son, qui peut renaître, la pression cessant. Ces variations causées par les pres- s
serve aucune modifica- tion du son du diapason sous l'influence des pressions ; tantôt le son est éteint net à chaque poussée
bien il reste encore une petite distance à franchir, et la moindre pression rend l'étrier immobile; et par suite empêche le
re aussi* dans les cas où l'extinction des sons du diapason par les pressions s'observe. Une des causes les plus fréquentes d
produit. C'est dans ce cas que le plus souvent on constate que les pressions causent l'extinction nette, ou bien ne produise
vertiges s'il relève la tête et non quand il la baisse. Epreuve des pressions centripètes : Belles variations de la sensation
e; à gauche, extinction brusque du son du diapason frontal à chaque pression . En auscultant l'oreille pendant les pressions
ason frontal à chaque pression. En auscultant l'oreille pendant les pressions avec la poire à air, il y a également extinctio
enfonçure extrême, opacité et déformation du tympan. Epreuve des pressions . Al'oreille gauche, pas d'effet; adroite, aupre
us ces phénomènes spontanés ou provoqués ont totalement disparu. La pression amène la rémittence nor- male du son du diapaso
nt un claquement dans l'oreille et elle tombe étourdie. Epreuve des pressions : Nul effet ; audition nulle à droite par la vo
mber, et se retient aux meubles pour éviter la chute. Epreuve des pressions . Au premier coup, étourdissement qui dure quelq
nduit auditif et la caisse s'est vidée ainsi. Aussi l'é- preuve des pressions ne donna-t-elle plus lieu au vertige après cett
ertige. Elle est tourmentée par un balancement continuel. Par les pressions centripètes, extinction brusque du son du diapa
es os ; à droite 12 cent. et par os, très faiblement. Epreuve des pressions . Nulle à droite et à gauche ; avec l'auscultati
oite et à gauche ; avec l'auscultation transauriculaire pendant les pressions centri- pèles, rémittence du son pour l'observa
a vu par les faits cités et l'on comprend que cet accroissement de pression a lieu sous l'influence de l'accumulation de pr
nément, et a pu également être expéri- mentalement provoqué par des pressions centripètes très légères, et l'étrier seul subs
rolongée a tout détruit, hors le petit osselet resté mobile sous la pression du stylet, et sous la poussée de l'air de la po
let. 'Vertige et bourdonnements provoqués du premier coup par les pressions centripètes ; en même temps rougeur vive à la jou
le crâne. Le diapason est entendu posé sur le front. Epreuve des pressions centripètes, diapason vibrant sur la bosse fron
onne le résultat normal. Un mois après, état amélioré ; épreuve des pressions à gauche, au premier coup, extinction 32 CLINIQ
est possible ; les bourdonnements continuent encore. Épreuve des pressions : intermittences, variations nettement perçues pa
e l'étude actuelle, toutes les phases par lesquelles le signe des pressions a passé. L'immobilité constatée au début fait p
servation. Pour le diagnostic et le pronostic, les épreuves par les pressions ont une supériorité in- contestable. Observat
vertige de Ménière ; bourdonnement intense, agaçant. Épreuve des pressions . Vertige brusque au premier choc de l'air de la
tinction du son et à peine du malaise. Un mois après, l'épreuve des pressions donne des rémittences ad libiluna du son du dia
mais faible. Audition à 30 cent. à droite et à gauche. Épreuve des pressions centri- pètes, nul effet; pas de variation du s
s provoqués ; épreuve d'auscultation transauriculaire : pendant les pressions centripètes, il y a extinction nette du son pou
il a été causé une fois par une injection d'oreilles. Épreuve des pressions centripètes. Très nette, quoique faible à gauch
rvation suivante [montre avec quelle délica- tsese, au moyen de ces pressions aériennes, et des mou- vements ainsi communiqué
'apophyse mastoïde également, à droite et à gauche. L'épreuve des pressions centripètes, faites au moyen d'un tube de caout
extinction brusque du son transmis, qui repa- raît aussitôt que la pression cesse ; et cela à volonté. Ce fait est dès l'ab
ve objective. Auscultation transauriculaire excellente. Epreuve des pressions centripètes, le diapason vibrant sur la bosse f
r la bosse frontale gauche. A la première et surtout à la seconde pression , extinction nette du son du diapason indiquée par
illement et sans otorrhée cependant. A ce moment, l'épreuve par les pressions centripètes, le diapason posé au front, donne d
oix a totalement reparu de ce côté. On voit que les résultats des pressions , les variations du son qu'elles produisent, ont
e de mouvements insolites, grâce au relâche- ment de son tissu, les pressions dépassant les limites de la tension normale, ag
On peut donc analyser au moyen de ces résultats de l'épreuve des pressions , l'état anatomique des par- ties auriculaires,
aroi labyrinthique causant l'enfonçure de l'étrier, et à la moindre pression il y a extinction du son, c'est-à-dire que le m
préparées pour la démonstra- tion de ce que valent les épreuves des pressions centripètes au point de vue du diagnostic des l
vertex donne sensation maximum du côté non blessé. Epreuves par les pressions centripètes. Extinction nette à la première pou
festait suivant tous ses modes : au contact, à la température, à la pression , au chatouillement, sans qu'il y eût le moindre r
tait hors de proportion avec la taille géné- rale du malade. Par la pression on éprouvait une sensation spéciale de tissu la
boule à la gorge, serrement à l'épigastre qui devient sensible à la pression , engourdissement de toutlc côté gauche. La régi
dans l'inter- valle des attaques, devient alors très sensible à la pression . Parfois il y a des battements de coeur, des éb
ut. « Bien que la région ovarienne gauche soit très sensible à la pression , la compression ovarienne n'arrête pas l'attaque.
frontale du crâne, et l'épigastre sont en tout temps sensibles à la pression , et la malade en ressent un violent malaise. On
it dans les leçons de M. Charcot, de la compression ovarienne. La pression fut exercée sur l'ovaire gauche, à cause de la gr
euvre. D'abord la malade paraissait souffrir beaucoup, mais plus la pression était profonde, plus le soulagement devenait gr
e avait été complètement établie, j'aurais simplement augmenté la pression au lieu de la suspendre. » Dans la suite de l'o
verté- brale étaient le siège d'une hyperesthésie très accusée. La pression ou la manipulation de ces régions amenait en qu
urs fois de la même façon ou avec quelques irrégularités. Une forte pression de la région des ovaires ne parvenait pas général
lation. (Sarcomes du quatrième ventricule, du plexus choroïde, d'où pression dans l'excavation cérébelleuse, aplatissement d
Si oui, on ne peut songer qu'à des perturbations circulatoires. La pression exercée dans la cavité cérébelleuse entravera l
supérieure; car les cavernes commencent à se former là où cesse la pression croissante déterminée dans l'excavation cérébel
euse; un diverticule ne pourra donc s'étendre que par en bas, où la pression sera moindre. Mais pourquoi un diverticule ? et
ps, de la grosseur d'un fort tuyau de plume d'oie, douloureuse à la pression . Réflexes tendineux : faibles à droite, nuls à
·ürcl : . Dans un second mémoire, M. Gibney cite deux cas de com- pression de la moelle par l'apophyse odonloîdc ; le premie
ux anté- rieurs qui paraissent être le point de réflexion des im- pressions lumineuses sur le système moteur, d'après les e
is de perte de connais- sance ; céphalalgie fréquente; sensation de pression sur la tête. La marche est un peu incertaine ;
ELLL. Quand on n'obtient ni vertige, ni extinction du son par les pressions et qu'elle ne causent aucune modifi- cation du
est en droit de conclure que la platine de l'étrier n'obéit pas aux pressions , et qu'elle est immobile. Nous avons vu par les
n, l'effet est le même : le son peut passer, mais les variations de pression n'ont pas lieu; l'étrier ce- pendant est libre.
entimètres : bonne au front et à l'apophyse mastoïde. Epreuve des pressions centripètes. Le diapason est placé sur la bosse
ètes. Le diapason est placé sur la bosse frontale gauche ; à chaque pression douce de la poire : extinction du son nette, br
l'otoscope, parla déglutition ni par valsalva-épreuve. Epreuve des pressions centripètes à gauche : belles rémittences ad li
is arrivé. B. Zreuve cl'auscultation transauriculaire, pendant la pression centripète, le diapason vibrant est posé sur la b
le son qui s'écoule ainsi, pendant qu'on le modifie au moyen des pressions sur la poire à air, comme dans la première de n
et la membrane du tympan : si celle-ci obéit bien à l'action des pressions centripètes, le son entendu par l'obser- vateur
er, la caisse tympanique et la platine de l'étrier. Si, pendant les pressions centripètes, le sujet perçoit des variations da
'intensité de ce son crânien, c'est que l'étrier a subi l'effet des pressions , et qu'il est mobile ; s'il y a silence brusque
a pas bougé, qu'il n'obéit plus aux mouve- ments communiqués par la pression centripète à tout l'appareil de transmission.
ées dans l'intensité. Si l'on pouvait douter encore de l'action des pressions sur la base de l'étrier et du rôle des déplacem
ier était en place et visible, j'ai pu, dis-je, cons- tater que les pressions centripètes, qui ne causaient pas le vertige co
teur a donc pu produire à volonté toute la série des effets que les pressions centripètes, plus haut décrites, ont la faculté
pas d'amélioration de l'ouïe après cette opé- ration. Epreuve des pressions . A chaque pression sur la poire à air, le son d
e l'ouïe après cette opé- ration. Epreuve des pressions. A chaque pression sur la poire à air, le son du diapason frontal
cet accident démonstratif. Epreuve de l'auscultation pendant les pressions centripètes, le diapason vibrant sur la bosse f
les variations légères imprimées au son du diapason par le fait des pressions , mais de plus je ne lui provoque plus de vertig
ent les modifications imprimées au son transmis au moment de chaque pression d'air. L'opposition est évidente : elle indique
tre au contraire, ou tout au moins ne l'est plus assez pour que les pressions centripètes de notre expérience le mettent en j
e ; épreuve objective nette à droite et à gauche. Epreuve de Gellé ( pressions centripètes pendant que le diapason vibrant est
sans secousses. Epreuve de l'auscultation pendant qu'on exécute les pressions centripètes, le diapason étant en vib·atioa sur
ches quoique faibles du son transmis, et bien concordantes avec les pressions de la poire à air ; mais le sujet ne perçoit rien
de la gorge, la surdité reparait avec ténacité. Epreuve de Gellé, pressions centripètes au moyen de la poire de caoutchouc,
u son du diapason appliqué à la bosse frontale sous l'influence des pressions centripètes. Les variations d'intensité perçues
'auscultation du son du diapason frontal pendant qu'on effectue les pressions centripètes, sur le tympan, au moyen de la poir
perçoit en- tièrement nettes, et tout à fait concordantes avec les pressions sur la poire de caoutchouc, à droite et à gauch
s le vertige était à la fois spontané et facile à provoquer par les pressions centripètes. Dans trente et un cas, le vertige
vertige naissait spontanément et ne pou- vait être éveillé par les pressions . Dans sept autres cas, le vertige n'existait pa
rtige n'existait pas à moins d'être provoqué; dans cinq cas par les pressions , et deux fois par la douche d'air de Politzer.
Sur les trente et un cas, où le vertige n'a pas été produit parles pressions centripètes, onze fois celles- ci ont amené l'e
absence totale de modifications du son crânien sous l'influence des pressions : épreuve néga- tive. Dans les cas où les press
l'influence des pressions : épreuve néga- tive. Dans les cas où les pressions ont causé des varia- tions dans la sensation so
q cas où les variations normales ont été annoncées par l'action des pressions , et où le vertige semblait lié à des poussées c
fois que les rémittences franches, nettes et concordantes, avec des pressions centripètes très- douces, ont été notées, l'aff
rence grave, telles que certains aspects du tympan. L'épreuve des pressions permet de voir au delà, pour ainsi dire ; et l'
as de vertige des cent vingt-six observations où les épreuves des pressions ont été employées, il reste soixante-treize fai
st cu- rieux de mettre en regard des données des épreuves par les pressions centripètes dans le cas de vertige, celles qu'o
s seulement les mêmes troubles de l'audition pendant l'action des pressions centripètes ont pu être enregistrés. 186 CLINIQ
t, que j'ai pu provoquer l'ap- parition du vertige par l'action des pressions centri- pètes non seulement chez des sujets ver
ur application. Toujours est-il qu'on peut logiquement comparer aux pressions que fait l'observateur, les effets de la déglut
sses nasales. Quand le terrain est préparé, on l'a vu, une faible pression détermine la réaction vertigineuse. Cette pres-
immobilisées se trouve transformé en une sorte de manomètre de la pression sanguine : le vertige est le signe indiquant un
le vertige ou l'extinction du son crânien sont produits pendant les pressions , prouvent que c'est bien sur l'étrier que les p
pendant les pressions, prouvent que c'est bien sur l'étrier que les pressions agissent dans les expériences instituées. L'a
ériences instituées. L'auscultation transauriculaire, pendant les pressions centripètes, permet d'étudier à la fois la mobi
de vertige ne fournissent pas le même résultat sous l'influence des pressions , de même que celles-ci rendent manifestes (exti
ouleur spontanée de la région doit être cherché. Il rapporte que la pression n'a chez aucun de ces malades déterminé l'aura,
ne oophorite ou périophorite, surtout alors que l'exagération de la pression coupe un accès. La nature pure- ment nerveuse d
e s'est pas produite. XIII. Cas DE tumeur tériméningée ayant par la pression entraîné la complète disparition DE la RÉGION c
douche en jet, ou la douche de vapeur, la douche filiforme à haute pression , etc. Le service de surveillants et surveillant
Les gencives sont rouges, un peu tuméfiées, non ulcérées, et par la pression laissent'éeouler'un peu ciel'sa'ii'-T"a'u"iii\,
bord, des lausses cotes ; sa' surface parait régulière, lisse et la pression n'y développe aucune douleur. ? t '' ? .' .Jril
piqûre," en ayant bien soin de n'exercer dans ces manoeuvres aucune pression même légère surj]es''parties profondes K n'ont'
). t ni' u W ,m ? ' «' * ficaces, il faut une excitation mécanique, pression ou - 1 y t .. 11 t ' t t .' i- i < -i ? 1 ?
anées t. ·,1 t ( iii ' ? i, ... les plus légères; dans ce cas, la pression ou la malaxa- .t tion des masses musculaires, d
par des moyens plus doux, tels que les passes dites magnétiques/la pression sur lslt" pes, la pres- sion ou friction douces
ensibilité.dalos,tout,le côté^ droit. La sensibilité au tact, à. la pression , à la température, est. abolie des deux côtés.
hysionomie les. aspects les plus·divers. ,11 existe^une^douleur.àla pression ,très nette sur.iétrajetjdu pneumo-gastnque gau
c'0j'enarriôre..de l'apphyse'mastode etquon ? eveiHe[.en- 'coreà la pression dans tout le trajet cervtcat.du nerf ? OTI, ? ? i
ts'douloureux sur' le trijumeau'sbnl1 réveillés'par'la -plus'légôre pression ? 1 ? 1' ,u Il 9ulrm1 noal : nwnt`r n-t .n-i'u ?
'ciiti'iéç,°l'otôrrliéé'â'·81sprù; les points I douloureux',1 à la' pression 'du é'aù,'p'é'l" ! 31stënt'(Ioique imoins nets;
cilitée par la série de préparations suivantes : le hydrotomie sous pression uniforme pendant vingt-quatre heures; 3" hydrot
6 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ssiper qu'à la suite d'une opération qui fait disparaître la com- pression . Quant aux troubles intellectuels, ils peuvent
e clarté admirable dans son ma- gnifique ouvrage intitulé : « De la pression baromé- tique. » Là, nous trouvons les nombreus
yant lieu aussi bien pendant la compression que pendant la décom- pression , nous ne concevons pas pourquoi ces conges- tio
donner le coup de grâce à cette théorie. Elle nous enseigne que la pression barométrique n'a pas d'influence directe sur le
nfluence directe sur les liquides de l'organisme, l'équilibre de la pression existe dans toute la masse sanguine. L'incompre
tenus en simple dissolution dans le sang, doivent augmenter avec la pression , et si la compression a duré suffisamment longt
de chacun de ces gaz absorbée par le sang soit proportionnelle à sa pression dans l'air condensé où l'on respire. Dans l'éta
fort d'autant plus grand, à séjour égal dans l'air comprimé, que la pression qu'on aura subie était plus considérable. C'est
que des tissus extérieurs qu'il expose ainsi : « L'accroissement de pression du milieu nm- 86 . CLINIQUE NERVEUSE. biant p
sus se condensent, mais ils résistent dans une certaine mesure à la pression extérieure, et en neutralisent une fraction. La
esure à la pression extérieure, et en neutralisent une fraction. La pression subsistante condense les couches placées au-des
ties centrales, les tissus sont de moins en moins condensés, et les pressions de plus en plus affaiblies. Mais le sang conten
ns tous les sens, à toutes les profondeurs et presque également, la pression extérieure, Par conséquent, dans tous les point
de ses vaisseaux de dedans en dehors, et tendant à les dilater, une pression presque égale à la pression qu'il supporte exté
n dehors, et tendant à les dilater, une pression presque égale à la pression qu'il supporte extérieurement. « Pour résiste
vaisseaux, chaque tissu a sa résistance propre, et la fraction de pression extérieure qui a pu se propager jusqu'à lui à t
u- tant plus grande que les tissus sont plus profonds, puisque la pression extérieure transmise aux tissus par les tissus
séquent, dilatation des vaisseaux dans les tissus profonds, où la pression venant de l'extérieur est faible; diminution du
du calibre des vaisseaux dans les couches superfi- cielles où la pression extérieure est forte, tout cela dans une mesure
I libre soit partout rétabli. A chaque nouvel accroisse- ment de pression ; il se produit un effet analogue; une nouvelle
r le fait, que les accidents n'éclatent qu'au moment de la décom- pression , supposent que « la transition soudaine d'un ai
t ayant leurs vaisseaux protégés de même, ne peuvent pas céder à la pression atmosphérique, aussi facilement que les parties
les plus élastiques. Ainsi le cerveau, quand l'ouvrier est sous une pression excessive, ne peut, si cette pression est enlev
quand l'ouvrier est sous une pression excessive, ne peut, si cette pression est enlevée de la surface, s'accommoder à cette
modification aussi rapi- dement que les autres organes ; l'excès de pression sur le cerveau et la moelle doit s'en aller par
anguins sont creusés rend cette issue plus pénible, et l'excès de pression se porte sur les délicates parties nerveuses, '
ession. Le volume de l'abdomen deviendra quatre fois moindre, si la pression est de quatre atmosphères. Alors la paroi est d
même à sa contractilité et, par suite, à diminuer dans l'abdomen la pression qui avait été équilibrée par ce refoulement de
ominale en sens inverse, vont faire subir aux organes du ventre une pression positive qui expul- sera le sang emmagasiné dan
le sang d'un homme qui est resté pendant plusieurs heures sous une pression de quatre atmos- plières doit donc renfermer un
t cet acide carbonique dissous reviendra à l'état gazeux dès que la pression extérieure diminuera. Si la décompression se fa
bo- nique, et aucun accident ne se manifestera; mais si la décom- pression est brusque, l'acide carbonique tendra à faire ir
gestif, on voit qu'au sur et à mesure que l'animal est soumis à une pression de moins en moins forte, des bulles de gaz s'éc
nt au dégagement de ces bulles les accidents dus à la diminution de pression . Oh ne peut en effet qu'admirer le passage suiv
léchis que (comme je l'ai démontré expérimentale- ment ailleurs) la pression de l'atmosphère et l'élasticité de l'air agisse
pe -, qui, après avoir fait un grand nembre d'expériences sur des pressions de moins en moins fortes afin d'expli- quer les
u gaz dans l'intérieur des vaisseaux par une rapide diminution de pression . Il n'en est pas de même chez les amphi- bies.
agérée des gaz libres, en dissolution dans le sang, par suite de la pression considérable à laquelle les plongeurs peuvent êtr
t d'un casque métallique fixé sur la collerette de ' Mémoire sur la pression atmosphérique, dans ses rapports avec l'or- nan
outis- sant à l'arrière du casque. Rien ne règle ni le débit, ni la pression de l'air injecté dans l'enveloppe. Il en résult
s de gaz libres à l'état de solution, l'absence de régulateur de la pression doit même souvent faire que l'atmosphère de l'e
doit même souvent faire que l'atmosphère de l'enveloppe soit à une pression , plus grande qu'il n'est nécessaire. L'homme es
ux que dans le système artériel en cas de changements brusques de pression . Maintenant nous arrivons à une deuxième questi
- finie d'un gaz quelconque en dissout un volume qui, ramené à la pression de cette atmosphère, est pour une température d
gaz dissous pour un volume donné de liquide est proportionnel à la pression que le gaz non dissous exerce sur le liquide ».
eurs gaz, l'eau dissout chacun d'eux comme s'il était isolé avec la pression qu'il possède dans le mélange. Mais lorsque ces
s aux lois énoncées de solubilité des gaz, car jusqu'à une certaine pression , il se combine avec l'hémoglobine et, à des pre
à une certaine pression, il se combine avec l'hémoglobine et, à des pressions 108 CLINIQUE NERVEUSE. plus élevées, la propo
de l'oxygène dissous dans le sérum loin d'être en rapport avec les pressions ex- térieures augmente à peine, avec une extrêm
ine, avec une extrême lenteur et d'une façon variable pour une même pression . -«Un ouvrier, dit Paul Bert, qui travaille à l
une même pression. -«Un ouvrier, dit Paul Bert, qui travaille à la pression de 2 à 5 atmosphères n'a pas beaucoup^ plus d'o
atmosphères n'a pas beaucoup^ plus d'oxygène dans son sang qu'à la pression normale. « Si cependant la pression est suffisa
oxygène dans son sang qu'à la pression normale. « Si cependant la pression est suffisante, l'augmentation de l'oxygène abo
« La proportion de l'acide carbonique, en cas d'augmentation de la pression barométrique, peut augmenter parfois, mais dans
aux lois. de l'équilibre et subit en conséquence les changements de pression extérieure. » Donc il est bien établi que la pl
é des gaz repasse à l'état libre lors des change- ments brusques de pression . Cette conclusion est confirmée aussi par le fa
bre est constituée par de l'azote, si on soumet des animaux à des pressions élevées d'un air très pauvre en azote et qu'on
de pus dans la partie interne de la plaie qu'on fait sourdre par la pression . Le pus siège évidemment sous l'aponévrose cell
eparaît ainsi que la douleur de la jambe. Rou- geur et douleur à la pression au niveau du creux poplité. Issue abondante de
s expirations sont diminuées. Le pouls devient plus fréquent, et la pression artérielle paraît plus élevée qu'à l'état norma
ent; 5° une paralysie radiale, passagère sans doute due à la com- pression ; 6° rupture d'une artériole athéromateuse due à
pour arrêter immédiatement l'lié iiio ie et limiter ainsi la com- pression produite par le caillot. (Analyse du British médi
(après avoir vu double pendant l'été de 1886) une sensation d'op- pression dans la région stomacale, des nausées, de temps à
atées chez les animaux de différentes espèces, soumis à de fortes pressions . C'est ainsi que les oiseaux peuvent supporter
ainsi que les oiseaux peuvent supporter les changements brusques de pressions excessivement fortes bien mieux que les mammifè
sentées par les animaux des différentes espèces soumis à de hautes pressions , c'est principalement sur l'ob- servation chez
-) 11 1 que plus la profondeur est grande, autrement dit, plus la pression est forte, plus de gaz d'après la loi de Dalton
ée ici à titre d'élément étiologique, car le même temps de décom- pression a été employé par ce plongeur pour toutes les p
si ce n'était la grande profondeur en d'autres termes la très forte pression , la décom- pression brusque ne jouerait pas son
e profondeur en d'autres termes la très forte pression, la décom- pression brusque ne jouerait pas son rôle pathogénique a
ne s'était pas dissous une grande quantité de gaz pendant la forte pression de 32 brasses, il ne se serait pas dégagé penda
du séjour. La profondeur aussi bien que la rapidité de la décom- pression ne peuvent être acriminées en aucune façon, car
\Ill un chien périr assez rapidement en sortant de l'appareil où la pression de six atmosphères avait été entretenue pendant
es, même durée du séjour huit à dix minutes, même temps de décom- pression sans accident, de sorte que ces trois élé- ment
asses de pro- fondeur, 15 minutes de séjour et 1 minute de décom- pression , et cependant les six immersions antérieures qu
l'élimination DE L'EXCÈS DE GAZ DEVENUS LIBRES LORS DE LA DÉCOM- PRESSION . Les quatre éléments étiologiques que nous veno
s de gaz, qui s'effectue progressivement au furet à mesure que la pression devient de moins en moins forte. Cette éliminat
mpression, soit la durée de séjour, soit la rapidité de la décom- pression comme causes possibles de cet accident, car le
i à la durée du séjour de dix minutes, ni à la rapidité de décom- pression de 1 minute. Un coup d'oeil en effet, jeté sur
ession, ou par la durée du séjour, ou parla rapidité de la décom- pression , car le plongeur à scaphandre qui en a été atte
entdelasensibilité cutanée. Ord explique tous ces phénomènes par la pression du liquide muqueux sur les racines des cheveux,
cuisses peu mobiles, oedème des pieds ne conservant pas de trace de pression , la peau pâle, à teinte gris-blanchâtre, même u
peuvent produire certains phénomènes hypnotiques, par exemple la pression des muscles ou des nerfs produisant la contractur
née qu'il s'agit, selon Schiff. La sensibilité à la douleur et à la pression est conservée. Cette ataxie motrice des extrémi
bral ; seulement, outre la sensibilité tactile, la sensibilité à la pression , la thermoesthésie, le sens musculaire, lui ava
s l'écorce, mais sans 1 Schiff attribue ces troubles des sens de la pression et de la tempéra- ture, qu'il n'a pas observés,
che de la ligne médiane. Douleurs spontanées après les attaques. La pression donne des picotements sans irradiations ; 2° au
au niveau du vertex : douleurs spontanées api les attaques : par la pression , ii radiations douloureuses vers le front; une
es : par la pression, ii radiations douloureuses vers le front; une pression plus forte détermine des étourdisse- ments; 3°
e dorsale ; parfois douleurs spontanées après les attaques : par la pression picotements sans irradiations. La sensi- bilité
ternum ;- 3° un autre point des deux côtés au niveau des flancs. La pression serait plus douloureuse à droite et déterminera
ureux dans la région correspon- dant aux ovaires chez la femme ; la pression détermine une dou- leur irradiée vers l'épigast
leur irradiée vers l'épigastre en déterminant une sensation d'op pression . Le point abdominal est plus douloureux à droite.
'op pression. Le point abdominal est plus douloureux à droite. La pression des testicules détermine des irradiations doulou-
ence que cette enflure myxoedémateuse ne retient pas la trace de la pression du doigt, parfois cette trace après pression du
t pas la trace de la pression du doigt, parfois cette trace après pression du doigt apparaît aux jambes, mais en revanche, i
as. La peau était froide et sèche au contact. L'enflure cédait à la pression du doigt, mais dès qu'on ôlait le doigt, toute
la pression du doigt, mais dès qu'on ôlait le doigt, toute trace de pression dispa- raissait de suite. Du côté du coeur, rie
vie; mais la gaine, 436 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. cédant à la pression , ne tarda pas à se rompt et le sang se répan- d
névrite optique des affections cérébrales à une augmentation de la pression intracrânienne qui, compri- mant les vaisseaux
tranglée ne participe pas d'un élément inflammatoire, mais c'est la pression intracrânienne qui, en déterminant de l'hy- dro
ultiples coïncidant maintes fois avec des accidents de même nature ( pression ) et de même allure du côté de l'encéphale, et n
oulsen excitant le centre- du pneumogastrique et diminuent ainsi la pression sanguine. M. Bartels. Des néologismes des alién
rébrale ,arrêt des hémorrhagies de l'artère --moyenne par la com- pression de la carotide primitive), par Horsley, 147.
7 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
est tantôt mou et fragile, se rompant sous l'influence de la moindre pression et laissant échapper un sang dont les caractères
du rachis, et je faisais remarquer à ce propos que l'influence de la pression exercée sur les parties qui supportent le poids d
de; elle disparaît en tout cas, momentanément, sous l'influence de la pression du doigt. Le lendemain ou le surlendemain, une ta
abord 2 ou 3 centimètres, est indélébile; elle ne s'efface pas par la pression ; à son niveau, l'épidémie se déchire bientôt, ou
étaient devenus très friables et se divisaient sous l'influence de la pression , en très petits fragments. Le liquide abondant qu
ténues, sont disposés à se rompre très facilement sous l'effort de la pression du sang. 111. Une fois constituées, les néo-m
intermédiaire, cèdent facilement et se déchirent sous l'effort de la pression sanguine ; d'autant mieux que, dans certains cas,
arties tuméfiées offraient une consistance ferme, comme lardacée ; la pression des doigts n'y laissait pas d'empreinte. Le tégum
es caractères de l'œdème, il était dur, résistant, ne cédail pas à la pression des doigts et n'en conservait pas l'empreinte.
ée des cataplasmes. Aucune douleur spontanée ou provoquée soit par la pression exercée sur les parties gonflées, soit par les mo
, sans traces d'cedème, sans rougeur. D'ailleurs, pas de douleur à la pression non plus que par les mouvements spontanés ou prov
r iourdement. Aux membres inférieurs, les sensations de contact, de pression , de température sont amoindries, mais non complèt
luisante. Les parties gonflées n'étaient nutlement douloureuses à la pression : elles présentaient une consistance dure, et M.
nesthésie presque complète aux membres inférieurs : les contacts, une pression même très forte ne sont pas perçus. Le malade sen
filtration d'une nature spéciale et non pas l'œdème ordinaire, car la pression des doigts n'y laissait pas auprès d'elle des tra
eine après l'accident, de telle sorte que l'influence mécanique de la pression ne saurait être considérée ici cme comme une circ
nre ne se révèlent guère que sous l'influence des mouvements ou de la pression exercée sur les membres ; ou si elles se montrent
parfois spontanément, elles sont néanmoins toujours exaspérées par la pression ou les mouvements ; elles dépendent d'une inflamm
lésion encéphalique. En ce qui concerne les douleurs exagérées par la pression qui, dans les mêmes circonstances, occupent fréqu
des gros troncs nerveux, et sont exaspérées très manifes-ment par une pression exercée sur la partie interne du bras, en dedans
ccupent le corps des membres et qui sont rendues plus vives par une pression exercée sur le trajet des gros troncs nerveux. A
s douleurs qui occupaient le corps du membre et s'exaspéraient par la pression exercée sur le trajet des cordons nerveux. Les mu
bjets de fer n'agissaient pas simplement par leur température, par la pression qu'ils déterminaient, etc. ; d'ailleurs, aucun au
contraction des muscles qu'il innerve. Ainsi, il suffit (l'une légère pression faite en avant du lobule de l'oreille, au point o
phénomène se manifeste. Dans une période d'accalmie, il suffit d'une pression subite sur cette région ovarienne pour produire u
énomène en question est mis en évidence en excitant mécaniquement par pression , à l'aide d'un bâton, d'un manche de plume, par e
, soit dans l'état cataleptique, en exerçant sur le vertex une simple pression ou une friction légère. Cet état paraît correspon
e usage que de l'excitation purement mécanique, telle que le choc, la pression , la malaxation, le massage. Nous avons écarté à d
nomène sont quelque peu changées. Le choc n'agit plus seul, la simple pression produit des effets un peu différents, mais égalem
esser la contracture d'un même coup partout à la fois, au moyen d'une pression légère de la région ovarienne droite, sans pour c
cela amener la cessation du sommeil; ce qui eût été inévitable si la pression avait été énergique. Un choc répété sur les ten
bilité réflexe existe à un haut degré, un seul choc suffit. Alors, la pression sur le tendon conduit au même résultat, ainsi que
mécanique du tendon, tels que la malaxation, la friction et la simple pression . Ces manœuvres, que nous allons étudier maintenan
—Effets de l'excitation tendineuse par malaxation, friction ou simple pression , Chez les sujets peu sensibles nous avons vu pa
t à un haut degré l'hyperex-citabilité neuro-musculaire que la simple pression du tendon fait merveille, et est douée d'une effi
qui est obtenue par le même procédé pendant la veille, tandis qu'une pression , si peu prolongée qu'elle soit, ne saurait produi
tendineuse, non seulement le choc n'est pas nécessaire mais la simple pression est beaucoup plus efficace. D'où il suit égalemen
tambour myogra-phique est appliqué sur le corps du grand palmaire. La pression sur le tendon est très modérée et le signal Marce
choc et qu'elle débute moins brusquement. Fig. 7. — Contracture par pression légère exercée sur le tendon pendant la léthargie
almaire. S, Signal électrique indiquant le moment et la durée de la pression . Au dos de la main, l'expérience offre encore u
est possible. Cette sorte de friction peut être considérée comme une pression qui se déplace et s'exerce ainsi successivement s
i successivement sur différents points de la longueur du tendon. La pression peut être brusque ou graduelle. Les effets de l
don. La pression peut être brusque ou graduelle. Les effets de la pression graduelle sont démontrés dans l'expérience citée
s l'expérience citée plus haut et accompagnée du tracé (Fig. 7). La pression brusque se rapproche du choc et tient, en quelque
cture se produit plus rapidement et plus brusquement. Il s'agit d'une pression brusque exercée sur le tendon du grand palmaire.
n du grand palmaire. Le signal Marcel Despretz indique la durée de la pression . Nous pouvons conclure de ce qui précède que la
ui suit le choc sur le tendon et celle qui est obtenue par une simple pression exercée au même point, sont des phénomènes de mêm
des nerfs ou le corps du muscle lui-même. Fig. 8. — Contracture par pression brusque sur le tendon pendant la léthargie G P.,
maire. ,S., Signal électrique indiquant le moment et la durée de la pression . § IL Excitation des nerfs. L'excitation méca
'atteindre sûrement. Son excitation mécanique au moyen d'une simple pression faite avec le doigt, ou indifféremment avec l'ext
t l'abduction. L'expérience a montré que la malaxation ou la simple pression des masses musculaires amenait la contracture des
xercer une friction sur le corps du sterno-mastoï-dien, ou une simple pression sur un point de ses fibres, pour que ce muscle en
perposition de plusieurs muscles, de sorte qu'il est difficile que la pression d'un muscle superficiel ne retentisse pas sur les
ces nous ont donné des résultats forts précis. Lorsque, par la simple pression avec l'extrémité mousse d'un petit bâton, on cher
ples feront bien comprendre : En comprimant un muscle superficiel, la pression , pourvu qu'elle soit un peu intense, se communiqu
brides aponévrotiques qui les relient. Il est impossible, lorsqu'une pression assez forte est exercée au niveau des espaces int
sont également susceptibles d'être excités mécaniquement. Une simple pression , exercée directement sur le muscle lui-même ou su
anique, dans les cas d'hyperexcitabilité neuro-musculaire, lorsque la pression exercée dépasse certaines limites qui varient sui
sujet: 1° La localisation la plus exacte est obtenue à l'aide d'une pression modérée, pratiquée avec l'extrémité arrondie d'un
° La contraction du muscle cesse le plus souvent en môme temps que la pression . Elle persiste quelquefois très peu de temps aprè
on, l'action produite ne tarde pas à s'épuiser. Tout en maintenant la pression à un degré égal sur le point qui a provoqué la co
malade hypnotisée, l'excitation de ces mêmes muscles, par une simple pression exercée sur les points d'élection, nous a donné l
: La contraction isolée du Frontal est très facile à obtenir par la pression du point (Fig. 16, 1) qui correspond au nerf fron
ssion du point (Fig. 16, 1) qui correspond au nerf frontal, ou par la pression portée sur un point quelconque du muscle (Pl. V,
: le petit doigt de la main droite est placé dans l'extension par la pression sur le point moteur désigné sur. la figure 15, 6.
eu et a repris l'attitude normale du relâche-chement musculaire. La pression sur la masse des muscles de la région postérieure
mains reposant sur une table, la face dorsale regardant en haut. La pression légère du tendon du médius de la main droite au-d
ndons, par la malaxation musculaire et par l'excitation des nerfs. La pression du nerf cubital en arrière de l'épitrochléc contr
ocs, et l'on voit la contracture s'accentuer graduellement. La simple pression sur le tendon est impuissante. 3° L'hyperexcita
l'endormir de nouveau. On y parvient cependant sans difficulté par la pression des globes oculaires. Le même état hémiparalytiqu
neuro-musculaire. 31 janvier 1881. C... s'endort facilement par la pression sur les globes oculaires et su? les tempes. L'éta
ée peut être obtenue par la malaxa-tion des masses musculaires, et la pression des nerfs. D'ailleurs les résultats que l'on obti
a piqûre, — en ayant bien soin de n'exercer dans ces manœuvres aucune pression même légère sur les parties profondes — n'ont qu'
solument négatif. Une excitation plus légère, comme le frôlement, une pression modérée, pourvu que l'on ait soin d'isoler le poi
rs dans leur chemin vers le'centre nerveux. Lorsqu'à la suite de la pression du nerf cubital au coude, par exemple, la contrac
anées seules demeurent inefficaces, il faut une excitation mécanique, pression ou malaxation qui intéresse les parties sous-cuta
'influence des excitations cutanées les plus légères; dans ce cas, la pression ou la malaxation des masses musculaires, des nerf
e par des moyens plus doux, tels que les passes dites magnétiques, la pression des tempes, la pression ou friction douce sur les
ux, tels que les passes dites magnétiques, la pression des tempes, la pression ou friction douce sur les globes oculaires. Son i
sissants. En effet, quand, elle existe, en excitant mécaniquement par pression à l'aide d'un petit bâton, d'un manche de plume,
résultats de l'expérience citée plus haut doivent être attribués à la pression exercée sur le muscle gaslrocnémien et non pas au
iction sur les antagonistes, le massage général du muscle, une légère pression sur les tendons. Si, malgré cela, la contracture
xcitation est variable : on peut employer le massage, la friction, la pression soit avec la main, soit avec une bande élastique
ent de la contracture léthargique peut nécessiter au commencement une pression des masses musculaires énergique et prolongée pen
ts hystéro-gênes, grandes attaques). On cherche à l'hypnotiser par la pression sur les yeux ; la malade s'endort en léthargie, e
es yeux à la faire passer en catalepsie, mais on ne peut y réusir. La pression sur le vertex fait passer la malade de la létharg
on de la contracture par les manœuvres que nous avons déjà signalées ( pression avec les mains, avec une bande élastique, etc.) ;
s dilatations anévrysmales dont l'une a éclaté sous l'influence de la pression . Fig. 4. — Anévrysme miliaire qu'on a fait écla
pression. Fig. 4. — Anévrysme miliaire qu'on a fait éclater par la pression et qui montre son contenu coagulé. ijmnbui .-ou
—, p.321,325,329 ; — effet de 1' — par malaxation, friction et simple pression ,, p. 332. T ét an î s ait o n parcourants indui
8 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
ie, recevant un ballon de la seconde. Si, dans ces circonstances, une pression vient à être exercée sur les différents ballons,
es. Il semble plutôt que les facettes sont produites par une sorte de pression que les calculs, entassés dans la vésicule, exerc
cul engagé dans cet étroit conduit. Il y progresse surtout grâce à la pression exercée par la tunique musculeuse, sou-vent hyper
le calcul est parvenu dans le canal cholédoque, il faut y ajouter la pression exercée par la bile constamment sécrétée par le f
il faut d'ordinaire trois jours pour que l'ictère soit cons-titué. La pression à laquelle est soumise la bile dans les con-duits
déchirant, la mu-queuse des conduits biliaires, soit en augmentant la pression dans le système des voies biliaires; — b) de déte
ouchon est souvent éliminé et l'obs-tacle franchi à l'aide de simples pressions exercées sur la vésicule (Gehrardt. — Volkmann's
mps que l'effacement des espaces et des fissures, un des effets de la pression réciproque que subissent les di-vers lobules engl
llules semblent disparaître sous l'influence en partie au moins d'une pression qui s'exerce dans toutes les directions. Les ce
des parties aqueuses de l'urine : l'un d'eux consiste à dimi-nuer la pression artérielle dans le rein, soit par une saignée abo
ariantes de la précédente. On peut contrebalancer l'influence de la pression sanguine jusqu'à l'annihiler, en augmentant la pr
fluence de la pression sanguine jusqu'à l'annihiler, en augmentant la pression en sens con-traire qui se fait dans les canalicul
ronique. Charcoï. Œuvres complètes, t. vi, Maladies des reins. 22 pression exercée sur un point limile du lube par le tissu
ctionnent encore (la quantité de sang restant d'ailleurs la même), la pression du sang sur les parois artérielles et sa vitesse
loïdes ne traversent pas les membranes, tandis que, par le fait d'une pression plus forte, elles diffusent au moins en petite qu
ë ; l'insuffisance mi traie qui en résulte a pour effet d'abaisser la pression cardiaque ; en outre, par le fait de la fièvre, i
l'un des reins. Par l'artère émulgente on in-jecte sous une certaine pression un liquide quelconque. Ce liquide s'écoule à la f
me dans les conditions normales. Si en ce moment, dans l'uretère, une pression équivalant à 35 millimètres de mercure vient à êt
'est plus facile à expliquer que ce premier temps de l'expérience. La pression artérielle est supprimée en même temps que l'appo
e, y apporte de nouveau le matériel de sécrétion en même temps que la pression normale s'y rétablit. Et cependant, la sécré-tion
est ainsi, carie matériel de sécrétion est là toujours présent, et la pression artérielle ne cesse de s'exercer sur les parois d
Ici encore, M. Ileidenhain oppose sa théorie à celle de Ludwig. La pression persiste dans le glomérule, mais un nou-vel éléme
e, que la diminution de Vitesse intervient ici. Le sang artériel sous pression , arrêté au milieu des tissus, perd bientôt ses qu
pine. — Albuminurie latente. Théorie mécanique : Augmentation de la pression sanguine intra-gloméru-laire. — Diminution de la
ation de la pression sanguine intra-gloméru-laire. — Diminution de la pression . — Artériosténose et phlébosténose. — La pression
— Diminution de la pression. — Artériosténose et phlébosténose. — La pression n'est pas l'élément physique le plus propre à fav
e dans le sang. D'autres invoquent une augmentation momen-tanée de la pression artérielle. Ce sont là deux hypothèses fort diffi
nt dans les vaisseaux de cet organe, une modification par excès de la pression sanguine. Cette théorie courante, si l'on peut
aujourd'hui bon nombre d'auteurs, l'albuminurie à une augmentation de pression survenue dans le glomérule, soit par le fait d'un
'albuminurie, et que dans les cas où il y a à la fois augmentation de pression (-f- P) et albuminurie), il y a toujours interven
'un autre côté, il est des cas où très certainement l'augmentation de pression ne peut être invo-quée. L'albuminurie survient al
albuminurie survient alors dans des conditions où l'abaissement de la pression glomérulaire (— P) est évidente. Les cas du der
l'ordre de chose établi, ait cru devoir substituer à la théorie de la pression augmentée, comme cause d'albuminurie, ce qu'on po
comme cause d'albuminurie, ce qu'on pourrait appeler la théorie de la pression diminuée. M. Riineberg se base d'abord sur des
es et des émulsions, en général, est d'autant plus abondante que la pression à laquelle est soumise la substance à filtrer s'a
thélium de la membrane de Descemet, en pleine vitalité, même sous une pression de 208 mm. de mercure, empêche la pénétration dan
à établir, contrairement à l'opinion dominante, que la diminution de pression sanguine dans le glomérule du rein, au même titre
averser par une proportion plus considé-rable de transsudats quand la pression du sang augmente dans ces vaisseaux. Ainsi, en de
de fois citée d'Overbeck, il ne peut s'agir d'une augmentation de la pression sanguine à l'intérieur du glomérule. En effet, dè
P ?—• V (P signifiant pres-sion, et V vitesse) ; c'est-à-dire que la pression sanguine diminue dans le glomérule en môme temps
il y a stase sanguine absolue ou relative, mais sans augmentation de pression . 2° Si, d'un autre côté, nous considérons lapht
aissons que, contraire-ment à ce qui a lieu dans le cas précédent, la pression est augmentée dans le glomérule, car, on doit adm
tandis que, de l'autre, aucune modification n'étant survenue dans la pression cardiaque, le sang continue à-affluer dans le glo
accompagne la polyurie n'est pas la consé-quence de l'augmentation de pression survenue dans cer-tains glomérules, ceux qui sont
-rectement sur le cœur, en entravant la petite circulation. Alors, la pression artérielle s'abaisse et la pression veineuse s'él
la petite circulation. Alors, la pression artérielle s'abaisse et la pression veineuse s'élève. Une expérience d'Overbeck est,
strument est parvenu à destination. Lorsque l'ex-périence réussit, la pression tombe rapidement de 137 m. m. de mercure à 22 m,m
rines deviennent rares et albumineuses. On peut admettre ici que la pression augmente dans le système veineux du rein ; très c
lles sont dans la phlébo-sténose sans abaissement de la xraleur de la pression cardiaque. En tout cas, un élément sur lequel il
on de l'albumine et la diminution de la pres-sion artérielle. Plus la pression diminue, plus les urines sont rares et albumineus
favorable pour le reflux du sang veineux. Il est donc probable que la pression est diminuée dans le glomérule, malgré la stase v
rie, ce n'est, je le répète, ni l'augmentation ni la diminution de la pression sanguine intra-glomérulaire qu'il faut incriminer
e con- trairement à un préjugé très répondu, une augmentation de la pression sanguine dans le système artériel, alors même qu'
ésentée par la suivante : formule -f- P + V ; ce qui veut dire que la pression collatérale est augmentée en même temps que la ci
orte prévoir ce qui devra survenir. En raison de l'augmentation de la pression latérale (+ P), la sécrétion de l'eau urinaire de
devra faire défaut. Ainsi sont les choses en réalité. Donc, quand la pression du sang dans le glomérule est accrue et que la ci
ccasion d'y revenir. b) Par contraste avec les cas dans lesquels la pression s'é-lève dans le système aortique, je vais mainte
ve dans le système aortique, je vais maintenant considérer ceux où la pression s'abaisse dans ce système, en même temps qu'elle
on. Lorsque cela est fait, l'animal tombe dans un état syncopal et la pression artérielle s'affaisse rapidement de 137 milim. Hg
ie du sang veineux. Mais l'action du cœur persistant telle quelle, la pression artérielle n'est en rien modifiée, et en conséque
en conséquence le sang, retardé dans son cours, s'accumule sous forte pression dans le glomérule (—V H- P)- Les circonstances,
rtérielle, ne se trouve pas accumulé dans le glomérule sous une forte pression . Sans doute par le fait de la diminution de la pr
ous une forte pression. Sans doute par le fait de la diminution de la pression artérielle, la pression s'élève dans les veines,
Sans doute par le fait de la diminution de la pression artérielle, la pression s'élève dans les veines, mais non pas autant qu'e
e, dans ces cir- constances, l'état d'asystolie s'étant déclaré, la pression sanguine baisse dans le système artériel, et que
ineuses. Si, au contraire, par l'effet d'une médication appropriée la pression se relève, on voit dans le même temps les urines
e albumineuses. Mais si, par suite d'une circons-tance quelconque, la pression artérielle vient encore une fois à s'abaisser, l'
es où le cours du sang à l'intérieur du giomérule se ralentit, que la pression soit d'ailleurs plus élevée ou, au contraire, moi
déjà émise, que la circulation du sang ne s'y fait pas sous une forte pression . Quoi qu'il en soit, je tiens à vous faire rema
si la lésion peut persister, alors que, par suite du relèvement de la pression aorliquc, l'albuminurie a depuis longtemps dispar
enfants, etc. Ici, la stase veineuse dans le glomé-rulc, sous faible pression , nous paraît pouvoir être invoquée comme la cause
pine. — Albuminurie latente. Théorie mécanique : Augmentation de la pression sanguine intra-gloméru-lairc. — Diminution de la
ation de la pression sanguine intra-gloméru-lairc. — Diminution de la pression . — Artériosténose et phlébosténose. — La pression
— Diminution de la pression. — Artériosténose et phlébosténose. — La pression n'est pas l'élément physique le plus propre à fav
lbuminurie latente, 428 ; Théorie mécanique, 428 ; — In-fluence de la pression et de la vi-tesse sur l'albuminurie, 429, 435;
9 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
se brisent par les plus légers efforts; le poids du corps, la moindre pression extérieure, l'action de se retourner dans son lit
z l'adulte. Or, pour les os, le défaut d'exercice, c'est Le défout de pression , de traction, de frottement. Lorsqu'un individu
l'un de l'autre, la réunion osseuse est empêchée; 2° par Y absence de pression suffisante de l'un des fragmens contre l'autre, c
les deux faces correspondantes du cylindre osseux. i° Le défaut de pression des fragmens l'un contre l'autre peut-il être inv
acapsulaires du col du fémur? Mais d'abord il faudrait prouver que la pression des fragmens l'un contre l'autre est une conditio
utre est une condition de consolidation; et dans l'hypothèse où cette pression serait nécessaire, je dis qu'elle existe à un plu
se déforme presque constamment, de même que la cavité cotyloïde ; les pressions , les frottemens n'ayant plus lieu, suivant la dir
uvent sur cette tête lorsqu'elle est soumise à un frottement ou à une pression de la part du fragment inférieur? Le ligament ron
e, et qui, pour être la suite d'une attitude vicieuse du fœtus, d'une pression exercée sur le fœtus, n'en est pas moins une viol
son, i° que les luxations congéniales du fémur sont le résultat d'une pression , d'une violence extérieure, subie par le fœtus da
d'une violence extérieure, subie par le fœtus dans la cavité utérine, pression , violence extérieure qui sont de même nature que
e de conformation, connu sous le nom de pied-bot main-bot ; que cette pression a pour résultat non le déchirement, mais l'allong
e; une traction légère peut allonger le membre, comme aussi une forte pression , dirigée de bas en haut, peut opérer un raccourci
se, susceptibles d'être réduites ou plutôt flétries par l'effet d'une pression graduelle,susceptibles d'augmentation, de tension
ltoïde, une tumeur qui entourait l'humérus, tumeur très sensible à la pression , donnant au bras le même aspect que, s'il était l
i occupaient la continuité des membres, qui n'augmentaient pas par la pression , mais s'exaspéraient par les mouvemens, et qui n
es qui ont agi dans les premiers temps de la vie intra-utérine. Si la pression et l'immobilité des surfaces articulaires sont ap
ève en quelque sorte jusqu'à l'état normal; on conçoit que la moindre pression exercée sur des organes aussi délicats doive atro
qu'à l'état embryonaire, et il ne répugne nullement d'admettre que la pression exercée sur l'ovule fécondé par la partie étroite
orrespondent de telle manière qu'elles exercent l'une sur l'autre une pression considérable et anormale, par suite d'une positio
ma manière de voir, la monopodie ou sirénie serait le résultat d'une pression à laquelle auraient été soumis les membres inféri
ion des membres inférieurs autour de leur axe, et leur fusion par une pression latérale, peuvent être l'effet d'une seule et mêm
monopodie peut très bien s'expliquer par une cause mécanique, par une pression latérale exercée sur le bassin et sur les membres
térale exercée sur le bassin et sur les membres inférieurs; que cette pression latérale survenant à une des premières époques de
e ou dans le passage du germe fécondé à travers la trompe), que cette pression latérale, dis-je, détermine la fusion des membres
e, détermine la fusion des membres ; que, suivant les degrés de cette pression , la fusion sera plus ou moins complèle, avec ou s
l'inversion des membres inférieurs puisse être le premier effet de la pression bi-latérale, surtout si l'on admet que la cause c
ligne médiane avec fusion des parties latérales, il me semble qu'une pression latérale, à laquelle le fœtus aura été soumis dan
scères abdominaux dans le thorax, des éventrations, tous effets d'une pression considérable à laquelle le fœtus ou l'embryon aur
u monopodie, savoir que ce vice de conformation est le résultat d'une pression latérale, qui, à une époque très peu avancée de l
héorie, est on ne peut plus facile à expliquer, parle seul fait de la pression latérale, vu l'obliquité d'avant en arrière et de
l du fémur; il suit de cette obliquité, que le premier effet de cette pression bilatérale, c'est la rotation; que le second effe
la rotation; que le second effet, c'est la fusion. On conçoit que la pression bilatérale puisse s'épuiser dans la production d'
ouvait faire suinter par l'orifice buccal de ce canal, au moyen d'une pression légère. L'anatomie pathologique des glandes par
e-de-vin se présente, mais tellement visqueux, qu'il faut exercer une pression assez forte pour l'expulser. Des lambeaux gangren
uis propre à évacuer le mucus contenu au centre des granulations ; la pression exercée sur ces granulations ne fait suinter du m
consistans, un peu élastiques, arrondis, non bosselés, indolens à la pression , et ne sont le siège d'aucune douleur spontanée :
rmal : il n'y a pas de toux. L'abdomen est tendu, gros, indolent à la pression : on y sent profondément des masses dures qui en
constipation persistant, le ventre est resté tendu, peu sensible à la pression et faisant de temps en temps ressentir quelques c
dans l'hypochondre gauche; cette tumeur est extrêmement sensible à la pression . Ce qui me frappe, c'est la circonscription par
est plus petit que dans l'état naturel, il est ramolli, et une légère pression suffit pour le réduire en bouillie; son volume es
vert. Tout le reste du tronc est parfaitement conservé; il offre à la pression plus de souplesse que la tête, surtout dans les p
nalogue à l'oléine. « La partie solide, dégagée de l'oléine par une pression graduée entre deux feuilles de papier Joseph, et
ransverse des bosselures de la grosseur d'une noix, douloureuses à la pression , et qui disparaissaient après deux minutes de dur
rée. Les crises terminées , le ventre était souple et insensible à la pression . Il n'y avait ni hoquets ni vomissemens. Point de
hes augmentent, diminuent, se dénaturent par suite des tractions, des pressions exercées sur la hernie. A gauche, le sac herniair
omen est le siège de vives douleurs qui ne sont pas augmentées par la pression ; les muscles abdominaux sont contractés et raides
t parfaitement à travers les parois abdominales. Ventre sensible à la pression : hypogastre souple; les lavemens n'amenaient rien
ntinue; le ventre se me-téorise et devient douloureux, surtout par la pression : insomnie, délire, point de selles, urines rares
frant une fluctuation liquide manifeste, et d'ailleurs indolente à la pression : la peau présentait une rubéfication qui annonça
phénomène fort curieux fixa mon attention : c'est qu'en exerçant une pression légère sur la tumeur, j'éprouvai la sensation de
ces noyaux de cerises, qui fuyaient sous le doigt par la plus légère pression , déterminait une sensation analogue au bruissemen
ré était aréolaire et pénétré de suc cancéreux qu'on exprimait par la pression : on pouvait reconnaître au milieu de ce tissu de
'explorais tous les matins la poitrine à l'aide de l'auscultation, la pression de ma tête contre les parties emphysémateuses dét
t de la rupture de petits kystes, rupture que l'on produisait par une pression très forte. L'autopsie justifia pleinement le dia
l'irritation exercée par le contact des vêtemens et peut-être par des pressions fréquentes et par des tentatives réitérées de réd
bonne partie des poumons. Le pus ruisselait comme d'une éponge par la pression exercée sur cet organe. Rien dans le canal intest
n depuis huit jours; nausées sans vomissemens, abomen douloureux à la pression . Les jours suivans, exaspération des symptômes.
bdominale, uniforme, plus de bosselures; abdomen très douloureux à la pression ; respiration courte; léger délire. Mort pendant l
rminée par induration. La preuve, c'est que la rate est sensible à la pression ; c'est qu'on peut combattre efficacement l'hypert
présentaient des formes très variées qui résultaient probablement des pressions auxquelles ces productions libres avaient été sou
à une hépatite traumatique circonscrite à une suppuration du foie. La pression exercée sous le rebord des côtes n'éveillait qu'u
s-tans que le foie était exclusivement le siège de cette douleur. Une pression , exercée sous la dernière côte, aux limites supér
es cartilages, et paraissait essentiellement fibreux; et cependant la pression exercée sur la coupe de ces tumeurs en faisait su
suc cancéreux suintait de tous les points de la coupe à l'aide de la pression la plus légère. La charpente fibreuse de ces dern
éponge de toute la surface de la coupe par l'effet de la plus légère pression . J'ai vu rarement des tumeurs pénétrées d'une plu
oie. — La figure i montre un des effets des corsets sur le foie. La pression circulaire de ce vêtement s'exerçant essentiellem
pens des granulations superficielles de l'organe. Par l'effet de la pression circulaire du corset, le foie gagne en hauteur ce
nt en haut : son bord inférieur ayant seul supporté l'influence de la pression alors très considérable qui est exercée sur cet o
gnes d'une péritonite des plus graves; ventre ballonné, sensible à la pression , surtout au-dessous du rebord des fausses côtes d
équent et faible. L'anxiété permanente et la douleur qu'augmentait la pression le long du rebord des côtes faisaient, en quelque
ience, à tel point qu'on est obligé de provoquer sa manifestation. La pression exercée sur l'épigastre, le long du rebord des
aucune sensibilité. Je dois dire cependant que, dans quelques cas, la pression exercée en arrière, le long de la dernière côte,
, le long de la dernière côte, est plus impatiemment supportée que la pression pratiquée en avant, le long du rebord cartilagine
du thorax. Dans quelques cas aussi, c'est en promenant le doigt avec pression dans les espaces intercostaux qui correspondentan
extrême. Aucune douleur, aucune intumescence à la région du foie ; la pression la plus forte ne développe aucune sensibilité.
n peu d'épanchement dans le péritoine, et l'abdomen est sensible à la pression . Le i4 juin , pour la première fois, vomissemens,
a sensibilité de la région du foie, vive d'abord et augmentant par la pression , diminua par la suite ; mais le malade éprouvait
, qui paraissait n'exister que depuis un an, était très sensible à la pression , sa couleur était noire, sa surface inégale comme
quide, était parfaitement circonscrit par des caillots sanguins. La pression exercée par le corps thyroïde sur la trachée peut
. La quantité de suc cancéreux était très considérable, et la moindre pression le faisait suinter, sous la forme d'une bouillie
tance circulaire, et cette perte de substance était le résultat de la pression exercée par le bord postérieur du cartilage thyro
ésente un exemple, i° de laryngite sous-muqueuse, i° d'altération par pression de la paroi postérieure du pharynx. Je dirai d'ab
ai déjà eu occasion de rencontrer plusieurs fois cette ulcération par pression de la paroi postérieure du pharynx, par un goître
u pharynx, par un goître volumineux; que cette perte de substance par pression serait bien plus fréquente, si le goître occupait
en arrière le cartilage thyroïde, et par conséquent à prévenir toute pression de la partdu bord postérieur de ce cartilage. Dan
tissu qui se déchirait avec la plus grande facilité. Sous la moindre pression , cette sérosité ruisselait à-la-fois et par les
roit. Accroissement lent d'abord, puis rapide, qu'elle attribue à une pression très forte et très douloureuse exercée par un méd
aussi complètement que de coutume. Il est plus ou moins sensible à la pression : le mouvement fébrile, dit fièvre de lait, ne se
ine du tissu cellulaire sous-cutané. Le moindre mouvement, la moindre pression sont extrêmement douloureux. Je reconnais la mala
uleurs vives, exaspérées par le moindre mouvement, par la plus légère pression . Sous la seule influence du repos, de la position
rapportent aux parties gangrenées elles-mêmes, douleur que la moindre pression exaspère, elle me paraît le résultat, non de l'in
bles que le malade ne peut goûter un instant de repos. La plus légère pression exercée sur le membre augmente les souffrances Le
alysie artérielle, les artères ont cessé de battre dans le membre; la pression exercée le long des troncs artériels est douloure
nt pas perçus; mais une douleur très prononcée est déterminée par une pression exercée sur le trajet de l'artère fémorale. Cette
hiale était petite, avec battement filiforme, dure et sensible à la pression , j'ajoutai à ma note que la paralysie purement lo
écédent, les douleurs intercostales, bien évidemment produites par là pression des nerfs intercostaux, céder à cette application
tème artériel, que cette contraction s'accompagne d'une percussion ou pression du sang contre les parois de la poche contractile
fibreuse; de même que le tissu fibreux, lorsqu'il est le siège d'une pression , d'une distension longtemps continuées, mais qui
; que la poche était cartilagineuse et osseuse, résistant à une forte pression , et qu'elle était tapissée par de la fibrine conc
e sérosité gélatineuse, facilement déchirables, friables même sous la pression du doigt, et ayant en conséquence perdu cette ton
quable de ce tissu qui se morcelait avec une extrême facilité par une pression , ou par une traction légère au voisinage de la pe
e cavité ; les secondes contenaient un pus visqueux et rougeâtre : la pression des parois de ces poches en faisait suinter du sa
t du côté de l'artère une convexité « que l'on ne peut effacer par la pression , et fixée aux parois artérielles par trois petits
peu d'épanchement dans l'abdomen. Région du foie un peu sensible à la pression . Point de signes d'épanchement dans les plèvres.
e de rhemoptïsie: tabdomen, jusque-là indolent, devient sensible à la pression ; orthopnée, immobilité, sueurs, pouls misérable.
aient le siège d'une tuméfaction douloureuse avec rougeur. La moindre pression , le moindre mouvement exaspéraient la douleur ;
nt que l'œdème est ou n'est pas accompagné de congestion sanguine. La pression exercée sur le poumon fait couler la sérosité à f
uvé de vestige, et j ai peine à croire qu'ils aient pu résister à une pression assez forte pour user aussi profondément l'os pie
ingulièrement aminci les parois de la base du crâne, tellement que la pression du doigt aurait suffi pour les briser dans une mu
e répète, on ne conçoit pas comment la vie peut se concilier avec une pression aussi considérable exercée sur des parties aussi
touillement est-il perçu dans quelques points, et pourtant la moindre pression est douloureuse partout. J'explique cette apparen
ais qui aujourd'hui est douloureuse dans toute sa hauteur. La moindre pression sur toute la longueur de la colonne est impossibl
ulèvement du thorax est douloureux. Tout le corps est sensible à la pression ; la jambe droite n'est plus aussi douloureuse qu
ysie paraît subordonnée à la douleur. La sensibilité douloureuse à la pression a cessé depuis les orteils jusqu'au genou gauche,
région dorsale; 20 un point au bas de la région cervicale. La moindre pression sur ces deux points est excessivement douloureuse
6 juillet et jours suivans: douleur dorsale, qui s'exaspère par la pression et même par le simple attouchement. Il semble à l
la paralysie. La jambe droite est lourde, engourdie, douloureuse à la pression , douloureuse par l'effet de la contraction muscul
ion, soit douleur véritable, elle refuse d'y supporter la plus légère pression . Réflexions. Le caractère de la paraplégie par
la deuxième période. Les muscles sont douloureux et par le fait de la pression , et par le fait de la contraction volontaire ou n
aire, douleur répondant en quelque sorte à tous les stimulans, à la pression , aux mouvemens communiqués, aux mouvemens spontan
as congénial, mais bien le résultat de l'usage d'un corset serré. lia pression circulaire de ce vêtement au niveau de la base du
us sur les jambes, les orteils fortement fléchis. Je me demande si la pression des couvertures n'a pas été pour quelque chose da
eils. Lorsque les membres in férienrs n'étaient pas contenus par la pression des couvertures, ils étaient agites des mouvemens
enne du gros orteil, maladie que je considère comme le résultat de la pression des couvertures, qui ont porté le gros orteil dan
ôt de larges et de profondes eschares, sous la double influence de la pression et de l'action des urines. Chose remarquable! les
u niveau des apophyses épineuses, communiquaient entre elles ; car la pression exercée sur l'une d'elles retentissait manifestem
dis à la malade de me serrer la main, elle exerce à peine une légère pression . Voici les commémora tifs : il y a huit ans, qu
milieu de cette excessive douleur du membre par l'effet de la moindre pression et du moindre mouvement, la peau a conservé son i
approche du doigt la fait crier d'avance; mais si je n'exerce pas de pression , je puis pincer violemment la peau, au niveau de
ncidence de douleurs très vives produites par les mouvemens ou par la pression des muscles et de l'insensibilité presque complèt
r la limite supérieure de la paralysie. L'abdomen est sensible à la pression . Rétention d'urine. Voici les commémoratifs qui m
leurs de l'abdomen. Examen de la colonne vertébrale. Douleur par la pression au niveau des dernières vertèbres cervicales et d
plus grand soin,ne présente, il est vrai, aucune déviation; mais une pression forte exercée sur le sommet des apophyses épineus
uleur avec rigidité des muscles de la nuque, douleur qu'augmentait la pression exercée sur cette région. Au bout de ce temps, di
antes, tombant et se reproduisant avec la plus grande facilité. Une pression long-temps continuée peut être la cause détermina
ésentent de semblables productions dans tous les points soumis «à une pression habituelle, aux coudes, aux genoux, au front : un
et, parmi elles, on est tout surpris d'en trouver qui donnent par la pression une quantité énorme de suc cancéreux. Indépenda
présentent constamment un renflement gangliforme. Les frottemens, les pressions auxquelles sont soumises ces extrémités nerveuses
rajet et dans l'épaisseur des cordons nerveux. Les nerfs soumis à des pressions considérables présentent aussi très souvent des r
sa couleur livide on présume être produite par un abcès urineux : une pression exercée sur cette tumeur détermina en effet l'éco
ade se plaint constamment du rein droit, qui est très douloureux à la pression : elle dit que son rein est plein de pierres , el
'on touche ses pierres, suivant son dire, et supporte impatiemment la pression nécessaire pour reconnaître et circonscrire le re
t de reconnaître aucune tuméfaction dans la région du rein, et que la pression ne réveillait aucune doLileur. Le fait suivant,
s partielles atrophiques qui résultent du volume des calculs et de la pression mécanique qu'ils ont exercée sur les calices et s
tites, causait des douleurs intermittentes : elle était sensible à la pression . Depuis deux mois seulement, les douleurs avaient
us haut. Leur tissu était extrêmement dense et de nature fibreuse. La pression la plus forte n'en faisait soudre aucun liquide.
reuse de cette tumeur cancéreuse, j'ai pu faire suinter par mie forte pression un suc cancéreux et séreux. Tous les autres organ
boue rougeâtre ou suc cancéreux qu'on faisait suinter par une légère pression , à la manière de l'eau contenue dans une éponge.
tre oblongs, comme olivaires très durs et de ne donner aucun suc à la pression . 5° Plaques cancéreuses de la plèvre.—Les plaqu
eux , d'une dureté pierreuse, et cependant on en fait suinter par une pression forte du suc cancéreux. Ces petits lobules sont e
ns de la peau seule qui s'épaissit considérablement à leur niveau. La pression des coupes faites à la peau en fait suinter du su
taient remplies de suc cancéreux pultacé qu'on faisait suinter par la pression à la manière du vermicelle. Le corps de l'utérus
st comme creusé dans l'épaisseur de cette paroi antérieure CV, CV. La pression exercée sur la coupe des parties altérées en fais
y avait communication entre ces cellules et les veines libres; or la pression extérieure, en même temps qu'elle faisait suinter
de du manche du scalpel, s'effile sous la forme de vermicelle par une pression latérale, ou est emportée à l'aide d'un filet d'e
ssive fragilité de leurs parois : la moindre traction, la plus légère pression suffisent pour les lacérer; et quand on a enlevé,
e de l'épigastre jusqu'à la gorge. Altération profonde des traits. La pression abdominale est médiocrement douloureuse; l'abdome
cancéreux. La coupe de ce tissu présentait l'aspect de la fig. 2. La pression exercée sur les bords de la coupe faisait suinter
us est transformé en un tissu spongieux d'où l'on fait suinter par la pression , sous la forme de vermisseaux, un suc cancéreux p
nde quantité de suc cancéreux qui suinte de toutes parts à la moindre pression . La dégénération s'arrête d'une manière nette et
ait lieu sans que cette lésion ne soit accompagnée d'une douleur à la pression ou indépendante de la pression le long de la colo
ne soit accompagnée d'une douleur à la pression ou indépendante de la pression le long de la colonne sacro-coccygienne : c'est c
nce élastique, comme si elles étaient distendues par un corps mou. La pression exercée du pavillon vers l'utérus faisait refluer
fluer dans la cavité utérine une matière d'apparence tuberculeuse. La pression exercée de l'utérus vers les pavillons des trompe
; et à la vue de ce liquide purulent qu'on fait passer à l'aide d'une pression légère de la trompe dans la cavité péritonéale, o
t plus impunément que lui des changemens de forme par le fait soit de pressions extérieures, soit de pressions exercées par les a
hangemens de forme par le fait soit de pressions extérieures, soit de pressions exercées par les autres viscères, qu'en un mot, c
mot, cet organe est comme ductile et malléable sous l'influence d'une pression lentement exercée. XXVe LIVRAISON. peuvent exer
le d'être exprimée à la manière du suc cancéreux cérébriforme: par la pression , le tissu se déchire et les doigts restent couve
ortueux. En examinant avec soin le tissu de l'épiploon , privé par la pression de tout le suc cancéreux qu'il contenait, j'ai re
ifeste, soit contenu dans des loges ou retenu par des adhérences. Une pression brusque, exercée dans divers points, opérait le d
oration de ces tumeurs, il importe d'user de prudence, d'éviter toute pression considérable; il est certain que, sans la présenc
, sans la présence du liquide contenu dans la cavité péritonéale, une pression ordinaire, exercée dans le but de reconnaître ou
obtuse dans l'abdomen, douleur que n'augmente nullement la plus forte pression ; soupçon de liquide dans la cavité abdominale ; l
des organes respiratoires et circulatoires. 40e liv., pl. iv, p. 5. PRESSION . Une pression long-temps continuée peut être la c
spiratoires et circulatoires. 40e liv., pl. iv, p. 5. PRESSION. Une pression long-temps continuée peut être la cause détermina
s). Maladies du corps thyroïde: accidens auxquels peut donner lieu la pression exercée par le corps thyroïde sur la trachée. Goi
10 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nerf sus-orbitaire gauche, n'est pas notablement doulou- reux à la pression . Si l'on provoque la contraction des muscles pa
mateuse du cer- veau : conséquence nécessaire de l'accroissement de pression dans les artères profondément dégénérées et don
l'espèce, on ne note l'absence de malaises nerveux (sensa- tion de pression céphalique, paresthésies sensorielles, tremblemen
ielle est uniquement la conséquence d'un arrêt de développement par pression , de même que, dans l'asymétrie des hémisphères
faclif ne parvient pas à son complet développement à cause de la pression exercée par l'apophyse crista-patli, sur laquelle
. Une femme, grosse de huit mois, est prise successivement de dé- pression et de manie furieuse. On la guérit en pratiquant
e. en des conditions toutes spéciales, et, en particulier, que la pression de la colonne sanguine à l'intérieur d'un vaissea
lle exerce sur la paroi du même vaisseau, enfin qu'une partie de la pression peut être transmise au liquide cérébro-spinal,
es ou élastiques de cette cavité. Mais quelle est l'intensité de la pression qui normalement relève du liquide cérébro-spinal
liquide cérébro-spinal ? Quelle influence une modification de cette pression exerce-t-elle sur les fonctions du cerveau ? Ex
our étrangères aux formules. Soit un tuyau R fermé et plein d'eau à pression nulle, à parois rigides; on le fait traverser par
irige dans le vaisseau élastique un courant continu de liquide sous pression d'une colonne d'eau A; il s'évacue dans l'unité
r le vaisseau élastique; cette quotité devient faible bien que la pression se soit accrue. 11 est de prime abord difficile d
Il dans tout tuyau élastique parcouru par un courant de liquide, la pression la plus faible règne à l'extrémité périphérique
2" dans le tuyau élastique G, tant que son contenu est eu repos, la pression se transmet également sur toutes ses tranches;
s, la pression se transmet également sur toutes ses tranches; cette pression peut être partiellement ou totalement transmise
ntenu de tuyau R; par conséquent, dans le cas le plus favorable, la pression a 1 intérieur de R sera égale à la pression de
s le plus favorable, la pression a 1 intérieur de R sera égale à la pression de l'intérieur de G mais n'y sera jamais plus h
pos ; - 3° dans le tuyau R, il s'exerce sur toutes les tranches une pression égale, positive, quand le liquide coule à trave
e, on voit les vibrations du vaisseau se produire dès que dans R la pression atteint la hauteur indis- pensable pour presser
contre l'autre les parois du vaisseau élastique G remplies d'eau à pression nulle. Donc. plus les parois de G sont rigides,
stique G a des parois si délicates qu'elles se peuvent toucher sans pression , le vaisseau vibre, dès que la pression atteint
les se peuvent toucher sans pression, le vaisseau vibre, dès que la pression atteint dans R une valeur positive. Rétrécit-on
, en dehors de l'appa- reil, un tuyau élastique, ce qui augmente la pression à l'extrémité périphérique du vaisseau G, aussi
du vaisseau cessent; ces vibrations ne reparaissent que lorsque la pression à l'intérieur du tuyau R, subissant une élévation
, subissant une élévation, est devenue assez grande pour vaincre la pression dans l'extrémité périphérique du vaisseau G.
: A l'extré- mité périphérique du vaisseau G, règne la plus faible pression lorsqu'il est parcouru par un courant de liquid
urant de liquide; dans le tuyau R se produit pendant le courant une pression positive qui comprime l'extrémité périphérique
e courant de liquide ; mais, en même temps que cesse le courant, la pression positive croit à l'extrémité périphérique de G.
ble, et le courant interrompu se rétablit; ce qui abaisse encore la pression de l'extrémité périphérique de G, et en permet
nées à la théorie de la circulation intracî,dnieiiie. 1° Quand la pression relative au liquide cérébro-spinal s'accroît, il
es des vaisseaux de l'encéphale, en supposant que l'augmentation de pression ne provienne pas de ces extrémités mêmes. 2° Ce
miète e SOCIÉTÉS SAVANTES. 105 s'efface sans qu'il se produise de pression extérieure positive, il suffit que la pression
qu'il se produise de pression extérieure positive, il suffit que la pression cérébrale s'accroisse pour que les veines cérébra
ent dans les sinus. 3° Ces vibrations sur- viennent aussitôt que la pression du liquide cérébro-spinal devient plus grande q
ue la pression du liquide cérébro-spinal devient plus grande que la pression régnante dans les eatrémités lniphérntnes des v
on régnante dans les eatrémités lniphérntnes des veines cérébrales, pression qui, comme l'on sait, estégale.'i la résistance
ntation de cette résistance peut arrêter les vibrations tant que la pression cérébrale n'a pas subi une élévation parallèle.
n cérébrale même dans un crâne intact; leur existence prouve que la pression cérébrale a atteint un degré d'élévation égal pou
tance que nous venons de consigner. 5° La doctrine ac- tuelle de la pression cérébrale prétend établir que, lorsque cette pres
tuelle de la pression cérébrale prétend établir que, lorsque cette pression augmente, les capillaires cérébraux sont compri
; les veines, au contraire, s'affaissent sans qu'il se produise de pression extérieure positive. Par conséquent, c'est la p
produise de pression extérieure positive. Par conséquent, c'est la pression du sang à l'intérieur des capillaires ou des gr
moins grande conipressibilité des uns ou des autres. On sait que la pression du sang dans les capillaires est supérieure il
t que la pression du sang dans les capillaires est supérieure il la pression du sang dans les grosses veines cérébrales; par
ans les grosses veines cérébrales; par suite, l'augne Million de la pression cérébrale déterminera une cont- pression des gr
ite, l'augne Million de la pression cérébrale déterminera une cont- pression des grosses veines du cerveau et non une compress
ue munirent que, dans certaines circons- tances, une élévation delà pression artéi ielle n'active pas la circulation 1 l'iut
t-à-dire une ovarie bien tranchée, accompagnée d'hyperesthésie à la pression , de toute la moitié du corps du même côté et en
dents du décubitus la peau bien plus résistante, en régulaiisunt la pression , en procédant à des pansements, etc. L'expérien
es névropathes chroniques. Depuis décembre 1882, l'auteur a noté la pression , la température, l'étal hygrométrique et ozaomé
la paupière inférieure. La peau est à ce niveau, rouge, tendue ; la pression du doigt y laisse son empreinte, la température
res. Le fond de la cicatrice est ferme quoique non osseux, et une pression raisonnable ne fait pas souffrir le malade. L'e
culaires, les articulations et les os ; elles sont exagérées par la pression des parties douloureuses ou par la traction des
jours, avant l'apparition des phénomènes arthritiques; en effet, la pression exercée sur les tissus qui entourent les articu-
ractéristiques. A gauche, la contraction des muscles faciaux par la pression du nerf facial est faible; le sterno-mastoïdien
s membres supérieur et inférieur ne se contracturent pas bien. La pression du médian, du radial donne la contracture et la g
ondantes; pour le cubital, il faut insister davantage, car, par une pression égale à celle exercée sur les deux autres nerfs,
festations nerveuses sont les griffes des muscles résultantes de la pression des trois nerfs : médian, cubital et radial). L
ate un contenu quasi-liquide, ou du moins très mou, qui en sort par pression , et se transforme en coagula généralement granu-
es du mouvement protoplasmique. Une longue observation ou la com- pression d'une cellule entraine la disparition très prompt
« que la production de chaleur est d'autant plus grande que l'im- « pression reçue par l'animal lui est, pour un motif quelcon
83 nemis ; mémoire extraordinairement affaiblie. Diagnostic. Com- pression du lobe occipital gauche par une exostose consécu
l'opération en question, cicatrice sensible dont-il s'échappe, à la pression , une gouttelette de sérosité, etc... Les dimens
s grande sensibilité à la plante des pieds sous l'influence de la pression : réaction normale des pupilles. Le troisième t
sche2c, on a établi une conduite d'eaux très riche, jouissant d'une pression considérable. On a transformé et agrandi le dép
e et manifestement exagérées soit par les mouvements, soit par la pression des muscles; la sensibilité est normale dans ses
ni une contraction, ni une contracture se pro- duire après la seule pression du tendon. De plus, si, pendant la léthargie, n
e plus, si, pendant la léthargie, nous augmentons peu à peu cette pression , ce qu'indique le tracé sphygmographique, la co
un haut degré l'hyperexci- tabilité neuro-musculaire que la simple pression du tendon fait merveille et est douée d'une ell
'irritation c'est la fonction psychique du cerveau; aussi les im- pressions extérieures ne provoquent pas toujours les même
res : dans les membres, dans le thorax, l'abdomen, de tension, de pression circulaire, gastralgiques, dans les lombes, etc.
ommis au plein d'un état de désarroi intellectuel et moral, sous la pression de la misère et de la faim, doit être considéré n
ment ventriculaire. Les phénomènes observés après la mort (com- - pression des circonvolutions les unes contre les autres, e
lésion dans J'attaque terminale; mais cela était évidemment dû à la pression exercée par un caillot relativement volumineux
la promène de haut en bas sur les points douloureux en exerçant une pression forte. On se sert soit de courants faibles ou m
u (nutcitiou du), par llteynert, 233; - (irritation, lésion, com- pression du), par Adamlciewicz, 291 ? atroplue desfibres
11 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
age que de l'excitation purement mécani- que, telle que le choc, la pression , lainalaxation, le massage. Nous avons écarté i
mène sont quelque peu changées. Le choc n'agit plus seul, la simple pression produit des effets un peu différents, mais égal
sur le tendon, soit au moyen d'un choc brusque, soit au moyen de la pression . 38 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. A. E#els de la
ser la contracture d'un même coup partout à la ibis, au moyen d'une pression légère de la région ovarienne droite, sans pour
la amener la cessation du sommeil ; ce qui eût été inévitable si la pression avait été énergique. Un choc répété sur les ten
lité réflexe existe à un haut degré, un seul choc suffit. Alors, la pression sur le tendon conduit au même résultat, ainsi q
nique du tendon, tels que la malaxa- tion, la friction et la simple pression . Ces manoeuvres, que nous allons étudier mainte
ffets de l'excitation tendineuse par malaxation, friction ou simple pression . Chez les sujets peu sensibles nous avons vu pa
à un haut degré l'hyperexcitabilité neuro- musculaire que la simple pression du tendon fait mer- veille, et est douée d'une
est obtenue par le même pro- cédé pendant la veille, tandis qu'une pression , si peu prolongée qu'elle soit, ne saurait prod
neuse, non seulement le choc n'est pas nécessaire mais la simple pression est beaucoup plus efficace. D'où il suit égalem
ambour myographique est appliqué sur le corps du grand palmaire. La pression sur le 58 . , PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. .>
successivement sur différents points de la longueur du tendon. La pression peut être brusque ou graduelle. Les effets de l
don. La pression peut être brusque ou graduelle. Les effets de la pression graduelle sont démontrés dans l'expérience cité
expérience citée plus haut et accompagnée du tracé (Fig. 7). - La pression brusque se rapproche du choc et tient, en quelq
ure se produit plus rapidement et plus brusquement. Il s'agit d'une pression brusque exercée sur le tendon du grand palmaire
du grand palmaire. Le signal Marcel Despretz indique la durée de la pression . Nous pouvons conclure de ce qui précède que la
suit le choc sur le tendon et celle qui est obtenue par une simple pression exercée au même point, sont des phénomènes de m
gt; z M 0 r 0 0 s a Mt /'/(/. S.- Contracture par pression brusque sur le tendon, pendant la léthargie. G
lmaire. S., Signal électrique indiquant le moment et la durée de la pression . ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 61
tteindre sûrement. Son excitation mécanique au moyen d'une simple pression faite avec le doigt, ou indifféremment avec l'e
montrent que la douleur n'est pas le fait de l'arthrite, mais de la pression du liquide articulaire sur les tissus de l'arti
liquide articulaire sur les tissus de l'articulation. L'absence de pression intra-articulaire dans l'arthro- pathies des at
conserver longtemps un état. élec- trique, par le frottement ou la pression . Il faut y joindre encore l'ivoire, l'os, certa
ont la preuve n'est d'ailleurs pas encore faite. En un mot, sous la pression des faits nouveaux, le point de vue s'est dépla
qui met obstacle à la contraction du tibial antérieur, mais bien la pression que la main exerce sur les jumeaux et le soléai
ain, en tout cas, qu'elles sont indépendantes de l'intensité delà pression sanguine. E. B. 122 REVUE DE PHYSIOLOGIE. III
DES MUSCLES. L'expérience a montré que la malaxation ou la simple pression des masses musculaires amenait la contracture d
r une fric- tion sur le corps du sterno-mastoïdien, ou une simple pression sur un point de ses fibres, pour que ce muscle
rposition de plusieurs muscles, de sorte qu'il est difficile que la pression d'un muscle superficiel ne retentisse pas sur l
s nous ont donné des résultats forts précis. Lorsque, par la simple pression avec l'extrémité mousse d'un petit bâton, on ch
es feront bien comprendre : En comprimant un muscle superficiel, la pression , pour- vu qu'elle soit un peu intense, se commu
rides aponévrotiques qui les relient. Il est impossible, lorsqu'une pression assez forte est exercée au niveau des espaces i
ont également susceptibles d'être excités mécaniquement. Une simple pression , exercée directement sur le muscle lui-même ou
e, dans les cas d'hyperexcitabilité neuro-nlusculaire, lorsque la pression exercée dépasse certaines limites qui varient s
et : 1° La localisation la plus exacte est obtenue à l'aide d'une pression modérée, pratiquée avec l'extrémité ar- rondie
a contraction du muscle cesse le.plus souvent en. même temps que la pression . Elle persiste quelquefois très peu de temps ap
action pro- duite ne tarde pas à s'épuiser. Tout en maintenant la pression à un degré égal sur le point qui a provoqué la
alade hypnotisée, l'excitation de ces mêmes muscles, par une simple pression exercée sur les points d'élection, nous a donné
La contraction isolée du Frontal est très facile à obte- nir parla pression du point (Fig. 16, 1) qui correspond au nerf fr
ion du point (Fig. 16, 1) qui correspond au nerf frontal, ou par la pression portée sur un point quelconque du muscle (PL. I
le petit doigt de la main droite est placé dans l'extension par la pression sur le point, moteur désigné sur la figure 15,
eu et a repris l'attitude normale du relâchement musculaire. , La pression sur la masse des muscles de la région postérieu
t sur une table, la face dorsale regardant* en' haut.. 1 - . 3 La pression légère du tendon du médius de la main droite au
rrhagies du- cerveau' étant causées soit par une augmentation de la pression intravasculaire, soit par une alté- -ration des
onditions se trouvent réalisées. Pour démon- trer l'augmentation de pression intravas cul aire, t il admet' que l'hyperémie
i, . ? .. j 'O ? ' L'auteur a injecté différents liquides, sous des pressions diverses, dans la caisse du tympan d'un grand n
é les faits suivants : Lorsque la quantité de liquide.injecté.et la pression . sont suffisantes, il survient/du nystagmus, e
on, souvent aussi des mouvements de roulement et de manège. Plus la pression est forte, plus la température des liquides inj
de la mort a été la paralysie des muscles respiratoires par com- pression brusque des origines des"nerfs ? phréniques'et'au
la maladie de Basedow. 'A ce ''propos, 1 M. Muller rappelle' que la pression 1 épigastrique 1 engendre,1 ellei aussi, deilég
mpagne d'un abaissement de température ,'malgré,l'élévation de' la' pression artérielle,' malgré même l'interruption de la c
e Hitzig,·après'sectin',dés nersswagués,,n'a'pas d'influence sur la pression artérielle,,et que , la ^destruction^ totale,, de
la protubérance ? et en coupant les nerfs splanchniques,,on voit la pression ! artérielle - s'élever quand l'asphyxie se pro
ou, névrite consécutives/ soit à l'emprisonnement', soit à la com- pression du nerf par le cal. Les troubles de. la sensibili
12 (1911) La pratique neurologique
quement. L'observateur donne ou in- terrompt l'éclairage par simple pression sur un bouton interrupteur. Il n'a d'autre so
cun des cheveux de la série, on a' déterminé à l'avance le degré de pression qu'il exerce au moment de son incurvation. On rec
ndé sur la méthode précédente. Une aiguille note , sur un cadran la pression exercée par le cheveu au moment où la sensa- ti
ort spécial ; 2, petit pignon; 3, grande roue dentée; 4, ressort de pression . - (C) 1, aiguille; 2, ressort : 5, petit pigno
cervical. Dans certaines affections du sympathique cervical (com- pression , etc.), avant la destruction des fibres nerveuses
us auriculaire, on invoque des causes variées : modifications de la pression labyrinthique, irritation ou interruption du ne
E L'OEIL. Le globe oculaire possède une sensibilité particulière li pression qu'il peut perdre dans certaines conditions. Ce
Tumeurs de' la base. llemianopsies variables suivant que la com- pression s'exerce sur la bandelette ou sur le chiasma (p.
pression du cubital dans la gouttière de l'otecrane, phosphènes par pression sur les globes oculaires, sensation gustative par
breux travaux de Barany. A l'état normal, l'épreuve galvanique, la pression directe, le refroidissement ou le réchauffement
eux. En vertu de cette disposition et de cette communica- tion, la pression du liquide qui remplit ces canaux varie dans chac
eux avec chaque changement d'attitude de la tête. Ces variations de pression excitent les extrémités nerveuses- d'un nerf sp
iale sur les voies nerveuses du sens de l'espace ou en modifiant la pression cndotymphatiquc du labyrinthe. Nous en dirons a
s sont, comme les précédents, dus il de rapides modifications de la pression endotymphatiquc de l'oreille interne. Tous ce
s semblent donc dues, en bonne partie au mains, à l'augmentation de pression du liquide céphalo-rachidien dont on connaît le
rfois un signe objectif per- mettant de déceler une augmentation de pression du liquide céphalo- rachidien sY11lptomatiqlle
mais en sens inverse; ces sensations sont dues aux modifications de pression dans le liquide des canaux semi-circulaires.
l'appareil vesti- bulaire peut être excité par les modifications de pression du liquide qu'il contient. 5" Toutes les mala
oies auditives. Il serait dû soit aux modifications générales de la pression sanguine, soit aux irritations anormales de l'app
e peuvent déterminer du vertige auriculaire par l'exagération de la pression infra- labyrinthique : bouchon de cérumen dans
iculaires, ayant pour point de départ une brusque modifica- tion de pression du liquide labyrinthique. De même, c'est peut-êtr
s ménin- gites et des tumeurs cérébrales. Les modifications de la pression sanguine dans les artères labyrinlhi- ques, et
hute sur les genoux, les pieds, etc.; c) variations exagérées de la pression de l'air dans le conduit auditif externe (trava
e intervenir aussi dans sa production et les Illodili- . cations de pression et de perméabilité des artères labyrilllhiques (P
autre de ces parties que par l'intermédiaire de modifications de la pression sanguine ou de la structure des vaisseaux (arte
confirmé le pouvoir curatif ; elle agit sans doute en diminuant la pression du liquide )abyrinthiqne('). Elle atténue ou fait
Certains auteurs ont vu que l'hallu- cination se dédoublait par la pression du doigt sur le globe de l'oeil qui modifie le
ure physique, moléculaire. Le contact exagéré donne la sensation de pression ; pour d'autres, le tact et la pression sont fon
xagéré donne la sensation de pression; pour d'autres, le tact et la pression sont fonction, soit d'appareils de réception diff
d'appareils de réception différents (corpuscules de Pacini pour la pression , corpuscules de lleissner pour le tact), soit d
i des points pour le chaud, pour le froid, pour la douleur, pour la pression . A ces quatre sens cutanés, répondent quatre ca
inaisons sensitives (von Frey) : : corpuscules de lleissner pour la pression ; terminaisons libres pour la douleur ; corpusc
e, celle des troncs ner- veux, des os, des ligaments, le sens de la pression . Enfin, il faut, comme résultante de ces différ
t être assez légère de façon à ne pas déterminer une sensa- tion de pression ou de douleur. La sensibilité tactile peut être
déplaçant sur une échelle graduée, en grammes, l'équivalent de la pression exercée. L'emploi de ces appareils est souvent
dans la me- sure rie la douleur ; le plateau sert il mesurer la pression (hareslhcsiomèlrel. ys-i i. vl\Ififf.l'l ?
mesurer la pression (hareslhcsiomèlrel. ys-i i. vl\Ififf.l'l ? pressions sensitives ne sont plus perçues, tituitc très var
ôté sain seulement. 11 faut, au contraire, augmenter notablement la pression et agir plus fortement sur la région qui présen
exaltée. Nous ne parlons pas ici de la sensibilité des muscles à la pression , constatée au moyen d'appareils spéciaux (myoes
- rew). L'élude de cette question se rattache à celle du sens de la pression que nous étudierons plus loin. B) Sensibilité
ns avec le sens musculaire. C) Sensibilité des troubles nerveux. La pression des troncs nerveux éveille une sensation de fou
dans la sphère de distribution du nerf comprimé; si on augmente la pression , la sensation devient nettement douloureuse. On r
t profondément situés dans les tissus mous. La douleur vive : 't la pression des nerfs est un signe important en semeio- log
es j'rcmiers syni- 1) ! ÙllIes de la maladie. D) Sensibilité à la pression . Baresthésie. - La pression des tissus profonds
lIes de la maladie. D) Sensibilité à la pression. Baresthésie. - La pression des tissus profonds, exercée avec le doigt, éve
n spé- ciale « sui generis », qui nous renseigne sur le degré de la pression exercée en un point du corps et nous permet ain
ainsi d'apprécier le poids des objets. Dans la notion du sens de la pression iigurent des éléments [ROUSSY.] 2')2 SENSIBIL
qu'ici, les neurologistcs confondent, en général, la sensibilité à la pression avec la sensation de contact et n'attachent auc
clarté dans cette question et montrer qu'à la notion du sens de la pression s'attache un intérêt à la fois doctrinal et sém
uelques détails. Von Strumpell (') a montré que la sensibilité à la pression est indépen- dante de la sensibilité tactile et
abétiques, etc.) une disparition com- plète de la sensibilité il la pression , avec conservation parfaite de la sen- sibilité
ement dissociées en clinique. Pour Strümpell, la sensi- bilité à la pression n'est pas ou fort peu transmise par la peau; la p
bilité à la pression n'est pas ou fort peu transmise par la peau; la pression de la peau chez les individus présentant une ce
résentant une certaine laxité des tégu- ments permet de voir que la pression de la peau soulevée ne révèle pas la sensation
r que la pression de la peau soulevée ne révèle pas la sensation de pression ; mais ce sont les terminaisons nerveuses des ti
ses) et du périoste qui se chargent de ce rôle. La sensibilité à la pression , connue le sens musculaire et la sensibilité vi
e des cordons postérieurs » : perte de la sensibilité au tact, à la pression et au mouvement, avec conservation des sensatio
on des sensations douloureuses et thermiques. La sensibilité à la pression est dite baresthésie (Marinesco) ; comme les au
e, &et ? 7cr ? cc. Recherche. Pour explorer la sensibilité à la pression , on peut sim- plement comprimer avec l'index, a
Tabès. - Topographie radiculahe des troubles de la sensibilité à la pression (1). Fig. 4. - Tabes. Troubles de la sensibilit
pression (1). Fig. 4. - Tabes. Troubles de la sensibilité . à la pression plus étendus. -294 SENSIBILITE'. sur 25) et c
mes de la sensibilité. Dans les paraplégies, la sensibi- ité à la pression peut être altérée m même temps que les autres
utres ibrmes de sensibilité ou, au con- traire, l'anesthésie à la pression et m diapason peut exister seule, dors que le
venheilk, Bd., 57, 2. Fig. 5. Paraplégie. Troubles scnsitifs à la pression . THOUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 295 ci
compagne la perte du sens musculaire et la perte de la sensation de pression . L'anesthésie vibratoire peut quelquefois revêt
fonde dans l'hémiplégie. A gauche, troubles de la sensibilité il la pression ; il droite, troubles de la sensibilité vibratoire
acquises par l'expérience. Une excitation périphérique (mouvement, pression , choc, etc.) est nécessaire pour faire naître ces
5° La notion du mouvement actif, elle aussi, est basée, sur les im- pressions périphériques parties des surfaces articulaires e
our le diagnostic du tabes, c'est l'anesthésie du nerf cubital à la pression (signe de Biernacki). , C'est dans le tabes e
a colonne vertébrale révélant une déformation ou de la douleur à la pression donne de précieux renseignements sur le siège de
tique, dans les radiculites où l'exsudat méningé, agissant par com- pression sur les racines nerveuses, peut être reconnu le p
parties du corps, puis je pince la peau, je la pique, j'exerce des pressions avec le doigt, je croise les doigts les uns sur
écrit les « zones hysté1'ogènes » ou « zones spasmogènes », dont la pression provoquait, pensait-on, l'attaque hystérique. C
e ou de l'analgésie. On a signalé l'anesthésie du nerf cubital à la pression (signe de Biernacki), qui pourrait servir pour di
er les altérations sensitives des viscères, il suffit d'exercer une pression sur l'organe à explorer, lorsqu'il est superficie
diminuée (60 pour 100). On la recherche soit en exerçant une simple pression digitale sur le testicule, soit au moyen d'un a
aire. La sensation douloureuse particu- lière, 1 ? oV(Hlu¡"e par la pression des seins chez la femme, disparait chez plus de
e la sensibilité gas- trique se manifestent par une anesthésie à la pression du creux epigas- iriquc (moitié des cas) et par
arer dans des détails inutiles. On essaie ensuite de révéler par la pression , par le contact, par des mouve- ments approprié
rche à réveiller la douleur par l'ef- fleurement de la peau, par la pression profonde des masses musculaires, des'troncs ner
nts; nettement localisées en un point, soit spontanément, soit à la pression , elles limitent immédiatement les investigation
ns dans une direction donnée : telles, par exemple, la douleur à la pression des troncs nerveux dans les névrites, la douleu
à la pression des troncs nerveux dans les névrites, la douleur à la pression des apophyses épineuses dans le mal de Pott, le
ENSIBILITE. crâne, ou circonscrite en un point, et exaspérée par la pression à cet endroit. Sa durée, extrêmement variable,
elle peut être dans ce cas nettement localisée et exaspérée par la pression en un point déterminé. Le plus souvent, elle es
un point de la voûte crânienne ; exaspérée par la percussion et la pression en cet endroit, elle acquiert la valeur d'un sy
ir art. Névralgies). Les douleurs apo- physaires spontanées ou à la pression se rencontrent dans les affections dcs vertèbre
ou externes; elles sont aussi exaspérées par les mouvements, par la pression au niveau des articulations, et calmées par le
d'hyperesthésie quelquefois très intense. Le contact de la peau, la pression même légère provoquent de vives douleurs. ^ L
des brûlures superficielles ou profondes, à des élancements, à des pressions violentes et douloureuses qu on exercerait sous
oxysmes; exaspérées par les mouvements, elles ne le sont pas par la pression des tissus su- perficiels, des muscles ou des o
es névralgies créées par des périostoses du voisinage, par des com- pressions scléreuses ou gommeuses. Les névralgies sont fr
persistantes, très tenaces, elles ne semblent pas augmentées par la pression , ne correspondent à aucun territoire nerveux pr
phériques; les troncs nerveux d'ailleurs sont moins douloureux à la pression que dans les névralgies. Les douleurs sont réve
oux, l'éternuement, la déglutition; elle est provoquée aussi par la pression dans la fossette de la nuque et au niveau du poin
du plexus brachial; [GUILLAIN.] 390 .NÉVRALGIES ET ALGIES.' la pression des différents nerfs du bras réveille ces douleur
vant-bras d'un autre. La même variation existe pour la douleur à la pression ; quelquefois on ren- contre des points douloure
du cordon, mais le testicule lui-lèmu n'est pas doulou- reux il la pression ; tantôt il s'agit d'une névralgie des nerfs sperm
face interne de la cuisse jusqu'au genou. Le toucher vaginal et la pression du nerf au niveau du canal obturateur, les mouv
la marche, la station assise, la défécation. Le toucher rectal avec pression sur le coccyx est très doulou- reux. La coccygo
ie postérieure, et inférieure de la malléole externe. A la jambe la pression sur les masses musculaires du mollet réveilln l
smes violents. L'examen local ne montre rien de spécial, souvent la pression au niveau de la face plantaire réveille des dou
oisée sur l'autre, on place une main à demi-fermée, en exerçant une pression modérée sur le point à examiner. La main est plac
elle due à la cachexie, peut-être est-elle due à l'accroissement de pression du liquide cérébro-spinal. Les réflexes peuve
ied et de flexion des orteils provoqués chez l'individu sain par la pression du tendon Dans les cas pathologiques, la mêmes
plifier l'effort dans ce mouvement, on s'oppose à la flexion par la pression de la main sur la face antérieure de la cuisse.
expliqué, ainsi que de l'hyperesthésie des apophyses épineuses à la pression ou à la chaleur. Les signes radiculaires sont b
us- et non sous-jacentes. Syndrome cervical supérieur. Les com- pressions de la moelle cervicale portent, au ni- veau d
lysés, les différents usages de la main sont abolis, la plus légère pression exercée sur la face antérieure des deux dernièr
faible pour la partie interne de celui-ci, puisque une très légère pression exercée sur le premier métatar- sien empêche fa
jeu que dans les actes respiratoires exagérés pour lutter contre la pression aérienne exagérée que cette pression vienne du
exagérés pour lutter contre la pression aérienne exagérée que cette pression vienne du dehors comme cela se voit dans une fort
s de la partie inférieure de la face réveille, l'énergie dans l'ex- pression et dans les centres nerveux. » Foitx a indiqué
orise la circulation par appel du sang veineux et contre-halance la pression atmosphérique. Aussi il se contracte dans le ch
ieurs cas de paralysie radiculaire, une diminution très nette de la pression artérielle du côté de la paralysie. La paralysi
membre est douloureux. Les douleurs peuvent être provoquées par la pression des racines sur les transvérses, par la pressio
provoquées par la pression des racines sur les transvérses, par la pression dans le creux sus-claviculaire au niveau du poi
on dans le creux sus-claviculaire au niveau du point de Erb, par la pression des troncs nerveux, par la pression des masses
niveau du point de Erb, par la pression des troncs nerveux, par la pression des masses musculaires. Ces phénomènes le plus
. Paralysies radiculaires dans les pachyméningites, dans les com- pressions intrarachidiennes. - 'Les paralysies radiculaires
causes de la paralysie du spinal sont : les traumatismes, les com- pressions (lésions de la colonne vertébrale, mal de Pott, t
cas de paralysie radiale; dans les paralysies a frigore ou par com- pression on ne les observe presque jamais. Les troubles
le long de la trachée : la parole fait souvent revenir l'accès. La pression vers la grande corne de l'os hyoïde, ou au-dess
t la mesure du mou- vement exécuté. Un petit dynamomètre donnant la pression en kilo- grammes est l'instrument dont on se se
re névralgique, souvent fulgurant ou térébrant, et en douleurs à la pression des nerfs ou des muscles. Les troubles objectifs
tronc nerveux et les masses musculaires ne sont pas sensibles à la pression ; les douleurs sont parfois vives et localisées à
nt pour cause une compression nerveuse : compression du cubital par pression pro- longée sur le bord d'une lable chez les ta
sont très intenses, le nerf et les muscles sont très sensibles à la pression . Les névrites par compression sont plus fréquen
es diversement localisées dans cette affection sont dues à des com- pressions radiculaires. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARA
té qu'une hyperesthésie cutanée des mains et une hyperesthésie à la pression des troncs nerveux aug- mentés de volume et des
ements, des douleurs spontanées intermit- tentes, des douleurs à la pression du nerf atteint; ces douleurs s'ac- cusent, dev
, paroxystiques, intermittentes ou rémittentes, réveil- lées par la pression des nerfs ou des muscles, les troubles de la sens
pas de troubles sensitifs subjectifs ou objectifs, de douleurs à la pression des troncs nerveux ou des masses musculaires, t
ndes sali- vaires) ; système cardio-vasculaire : diminution de la pression artérielle, troubles cardiaques; système nerv
oires, l'acuité du début du processus, la douleur spontanée et à la pression , la faiblesse de la contraction évite- ront tou
énitaux et, en général, de tous troubles viscéraux, la douleur à la pression des troncs nerveux et des masses musculaires, l
accessoires que nous avons énumérés plus haut et de signes de com- pression cérébrale, souvent de signes d'altération d'organ
l'écluili- bre peu stable obtenu dans la position verticale par la pression récipro- que des os plus que par l'action syner
ns involontaires de matières et d'urines. Le pouls est fréquent, la pression artérielle élevée. Au bout de quelques secondes
servent au même titre que les salivations exagérées. TROUBLES DE LA PRESSION ARTÉRIELLE. 959 L'hyperidrose a été signalée da
nt quelquefois associées à des affections nerveuses. TROUBLES DE LA PRESSION ARTÉRIELLE La pression artérielle peut être tro
à des affections nerveuses. TROUBLES DE LA PRESSION ARTÉRIELLE La pression artérielle peut être troublée dans quelquos malad
dans quelquos maladies ner- veuses. La technique pour rechercher la pression artérielle est la sui- vante : l'appareil le pl
s'applique à l'artère radiale ; le manomètre doit être amorcé à une pression intérieure de 5 centimètres de mercure par exem
tion donnée par le manomètre, et le chiffre indiqué correspond à la pression artérielle. La pression artérielle mesurée avec
ètre, et le chiffre indiqué correspond à la pression artérielle. La pression artérielle mesurée avec cet appareil est, pour l'
arey : l'excès des battements du coeur entraîne la diminution de la pression artérielle. Cette tachycardie s'accompagne dans
rein; le testicule est rétracté, souvent dou- loureux lui-même a la pression . Les vomissements sont à peu près cons- tants.
l ne fait constater ni mobilité, ni augmentation de volume, mais la pression révèle une certaine douleur sur le trajet de l'
provoquer le besoin d'uriner; par le toucher vaginal, ou rectal, la pression sur la vessie est indolore, et enfin le jet res
la vessie est indolore, et enfin le jet reste plutôt affaibli et la pression vésicale s'abaisse. Enfin, l'urine ne renferme
RÉTENTIONS D'URINE. f neuse. arrondie, souvent douloureuse il la pression qui augmente le besoin; certaines circonstances
italement, soit par vice de fonctionnement, il ne résiste pas à une pression intravésicale si, comme pendant le sommeil, la
t pas par le repos, une légère dou- leur lombaire et urétérale à la pression et souvent une augmentation de volume du rein,
produirait, suivant quelques auteurs, pendant la défécation par la pression du bol fécal, chez les sujets qui ont observé u
trouve une prostate amplifiée, bosselée et sensible; à l'aide d'une pression modérée sur sa face postérieure on expulse du l
issant de même sur les vésicules on les trouve normales sans qu'une pression du doigt produise le moindre suintement. ¡Il .e
cile, leur mastication pénible, et contre des dents éversées par sa pression constante s'appuie une énorme langue cylin- dro
ractère paroxys- tique des douleurs spontanées ou provoquées par la pression des cornes de l'hyoïde ou des parois latérales
ominaux d'ailleurs : le ventre est souvent rétracté, c'est toul. La pression soulage plutôt le malade. Bientôt se prononce u
sse- ments et de troubles intestinaux. Le pouls est fréquent, et sa pression diminue de même que baisse la température. Plus
spepsie. L'ingestion des aliments ou des liquides glacés, la simple pression au creux épigastrique parfois, la provoquent. E
t indemne. La rétrac- tion ne peut être vaincue ; la traction, la pression sont douloureuses, et plus tard la paume est
veines sont comme voilées, mais il n'y a pas d'oedème véritable, la pression n'y laisse pas de godet. Les doigts sont fusifo
paroxysmes lancinants, dilacérants, spontanées et exagérées par la pression , le gonflement rouge violacé, « pivoine », chau
participation d'autres jointures, mais la raideur, la douleur a la pression , l'eeclènle persistent souvent beaucoup plus lo
itente, d'ordinaire partiellement ou totalement réduc- tible par la pression , ne laissera, pas de doute sur la cause de la par
ar traumatisme de la moelle, section incomplète, écrasement ou com- pression , par myélite Iransverse, par méningite ou )1J('.n
assurant l'équilibre de l'instrument. On se servira de la vis de pression selon l'indication fournie plus .loin (Voir D.
quand on sera parvenu à la dimension cherchée, on serrera la vis de pression . maintenant ainsi au degré voulu l'écartemeut d
ct sénile. A un âge plus avancé, la tare héréditaire n'a plus d'ex- pression aussi accentuée, il s'agit simplement d'enfant ma
tent pas de porter un jugement définitif sur leur valeur. ? '. La pression demande il être distinguée de la percussion. Elle
u de la base du crâne, la sensibilité de la voûte pharyngienne à la pression , dans les cas de tumeur de la fosse cérébrale m
a suite d'une ponction lombaire. Résultats de la ponction lombaire. Pression . Le liquide s'écoule en général goutte à goutte
en jet, ou très rapidement; dans ces cas, il y a augmentation de la pression ; cette pression peut être mesurée à l'aide d'un
rapidement; dans ces cas, il y a augmentation de la pression; cette pression peut être mesurée à l'aide d'un manomètre, plus
ube permet- tant au liquide de s'écouler dans le tube à essai. La pression calculée suivant l'appareil de Frank Eve est norm
que, on peut souvent se passer du manomètre et l'on appré- ciera la pression du liquide d'après l'écoulement, à condition que
l'ai- guille ait été bien nettoyée et bien ramonée au trocart. La pression du liquide céphalo-rachidien a pu être étudiée da
udiée dans l'épilepsie expérimentale sur des chiens; il a trouvé la pression augmentée pendant l'accès épileptique. La pre
il a trouvé la pression augmentée pendant l'accès épileptique. La pression a été trouvée encore augmentée dans les méningite
eim, Naunya), dans l'urémie, dans l'hyd1'o- céphalie. Cependant une pression normale a été rencontrée, dans ces mêmes maladi
ne peut tirer aucun argument de l'absence de cette augmentation de pression . Quantité du liquide céphalo-rachidien. La quan
es, lorsqu'il existe de fortes céphalalgies, a vu souvent de fortes pressions du liquide céphalo-rachi- dien. Dans dix cas su
les affections labyrinfhiques con- sécutives il une exagération de pression du liquide de l'oreille interne. Elle provoque
laire, les modifications physiques (accroissement de quantité et de pression ) peuvent être soupçonnées non seulement par la
chidien. Dans la crainte d'exagérer la différence déjà anormale des pressions intra- et extra-ventriculaires, il faut renonce
sible, sa répétition ne faisant qu'exa- gérer les différences de la pression intra-vcntriculaire et arachnoïdienne. 11 est à
inutile et peut devenir nuisible car elle exagère la différence des pressions intra- et extra-ventriodaires. II faut alors, s
ner un certain nombre de paraplégies traumatiques tardives par com- pression de la moelle. 2 ? DÉFORMATIONS PATHOLOGIQUES DU
dans certains cas de compression des nerfs, notamment dans les com- pressions produites par des tumeurs. L'électrodiagnostic, e
ou d'une névrite du nerf acoustique, ou d'affections augmentant la pression intra-cranienne comme les tumeurs de l'encé- ph
retentissement sur les organes du labyrinthe que l'augmentation de pression du liquide céphalo-rachidien rendrait plus gran
généralement plus grande qu'avec une concentration plus forte. La pression des électrodes sur les points où elles sont appli
sont appliquées entre aussi en ligne de compte. En augmentant cette pression , dans certaines limites toutefois de façon que
plus particulièrement les douleurs, soit spon- tanément, soit à la pression . Les principaux points douloureux dans la sciat
, accompagné souvent d'ilypcrcstliésie avec points douloureux il la pression ; il s'y ajoute a intervalles irréguliers et plu
, névralgie, 595. Paralysies radiculaires, 621. - Lésions et com- pressions , atrophies secondaires, 718. - lombo-sacré. Par
des paralysies radiculaires et des lésions médullaires, 342. Com- pression . Pied bot, 1055. - sacré. Paralysies radiculair
550. Pott. Radiothérapie des compressions mé- dullaires, 1187. Pression artérielle, troubles, 95J. Priapisme, 968. - Tr
éiologique, 303. Sensibilité. Examen dans l'aphasie, 216. - li la pression , 291. Voy. Pares- thésie. - articulaire, 291. C
13 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
a cloison du sinus maxillaire, se brisent avec facilité parla moindre pression , et occasionnent de fausses routes. Le seul moyen
glissait sur sa rainure une sonde cannelée qu'il introduisait avec la pression né-cessaire jusque dans la fosse nasale, pour fra
, la tuméfaction des membranes diminuant peu à peu par le fait de la pression permanente, la canule devient vacillante dans le
quitter cette rainure, retirer peu à peu la lame à mesure que par une pression médiocre on enfonce le mandrin. Le bistouri retir
u bord de la cornée ( fàg. 5,8). A ce moment l'œil étant fixé par une pression in-stantanée, en accord, des doigts de l'aide et
en bas. Suivant l'auteur il suffirait alors d'un simple mouvement de pression pour faire descendre le cristallin seul, par l'éc
t en quelque sorte, dans ce cas, qu'une évacuation, exposant, sous la pression nécessaire, à vider l'œil, comme l'ont démontré S
plat, opérer par de légers mouvemens de rotation de l'instrument une pression lente et bien graduée sur la paupière supérieure,
doigt devait s'insinuer entre l'œil et le plancher orbitaire. Sous la pression de haut en bas le cristallin s'incline sur son ax
cristallin franchit l'ouverture pupillaire. Les choses à ce point, la pression étant maintenue sur la paupière inférieure, et la
sens contraire, at-tendre un instant, fixer l'œil de nouveau par une pression un peu plus forte de l'indicateur vers l'angle in
ues instans; puis relever doucement la paupière, et, comme la moindre pression pourrait faire vider l'œil, il vaut mieux aller s
son con-tour déborde l'ouverture pupillaire. 8° Parfois , malgré la pression convenable, le cristallin n'est point expulsé. Il
une raison pour modérer mais non encore pour abandonner absolument la pression qui doit expulser cette lentille. Toutefois l'opé
ratomie. Seulement pour l'exécution de ce temps dernier on exerce des pressions douces et modérées sur la paupière inférieure, qu
, ou eu extrait ce que l'on peut; le reste est broyé sur place par la pression que l'on communique aux mors de la pince. Si le c
lement à l'ouver-ture de la cornée. M. Gibson alors exerce une légère pression sur l'œil, pour faire saillir cette membrane entr
é soit elle-même, dans tous les cas, facilement pratiquée sans que la pression nécessaire augmente la déchirure. 3° Procédé d'
as, on commence par engourdir la sensibilité du lobule par de légères pressions entre le pouce et l'indicateur ; puis on applique
de liège, d'une résistance médiocre, destiné à faire opposi-tion à la pression déterminée par l'instrument: on opère à droite de
le charge-ment du polype et aider à la rupture de son pédicule par la pression du doigt en arrière de l'instrument. 3° Par les
dans tous les cas, lors même que l'on y emploierait quelque moyen de pression mécanique, une pelote à vis, un bandage à ressort
et empêcher le canal de se fron-cer, Louis conseille d'y exercer des pressions douces avec les doigts, et de tendre les tégumens
ubstitué un trocart très délié ( fig. 3 ), dont le bouton terminal de pression se dévisse de manière que l'instru-ment tout enti
ritablement compri-mée qu'à sa surface cutanée, à moins d'exercer une pression si forte qu'il en résulterait des accidens. Mais,
fait une piqûre pour la vider. On aide à l'évacuation, par une double pression combinée au dedans de la bouche et au dessous de
es en avant de l'angle de la division. La section se continue par une pression légère en sciant obliquement de manière à diviser
ce intime du tissu vasculaire sous-muqueux avec le périoste, et de la pression continuelle de la langue contre la voûte palati
la fourchette, elle plonge dans l'amygdale, puis, par un mouvement de pression du pouce, qui fait faire bascule à son manche sur
développe, il distend outre mesure la peau et les muscles, et, par sa pression en profondeur, gène de plus en plus chaque jour l
flet est introduit dans l'extrémité de la sonde, et comme luté par la pression des doigts ou par un linge mouillé. C'est le chir
hronique ou actuel, il faut bien se garder néanmoins de forcer par la pression au passage de l'air. L'essentiel au reste n'est p
des parois tho-raciques, et on aide à la rendre plus complète par une pression méthodique exercée à-la-fois, avec les deux mains
ue mise en jeu par une tige centrale produit l'écartement; mais cette pression par trois points n'a eu que peu de succès. Enfin,
e d'a-bord , de le laisser renfermé dans la cavité de la plèvre où la pression qu'il exerce tend à en modérer ou en tarir la sou
ort par hémor-rhagie, la cavité qui en est le siège, dégagée de toute pression , se remplissant de nouveau, au fur et à mesure qu
moitié du liquide , en aidant , s'il esl besoin, à sa sortie, par une pression légère, détachant avec des pinces ou les doigts
ens cpii formaient au-dehors une tumeur fluctuante et rentrant par la pression dans la cavité delà plèvre. Dans le cas de M. Cru
pposition qu'aussi-tôtla plèvre percée, cet organe est refoulé par la pression atmosphé-rique; et si le poumon est adhérent, la
le doigt armé d'un dé, parvint à la rechasser à l'exté-rieur par une pression directe de dedans en dehors; mais si la lame s'en
ibres tout-à-coup, tandis qu'ils ont été long-temps affaissés sous la pression d'une force graduellement croissante. On fait ces
du liquide a été évacuée, l'auteur facilite l'expulsion par quelques pressions doucement ménagées et déterge la surface du foyer
tant que possible, de débrider vers l'angle supérieur de la plaie, la pression des viscères abdominaux s'exerçant avec d'autant
ctère essentiel est de pouvoir disparaître sous l'effort d'une légère pression , ou bien même par le seul effet d'une position fa
ns ; cette membrane souple et extensible se laisse dis-tendre sous la pression du viscère pour constituer un sac qui se moule su
hernie est dite irréductible, lorsque le dé-cubitus horizontal et la pression méthodiquement exercée sur la tumeur ne parvienne
canal conserve sa longueur naturelle, mais dans la hernie ancienne la pression continue des viscères a pour effet de redresser l
lammation, soit par le fait de la distension des enveloppes, ou de la pression exercée sur elles par les bandages, ces lamelles
exercés sur les fibres aponévrotiques de la ligne blanche, ou par la pression des viscères intérieurs, et, comme après tout, le
re par sa face externe, se confond avec lui, et plus tard, lorsque la pression des viscères ou des bandages s'est fait long-temp
ploon, lorsqu'il y a entéro-épi-plocèle. Le précepte de diriger les pressions suivant le trajet parcouru par la hernie , indiqu
peut être la source s'il est employé sans mesure ou sans méthode. Une pression brusque, trop forte ou mal dirigée peut confondre
la hernie et à la stature du malade; il faut que le brayer exerce une pression douce, uniforme et constante sur l'ou-verture apo
émorrhagie prove-nant cle la section d'artérioles superficielles ; la pression exercée par le doigt d'un aide, la torsion avec l
t polie, à sa forme spbérique, au Iremblottement qu'on y éprouve à la pression , par la présence presque constante d'une certaine
ir, se fermer même assez solidement pour résister définitivement à la pression des organes du ventre. Ce moyen d'obtenir la cure
eur, le cercle d'adhérences, tiraillé, s'allonge et se dilate sous la pression , et il se forme, entre l'in-testin et la fistule,
ar une grande mortaise; l'un et l'autre sont traversés par une vis de pression qui sert à les rapprocher ; en un mot, les branch
plication. Alors on les rapproche graduellement à l'aide de la vis de pression , en ayant l'attention de ne comprendre en arrière
ren lui-même recommande de porter rapidement, dès le premier jour, la pression qu'ils exercent, jus-qu'au point d'éteindre la vi
de bandes pour l'empêcher de vaciller , et chaque jour on augmente la pression , de manière qu'en sept à huit jours il se détach
t sur le vivant, car il tient à la présence des ma-tières fécales. La pression avec le doigt et la percussion sont les meilleurs
on est sur un intestin quel-conque. Le colon résistant davantage à la pression , le défaut de résistance en dehors est un signe
autre affection qui a pour effet d'entretenir une irrita-tion ou une pression au pourtour de l'anus. La fissure anale, en rai
l, la peau est plus ou moins violacée avec ou sans amin-cissement. La pression y donne la sensation d'un vide et déter-mine l'éc
pas précisément à l'orifice de l'in-testin, par un léger mouvement de pression en va et vient, tra-verse sa paroi et se loge dan
rer le bourrelet d'un linge fin; c'est en outre un moyen de rendre la pression moins forte et moins douloureuse. Bien qu'on reco
ons delà décrire : elle pouvait même causer de graves accidens par la pression qu'elle exerçait sur la partie pro-statique de Eu
ire franchir la portion prostatique de l'urètre, en le guidant par la pression de l'indi-cateur qui la fait pénétrer dans la ves
issant dans la vessie, sans cesser d'avoir la conscience de la légère pression qu'il exerce sur la paroi du canal qui lui sert d
insi la portion du canal qui restera à traverser ne supportera aucune pression capable d'en augmenter la courbure. Si le veru mo
on ôte le mandrin et l'on aide à la sortie de l'urine au moyen d'une pression douce et soutenue sur la région hypogas-trique en
rme et sa position. Il ne faut presser ni trop, ni trop peu ; par une pression trop forte, la cire deviendrait trop molle, s'éte
ion et pourrait se casser dans le rétrécissement, tandis que, par une pression trop faible, elle ne se moulerait pas suffisammen
emandrindeplomb ne fûttrop faiblepourré-sister, sans se courber, à la pression qu'il faut exercer contre le rétrécissement, a pr
ant d'abord assez fortement et en di-minuant ensuite graduellement la pression . Il serait inutile d'insister sur les inconvéni
etendue de h eau térisalion; 4" enfin d'un curseur, armé d'une vis de pression , ap-pliqué au tube et destiné à mesurer la profon
trajet rétréci, dans l'espèce de cul-de-sac formé en ce point par la pression de l'urine, de ma-nière à faire obstacle un premi
lle contient. Celui-ci ne pouvant ressortir de l'urètre à cause de la pression exercée sur le canal, pénètre bientôt dans l'ouve
irection rectiligne, pendant que le bec de la sonde s'insinue sous la pression de la main droite qui tient le pavillon, le chiru
ù elle serait enchatonnée à l'aide de la curette, du crochet et de la pression extérieure; ce qui ne présenterait pas beaucoup d
siège d'un prurit fréquent, quelquefois très douloureux; sentiment de pression sur le fondement; augmentation delà douleur par l
sme. La sensation d'un choc contre un corps dur et qui fuit sous la pression , indique la présence d'un calcul; offrant alors l
y a des calculs tellement friables, qu'ils s'écrasent sous la moindre pression . En général ce sont ceux qui contiennent le plus
s. 5° Mobilité ou fixité. La facilité à faire fuir le calcul par la pression de la sonde, indique qu'il est libre de toute adh
un état de demi-réplétion qui, en augmentant l'espace, empêche toute pression latérale sur la pierre; (c) par l'introduction, d
oulève le bas-fond de la vessie, en combinant cette manoeuvre avec la pression de la sonde. Toutefois si la pierre est d'un gran
le soulèvement du bas-fond par le doigt porté dans le rectum, avec la pression directe, sur la pierre, de la sonde in-troduite d
ir. Plus en avant encore existe une rondelle qui sup-porte une vis de pression destinée à fixer les deux canules l'une sur l'aut
vons indiqué, immédiatement au-dessous de sa boîte à cuir. Une vis de pression la fixe solidement en ce point. Une pièce mobile
rosse canule sur le litholabe au moyen de la rondelle et de la vis de pression dont nous avons parlé, on pousse le foret jusque
uffit, après avoir en-levé l'archet et l'étau, de desserrer la vis de pression qui fixe les deux canules l'une sur l'autre, et d
n fait rentrer le litholabe dans la chemise. Si dans les mouvemens de pression on est parvenu à faire éclater la pierre, il peut
onsécutif de cette coque s'opère ordinairement sous l'influence de la pression exercée à sa surface par les branches du litholab
uivi de l'éclatement du calcul. — Procédé de M. Rigal, faisant agirla pression de dedans en dehors; c'est à pro-prement parler p
ls en-tiers comme à leurs fragmens. Ce brisement peut s'obtenir par pression ou par percussion, ou bien à-la-fois par pression
peut s'obtenir par pression ou par percussion, ou bien à-la-fois par pression et par percussion. i° Broiement des calculs par
ois par pression et par percussion. i° Broiement des calculs par la pression seule. Cette espèce de broiement comprend deux
, tend à l'écraser. De cette double action résulte pour le calcul une pression qui augmente à chaque coup de levier; dès-lors il
nous avons déjà parlé dans l'article précé-dent, peut aussi agir par pression et servir pour l'écrasement ; mais comme l'une de
ncrée en demi-lune, au retrait du bassin en arrière. écrasement par pression combinée avec la percussion. D'une part, la per
r y déterminer des lésions plus ou moins graves ; et d'autre part, la pression seule suffisant quelque-fois pour opérer l'écrase
ortées au mode daction et à l'intensité de la force comprimante. \" Pression avec la main. Ce moyen ayant paru suffire dans le
e presse la paume de la main. Plus tard , M. Bancal, pour obtenir une pression plus forte, fit adapter à chacune des branches de
mentait graduellement. Sans doute avec ces deux poignées, la force de pression était beaucoup accrue, mais leur emploi a été gén
gmens d'une pierre déjà morcelée par l'emploi des autres moyens. 20 Pression avec la vis et l'écrou. Pour agir avec une force
t l'écrou. Pour agir avec une force bien supérieure et substituer une pression régulière et graduelle à une pression brusque et
en supérieure et substituer une pression régulière et graduelle à une pression brusque et irrégulière, M. Touzay, en 1832, ima-g
la branche mâle pénètre jusqu'au fond de cette poignée où une vis de pression , située à l'extérieur, pénètre dans une petite go
ident que dans le système de Touzay, Clot-Bey et Sirhenry, lorsque la pression paraissait suffisante et même dangereuse, on ne p
magina une gouttière semblable à celle de Touzay, seulement sa vis de pression était creuse et tra-versée dans toute sa longueur
sans secousses ; il peut d'ailleurs servir comme les autres soit à la pression , soit à la percussion qu'on exerce plus com-modém
ionnemens incontestables dont nous venons de parler, les instrumens à pression et à percussion lais-saient quelque chose à désir
ression et à percussion lais-saient quelque chose à désirer. Ainsi la pression et la percussion se succédaient et n'avaient pas
eu en même temps, et de plus on ne savait pas reconnaître le degré de pression que pouvait supporter l'instrument sans se rompre
la partie des calculs qui fait saillie à travers les yeux s'opère par pression , à l'aide d'un mandrin flexible et articulé qui r
ui ont été signalés par tous les observateurs, sont sou-vent dus à la pression et au développement du calcul lui-même, et peuven
on de l'urine. M. Ci-viale conseille, en pareil cas, de pratiquer une pression douce et graduée sur le point du canal où existai
au jugement commun de tous les chirurgiens, les nouveaux instrumens à pression et à percussion ont doublé depuis la valeur de la
t dans sa partie membraneuse. Il paraît aussi destiné à résister à la pression des viscères, et forme une barrière qui ré-siste
il bascule et fait sortir la lame qui rentre aussitôt qu'on cesse la pression . Le mécanisme est commandé par un ressort dont un
vec l'incision et extérieure, mais cet angle s'efface aisément par la pression « exercée avec le doigt et n'oppose aucun obstacl
stituantes du périnée , peut nécessiter de la part de l'opérateur une pression et des efforts cpii le fassent agir par saccade,
l'index était trop court pour atteindre la pierre, on exercerait des pressions sur l'hypogastre avec l'autre main, pour abaisser
est parvenu à en extraire un, gros comme un œuf, qui s'écrasa sous la pression des tenettes. L'extraction du calcul par l'inci
collement des tissus qui résulterait des efforts de la femme et de la pression de la tête contre les parties environnantes. Buef
introduire le doigt à travers l'ouverture de l'hymen ou d'exercer des pressions suiT'hypogastre pour hâter la sortie du sang, par
ièrement à la palpation des organes de l'abdomen et du bassin , parla pression qui fait distinguer les différentes sortes de tum
manche sont fixées au point d'écartement qu'oui désire par une vis de pression qui presse sur une traverse. Le spé-culum de M. R
er à volonté, et la ramener au centre du bassin à l'aide d'une vis de pression . Dans la figure 31, le spéculum porte une branche
deux ou trois fois par jour, exprime le fluideurinaire par la simple pression qui réagit sur l'éponge, et vide en entier l'inst
dernier, qui forme la base, est libre, et peut être rapetissé par la pression . Lorsqu'on veut le placer, on réduit sa base en l
e écrou, dont cette plaque est inunie, on peut graduer à volonté e sa pression . Cette machine comprime à-la-fois l'anus et le pé
t-il , est très fatigante , et lorsqu'on veut opérer la réduction, la pression qu'on exerce sur l'utérus cause une douleur si po
M. Amussat fut obligé de faire suspendre les tractions, parce que la pression du col sur son doigt l'empêchait d'agir. En vain
membres inférieurs, causés par les tractions du chirurgien et par la pression de la masse utérine sur les plexus nerveux hypoga
facilement à la présence d'une espèce d'an-neau, au-dessus duquel la pression fait sentir du vide. Alors, il confie les érignes
, 24°-242. Ecrasement parla percussion seule, 242-244; écrasement par pression et percussion, 244- 246. — Broiement et extractio
duite par rallongement du diamètre antéro-postérieur que détermine la pression des muscles de l'œil, aux deux côtés des diamètre
nale, et qu'elle peut guérir, à ce qu'il paraît, en faisant cesser la pression , ou, en d'autres termes, en pratiquant dans l'un
n et le trouble instantané de la vue quand on exerce avec le doigt la pression la plus légère sur la paupière supérieure; la sec
gard des bords périphériques des cartilages tarses, et par une légère pression enfoncent, ou, comme leur nom l'indi-que, refoule
art de rotation qui incline la lame en avant, et d'exercer une petite pression pour diviser le muscle dont la section s'annonce
s où cette membrane n'est pas largement ouverte. On y remédie par une pression légère qui évacue le sang, au besoin par une piqû
u-rose soupçonnée par contraction musculaire, ou en quelque sorte par pression de la rétine sous l'influence des muscles droits
mment l'atrophie ou la résorption d u tissu osseux dans les points de pressions , et produit, en particulier, ces incurvations du
dantes aux concavités à l'ex-térieur, et se creuse, par l'effet de la pression continue, un canal supplémentaire. Les nerfs scia
er est plus ou moins épaisse, la section s'en opère ou par une simple pression en reti-rant l'instrument, ou par de petits mouve
eux mains qui se succèdent et se suppléent sans jamais interrompre la pression . Si la section doit être sous-musculaire, l'ins
e, qu'un plancher mou qui ne permet pas de diriger méthodique-ment la pression , comme, par exemple, la section du sterno-cléido-
d'une part les liens se relâchent, et de l'autre, le pied cédant à la pression de l'appareil diminue de volume, et se trouvant p
appareils de fracture et de luxation, la régularité et le degré de la pression doivent être surveillés attentivement, pour ne pa
le plus de ménagement possible une partie du moule , et alors, si la pression du plâtre avait donné lieu à quelques lésions, en
ion impossible. Les condyles du fémur s'aplatissent sur les points de pression et s'atrophient sur les autres ; les cavités du t
ture inconnue, mais dont l'effet estde dé-terminer dans les points de pression une absorption, ou, si l'on veut, une atrophie du
la collection n'est que très peu abondante, on peut, en aidant par la pression , lui donner issue de cette manière. Que si, au co
du chirurgien ( h), de manière a fixerait besoin l'œil entre les deux pressions . L'instrument est tenu de la main droite de l'opé
que décrit le cristallin pour son expulsion au dehors sous la double pression du doigt indicateur au-dessous de l'œil (d), et d
lie du cristallin. Figure 5. Sortie du cristallin au dehors sous la pression du doigt et du manche de l'instrument. C'est le m
pression du doigt et du manche de l'instrument. C'est le moment où la pression doit être enlevée. Figure G.- Extraction avec d
allin pour son expulsion par la plaie de la cornée. Les deux modes de pression sont renversés, et les incli-naisons du cristalli
de deux ressorts (e) et s'ouvrent à la volonté de l'opérateur par la pression sur deux boutons (f). Cette pince introduite ferm
istallin. Ligure 10. Réelinaison du cristallin. La lentille, par la pression de l'aiguille en avant de son contour supérieur s
gra-dué dans l'étendue de 25 millimètres; une virole avec une vis de pression (c) empêche la sonde de remonter sur le mandrin.
rps étranger et le ramène sous les branches de la tige b. Deux vis de pression (e, f) fixent les tiges préhensives (b, d) dans l
articulées par des genouillères sphériques, se prête, sans cesser la pression , à toute espèce de mouvement. Figure 4. Détails
al on les voit s'enfoncer en dehors, où elles ont été écartées par la pression des viscères. (e) Vaisseaux épigastriques, situ
que l'on fait glisser le long de la canule et que l'on y accumule par pression en tirant au dehors sur les bords de la chemise d
r la portion prostatique de l'urètre, guidée dans ce mouvement par la pression de l'in-dicateur qui la fait pénétrer dans la ves
e. — e. Muscles pubio-urétraux. Ils se relè-vent vers le pubis par la pression de la sonde droite (fig. 6). — f. g. Les deux lèv
at (1827). Il agit par un mouvement de va-et-vient des mors, et par pression en les rentrant dans la canule. Cet instrument es
astique (Charrière). Depuis le premier inventeur, les instrumens de pression et percussion ont subi de nombreuses modification
niers instrumens offrent l'assemblage de ces diverses combinaisons. Pression graduelle par une vis et une poignée. 23. Goutt
nouveaux, réunissent toutes les conditions imaginées pour graduer la pression et faire écraser ou éclater le calcul. 28. Perc
permettre au calcul de s'y engager. 29. Percuteur h trois genres de pression . 1° A l'extrémité une plaque (a) pour appuyer a
n pignon dans une douille horizontale (Charrière). 3° Enfin, si cette pression est encore insuffisante, le marteau vient frapper
URÉTHRALE. Figure i . A. Main d'un aide qui relève le pénil, par la pression , à plat, de son bord cubital, en remontant sur le
e sorte que l'instrument, dans son entier, représente la lettre K. La pression de la main sur la branche courbe (d), qui l'appli
e con-ductrice. 37,38. Sondes à dard. — 37. Sonde du frère Côme. La pression sur le bouton (a) du stylet (b), dégage la pointe
s viscères repoussés en haut dans le sac péritonéal sont fixés par la pression des doigts de la main gauche d'un aide (a), tandi
en relief sous les tégumens, le doigt indicateur gauche dirigeant la pression . FIGURES 3, 4, 5. Section du tendon d'Achille d
14 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lé l'existence chez son malade, d'une douleur apparaissant par la pression dans la région qui correspond à celle de l'o- v
sorte; on sait même que les infirmières réduisent souvent la com- pression des ovaires à sa plus simple expression en s'as
une mensuration directe : l'action de tel poids sur le sens de la pression est trois fois celle de tel autre; telle lumièr
res points, il s'est atta- ché d'une manière spéciale au sens de la pression . Il s'est demandé : étant donnée une série de p
de 1/100 pour le sens de la vue, elle est de 1/3 pour le sens de la pression , de la température et du son, et de 1/17 pour l
ction de nos muscles; pour d'autres, il nous fournit les notions de pression , ou encore de poids et de résistance. Pour un g
LE SENS MUSCULAIRE. 85 pour le distinguer du sens tactile. Par la pression cutanée, en effet, nous ne pouvons percevoir qu
ement. Il serait fort possible que l'appréciation du poids et de la pression , dans le cas où nous soulevons et résistons, so
re. Les dernières, c'est-à-dire les sensations déter- minées par la pression externe ont leur siège en partie dans la peau e
chair, auquel cas elles appartiennent au sens musculaire. Ces im- pressions sont de simples modifications des nerfs sensitifs
r le courant électrique seul. Il montra de plus que la sensation de pression nous permet d'apprécier beaucoup plus faiblemen
ent, il naît en même temps dans les mêmes centres spinaux des im- pressions qui vont renseigner le sensorium sur l'exécution
une résultante provenant de trois facteurs différents, sensation de pression de la peau et des parties sous-cutanées, sensat
Bras droit. Rien de particulier à la palpation. Douleur nulle à la pression sur les troncs nerveux, sur le plexus brachial,
. La peau de- 102 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. vient livide à la pression , froide, humide, légèrement oeJématiér. Doigts
e dos de la main. Anesthésie complète de la peau au toucher, à la pression , à la piqûre, à la brûlure. On peut la tiraille
on sudorale, sans troubles de la sensibilité, sauf une douleur à la pression au point de Erb. REVUE DE pathologie NERVEUSE.
rche des points hystérogènes, susceptibles de déterminer par com- pression , soit de vraies attaques de nerfs, soit des auras
de quelques secondes : seulement, chez les prédisposés, cette im- pression persiste et engendre la notion cérébrale d'une
la grosseur d'une noi- sette, qui la faisait souffrir, surtout à la pression . Soignée à Saint-Antoine par des applications d
tc. Au dynamomètre, elle donne facile- ment avec la main gauche une pression de 40 kilog., tandis que de la main droite elle
uer la peau, sans que la ma- lade perçoive autre chose qu'une im- pression de contact : elle est également incapable de dist
fort à faire pour produire un mouvement déterminé, pour fournir une pression un peu soutenue par exemple : mais il est possi
oujours aussi considérable et la malade pouvait à peine fournir une pression de 4 ou 5 kilogrammes avec sa main droite, alor
uvements de l'avant-bras, il recom- manda à la malade d'exercer une pression sur un dynamomètre quatre fois par jour, pendan
mplir un mouvement voulu. Elle donne mainte- nant, sans effort, une pression de 30 kilogrammes au dynamo- mètre avec sa main
e au niveau du court adducteur du pouce, lequel est douloureux à la pression : sauf ce léger malaise, la malade peut être co
ule évocation du mouvement lui-même, en exerçant méthodiquement des pressions sur le dyna- momètre. 198 PATHOLOGIE NERVEUSE
on tient souvent le malade éveillé. Les nerfs sont sensibles à la pression et dans l'extension du membre. Ce même fait de
ainsi que du sens musculaire ; conservation de la sensibilité à la pression sur tout le cuir chevelu, le front, le long de
diens, maisl'organe lui-même est demeuré mou, indolore, même à la pression ; on yperçoitun bruit systolique très net, un peu
sentir partout, surtout dans la jambe droite devenue sensible à la pression même légère. La malade dort beaucoup, mais son
nou et phénomène du pied vigoureux. Crâne également douloureux à la pression et à la percussion des deux côtés; rien du côté
ue instantanément. L'attaque peut aussi être déterminée par l'im- pression de tout ce qui frappe l'imagination de la malade,
lés. On les provoque de même par la fixation du regard ou la com- pression des zone= hystérogènes (ovaii es, régions sous-ma
e l'état de sommeil au réveil complet, on peut en cessant la com- pression immobiliser le sujet les bras en croix; si on rap
frénateurs, car, une fois le sommeil produit, c'est par leur com- pression qu'on détermine le réveil. Nous avons déjà vu q
l'avant-bras gauche, mais ce moyen échoue. On l'endort alors par la pression du poignet, et, pendant son sommeil, on lui sug-
net, et, pendant son sommeil, on lui sug- gère de s'endormir par la pression de l'avant-bras gauche. Une fois éveillée, on c
a ramène à l'attaque primitive de sommeil. 14. On l'endort par la pression du poignet gauche et on lui ordonne de s'habill
indifférente : par la suggestion, par la fixation du regard, par la pression des zones hypnogènes, nous arrivons toujours au
es, c'est-à-dire les procédés les plus simples, fixation du regard, pression du vertex, rayon électrique, etc. Tout changeme
éthargie. Est-elle en somnambulisme provoqué ? Nous avons essayé la pression sur le vertex (moyen classique de passer au som
eption des impressions tactiles était aussi diminuée; cependant une pression un peu accen- tuée fut perçue dans toute la rég
passifs) est normal. Les nerfs et les muscles sont insensibles à la pression . Il existe toute une série de troubles inconsta
ugmentés. L'appétit est bon. Après une nourriture abondante, il y a pression à l'épigastre, 'parfois des renvois. Le ventre es
e, 'parfois des renvois. Le ventre est lé- gèrement douloureux à la pression ; il y a tendance à la consti- pation. Pendant t
s coxalgies d'origine capsulaire, la douleur est réveillée par la pression directe de la fête fémorale, au-dessous de l'arca
moïde (en avant du sillon crucial), détermine une augmen- tation de pression qui s'établit à la suite d'une phase latente pl
établit à la suite d'une phase latente plus ou moins longue ; 2° la pression après avoir diminué augmente quand on excite di
endant, dans ces conditions, on ne constate que de la diminution de pression . 3° L'excitation de la région de passage entre
ne du sillon crucial) détermine généralement une augmentation de la pression qui s'installe après une période de latence ; q
me qui environne la scissure de Sylvius détermine un abaissement de pression qui n'est jamais suivi d'hyperpression. C'est l
t 4 H revue d'anatomie ET DE physiologie. les modifications de la pression que l'on obtienne par l'excitation de la région
cerveau. Leur excitation détermine tou- jours une exagération de la pression sanguine. C'est surtout celle de la couche opti
allidus du noyau lenticulaire qui exerce l'action la plus nette. La pression est encore manifestement augmentée quand on exc
e optique) ont bel et bien la propriété d'exa- gérer directement la pression sanguine. Et les hémisphères cérébraux renferme
ion de la partie posté- rieure de la couronne rayonnante exagère la pression sans que le coeur soit en rien atteint. 0 Enf
iastole. P.K. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 115 VI. DE la pression GERÊURALE ET DE la COIPnESSI01LITÉ DU cerveau-
t que de 36 millionièmes 63, landisquel'eau bouillie, sous une même pression , a une compres- de 46 millionièmes'23. Mêmes ré
s est moins compressible que l'eau bouillie. -En ce qui concerne la pression contre la manière de voir d'Adamkiewicz ' relativ
la dépendance qui existe entre le liquide céphalo- 1 achidien et la pression sanguine, M. Grashey rappelle que cette mérite
e élastique et introdui- sons-y une quantité croissante de liquide ( pression accélérée du sang), ou a beau augmenter continu
pression accélérée du sang), ou a beau augmenter continuellement la pression par ce procédé, le tube élastique ne se comprim
diurne, son intensité est modérée, c'est une sensation pénible de pression et de serrement plutôt qu'une douleur au sens pro
par Audry, 111. TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. 459 Pression cérébrale et compressibi- lité du cerveau, par.
n cérébrale et compressibi- lité du cerveau, par. Grashey, 415. Pression sanguine (de l'influence de l'écorce du cerveau
15 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
apason, bruit intense et inattendu (bruit du gong), fixité du regard, pression des globes oculaires. C'est également à ces premi
çoive. La force musculaire est affaiblie, principalement à droite. La pression dynamométrique est de 9 pour la main droite et de
hystériques le docteur J. Moreau s'exprime ainsi : « C'est sous la pression d'idées de vengeance, de terreur, le plus souvent
jambe droite; les muscles présentaient aussi de l'hyperesthésie à la pression et au contact du lit, et la malade était obligée
douleur n'est pas spontanément accusée; il faut la rechercher par la pression , et, en pareille circonstance, on note les phénom
ntale se trouve le foyer douloureux qu'accusent les malades et que la pression exercée à l'aide du doigt met d'ailleurs en évide
ry), compliquées parfois de nausées et de vo-missements ; puis, si la pression est continuée, surviennent bientôt des palpitatio
TÉROGÈNES Nous avons vu que l'attaque pouvait être provoquée par la pression sur l'ovaire douloureux. C'est là le point de dép
té signalé par les auteurs. Ainsi Willing et Turk ont constaté qu'une pression exercée sur les apophyses épi-neuses pouvait prov
er des convulsions et même des attaques. Dans d'autres cas, c'est une pression profonde sur l'ovaire ou la rég'on épigastrique (
les grandes attaques il semble que l'excitabilité soit épuisée, et la pression de la zone indiquée n'a-mène plus aucun phénomène
ions. Ce fait est déjà connu depuis longtemps pour ce qui est de la pression ovarienne. Aux auteurs qui ont prétendu que la co
les existent, la même manœuvre les fait cesser. Nous avons dit que la pression ovarienne légère déterminait l'apparition des phé
rdait pas à suivre. A peine les convulsions ont-elles dé-buté, qu'une pression un peu plus forte les arrête instantanément. Qu
dans le premier cas; dans le second il faut donner la préférence à la pression . Quand la malade possède plusieurs zones hystér
nnée par le frottement sur les apophyses épineuses est arrêtée par la pression sur les côtés du sternum et réciproquement. Chez
née par le frottement sur les apophyses épi-neuses est arrêtée par la pression ovarienne et réciproquement-L'expérience peut êtr
chemin de fer ». Chaque fois que nous avons réveillé la malade par la pression ovarienne au milieu de ces mouvements, elle nous
es hallucinations de la troisième période. Wit..., réveillée par la pression ovarienne au milieu de l'arc de cercle, laisse éc
passionnelle. si on lui demande, en la réveillant subitement par la pression ova-rienne, pourquoi elle regarde ainsi, et ce qu
is d'appeler du nom de Camille celui qui, arrêtant son attaque par la pression ovarienne, amène ce délire de la qua-trième pério
e série de séries. Cet ordre est tellement invariable que si par 1a pression ova-rienne on supprime l'attaque n° I à son début
tant mieux... Oh! tout ce sang!... c'est bien fait. » 10 h. 22. La pression ovarienne ramène la connaissance, qui disparaît a
clonique par la compression ovarienne. La malade reprend ses sens. La pression sur le point hyperesthésique mammaire pro-voque u
on. —Vision affreuse en haut et à droite; la malade veut fuir. Par la pression thoracique nous arrêtons l'attaque et la malade r
côté gauche (elle montre la région ova-rienne). Pendant la crise, une pression même légère au sommet de la tète sous les seins o
oration des tissus, et une hyperesthésie générale assez prononcée. La pression sur l'ovaire droit est très douloureuse. Les règl
eux sortes de cris : des cris d'effroi et des cris de douleur sous la pression ovarienne. — La voix est entrecoupée de sanglots.
se sent brisée et se plaint amèrement de la douleur consécutive à la pression . Celte douleur dure toujours 4-8 heures au moins.
, il y a hyperesthésie, et cette douleur qu'il faut rechercher par la pression est limitée à l'ovaire (ovaralgie); car partout,
énomènes catalep-tiformesl. Je signalerai également l'influence de la pression caro-tidienne sur l'arrêt des attaques et celle d
normal. » La jambe est froide; le ventre ballonné, douloureux à la pression ; colique soif, appétit augmenté. (Potion antispa
son appartement ; là, comme ces joujoux à ressort que la plus légère pression fait sauter dans tous les sens, elle exécutait de
on devoir M. Schiitzenberger provoquer des attaques en pratiquant une pression sur la région ovarique. Ici, tout au contraire, u
uant une pression sur la région ovarique. Ici, tout au contraire, une pression sur la région ovarique arrête l'attaque. Si, au d
res nettement tranchés et se succédant comme il convient. De plus, la pression ovarienne arrêtait les attaques ; il existait mêm
e. Tandis que tout le reste du corps était insensible, la plus légère pression sur le testicule droit déter-minait de grands mou
ds mouvements s'arrêtaient subitement au mo-ment précis où cessait la pression . Ce n'était point la sensibilité spéciale à l'org
contraction des muscles qu'il innerve. Ainsi, il suffît d'une légère pression faite en avant du lobule de l'oreille, au point o
e l'état hypnotique. La malade n'a absolument conscience de rien ; la pression de la zone hystérogène, qui arrête l'attaque, ne
veaux coups de gong la mettent en catalepsie. On la réveille par la pression ovarienne : elle recouvre ses sens, mais un résul
OBSERVATION. — LÉTHARGIE HYSTÉRIQUE PRODUITE SOUS l'iN-FLUENCE de LA PRESSION DES GLOBES OCULAIRES. La pression des globes oc
PRODUITE SOUS l'iN-FLUENCE de LA PRESSION DES GLOBES OCULAIRES. La pression des globes oculaires, suivant le procédé employé
ire B... porte sur le sommet de la tête une zone hyperesthésique ; la pression en est fort douloureuse. Lors- qu'on pratique c
e ; la pression en est fort douloureuse. Lors- qu'on pratique cette pression , on provoque une sorte de vertige épileptoïde, la
ie avec hyperexcitabilité musculaire. Si alors on vient à exercer une pression sur le sommet de la tête, on voit survenir une éb
t. Pendant ce deuxième état de sommeil, si l'on vient à exercer une pression sur les globes oculaires, la malade pousse un pro
ité, ou la léthargie sans hyperexcitabilité, suivant qu'on exerce une pression sur les globes oculaires ou sur le sommet de la t
e nous avons plusieurs fois ar-rêté subitement les convulsions par la pression sur le sommet de la tête et amené la production d
ènes épileptoïdes du début sont plus ou moins accusés sui-vant que la pression du vertex est plus ou moins forte. 2" La produc
éthargie hystérique proprement dite, n'existe pas ici. Le massage, la pression laissent le muscle inerte; mais la contracture mu
alors dans le même état que celui que nous pou-vions provoquer par la pression du vertex, et ce qui nous confirma encore dans ce
i nous confirma encore dans cette opinion c'est que nous pûmes par la pression oculaire faire reparaître l'hyper-excitabilité ne
et inattendus. c) . Si le gong demeure actaellenient sans effet, la pression sur le conduit auditif externe du côté gauche seu
ptique parfait, qui se transformait immédiatement en léthargie par la pression sur les globes oculaires. Une sorte de catalepsie
ation légère suffit pour réveiller la malade : souffle sur le visage, pression ovarienne, etc. La pression sur les globes ocul
ller la malade : souffle sur le visage, pression ovarienne, etc. La pression sur les globes oculaires, comme la suspension bru
aleptique. Le simple souffle sur le visage ne suffit plus. Il faut la pression ovarienne qui immé-diatement ramène la connaissan
ieure fait le plus souvent tomber la malade en léthargie. Enfin, la pression sur les globes oculaires peut chez certaines hyst
Lasègue décrit ainsi l'invasion du sommeil hystérique provoqué par la pression oculaire : (( Lorsque, chez une hystérique du t
leurs principaux caractères. Par exemple, Rar... est rendue, par la pression du verlex, léthargique sans hyperexcitabilité (vo
du verlex, léthargique sans hyperexcitabilité (voy. obs. p. 381). La pression sur les deux yeux peut modifier son état et faire
ux peut modifier son état et faire reparaître l'hyperexcitabilité. La pression sur un seul œil ne fait revenir l'hyperexcitabili
cet état que j'appelle pour plus de concision le deuxième sommeil, la pression sur l'œil gauche ramène l'hyperexci-tabilité dans
les résultats obtenus par M. La-sèguc sur certaines hystériques parla pression des globes oculan^es. En effet, la catalepsie qu'
tante chez la plupart de nos malades par la friction ou simplement la pression sur le vertex pendant l'état de léthargie avec hy
t les suivants : 1° Lorsque le début est brusque, occasionné par la pression du vertex, il est accompagné, comme dans la létha
pas. Il est impossible de provoquer la contracture du muscle, par la pression ou le massage. Mais il existe un ordre de contrac
ve un assez grand nombre dans les auteurs -. 12" Possibilité par la pression oculaire de faire reparaître la lé-thargie avec h
mbres supérieurs. En insistant un peu, fon n'obtient rien de plus. La pression des ovaires ne produit aucun résultat; la pressio
t rien de plus. La pression des ovaires ne produit aucun résultat; la pression sur les globes oculaires également. Quand elle
ue et profonde, tantôt prolongée et énergique ; j'excitai par la même pression tous les muscles de la face du côté gauche, rien
e prolongeais l'excitation du facial droit en maintenant fortement la pression du doigt, pour voir si je n'arriverais pas à une
rrêtée par la production du sommeil hystérique sous l'influence de la pression oculaire. Mais, chose singulière ! une seule pers
n'intervient pas, ne peuvent être arrêtées que par un seul moyen, la pression oculaire et frontale, et encore ce moyen ne réuss
instants, mais la série des lamentations n'est point interrompue. La pression des ovaires, la pression sous les deux seins, o
s lamentations n'est point interrompue. La pression des ovaires, la pression sous les deux seins, ou sur le sommet de la tête
lle n'en existe pas moins manifestement ici. En effet en exerçant une pression immédiatement au-dessous du lobule de l'oreille p
scles voisins de ceux qui ont été touchés. Aux membres supérieurs, la pression sur la partie antérieure de l'avant-bras, amène u
plaçant ma main sur le front et les yeux de la malade pour essayer la pression oculaire, je ramène la crise convulsive qu'il m'e
uand elle mange. Le ventre se ballon-nait, était très douloureux à la pression . Constipation habituelle. Mangeait peu, et vomiss
d'ammoniaque placé sous la narine droite. Une fois réveillée par la pression ovarienne, la malade est plongée par la fixité du
nes. L'hyperexcitabilité musculaire existe. — On contracture par la pression les muscles des bras. A la face on contracture le
ruit la malade, quand elle a sa connaissance, tombe en catalepsie. La pression ovarienne la réveille. Favrot rapporte un cas d
ter, au moins immédiatement, une fatigue apparente.....(p. 45). Une pression , si minime qu'elle fût, amenait, quoique après un
des résultats identiques ; ainsi, la jambe fléchie sur la cuisse, la pression des muscles gastro-cnémiens amenait son extension
nait son extension; inversement, la flexion suivait immédiatement une pression exercée au niveau des extenseurs... (p. 46). En
nt notable, et qu'au lieu de la parésie ha-bituelle en pareil cas, la pression de la main indique une force en rapport avec le d
lusieurs semaines, plusieurs mois, voire plusieurs années. La moindre pression , le moindre frôlement, le moindre mouvement provo
arrondie. — Sur cette tige, seconde bague supportant la grande vis de pression . )) Les deux bagues pouvant être fixées par une
'ensuit que FiG. lOi. l'on peut diriger l'axe de la grande vis de pression dans telle direc-tion que l'on voudra, et la main
mmuable dans cette direc-tion. )) A l'extrémité de la grande vis de pression est vissée une pelote compressive en liège et à p
rande vis de pression est vissée une pelote compressive en liège et à pression continue au moyen d'un ressort à spirale; la pelo
es deux vis pour garder cette direction et à tourner la grande vis de pression jusqu'à ce que la pelote compressive soit venue r
anger, puisque la pelote est vissée à l'extrémité de la grande vis de pression . » Signalons encore la disparition des points h
les grands secours. Les petits secours consistaient en attouchements, pressions , coups modérés sur diverses parties du corps, et
se montrer les stigmates du crucifiement, se creusaient comme sous la pression d'un corps en demi-relief. En môme temps, cette p
e observation. — Léthargie hystérique produite sous l'influence de la pression des globes oculaires.............................
tion. — Production d'une autre variété de léthargie hystérique par la pression sur le vertex. — Léthargie sans hyperex-citabilit
16 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de l'étendue d'une pièce de cinquante centimes, douloureuse à une pression même légère. A la suite de cette blessure, il est
ge, que ces attaques peuvent être infailliblement provoquées par la pression sur cer- taines zones, telles que les globes oc
écissement du champ visuel; le testicule gauche est douloureux à la pression ; l'hémiplégie est absolue pendant une durée de
ule gauche remonte jus- qu'à l'anneau, et il est très sensible à la pression ; la douleur provoquée par la pression ne reste
et il est très sensible à la pression; la douleur provoquée par la pression ne reste pas localisée au testicule,. elle remo
ains in- dividus ; ceux-ci sont obligés d'accepter la dernièreim- pression , parce que ou leurs images de mémoire sont perd
endantes et de leur voisinage ? Les recherches d'Adamkiewicz sur la pression cérébrale (Acad. des sciences de Berlin, t. LXXXV
ont nous décorons le mot délire pour rendre, conformément à l'ex- pression des faits décrits par les aliénistes allemands mo
l'aliénation mentale au caractère de l'individu (tendance à la dé- pression exagérée pour le motif le plus futile), à l'exist
D'ordinaire, ni en écrivant, ni en parlant, il ne se trompe d'ex- pression , cet état s'aggrave pendant les quatre mois suiva
es de connexion, mais par simple diminution dans la durée des im- pressions sur les éléments sensoriels, ceux-ci, altérés dan
x; cette hyperémie dans la boîte crâniene produit une diminution de pression du sang dans les artères, et nécessite une impu
tres de long, blanche, dépourvue d'adhérences, non douloureuse à la pression , parallèle à la suture sagittale et située à 3
point un enfoncement eu rigole, large comme le doigt, sensible à la pression , mais non épileptogène. D'ailleurs, il s'agit d'u
on lacrymale s'est tarie du même côté. Sensibilité très grande à la pression du nerf sous-orbitaire à son point d'émergence, p
ce travail, on y trouve une étude de l'état et les variations de la pression 128 VARIA. sanguine sous l'influence de cette
l inguinal, une petite tumeur assez dure, mais non douloureuse à la pression qui parait être le testicule droit. A droite, a
(Voir fig. 9 et 10.) Le testicule droit est un peu douloureux à la pression . Dans le flanc droit existe un point très doulo
x des deux côtés. Le malade n'a jamais eu d'attaques de nerfs. Le pression au niveau des fosses iliaques , du rebord costal
les, la paume de la main est exulcérée et sanieuse, en raison de la pression prolongée qu'elle a subie et de la macéra- lion
Voir Charcot, /. c. 210 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XVI. DE la pression cérébrale et DE la compression du cerveau. par
e Vienne. D'après ses expériences, il n'y a pas de transmissions de pression à travers l'ensemble des centres nerveux par l'
médiane (rougeur et douleurs accou- tuméesl. Points douloureux à la pression dans le domaine du tri- jumeau (sus-orbltaire);
eux-mêmes malades (douleurs en ceinture, sensibilité extrême à la pression de certaines apophyses épineuses et d'une partie
symp- tômes initiaux suivants : hébétude, sensation de tension, de pression de douleur céphalique, état de mauvaise humeur,
urs dans les bras et les jambes; gros troncs nerveux sensibles à la pression ; affection articulaire passagère avec fièvre ;
s phénomènes, con- servation des réflexes cutanés, sensibilité à la pression des gros troncs nerveux); il analyse comparativ
a pu constater que l'accès pouvait à volonté être provoqué par une pression sur la région de l'épi- gastre. Du 21 novembre/
entièrement disparu; du côté gauche elle n'est pas dé- rangée. Une pression exercée sur le plexus droit et sur ses nerfs de
nne droite, et neuf jours après, des élancements, plus forts à la pression , dans le côté droit, sans aucune lésion ,dans les
l'emploi du sali- cylate de soude, ni à celui des narcotiques; une pression superficielle des articulations causait des dou
n'est pas franc; les bords vont en se perdant vers l'avant-bras, la pression digitale laisse une empreinte blanche très fuga
, tempe, et région pariétale, est rosée et un peu z oedématiée ; la pression du doigt laisse une empreinte. On ne peut que p
ourrelet périphérique; la peau n'est ni chaude, ni douloureuse à la pression ; les ganglions sous-maxil- laires ne sont ni t
ticulier. Le canal cholédoque est perméable ; il s'en écoule par la pression une bile claire, peu visqueuse. Vésicule biliai
en la prenant entre les doigts mesure plus d'un centimètre; l'im- pression du doigt ne s'y marque pas comme dans l'oedème, m
e l'os, il y a les tuméfactions bien marquées, qui glissent sous la pression et, quoique donnant aux doigts la sensation du
nt, puisque d'un seul morceau, il offre une entière résistance à la pression du cerveau; ce que ne peut faire la réunion des
Fermeture de la plaie. -Après avoir arrêté tout suintement par des pressions avec des éponges fines, le lambeau doit être ra
une réunion solide en 4 ou 5 jours. Nous désirons aussi établir une pression sur le cerveau qui tend, comme nous l'avons vu,
la plaie est pansée avec soin en maintenant une douce et constante pression au milieu du lambeau. Si l'exsudation qui se ra
int difficile du traitement : c'est de savoir si on doit laisser la pression continuer ou s'arrêter. En s'arrêtant à cette d
n s'arrêtant à cette dernière mesure, on perdra les avantages de la pression ; aussi ce point réclame une attention spéciale.
si la réunion par première intention menace d'être empêchée par la pression ou non. Dans le premier cas, la pression peut ê
e d'être empêchée par la pression ou non. Dans le premier cas, la pression peut être facilement diminuée en ouvrant doucemen
pas douteuse; mais on désire attirer l'attention sur ce fait que la pression élevée, jusqu'à l'absorption complète, a deux b
près 25 milli.nètres et était paral- lèle à la suture sagittale. La pression sur la cicatrice était toujours douloureuse : l
ment la cicatrice. La plaie a complètement guéri en une semaine. La pression du sérum fut deux fois relâchée (une fois probabl
icatrice et le cuir chevelu environnant étaient très sensibles à la pression . Le malade avait à ce point souvent de très vio
tube fermé à parois rigides et rempli il'eau, tout accroissement de pression imprimé à un courant de liquide que l'on dirige
e l'on dirige continuellement dans ce tuyau [image du sang et de sa pression ) entraîne des vibrations toutes particulières du
irculatoire. Cet arrêt de la circulation au moment où l'on élève la pression [sanguine) ne se produit que lorsque le tube en
nt (boite crânienne) n'est pas fermé de toutes parts, mais alors la pression atteint dans ce tube [pression intra- crânienne)
fermé de toutes parts, mais alors la pression atteint dans ce tube [ pression intra- crânienne) une valeur positive, détermin
s mêmes quelle que soit la façon dont on s'y prend pour modifier la pression à l'inté- rieur du tube (intru-c1't ! nienne) q
tuyau élastique [vaisseau sanguin) qui se dilate [exagération de la pression vasculaire), on enfin qu'on fasse intervenir les
e d'écoulement du liquide céphalo-rachidien, on voit se produire la pression voulue pour que l'arrêt de la circulation du tu
, est entouré d'un liquide mobile, dont l'écoulement varie sous une pression positive. Ce liquide cérebio-apinat ? évacue de
lentissement, sous l'iniluence, par exemple des modifications de la pression du sang ou du diamètre des vaisseaux exlen-ible
surface grande comme une pièce d'un marc, et fortement épaissie. La pression de ce bourrelet a aminci la voûte crânienne réd
17 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
avec la cavité de la vésicule; et, dans le cas de communication, une pression légère exercée sur la vésicule fait refluer le li
tion anti-émétiq. de Rivière.) Le i5, l'abdomen est douloureux à la pression , surtout dans leflanc et la région iliaque gauche
le ramollissement du tissu paraît dans tout son jour. La plus légère pression , la plus légère traction suffisaient pour le morc
un flot de liquide on reconnaît une tumeur volumineuse, sensible à la pression , dont on présuma q«© le siège est dans le rein ga
s points de la substance de ce rein, on exprimait, par la plus légère pression , une grande quantité de liquide lie de vin épais
a cuisse d'un cheval. 11 fallut une énorme quantité de liquide et une pression long-tems continuée pour pouvoir débarrasser le p
est-elle dans quelque agent extérieur qui exercerait sur le fœtus une pression médiate ? Il semble, au premier abord, que, dans
ur cacher une grossesse illicite, avaient exercé sur cette cavité une pression considérable et permanente. Mais si la déviation
contraste avec la densité du tissu malade; tandis que, par une légère pression , on fait suinter du premier une bouillie rougeâtr
u premier une bouillie rougeâtre, on n'obtient rien du second par une pression beaucoup plus considérable. Je dois ajouter qu'ay
W^t convertie en une pulpe d'un gris sale qui s'écoule par la moindre pression } et ce qui reste dans les mains est un parenchyme
ierce avant de devenir rémittente. Une douleur vive, augmentée par la pression , existait à l'épigastre et surtout à l'hypogastre
ntenu dans une poche unique. J'y fis une ouverture, et à l'aide d'une pression légère j'obtins un liquide de consistance de boui
, qui me parait représenter l'œdème de la gangrène des extrémités. La pression du tissu malade fait suinter une sérosité trouble
entive ne me fait découvrir aucune tumeur dans Fhypochondre droit. La pression sur cette région n'augmente pas la douleur; du re
ie n'a rien qui doive nous étonner. Elle est le résultat de la double pression latérale à laquelle il a été soumis par le dévelo
ent d'un côté à l'autre; d'autres fois, c'est d'avant en arrière : la pression , assurément très-douce, à laquelle il est soumis
iiie livraison. i jambes; Le malade ne scni absolument rien; la pression est douloureuse dans la région du cou, au niveau
essous de l'ombilic, deux tumeurs arrondies, un peu douloureuses à la pression , mobiles , et que la main, promenée sur elles, dé
'alors était aplati, indolent, devient ballonné et très-sensible à la pression . La face est profondément altérée. Le pouls redev
toujours ballonné, très-fortement contracté, n'est plus sensible à la pression . Le malade n'a nullement la conscience de son éta
en indolent, aplati jusque-là, est devenu volumineux et sensible à la pression . Enfin la perforation date seulement du jour de
merai ainsi : « Les « articulations qui éprouvent les frottemens, les pressions les plus considérables, sont le siège « spécial d
ct, j'ai presque dit né-« cessaire, avec le degré de frottement et de pression . » Ainsi la goutte se déclare essentiellement d
les articulations qui éprouvent dans la marche et dans la station les pressions , les frottemens les plus considérables; après le
d'un jeune enfant; matière qu'on exprimait comme d'une éponge par une pression légère. Cette matière est entraînée par le lavage
elle-même, suite de perforation intestinale, a lieu sans douleur. La pression abdominale, soit antéro-posté-rieure, soit latéra
otalité de l'abdomen devient volumineux, ballonné, et résiste sous la pression . XX. Il n'est pas rare de voir la maladie prése
ertain point de cette absence de douleur, même sous l'influence de la pression , par la position de l'intestin malade dans la cav
t l'hypogastre, deviennent plus tendus, et néanmoins insensibles à la pression ; la respiration redevient aussi fréquente que le
fréquent et peu développé ; abdomen un peu volumineux, sensible à la pression dans les régions iliaques, lombaires et dans l'hy
ès-fréquent et très-petit. Le malade n'accuse aucune douleur; mais la pression de l'abdomen paraît douloureuse. ( Sinapismes ; p
quent ; chaleur naturelle : ventre un peu ballonné et insensible à la pression . La langue est large et moins sèche que les jours
stupeur; langue rouge, un pen sèche; aucune douleur abdominale par la pression ; diarrhée; pouls fréquent; respiration fréquente
d'un volume considérable, étaient, tellement ramollis, que la moindre pression suffisait pour les déchirer; ils ne contenaient p
d'un volume considérable, étaient, tellement ramollis, que la moindre pression suffisait pour les déchirer; ils ne contenaient p
de toute contiguité; mais les circonstances normales et anormales de pression , de traction, de contiguité, apportent dans le dé
essentiel de la maladie; il est induré, volumineux, peu sensible à la pression . Un traitement mercuriel est employé, mais sans s
e , pour quelques articulations sujettes à supporter des chocs et des pressions extrêmement fortes, des lames cartilagineuses lib
. Lorsque la luxation n'est pas réduite, on conçoit aisément que la pression de l'extrémité inférieure de l'humérus contre la
uvelle cavité articulaire s'établit creusée, en quelque sorte, par la pression de la tête, ce qui veut dire que les points de l'
t usées, et que l'usure est en raison directe des frottemens ou de la pression . Ainsi, dans l'usure de l'articulation du genou,
été renversées sur le cartilage, aplaties par le frottement et par la pression ; elles étaient d'ailleurs enduites d'un cartilag
et ne pouvait plus s'en détacher. Du reste, aucune douleur locale. La pression exercée sur tous les points de l'abdomen ne dével
le i5 décembre 1829. Abdomen ballonné, extrêmement douloureux par la pression ; coliques atroces; face profondément altérée; pou
le les matières contenues dans l'estomac sortaient par la plus légère pression . Cette perforation répondait, dans l'intérieur de
ocation; l'abdomen était contracté, dur, affaissé, très-sensible à la pression . Les accidens diminuent un instant pour se réveil
dés et accompagnés de douleurs assez vives. Ainsi, une douleur par la pression m'a permis de diagnostiquer, dans plusieurs cas,
ris, et je vis avec étonnement la veine se vider complètement par une pression exercée de dehors en dedans, et la saillie que fo
ente au jumeau interne, prête à s'ouvrir, en sorte qu'une très-légère pression en exprima un pus visqueux et rougeâtre mêlé de q
ur hypogastrique vive fixée dans le globe utérin, et augmentée par la pression la plus légère. Je diagnostiquai une phlébite w
céphalalgie, tendance à la syncope, hypogastre très-peu sensible à la pression » Quelques cuillerées de potion avec un grain d'ex
de n'éprouve aucune douleur ni dans le thorax, ni dans l'abdomen ; la pression abdominale n'en développe dans aucun point. Cepen
irrégulières (fig. 2 , Pl. 1 ). Si on soumet ces tumeurs à une forte pression (et je me sers pour cela d'un étau), on est tout
oie, et qu'on exprime les sucs qui la pénètrent, à l'aide d'une douce pression latérale, on voit sortir d'une multitude de point
qui se prolongeait dans l'hypochondre droit, e'tait douloureux par la pression et indépendamment de la pression ; vomissemens ra
ndre droit, e'tait douloureux par la pression et indépendamment de la pression ; vomissemens rares ; constipation ; langue blanc
: l'exploration de l'abdomen ne me fait découvrir aucune lésion : la pression la plus forte ne développe aucune sensibilité. Je
les dernières côtes, je reconnais quelques bosselures. Du reste, une pression , même assez forte, ne de'termine aucune douleur.L
permet de reconnaître aucun point douloureux, aucun engorgement; une pression même assez fortement exercée n'y développe aucune
s qui s'accompagne d'une grande fragilité. La tumeur s'écrase sous la pression sans fournir de suc cancéreux; 3° la tunique péri
ité de de la trompe était en effet pleine de pus, si bien que par une pression légère, d'une part, on faisait pénétrer le pus da
é d'une assez grande quantité de sérosité, qu'on fait suinter par une pression légère dans son épaisseur se voient un grand nomb
était volumineux, mais la malade ne manifestait aucune douleur par la pression . Je prescrivis, pour l'acquit de ma conscience,
se aucune douleur; cependant l'abdomen est médiocrement sensible à la pression ( l'utérus est incliné à gauche): trois selles en
in, la malade paraît mieux; Pabdomen n'est presque plus sensible à la pression ; le pouls est à 140°, mais toujours dépressible;
vraison. 4 plus mal* abdomen volumineux, médiocrement sensible à la pression ; pouls petit, fréquent; respiration fréquente ; n
veloppé; face rouge ; céphalalgie intense; hypogastre douloureux à la pression : la toux et les mouvements y développent delà se
ADIES DE L'UTÉRUS. hypogastrique et sur-tout à gauche ; il faut une pression assez forte pour développer la sensibilité. Du re
ble, il est d'ailleurs extrêmement fréquent ; abdomen insensible à la pression , léger délire. Potion avec sulfate de quinine,
cholériques; parfois sentiment d'étouffement; abdomen insensible à la pression ; tendance à l'assoupissement. Commémoratifs. M
Le 14 , malaise général ; douleur à l'épigastre qui augmentait par la pression ; langue rouge; soif; anorexie ; point d'évacuati
ositions avec calme. L'abdomen est volumineux, consistant; la moindre pression ,et sur-tout la moindre commotion de l'abdomen pro
ment; la malade repousse les couvertures; l'abdomen est sensible à la pression . Dix sangsues aux apophyses mastoïdes. Glace su
sement est moindre ; la malade se plaint de coliques abdominales ; la pression sur l'abdomen est un peu douloureuse; la respirat
s ou autres, ne peuvent être supportés dans la période asphyxique. La pression qu'exerce le liquide sur les parois thoraciques,
piquées: le bras, le pied ont été plongés dans un liquide chaud; des pressions exercées; des mouvements imprimés pour exprimer l
phalie, j'examinai d'abord le canal raehidien : le rachis ouvert, des pressions alternatives ont été exercées sur le crâne, et la
rable; extrémités froides ; ventre volumineux, mais peu sensible à la pression ; vomissements continuels : la malade vomit, en ma
leur à l'hypochondre droit, à l'épaule du même côté; d'autres fois la pression la plus forte et la plus variée sur la région du
considérable, à tel point qu'on réduit complètement le liquide par la pression , sans que des accidents notables soient le résult
lasque et comme flétri, la réduction se fit en bloc par l'effet d'une pression légère exercée de bas en haut;mais bientôt des co
ûr que j'étais dans une bonne direction, j'exerçai un léger effort de pression : un obstacle fut surmonté, l'urine coula libreme
tueuses dans cette position, que dans les positions précédentes , une pression modérée mais progressive fut exercée ; l'obstacle
plaint que de la jambe gauche, où elle éprouve des élancements ; une pression , même légère, augmente la douleur. L'abdomen est
rs dans ce genou, qui est œdémateux plutôt qu'enflammé et supporte la pression sans la moindre douleur. Lesdeux genoux mesurés,
pulmonaire ; l'abdomen assez consistant n'est nullement sensible à la pression ; le pouls est petit et fréquent. Je regarde le g
L'oedème commence à diminuer; le genou devient plus douloureux à la . pression ainsi que le membre abdominal tout entier et plus
Le lendemain: région hypogastrique et iliaque, très sensibles à la pression ; fréquence du pouls. Je reconnais une péritonite
ntes ; elles étaient nulles : l'abdomen est volumineux, sensible à la pression . Quelques personnes crurent au choléra; je crus à
diaphragme, les poumons sont remplis d'air, et exercent une certaine pression sur le muscle, on concevra la rareté des hernies
les parties latérales : sa paroi antérieure molle , flasque , ridée. Pression douloureuse sur-tout à l'épigastre et au flanc dr
sous la peau, puis plus profondément du côté des sinus frontaux. Une pression exercée de haut en bas , détermine la sortie de p
embres inférieurs s'infiltrent.L'abdomen devient très douloureux à la pression qui permef de reconnaître la présence de tumeurs
céreux dont ils sont pénétrés, et qu'on rend manifeste à l'aide de la pression la plus légère. La présence du suc cancéreux es
geur, ni tuméfaction, ni chaleur, et la douleur n'augmentait pas à la pression ; de sorte qu'elle fut jugée de nature rhumatisma
t amincies; et leur diminution d'épaisseur provenait évidemment de la pression exercée sur eux par la tumeur. La masse la plus v
que j'ai eu occasion d'observer ce tissu se morcelait à l'aide d'une pression ou d'une traction légère. Cette fragilité présent
mons.—Tout le lobe inférieur droit est hépatisé au premier degré : la pression fait suinter des bronches un liquide grisâtre abo
e irrégulier : la région épigastrique n'était nullement sensible à la pression : le point rachidien qui avait si cruellement tou
'éructations et de vomissemens dont la saveur était désagréable. La pression de la région épigastrique déterminait une douleur
tent pendant plusieurs jours : l'épigastre est tendu et sensible à la pression : décoloration de la face: oedème général (potion
endant les crises de douleurs, la malade ne supportait pas la moindre pression sur l'abdomen, qui est quelquefois tendu et comme
18 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
nt as la hanche. En outre D... présente deux zones hystérogènes (la pression à ce niveau amène l'aura; elle n'exagère ni ne
zone hystérogcne n'existe plus. Ces points sont très sensibles à la pression et provoquent des attaques/si la pression persi
sont très sensibles à la pression et provoquent des attaques/si la pression persiste. En outre, il existe une zone spasmo-f
divers viscères sont sains. Il existe une douleur provoquée par la pression sur l'épigastre et l'hypocondre gauche. En outr
ne. Le sens musculaire subsiste pourtant dans cette région, car une pression forte y est perçue. Les mains tremblent un peu
du genou. Le 30 novembre 181 7, crise de douleurs exaspérées par la pression sur l'origine des nerfs. La contraction paradox
f avec une très grande rapidité (dix à quinze secondes selon que la pression a été plus ou moins forte). Le point déprimé de
iolette ou rouge reparaît un peu exagérée dès que le doigt cesse la pression . La main malade est manifestement plus froide q
se et grande hypnotique. Le 14 mars '1890 nous l'hypnotisons par la pression sur les globes oculaires. Dans la période létha
es, contractures, etc. Le 16 mars 1890, nous l'hypnotisons par la pression sur les globes oculaires. Pendant la phase léth
Traumatisme. Le traumatisme y a sa part et l'on sait que la com- pression dite obstétricale se produit à un haut degré dans
noncé à m'en servir. L'hémorrhagie a toujours cessé après une com- pression par un petit tampon maintenu entre les bords de l
Zone hystérogène. On peut aussi provoquer l'attaque en exerçant une pression assez forte, soit sur la région du flanc droit,
immobilisant complètement les membres inférieurs du malade par une pression très énergique exercée sur ses genoux alors qu'il
illie précédente avec un peu d'oedème dans la région lombaire. La pression à ce niveau n'est pas douloureuse. Les membres in
et c'est à cela qu'il faut peut-être rapporter la sensibilité à la pression de l'ovaire gauche qui existait alors, mais qui
mais qui a disparu depuis ; il en est de même de la sensibilité à la pression de la colonne vertébrale et de la région rachid
reins. Au dynamomètre : M.'D., 27 kil. ; M. G., 20 kil. (échelle de pression ). La sensibilité est normale. Elle se plaint se
e hyperesthésie du cuir chevelu qui la gênerait pour se coiffer. La pression cependant n'y réveille aucune sen-. sation doul
Pas de troubles oculaires. Zone hystérogène. Lorsqu'on exerce une pression un peu énergique au niveau de la partie droite
ession de l'un ou de l'autre ovaire, ou bien en exerçant une légère pression au creux épigastrique. La malade accuse d'abord
blesse générale, céphalée constriclive permanente avec sensation de pression à l'occiput, sensation de compression à la région
ur ce tremblement, car cette zone est très sensible; la plus légère pression provoque immédiatement l'attaque. A côté de ce
, mais prédominant à la région occi- pitale ; sensation de gêne, de pression , permanente au niveau de la région sacrée; dimi
t conservé. ` ? 0 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Par la pression des régions et. des points suivants, on détermine
elu est un peu hyperesthésiquc. A la nuque. Dans toute la région la pression est douloureuse, mais il y a un point il gauche
s troncs nerveux. Il s'agit là d'une sensibilité douloureuse qu'une pression profonde, un pen énergique, révèle seule. La pe
infirme. Les muscles atrophiés sont flasques, non douloureux à la pression et animés de contractions fibrillaires. Celles-
à l'état actuel. 252 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. des pressions assez fortes, l'extension presque complète. Le so
er frôlement, se perçoivent avec la plus grande netteté. Le sens de pression , le sens musculaire, sont aussi conservés. Mais
ue que la tuméfaction, dont elle respecte le tiers externe; sous la pression du doigt cette coloration disparaît pour revenir
re en garde contre l'existence du pro- gnathisme artificiel dû à la pression de la langue sur les incisives (Hamy); ce fait
rajet du sciatique et du crural, surtout du côté droit, sans que la pression de ces 1. Audry, Lyon médical, 1887. 2. Merli
stérogène dou- loureuse au niveau de la région ovarienne droite; la pression réveille des phénomènes d'aura. Quant aux troub
ers présentent également une déformation thoracique produite par la pression de la forme sur la poitrine. Au niveau des arti
vant. Beauchêne a cité un cas dans lequel un sujet réussit, par des pressions répétées sur le sternum, à produire la disjonct
ès la naissance, ZuckerKandl admet comme cause de la déformation la pression du maxillaire inférieur du foetus sur le ster-
ui refouleraient en arrière le sternum. Ilagmann fait intervenir la pression du talon in utero. D'autres invoquent l'interve
plus mobiles, s'excave à chaque inspiration sous l'influence de la pression atmosphérique. Ebstein pense qu'il s'agit d'un
la dénomi- nation d'excitations ostéo-fibreuses, en y ajoutant la pression et la pcrcussion directe des os. I ? c. 65. 3
egré qu'avant l'expérience et la malade se plaint de souffrir de la pression des doigts et des ongles dans la paume de la ma
on de ces plaques. Cette coloration s'efface mo- mentanément par la pression . Il y a une différence très nette dans les mêmes
du rachis, douleur déterminée par le frô- lement et surtout par la pression , sans phénomènes d'aura, douleur déchi- rante e
point la sensibilité est exquise au plus léger frôlement, et si la pression est plus forte, on déter- mine les phénomènes d
ccuse une sensation de contact. En certains points d'ailleurs celle pression profonde provoque une vive douleur. Il existe u
e). La peau est sensible d'ordinaire au plus léger frôlement, et la pression à ce niveau détermine souvent les phénomènes de
disparu; les mesures dynamométriques donnent le résultat suivant : pression , 12 kilogrammes. L'atrophie est ici surtout marqu
ntreprises chirurgicales, tant qu'il n'existe pas de signes de com- pression . La coexistence de lésions prédominantes dans l
de la cir- culation collatérale qui dépend de l'augmentation de la pression laté- rale dans les gros troncs vasculaires. Ma
oglie soumise à une traction devient moins dense, ce qui diminue la pression exercée sur les tubes nerveux et augmente leur
il doit s'y produire une tendance au vide ou, plus exactement, une pression négative. Il s'agissait de vérifier ces données
it graduellement en indiquant de cette façon une augmentation de la pression à l'intérieur de la cavité. Celte augmentatio
la pression à l'intérieur de la cavité. Celte augmentation de la pression doit être expliquée comme il suit : le canal ra
e céphalo-rachidien, exerce sur le fond et les parois latérales une pression qui est en raison directe de sa hauteur; le canal
re position la colonne de mercure du manomètre se trouvera sous une pression infiniment plus grande que dans la position horiz
mer que, étant donnée une position toujours verticale du rachis, la pression qu'accusera le manomètre sera différente quand la
s'étendre, la cavité de la dure-mère augmenter de capa- cité et la pression subie par le mercure diminuer. Cependant nos pr
ue sur le cadavre, c'est-à-dire, dans les deux cas, que, grâce à la pression néga- tive dans la cavité du rachis, il se prod
a dure-mère qui adhère à la paroi osseuse ne peut avoir lieu, et la pression négative qui se produit pendant la sus- pension
vivant si on pouvait éviter l'aspiration de la dure-mère ; mais la pression négative qui apparaît pendant la suspen- sion a
dure-mère beaucoup plus parce que la résistance qu'elle offre à la pression atmosphérique est plus faible que celle des paroi
atmosphérique est plus faible que celle des parois vasculaires à la pression sanguine; si on intervertissait ces rapports de
aires à la pression sanguine; si on intervertissait ces rapports de pression et de résistance, la pression négative s'exercera
si on intervertissait ces rapports de pression et de résistance, la pression négative s'exercerait plus facile- ment sur les
. Pour en arriver là il s'agissait tout simplement de diminuer la pression atmosphérique dans l'espace limité par la dure-mè
es parois de la gouttière. Mais comme j'avais besoin de diminuer la pression atmosphérique tout en continuant à faire mes obse
raréfaction de l'air dans le manomètre et par cela même diminuer la pression atmo- sphérique dans l'espace limité par la dur
it par la suspension de 3/4 à 1 cen- timètre sous l'influence de la pression négative et de l'aspiration de la dure-mère. Ma
au d'eau restait sensiblement le même, d'où il faut conclure que la pression négative n'exerçait pas son action sur la dure-
bouchait le manomètre et que la dure-mère subis- sait de nouveau la pression atmosphérique qui venait de recouvrer sa forme
nomètre ne baissait pas, même après le rétablissement complet de la pression atmosphérique. Dans l'espace de ces trois à cin
as de doute que cette hyperhémie doit être mise sur le compte de la pression négative qui se produit pendant la suspension,
'était pas difficile d'élucider cette question. Si, en dehors de la pression négative, il existe d'autres causes d'hyperhémie,
ir en faisant l'extension même dans des conditions qui empêchent la pression négative de se produire, sinon cette hyperhémie n
cette hyperhémie n'aura pas lieu. Il était très facile d'éviter la pression négative : il suffisait avant l'extension de tr
19 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
obilisées par des cro- chets, sont adossées, puis mortifiées par la pression graduée d'une autre partie qui rappelle l'entérot
t bon de faire porter une ceinture hypogastrique, afin de diminuer la pression des intestins sur la vessie. Pour empêcher la r
érinée est déjà suffisamment distendu pour laisser passer la tête; la pression continuant, le périnée se dé-chire. Les causes
est bien assuré qu'ils sont exactement au lieu convenable, une simple pression du doigt les porte à l'incandescence; l'opération
r fait une exploration répétée parle toucher vaginal et par de fortes pressions abdominales clans les régions de la vessie et des
rant dans le manche ; on l'y fixe à la longueur voulue par une vis de pression ; elle est divisée en centimètres et porte en ou-
cica-trices ou naturellement très-étroit comme chez les vierges; une pression un peu forte et au besoin un léger débridement pe
aiguë ou chronique, si toutefois on n'a pas été obligé d'exercer des pressions ou des frottements rudes pour faire pénétrer la s
cervicale ; ces fongosités peuvent disparaître sous l'influence de la pression et de la déplétion séreuse que produit l'é-ponge,
, et même, dit-il, un polype fibreux gros comme un œuf de pigeon ; la pression et le drainage produits par l'éponge expliquera
ystéralgie à la présence sur le col utérin d'un point douloureux à la pression ; point douloureux presque toujours unique et pre
ou sur le siège précis de l'occlusion si on a pu le déterminer. Cette pression doit être faite pendant la contraction utérine; l
ve-ment la marche. Supposons l'instrument introduit clans le col, une pression sur le manche fait sorhr la lame de sa gaîne, bru
{voj. fig. 17, 18, 19). Après avoir bien ar-rêté l'hémorrhagie par la pression avec une éponge, M. Sims fait un pansement auquel
ent où la chaîne rentre, il se fait sur l'orifice de cette canule une pression considérable qui tend à la déformer. Il faut que
îne plate doit être taillée en biseau sur le bord qui doit exercer la pression ; cette condition, indispen-sable lorsqu'il s'agi
oucement sur les instru-ments qui l'ont accroché, on fait exercer des pressions sur l'hypogastre. Lorsque le col est arrivé à la
omme le cranioclaste de M. Simpson. L'utérus ayant été abaissé par la pression , le doigt put être introduit dans le col jusqu'au
t l'indicateur droit est introduit dans le col pour augmenter par des pressions l'étendue des incisions. Puis, ce même doigt est
ormée. Quant aux parois abdominales, elles sont dis-tendues, et si la pression qu'elles ont à subir est trop forte, elles peuven
d'arrêt ou à crémaillères pour les tenir fermées; de petites pinces à pression continue, munies d'un fil pour éviter qu'elles ne
des ligatures isolées ou en masse suivant le cas, et par des pinces à pression con-tinue. Les ligatures sont généralement main
le. La torsion expose trop au retour de l'hémor-rhagie ; des pinces à pression continue et l'acupressure valent mieux, surtout q
sous-cuisses; il faut le surveiller et le réajuster, de peur que des pressions inégales ne blessent les intestins ou la vessie ;
le, sans imprimer le moindre mouvement à la malade et sans exercer de pression sur le ventre. Lorsque le kyste est aux trois qua
ntre des adhérences. Pour seconder son opération, il faut établir une pression ab-dominale graduée et faire des injections d'eau
tendre que la souffrance ait épuisé les forces de la malade ou que la pression d'une tumeur pesante ait déterminé des lésions da
s ténacu-lums. 1^ Des pinces à griffes, à mors plats, à pansements, à pression continue ; des pinces porte-épingks, etc. 3" Des
vaisseaux de la paroi abdominale, ou d'y placer de pe-tites pinces à pression continue, de manière à opérer à sec et à bien dis
haque côté de la malade, doivent exercer, d'une manière soutenue, une pression douce et uniforme, dans le but de faire saillir l
uel que soit l'instrument dont on se sert, il ne faut pas omettre les pressions faites par les deux aides parce que c'est au mome
s et appliqués l'un contre l'au-tre dans toute leur hauteur par cette pression bi-latérale. — M. Wells pratique sa suture avec d
eo-vaginales et autres solutions de continuité analogues. Il agit par pression continue; sur la ligure, il est fermé; trois grif
épression pour loger Furèthre. Figure xxv. Autre dilatateur dont la pression porte surtout sur la four-chette et sur le périné
ette artère, on n'a plus qu'à tirer sur le coulant. Figure x. Pince à pression continue, servant à comprimer les artères, ou les
uide sort avec peine parla ponction vaginale. Figure xviii. Clamp à pression parallèle de Robert et Colin. Figure xx. Clamp
inscrit sur le cadran C par une ai-guille. Figure xiii. Tenettes à pression (Nélaton et Mathieu) pour fragmenter les gros cal
les coins disposés en sens inverse, de telle sorte qu'en exerçant une pression avec la vis à volant V, on fait éclater la pierre
r une chaîne d'écraseur par la canule. La prostate est aplatie par la pression du cathéter, de sorte que son diamètre vertical e
n voit ouvert ici. 11. Obturateur pour sonde de gomme ; une pince à pression continue maintient les deux pièces unies. Robert
pas de vis très-allongé. M. DieUlafoy. 14. Dilatateur métallique à pression excentrique; il est vu ouvert. Ro-bert et Collin.
à diffé-rents égards, offre ceci de particulier qu'il fait porter la pression également sur tous les points du canal. 16. Dil
volants et une poignée pour exercer les mouve-ments de rotation et de pression que possèdent les parties mobiles de cet instrume
la lithotritie périnéale, grandeur naturelle. Figure vu. Tenette à pression pour faire éclater les calculs gros et durs, modè
e levier transversal, on fait avancer la branche mâle, qui exerce une pression intermittente avec choc. Le mors creux de la bran
evé ; quand il est abaissé il prend la place de la ligne ponctuée. La pression qu'il produit varie de 1 à 45 kilogr. ; elle peut
is servent à serrer la ligature. Figure vi. Serre-nœud de Ricord, à pression continue par réaction. On voit la disposition des
rotation pour le phimosis. Bonnafond. Figure ix. Pince à dents et à pression continue de Vidal de Cassis, pour l'opération du
s, pour l'opération du phimosis. Figure x. Autre pince à anneaux, à pression continue, pour Fopération du phimosis. Figure x
ince dilatatrice olivaire, de Guersant. Figure m. Pince dilatatrice à pression continue. Figure iv. Dilatateur à ressort, de Mas
20 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
t exécuter, et sa force est égale à droite et à gauche. La force de pression , mesurée au dynamomètre, est de 15 kilogrammes à
es très saillantes, un peu ru- gueuses, se détachant sous la simple pression du doigt. Rien au niveau des méninges encéphali
'occupation, survenant par suite de l'attitude professionnelle avec pression des muscles ou des nerfs. Mais ces douleurs ou pa
he était normale, à droite le pouls était à peine percepti- ble. La pression artérielle, qui était sur la radiale gauche, et l
issent à la suite de l'attitude professionnelle, occa- sionnant une pression des muscles ou des nerfs, et siègent sur le terri
ucun trouble de la sensibilité, ni du bras, ni de l'avant-bras ; la pression du cubital au niveau de la gouttière épitroclilée
Les divers phénomènes observés ne sont, pour la plupart, que l'ex- pression directe ou indirecte d'un trouble général de la c
HEREw, que le thalamus est le centre important des mouvements d'ex- pression innée (1). Le thalamus est relié d'une part à l
cesse de parler, tous ces phénomènes spasmodiques cessent et l'ex- pression du visage devient à peu près normale ; les lèvres
ix est enrouée, la parole pénible comme tonalité d'abord, comme ex- pression articulaire ensuite, les premiers mots étant pron
s. Les masses musculaires et les troncs nerveux sont indolents à la pression . Les réflexes tendineux et périostaux sont norm
e impulsion dans toute l'acception du terme, j'ai subi au moins une pression . Je me suis laissé aller à l'écrire sans penser
et en partie complète, j'avais placé dans l'étage inférieur, sous la pression des ESSAI SUR LA PHYSOLOGIE DE L'ESPRIT 183 a
i-ci ait continuellement une tendance à réappa- raître, lorsque, la pression devient plus forte, l'homme à un moment donné de-
ible de comprendre que celui-ci choisisse le meilleur parti sous la pression des seules actions mécaniques, si l'on admet, ce
a réalité elles se combinent, se pénètrent, s'enchevêtrent. Sous la pression d'excitations extérieures, la cellule nerveuse or
et on les considéra comme un réflexe ; ou bien on sup- posa que la pression pouvait agir ici comme une excitation centrifuge
és aux doigts pour jouer sur la première corde notamment, et par la pression continue qu'imprime la corde sur la pulpe du doig
Les deux épaules portées en avant tendent se séparer du corps ; dé- pression sous-claviculaire marquée à droite. MYOPATHIE G
tement ; l'opposition du pouce est possible. La force musculaire de pression ou de traction mesurée au dynamomètre est absolum
'esthé- siomètre, le frôlement d'une bande de papier, la piqûre, la pression profonde, les agents thermiques montrent qu'il
D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 257 si le rebord costal, exerçant une pression sur l'os iliaque, l'eût deformé en le repliant
malade ne peut se plier, ni ramasser un objet placé à ses pieds. La pression des apophyses épineuses des vertèbres est parfait
ogue à celle que l'on peut observer chez les bossus. L'examen de la pression artérielle fait avec le sphygmo-manomètre de Riva
TTI Il est évident que cette dépression du foie a été causée par la pression de la cage thoracique sur le viscère. La rate
rations sphygmomanométriques. Nous avons remarqué en effet que la pression artérielle loin d'être augmentée, comme il est
e les professions mécaniques peuvent causer la lésion du fait de la pression mécanique des outils ; la cicatrice qui s'en su
plaint d'aucune douleur spontanée dans ses membres inférieurs ; la pression des régions cedématiées est douloureuse. 2 no
très épaissie et repose sur un tissu de consistance plus molle. La pression du doigt ne détermine pas de godet. On n'observe
res inférieurs et gémit dès qu'on exerce sur la peau la plus légère pression ; or, le trophoedème est indolore. Notre observ
peau des régions oedématiées était rosée ;on obtenait un godet à la pression ; le gonflement augmentait à la suite de la sta
iques il ne restait plus qu'une certaine sensation douloureuse à la pression du nerf médian et du nerf cubital du côté droit
et les faits et constatés pendant l'opération. Les symptômes de la pression qu'exercent parfois les côtes cervicales sur le
simultanément, d'une manière importante, les conditions locales de pression du sang, la vitesse de circulation de ce dernier,
que écartant soi- gneusement les muscles ; et l'on exerce alors une pression vigoureuse. Le massage est la base de la méthod
u contracture : Or, le massage, surtout deux de ses manoeuvres, les pressions profondes et les percussions, a pour fonction d
des interos- seux se fait avec la pulpe de l'index, et consiste en pressions circulaires puis en percussion légère "[Pcssard
5°; douches sédatives sur les parties malades, en pluie et à faible pression , à 35° pendant 10 minutes ; et enfin massage lé
enteur, et avec une pres- sion se rapprochant de plus en plus de la pression ordinaire. Au bout de quelque temps de cet entr
erne. La peau des membres inférieurs est d'une pâleur cireuse. La pression de la région iliaque gauche et des masses muscula
e, tandis que la polynévrite est accompagnée de vives douleurs à la pression des troncs nerveux et des masses musculaires.
ombaire, insiste beaucoup sur la nécessité de mesurer exactement la pression sous laquelle le liquide se trouve. Il nous paraî
rs pratiquée. On a indiqué des méthodes différentes pour mesurer la pression ; nous avons employé la méthode toute simple et b
e liquide en penchant le tube de verre jusqu'à ce qu'on arrive à la pression qu'on se propose d'atteindre. Contre cette mé
e méthode on peut faire' l'objection bien connue qu'on ne mesure la pression qu'après qu'une certaine quantité du liquide est
s méninges ; évidemment cela doit faire qu'on trouve en général une pression qui est trop basse. Souvent on a employé des appa
auxquels on fait la ponction, car on a l'assurance certaine que la pression du liquide céphalo-rachidien ne s'ahaissera pas
on du liquide céphalo-rachidien ne s'ahaissera pas au-dessous de la pression désirée, ce qui est impor- tant surtout si l'on
a ponction. Si l'on a trop négligé en France cette recherche sur la pression du liquide, il faut reconnaître, par contre, qu
t la jambe droite. Le 26 mars une ponction lombaire était faite; la pression trouvée était 340 millimètres. Nous avions recu
t 340 millimètres. Nous avions recueilli 10 centimètres cubes et la pression était tombée à 260, quand des vomissements nous
ives. Etat le 19 mars. - Il y a une raideur marquée de la nuque. La pression sur la colonne vertébrale ne cause pas de doule
t-elle se tenir assise dans le lit. La ponction lombaire montre une pression de 280 millimètres ; nous avons prélevé 12 cent
; nous avons prélevé 12 centimètres cubes d'un liquide clair et la pression tombe à 220 mil- limètres. Le liquide contient
d'au- tres éléments. Le 23. mars, nouvelle ponction lombaire. La pression , de 230 millimètres s'abaissa à HO millimètres
r millimètre cube. Le 1er avril une ponction lombaire a donné une pression de 240 millimètres. Nous avons pris 10 centimèt
Il y a des douleurs, d'ailleurs assez médiocres, si l'on exerce une pression sur la colonne. Il y a une parésie considérable
sé régulièrement. Une ponction lombaire est faite le 23 janvier. La pression était de 90 milli- mètres ; nous avons trouvé 1
ment. Le 27 janvier, une nouvelle ponction lombaire a été faite. La pression était de 120 millimètres. La numération nous do
ise dans le lit. Le 3 septembre,une ponction lombaire est faite. La pression était 100 milli- mètres ; le liquide était mêlé
ion cervicale de la colonne vertébrale il a des douleurs pour toute pression que l'on exerce, mais ce n'est pas le cas pour le
es ganglions sous-occipitaux sont uu peu gonflés et douloureux à la pression . Les membres inférieurs sont complètement paral
Le 25 août une ponction lombaire était faite ; nous avons trouvé une pression de 200 millimètres, qui s'est abaissée à 100. L
re, nous avons fait une nouvelle ponction lombaire, qui a donné une pression de 120 millimètres, un liquide clair et 16 lympho
mptôme, qu'on puisse rapporter à une méningite. Quand on exerce une pression sur la colonne vertébrale, elle ne sent pas de
st normale. Le 10 novembre, une ponction lombaire est pratiquée. La pression étai de 100 millimètres ; nous n'avons pris que
n'avons pris que 3 à 4 centimètres cubes d'un liquide clair, et la pression s'est abaissée à 60 millimètres. Par suite d'une
, quelquefois raideur de tout le dos et douleurs si l'on exerce une pression sur les vertèbres. Le signe de Kernig n'a pas é
rvation est remarquable en outre par le manque d'augmentation de la pression constatée dans tous les autres cas que nous avo
é, nous trouvons que la règle, c'est qu'on a une augmentation de la pression du liquide céphalo-rachidien et une lymphocytos
ous avons constaté (2 fois) qu'on peut avoir une augmentation de la pression sans qu'il existe de symptômes méningitiques. N
nous avons pour le liquide céphalo- rachidien l'augmentation de la pression et une lymphocytose pure. Quand il y a les para
degré d'opistotho- nos. Il ressent des douleurs si l'on exerce une pression sur la colonne vertébrale cervicale. Il y a une
e être apathique. Pas de raideur de la nuque, mais il semble qu'une pression exercée sur la colonne vertébrale cervicale cau
. - Pas de raideur de la nuque, pas de douleurs quand on exerce une pression sur la colonne vertébrale. Paralysie presque comp
s puissants, manque ici de cet appui et devient proéminente sous la pression des autres muscles qui s'insèrent sur le thorax e
moniaque par exemple. Appareil circulatoire. Le pouls bat à 92 ; la pression artérielle de la radiale prise au sphygmomanomè
que, régulier, très ample un peu tendu. 68 pulsations ;'1 la minute pression v.<sale : HO mm de Hg au Riva-Racci. La resp
re. Ces artères pé- riphériques sont légèrement athéromateuses : la pression vasale est assez élevée, 140-145 mm. de Hg. L
L'incision du lobe supérieur montre une hépatisa- tion typique. La pression fait sortir un liquide spumeux. La surface de sec
ouleur, ni localisée, ni diffuse, ni spontanée, ni provoquée par la pression . Depuis ce fait, il se fatiguait beaucoup plus
iques palpables, on perçoit aussi une paroi épaissie, scléreuse. La pression sanguine (Riva-Rocci) : 140 millimètres. Appare
considérable. Le malade manifeste de la douleur quand on exerce une pression sur les premières vertèbres dorsales, mais non su
'après-midi la ponction lombaire était faite. Nous avons trouvé une pression de 170 millimètres et avons pris 10 centimètres c
s pris 10 centimètres cubes d'une liqueur qui est un peu louche. La pression tombe à 150 millimètres. Pendant la ponction, l
statée pour la poliomyélite aiguë. Nos recherches démontrent que la pression du liquide céphalo-rachidien est souvent aug- m
la ponction lombaire dans un but théra- peutique qu'en mesurant la pression pendant tout le temps que le liquide s'écoule.
de liquide céplialo-rachidien clair et qui s'écoule avec une forte pression . Le lendemain le malade a des maux de tète très v
icules situés à la périphérie de la glande sont aplatis par la com- pression .Leurs limites ne'sont pas aussi précises qu'à l'é
la biologie et de la physiologie ; laissons de côté toutes ces ex- pressions psychologiques qui ne représentent pas des choses
onse, un son se fait entendre. Grâce à un ajustement intérieur, une pression s'est changée en son. Telle est une comparaison
l côté (chimiotaxie positive ou négative). Une action inégale de la pression en deux points du corps peut aussi déterminer c
activité auto- matique et dont le fonctionnement déclanche sous la pression d'excitations déterminées. Si on substitue, par
21 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uit le même effet ; l'Apollon du Belvédère me fait beaucoup d'im- pression . Quand je rencontre un homme dont la jeunesse et
sations de raideur, de froid, d'engourdissement. Mais nulle part la pression du doigt ne détermine de godet, et l'urine ne r
me se retrouve sur toute la surface du corps, mais nulle part, la pression ne détermine de cupule. La sensibilité générale
de l'affaissement des traits du visage, de l'augmentation dans la pression intra-oculaire ; l'amaurose que l'on signale sur
était en moyenne de 2 ou 3 heures, la dou- leur, spontanée ou à la pression , extrêmement intense. La plu- part des malades
s, par la malaxation musculaire et par l'excitation des nerfs. La pression du nerf cubital en arrière de l'épitroclilée cont
s, et l'on voit la contracture s'accentuer graduellement. La simple pression sur le tendon est impuissante. 3° L'hyperexci
dormir de nouveau. On y parvient cependant sans dilficulté par la pression des globes oculaires. Le même état hémi- paraly
, de froid, d'eau qui lui courait dans les jambes, de torsion et de pression des chairs. En même temps aussi, elle avait des
un oedème brightique. Mais le doigt ne détermine pas de cupule à la pression ; le gonflement est surtout marqué au niveau de
ce dernier présente une fausse apparence d'oedème sans cupule à la pression du doigt, nulle part mieux marquée qu'à la face
', pendant qu'elle était dans cet état, de provoquer un accès par pression sur un de ses points hystérogénes, elle s'est tro
gles, elle était agitée ; j'ai provoqué une série d'attaques par la pression sur son point vertébral, elle n'a pas eu de nou
ne sent ni le contact, ni la piqûre, ni le froid, mais elle sent la pression sur les parties profondes, et le sens musculair
es apophyses épineuses de la 12, dorsale et de la 1° lombaire. La pression sur la région ovarienne gauche arrête les attaque
gion ovarienne gauche arrête les attaques qui sont prévenues par la pression du bandage à ressort. V... tombe en catalepsie
abdominale antérieure. On n'y voit aucune rougeur, mais la moindre pression , le contact de la chemise exaspère les douleurs
, ibi fluxus) qui amènerait par la distension des veines une com- pression des nerfs au niveau de leur sortie du canal ver
gion ovarienne gauche est spontanément douloureuse et sensible à la pression . Points hyslérogènes. il sur la 12° côte gauche
is ouvertures vraisemblablement artificielles et pro- duites par la pression du doigt qui a dû rompre les adhérences pleural
aissie et d'une couleur brune, rougeâtre, un peu ochreuse. La dé- pression superficielle est comblée par un réservoir du liq
r des masses charnues et l'abondance du système pileux, par l'ex- pression mobile de la physionomie, l'animation facile des
ncéphaliques récentes ou anciennes (Stark), ni les conditions de la pression intra-utérine anormale (Klebs), de ne pas établ
lles doivent être incriminées, agiraient, pour lui, en modifiant la pression intra-utérine et vasculaire de l'em- bryon et p
absence de réflexe patellaire, sans symptômes du tabès au début. La pression permanente exercée sur le tronc du facial n'eng
atement après la lésion, par suite de la répartition uniforme de la pression hydrostatique sur l'ensemble de la rétine et de
arésie de la face du côté f6 242 sociétés savantes. atteint. La pression exercée sur le nerf sous-orbitaire faisant disp
certains aliénés (Brewster) '. M. Despine a a pu constater, par la pression latérale 1 C'té par Despine. ' ' P. Despine.
, que les deux ovaires puissent être sentis en même temps; mais, la pression sur les points qu'ils occupent détermine une se
ne se reproduisirent pas, et on ne pouvait pas les provoquer par la pression sur les anciens points hystérogenes. Pendant le
etites régions dou- loureuses, que nous venons de localiser, que la pression peut provoquer le réveil. Le doigt, introduit d
pro- duire rien qui ressemble aux phénomènes qui accompagnent la pression sur le point douloureux abdominal. En cherchant
absolument impossible, soit par la fixité du regard, soit par la pression oculaire ; le bruit du tam-tam, la lumière du mag
ail, contrôler par le réveil le siège des points ovariens ; mais la pression sur ces points provoque toujours une sensation
de l'utérus qui formait alors sous les doigts un plan résistant. La pression sur cette petite tumeur provoquait les phénomèn
sur cette petite tumeur provoquait les phénomènes ordinaires de la pression sur le DE L HYSTUITO -ÉPILEPSIE. 301 point do
'ombilic se trouve alors à 20 cen- timètres au-dessus du pubis). La pression sur ces points pro- voque une douleur vive et l
ion DE l'ovaire. Depuis que M. Charcot a remis en honneur la com- pression ovarienne pour arrêter l'attaque d'hystérie, on
ystérie, on a tenté, à différentes reprises, de remplacer la com- pression manuelle, qui ne peut être longtemps main- tenu
r; de sorte que, bien qu'elle soit assez résistante pour donner une pression suffi- sante, elle conserve une certaine molles
toujours suffisante. On sait d'ailleurs que, s'il faut un effort de pression assez Fig. 25. Compresseur ovarique gauche, en
e déplacer la pelote dans tous les sens et de modifier à volonté la pression ( Ifig 26). Pour les rares malades qui ont beso
her de l'épine iliaque. - D, Brisure du bandage, munie d'une vis de pression permettant de fermer plus ou moins le ressort,
lus ou moins le ressort, et d'augmenter ou de diminuer à volonté la pression . de L'HISTI : .RO-FI'ILRPS1E. 309 sous le cou
é neuro-musculaire. 31 janvier 188t. C.. s'endort facilement par la pression sur les globes oculaires et sur les tempes. L'é
ée peut être obtenue parla malaxation des masses musculaires, et la pression des nerfs. D'ailleurs les résultats que l'on ob
e; cette région présente, à la palpation, un empâtement profond. La pression y est douloureuse. Les ganglions cervicaux ne s
a tête à gauche s'exécute un peu plus facilement qu'au début ; la pression sur les apophyses épineuses des deux premières ve
a fi- gure suivante, montrent seulement la possibilité de sa com- pression par des lésions très diversement situées du cerve
r- cher à les localiser, d'autant qu'en saine physiologie, la dé- pression et l'exaltation ne constituent pas des fonctions,
22 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
tement de l'absence d'influx nerveux; elles sont la conséquence de la pression prolongée et du contact des urines altérées, ains
on peut voir se former, principalement sur les régions soumises à la pression , des ulcérations, voire même des es-chares ; mais
amais la sensibilité de la face ne disparut complètement ; une légère pression était àla vérité imparfaitement sentie; mais une
une légère pression était àla vérité imparfaitement sentie; mais une pression un peu forte ramenait de vives douleurs. — La con
ration qui donna issue à un liquide puri-forme sous l'influence de la pression de l'œil. La mort arriva inopinément. A l'autopsi
; elles se développent surtout sur les régions du corps soumises à la pression , au frottement, au contact pro- 1. Voyez Zeitsc
sans l'intervention d'une cause extérieure quel-conque, telle que la pression par exemple (2). Mais ce ne sont là encore que
s du côté gauche présenta sur tous les points soumis a la plus légère pression des bulles qui bientôt firent place à La scléro
t une atrophie très marquée, limitée à certains groupes de muscles. pression exercée par une tumeur, par le mal vertébral de P
es les parties du tronc ou des membres soumis dans le décubitus à une pression quelque peu durable. Une pression des plus lé-gèr
bres soumis dans le décubitus à une pression quelque peu durable. Une pression des plus lé-gères et de très courte durée suffit
onnels, où elle paraît se produire sans l'in-tervention de la moindre pression ou de tout autre cause occasionnelle du même genr
se voit principalement lorsqu'elles se produisent sur des points oùla pression n'a pu être que de courte durée, peu intense, et
sombre, violacée même, mais qui cède toujours, momentanément, sous la pression du doigt. Dans des circonstances assez rares et q
enoux, aux chevilles, au cou-de-pied, partout où il s'est produit une pression accidentelle ou une irritation. Elles contiennent
arurent aux pieds et à la partie interne des genoux, là où existe une pression réciproque. Deux points méritent surtout d'être n
s profondes sur tous les points des parties paralysées, soumises à la pression . Loc. cit. pp. 421, 422). 1. Après R, Bright, i
t où le genou gauche fléchi paraît avoir, pendant la nuit, exercé une pression un peu prolongée, on observe une bulle du volume
réole érythémateuse peu étendue. Le genou gauche, dans le point où la pression a dû s'exercer, ne pré-sente, lui, aucune trace d
nts du membre inférieur paralysé qui peuvent être soumis à une légère pression . Je ne dois pas omettre de vous faire remarquer
ment pas défaire in-tervenir, comme élément unique, l'influence de la pression exercée sur les parties où il se manifeste. La pr
fluence de la pression exercée sur les parties où il se manifeste. La pression , en effet, est égale pour les deux fesses, et l'é
schare. D'ailleurs, quelle peutètre, en pareil cas, l'influence d'une pression qui ne s'exerce que depuis deux ou trois jours ?
les divers points des membres para-lysés qui sont exposés à subir une pression même très légère et de courte durée, — les malléo
au voisinage du pied, provoque de la douleur : il en estde même de la pression . Un pincement lé-ger, le chatouillement, sont sui
omène : évidemment, il faut rejeter au se-cond plan l'influence de la pression , celle aussi de la paralysie vaso-motrice, qui pe
lards de cet hospice, et j'ai pu me convaincre plu-sieurs fois que la pression exercée sur les parties qu'occupe l'éruption ne j
nre ne se révèlent guère que sous l'influence des mouvements ou de la pression excercée sur les membres ; ou si elles se montren
arfois spontané-ment, elles sont néanmoins toujours exaspérées par la pression ou les mouvements ; elles dépendent d'une inflamm
ence de Ludwig, laquelle montre que, pendant l'irritation du nerf, la pression manomé-triquedans le canal de Wharton est supérie
la pression manomé-triquedans le canal de Wharton est supérieure à la pression du sang dans les conduits artériels. D'ailleurs
on sacrée et sur tous les points des membres inférieures soumis à une pression prolongée, des eschares qui prennent parfois des
resthésie ovarienne, est jusqu'à un certain point pathognomonique. La pression , en l'exaspérant, détermine des sensations irradi
stale; sensibilité ovarienne développée du côté gauche, douleur à. la pression ; anesthésie en divers points de la peau: anesthé
nfluence déjà signalée autrefois et, plus tard, mis en doute, de la pression de la région ovarienne sur la production des phén
eresthésieque l'on constate. Cetorgane peut être très douloureux à la pression , alors que la paroi abdo-minale correspondante es
a douleur n'est pas spontanément accusée ; il faut la chercher par la pression , et, en pareille circonstance, on note les phénom
ontale se trouve le foyer douloureux qu'accusent lesmalades et que la pression , exercée à l'aide du doigt, met d'ailleurs en évi
Piorry) compliquée parfois de nausées et de \romissements;puis,si la pression est continuée, surviennent bientôt des palpitatio
mes ainsi conduit à reconnaître, avec cet éminent observateur, que la pression du flanc dans la région ovarienne ne fait que rep
11 raconte ailleurs être parveuu lui-même à arrêter un accès, par une pression énergique, exé-cutée avec les deux mains réunies
compression, devient pour lui le point de mire. « Une forte et large pression , exercée par l'intermédiaire de la main sur la ré
onstriction laryngée, pleurs, urines abondantes. Chez elle, aussi, la pression ovarienne modère l'intensité des phéno-mènes de l
re est le siège d'un ballonnement considérable avec douleur vive à la pression de la région ovarienne gauche, douleur d'un carac
norme de l'abdomen;—cl) les régions ovariennes sont douloureuses à la pression , et, en insistant un peu dans l'exploration, on n
anément à l'approche des crises. En tout temps, on l'exas-père par la pression . C'estau niveau de ce point douloureux que la sen
ain degré d'hémiamyosthénie. Ainsi, tandis que pour la main gauche la pression dynaraomé-frique est de 25 kilg., elle est représ
'une ac-tion traumatique et se localiser dans les parties mêmes où la pression , la contusion, la foulure, etc., se sont produite
ces à polir. Il s'ensuivit im-médiatement, sur la partie soumise à la pression , une assez vive douleur, un gonflement avec ecchy
écuter un mouvement et aussi lorsqu'on vient à exercer la plus légère pression sur un point quelconque du membre. Elle est surto
n sur un point quelconque du membre. Elle est surtout vive lorsque la pression a lieu sur la face antérieure de l'avant-bras, pa
lusieurs semaines, plusieurs mois, voire plusieurs années. La moindre pression , le moindre frôlement, le moindre mou-vement prov
uations alvines consécutives à la néphrotomie, 279. — Influence de la pression sur la production do l'urée, 297. Uretères (Con
23 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
de bas en haut ; ses diverses parties avaient été déformées par la pression de l'anévrysme. Les planches I, Il et III annexée
r les fibres arciformes externes qui sont très amincies par la com- pression . La formation réticulée du bulbe présente aussi
nexes (par exemple l'arrêt de la circula- tion et les "effets de la pression sur les parties du cerveau postérieur op- posée
mous et friables et légers. Il semblait que par de lentes et douces pressions on aurait pu modeler à sa guise ce bizarre thorax
, pâteuse, sans qu'on puisse, toutefois, déterminer de godet par la pression . On peut, à ce point de vue, distinguer trois v
esthésiés. Seules les glandes mammaires sont très douloureuses à la pression . Les sens sont absolument indemnes, le champ vi
n se présente au repos avec sa forme et sa consistance normales. La pression même profonde est bien supportée à t'épigastre,
e sous ses diverses modes (piqûre, contact, chaleur, froid) les im- pressions sont égales des deux côtés : l'appréciation du si
transitoire amènerait la sur- distension de l'abdomen par excès de pression des gaz intestinaux qui ne trouveraient plus, d
nt, disait-elle, y être enfermée. Elle en sentait la pensanteur, la pression , le ballottement, et pour se délivrer de cette to
s d'équation nécessaire entre la réalité et l'efficacité de la com- pression . L'efficacité ou l'innocuité de la compression dé
leur hauteur. Leur surface extérieure est parsemée de trous, de dé- pressions , de fines trabécules, sculptées dans la substance
dans les mouvements. Pas de douleurs vertébrales spontanées ou à la pression . Etat stationnaire jusqu'en janvier 1898.A cett
on pénible. Insensibilité ovarienne droite : un peu de douleur à la pression de la fosse iliaque gauche. Les membres supérie
dorsales. Nulle part, la colonne rachidienne n'est douloureuse à la pression : elle n'a jamais été non plus le siège de doul
, présentent le volume d'une plume d'oie ; elles se rompent sous la pression du doigt. On suit leurs moindres divi- sions ju
it. Les nerfs et les masses musculaires ne sont pas douloureux à la pression . ' Cas. III. - RODET, Gazette médicale de 1859.
sible, vacillante, masses musculaires des jambes douloureuses il la pression avec engourdissements des extrémités. Pa résie
alysie complète des 4 membres avec atrophie musculaire, douleurs la pression des troncs nerveux mais sans trou- bles objecti
muscles Abolition des réflexes rotulien et plantaire. Douleurs à la pression des masses musculaires et des nerfs des membres
ec quelques fourmille- ments dans les extrémités, sans douleur à la pression des nerfs et des masses musculaires, avec une a
ensation de paquet de ficelle et se réduisant avec facilité sous la pression de la main qui palpe et appuie. Il s'agit en somm
tuels sur l'artère axillaire, l'artère humérale, sur la radiale. La pression artérielle mesu- surée au sphygmomanomètre du p
ctif. Quelques varicosités toutefois sont légèrement sensibles à la pression . Dans le membre hypertrophié la malade souffre so
meurs sont douloureuses spontanément et légèrement sensi- bles à la pression . Elles ne présentent aucun battement, aucun sou
ie était moins marquée que dans le côté opposé ; 174 SOUQUES à la pression 'dynamométrique la main droite donnait 19 et la g
en servir que pour quelques mouvements très restreints. La force de pression au dynanomètre était nulle, malgré que les mouvem
uffre de constipation. La région ovarienne gauche est sensible à la pression . Les détails de l'observation qu'on vient de li
osition grotesque. Un patient lié à un fauteuil se débat sous l'im- pression de la douleur que lui cause le chirurgien qui l'o
rovoque du larmoiement. Les globes ocu- laires sont douloureux à la pression ; bien plus les attouchements occasionnent des
iminution de la sensibilité cutanée (à la douleur, au contact, à la pression ) et de la sensibilité musculaire et périostique
Diminution de la sensibilité cutanée à la douleur, au contact, à la pression . Diminution de la sensibilité musculaire et pér
'autre par un grand espace anormal, et sont aussi douloureuses à la pression , quoi- que à un degré moindre. La pression est
aussi douloureuses à la pression, quoi- que à un degré moindre. La pression est douloureuse aussi à l'examen de la ré- gion
htient le même résultat même un degré supérieur, si on exerce cette pression soi-même, en inclinant on même temps le thorax
production de la cyphose lombaire. La palpation un peu forte ou la pression dans cette région ne détermine pas de la douleur
ent peu à peu mais non tout à fait : il persiste une sen- sation de pression dans le rachis et les lombes. Il semblait au mala
e seulement. Pas de craque- ments articulaires. Douleurs vives à la pression et à la percussion. Mort en août 1899 de conges
ofonde. Insensibilité des régions ovariennes. Pas de douleur à la pression de la colonne vertébrale. Il n'y a pas de défor-
onstrictif quelquefois, la malade les compare alors elle-même il la pression d'un étau. Ces douleurs ne viennent pas par cri
es pièces du squelette thoracique est sup- portée par la malade, la pression ou la percussion, même légères, réveillent aux
aire, existent même des irrégularités, des nodosités nombreuses. La pression éner- gique ne réveille en aucun point de doule
une. La crête épineuse saillante sous la peau, n'est pas épaissie. La pression exercée le long de la colonne ne réveille ni do
possible dans une petite étendue. Pas de douleurs spontanées, à la pression ou à la percussion brusque. Pas de craquements
convergence sont normaux. Il n'existe pas d'analgésie oculaire à la pression . Rien à signaler à la face. La musculature en e
amaigrissement du cou ou du tronc. Pas d'analgésie tra- chéale à la pression . A ce moment de- l'examen, on découvre une déviat
flexes testiculaires sont normaux. La sensibilité testiculaire à la pression est conservée, mais affai- blie. Les érections
produits. L'articulation est d'ailleurs complètement indolente : la pression brusque, le tiraillement, la dis- location de l
'analgésie osseuse, articulaire, ligamenteuse ou mus- culaire il la pression , il la percussion ou il la torsion. LES 0STÉ0-A
e lombaire seule semble isolée de ses voisines : En aucun point, la pression ou la percussion fortes ne réveille la moindre do
éningée moyenne ou de ses branches une collection qui agit par com- pression sur les zones motrices et sur le centre de la par
ns les jours qui suivent l'accident, un simple suintement, puis, la pression sanguine aidant, sur- vient une rupture vascula
faudrait alors admettre l'hypothèse de la rupture d'équilibre de la pression sanguine dans les vaisseaux par suite de l'ébran-
gues et par suite ont une moindre capacité pour se dilater quand la pression sanguine augmente ou quand elles sont violemmen
explication du processus de cette lésion réside dans l'action de la pression hydrodynamique. M. Tilmann le démontre par les él
s coupants. La dépression admet facilement le bout du doigt et à la pression on sent au fond une résistance comme si le doigt
âne il serait bon d'intervenir pour les relever et empêcher la com- pression . Enfin, même s'il n'y a qu'une simple contusion d
plus dures, irrégulières pouvant se rapprocher ou s'écarter par la pression perpendiculaire ou latérale. ' Les mouvements d
aucun moment ni douleurs spontanées ni douleurs pro- voquées par la pression ou par la percussion. La grande loi des artllropa
s, disparaître enfin spontanément pour réapparaître sous la moindre pression . Nous considérons encore une fois le fait comme
e qui persiste quelques jours et laisse après elle une sensation de pression dans le rachis et les lombes (obs.VII). Ces phé
s. VI). Douleur lombaire, tressautement des vertèbres, sensation de pression abdominale représentant, sinon toute vraisemblanc
ébrales,, puisse de même fournir de précieux rensei- gnements. La pression , la percussion de la colonne vertébrale sont des
: à peine en quelques en- droits limités et rarement d'ailleurs, la pression du doigt réveille une légère douleur (obs. VI).
ns le procès morbide des enveloppes spinales. La modification de la pression dans la cavité du système nerveux central, le t
ltérées, les fibres radiculaires peuvent s'ex- poser à une certaine pression , ce qui peut empêcher la transmission régulière
osité de ces os, z leur légèreté étonnante, leur friabilité sous la pression du doigt ou leur rupture sous le moindre effort
ement se fait plus rare. La vertèbre offre moins de résistance à la pression exercée sur elle. Or, du fait de l'existence d'
e. Or, du fait de l'existence d'une déviation plus fréquente, cette pression s'exercera en des points symétriques superposés
e partiel de la vertèbre va diminuer sa hauteur au point maximum de pression . Elle va s'aplatir, les faces vont s'incliner l'u
ouvent insignifiant. La vertèbre la plus atteinte cédera sous cette pression inac- coutumée. Le malade perçoit aussitôt un c
on de leur situation, elles sont constamment soumises au maximum de pression . Elles supportent non seulement le poids de la pa
lle l'absence de toute sensation douloureuse à la palpa- tion, à la pression , de la gibbosité, et le calme le plus complet des
limpide qui remplit la vacuole et la distend eu tous sens avec une pression égale. Tandis que la vacuole prend de l'extensi
ui fait parfois une assez forte saillie hors de la cellule. Sous la pression de plus en plus grande du liquide qui distend les
plus en plus disten- due crève bientôt sous l'effort continu de la pression du liquide. On trouve alors pêle-mêle les débri
articulièrement à droite, mais ces phénomènes ayant indiqué la com- pression autant que l'irritation de l'encéphale, il faudra
ptomatique semblable dans tout le côté musculaire ? Et si cette ex- pression symptomatique avait dû varier, devait-on trouver
e la sortie du nerf occipital gauche est décidément plus molle à la pression et hyperesthésiée. C'est le point où la douleur
première. Tout l'ensemble des tissus est oedématié et sensible à la pression . Pas de frac- ture du crâne Guérison. - Obser
umatique 551 niveau aucun renflement notable,je fais sourdre par la pression une quantité de pus telle que l'existence d'un
vité de la cellule. Cette néoformation, qui donne tout à fait l'im- pression d'un follicule glandulaire, a été désignée par Va
ce. Les points d'émergence du trijumeau ne sont pas douloureux à la pression : il n'existe en aucun point de trou- bles trop
it pas disparaître complètement. Elle se rappelle qu'à ce moment la pression avec le doigt laissait un godet sur la jambe et
24 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
é, de telle sorte qu'il est au niveau de la styloïde cubitale. « La pression exercée en avant sur la ligne médiane, auniveau d
douleur est locale et n'irradie pas dans les doigts. La douleur à la pression sur le médian, jointe à la déformation considérab
nes,au-dessous du mamelon gauche et dans les deux fosses iliaques. La pression profonde à ces niveaux occasionne une dou- Fig.
t décisif, de l'exagérer ou de le faire reparaître de nouveau par une pression exercée sur les points hysté-rogènes. Chez cert
ez à volonté le faire reparaître avec son intensité première, par une pression exercée sur les points hystérogènes, en même temp
nal de l'omoplate du côté gauche, l'autre dans l'hypocondre droit. La pression en ces points exagère le tremblement ; elle donne
ues. Il s'accroît notablement sous l'influence des émotions, par la pression sur une zone hystérogène rachidienne, après les a
leur profonde qui n'est pas exaspérée par les attouchements ou par la pression . Elle remonte bientôt, toujours limitée au côté d
e de 46 ans. Analogie de ces deux cas. Caractère du gonflement, où la pression du doigt ne laisse pas d'empreinte : œdème dur, c
parlait seulement d'un œdème blanc. Rajoute que cet œdème est dur, la pression du doigt n'y laissant pas de godet. Il fait remar
ait cependant, du moins dans la règle, de l'impression laissée par la pression des doigts. Je n'y ai pas trouvé, autant que je s
ui de Sydenham, est représenté par une tuméfaction ne cédant pas à la pression du doigt, mais qui en diffère par deux caractères
ain, le poignet sont le siège d'une tuméfaction dure, sur laquelle la pression du doigt ne laisse aucune impression. De plus, to
ndant possibles. La peau ne paraît pas douloureuse, mais seulement la pression profonde. Il est remarquable que, quand on plie l
contracture visible et sensible au toucher des muscles adducteurs. La pression aux points d'élection sur l'articulation coxo-fém
Les mouvements sont douloureux comme précédemment. Douleur vive à la pression dans la région de la cuisse. 19 février.— L'hyp
de la sensibilité à la face plantaire du pied. Pas de douleur à la pression . Douleur spontanée, continue, profonde, entrecoup
oit supérieur, de telle sorte qu'il n'est nullement protégé contre la pression de la tête fœtale. Il en résulte que c'est toujou
ments, du moins dans les trois premières atteintes, exaspérées par la pression au niveau des points d'élection, nettement exagér
r spontanée, sur le trajet du sciatique, a complètement disparu. A la pression , dans les mêmes régions, la douleur est à peu prè
au niveau du point péronier. Il n'existe pas non plus de douleur à la pression des masses musculaires du mollet. Une pression pr
n plus de douleur à la pression des masses musculaires du mollet. Une pression profonde assez énergique sur la région des muscle
surtout de douleurs vives au mollet. Les régions douloureuses à la pression sont les points fessier, poplité, malléolaire, do
mollet droit. Il existe un certain nombre de points douloureux que la pression réveille, points sacro-lombaire, fessier, trochan
r le sol sans le steppage. Mais à cause de la douleur que provoque la pression du pied sur le sol, elle ne marche pas franchem
rémités de la jambe et se rejoignent vers la partie médiane. Par la pression on produit des élancements douloureux aux lieux d
poplité, trajet péronier, point dorsal du pied et point plantaire. La pression en masse des muscles delà cuisse et de la jambe e
et de la jambe est sensible. La recherche des points douloureux, la pression des muscles, l'exécution des mouvements du pied e
et du sciatique, existaient spontanément et étaient exacerbées par la pression et la marche. Elle indique aussi vaguement les po
ciatique ont presque complètement disparu; ni spontanément, ni par la pression , la malade n'accuse de souffrance aux points si d
eule, l'extrémité inférieure du tendon d'Achille est douloureuse à la pression et pendant la marche. Dans le pied et la jambe,
raison, car nous pouvions douter de sa sincérité. Mais voilà que la pression des masses musculaires ne semblait occasionner qu
la conservation des réflexes patellaires, l'absence des douleurs à la pression des masses musculaires. J'ajoute que, s'il n'est
périphériques. Il n'y a, en effet, aucune douleur spontanée, ou à la pression des muscles, aucune prédominance de la paralysie
douloureuses tant spontanées que développées par le frôlement ou la pression profonde. Ici le malade n'accuse aucune de ces se
e, mais qui a complètement disparu aujourd'hui, et de la douleur à la pression des muscles du mollet, qui persiste encore aujour
membres, la langue offre souvent une diminution de la résistance à la pression du côté correspondant (Revue philosophique, juill
vant; plaque hyperesthésique siégeant sur l'hypocondre gauche dont la pression détermine la production de convulsions en arc de
ints douloureux, dans les régions des lombes et des mamelles, dont la pression réveille les phénomènes de l'aura; son champ visu
en des points symétriques et une médiane dans la région lombaire; la pression au niveau de ces zones réveille les phénomènes de
il faut, pour la bien mettre en évidence, la provoquer à l'aide de la pression et de la percussion. On obtient, par ces procédés
aucune exostose, contrairement à ce qui arrive quelquefois. Mais une pression un peu forte, et surtout la percussion, révèlent
yngée ; diminution de l'ouïe du côté droit ; douleur provoquée par la pression de la région ovarienne gauche. La malade a été
l'un dans la région ovarienne droite, l'autre sous le sein gauche. La pression en ces points, si elle ne provoque pas d'attaque
e de 46 ans. Analogie de ces deux cas. Caractère du gonflement, où la pression du doigt ne laisse pas d'empreinte : œdème dur, c
25 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sang ayant perdu presque le ciii- quième de son volume a diminué de pression , et par conséquent a absorbé des liquides de l'
possible, avant et pendant la traversée, car la dimi- nutiort de la pression sanguine qui eu résulte empêche la manifestatio
s femmes, sont plus prédisposées au vertige marin que les autres. Pression sanguine et balancement sur notre avpareil. Dan
balancement sur notre avpareil. Dans une série d'expériences sur la pression sanguine, DU VERTIGE MARIN. 13 nous avons r
GE MARIN. 13 nous avons réussi à prendre simultanément les deux pressions , celle de l'artère carotide et celle de la fémo-
les deux artères. Alors le chien étant atta- Fig. 16. Tracés de la pression des artères carotide et fémorale. Les tracés do
ébut des tracés jusqu'à la première ligne verticale, nous avons les pressions en repos. Ensuite les tracés en balancement lent,
en repos, sur notre appareil, nous avons pris sur le même tracé la pression sanguine des deux ar- tères en même temps. Ceci
temps. Ceci fait, nous balançons le chien et nous prenons les deux pressions au début des mouvements. Les tracés de deux art
ous l'avons constaté expérimentalement. Ayant pris simultanément la pression de la carotide et de la fémorale, nous avons co
onctionnels. Les nerfs sciatiques et cruraux sont douloureux à la pression , le nerf scia- tique gauche plus que le droit.
n ceinture dans la par- tie inférieure du ventre et des reins. La pression sur les apophyses épineuses est douloureuse par p
gmenté. Les douleurs dans les membres inférieurs spontanées et à la pression diminuaient peu à peu depuis l'été de 1883 et d
et disparurent presque complètement vers le printemps de 1885,- la pression ne provo- quait qu'une paresthésie agréable. Le
nne que la force motrice est bonne. La sensibilité douloureuse à la pression sur les nerfs et les muscles n'existe plus main
sensation difficile à décrire à l'épigastre; point de douleur à la pression , la langue est nette, pas de phénomènes dyspept
sont normaux. Les nerfs et les muscles ne sont pas douloureux à la pression . Le malade se plaint de toute une série de symp
Cette courbature apparaissait spontanément et n'augmentait pas à la pression faite sur les épaules et au mouvement. Il n'y
xcepté ceux des doigts et de la main du côté gauche, où la force de pression du poing est égale à 40 kilo-. (tandis qu'à dro
teur du pouce. Les muscles et les nerfs ne sont pas douloureux à la pression . Les mouvements des membres inférieurs sont nor
atre centres fonctionnels corticaux de la mémoire du mot ou des im- pressions (centres d'impressions, impressions sur l'oreille
osses iliaques et les régions sous-mammaires sont douloureuses à la pression . Asymétrie faciale (côté droit plus petit) : ne
ifférence de poids successifs que de l'autre côté. Le contact et la pression sont moins bien perçus à gauche qu'à droite; la
de ses signes, la maladie des tics convulsifs est toujours l'ex- pression d'une tare le plus souvent héréditaire. M. Guin
ie ; le tact est simplement un peu émoussé à droite, notamment à la pression . Dans les quelques semaines qui succèdent à l'o
rf ; ces perturbations sont elles-mêmes dues à l'augmentation de la pression cérébrale. Pièces à l'appui. D'autres prépara
ne sorte de timidité d'esprit ou peut-être et plutôt h une certaine pression venanl de l'intérieur, à une pression ayant son
être et plutôt h une certaine pression venanl de l'intérieur, à une pression ayant son point de départ dans un courant erron
ttre particulière, en- voyée par Denayrouze au célèbre auteur de la Pression barométrique, dont voici le contenu : « J'ai
ns les mêmes conditions. Tous ces gens-là respiraient de l'air à la pression du milieu ambiant, soit à 4 ou 5 atmosphères. C
eu ambiant, soit à 4 ou 5 atmosphères. Cinq hommes sont morts à ces pressions , un grand nombre d'autres ont été atteints de d
reste de son travail est consacré à l'étude des dangers des fortes pressions . Les maladies des plongeurs sont divisées par l
ation d'ataxie locomotrice, consécutive à des accidents de décom- pression brusque par rupture d'un scaphandre. » Ce disti
t brasses, un quart d'heure de séjour dans le fond, et une décom- pression brusque. Dix minutes après l'enlèvement du casque
vement du casque, le malade est attaqué de douleurs aux lombes avec pression doulou- reuse dans le creux de l'estomac et aus
de trente-cinq mi- nutes ; décompression brusque d'une demi-minute. Pression douloureuse constrictive de la nuque; douleurs
es, après un séjour de trente-cinq minutes de durée et une décom- pression brusque d'une demi-minute, qu'il a été atteint de
e étant d'origine cérébrale. A côté de ces symptômes, c'est-à-dire, pression avec constriction à la nuque, douleurs à l'épau
ation opiniâtre. Le 11 octobre, la douleur de l'épaule droite et la pression dou- loureuse et constrictive de la nuque ont d
profondeur de 25 brasses; séjour de plus de vingt minutes; décom- pression brusque moins de une demi-minute. Douleurs au-
IV, VI, VII, X, XI, XIII, et tantôt quelque temps après la décom- pression , comme cela a eu lieu aux Observations 1, III,
bre de symptômes secon- daires, deutéropathiques. 1 Le sens de la pression marche ordinairement côte à côte avec le sens d
ns vu que la douleur peut exister avec l'a- naque l'augmentation de pression dans le sys- tème veineux (la toux, Féternuemen
t. Dans l'état normal, les centres nerveux subissent une certaine pression de la part de ce liquide. La soustrac- tion de
taine pression de la part de ce liquide. La soustrac- tion de cette pression normale provoque d'après Magendie le trouble de
Le liquide céphalo-rachidien à l'état normal exerce une certaine pression sur les centres nerveux, A la suite de la suppr
s verres d'eau par jour. En évitant les boissons, nous diminuons la pression du sang et, par conséquent, nous diminuons les
s il ne faut pas en abuser, car l'alcool en grande dose augmente la pression sanguine. Pendant le voyage, ou doit manger peu
parties du corps; ainsi le malade de l'OBSERVATION III avait une pression douloureuse constrictive à la nuque. Ceux de ]'
, symptômes du groupe céphalique : ou comme à l'OBSERVATION III, la pression douloureuse constrictive à la nuque et les doul
nombre d'immersions à cette profondeur sans accidents, la décom- pression ayant été isochrone, mais il n'aurait jamais deme
elle. L'illusion a continué durant la com- 390 CLINIQUE NERVEUSE. pression de la cinquième immersion; pour cette rai- son,
e facilité les fibres nerveuses s'écartent et s'accommodent à une pression se formant lentement de côté. D'autre .part, ce
au- teurs d'une même moelle. On ne pourrait donc pas invoquer une pression en masse occasionnée ici par le néoplasme, là p
eulement dans les voies sensitives la faculté de conduire les im- pressions thermiques. On peut appliquer le même raisonnem
tumeur, mais agissant sur l'organe malade non par la masse, par la pression mais en y provoquant des altérations d'élection
sont épais, boursouflés, comme oedémateux, bien que nulle part, la pression du doigt ne laisse d'empreinte ; 91 la voix est
ew explique les atta- ques congestives par les fluctuations dans la pression du liquide cérébrospinal et dans' ses stagnatio
26 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
t une légère proéminence de la 1 re dorsale et une sensibilité à la pression des premières vertèbres lombaires, permettant le
férieurs. Flexion et extension de la tête douloureuses ainsi que la pression des premières vertèbres dorsales, mais l'absenc
carie étendue de la ° vertèbre dorsale à la'lre lombaire avec com- pression et ramollissement de la moelle. ' Le malade de
d'extension du rachis sont difficiles et douloureux ; douleur à la pression au niveau des apophyses épineuses de la région
: tuberculose pulmonaire bilatérale : dé- formation et douleur à la pression au niveau de la région sacrée. Atrophie mus- cu
, inégalité pupillaire.» La contracture musculaire, la douleur à la pression sur la partie latérale gauche de la 3e vertèbre
a tête à gauche, et, quelques jours avant la mort, sensibilité à la pression des VIe et Vlle vertèbres cervicales. Or l'auto
olécranien et des radiaux, pas d'inégalité pupillaire ; douleur la pression des vertèbres dorsales supérieures (Il n'est pa
rs, et qu'on trouve, soit le signe de Lasègne, soit la douleur à la pression du nerf (cas de Triot), et surtout si la pseudo
- dément atteinte que les sensibilités thermique et douloureuse. La pression et la percussion des apophyses épineuses était
épineuses de plusieurs vertèbres dorsales étaient douloureuses à la pression . Telles sont les principales causes d'erreur qu
ion osseuse. Il n'en est pas de même de la douleur réveillée par la pression ou la percussion des vertèbres malades ; on retro
ne horizontale passant un peu au-dessous des seins et douleurs à la pression au niveau de plusieurs vertèbres dorsales supér
la sensibilité, légère incontinence des sphincters et douleurs à la pression au niveau de plusieurs apophyses épineuses, alo
n dor- sale moyenne. On constate encore une douleur très nette à la pression des 8" et 9" apophyses épineuses. Il n'existe r
colloïde, ou distendue par un faux oedème, mou et élastique, où la pression du doigt ne persiste pas. La peau qui la couvre
r 37 ? . Certains jours quand les douleurs; soit spontanées soit à la pression soit fortes, le thermomètre monte quelquefois j
hé, la peau, vous remarquez des taches rondes, disparaissant par la pression , et qui persistent pourtant longtemps, signe d'
écaniquement et chimi- quement une influence sur l'assimilation, la pression sanguine, la circulation, la pression cérébrale
luence sur l'assimilation, la pression sanguine, la circulation, la pression cérébrale, et probablement aussi sur la sécrétion
l'on pourrait expliquer les douleurs spontanées, les douleurs a la pression , l'élévation de la température, les gonflements d
température extérieure : on les trouve en juin,juillet ; ni avec la pression puisqu'elles subsistaient,après 2 mois de séjou
ar étale- ment de leur base ils semblent accolés l'un à l'autre, la pression , comme du reste celle du pied entier, en est do
es les masses musculaires et osseuses sont encore douloureuses à la pression . Troubles de la marche : la marche est anormale
La sensibilité vibratoire au diapason d'Egger et la sensibilité à la pression sont normales. ' Au contraire la perception d
ilité vibratoire toujours normale. Au contraire la sensibilité à la pression est très atteinte cette fois-ci, les pres- sion
on sur tout le corps, sauf sur le cou et la tête où la sensation de pression est bien perçue. Il est à remarquer que sur le
erçue. Il est à remarquer que sur le dos des mains et des pieds les pressions très fortes provoquent des douleurs. Sur la pau
ur la paume des mains et sur la plante des pieds il ne sent pas les pressions légères, mais il a la sensation de pression si on
pieds il ne sent pas les pressions légères, mais il a la sensation de pression si on appuie très fort. Si on lui serre la verg
10 novembre 1905. - Topographie des troubles de la sensibilité à la pression . Sur les dos des pieds et des mains, les pression
sensibilité à la pression. Sur les dos des pieds et des mains, les pressions très fortes sont dou- loureuses. 1 56 NOICA
lles au froid sont normales. Les sensibilités profondes (vibration, pression , perception des altitudes seg- mentaires) et le
la sensibilité tactile. Les troubles thermiques, algésiques ou à la pression , ont à peu près la même topographie. 158 NOIC
tate aussi chez ce malade, des troubles intenses de sensibilité à la pression , reproduisant presque en entier la, topographie
la tige du diapason d'Egger, le malade ne sent ni une sensation de pression ni une sensation de douleur, tandis que sur les f
ante des pieds, sur la peau de l'abdomen, sur le cou et la tête les pressions sont normalement senties. Les organes génitaux
rre, sont sensibles. Sur le dos et sur le thorax le malade,avec des pressions très fortes, sent très peu la pression, mais pl
e thorax le malade,avec des pressions très fortes, sent très peu la pression , mais plus souvent une douleur ou une piqûre d'ép
tion, de consistance, d'épaisseur. Aucune douleur spontanée ou à la pression ; 2) La seconde, ressemblant à une grosse figue
l'effet d'un sac en bonne partie vidé. Les indices habituels de la pression exagérée (sillons fermés, circonvolutions aplat
oplasme de petites di- mensions put soumettre tout le cerveau à une pression exagérée, d'où résulta surtout une dégénérescen
e relation étroite entre ce fait et celui du manque de symptômes de pression à l'autopsie. Le néoplasme étant un sarcome, sans
. Il y a eu sans doute action combinée du sarcome (locale) et de la pression exercée par le cerveau dilaté sur le ten- tor.
git d'un gonfle- ment oedémateux des cellules névrogliques, dû à la pression aiguë exercée par la grande hémorrhagie. 5. L
-rachidien peut constituer un moyen de remédier à l'augmentation de pression produite par la croissance d'une tumeur. En p
localisation. Remarques générales. 1. L'écorce résiste mieux à la pression que la substance blanche. Sans doute que la nut
eux d'association ? 2. L'épendyme paraît réagir à l'augmentation de pression par un. épais- sissement et la formation de pin
entant la résistance des parois pourrait être une défense contre la pression du liquide intra-1)entriculaire. 3. L'épendyme
. Pour l'observation VII, il ne peut guère s'agir que d'un effet de pression ; pour l'observation VI, il y a sans aucun dout
n ; pour l'observation VI, il y a sans aucun doute effet combiné de pression et de traction, par suite de la dilatation vent
es atrophiés et rétractés donne la sensation de cordes rigides, une pression un peu. forte détermine des douleurs assez vive
t fort pénibles et s'étendent à toute la continuité du membre. La pression des muscles, du quadriceps fémoral, du groupe pos
des poumons, du coeur. Ce dernier n'est pas augmenté de volume, la pression artérielle varie de 17 à 14 ; les artères périp
sât pas 17 de Hg au sphygmomamomètre de Polain. Dans deux cas où la pression était basse (14) nous avons constaté à l'autopsie
ie des parois du coeur qui est peut être responsable de ces faibles pressions . - Evolution. Pour être progressive, la marche
uleurs vives le long des troncs nerveux, douleurs réveillées par la pression et affectant une allure paroxystique bien diffé
aphie musi- Motriceoudex-1 i . otrlce . ou (ex- ca 1 e. amusies pression . cale. ins- D< P ? s'on. P 1 mIe ins- . tr
ieur puisque nous ne trouvions pas le signe caractérique de la com- pression du chiasma à sa partie postérieure, c'est-à-dire
vacuoles et comme chassées vers la périphérie à la suite de la com- pression . Ces fibres moniliformes représentent le premier
icat dont les mailles sont dilatées à différents degrés. Lorsque la pression du liquide qui se trouve à l'intérieur de ces dil
on de la cicatrice médullaire qui s'est formée au niveau de la com- pression de la moelle par luxation de la première lombaire
quer par la compression du cerveau sous l'in- fluence de l'excès de pression du liquide céphalo-rachidien. L'examen his- tol
res ; les fibrilles névrogliques forment de lar- ges mailles. Cette pression , en s'étendant aux autres éléments de l'écorce, a
omalie des réflexes, force musculaire au-dessous de la moyenne à la pression des mains, mais pas d'inégalité apparente ni fai-
. Ils ne paraissent cependant pas sensiblement plus douloureux à la pression que dans l'état normal. Nous revîmes régulièrem
les artères d'un cadavre préalablement injectées à la gélatine. La pression enfin de ces troncs nerveux, même intense, ne ré-
e hyper- trophique, une véritable analgésie des troncs nerveux à la pression et à l'excitation électrique. Les lésions que
; son intensité est loin d'être proportionnelle au degré de la com- pression : enfin, et surtout, on l'observe ailleurs que da
bles sphinctériens. Gibbosité dor- sale inférieure douloureuse à la pression . Mort un an après. Autopsie. - Tuberculose cavi
orteil indifférent. Masses musculaires légèrement douloureuses à la pression : signe de Lasègue net des deux côtés. Hypoesthé-
ns la moelle, les lésions sont analogues dans les obs. 1 (avec com- pression osseuse), V, VI (compression par le foyer épidura
ollatérales et terminales du plexus brachial sont douloureuses à la pression ; l'examen électrique pratiqué par M. Huet montr
racines cervicales enserrées dans un tissu de sclérose ; cette com- pression n'avait, cliniquement, déterminé aucun symptôme.
ptômes et des lésions. Les signes rachidiens : endolorissement à la pression , raideur, ne coï- cident pas toujours absolumen
27 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
des trois derniers espaces interosseux. Le malade ne sentait pas la pression ni les excitations produites par les courants éle
s par le cuhital(P1; Il) ? , ' ? > ? ? ' . ' ? , , .. , . v La pression du nerf dans la gouttière et tout, le long de. so
perficiel se trouvait presque fatalement exposé à des traumatismes, pressions ou chocs venus du dehors. Le malade, interrogé
uperficiel, et fut exposé, privé ainsi de toute protec- tion, à des pressions et des' chocs réitérés, d'où état irritatif et né
ant, mais les picotements reviennent par accès. Pas de douleur à la pression . 1. Du rôle de la prédisposition nerveuse dans
s la nuit que dans la journée. Le rachis est un peu douloureux à la pression dans la région dorso-lombaire et surtout dans la
ig. 5), se lisantde droite à gauche, qui représente 0 , D ., D la pression de la main gauche indique une ascension à la fois
, mais la force dont dispose le malade est en général assez faible. Pression de la main au dynamo- mètre gauche, 20 k. ; dro
ats, sur leurs bords quand la malade est debout, les chairs sous la pression rebroussent sous forme d'un large bourrelet (ii
u mois de septembre 1887. On remarqua alors que l'on pouvait, parla pression sur les globes oculaires, la mettre dans l'état
1ÈHL. A la lète. une héinicalotte d'aneslhésie du côlé gauche. La pression de l'ovaire gauche est douloureuse et détermine u
nature manifestement hystérique. IIortense J. est hypnotisable par pression sur les globes oculaires. Elle ne présentait d'
tique, elle présente désormais deux phases du grand hypnotisme : la pression sur les yeux la met en léthargie et elle a alor
ter son aphonie par le môme moyen. La malade étant hypnotisée par pression sur les globes oculaires, puis mise dans la pha
e mouvement des articulations de l'épaule et du coude et la moindre pression , le plus léger frôlement de la peau à leur nive
une très faible excitation, telle qu'une légère traction, une légère pression ou percussion. Le 29 décembre, même état. L
l hystérique avec raideur qui dure depuis deux jours. Réveillée par pression de la zone hystérogène qu'elle porte dans le flan
ble est le siège d'une hypcreslhésie très marquée (fig. 41, 45), la pression , même légère, est douloureuse, le plus léger fr
ituitaire, de sorte qu'on'ne sait si celle-ci avait disparu sous la pression de la tumeur, ou si la tumeur n'était pas simpl
entier, en même LES MALADES UAPi5 L'ali'l'. 119 temps que par la pression dont il est l'objet, il fait refluer le sang des
ait dévier l'aiguille d'un dynamomètre jusqu'au 60 de l'échelle par pression de la main droite et jusqu'au z0 par la main gauc
e attaque complète (ordinai- rement présentée par la malade) par la pression des deux zones hystérogénes habituelles situées
u de l'angle de l'omoplate. Puis nous arrêtons celle attaque par la pression de l'ovaire gauche et l'inhalation de 60 gramme
esl identiyuc à celui d'Alex... que représente la planche XXX). La pression oculaire fait cesser momentanément le spasme. L'e
eloppement insolite. Et vice versa, les côtes sous cette incessante pression produite par les viscères durent s'allonger davan
e la contracture de la langue par excitation directe. Par la simple pression d'une baguette j'ai pu, en touchant le bord droit
res et déviations se montrent sous l'influence du diapason ou de la pression par la baguette (pl. XXXVI). Toutefois, la si-
tions mécaniques portées sur le durillon peuvent provoquer l'accès ( pression , percussion). Les applications d'acide acétique a
aque d'épiderme induré et épaissi, mais tout à fait insensible à la pression . Seulement le troisième orteil est un peu tu- m
elles surviennent spontanément ou qu'elles soient provoquées par la pression exercée sur la zone hystérogène sus-indiquée, o
perte du sens musculaire. Du côté droit, sensibilité émoussée. La pression du testicule droit, de la glande et non de la pea
ans le flanc, une zone hystérogène très nette, pseudo-ovarienne. La pression de ces zones n'airétc pas les attaques, mais el
déterminent une sensation de cuisson insupportable. Par contre, une pression forte exercée sur une large surface est bien to
uche et à la main. Les attaques le ramenaient plus considérable. La pression pro- longée du doigt ne donnait pas, ou donnait
tel que l'avait indiqué Sydenham, c'est un oedème dur sur lequel la pression prolongée du doigt ne laisse que peu ou pas d'e
pas l'employer dans l'espèce : c'est un gonflement dur; mais l'ex- pression nous paraît consacrée par l'usage qui a force de
individus à la ceinture, aux endroits où les vêtements exercent une pression éner- gique, un boursoufflement diffus de la pe
Nous n'avons envisagé jusqu'ici que les excitants mécaniques par pression . Les piqûres d'épingles légères s'entourent d'une
ait aussi profond que l'instant d'auparavant. Chez cette malade, la pression seule d'une zone hystérogène était susceptible d'
hystéro-épileptiques. » M. Charcot réveille alors la malade par la pression d'une zone hystérogène située au niveau de l'ov
ression d'une zone hystérogène située au niveau de l'ovaire gauche, pression qui déter- mine une attaque convulsive. Le soir
mulaire en marbre de 1'crrocliio, 50. l,1)tlepsie (durillon dont la pression pro- voque l'accès ,1' -J, 6l. Epileptiques (
28 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
omme paralysé aux quatre membres, au tronc et à la face. La moindre pression , exercée sur une masse musculaire quel- conque,
e la sensibilité ob- jective superficielle; au contraire la moindre pression exercée sur les masses musculaires développait
lques secousses fibrillaires. Le pouls battait 120 à la minute ; la pression de la dixième paire était douloureuse. La tempé
t très douloureux ; les masses musculaires sont très sensibles à la pression , surtout à droite. Quant aux réflexes rotuliens
ysiologique, à l'exception des mouvements d'extension des mains. La pression au dynamomètre est de 15 à droite et de 16 à ga
ma- lade n'éprouvait pas de souffrances spontanées, mais partout la pression des masses musculaires provoquait des douleurs
e polynévrite : vous vous rappelez qu'à un moment donné, la moindre pression exercée sur les masses musculaires du malade, l
alcoo- liques. Sitôt disparu l'endolorissement des muscles il la pression , sitôt les malades devenus maniables et transpo
oignement, l'opposition des doigts s'exécutent convenablement. La pression dynamométrique est de 19 kilos à gauche, de 14 ki
t verruqueux, dont la coloration rouge ou violacée disparaît par la pression prolongée. « Celte affection encore désignée
e porté au contact du petit doigt mais, pour exercer la plus légère pression , il doit utiliser l'action de son fléchisseur (
nces, on est obligé de maintenir le poignet du malade. A gauche, la pression dynamométrique de la main est de 47 kilogrammes.
anément en extension forcée qu'on peut encore pousser plus loin par pression sur le bout des doigts. Dans toutes ces articul
oncs nerveux se traduit par une hyperalgésie encore plus vive. La pression du nerf scapulaire supérieur, au point où il pass
che que lui offre la base de l'omoplate, est très douloureuse. La pression du nerf du grand dentelé contre la paroi tboraciq
ntelé contre la paroi tboracique est égale- ment très pénible. La pression exercée sur tout le plexus brachial au-dessus de
e la clavicule et dans le creux de l'aisselle est douloureuse. La pression exercée sur les branches radiculaires à leur sort
es trous de conjugaison et en dehors des scalènes l'est aussi. La pression exercée sur le circonflexe au moment où il sort d
du triceps et l'humérus, est extrêmement douloureuse. De même la pression du musculo-cutané et celle du radial dans la gout
sion du nerf médian au milieu du bras est douloureuse, ainsi que la pression exercée sur son tronc au pli du coude et au nivea
. La préhension des nerfs collatéraux des doigts est indolore. La pression du cubital est peu douloureuse au-dessus de l'épi
ouloureuse au-dessus de l'épi trochlée ; au- dessous de ce point la pression provoque les sensations habituelles. La sensibi
relet saillant on remarque une zone érythé- mateuse s'effaçant à la pression et tout aussi marquée à droite qu'à gauche. Le
quelque temps. Pas d'ictère. Appétit conservé. Douleur légère à la pression du creux épigastrique et de l'hypo- chondre dro
e symptôme. La sensibilité est intacte sous tous ses modes. Mais la pression exercée sur les troncs nerveux en dehors des sc
innervés par ces trois nerfs sont aujourd'hui moins douloureux. La pression osseuse de l'humérus n'est pénible qu'au point
épendamment de la surdité, du bourdonnement, du vertige et de l'op- pression labyrinthique, qui sont les symptômes cardinaux d
les téguments sont le siège de variations de forme, d'expansion, de pression , etc. Si nous analysons une même attitude segme
à l'intérieur des segments la sensation de tension, de traction, de pression , de gonflement, de déplacement des parties profon
tile ; elle résulte d'une intensité variable dans les sensations de pression au contact ou de tiraille- ment. Ces sensations
il est en effet impossible d'abaisser l'épaule droite, même par une pression très énergique, lorsque le malade résiste à cette
bue aujourd'hui à une compression du nerf. Ne s'agit-il pas de com- pression , dans les paralysies du grand dentelé, survenues
un léger enfoncement du frontal avec diminution de résistance à la pression . Pas de trouble de sensibilité au niveau do la ta
gle abdominale, peu solide, se laisse distendre passivement sous la pression du contenu solide et gazeux des intestins. La her
formation des varices chez la femme enceinte s'explique par la com- pression des troncs veineux iliaques. Personne n'a jamais
chera l'emphysème pulmonaire de faire de nouveaux progrès, et l'op- pression s'en trouvera beaucoup soulagée, en vertu du prin
vis de pertes considérables. La vésicule biliaire est sensible à la pression et même douloureuse. La délimitation du niveau in
ovaires sont très sensibles. L'utérus est gros, très sensible il la pression . Le traitement commence le Il juin 1898, à la d
frontales, des épaules, bras, genoux. - Douleurs plantaires. - Op- pression et palpitations nocturnes. Mlle J..., religieus
Partie moyenne D 41 G 41 z Les genoux ne sont pas douloureux à la pression . La pression profonde est surtout douloureuse d
e D 41 G 41 z Les genoux ne sont pas douloureux à la pression. La pression profonde est surtout douloureuse dans le bras gau
son niveau, fait des plis à la surface ; les muscles sont mous à la pression . Aux éminences hypothénar, l'atrophie musculair
ssible à droite ; à gauche se faisant jusqu'à l'hori- zontale. La pression des deux mains est absolument rudimentaire. L'a
schares multiples se produisant en tout point du corps exposé à une pression un peu prolongée (1). Observation VI. Atrophi
uante. Trois semaines plus tard, la tumeur est encore sensible à la pression , ayant la forme d'un épais bourrelet dans l'ais
périphérie, les contours de la moelle sont fortement ondulés ; dé- pression assez forte en vallées et en sillons. Sclérose va
est grisâtre, décoloré, granuleux à la surface, avec nombreuses dé- pressions de néphrite interstitielle. Orchite tuberculeus
Le deltoïde droit et le deltoïde gauche sont un peu douloureux à la pression profonde; il existe quelques craquements dans l
l, il n'a aucun trouble oculaire. Tous ses orga- nes sont sains. La pression artérielle aux bras droit et gauche nous a donné
le 2e cas, au contraire, à la suite de dégénération par simple com- pression , par exemple d'une ou de plusieurs racines postér
sique. Ici encore, l'oedème est blanc, dur, absolument indolore. La pression du doigt n'y détermine un godet qu'à la conditi
uloureuse : dou- leurs spontanées exaspérées par les mouvements, la pression , elles avaient débuté au pli de l'aine ; mais l
que des jambes. L'oedème était dur, très résistant, douloureux à la pression , rappelant certains éléphantiasis nostras en ce
lors était mou, dépressible au doigt, et nullement doulou- reux. La pression aux points d'émergence et sur le trajet des sciat
es jarretières ; mais elle ne garde pas la trace du doigt après une pression de courte durée, même énergique. Au toucher, el
l lui soit nécessaire, pour maintenir la tête, d'opposer la moindre pression , et de faire un léger effort. (1) Féré, Revue
x dernières phalanges. Pas de douleur spontanée ni provoquée par la pression , mais sensation permanente de froid sans phé- n
e dorsale de la main est le siège d'un gonflement considérable ; la pression légère produit une zone de pâleur blanchâtre qu
uit une zone de pâleur blanchâtre qui disparaît rapidement, mais la pression forte imprime aux téguments un véritable godet pe
sont t aussi froids qu'à gauche, mais la cyanose est moindre ; une pression forte creusesur la peau oedémateuseun godet pro
re, cyphose cervico-dorsale à grande cour- bure, sans douleurs à la pression , sans déviation angulaire, accompagnée d'une sc
29 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
passé les observations suivantes, faites par lui sur l'effet de la pression partielle sur les fonctions du cerveau : « Al
ng and coma.» L'os frontal a été considérablement grossi et faisait pression , a on both of the anterior lobes of the brain » e
es os pariétaux étaient épaissis jusqu'à 1/3 pouce et faisaient une pression : « on the anterior lobes on the brain, both an
uite d'une tumeur, qui commençait à l'hypophysis cerebri et faisait pression sur les lobi frontales. A. Gianelli (7) enfin v
es centres de perception de Flechsig, et simultanément avec ces im- pressions ou perceptions commence l'activité psychique; par
a véritable machine motrice, mais une machine motrice toujours sous pression , toujours apte à fonctionner. Le faisceau pyramid
a substance grise médullaire est une véritable machine motrice sous pression , l'autre que le faisceau pyramidal joue le rôle
moteurs médullaires sont comme « une machine motrice toujours sous pression , toujours apte à fonctionner.» La comparaison n'e
, du moment que le cerveau ne pouvait plus inhiber, la machine sous pression se mettait à marcher exagérément d'elle-même. M
l'index n'a pas de douleurs spontanées, il n'est douloureux qu'à la pression ; le pouce est indolent. Pouce. L'épiderme sous
nt il continue de croître. Cette lésion qui n'est douloureuse qu'à la pression date de trois mois. Médius. - Le doigt est tu
d'une douleur au niveau de l'insertion brachiale du deltoïde. La pression sur les interlignes articulaires de la main, sur
ure ; si l'on exerce, sur la partie inférieure des deux jambes, une pression légère il l'aide du doigt et qu'on la cesse brus-
s profonds ; sa consistance est dure, surtout en bas ; toutefois la pression y détermine par places un godet toujours' peu mar
plaint aussi d'une sensation de froid fréquente dans ce membre. La pression ne détermine pas de doulenr, sauf en bas et en av
icale. L'oedème, quoique dur, se laisse déprimer en un godet par la pression du doigt ; ce godet ne peut être obtenu en tous
propre du trophoedème chronique est moins l'absence du godet il la pression que la difficulté de sa produc- tion, son incon
n oedème dur, le pied était le siège d'un oedème mou. Le godet à la pression s'observait - il chez notre homme il y a quarante
que les premiers malades n'ont pas même le temps de préparer l'ex- pression symbolique du délire dans l'habillement, tandis q
nographie. La tête reproduite (PI. XV, B) est remarquable par l'éx- pression de tristesse de la partie inf3rieure de la figure
bords des fontanelles s'opposent énergiquement à l'hypothèse d'une pression intracraniale trop forte. 96 HU LT.ItANT2 c
ins. Au niveau des 4e et 5e vertèbres dorsales, la percussion et la pression éveillent une douleur ; il existe, en ce point, u
nt géné- ralisée, avec peau ichtyosique, rouge à tous les points de pression , grosse hydrocèle double. Coeur et viscères d'a
ND ET ALQ1TIER membres inférieurs, avec douleurs spontanées et à la pression au niveau de la 3e dorsale. L'excision des 2e,
lement bilatéraux. Ici l'unilatéralité des symptômes explique l'ex- pression : syndrome de l'hémi-queue de cheval. En anatom
nerfs crâniens. Le ventre est toujours gonflé et très sensible à la pression . La diarrhée et la fièvre persistent. La fièvre
ique très légère, des masses musculaires et des troncs nerveux à la pression . Un dernier fait d'une certaine importance sera
ut dire que le malade a, pour les traduire, une gamme infinie d'ex- pressions mimiques ou graphiques. Il est intéressant de s
és, très chauds au toucher, dou- loureux, et si sensibles que toute pression sur ce membre inférieur droit pensait provoquer
es parties paraissaient fermes ; mais en exerçant avec le doigt une pression forte et plus prolongée qu'il n'est nécessaire
du toucher, le sens musculaire était correct et la sensibilité à la pression était normale si l'on veutbien tenir comptede l
DITAIRE 183 purent être palpées étaient normales ; le maximum de la pression du sang dans l'artère brachiale prise en différ
u pied et de la cheville était moindre et pouvait être enfoncé à la pression . La rougeur s'était étendue un peu au-dessus du
laire est considérable et paraît égale à droite et à gauche pour la pression de la main, pour la flexion de l'avant-bras sur,
on y voit en général à la suite de Gilbert Ballet et Moebius, l'ex- pression d'une excitation thyroïdienne. Néanmoins myxoedèm
COLONNE VERTÉBRALE 293 La sensibilité spéciale des testicules à la pression est supprimée bien que la sensibilité tactile d
nce des branches de la Va et de la Vlle paire sont indo- lents à la pression digitale. ' La peau est sur toute la figure trè
à l'auscultation des sommets pulmonaires et des gros vaisseaux. La pression digitale de la trachée réveille une sensibilité n
pas de lordose lombaire dans la station debout. Pas de douleur à la pression et à la per- cussion. L'énergie des muscles d
complètement dans les mouvements lents et doux. Pas de douleur à la pression soit des masses musculaires soit des troncs ner
soit à signaler. Examens spéciaux : Urines, rien de particulier. Pression artérielle humérale droite au Riva-Rocci 158 mill
Même chose pour l'examen du sang. Absence de réaction myasthénique. Pression artérielle humérale droite 135 millimètres Hg.
augmentation de l'hémoglobine (105 0/0 à l'hémomètre de Heischl). Pression artérielle à l'humérale droite, 90 millimètres Hg
me a-t-il, dans certains cas, association des deux processus : « la pression modérée d'une hydrocéphalie méningitique agis-
récissement osseux (Manz) (2). 4° Névrite due à une augmentation de pression intracrânienne due à la soudure prématurée (Fri
généraux et des locaux. L'angoisse est allribuable sans doute à la pression intracérébrale exagérée et à la privation de la
ssissement épendymaire est général ; c'est un mode de réaction à la pression . Les mesures des coupes au planimètre indiquent
n feutrage de grosses cellules. C'est encore une réaction à la com- pression , analogue à l'épaississement épendymaire. 2. Le
et les masses grises de la base paraissent avoir peu souffert de la pression . Même dans les circonvolutions adjacentes à la
e vastes destructions qui se traduisent par l'hémiplégie et la sup- pression plus ou moins complète de la sensibilité. Enfin l
extérieurement; mais outre les signes macros- copiques usuels de la pression exagérée, l'aspect particulièrement bombé du ge
corps calleux à l'autopsie, il s'en déversa un jet de liquide sous pression , mais cette stase n'était certaine- ment pas de
e était couverte de masses organisées. La réaction épendymaire à la pression se manifeste par la production de pinceaux névr
tie re- poussé, mais aussi en partie « mangé » par le néoplasme. La pression a at- teint un degré moindre que par exemple da
ient penser à une tumeur. Le manque de phénomènes 368 R. WEBER de pression cérébrale tels que ralentissement du pouls, vomis
netteté des phénomènes cliniques. Malgré le peu d'exagération de la pression , l'hémisphère où siège la gomme est altéré dans
facilement démontrable. La grande difficulté est évidemment que la pression cérébrale exagérée peut, à elle seule et en peu
de celles décrites plus haut : ces dernières sont le résultat d'une pression chronique. Il est donc, pour le moment, impossi
édifice moléculaire ne se produisent pas spontanément, mais sous la pression des excitations thermiques, chimiques, mécaniqu
- tion de bourses séreuses nouvelles dont l'effet est d'amortir des pressions inaccoutumées (port de sabois), l'apparition de
elle qui est armée contre les excitations faibles, succombe sous la pression de poussées plus fortes ou plus souvent répétées.
es cas de tumeur de l'hypophyse et elle est déterminée alors par la pression de la masse de la tumeur sur les fissures orbital
nt tout à fait atténués : voilà pourquoi nous ne trou- vâmes qu'une pression peu augmentée. L'examen histologique nous donna
'oedème anémique. Dans ces conditions, l'épiderme cède parfois à la pression intradermique, d'où la production des bulles. Si
30 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
en outre de raideurs, contractions, constrictions, soubresauts, de pressions dans un étau de bois, de marbre, de coton, sens
ment. La face interne de la cuisse garde longtemps une sensation de pression , comme par un corps étranger appliqué contre el
viendrons plus loin à propos du diagnostic, l'absence de douleur à la pression des os, d'altérations des extrémités, de contra
adultes : dou- leurs osseuses multiples, surtout provoquées par la pression sur les os et ren- dant la marche difficile ou
qu'il y eut des barbiers pour mettre, excusez la vulgarité de l'ex- pression , la main à la pâte. Un médecin consentait à disse
e trouvera son guide dans l'art, où sont déjà mis en relief les ex- pressions les plus caractéristiques. (i) Pinacothèque de
axi- mum de compression et d'atrophie des tissus correspondant à la pression exer- cée par la tumeur s'est sans doute trouvé
2). Comme il y avait communication large entre ces deux parties, la pression a dû nécessairement être la même partout et l'i
rescence, dégénérescence activée sans doute par l'exagération de la pression intracrânienne. Résumé. Grande tumeur partant d
se 'trouvaient dans un état plus ou moins pathologique par suite de pression exagérée. Nous comprenons le caractère menaçant
des corps amylacés. Nous estimons que ce sont là des effets de com- pression et de destruction. Quelquefois les espaces périva
ance cérébrale de faire place (p. ex. c. de la Pl. XXV soumis à une pression directe de haut en bas et à une autre de dedans e
ta que les 3e et 5e vertèbres lombaires étaient dou- loureuses à la pression ; marche spastique parétique ; légère ataxie ; ré
du noyau et des fibres. D'autres sont sans doute des effets de com- pression à courte distance, comme par exemple l'ébauche d'
s puissants (Obs.4 et ).C'est par le moyen des ventri- cules que la pression exagérée se distribue sur tout le cerveau. A ce p
ent finir par obstruer la circulation ventriculaire (Obs. 2). 3° La pression intracérébrale, si on peut la mesurer d'après les
ssivement l'intensité. 4° Sous l'influence d'une augmentation de la pression intracrânienne, les circonvolutions se rapproch
atives (lobe frontal). A mesure que la corne frontale se dilate, la pression à supporter par les tissus restant la même par
e, vomissements. 17 novembre. Ponction lombaire, liquide sous forte pression , cytodiagnos- tic négatif, somnolence invincibl
a portion tuméfiée du membre est pâle; la peau est un peu ridée. La pression du doigt ne laisse pas le godet. La température l
ilité cutanée n'a jamais montré de troubles de cette fonction. La pression sur les apophyses vertébrales n'était pas doulour
aires, de tous les extenseurs de la main. Ensuite, nous faisons les pressions superficielles, que nous ne tardons pas de rempla
ssions superficielles, que nous ne tardons pas de remplacer par les pressions profondes, circulaires, unidigitales ou multidigi
essions profondes, circulaires, unidigitales ou multidigitales. Les pressions sont suivies par les percussions, le tapotement e
e de l'index ; les manoeuvres, utilisées pour leur massage, sont la pression circulaire et profonde et la percussion légère. N
premier et du cinquième doigts, nous faisons les effleurages et les pressions avec la face palmaire des deux pouces ; cette d
on dynamométrique donne à la main droite 20, puis 18 à une deuxième pression , à la main gauche 22 puis 15. L'épuisement semble
augmen- tation dans cette filtration causée par une augmentation de pression dans les capillaires du sang du fait de la [sta
on de la lymphe indépendamment de toute aclion vasomotrice ou de la pression capillaire. Cela le conduit à songer que la pro
tient une vasodilatation active associée à une aug- mentation de la pression qui est la conséquence d'une diminution des rés
d'atropine à l'animal et il a vu que les vaisseaux se dilatent, la pression du sang augmente, mais la quantité de la lymphe
pendance de la sécrétion de la lymphe de la vasodilatation et de la pression du sang ; tandis qu'elle nous prouve que dans l
de l'augmentation de la stase capillaire et de la diminution de la pression artérielle. Nous désirons seulement remarquer q
ent inac- ceptables les théories de Borner (98) (augmentation de la pression dans les gros vaisseaux), et d'Unna (99) (augme
roite, de la faiblesse à gauche. L'on trouve un peu de douleur à la pression à la nuque et sur la partie supérieure des trap
is des déformations du thorax consécutives pour Sachs et Gross à la pression de l'omoplate non retenue par l'arceau claviculai
es. C'est ainsi que Murait (1) met les hémorragies sur le compte de pressions anor- males exercées durant l'accouchement. Ver
omme conséquence de cette courbure, il se produit des phénomènes de pression , pouvant aboutir à la rupture ; celle-ci suffit p
btenir de fixation complète du cerveau. Le liquide, même sous forte pression ne pénètre pas, ou pénètre trop peu dans les espa
De même, Mübius a observé chez un de ses malades des douleurs à la pression dans les masses musculaires. Dans une observati
le (tactile, à la douleur), thermique, pro- fonde (vibratoire, à la pression et sens musculaire) est normale sur tout le cor
l'inspection, à la palpation, qu'elle soit par- tout indolente à la pression localisée. Car nous devons savoir qu'une ar- th
énopathie, d'atrophie musculaire, et surtout une douleur fixe, à la pression localisée, sur une extrémité osseuse, sur un cu
uleurs spontanées « dans les os » et en effet au pre- mier abord la pression sur le pied paraît mal supportée. Mais un examen
peu circonstancié démontre qu'il n'en est rien. Elle se plaint de la pression localisée en des endroits dépourvus de toute fi
externe du pied, à un autre sur le bas du tibia, et cette fois, de pression en pression, on remonta le long de la face intern
pied, à un autre sur le bas du tibia, et cette fois, de pression en pression , on remonta le long de la face interne de la jamb
ce soit probant. De même, pour un léger degré d'hyperesthésie à la pression sur la région ovarienne droite. Le père est m
le talon. Ce fut alors la variabilité des points doulou- reux à la pression qui, jointe à l'absence de tout signe appréciable
lantes que norma- lement, et au niveau des 3', 4e, 5a vertèbres, la pression forte réveille de la douleur. L'examen du phary
'hyperesthésie très marqués au ni- veau de la région occipitale. La pression des testicules est particulièrement douloureuse
r les masses latérales à un point bien précis, très douloureux à la pression . Chez nos malades, rien de semblable. Etait-c
eau du quadriceps, au- cun ganglion dans l'aine, aucune douleur par pression au niveau de la hanche, du triangle de Scarpa,
de la fesse ; aucune douleur ron plns n'est éveillée à distance par pression des condyles fémoraux. Il n'existe pas de modif
de la tête, la région ovarienne est particulièrement sensible à la pression . Le diagnostic de scoliose névropathique est po
nombreuses observations mentionnent des douleurs spontanées ou à la pression sur la colonne vertébrale, ou bien, comme dans no
les plutôt que profondes et osseuses. Chez un malade de Raymond une pression forte et prolongée sur un point douloureux vertéb
ambes à quelques centimètres seulement au-dessus du plan du lit. La pression forte au niveau des os, fémur et tibia, provoque,
la plante du pied droit; par contre, quelques régions où la simple pression réveille dé grandes douleurs. La sen- 466 BROCA
éphalo-rachidien, clair, eau de roche, coulant goutte à goutte sans pression exagérée. Son examen histologique et bactériolo
ans le genou, de toute atro- phie musculaire, de toute douleur à la pression . Au milieu de l'interro- 470 BROCA ET HERBINET
lantation. Ces os courts, mais aux reliefs accentués, donnent l'im- pression d'os athlétiques regardés dans un miroir cylindri
i de l'épiphyse, comme si, au cours du développement-, par suite de pressions anormales, de contractions musculaires, on plus
odelage méca- nique des os et d'après lequel, chaque fois qu'il y a pression en un point d'une diaphyse, les ostéoblastes so
aux arrêts de développement tératologiques ou mécaniques, par com- pression intra-utérine (oligoamnios, enroulement du cordon
nt des os et subit les déformations aux points où il sup- porte les pressions . C'est donc ordinairement une propulsion du sacru
e complètement et qui peut par : . des ad- hérences ou bien par des pressions abnormes, modifier ou bien empêcher le développ
êt de développement, déviations, inflexions selon l'intensité de la pression , et particulièrement suivant la durée du manque d
entent tous les caractères d'une atrophie de la peau résultant d'un pression exercée du dehors en dedans. Il ne faut pas oub
psie du nommé César L... Dès l'ouverture du crâne, les signes d'une pression exagérée apparu- rent si évidents qué l'on se m
ait résulté une dilatation ventriculaire avec tous les signes d'une pression exagérée. C'est sans doute de cette observation q
s'obstruer de masses purulentes et dès ce moment les phénomènes de pression cérébrale jouè- rent un rôle prédominant. C'est
de pression cérébrale jouè- rent un rôle prédominant. C'est à cette pression que sont attribuables la dilatation ventriculai
cérébro-rachidienne ne se fait pas dans un tube rigide et fermé. La pression hydraulique intense et généra- lisée, avec tout
s dans le sinus droit et les veines de Galien par suite de la forte pression exercée des deux côtés sur la tente du cervelet
nt également cette hypothèse. Enfin il est encore probable que la pression intraventriculaire aura mis obstacle au dévelop
omparaison de nos coupes avec celles de tumeurs céré- brales que la pression à elle seule ne conduit pas à un état moniliforme
l'obstruction de l'aqueduc de Sylvius qu'a pu naître chez L... une pression intracrànienne exagérée, produisant des phé- no
la stase du liquide céphalo-rachidien et non pas du sang que cette pression exagérée se transmet partout. - Bibliographie.
ue, le sujet fait parvenir l'aiguille à l'extrémité de l'échelle de pression , sans difficulté, des deux mains ; à l'échelle
es dont il est le siège. Sous l'effort du choc, sous l'effort de la pression , l'inflammation se transmet du foetus à l'annexe,
31 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
ous restait à savoir quelle cause nous devions attribuer cette com- pression cervicale ; la lymphocylose du liquide céphalo-ra
t endroit est très diminuée, elle est mollasse et cède à la moindre pression du doigt. Enfin, nous venons de pratiquer des cou
leur faiblit ; ver- 38 ROTSTADT tèbres lombaires sans douleur. La pression du thorax sur les côtes et sur le devant, surto
rovoque aussi des douleurs aux en- droits mentionnés plus haut ; la pression des côtes 6 et 7 à droite, paraît la plus doulo
s vif.Poids 981ciI.Ecoulement du liquide céphalo-rachidien à faible pression : quantité d'albumine dans le liquide considérabl
les endroits indiqués plus haut. Le malade supporte saus douleur la pression exercée sur la tête et les épaules ; par contre
leur la pression exercée sur la tête et les épaules ; par contre la pression sur la 12e vertèbre dorsale, ainsi que sur les
le changement de position d'un côté sur l'autre, ainsi que dans la pression de la partie basse du sternum et de l'apophyse
e du sens musculaire pour les mouvements des orteils et des pieds ; pression des vertè- bres lombaires également douloureuse
s intra-médullaire; ils peuvent en effet être parfois causés par la pression d'une tumeur extra- médullaire ; par contre, co
férieures dans le sens ascendant, à mesure de l'accroissement de la pression par la tumeur méningée, confirme l'opinion déjà
telle violence qu'elles attiraient toute l'attention du malade. La pression sur ces endroits provoquait une douleur encore pl
'Pouls : régulier, bien frappé, battant à 84 par minute en moyenne. Pression artérielle 12 maxima au Puchon et 9 minima. P
torsion est très accentué et délimité en haut par la crête de l'im- pression deltoïdienne et en bas par une crête très proémin
yllabes, qui sont prononcées d'une voix aphone. Pouls rythmique, de pression normale : -la température est comme dans les jo
s. Etat du 2 juin. - On pratique la deuxième ponction lombaire ; la pression du liquide obtenu au moyen de l'instrument de Q
imètres de liquide cérébro-spinal, on constate 180 mil- limètres de pression . A l'examen cytologique, chimique et bactériologi
inaux, négatif. Avec la ponclion lombaire on a extrait un liquide à pression fortement augmentée, avec un contenu d'albumine
es, pouls rare, tous symptômes en relation avec une augmentation de pression endo-crànienne, due à l'éventuelle existence d'
ères chimiques du liquide cérébro-spinal évacué avec une si notable pression , ne pouvaient s'adapter à cette conception, aus
est moins frappé que les autres, avec une élévation relative de la pression endoventriculaire il ne pouvait y avoir de dout
me en certains cas d'hydrocé- phal ie on arrive à des élévations de pression considérables. Le liquide a un aspect clair, in
urs de la première, permit de constater la diminution notable de la pression intrarachidienne et le retour à l'état normal d
lioration de l'état subjectif et des phénomènes objectifs, dus à la pression , s'observent dans des cas nombreux. Peu d'autre
es déposaient pour ce siège. Alors on comprend comment, bien que la pression intrarachidienne fut notablement diminuée après
hy- diopalhique, une tête énormément grande, sans sensibilité à la pression des sutures, on est autorisé à penser la réacut
la moelle ou est- elle produite par la stase et augmentation de la pression du liquide céré- bro-spinal dans la région lomb
ue ces modifications dans les faisceaux ne dépend pas du tout de la pression ou de la destruction produite par la tumeur sur
la tumeur ; les autres auteurs les attribuent aux changements de la pression du liquide céphalorachidien. Nous som- mes port
uide cé- phalo-rachidien augmenté de volume et présentant une forte pression . En faveur de la supposition du rôle de l'augme
ession. En faveur de la supposition du rôle de l'augmentation de la pression dans la production des lésions de la moelle dor
dans cet endroit présentent un moment favorable pour l'action de la pression augmentée. Le même auteur en notant la fréquente
e sont dues, d'après Hoche, à la même cause, à l'augmentation de la pression du liquide cérébro-spinal. Le mécanisme par leq
la pression du liquide cérébro-spinal. Le mécanisme par lequel la pression augmentée produit dans la moelle dorsale les mo
subissant LES MODIFICATIONS DANS LA MOELLE ÉPINIÈRE 255 une forte pression , le liquide cérébro-spinal présente un obstacle,
orsale. Cette stase veineuse et lymphatique et l'augmentation de la pression intramédullaire, qui s'ensuit, nous paraissent
bres nerveuses : oedème et même dégénération, si elles ont subi une pression prolongée. On peut croire avec Batten et Collie
dans la moelle dorsale sont dues non seulement à l'intensité de la pression intra- médullaire, mais aussi et dans une large
isées autour des pla- ques, qui sont complètement indolentes, et la pression à leur niveau n'est nul- lement douloureuse.
Le thorax présente une légère cyphose dorsale, pas de douleur à la pression du rachis. L'examen du système nerveux donne
oint de départ au vitiligo, jouant à son égard le même rôle que les pressions répétées ou des lésions traumatiques banales. E
de l'abdomen et pas de tumeurs dans le bassin qui puisse causer une pression anormale sur les vaisseaux sanguins ; pas de ga
=Toute douleur a disparu ; le nerf n'est plus du tout sensible à la pression . Actuellement, M. V... est en excellente santé.
e avec élancements douloureux sur le front et les yeux ; la moindre pression exercée sur le crsne ou la moindre commotion im
e dessinent cependant à la partie antéro-interne de ce muscle. La pression d'un objet de petit volume se fait à peu près éga
che. En réalité, il y a une très légère diminution de la force à la pression de la main droite et de la force de résistance
orps résistant déjà éprouvée au niveau de l'écorce ; en faisant une pression un peu plus forte, on énuclée de la couche opti
volume d'une noisette ne présente pas la sensibilité spéciale à la pression , on ne sent pas l'épididyme séparé du testicule.
bès rachitique, n'est-il 1 pas une condition nécessaire pour que la pression intracrânienne puisse déterminer son empreinte
du côté des nerfs, qui n'étaient pas hypertrophiés ni douloureux la pression . Locomotion . En observant le malade debout, on
lus la disposition normale des éléments composants. Grâce à la com- pression générale bien marquée de tout le protoplasme et à
, en même temps les membranes perdent leur capacité de produire une pression sur elle dans les espaces périvasculaires. L'es-
f central sphéno-basilaire : il est aussi absolu et dû à ce que, la pression du cet veau étant exagérée par l'enfoncement da
tout naturellement sous l'influence du poids du cer- veau et de la pression intracrânienne ; elle se l'ait aisément sur un cr
ur, si ce n'est un certain degré de tachycardie (96 pulsations). La pression sanguine prise au Riva-Rocci est dans les chiff
ponction (111°-IVe vertèbres lombaires). Le liquide est sous petite pression , jaunâtre, faiblement opalescent. Réaction Nouue-
pation. 1 A la ponction lombaire, on extrait un liquide cilrin sous pression diminuée. La réaction des globulines avec le su
g.... On ne constate nulle déformation de la colonne vertébrale, la pression de la l'a et de la 11e vertèbres lombaires est do
32 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ngienne, il y a une plaque rouge non ulcérée tenant sans doute à la pression des couvertures. Légère eschare au talon droit,
n irrégulière ou trop forte de l'alcool, durcisse- ment irrégulier, pression avec le couvre-objet) peut rompre en un point c
axes de trois à vingt se comprimant, s'étouffant, se détruisant par pression réciproque. Altération indépendante en tous ces
ouleur n'ap- paraît qu'après sa formation et sous l'influence de la pression ou du frottement des vêtements, ce qui les dist
ière et de bas en haut; on exerce alors dans la région indiquée une pression rapide et élastique sur la paroi abdominale qu'
enfant assez bien développé; coloration un peu pâle du visage, ex- pression stupide; c'est un gaucher. Asymétrie somatique :
e dans l'ensemble des phéno- mènes de l'aura hystérique, et dont la pression a pour effet, soit de déterminer l'attaque conv
s zones hypnogènes sont des régions circonscrites du corps, dont la pression a pour effet soit de provoquer instantanément l
notisés. La principale zone hypnogène connue est le vertex, dont la pression fait passer l'hystérique de l'état de léthargie
la compression de ces zones produit l'effet spécifique, une com- pression en dehors des zones ne donne lieu qu'à une douleu
ubdivisent eu trois groupes : les zones hypnogènes simples, dont la pression pratiquée sur des suJEts à l'état de veille dét
u sommeil hypnotique; zones hypnogènes à effets successifs, dont la pression donne lieu successivement à des phases de plus
n plus énergique; les zones hypnogènes à effets incomplets, dont la pression ne produit pas le sommeil chez le sujet éveillé
rogènes et hypnogènes coïncident quelquefois, de telle sorte qu'une pression légère produitle sommeil hypnotique, et une exc
ie, l'attaque produit une léthargie plus profonde, dans laquelle la pression de l'ovaire, des zones hystérogènes ne produit
me c'est le cas avec un couple de danseurs, et il n'y aura point de pression exercée par l'un sur l'autre. En cas de désacco
e de plusieurs moments. 1) Le lecteur ne sent pas de choc, mais une pression continue ou une « indication de volonté)), parc
coups ; si la direction de notre marche est contraire à celle de la pression aérienne, nous ré- sistons au vent sans chocs,
, AVEC DÉDOUBLEMENT DE LA PERSONNALITÉ. ARRET DE L'ATTAQUE PAR LA PRESSION DES TENDONS ; Par le Dr Jules VOISIN, médecin d
de la grande attaque; zone hysté- rogène. Arrêt de la crise par la pression des tendons. Catalepsie, sommation, aphasie pro
disparu. Mais la zone sous-axillaire d'hyper- esthésie subsiste. La pression légère, à ce niveau, arrache des cris au malade
te. La pression légère, à ce niveau, arrache des cris au malade; la pression forte détermine la crise d'hysléro-épi- lepsie.
rs suivies d'une crise. On interrompt l'atta- que convulsive par la pression du globe de l'oeil, et le malade reste alors hy
gauche a disparu. Mais il reste là une zone liysté- rogène dont la pression provoque la crise. Dans la recherche da l'aphas
i, on avait inutilement cherché à arrêter les attaques, soit par la pression du testicule, soit par la pression des fosses i
rrêter les attaques, soit par la pression du testicule, soit par la pression des fosses iliaques ou de la zone d'hyperesthés
esthésie, soit par tout autre moyen. On constate aujourd'hui que la pression d'un ten- don (tendon d'Achille, tendon rotulie
faible sur ses jambes et se dandine en voulant se tenir debout. La pression dynamométrique de la main droite est plus faible
particulière que nous avons décrite. L'arrêt de l'attaque par la pression d'un tendon, tous les autres procédés d'inhibit
maintenant le malade sur le lit que nous nous sommes aperçus que la pression du tendon rotulien provoquait l'arrêt de l'atta
sion du tendon d'Achille et nous arrivâmes au même résultat. Cette pression s'effectuait en comprimant fortement le tendon
en comprimant fortement le tendon entre les doigts et le pouce. Une pression légère ou une percussion à l'aide d'un petit ma
it aux phénomènes que l'on observe quand on augmente brusquement la pression encéphalique. Les attaques apoplectiformes témo
ormes témoignent d'une augmentation générale et temporaire de cette pression , tandis que lesattaques épileptiformes indiquen
res cas, ce sera une congestion cérébrale active qui, en élevant la pression artérielle, engendrera de l'apoplexie avec conv
ons générales, parce que le liquide céphalo-rachidien chassé par la pression sanguine, ne refluant pas assez vite (lésions d
nairement epaissisjà l'intérieur ont, pendant ! la vie, exercé une. pression qui permet de comprendre, l'état mental.. A la tu
développé, la colonne vertébrale ne présentant pas de douleur à la pression . A la partie supérieure des deux poumons, la re
nécropsies démontrent qu'il s'agit tantôt d'une myélite par com- pression , tantôt d'une myélite transverse, syphilitique
re. Cette région est le siège d'une voussure' très douloureuse à la pression ; le foie est gros et déborde les fausses côtes
ajoutions les suggestions verbales ou bien nous avions recours à la pression des globes oculaires, mais avec moins de succès
- La malade étant revenue en léthargie par l'occlusion des yeux, la pression sur le vertex détermine le sonmambulisme, les y
s classiques qui nous ont toujours réussi; le dédoublement par la pression du globe oculaire des hallucinations provoquées,
roit. Chacune de ces tumeurs a déterminé au-dessus d'elle une dé- pression de la surface inférieure du cervelet, en avant un
- pression de la surface inférieure du cervelet, en avant une dé- pression du bord postérieur du pont de Varole, et en dedan
attaques apoplectiformes dérivent d'oscillations fréquentes dans la pression intra-céré- brale du fait de la maladie elle-mê
émiplégie faciale gauche. La zone hystérogène, le testicule dont la pression arrête l'attaque convulsive, ont éga- lement ch
le sait, de montrer, par de nombreuses expériences, qu'une légère pression sur la région médiane du vertex a une action réfl
e action réflexe simultanée sur les deux hémisphères, tandis que la pression uni- latérale n'a qu'une action réflexe unilaté
réflexe unilatérale croisée, sur l'hémi- sphère du côté opposé à la pression . BIBLIOGRAPHIE. 459 Braid avait déjà constaté
vecdedoubie- ment de la personnalité et arrêt de l'attaque par la pression des tendons), par J. Voisin, 212, 4.5 ! ) ; -
33 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
issent on peut diminuer et même arrêter leur ecou- Il-ment pal' une pression sur la partie supérieure du front, on peut même
s doigts des mains sont en flexion et que la main droite exerce une pression particulièrement vive sur sa poitrine ; il accu
e double ; signe de Lasègue très net des deux côtés, dou- leur à la pression le long du trajet du sciatique (tout le long delà
yphose des dernières ver- 96 CLINIQUE NERVEUSE. tèbres lombaires, pression douloureuse au niveau du sa- crum ou des vertèb
physe sacro-ilaque droite une tuméfaction paraissant élastique à la pression ; la compression bilatérale du bas- sin provoqu
n bilatérale du bas- sin provoquait de la douleur, en ce point ; la pression externe sur le sacrum n'était pas douloureuse,
t à la symphyse sacro-ilia- que droite étaient très douloureux à la pression . Dans le 2e cas, la partie supérieure de la sym
eure de la symphyse sacro-iliaque était légèrement douloureuse à la pression , ainsi que la pression bilatérale du bassin. \
-iliaque était légèrement douloureuse à la pression, ainsi que la pression bilatérale du bassin. \ Dans notre cas, le sacr
umet les parties environnantes n'offraient rien à l'inspection ; la pression n'était pas douloureuse en aucun point ; l'auto
les préfets soient invités à réclamer des conseils généraux l'im- pression des rapports annuels des directeurs et médecins e
umine et une lymphocytose extrême- ment forte. L'augmentation de la pression du liquide a éLé ren- contrée 12 fois qui se dé
termine (le il une faible anémie préalable passagère. Elle élève la pression gé- nérale du sang. Par la voie gastrique, elle
on l'intro- duit dans le sang ; mais, en revanche, son effet sur la pression sanguine dure plus longtemps. P.IE2AVaL. r
papille étranglée provient d'après OENGER de l'augmenta- tion de la pression intra-cranienne. En effet, elle manque sou- ven
s voies sanguines et lymphatiques d'écoulement. L'é- lévation de la pression cérébrale joue le rôle principal dans la genèse
rales inopérables. La ponction lombaire montre l'augmentation de la pression du liquide cérébro-spinal en pareils cas, et pe
peut-elle manquer ou rétrocéder spontanément' ! Le plus souvent la pression , une prolifération cellulaire, un rétrécissement
ssipée dans le sinus caver- neux. AoAMKtEwicz. 1. Il n'y a pas de pression cérébrale parce que quand le liquide céphalo-ra
and le liquide céphalo-rachidien afflue dans la cavité crânienne sa pression n'atteint jamais celle des capillaires sanguins q
par les veines du diploé toujours ouvertes. -2. L'augmentation de pression du liquide céphalo-rachidien n'a lieu que lorsqu'
se mêlent des produits de l'inflammation en rapport, eux, avec une pression exagérée. La rétrocession de la papille étranglée
entalement la papille étranglée en augmen- tant artificiellement la pression à l'intérieur du crâne ; on n'ob- tient jamais
a syringomyélie,clans les traumatismes de la moelle, dans la com- pression de la moelle, dans l'hemaiomyelie centrale et l'a
stion à l'état de la veille n'ont eu d'influence évidente : mais la pression de certains points du corps (en particulier la
lace, à St-Yon, dans la pratique de Morel et de Brocard. A faible pression , et avec quelques légères modifications d'outilla
- ditions sanitaires et des réactions individuelles. Selon l'ex-- pression de Scoutteten « nulle pratique n'a réclamé un tac
permanents, d'enveloppements humides, de douches à forte ou faible pression , de demi-bains, d'affusions, etc. En dehors de
ecourir au bain prolongé (Brierre) ou à la douche tempérée à faible pression . j Les crises d'excitation chez les épileptique
id ou graduellement refroidi, de la douche froide à faible ou forte pression , des emmaillo- tements humides froids, on pourr
e se prêtent ad- mirablement les bains ou douches en pluie à faible pression , et, en particulier, la pratique des bains d'as
es ou chaudes (bains prolongés de 28à 34°, douches tempérées faible pression , douche baveuse de Vidal ou bain en pluie). Cha
datifs (bain tiède plus ou moins prolongé, douche tempérée à faible pression , bain en pluie). Les épisodes aigus, mélancol
219 règles générales applicables aux états d'excitation ou de dé- pression psychiques ; mais c'est ici surtout qu'il faudra,
robinet fut-il ou- vert, à peine les inhalations, activées par des pressions sur le ballon, eurent-elles été commencées quel
c des' muscles auriculaires et d'un tic de plissement du front»; la pression légère des bretelles déter- mina un tic des épa
3° les muscles intercostaux qui s'opposent par leur tonicité à la pression atmosphérique qui tend il déprimer le thorax lors
erfs servant il conduire, les uns, les impressions de contact ou de pression , les aulres les impressions de chaud, les trois
s ne subissent pas de décussation connue les nerfs . du tact, de la pression , etc. ; qu'ils se rendent, ccux du côté droit,
l'hé- misphère gauche intervient seul dans la perception des im- pressions douloureuses, le centre droit n'entrant en jeu qu
ents'au point de vue du diagnostic. L'élude de la densité et, de la pression osinolique présente encore un intérêt plus scie
s travaux ont été faits, ne nient pas d'une façon absolue la com- pression osseuse directe de la moellc;ils conviennent que
ales ad- jacentes aux méninges suffise à produire, même sans com- pression , la myélite. La théorie inflammatoire de Michau
rencontrées comme la conséquence d'une stase lymphatique ; lacom- pression qui s'exerce sur les méninges gênerait la circu-
ussi une lésion mécanique directe des fibres nerveuses parla com- pression ; celles-ci alors offrent une condition encore pl
sion et celui des accidents médullaires, pour le fait qu'une com- pression déjà modérée de la périphérie de la moelle peut
ités épidurales sont 'si légères qu'elles ne peuvent exercer aucune pression . Pour ces cas, la seule explication possible se
e 1)tellyiiiéiiiiigitc,' et bien que l'arête osseuse ait porté sa pression sur un point limité de la moelle, elle a engendré
ace subdu- ral est capable d'élever encore plus l'augmentation de pression qui peut déjà exister dans l'espace sous-arach-
ce fait que la compression provoque une altération des rapports de pression de la moelle, d'où dilatation passagère des voi
es cas où la compression médullaire est très intense, par la com- pression des vaisseaux de la pie-mère ou de la moelle elle
mener une stase dans le système lymphatique de la moelle par com- pression des voies lymphatiques et sanguines efférentes.
rier 190.">. On constate alors une cyphose .non douloureuse à la pression à la ré- gion dorsale'avec maximum au niveau de
plus d'expliquer l'abolition des réflexes par l'augmentation de la pression du liquide cc·1>ltalo-raclti- dien : le sign
entuée au niveau (le,la 11-121" vertèbre dorsale, douloureuse il la pression : douleurs spontanées également : pa- ralysie p
parait être à l'origine des phénomènes convulsifs. Une étude sur la pression artérielle viendra sous peu appuyer ces faits.
34 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
éder à la fois, elle prévoit leur arrivée, elle les sent « qui font pression » dans sa tête avant d'éclater. Elle s'efforce de
nt, c'est-à-dire l'enveloppe osseuse, ne cesse de s'adapter à cette pression intra-cranienne anormale. D'ail- leurs, sans av
ormation est la preuve de l'adaptation de la boite cra- nienne à la pression interne. Nous jugeons inutile d'entrer dans de
te pas la cavité cranienne, mais en même temps il n'exerce aucune pression sur l'endocrâne ; aussi le tissu osseux par- fa
nce intersti- tielle des parois craniennes n'est pas limitée par la pression intra-cranienne, de là son épaisseur parfois in
OPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 31 avec cette loi que partout où la pression est augmentée, l'os tend à s'amincir (et dans l
imum on a, en effet, des parois extrêmement minces) et que là où la pression diminue la paroi s'épaissit. < La figure 8 e
PL. 1 et II donnent un exemple frappant de cette modification de la pression intracrânienne au niveau de la loge frontale.'
ure des loles frontaux : il en était donc résulté une diminution de pression dans la loge anté- rieure et conformément à la
e 8, où l'on voit la coupe de cet os. Dans la microcéphalie où la pression est extrêmement faible, puisque la masse entièr
les deux hémisphères se développent également et simultanément, la pression sup- portée par l'apophyse crista galli sur ses
se déve- lopper, qu'arrive-t-il ? Le demi-cerveau sain exerce sa pression d'une part sur la paroi résistante de la voûte cr
galli. Mais toute cette paroi interne se laisse déprimer parla ' pression normale de l'hémisphère sain, qui n'est pas contr
ormale de l'hémisphère sain, qui n'est pas contre- balancée par une pression en sens contraire. L'hémisphère au cours de sa
nflé en totalité, ce qui n'a rien d'étonnant puisque l'absence de pression est générale'. 1, 2° Que les hémiplégiques, déc
enà à la saillie de cette crête osseuse interne. La différence de pression a amené également une asymé- tre du corps du sp
lus oblique que celui du côté opposé : il tend à la verticalité. La pression plus forte a modifié aisément le corps de l'os
. 37 un aspect normal, tandis que du côté répondant à une moindre pression on a un aspect qui serait normal si le sujet ét
sain ; il est parfaitement appréciable à la vue. - En arrière la pression cérébrale a produit un véritable renversement d
de cette lui que' nous avons signalée plus haut, que partout où la pression diminue la paroi s'épaissit là où elle est augm
tés plus profondes, mais au niveau des sillons qui les séparent, la pression est nulle et la prolifération osseuse se faisan
lade. Pourquoi cet aspect ? Parce que, comme nous l'avons dit, la pression à ce niveau est moindre. Toutefois, remarquons-
nérale est peu transformée en raison des fai- bles variations de la pression interne et de l'épaississement des parois. On p
que le crâne est en rapport non pas avec le cer- veau mais avec la pression intra-crânienne », et nous en donnions des exem
é considérable de liquide dont la présence suffisait à maintenir la pression intracrànienne. Les ventricules cérébraux (voir
ns les lymphatiques. (Revue neurologique, janvier 1903). E. B. V. Pression intraartérielle dans la névrose traumatique; par
de ses recherches, l'auteur con- clue que le degré de hauteur de la pression du sang et ses change- ments éventuels n'ont pa
corder Strauss. L'intérêt serait plus grand si nous connaissions la pression du sang avant le traumatisme et si nous pouvion
paraissent avoir été la manifestation grave et unique de la com- pression des noyaux du pneumogastrique. (Revue neurologiqu
action sur les méninges. Le liquide était très abondant, sous forte pression , clair; l'aspect cytologique était normal, la l
se diffuse. Toutes les masses adipeuses sont très douloureuses à la pression . Des trou- bles psychiques existent chez la mal
s nerfs périphériques (manque de réflexes patellaires, douleur à la pression de certains troncs céré- braux, démarche mal as
'aucune douleur spontanée. Il n'existe pas non plus de douleur à la pression , contrairement à ce qui se passait avant le tra
irement à ce qui se passait avant le traitement suivi en France; la pression des nerfs, .leur simple effleurement éveillaien
t frôler sa joue; plus fréquemment, elle sent très distinctement la pression de lèvres sur ses mains et sur sa bouche. Ce so
.rétablissement de son contrôle, travail encore inachevé dont l'ex- pression subliminale arrivait ainsi jusqu'à sa conscience.
s d'une des carotides sauf la carotide interne. On prend ensuite la pression du bout central et du bout périphérique de la c
de la carotide à l'aide du kymographe enre- gistreur, de Ludwig. La pression du bout périphérique n'est autre que celle des
aisseaux du cercle artériel de Willis; celle du bout central est la pression de la partie ascendante de l'aorte. Ces deux pr
entral est la pression de la partie ascendante de l'aorte. Ces deux pressions se trouvent inscrites sur le ruban sans fin de l'
1° Pendant la copulation, on observe une élé- vation marquée de la pression générale du sang. 2° On observe une hyperémie m
a- tations des vaisseaux du cerveau avec chute et élévation de la pression générale du sang, qui dépendent des divers moment
t le maximum d'hyperémie de cet organe. 5° Après la fin du coït, la pression du sang générale tombe notablement, l'animal est
e tumeur volumineuse au lobe préfrontal gauche. L'augmen- tation de pression céphalorachidienne est-elle capable d'abolir l'
. Les réactions psycho-motrices les plus variées (excitation, dé- pression , stupeur) peuvent s'observer dans toutes les form
ues, hygrostatiques, thermostatiques main- tiennent le niveau de la pression , de l'hydratation, de la température intérieure
er, qu'elle steppe, son pouls est fréquent, ses réflexes abolis, la pression des masses mus- culaires n'était pas douloureus
igoureusement à l'hyperémie corticale : à la suite de l'attaque, la pression du sang tombe dans le cerveau, celui-ci est en
à la stase lymphatique et vasculaire; cette stase tenait à la com- pression dorsale. Sans compter qu'il y a eu de ce fait (du
résultante de plusieurs actions élémentaires qui, elles, sont l'ex- pression de la fonction d'un muscle isolé. Donc, toutes ré
n des meilleurs signes des démences. Dans la paralysie générale, la pression du liquide céphalo-rachidien étant accrue, deux
a capa- cité des ventricules latéraux : l'atrophie cérébrale, et la pression exagérée du liquide céphalo-rachidien résultant
s plexus choroïdes enflammés. Dans les autres formes de démence, la pression du liquide est normale et l'ampliation des vent
n. Résection, régénération autogène, par Durante, 501. Névrose. Pression intraartérielle dans la traumatique, par Has-
35 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
-gène, c'est-à-dire que quand on y produit un frôlement rapide ou une pression unpeuvive,le malade ressent quelques-uns des phén
ance déjà est bien faite pour éveiller l'attention du connaisseur. La pression dynamométrique donne pour la main gauche parésiée
être provoquée parfois chez quelques sujets, par les mêmes manœuvres ( pression des globes oculaires, fixation du regard), qui ch
musculaire qui appartient exclusivement à la léthargie hypnotique. La pression sur les muscles, sur les trajets nerveux, ne déte
ution complète, absolue des membres, antérieurement bien entendu à la pression exercée sur les muscles ou sur les troncs nerveux
es ; je me borneà signaler pour le moment qu'au niveau des mollets la pression exercée sur les muscles est douloureuse, douloure
s d'un mois à peu près complètement confiné au lit. Les douleurs à la pression étaient vives, ainsi que les douleurs nocturnes ;
Yaura provoquée elle-même, peut-être au moins en certains cas, par la pression des zones hystérogènes déterminée inconsciemment
oup : puis, en dernier lieu une diminution très marquée delà force de pression dynamomé-trique. Ainsi tandis qu'un homme vigoure
ques cutanés ou sous-cutanés pouvant survenir comme conséquence de la pression exercée sur les parties, et, en particulier, pas
près le début de l'affection, il existe une certaine sensibilité à la pression sur le trajet du sciatique (1) entre le trochante
as à 1. On éveille dans le membre paralysé un peu de douleur par la pression sur les points suivants : 1° Au niveau de la sort
une douleur affreuse. M. Charcot : Peut être même que là une forte pression eût été moins douloureuse que le frôlement ? La
changer de caractère. Lorsque, en dehors des crises, on exerce une pression surla région ovarienne droite, la malade ressent
ûlure ou un vésicatoire à vif; mais elles sont exaspérées soit par la pression , soit par les moindres mouvements du tronc, et da
rachiclienne d'exercer à l'aide du doigt,avec une certaine force,une pression profonde sur les apophyses épineuses', sur les ap
', sur les apophyses transverses, sur les gouttières vertébrales. Une pression des plus légères, un simple attouchement, un frôl
de la peau que l'on comprime en suite entre le pouce et l'index. Une pression même très légère de ce repli cutané suffît pour p
très légère de ce repli cutané suffît pour produire la douleur ; une pression un peu forte la porte au plus haut degré. La pr
douleur ; une pression un peu forte la porte au plus haut degré. La pression a encore un autre effet sur lequel il nous faut p
ouïes hystériques, et surtout cette sensation oVaura consécutive à la pression , ne sont pas l'expression d'une névrite intercost
ur des régions lombaires et sacrées ; c'est là où la sensibilité à la pression est la plus vive ; de chaque côté, à droite et à
es et j'ai montré laque cette aura se manifeste, en conséquence d'une pression exercée sur les parties douloureuses. Lorsque l'a
des expirations, sont diminuées. Le pouls devient plus fréquent et la pression artérielle paraît plus élevée qu'à l'état normal.
iles. Réflexes auriculaires: l'épreuve binauriculaire réussit par les pressions sur la droite, non par pression àgauche. Le diapa
reuve binauriculaire réussit par les pressions sur la droite, non par pression àgauche. Le diapason au vertex est perçu comme so
es excitations cutanées sont perçues normalement; pas de douleur à la pression . Le sens musculaire est parfaitement conservé ; l
es entières, ne pouvant être modifiées par aucune de ces manœuvres, — pression ovarienne ou de divers points hystéro-gènes — qui
es yeux. Je ne voudrais pas omettre de vous parler d'une sensation de pression , de constriction pénible que le malade éprouve d'
-elle faire quelque pas sans voir s'exaspérer le sentiment pénible de pression qui occupe la région du sacrum — Aucun phénomène
ccentuée au membre supérieur où elle était restée fort incomplète; la pression dynamométrique cle la main gauche donne en effet
ie. Fig. 55. — a. Anesthésie. b. Hyperesthésie. b. Hyperesthésie. pression exercée sur la partie inférieure des muscles demi
4 mai 1889 et suivants. sera l'effet, par rapport au sommeil, d'une pression exercée sur ce point douloureux. Vous n'ignorez p
e compression ovarienne énergique détermine l'arrêt des attaques, une pression moins forte peut avoir pour effet au contraire d'
genou Celui-ci est douloureux lorsqu'on le meut ou qu'on y exerce une pression profonde et la boiterie qui, aujourd'hui encore,
prolongé des membres droits avec la terre humide en même temps que la pression à laquelle ils ont été soumis par l'action du poi
comme les équivalents d'un agent traumatique localement appliqué. La pression a été dans ces membres la cause d'un engourdissem
ément et celles qui se manifestent seulement par le contact ou par la pression . Les premières, fort accentuées, consistent en
estent également, et d'une façon plus accentuée, lorsqu'on exerce une pression un'peu forte sur les masses muscu- 52 laires,
Fig- 80. La peau du scrotum à gauche est très sensible à la moindre pression ; le testicule correspondant est plus douloureux
errogez en ce moment précis, il vous répond: « Cela monte, j'ai de la pression dans l'estomac, je ne puis plus respirer, j'ai ma
vons ici des stigmates très accentués,des points hystérogènes,dont la pression détermine la production de l'aura. Ce malade n'au
e que vous m'avez fait l'autre jour... » Un jour je lui ai fait cette pression sur l'abdomen dont vous venez de voir l'effet. Il
Le point hystérogène existe toujours,mais il faut exercer sur lui une pression beaucoup plus forte pourpro-voquer le phénomène d
onné les résultats suivants (2) : sur quelques mus 1. Main droite : pression dynamométrique 15 k. Main gauche : — — — 30 k.
empérature fixe, pendant un certain temps tout au moins. Une vis de pression , située à la partie supérieure des cylindres, per
che, une zone ou plaque hystérogène. Le moindre frôlement, la moindre pression exercés sur ces plaques font apparaître les prodr
Pas de troubles oculaires. Zone hystérogène. — Lorsqu'on exerce une pression un peu énergique au niveau de la partie droite de
Le testicule gauche, sans être complètement insensible, supporte une pression beaucoup plus forte que celui du côté droit. Le
73, 274. — Attitudes passionnelles, 275. — Début, 67. — 1 Effet de la pression ovarienne,275. — 2 Effet des excitations extéri
, sq., 194. —Douleurs lombaires, 190. — Sensibilité du raclais à la pression , 192. — Stigmates, 186, sq., 192. Hystérie. — e
aque,166. — Phénomènes laryngés, 7. — Po-lyopie monoculaire, 166. — Pression ovarienne, 275, 276. — Pronostic, 9. — (Rachialgi
t Paralysie faciale, 225. — Pathogénie, 225. Ovarienne (Effet de la pression ), sur les phénomènes hystériques, 275, 276. Oxy
et hystérie. — Douleurs lombaires, 190. — Sensibilité du rachis à la pression , 192.— Stig-. mates, 186, sq., 192. Pott (Mal d
36 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
ssez intenses pour em- i CHEVALLIER pêcher le sommeil. La moindre pression détermine des douleurs intolérables. Les côtés
gulière : entaillée, et l'ongle proprement se continue avec une dé- pression anfractueuse, c'est le lit recouvert d'écailles e
ATOME HYPOPHYSAIRE 17 18 BERTOLOTTI troncs nerveux indolores à la pression , aucune parésie aux membres. Les sphincters son
me de Mannkopf. Le pouls a subitement disparu quand on a exercé une pression sur le nerf susorbitaire dou- loureux, et est r
ur le nerf susorbitaire dou- loureux, et est reparu aussitôt que la pression a cessé. Voici le cas : ' V. H..., 46 ans, co
aiement. Mémoire altérée, amnésie, émo- tivité exagérée. Pendant la pression sur le nerf sus-orbitaire le pouls dispa- raît
sus-orbitaire le pouls dispa- raît subitement et revient dès que la pression cesse. , J'ai observé ce phénomène dans d'autre
e. Tronc ner- veux de l'extrémité supérieure droite douloureux à la pression . Tremblement de l'extrémité supérieure droite,
la position couchée et 102 dans la posi- sition debout. Pendant la pression ur la région sacrée ou quand on force le malade
phénomène forme, comme la différence de tempé- rature cutanée ou de pression intraartPrielle entre le côté sain et le c4té a
enflement, dont la moitié droite est tuméfiée et fluctuante sous la pression digitale. Après durcissement de la pièce par le
he, ils refusent de marcher à cause de la douleur que leur cause la pression sur la peau des pieds. Aussi beaucoup gardent-i
xcitations. Mais si elle existe en même temps, alors le contact, la pression , la chaleur et les courants électriques augmenten
eur du tronc nerveux se trouve dans la période ascendante, alors la pression sur la tumeur même ou sur ses branches augmente
sion sur la tumeur même ou sur ses branches augmente la douleur. La pression au-dessus de la tumeur (entre elle et le centre
cependant il perçoit le passage du doigt ou du porte-plume avec une pression moyenne. Aux membres supérieurs, t'anesthésie e
dui- sent de la douleur et la marche est fort pénible à cause de la pression sur ces endroits. Beaucoup de ces malades s'exp
isissons des doigts les orteils du malade. Alors, n'exerçant que la pression juste nécessaire pour nous en rendre maître, no
ancée de la maladie accusent, lorsqu'on pratique l'examen, la seule pression de la peau, soit sur les orteils, soit en desso
d il y a altération visible et palpable d'un tronc nerveux, la com- pression exercée sur elle et sur un point du nerf lui-même
de dislance, on peut, s'il ne s'abstient pas des frottements et des pressions habituelles. voir, après un certain temps, se p
totale du nerf. 170 13ARBAQUER La deuxième conclusion est que les pressions , les frottements elles variations thermiques ha
rès nettement perceptibles à la palpation. Tous sont indolores a la pression , insensibles et inexcitables au courant électriqu
n- draxe des excitations extérieures, qui explique l'indolence à la pression et surtout l'absence complète de contraction mu
, ce signe ait une valeur indi- catrice supérieure à l'élévation de pression du liquide qui pour Sicard constituerait un « g
it presque normale. Elle est très peu diminuée. La sensibilité à la pression , au diapason, sont légèrement diminuées dans le
hésique, qui peut être réveillée par le souvenir tout seul de l'im- pression reçue (Patrizi) (1). L'hystérie' trouve donc sa
so-moteurs, sécrétoires, etc., lesquels ne sont eux-mêmes que l'ex- pression d'une réactivité exagérée des centres cénesthésiq
le au niveau des 9e et 10e vertèbres dorsales, du côté gauche, com- pression représentée pendant la vie par ses symptômes clas
acine de la cuisse droite. D'autres fois, la malade compare ses im- pressions à celles d'une femme enceinte qui perçoit les con
lle au contact, à la piqûre, à la chaleur, de sensibilité profonde ( pression , sens des attitudes), sauf cependant au niveau
a sen- sibilité superficielle (tact, douleur, chaleur) et profonde ( pression , sens des attitudes), il n'y a pas de dissociat
trition continue donc et avec elle la croissance; en conséquence la pression augmente. Sans doute, les tissus se tassent, ma
nsinuée dans tous les recuins de l'enceinte, puis elle a exercé une pression très forte qui aboutit à provoquer une rupture
avec sa haute teneur en adrénaline, agit nettement en augmentant la pression sanguine et, par conséquent, pourrait peut-être
e attaque. Admis à l'hôpital, il montre une grande sensibilité à la pression de la région temporale droite atteinte et de no
es phénomènes de foyer, le trauma- tisme, la forte sensibilité à la pression locale, et un alcoolisme modéré avoué par le ma
vent toutefois être déjà tellement pleins qu'ils exercent une forle pression sur les parties environnantes, ainsi la circula
ne se comporte alois comme des méninges épaissies et cause, par une pression directe sur l'écorce cérébrale, des troubles de c
rrasser des toxines : l'action du coeur est fortement augmentée, la pression sanguine s'élève, la circulation devient donc aus
ange gazeux en est augmenté el, par l'importante augmentation de la pression sanguine, la fonction rénale est fortement accé
e osseux, on entaille la dure mère et on arrive ainsi à diminuer la pression des membranes cérébrales oedémateuses, épaissies
ênée) par les méninges épaisses et oedémateuses; si l'on diminue la pression inlra- cranienne et spécialement l'entassement
es parties plus profondes qui, soit par augmentation générale de la pression intraérânienne, soit par des processus locaux d
droite. La peau est moite et en toutes régions liyperestliésiée une pression légère au niveau des membres ou du thorax provoqu
37 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
ns les mors de l'appareil, la rapidité avec laquelle a été faite la pression , tout cela exerce une grande influence sur l'am
a douleur persiste pendant un certain temps,si on n'augmente pas la pression . Les piqûres produisent dans la peau des modifica
e complètement disparaître par suite de l'effet analgé- sique de la pression . Cependant la première sensation de douleur aura
c les effets des piqûres consécutives. Si avec l'augmentation de la pression la douleur au lieu de diminuer augmente, cela p
ppareil il est nécessaire d'appuyer fortement. L'in- tensi té de la pression est sans influence sur la force de la douleur. En
momètre à mon appareil je me suis convaincu que des varia- tions de pression entre 50 et 600 grammes n'avaient aucune influenc
le la résistance de la peau est trop insignifiante par rapport à la pression d'une si petite surface que la pointe d'une ai-
ace que la pointe d'une ai- guille. La peau cède facilement à cette pression et la pointe de l'aiguille s'y enfonce libremen
oncer plus profondément dans le tissu il faut augmenter la force de pression . D'un autre côté, par suite de la forme conique
e les choses se passent autrement. Ici, avec l'augmenta- tion de la pression la peau couverte par la surface du bouton subit é
e par la surface du bouton subit égale- UN ALGÉSIMÈTRE 45 ment la pression . Par conséquent, quel que soit le degré de pressi
ÈTRE 45 ment la pression. Par conséquent, quel que soit le degré de pression , celle- ci se répartit d'une façon uniforme sur
la pointe de l'aiguille. Outre cela, la pointe, quelle que soit la pression de l'instrument, ne s'enfonce pas sensiblement
n millimètre, dans laquelle la peau peut s'enfoncer au moment de la pression par suite de la différence de résistance de la
te ouverture, la peau s'y en- fonce à peine, môme à une très grande pression . La pression, qui certainement exerce une influ
a peau s'y en- fonce à peine, môme à une très grande pression. La pression , qui certainement exerce une influence sur la cir
nement plus considéra- ble dans l'appareil de Bjôrnstrm. Puisque la pression est une donnée constante, elle n'empêche pas la
e. L'algésimètre peut donner lieu à deux sensations distinctes : la pression et la douleur, qui se manifestent diffé- remmen
i se manifestent diffé- remment dans différentes circonstances : la pression peut diminuer la douleur, et la douleur peut fa
er la douleur, et la douleur peut faire disparaître la sensation de pression . Dans ces phénomènes la perception physique des
ctile, il n'existe que des différences de quantité; la sensation de pression se trouve entre les deux. La sensa- tion tactil
un corps solide devient ^douloureuse si l'attouchement devient une pression . C'est pour cela que toutes ces sensations devr
ouleur et les sensations thermiques, tactiles, de l'espace et de la pression . - 17' En comparant les résultats obtenus avec
lonne verté- brale, mais surtout dans la région lombaire. Enfin, la pression des muscles de la cuisse et notamment du quadri
ai signalés du côté du quadriceps fémoral, me paraissent être l'ex- pression d'une hypere : rcitaliilité neuro-musculaire en r
re lombaire et suivre la crête iliaque. Elles sont exagérées par la pression . " Les .phénomènes vésicaux, qui ont été d'abor
llet droit, augmentait singulièrement l'intensité de la douleur. La pression profonde paraissait plutôt l'atténuer. Dans les
vertébrale révélait l'existence d'une hyperesthésie très vive à la pression , avec sensa- tion d'aura. Bref, il s'agissait d
, SUR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 77 Actuellement, la pression des muscles des mollets développe chez lui des
alade se plaint d'une douleur sié- geant dans le sein et la moindre pression avec les doigts la fait crier. Par- fois, le se
e, toutes les affections douloureuses du sein dans lesquel- les les pressions fortes sont moins pénibles que les pressions légè
dans lesquel- les les pressions fortes sont moins pénibles que les pressions légères. L'hyperesthésie cutanée est fréquente
ée lors d'une friction légère, superficielle, qu'à l'occasion d'une pression large et profonde. Elle est parfois si exquise
de la chemise alors que, dans certains cas, mais non dans tous, la pression du corset semble soula- ger les phénomènes doul
ésiques, lesquelles se transforment alors en zones hystérogènes. La pression directe, les émotions vives peuvent faire entrer
iers osseux qu'ils font mouvoir, ne manquerait pas d'entraîner. Les pressions que subissent les corps charnus musculaires, de
jectives, localisées à la région lombaire et provoquées soit par la pression soit par la percussion. Elles s'irradient sous fo
e la sensibilité. Tous les nerfs du côté droit sont douloureux à la pression . Le bras droit est un peu plus faible que le ga
t régulièrement arrondies, il n'y restait aucune trace de poils, la pression n'y déterminait aucune empreinte. A leur limite
tex. Points ovariens. Toutes ces zones sont douloureuses et si la pression est continuée un certain temps, elle provoque d
ne douleur spontanée très vive au niveau des gaines, douleur que la pression et les mouvements de la main exagéraient fortemen
éfaction fluctuante des plus nettes. Remarquons que la douleur à la pression à ce niveau était d'autant plus frappante que tou
38 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
Brissaud et son école, suivant laquelle l'acromégalie serait l'ex- pression d'une hyperactivité hypophysaire dans une période
la grandeur relative des extrémités osseuses qu'ou constate par la pression et puis encore à cause de la musculature qui est
XIIe vertèbres dorsales et la I° lom- baire sont douloureuses à la pression . Quand on appuie sur toute la colonne vertébral
l'atropliie musculaire générale et surtout des muscles fessiers. La pression des dernières côtes à gauche est douloureuse, A
arquée au niveau des vertèbres dorsales moyennes et inférieures. La pression de la XIIe vertèbre dorsale est douloureuse.
ale est douloureuse. Le malade immobilise sa colonne vertébrale. La pression des dernières côtes à droite est douloureuse au
ver- tébrale dans sa partie dorsale. A l'examen on constate que la pression des fil° eLX' côtes à droite et à gauche est do
rs en ceinture. Tous les 3-4 heures, des injections de morphine. La pression sur la colonne vertébrale au niveau de la XIIe ve
r- tèbre dorsale provoque des douleurs. La colonne est immobile. La pression sur les dernières côtes du côté droit est doulo
nsidérable celle des fesses. Les nerfs cruraux sont douloureux à la pression . La sensibilité intacte. Etat actuel. Malade d'
elle se penche, la douleur dans la région lombo-sacrée augmente. La pression exercée sur toute la colonne vertébrale depuis le
ïde et celle du sternum. La colonne vertébrale est douloureuse à la pression exercée sur la XIIe dor- sale et la I''8 lombai
Les vertèbres XII° dorsale et Ire lombaire, sont douloureuses à la pression . Une tuméfaction très douloureuse du côté droit
symptômes radiculaires sacrés pourraient provenir aussi de la com- pression des racines sacrées exercée par une tumeur située
es vertèbres sacrées. Ces dernières n'étaient pas douloureuses à la pression , et à la palpation ne donnaient pas d'im- press
ouloureuses à la pression, et à la palpation ne donnaient pas d'im- pression d'être envahies par la tumeur (qui se terminait a
ononcés et des contractures des membres. Notre malade faisait l'im- pression d'un individu auquel le courant électrique a cont
iome, endothéliome) ne diffère pas sensiblement de celui de la com- pression ordinaire de la moelle (les symptômes de la compr
e, peuvent apparaître des lésions considérables à l'endroit de com- pression et de dégénérescence secondaire. Ces lésions sont
u membre supérieur droit n'est pas particulièrement douloureux à la pression . 12. La peau des doigts de la main droite est l
enu à la conclusion que ces chan- gements des racines sont dus à la pression exagérée du liquide céphalo- rachidien. Obser
rvicales inférieures et dorsales supérieures sont douloureuses à la pression . La tête peut exécuter des mouvements bien limité
olume. Les vertèbres IVe, Ve et VI" dorsales sont douloureuses à la pression . Le Ve espace intercostal est douloureux sur la
de la nuque. Les vertèbres cervicales ne sont pas douloureuses à la pression et à la percussion, par contre les muscles de l
ussion, par contre les muscles de la nuque sont très sensibles à la pression . Atrophie des muscles splénius, deltoïde, rhomb
résentaient aussi des changements (leur finesse) à cause de la com- pression . Puis nous arrivons à une autre question : faut
ertébrale, même jusqu'aux trous de conjugaison, y provoquer la com- pression des nerfs et des vaisseaux radiculaires, mais n'a
qui nous démontre que les lésions produites il l'endroit de la com- pression sont peu nocives. Pourtant dans quelques cas on n
nétrait dans le canal rachidien en provoquant des symptômes de com- pression de la moelle. Bien que au cours de l'opération on
s il celui-ci sont d'ailleurs connus des physiologistes. Ainsi : la pression faible sur la patte de derrière de la grenouille
renouille amène l'augmentation notable du réflexe de préhension, la pression forte, au contraire, produit son abolition. R
pparaissent pas augmentés de volume, et ne sont pas douloureux à la pression . La force musculaire est un peu diminuée aux me
normales ; le deuxième aortique est renforcé. Pouls 80, rythmique, pression moyenne normale. Abdomen mal- léable, insensibl
environ de liquide lim- pide incolore qui sort sans augmentation de pression . Albumine : 0,75 0/00. L'examen cytodiagnostiqu
et 1110 vertèbres lombaires. Celles-ci ne sont douloureuses ni à la pression , ni pendant les mouvements de la colonne vertéb
s, des genoux et des cuisses. Les vertèbres sont douloureuses il la pression . Quand on le secoue, il ressent une douleur mod
pendant les mouvements. Les vertèbres ne sont pas douloureuses à la pression . A l'opération, on constata un ramollissement d
venue plus vraisemblable du moment qu'on a constaté la douleur à la pression et au courant galvanique de la IV, vertèbre dor
e et sur la tête ne démontre pas de modifications pathologiques. La pression des points du nerf trijumeau ne provoque pas de
flexes tendineux (du muscle triceps) et périostaux sont normaux. La pression des troncs nerveux est indolore. Le tonus muscu
K.J. ; lavements ; pyramidon ; bains électriques. 28 septembre. La pression légère et profonde de l'hypochondre gauche et d
la paralysie des deux membres. 2 octobre. - Ponction lombaire ; la pression est médiocre, on a pris 5 centimètres cubes de
einture dans le bas-ventre.La colonne vertébrale est douloureuse à la pression , dans toute son étendue,surtout dans la partie
ffaiblie au membre inférieur gauche; on constata de la douleur à la pression , dans la région des vertèbres dor- sales moyenn
entôt mesure qu'on s'éloigne un peu de l'endroit de maximum de com- pression néoplasique, les modifications de la structure mé
lusivement du côté de la tumeur. Les lésions provoquées par la com- pression portent le caractère de lésions mécaniques. Nulle
ême dans les han- ches). La colonne vertébrale est douloureuse à la pression au niveau du IXO segment dorsal. Une escarre gr
ion cervicale inférieure et dorsale supérieure est douloureuse à la pression . Quand on fait asseoir le malade, les douleurs
Le plantaire, vif, normal. Sensibilité, conservée. Pas d'ataxie. La pression sur les troncs nerveux et les os est dou- loure
TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 357 La pression de l'articulation de la hanche droite, de l'hypoc
avu T... Notes cliniques. - 26 ans, paraplégie spasmodique par com- pression de la moelle. Contractures des membres inférieurs
sées, ou lorsque leur état d'équilibre trophique est vicié par sup- pression ou par adultération de l'influx nerveux apporté à
des attitudes seg- mentaires, et la perception stéréognostique. La pression des troncs nerveux périphériques n'est pas doul
. On extrait 10 centimètres cubes de liquide limpide, transparent à pression normale. L'examen chimique révèle une très légère
serait enfin principalement le fait de l'absence de la douleur à la pression des troncs périphériques, la manière de marcher
it de mal de Poil, parce que la malade n'accuse aucune douleur à la pression , en aucun point de la colonne vertébrale, qu'el
tion du côté radial de quelques nodules para-osseux douloureux à la pression forte; les parties molles du médius ont un volu
autres). En général il faut prendre en considération la force de la pression qu'on exerce sur les vertèbres et la suggestion
tre cas nous avons constaté une vertèbre dor- sale douloureuse à la pression et à l'électrisation (le cathode). Ce phéno- mè
nce molle de couleur jaunâtre et s'écrasant facilement à la moindre pression du doigt. Une coupe, pratiquée horizontalement à
faut encore ajouter l'atrophie déterminée par l'augmentation de la pression intraventriculaire. Or, cette couche étant en g
latins semblent avoir été comprimés les unes sur les autres par une pression latérale externe, de telle façon que le diamè-
fait remarquer que la moelle épinière est très résistante à la com- pression . En effet, maintes fois les médecins ont pu se co
s sensitifs, les plus persis- tants sont les troubles du sens de la pression (bathyanesthésie) (Oppen- heim). Dans notre X
que dans ces cas le rôle important soit joué par les troubles de la pression habituelle de liquide cépllalo-ra- chidien. Le
39 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
élire. Le développement physique et intellectuel était régulier. La pression dynamométrique était de 35 pour la main gauche et
sibi- lité cutanée avec ses modes délicatement différenciés : tact, pression , douleur, température, sensibilité articulaire,
leurs segments, dite encore le sens de l'espace, ou la sensation de pression , et M. Aba admet que ces six facteurs réunis co
es passions elles-mêmes qu'elles reflètent et de leurs moyens d'ex- pression . Je me contenterai d'en citer un ou deux exempl
ations ver- ticales, et d'une atténuation des chocs produits par la pression du pied sur le sol. Or, on sait, disent-ils, qu
la marche ordinaire. On peut faire remarquer, d'ailleurs, que si la pression sur le sol est (1) Méthode du commandant de Rao
de la nutrition et de l'innervation des mus- cles déterminé par la pression que les masses osseuses peuvent exercer sur les
'un jaune pâle un peu rougeâtre au centre, lardacée, résistant à la pression , elle mesure 6 centimètres verticalement, et un
doigts sont normales et les mêmes que du côté gauche. Toutefois la pression dynamométrique n'est que de 32 à droite tandis
organes génito-urinaires, sauf le réflexe crémastérien aboli et la pression testiculaire non douloureuse. 11 existe une lég
un liquide purulent. Les glandes mammaires étaient gonflées et à la pression il en sortait du colostrum. Le poids de l'enfan
ec l'audiphone on n'obtenait presque aucune perception. De plus, la pression centripète du nerf auditif ne déterminait pas de
n de capacité delà boite intra- crinienne et une augmentation de la pression qui règne dans cette cavité. Pour peu que la tu
comme étirée, très allongée dans le sens vertical, par suite de la pression énorme exercée sur ses parties latérales. Les péd
sation de toucher; touché plus fortement, il donne une sensation de pression , et touché encore plus fortement la douleur. Ic
appareils de toucher provo- quent le sens de loucher ou le sens de pression , et au delà de ces limites la douleur. De sorte
aiguë, térébrante etc. Probablement le degré de la lésion (piqûre, pression , écorchure, broyement), le nombre des éléments
ec un simple toucher de la langue de même qu'avec un doigt, sans la pression nécessaire, on n'a pas la sensation du pouls. -
, de l'espace, de la sensation tactile ainsi que la sensation de la pression . 11 y a une con- tradiction fondamentale entre
ur un crâne en terre glaise, on avait exercé latéralement une forte pression pour rejeter de droite à gauche une portion du
u membre inférieur. Pas d'hyperesthésie des masses musculaires à la pression . Le membre est constamment froid. Il est le siè
la région dorsale gauche, moins dure, légère- ment douloureuse à la pression ; elle couvre les trois premières côtes et va j
dentelé, élastique et ferme, elle n'est pas osseuse et crépite à la pression . Cette tumeur s'est développée autour d'une exost
neux, tumeur fusiforme, pâteuse, mal circonscrite, douloureuse à la pression . Rien ailleurs dans la cuisse et les os du bass
e masse; une autre, grosse comme un oeuf de cane, douloureuse ;i la pression , apparaît à la région ingui- nale droite, et di
mmédiatement sous la peau saine, une tumeur osseuse, indolore it la pression , composée de petits tubercules et de travées, f
Partie de l'épine iliaque supérieure, une tumeur, douloureuse à la pression , se dirige en bas et en avant, elle est longue
l'annulaire gauche, la plus grosse des quatre, est douloureuse à la pression . Atrophie musculaire. Vitiligo. Avec les déform
ne se produisaient qu'à l'occasion de mouvements. Les douleurs à la pression sont différentes des précédentes par leur locali-
'épine iliaque antérieure et supérieure gauche sont sensibles il la pression ondes points limi- tés et fixes. La douleur il
es il la pression ondes points limi- tés et fixes. La douleur il la pression est surtout vive à l'union du sacrum et des lom
De plus, il existe au milieu du sternum un point très douloureux la pression ; c'est ce même point qui est douloureux lorsqu
cas que nous connaissons. Ils sont de deux sortes : la douleur à la pression en UN CAS DE SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 337 cert
la voûte crânienne étaient écartés et s'enfonçaient facilement à la pression sous le doigt; au toucher, la tète paraissait mol
l y a une telle accumulation de liquide, que sous l'influence de sa pression , presque toute l'écorce cérébrale s'est transfo
ecouverte. Evidem- ment,elles n'ont pas pu résistera la force de la pression et se sont atrophiées complètement à l'endroit
e pouvai plus se développer parce qu'elle se trouvai t soumise à la pression du liquide de l'amnios. C'est ainsi que viennent
de la colonne vertébrale. La moelle épinière sous l'influence de la pression du liquide de l'amnios se transforme bientôt en
que les tissus qui l'entourent, ne pouvant pas supporter une telle pression , le canal cérébro-spinal s'ouvrit suivant toute
sa partie antérieure transformée en membrane sous l'influence de la pression exagérée du liquide d'amnios. NOUV. ICONOGRAP
seuse se trouvent dans différents endroits du corps, indolores à la pression ; la peau est mobile à leur niveau. Les mieux d
gent dans le cerveau et les appareils chargés de recueillir les im- pressions les plus diverses ou de produire le mouvement ; c
nt saillantes sont molles au toucher, en partie réductibles par une pression prolongée. Ces caractères de mollesse et de réd
nts particulièrement fréquents. Il existe de la sensibi- lité il la pression entre la neuvième et la onzième apophyses épineus
trace. n'y,vait plus ni anesthésie, ni dysesthésie,ni douleurs à la pression dans les régions désignées. Mais les troubles d
ême base, à gauche comme à droite, surtout à droite. Du côté droit la pression est extrêmement douloureuse à l'endroit signalé
colonne vertébrale au niveau des dernières vertèbres cervicales la pression , même légère, est très douloureuse. A la perc
raient qu'à la suite d'une provocation (toux, respira- tion forcée, pressions ). La respiration était absolument normale. La pro
it très marquée, et encore au niveau de la 7° vertèbre cervicale la pression provoque les mêmes réac- tions hystériques. L
able description de la Salpêtrière. L'action phrénatrice de la com- pression de l'ovaire confirmerait, s'il était besoin, le d
st variable, plus on se rapproche du tendon, plus elle est dure. La pression sur les mus- cles est légèrement douloureuse. P
ue pâteux, avec légère rougeur de la peau et douleur très vive à la pression ; pas de fièvre. - Le 13 juin excision d'un pet
un gonflement mou, comme la paume de la main, très douloureux à la pression au début, puis plus petit, plus dur et moins sen-
La bandelette qui se termine sur la 10e côte est très sensible à la pression , et de là, de violentes douleurs s'irradient le
40 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
'hypnose, soit avec des agents très faibles, comme un bruit subit, la pression des globes oculaires ou du vértex, soit par des p
Dans l'état de rapport, les phénomènes psychiques provoqués par des pressions sur différents points du crâne, et que j'ai décri
té. La figure 3 montre l'extase avec vision religieuse obtenue par la pression surte milieu du front (3). Dans la figure 4, Beno
vision a complètement changé dénature sous la simple influence de la pression du point n° 18, correspondant au 6e sens. — Les y
les phénomènes d'extase religieuse et sensuelle se produisent par la pression des points correspondants ; la tête se renverse e
cles du tronc, du cou et des bras; moins aux jambes, pas de chute. La pression des muscles ou des nerfs nerf cubital), le choc o
'adminisira, suivant ma recommandation, une injection chaude, à forte pression , mais avec les deux tiers seulement d'une seringu
n de la JlcxibUius eerca* Les mouvements voient! res tris limités, la pression sur les musses et les mouvement* imprimés sont do
mandant de fixer un objet brillant, soit en exerçant sur les yeux une pression douce et prolongée, on détermine chez elle ce qu'
sterait à toute tentative de ce genre. Nous n'avons d'efficace que la pression de l'ovaire ; encore ne parvenons-nous, par ce mo
nsciente; je l'appelle conception ou perception consciente. L'im- pression simplement perçue (phénomène physiologique) par l
e s'est pas néanmoins modifié : la constipation cède. Dynamomètre : Pression , main droite 5 lui.; main gauche 8 kil. 14 déce
dans l'expérience de Fleming et d'Augustus Wallcr, consistant en une pression exercée à la fois sur la carotide, le sympathique
t très manifestes sur les bras en état cataleptique. — la plus légère pression , le moindre contact sur le trajet des fléchisseur
int connaissance des mouvements que sa main exécute, non plus que des pressions ou des frictions exercées sur ses bras. Ces diver
un sujet en léthargie, on exerce avec une pointe-mousse une certaine pression au niveau d'un tronc nerveux, on détermine les mô
état de catalepsie ou de léthargie, une friction légère ou une simple pression sur le vertex. Le somnambule présente l'apparen
r-excitabilité cutano-musculairc qui provoque de vives réactions à la pression d'un muscle, au moindre contact de la peau. Celle
production d'un bruit subit, la projection d'une vive lumière, ou la pression du vertex. que l'on arrive à endormir le sujet ;
ée dernière (i). La fixation du regard, l'occlusion des paupières, la pression du vertex, déterminaient chez lui. non pas le som
nt utile de le traduire peur le publier ici. Albert dk Roch»s. LA PRESSION ARTERIELLE DANS LES PAROXYSMES ÉPILEPTIQUES ET DA
ler antérieurement 1] quelques faits relatifs aux modifications de la pression artérielle dans les paroxysmes épi-leptiques. Je
l'aide du sphvgmomètre de M. Bloch. Lorsqu'on réussit à prendre la pression artérielle pendant l'aura, on constate en général
on constate en général une augmentation de 200 ou 3oo grammes. Cette pression forte se maintient pendant la période convulsive;
gmentation de tension qui peut aussi atteindre 200 ou 3oo grammes, la pression retombe au-dessous de la normale lorsque l'agitat
essous de la normale lorsque l'agitation a cessé. L'augmentation de pression que l'on observe dans les périodes d'excitation p
1" Avec la ventouse en botte de Junod, j'ai obtenu un abaissement de pression de io5o à 85o. Cette diminution artificielle de l
sement de pression de io5o à 85o. Cette diminution artificielle de la pression s'est accompagnée de la cessation momentanée de l
et de l'agitation; cinq minutes après l'enlèvement de l'appareil, la pression était remontée à q3o et l'agitation revenait. 2"
tait remontée à q3o et l'agitation revenait. 2" Dans un autre cas, la pression étant de o5o, un bain sinapisé la rit descendre à
bains sinapisés, chaque intervention déterminant un abaissement de la pression artérielle. J'ai expérimenté la ventouse de Jun
et le bain sinapisé en dehors des conditions d'élévation anormale de pression , l'abaissement n'a pas dépassé 10 grammes (1).
Les observations précédentes semblent indiquer que l'augmentation de pression est une des conditions physiologiques de la produ
ormes. On peut en déduire que les moyens qui permettent d'abaisser la pression sans perte de sang méritent d'être tentés lorsqu'
ui existent entre les paroxysmes epileptiques et l'augmentation de la pression artérielle nous expliquent comment les efforts vi
s accès. Dans ces conditions, en effet, il existe une augmentation de pression que l'on connaît bien dans l'effort, mais (i) D
ieurs circonstances de ce genre, j'ai pu observer une augmentation de pression qui atteint à peu près les chiffres que l'on obse
rès les chiffres que l'on observe dans l'aura ; ainsi, F... qui a une pression normale de 800, avait. le 14 lévrier, dans une pé
de colère motivé par une contestation avec une sous-surveillante, la pression était de 1100. Cette constatation lait comprendre
posthénisante des plus évidentes, je fis comparaître l'infirmier : la pression remonta immédiatement à 1100. Un cocher que j'ai
après. Ces chiffres montrent que, sous l'influence de la colère, la pression artérielle peut augmenter de plus d'un quart. On
égradation sociale. 93. Clinique des maladies nerveuses. 454. Colère ( pression artérielle dans la), par Féré. 369. Conférence
0, 122. Enseignement clinique de l'hypnotisme. 285. Epileptiques ( pression artérielle dans les paroxysmes), par Féré, 369.
41 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ait à la malade que les os fussent atteints, et, d'un autre côté, une pression même légère, occasionnait des souffrances insuppo
de, lourde ; il y a des bourdonnements d'oreilles et une sensation de pression au niveau des tempes. Le sujet éprouve de l'oppre
s de haut sur 4 de large et 2 d'épaisseur ; elle est molle, cède à la pression . Sa surface est lisse, mais offre des sail-lies,
due à la résorption du tissu osseux provoquée à son tour, soit par la pression de la poche ara-clmoïdienne, soit par un travail
ring, c'est-à-dire la perforation des parois osseuses du crâne par la pression du liquide contenu soit dans les ménimges (méning
ège précis de sa base d'implantation. La tumeur était indo-lente à la pression et n'avait jamais été le siège d'aucune douleur s
cerveau par exemple. » VI. Influence de la diminution brusque de la pression , par P. Bert. — Le 17 juillet 1871 M. Bert a fait
tion qui peut être ainsi résumée : « Lorsqu'on diminue brusquement la pression à laquelle est soumis un vertébré à sang chaud, j
s les bronches. — Relati-vement à l'épuisement de l'air pour une même pression , les ani-maux qui laissaient le plus d'O. et qui
enouilles et les chats nouveau-nés, enfin les cochons d'Inde pour les pressions supérieures à 26 centimètres; au-dessous, les gre
O. qui reste dans l'air après la mort est d'autant plus grande que la pression est plus faible, la quantité de CO2 formé varie e
nde quantité de globules sanguins, et surtout de la diminu-tion de la pression intra-vasculaire, l'abaissement de cette dernière
4° Que le sang artériel contient davan-tage d'O. et de CO2 lorsque la pression atmosphérique est plus élevée et réciproquement.
se du poids de la masse morbide, que de la douleur qu'occasionnait la pression du pied sur le sol. — Pendant un an, le malade es
e, sont le siège d'un très-léger œdème. On attribue cet accident à la pression exercée par l'appareil sur la partie supérieure d
ble, s'étendant par en haut jusqu'à la tubérosité ischiatique. Par la pression on en fait sortir environ 200 grammes d'un pus fé
a substance semblait une pulpe noirâtre qui s'écoulait par la moindre pression . Les vaisseaux du foie étaient également gorgés '
esthésie ovarienne, est jusqu'à un certain point patbognomo-nique. La pression , en l'exaspérant, détermine des sensations irra-d
ur; il tend, au contraire, à l'exagérer par le mécanisme suivant : la pression du membre viril s'effectuant, vu la conicité du c
térus, pénétrait à une profondeur de 10 à 11 cen-timètres, suivant la pression exercée sur le manche de l'instrument. En portant
distinguer la quantité d'eau élevée à une certaine température et la pression de la vapeur d'eau qui, selon l'expression consac
llement de la quantité d'eau chauffée ; elle est proportionnelle à la pression extérieure qu'elle supporte. De même dans une pil
t donc se comparer à la force de pro-jection de la vapeur d'eau, à la pression d'un liquide, et l'appareil médical employé pour
épineuses ne révèle ni saillie anormale ni douleur rachi-dienne à la pression . La sensibilité cutanée est conservée dans tous
le col est long mais aminci et peu volumineux, de telle sorte que la pression du pénis sur celui-ci doit être insignifiante. Qu
olongeait en arrière du col. Elle était chaude, très-douloureuse à la pression , résistante sous le doigt et présentant des bat
de dénudation artérielle, de même que les eschares produites par une pression continue dont M. "Verneuil a publié un exemple da
it une éponge mouillée. Avec ces rhéophores, pour peu qu'on exerce de pression on met les bords du tube en cuivre en contact ave
a section de la corde du tympan. XXIX. Les nerfs vaso-moteurs et la pression du sang. — « Tous les tissus, tous les organes,
'époque des règles, la tumeur devient plus grosse, plus sensible à la pression et même au toucher, les battements sont plus fort
ce soit lui-môme qui maintienne les tampons. C'est à lui à savoir la pression nécessaire, le point spécial qui doit être éleclr
e d'un effort, de la marche prolongée ou d'une fatigue quelconque) la pression du col sur le rectum annonçait des phénomènes ner
puis, maintenant toujours les mains à la même place, on exercera une pression légère qu'on augmentera graduellement. Après avoi
ion légère qu'on augmentera graduellement. Après avoir continué cette pression un certain temps, il faut la di-minuer peu à peu.
cette pression un certain temps, il faut la di-minuer peu à peu. Les pressions sur le fond de l'utérus doivent être dirigées deh
vaginal, était souple, élastique, rosée et nullement douloureuse à la pression . Il y a douze jours, l'ablation fut pratiquée ave
xiques, ces poisons accélèrent les battements du cœur et diminuent la pression en produisant la paralysie des pneumogastriques e
tion spéciale sur les reins, mais bien par suite de leur effet sur la pression intra-va-cu-laire. A mesure que la quantité des u
musculaire; 2° la contraction des petites artères fait aug-menter la pression artérielle dans les gros troncs ; 5° cette action
s, dont la contraction a pour effet de faire baisser momentanément la pression dans les artères. Reste la quatrième partie, l'
42 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sujettes à des exacerbations qui survenaient sous l'influence de la pression , de la fatigue, et quelquefois sans cause appré
n peuvent être effectuées sans souffrance, et, d'autre part, que la pression , sur certains points particuliers, tels que la
mouvement peut être aussi étendu de ce côté que du côté opposé. La pression sur les points ischiatique et poplité pro- voqu
ses muscles. D'autre part, le malade, tout en évitant d'exercer une pression du côté affecté, laisse son pied 22 ) PATHOLOGI
modique, et les deux membres inférieurs exercent sur le sol la même pression , con- trairement à ce que l'on voit dans la sci
e la plante du pied pose sur le sol, c'est-à-dire lorsque les im- pressions centripètes résultant du contact mettent en jeu
e de ses com- pagnons, parce qu'il titubait comme un homme ivre. La pression était ressentie avec douleur au niveau des vert
nctions organiques, dans de bonnes conditions; seulement, la simple pression provoquait une légère douleur dans la colonne v
iant parfois à l'épigastre, exagérées parles mouvements, non par la pression . , Fi ? S.. Archives, t. XV. 4 o PATHOLOG
- viron cinq minutes après le repas il n'y a plus de sueur. L'im- pression seule des aliments suffit pour amener la sudation
e dans l'épaule. On ne détermine d'ailleurs au- cune douleur par la pression sur les nerfs du membre supé- rieur droit, non
mais il n'y a aucun signe de névralgie intercostale. Cependant la pression provoque de la douleur à la partie moyenne des
'y avait aucun trouble pupillaire, aucun trouble de sensibilité. La pression au niveau des apophyses épineuses des dernières
lésion des ganglions du sympathique cervical reste possible : la pression sur le sympathique gauche dit Guttmann est un p
ces cellules petites, ratatinées et comme atrophiées par la com- pression ; elles sont fortement colorées en rouge par le c
rd au tronc, qui paraissait par des efforts de torsion fuir sous la pression du doigt, se généralisaient bientôt à tout le c
int possible, sans provoquer aucune réac- tion, d'exercer de fortes pressions sur la partie moyenne du sternum. Peu de temp
yphilis. Nouvelles éludes sphygmo- graphiques d'après lesquelles la pression et la tension artérielle dé- croit dans le bain
, le pouls revient rapidement à la fréquence normale, tandis que la pression et la tension vasculaire montant considérableme
quent, ces mots : « des anciens notaires ou avoués ». A cette sup- pression , je trouve deux avantages : le premier, c'est qu'
rax. Les cordons nerveux et les muscles ne sont pas douloureux à la pression . Eleclro-contructilité. Courant constant. Les c
férentes douleurs, par exemple : dans le côté droit par suite de la pression des côtes sur la crête iliaque ; puis dans les
n du. côté gauche, il existe une certaine anesthésie. Le sens de la pression examiné sur la paume et le dos de la main paraî
malade est assez inattentif et ne perçoit que.les différences de pression de 1/2 ou de 3/4 (au baresthésiomètre de Iiowaews
s et les doigts. Sur les paumes de la main, le malade ressent une pression de 300 grammes comme si c'était un attouchement
m- mes, tout cela d'une manière égale des deux côtés. Il sent une pression de 100 à 200 grammes sur le dos et une augmen-
s et profondes. Le plexus brachial est douloureux par places à la pression . Une pression produite sur lés nerfs et les mus
. Le plexus brachial est douloureux par places à la pression. Une pression produite sur lés nerfs et les muscles périphéri
ales ; douleurs sourdes de temps en temps, mais pas de douleur à la pression . La sensibilité est normale dans le reste du co
ordons nerveux, ce qui explique leur sensibilité douloureuse à la pression . Observation V. Homme de trente ans. Thermane
ce du corps. Le malade détermine infailliblement la diffé- rence de pression entre 300 et 350 grammes sur les paumes des mai
x centimes sur la face dorsale; ces tumeurs sont assez plates, la pression du doigt ne laisse pas de trace, on observe dans
à 10 heures du soir. Elle dort encore ce matin à la visite. Par la pression au-dessous du sein gauche (zone hystérogène) M. C
res, pas de cata- lepsie. Elle est réveillée, sans attaques, par la pression sous- mammaire. D Nous avons dit que les zone
. B.. présenta au creux épigastrique une zonehypé- résique, dont la pression déterminait des attaques convulsives. Au bout d
nvulsif. Y Nous avons déjà vu que M. Charcot avait observé que la pression d'une zone hystérogène faisait cesser le sommeil
un danger par la dénutrition qu'elle entraine. Or, sachant que la pression d'une zone hystérogène, par l'attaque convul- s
ion. M. LE Président. Monsieur de Gavardie, vous demandez la sup- pression de l'article ? M. de Gavardie. Oui, monsieur le
- nentes. Mais il me semble que vous devez aussi demander la sup- pression des mots « et des médecins adjoints », puisqu'il
este après elle aucun retentissement douloureux dans la hanche : la pression sur les trochanters est indolente ; l'articulat
que le gauche. Sa consistance est plus molle et sa sensibilité à la pression et au choc est très affaiblie. Le malade ignore
Le testicule gauche n'a pas diminué de volume. Sa sensibilité à la pression et sa con- sistance sont normales. Le réflexe
che. Il ne vomit pas. Le ventre est excavé, rétracté, indolent à la pression . Respiration à 42, entrecoupée de gémissements,
des pneumo-gastriques augmente- beau- coup la vitesse du sang et la pression dans les artères, car la section des pneumo-gas
faradisation, le diaphragme subit des mouvements pathétiques par la pression intes- tinale, qui se fait sentir pendant la ch
43 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
être modifiés ou suspendus par les changements de position, par la pression d'une zone spasmo-frénatrice; ils s'observent l
t de 12 centimètres, le diamètre transver- sal de 7 centimètres. La pression et la percussion au-dessus d'elle ne provoque p
ses des dernières vertèbres lombaires, qui sont douloureuses à la pression , tandis que celle-ci ne provoque pas de douleur s
ent avec la paume de la main et à quatre ou cinq reprises de fortes pressions sur la colonne vertébrale du malade. Là s'arrêt
on observe les vaisseaux de la pie-mère; on mesure en même temps la pression dans le cercle artériel deWillis et l'aorte. On
is et l'aorte. On voit ainsi que, pendant l'attaque d'épilepsie, la pression monte dans les artères cérébrales, tandis qu'el
me. Ausssi M. Féré examine-t-il d'abord l'influence de l'air, de la pression atmosphé- rique, de la température, de l'état h
a vitesse, la forme, l'énergie des mouvements secondaires, sur la pression artérielle, sur la circulation périphérique déter
à gauche. DV central mobile à volonté par l'occlusion des oreilles. Pressions positives, réflexes normaux, aération facile, a
e et à gauche, aération de la caisse facile à droite et à gauche. Pressions centripètes positives des deux côtés : D/ tube =
he : tympans mobiles avec le seigle ainsi que le manche du marteau; pressions positives à droite et à gauche. Réflexes exce
M. Bien perçue sur le crâne à droite et à gauche. : ' 1 A droite, pressions centripètes positives, D/ tube = B, D/ os. = B,
s D/ or opposé = 0, pas de réflexe. Pas de vertige provoqué par les pressions . Mobilité entière de la cloison et du manche du
bilité entière de la cloison et du manche du marteau. A gauche, les pressions sont également positives, et de même l'accommod
n perçus par l'oreille gauche, diapason mastoïde non plus à gauche. Pressions centripètes positives à droite et nulles à gauche
oite et nulles à gauche. SERVICE OTOLOGIQUE 221 Aucune action des pressions exercées à l'oreille gauche sur l'audi- tion dr
, et qu'on atténue la sensation perçue du côté sain en agissant par pression sur le côté sourd. Or, ici, ce réflexe est perd
ent des oscillations considérables dues à des modi- fications de la pression cérébrale, mais la déchéance pondérable, rapide
du corps, apparition d'une raie blanche fugace, en rapport avec la pression plus ou moins énergique du stylet; Cinq seconde
in, rien à l'anus. La miction doit être mise en train par une douce pression sur le, ventre; urines normales; conserva- tion
nerfs ne sont, pas plus que des masses musculaires, sensibles à la pression . Intégrité constante des sphincters. Intégrité
uë. L'isolement n'a pas d'influence nocive. M. CRAMER, - Etat de la pression du sang dans les anomalies pl'imi- tives de l'h
un malade atteint de folie circulaire, M. Cramer a constaté que la pression du sang diminue quand le stade de gaité survien
de maniaque ne se manifestait pas par de l'agitation), et que cette pression augmente pendant le stade de dépression (anxieu
euls entacher d'erreur SOCIÉTÉS SAVANTES. 398 l'observation de la pression artérielle. Il n'y avait ni exagération de la f
ntré que le nitrite d'amyle dilate les vaisseaux et fait baisser la pression du sang ; la clinique a permis de constater que
a contracture des vaisseaux qui se traduit par l'augmentation de la pression sanguine. Discussion : 111. 11\ECnT. Le sphygmo
poser un relâchement de la paroi vasculaire et une diminution de la pression sanguine. Chez les anxieux mélancoliques, surto
ue par force, sur une toute petite étendue : en d'autres termes, la pression est considéra- blement augmentée. 11 en résulte
insuccès de l'opération, car on n'avait rien fait pour combattre la pression exercée par la dure-mère aussi bien que par l'o
tels que les fièvres graves, celle du traumatisme et enfin des im- pressions morales. La symptomatologie des paralysies est
d aux cas les plus communément observés; 3° la paralysie par sup- pression des mouvements coordonnés (astasie-abasie). Il an
ultat est également uul pour les mouvements associés (par exemple : pression du dynamomètre, écriture de la main gauche).
'y a qu'à lui donner ses mains à serrer; à peine sent-on une faible pression , La tête a conservé la plupart de ses mouvement
a fait l'expérience, disparaissant pour un moment à la suite de la pression sur la région ovarienne pour céder à une contra
n'ont été aucunement modifiés. R. AI.-C. LIX. Du la sensation DE PRESSION sur la tète ET DE LOURDEUR DE la tète; CAREBARI
Campbell les rattache à trois groupes principaux : 1° sensations de pression sur la tête; 2° sensations de pesanteur de la têt
morbide et les troubles fonctionnels ne sont pas aggravés par la pression du liquide sur les circonvolutions sous-jacentes.
traitement abortif : si l'épanchement se produit, c'est grâce à une pression s'exerçant de dedans en dehors (pression sangui
produit, c'est grâce à une pression s'exerçant de dedans en dehors ( pression sanguine) ; le traitement rationnel de l'auteur c
e) ; le traitement rationnel de l'auteur consiste à combattre cette pression par une autre pression contraire s'exer- çant d
onnel de l'auteur consiste à combattre cette pression par une autre pression contraire s'exer- çant de dehors en dedans et p
DES aliénés, avec quelques remarques SUR la DISSOLUTION DE L'Ex- pression ; par John TURNER. (The Journal of Mental Science,
eux. 2° Femme de soixante-sept ans, mélancolique, périodes de dé- pression alternant avec des périodes de gaieté exhubérante
, 466. Rumination chez les aliénés, par Christiani, 25. Sang, pression du - dans les ano- malies primitives de l'humeu
44 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tébrale comprimée à travers les téguments abdominaux, tandis que la pression en arrière ne détermine pas de douleur. Ce sign
dissocier; faisceaux primitifs durs, raides, très résis- tants à la pression et à l'écrasement; peu de tissu conjonctif inters
objectif local précis, on diagnostique : tumeur cérébrale avec com- pression et excitation des faisceaux pyramidaux. On trouve
ru. Dans un cas, la fin de la maladie a été marquée par de la dé- pression momentanée, due probablement à l'état d'instabili
e la sensibilité à la face plantaire du pied. Pas de douleur à la pression . Douleur spontanée, continue, pro- fonde, entre
supérieur, de telle sorte qu'il 1 n'est nullement protégé contre la pression de la tête foetale. Il en résulte que c'est tou
spontanée, sur le trajet du sciatique a complètement disparu. A la pression , dans les mêmes régions, la douleur est à peu prè
niveau du point péronier. Il n'existe pas non plus de douleur à la pression des masses musculaires du mollet. Une pression
plus de douleur à la pression des masses musculaires du mollet. Une pression profonde assez énergique sur la région des musc
surtout de douleurs vives au mollet. Les régions douloureuses à la pression sont les points fessier, poplité, malléolaire,
ollet droit.Il existe un certain nombre de points douloureux que la pression réveille, points sacro-lombaire, fessier, troch
mités de la jambe et se rejoignent vers la partie médiane. Par la pression on produit des élancements douloureux aux lieux
plité, trajet péronier, point dorsal du pied et point plantaire. La pression en masse des muscles de la cuisse et de la jamb
de la jambe est sensible. La recherche des points douloureux, la pression des muscles, ' l'exécution des mouvements du pi
emblement localisé cessant lui- même si l'on détruit par une légère pression le tonus du muscle correspondant. Le tremblem
ugmententle tremblement; ,il est plus marqué il jeun et pendant les pressions atmosphé- riques basses des temps orageux, et q
ne espèce d'engourdissement dans la main, « avec diminu- tion de la pression au dynamomètre et peut-être un peu d'a- nesthés
nesthésie est complète pour tous les modes de sensibilité (toucher, pression , température, piqûre, sensibilité ar-* ticulair
on de la sensibilité tactile, l'analgésie, et la thermo-aneslhésie. Pression dynamométrique MD : 3, MG 30. Le 17, quarante-h
devenue normale. La main semble toujours lourde, et le bras faible. Pression dynamométrique M D : 15 l\I G : 27. Pas de tran
tique ou à une épilepsie réflexe. Prescription des bromures. Sup- pression de l'alcool, même à petites doses, d'autant plus
K. L. Cas rare DE NÉVRITE ascendante avec paralysie réflexe (ex- pression consacrée) DE la moelle; par TUISSEN, (Centr. f.
oulfée d'air pénétrait dans la fosse nasale qui semble bouchée. Une pression exercée sur cette région, un vent violent venan
ne légère douleur dans le front et surtout dans les deux tempes; la pression sur la quatrième vertèbre dorsale engourdit les
Trois observations. L'une de paralysie périphérique unilatérale par pression : électrisation, guérison. - L'autre, de paralysi
ve- loppe une manie rapidement furieuse et bruyante suivie de dé- pression avec excitation : guérison. - L'autre observation
isé par les particularités que nous avons indiquées ait été l'ex- pression d'une lésion organique du système nerveux, ou b
es, la possibilité de faire naître ou de suspendre ces accès par la pression exercée sur certaines régions, l'absence d'élév
ossibilité de le faire apparaître ou disparaître à volonté, par une pression exercée sur certaines régions, à l'absence d'él
sque tou- jours fermé, s'exagèrent par le bruit et diminuent par la pression exercée sur la région affectée. - Cette premi
ence.-La région ova- rienne gauche est un peu hypéresthésiée, et la pression à ce niveau a provoqué pendant un examen l'appa
le rien d'anormal. - La région ovarienne gauche est sensible à la pression , qui, à un moment, a amené l'apparition de la vis
arition de la vision lu- mineuse à un faible degré, il est vrai; la pression a été aussitôt suspendue et tout est rentré dan
2° Les accès de migraine peuvent apparaître sous l'influence de la pression , exercée sur la région de la sixième vertèbre d
rticulièrement dans les jambes, mais on n'en déter- mine aucune par pression . Les autres appareils organiques ne présentent
sé au-dessus d'une auge pneumatique et rempli d'eau soutenue par la pression barométrique, la grenouille mon- tera d'abord a
eurs mouvements et leurs gestes, ils paraissaient ressentir les im- pressions faites sur les nerfs de sensation commune. Quant
- vement d'expression émotionnelle, de réactions adaptées aux im- pressions reçues par leurs organes des sens. Ces facultés s
. Afin d'éviter, en ce qui regarde les ex- trémités supérieures, la pression exercée sur la peau, M. Hitzig a faitinstallers
ultérieure- ment, le membre s'cedématie et devient douloureux à la pression . Plus tard, on constate une pleurésie sèche dou
nyme droite par Bruns et Schult- ze, 250; -larérale due à la com- pression d'une bandelette optique, par Sigaud, 430. Hé
Paralysie, isolée du regard en haut, par Thornsen, 72; - par com- pression du bras, par Scheiber, 78 ; pseudo-bulbaire, pa
45 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tion, le fragment ne surnage pas. On fait sourdre un sang noir à la pression . Le lobe moyen est splénisé; la base gauche est
ffage. On tend à se servir partout du chauffage à la vapeur à basse pression , qui ne nécessite qu'un seul foyer pour tout l'
a sérosité préexistante, provoquant ainsi les phénomènes de coin. 4 pression qui ont amené la mort. On n'a observé aucun sympt
imultanément des tumeurs intra- craniennes et des cas compliqués de pression intra-cranienne atig- mentée due à'd'autres cau
ans), 2 avec pres- sion intra-cranienne très forte) et sur 5 cas de pressions , dont3 très intenses, dues soit à une hydrocéph
ollatérales, surtout réflexes. De plus on trouve, surtout en cas de pression intra-cranienne excessive, des libres élargies et
ipale cause de ces phénomènes me parait être l'aug- mentation de la pression de la liqueur cérébro-spinale et les troubles c
, l'altération étant en une certaine mesure proportionnelle à cette pression , par exemple, très nette dans les cas d'hydrocé
hydrocéphalie excessive, à peine notable dans un pas de gliome sans pression . Par rapport à leur origine, les altérations de
La douleur répercute souvent sur le coeur : le pouls s'accélère, la pression sanguine augmente, le visage devient pâle (cons
délimités (noyau). La cellule est très élastique et - résiste à la pression . 11 y a presque toujours plus ou moins de - pig
- dendrites) sont extrêmement fragiles et se brisent à la moindre pression , avec une cassure nette, généralement près de la
au 12 centimètres cubes) produit chez le chien une diminution de la pression infra-artérielle et le ralentis- sement du poul
uls. 9. Vagotomie et atropi- nisation n'ont aucune influence sur la pression sanguine, après l'injection d'alcool. 10° Les m
Les modifications sont plus sensibles si on élève préalablement la pression sanguine par l'injection d'eau salée. 11° La di
pression sanguine par l'injection d'eau salée. 11° La diminution de pression s'observe même avec la com- pression de l'aorte
salée. 11° La diminution de pression s'observe même avec la com- pression de l'aorte, après la ligature des organes abdomin
ie pas l'écoulement du sang par une jugulaire. 13° La diminution de pression s'observe, même quand on tranche le bulbe, quan
l'action directe de l'alcool sur le coeur. 17° La diminution de la pression sanguine est causée par l'affaiblissement direc
oses faibles d'alcool causent, au contraire, une augmentation de la pression sanguine de courte durée et un léger ralentisseme
. Séance du 29 Octobre 1900. - PRÉSlDE1'\CE de 1\I.l\JAGNA;,\, La pression sanguine chez les aliénés. M. LEGUA ! ') rend c
e d'un travail de AI. Pilez, médecin assis- tant de Vienne, sur la- pression sanguine chez les aliénés. L'idée principale qu
incipale qui s'en dégage est que, dans les formes mélancoliques, la pression sanguine dépasse notablement la normale. Dans les
dans la folie circulaire, il est possible rien que par l'étude delà pression sanguine, de prévoir à quelques 176 SOCIÉTÉS SA
e. Si dans le stade mélan- colique, on voit tout à coup diminuer la pression sanguine on peut être sùr que dans quelques jou
cloale très prononcée, exagérée par la contraction musculaire et la pression ), avec arlhropatbie de l'épaule. AI. Babinski
encore sous la forme de douleurs spon- tanées et provoquées par la pression , mais très supportables, au niveau de la partie
suffit souvent de poser la main sur la région douloureuse, et cette pression douce associée à la suggestion suffit pour fair
raissait se composer de tissu cérébral vrai. A l'aid e d'une légère pression , qui ne semblait pas douloureuse, on pou- vait
fications du poids du sommeil, du pouls, de la tempéra- ture, de la pression sanguine, etc. Le dépouillement de ces document
- volution ; il est représenté par une masse scléreuse, qui, à la pression , n'est qu'une petite couche de substance cortical
e toujours aussi intense, la nuque.. est raidie et douloureuse à la pression , la tête est lourde, les mou-. vements sont pén
tissu cérébral; la moelle était saine, sauf les efforts de la com- pression subie, et non adhérente à la pie-mère. La tumeur
s lombricoïdes et d'anlcylostomes; dans le sang Ciliaires perstans. Pression artérielle très basse, tempéra- ture irrégulièr
ans tous les locaux. Chauffage à l'air chaud et à la vapeur à basse pression . Eclairage au gaz (Bec Auer). A la Clinique de
pané, en un point de la région'pariétale droite au niveau duquel la pression digitale développait une douleur très vive. On
p. 33. c) Enfin dans six cas l'opération a été suivie de la sup- pression des attaques convulsives ; ces cas ont été publié
ment, par suite du trouble de la nutrition, de l'augmentation de la pression , des modifications de la température. Outre les
VI° paire à gauche, rien du côté des hémisphères cérébraux, com- pression totale du bulbe et de la protubérance avec atroph
de l'épilepsie réside dans une exagération générale ou locale de la pression intra- cranienne, et il croit, ce qui est très
ues et d'observation, lesquelles soutiennent l'augmen- tation de la pression intra-cranienne dans l'épilepsie. Kocher a obse
Il n'est pas nécessaire de faire appuyer fortement les doigts; une pression modérée suffit en général, une pression trop fo
r fortement les doigts; une pression modérée suffit en général, une pression trop forte produit la fatigue et masque la véri
ôté des jambes saisit les poignets et les abaisse, en évitant toute pression sur le corps ou sur les membres. Alors REVUE DE
existe depuis déjà assez longtemps une augmentation considérable la pression ce l'ébrospmate, par exemple les cas de tumeur
morbides, comme dans la folie à deux, mais sous l'iiiniience d'im- pressions pénibles, et aussi des fatigues éprouvées pendant
M. P. ilamr a déjà attiré l'attention sur cette altération par com- pression des amygdales cérébelleuse dans des cas d'hémorrh
ire aux membres : les douleurs sont spontanées et augmentées par la pression ; les réflexes sont intacts; la sensibilité n'es
symptômes. Archives, 2° série, t. XI. 33 514 sociétés savantes. Pression artérielle dans la Myopathie alrophique. M. P.
ues il existe une dimi- nution très considérable et constante de la pression intravasculaire, sans qu'il existe chez eux la
Il a donc fallu l'intervention de l'intoxication pour que la com- pression réussisse à produire la paralysie. Des faits semb
3, 268. Lésions de. l'utérus chez les -, par Gortlou-111unn, 137. Pression sanguine chez les - par Legrain, 175. Lavage de
46 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
ssementsdepuislematin ; ventre un peu ballonné, partout sensible à la pression et, en par-ticulier dans les flancs; six selles a
u niveau de la jointure. Il diffère de l'œdème ordinaire en ce que la pression du doigt, pour laisser une trace même légère, doi
de paralysie. Pouls, 12a. IIypéresthés;e au plus léger con-tact; une pression énergique a moins d'inconvénients. — Le pouls lom
5° Les arrêts de développement de l'os iliaque se combinent avec la pression exagérée transmise par le fémur sain pour produir
d nombre d'années. Jamais, elles ne lui avaient causé de douleur ; la pression seule sur ces masses résis-tantes provoquait quel
, l'iris est déprimé; il semble que la portion de l'iris qui subit la pression soit paralysée ; elle n'obéit pas à la lumière au
ite dans le but de saisir la tumeur et de l'amener au dehors. Sous la pression de la pince, la tumeur se vide et laisse suinter
la langue tend à devenir sèche. Région lombaire droite sensible à la pression ; région lombaire gauche indolore. Ni rétraction
t à droite, et le trajet de l'uretère droit sont plus douloureux à la pression . Proé-minence des glandes sébacées de la face. —
atation acquise. Vouloir, au contraire, étendre la cicatrice par la pression conti-nue d'une bougie de fort calibre, est une p
. État actuel. Au niveau du sein droit, tumeur dure, indolente à la pression , mobile en masse sur les couches profondes, du vo
e instant et le malade paraît à peine en avoir conscience. La moindre pression sur un point quelconque du corps suffit pour les
lie, si ce n'est au ventre, de chaque côté de la ligne médiane, où la pression est encore assez douloureuse pour déterminer par
chaleur mordicante. La fesse droite est inco-lore, mais sensible à la pression . Les plaies de la vulve et du périnée ont un bon
Enfin, le séjour prolongé de la tête du fœtus dans l'excavation, les pressions alternatives répétées qu'elle exerçait sur le pou
n gauche, et on manie avec la droite la pompe de compression. Cha-que pression sur le ballon fait venir environ 20 à 30 grammes
re est le siège d'un ballonnement considérable avec douleur vive à la pression de la région ovarienne gauche ; douleur d'un cara
orme de l'abdomen; — 4° les régions ovariennes sont douloureuses à la pression , et en insistant un peu dans l'ex-ploration, on n
plus éloignés, la marche est devenue pos-sible, môme sans soutien. La pression ne fait plus découvrir que trois points névralgiq
d'une heure de re-pos, le malade va à la garde-robe et par la double pression du rectum et de la vessie, on arrive le plus souv
extérieur, parce qu'il avait été chassé d'un urèthre saignant par une pression excessive. Une fois lavé, il était aussi d'un bla
met de la tumeur (4 oc-tobre) ; partout ailleurs, elle est dure. — La pression , les mouve-ments imprimés en sens divers, ne déte
points par de pe-tites bulles d'air, se déplaçant facilement sous la pression du doigt, et ressemblant assez exactement à des m
ajet, on remarque très-aisé-ment cinq à six bulles d'air qui, sous la pression du pouce, se réu-nissent en une seule. Poumons.
asionner au malade une souffrance bien manifeste, il faut exercer une pression assez forte sur l'hypochondre gauche. Ce que l'on
us ne se collecte pas, et il infiltre tout le parenchyme dont, par la pression , on le fait sortir mêlé à une matière épaisse, de
ans les mouvements, par la toux, par l'éternu-ment, par la marche; la pression l'exaspère, dans quelques cas, elle la diminue. C
nte des doigts, mais seulement lorsqu'on exerce sur les téguments une pression assez fortement accentuée. Cette tuméfaction augm
umeur. La disposition lobulée superficielle semble donc être due à la pression des vaisseaux de la tunique fibreuse et au dévelo
e faire tomber dans des mou-vements convulsifs; elle augmente par une pression légère, le mouvement, le poids des couvertures. »
, indurée; l'empreinte du doigt ne s'y produit que si l'on exerce une pression assez forte. — Les veines des jambes ne sont pas
47 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
e sa courbure à con- cavité postéro-interne. Il est douloureux à la pression sur toute sa longueur. 4° L'articulation tibio-
arsienne est augmentée de volume, mobile encore, mais sensible à la pression . Les membres supérieurs ne présentent aucune dé
ns radio-carpienues étaient augmentées de volume, douloureuses à la pression et dans des mouvements provoqués ; aujourd'hui
et lui commander de mordre, sans éprouver autre chose qu'une légère pression : ceci à droite comme à gauche. Toutefois le ma
pinale infantile. D'autres fois encore elles restaient isolées, ex- pression de la seule atteinte du bulbe ou de la protubéran
ur, se laissant très difficilement déprimer par le doigt,sauf à une pression franchement énergique,ne laissant pas de godet pe
tissu oedématié, et qu'en tout cas elle n'est pas exacerbée par la pression : l'oedème est in- dolore au contact et à la pr
cerbée par la pression : l'oedème est in- dolore au contact et à la pression ; c'est ainsi par exemple, que devant nous, la
tissu conjonctif, soit qu'il s'agisse d'une simple excitation de la pression sanguine intra-vasculaire locale d'après la thé
théorie éclectique plus complexe, l'attribuant et à une action .de pression du liquide sur la paroi des vaisseaux, et à un de
es et leur durée a été courte.Ces douleurs étaient spontanées et la pression du membre n'était pas douloureuse. Elle souffrit
e in- térieur gauche (PI. XXXI). C'est un oedème dur, élastique, la pression digi- ,tale ne laisse pas de godet. La colorati
,tale ne laisse pas de godet. La coloration du membre est normale. La pression n'est pasi douloureuse. La malade ne se plaint
ôté opposé. C'est une espèce d'oedème dur, élastique dans lequel la pression digitale ne laisse pas de godet. La coloration
pression. Mais dans ce dernier cas il s'agit d'un oedème mou, où la pression du doigt détermine un godet et la présence des
iltration graisseuse sous-cutanée diffuse et fort douloureuse à une pression même faible. La face contrairement aux casses p
elle n'est point toujours, comme chez notre malade, constante à la pression ; elle peut survenir par crises, appa- raître s
troubles et contenaient du pus. A toutes les parties soumises à des pressions on voyait des taches ou des bandes sombres et ble
ssu nécrotique. Le septum médian, au lieu d'être droit, à cause des pressions et de la résorption de la substance altérée, a
dors lombaires, abolissement des réflexes tendineux, douleurs à la pression des troncs nerveux et des masses musculaires, h
s aux segments supérieurs des extrémités abdominales ; douleur à la pression des troncs nerveux et des masses musculaires, p
douleur à la pression des troncs nerveux et des masses musculaires, pression très pénible à la partie antérieure et moyennede
rs spontanées, ou provoquées par les changements déposition, par la pression des masses musculaires et des troncs nerveux, son
9 sont tellement molles que la clavicule se déforme facilement à la pression . Il ne paraît pas qu'il y ait articulation de l
ulaire peut constituer un moyen de défense contre l'augmentation de pression causée par la croissance d'une tumeur intracrânie
e, mais continua à ressentir des douleurs atroces à la nuque. Toute pression sur la tête, le mouve- ment de S'asseoir dans s
ré dans l'écorce (fig. 2). ' Le tissu cérébral cède donc déjà à une pression moindre que celle du sang. Cette destruction lo
que ces moyens ne furent pas épuisés. Ensuite les symptômes de com- pression générale se déclarèrent d'autant plus nets et plu
cas « que les parois vasculaires se sont laissé dilacé- rer par la pression du sang ». Cette hypothèse me paraît difficilemen
que les vaisseaux sont usures, mortifiés, par l'effet simultané des pressions intérieure et extérieure. Leurs parois doivent
lors également que la fréquence de ces hémorragies augmente avec la pression , ce qui est bien le cas ici. L'hémisphère droit o
que cela ait soumis la moitié inférieure du lobe oc- cipital à une pression particulièrement intense et qu'ainsi s'explique
et dans l'oblongala. La région de la protubérance est déformée par pression agissant de droite en haut vers la gauche et en
lles extrêmement gonflées et proéminentes, bref les symptômes d'une pression iutra- crânienne augmentée, bien qu'il n'ait pa
ubite d'une certaine quan- tité de liquide détruisit l'équilibre de pression dans les cavités crânienne et rachidienne. Il e
es les précautions en vue d'éviter un changement trop brusque de la pression , aurait pu, ou bien déceler la situation exacte d
minuscules ; de plus, ils sont incurvés sur eux-mêmes, comme si une pression les avait arrê- tés dans leur développement.
le rebord orbitaire supérieur et inférieur, très douloureuses à la pression (Pl. LXIX). Le 23 mars, les taches ont considér
lus trace d'ecchymose le avril, mais la région reste sensible à une pression légère. Le 6 mai, au retour d'une permission pa
eure du col paraît d'ailleurs comme usée par les frottements et les pressions . Le grand trochanter, du fait de la fermeture d
eur hémimélie avec absence du péroné est due vraisemblablement à la pression purement accidentelle du capuchon amniotique tr
d'aucune douleur, ni même d'aucune sensibilité anormale, et que la pression et la palpation n'y étaient nullement pénibles.
çà et là, quelques pertuis assez volumineux d'où s'é- coule par la pression une très petite quantité d'un liquide visqueux, t
llement elles devinrent dures comme l'os lui-même et indolores à la pression ; actuellement elles sont dans cet état. Les ar
'un oedème ou mieux peut-être d'un pseudo-oedème dur, élastique. La pression , même énergique, n'est pas dou- loureuse, et le
ui que les oedèmes sont sous la dépendance d'une augmentation de la pression osmotique, elle- même en rapport avec la répart
de est absolument contre-indiquée. Les douches tièdes à très faible pression ,générales ou locales (sur les muscles contrac-
ouvais avant ma période de lit. Une autre conséquence a été la sup- pression des oscillations de bas en liaut et une plus gran
immo- bilisation devant la glace ; je ne ressens presque plus cette pression un peu douloureuse que j'éprouvais à gauche du
server le phénomène de Ch. Bell, non seulement chaque fois z que la pression de l'oeil est complète, mais aussi comme j'ai pu
xe causé par la stimulation mécanique produite sur la cornée par la pression de la paupière supé- rieure qui s'abaisse. Cepe
48 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
mme ordinaire. Si on lui fait serrer le dynamomètre, on voit que la pression qu'il peut donner est seulement de 29 ki- logs
auche ; la môme recherche étant répétée plusieurs fois de suite, la pression devient souvent un peu plus forte, mais de 2 ou 3
it que l'hyperhémie de la substance blanche dépendait surtout de la pression négative qui se forme sous l'influence de la su
r sans changement dans le volume de son contenu doit y produire une pression négative qui, à son tour, amènera une hyperhémie.
négative qui, à son tour, amènera une hyperhémie. L'influence de la pression négative se fera sentir plus fortement sur les
faisant dépendre l'hyperhémie de la substance grise également de la pression négative produite dans le canal central, je ne ni
on. Nous laissons ouverte la question à savoir si l'influence de la pression négative présente la somme de tous ces facteurs
ière et de la dure-mère ; l'allongement de cette dernière amène une pression négative dans sa cavité, l'hyperhémie des ménin
LADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 21 est de même pour le canal central. La pression négative produite de cette façon dans le canal
la dure-mère rachidienne, avec celle de la dure-mère crânienne, la pression négative doit avoir une influence sur l'encépha
quent elle modifiera avant tout les symptômes provoqués par la com- pression que celle-ci exerce sur les éléments nerveux. I
riences de lIoppe-Seyler et de Paul Berl ; les animaux soumis à une pression atmos- phérique considérable étaient tués sur l
t se guider sur les données théoriques suivan- tes : l'action de la pression résulte de la distension de la névroglie et de
s douleurs et d'autres manifestations morbides résultant de la com- pression des fibres, nous devons avoir recours a des diste
douleurs, mais même elles n'agissaient pas sur la température. Les pressions exercées avec toute la main calmaient les douleur
portait sans grande incommodité une vessie pleine d'eau chaude, les pressions fortes calmaient les douleurs, et les vomisseme
ées et il n'y avait pas de changement dans l'aspect de la peau. Les pressions faibles augmen-. taient les douleurs qui étaien
ns faibles augmen-. taient les douleurs qui étaient calmées par les pressions fortes ; la compres- sion des surfaces articula
utes températures. lorsqu'elles se développent simplement comme ex- pression de la névrose, n'offrent point de gravité et ne p
ntaires des fléchisseurs à l'avant-bras droit. - B. Inscription des pressions produites par la 11-xion volontaire des doigts. C
au-dessus de lui, à l'endroit où les téguments s'enfoncent sous la pression du doigt. La ligne horizontale menée par ce poi
égularité. Aucune région n'est douloureuse, ni spontanément, ni il la pression ! i ou il la percussion. Les modifications de l
mbaire. « La 9° apo- physe dorsale est épaissie et douloureuse a la pression ; la 7° et la 8° sont, elles aussi, douloureuse
a la pression ; la 7° et la 8° sont, elles aussi, douloureuses à la pression , mais a un moindre degré; un intervalle exa- gé
de part à la production de la cyphose lombaire. En cette région, la pression , la percussion provoquent une sensation désagréab
baires diminuent peu à peu, mais il subsiste comme une sensation de pression sur le rachis et les lombes ; il semblait au ma
près Kroenig. Enfin, le rachis peut être légèrement douloureux à la pression dans les régions précédentes. Traitement. Kroen
163 couchée. Les muscles contractures peuvent être douloureux il la pression ou à la traction. Les phénomènes persistent pen
iyne. -1.a scoliose liée if la sci;flictne; ou; pour employer l'ex- pression plus concise de M. Brissaud, la scoliose sciatiqu
alade montre que les muscles sonl con- tractures et douloureux à la pression . C'est là évidemment la cause directe de la dév
éprouvaient que plus le besoin de se trémousser pour employer l'ex- pression alors consacrée. Le trémoussoir eut paraît-il u
ait disparaître, mais la coloration revient presque aussitôt que la pression cesse, au contraire de ce qu'on voit dans la mala
mains, le malade est remar- quablement faible, on sent à peine leur pression et c'est tout juste si il atteint, par un viole
mme de son âge fait facilement monter jusqu'au 55°, 60° (échelle de pression ). Il n'y a pas de tremblement. On ne constate p
alade les com- pare à des piqûres, à un broiement ; la marche et la pression des chaussures les exaspèrent, dételle manière
érieur est épaissi, la surface de la coupe, dure, laisse échapper par pression un liquide spumeux peu abondant. Toutes les par
ou deux points sur la crête iliaque ; 5" Le testicule gauche. Une pression , même légère, de tous ces points, provoque immédi
yeux. Je me permets d'expliquer ce résultat par la diminution de la pression sanguine dans la moelle à la suite du resserremen
49 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
sentais sous le mamelon avait grossi et durci notablement, et que la pression en faisait jail¬lir du lait. » — Tout récemment
é de la cavité abdominale, tandis qu'à droite il est flottant sous la pression du doigt exercée également du côté de l'abdomen.
pérités et à la direction des barbes, tous les mouvements, toutes les pressions s'exerçant sur ce corps donnent pour résultante u
uivant le trajet de l'ar¬cade dentaire supérieure, et produite par la pression des dents à ce niveau. La langue est refoulée s
erture, destinée au passage de l'aiguille, est bouchée par une vis de pression disposée comme celle d'un pressoir. VI. AIGUILL
oule perpendiculairement sur le poignet posé à plat, et amener par la pression le mercure jus¬qu'au zéro. La hauteur de chaque
ble ne point s'y être étendue. Par l'orifice, quand l'on exerce une pression continue sur la tu¬meur, il s'écoule un liquide v
eur. Celle-ci, quand elle existe, est provoquée par les chocs, par la pression , par l'exploration avec le stylet et surtout par
ut, pouvait se faire avec tous les doigts sauf avec l'auriculaire. La pression exercée par la main du malade était plus énergiqu
e K. La tige T est fixée à une table au moyen d'une presse P à vis de pression S. On donne à la tige la hauteur qui con¬vient au
cas échéant et on l'arrête dans cette position au moyen de la vis de pression S'. Après cet exposé de la construction de notr
isse peu à peu de force, sauf de rares exceptions. Voici l'énoncé des pressions dynamométriques exercées sur l'artère radiale, pa
ule médian, très-vasculaire, fut aisément arrêté à l'aide de pinces à pression continue fixées près des bords de l'incision. Deu
doigt en arrière du col, on sent un point résistant, dou¬loureux à la pression , et de ce point part une petite bride qui s'étend
e décolle, dans une assez grande étendue, des tissus sous-cutanés. La pression brusque d'une roue de voilure qui surprend obliqu
e au pied un contact qui a eu lieu sur la cuisse. La sensibilité à la pression des muscles est un peu émoussée. — Aux membres su
d'une blancheur mate, et ne présente pas de dilatations veineuses. La pression du doigt ne laisse aucune trace sur les parties t
parties tuméfiées, qui sont parfaitement exemptes de douleur : ni la pression , ni les mouvements, n'y réveil¬lent aucune sensat
rectum de 57°,8. 16 nov. L'œdème, oui ne se manifeste pas sous une pression légère, devient évident lorsqu'on presse fortemen
ique des tissus, et un amaigrissement assez mar¬qué. En outre, par la pression au niveau de l'hypochondre droit, on notait une e
au niveau de l'hypochondre droit, tumeur saillante, dou¬loureuse à la pression , et qui, parla percussion, se continuait sans lig
que pour produire une dépression même légère, il fallait exercer une pression considérable. Au bout de quelques jours le gonf
sonne de l'Arabe, que l'on pourrait croire exagéré, n'est que l'ex¬ pression de la vérité : tous ceux qui ont visité l'Orient
21 déc. Les seins, médiocrement gonflés, ne donnent pas de lait à la pression . P. 80; T. V. 37°,4. — Soir. Les lochies sont tou
oir. Dou¬leurs vives dans les côtés du ventre qui sont sensibles à la pression . Les seins, gonflés, légèrement douloureux, donne
a fosse iliaque externe gauche ; le ventre est assez sou¬ple, mais la pression est pénible. La langue est sèche. — -Soir. P. 112
50 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne très sensible qui amènerait facilement une crise nerveuse par la pression . Cependant elle n'a ni hémianes- thésie, ni ane
normales, et également développées des deux côtés : le contact, la pression , la piqûre, les excitations galvaniques et fara
entre la décompression et l'invasion de l'accident. Sensation de pression à la nuque, engourdissements, anéantissement des
d'autres symptômes. Au bout de trois heures à midi, la sensation de pression à la nuque, les engourdissements, cet anéantiss
enre de symptômes sensitifs,nous devons rat- tacher la sensation de pression à la nuque, comme si une main le saisissait et
étourdissements; celle de 1'013SERVA-flON XXVI par la sensation de pression à la nuque, les engourdissements et l'anéantiss
l'épaule droite. La Archive, t. XII. , 6 82 CLINIQUE NERVEUSE. pression au niveau de l'apophyse transverse des trois dern
i generis, celle que donnerait une subs- tance molle cédant sous la pression , mais, le doigt enlevé, il ne subsiste pas d'em
itation est variable : on peut employer le massage, la friction, la pression soit avec la main, soit avec une bande élastiqu
it dans l'état cata- leptique, en exerçant sur le vertex une simple pression ou une friction légère. Cet état parait corresp
la con- tracture léthargique peut nécessiter au commencement une pression des masses musculaires énergique et prolongée pen
liystérogènes, grandes attaques). On cherche à l'hypnotiser par la pression sur les yeux ; la malade s'endort en léthargie et
eux, à la faire passer en catalepsie, mais on ne peut y réussir. La pression sur le vertex fait passer la ma- lade de la lét
s la recherche de l'appréciation par le malade de la sen- sation de pression , de douleur, du lieu d'application de la tem- p
a retard dans la trans- mission des sensations. La sensibilité à la pression est très émous- sée dans les deux membres infér
oits, îlots d'anesthésie complète. Sensibilité à la douleur et à la pression particulièrement diminuée. Hyperesthésie au fro
M. Ballet dit que les opérations cérébrales qui succèdent aux im- pressions de l'ouïe, quelles qu'elles soient, sont de trois
lquefois si aiguë que le malade est susceptible de recevoir l'im- pression acoustique la plus légère. Il entendra le tic-
EUSE. nutes, décompression brusque. Immédiatement après la décom- pression , à dix heures du matin, aphasie motrice. DftMS l'
es, pas de repas avant l'immersion. Immédiatement après la décom- pression et l'enlèvement du casque, impossibilité absolue
- prendre tout ce qui est écrit. ' Agraphie. Traitement par coin- pression . Immersion à 4 heures du soir. Retour de la parol
tions exactement identiques de profondeur, de séjour et de décom- pression . Il importe au point de vue étiologique de remarq
' 23 brasses, de douze à quinze minutes de séjour et d'une décom- pression brusque, il en fait une huitième dans les mêmes c
de la contracture par les manoeuvres que nous avons déjà signalées ( pression avec les mains, avec une bande élastique, etc.)
e simullané des mouvements de la pupille et des modifications de la pression vasculaire montre qu'il n'y a pas de rapport en
flexe est plus courte que la période latente de l'augmen- tation de pression dans les carotides. Mais si l'on sectionne les
nchrone au rétrécissement des branches de la caro- tide. Lorsque la pression intra-oculaire augmente, la pupille se contract
a obtenu les résultats suivants : Si l'on comprime la carotide, la pression intra-oculaire diminue rapi- dement ainsi que l
siste. La respira- tion et les battements artériels influent sur la pression intra- oculaire, mais non sur la pupille. De
encore survenir à la suite de surmenage psychique. Patho- génie. La pression exercée par les tumeurs sur la muqueuse du nez
ne distingue nulle part une différence de 2 degrés. La sensation de pression est excessivement affaiblie ; dans la région de
n des deux crista* tibia;, le malade ne sent pas même la plus fo1te pression ; dans les hanches il perçoit la pression et peut
ent pas même la plus fo1te pression; dans les hanches il perçoit la pression et peut même jusqu'à un certain point, en évalu
quent souvent des phénomènes parétiques et une douleur lors de la pression des grands troncs nerveux : aucun de ces phénom
24 brasses de profondeur, 't2 minutes de séjour au fond et décom- pression brusque sans accident. Quand il a fini la troisiè
deur. Impossible de définir le temps du séjour au fond, la décom- pression était brusque comme toujours. Il n'a plus senti a
e immersion de la journée, ci la profondeur de 23 brasses, décom- pression brusque, trente-cinq minutes au fond. Dix minutes
22 brasses de profondeur, une demi-heure de séjour azc fond, décom- pression brusque. Paraplégie double, deux heures de durée.
un grand nombre de fois à cette profondeur et avec la même décom- pression , sans accident, mais il importe de remarquer qu'i
ommencé, mais le malade détestant le cathétérisme tâchait,* par des pressions fortes à l'hypogastre, de provoquer la sortie d
du côté des sphincters, ni hypéresthésie cutanée ; dou- leurs à la pression le long des troncs nerveux ; réllexes cutanés e
issement de la), par Freund, 309. Morphinomanie guérie par sup- pression brusque, par Christian, 119. Myélite aiguë d'
51 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s des hystériques dont les membres du côté anes- thésié donnent une pression inférieure de 10 ou 15 kilo- grammes à celle de
la force des membres, je me suis tou- jours servi du dynamomètre de pression ordinaire. Pour le membre supérieur, l'instrume
pres- sion. Or, le- membre supérieur donnant à l'état normal une pression notablement plus forte que le membre inférieur,
, les membres paralysés sont inca- pables d'exercer, la plus légère pression sur le dynamomètre; dans les paralysies incompl
- tion normale. Chez ces malades, la main paralysée développe des pressions différentes selon qu'elle est aidée ou non par
ie, c'est que, dans l'hémi- plégie d'origine cérébrale, la force de pression mesurée par le dynamomètre ne donne pas la mesu
Malgré cette égalité complète ou presque complète de la force de pression dans les membres symétriques, les malades auxqu
16) est dans ce cas. Ses deux mains donnent chacune 18 kilogr. de pression , et, malgré tout, elle sent que sa main droite
ins malades, les membres du côté paralysé peuvent même donner une pression plus forte que les membres symé- triques du côt
ui peuvent marcher seuls, avec ou sans canne, n'ont qu'une force de pression très modérée dans les membres inférieurs , tand
mène seul, sans canne, dans l'hospice et dans la ville. La force de pression des membres inférieurs est cependant relativeme
équille ou en se soutenant contre une table. En résumé, la force de pression ne donne pas la mesure de l'impotence fonctionn
deux membres inférieurs déve- loppaient exactement la même force de pression , et cependant ces malades ne pouvaient ni se te
ure, sont intacts sur toute l'étendue du corps. La sensibilité à la pression est peut-être diminuée à droite. Les pièces de
26 S,OCIRTES SAVANTES. de ce côté; de là les trois fractures et, la pression s'effectuant vers les régions antérieures droit
avec mouve- iiients de déglutitioii forcés, nausées,sentiiiieiit de pression céplialique avec étourdissements (oscillations
ré; enfin les plus grandes précautions étaient prises pour que la pression fût autant que possible toujours la même des de
ous sommes efforcé de démontrer le mode de production par choc ou pression latérale agissant obliquement de bas en haut et d
ciale des zones hystérogenes siège pro- fondément ; il n'y a que la pression qui la révèle. Les zones hystérogenes des membr
l n'est pas indispensable à sa production qu'une augmentation de la pression intra-. labyrinthique existe auparavant, comme
aines conditions de relâchement des tissus, cet accroissement de la pression se produit subi- tement, par un déplacement en
chant de se porter vers la caisse, et concentrant ainsi toute la pression dans la cavité du labyrinthe. Excès de mobilité
li pour les sous crâniens ou solidiens. Les expériences au moyen de pressions centripètes -opérées sur le'tympan, ne laissent
enait immédiatement une éjaculation occasionnée non pas par l'im- pression de la femme, mais par celle des clous. Plusieurs
oser l'extrémité de sa verge sur les clous, pour que, sans aucune pression de la main, l'éjaculation eût lieu 'aussitôt. A
s'il appuie sa main sur son bas-ventre, il arrive, par une légère pression , à augmenter l'intensité du spasme, et à en prolo
et si la femme qui les porte est jeune, jolie et élégante. L'im- pression est parfois telle, qu'il est sur le point de s'év
tabliers blancs ; ordonnance de non-lieu pour le dernier vol. Dé- pression mélancolique; tendances au suicide. C... (Augus
la substance grise s'était transformée,' sous l'in-, fluence de la pression exercée par la tumeur, en un simple faisceau) d
mentale. Nous voyons d'abord la grande faculté d'adaptation à une pression lente et croissante, dont jouissent les tissus de
e le système nerveux central se distingue des autres organes par la pression de deux sortes de tissus conjonc- tifs. Il poss
e simple contact des vêtements exagère ses souffrances, jamais la pression violente. Ces phénomènes peuvent exister sans n
on fait l'organe. Que si, comme chez le nouveau-né, l'équilibre des pressions peut se rétablir par l'expansion des sutures et
lésions anatomiques, dans leurs rapports réciproques. L'idée de la pression exercée par la pie-mère enflammée sur les racines
52 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne renfermant pas d'éléments; et surtout elle nous a montré que la pression du liquide céphalo-rachidien était augmenté d'u
r l'augmentation de lai TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 7 pression du liquide céphalo-rachidien, dans les résultats
la région préganglionnaire par un liquide céphalo-rachidien à haute pression , d'autant que la tension de ce liquide est fréq
pour le pronostic, car elle implique une exagération énorme de la pression du liquide céphalo-rachidien et indique la gra-
lion.-VII. Impossible de localiser séparément les modalités des im- pressions olfactives, les classât-on simplement en impressi
ar- rière. Paralysie atrophique bilatérale de la langue par com- pression probable des deux hypoglosses ; par le Dr DECROLY
vertébral sous-occipital avec luxation du crâne en arrière et com- pression des deux nerfs hypoglosses à leur sortie des trou
i laissé la possibilité d'exercer son action sur le coeur et sur la pression du , sang. Mais le liquide thyroïdien conservé,
mment, entre le goitre, première étape du crétinisme, selon l'ex- pression bien fondée de More], et l'épilepsie. Dès 1890,
. Myosis permanent, signe d'A. Robertson, analgésie du globe a la pression , rétrécissement des artères du fond de l'oeil. Do
ens musculaires, de position stéréognostique; les sensibilités à la pression de la trachée, du testicule des nerfs radial et c
Lorsque, tout à coup, un'flot de sang pur fera irruption sous une pression de 150 à 200 millimètres de mercure, au milieu de
le moindre contact arrachent des plaintes à cette pauvre femme. La pression des masses musculaires et des points d'émergenc
onnelle des membres, l'atrophie musculaire, les vives douleurs à la pression des nerfs et des muscles, les signes stéthoscop
du plexus lombaire et sacré avec douleurs également intenses à la pression des troncs nerveux. C'est à ce moment une véri-
ension ; toutefois lorsque la main est en extension, la plus légère pression à la face dorsale suffit à l'amener en flexion,
oustique dérive de la sensation tactile et tient à une variation de pression moléculaire, ce qui vient à l'appui des faits d
SEXUEL DE L'IMPULSION MUSICALE. 371 1 La moyenne totale de ces dix pressions dynamométriques est la suivante pour chaque mai
de.28,2, pour la main gauche de 28,0. L'écart moyen des diverses pressions par rapport à leur moyenne brute respective éta
te et de 2,4 pour la main gauche. Le graphique de la variation de pression par rapport à leur pression moyenne est intéres-
gauche. Le graphique de la variation de pression par rapport à leur pression moyenne est intéres- sant et éloquent. Il dém
muscu- laire saisissable par une diminution dans l'intensité des pressions dynamométriques. L'observation courante directe
t dans son adaptation régulière et précise. III L'augmentation de pression sanguine, qui accompagne l'excitation sexuelle,
jet des rapports de l'activité motrice et de l'augmen- tation de la pression sanguine : « Cet effet 1 (élévation im- médiate
e la pression sanguine : « Cet effet 1 (élévation im- médiate de la pression artérielle) se produit au moment même du passag
vation suivante, véritable recherche expérimentale, ' C. POT11V. La pression artérielle de 'l'homme lc l'élal normale ! el p
UEL DE L'IMPULSION MUSICALE. 373 comme exemple de l'élévation de la pression sous l'in- fluence de l'excitation sexuelle.
ngt-cinq ans, servait de sujet d'expé- riences pour la mesure de la pression sanguine avec le sphygmo- manomètre de Ilono,
nt ressentie. On observa à ce moment une augmentation notable de la pression sanguine, à tel point que la contrepression, qu
150 et même 160 millimètres. Ces derniers chiffres indiquent une pression sanguine très élevée, et qu'il est rare de rencon
il est rare de rencontrer dans les recherches sur l'évolution de la pression du sang. Le- sujet avait le facies d'une person
ontre la réalité de ce phénomène biologique, l'augmen- talion de la pression sanguine, sous l'influence d'une excita- tion p
psycho-moteur, modifications dans la mani- festation desquelles la pression sanguine joue un des pre- miers rôles. 374 PH
chologique d'image motrice, 1 5° Enfin, l'élévation brusque de la pression sanguine sous l'influence d'une excitation sexu
, et les deux sphères se trouvent alors plus ou moins déformées par pression réciproque, tandis que la capsule ne subit, le
sité congénitale. R. de Musgrave-Clat. LXIX. Sur les rapports de la pression intra-crânienne et sur les phénomènes de la com
de ralentissement des pulsations cardiaques, avec abaissement de la pression et d'accélération des battements suivis d'augme
ession et d'accélération des battements suivis d'augmentation de la pression . Ce n'est que rarement que la fréquence du coeu
Ce n'est que rarement que la fréquence du coeur et la hauteur de la pression se manifestent de façon indépendante. Du côté de
porteur. Cette méthode repose sur le principe des variations de la pression osmotique du liquide céphalo-rachidien par rapp
Trépanation au niveau d'un point de la calotte très douloureux à la pression , correspondant au pied de la frontale ascendante-
ion sur deux symptômes en particulier : la douleur locali- sée a la pression d'une part, et la fièvre d'autre part. Le foyer d
rs de toute action initiale sensilive, sous nne simple variation de pression ou de composition du sang (action chimique) qui
ional, ralentissent et affaiblissent la res- piration, abaissent la pression sanguine, affaiblissent le contrôle vaso-moteur
à disposition périphérique, l'existence d'un point douloureux à la pression sur le trajet des nerfs ne laissent aucun doute s
culaire. Pas d'Argyll. Tous les troncs nerveux très douloureux à la pression , de même que les masses musculaires. ' Poliom
luuilée àla zone du médian, par Daillville. 312. - bulbaire, voir Pression intracranienne. Concours d'internat en médecine
PoTT. Cavités médullaires et mal de , par Tnomas et llauser. 21l. Pression 1\TR.1-CR.1\II : \E. Sur les rapports de la - e
53 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
r, les muscles se raidissent soudain de plus belle pour résister à la pression , ce n'est pas non plus la volonté personnelle de
ion, et je constate qu'il est partout mou, dépressible, indolore à la pression profonde ; je constate ensuite qu'il est partout
lètement disparu ; elle n'a plus jamais reparu, ni spontanée, ni à la pression . Cette douleur était donc purement suggestive et
de la zone marquée par le crayon rouge, qui réagit très vivement à la pression , on ne détermine aucune sensibilité. Remarquez
note qu'on emploie le pétrissage, les frictions, l'effleurage et les pressions avec le plus grand succès. Aux Indes, les masse
la hauteur du rachis, particulièrement dans la moitié supérieure, la pression au niveau des apophyses épineuses était très doul
apophyses épineuses était très douloureuse, très douloureuse aussi la pression des muscles du cou et du membre supérieur droit.
trois fois par jour, durant une à deux heures; on la développe par la pression ; elle ne l'empêche pas de dormir; elle ne le rév
e. Il accuse surtout une douleur abdominale vive, spontanée et à la pression , au niveau et au-dessous de la région ombilicale.
au-dessous de la région ombilicale. Cette douleur est très vive à la pression . Je la localise à volonté dans la région sus-ingu
presque disparu; mais, à l'abdomen, elle est toujours très vive à la pression ; elle occupe nettement les régions sus-inguinales
colonne vertébrale, depuis le sacrum jusqu'à la région cervicale. La pression la développe surtout dans la région lombaire. 11
ins de l'abdomen, bien que le ventre soit toujours très sensible à la pression . Il a toujours un peu de contriction à la gorge.
, à celle constatée chez son frère. Cette région est douloureuse à la pression . La prétendue bosse n'est autre chose qu'une sail
nt également moins fortes. J'évite d'ailleurs de les réveiller par la pression . Le 22, le mal de tête disparait un peu; la dou
uleur de ventre a presque disparu. Le ventre n'est plus sensible à la pression . Continuation des pilules. Le 23, le mal de têt
le 2i, une douleur dans les mollets, surtout quand il est levé. A la pression , la partie postérieure des jambes est très doulou
mme convalescent. On ne détermine plus d'ailleurs aucune douleur à la pression . Le malade quitte l'hôpital, guéri, le 12 janvi
une étendue de deux à trois travers de doigt au-dessus de l'aine. La pression de cette région fait pousser des cris au malade ;
aussi douloureuse. La région axillaire droite est très sensible à la pression dans sa partie inférieure depuis le 7e espace. Le
pathologique, probablement une altération, qui fait que toutes les im pressions sont viciées et transformées par lui ; les impres
les malléoles, comme un engourdissement douloureux, et s'exagère à la pression . De plus, toutes les nuits il est réveillé une ou
mbe et de l'avant-bras ne présentent aucune sensibilité spéciale à la pression ; il n'y a pas d'atrophie musculaire, ni autre lé
e, il n'est pas d'organe plus approprié à la mesure des variations de pression extérieure que l'oreille; et ces perceptions que
alades atteints d'athérome auriculaire ; les uns redoutent les fortes pressions , les autres ne peuvent habiter la montagne ; tous
l'appareil musculaire pendant le sommeil. On ne peut stimuler par une pression momentanée que les muscles qui ne sont pas couver
un tour autour de la plante pour l'empêcher de se déplacer. Par cette pression , une flexion plantaire avait lieu, la position du
deux gants, généralement pas boutonnés, afin d'éviter une trop grande pression aux artères. Sous la pression de gants étroit
nnés, afin d'éviter une trop grande pression aux artères. Sous la pression de gants étroits, toutes les articulations de la
périences ont été faites par moi seul. Ainsi, j'appliquais au dos une pression par des bûches (trois, généralement) qui étaient
sultat, dans ces cas, accusait une influence pendant le sommeil ; une pression qui avait été trop forte, le soir (beaucoup plus
usculaire un effet persistant. Conclusion : L'influence causée par la pression musculaire, le soir, est, comme telle, insignifia
leur contractilité électrique. Souvent môme la plus simple manœuvre, pression sur le voile avec le miroir ou tout autre attouch
es remarques très importantes sur l'influence de la variabilité de la pression ou' de la tension du fluide nerveux. En 1889, le
ire. 11 existe de l'hypersensibilité de toute la peau, la plus légère pression détermine des soubresauts et même comme des bonds
oint de dormir. Dans des cas plus rebelles, Zaou-sailoiT recours à la pression exercée sur les globes oculaires et à l'applicati
54 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
ant tout le temps que dure la station verticale, lorsque la moindre pression du membre malade sur le sol est douloureuse.
cision anatomique irréprochable. Cette douleur est exaspérée par la pression d'un point quelconque du trajet du nerf- La fle
a poitrine; douleur très vive à l'hypogastre, s'exas- pérant par la pression ; matité dans la même région; n'a pas uriné depu
lents suivis de sueurs abondantes. Le 14. Abattements profonds ; la pression de l'abdomen provoque la sortie de matières féc
in de Darmstadt, et avait travaillé dans un caisson d'abord sous la pression d'une atmosphère, plus tard sous celle de deux
ard sous celle de deux atmosphères, et du 18 au 26 juillet, sous la pression même de trois atmosphères. Au cours de ce trava
août : le temps du travail était habi- tuellement de six heures; la pression variait de une à trois et deux dixièmes d'atmos
pendant dix-huit heures, avec de très brèves interruptions, sous la pression d'une atmosphère et six dixièmes sans accident. Q
t après sa sortie du caisson dans lequel il avait travaillé sous la pression de trois atmosphères et deux dixièmes pendant s
'hyperhémie collatérale. Sous l'influence de l'aug- menfation de la pression , les vaisseaux se dilatent et dans un bon nombr
érale dans les vaisseaux perméables; l'augmentation excessive de la pression en amène la rupture, de là l'hémorrhagie. Nou
testinale ; tympanisme : on vidait la vessie deux fois par jour. La pression de la colonne ver- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI D
ion de la moelle épinière causée par une diminution brusque de la pression barométrique». Ce travail intéressant est basé
e après la sortie du caisson, a senti subitement une sensation de pression au creux épigastrique, une gêne de la respiration
Ns L et LI doivent être rattachés, croyons-nous, à un changement de pression intra-Iabyrinthique dû à la présence de gaz dan
ien facile. Ne sait-on pas, en effet, qu'il suffit d'augmenter la pression du liquide labyrinthique, pour qu'immé- diateme
est refoulée par la compression contre la mem- brane du tympan; la pression exercée se transmet par l'intermédiaire delà ch
vertige réapparaît. Mais notons bien que ce mode d'augmentation de pression intra-labyrin- thique, ne peut enaucune façon p
me devrait faire son apparition au fond de la mer, durant la com- pression et non pas après la montée, immédiatement après
PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. il suraugmentation instantanée de la pression intra-laby- rinthique par les compressions, et
DENTS PAR L EMPLOI DES SCAPHANDRES. / / On sait qu'avec ces faibles pressions le sang artériel devient plus riche en oxygène
es du sens musculaire; ils renferment aussi celles du tact, de la pression , etc., et tous ces modes de la sensibilité géné
es volontaires, comme dans l'incoordination, mais qui donne l'im- pression de ce que les cliniciens appellent l'ataxie cér
ns bonne à droite. Odorat et goût, normaux des deux côtés. 26. La pression sur la région ovarienne droite détermine une se
mpreinte, de la dimension d'un oeuf de poule,s'apla- tissant par la pression et contribuant encore à faire paraître le cou p
- dait, aboyait, hurlait exactement comme ses semblables. Les im- pressions sonores ne déterminaient aucune réaction motrice
intestin ainsi qu'en témoignent les vomissements, la sen- sation de pression abdominale, de vertiges et de coliques. La vari
; diminution de l'excitabilité électrique; sensibilité des os à la pression ; conservation des réflexes patellaires. Et cepend
ent produit du gonflement et un certain degré de sensibilité à la pression . Inanité des nervins, de la galvanisation, de l'h
ysiques suivants de la neurasthénie patho- génétique : sensation de pression de la tête, insomnie, accès de sténocardie, spa
douloureuses tant spontanées que développées par le frôlement ou la pression profonde. Ici le malade n'ac- cuse aucune de ce
ui a com- plètement disparu aujourd'hui, et de la douleur à 'la . pression des muscles du mollet, qui persiste encore aujo
à un nombre quelconque, de 1 à 20 par exemple. On exerce de légères pressions successives (sans que le malade le voie) sur le
. Dans cette expérience, le nombre lia été pensé consciemment; la pression n'a pas été perçue, et la réponse a été inconsc
cérébra- tion volontaire (ou involontaire) fait entrer cette im- pression dans la conscience; 2° le temps nécessaire pour
divisa la folie systématique ou Wuhnsinn (il avait répudié l'ex- pression de monomanie) en'folie systématique primitive ou
55 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
iode précoce, il 26 l BERTOLOT'I I y aurait eu augmentation de la pression endocranienne. L'on sait aussi que plusieurs au
èse que cette malfor- mation crânienne fût sous la dépendance d'une pression cérébrale exagé- rée. Or, cette question n'a pa
vèlent deux faits importants et indiscutables : en premier lieu une pression endocranienne augmentée, et en deuxième lieu un
ssemblés, nous devons tâcher de nous expliquer le méca- nisme de )a pression endocranienne. H ressort à première vue que l'hyp
ence réside dans le fait que, dans l'hydrocéphalie de l'enfance, la pression cérébrale trouve bon jeu dans ! 'épanchement de
xycépha- lie, le crâne antérieur étant enclavé par la synostose, la pression hydrau- lique agit dans quelques endroits limit
ion cérébrale du premier âge, m'ont démontré que le mécanisme de la pression hydrauli- que du liquide intraventriculaire est
eur insiste sur l'état inégal et atrophique des os déterminé par la pression des circonvolutions qui se retrouve dans les crân
s faites par SchÜl1er avaient déjà mis en relief les changements de pression cérébrale dans le crâne. Voir à ce propos : A.
cas de Marinesco prouve que, à la suite de l'hydrocéphalie, la com- pression de la Lige de l'hypophyse peut produire des (roub
que une ponction lombaire qui donne sortie à un liquide clair, sous pression moyenne. Centrifugé et examiné au microscope on c
e ponction lombaire qui laisse sortie à un liquide clair sous forte pression . L'examen du liquide montre une lymplio- cylose
donne pas- sage à une grande quantité de liquide et sous une forte pression , ce qui prouve que la communication du liquide
musculaire ; de ce fait, la force est très diminuée ; l'échelle de pression du dynanomètre indique une moyenne de 11 ldlogs
Du côté du tube digestif, on ne note qu'une douleur très vive à la pression sur tout l'abdomen mais particulièrement à l'ép
insi que d'une partie de leur enveloppe durale ; en conséquence, la pression cérébrale et la vascularisation ont subi des mo
es sphinctériens. Les nerfs ne semblent pas augmentés de volume, la pression profonde n'est pas anormalement douloureuse. La
e qui reçoit de l'ensemble du corps et qui transmet à l'àme les im- pressions venues du monde extérieur, l'organe qui, d'autre
ns très fines (1 et même moins), lorsqu'on soumet la gélatine à une pression mécanique ou à la force centrifuge lorsqu'il s'ag
e effet dans les mêmes circonstances qu'en faisant usage d'une com- pression très considérable. Il est à remarquer ensujte que
es altéra- tions chimiques du neuroplasma et les oscillations de la pression osmoti- que qui en sont la conséquence ainsi qu
embres inférieurs. Le trajet du sciatique droit est douloureux à la pression , et c'est à la région mal- léolaire que siègent
jet des nerfs sciatiques de points particulièrement douloureux à la pression . Troubles vaso-moteurs. - Refroidissement des e
Hypertrophie des troncs nerveux, sans nodosités, sans douleurs à la pression . Diminution considérable de la sensibilité superf
e gauche, mais persistent à droite avec leurs mêmes caractères ; la pression des troncs nerveux, la manoeuvre de Lasègue ne
leurs spontanées ont presque disparu ; toujours pas de douleur à la pression des muscles et des troncs nerveux ; il existe u
ué uniquement par des cellules graisseuses juxtaposées, tassées par pression réciproque, sans organisation conjonctive, sans
l'épaule gauche bien que l'observateur cherche à l'en empêcher par la pression de la main, il y parvient beaucoup moins bien à
nts, le sens pallastbésique, le sens stéréognostique et celui de la pression sont bien conservés. La vue (acuité, étendue du c
nons d'adopter. Ainsi, par exemple, il y avait une diminution de la pression artérielle dans la radiale droite, et cela corres
éthodiques de Guillain, qui remarqua que, chez les myopathiques, la pression artérielle oscillait entre 11 et 14 cm. de merc
eure de la périphérie du faisceau antérieur; à droite par contre la pression s'exerce sur l'endroit correspondant à la ceintur
éinée tuberculeuse sur la dure-mère hypertrophiée ; d'autre part la pression exercée provoquant une circulation irrégulière
hidien dans les veines méningées et les espaces lymphatiques, cette pression expli- que également les lésions dont il s'agit
sans effet sur le cours de la maladie et sur les phénomènes de com- pression . Si nous représentons l'ensemble des symptômes cl
tifs ou passifs de la tête, de la ceinture scapulaire et pendant la pression de la partie cervico-dorsale de la colonne vert
d'anormal du côté du coeur, des poumons et des autres viscères. La pression maxima au Pacbon est 160, celle minima 120. Pas
. Le sens des attitudes est conservé, ainsi que la sensibilité à la pression . Les vibrations du diapason sont perçues faible
a révélé ni sucre ni albumine. Examen du liquide céphalo-rachidien. Pression minime (liquide sortant par gouttes), aspect no
ant forment un Z. Le médius et les pieds sont intacts. 9908. - La pression réciproque du sternum et du pubis est encore plus
pas une localisation des douleurs. Ponction lombaire. Liquide sans pression . Pas de lymphocytes. La malade a suivi un trait
cutané. On ne peut pas déterminer la contrac- tion de ce muscle par pression sur le pisiforme alors que ce réllexe existe a
très augmentés de volume et contrastent avec le reste du corps. La pression du doigt ne laisse pas d'empreinte. La peau, douc
ion du coeur, mais un deuxième bruit aortique un peu claquant. La pression artérielle est, au spnygmomanomètre de Pachon, de
fection, l'impossibilité du pincement, l'absence de godel t sous la pression du doigt, la forme cylindrique de la cuisse, l'ab
56 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
multiloculaire ; que les cas typiques sont caractérisés par la com- pression des éléments nerveux sans dégénérescence, que les
s historiques. D'après eux, l'individu n'apparaît que comme l'ex- pression des manières de voir de la masse, comme la plus .
nstitutifs du nerl sont le siège d'une dégénération lente due à une pression graduelle et persistante, oblitérant sa conduct
rale sensible au niveau de la 2" vertèbie lombaire.; En ce point la pression était douloureuse. Diminution appréciable.' de
à percevoir les impressions tactiles et la conservation des sens de pression de température et de douleur sont suffisantes p
ns beaucoup de cas les accidents de com- SOCIÉTÉS SAVANTES. ' lg9 pression carcinomateuse de la moelle et des racines ne rel
lle présente une hémianesthésie totale gauche avec hémiparésie : la pression au dynamomètre indique une force de 15 kilos po
onjonctive : mais sa recherche provoque la sécrétion des larmes. La pression du globe oculaire est douloureuse et normale à
sa moitié gauche : la moitié droite seule réagit sous l'effet de la pression . Les réflexes abdominaux supérieur et infé- rie
ombaire, anesthésiquo à gauche, réagit à droite assez vivement à la pression . Les fonctions rénales s'exécutent parfaite- me
celle du bras, à 15 centimètres au-dessus de l'olécrâne = 23m,5; la pression dynamométrique est de 17 kilos. Les sensibilité
pason (Hgger) -, est aussi nerveuse (réaction douloureuse nulle par pression du cubi- 'LÔ(j CLINIQUE NERVEUSE. tal), ainsi
ue celui-ci est aveugle, ou parce qu'il fait abstraction de l'im- pression reçue vision monoculaire 1. » De même que l'hys
ssion auditive reçue dans la surdité hystérique complète, des im- pressions olfactive, gustative et cutanée dans l'anosmie,
ent= ». En effet, nous savons bien, chez l'hystérique, qu'une im- pression quelconque, reçue par un appareil sensoriel qui
omme dans lés maladies infectieuses, il y a des modifications de la pression artérielle, dues à l'action de l'agent toxique
les ont une coloration rouge, pourprée, ne disparaissent pas par la pression . Leur maximum de confluence est au niveau des c
relativement au chloral, très peu d'action sur la respiration et la pression sanguine ^pour ralentir la première et diminuer
rier 1900); , par le D1' REBOUL. 11. La sensibilité oculaire à la pression et ses modifications dans le tabes (avril 1900)
nnervation de l'oeil, étudie ensuite la sensi- bilité oculaire à la pression , ses caractères normaux et son inter- prétation
ou diminuée, ou abolie, il résulte que la sensibilité oculaire à la pression peut être modifiée dans des mala- dies d'ordre
nt : 1° l'augmentation qui constitue l'hyperalgésie ocu- laire à la pression ; 2° la diminution ou hypoalgésie oculaire à ha
laire à la pression ; 2° la diminution ou hypoalgésie oculaire à ha pression ; 3° l'abolition ou analgésie ci la pression. Si
poalgésie oculaire à ha pression; 3° l'abolition ou analgésie ci la pression . Si l'hyperalgésie est rare, l'analgésie est pl
née à la tempéra- ture s'abolit ensuite : Enfin la sensibilité à la pression est perdue. Le pincement, la piqûre, la pressio
a sensibilité à la pression est perdue. Le pincement, la piqûre, la pression sont longtemps perçus comme tels puis comme sen
t la première, puis apparaissent successivement la sensibilité à la pression , la sensibilité thermique, les sensations de ch
tallation de l'analgésie cutanée. Quand celle-ci est com- plète, la pression énergique des muscles, la percussion forte des
s ne disparaît point tota- lement. La sensibilité testiculaire à la pression peut per- sister dans une analgésie dépassant l
on spermatique avait perdu toute sensibilité au pince- ment et à la pression . Modifications DES réflexes. 1° L'abolition des
dans un cas la conservation du réflexe pupillaire à la douleur par pression d'une région pathologiquement douloureuse mais
nes génitaux internes sans provoquer la moindre souffrance, mais la pression de l'utérus ou des annexes droites faisait appa
e souvent de l'hyperesthésie, des zones hystérogènes dont la com- pression arrête une crise, et possédant des lieux d'électi
eux, piriforme et tendu avec une aréole beau- coup plus marquée. La pression du sein en masse, le pincement de l'aréole, son
l Science, octobre 1900.) Au cours d'une série de recherches sur la pression artérielle chez les aliénés, les auteurs ont ét
appés de ce fait que, dans les cas de mélancolie aiguë au début, la pression artérielle pré- sentait une marche plus ou moin
ur, avec tendance à l'irrégularité, atteignant 90 à 120 par minute. Pression artérielle élevée 140 à 180 millimètres ; 3° tem-
vantes chez les mélan- coliques à l'état aigu : 1° diminution de la pression sangnine; 1° augmentation de l'excrétion de l'u
hute surles pieds, une chute d'un corps pesant sur les épaules, une pression se produisant brusquement dans le creux du jar-
4.) Pour démontrer que la gêne circulatoire provoquée par la com- pression de la moelle à la région cervico-dorsale n'est po
iminution du' » calibre des artères cérébrales, une élévation de la pression arté- rielle et une diminution de la pression i
, une élévation de la pression arté- rielle et une diminution de la pression interne du crâne. Après la suspension ces phéno
dissement du calibre des artères cérébrales, un abaisse- ment de la pression artérielle et une élévation de la pression. int
, un abaisse- ment de la pression artérielle et une élévation de la pression . interne du crâne. Il résulte une hyperémie du
, Visuelles. Recherches expérimen- tales sur la mémoire des im- pressions , par Guerwer, 225. Vomissements incoercibles gu
57 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
que est le siège d'une sensibilité exquise, exagérée par la moindre pression superficielle. Cette plaque d'hyperesthésie parai
uses, est le siège d'une hypéresthésie encore plus particulière. La pression y détermine, surtout lors- qu'elle est un peu f
rale en même temps qu'un point très douloureux spontanément et à la pression surtout. Au mois d'août 1887, nouvelle crise av
trépidation spinale. Signalons encore un point très douloureux à la pression , au niveau de la région précordiale : la céphal
r une résistance très grande; au dynamomètre il peut développer une pression assez considé- rable ; de la main droite il amè
jambe. Le malade ne peut mettre le pied gauche à terre, la moindre pression sur un point quelconque détermine une douleur e
mètres au-dessous de la tête du péroné existe un second point où la pression est très douloureuse. En même temps que les dou
ies par le malade dans la profondeur du membre et les douleurs à la pression il existe une zone d'anesthésie (figure 34), co
ure actuelle, il n'existe plus de douleurs, ni sponta- nées ni à la pression . Troubles 'Vaso-mote1l1'S. Au niveau de l'ancie
ans le milieu du mois de février, V... se plaignit de toux et d'op- pression ; à l'auscultation on trouva des signes manifeste
s le pouls normal, je fais faire au sujet, avec la main gauche, une pression soutenue sur le dynamomètre pendant une demi- 1
avec sa main droite (du côté où le sphygmographe est appliqué) une pression , du dynamomètre analogue FIG. 51. Tracé du poul
t, en raison delà trémulation des muscles et de la modification -de pression du ressort, la forme du tracé présente des diff
ressemble pas à l'oedi'me ordinaire; il ne s'affaiblit pas sous la pression du doigt, et lui oppose une certaine résistance
r de véritables tu- meurs se continuant avec le corps de l'os. La pression exercée sur le tarse, ou les mouvements exécutés
petites eschares au nivean du talon, sous l'influence de la mojndre pression . Pendant ce temps, il n'y eut aucun phénomène de
r. L'éponge chaude la réveille exactement aux mêmes endroits que la pression . Les troubles par diminution de la sensibilité
UVEAU CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. m l'attouchement simple, sans pression ni frôlement, est perçu dans presque toute l'ét
triples de ceux que j'ai obtenus sur moi-même. La sensibilité à la pression existe partout ; cependant, elle est très émous
de la plante, sont le siège d'une vive rougeur qui ne s'efface à la pression du doigt que pour reparaître ensuite. Cette rou
é postérieure. Le malade fut remis sur le dos; a la place de la dé- pression transversale de l'abdomen existait un sillon cuta
conservée, de telle sorte que l'empreinte des pieds est normale. La pression n'est pas douloureuse. Le pied droit présente u
uve livré à son propre poids ou aux forces extérieures telle que la pression des couvertures. On constate alors l'allongemen
était presque insensible au contact, et sensible au contraire à une pression exercée fortement sur la masse musculaire : que
s-jacent à la masse musculaire sacro- lombaire. Pas de douleur à la pression . Le membre inférieur gauche n'offre rien d'anor
uvement d'extension et de flexion de la tête s'opère bien, mais une pression un peu énergique de la main arrive facilement à l
ssus aigu inflammatoire, non plus que d'un véritable oedème, car la pression ne formait pas de godet. Peu à peu les douleurs
58 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
Enfin, rien de plus naturel que le spasme soit tenu en échec par une pression exercée sur certains points. De Grœfe a depuis bi
taire. Mais, voici où commence la série des phénomènes étranges. La pression exercée par ce petit coussin est bien peu de chos
bien peu de chose ; et, d'un autre côté, s'il ne s'agissait que de la pression , celle-ci devrait se montrer efficace, aussi bien
régions du corps plus ou moins circonscrites, au niveau desquelles la pression ou le simple frottement détermine, plus ou moins
attaque une fois développée, peut être souvent arrêtée au moyen d'une pression énergique exercée sur ces mêmes points. Un fait i
e naître par ce moyen très simple les accidents convulsifs ; un forte pression arrête d'ailleurs l'attaque avec la même facilité
ues cas au moins, l'irritation du testicule, retenu dans l'anneau, la pression du testicule provoque ou arrête 1'allaque. 3° A
le trajet du tronc nerveux, particulièrement en certains points où la pression l'exaspère. Nous relevons surtout chez notre mala
iveau de la tête du péroné, au dos du pied; elle est augmentée par la pression sur ces points; mais c'est surtout à gauche que l
l'histoire de la sciatique ordinaire, c'est que, quand on exerce une pression ou une percussion, soit sur le sacrum, soit sur l
lorsque la malade est debout et marche, ainsi que la sensibilité à la pression et à la percussion des régions lombaire et sacrée
squisse un arc de cercle qui interrompt la monotonie de l'attaque. La pression sur la région ovarienne droite fait cesser la cri
spontanément. Il n'existe pas, chez II..., de point testiculaire. La pression exercée, sur les points spasmogènes, soit acciden
sième existe dans la région iliaque droite; de ce côté, cependant, la pression du testicule et du cordon ne produisent aucune se
. Elles peuvent être provoquées très facilement, lorsqu'on exerce une pression même modérée sur le point hystérogène. Une pressi
squ'on exerce une pression même modérée sur le point hystérogène. Une pression plus énergique exercée sur ce même point arrête l
ite, l'autre au-dessous des dernières fausses côtes du même côté. Une pression un peu forte, exercée sur ce dernier point, déter
n rien de la première et qui peut être suivie de plusieurs autres. La pression des points hystérogènes peut d'ailleurs interromp
Greuz... est plongée dans l'état somnambulique, à l'aide d'une légère pression exercée sur les globes occulaires et dont l'actio
at de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la contracture par la pression exercée sur les masses musculaires, les tendons o
à pas. Chaque jour on a enregistré, heure par heure, le résultat des pressions exercées sur le dynamomètre et, tous les jours, é
recouvre la jointure est quelquefois beaucoup plus douloureux qu'une pression même intense exercée profondément sur cette régio
la hanche et du genou, cette douleur s'exagère quand on exerce une pression sur ces régions, quand on imprime des mouvements
e à fracture qui a causé ce changement; c'est, en d'autres termes, la pression exercée pendant un certain temps par ce bandage q
qui a provoqué l'apparition de la rigidité spasmo-dique des muscles ; pression modérée cependant, car il s'agit ici d'un spasme
ligature, et que cette tendance s'est réalisée sous l'influence de la pression exercée par le bandage à fracture. En faveur de c
iques, disparaissent en général très aisément, sous l'influence d'une pression légère portant sur les antagonistes des muscles d
l a, oui ou non, fléchi son poignet, etc., etc. Je ne parle pas de la pression dynamomélrique qui, pour la main, accuse par exem
nnée dernière, la sensation d'aura qu'on provoque actuellement par la pression de la fosse iliaque gauche ; d'une zone circonfér
ubjectifs : constriction delà gorge ; à mesure que cette sensation de pression disparaît, le malade recouvre la parole. Chez G
Les ovaires et particulièrement l'ovaire gauche sont douloureux à la pression . En un mot, en dehors des troubles laryngiens et
aphonie est complète; la malade chuchote à peine. Aucune douleur à la pression du larynx; aneslhésie assez prononcée du pharynx.
59 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
se des faisceaux musculaires est moins épaisse à gauche, la dé- pression sous-acromiale est moins couverte, plus accessi
- pli de la cachexie morphinique. M. Comar l'a traité par la sup- pression brusque. En neuf jours, il a pu, sans accident, s
s associations et des images plus anciennes apparaissent. Des im- pressions nouvelles ne s'entremêlent dans les rêves que lor
a droite; et c'est en cela que ce centre est sensitif. Puis l'im- pression s'est réfléchie par les fibres nerveuses centrifu
ôté droit. Si on l'interroge, elle montre par sa physionomie et des pressions de main qu'elle comprend, mais elle ne peut par
e par laquelle s'échappent de gros caillots noirs. La plus légère pression déchire la substance cérébrale, pour ainsi dire
Broadbent, l'apparence exté- rieure fait penser à l'existence d'une pression interne éner- gique produisant la distension de
est toujours vide, le sang ne pou- vant y pénétrer par suite de la pression exercée sur elle par le foyer hémorragique. Dan
iculaire et offrent, par suite, un chemin facile à l'hémorragie. La pression exercée sur la substance cérébrale par le sang
II. L'auteur n'admet pas que cette soudure puisse résulter d'une pression exercée par le capuchon céphalique de l'amnios su
c d'ori- gine centrale, c'est-à-dire qu'elles sont produites par la pression de la faux du cerveau contre le corps calleux.
tractus de tissu conjonctif, qui ne peut être produite que par la pression totale exercée sur la partie postérieure du corps
sparition de l'obstacle; sinon, l'augmen- tation en ce moment de la pression sanguine viendrait encore nuire aux cellules dé
contre ces conclusions milite l'expérience suivante à savoir qu'une pression de 20 centimètres de mercure peut être supportée
observé par lui et qui évolua sous la forme d'une myélite par com- pression à marche rapide, sans aucuns symptômes cérébraux.
aralysie ascendante d'origine infectieuse. 368 CLINIQUE NERVEUSE. pression exercée sur la moelle par la tension du liquide
isée par des phénomènes sensitifs sub- jectifs, par la douleur à la pression des muscles et des troncs nerveux, par une évol
de trois travers de doigts les fausses côtes; il est sensible à la pression . L'estomac clapote au- dessous de l'ombilic. Le
nte occupait la huitième apophyse épineuse. 11 y avait douleur à la pression sur les côtés de cette région. Ceitains symptôm
dont la branche afférente (tractus isthmotectal) transmet les im- pressions optiques, acoustiques et sensitives d'autres cent
e compression du nerf fémoro-cutané. On peut supposer que la com- pression s'exerce, dans quelques cas tout au'moins, soit a
résistance électrique. Le traitement institué fut le suivant : Sup- pression des boissons alcooliques, de la bicyclette et de
psychique, mais sou- vent cette complication a lieu par excitation, pression , dégé- nérescence secondaire. Le tableau cliniq
ons dans l'étude du sens musculaire ni la sensation pioduite par la pression des muscles, ni la sensation de courbature qui
assifs, la notion de position, la force musculaire, la sensation de pression avec des poids différents, le sens de l'orienta
pesés ressoit seule au sens musculaire tandis que la sensation de pression avec différents poids ressort à la sensibilité ta
ble, bien plus grande que dans un mouvement non contrarié ; 4° La pression cutanée contre l'obstacle intervient également, m
s la partie médiane de la paroi orbitaire ; ils sont sensibles à la pression . Ni exophthalmie, ni stra- bisme. Paupières, co
e pendant l'attaque, résulte a la fois de ces contractions et de la pression exercée sur l'intestin et la vessie par la comp
pen- ser à une paralysie traumatique pendant un accès ou par com- pression pendant le sommeil. Mais Gowers a signalé les par
t au degré de l'obtusion intellectuelle (ce n'est qu'une affaire de pression ). Occupe-t-elle les parties antérieures du lobe t
ties antérieures du lobe temporal, et, par suite, exerce-t-elle une pression sur la troisième fron- tale (aphasie motrice) e
n'a pu s'écouler et a gêné l'écoulement du liquide encéphalique. La pression intraventriculaire a comprimé la substance céré
nt et de l'engourdissement. Mais il n'a plus d'accès douloureux. La pression au niveau de l'épine iliaque anté- rieure et su
des douleurs irradiées de l'épaule au. cou; de la sensibilité à la pression de la colonne cervicale; des douleurs dans la m
ibilité à la douleur de tous les points d'élection accessibles à la pression ; un effacement du pli nasolabial gauche; du nys
troncs nerveux sont en effet très sensibles au tiraillement et à la pression , mais il n'existe ni troubles fonc- tionnels, n
alcaline (2 litres) non albumi- neuse. Taches rouges multiples par pression sur les fesses. La colonne vertébrale, non défo
tébrale, non déformée, est libre de ses mouvements et indolore à la pression . La température monte à 3 î°,8 et 40 ? Accident
eures et de la face, en imposant pour l'oedème (sans empreinte à la pression ) ; peut-être s'agissait- il d'une simple augmen
quer quand la tumeur n'est pas assez volumi- neuse pour exagérer la pression à l'intérieur du crâne, ou quand elle comprime
es battements cardiaques et les mouvements- respiratoires, élève la pression artérielle. abaisse la température centrale, il
OY. MM. DEJEUNE et l3cnNnEm. Un cas de paralysie radiale par com- pression , avec autopsie. La malade présentait une paralysi
etc. Il montre la colère, cette explosion d'énergie accumulée sous pression dans le cerveau. Il en décrit plusieurs formes
e secondaire consécutives à la coin- a34 Ir TABLE DES MATIÈRES. pression de la moelle, par Ques- nel, 410. Sur les titér
60 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sie presque généralisée, une douleur à l'épigastre produite par une pression légère. Pas de zones véritablement hystérogènes
polyidéisme, érotisme, gaieté. Exaltation alternant avec de la dé- pression hypochondriaque produite par des sensations anorm
- ment continu du dynamisme cérébral, qui se produit, selon l'ex- pression consacrée, « à l'état d'exercice », et dépend tou
s que ceux d'un procédé de vérification : elle sert à déterminer la pression du liquide spinal dans l'état de santé et dans
rmal en se servant d'un manomètre à mercure, Pfaundler a trouvé une pression moyenne de 25 millimètres, et chez les hydrocép
ydrocéphales, de 37 millimètres; dans la méningite tuberculeuse, la pression moyenne est de 40 millimètres, mais dans un-cas
- rium chloralique se produit généralement sous l'influence de la pression brusque ; il faut donc pratiquer la décliloralisa
t de l'occiput, qui s'exaspéraient par le moindre mouvement, par la pression des deux premières vertèbres cervicales, et dim
ro- matique est parfois en même temps altérée, ce qui donne l'im- pression de solution de continuité. D'autres cellules sont
ion non convulsive, lente, durant à peu près aussi longtemps que la pression effectuée sur le pisiforme, qui fréquemment s'a
pagne d'une sensation nette, voire désagréable. Si l'on prolonge la pression pendant quelques minutes, apparaissent quelques
sagréable mais le sillon disparait peu à peu; exagère-t-on alors la pression , le sillon se reforme mais pour peu de temps.
téralement et bombé au-dessus des tissus voisins, et qui donne à la pression une sensation légère, mais nette, de fluc- tuat
l'extension des orteils qu'il obtient sont sous la dépendance de la pression du tendon d'Achille ou bien ne sont pas simplem
ux de la miction. Il n'a cependant jamais eu de spermatorrhée. La pression exercée dans la région rénale ne réveille aucune
peresthésie qui s'accompagne de douleurs sour- des, plus vives à la pression au renflement lombaire et d'un point de la tête
s, tout disparaît : il ne reste que quelques points douloureux à la pression de la colonne : la malade sent son dos. 9. Rese
de se contorsionne, souffre beaucoup de la poi- trine et lorsque la pression a cessé, elle respire mieux, l'étouffe- ment di
l. J'ai renouvelé plu- sieurs fois cette expérience; toujours, à la pression , la malade s'étouffait davantage, souffrait de
ons ; 3° Le sujet n'extériorise pas au cuir chevelu : donc, l'im- pression recueillie par le trijumeau reste dans le domaine
piques sur l'écriture; rapports entre la rapidité de l'écriture, la pression et l'effort musculaire ; par G. Ouici. (Riv. cl
duction dans les veines d'alcool augmente l'activité du coeur et la pression du sang : il en résulte un hypé- rémie générali
e un hypé- rémie généralisée du cerveau. Puis le coeur s'arrête, la pression du sang diminue, les ondes du pouls deviennent
le déjà manifeste à la fin du premier stade de l'augmentation de la pression . L'anémie artérielle s'associe d'ordinaire à un
veineuse du cerveau. - Troisième stade. Malgré l'abaissement de la pression générale, et la diminu- tion de l'activité du c
le courant carotidien augmente, mais, malgré l'exagération de la pression , l'hypérémie cérébrale ne reparait point. L'int
eines de petites doses d'alcool déter- mine de l'augmentation de la pression du sang et assez égale- ment de l'hypérémie cér
bien être celui de la modification de la circulation irienne par la pression déterminée sur le globe au moyen de l'énergie d
e du ventricule latéral droit du cerveau a déterminé de ce côté une pression qui a enfoncé l'amygdale de ce côté dans le tro
es deuxième et troisième apophyses étaient très douloureuses à la pression et que le territoire des troubles sensitifs diffé
bservé chez elle cette nuit pen- dant qu'elle était en cellule. Les pressions légères sur les globes oculaires lui font voir
tement », persistant encore quelques secondes après avoir cessé les pressions . Mais elle ne voit pas ceux qu'elle nomme les «
et le résultat est le même, le même bruit qui est entendu, l'im- pression en est rendue dans des termes identiques. Goût.
uelque temps après le premier essai. Odorat. Les moyens ordinaires ( pression des narines, sugges- tion) n'amènent aucun résu
eux et je ne peux pas l'avaler, quel mauvais goût » » Odorat. Des pressions légères sur les narines ne produisent rien d'an
rescris : 1° Les douches latérales de Charcot. Sur le dos sous la pression de 2 à 3 atmosphères, commençant de 22"C., dimi-
En voici la description d'après Legros et Onimus 2 : « Un choc, une pression , un tiraillement, un déchirement survenant soit
produisent les phénomènes de con- tractilité. Lorsque le choc ou la pression agissent directe- ment sur le muscle, surtout s
éservé des mouvements ondulatoires violents et des variations de la pression du sang qui seraient là plus dangereux qu'ailleur
enue après ablation d'une tumeur abdo- minale, consécutivement à la pression exercée pendant une heure et demie par un appar
dant une heure et demie par un appareil de maintien. D'ordinaire la pression de cet appareil s'exerce entre la clavicule et
ainsi exagérée ou unifiée, ne reçoit plus de stimulations ou d'im- pressions mentales appréciables par les voies ordinaires de
ticulation interphalangienne est immobile. Pas de lluc- tuation. La pression est indolore. La radioscopie et la radiogra- ph
« des petits serpents de feu ». Longtemps après qu'on a cessé toute pression . F... regarde les murs de sa cellule, et aux inte
ougeàtre; on trouve un foyer hémorra- gique. La tumeur exerçait une pression sur la veine Galienetsurles hémisphères qui éta
61 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
dans les reins et dans le bas-ventre spontanées et provoquées par la pression , par la marche et par la sta-tion. La langue es
ènes typhoïdes, les régions rénales sont doulou-reuses, au moins à la pression , les urines rares ou supprimées, les symptômes pu
e la voix, un peu de toux ; le larynx est quelquefois douloureux à la pression . Mais à côté de ces cas où l'affection peut reste
ection. La déglutition devient difficile, le larynx est sensible à la pression ; la peau qui le recouvre est souvent soulevée en
les taches pètéchiales des taches rosées qui disparaissaient sous la pression des doigts ; mais pareille chose a été observée d
u-dessus du ni-veau de la peau; elles s'effacent complètement sous la pression du doigt, pour reprendre leurs caractères primiti
n du doigt, pour reprendre leurs caractères primitifs aussitôt que la pression cesse. — Deuxième phase {dark, livid, semi-petech
les pâlissent un peu, mais ne disparaissent plus complètement sous la pression du doigt; elles ne font plus du tout saillie au-d
tion d'un pour-pre foncé. Elles ne sont plus du tout modifiées par la pression même la plus énergique; elles acquièrent un conto
au-dessus du niveau de la peau. Elles dispa-raissent toujours sous la pression du doigt, et ne se changent jamais en taches pété
e malade y éprouve une douleur brûlante qui s'exaspère par la moindre pression , une sensation de constriclion très pénible qui a
blesse extrême; il fuit sous le doigt, et il faut exercer une forte pression pour en percevoir les battements. Le plus souvent
ue, par le relâchement des parties du côté de la paume de la main, la pression sur le nerf eut cessé. Tant que cet état de chose
ssitôt après que l'on eut permise l'homme de se servir de sa main, la pression sur le nerf se renouvela, et l'ulcération des par
s-quelles la malade paraît souffrir atrocement et pousse des cris. La pression réveille les douleurs et les rend très vives, pri
du tissu nerveux, et qu'en outre celle-ci avait été déterminée par la pression qu'exerçaient sur les ganglions et sur les troncs
ux parties du système pileux soumises, pendant un certain temps, à la pression de la main, reparaît dans le fait qui suit : « îl
tement ; les poils sont tombés. Sur beau-coup de points exposés à une pression se voient des cica-trices blanchâtres, suite d'ul
forme, tendue, et qu'on pouvait déprimer un peu à l'aide d'une légère pression ; elle avait été prise précédemment pour un engor
, on avait senti un corps lé-gèrement mobile, qui cédait à une faible pression exercée sur la sonde, pour revenir avec une espèc
auche, l'existence d'une tumeur grosse comme le poing, indolente à la pression . Les bains, l'onguent mercuriel em-ployés alors n
tre. Elle est arrondie, immobile, fluctuante, un peu douloureuse à la pression . Elle est d'ailleurs séparée net-tement du foie,
chose à noter, la tumeur n'avait pas complètement disparu, malgré les pressions réitérées qu'on avait exercées sur l'abdomen. K
influence d'émissions sanguines locales, et avec elle la douleur à la pression dans la région du kyste, laquelle s'était de nouv
sin, puisqu'après I évacuation d'un certain nombre d'hydatides et les pressions exercées sur l'abdomen, une tumeur persistait enc
. Constipation opiniâtre depuis deux jours ; douleur très vive à la pression dans toute la région de l'abdomen, mais bien plus
s ne cessent jamais complètement d'exister et sont exas-pérées par la pression . L'abdomen est habituellement volumineux ; tant
mais il est aplati, replié sur lui-même, comme s'il eut dû céder à la pression exercée par le liquide. Toutefois, la grande cour
maladie. Aux membres inférieurs le sens du tact est émoussé, mais une pression un peu forte ou un pincement lé-ger produisent de
62 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Van Gehuchten. Les différentes formes de paraplégie dues à la com- pression de la moelle épinière; leur physiologie pathologi
ibilité : d'une part intégrité de la sensibilité au contact et à la pression , d'autre part thermoanesthésie, analgésie et pe
ion horizontale en verticale et agir ainsi sur les variations de la pression intra-rachidienne. · Voici maintenant, comment
s au niveau des creux poplités et des mollets s'ac- centuant par la pression des points de Valleix. Les réflexes ten- dineux
s des cas. Il blâme enfin la civilisation moderne et sa vie à haute pression , et le fémi- nisme. Peut-être aussi est-ce un
cytes dans le liquide céphalo-rachi- dien) ; . 2° La douleur à la pression des nerfs qui indique un certain degré de névri
a main droite. La force musculaiie est presque totalement perdue. Pression au dynamomètre : main gauche 40 kilogrammes, main
r de petits objets, manier leurs outils, exercer avec la main une pression énergique. D'autres étaient tout à fait incapable
auteur, il se produit une hyperhémie de la moelle à la suite de la pression négative produite par la suspension-congestion
tion céré- brale : 1° les artères cérébrales se rétrécissent; 2° la pression artérielle augmente ; et3° la pression intercra
rales se rétrécissent; 2° la pression artérielle augmente ; et3° la pression intercranienne s'abaisse. Ces phénomènes change
suspension cesse d'agir; les vaisseaux du cerveau s'élargissent, la pression artérielle diminue et la pression intercranienn
eaux du cerveau s'élargissent, la pression artérielle diminue et la pression intercranienne augmente. Notre confrère expliqu
AIICHIVES, 2' série, 1.' XIII. ' 8 H4 THÉRAPEUTIQUE. tion de la pression artérielle, d'où il résulte une anémie des vais
. 4° Dans la pathogénie des tumeurs cérébrales, à côté de la com- pression de l'encéphale qui joue un rôle peut-être non nég
asse tremblante»n'avaient pas réellement peur. Inversement, l'éx- pression peut faire défaut dans des états d'émotion très
produissent les mêmes effets : vaso-con- striction, élévation de la pression sanguine, accélération de la respiration et du
e l'écorce peut, suivant les régionsexcitées, élever ou abaisser la pression sanguine, accélérer ou modérer l'activité du co
nuelle à la tête, mon engourdissement, la sécheresse et souvent une pression considé- rable du front et une compression des
te, d'une densité à 15°, de 1,24 qui bout en se décomposant, à la pression normale comme dans le vide. Miscible en toutes pr
com- mande au sphincter pupillaire, ou à des modifications de la pression en rapport avec le pincement de l'oeil produisant
ndrie par la disparition de la sensibilité au chatouillement. Toute pression ou élongation de la peau fait instantanément di
sement à deux reprises, a été trouvé normal. La percussion et la pression du crâne ne sont pas douloureuses Vu le début b
tourdissements, puis par une sensationparticulière de gêne et d'op- pression qui lui remontait de la partie gauche du ventre v
uis vers la gorge. La région ovarique gauche est très sensible à la pression . Bromure de potassium (4 gr. par jour). il. Gra
le grosseur, du volume d'une demi-noisette et à peine sensible à la pression , est située sous la peau, qui ne présente d'ail
t prise (comme lors de l'accès du 5 janvier), d'une sensation d'op- pression qui, partant de l'hypochondre gauche, remonta ver
est très agitée. La région ovarienne gauche est très sensible à la pression . L'examen de la sensibilité cutanée révèle l'exis
ez violents. La région ovarienne gauche est très douloureuse à la pression ; lorsqu'on la comprime fortement, la malade a la
ptôme consécutif des attaques, causé par la brusque élévation de la pression artérielle pendant ces dernières. (Binswanger 1
peu de jours, à l'état d'hyperalgésie subjective : sensibilité à la pression , et pares- thesie (formications). Les mêmes tro
étendue : elle fait défaut dans les cas bénins. La sensibilité à la pression est en général plutôt diffuse que limitée à cer
nnés à certaines provinces nerveuses. Peut-être la sensibilité à la pression pourrait-elle être considérée comme une hyperes
Médical Journal, 5 octobre 1901.) Les effets de la diminution de la pression atmosphérique, qui se traduisent par un surcroî
s ; d'autre part les effets d'un séjour dans l'air raréfié sous une pression atmosphérique décroissante sont analogues à ceux
nduisent à * la même conclusion, à savoir : que la diminution de la pression atmosphérique en éveillant, en quelque] sorte,
ltitude, le principal, sinon l'unique facteur, est la diminution de pression agissant par voie de modification chimique du san
'une manière évidente sur le sang. Il prétend que la diminuation de pression . obtenue dans une expérience de laboratoire, e
ue dans une expérience de laboratoire, en soumettant le corps à une pression atmosphérique diminuée, est exactement sem- bla
sujet qui gravit une montagne élevée ; il soutient que, dans cette pression atmosphérique diminuée, il pénètre plus d'azote
r- maux, palpitations qui sont évidemment dues à la diminution de pression périphérique. , Les hystériques, pour des raiso
s membranes du cerveau (tonus vasomoteur). Les climats brumeux et à pression basse sont également défavorables aux neurasthé
lents, des pupilles dilatées et de l'hyperesthésie abdominale il la pression , sans lésion. Le diagnostic porté est celui de
mot. J'ajoute, pour terminer, que chez L..., la mimique et l'ex- pression des sentiments sont conservées. Je vous ai dit et
63 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
s forment un ensemble d'exercices de gym- nastique des poumons ; la pression des lèvres contre l'embouchure de l'instrument
, né révélant ni empâtement ni matité; pas de douleur à la décom- pression brusque. L'enfant tousse un peu ; l'auscultatio
nt, c'est-à-dire l'enveloppe osseuse, ne cesse de s'adapter à cette pression intra-cranienne anormale. D'ail- leurs, sans av
ormation est la preuve de l'adaptation de la boîte cra- nienne à la pression interne. Nous jugeons inutile d'entrer dans de
te pas la cavité cranienne, mais en même temps il n'exerce aucune pression sur l'endocrâne ; aussi le tissu osseux parfait
nce interstitielle des parois craniennes n'est pas limitée par la pression intra-cranienne, de là son épaisseur parfois inu-
ette particularité est en relation avec cette loi que partout où la pression est ' M. Manouvrier a donné des explications an
imum on a, en effet, des parois extrêmement minces) et que là où la pression diminue la paroi s'épaissit. . La figure 1 et
PL. I et II donnent un exemple frappant de cette modification delà pression intracranienne au niveau de la loge frontale. L
ure des lobes frontaux : il en était donc résulté une diminution de pression dans la loge anté- rieure et conformément à la
e 8, où l'on voit la coupe de cet os. Dans la microcéphalie où la pression est extrêmement faible, puisque la masse entièr
les deux hémisphères se développent également et simultanément, la pression sup- portée par l'apophyse crista-galli sur ses
se déve- lopper, qu'arrive-t-il ? Le demi-cerveau sain exerce sa pression d'une part sur la paroi résistante de la voûte cr
a- galli. Mais toute cette paroi interne se laisse déprimer parla pression normale de l'hémisphère sain, qui n'est pas contr
ormale de l'hémisphère sain, qui n'est pas contre- balancée par une pression en sens contraire. L'hémisphère au cours de sa
nflé en totalité, ce qui n'a rien d'étonnant puisque l'absence de pression est générale'. ? ° Que les hémiplégiques, décédés
ien à la saillie de cette crête osseuse interne. La différence de pression a amené également une asymé- trie du corps du s
lus oblique que celui du côté opposé : il tend à la verticalité. La pression plus forte a modifié aisément le corps de l'os
que. un aspect normal, tandis que du côté répondant à une moindre pression on a un aspectqui serait normal si le sujet éta
té sain ; il est parfaitement appréciable à la vue. En arrière la pression cérébrale a produit un véritable renversement d
t de cette loi que nous avons signalée plus haut, que partout où la pression diminue la paroi s'épaissit là où elle est augm
tés plus profondes, mais au niveau des sillons qui les séparent, la pression est nulle et la prolifération osseuse se faisan
lade. Pourquoi cet aspect ? Parce que, comme nous l'avons dit, la pression à ce niveau est moindre. Toutefois, remarquons-
nérale est peu transformée en raison des fai- bles variations de la pression interne et de l'épaississement des parois. On p
que le crâne est en rapport non pas avec le cer- veau mais avec la pression .intra-cranienne », et nous en donnions des exe
é considérable de liquide dont la présence suffisait à maintenir la pression intracranienne. Les ventricules cérébraux (voir
64 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
au contraire, est altérée : dou- leur à la région lombaire, que la pression réveille ou accroît, anesthésie symétrique loca
bstance grise étaient amincies, probablement sous l'influence de la pression . De plus, à quelque distance des sacs angiomate
douloureux 52 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. spontanément et à la pression , la démarche est incertaine; on constate 1 : si
les plus reculées des membres, troncs nerveux un peu sensibles à la pression ; muscles très sensibles. Violentes douleurs spo
oires" simulant ceux du glaucome, dureté des globes, dou- leur à la pression , cercles irisés aulour des objets lumineux, dou-
ents. Comme symptômes d'abstinence, survenus au moment de la sup- pression brusque de l'opium, on a noté des vomissements. P
ulbloll, 1" janvier 1896. DES FIBRES ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 83 , pression des racines postérieures lombo-sacrées par un car
ssent et se laissent distendre; chez les sujets congestIfs c'est la pression artérielle continue ou répétée qui engendre l'alt
on. Et cependant l'anesthésie y est complète, les sensibilités à la pression , à la douleur, aux variations de tempéra- ture
uge accentué. Pas de chan- gement de consistance. La blancheur à la pression s'efface aussi- tôt. - D'autre part, une compre
tache blanche qui disparait quatre secondes après. A ce moment une pression de ce genre sur la face dorsale provoque aussit
es parties voisines. II y a là un point extrêmement douloureux à la pression . Les doigts, à musculature atrophiée, sont amin
crurale gauche, au niveau du canal inguinal. Douleur excessive à la pression , alors que la région symé- trique, du côté sain
u sourcil, de chaque côté. - T. G. 29°,5; T. D. 31°,2. Une légère pression exercée, pour en évacuer le pus, sur un petit f
ellement, en un temps relati- vement court, un oedème par friction, pression , ou quelque autre procédé. Le champ est si vast
du côté sain, l'écrasement complet de l'artère est obtenu avec une pression de 12e de mercure, et le maximum d'amplitude de
12e de mercure, et le maximum d'amplitude de la pulsation avec une pression de 8, sur la main enflée il faut une pression d
la pulsation avec une pression de 8, sur la main enflée il faut une pression de 17 dans le premier cas, et de 14 dans le sec
s deux côtés. Abolition du réflexe pharyngé, du réflexe cornéen. La pression sur l'hypocondre gauche fait bondir le malade.
pas la première fois que nous recueillons dans nos Congrès l'ex- pression de la sympathie des représentants des pouvoirs pu
it blanc bleuâtre, soit ardoisée, soit même noi- râtre ; la moindre pression détermine l'apparition d'une tache blanche qui
ouleurs parfois très intenses et d'un oedème cutané très marqué. La pression déter- mine une tache blanche et un godet qui s
ntaire et palmaire est recouverte d'une abondante transpiration. La pression détermine, comme dans la maladie de Raynaud et
veloppée, le moindre frotte- ment l'exaspère, alors que parfois une pression large, forte et con- tinue la modère. Les émoti
tion intraveineuse, l'accélération du pouls et une diminution de la pression sanguine iutra-artérielle. L'accé- lération du
des nerfs accélérateurs dans le bulbe. Quant à la diminution de la pression sanguine inlra-artérielle, elle n'est pas exclu
même le contact du drap, lui arrachaitdes cris. Cependant la forte pression surl'endroit doulou- reux calmait plutôt la dou
nsibilité.- Le toucher. - La malade ne sent pas le frôlement, ni la pression sur toute la surface des extrémités inférieures
t normal et très net. · Il existe une plaque d'hyperesthésie à la pression le long de la colonne vertébrale, à la hauteur
ante des pieds, jusqu'à la hauteur du ligament de Poupart. La forte pression est sentie par- tout. La piqûre d'épingle est p
observations que même dans les cas de paralysie générale avancée la pression intra-cranienne n'est pas exagérée contrairemen
rmaux. La seconde vertèbre dorsale fait une saillie prononcée et la pression en cet endroit produit une forte douleur. Les o
s compressions de la moelle qui en dépendent sont, après les com- pressions d'origine syphilitique, celles qui guérissent le
ieure des deux jambes. Le moindre mouvement des membres, la moindre pression les exas- pèrent. Les jours suivants un peu de
mpression en ceinture vers la base du thorax. Point douloureux à la pression au niveau de la quatrième vertèbre lombaire. Le
rtèbre lombaire. Les muscles atrophiés sont un peu, douloureux à la pression . Des orteils à un plan voisin de l'ombilic, abo
étaient pas assez prononcées, les muscles pas assez douloureux à la pression , etc. Pour toutes ces raisons, il proposerait d'a
et de l'influence sur l'orga- nisme de changements brusques dans la pression atmosphérique ? Est-elle la conséquence du régi
de l'extenseur. 2° Paralysie partielle du nerf cubital gauche par' pression du coude chez un xylographe. Les graveurs sur b
es épaississements périostiques des os. 3° Paralysie du radial, par pression , pendant la narcose chloro- formique. Opération
le épouvantable, à donner des cauchemars », pour employer les ex- pressions de deux de nos collègues, d'un « spectacle dont n
65 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
it à peine soupçonner l'existence, et que je ne précise que sous la pression de l'adversaire. Que M. Bonne soit remercié ? 5
jugement, imagination, etc.,sont à deux degrés. Les premières im- pressions qu'elles nous laissent sont plus ou moins obscure
; le doigt y laisse néanmoins son empreinte sous forme de godet.La' pression est indolente.1l est impossible de découvrir un
ivrer en présence des phénomènes précédents ne nous a révélé aucune pression ni aucun choc au niveau des surfaces ecchymotiq
du domaine médical ; la responsabilité devient ainsi, selon l'ex- pression de M. Grasset, une responsabilité physiologique.
e de l'hystérie au nom d'une définition qui n'est nullement l'ex- pression de la nature des troubles qui constituent la névr
-cH (New-York) fait deux communi- cations très intéressantes sur la pression sanguine dans les états épileptiques et sur les
plus ils dégénèrent et plus leurs descendants sont des dégénérés. Pression sanguine générale et cérébrale dans l'épilepsie é
in) ou de 110 volts (pour un chien) pendant quatre secondes. 3 La pression sanguine commence à augmenter au commence- ment
gmenter au commence- ment de la phase clonique de l'attaque ; cette pression augmente 230 CONGRÈS INTERNATIONAL DE PSYCHIATR
ont à leur maximum d'intensité. Puis commence l'a- baissement de la pression sanguine, qui descend à son niveau nor- mal qua
nd à son niveau nor- mal quand les convulsions cloniques cessent. Pression sanguine cérébrale. On expose le cerveau d'un c
s convulsions cloniques cessent. 3° Dans l'épilepsie électrique, la pression sanguine générale est présentée graphiquement d
est présentée graphiquement dans ma thèse citée ci-dessus. 4° La pression sanguine cérébrale a été étudiée et publiée il y
, ces états anesthésiques sont en relation avec des variations de pression du liquide dans les canaux semi-circulaires,qui s
tmosphérique trop brusque. Sous l'influence de l'augmentation de la pression atmosphérique, les gaz du sang, oxygène, acide ca
s vulnérables et leur force de régénération est presque annulée. La pression du corps sur les points qui lui servent d'appui
déjà rempli de ferments analogues ; qu'on nous permette cette ex- pression : il a réveillé des cultures. L'idée a pu être co
nt l'une a exercé sur l'autre une induction, en ajoutant à sa dé- pression commençante une trame de persécution plus solid
te, plusieurs points ont été, grâce à son immobilité, soumis à. une pression prolongée ; les talons et la paroi gauche du pl
orme des bosses distantes les unes des autres, indolores, même à la pression ; puis céphalée, ver- tiges, poussées d'urticai
u, naturelle- ment, qui a la faculté d'ordonner ces contractions et pressions . Tel pourrait être le résumé schématique et rep
ers dans les asiles. Mercier (P.). - Etude sur les variations de la pression artérielle dans les maladies nerveuses et parti
s grands troncs nerveux et les plexus ne sont pas dou- loureux à la pression , mais les branches périphériques des nerfs des
hes périphériques des nerfs des extrémités sont très sensibles à la pression ; les pressions pro- fondes qu'on exerce dans l
es des nerfs des extrémités sont très sensibles à la pression ; les pressions pro- fondes qu'on exerce dans les espaces inter
eds ; les branches périphériques des nerfs sont très sensibles à la pression . Membres supérieurs. Anesthésie vibratoire des ex
Les troncs ner- veux, comme auparavant, ne sont pas douloureux à la pression ; par contre, les nerfs de la main sont excessi
par contre, les nerfs de la main sont excessivement sensibles à la pression . Cette fois encore, le malade n'a pas eu la possi
a main gauche. Les nerfs de la main et du pied sont douloureux à la pression . Après 8 jours, le cinquième examen (16 déc.) a
iblie. Les nerfs de la main et du pied ne sont plus douloureux à la pression ; les douleurs spontanées ont cessé, les parest
; c'est ici qu'on constatait la sensibilité exagérée des nerfs à la pression , les douleurs et les paresthésies locales, les
s pieds, j'apporte une attention particulière à la sensibilité à la pression des branches périphériques des nerfs, laquelle
lle sensibilité peut être explorée bien simplement, en exerçant une pression pro- fonde dans les espaces interosseux de la f
s troncs nerveux dans ces cas ne sont pas du tout douloureux à la pression , et tous les symptômes névritiques sont localisés
rite : les troncs nerveux et les plexus ne sont pas douloureux à la pression , il n'y a pas de dou- leurs ni de paresthésies,
les diffus de la sensibilité cutanée de la main, sensi- bilité à la pression des espaces interosseux, etc.),mais les trouble
par la sensibilité exa- gérée des nerfs de la main et du pied à la pression et par les troubles locaux de la sensibilité, d
sparaître par le geste antagoniste efficace de Brissaud, par simple pression du doigt ; ce n'est pas cependant un torticolis
uble disparaît la nuit ou dans l'obscurité ; il cesse un moment par pression sur les nerfs sus-orbitaires,et leur résec- tio
de la commotion de la épinière, par Stcherback, p. 371. Coin-- pression de la et de la queue de cheval, par Claude et'l
66 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ont je traite (quatrième degré)1, je vois clairement que ni l'ex- pression , ni la pensée ne viennent de moi. Quand c'est écr
e pas les notions élémentaires : c'est ainsi qu'il prétend que « la pression atmosphérique n'existe pas », et que « la plant
à la nuque, à l'occiput, au plexus brachial, avec sensibilité à la pression des points d'élection des nerfs atteints, montr
ut que chez ceux qui gardent le lit, ou un érythème provoqué par la pression du décubitus. La mort subite s'observe beaucoup
escarres dans des régions où le décubitus lie pouvait déterminer de pression . M. C.r,ncr croit aussi à la fréquence des mort
oplasmiques, allant directement l'un vers l'autre, produisent l'im- pression d'une fusion réciproque, surtout si l'un observe
ant subsister celles du son, de l'odorat, du goût, du tact ou de la pression . En outre, les effets de cette destruction loca
trique satisfaisant) ; articulations profondément douloureuses à la pression , tendues, sèches, menacées d'ankylose. Intellig
coma ; durée : plusieurs heures. Il existe une aura ovarienne, la pression de cette région provoque et arrête les crises.
oie pas l'aiguille qui marche. Avant de commencer l'expérience, une pression exercée sur un des boutons supérieurs de l'appa
n exagérée, avec une sorte de nanisme cérébral consécutivement à la pression osseuse, et que la craniectomie en modifiant ce
incision de la dure-mère peuvent être avantageuses en atténuant une pression exagérée. IV. L'un des cas mentionnés dans ce
écoule soit goutte à goutte, soit en jet mince, suivant le degré de pression . L'inspi- ration ralentit l'écoulement, l'expir
quide s'écoule encore. Pour retirer l'aiguille, il faut vaincre une pression assez considérable et employer plus de force qu
nt de vue du diagnostic ; elle permet en effet de constater : 1° la pression que supporte le liquide cérébro-spinal ; 2° la
ve, due 214 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. à la diminution d'un excès de pression ; elle est peut-être plus utile indirectement, e
ou reproduit ainsi en quelque sorte une image de chacune des im- pressions reçues soit du monde extérieur, soit des organes
image rétinienne, par exemple, se compose d'autant d'unités d'im- pression qu'il y a eu de cellules nerveuses simultanément
ologiques, en protégeant les cellules nerveuses voisines contre les pressions et les ébranlements que pourrait occasionner une
ouvent qu'une résistance insuffisante aux brusques chan- gements de pression . En outre, ainsi que le dit Weigert, qui parle
es propres, a insisté sur un point de fait et de doctrine dontl'ex- pression paradoxale avait séduit nombre de biologistes, en
ec l'amibe, il existe une extrême différence entre eux dans l'ex- pression de leurs fondions extérieures. La propriété des p
e dame atteinte d'hystéro-neurasthénie, avec tendance à de la dé- pression psychique, et de palpitations nerveuses, et qui v
ent. Il ne saurait être question, dans toute cette organisation, de pression exercée sur le personnel, puisque c'est avec so
e l'asile de Stephansfeld, au point de vue du signe du cubital. Une pression énergique exercée sur ce nerf, entre le condyle
ytiques et non épilepliques, l'auteur en a trouvé 82 sensibles à la pression du cubital, 16 pré- sentant de l'analgésie (che
ez 2 le résultat a été incertain). Sur 100 femmes, sensibilité à la pression dans 88 cas, analgésie dans 9 cas ; résultat do
D'après Biernacki, les épileptiques réagiraient normalement à la pression du cubital, tandis que d'après Hillenberg et Goëb
épileptiques hommes de Stephansfeld, 86,9 p. 100 réagissaient à la pression du cubital ; l'analgésie n'a été constatée que
cas. Pas de cas d'analgésie chez la femme. Mais la sensibilité à la pression disparaissait chez 12 sujets, pendant les six ou
ves à l'accès. Après une durée de douze heures, la sensibilité à la pression redevenait normale chez presque tous les sujets
es équivalents épileptiques (épilepsie psychique), l'analgésie à la pression du cubital pourra devenir un signe précieux et d'
ut dans leurs parties supérieures, une douleur très accuentuée à la pression des muscles, et à peine perceptible des troncs
ophyses épi- neuses étaient tout particulièrement douloureuses à la pression , et il y avait accompagnement d'opisthotonos. E
extrémités ; les muscles sont légèrement raides et douloureux à la pression , la respiration un peu difficile; les organes v
auche complète, léger oedème à la paupière supérieure, douleur à la pression au niveau du point d'émergence du sus-orbitaire
planlnire. Phénomènes mal définis dans la pupille gauche. Douleur à pression bien nettement circonscrite entre lapremière et
septième racines dorsales, et dans la région de la plus forte com- pression elle atteint le bord postérieur des corps des ver
so-constriction plus accusées. Cramer a mesuré l'augmentation de la pression sanguine dans la peur à l'aide du sphygmomanomè
67 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
ts dorsaux du pied gauche paralysé présentent un léger oedème et la pression laisse un léger godet. Le pied gauche en extens
-scoliose et dont le sternum et la colonne étaient douloureux il la pression . Deux autres malades observés par l'auteur se p
pports avec le ramollissement osseux et la sensibilité osseuse à la pression . C'est d'ailleurs aussi l'avis de Scholz. Roos
14), lecalcanéum était si ramolli qu'il se laissait déprimer par la pression au doigt. IIutschinson (115) trouve dans un aut
tôt ; la peau est mobile sur cette tumeur, qui est douloureuse à la pression , et même spontanément ; le malade ressent des d
r elle ; elle est de consistance plutôt solide et douloureuse il la pression . Le malade ressent en outre des douleurs spontané
t normaux. Toutes les régions adipeuses sont très douloureuses à la pression .Le moindre contact amène chez la malade des mouve
Prof. Askanazy). La dure-mère est tendue, signe d'exagération de la pression intra-cra- nienne. La pie-mère est sèche, les e
ns les parties postérieures clés hémisphères. Au point de vue de la pression , le cerveau n'est pas comparable à un liquide ;
pression, le cerveau n'est pas comparable à un liquide ; certes, la pression est augmentée partout, mais elle l'est en CeI'-
brales. Ces symptômes sont donc sans doute à mettre au compte de la pression exagérée. Voyant le vaste domaine envahi par le
nger pour le tissu cérébral. Ils favorisent la généralisation de la pression exagérée suivant une formule telle que par exem
ventricule. L'hémisphère épargné par la lumeur est maltraité par la pression du liquide. Les néoplasmes métastasiques à semi
laire donne un résultat négatif, il faut se garde de conclure à une pression non exagérée. En effet, les vent tricules peuve
tilité des fibres musculaires exercent sur le liquide introduit une pression qui facilite sa pénétration ;'1 l'intérieur des
es sous-arachnoïdiens par le cysticerque, quelquefois aussi la com- pression de la veine de Galien joue un rôle important. '
sur le cou et sur la poitrine jusqu'au mamelon. La sensibilité à la pression n'est pas intéressée. La sensibilité thermique
rtains auteurs qui s'en sont occupés l'appellent oedème dur, car la pression digitale ne laisse pas de godet, comme cela arr
une ou deux vertèbres ma- lades ; ces douleurs s'accentuent par la pression sur les vertèbres mala- des ou sur les épaules
ire restent libres. Les vertèbres cervicales sont douloureuses à la pression ; plus tard, au cours de la ma- ladie, se dével
enneguy, nous serions tentés d'admettre que, sous l'influence de la pression exercée par le nucléole ou peut-être même sous
enche beaucoup mieux la tête en avant mais assez mal en arrière. La pression de la colonne est peut-être un peu dou- loureus
de tourner librement sa tète foi. droite et à gauche. D'autre pari la pression de l'atlas et de l'exis est quelque peu doulour
globes oculaires sont limités. Le nerf trijumeau est sensible à la pression . On note une névralgie faciale unilatérale. La
le sommeil ; quelquefois on arrivait à le provoquer en exerçant une pression sur le nerf trijumeau. La marche de la maladi
, livide. A la palpation, les tissus sont fermes, cartilagineux. La pression , qui n'est pas douloureuse, ne provoque aucun c
éri- phérique devenir plus saturée, plus violacée. A son niveau, la pression du doigt produit une tache blanche, qui demande
s ont une coloration rouge vineux, qui devient violacée le soir; la pression du doigt laisse une tache blanche nuancée de mauv
s seraient les troubles du pouls trop rarement notés : la baisse de pression est la règle ; elle est évidente chez le malade d
u des uranistes) qui ne deviennent sexués dans un sens, que sous la pression des conditions sociales qui dirigent leurvie, plu
on testiculaire qui a débuté; il est indispensable qu'il y ait sup- pression complète de la fonction diastématique ; les troub
y sent des testi- cules nettement atrophiés, mous, insensibles à la pression , de dimension infé- rieure à celle d'un oeuf de
t impubère et ne contient que deux testicules mous, indolores il la pression et de la taille d'une noisette. Le malade a pré
entation de la face, la pré- sence de la raie de Sergent, la faible pression artérielle (85 mm. au Recklin- ghausen) en semb
t ne contient plus que des glandes molles, en filasse, indolores à la pression , ayant le volume d'une grosse noisette ; l'épid
périeurs, sauf aux articulations sca- pndo-humérales. Le sens de la pression est aussi presque complètement perdu sur la mêm
serait impossible, parce qu'ayant perdu le toucher et le sens de la pression ,il ne peut pas se rendre compte qu'il tient le
sensations périplié- riques, comme celles du sens du toucher, de la pression et du sens musculaire ou articulaire. Nous al
ux orteils ; le chaud et le froid sont conservés. La sensibilité la pression est abolie. Il localise mal les piqûres sur la
nsibilités, nous citons la sensibilité tactile, la sensibilité à la pression et surtout la sensibilité musculaire ou articul
68 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
particulièrement celles des mollets, sont un peu douloureuses à la pression ; la malade accuse encore une sensation de constr
pour but ' de' soustraire 1' s ùb s t'à'n è e "n e r'- veuse à une pression exagérée et d'amortir les chocs auxquels elle e
e symétrie complète,, La gaine lamelleuse résiste en effet à la,, pression excentrique de la masse adyentive, tandis que le
ce des lamelles adventives qui se laissent alors dis- tendre par la pression latérale de la lymphe. Le concentrisme qui s'ob
lte en, effet que les^nerfs le plusjsujets aux tiraillements et aux pressions sont précisément ceux où l'hyperplasie en quest
rveux, lesquelles subiraient trop directement sans cela l'effet des pressions exercées sur elles^ C'est enfin, d'après lui, p
é remplacée par un cerlairi`dëgré'dh3 péresthésie à la douleur ; la pression des masses musculaires de la , ' ; , n-ti notas
s-corticaux ? " ' P. K. XXXVI 1. DE L'ACTION DE L'ABAISSEMENT DE LA PRESSION ATMOSPHERIQUE sur les aliénés ; parJ.'KRYPIAFIE
,3.) , .1 . " mi . .. C'est la soudaineté de l'abaissement, de la pression barométrique qui agit défavorablement sur l'éta
ts anciens, exagération, des réflexes patellaires, sensibilité à la pression des nerfs fémoraux et péro- niers ; analgésie d
que, chez ce malade, les fibres d'association utilisées pour l'im- pression psycho-chromatique passaient par l'hémisphère gau
é et la flexibilité douloureuse ou non de la colonne vertébrale, la pression superficielle ou' des parties molles profondes
du réflexe dorso-spinal (back symptom). Ce dernier se décèle par la pression brusque des deux mains sur la tête ou sur les é
lobe occipital droit, il faut encore tenir compte de la légère com- pression exercée à droite, par la tumeur, sur la partie mé
une néphrite aiguë; cette néphrite, en élevait considérablement la' pression sanguine, pré- pare évidemmentla rupture des va
ive. Il faut ajouter .des symptômes généraux par augmentation de la pression intra- cranienne : céplialée, névrite optique b
'égard de son entourage, se plaint de céphalalgie. Sensibilité à la pression seule du pariétale gauche ; légère parésie du fac
dynamomètre'trois fois de suite et prend la moyenne de'1 ces, trois pressions ? Le nombre des'malades examines de cette façon
ntraction musculaire volontaire et 2° une tendance à J'égalité"' de pression de l'une et l'autre mains. Il estime,' défalcatio
ectemelaisur l'intestin, qui est devenu friable, et a cédé "sous là pression d'un lavement trop abondant et trop vigou- " re
e, avec - des intervalles de repos. P...s'en plaint beaucoup : c la pression des,. ? dents est tellement fortetque je ne peu
cteur physique, lequel n'est autre qu'un brusque abaissement de- la pression intra-cranienne; agissant sur la dure-mère à la
ère et' de'l'arach- noïde.1 Le premier effet de la diminution de la pression in(ra-cra- .niennesurlescapillairessuperficiels
taires. Mais si rien ne vient détruire les causes quiônt diminue la pression intra-cra- nienne, si les effets de cette dimin
x subissent à leur tour les effets déjà décrits de la diminution de pression . , i. -, y > . )t'y72 B&imD'ANATOMIE'ET
es : nie ni b i-aiiis,Ïtl revient'à l'examen de la diminution'de là pression intra-cranienue à laquelle il attribue, comme o
n n'est 'pas rare. ,11 faut noter,. toutefois, que la diminution de pression qui résulté de l'àtrophié"éérébrale 3pêutj étré
on.1 Le rôle' dû liquide cepnato-Mchidien'dans la régulation de' la pression intra-crânienne est, 'quoi qu'on en1 ait 'dit'
ta convexité du cerveau, le vide'qui provoque la diminution' de1 la pression intrâ crânienne rnôus",ne'pouvons'-malheureusen
ide lorsqu'il est normal, dë ? i : eevoüy, et'de, transmettre,, des pressions , susceptible aussi, par changement' d'état, de
robable que, à son extrémité, périphérique, sous l'influence de, la pression venue des centres, le nerf abandonnetune partie d
Cette théorie explique les effets bien connus^ des variations de - pression et de .température extérieures sur l'organisme ne
t de .température extérieures sur l'organisme nerveux ,,central. La pression atmosphérique agit sur 1, oi,,aiiisiiie, stermé
tions de l'axe cérébro-spinal u remplit l'office d'un régulateur de pression , et qu'il'constitue la voie;par laquelle le san
"dë'comb'ustion' statique au1, moyen duquel ? sous linfluence de la pression liquide, réglée par -le liquide spinal, se trou
. I H - ... I .1 1 ? 4 ., 1 amenant un abaissement de tension et de pression ; c'est une com- . i . >k4 . -.1 . li If « l
sur la' partie soumise à l'expérience pour éviter les variations de pression . L'électrode active avait une surface de sectio
sus-indiquées : la menstruation disparaît dans les épisodes de dé- pression ou de stupeur; elle subsiste dans les épisodes d'
l'on enlève àlacuretto coupante. La trépanation a fait descendre la pression intra-cranienne, bien, qu'il n'y, ait pas eu d'
prépondérance' au traumatisme' qui d'ailleurs peut faciliter l'im- pression piusprofonde'de l'émotion, '-i- <* "1 '* «* "'
69 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
anlement cor- respondant une pseudo-neurasthénie avec mouvements et pression douloureuse, sensation de faiblesse des membres
ulté à monter les escaliers)' les muscles deviennent sensibles à la pression et spontanément dou)ou'rèux ? Pasd'àtaxie.Pas d
que nulle dans les'éxtrémités s il rieures. Muscles douloureux à la pression . En' décembre' 1891 deux mois après le début, à
es. Ils peuvent acquérir un caractère assez étendu pour troubler la pression sanguine générale et donner lieu à un état demi
érale et donner lieu à un état demi-syncopal, par abaissement de la pression sanguine, ou bien à des accès d'angine de poitr
iniformes, ren- forcement du second ton aortique et élévation de la pression sanguine à 0,26 au sphygmomanomètre de Potain.
guine à 0,26 au sphygmomanomètre de Potain. En dehors des accès, la pression sanguine oscillait entre 0,021 et 0,023. C'est
nières vertèbres cervicales et des deux premières dorsales ; par la pression , on remarque que cet endroit de l'épine dorsale
uloureux. Rarement toute l'épine dorsale est douloureuse, soit à la pression , soit spontanément. Cet état coïncidait toujour
s tabétiques d'origine centrale et indépendantes de mouvement et de pression . Les courbatures générales, les fourmillements,
s deuxième et troisième vertèbres dorsales un peu douloureuses à la pression . Foie, rate normaux. Sang : hémoglobine 100. Pl
près la troisième injection, elle se sent complètement guérie. A la pression , la plaque ombilicale et cervicale persiste sensi
e engorgés. Plaques cervico-dorsale et ombilicale réveillées par la pression . NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 103 Légère asthénopie
sion ou de serrement cardiaque; colonne vertébrale douloureuse à la pression avec des plaques dou- - loureuses spontanées, s
aussi bien; la colonne vertébrale restait sen- sible seulement à la pression , ainsi que tous les troncs nerveux sur leurs po
et ne peut exécuter aucun mouvement. Sensibilité spontanée et à la pression de la colonne lombaire. Pas d'ovarie. A côté de c
par le chatouillement cutané, le massage léger de chaque muscle, la pression sur le nerf correspondant, le heurt des tendons
difications dues à l'éducation ? La paralysie générale a subi une pression ascendante remar- quable. En 1880 on relevait 8
la main droite et de 19° pour la main gauche. Cette faiblesse de la pression dynamométrique, qui est un acte au plus haut po
ec les résultats que j'ai obtenus chez les aliénés», où la force de pression dynamométrique n'est point tant en rapport avec l
suite de son amnésie, le mou- vement à exécuter, ne peut avoir une pression dynamométrique élevée. Il faut encore noter que
es. Elle sent sur .tous les points de son corps, au contact et à la pression , et localise assez facilement les sensations. I
inée plusieurs fois. Quelques im- AMNÉSIE RÉTRO-ANTÉROGRADE. 1-15 pressions , bien que très peu nombreuses, restent dans certa
cissement considérable du pariétal sur toute l'étendue de la dé- pression , mais aucune lésion méningée, ni corticale ; le c
probablement sous l'empire de circonstances ana- logues amenant des pressions prédominantes sur l'une des parois de la cavité
cles des yeux, les lésions laryngées, les altérations du sens de la pression . Les paralysies des muscles des yeux revêtent,
u processus gliomateux dans la région du récurrent. Le sens de la pression est surtout dissocié; il y a disparition de la
sion est surtout dissocié; il y a disparition de la sensation de la pression exercée sur la peau seule, alors que le sens du
eule, alors que le sens du tact est parfaitement conservé et que la pression profonde exercée comme d'ordinaire subsiste. P.
oniques. La neurasthénie syphilitique mercurielle nécessite la sup- pression des antisyphilitiques que l'on remplace par des t
as non plus une chorée progressive; de plus il y a sensibilité à la pression du sciatique st du plexus sus- claviculaire qui
son importance et dire avec Lasè-ue et Faire que l'on ne cède à la pression de la folie que si elle vous fait entrevoir la
latation du sys- tème vasculaire rénal, augmenter l'élévation de la pression sanguine locale et produire l'hyperdiurèse. Ne
urs rénaux, qui entraine la vaso-dilatation, l'augmentation de la pression sanguine du rein et par suite la polyurie. En r
apacité intracra- nienne ne provoque nullement l'augmentation de la pression intra- cranienne dans le liquide céphalorachidi
cranienne dans le liquide céphalorachidien, pas plus que la com- pression des capillaires de la surface de l'encéphale, qu'
res de la surface de l'encéphale, qu'on n'arrive pas à augmenter la pression à l'intérieur du crâne parce que, si dans l'esp
tificiellement le liquide qu'il contient, la moindre exagération de pression se transmet par les veines du crâne et le reflu
apille étranglée (par reflux) en rapport avec une exagération de la pression intracérébrale par une tumeur qui formerait, co
plus ce résul- tat. 3° Si dans le crâne on fait couler à une haute pression un liquide indifférent, coloré, on voit les vei
70 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
te séreuse des ventricules de Quinke; 2° à la symptomatologie de la pression exercée, sur le cerveau soit dans les limites d
celles de la théorie d'Adamkiewicz ; 3° à l'état, du fait de cette pression , de la substance blanche, de la substance grise
ouvoir ostéogénique, comme elle peut être engendrée par un excès de pression intra-cranienne (hydro- céphalie, volume relati
on, le cerveau avait déprimé la base crânienne et n'exerçait aucune pression contre le paroi supé- rieure. Celle-ci a, d'ail
leurs, une épaisseur considérable qui semble bien dénoter qu'aucune pression ne s'est opposée à l'ossification : mais dans c
a cependant été suffisante pour produire de l'os, aux points où la pression encéphalique ne s'exerçait pas. D'ailleurs le r
mais c'est l'absence de la saillie alvéolaire qui exagère cette im- pression . 116 RECUEIL DE FAITS. allongée en exagérant
u'à 10 grammes, en ayant soin de diffé- rer la piqûre le jour où la pression artérielle s'élève et d'augmenter la dose quand
ins sont d'une coloration violacée, froides et comme engourdies. La pression du pouce sur la peau détermine une tache blanch
ne poire de caoutchouc pour don- SOCIÉTÉS SAVANTES. 213 ner de la pression au liquide. Les résultats que j'ai obtenus depuis
ait que dans le sommeil la fréquence du pouls diminue, ainsi que la pression sanguine ; la diminution peut être telle, que l
d'être toujours aussi considérable (Brodmann). La diminution de la pression (normalement 105 à 130 millimètres d'après Gart
er) et de 20 à 35 millimètres (Pilez). C'est aux varia- tions de la pression que l'on a voulu rapporter l'origine de cer- ta
rigine de cer- taines insomnies. On peut admettre, en effet, qu'uue pression san- SOCIÉTÉS SAVANTES. 319 "uine moyenne cor
d à un état normal du sommeil, qu'au- dessus et au-dessous de cette pression , l'insomnie peut apparaître. Par analogie avec
tension exagérée, De Fleury a observé un de ces malades chez qui la pression , déjà souvent basse à l'état de veille (100 à 1
illimètres d'où une insomnie persistante ; tout procédé relevant la pression à 80 ou 90 millimètres ramenait le sommeil. Le
si remarquable par sa brutalité, dépend de la chute brusque de la pression sanguine à la fin de la digestion. L'hypothèse es
admet de même que l'insomnie survient aussi bien dans les cas où la pression sanguine est élevée que basse, mais il donne d'
r lui de 110 à 130. Il note aussi que, chez les individus sains, la pression , le matin, est plus élevée que le soir, tandis
e solubilité ; il est moins actif que le chloral, déprime autant la pression et donne lieu à des troubles digesttifs. VEthyl
d'une surveillance très exacte. Il semble aussi qu'un examen de la pression sanguine serait un bon guide dans son emploi. D
ntrent, d'une part, le rôle du plexus solaire surlacaenesthésie, la pression vasculaire la physiologie gastro-intestinale et
igne (ghoma ! ) qui en croissant en large et en dedans exerçait une pression sur la partie occipitale gauche du grand cervea
r la partie occipitale gauche du grand cerveau. A la suite de cette pression se développa peu à peu l'affaiblissement de la
e propriété indivi- duelle du malade) peuvent être expliqués par la pression sur la moitié droite du cervelet et sur la moel
je le fais dans tous les cas analogues, de même que dans les cas de pression d'un méningite exudativesurles moteurs oculaire
s neurasthénies et hystéries traumatiques de l'enregistrement de la pression sanguine, par H. Strauss. (neurolog. Cealrtl6.
e soupçon, déjà basé sur d'autres signes, est confirmé. Cette hyper pression , bien établie avec les précaution d'usage, par
atation du coeur, d'origine traumatique, sans lésion valvulaire, la pression était de SO-60 millimètres. Le tonomètre permet
tence de points douloureux. Dans cinq cas de névrose traumatique la pression sanguine a monté de 15, 20, 25, 35 et même 40 mil
nts et ceux qui correspondent aux points symétriques soumis à une pression d'égale intensité. Il convient encore de trouve
ion d'égale intensité. Il convient encore de trouver les lois de la pression sanguine, en relation avec l'effort physique et
(oboz ? é ? 71é psichiilt-il). VI, 1901. Conclusions. 1° Sous la pression constante du sang, la rate se contracte et se d
spléniques. 3° Il existe certainement une relation intime entre la pression sanguine et les dimensions de la rate, que l'on
gane à la normale a lieu plus lentement que le rétablissement de la pression sanguine générale. 17° L'attaque épileptoïde en
s des sensa- tions (engourdissements, fourmillements, sensations de pression , de gonflement). Souvent on pense à une névrite
nts les plus remarquables de l'observation sont l'abaissement de la pression sanguine, l'état à peu près sain des reins et l
aumatiques de l'enre- TABLE DES 11L1'l'lPttES. 551 nistremeutdela pression sanguine e par Strauss, 27. - voit, Troubles
irPa)'spMjy)'e.Maide sous-occipltal traumalque, par Dupré, 177. Pression sanguine. Voir Neurasthé- nies. Prisons. Voir
71 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
intérieur une toile épaisse, afin qu'il ne se dilate pats sous la pression de l'eau; la longueur du tuyau est déterminée
ssus du sol, élévation qui cor- respond à peu de chose près à une pression d'une atmosphère. Manuel opératoire de Fleury
a- lade ou d'un second opérateur. Nous ajouterons qu'à Bicêtre la pression de l'eau est insuffisante, que la mau- vaise si
uche inclus dans un pli de la peau au niveau du canal inguinal ; la pression en ce point ne produit pas de douleur vive ; l'
ux du même côté ont un peu diminué, ils ne sont pas douloureux à la pression . 17 oct. L'induration de la partie médiane de l
0 gr. 06; 3 mai : 0 gr. 07 ; 8 juin : 0 gr. 08 ; 14 octobre : sup- pression du traitement ; aimant. (1). (1) Voir thèse Bri
s ne serions pas éloignés d'attribuer en partie au froid, puis à la pression de l'aimant, quel- ques-uns des phénomènes prés
tits, iris bleus; aucune lésion oculaire. Nez petit et droit; dé- pression de la racine du nez peu marquée. Bouche moyenne,
le malade ne fait aucun mouvement de défense quelles que soient les pressions que l'on exerce. Il ne peut donner aucun rensei
iquait leur prédominance sur les parties latérales par l'absence de pressions musculaires en ce point; enfin, la lésion n'est
la région iliaque correspondant au point ovarien une place où la pression détermine de la douleur; le malade veut écarter
ne médiane un autre point au niveau du rebord des fausses côtes; la pression y détermine une douleur très vive qui s'irradie
fosse iliaque. - Pas de point sternal, pas de point sous-mammaire. Pression des testi- cules négative. Les attaques sont
s ; - la peau rouge, lisse, chaude, tendue ; taches blanches à la pression ; phlyctènes remplies de sérosité citrinc sur la
72 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
ie postérieure de celui-ci et le pharynx ne sont sensibles qu'à une pression assez forte. La langue est complètement insensi
z ces malades) obte- nues artificiellement, par exemple au moyen de pressions exercées par le médecin pour produire l'hyperex
it, et chez lesquels l'affection était « décelée » soit à l'aide de pressions desti- nées à élever le talon au-dessus du plan
à deux causes de destruction, l'arrêt de la circulation et la com- pression par la prolifération cellulaire spécifique (Lamy)
ordon antéro-latéral. Le faisceau cérébello-spinal, grâce à la com- pression de la moelle, se trouve dans la partie postérieur
bien démontrée ; elle peut être attribuée, par exemple, à des com- pressions ou à des constrictions soit par le cordon ombilic
e parait être de même nature que celui que nous invoquons. Ces com- pressions peuvent d'ailleurs avoir une autre origine que le
ionnelles. Dans le cas présent, on peut facilement l'expliquer par la pression des ciseaux sur la branche digitale du nerf rad
télégraphistes. Cette crampe n'a été provoquée chez elle que par la pression répétée du petit bouton de l'appareil transmetteu
es lésions. Dans notre cas,le cerveau était soumis à une forte com- pression , mais l'action de celle-ci était en réalité moind
pour rechercher la sensibilité a donné naissance à une papule et la pression du compas sur le front, dans la mensuration cép
es. - Dans toutes les régions la coloration anormale disparaît à la pression du doigt pour reparaître immédiatement après. De
s une course de dix minutes : 76 ; quelques mi- nutes après : 64. Pression artérielle. A droite avec le sphygmog. à cadran d
spasmodique. B. - Sensibilités spéciales. - I. - Sensibilité à la pression el sensibilité musculaire. - Objets employés, d
en effet une coloration bleuâtre, violacée, livide, sur laquelle la pression de l'index fait apparaître une tache pâle. De plu
conçoit d'ailleurs que la douleur sera d'autant plus intense que la pression nerveuse sera plus élevée dans ces neurones.
les ondulations nerveuses, après avoir déterminé l'élévation de la pression dans ces neurones, sont en grande partie réfléc
éfaction molle, diffuse, qui se prolonge jusqu'au poignet ; sous la pression elle se réduit un peu, pour se reproduire aussitô
e pouls est très petit, égal, régulier; il bat 88 fois à la minute. Pression sphygmomanométrique, 14. La malade n'accuse pas
'en faut, on voit une amélioration rapide se produire après la sup- pression de l'usage des parfums. J'ai observé plusieurs fa
cérébrale, en général continus et proportionnels à l'intensité delà pression exercée, ne se produisent que momentanément, du
IV. -Dans la pathogénie des tumeurs cérébrales, à côté de la com- pression de l'encéphale qui joue un rôle peut-être non nég
t à 40 ans. Elle avait remarqué dès le début qu'une friction ou une pression NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIV
one hétérogène profonde et une zone superficielle sur l'aréole : la pression ou le pincement détermine du grincement de dents,
lement dans l'annulaire et le petit doigt. Douleur spontanée et par pression à la partie inférieure du bord interne du bras,
et sim- ple où les travées se disposent toujours parallèlement aux pressions , perpen- diculairement aux surfaces d'articulat
t loin d'être un travail insignifiant au point de vue mécanique, la pression intermaxillaire dépasse souvent 60 et même 80 k
l'impression d'un membre grassouillet, d'élasticité partout égale. La pression digitale n'y laisse pas de cupule, bien que la
tion ; elle est assez tendue au membre inférieur pour ne causer par pression digitale qu'une dépression fugitive et peu marqué
e par sa consistance ferme, élastique et l'absence de godet sous la pression du doigt. Il faut admettre cependant l'existenc
donne l'impression d'un tissu adipeux modérément tendu, sans que la pression digitale cependant détermine la production d'un
uvent douloureux, dans la région des ovaires, sensible à la moindre pression . La patiente ne pouvait se coucher, ni sur le fla
provoqués ne causent aucune sensibilité anor- male, non plus que la pression sur les articulations, jamais le malade n'a sou
es sont aplaties comme si elles avaient été écrasées par une double pression verticale ; parfois l'aplatissement est plus pr
de et la tête semble écrasée et fortement déviée dans le sens de la pression qu'elle a à supporter le plus habituellement. L
pui pour le soutien du membre tout entier, en même temps que par la pression dont il est l'objet, il fait refluer le sang des
73 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
peut-être plus mou que le gauche, circonstance due probablement à la pression constante de l'avant-bras. Membre inférieur dro
ligne médiane et occupe une étendue égale à celle d'un franc. Là, une pression , même légère, est très-douloureuse, occasionne un
jour où les attaques ont commencé. Rachialgie. — Douleur vive à la pression des apophyses épineuses des 7°-l2° vertèbres dors
pond dans l'estomac. » La souffrance est plus vive, si l'on exerce la pression au niveau des gouttières des 4 1e, 12° vertèbres
auches persiste. V... dit que sa jambe est froide et douloureuse à la pression . Application de l'aimant :.1° à droite, retour
ite : cinq ou six épreuves avec le dynamomètre Mathieu ont donné à la pression de la main 60 à gauche et 30 à droite. Aussi L...
traction des poils, toucher, frôlement, chatouillement, contact avec pression (1), pincement, piqûre, froid et chaleur. (l) I
ession (1), pincement, piqûre, froid et chaleur. (l) Il faut que la pression soit L'anesthésie affecte également les muqueus
uis cognée à cet endroit, je suis tombée assise, toute étourdie. » La pression ne I provoque pas les phénomènes habituels de
la 7e vertèbre cervicale et des deux premières vertèbres dorsales; la pression sur les gouttières vertébrales n'est pas douloure
reuse. — Hyperesthésie latéro-mammaire à droite. Lorsqu'on exerce une pression sur les régions hyperesthésiées, on provoque une
ssion sur les régions hyperesthésiées, on provoque une attaque. Si la pression est prolongée et très-forte, on arrête d'ordinair
geur d'un à deux centimètres et une longueur de trois centimètres; la pression est toujours douloureuse ; la douleur spontanée e
e droite. — Chloroforme : disparition des spasmes. 3 juillet. — Une pression légère, exercée sur les apophyses épineuses des v
s vertèbres hyperesthésiées, provoque une attaque. A... dit que cette pression détermine une sensation de compression douloureus
la mamelle, une douleur très-vive au sein augmentant sous la moindre pression , sans tuméfaction, sans rougeur à la peau, et par
laint d'une douleur dans le sein et redoute singulièrement la moindre pression avec les doigts sur cet organe ; quelquefois l'ex
74 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
remarquer si elle commence par un doigt plutôt que par un autre; la pression la fait disparaître, mais la coloration revient p
ait disparaître, mais la coloration revient presque aussitôt que la pression cesse, au contraire de ce qu'on voit dans la mala
ANTE 5 des pieds. Aux membres inférieurs, la peau était tendue ; la pression n'y déter- minait aucun godet. Signes d'hystéri
on des yeux. Les testicules plutôt petits, sont très sensibles à la pression . On ne constate ni dyschromatopsie, ni rétrécis
is- tance fibreuse, sans induration d'alentour, non douloureux à la pression , qui se sont développés sans attirer l'attentio
tent de la con- gestion chronique. Mouvements se font bien. 10. - Pression artérielle. Avec l'appareil Potain : radiale dr
cependant malgré cette apparence oedémateuse du dos de la main, la pression ne fait aucun godet : il s'agit d'une hyperplasie
mique des paupières, etc. Le malade du service de M. Bard avait une pression artérielle faible à la radiale, un tracé de pou
olora- tion violacée, tendant la surface de la peau, sensibles à la pression . Ces lupus peuvent présenter l'atrophie central
don- nait une impression de froid plus grande que du côté droit. La pression ne dé- terminait le godet de l'oedème mou que s
d. Au niveau de la jambe la peau avait une résistance élastique. La pression au niveau du sciatique poplité interne était un
is d'hypnose, élévation du membre morbide sur un plan incliné, com- pression graduée, opothérapie thyroïdienne avec des glande
cé par le médius-géant, et doit-on ne voir là que le résultat d'une pression lente, continue et prolongée ? Il est plus prob
calisation. - Passons sans nous arrêter sur la localisation des im- pressions des fonctions végétatives, localisation qui, d'ap
les faces latérales el postérieures, fendillée, peu résistante à la pression qui la fragmente facilement. Comme les centres
depuis quelques jours. L'estomac n'est ni ballonné ni seusible à la pression ; il a ses limites normales. Rien de pathologiq
côté relative- ment normal et sur lequel s'exerce naturellement la pression la plus forte. Fémur. Le fémur droit ne prése
s compact vers sa base, et de consistance inégale ; il crépite à la pression dans toutes ses parties. Sur la surface de sect
sez volumineux (15 à 18 fi). Leur forme générale est polygonale par pression réciproque ; on trouve des cellules arrondies q
ent, car dans la masse de la tumeur les cellules sont déformées par pression réciproque. C'est ainsi qu'il en existe de triang
is pas de dimension disproportionnée, la force musculaire bonne, la pression de la main droite donne 13 kgr. celle de la gau
port prolongé de l'arme sur l'épaule; la sensibilité au tact, à la pression , à la douleur, à la température est conservée ;
plus ferme qu'à l'état normal, surtout aux membres inférieurs où la pression même prolongée du doigt ne détermine aucun gode
tés, en hiver surtout, a une coloration violacée, et la plus faible pression y fait apparaître une tache rouge. La dispositi
ent normaux. Des points douloureux typiques sous-claviculaires à la pression , dans les ré- gions mammaires et dans la région
visuel des deux côtés. La colonne vertébrale très douloureuse à la pression . Le malade était un peu excité et timide. Le
sagères dans les jambes et dans la région du sacrum. Il sentait une pression et un « tremblement » dans l'estomac, et cela s
erte de la sensibilité tactile ni de la motilité. A aucun moment la pression sur ce nerf n'a.été douloureuse. En 1898,elle
apparition de nouveaux phénomènes douloureux dans l'avant- bras. La pression de l'extrémité supérieure de la cicatrice exaspèr
lus rarement, et très exceptionnellement à la face. Il donne à la pression , au niveau du pied, l'impression d'élasticité q
) atteint d'un tic d'encensement qui est dû très manifestement à la pression intempestive et réitérée du mors dans un travail
a disparu par frag- ments séparés par la carie et détachés par les pressions de la langue. Examinons maintenant en détail l'
75 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
p de personnes qui croient que le médium, tout en pouvant exercer une pression sur l'endroit de la table où se trouvent ses main
ut répéter celte expérience ; il ne lui faut pour cela que diriger la pression , non seulement en bas mais en même temps un peu e
le de l'hypotension impressive Att 10/ Att 15, et est endormie par la pression oculaire, et dans le rapport magnétique elle es
activité des fonctions de la zone solandique par la percussion ou la pression des points du cuir chevelu correspondant aux cent
sie existe pour tout le côté gauche du corps, au point que la moindre pression , le moindre contact du bout du doigt sur le bras
ommeil ordinaire, les membres du malade peuvent subir quelquefois une pression continue telle qu'ils se paralysent par compressi
mail l'on peut constater que le foie n'est nullement douloureux à la pression . Ses gestes et ses plaintes sont absolument ide
ia seule exception du peu de sensibilité que présentait le foie a la pression . Et pourtant, malgré cette similitude parfaite da
onnues sous le nom de slaap-verlammingen, c'est-à-dire paralysies par pression durant le sommeil, et que, dans ces cas spéciaux,
mbres supérieurs, exclusivement, notamment de celles occasionnées par pression durant le sommeil. L'obscivation s'étend sur ce
'elle avait depuis longtemps. Par la fixation du regard, suivie de la pression des globes oculaires, le tout accompagné de : « V
au niveau des vertèbres lombaires et a l'ovaire gauche, où la moindre pression était douloureuse et provoquait un gémissement.
s mots, j'ai enveloppé son cou avec le mètre, sans exercer la moindre pression . Un quart d'heure après je réveille la malade, je
es orbites. Anesthésie des conjonctives. Points hyperesthésiques à la pression le long des apophyses épineuses, et, du reste, à
s épineuses, et, du reste, à presque tous les endroits d'élection. La pression violente de ces points hyperesthésiques ne déterm
econdes. Pas d'anesthésie cutanée. Douleur ovarienne bi-latérale à la pression . Conservation des réflexes rotuliens. Pas de trép
lité en dehors des accès. — Pas d'anesthésie de la peau. Douleur à la pression des régions ovariennes droite et gauche, Pas 4e d
hit les membres, le tronc présente une tendance a l'arc de cercle. La pression des ovaires ne modifie pas cet état A ce moment l
xcitabilité neuro-musculaire se traduit nettement; si l'on exerce une pression modérée sur un muscle, il se contracte et reste d
au lieu de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire, c'est-à-dire que la pression des muscles provoque seule des contractions, la p
-dire que la pression des muscles provoque seule des contractions, la pression des nerfs ne produisant rien. Enfin l'état d'exta
; il y a une hyperexcitabilité neuro-musculaire telle que la moindre pression provoque une contracture très manifeste, enfin le
11. — DES ZONES HYPNOGÈNES. Charcot et Richer ont observé que la pression du vertex était susceptible de transformer l'état
état léthargique en état somnambulique ; Dumontpallier a vu que cette pression était capable de provoquer d'emblée le sommeil hy
ique de zones hypnogènes. des régions circonscrites du corps, dont la pression a pour effet, soit de provoquer instantanément le
tre fréquemment chez les hystériques, des zones circonscrites dont la pression provoque le sommeil hypnotique. Un problème int
périmente sur Joséphine D..., on peut facilement se convaincre que la pression des zones hypnogènes peut endormir le sujet sans
ssus des seins, rien ne se produisit ; nous avons ensuite pratiqué la pression aux bosses frontales et la malade s'endormit auss
es faits nous pouvons éviter les doutes de Pitres, et déclarer que la pression des zones hypnogènes est capable d'endormir le su
ant de nouveau saisi et ramené à nous le bras, nous excitons, par une pression légère et au moyen de petits coups répétés, les t
76 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
nifeste gardant l'empreinte des doigts ; la peau est écailleuse. La pression des masses 0 NOUVELLE 1CONOGIi.IYlll DE LA SALP
supérieurs participent dans une certaine mesure à la paralysie : la pression des mains est très faible, la malade ne peut se p
où la contraction des muscles des artérioles doit céder à la haute pression du sang dans les artères et l'on ne constate au
, mais non plus abolie. En retournant l'épingle, et en agissant par pression seulement, au (moyen de la tête, on trouve que
t par pression seulement, au (moyen de la tête, on trouve que cette pression , d'abord ne détermine au- cune sensation partic
veau de la main ; mais au niveau des deux phalanges en question, la pression détermine des fourmillements dans ces deux doig
ec, ligneux, s'élimine, sans retentissement douloureux notable : la pression provoquait à peine quelques sensations pénibles
selle sans que le doigt soit arrêté par une seule inéga- lité. Leur pression retentit, comme à l'état normal, sur le petit doi
de la main, érythémateuse, rouge brunâtre, laissant persister à la pression une légère pigmentation. Dans chaque aisselle on
pas les nerfs poplités ; les nerfs scia- tiques sont sensibles à la pression . Autour des genoux, sur le tiers infé- rieurdes
réactions sensitives. Les tes- ticules sont à peine sensibles à la pression . Douleurs spontanées. Sensation de constriction
d'un rouge violacé à reflets bistrés. La rougeur s'ef- face sous la pression des doigts tandis que la teinte bistrée persiste.
ueuses dans lesquelles avait lieu la circulation, l'augmentation de pression dans les vaisseaux, ont contribué pour une part
s prononcé à ce niveau. Les muscles sont légèrement douloureux à la pression . Pas d'oedème des extrémités. Par l'exploration
férieur, toute supposition d'un état de démence disparaît, vu l'ex- pression douloureuse de la physionomie (contraction du mus
tercostaux jusqu'au sein. Dou- leurs spontanées et exagérées par la pression , constantes, diurnes et nocturnes. Cependant le
deux régions claviculaires et la racine des membres supérieurs. La pression , la percussion sur les apophyses épineuses de l
as. La flexion des doigts est particulièrement faible : à droite la pression de la main gauche est insignifiante, à gauche e
artent, s'étendent et se flé- chissent avec une entière liberté. La pression dynamométrique donne : 16 kilog. à gauche ; 1
rtébrale ne présente aucune dilTormation mais elle est sënsibtea la pression surtout inférieurement ('12" v. dorsale et ire v.
out inférieurement ('12" v. dorsale et ire v. lombaire). La par une pression même légère, le malade accuse une vive douleur.
ras. On constate une légère diminution de la force musculaire il la pression de la main droite. De plus les mouvements de la
deux plis très accentués. Ces rides donnent la physionomie une ex- pression à la fois douloureuse et attentive. Les yeux peti
flure dure et douloureuse au toucher; cette dou- leur persiste à la pression . A la fin de novembre 1887 ces symptômes doulou
ide et serré contre la surface radiale de l'index ; par suite de la pression produite par les doigts, les tissus cutanés de la
redresser ou courber l'extrémité occasionnent de la dou- leur ; la pression exercée sur les tissus mous et les condyles est d
leur dans l'épaule ; mais pas de contracture, pas de paralysie. La pression des mains est forte. La marche est normale. O
ai- blesse de volonté est dominante; ainsi ils travaillent sous une pression morale, alors qu'ils sont incapables de travail
77 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ller. Enfin, au mois de mars, il persiste seulement un peu de dé- pression ; la malade est calme, s'occupe très activement;
barrassée de tout trouble nerveux ; le goitre, encore sensible à la pression , avait diminué de plus d'un tiers. Lesauteurs n
olutions. Mais les accidents symptomatiques de l'augmentation de la pression inlra- cranienne n'apparurent qu'à la suite de
adapté à l'accroissement de la tumeur et à la modi- fication de la pression correspondante; l'infection a détruit l'équi- l
elles cessent dès qu'il s'assied ou se couche. Rien à la peau ; la pression n'est pas douloureuse, mais elle provoque la sen-
t remarquer qu'il a démontré qu'on détermine une augmentation de la pression du sang, à la suite d'une période latente plus
surface externe de la temporale. On détermine une diminution de la pression latérale suivie d'hyperpression, en excitant la p
missible ici, eût-il pu exercer sur la ligne médiane du chiasma une pression et causer ainsi l'hémianopsie î .D'autre part u
cours de ce liquide, il se produit une stase qui fait augmenter la pression intra-médullaire. 1 Schultze (F.). AI'chio sur
s modifications biologiques apportées dans l'économie par la sup- pression d'organes aussi importants que les ovaires, ainsi
ent pu provoquer des paralysies en anémiant la moelle par la com- pression de l'aorte ; ils déterminaient de la sorte des lé
elation de cause à effet entre la disparition des dents et les com- pressions articulaires temporo-maxillaires entraînant const
mal d'où peut résulter la mort. > R. C. IX. CE QU'ON appelle la PRESSION cérébrale, LE mouvement DU LIQUIDE CÉPHALORACHI
rale, LE mouvement DU LIQUIDE CÉPHALORACHIDIEN DANS LE CRANE, ET LA PRESSION ENCÉPHA- LIQUE ; par A. ADAlKIENICZ. (Neiwolog.
le au liquide céphalorachidien le tue aussitôt, du moins dès que la pression artificielle produite par cette injection dépas
t une surcharge du coeur droit et de l'oedème céré- bral. Mais la pression exercée à la surface de l'encéphale vivant, loin
'excitation ou de la paralysie de l'encéphale. L'augmentation de la pression intra-cra- nienne par augmentation de la pressi
ugmentation de la pression intra-cra- nienne par augmentation de la pression épicérébrale, celle que détermine la pression d
ar augmentation de la pression épicérébrale, celle que détermine la pression d'un liquide injecté dans le crâne, se traduit
s veines de l'encéphale et [de leurs canaux de décharge. Bientôt la pression augmente dans les veines du cou ; il ne peut do
eut donc y avoir d'excès de tension du liquide intra- cranien ni de pression cérébrale puisque les veines du crâne com- pens
e liquide céphalorachidien est un produit.du sang artériel et de la pression de celui-ci dans les capillaires qui occu- pent
les capillaires qui occu- pent l'espace céphalorachidien. Or, cette pression -là ne se modifie jamais considérablement ; donc
mo- difie qu'extrêmement rarement. Sa force donne au liquide une pression qui fait équilibre à la pression atmosphérique ;
ent. Sa force donne au liquide une pression qui fait équilibre à la pression atmosphérique ; elle est à 308 REVUE D'ANATOM
de céphalorachidien de ses réservoirs. Il faudrait pour cela qne la pression artério-capillaire s'élevât d'elle- même, ce qu
veines, se fait par des tuyaux à parois rigides, car l'effet d'une pression extérieure sur les veines ordinaires à parois m
t à la stagnation du liquide céphalorachidien. Il n'y a donc pas de pression cérébrale. Mais il peut y avoir compression du
. Il y a compression de la substance cérébrale et non production de pression .cérébrale, S'agit-il d'une tumeur liquide, au
ux dispa- raissent. L'écorce cérébrale sous l'influence de la forte pression intérieure s'amincit jusqu'aux proportions d'un
objet mousse ou avec les doigts en allant du contact léger à une pression énergique, il est bon de commencer par des exci
Le traitement est délicat et difficile : il importe peu que la sup- pression de la morphine soit brusque ou progressive; le di
s dans le courant ordi- naire de sa vie ; tête lourde, sensation de pression sur le front, mais pas davantage. Ce jour-là et
nt de l'aspiration de l'éponge, on a beau, en effet, soumettre à la pression la plus foi te le cerveau frais ou imbibé, il n
notion des objets, mais est incapable d'identifier de nouvelles im- pressions avec celles qui existent déjà dans la mémoire. Ce
78 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ion assez considérable des veines. Il n'y avait pas de douleur à la pression qui ne permettait de perce- voir aucune néoform
eur s'arrêtait complètement et reparaissait lorsqu'on exerçait une - pression extérieure sur le maxillaire. D'autres fois, le
ransmission, II. « L'activité psychique, indépendamment des im- ` pressions sensitives qui la mettent en jeu, est liée à un
herches, la preuve que les actions réflexes suscitées par les im- pressions des sens dans la substance grise du cerveau, et
nt par con- séquent, à la fois, des centres de perception des im- pressions de la sensibilité générale ou de la sensibilité
e grande agilité. 11 existe des points hystérogènes douloureux à la pression : ovarique et mammaire gauches, des points spin
n'était, par con- séquent, abasique et astasique, que parce que la pression du corps sur les plantes déterminait ce spasme
alades, elle parait être en rapport avec des troubles du sens de la pression et de la faculté d'appréciation pon- dérale dan
phère lourde alors qu'elle était légère. En examinant le sens de la pression dans les SOCIÉTÉS SAVANTES. '139 deux mains à
ltané, concomitant, bilatéral, du sens de la force et du sens de la pression donne les mêmes résul- tats ; la main paralysée
ui revêt les muscles paralysés, moins tendue, est plus exposée à la pression des objets. L'examen isolé des extré- mités déc
s décèle que, dans la pluralité des cas, tout trouble du sens de la pression marche de pair avec un trouble minime du sens de'
ondérale de la main libre se fait par l'intermédiaire du sens de la pression . Il est donc impossible d'apprécier le rôle des
e la force quand il existe en même temps des troubles du sens de la pression ; ceci s'applique naturellement aussi aux affect
de tableaux dans lesquels sont con- signés l'analyse du sens de la pression (à l'aide des sphères de Hilzig), et du sens de
réduite è un tuyau de plume, sur la longue étendue du siège de com- pression . (Observation en thèse Michaux.) 3 Binswanger.
enta rien d'anormal, et il n'y avait aucune cause pour augmenter la pression cranienne, ni d'affection secondaire des nerfs
ion du sens musculaire, était la possibilité de percevoir une forte pression et de diriger les mouvements avec précision : f
du tronc, de fièvres et de douleurs intolérables quandon exerce une pression au niveau des apophyses épineuses lombaires. Mo
enfin des phénomènes spéciaux dits d'abstinence, lors de la sup- pression de la morphine. Tandis que l'ivresse morphinique
établissement dans cet asile d'une étuve fixe à vapeur humide sous pression , pour la désinfection des linges et vêtements.
nt en état d'ivresse ont ouvert le régulateur d'une locomotive sous pression . La machine, abandonnée à elle- même, sans cond
ans son trajet intra^pédonculaire, soit peut-être par simple com- pression ; les relations de l'autopsie permettent l'une
sés, à la fois, ainsi que cela s'est vu dans certains cas de com- pression . Mais entrons plus avant dans l'étude de ces ra
ts douloureux, dans les régions des lombes et des mamelles, dont la pression réveille les phénomènes de l'aura; son champ vi
n des points symétriques et une médiane dans la région lombaire; la pression au niveau de ces zones réveille les phénomènes
réflexes palellaires, par des attouchements sur le vertex, par la pression dans la région do la fosse iliaque des deux côtés
elles-ci lui étaient moins vives. Au contraire, en présence d'im- pressions simples comme le contact de l'eau chaude ou de
est donc un réveil dans les centres sensitifs correspondants d'im- pressions variées qui ont été associées avec ce mouvement p
uite d'une contrainte morale réellle, l'accusé n'a pu résister à la pression exercée sur lui, il cesse d'être responsable. c
XVI, fasc. I-II.) La sensibilité tactile, comme la sensibilité à la pression est chez les épileptiques moindre que chez les
79 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cte généralement tout un côté de la tête; n'est réveillée ni par la pression ni par la percussion du crâne. · DIAGNOSTIC D
cérébrale. Ou bien les parois infiltrées de l'artère ont cédé à la pression sanguine, se sont déchirées avec ou sans dilata
se manifesteraient brus- quement les symptômes connus del'excès de pression intra- cranienne ». Dans un cas d'hémorragie ve
illeurs justifiée puisque l'inondation sanguine produit un excès de pression considérable. ' Loc. cil., p. 607. 12 '2 CLIN
e. Elles sont d'un rouge noi- râtre et ne disparaissent pas sous la pression du doigt. Ce sont bien 1 Brocq. Loc. cil., p. 8
elle s'accompagne le plus souvent d'hyperesthésie superficielle; la pression du crâne la réveille ou l'exaspère. La percussi
ille ou l'exaspère. La percussion l'augmente au même titre que la pression , mais sans lui donner ce caractère de profondeur
tivement, on trouve souvent des zones d'hyperesthésie où la moindre pression détermine des douleurs ; ailleurs ce sont des z
sionomie par une expression de souffrance. Elle est exagérée par ta pression ; il y a de l'hypéresthesie de tout le cuir cheve
soient plus intenses. La percussion l'exagère au même titre que la pression , sans modification des caractères de la souffra
es objectifs de la sensibilité générale. Les mouvements passifs, la pression sur les os et les masses musculaires, ne provoq
iquées par aucune altéra- tion locale, ne sont provoquées ni par la pression , ni par les mou- vements actifs ou passifs. Il
stase. Les expériences de Deutschmann, en montrant que l'excès de pression ne suffisait pas, qu'il fallait une action toxiqu
profondes. Il n'existe sur le crâne aucun point douloureux, ni à la pression , ni à la percussion. - - Rétrécissement assez p
- sibles, les mouvements passifs sont empêchés par la douleur. La pression de la nuque est douloureuse, sans points nettemen
taire externe et sur une hauteur de 4-5 centimètres. A ce niveau la pression est très douloureuse, ainsi que la percussion.
eur. Réflexes rotuliens abolis. Il n'y a plus de cépha- lalgie ; la pression et la percussion ne sont douloureuses en aucun
ur la fréquence, dans le tabès, de l'analgésie du nerf cubital à la pression au niveau du canal huméro-cubital, de nombreuse
M. ALZHE131ER, INTI- TULÉ : c DES hallucinations provoquées par la pression DU GLOBE oculaire » ; par LIEP3tANN. (Centralbl
par Destor ; -Influence des différents processus psychiques sur la pression du sang chez l'homme, par Binet et Vaschide; -P
onstration de l'existence de nerfs vaso-sensitifs régulateurs de la pression sanguine, par Delezenne; Action de la bile et d
au toucher et à la palpation. On n'y détermine pas de godet à la pression . Les mains sont froides. La sensibilité cutanée y
tiques une sorte d'altération qui le rend plus friable ; la simple pression du doigt suffît souvent à briser les côtes sur
e som- meil, automatisme ambulatoire peuvent accompagner une com- pression de la région frontale, et il est en outre intéres
vagabond qui exploite l'ulcère variqueux. Les phénomènes de com- pression n'auraient bien souvent qu'un rôle tout à fait ac
euse du pied ainsi que de tuméfactions du frontal doulouieuses à la pression . La question peut alors se poser ainsi : Doit-o
le membre de vives douleurs, 1 mais sans localisation précise. Une pression un peu forte en un point quelconque des membres
1 vions des signes très nets de lésion extra-médullaire, de cont- pression radiculaire. Plus haut, il n'y avait absolument r
lt9 sensations thermiques n'étaient pas perçues ; au contraire la pression profonde sur les muscles, les os, était sentie et
ément inaperçu, car dans presque tous les examens qu'on fait subir ( pression , notion de posi- tion, etc.) la sensibilité cut
ouve- ments les plus complexes, et en particulier à ceux de l'ex- pression par la parole, la voix du démon finissant par se
be gauche est, à son tour, atteinte, quoique à un moindre degré. La pression de la peau 492 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
e et à sept centimètres de la ligne médiane, qu'exaspère d'abord la pression , bientôt modératrice à son tour. Les mêmes acci
t plus grave, c'est qu'elle forme bientôt des amas qui exercent une pression sur ta peau des malades. 11 y a une dizaine d
mousse aura absorbé une grande quantité d'urine, celle-ci, sous la pression du corps, finira par passer à travers les joint
rice, par De- zon, 262. Il,ilLUCIN.%110,\S 1)10\0(]UéebI)at' la pression du globe Liepmann, 149. - (le la vue, se- méi
80 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
par des caillots noirs comme par une masse à injection poussée sous pression . Ceci s'observe particulièrement au niveau de l
s dans les scissures et les sillons où le sang a dû s'épancher sous pression . On note à la surface interne de ce feuillet méni
lave- ments fréquemment répétés, et en cas d'intolérance, la sup- pression de l'opium par doses progressivement décrois- s
s on peut distinguer beaucoup de libres dont l'examen donne l'im- pression qu'elles suivent ce trajet, bien que la direction
e de ces troubles doit être attribuée, d'après l'auteur. à la cotir pression des voies motrices dans leur passage à travers le
lement siéger dans la cavité orbitaire et ne peut être qu'une com- pression ou une altération névritique rhumatismale. G. D.
uleur qui force le corps à s'infléchir en avant pour dégager, de la pression supérieure du corps, les autres vertèbies malades
téléphone. Eclairage électrique. Chauffage central (vapeur à basse pression ) avec appareils installés dans le sous-sol d'un
st constitué dans un conducteur, le potentiel, ou, si l'on veut, la pression nerveuse augmente peu à peu en amont, par suite
teur électrique, et par suite une contraction muscu- laire. Puis la pression , tombée à zéro, augmentera de nou- veau : une n
ortes, sont aussi les plus rares. Si en amont d'un diélectrique, la pression électrique aug- mente, les décharges électrique
De même : Sixième LOI. Si en amonl d'un 1wllI'o-diélecll'irjlW la pression nerveuse augmente, les décharges nerveuses aug-
e augmente, les décharges nerveuses aug- mentent de fréquence. La pression nerveuse augmente en amont d'un neuro- diélectr
gement explosif qui correspond à l'émotion). L'augmentation de la pression nerveuse eu amont du neuro-diélectrique peut mê
lumineuse constante. Inversement, si en amont d'un diélectrique, la pression électrique diminue, les décharges électriques d
même : SLPTlÈ.lOE loi. Si en amont d'un ueecro-diélectoictaee, la pression nerveuse diminue, les décharges nerveuses dimi-
use diminue, les décharges nerveuses dimi- nuent de fréquence. La pression nerveuse diminue en amont d'un neuro-diélec- tr
roïde exerçait une compression sur le sympathique cervical, com- pression que rien ne faisait soupçonner pendant la vie ; c
a trouvé 3 pintes de liquide. Les os du crâne sont séparés par une pression interne toujours croissante, et plus le malade es
ore parmi quelques tribus du Nord de l'Amérique, qui exerçaient une pression sur la tête pen- dant la vie, dans le but de se
qui s'offrent à nous sont des paralysies de la naissance, dues aune pression sur la tête à cause de l'étroitesse du bassin,
e trouvant sa voie dans la grande fissure longitudinale, exerce une pression sur les bords supérieurs des deux hémisphères.
; quand elle est faible, ils sont relativement peu apparents; si la pression est plus profonde, elle cause une rigidité spas
uture. Tous les linges souillés sont désinfectés par la vapeur sous pression . En outre de la grande construction affectée au
es de flux, à l'activité des oxydations ou à l'aug- mentation de la pression artérielle ? Est-ce une transformation di- rect
pliqué sur la région du coeur peut produire des modifications de la pression du sang et de la fréquence du pouls. Pour avoir d
rant voltaïque, 170 millièmes de volt pour le fara- dique. Seule la pression du sang varie, le pouls reste à peu près égal.
du sang varie, le pouls reste à peu près égal. L'augmentation de la pression sauguine est peu durable. On peut l'obtenir en
sans chocs de rupture ou de fermeture. L'examen des tracés de la pression artérielle semble indiquer l'absence d'excitati
motrice dans un membre immobile tendu. Seuil des poids perçus sans pression cutanée et sans mou- vements (actifs ou passifs
déplacement du membre, ni mouvement actif, ni mouvement passif. La pression cutanée est nulle (fil tenu entre les doigts).
nt soigneusement molletonné pour ne pas produire en ces points de pressions excessives. Les expériences cadavériques ont mo
tabes spasmodique, dans la paraplégie spasmodique due à une com- pression médullaire, il y a interruption des fibres cortic
s de la moelle, elle a dû être déterminée, d'après l'auteur, par la pression cérébrale : celle-ci aurait exercé sur la circu
adaptation d'un dynamo- mètre à l'instrument permet de contrôler la pression . Enfin on peut se servir de la surface lisse du
ittérateur qu'une femme s'amu- sait à endormir à volonté par simple pression d'un point hypno- 524 VARIA. gène artificiell
81 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mbres, la langue offre souvent une diminution de la résistance à la pression du côté cor- respondant (Revue philosophique, j
plaque hyperesthésique siégeant sur 1 'hJ'pochrondre gauche dont la pression détermine la pro- duction de convulsions en arc
xiste un certain degré de parésie des mains, qui se traduit par une pression dynamométri- que faible : M. D : 12, M. G : 20.
i abdominale sans que D... s'en aperçoive. Ovarie gauche, aura à la pression . Thorax. L'anesthésie est limitée en haut par u
; dimi- nués. tG. - Nous essayons de provoquer une attaque par la pression sur l'ovaire gauche ; seule l'aura se produit.
oigts sont devenus sensibles à la pi- qûre, au chatouillement, à la pression , à la chaleur. La sensibilité articulaire y est
ésie : la moitié droite de la langue sent la chaleur, la piqûre, la pression ; la moitié gauche est devenue insensible. 4°
rmine les phénomènes en rapport avec une élévation quelconque de la pression intra-crânienne (hy- drocéphalie papille étrang
ément principal de comparaison. Ce qu'il faudrait, c'est prendre la pression du sang; or, il n'est pas de méthode à l'abri d
avec tendance au suicide, caractérisée par de l'anxiété, de la dé- pression , des insomnies, des préoccupations hypocondriaque
ond os, TRAUMATISME AVEC PERFORATION DU CRANE. 181 résistant à la pression de la pince, et qu'on laisse en place. Il est s
uspendait les injections, pour faire place à l'état habituel de dé- pression et de stupeur. Parmi les déments séniles, affaibl
e pipette de Dazère, l'écoulement de l'urine étant assuré par une * pression mercurielle. Dans ces conditions, on a trouvé q
n des globules marche paral- lèlement à l'augmentation du poids. La pression dynamométrique peut être considérée comme une q
érielle des douches a paru pleinement satis- faisante, ainsi que la pression et la température de l'eau. La combinaison du c
inférieurs, surtout à gauche ; signe de Westphal des deux côtés. La pression sur les ori- gines des gros troncs nerveux (rad
r pulsatile apparut au dehors, qu'il y eut des phénomènes de com- pression sur tous les organes du médiastin. Et le canal ve
s hyslérogènes vraies, mais il existe deux points doulou- reux à la pression dans les deux fosses iliaques, sans caractère hys
imperceptible, tandis que, du côté droit, il demeurait très net. La pression et l'électrisation du ganglion cervical supérie
était plus basse de presque 1 degré relativement au côté droit.' La pression exercée sur le ganglion cervical supérieur du n
température baissée du côté affecté de la face et sensibilité à la pression exercée sur les ganglions cervicaux du sympathi
Salpêtrière, M. Bourneville essaie de l'endormir de nouveau par la pression des globes oculaires après commandement de dorm
s de plaques d'hypéresthésie ni d'anesthésie. Légère douleur par la pression d'un point situé à environ 5 centimètres au-dessu
entimètres au-dessus du mamelon du eôlé gauche. Pas de douleur à la pression des apo- physes vertébrales. Torticolis assez f
es après 37°,6. 30 août. - L'un de nous essaie de l'endormir par la pression des glohes oculaires, mais sans succès. 31. -
d'après ces auteurs, le sulfonal n'exerce aucune influence sur la pression sanguine, sur les fonctions du coeur et sur la re
rale de tous les vaisseaux du cerveau ; 2° que l'élher éle- vait la pression artérielle générale et augmentait le débit des
rente secondes; le lieu de l'injection reste un peu sen- sible à la pression pendant quelques heures et c'est tout. Il parait
ort en lui suggérant qu'elle doit dormir et 'en exerçant une légère pression sur les globes oculaires. Les résultats favorab
pâle, entourée d'une zone rougeâtre, douloureuse au toucher et à la pression , et qui correspondait exactement Eu point indiqué
82 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
tru- ment, ou du moins l'opération avortait, soit par suite d'une pression incertaine et inégale, soit en raison du déplace-
pas- sage qui s'enfoncent légèrement en la traversant ; cette dé- pression est comme une ébauche ou un vestige d'une scis-
existe différentes zones chez notre malade, au niveau desquelles la pression digitale est très douloureuse. En procédant de
tres en avant du vertex. Il n'y a pas de douleur spontanée, mais la pression détermine une sensation pénible dans toute la t
d'hyperesthésie cutanée à ce niveau, ni de douleurs spontanées; la pression donne au malade la sensation d'un tapotement qu
ntanée, ni hy- HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. 59 peresthésie cutanée, mais la pression du doigt donne lieu à des douleurs lancinantes
nts hystérogènes, on n'a pas essayé de provoquer d'attaques par une pression prolongée (1). Aura.- L'enfant déclare avoir la
oir se jeter à bas du lit. Grand arc de cerclo. Dou- leur vive à la pression au niveau de la zone hystérogène dorsale. Grand
intervalle des attaques : La douleur est particulièrement vive à la pression dans la fosse iliaque gauche. Nouvelles exclama
es paraissent un peu atté- nués et se montrent moins sensibles à la pression . Au niveau de la zone dorsale, la sensibilité à
ou- vertures vraisemblablement artificielles et produites par la pression du doigt qui a dû rompre les adhérences pieurales
su pulmonaire laisse écouler à la coupe un sang noir et spumeux; la pression fait sour- dre des gouttelettes de pus des bron
bien qu'on n'obtienne pas de gouttelettes de pus bronchique par la pression , on amène sur le couteau, par le raclage, un dé
ente à sa surface des dépressions allongées,plus claires, dues à la pression des fausses côtes. Sur des coupes, il est gras,
. Le reste du tissu est friable sous le doigt et ne surnage pas. La pression fait sourdre des gout- telettes de pus de la ma
83 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
aphragme, qui détermine dans la cavité thoracique une diminution de pression , par suite de laquelle le poumon, dont l'élasti
if à la panse et au bonnet, et qu'elle établit que la diminution de pression intra-pulmonaire est indispen- sable à la pénét
traces de mor- sures ; le ventre, ballonné vers le haut, donne à la pression dans la région épigastrique un gargouillement c
e cardia qui, on le sait, reste sans cela fermé même sous de fortes pressions de gaz contenues dans l'estomac. Quant aux mouv
pour produire la ré- gurgitation, en agissant sur l'estomac pir des pressions exté- rieures, par des contractions des muscles
vements de projection du bassin, et une dyspnée intense. La com- pression testiculaire ne produit aucun effet ; la pression
intense. La com- pression testiculaire ne produit aucun effet ; la pression sur les fosses iliaques donne un résultat très
surés de l'existence d'un certain nombre de points, douloureux à la pression , analogues aux zones hystérogènes qui existent
centimètres du vertex et empiétant à gauche de la ligne médiane; la pression et le passage du peigne sont douloureux en ce p
s spontanée dans cette région ; toujours elle est déterminée par la pression , mais il n'y a ni irradiation, ni troubles hypere
deux zones douloureuses symétriques, au niveau des flancs, dont la pression s'accompagne d'anxiété respiratoire;- 8° et 9"
correspondant au siège de l'ovaire chez la femme ; à cet endroit la pression du doigt est péniblement supportée et détrr- mi
rconvolutions ont conservé une très grande mollesse, la plus légère pression suffit pour entraîner la couche superficielle.
ne acquièrent une épaisseur inaccou- tumée destinée à résister à la pression qui s'exerçait sur eux (loc. cit., p. 157). » S
ient plus fins et moins abondants que sur le reste de la tête. A la pression on sent les battements du cerveau qu'on peut re
84 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ngle susclaviculaire la présence d'un cordon dur et douloureux à la pression . C'est sur ce cordon, réséqué par M. le profess
a tête, d'écarter les cheveux ou de les couper, enfin d'exercer une pression égale sur chacun des réservoirs. Toutes ces pré
e température, et à en diminuer un autre, supposons le sens de la pression , on est forcé d'admettre que les sensations de te
, on est forcé d'admettre que les sensations de tem- pérature et de pression sont transmises par des nerfs différents, car u
ction agit, et la peau diminue la sen- sibilité, au contact et à la pression , et augmente celle-ci à la pression [douloureus
sibilité, au contact et à la pression, et augmente celle-ci à la pression [douloureuse. Cette dernière était mesurée au moy
ture de 38° à ai° c., augmente l'excitabilité du sens de lieu et de pression et dimi- nue celles du sens de température. Ain
- nue celles du sens de température. Ainsi, le sens de lieu et de pression d'un côté, et celui de température de l'autre ne
gements plus ou moins saillants, qui doivent évidemment exercer une pression DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 243 t nuisible sur
: telle malade qui, avant l'application, n'est capable que '- d'une pression de quelques kilogrammes, peut, lorsque la sen--
a force de 260 REVUE CRITIQUE. - A > ° r,A.. ! 'T rtf· ? - 1 pression de la main droite chez un adulte (non gaucher), d
is rester uniquement aux mains des dentistes. En l'ab- sorbant sous pression et mélangé d'oxygène en parties déter- minées,
malade le mélange d'oygène et de protoxyde d'azote élevé à la même pression . Une plus grande simplification dans les appare
itié gqucbe¡de la face avec hyperalgészé, points j. douloureux à la pression et parfois irradiations étendues. Gal, wanasâta
'les points où le facial est accessible' sont'très douloureux' à la pression et celle-ci n'exerce aucune' action' d'arrêt; S
latives à la pathÓgénie'(lú décúbitus'aigu pour lui, ce n'est ni la pression exercée par le pian résistant du lit, ni le con
i est contenu dans la caisse ne tarde pas à être absorbé. Alors; la pression atmosphérique refoule le tympan de dehors en de
byrinthe. Ce liquide, incompressible, transmettant intégralement la pression sur les extrémités du nerf acoustique, celui-ci
ompe et insuffler de l'air dans la caisse, de façon à équilibrer la pression atmosphérique. Ce qui est facile chez l'adulte
partie gauche : à droite, en- fin, la sensibilité au tact (ou à la pression ) et à la douleur, se montrait émoussée, mais la
région de la nuque présente une exagération de la sensibilité à la pression . La langue, d'aspect normal, n'était pas déviée
des phalanges des doigts sont rouges et tuméfiées. -La douleur à la pression est vive dans les jointures malades;-les veines
ement; une main parétique au point de ne donner qu'un kilogramme de pression acqué- rant graduellement, en quelques minutes,
première paire dorsale de chaque côté produit un abaissement de la pression artérielle des organes abdominaux et démontre p
es- sion unie, une fossette analogue à celle que déterminerait la pression du petit doigt. Le trou occipital a la forme d'un
es- sées de concert avec la substance du pont de Varole : la com- pression de la protubérance, ce centre convulsif des auteu
anque. Les ver- tèbres dorsales paraissent douloureuses à une forte pression . 456 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. La surdité
t;\t ? ) ? j' ? \."\y«\\\\ ? \\'t nue ses douleurs, en exerçant une pression avec les mains a la base du thorax, ou bien eu
ux ? san§,-élevure .,ni- 1 saillie,, sansldouleur spontanée -ni, la pression ; elles - devienùentl, ensuite verdàtiesiret,jaà-
t31HlHb]nfO"ti.f.'JQK' petites'taches jaunâtres n éveillaient a- la pression la moindre ssribilifé9'etellés siégeaient la p'
? Vr'1't,q p9;'OtT.r Op1f<1.t() .} ? UffnR spontanément qu a la pression , tandis que les ecchy- , 'i r· ` ra nn 1 ,r rfr
nique, par suite de l'augmentation, dans la gaine de Schwann, de la pression qui résulte du refoulement des éléments de chaq
trouble des facultés affectives, et, de ce fait, une exagération de pression dans l'organe central ; sous cette influence, i
des vaso-moteurs de l'estomac. Pour Ebstein, à l'augmentation de la pression dans tout le système circulatoire à la suite de
es régions en général très circonscrites au niveau des- quelles une pression plus ou moins forte produit dans un temps varia
te. Certaines attitudes peuvent empêcher la f632 bibliographie. J pression sur les régions hystérogènes de produire une atta
t;'il en'est de> même de l'activité des régions hystérogènes. La pression des zones hystérogènes, parmi lesquelles la plu
thésie et de l'analgésie, la névralgie et la douleur provoquée à la pression . Tous ces phénomènes font présumer qu'il s'agit
85 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
st aplatie ainsi que la face antérieure des doigts, par suite de la pression continuelle de la main opposée. Nous notons enc
u niveau de son tiers interne avec son tiers moyen une petite dé- pression . La protubérance paraît symétrique; le sillon méd
durant six jours, deux ou trois accès débutant par une sensation de pression montant de l'abdomen, suivis de l'abolition de
est devenu acariâtre de doux qu'il était et emploie souvent des ex- pressions ordurières qu'il n'auraitjamais prononcées aupara
nsibilité de tout le côté gauche parait normale au toucher et la la pression : mais la sensibilité au chatouillement et au fro
trophiques); - 3° enfin que, si la sensibilité au tou- cher et à la pression était conservée, la sensibilité au chatouil- le
s isolées par des espaces de peau blanche, elles s'effacent sous la pression du doigt, pour reparaître aussitôt, et donnent
diminué depuis quelques jours et les garde-robes étaient rares; la pression no provoquai ! pas de douleur it l'epigastro ni
la voûte est plus accusé que le droit. , EPILEPSIE TARDIVE, 117 pression notable, les pariétaux sont sur un plan inférieur
sements. L'abdomen n'est ni ballonné, ni déprimé; il est souple; la pression ne paraît pas y occasionner de douleur ; sonori
consiste en petites taches d'un rose peu intense, s'effaçant par la pression ; elle forme autour du front, vers la racine de
de couleur sépia et fétide. Tympanismo de l'ab- domen sensible à la pression et sur lequel se dessine un réseau veineux supe
que droite, autre point grand comme une pièce de cinq fraucs, où la pression même légère, donne la sensation d'un poids cons
e une région large comme la moitié de la paume de la main, et où la pression produit une sensation de chatouillement toute s
ui, selon l'expression du malade, « le retourne tout entier. u La pression sur les apophyses épineuses et dans les gouttière
ste de véritables zones hystérogènes, mais plutôt des régions où la pression cause une sensation particulière de chatouillem
nsibilité est en grande partie reve- nue à droite ; la douleur à la pression sur les zones hysté- rogènes est très diminuée.
86 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
tion d'un point brillant, le ton impéra-tif, l'occlusion des yeux, la pression sur le vertex, etc., ne sont que des cas particul
igne médiane. Les sensibilités à la douleur, au chaud, au froid, à la pression , abolies ; l'odorat, l'ouïe complètement perdus ;
rcxcitabilité névro-musculaire existe au degré le plus élevé : — La pression exercée sur le facial, produit la contracture de
la contracture de la moitié de la face ; — Il en est de même de la pression du sterno—mastoïdien, dont la contracture porte l
vement, persiste aussi longtemps qu'on veut !e faire durer : Que la pression des lèvres supprime instantanément la parole et p
ouverez plus jusqu'à la fin de votre accouchement qu'une sensation de pression , très supportable, nullement douloureuse, et vous
t 1885, les phénomènes que nous allons décrire. Après avoir, par la pression des tendons rotuliens. produit la contrac-ture de
nd conscience a la Rochelle. Un astre jour, nous provoquons, par la pression des tendons. l'hémiplégie avec hémianesthésie dro
elle est sensible, une ébauche d'attaque qu'on arrête aussitôt par la pression du testicule. Immédiatement alors, on peut fair
ent alors, on peut faire passer V... i l'état de somnambulisme par la pression des yeux, l'ouverture des paupières et la frictio
n profonde, mais sur celle des muscles et celle de la peau ; 4° Les pressions profondes et les pétrissages produisent des tirai
ur les premiers. Le dynamomètre indique en effet presque toujours une pression plus grande après les premières et moins grande a
des vaisseaux artériels, rendant ainsi la circulation plus active, la pression intra-vasculaire plus grande, la température plus
roits ; cette douleur, qu'elle qualifie piquante, est exagérée par la pression . Elle peut remuer le membre, mais dit le mouvoi
es du poignet, de l'épaule et du coude manifestent de la douleur à la pression . A 4 heures 28, je la réveille. Interrogée, ell
on du sens musculaire. A 4 heures 31, la douleur est plus vive à la pression dans le poignet que dans les autres jointures; ma
qu'une certaine sensation de fatigue à la nuque (due sans doute à la pression du flacon). A 5 heures réveillée, elle se trouv
un petit comité, sans être influencé par personne, en dehors de toute pression . S'il n'a pas réussi a reproduire ce qu'il avait
e N..., hémianesthésique gauche, sensible à droite. Somnambulisme par pression du vertex. Attouchement très léger de la face dor
t spéciale) intacte. La malade est alors mise en somnambulisme, par pression du vertex. Ayant, au cours de l'expérience, prése
le est très sensible aux explorations avec le diapason ; de plus, les pressions centripètes provoquent la sensation de vertige, l
rtige, la constriction pénible des tempes, la déséquilibration et ses pressions sont aussi douloureuses, bien qu'extrêmement légè
que est dans le membre supérieur. Beaucoup éprouvent une sensation de pression , de constriction autour du poignet. Après ces pro
Il existe une douleur sus-mammaire et iliaque gauche très nette a une pression modérée. Diminution de la sensibilité aux piqûr
ssaie de l'hypnotiser par l'application d'une main sur le front et la pression sur les yeux. J'obtiens le sommeil au bout d'un q
ns le dos: des étouffements. Je constate des points douloureux à la pression au-dessus et au-dessous du sein gauche, dans la r
spalier; ainsi que fait le vannier de l'osier qu'il assouplit sous la pression continue de ses doigts agiles. Loin de nous la pe
87 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
tion d'un point brillant, le ton impéra-tif, l'occlusion des yeux, la pression sur le vertex, etc., ne sont que des cas particul
igne médiane. Les sensibilités à la douleur, au chaud, au froid, à la pression , abolies ; l'odorat, l'ouïe complètement perdus ;
rcxcitabilité névro-musculaire existe au degré le plus élevé : — La pression exercée sur le facial, produit la contracture de
la contracture de la moitié de la face ; — Il en est de même de la pression du sterno—mastoïdien, dont la contracture porte l
vement, persiste aussi longtemps qu'on veut !e faire durer : Que la pression des lèvres supprime instantanément la parole et p
ouverez plus jusqu'à la fin de votre accouchement qu'une sensation de pression , très supportable, nullement douloureuse, et vous
t 1885, les phénomènes que nous allons décrire. Après avoir, par la pression des tendons rotuliens. produit la contrac-ture de
nd conscience a la Rochelle. Un astre jour, nous provoquons, par la pression des tendons. l'hémiplégie avec hémianesthésie dro
elle est sensible, une ébauche d'attaque qu'on arrête aussitôt par la pression du testicule. Immédiatement alors, on peut fair
ent alors, on peut faire passer V... i l'état de somnambulisme par la pression des yeux, l'ouverture des paupières et la frictio
n profonde, mais sur celle des muscles et celle de la peau ; 4° Les pressions profondes et les pétrissages produisent des tirai
ur les premiers. Le dynamomètre indique en effet presque toujours une pression plus grande après les premières et moins grande a
des vaisseaux artériels, rendant ainsi la circulation plus active, la pression intra-vasculaire plus grande, la température plus
roits ; cette douleur, qu'elle qualifie piquante, est exagérée par la pression . Elle peut remuer le membre, mais dit le mouvoi
es du poignet, de l'épaule et du coude manifestent de la douleur à la pression . A 4 heures 28, je la réveille. Interrogée, ell
on du sens musculaire. A 4 heures 31, la douleur est plus vive à la pression dans le poignet que dans les autres jointures; ma
qu'une certaine sensation de fatigue à la nuque (due sans doute à la pression du flacon). A 5 heures réveillée, elle se trouv
un petit comité, sans être influencé par personne, en dehors de toute pression . S'il n'a pas réussi a reproduire ce qu'il avait
e N..., hémianesthésique gauche, sensible à droite. Somnambulisme par pression du vertex. Attouchement très léger de la face dor
t spéciale) intacte. La malade est alors mise en somnambulisme, par pression du vertex. Ayant, au cours de l'expérience, prése
le est très sensible aux explorations avec le diapason ; de plus, les pressions centripètes provoquent la sensation de vertige, l
rtige, la constriction pénible des tempes, la déséquilibration et ses pressions sont aussi douloureuses, bien qu'extrêmement légè
que est dans le membre supérieur. Beaucoup éprouvent une sensation de pression , de constriction autour du poignet. Après ces pro
Il existe une douleur sus-mammaire et iliaque gauche très nette a une pression modérée. Diminution de la sensibilité aux piqûr
ssaie de l'hypnotiser par l'application d'une main sur le front et la pression sur les yeux. J'obtiens le sommeil au bout d'un q
ns le dos: des étouffements. Je constate des points douloureux à la pression au-dessus et au-dessous du sein gauche, dans la r
spalier; ainsi que fait le vannier de l'osier qu'il assouplit sous la pression continue de ses doigts agiles. Loin de nous la pe
88 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
une douleur légère, avec irradiation dorsale et exagération par la pression et pendant la marche. Elle consulta au bout de
as la langue pendant l'attaque. On provoqua une vive douleur par la pression sur la région hypogastrique. D'autres crises
halalgie assez légère, mais persistante sous forme constrictive. La pression provoque une légère douleur le long de la colon
ir vu ses seins devenir bleuâtres pendant la crise asphyxique. La pression au niveau des parties asphyxiques efface lentemen
e ce mémoire. La malade fut endormie par un des procédés habituels ( pression -.sur les globes oculaires) et tomba facilement
ion (Beaclalungszualan) soupçonneuse, ayant pour facteurs des im- pressions morbides hypochondriaques et des hallucinations,
ique, secousses du grand pectoral, rétention d'urine, urticaire par pression , absence de sudation, réflexes cutanés plan- ta
n de même qu'une accélération est suivie d'un ralentissement; 3° la pression sanguine s'élève; 4° la respiration change souv
t tout indiqué de se servir d'un médicament qui, en augmentant la pression sanguine, resserre en même temps les vaisseaux; o
quelques années, douleur au niveau du tendon rotulien gauche, parla pression seulement (acte de s'agenouiller) : t C'était c
peut au contraire se produire un oedème par constriction ou com- pression vasculaire extramédullaire (Kahler, Schmaus). Q
uoi qu'il en soit, que le foyer ou la cause d'irritation et de com- pression soient intra ou extra-rachidiens, il y a lieu à c
ant et en bas, les douleurs spontanées continuaient encore, mais la pression sur l'épine dorsale n'était pas douloureuse. Le
n. M. Cramer. Communication clinique. L'analgésie du cubital à la pression soit dans son trajet soit au niveau du condyle in
sensibilité est normale. Les jours suivants les progrès de la com- pression de la moelle deviennent des plus certains. Douleu
deuxième racine dorsale). Sensibilité circonscrite très nette à la pression et la percussion, dans le point de la colonne ver
. Mais il y a com- ARCHIVES, t. XXXI. 10 146 SOCIÉTÉS SAVANTES. pression du lobe frontal gauche et des première et deuxièm
vif. Elle est chaude. Les artères battent. La position déclive, la pression provoquent ou exagèrent les accès. La position
nnes, aux faces plantaire et dorsale du gros et petit orteils. La pression , douloureuse surtout au niveau des orteils, dimin
. La malade est endormie pour la première fois le 5 août, par la' pression sur les globes oculaires, elle s'endort facilemen
ôt dans l'artère . médiane, tantôt dans l'artère jugulaire, etc. La pression et la rapidité d'injection sont aussi évidemmen
nt normaux; point de cicatrices, point de parties douloureuses à la pression ou anes- thésiées. Nulle part la percussion du
sse croissante du bras droit. Pour les grands mouvements et pour la pression de la main il n'y avait pas de différence appré
cutanés, oedème des pieds et des jambes, sensibilité douteuse à la pression sur les troncs des nerfs, amaigrissement des mu
u volume d'une pièce de cinq francs, excessivement [Sensible à la pression et à la percussion. Vomiturition. Intégrité des p
une semaine. Le gonflement, la chaleur, la rougeur, la douleur à la pression et dans les mouvement ? ne laissaient aucun dou
la contracture des muscles animés par le nerf que l'on excite par pression lente et modérée chez l'hystérique. Suit une crit
condi- tions, un écoulement modéré au liquide à injecter avec une pression à peu près constante. En opérant de cette façon
tient aux nombreuses causes d'erreur inhé- rentes aux explorations ( pression de l'électrode, humidité de la peau, etc.). L
en place à l'aide d'une bande élastique qui exerce sur la peau une pression toujours égale. Quand la résistance du corps hu
et en même temps de faire circuler le sang par le relèvement de la pression artérielle et le rétrécissement de la lumière des
vation. Homme de vingt-deux ans, chute d'un toit, vive douleur à la pression vers la onzième apophyse épineuse dorsale, pas
89 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
es communs, des verres de lampes, parfois un bout d'étoffe légère. La pression atmosphérique sera mise en évidence à l'aide du m
e notre malade se dilate au moment de la piqûre et, si l'on mesure la pression sanguine dans la (1) Présentation de malade fai
blancs dans les parties du derme inextensible; là l'exsudat est sous pression : il provoque l'anémie et la coloration bleue.
ance aux stigmates sanglants tel, le cas de Louise Lateau. Comme la pression exercée par l'œdème provoque de l'anémie, il suff
e par l'œdème provoque de l'anémie, il suffit que la peau subisse une pression même peu intense ou que le coude s'appuie d'une c
e l'insensibilité du pharynx et des conjonctives. Légère douleur à la pression au niveau de l'ovaire droit, mais pas de sensatio
mais, il les appellera, les suscitera, les provoquera ; par certaines pressions brusques et saccadées, en utilisant la fatigue et
côté des jambes, saisit les poignets et les abaisse, en évitant toute pression sur le corps ou sur les membres. Alors l'opérateu
appuyais sur le vertex. Quelqu'un étant venu me parler, je cessai la pression et laissai là ma malade. Lorsque je revins auprès
de durée de l'action hypnogénique et je constatai alors que, par une pression du vertex suffisamment prolongée, je pouvais fair
e. Pendant des mois, j'ai placé la malade d'emblée en léthargie par pression du vertex et comme d'une part, ce sujet était trè
mme d'une part, ce sujet était très sensible et que, d'autre part, la pression était suffisante et, par habitude, peut être touj
temps suffisant. Pour ne reprendre que le même exemple, une faible pression sur le vertex suffit-elle à rendre une malade som
oir la douche rectale froide, prise quotidiennement à une très faible pression , dans la position horizontale avec une grande can
llélogramme de forces. Vous savez qu'un corps quelconque, mis sous la pression de forces diverses qui le poussent en directions
nt sur le corps. L'homme est toujours comparable à ce corps sous la pression de mille forces différentes qui cherchent à le po
ions de morphine. Au moment où le malade se calme u*n peu, je fais la pression des yeux et du creux de l'estomac et, en deux min
complète. Dans le pays, on croit à un sort jeté. Elle est ensorcelée. Pression des points sensibles, ovaires et des yeux ; somme
yeux ; sommeil hypnotique, après deux minutes au plus. Suggestion, pression , massage des bras, des jambes, traitement tonique
her ne révèle rien. Ovaires très sensibles. J'endors la malade par la pression ovarienne et oculaire. Je suggestionne longuement
on d'organe. Creux de l'estomac très sensible (pointe du sternum). La pression de ce point et des yeux produit presque instantan
s, mais point sternal (pointe) très sensible produisant rétouffemenl. Pression de ce point et pression oculaire, sommeil hypnoti
ointe) très sensible produisant rétouffemenl. Pression de ce point et pression oculaire, sommeil hypnotique très rapide, suggest
, mais la constitution organique individuelle en concurrence avec les pressions que le milieu exerce sur lui. En disant que la co
acte de l'homme est le résultat de la constitution organique et de la pression du milieu dans lequel l'homme vit, — mais qu'il e
90 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
térés. Les ovaires sont LES MÉLANCOLIQUES. 4't douloureux à -la pression . La marche est normale. Les autres organes sont
s) sont froids, cyanoses. Les ovaires ne sont pas dou- loureux à la pression . Il n'existe pas de zones hystérogènes. Il n'y
Le foie est aug- menté de volume, mais il n'est pas douloureux à la pression . Les ganglions inguinaux augmentés de volume.
ents des doigts. La sensibilité culanée à la douleur est obtuse. La pression de la région des ovaires est un peu douloureuse
tique, comme si de la gélatine avait été injectée sous la peau : la pression au doigt ne laissait pas de trace, mais il y av
as de trace, mais il y avait comme un léger rebondissement quand la pression cessait. Dans sept cas sur huit la glande thyro
in suffit pour s'en rendre compte. Par contre, l'insensibilité à la pression du sciatique poplité interne dans le creux popl
'hémorrhagie cérébrale aura surtout pour but d'empêcher nn excès de pression dans les artères lésées ; éviter le travail int
ement efficace, bien que l'on puisse toujours essayer d'abaisser la pression artérielle par les frictions, une saignée, des
ort. Il y a trois méthodes pour traiter la morphinomanie. La sup- pression brusque, rapide et lente. La' suppression brusque
mesure objective, aucun point de repérer ni pour savoir le degré de pression à déployer chez un indi- vidu déterminé, ni pou
- mum à la pointe. L'hypochondre droit est un peu douloureux à la pression . Rien de pathologique aux autres viscères et orga
eine. Le foie est augmenté de volume, dépasse les fausses côtes, la pression sur l'hypocondre droit est douloureuse, de même
foie ne dépasse pas les fausses côtes, mais il est douloureux à la pression . Etat psychique. L'attitude de la malade est tr
ont conservés. L'excitabilité des nerfs cubi- taux est exagérée, la pression des troncs nerveux est doulou- reuse. Le réfl
droite. Il n'y a pas de signes de syphilis. Le foie douloureux à la pression , de même l'épigasfre ; il a des pituites matinale
mme les chevaux de bois, la machine à coudre, la bicyclette, par la pression des cuisses, par la rêverie, cette sorte d'onanis
des vomissements incoercibles; 4° en raison delà suffocation par la pression du goitre; 5° par épuisement à la suite de déli
eu comprimée par la vertèbre déplacée, dans le second cas la com- pression était grande et due au déplacement de la vertèbre
s de la moitié des cas de tabes l'épigastre est moins sensible à la pression et aux coups qu'à l'état normal et que, dans un
uleur généralisée; l'ovaire gauche parait un peu plus sensible à la pression que le droit; insomnie complète malgré trois gr
ouleur. Au début il existait sur le dos un point très sensible à la pression , à trois travers de doigt au-dessous de la bles
ait le siège de ce contact, mais n'appréciait pas l'intensité d'une pression ou d'une traction exercée sur les téguments. La
r de la névrite périphérique, j'avais la douleur provo- quée par la pression surles troncs nerveux et la masse musculaire, l
s; en outre, attitude du pied en équin, douleurs spontanées et à la pression des troncs nerveux, exagération des réflexes te
ganes génitaux sont normalement conformés, mais très développés. La pression testiculaire n'est pas douloureuse, P... assure
lien droit est aboli. Les masses musculaires sont douloureuses à la pression . La température vespérale oscille entre 39°,5 e
sée, masses musculaires des cuisses et des jambes douloureuses à la pression ; pas d'atrophie, pas de troubles trophiques ;
ilement les objets. Les réflexes sont exagérés. La sensibilité à la pression est un peu diminuée, les autres variétés de sen
querie du début, la rapidité d'évolution de ces paralysies par com- pression médullaire. Le point de départ de cet hématorachi
ettes, ouverture automatique de portes par d'ingénieux mécanismes à pression hydraulique ou à air comprimé. Le prêtre parlai
91 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
ux arcs de cercle métalliques qui passent dans deux coulants à vis de pression placés sur la planchette fixe. De cette manière,
hypnotique; on recherchait alors le point de l'abdomen sur lequel la pression provoquait le réveil et on le marquait avec une g
face, dans le même état léthargique, se contractent également sons la pression , mais, à l'inverse de ce qui se passe dans les me
commande l'obturateur et permet de le laisser ouvert tant que dure la pression de la main. Les plaques sensibles, placées dans
entier. Le microscope se fixe sur le support au moyen d'une vis de pression spéciale. 20 La table qui supporte la chambre n
et le papier soient absolument secs ainsi que le matelas qui donne la pression . En effet, toute trace d'humidité provoquera la f
colle dans le linge, et, le tordant entre les doigts, on oblige par pression la colle à s'échapper. On met alors tremper dan
ue l'un contre l'autre face contre face et on les met sous une légère pression afin que l'adhérence soit parfaite. Une demi-he
anivelle on fait passer le plateau sous un rouleau d'acier qui par sa pression applique l'encre sur la feuille de papier. Châs
is spéciaux portant au fond une glace forte et des barrettes à vis de pression qui donnent un contact intime entre le négatif et
dits de luxe. Dans ce cas il faudra encrer davantage et augmenter la pression de la machine. Gélatine. — Il existe deux sorte
moine. On place le tout sous la presse hydraulique et l'on exerce une pression qui n'est pas moindre cpie 1 oooks par centimètre
e l'on applique pardessus une feuille de papier et que l'on donne une pression suffisante au moyen d'une presse spéciale, la pre
92 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
lIéd. Exp., 1853, p. 288. - Recherches sur la transmission des im- pressions de tact, de chatouillement, de douleur, etc. Jour
et l'anesthésie tac- tile étaient absolues. D'autre part,la moindre pression exercée sur les mus- cles, dans la zone d'anest
ur que l'origine de ces vices de développe- ment. On a incriminé la pression exercée par l'amnios, il est peu facile de comp
erce sur une partie seulement de l'individu, encore moins que cette pression , toute hypothétique d'ailleurs, puisse empêche
ré. En examinant de plus près ou y voit un léger réseau veineux. La pression du doigt sur la face dorsale de la main ne laisse
niveau du pli du poignet. Il n'y a pas d'empreinte manifeste par la pression de la peau et cette pression ne laisse qu'une p
n'y a pas d'empreinte manifeste par la pression de la peau et cette pression ne laisse qu'une pâleur passagère ; la coloration
aspect potelé; mais les fossettes, au lieu de siéger clans les dé- pressions intertendineuses, répondent au trajet même des te
ain, j'ajouterai qu'il ne s'agit pas d'un oedème banal parce que la pression de la peau détermine une pâleur transitoire san
rtains auteurs qui s'en sont occupés l'appellent oedème dur, car la pression digitale ne laisse pas de godet, comme cela arme
ns le tissu sous-cutané et qu'on peut refouler mécaniquement par la pression digitale, il est évident que ce terme n'est pas a
n effet chez tous ces'malades, il ne se produit pas de godet par la pression digitale. Aussi ai-je été conduit à admettre qu
me très développé à la face dorsale montrait une em- preinte par la pression digitale, pas de changement dans la conformation
uleurs et restait incomplet. De plus il provoquait une sensation de pression à l'épigastre et de la dyspnée. Durant le premi
s. S'il essaie de se redresser il éprouve aussitôt une sensation de pression rétro-sternale qui lui coupe, dit-il, la respir
Vous m'étouffez, vous m'étoufferiez si vous conti- nuiez. » 1 La pression profonde et même un simple pli fait à la peau rév
spontanées. Si on pratique, dans cette région hyperesthésique, une pression même légère le malade est pris d'angoisse. « Si
n cicatricielle et son pourtour. Elle est assez exquise pour que la pression légère amène une véritable crise nerveuse. A n'
delà de l'angle droit. Les mouvements sont douloureux, ainsi que la pression au niveau de l'extré- mité inférieure de l'humé
t facile de constater que les douleurs, nullement exaspérées par la pression sur la tête de la malade ou sur les apophyses t
égeant dans les corps verté- braux sont en effet exaspérées par les pressions suivant l'axe du rachis et 126 A. CHIPAULT pa
les pressions suivant l'axe du rachis et 126 A. CHIPAULT par les pressions sur les apophyses transverses, et les douleurs du
OIGTS EN COUP DE VENT 183 métacarpiens, on ne parvient pas, quelque pression que l'on exerce, à diminuer la flèche de l'arc
les collatérales croisées sont chargées de la transmission des im- pressions sensitives dans leur parcours intra-spinal. Il fa
mains est diminuée. La main droite serre 31 kilogr. à l'échelle de pression du dynamomètre, la main gauche 24 kilogr. Les fou
eut fléchir son avant-bras sur le bras, mais il ne résiste à aucune pression , si légère qu'elle soit. Quant à l'épaule, elle p
éral il fuit en avant, comme si le thorax avait été déformé par une pression bilatérale. « Cette observation semble vérifier
93 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns les régions lombaire et dorsale ni déformation , ni douleur à la pression . On constate une douleur vive au niveau de la s
re à l'épingle, le pincement, éveillent les sensations normales. La pression sur les masses musculaires provoque de la doule
; mais le pincement de la peau et la piqûre ne sont pas perçus. La pression des masses mus- culaires n'est pas douloureuse,
ex- tension de l'index droits, du pouce et de l'index gauches. La pression sur la masse des triceps cruraux est douloureuse,
litres. Ni sucre, ni albumine. 15° jour. - Pas de sensibilité à la pression sur la colonne vertébrale, si ce n'est un peu a
es inférieurs est plus pro- noncée, les mouvements plus limités. La pression sur la partie inférieure de la crête épineuse e
on abdominale, les muscles droits sont fortement contractures et la pression à leur niveau est très douloureuse. Les bras so
nt plus fréquemment et sont plus forts ; il se manifeste de l'op- pression . 160° jour. Les points où l'urinoir touche la f
durant six jours, deux ou trois accès débutant par une sensation de pression montant de l'abdomen, suivis de l'abolition de
ar jour, soit spontanément, soit provoqués par une émotion, par une pression brusque et imprévue sur l'épigastre ou le dos;
ux. Il faut naturellement régler aussi uniformément que possible la pression de la barre sur les téguments, le mouvement de
îné des troubles graves, les uns témoignant de l'augmentation de la pression in- tracranienne, les autres, de processus acti
ouleurs, machines). A la tête, on accuse des sensations de tension, pression , plénitude, vide, constriction douloureuse au n
, sens de la place, sens de la pesanteur, sens de l'espace, sens de pression , sens du mouvement des jointures, sens d'orient
distinction for- melle entre la sensation de frôlement et celle de pression et aussi entre le sens de la place (ortssinnl e
n), ainsi qu'entre les notions de pesanteur fournies d'une part par pression du corps sur la peau, d'autre part par l'action m
llot sanguin, il n'en est pas de même du pouvoir réflexe. La sup- pression de la fonction delà moelle considérée comme cen
moelle et une induration de la portion cervicale qui résistait à la pression . Ce cas est, pour nous, un exemple frappant d'a
à-vis, et en même temps répéta mon ordre : Jette-le, avec une ex- pression particulière de terreur et d'alarme ». « On me
est devenu acariâtre de doux qu'il était et emploie souvent des ex- pressions ordurières qu'il n'auraitjamais prononcées aupara
er la simple commotion de la contusion de la moelle et de la com- pression produite par un épanchement sanguin ? Les troub
ensibilité de tout le côté gauche paraît normale au toucher et à la pression ; mais la sensibilité au chatouillement et au froi
trophiques) ; 3° enfin que, si la sensibilité au tou- cher et à la pression était conservée, la sensibilité au chatouil- le
intense à droite); une diminution prononcée des sens du tact, delà pression , de la vigueur, du lieu; mais c'est la sensibil
re les escarres qui se produisent fréquemment sousl'in- fluence des pressions prolongées, et en particulier les escarres au s
94 (1934) Oeuvre scientifique
ivement provoquées par l'existence d'une poche à air gastrique sous pression plus ou moins forte. Sans doute, le médecin est
tantes éloignées de la tumeur et causées soit par l'augmentation de pression du liquide céphalo-rachidien, soit par des prod
par l'excitation de la peau, mais aussi au moyen de tractions ou de pressions exercées sur les parties profondes. Si dans les
d, l'électri- sation avec des courants faradiques ou voltaïques, la pression exercée sur les parties profondes, les traction
réflexe » des mouvements provoqués par le pincement de la peau, la pression transversale du métacarpe, la supination forcée d
ara- diques, l'application d'un corps chaud ou d'un corps froid, la pression exercée sur les parties profondes, les traction
fois, transfor- mation complète : tous les réflexes sont abolis. La pression artérielle qui avait été prise plusieurs fois d
avec la méthode des oscillations). Mais très peu de temps après, la pression systolique, recherchée de nouveau, n'est plus q
gauche, au niveau de l'émergence de la 7e paire dorsale. La com- pression est considérable et la moelle a pris à ce nivea
tive au point de vue de la symptomatologie des paralysies par com- pression du système pyramidal et du diagnostic précoce des
x, de même intensité exactement qu'au membre supérieur gauche. La pression artérielle est sensiblement la même des deux côté
des deux côtés : nom,5 à droite et 12 centimètres à gauche pour la pression systolique (méthode de Riva-Rocci-Vaquez) ; ell
n systolique (méthode de Riva-Rocci-Vaquez) ; elle est de 8 pour la pression diastolique des deux côtés (appareil de Pachon)
able diminution de l'amplitude des oscillations avec maintien de la pression artérielle. Mais dans le travail où nous avons
cines sacrées. 2" La dissociation des sensations produites par la pression ; du côté où siègent les troubles de la sensibi
on ; du côté où siègent les troubles de la sensibilité profonde, la pression ne détermine que la douleur ; du côté des troub
côté des troubles de la sensibilité superficielle, la sensation de pression est nettement perçue, mais la sensation doulou-
rvention : 3 h. 1/9,. Pendant plusieurs heures après l'opération la pression artérielle reste très basse malgré les moyens t
le a été peut-être due, soit dit en passant, la chute brusque de la pression artérielle, expressément notée dans l'observation
is ; à gauche, la malade reconnaît moins bien ces excitations. La pression n'est pas sentie aux membres inférieurs, mais com
ncore quelques mois plus tard ; elle donne un résultat négatif : la pression du liquide céphalo-rachidien s'élève nettement
pratiqué certaines manoeuvres telles que la fixation du regard, la pression sur les globes oculaires, l'injonction verbale de
itabilité réelle des muscles ou des nerfs : s'il en était ainsi, la pression du doigt sur le nerf facial, par exemple, devra
ondant. Le nerf était le siège de douleurs spontanées; en outre, la pression exercée sur tout le trajet du nerf déterminait un
s troubles de la sensibilité (anesthésie, névralgies, douleurs à la pression des troncs nerveux), les troubles vaso-moteurs et
marbré ou encore d'une teinte uniforme rouge saumon. La plus légère pression provoque une ischémie locale et la tache blanch
fois même, c'est un oedème véritable, se déprimant en godet sous la pression du doigt, surtout au membre inférieur. Cet oedème
consistance est généralement dure et que le godet déterminé par la pression est peu profond. Aux troubles vaso-moteurs s'as
ètre, on voit que les plus grandes oscillations correspondent à une pression supérieure de i à 2 centimètres de mercure à la p
dent à une pression supérieure de i à 2 centimètres de mercure à la pression diastolique.) ; TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFL
oureuses ; les douleurs sont soit spontanées soit provoquées par la pression sur le trajet des troncs nerveux. Vulpian les a
eux fois plus petites au membre paralysé qu'au membre sain, mais la pression systolique (méthode de Riva-Rocci-Vaquez) est n
vaso-dilatation avec élévation de la tem- pérature locale et de la pression intra-artérielle. Il y a tout lieu d'admettre q
-dilatation prononcée, avec augmentation de 2 à A centimètres de la pression artérielle et élévation de la température des t
labyrinthe. Du reste cette action ne paraissait pas surprenante, la pression du liquide labyrinthique devant être subordonnée
aspect normal, ne présente aucune gibbosité et n'est douloureuse à la pression en aucun point. On pratique une ponction lombai
ressé à l'un de nous; il souffrait encore beaucoup spontanément, la pression sur les points classiques était encore très dou
95 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du 1G février 1905 au 20 mai 190G. Agitation jusqu'au 10 mai. Dé- pression du 15 mai au 30 juin. Agitation du 20 juillet au
facteur primitif de la productiondu sommeil et l'abaissement de la pression san- guine un phénomène consécutif la courbe de
s. Le malade est un type de circulaire : il a des périodes de dé- pression d'une dizaine de jours environ, où il reste dans
atons qu'elle ne distingue aucun objet de l'O. G. et ne sent pas la pression sur le membre supérieur gau- che. » Le lendemai
moniques. dues à l'action directe du milieu extérieur (température, pression ) se joignent indissolublement à des souvenirs c
t- Quant aux centres de perception,`le principe de 1' « unité d'im- pression ou de sensation », défendu aussi par Cajal est ég
gasinés dans le côté opposé. Du reste le principe de l'unité d'im- pression met encore mieux en évidence la nécessité de la s
n eau de source donne 324 hectolitre s des bouches d'eau sous forte pression assurent le service d'incen- die en chaque quar
olue sans solution de continuité. Dans la démence précoce, la dé- pression la plus profonde est interrompue par des réac-
tous les aliénés. L'attitude du malade, l'affaissement et son ex- pression de tristesse ne sont d'aucune importance. Les s
ra- vagances. Progressivement son apathie s'accentue. A cette dé- pression croissante s'ajoutent des conceptions délirantes
ans pai une longue période prodromique caractérisée par de la dé- pression morale. Progressivement s'affirment divers phénom
trois couleurs dites primitives. De même.une main anesthésique aux pressions légères et profondes conserve cependant la stér
de transfert par la métallothérapie, le « soufflet capillaire ». la pression sur la tête etc, avait souvent fait allusion à
SYCHOLOGIE. ganisme, il faudrait avant tout démontrer que les im- pressions et états de conscience anciens, dont le réveil-
importance pour la formation de la personalité, le siège des im- pressions par rapport à la ligne médiane n'est pas remar-
à fait accessoire, établie entie la vision par l'oeil droit (im- pression des deux moitiés du champ visuel de cet oeil, f
hères d'autre part : « M. C... est mise en somnambulisme par légère pression sur le vertex...; on lui ordonne d'ouvrir compl
l y ait, chez le coêtre dissocié, « rapport conscient entre l'im- pression perçue et la réaction qui s'ensuit » (p. 92). Ré-
moelle, par la contraction des artérioles et l'augmentation de la pression sanguine, l'autre, secondaire, caractérisée par l
Dans la seconde période (parésié' vasculaire et abaissement de la pression sanguine) la décharge thermique a une durée et un
lsion per- sonnelle et que d'autres n'y répondent pas. Il a l'im- pression d'être divisé, dédoublé. - Mais pour cela, il e
Enfin, les auteuçs pour qui le sentiment du libre arbitre est l'ex- pression de la réalité n'envisagent le plus souvent pas la
aie- ment. Epuisement rapide de la sensibilité au contact et à la pression . M. MAx'EGGER présente un travail fait dans le
s analogues au point de vue de la sensibi- lité au contact et, à la pression : la plupart des malades observés . ont présent
peuvent revêtir, en'.l'absence de toute lésion méningée, une ex- pression clinique que l'on qualifie de méningitique, alors
a production d'altérations du tissu cérébral sous l'influence de la pression développée par l'obstruction de ce courant par
urant par une tumeur ; la plus grande résis- tance de l'écorce à la pression que de la substance blanche. Les néoplasmes dév
ion de liquide céphalo- rachidien peut remédier à l'augmentation de pression produite par la croissance d'une tumeur. , F. T
. Les muscles prennent la forme de cordes rigides douloureuses à la pression ; la mobilité et la force musculaire sont fonct
96 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
es entières, ne pouvant être modifiées par aucune de ces manœuvres, — pression ovarienne ou de divers points hystérogènes, — qui
la moyenne de» personnes. Il en était de même pour les sensations de pression et pour les impressions électriques. Sa mémoire t
'avait pas conscience, l'hyperesthésie, à droite, la sensibilité à la pression de la fos«e iliaque, symptôme, pour le dire en pa
e dire en passant, d'une saisissante analyse avec la sensibilité a la pression de l'ovaire, si commune chez la femme en pareil c
er, il suffit d'immobiliser l'animal pendant un certain temps par une pression douce, après l'avoir mis dans une position anorma
Les modifications observées indiquaient qu'il y avait augmentatiou de pression sanguine ne pouvant être attribuée qu'au rétrécis
oureuses sur le fond de l'utérus ; cette douleur est exaspérée par la pression et la marche. Clou hystérique, sensation fréquent
subluxation de la machoire qui reste béante, jusqu'à ce que, par une pression énergique exercée d'avant en arrière sur les cion
on sensorielle vive (lumière, son etc.) Fixation d'un objet brillant. Pression ou friction des régions déterminés du corps (zone
mi-heure à trois ou quatre heures. Arrêt spontané, ou provoqué par la pression de l'ovaire. Fatigue intense au réveil, empêchant
ation : « 18 septembre. — Endormie, non plus par fixation, mais par pression des globes oculaires, la malade ne peut plus parl
veil en souillant sur les paupières. » 20 septembre. — Endormie par pression des globes oculaires, la phase de somnambulisme s
ité n'es t absolue qu'au bout d'un instant. A la suite d'une nouvelle pression des globes oculaires, suivie de l'ordre d'ouvrir
est immobile, les yeux sont ouverts Elle retombe en somnambulisme par pression sur le vertex. .» 35 septembre. — Hypnose en état
r le vertex. .» 35 septembre. — Hypnose en état de somnambulisme, par pression des globes oculaires. Extase par le soulèvement d
es. Retour de la parole et de la forme habituelle de l'hypnose par la pression du vertex. Anesthésie absolue durant toutes ces m
rechercher s'il existait, sur le corps, des points sensibles et, des pressions surcertaines régions de la poitrine, déterminèren
nde; le délire continua ; c'était surtout un délire de sensations. La pression que j'avais exercée sur la poitrine avait produit
prérogatives et ses traditions routinières, semble cependant, sous la pression de l'opinion publique, se décider a faire quelque
eux de toutes les parties de son corps. L'examen se faisait sous la pression de l'idée préconçue : que le diable marquait le p
: par les ongles, par le grattage, par un pli de sa chemise, par une pression sur un meuble. Si, prenant un stylet mousse, un
mmun entre eux que la teinte érythéma-teuse qui suit immédiatement la pression de l'ongle ou du stylet sur la peau du malade en
tés ; elle sentait la pointe d'une épingle, le contact des objets, la pression sur la peau, l'impression du froid et du chaud.
a tête ; le bras levé n'a ancune résistance, il cède à la plus légère pression . Il ne peut étendre sa main qui reste fléchie sur
à toutes les excitations, qu'elles qu'elles soient : contact, piqûre, pression , chaleur, refroidissement, sont inaperçus. Tout
ar eux pour une manifestation gangreneuse. Il est dur, résistant : la pression du doigt ne fait que décolorer la peau sans y pro
très colorée et d'une véritable teinte cyanique ; elle est dure à la pression et le doigt ne s'y enfonce pas ; enfin elle est d
97 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
s grands secours. Les petits « secours consistaient en attouchements, pressions , coups modérés sur « diverses parties du corps :
me psychologique. 1889, p. 140. écrivant: « La suggestion est une pression morale qu'une personne exerce sur une autre » (1)
mot pour désigner le fusil, l'acte de le charger, celui de viser, la pression sur la gâchette, la détonation, la fumée, la traj
t encore, elle ne s'est point retirée spontanément ; elle a cédé à la pression de sa sage-femme qui intriguait pour faire agréer
sur la durée, le thermomètre sur la température, le baromètre sur la pression atmosphérique, l'hygromètre sur l'humidité de l'a
le thermomètre pour connaître l'état hygrométrique, la-montre pour la pression atmosphérique, l'hygromètre pour la durée ou le b
onnaie en argent (de 15,5 millimètres], exerçant avec elle une légère pression et suggérant, en même temps, une brûlure par un c
le dos de B. déjà endormie et je les appliquai sur la peau, avec une pression légère, en disant : « Je vous brûle réellement, c
ntinue, déjà ouverte et de forme plutôt elliptique que circulaire, la pression exercée par l'étui du thermomètre n'ayant pas été
at de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la contracture par la pression exercée sur les masses musculaires, les tendons,
i adow (contribution à l'étude de l'influence des modifications de la pression sanguine artérielle sur la morphologie du sang) :
espiration (sachant que la respiration agit de diverses façons sur la pression artérielle) et de la pression artérielle qui a ét
piration agit de diverses façons sur la pression artérielle) et de la pression artérielle qui a été enregistrée avec le sphyg-mo
près un choc émotif Cœur et pouls 92 80 94 Respiration 19 17 22 Pression artérielle 13 14 — Globules rouges 4.000.000 4.
près une émotion Cœur et pouls 107 96 108 Bespi ration 18 16 18 Pression artérielle 12 13-14 — Globules rouges -1.400.00
t Après une émotion Cœur et pouls 86 78 90 Bespiration 17 16 18 Pression artérielle 9 9 — Globules rouges 2.750.000 4.60
cophagie. Avant Pendant Cœur et pouls 84 80 Bespiration 16 16 Pression artérielle 11-12 13 Globules rouges 4.130.000 '
Après une émotion Coeurs et pouls KO 72 88 Respiration 17 17 20 Pression artérielle 14 15 — Globules rouges 4.300.000 5.
plus oppressée et plus nombreuse dans la proportion de 0 à 3. 3° La pression artérielle se trouve légèrement augmentée dans la
dépendance directe desquels se produisent : 1° Une régulation de la pression . 2° Une régulation de l'afflux sanguin. Cette r
aires surtout marqués à la périphérie (et d'ici retentissement sur la pression générale). D'ailleurs les expériences sur les a
tation du pneumogastrique apporte, non seulement un abaissement de la pression artérielle, mais une chute brusque du nombre des
ématique et leucocytaire, par l'intermédiaire des modifications de la pression artérielle et cette modalité spéciale de la réact
es républiques autonomes. Mais elles pratiquent la fédération sous la pression des circonstances, et ainsi se formèrent les Co
98 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
s prononcée : le moindre frôlement exaspère la douleur, tandis qu'une pression un peu forte amène du soulagement. Les membres in
s symptômes qui la caractérisent résulteraient de l'exagération de la pression à l'intérieur du crâne. Mais il paraît prouvé qu'
quadrijumeaux, étaient fortement aplatis. Eh bien, dans ce cas, où la pression intra-cranienne était évidemment exagérée (l'hype
mpression simple, sans modification autre que celle qui résulte de la pression exercée sur les parties. C'est ce qui a eu lieu t
e même (Buming pains). L'absence de points douloureux exagérés par la pression , un des carac-tères objectifs des névralgies, est
le se conforme, en général, à la loi de sen-sation périphérique. A la pression , on observe quelques va-riétés : tantôt la douleu
uleur locale vertébrale que provoque ou qu'exaspère très nettement la pression ou la percussion, sont des symptô-mes concomitant
r les quatre membres, l'observation démontre, d'un autre côté, qu'une pression moins forte, s'exerçant sur cette même région, pe
e, mais encore sur tous les points des membres paralysés soumis à une pression un peu pro-longée. Ces escarres, qui, comme les
est de même, d'après mes observations, des douleurs provoquées par la pression qui traduisent une exaltation delà sensibilité de
ts ou des fourmillements ; 2° et aussi des douleurs provoquées par la pression ou la traction des masses musculaires. J'insiste
e toutes les parties des membres paralysés, soumises aux plus légères pressions , se cou-vrit de bulles et même d'escarres. L'ex
u processus morbide). Cellules adipeuses partout conti-guës et que la pression réciproque a ren-dues polyédriques.— Faisceaux mu
ssi être affectés. En conséquence, le ventre est proéminent, dur à la pression , séparé de la base du thorax par un pli horizonta
rieurs une paralysie du mouvement, laquelle persiste tant que dure la pression et même lui survit pendant quelque temps. La cons
y a lieu de croire, d'ailleurs, d'après l'ensemble des faits, qu'une pression quelconque exercée sur le tympan et propagée au l
ij. New-York, 1870. Pl. III et VI. 3 Paris, 1866. Pl. Il, flg. 6. pression symptomatique d'une même altération organique, dé
ait des progrès. Les côtes sont solides et ne cèdent nullement à la pression , ainsi que cela a lieu habituellement dans l'osté
u, du dos, des membres inférieurs et on constatait directement que la pression sur les apophyses épineuses était dou-loureuse to
3, il était calme et régulier. La sensibilité cutanée est normale. La pression sur les masses mus-culaires ne détermine pas de d
processus morbide). — Cellules adipeuses partout con-tiguës et que la pression réci-proque a rendues polyédriques. — Faisceaux m
99 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
mmatoire ne les entoure; elles sont peu ou point douloureuses il la pression . Au bout de quelques heures, un jour ou deux, c
s le cerveau étant en pleine évolution psychique, la durée de l'im- pression n'est pas en raison directe de son intensité. Aus
place la plus importante dans le syndrome qui résulte de cette com- pression des racines rachidiennes ; l'impotence fonctionne
s mouvements sont d'une fai- blesse remarquable, la résistance à la pression dans toutes les direc- tions n'atteint pas 100
les différents sens mais sans force et sans habileté. Tandis que la pression dynamomé- trique est de 18 à droite, elle est à
l'autre à l'hypogastre au-dessus du pli de l'aine du côté droit. La pression exercée au niveau de ces points détermine d'abord
LPÈTRIÈRE. nution de l'ouïe du côté droit; douleur provoquée par la pression de la région ovarienne gauche. , La malade a
un dans la région ovarienne droite, l'autre sous le sein gauche. La pression en ces points, si elle ne provoque pas d'attaque
l'affaiblissement était tel qu'elle était incapable de fournir une pression de plus de 50 grammes et que le temps de réacti
s volontaires. La figure 45 donne la représentation graphique de la pression des deux mains sur deux tubes élastiques fermés
émité et communi- quant de l'autre avec deux tambours inscripteurs, pression faite au commandement, par un malade atteint d'
l'apparcil ouregistcur glissant dans une irolc, D, munie d'une vis à pression . - E, F, Cotiiroies se réunissant derrière le c
On aspire par le tuyau flexible l'air contenu dans le goulot, et la pression atmosphérique y fait pénétrer de nouvelles quan
signes d'une affection périphérique du trijumeau : sensibilité à la pression et légère ancsthésio du territoire de la 2° bra
la douleur est très sourde; elle n'existe pour ainsi dire pas. La pression exercée au niveau de ces points d'élection ne la
apparence; elles sont simplementmoins fréquentes et moins vives. La pression sur les lieux d'élection ne les réveille point, p
sous-cutané, ce qui en rend le glissement impossible. La moindre pression y est douloureuse; sa consistance est assez ferme
rmalement perçus. Mais il existe une douleur exquise que la moindre pression , le plus petit mouvement, exaspèrent au point d
100 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uloureuse empêchant l'extension passive et la flexion, douleur à la pression le long des troncs nerveux en parti- culier sur
nsable, car si le liquide céphalo-rachidien est soumis à la moindre pression on le voit sourdre spontanément. 18 ' REVUE D
cé son genou sur la poitrine de Maitre : Je n'ai, dit-il, exercé de pression que sur l'épaule du malade. Les dépositions des
es aigus des troubles senso- riels de divers genres en exerçant une pression sur les globes ocu- laires. Le malade voit des
-ils dans les services d'aliénés qu'à leur corps défendant, sous la pression de nécessités matérielles, attirés qu'ils sont
t pas. Les muscles de la jambe et de la cuisse sont douloureux à la pression des deux côtés. La sensibilité tactile, est amo
mip1'ive. Reverdin attribua, sans hésiter, ces troubles à la sup- pression des fonctions du corps thyroïde -par suite de son
tiqué la filtration avec une bougie de porcelaine; mais sous faible pression et même a tout simple- ment filtré sur du papie
obtenu par filtration à travers une bougie de porcelaine sous forte pression . Toutes ces opérations doi- vent être faites d'
sseur sur la surface externe de la portion verticale du frontal. La pression sur cette zone saillante ne provoque aucun symp
s douloureux sur le trajet des troncs nerveux avec sensibilité à la pression , d'un certain degré d'atrophie avec diminution
og. Centralbl, 1891; Archives de Neurologie), il s'est adressé à la pression veineuse et à celle du liquide céphalo-rachidie
Douleur au niveau de l'ovaire chez les deux malades. Chez l'une la pression ovarienne provoque et suspend les attaques. Cel
s douleurs fulgurantes paroxystiques, avec sensation de froid et de pression aux extrémités inférieures; le réflexe du genou
er à la selle qu'à l'aide de purgatifs, d'efforts violents, de com- pression de l'abdomen avec les mains, et que cette défécat
troubles génito-urinaires, troubles de l'ouïe, in- sensibilité à la pression du nerf cubital, sensation de coton à la plante
chauffage (le meilleur est le chauffage par la vapeur d'eau à basse pression ). Les jardins doivent avoir une superficie basé
rée se fait presque brus- quement, sans nuances intermédiaires. Par pression avec le doigt on obtient une tache blanche et u
ré une différence de 4 à 5°. Les troncs nerveux sont indolores à la pression . Pour se rendre compte de l'irrigation du membr
s elle se rapproche, à un pas régulier, des idées médicales sous la pression de l'opinion publique renseignée par la diffusi
atomique oscillant, tels les hémorrha- gies capillaires, l'excès de pression due aux tumeurs cérébrales. P. K. LXVI. L'algés
; la sensibilité électrique, le sens de la loca- lisation et de la pression l'étaient moins. Absence des réflexes cornéen e
ation, et, inversement, l'accélération d'un ralen- tissement. 3° La pression du sang augmente. 4° La respira- tion, quelquef
re à la face externe et antérieure de la cuisse, de la douleur à la pression ou à la suite d'efforts prolongés; intégrité de
hémi-rougeur, hémi-hyperthermie, hémi-sug- gillatious à la moindre pression , du côté droit. En mars, cet état . subsistant,
entaires de la vie, la réponse localisée (nutrition) pour toute im- pression de la surface est nécessaire et rend le tact suff
ues. Ensuite, au moment où arrivée au corps cellulaire, cette im- pression va gagner la moelle, elle s'éloigne du centre du
eau; il ne sent pas non plus le contact de gros objets appuyés avec pression sur sa main. b) Sensibilité à la douleur. 1° Cô
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