E PARIS LAURÉAT DE L'INSTITUT ET DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE ' TOME
PREMIER
MÉTHODES GÉNÉRALES D'ÉTUDE EMBRYOGÉNIE HISTOGEN
férenls faisceaux, ainsi que l'origine de leurs nerfs respectifs.
PREMIÈRE
PARTIE CHAPITRE 1 MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTU
eur dans le numérotage des racines, on peut aller à la recherche du
premier
nerf dorsal, dans le creux sus-claviculaire, au
e étiquetée le' dorsale dans le canal rachidien, correspond bien au
premier
nerf dorsal. Lorsqu'il s'agit de lésions portan
n encore plus parfaite des fibres à myé- line, Weigert a modifié sa
première
méthode, et imbibe d'un sel de cuivre la pièce
l'un de nous, et dans tous leurs détails sur verre dépoli. Puis, ce
premier
dessin, purement linéaire, était calqué de nouv
blatt. 1891. CHAPITRE II DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX' I. -
PREMIERS
DÉVELOPPEMENTS DU NÉVRAXE Le système ner- veu
ilitée par les travaux si importants de His. Cependant, l'étude des
premières
phases du développement n'a pu encore être faite
opaques (4), *), étroites à leur partie moyenne, qui correspond aux
premières
protover- tèbres (PV), plus larges en avant e
vésicules encéphaliques antérieure, moyenne et postérieure, ou de
première
, deuxième et troisième vésicules encéphaliques
et qui procèdent soit par division, soit par bourgeonnement, des
première
et troi- sième vésicules encéphaliques. La vési
al.) CM, canal neural ou médullaire. - GS, ganglion spinal. - EC,
premiers
rudiments des cellules du tube endothélial du coe
vue par la face inférieure ou ventrale. - 1, bord antérieur de la
première
vésicule encéphalique qui se courbe vers le bas.
t feuillet rétinien .(le la vésicule oculaire secondaire (d). - V,,
première
vésicule encéphalique - Vo, vésicule oculairo p
rmédiaire d'un court et large pédicule creux, le pédicule oculaire,
premier
rudiment du nerf optique; leur partie supéro-po
te d'une prolifération de ses cellules, il une petite masse pleine,
premier
rudiment du cristallin (lig. 16, d, ([Il*[ est pe
, est le plus souvent accompagné d'un arrêt de développement de la.
première
vési- cule encéphalique, dont la fente vertico-
rties, on trouve en général une dépression large mais peu profonde,
premier
rudi- ment de la fosse Sylvienne (FS). Un léger
t au développement inégal de la voûte et du plancher du névraxe. La
première
courbure qui apparaît, est connue sous le nom de
uxième mois de la vie embryonnaire; ils correspondent exactement au
premier
u Septum postérieur. Sillon médian pos- t
17, ventricule latéral, DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 11 : 1
premier
mois de la vie intra-utérine Entre la suture opto
C, écorce cérébrale.- Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fi,
première
circonvolution frontale.-FT, faisceau de Tlirck
uturale opto-striée primitive. - STh, région sous-thalamique. - Ti,
première
circonvolution temporale. - To, deuxième circon
oisième segment du noyau lenticulaire. - nL, nerfs de Lancisi. - 0,
première
circonvolution occipitale. - l'ch, pli choroïdien
. - ssl, sillon semi-lunaire. Ssy, surface suturale primitive. - 1'l,
première
cir- convolution temporale. - lec, ttenia tecta
. , Fiu. u-t. - r ace interne du cerveau u un loetus humain de la
première
moitié du cinquième mois. (D'après V. Mihalkovicz
hémisphèros cé- rébraux. i Epaississement de leurs parois.
Premiers
sillons, définitifs. Sillon ammonique. I
pare le txnia tecta et le fasciola cinerea du gyrus fornicatus , ou
première
circonvolution limbique; au niveau du sillon de l
, il délimite le gyrus fornicatus (circonvolution du corps calleux,
première
circonvolution limbique (L,), compris entre le
ippocampe. - it, incisure temporale. - K, scissure calcarine. - Li,
première
circonvolution limbique. - LI (i), isthme du lo
à celui des ganglions de la base du ccrveau antérieur, et dont les
premiers
rudiments apparaissent déjà vers la lin du premie
ur, et dont les premiers rudiments apparaissent déjà vers la lin du
premier
mois de la vie intra-utérine, sous la forme d'u
ernicke. Vers le sixième mois apparaît la scissure ''parallèle ou
première
temporale; elle est parallèle à la branche pos-
is circonvolutions parallèles à direction antéro- postérieure : les
première
, deuxième et troisième circonvolutions tempo- r
chez l'embryon humain 10 au1 y., les grandes 13 à 1 ? le noyau des
premières
mesure de 4 à 5 y., celui des secondes de 6 1/2
nsformations en deux stades, l'un embryonnaire, comprenant les deux
premiers
mois de la vie intra-utérine, pendant lequel le
astes en cellules nerveuses et en cellules névrogliques. - - § I.
PREMIER
STADE. STADE EMBRYONNAIRE. A. CELLULES ÉPITHÉLI
nerf grand hyporlosse. - 1, 2, 3, 4, 5, ganglions spinaux des cinq
premiers
nerfs cervicaux. loto ANATOMIE DES CENTRES NERV
nstitution radiaire de la charpente épendymaire et l'apparition des
premiers
neuroblastes, que l'on constate leur présence d
est défendue par Ramon y Cajal et v. Lenhossek. - D'après les deux
premiers
auteurs, toutes les cellules névrogliques provi
ngement cylindre-axile apparaît de très bonne heure avant la fin du
premier
mois (His). Leurs prolongements protoplasmiques
ses; elles s'en- lacent comme une liane autour des ramifications de
premier
et de deuxième ordre des dendrites des cellules
ve est constituée au moins par trois neurones. Le neurone sensitif de
premier
ordre est représenté par la cellule du ganglion
se d'insertion conique (fig. 114). De très bonne heure, à la fin du
premier
mois chez l'embryon hu- main (llis), la périphé
s à divers états de développement. (D'a- près Vignal.) Los deux
premiers
, A et B, viennent d'un nerf d'un embryon de
'après Ran- vier.) (', étranglement du tube en T. - n, noyau du
premier
segment de la branche cellulaire fin T. ë. prem
- n, noyau du premier segment de la branche cellulaire fin T. ë.
premier
étranglement de la branche cellulaire. ttt, n
ns, et forment dans le ganglion une masse granuleuse, comparable au
premier
abord à la substance ponctuée, décrite par Leyd
é de l'ar- borisation terminale, et sontsitués au voisi- nage des
premières
ramifications ; ils con- stituent les noyaux cl
, sillon calloso-marginal ; cm', sa branche verticale. Fi, h'q, Fa,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
onvolutions frontales. - Fa, circonvolution frontale ascendante. f,
premier
sillon frontal. - 11ci, hémisphères cérébelleux.
- 11ci, hémisphères cérébelleux. - ip, sillon interpariétal. - L,,
première
circonvolution du lobe lombique. - mF" face inter
de la pre- mière circonvolution frontale. -NL, nerf de Lancisi. Oi,
première
circonvolution occipitale. - Pi, Pa, première e
nerf de Lancisi. Oi, première circonvolution occipitale. - Pi, Pa,
première
et deuxième circonvolutions pariétales. - l'a, ci
e circonvolution occipitale. - oF,, oFs, oF" partie orbitaire , des
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
perforé antérieur. - Spp, espace perforé postérieur. - Ti, T., T'a,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
occipital. - P, lobe pariétal. - T, lobe tem- poral. - F,, f'2, F3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
e. - Iv', éperon supérieur do la scissure calcarine. - 0 ! , 0;,03,
première
, deuxième et troisième circonvolutions occipitale
- oa, sillon occipital antérieur. oF\, oF" oF3, face orbitaire des
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
- OpP, opercule pariétal. - Opli, opercule rolan- dique. - Pi, P2,
première
et deuxième circonvolutions pariétales. - Pa, cir
nche verticale ascendante de la scissure do Sylvius. - 7't, Tt, T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
anche commune aux scissures calcarine et pariéto- occipitale. - LI,
première
circonvolution du lobe limbique. - L2'H), deuxièm
ue. - sec, sinus du corps calleux. - 7, sinus de \Ionro. - so, so',
premier
et deuxième sillons sus-orbitaires. - Sp, septum
ès la photographie d'une pièce durcie dans l'alcool.) Fi, F., r3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
ions frontales. c,capde la troisième circonvolution frontale. ? i ?
premier
et deuxième sillons frontaux ? sillon de la deuxi
pitalc. - Iv", éperon inférieur de la scissure calcarine. - 01,0.,Oa,
première
, deuxième et troisième circonvolutions occipita
a, sillon occipital antérieur. - oF\¡oF ? oF3, partie orbitaire des
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
ntal. - OpP., opercule pariétal. - OpR, opercule rolandique. ^1,^2,
première
et deuxième circonvolutions pariétales. Pa, circo
a scissure de Sylvius. -soe, sillon orbitaire externe. 7·,,TE, 7'3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
ndue de la scissure de Rolando, ainsi que les pieds d'insertion des
premières
circonvolutions frontale et pariétale. C, cap
le. C, cap de la troisième circonvolution frontale. - F,, Fa, F3,
première
, deuxième et troisième circonvo- lutions fronta
emière, deuxième et troisième circonvo- lutions frontales. - fi,fi,
premier
et deuxième sillons frontaux. - ? sillon de la
e. - OpP., opercule pariétal. - 0/;ff, opercule rolandique. - Pi,P,
première
et deuxième circonvolutions pariétales. - Pa, c
' ! +p)'.}, sillons prérolandiques infé- rieur et supérieur. - 7tC"
premier
pli vertical de Gromier. - 7tC., deuxième pli v
après, la photographie d'une pièce à l'état frais.) F'1,"F2;F3,
première
, deuxième- et troisième circonvolutions front
ière, deuxième- et troisième circonvolutions frontales. - fi, f2,
premier
et ' deuxième sillons frontaux. - Fa, circonv
Fa, circonvolution frontale ascendante. - /, insula. - P ? Po,
première
et deuxième circonvolutions pariétales. - j0[
ue infé- rieur. R, scissuredeRolando, S, scissure de Sylvius. -
première
circonvolution temporale. - 3j, circonvolu- t
frais.) C, cap de la troisième circonvolution frontale. F,, F3, F,,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
mière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. rio f2, f3,
premier
, deuxième sillons frontaux. - Fa, ci ? convolut
ution postérieure de l'insnla. - ip, sillon inter-pariétal.-P,, Pa,
première
et deuxième circonvolutions parietales. -Pa, circ
t dont les principaux sont constitués par les pieds d'insertion des
première
et deuxième circonvolutions frontales. Lorsque
sillon prérolandique inférieur qu'il compense (fig. loi, 155, 158).
Premier
sillon frontal (f;).- SYNo.xYMiH.scus frontalis s
o.xYMiH.scus frontalis superior.Obere Slirn- urche (Ecker, Pansch).
Premier
sillon frontal (Broca). - SU}JC1'O-fJ'olltal sulc
ier sillon frontal (f,), il direction antéro-postérieure, sépare la
première
circonvolution frontale de la deuxième. Il naît e
e, dont il est séparé en général par les pieds d'insertion des deux
premières
circonvolutions frontales (1 ? F2), Son origine
ue (pri, prs) (f)g. 155, t5G), sniouprôrota.n'U- quc supbriour.
Premier
sillon frontal Luc. 15G. Lobe frontal droit. (D
photographie d'une pièce durcie dans le bichromate.) Fi, F., F3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
les. - F.,(c), cap de la troi- sième circonvolution frontale. - f,,
premier
et deuxième sillons frontaux. /%, sillon de la
ontale. -OpF, opercule frontal. 0/jR, opercule rolandique.- Pi, Pe,
première
et deuxième circonvolutions pariétales. - l'a, ci
scissure de Sylvius. - soe, sillon orbitaire externe. - Ti, T, 13,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
r un ou deux plis anastomotiques superficiels, qui relient les deux
premières
circonvolutions frontales. Un troisième pli anast
n ironto- marginal (fm), dans lequel il se jette quelquefois. Les
premier
et deuxième sillons frontaux donnent, en différen
ès la photographie d'une pièce durcie dans le bichromate.) F,,F.,
première
et deuxième circonvolutions frontales. - F,(c),
sure pariétale de l'opercule. - oF1, oPe, oF3, partie orbitaire des
première
, deuxième et troi- sième circonvolutions fronta
circon- volutions frontales, qui portent de haut en bas les noms de
première
deuxième et troisième circonvolutions frontales
noms de première deuxième et troisième circonvolutions frontales.
Première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales
Superior frontal gyrus (Turner). - Troisième frontale (Meynert). -
Première
circonvolution frontale (Broca). Deuxième front
ircon- volution frontale (Broca). Étage ou pli frontal inférieur;
premier
étage ou surcilier (Gratiolet). - Première fron-
e ou pli frontal inférieur; premier étage ou surcilier (Gratiolet). -
Première
fron- tale (Meynert). - Infero frontal gyrus (H
xtaposent pour décrire un trajet curviligne parallèle à celui de la
première
frontale, et pour s'insérer à la moitié supérieur
ce durcie au bichromate.) D, gyrus descendons d'Ecker. - FI, F, F3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
frontales. - F3(c\ cap de la troisième circonvolution frontale. fi,
premier
et deuxième sillons frontaux. /2, sillon de la
-ip, sillon inter-pari,;tal. - j, incisure de Jensen. - 0" o ? 03,
première
, deuxième, troisième circonvolutions occipitales.
sième circon- volution frontale. opF,, opercule frontal. - Pl, 1),,
première
, deuxième circonvolutions pa- riétales. - Pa, c
rolandique, supérieur. - pt, sillon pariétal transverse. - 7tGI, 7tG"
premier
et deuxième plis verticaux de (lromier. - R, sc
ment de la branche verticale de la scissure de Sylvius. - Ti,T*,T3,
première
, deuxième, troisième circonvolutions temporales
rofondé- ment situé, que le sillon prérolandique semble , ,. au
premier
abord, se jeter directement dans la scis- sur
. cm' ,partieyerticale du sillon çalloso-marginal.-F" F., F3,' z
première
, -deuxième et troisième circonvolutions frontales
onvolutions frontales. Fa, circonvolution frontale ascendante.' /r,
premier
sillon frontal. - incisure du deuxième sillon f
rontal. ip, sillon inter-pariétal. j, incisure de Jensen. - 01, 0.,
première
et deuxième circonvolutions occipitales. Pi, Pi
n prérolandique supérieur. - pt, sillon pariétal transverse. - 7tG"
premier
pli vertical de Gromier. - R, scissure de Rolan
ieur de l'insula (ms). La troisième circonvolution frontale fait sa
première
apparition chez les anthropoïdes, où elle n'exi
volution frontale en rouge. D, gyrus descendens d'Ecker. F,,F,F3,
première
,, deuxième et troisième circonvolutions frontal
ipo, incisure pré-occipitale. -,j, incisure de Jensen. - 0,, 0., 03,
première
, deuxième et troi- sième circonvolutions occipi
, sillon occipital antérieur. - oF,, oF ? 0F3, partie orbitaire des
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
onvolution pariétale inférieure. - OpR, opercule rolandique. - PI,P2,
première
et deuxième circonvolutions pariétales. - Pa, c
cissure de Sylvius.- soe, sillon orbi- taire externe. - Ti, T., T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
et troisième circonvolutions temporales. - ti, sillon parallèle ou
premier
sillon temporal. - l ? sa branche verticale. t2,
. - 0/) ? opercule pariétal. - OpR, opercule rolandique. - 1'l, Pi,
première
et deuxième circonvolutions pariétales. Pa, circo
(a), sa branche antérieure; S(v), sa branche verticale. - 7't, 7., 7,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
SYNONYMIE, - l'roccssi enleroidei - vertical di mezzo (Rolando). -
Premier
pli ascendant (Gratiolet). - Antcro-parietal gyru
me et troisième circonvolutions fron- ' tales (F2, Fla). L'union du
premier
sillon frontal avec la scissure de Rolando corr
journé dans l'alcool.) '. cm, sillon calloso-marginal. - F,, F;,f3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
ution frontale. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - fi, f2,
premier
et deuxième sillons frontaux. ? incisure du deuxi
convolution pariétale ascendante. ,, pFi, pF, pieds d'insertion des
première
et deuxième circonvolutions frontales. - por, sil
landique inférieur. - prs, sillon prérolandique supé- rieur. -1tG1,
premier
pli vertical de Gromicr. - pt, sillon pariétal tr
ure, verticale et postérieure de la scissure tle Sylvius. - T,, T.,
première
et deuxième circonvolu- tions temporales. - ti,
,, T., première et deuxième circonvolu- tions temporales. - ti, le,
premier
et deuxième sillons temporaux. 264 ANATOMIE DES
a. - io, sillon inter-occipital. - ip, sillon inter- pariétal.- Oi,
première
circonvolution occipitale. - 0" deuxième circonvo
Pa, circonvo- lution pariétale ascendante. - lle, pli courbe. - Pi,
première
circonvolution pariétale. - 112, deuxième circo
que supérieur. - pt, sillon pariétal transverse de Brissaud. - 1tG"
premier
lui vertical de Gronder. - 1tG" deuxième pli vert
supérieur. S(v), branche verticale de la scissure de Sylvius. - 7 ?
première
circonvolution temporale. - Tt, deuxième circon
nvolution temporale. - Tt, deuxième circonvolution temporale. - ti,
premier
sillon temporal. t'i,t'i, ses branches vertical
phie d'une pièce fraîche.) . D, gyrus descendant d'Eckeiv F,,F3,F,,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
do] Jensen. - K", éperon inférieur de la scissure calcarine. - 01,0t,
première
et deuxième circonvolutions occipitales. - 0" d
- tale. - OpP, opercule pariétal. - OpR, opercule rolandique. - Pi,
première
circonvolution pariétale. 7 ? deuxième circonvo
, pli anastomotique profond du sillon inter-occipital. - 7tG" 7tG.,
premier
et deuxième plis verticaux de Crémier. - 7tP.,
s. - S(v), branche verticale de la scissure de z Sylvius. - T,, Ti,
première
et deuxième circonvolutions temporales li, sillon
ière et deuxième circonvolutions temporales li, sillon parallèle ou
premier
sillon temporal. - l ? branche verticale du sillo
inférieur, de (elle sorte que le sillon post-rolandique pourrait, à
première
vue, être confondu avec la scissure de Rolando
une antérieure, le pli 7zzar,irtal.ntpc-rinur (Gsm) de Gratiolet ou
premier
pli de passage pariéto-temporal, l'autre postér
assage pariéto-temporal, l'autre postérieure, le pli courbe (Pc).
Première
circonvolution pariétale (P,). Synonymie. Lobule
er). Lobulus parietalis superior, Obères Scheitelhppchen (Ecker). -
Première
circonvolution pariétale (Broca). Notation : (E
au même hémisphère.. Fa, circonvolution frontale ascendante. Fi,
première
circonvolution frontale ? r2, deuxième circonvo
circonvolution frontale.-F,(c), cap de la circonvolution de Broca. f,
premier
sillon frontal.- fi, deuxième sillon frontal. -
rontale ? Op.F', opercule frontal.OpjR, oper- cule rolandique. - 0"
première
circonvolution occipitale. - 0=, deuxième circonv
branche postérieure. - Tp, circonvolution temporale profonde. - T,,
première
circonvolution temporale. Tue, deuxième circonvol
lh6eliei,léipp(,-heiz (lluschke). Unterer Scheilelbogerz (Meynert).
Première
pariétale (Hnguenin). Lobule temporal inférieur
mière, deuxième et troisième circonvolutions occipitales. - 0" 0"
premier
et deuxième sillons occipitaux. - Opll., opercule
1'), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - l ? T ? 7·,,·
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
première, deuxième et troisième circonvolutions temporales.- t, 12,
premier
et deuxième sillons temporaux. MORPHOLOGIE CÉRÉ
rine. - K", éperon inférieur de la scissure calcarine. - 01, 0" 0,,
première
, deuxième et troisième cir- convolutions occipi
me sillon occipital. - z oa, sillon occipital antérieur. - Pi, ! '.
première
et deuxième circonvolutions pariétales. - l'c,
-occipitale. - pt, sillon pariétal transverse. - 'i ! G1, ·r<G ?
premier
et deuxième plis verticaux de Gromier. ï'i, T ?
<G ? premier et deuxième plis verticaux de Gromier. ï'i, T ? 7],
première
, deuxième et troisième circonvolu- tions tempor
t troisième circonvolu- tions temporales. - tl, sillon parallèle ou
premier
sillon temporal. t'i, branche verticale du sill
ES NERVEUX. Circonvolutions occipitale.. Gyrlls desccndens. !
Première
circon- volution occipitale. deux parties, l'
rconvolutions occipitales désignées de haut en bas sous le nom de :
première
(0,), deuxième (0» et ou circonvolutions occipita
circonvolution, descendante (D) ou " gyrus descendais d'Ecker. '
Première
circonvolution occipitale (0,). - Synonymie. Gyru
cm, sillon calloso-marginal. - D, gyrus descen- dons d'Ecker. - F,,
première
circonvolution frontale. - Fa, cir- convolution
ère, deuxième et troisième circonvolutions occipitales. - P1,1>"
première
et deuxième circonvolutions pariétales. - Pa, cir
llon pariétal transverse. icG.pli vertical de Gromier. - "pro" "po"
premier
et deuxième plis de passage parieto-occipitaux
cissure de Rolande. Sili, scissure inter-h"mispherir¡nc" - T,,T,T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
, première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - ti,
premier
sillon 1em- poralou sillon parallèle.- t' branc
. (D'après la photographie d'une pièce durcie au bichromate.) FI,
première
circonvolution frontale. - Fa, circon- volution
c le sillon occipital antérieur. j, incisure de Jensen. - 0,,0,,03,
première
, deuxième et troisième circonvolutions occipita
- S(p;,hranclic postérieure de la scissure de Sylvius. - 1 ? T,T3,
première
, deuxième et troisième circon- volutions tempor
Sulcus temporalis (Pansch). An- tero-temporalissulcus (Huxley).
Premier
sillon temporal (Broca). Notations : (Ecker, Br
durcie dans le bichromate.) D, circonvolution descendante. - Fi,
première
circon- volution frontale. - Fa, circonvolution
l. - ip, sillon inter-pariétal. - j, incisure de Jensen. - 0,,0,Oa,
première
, deuxième et troisième circonvolutions occipita
aux. OpP ? opercule pariétal. OpR, oper- cule rolandique. - P,, P ?
première
et deuxième circon- volntions pariétales. - Pa,
lon post-rolandique. - prs, sillon prérolandique supérieur. - 1tGIo
premier
pli vertical de Gromier. - R, scissure (le Rola
p;, branche pos- térieure de la scissure de Sylvius. - 1'i, T ? 73,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
ccipitale. - ipop, incisure pariétale de l'opercule. - Oi,0>,03,
première
, deuxième et troisième circonvolutions occipita
l. - OpP, opercule pariétale. opR, oper- cule rolandique. - 1'101'"
première
et deuxième circon- volutions pariétales. - Pa,
ital antérieur (oa). Troisième sillon temporal (t3). - Synonymie. -
Première
scissure ternpono- occipitale (Pansrli). - Sulc
elles et peu sinueuses, et qui portent de haut en bas, les noms de
première
(T,), deuxième (T,) et troisième circon- voluti
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. Deuxième circon- volution temporale.
Première
circon- volution temporale. Lobule marginal
et troisième circonvolu- tions occipitales (03) (fig. 150, 171).
Première
Circonvolution temporale (T,). - SvKoKYMiK : Gyru
hoff). Superior or Upper temporo-sphenoidal convolution (Turner). -
Première
circonvolution temporale (Broca). - Notation :
le semble alors se jeter dans la scissure de Sylvius, tandis que la
première
circonvolution temporale (T,) se continue directe
arginal postérieur. - ms, sillon marginal supérieur. - Oi,0>,03,
première
, deuxième et troisième circonvolutions occipitale
cipital 'lntÓrieur de 'V ernicke. -oF"oF2,oF3, partie orbitaire des
première
,deuxiëmeettroisiëmecirconvolutionsfrontales.0/) ?
frontal. OjoP ? opercule pariétal. - OpR, opercule rolandique ? i,P
première
et deuxième circon- volutions pariétales. - Pa,
randies antérieure et verticale de la scissure de Sylvius. - 1'"T.,
première
et deuxième circonvolutions temporales. l'i, bran
La circonvolution antérieure de l'insiil correspond aiix trois
premières
circonvo- lutions des auteurs. met qui affect
de l'insula (la), volumineuse et triangu- laire, comprend les trois
premières
circonvolutions de l'insula des dlilérents aute
e collatérale (ot) et la scissure de l'hippocampe (h). ' Les deux
premières
scissures se réunissent à angle aigu et délimiten
che commune aux scissures calca- rine et pariéto-occipitale. - 7,t,
première
circon- volution limbique. - L2(H), deuxième ci
ou circonvolution de l'hippo- campe. - Lf, lobule lingual; Lfli, sa
première
circonvolution; 2. sa deuxième circonvolution.
ranche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitale. - Li,
première
circonvolution limbique. - L2(Il), deuxième cir
racentral (Parc). Circonvolution frontale interne (mFJ. Synonymie :
Première
circonvolution - . frontale interne (Charcot).
ipitale. - it, incisure temporale. - K, scis- sure calcarine. - Li,
première
circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual. -
ux. so, sillon sus-orbitaire. sp, scissure sous-pariétale. TI, T" Ta.
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
sentent la face interne des circonvolutions pariétale supérieure et
première
frontale. La surface du cuneus est irrégulièremen
, sinus du corps calleux. - so, sillon sus-orbitairc. - T,, T», T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions tem- por
branche com- mune aux scissures calcarine et parioto-occipitale.J,
première
circonvolution du lobe lim- bique ou gyrus forn
orbi- taire inférieure. - su, scissure sous-pariétalc. - Ti,T ? T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
tszM{/ (Bischoff). - Quatrième circonvolution occipitale (Broca). -
Première
circonvolution temporo-occipitale (Charcot, Pozzi
oca nous comprenons donc : 1° La circonvolution du corps calleux ou
première
circonvolution, lim- bique (Li)' 2° La circon
e (Cg). 5° Le lobe olfactif (Lol). ' MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 297
Première
Circonvolution limbique (L,).-STNONS : If6 : Bo&l
eur d'avant en arrière; situé en arrière du bourrelet du corps cal-
Première
circon- volution limbique. Ses crêtes ou our-
tion temporale (Broca). - Circonvolution temporo-occipital interne-
Première
circonvolution tcmporo-occipitale (Charcot). - Un
anche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitalc. - Z.i,
première
circonvolution limbique. - Lr, lobule lingual.
sure calcarine. -K", éperon inférieur de la scissure calcarine, LI,
première
circonvolution lim- bique. - l, sillon intra-li
eloppé au dépens de la vésicule des hémisphères et creusé, dans les
premiers
stades du développement foetal, d'une cavité qui
ranche commune aux scissures calcarine et ltariéto-occiltitalc. - Li,
première
circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual.
inter-hemispherique. Spp, substance perforée pos- térieure. T,, T2,
première
et deuxième circonvolutions temporales. 1 ? la, d
ous avons désigné la circonvolution du corps calleux sous le nom de
première
circonvolution limbique (L,) et la circonvoluti
érolandique formé par l'union des deux sillons précédents pr 3.
Premier
sillon frontal.... si Ses incisures : .. fil
... so Deuxième sillonsus-orbitaire. so' Circonvolutions : . 4.
Première
circonvolution fron- tale ? ......... . Fi Sa
e . : ....... * P, 2. Sa portion interne ou Prc- cunéus PrC Son
premier
pli vertical de Gromier ......... Son deuxièm
..... it 6. Scissure collatérale .... ot Circonvolutions : " 1.
Première
circonvolution tem- porale........ T, 2. Deux
ngual.. 19 10. Scissure collatérale.... ot Circonvolutions : 1.
Première
circonvolution occi- pitale.......... Oi 2. S
fp 8. Sillontardif(fissuraserotüra). fs Circonvolutions : " 1.
Première
circonvolution lim- bique ou circonvolution du
orps genouillé interne auquel aboutit la commissure, de Gudden. Cl,
première
paire ccrvic;tle. - C : 11, con- missure de Mey
. CG, commis- sure de Gudden. - Cgi, corps genouillé interne. - CI,
première
paire cervicale. - CM, com- missure de Mcyncrt.
ent externe une partie du plancher des ventricules latéraux (VI) ou
premier
et deuxième ventricules cérébraux. Le noyau caudé
ieure. - ds, diverticule du subiculum. - F, champ de Forel. F,,F-2,
première
et deuxième circonvolutions frontales. - Fa, circ
utions frontales. - Fa, circon- volution frontale ascendante. - rio
premier
sillon frontal. Fi, fimbria. - Fus, lobule fusifo
-épendymairc. Si, septum lucidum. SJI, sillon de Monro 7 ? 7'», Ï3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
ière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. l,, l ? 13,
premier
, deuxième et troisième sillons temporaux. - Tch,
cm, sillon calloso-marginal ; en ? sa branche verticale. | Fi, F2,
première
et deuxième circonvolutions frontales. Fa, circon
utions frontales. Fa, circonvolution frontale ascen- j dantc. - f,,
premier
sillon frontal ? lCv, hémisphères cérébelleux. -
c Lancisi. - 0,, 'prc- I mièro circonvolution occipitale. - Pi, Pi,
première
et deuxième circonvolutions pariétales. ' l'a,
ion de l'lmtbénula. - Gp, glande pinéale. - I, infundi- bulum. - L"
première
circonvolution limbique. - Il, lame terminale emb
imbique. CO, centre ovale. cm, sillon calloso-marginal. Fi, Fs, F3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
tale ascendante.- et deuxième sillons fron- taux. - f ? incisure du
premier
sillon frontal. io, sillon inter-occipital. ip, s
occipital. ip, sillon inter- pariétal. K, scissure calcarine. - L,,
première
circonvolution limbique. Lg, lobule lin- gual.
a pre-mière circonvolution frontale. NI,, nerf de Lancisi. - 0,, 0,
première
et deuxième circonvolutions occipitales. ou, sill
, bour- relet du corps calleux (splenium). EM, ergot de Morand. Fi,
première
circonvolution frontale. - Fin, forceps major.
. Fi, première circonvolution frontale. - Fin, forceps major. - L,,
première
circonvolution limbique. Lip, lobe cérébel- leu
é. Ne, noyau externe du thalamus. NL3, NI NLI troisième deuxième et
premier
segments du noyau lenticulaire. - JV/f, noyau r
h, ganglion de l'habénula. Gp, glande pinéale. /, infundibulum. L,,
première
circonvolution lim- bique. - lt, lame terminale
ur- relet du corps calleux (splenium). - EM, ergot de Morand. - 7'\
première
circonvolution frontale. Fm, forceps major. L"
rand. - 7'\ première circonvolution frontale. Fm, forceps major. L"
première
circonvolution limbique. Lip, lobe cérébel- leu
- Fm, forceps major. ipo, incisure pré-occipitale de Meynert. - Li,
première
circonvo- lution limbique. - LO, lobe occipital
olutions frontales. - Fa, circon- · volution frontale ascendante. ?
premier
sillon frontal. Fi, fimbria. - Fus, lobule fusifo
o. 1(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. 7 ? T2, T3,
première
, deuxième et troisième circonvo- ' lutiuns temp
re, deuxième et troisième circonvo- ' lutiuns temporales. 11, 12, ?
premier
, deuxième et troisième sillons temporaux. 7'c/),
sillon calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante. - I'i, Fi, ft,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. fui, f2,
premier
et deuxième sillons frontaux. Fa, circonvolution
, les trois circonvolutions frontales (F,, F2, F3) séparées par les
premier
et deuxième sillons frontaux (fl, puis le sillo
es fibres, frontale ascendante. - ip, sillon. inter-pariétal. - Li,
première
circonvolution limbique. - - face interne de la
ique. - - face interne de la première circonvolution frontale. - 0"
première
circonvolution occipi- talc. - Pi, circonvoluti
nt (Sge), la substance grise sous-épendymaire aug- - 1 ? 1% : , F3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - fui, f2,
premier
et deuxième sillons frontaux. Fa, circonvolutio
irconvolution frontale ascendante. ip, sillon intcr-parietal. - L,,
première
circonvolution limbique. - n2l· ? face interne de
nterne de la première circonvolution frontale. NC, noyau caudé.- 0"
première
circonvolution occipitale. - OF, faisceau occipit
ne. - cm, sillon calloso- marginal. - CO, centre ovale. F,, F3, F3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
remière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - ) ? f ?
premier
et deuxième sillons frontaux. - Fa, circonvolutio
ngitudinal inférieur. /, insula. - ip, sillon intcr-pariétal. - L,,
première
circonvolution limbique. le, lame cornée. mF,, fa
upérieur. NC, tête du noyau caudé. NC ? queue du noyau caudé. - 0,,
première
circonvolution occipitale. - OF, faisceau uccip
rcule (if). Le lobe temporal est représenté sur cette coupe par les
première
et deuxième circonvolutions temporales (Tp '1 )
ne. - cm, sillon calloso-marginal. - CO, centre ovale. - F,, I=, Fui,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. fi, /«,
premier
et deuxième sillons frontaux. Fa, circonvolutio
ures et postérieures de l'insula. - ip, sillon inter-pariétal. - L"
première
circonvolution Ihnbiqnc.7.m ? tn : , lames médull
et externe de la couche optique.- \'C', queue du noyau caudé. - 0.,
première
circonvolution occipitale. - OF, faisceau occipit
e la capsule interne. - cm, sillon calloso-marginal. - F,, F.j. Fs,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
Fs, première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. f\, h,
premier
et deuxième sillons frontaux. - Fa, circonvolut
l'opercule. io, sillon intcr-occipiLal.- K, scissure calcarinc. L"
première
circonvolution limbique. - Li (t), isthme du lobe
noyau caudé. - NL3, troisième segment du noyau lenticulaire. - 0" 0"
première
et deuxième circonvolutions occipitales. - OF,
e. Sge, substance grise centrale. - SI, septum lucidum. - l ? 1·.=,
première
et deuxième circonvolutions tempo- rales. - t ?
ne. - cm, sillon calloso-marginal. - CO, centre ovale. - FI, F" F3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f,, r"
premier
et deuxième sillons frontaux. - Fa, circonvolutio
rieur. - il), sillon inter-pariétal. li, scissure calcarine. - LI,
première
circonvolution lim- bique. le, lame cornée. Lme
NG,, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - Oi, Os,
première
et deuxième circonvolutions occipitales. oa, si
lucidum. sp, scissure sous-pariétale. Slrz, stratum ronale. - 7'i, T"
première
et deuxième circonvolutions temporales. < ?
est représenté par la circonvolution temporale profonde (Tp) et les
première
et deuxième circonvolutions temporales ('1' pT").
O, centre ovale. - Csc, circonvolutions sous-calleuses. - 1-\, 1· ?
première
et deuxième circonvolutions frontales. - F3(c), c
es. - F3(c), cap de la troisième circon- volution frontale. f,, f2,
premier
et deuxième sillons frontaux. - pli, faisceau lon
percule. io, sillon inter-occipital. - K, scissuse calcarinc. ? [, ,,
première
circonvo- lution limbique. le, lame cornée. - L
troisième et deuxième segments du noyau lenticu- laire. 0,> Os,
première
et deuxième circonvolutions occipitales. - oa, si
ntale. - SI, septum lucidum. - sp, scissure sous-pariétale. - li, 7 ?
première
et deuxième circonvolutions temporales. 1\, bra
noyau interne et le noyau externe (Ne). Ce dernier se distingue du
premier
par sa coloration plus pâle et son aspect strié
rconvolutions sous- calleuses. do, diverticule occipital. F,,F~,F3,
première
, deuxième et troisième circonvo- lutions fronta
ière, deuxième et troisième circonvo- lutions frontales. - fui, f2,
premier
et deuxième sillons frontaux. - F3{c), cap de la
de la scissure calcarine et de la scissure pariéto-occipil,ale. - 7 ?
première
circon- volution limbique. - L(i), isthme du lo
terne de la couche optique. - NL3, NL2, NL,, troisième, deuxième et
premier
segments du noyau lenticulaire. 0,, 0 ? première
roisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. 0,, 0 ?
première
et deuxième circonvolutions occipitales. - oa,
ce grise centrale. Sge, substance grise sous-ependymaire. - T,, T3,
première
et deuxième circonvolutions temporales. - t ? b
diverti- cule occipital. - dsp, diverticule sous-pinéal. - F,, ]0'"
première
et deuxième circonvolutions frontales. - r3lcl,
les. - r3lcl,, cap de la troisième circonvolution frontale. - fi, fi,
premier
et deuxième sillons frontaux. - Fli, faisceau l
de la scissure calcarine avec la scissure pariéto-occipitalc. - L,
première
circonvolution limbiquc ? ( ? isthme du lobe li
e la- couchc optique. - J\'1 ? NL" .V ? VL ? troisième, deuxième et
premier
segments du noyau len- ticulaire, le segment in
le segment interne comprend à ce niveau deux segments, ,, ? - 0" Os,
première
et deuxième circonvolutions occipitales. - oa,
. T,, 7'», pre- mière et deuxième circonvolutions temporales. , l2,
premier
et deuxième sillons tempo- raux. Tap, tapetum.
diverticule occipital. lis, diverticule du subiculum. F,, h Fi. F,,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
r, e), cap de la troi- sième circonvolution frontale.- t'l, t'" fi,
premier
, deuxième et troisième sillons frontaux. - FI,
e la scissure calcarine et de la scissure parieto-occipitale. - L,,
première
circonvolution limbique. - le, lame cornée. - L
terne de la couche optique. - Nez, NL" u'L,, ? troisième, deuxième et
premier
segments du noyau lenticulaire, - ce dernier ét
oyau médian de la couche optique (centre médian de Luys). - 0,, 0 ?
première
et deuxième circonvolutions occipitales. - OF,
se centrale. - Sge, substance grise sous-épendymairc. T, , ? 2, T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
e.- 7'p, pilier postérieur du trigone. Th, couche optique. lit i-i,
premier
et deuxième sillons temporaux. - V3, troisième ve
utions frontales sont séparées les unes des autres, par les sillons
premier
et deuxième frontal (f,, f.,); la coupe intéresse
commissure antérieure. - ds, diverticule du subiculum. -F,, Fs, Fj,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
emière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. f,, f" f3,
premier
, deuxième et troisième sillons frontaux. - FOI, f
issures calca- rine et pariéto-occipitale. - le, lame cornée. - L,,
première
circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual.
- NC. queue du noyau caudé. -NL3, NL" NL,, ? troisième, deuxième et
premier
segment du noyau lenticu- laire (le dernier seg
dernier segment est divisé en deux). - NR, noyau rouge. - 0,, Os, 03,
première
, deuxième et troisième circonvolutions occipita
s-épen- dymaire. - so, sillon sus-orbitaire de Broca. - T,, T2. T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
emière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - t,, t2,
premier
et deuxième sillons temporaux. - Tap, tapetum.
ace externe les trois circon- volutions temporales (T,, T ? T3)L,-a
première
circonvolution temporale (T,), qui était intére
u conJraire, est sectionnée dans une grande étendue, et séparée des
première
et troisième circonvolutions temporales (T,, T.,)
ème circonvolution occipitale (0), enfin la partie inférieure de la
première
circonvolution occipitale (0,) et le dernier vest
rus descendons d'I : ckcr. ds, diverticule du subiculum. F,, rl ? F3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions'frontalc
première, deuxième et troisième circonvolutions'frontalcs. - f,, ("
premier
et troisième sillons frontaux. - Fli, faisceau
mmée, de Reichert. so, sillon sus-orbitaire de Broca. - T,, T2, T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
rus descendons d'Eckcr. ds, diverticule du subiculum. F,, 7''B, P3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
insula. - io, sillon inter-occipital. - K, scissure calcarine.- L,,
première
circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual. -
ance réticulée. - Sti, substance innominée de Reichert. - 7 ? 1 ? T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
remière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - l, 12,
premier
et deuxième sillons tem- poraux. - Tap, tapetum
erticule du subiculum. Epp, espace perforé postérieur. - F,, F" Fa,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
fusiforme. 11, hippocampe. 1, insula. - K, scissure calcarine. - L,
première
circonvolution limbique. te, lame cornée. - Lg,
e postérieure. - Sti, substance innommée de Reichert. - T,, Ts, T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
mière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. <., 1 ?
premier
et deuxième sillons temporaux. - Tap, tapetum. -
rticule du subiculum. - Epa, espace perforé antérieur. - F,, P2, 1·i,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
sure de Sylvius. - Spa, substance perforée antérieure. - T,, 7's, T ?
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
gyrus descendons d'Eckcr. - ds, diverticule du subiculum. - F,, F3,
première
et troisième circonvolutions frontales. - fa, t
ressé au niveau du gyrus rectus (mF,) et de la partie orbitaire des
première
et troisième circonvolutions frontales (Fu F3). U
tions optiques de Gratiolet. - S, vallée de Sylvius. - Ti, 7'a, Va,
première
, deuxième et troisième circonvolu- tions tempor
s circonvolutions frontales désignées de haut en bas sous le nom de
première
, deuxième et troisième (F Fi' F.i), prennent une
circonvolution frontale et n'intéresse à la face externe que les deux
premières
cir- convolutions frontales (F,, F2), subdivisé
oso-marginal (cm) sépare en haut et en bas de la face interne de la
première
circonvolution frontale (mF,). Le genou du corp
lleux. - Cing, cingulum. - cm, sillon cal- loso-marginal. - F,, Fi,
première
et deuxième circonvolu- tions frontales. ? 3, p
l. - F,, Fi, première et deuxième circonvolu- tions frontales. ? 3,
premier
, deuxième et troisième sillons frontaux. f, sil
e sillons frontaux. f, sillon olfactif. - f ,. /'2, incisures des
premier
et deuxième sillons frontaux. - Foa, forceps an
me sillons frontaux. - Foa, forceps antérieur du corps calleux. L,,
première
circonvolution limbique. - mi" face interne de
leux. - Cing, cingulum - cm, sillon calloso-marginal. - Fi, Fi, F3,
première
deuxième et troisième circonvolutions frontales
- 7'C, cap de la troisième circonvolution frontale. - ru, fi, /3,
premier
, deuxième et troisième sillons fron- taux. - fu
/'2, /3, incisure des pre- mier et deuxième sillons frontaux. - L,,
première
circonvolution limbique. - ¡¡¡F" circonvolution
m. - cm, sillon calloso-marginal. - CO, centre ovale. -1"" r2, r.1,
première
, deuxième et troisième circon- volutions fronta
cs.-F,C, cap de la troisième circonvolution frontale. - f,, f2, f3,
premier
, deuxième et troisième sillons frontaux. - (" i
ème sillon frontal. f,, sillon olfactif. - ic, incisure du cap. L,,
première
cir- convolution limbique. - OF, faisceau occip
um. - cm, sillon calloso-marginal. CO, centre ovale. - Fi, ? z, fa,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
. - FaC, cap de la troisième circonvolution frontale. - f,, f2, f3,
première
, deuxième et troisième sillons frontaux. - fi,
sillon olfactif. Fu, faisceau uncinatus. - ic, incisure du cap. LI,
première
circonvolution limbique. mF,, face interne de l
u corps calleux. - - Sge, substance grise sous-épendymaire. TA, Ts,
première
et deuxième circonvolutions temporales.-t,, pre
maire. TA, Ts, première et deuxième circonvolutions temporales.-t,,
premier
sillon temporal. Il £ , ventricule latéral. C
ulum. - cm, sillon calloso-marginal. - CO, centre ovale. - F" F" F"
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
- F3C, cap de la troisième circonvolution frontale. - - fi, f2, /3,
premier
, deuxième et troisième sillons frontaux. - fa, si
olfactif. - Fu, faisceau unci- natus. - ic, incisure du cap. - L,,
première
circonvolution limbique. - 111fut, face interne
us du corps calleux. Sge, substance grise sous-épendymaire. T,, 7 ?
première
et deuxième circonvolutions temporales.- t,, 12,
. T,, 7 ? première et deuxième circonvolutions temporales.- t,, 12,
premier
et deuxième sillons temporaux. 442 AKATOMIE DES
lum.. en ? , sillon calloso-marginal. CO, centre ovale. F,, Fs, F3,
première
, deuxième et troisième circon- volutions fronta
première, deuxième et troisième circon- volutions frontales. - f,,
premier
sillon frontal. - Fu, fais- ceau uncinatus. - L
es. - f,, premier sillon frontal. - Fu, fais- ceau uncinatus. - L,,
première
circonvolution limbique, z face interne de la p
es postérieure et. verticale de la scissure de Sylvius. T,, 7 ? 1 ?
première
, deuxième et troisième circon- volutions tempor
ière, deuxième et troisième circon- volutions temporales. - l,, 12,
premier
et deuxième sillons tem- portaux. - lec, toenia
, pre- mière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f"
premier
sillon frontal. - Fa, cir- convolution frontale
u, faisceau uncinatus. - l, insula. - it, incisure temporale. - Li,
première
circonvolution limbique. - face interne de la pre
. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. T,, 7's, T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions teiiipor
irconvolutions teiiiporiles. - Tol, tubercule olfactif. - 11, t2, ta,
premier
, deuxième et troisième sillons temporaux. - 17,
série de coupes, nous trouvons au niveau du lobe frontal, les deux
premières
circonvolutions frontales (Fj ! F2) et la circo
ales (T,, tu,, Te) et le commencement du lobule fusiforme (Fus). La
première
circonvolution temporale (T,) est étroite et minc
lloso-marginal. CO, centre ovale. coa, commissure antérieure. Fi, .j,
première
et deuxième circonvolutions frontales. - premie
térieure. Fi, .j, première et deuxième circonvolutions frontales. -
premier
sillon frontal. Fa, circonvolution frontale asc
siforme. - Il, circonvolution de l'hip- pocampe. - I, insula. - L,,
première
circonvolution limbique. - linge, lame médullaire
e de Sylvius. - Spa, substance perforée antérieure. - 7·,, 7·,, 1 ?
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
ère, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - t,, f" la,
premier
, deuxième et troisième sillons temporaux. U, circ
rginal. CO, centre ovale. - coa, com- missure antérieure. - F,, r2,
première
et deuxième circonvolutions frontales. - f,, prem
eure. - F,, r2, première et deuxième circonvolutions frontales. - f,,
premier
sillon frontal. Fa, circonvolution frontale asc
. - Fu, faisceau uncinatus. Fus, lobule fusiforme.- I, insula.- L,,
première
circonvolution limbique, - 7nF,, fice interne d
au amygdalien. XC, noyau caudé. - NL3, 1. i. troisième, deuxième et
premier
segments du noyau lenticulaire. OF, faisceau occi
substance perforée antérieure. - SI, septum lucidum. - tu T-2, T3,
première
, deuxième et troisième circonvolu- tions tempor
e, deuxième et troisième circonvolu- tions temporales. - l" l" 1.1,
premier
, deuxième et troisième sillons temporaux. - Tga,
lloso-marginal. - CO, centre ovale. coa, commissure antérieure. F,,
première
et deuxième circonvolutions fron- tales. - Fa,
ule fusi- forme. H, circonvolution de l'hippocampe. 1, insula. -L,;
première
circonvolution lim- bique. - lnté, lui, lames m
llon de Monro. - Sti, substance innominée de Rei- chert. 7\, T2, T,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
ière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. tl, 19, ta,
premier
, deuxième et troisième sillons temporaux. - Tc, t
lle est séparée de la deuxième circonvolution frontale (1=), par le
premier
sillon frontal (f,). On rencontre ensuite à la fa
a, commissure antérieure. ds, diverticule du subiculum. - r,, F2, Fa,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
a, première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f,,
premier
sillon frontal. - Fa, circonvolution frontale a
eau thalamique de Forel. - Fus, lobule fusiforme.- /, insula. - G,,
première
circonvolution limbique.- L.,(11), deuxième cir
nce grise sous-ependymaire. - sM, sillon de Monro. - z T,, Ta, 7*3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
, première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. t,, t ?
premier
et deuxième sillons temporaux. - Tap, tapetum.
commissure antérieure. - ds, diverticule du subiculum. - F,, l'.z,
première
et deuxième circonvolutions frontales. - premie
ulum. - F,, l'.z, première et deuxième circonvolutions frontales. -
premier
sillon frontal. F, champ de Forel. - Fa, circonvo
s, lobule fusiforme. - h, sillon de l'hippocampe. z ? insula. - L,,
première
circonvolution limbique. - L2 (II), deuxième circ
ance grise sous-épendymaire. sJl, sillon de de Monro. - T,, Ts, T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
emière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - l,, 12,
premier
et deuxième sillons temporaux. Tap, tapetum. - Tg
ulum. - Epp, espace perforé postérieur. - F, champ de Forci. - Fui,
première
circonvolution frontale. Fa, circonvolution front
- 11, hippocampe. . le, sillon de l'hippocampe. - I, insula. - L,,
première
circonvolution limbiquc. - le, lame cornée. - L
stance grise sous- épendymaire. sM, sillon de Monro. - T,, T ? T.1,
première
, deuxième et troisième circonvo- lutions tempor
ière, deuxième et troisième circonvo- lutions temporales. - l,, 12,
premier
et deuxième sillons temporaux. - Tap. tapetum. -
sillon de l'hippocampe. -l, insula. - ip, sillon inter-pariétal. L,,
première
circonvolu- tion limbique. - Lme, Lmi, lames mé
orps calleux. - S',ge, substance grise sous-épendymaire. 1'l, T ? 73.
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
e, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - t,, t'2, t3,
premier
, deuxième et troisième sillons temporaux. - tec
tion de l'hippocampe. /, insula. - ip, sillon inter-pariétal. - L,,
première
circonvolution limbique. - le, lame cornée. - Lzn
orter d'une part (coupes ne-' 75 et 78, fig. ? ! c1-`3ai0), dans la
première
circonvolution temporale (T,) et d'autre part, da
e inférieure du noyau lenticulaire sous-épcndymaire. - 7't, T2, T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
ère, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - Ile i-1 13
premier
, deuxième et troisième sillons tcmporau. - Tap, t
circonvolution de -l'hippocampe. ip, sillon intcr- pariétal. - L,,
première
circonvolution limbique. le, lame cornée. - Lzz,
substance grise sous-épendymaire, - sM, sillon de Monro. T,; 7 ? 7'3.
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
ière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. t,, 12, 13,
premier
, deuxième et troisième sillons tem- poraux. T'a
supra-marginalis). Il, hippocampe. - ip, sillon intcr-pariétal. Gi,
première
circonvolution limbique. - le, lame cornée. - L
- sM, sillon de Monro. - S/i, substance réticulée. - 7'l, 7'i, T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions tcm- por
ière, deuxième et troisième circonvolutions tcm- porales. - t,, t3,
premier
et troisième sillons temporaux. Tap, tapetum. Tg,
us, lobule fusiforme. - H, hippocampe. ip, sillon inter-pariétal. L,,
première
circonvo- lution limbique. - le, lame cornée. -
grise sous-épendymaire ? SR, sub- stance réticulée. - 7 ? T'a, lui,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
emière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - t,, l,,
premier
et troisième sillons temporaux. - Tap, tapetum.-
re. SR, substance réti- culée. - slr, stratum zonale. - T,, T., T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
emière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. t, t" t3,
premier
, deuxième et troisième sillons temporaux. Tap, ta
H, circonvolution de l'hippocampe. - ip, sillon inter-pariétal. - L,,
première
circonvolution limbique. le, lame cornée. - Lrn
;, l'i, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - 11, t2,
premier
et deuxième sillons temporaux. Tap, tapetum. -
mpe. fg, sillon fimbrio- godronné. - ip, sillon inter-pariétal. Li,
première
circonvolution limbique. le, lame cornée. Lms,
porales. Tap, tape- tum. - pilier .postérieur du trigone. - t,, t2,
premier
et deuxième sillons temporaux. 1'l, ventricule
ranche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitalc. - LI,
première
circonvolution limbique. - Lms, lame médullaire s
*+/jo, branche commune aux scissures calcarine etpariéto-occipitaic ?
première
circon- volution limbique. Lms, lame médullaire
nche commune aux scissures calcarinc ct luiriétn- occipitale. - L,,
première
circonvolution limbique. - 01, sillon collatéral.
et troisième circonvolutions temporales. Tap, tal'etunl. -1" ti, l3,
premier
, deuxième et troisième sillons temporaux. <e
e lobe occipital en arrière du bourrelet du corps calleux. Les deux
premières
passent par la partie postérieure du lobule par
ranche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipilale. - Li,
première
circonvolution limbique. - L (i), isthme du lobe
che com- mune aux scissures calcarine et pariéto-occipitale. - Lui,
première
circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual.
calcarine. - G, lobule lingual ? sillon du lobule lingual. - 0,. 0"
première
et deuxième circonvolutions occipitales. - ot,
ne. - L7, lobule lingual. - lg, sillon du lobule lingual. - 0[, ou,
première
et deuxième circonvolu- tions occipitales.-ot,
en grande partie par le cingulum (Cing). La face interne de la
première
circonvolution frontale (mu,,), se confond en
r et les incisures qui l'entaillent appartiennent presque toutes au
premier
sillon frontal, c'est-à-dire à la face externe de
unéus (C) et sur l'isthme du lobe limbique (i). Elle est séparée du
premier
par la scissure calcarine (K) et du second par
à la scissure calcarine et à la scissure parieto-occipitalc. - L,,
première
circonvolution limbique. - Le, lobule central du
NL, nerf de Lancisi. - Nil, noyau rouge. - Nt, noyau du toit. - 0),
première
circonvolution occipitale. - oF, partie orbi- t
rectus). - P, étage inférieur ou pied du pédoncule' cérébral. - P,,
première
circonvolution pariétale. - Pa, circonvolution pa
ïdes dans cette région de la couche optique a lieu de surprendre au
premier
abord. Il faut se rappeler en effet, que les plex
tes sur les cerveaux durcis au bichromate, faisceau qui s'étend, du
premier
indice de séparation du noyau caudé (21C) et du
e. - cop, commissure postérieure D, gyrus descendons d'Ecker. - F,,
première
circonvolution frontale. fa, sillon olfactif. Fa,
branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitale. L,,
première
circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual.
en. - Nm, noyau médian de la couche optique. - NR, noyau rouge. - 0,,
première
circon- volution occipitale. Oc, olive cérébell
dus ( : 'IL" ,Î et du 32 Csc, circonvolutions sous-calleuses. FI,
première
circonvolution frontale. Fa. circonvo- lution f
noyau externe du thala- mus. NI3, " putamen et globus pallidus. 0,
première
circonvolution occipitale. Ou, olive cérébelleu
e. oF\, partie orbiLairc de la première circonvolution frontale. Pu
première
circonvolution pariétale. ? étage inférieur du pé
llons suivants : les parties li/'bitaÏ1'es des troisième, deuxième et
première
circon- volutions frontales (oF ? oV ? oF,) sép
D,gCca, digitations de la corne d'Ammon. EM, ergot de Morand. F,, 7 ?
première
et deuxième circonvolutions frontales. l'l, /3,
d. F,, 7 ? première et deuxième circonvolutions frontales. l'l, /3,
premier
et troisième sillons frontaux. Fa, cir- convolu
NL2, ;>IL¡, noyau lenticulaire avec ses trois segntents.-0,, 0,
première
et deuxième circonvolutions occipitale ? oFt.oF.j
ème circonvolutions occipitale ? oFt.oF.j, oF" partie orhitairc des
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
ontales. ol, sillon collatéral. P, pied du pédoncule cérébral. -P,,
première
circonvolution pariétale. - l'a, cir- convoluti
rieure. - Cil, couronne rayonnante. - EM, ergot de Morand. Fui, F,,
première
et deuxième circonvolutions frontales. ? pre- C
e présente rien de spécial il noter, si ce n'est l'appari- tion des
premières
circonvolutions de l'insula (I), dans le fond de
caudé. NL3, NL" NL,, noyau lenticulaire et ses trois segments. Oi,
première
circonvolution occipitale. oF,, oF ? 0l'3, partie
et troisième circonvolutions frontales. - ol, sillon collatéral. Pi,
première
circonvolution pariétale. - P, pied du pédoncul
ovale. coa, commissure antérieure. - CR, couronne rayonnante. F,, Fa,
première
et deuxième circonvolutions frontales. f2, f3,
te. F,, Fa, première et deuxième circonvolutions frontales. f2, f3,
premier
, deuxième et troisième sillons fron- taux. Fà,
oisième circonvolutions occipitales. ot, sillon collatéral. - P,, P2,
première
et deuxième circonvolutions pariétales. - Pa, c
Th, radiations optiques de Gra- tiolet. S, scissure de Sylvius. Ti,
première
et deuxième circonvolutions temporales. - T3 +
tions optiques de Gratiolet. - S, scissure de Sylvius. - Ti, 1'" 7'3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
e, de Meckel. Fi, deuxième circon- volution frontale. - fI, {2, ¡ ?
premier
, deuxième et troisième sillons frontaux. Fa, circ
ions thalamiques de Gratiolet. - S, scissure- de Sylvius. - Ti, T3,
première
et troisième circonvolutions temporales. - t\,
de la queue du noyau caudé (NC') pour se rendre dans la région des
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
nce grise sous- épendymaire de la corne sphénoïdale. - 1'1, 1'" 1'"
première
, deuxième et troisième cir- convolutions tempor
les.ï'ap,tapctum.ï/), circonvolution temporale profonde. Il, l" 1 ?
premier
, deuxième et troisième sillons temporaux. - t ? p
rconvolutions temporales (T3' T2, T,), séparées par les deuxième et
premier
sillons temporaux (t2, t,). La face supérieure de
lis et relie la circonvolution pariétale inférieure (Pz [Gsm] il la
première
circonvolution eno)'6te(Tt). COUPES MACROSCOPIQ
eure, postérieure et verticale de la scissure de Sylvius.- Tu 7, ï'3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
, sillon calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante. - Fi, 7 ? 13,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
ère, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - fi, /a, f3,
premier
, deuxième et troisième sillons frontaux. - f4, qu
ou sillon olfactif. - 1'" incisure du deuxième sillon frontal. - L"
première
circonvolution limbique. - ' mF,, face interne
e clans sa partie supérieure par des fibres qui s'irradient dans la
première
circonvolution frontale (Fj) (face externe et fac
ntales à la face externe du lobe frontal et la partie orbitaire des
première
(oF,) et troisième circonvolutions frontales (o
cm, sillon calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante. F,, Fi, Fa,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
emière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. A, fi, ft,
premier
, deuxième et troisième sillons frontaux. /», quat
u sillon olfactif. - r2, incisure du deuxième sillon frontal. - Li,
première
circonvolution limbique. mF" face interne de la
première circonvolution frontale. oF, (Gr), partie orbitaire de la
première
circonvolution frontale (gyrus rectus). -oFa, par
colliculus du noyau caudé. - CR, couronne rayonnante. - Fi, F2, F3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
F3, première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - fi,
premier
sillon COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. ;i29
Fu, faisceau uncinatus. - l, insula. - ig, induseum griseum. - L,,
première
circonvolution limbique. 2zF,, face interne de
e, substance grise sous-pcndynurirc. SI, scl>tum lucidum.-T,, T"
première
et deuxième circonvolutions temporales. - li, 1 ?
al. coa, commissure antérieure. CR, couronne rayonnante : 1 7 ? 1 ?
première
et deuxième cir- convolutions frontales. ? prem
nte : 1 7 ? 1 ? première et deuxième cir- convolutions frontales. ?
premier
sillon frontal. Fa, circonvolution frontale ascen
tus. Fus, lobule fusiforme. fi, fibres tagentielles. J. insula. L,,
première
circonvolution limbique. Ime, lame médullaire ext
m lucidum.- Sti, sulv- stance innominée de Reichert. - 7'i, T2, Ta,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
e, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - il, 1.2, la,
premier
, deuxième et troisième sillons temporaux. 7'c, tu
-marginal. coa, commissure antérieure. CR, couronne rayonnante. Fi.
première
circonvolution frontale. ? i, premier sillon fr
CR, couronne rayonnante. Fi. première circonvolution frontale. ? i,
premier
sillon frontal. - Fa, circonvolution frontale asc
les. -Fu, faisceau uncinatus. Fus, lobule fusiforme. l, insula. LI,
première
circonvolution limbique. lme, lame médullaire e
amygdalien. A'C, noyau caudé. XL3. NL" NLI, troisième, deuxième et
premier
segments du noyau lenticulaire. OF, faisceau oc
rieure de la scissure de Sylvius. - si ? stratum xonaie. Th 7 ? 1\,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
mière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. t,, l"2, ta,
premier
, deuxième et troisième sillons temporaux. Te, t
a circonvolution frontale ascendante (Fa), les plis d'insertion des
première
et troisième circonvolutions frontales (F,, Fa) e
- F,, F.1, pre- mière et troisième circonvolutions frontales. - fi,
premier
sillon frontal.-F, champ de Forel. Fa, circonvo
- Fus, lobule fusiforme. -h, sillon de l'hippocampe. - /, insula. L,,
première
circonvolution limbique. - L ? (H), circonvolut
ne et interne du thalamus. - NL,, NL" 11'L,, troisième, deuxième et
premier
segments du noyau lenticulaire, le premier segmen
nce grise sous-pendy-nmirc. - strz, stratum zonale. - Tt, riz, 7'j,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
'j, première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - Il,
premier
et deuxième sillons temporaux. Tap, tapetum tec
s, diverticulc du subicultllll. Epp, espace perforé postérieur. F,,
première
circonvolution frontale. l'" premier sillon front
space perforé postérieur. F,, première circonvolution frontale. l'"
premier
sillon frontal. Fa, cir- convolution frontale a
, sillon de Diippocanrnp. /, insula. ip, sillon inter-pariétal. LI,
première
circonvolution limbique. le, lame cornée et fibre
ubstance grise sous-épendymaire. strz, stratum zonalc.-1 ? 7*2, 7 ?
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
? première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. t" l"
premier
et deuxième sillons temporaux. Tap, tapetum. te
substance grise de la protubérance. strz, stratum zonale. T,, 7 ? T3.
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. Il, l,.
premier
et deuxième sillons tem- poraux. Tup, tapetum.
l'hippocampe. Ip, insula postérieur. ip, sillon inter-pariétal. L,,
première
circonvolution limbique. Lg, lobule lingual. Lm
- SR, sub- stance réticulée. - strz, stratum zonalc. - T,, T ? T3,
première
, deuxième et troisième cir- convolutions tempor
mière, deuxième et troisième cir- convolutions temporales. - 1,, /,
premier
et deuxième sillons temporaux. 1'(tl), tapetum.
emière circonvolution limbique (L,)'dans le ]iré- (PPC) et dans les
première
et deuxième circonvolutions pariétales (P,, P2).
l'hippocampe. ip, il)', sillon inter-pariétal et ses incisures. L,,
première
circonvolution limbique. Lg, lobule lingual. L111
111S, lame médullaire superficielle. ot, sillon collatéral. P,, P ?
première
et deuxième circonvolutions pariétales. Pc, pli
ni, T3, deuxième et troisième circon- volutions temporales. - l" l"
premier
et deuxième sillons temporaux. t ? incisure du
llon occipital antérieur de Werniclce. - ot, sillon collatéral. P,,
première
circonvolution pariétale. Pc, pli courbe. po, s
. 265). - - Cette coupe intéresse la pointe occipitale au niveau du
premier
pli anastomotique cunéo-lingual (1tC+ Lg) et pa
rine. Lg, lobule lingual. lg, sillon du lobule lingual. 0,, 02, 03,
première
, deuxième et troisième circonvolutions occipitale
et des longs faisceaux d'associa- tion, comprend 6 coupes; les deux
premières
intéressent les deux tiers postérieurs de l'hém
es radiées ne s'observent sur cette préparation, qu'au niveau de la
première
circonvolution temporale (1\) et au niveau du lob
; les trois coudes de sa face externe correspondent aux deuxième et
première
circonvolutions temporales (T" T,). Les deux po
duscum griseum. lp, insula postérieur. - li, scissure calcarine. - Lu
première
circon- volution limbique.- le, lame cornée et
- 1 NL3, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire.-0,,
première
circonvolution occipitale. - Plchl, plexus chor
sous-epcndymaire de la corne occipitale. strz, stratum xonale ? 7 ?
première
et deuxième convolutions temporales. - t,, sill
ce réticulée d'Arnold ou lame médullaire superficielle. T,, T., T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
, sil- lon calloso-marginal. CR, couronne rayonnante. - F,, Fi, F3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
première, deuxième et troisième circonvolutions frontales.- f,, f ,
premier
et deuxième sillons frontaux. - Fli, fais- ceau
eur. - i, sillon insulaire. la, Ip, insula antérieur et postérieur. ?
première
circonvolution limbique. - le, lame cornée. - Lme
us-épendymaire. SI, scptum lucidum. so, sillon sus-orhitaire. - T,,
première
circonvolution temporale. Th, couche optique. - T
oa, com- missure antérieure. - CR, couronne rayonnante. F,, Fa, Fa,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
te coupe passe par le seuil de l'insula (SI), la face orbitaire des
première
et troisième circonvolutions frontales (oF,, oF
nsi que l'irradiation des fibres radiées dans la face orbitaire des
première
et troisième circonvolutions frontales (or"or3),
sous-6lendymairc.- Sli, substance innominée de Reichert. - T,, T ?
première
et deuxième circonvolutions temporales. - T{fa, p
NZ.3, putamcn. - Nil, noyau rouge. - oF,, oF,, partie orbitaire des
première
et troisième circonvolutions frontales. - P, étag
les, que l'on voit s'irradier en avant dans la partie orbitaire les
première
et troisième circonvolutions frontales (oF uoF 3)
Reichert. - Stri, stratum intermedium du pédoncule cérébral. - T,,
première
circonvolution temporale. - Tc, tuber cinereum.
ubstance grise suus-chendymairc. - sa, stratum lacunosum. - Ti, T2,
première
et deuxième circonvo- lutions temporales. - l,,
. - F" F3, deuxième et troisième circonvolutions frontales. /i, fi-
premier
et deuxième sillons frontaux. - Fa, circonvolutio
res lenticnlo-candees. ft, fibres tangentielles du Uenia tecta. - L,,
première
circon- volution limbique. - NC, noyau caudé. N
res à direction ascendante explique ainsi l'aspect, si singulier au
premier
abord, que présente sur cette coupe hori- zonta
gentielles du ttenia tecta. iSI, inser- tion du septum lucidum. L,,
première
circonvolution limbique. - le, lame cornée et t
opto-strié. - SI, septum lucidum. strz, stratum zonale. - T,(Gsm),
première
circonvolution temporale (gyrus supra-nmrginali
igert. Dans la couche profonde, on observe, surtout au niveau de la
première
circonvolution temporale (T,) ainsi qu'au sommet
de Gratiolet. - si, sillon opto-strié. strz, stratum zonale. - T,,
première
circonvolution temporale. - t,, sillon parallèle
e. - T,, première circonvolution temporale. - t,, sillon parallèle ou
premier
sillon temporal. Tg V, carrefour ventriculaire.
SI, septum lucidum. strz, stratum zonale. Th, couche optique. ï't,
première
circonvolution temporale. ti, premier sillon temp
le. Th, couche optique. ï't, première circonvolution temporale. ti,
premier
sillon temporal (sillon paral- lèle). Tap, tape
recourbé ; il em- brasse dans sa concavité la partie supérieure du
premier
segment (NL,), dont il est séparé par la lame m
i, noyau interne du thalamus. lfL3, lIL2, NI troisième, deuxième et
premier
segments du noyau, lenticulaire. Nm, noyau médi
couche optique. si, sillon opto-strié. - strz, stratum-zonale. - T,,
première
circonvolu- tion temporale. SI, septum lucidum.
convolu- tion temporale. SI, septum lucidum. t" sillon parallèle ou
premier
sillon temporal. Tap, tapetum. Tga, pilier anté
Ni. noyau interne du thalamus. NL" NU. NLI, troisième, deuxième et
premier
segments du noyau lenticulaire.- Nm, noyau médi
i, sillon opto-strié. Si, septum lucidum. strz, stratum zonale. T,,
première
circonvolution temporale. Tgn, pilier antérieur d
yau semi-lunaire de Flechsig. .\/.3, NL" NL" troisième, deuxième et
premier
segments du noyau lenticulaire, le premier et le
de Gratiolet. Sgc, substance grise centrale. SI, septum lucidum. T,,
première
circon- volution temporale. Talt, tapetum. 7'a,
i\'C', queue du noyau caudé. NL3, NL" NL,, ? troisième, deuxième et
premier
segments du noyau lenticulaire, le segment inte
sule, il continue sa route en avant, en fournissant des fibres à la
première
circonvolution temporale, ainsi qu'il la capsule
. NC, tète du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. NLa, NU, NL,,
premier
, deuxième et troisième segments du noyau lenticul
VL2, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - NL,(Al),
premier
seg- ment du noyaù lenticulaire et anse du noya
par la commissure antérieure (coa) qui la sépare du deuxième et du
premier
segment du noyau lenticulaire (NL,, NL,). La tète
nce grise sous-épcndymaire. Sli, substance innominée de Reichert. T,,
première
circon- volution temporale. Tap, tapetum. Tga,
'anse du noyau lenticulaire (Al) embrassent le noyau rouge (NR); le
premier
contourne sa face externe, le second sa face inte
nombre de fibres il la crête de ces circonvolutions, à savoir : aux
première
et deuxième circonvolutions temporales, au lobule
a. iPchl, insertion des plexus choroïdes du ventricule latéral. L,,
première
circonvolution limbique. le, lame cornée et libre
Sih, scissure iiit,er-liénii-,pli(1-ique. strz, stratum zonale. T,,
première
circonvolution temporale. Tga pilier antérieur
aux externe et interne du thalamus. NL3, NG. troisième, deuxième et
premier
segments du noyau lenticulaire. Nm. noyau médian
alamus. Sge, substance grise centrale. s<) ? stratum zonale. T,,
première
circonvolution temporale. Tga, pilier antérieur d
us (centre médian de Luys). NL3, NL" NI ? NL ? troisième, deuxième et
premier
seg- ments du noyau lenticulaire, le premier ét
aire de Flechsig. Ni, noyau interne du thala- mus. NL3, NL2, NL,, ?
premier
, deuxième et troisième segments du noyau lenticul
premier, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire, le.
premier
, segment est divisé en deux parties NL,, NL ? par
sure de Forel occupant la voûte de l'espace perforé postérieur. fi,
première
circonvolution frontale. Fcop, faisceau de la c
C', queue du noyau caudé. 1YL3, NLi, -VL,, ? troisième, deuxième et
premier
segments, ce dernier subdivisé en deux du noyau
faisceau longitudinal postérieur (Flp), qui fait sur cette coupe sa
première
apparition, sous forme d'un petit faisceau tria
. Sti, substance innominée de Reichert. strz, stratum zonale. - T,,
première
circonvolution temporale. Te, tuber cinereum. Th,
lui de la coupe précédente n° 7 x (tig. 3) que par l'apparition des
premiers
fascicules d'un faisceau, situé immédiatement en
e. - SU, substance innominée de Reichert. strz, stratum zonale. T,,
première
circonvolution temporale. Tc, tuber cinereum. Tgp
igine de ces libres. zone corticale tangenlielle, stratum zonale,
premier
plexus de Cajal, fig. 342 et 347, fl). Cette co
-ci entrent en effet dans la constitution des faisceaux radiés, les
premiers
, au contraire, poursuivent leur trajet tangentiel
de l'écorce jouis- sent de propriétés physiologiques différentes.
Première
circonvolution limbique. Nerf de Lancisi. -Taenia
auvreté de la 3° couche en grandes cellules pyramidales. Les deux
premières
couches de cette circonvolution (couche moléculai
lées autochtones de la couche moléculaire (Gg. 355, m, n). Les deux
premières
origines sont certaines; il est par contre dout
des grandes cellules triangulaires ou multipolaires, que Broca le
premier
rapprocha des cellules pyramidales de la région
. (5' couche.) de 0mi",20 à omm,25 de diamètre, assez semblables, à
première
vue, aux glomérules du rein. Ces glomérules ren
re et qui concourt à former, en grande partie, la masse blanche des
première
et deuxième circonvolu- tions limbiques (L, et
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. les autres dans la partie orbitaire des
première
et troisième circonvola- FiG. 3 15. - Coupe hor
hère droit et passant par le seuil de l'insula, la face orbitaire des
première
et troisième circonvolutions frontales, la part
n. NL" putamen. NR, noyau rouge. - oF 11, 0F3, partie orbitaire des
première
et troisième circonvolutions frontales. Il étage
Reichert. - Slri, stratum intermedium du pédoncule cérébral. - Ti,
première
circonvolution temporale. - Te, tuber cinereum. T
. sillon intcr-occipital. - ip, sillon inter-pariétal. - 0" 0 ? 0,,
première
, deuxième et troisième circonvolutions occipitale
circonvolutions occipitales. - oF,, oF2, oF3, partie orbitaire des
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
isième circonvolutions frontales. - oF,(Gr), gyrus rectus. Pi, Il ?
première
et deuxième circonvolutions pariétales. -Pa, circ
, sillon pré-rolandique supérieur. - Il, scissure de Rolando.- Ti, T"
première
et deuxième circonvolutions tcmporales.- 11, si
re et deuxième circonvolutions tcmporales.- 11, sillon parallèle ou
premier
sillon temporal. - 1'l, 1'l, branches . vertica
crochet (U), dans le pôle temporal et dans la partie antérieure des
première
et deuxième circonvolutions temporales (T,, '1'2)
, sillon marginal postérieur. ms, sillon marginal supérieur. 0\, 0"
première
et deuxième circonvolutions occipitales. oa, sill
cipital antérieur de \'erniclce. oF,, 07 ? opta, partie orbitaire des
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
/.) ? opercule pariétal. Ov, faisceau occipital vertical. - PI, 1 ?
première
et deuxième circonvolutions pariétales. - Pu, c
ranches antérieure, et verticale de la scissure de Sylvius. - Ti, 7 ?
première
et deuxième circonvolutions temporales. - t,, s
e et deuxième circonvolutions temporales. - t,, sillon parallèle ou
premier
sillon temporal. - l ? t ? branches verticales
. -Il. circonvolution de l"hippocampe.- li, scissure calcarine. LI,
première
circonvolution limbique. Gg, lolmlc lingual. /l,
? circonvolution de l'hippo- campe. h, sillon de l'hippocampe. L,,
première
circonvo- lution limbique. - .YC, tronc du noya
SCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 763 1,; rayonnante. - F,, F ?
première
et deuxième circonvolutions frontales. - f, premi
nante. - F,, F ? première et deuxième circonvolutions frontales. - f,
premier
sillon frontal. Fa, circonvolution frontale asc
us, lobule fusiforme. ft, fibres tangentielles. - /, insula. L,, ,,
première
circonvolution limbique. - <n : e, lame médu
septum lucidum. Sti, substance innommée de Reichert. - TI, T2, T,,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
ière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. II, t2, t3,
premier
, deuxième et troisième sillons temporaux. Tc,tube
,) (fig. 383, voy. aussi lige52 à 262). La paroi externe répond aux
première
et deuxième circonvolutions tempo- l'ales (T,,
bippocampc. -ip, ip', sillon inter-parietal et ses incisurcs. - Li,
première
circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual, Lu
, lame médullaire superficielle. - ot, sillon collatéral. - l'" 1'"
première
et deuxième circonvolu- tions pariétales. - Pc,
? T3, deuxième et troi- sième circonvolutions temporales. - l,, 1 ?
premier
et deuxième sillons temporaux. 12', incisure du
lon occipital antérieur de Wernicke. - of, sillon collatéral. - Pl,
première
circonvolution pariétale. z ! 'c, pli courbe. po,
, ,VL3. deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - 0,,
première
circonvolution occipitale. - Plchl, plexus choroï
ntriculaire de la couche optique. - strz, stratum zonale. - 1 ? Vs,
première
et deuxième circonvolutions temporales. - 1,, s
rforé. antérieur (Epa) en arrière et dans l'écorce adjacente de .la
première
circonvolution temporale (Ti) (fig, 386) (Voy.-
bstance grise sous-épendymaire. - Stl, stratum lacunosum. - Ti, TB,
première
et deuxième 'circonvolu- tions temporales. -t,,
grise de la protubérance. - strz, stratum zonale. - 7'i, 1· ? T'j.
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - t1, ti,
premier
et deuxième sillons temporaux. - Tap, tapetum.
Les radiations du corps genouillé interne tirent leur origine de la
première
circonvolution temporale, ainsi que Monakow, Maha
longitu- dinal chez le singe. volution limbique. - l, insula. G,,
première
circonvolution limbique. bne, lame médul- laire
. - Lg, lobule lin- gual.- 19, sillon du lobule lingual. 0,, 0" 03,
première
, deuxième et troisième circonvolu- tions occipi
plété en dehors par le faisceau occipilo-frontal (OF). Autour de ce
premier
système de fibres, on trouve l'anneau irrégulie
sillon calloso-marginal. - CR, couronne j rayonnante. - Fi, re, F,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
emière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. fi.fi, f3,
premier
, deuxième et troisième sillons frontaux. - f,, si
sillon olfactif. - f incisure du deuxième i- sillon frontal. - Lui,
première
circonvolution limbique. - mF,, face interne delà
al. - Lui, première circonvolution limbique. - mF,, face interne delà
première
cir- convolution frontale. OF, faisceau occipit
au uncinatus, qui viennent s'irradier dans les faces orbitaires des
première
et troisième circonvolutions frontales. Mais
lvien (OpFz, OpR, OpP2), de la partie postérieure du lobe temporal (
première
et deuxième circonvolutions temporales) (T 1>
sversales (lig. 280 et 390). Les fibres originaires des deuxième et
première
circonvolutions frontales (F,, F,) s'irradient
cm, sillon calloso-marginal. CR, couronne rayonnante. F,,F->,F3,
première
, deuxième et, troisième circonvolutions frontal
première, deuxième et, troisième circonvolutions frontales. fi, f2,
premier
et deuxième sillons frontaux. - Fli, fai- sceau
. i, sillon insulaire. la, //), insula antérieur et postérieur. L,,
première
circonvolution limbique. le, lame cornée. - Lme,
endymaire. - SI, scptum lucidum. - .so, sillon sus-orbitaire. - T,,
première
circonvolution temporale. - Th, couche optique. -
84). Les radiations calleuses qui naissent du cunéus (( : ;1 et lit
première
('ir- convolution occipitale IO,) convergent, e
é du lobe pariéto-temporal (deuxième circonvolution temporale [T2],
première
et deuxième circonvo- lutions pariétales [P,, P
ariétal (deuxième circonvolution occipitale [0.=], pli courbe [Pc],
première
circonvolution pariétale [I',], précunéus [l'rC
la scissure calca- rine et de la scissure pariéto-occipitale. ii,
première
circonvolution limbique. Lg, lo- bule lingual.
obe limbique. Lg, lobule lingual.o<, sillon collatéral. - Il,, Pu,
première
et deux 3me circonvolutions pariétales. l'a, ci
range.). 802 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. lire. Pendant les deux
premières
années de son séjour à Bicètre, présenta un degré
rtie verticale. fAe, fibres d'association externes de leviiert. L,,
première
circonvolution limbique. 2)îF, face interne dc&
L,, première circonvolution limbique. 2)îF, face interne dc> fà
première
circonvolution frontale. .YC, noyau caudé. - Pa
a. NC, tète du noyau caudé. NC', queue du noyau caude. NL3, NL" XL"
premier
, deuxième et troisième s'eg- ments du noyau len
oral. Pour Foville (1844), elle s'étendait à tout le lobe limbique (
première
et deuxième circonvolutions limbiques (L"L [II
ammifères une partie ascendante, qui relierait entre elles les deux
premières
circon- volutions limbiques, en passant par la
mdren Opticuscentren. Mûnchen. med. Wochenschr. 1892. FIN DU TOME
PREMIER
TABLE DES MATIÈRES DU TOME PREMIER 812 ' TA
ochenschr. 1892. FIN DU TOME PREMIER TABLE DES MATIÈRES DU TOME
PREMIER
812 ' TABLE DES MATIÈRES. TABLE DES MATIÈRES.
it la nature de ces lésions, il n'empêche jamais de les reconnaître à
première
vue; les foyers de ramollissement prennent une te
au correspond à l'inclinaison des fibres, mais elle ne révèle pas, du
premier
coup, la direction anatomique de ces fibres ; en
anatomique de ces fibres ; en d'autres termes, on ne peut pas dire, à
première
vue, si les fibres sont obliques en avant et en
d'un jaune brun. Comme ces deux teintes sont ternes, elles semblent à
première
vue se confondre. Avec un peu d'attention, on s'a
en Allemagne depuis quinze ans, et parmi lesquelles on doit citer en
première
ligne celles de Flechsig et de ses nombreux élève
re cérébral, c'est-à-dire du cerveau proprement dit. VII Les neuf
premières
planches de notre atlas représentent les circonvo
ontale ascendante, 8. F1. Première circonvolution frontale, 8. f.
Premier
sillon frontal, 4, 14. fi. Sillon de la premièr
n frontale, 5. F5. Troisième circonvolution frontale, 9, 15. F'a.
Première
circonvolution frontale accessoire. F2a. Deuxiè
ieur de la scissure calcarine, 12. L. Scissure limbique, 7, 14. 01.
Première
circonvolution occipitale, 12. 02. Deuxième cir
d'anastomose moyen de la première frontale à la deuxième, 14. -ttO.
Premier
pli de passage pariéto-occipiïal, pli de passage
ssage pariéto-occipiïal, pli de passage pa-riéto-occipital supérieur,
premier
pli de passage externe (Gratiolet), 11, 12. ttO
Sillon rostral, 5. T1. Première circonvolution temporale, 12. tv
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
Gyrus postérieur du lobe carré, 22, 25. GR. Gyrus reclus, 24. GSF.
Première
circonvolution sous-frontale, 23, GSf. Deuxième c
ssage fronto-limbique, 23. ¦kL. Pli de passage pariéto-limbique. tiO.
Premier
pli de passage pariéto-occipital, 7i06. Pli de pa
4. sC. Sinus du corps calleux, 17, 18. sCu. Sillon du cuneus, 25. sF.
Premier
sillon sous-frontal, 21, 28. sf. Deuxième sillon
rontale ascendante, F1. Première circonvolution frontale, 54. fy.
Premier
sillon frontal. /i,. Sillon de la première circ
circonvolution frontale. F5. Troisième circonvolution frontale. F*a.
Première
circonvolution frontale accessoire. FOr . Circonv
lobule du pli courbe et le lobule pariétal supérieur, 51, 54. ttO.
Premier
pli de passage pariéto-occipital, pli de passage
assage pariéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital supérieur,
premier
pli de passage externe (Gratiolet). t:OT. Trois
SR. Sillon rostral. T1. Première circonvolution temporale, 54. tv
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
ion frontale ascendante. F1. Première circonvolution frontale, 58. fv
Premier
sillon frontal, 56. /i,. Sillon de la première
rieur. it. Incisure temporale de Sylvius. L. Scissure limbique. 01.
Première
circonvolution occipitale, 57, 40. Ov Premier sil
entre le lobule du pli courbe et le lobule pariétal supérieur. 7:0.
Premier
pli de passage pariéto-occipital, pli de passage
assage pariéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital supérieur,
premier
pli de passade externe (Gra-tiolet), 40. 7iOT.
SR. Sillon rosirai. T1. Première circonvolution temporale. tk.
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
GQP. Gyrus postérieur du lobe carré, 44. GR. Gyrus rectus. GSF.
Première
circonvolution sous-frontale, 45, 45. GSf. Deux
. ROS. Rostrum. RR. Ruban de Reil. sCu. Sillon du cuneus. sF.
Premier
sillon sous-frontal, 45, 45. sf. Deuxième sillo
GQP. Gyrus postérieur du lobe carré, 50, 52. GR. Gyrus rectus. GSF.
Première
circonvolution sous-frontale, 48. GSf. Deuxième
mus (corpus album subrolun-dum). NR. Noyau rouge de la calotte. Ot.
Premier
sillon occipital. 02. Deuxième circonvolution o
rum. sC. Sinus du corps calleux. sCu. Sillon du cuneus, 51. sF.
Premier
sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-f
ré, 55. GQF. Gyrus postérieur du lobe carré. GR. Gyrus reclus. GSF.
Première
circonvolution sous-frontale. GSf. Deuxième circo
térieur. sG. Sinus du corps calleux. sCu. Sillon du cuneus. sF.
Premier
sillon sous-frontal, 55. sf. Deuxième sillon so
56. GQP. Gyrus postérieur du lobe carré, 56. GR. Gyrus rectus. GSF.
Première
circonvolution sous-frontale. GSf. Deuxième cir
ieur. ROS. Rostrum du corps calleux. sCu. Sillon du cuneus. sF.
Premier
sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-f
rforé antérieur, 63. F1. Première circonvolution frontale, 65, 65. fv
Premier
sillon frontal, 65. F"2. Deuxième circonvolution
Sillon rosirai, 63. T1. Première circonvolution temporale, 65. lv
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
eur, 79. E1. Première circonvolution frontale, 68, 72, 75, 79. f.
Premier
sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution fro
ialis, 75. GLP. Globus pallidus, 75. GR. Gyrus reclus, 79. GSF.
Première
circonvolution sous-frontale, 68, 75. GSf. Deux
scissure de Sylvius, 69, 79, 80. sC. Sinus du corps calleux, 68. sF.
Premier
sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-fro
ire interne. T1. Première circonvolution temporale, 69, 72, 80. ty.
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
ule pariétal supé-rieur, 92, 93, 94, 99. PC. Pli courbe, 92. tzO.
Premier
pli de passage pariéto-occipital, pli de passage
assage pariéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital supérieur,
premier
pli de passage externe (Gra-tiolet), 88. tiP. D
n du cuneus, 87, 89, 94, 98. si. Sillon du lobule lingual, 87. tv
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
Faisceau longitudinal inférieur, 101, 102, 104, 108. FLi, FL2, FLô.
Première
, deuxième et troisième couches du faisceau long
lobe carré, 99, 101. T1. Première circonvolution temporale, 100. t{.
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
ngitudinal inférieur, 112, 116, 119, 122, 125, 128. FLi. FLr2, FLs.
Première
, deuxième, troisième couches du faisceau longit
P. Scissure sous-pariétale, 109. sQ. Recessus du lobe carré, 110. TJ.
Première
circonvolution temporale. tv Premier sillon tem
essus du lobe carré, 110. TJ. Première circonvolution temporale. tv
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
ure sous-pariétale, 152. T1. Première circonvolution temporale. tt.
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
Scissure sous-pariétale. T1. Première circonvolution temporale. tv
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
du corps calleux, 171. T1. Première circonvolution temporale. tv
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
olution frontale ascendante. F1. Première circonvolution frontale. f.
Premier
sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix
e sous-épendymaire, 188. T1. Première circonvolution temporale. tl.
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
frontale ascendante. F1. Première circonvolution frontale, 204. /i.
Premier
sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix,
e sous-épendymaire, 196. T1. Première circonvolution temporale. ty.
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
ntale ascendante, 205. F1. Première circonvolution frontale, 205. fj.
Premier
sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix
ndymaire, 205, 209, 216. T1. Première circonvolution temporale. tL.
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
sous-épendymaire, 227. T1. Première circonvolution temporale. tx.
Premier
sillon temporal, sillon parallèle. T2. Deuxième
Rth. Radiatio thalami. T1. Première circonvolution temporale. ty.
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
rontale ascendante, 272. F1. Première circonvolution frontale. fv
Premier
sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix
rontale ascendante, 290. F1. Première circonvolution frontale. f.
Premier
sillon frontal, 290. F2. Deuxième circonvolutio
ontale ascendante. F1. Première circonvolution frontale, 506. f\.
Premier
sillon frontal, 506, 507. F2. Deuxième circonvo
térieur, 527, 552, 554. F1. Première circonvolution frontale. f\.
Premier
sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution fro
illon latéral du subiculum. F1. Première circonvolution frontale. fr.
Premier
sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution front
perforé antérieur, 584. F1. Première circonvolution frontale, 588. f.
Premier
sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution front
pace perforé antérieur, 598. F1. Première circonvolution frontale. fv
Premier
sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution front
ré antérieur, 407, 415. F1. Première circonvolution frontale. f\.
Premier
sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution fro
3. Cin. Cingulum, 425. F1. Première circonvolution frontale /j.
Premier
sillon frontal, 419, 425. F2. Deuxième circonvo
FPF. Faisceau pariéto-frontal, 425. GR. Gyrus reclus, 4H. GSF.
Première
circonvolution sous-frontale GSf. Deuxième circ
s lenliformis, 428, 452. F1. Première circonvolution frontale. f.
Premier
sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution fro
érieur de la voûte, 456. F1. Première circonvolution frontale. f.
Premier
sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution fro
. psp. Pédoncule, Pul. Pulvinar, 457. PUT. Putamen, 456. tcO.
Premier
pli de passage pariéto-occipital. QA. Tubercule
er descendant du fornix. F1. Première circonvolution frontale. fv
Premier
sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution fro
rne du thalamus, 440. NpC. Noyau postérieur du thalamus, 440. 01.
Première
circonvolution occipitale. 02. Deuxième circonv
tale à la deuxième. 7if. Petit pli de passage fronto-limbique. 7i0.
Premier
pli de passage externe. tcP. Deuxième pli de pass
sQ. Recessus du lobe carré. T1. Première circonvolution temporale. tv
Premier
sillon temporal. ttt. Rranche inférieure du sillo
olution frontale ascendante. F1. Première circonvolution frontale. f.
Premier
sillon frontal. fu. Sillon de la première circo
NCC. Queue du noyau caudé, 445. NeC. Noyau externe du thalamus. 01.
Première
circonvolution occipitale. Ov Premier sillon occi
d'anastomose antérieur de la première frontale à la deuxième. 7rO.
Premier
pli de passage pariéto-occipital, pli de passage
sage pariéto-occipital, pli de passage pariéto - occipital supérieur,
premier
pli de passage externe (Gratiolet). 7iP. Deuxiè
interne. SPL. Splenium. T1. Première circonvolution temporale. tv
Premier
sillon temporal. T2. Deuxième circonvolution te
rforé postérieur. F1. Première circonvolution frontale, 459. /*!•
Premier
sillon frontal, 459. F2. Deuxième circonvolutio
nterne, 461. T1. Première circonvolution temporale, 459, 461. ty.
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
e inférieure du putamen. T1. Première circonvolution temporale. ti.
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
s loin et qui appartient à la partie postérieure de l'espace perforé (
première
figure). Plus profondément (deuxième et troisième
ure, blanche, traversée par les vaisseaux lenticulo-striés (schéma 4,
première
figure). Si l'on gratte superficiellement l'espac
été bien mise en évidence par Trolard (schéma 4, deuxième figure). Ce
premier
grattage superficiel permet de constater que la p
isceau régulier, rubanné comme celui qui est indiqué sur le schéma 4 (
première
figure). Souvent elle s'étale et éparpille ses fi
le lobe temporal, le lobe limbique et le lobe de Vinsida. Les quatre
premiers
sont suffisamment désignés par le nom qu'ils port
t convenues par des congrès internationaux ; ce sont là des œuvres de
première
utilité et qui justifient, de temps à autre, les
ilement et suffisamment désignée par un exposant : F'F2 désignent les
première
et deuxième circonvolutions frontales; T4,06 dési
sous de la ligne). On évite ainsi plus facilement la confusion de O1 (
première
circonvolution occipitale) avec Ot (premier sillo
ment la confusion de O1 (première circonvolution occipitale) avec Ot (
premier
sillon occipital)..... et ainsi de suite. Les p
, sont parfois si grandes et si imprévues qu'il paraît impossible, au
premier
abord, de réduire tel cerveau d'homme à un cervea
bique ; TJ, tubercule de jonction ; sME, grand sillon métopique ; F1,
première
circonvolution frontale ; pro, sillon prae-ovalai
onge au-dessous du genou du corps calleux (GC), où il prend le nom de
premier
sillon sous-frontal (sF). 11 ne garde le nom de s
que; sP, scissure sous-pariétale; pt, sillon pariétal transverse; sf,
premier
sillon sous-frontal; F*, première circonvolution
pt, sillon pariétal transverse; sf, premier sillon sous-frontal; F*,
première
circonvolution frontale; T.F, grand pli de passag
carré; BQ, bourrelet du lobe carré; sM£, grand sillon métopique; sF,
premier
sillon sous-i'rontal; zF, grand pli de passage fr
ostérieure ; iî, scissure de Rolande ; sme, incisure métopique ; GSF,
premier
gyrus sous-h-ontal ; GSf, deuxième gyrus soHS-fro
Oe). Le grand sillon métopique (sME), la plupart du temps séparé du
premier
sillon sous-frontal (sF) par un pli tardif, forme
e en bas et en arrière jusqu'au tubercule de jonction, sous le nom du
premier
pli sous-frontal (GSF). Le second sillon sous-f
f et son bulbe ; f, région frontale ; P, région pariétale ; fi,
premier
sillon frontal ; /"j, deuxième sillon frontal;
le ; fi, premier sillon frontal ; /"j, deuxième sillon frontal;
premier
sillon temporal; tt,, deuxième sillon temporal;
ou ascendante de la scissure de Sylvius ; R, scissure de Rolande; f^,
premier
sillon frontal; /¦», deuxième sillon frontal; P',
œ-rolandique supérieur ; pri, sillon pras-rolandique inférieur ; t.^,
premier
sillon temporal; t^, deuxième sillon temporal; T\
^, premier sillon temporal; t^, deuxième sillon temporal; T\ ï^, T^',
première
, deuxième, troisième circonvolutions temporales;
ème, troisième circonvolutions temporales; t^^, branche supérieure du
premier
sillon temporal ; tii, branche inférieure du prem
he supérieure du premier sillon temporal ; tii, branche inférieure du
premier
sillon temporal ; PC, pli courbe ; Oe, scissure p
0, pôle occipital; r.O, pli de passage pariéto-occipital supérieur ou
premier
pli de passage externe; t.P, pli de passage parié
r (prs) ou prœ-rolandique supérieur reçoit l'extrémité postérieure du
premier
sillon frontal (/i) ; le sillon inférieur ou prœ-
externe (Oe) ; c'est le pli de passage pariéto-occipital supérieur ou
premier
pli de passage externe (Gratiolet). Il réunit le
rrière dans une petite incisure transversale (0,), qu'on doit appeler
premier
sillon occipital, mais qu'on peut considérer — pa
occipitale externe (Oe). Ce qui se trouve au-dessus et en avant de ce
premier
sillon occipital est la première circonvolution
trouve au-dessus et en avant de ce premier sillon occipital est la
première
circonvolution occipitale (O1). La première occip
). La première occipitale fait immédiatement suite, on le conçoit, au
premier
pli de passage externe. Ce qui se trouve au-desso
pli de passage externe. Ce qui se trouve au-dessous et en arrière du
premier
sillon occipital (oj) est la deuxième circonvolut
lvius ; R, scissure de Rolande ; F, frontale ascendante ; F", F-, F^,
première
, deuxième, troisième circonvolutions frontales ;
^, première, deuxième, troisième circonvolutions frontales ; /",,/"a,
premier
et deuxième sillons frontaux; soe, sillon orbitai
lon post-rolandique inférieur; Oe, scissure occipitale externe ; o,,,
premier
sillon occipital ; o,, deuxième sillon occij)ital
remier sillon occipital ; o,, deuxième sillon occij)ital ; 0\ 0^, 0',
première
, deuxième, troisième circonvolutions occipitales
; PC, pli courbe ; r.V, deuxième pli de passage externe; T', T*, T',
première
, deuxième, troisième circonvolutions temporales;
, T*, T', première, deuxième, troisième circonvolutions temporales;
premier
sillon temporal ou sillon parallèle; t^, deuxième
ariétal transverse; F, circonvolution frontale ascendante; F1, F2,F3,
première
, deuxième, troisième circonvolutions frontales; F
convolution fronto-orbitaire externe ; FO2, lobule orbitaire; ft, f%,
premier
sillon frontal et deuxième sillon frontal ; t±, t
; ft, f%, premier sillon frontal et deuxième sillon frontal ; t±, t2,
premier
sillon temporal et deuxième sillon temporal ; T1,
t2, premier sillon temporal et deuxième sillon temporal ; T1, T2, T3,
première
, deuxième, troisième circonvolutions temporales ;
oisième circonvolutions temporales ; P, pariétale ascendante; P', P2,
premier
et deuxième lobules pariétaux; PC, pli courbe ; O
Oe, scissure occipitale externe; A', scissure calcarine ; O1, O2, 05,
première
, deuxième, troisième circonvolutions occipitales.
ion temporale transverse ; pTt, pied de la temporale transverse ; T1,
première
cirvonvolution temporale formant l'opercule tempo
sure de Rolando ; F, circonvolution frontale ascendante ; F1, F2, F3,
première
, deuxième, troisième frontales; P, circonvolution
troisième frontales; P, circonvolution pariétale ascendante ; P1, P2,
première
et deuxième circonvolutions pariétales ; GP, lobu
ions pariétales ; GP, lobule du pli courbe ; PC, pli courbe ; O1, O2,
première
et deuxième circonvolutions occipitales; r.O, pre
urbe ; O1, O2, première et deuxième circonvolutions occipitales; r.O,
premier
pli de passage externe ; itP, deuxième pli de pas
grand sillon occipito-temporal de Pansch; si, sillon lingual; 1,
premier
et troisième sillons temporaux. //, sillon en I
sième sillons temporaux. //, sillon en II du lobule orbitaire ; F^,
première
circonvolution frontale; GR, gyrus reclus; OLB, b
II de l'Atlas.) R, scissure de Rolande ; L, scissure limbique ; sF,
premier
sillon sous-frontal ; sf, deuxième sillon sous-fr
rré; T'*, circonvolution de l'hippocampe ou cinquième temporale; GSF,
première
circonvolution sous-frontale; GSf, deuxième circo
ure ou sous-frontale, à l'origine de la scissure limbique (L), et des
premier
et deuxième sillons sous-frontaux (sF et sf). Cet
du carrefour. L, scissure limbique; C, circonvolution limbique; sF,
premier
sillon sous-frontal; sf, deuxième sillon sous-fro
en résulte que le petit pli de passage fronto-limbique (tt/) naît du
premier
pli sous-frontal. D'autre part, le grand sillon m
anfractuosités et des plis dépend donc exclusivement de l'anomalie du
premier
sillon sous-frontal {sF). Et ainsi se vérifie tou
7'us vestibuli; L, scissure limbique; C, circonvolution limbique; sF,
premier
sillon sous-frontal ; sf, deuxième sillon sous-fr
scissure limbique; C, circonvolution limbique; GR, gyrus rectus; sF,
premier
sillon sous-frontal ; sf, deuxième sillon sous-ir
phère droit. L, scissure limbique ; C, circonvolution limbique; sF,
premier
sillon sous-frontal ; sME, grand sillon métopique
d'une portée exceptionnelles. Ce pli de passage pourrait être pris, à
première
vue, pour la circonvolution limbique elle-même (G
scissure limbique; sC, sinus du corps calleux; ce, corps calleux; sF,
premier
sillon sous-frontal; sf, deuxième sillon sous-fro
l; sf, deuxième sillon sous-frontal; C, circonvolution limbique; GSF,
première
circonvolution sous-frontale : itF, grand pli de
genou et venir se terminer dans la région du carrefour, au-dessus du
premier
gyrus sous-frontal (GSF). L'intervalle qui, à ce
circonvolution frontale, une incisure isolée, allongée, parallèle au
premier
sillon frontal (/i) et qui subdivise la première
œ-rolandique supérieur; pi-i, sillon prœ-rolandique inférieur; f^, f„
premier
et deuxième sillons frontaux ; f/, sillon de la p
A', scissure calcarine; K', branche inférieure de la calcarine ; ti,
premier
sillon temporal ou sillon parallèle ; ^js, sa bra
convolution frontale ascendante; P, pariétale ascendante; F^, F-, F',
première
, deuxième, troisième frontales; pF^, pied delà de
étal inférieur; GP, lobule du pli courbe; PC, pli courbe; 0', 0-, 0',
première
, deuxième, troisième circonvolutions occipitales
0', première, deuxième, troisième circonvolutions occipitales ; r.O,
premier
de passage externe ; icP, deuxième pli de passage
de passage externe ; -OT, troisième pli de passage externe ; T-, T',
première
, deuxième, troisième circonvolutions temporales ;
sillons frontaux; F, circonvolution frontale ascendante ; F1, F2, F3,
première
, deuxième, troisième circonvolutions frontales; f
pariétal transverse; P, circonvolution pariétale ascendante ; P1, P2,
première
et deuxième circonvolutions pariétales ; GP, lobu
volutions pariétales ; GP, lobule du pli courbe; PC, pli courbe; t:0,
premier
pli de passage externe; t;P, deuxième pli de pass
llèle; l|S et ttt, ses branches supérieure et inférieure; T1, T2, T3,
première
, deuxième, troisième circonvolutions temporales.
aire externe. jR, scissure de Rolande; F, frontale ascendante; F\ F^,
première
et deuxième frontales; P, pariétale ascendante ;
; P, pariétale ascendante ; sillon post-rolandique supérieur; P^, P-,
première
et deuxième circonvolutions pariétales; PC, pli c
; is, sa branche inférieure; t.^, deuxième sillon temporal; T*,T^,T',
première
, deuxième-troisième circonvolutions temporales.
rontale (circonvolution de Broca); soe, sillon orbitaire externe; T1,
première
circonvolution temporale. qu'on retrouve et dét
praî-rolandique supérieur ; ^ri, sillon pra;-rolandique inférieur; F\
première
frontale ; F^, F^, deuxième frontale; CAP, cap de
; pt, sillon pariétal transverse; Oe, scissure occipitale; T% T-, T",
première
, deuxième, ti'oisième circonvolutions temporales;
Et ainsi s'établit le premier système de projection de Meynert. Ces
premières
connexions entre la surface et les noyaux du cent
e l'écorce ne s'accroît pas proportionnellement ou parallèlement au
premier
système de projection. Il s'ensuit que si les inc
ure du lobule du pli courbe; ipc, incisure du pli courbe; 0^, 0^, 0',
première
, deuxième et troisième circonvolutions occipitale
0', première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales; itO,
premier
pli de passage externe ;-P, deuxième pli de passa
ascendante ou la frontale ascendante en deux plis distincts, peut, à
première
vue, passer pour une scissure de Rolando suppléme
confondus en un seul ; F, circonvolution frontale ascendante; ¥', F2,
première
et deuxième circonvolutions frontales; pF2, pied
ution frontale (pF1). En btís* il reçoit l'extrémité postérieure du
premier
sillon frontal (f{) qui, dirigé horizontalement,
mier sillon frontal (f{) qui, dirigé horizontalement, sépare les deux
premières
circonvolutions frontales (F1,!*'2). pri. Le si
rveau ; là il est interrompu par le pli d'anastomose moyen (tcFM) des
première
et deuxième circonvolutions centrales. Il repre
(P*s), par le pli inférieur du lobule pariétal supérieur (P*i), parle
premier
pli de passage pariéto-occipital (tu 0) ; la régi
cisure de l'opercule. t%. Le deuxième sillon temporal, parallèle au
premier
, se compose de trois tronçons, séparés par des pl
ssure occipitale externe ne se reconnaît qu'à la situation précise du
premier
pli de passage pariéto-occipital (tcO). Elle n'em
andique inférieur (pri), puis se recourbe franchement en avant. Cette
première
portion de son trajet est le pied de la troisième
tal supérieur va d'avant en arrière, s'amincissant toujours, jusqu'au
premier
pli de passage pariéto-occipital (%0). Il est d
erse (pTt). O1. La première circonvolution occipitale fait suite au
premier
pli de passage externe (tcO); elle est adjacente
e le pôle sphénoïdal (PS). Elle s'étend d'avant en arrière, entre les
premier
et deuxième sillons temporaux (t± et £2) jusqu'à
a aucune anastomose avec le lobe frontal. Le grand développement du
premier
sillon sous-frontal (sF), continué par le grand s
la région temporale ne présentent rien qui les différencie de ceux du
premier
hémisphère. ot^. Le grand sillon occipito-tempo
es branches de la scissure de Sylvius (-S') et du sillon parallèle ou
premier
sillon temporal {t^). S'. La branche externe de
oe), qui la supplée quelquefois totalement. Le sillon parallèle, ou
premier
sillon temporal, suit presque toujours, comme son
un sillon prse-rolandique supérieur à trois grands rameaux (prs). Ce
premier
sillon frontal (f^) s'étend d'arrière en avant da
et en dedans du sillon orbitaire externe (soe). Cette pénétration du
premier
sillon Irontal (Q dans la région orbitaire entraî
ans le sillon pariétal {p). Il n'y a donc pas, sur cet hémisphère, de
premier
pli de passage externe, comme on en voit un (xO)
utre hémisphère. Il est vraisem blable que c'est h cette absence du
premier
pli de passage externe que le lobe occipital doit
remière circonvolution occipitale (0') \ t^. Le sillon parallèle ou
premier
sillon temporal est interrompu, dans son trajet d
pli d'anastomose moyen de F* à F% lequel interrompt la continuité du
premier
sillon frontal {Q. F-. La deuxième frontale, tr
frontale. /¦/. Le sillon de la deuxième frontale n'est parallèle au
premier
sillon que dans la région antérieure. — Dans la r
es verticales, soit par de grandes branches, également verticales, du
premier
sillon frontal (/¦J et du second {Q. f^. Le sec
ale (pP^) et la deuxième pariétale (P^). t^. Le sillon parallèle ou
premier
sillon temporal s'étend, sans interruption et par
nière générale : 1" que la première circonvolution (0') fait suite au
premier
pli de passage (xO); 2" que la deuxième (0^) fait
rit et d'une intelligence moyenne. Ils sont, comme on en peut juger à
première
vue, absolument dissemblables, surtout en ce qui
e limbique (L), prend, par compensation. une importance notable. Au
premier
abord on pourrait le confondre avec la scissure l
me il est possible de retrouver à l'état d'ébauche les parties qui, à
première
vue, semblent faire défaut sur cet hémisphère, on
se présente ici. Bien plus, on voit ce pli de passage (xF) surgir du
premier
sillon sous-frontal (sF), qui se bifurque pour lu
ncer en sens inverse, c'est-à-dire d'arrière en avant, une branche du
premier
sillon occipital (oj venue de la face externe du
GMP). Le grand pli de passage fronto-limbique (xF), qui fait suite au
premier
gyrus sous-frontal, se continue donc avec le gyru
e d'interprétation morphologique, dont l'importance n'apparaît pas du
premier
coup avec une grande évidence. Mais il faut consi
igures de cette planche représentent des hémisphères cérébraux qui, à
première
vue, s'écartent tellement du type schématique qu'
bulbe olfactif (OLE) et va se terminer dans une branche antérieure du
premier
sillon frontal {f^). Celle-ci communique égalemen
ente à la face inférieure du lobe frontal le prolongement réfléchi du
premier
sillon frontal, comme la circonvolution olfactive
a planche X. ce, corps calleux. — C, circonvolution limbique. — F',
première
circonvolution frontale. — GSF, GSf, première et
olution limbique. — F', première circonvolution frontale. — GSF, GSf,
première
et deuxième circonvolutions sous-frontales. — TJ,
to-frontal (FPF), s'accole et s'insère, selon toute vraisemblance, au
premier
et au deuxième plis de passage pariéto-occipitaux
pli courbe (PC). On voit aussi que le lobule pariétal siipérieur, ou
première
circonvolution pariétale (P*) n'a plus qu'une trè
en apparence moins profonde encore que la précédente, part souvent du
premier
sillon temporal {t^). D'ailleurs on voit, sur la
ppe cette incisure rejoint, dans la profondeur, la substance grise du
premier
sillon temporal. ti^ est le premier sillon temp
illon temporal (ou sillon pai^allèle). V, T, T représentent les trois
premières
circonvolutions temporales. Entre la deuxième et
et la paroi interne du ventricule. Ce faisceau n'est pas différent du
premier
; c'est le môme et il porte sur la figure la même
lesquels nous sommes entré à propos de chacune des figures des trois
premières
planches, n'ont eu pour but que de fixer d'une fa
e, en effet, ses fibres sont verticales et ne se reconnaissent pas du
premier
coup dans le plan de la section. — Les trois fais
indiqué; on ne remarquera que le pli de communication qui, au fond du
premier
sillon (tit fig. 66), ou sillon parallèle, relie
qs), décrit le môme arc à concavité interne, en avant et au-dessus du
premier
, et franchit la ligne médiane en se mettant en co
La quatrième couche (LM4) s'incline en dehors, alors que les trois
premières
se sont déjà portées vers les parties externes et
Reste une cinquième couche (LMS) encore plus profonde que les quatre
premières
; celle-là est, en fait, assez nettement isolée; e
égion postérieure du thalamus, toute la substance grise paraisse au
premier
abord confondue en une seule masse, il est donc p
n'appartient pas, en réalité, à l'étage inférieur, dont il semble, au
premier
abord, faire partie, mais à l'étage supérieur, do
et du lobe pariétal, elle ne présente de spécial que l'apparition du
premier
sillon frontal (/j fig. 86) dont le cul-de-sac po
partiennent à la bandelette optique. Ce que l'on peut considérer, à
première
vue, comme la capsule du corps genouillé, n'est d
pour pénétrer dans la couche optique, toutes les fibres corticales du
premier
système de projection. C'est-à-dire que c'est sur
on isolement n'était pas bien net; les fibres postéro-antérieures des
premières
circonvolutions temporales qui le constituent éta
du faisceau arqué (ARC), se montre également. plus compact au fond du
premier
sillon frontal, que la coupe commence à entamer {
olandiquc supérieur {p7's, fîg. 92) reçoit l'extrémité postérieure du
premier
sillon frontal (/"J. Bientôt le sillon prseroland
versales en série. C'est par hasard que le couteau a divisé ici cette
première
lame blanche. PUT. Le putamen (fig. 91, 92, 94,
à reconnaître, marchant d'arrière en avant dans le manteau des deux
premières
circonvolutions temporales. En général il présent
connu sous le nom à\mse du noyau lenticulaire. On peut s'étonner, à
première
vue, que les cloisons verticales du noyau lenticu
à montrer le trajet parcouru parla racine inférieure du thalamus; F1,
première
circonvolution frontale. F5, troisième circonvo
frontale. F5, troisième circonvolution ; IN", insula de Reil ; T1,
première
temporale; llip, circonvolution de l'hippocampe e
son trajet elle décrit donc une courbe à concavité supérieure ; cette
première
portion appartient tout entière au centre ovale d
tion temporale et de la deuxième; il est donc à cheval sur le fond du
premier
sillon temporal ou sillon parallèle. Il conserver
eau longitudinal postérieur (FLP). Mais il faut admettre que les deux
premiers
de ces faisceaux, c'est-à-dire la lamina tegmenti
sseaux (branches de la lenticulo-striée) successivement sous les deux
premiers
segments du noyau lenticulaire et sous l'intersti
oration de cette capsule, que ses fibres n'ont aucun rapport avec les
première
et deuxième circonvolutions temporales (T1 T2). E
us et au-dessous de lui : disposition assez difficile à comprendre au
premier
abord et dont nous allons nous occuper immédiatem
ue ou tubercule de jonction (TJ, fig. 152) et le gyrus rectus (GR) ou
première
circonvolution frontale réfléchie. Ces rapports
e plus loin en avant. Il est présumable qu'elles aboutissent aux deux
premières
circonvolutions frontales, et que la troisième, e
me disposition, à très peu de chose près, se retrouvé slif les quatre
premières
coupes de cette planche. Mais déjà à partir de la
se fusionnent (fig. 154); puis ces deux circonvolutions avec les deux
premières
(T', T, fig. 155). Enfin il ne reste bientôt plus
Le faisceau pariéto-frontal (fig. 135, 136), toujours sous-jacent au
premier
sillon frontal (/"J, s'unit, dans son trajet anté
x (FDF). 11 appartient donc spécialement, ici comme précédemment, aux
première
et deuxième circonvolutions frontales, mais, d'un
ées de la convexité du cerveau. Les détails de l'écorce se lisent à
première
vue; ifs ne présentent pas de difficultés d'inter
férieures du segment antérieur de la capsule interne (CIA). Sur cette
première
coupe — et il en est toujours de même lorsque le
PASSANT PAR LA RÉGION SUPÉRIEURE DE LA MASSE OPTO-STRIÉE. Les deux
premières
figures (10 et 11) représentent le plan de sectio
la répartition et aux rapports réciproques de leurs noyaux. Ces deux
premières
coupes horizontales passent par le milieu des deu
e sphénoïdal. A la face externe se succèdent, d'avant en arrière, les
première
, deuxième et troisième temporales (T', V, T'). Le
n évidence sur les figures de la planche XLI. Figure 4. Les trois
premières
figures représentaient les coupes horizontales de
e segment inférieur de l'hémisphère qui a été reproduit ici. Les deux
premières
figures seules le font voir dans son ensemble. Le
ur former la bandelette de Giacominî (BGI), rendent très difficile, à
première
vue, la compréhension d'une coupe prise au hasard
ntérieures du bulbe. F. Circonvolution frontale ascendante. - F'.
Première
circonvolution frontale. . f\. Premier sillon f
rontale ascendante. - F'. Première circonvolution frontale. . f\.
Premier
sillon frontal. f\,. Sillon de la première circ
convolution frontale. F". Troisième circonvolution frontale. F'a.
Première
circonvolution frontale accessoire. F^a. Deuxiè
.j FLL Faisceau longitudinal inférieur. FLi, FL2, FLs, FL4, FLs.
Première
, deuxième, troisième, quatrième, cinquième couche
arré. GR. Gijinis reclus. GS. Pyramide grise de Sœmmering. GSF.
Première
circonvolution sous-frontale. GSf. Deuxième cir
yau de la calotte, ganglion du pédoncule cérébelleux supérieur. 0'.
Première
circonvolution occipitale. 0^. Premier sillon o
érébelleux supérieur. 0'. Première circonvolution occipitale. 0^.
Premier
sillon occipital. 0\ Deuxième circonvolution oc
entre le lobule du pli courbe et le lobule pariétal supérieur. 7:0.
Premier
pli de passage pariéto-occipital, pli de passage
age pariéto-occipital, pli de passage pariéto- occipital supérieur,
premier
pli de passage externe (Gratiolet). rjy. Pli de p
. Sillon de séparation du corps gcnouillé externe et du pulvinar. sF.
Premier
sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-fro
lum de la corne d'Ammon. SUF. Subiculum de la fasciola cinerea. T'.
Première
circonvolution temporale. tj. Premier sillon te
e la fasciola cinerea. T'. Première circonvolution temporale. tj.
Premier
sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
férieur (FLI)......... 78,102, 154 Faisceau longitudinal inférieur (
première
couche) FLi)...... 212 Faisceau longitudinal in
Frontale ascendante (circonvolution), (F)........xliv, 8 Frontale (
première
circonvolution), (F*)............ 8 Frontale (p
Frontale (première circonvolution), (F*)............ 8 Frontale (
première
circonvolution accessoire), (F*a)....... 8 Fron
prse-ovalaire (j9î'o)................. lvi Incisure sus-orbitaire (
première
), (sF)............. Incisure sus-orbitaire (deu
Moteur oculaire commun (MOG)............. "vm, 300 o Occipitale (
première
circonvolution), (0*)........... 11 Occipitale
'èiWon dn subiculum {Dsu).......... ......... 145 Sillon frontal (
premier
), (/;)............... xli, 4 Sillon frontal (de
Sillon métopique (petit) (sme)................ 21 Sillon occipital (
premier
), (Oj)................ xlv Sillon occipital (de
tal (quatrième), (o^).............. pass. Sillon occipito-temporal (
premier
), (o^j........... pass. Sillon occipito-tempora
ffi-uncique (PR[/)............vu, xxvii, 3, 20 Sillon sous-frontal (
premier
), (sf).............. xxxvn Sillon sous-frontal
xxvn Sillon rostral [SR)...................xl, 5 Sillon temporal (
premier
) (fj ................ 7 Sillon temporal (deuxiè
Sinus corporis callosi {sC)................xvi, 17 Sous-frontale (
première
circonvolution), (GSf)......... xl Sous-frontal
COMPLÉMENTAIRES DE SGLÉROTOMIE, OPHTHALMOLOGIE, TÉNOTOMIE, ETC.
PREMIÈRE
PARTIE TEXTES GÉNÉRAUX L. GUÉRIN, ÉDITEUR d
uxquelles doit satisfaire une bonne figure de médecine opératoire. Au
premier
aperçu un pareil résultat semble impossible, la d
mens, par des liquides, des vapeurs ou des gaz. Ce point de vue, au
premier
aperçu ne semble être qu'une abstraction ou une p
s fonctions, ou sont influencés par elles, et se trouvent ainsi cause
première
ou secondaire de leurs perturbations. Une fois la
ucture, la conformation générale et le trajet, cpi'il ne le semble au
premier
coup-d'œil. A la superficie, l'enveloppe splanchn
oblitération de l'artère principale au-dessous d'eux. Dans les deux
premières
fractions des membres, les faisceaux vasculaires
tèbre axis, au-dessus de laquelle l'intervalle correspondant aux deux
premières
vertèbres expose aux lésions traumatiques de la m
A l'extérieur elle présente en haut la saillie de la soudure des deux
premières
pièces du sternum, et inférieurement la fossette
our cette région, d'une portion de l'arc antérieur des quatre ou cinq
premières
côtes réunies par les muscles intercostaux, et re
te. Il est constitué par la clavicule, une portion des quatre ou cinq
premières
côtes, l'apophyse coracoide, et, jusqu a un certa
l'humérus sus-épineux, sous-épineux, petit et grand ronds, les trois
premiers
enveloppés clans leur gaine os-téo-fibreuse, et,
cles de l'avant-bras fléchisseurs ou extenseurs. Par la surface de sa
première
rangée, le scaphoïde, le pyramidal et le semi-lun
nvexe du psoas-iliaque', en dedans par le plan du pectine et des deux
premiers
adducteurs; dans le sillon intermédiaire à ces mu
mente l'étranglement, dans la gaine fibreuse, causé par la congestion
première
. 3° Couche fibro-musculaire. Elle se compose de l
sque la terminaison fatale par épuisement est imminente , si la cause
première
n'en est immédiatement enlevée. Cette circonstanc
on sans eux serait impossible. Dans certains cas môme, la fonction du
premier
aide ne le cède guère en difficulté à celle de l'
sible, dirigent les actions du chirurgien pour la pose et la levée du
premier
appareil, les pansemens consécutifs, la situation
aigu, comme on serait induit à le supposer, et comme il le paraît, au
premier
aspect, sous le microscope. Sa forme réelle est u
pe cutanée. 4° Dimensions de la plaie. Toute incision doit avoir du
premier
coup de bistouri l'étendue que l'on veut lui donn
bistouri l'étendue que l'on veut lui donner. On peut aussi, clans ce
premier
mouvement, gagner en profondeur, lorsqu'il n'y a
nciser que couche par couche ; mais, clans ces cas mêmes, la peau, du
premier
trait, doit être coupée dans toute son épaisseur
rincipes ; il importe de s'exercer de bonne heure et long-temps à ces
premiers
élémens de médecine opératoire, si l'on veut se d
s au nombre de huit, disposées suivant la fréquence de leur emploi.
Première
position \ Dite approximativement le bistouri t
ment la même que la première, quant à la manière de placer les quatre
premiers
doigts ; elle n'en diffère que par la situation d
dans les cas où il a besoin de garder la liberté de ses deux mains.
Premier
procédé. Incision oblique avec ponction. Son exéc
deur : la tension étant opérée, le bistouri tenu de la main droite en
première
position, on en présente la pointe perpendiculair
qui sépare les doigts de l'opérateur et de l'aide le bistouri tenu en
première
position, on fait, du talon à la pointe de l'inst
droite se pratique, comme nous l'avons dit, avec le bistouri tenu en
première
position. Quant aux deux autres incisions, l'une
gauche, dont le dos est tourné vers l'opérateur. Le bistouri tenu en
première
position, on abaisse l'instrument perpendiculaire
oche, et, si le cas le permet, on obtient promptement une réunion par
première
intention. Incision en T'. Elle diffère de l'in
es ou sur des bords libres. Dans le premier cas, l'instrument tenu en
première
position, on fait d'abord une première section de
la même manière du côté opposé. Le bistouri tenu de la main droite en
première
position, le chirurgien pratique de dehors en ded
une trop grande épaisseur. Prenant ensuite un bistouri droit tenu en
première
ou en troisième position, le chirurgien incise de
oi, les tissus étant saisis entre les tranchans. L'on se garantira du
premier
de ces deux inconvéniens en ne présentant aux par
abaissé; mais, s'il est restreint dans son jeu, il doit être tenu en
première
ou en troisième position. 2° Dissection de tiss
oisième position. 2° Dissection de tissus adhérens. Le bistouri, en
première
position, ne procède que de pointe et par petits
ction directe. L'instrument tenu perpendiculairement à la surface, en
première
1 ou en troisième2 position, suivant que l'épaiss
ant trois formes. i° Striction complète. Son objet est d'obtenir du
premier
coup tout l'effet désirable, sauf à y revenir. On
qu'il est possible; un aide, par la pression du doigt, assujettit ce
premier
nœud pendant qu'on l'assure par un second. Si la
mens, le garrot, le barillet et les diverses sortes de serre-nœuds.
Premier
procédé. Fils de substances végétales ou animales
les membranes muqueuses, il suffit de la simple ligature par les deux
premiers
procédés. Si, au contraire, une tumeur est très r
, même à plusieurs fois, après quelques heures d'intervalles, dès Je
premier
jour de son application. effets des ligatures e
l'opération. Dès que la circulation capillaire est retombée dans son
premier
état d'atonie, on doit avoir recours à une nouvel
culièrement à celles des viscères. La réduction exige deux conditions
premières
: placer les parties dans le relâchement, et diri
aggraver ou produire des accidens inflammatoires. Dans la réunion par
première
intention, le laps de temps est de trois jours au
opératoires des sutures. suture entrecoupée ou a points séparés. —
Premier
procédé. On la pratique avec l'aiguille courbe de
nant au-devant d'elle les deux tiers de l'épaisseur des chairs. Cette
première
aiguille doit être posée au sommet du lambeau, ou
, les parties se trouvent maintenues dans un rapport parfait. Cette
première
bandelette doit toujours occuper la partie moyenn
ehors. Dans les simples piqûres des artères, la réunion se fait par
première
intention ; et, au bout d'un certain temps, ou il
rouve, il vaut mieux reprendre de suite avec promptitude la direction
première
perpendiculaire au plan osseux. 7° La pression
angle, qui a pour côtés la masse du psoas iliaque en dehors, celle du
premier
adducteur et du pectine en dedans. Le pouce ou un
ne vers la tête et les extrémités supérieures. Pour bien comprimer du
premier
coup, la pelote doit être présentée dans son plus
strument en action, vient saisir, entre le pouce et les deux ou trois
premiers
doigts opposans, les parties qui renferment les v
'ils laissaient à demeure , pour, en cas d'hémorrhagie par section du
premier
fil, être à même de suspendre immédiatement l'hém
près des causes de production et une structure différentes. Les trois
premières
affectent spécialement le pied et surtout la face
un ou deux ongles seulement sont envahis et surtout au pied, ceux du
premier
, du second ou du cinquième orteils se développent
e remédier à la courbure de l'ongle, considéré en théorie comme cause
première
. Procédé de Desault. Muni d'une petite plaque d
ble. Procédé de Dupuytren. L'orteil tenu entre le pouce et les deux
premiers
doigts de la main gauche, introduire à plat sous
uloureux et effrayant; toutefois la douleur estbien plutôt le fait du
premier
temps inévitable, l'arrachement de l'ongle, que d
enu sur ses côtés et par la tface palmaire entre le pouce et les deux
premiers
doigts de la main gauche du chirurgien, avec le b
e cette opération pour comprendre à quel point elle est contraire aux
premières
notions d'une saine physiologie ; ce mode mécaniq
s trois jours et on la transporte au besoin sur les dents au-delà des
premières
, de manière à répartir le vide entre plusieurs. D
ux on presse sur la couronne pour enfoncer la racine dans sa position
première
; si au contraire la douleur est très vive dans le
ntielle pour l'extraction des dents molaires, représente un levier du
premier
genre, dont la branche de la puissance, ou la tig
hui de la nécessité de rajeunir le vaccin en le reprenant à sa source
première
. Caractères physiques du vaccin. Le vaccin est
ge base, dont il fait tenir la partie supérieure par un aide. Dans ce
premier
temps, on doit, en faisant rouler entre les doigt
la mèche, et on assujettit le tout par un bandage. Pour la levée du
premier
appareil, lorsque la suppuration commence à s'éta
es. Ce n'est qu'une incision de dehors en dedans, le bistouri tenu en
première
position. 2° Scarifications superficielles. A.
runte le lambeau doit être un peu mobile et très vasculaire. Ces deux
premières
conditions supposent qu'elle est assez épaisse et
sutures. Ce mode de réunion, tel qu'on le pratique aujourd'hui, par
première
intention, est dû à M.Graefe.Tagliacozzi, à une é
CES VICIEUSES ET RÉUNIONS ANORMALES. La cicatrice cutanée, dans son
premier
état, se compose d'un tissu vasculairemoLi et rén
Si la souplesse et l'extensibilité des tissus permettent d'obtenir du
premier
coup tout l'effet désiré, on panse immédiatement
posé , de manière à faire saillir fortement le muscle sous la peau.
Premier
procédé. Faire , à un travers de doigt au-dessus
é de M. Stromeyer et ses modifications, qui permettent la réunion par
première
intention, sont préférables à celui de Delpech. U
ec allongement, il s agit de rétablir les muscles dans leur condition
première
. Dans un cas semblable, où, les muscles extenseur
t rasant la surface de l'os maxillaire, au-dessus des dents canine et
première
molaire, jusqu'au sommet de la fosse canine où se
m au milieu et suivant la direction des libres du masseter. Cette
première
incision n'intéressant que la peau et l'attache c
ui avait été coupée, fut liée immédiatement : la plaie fut réunie par
première
intention, et le malade était guéri au neuvième j
es boulettes de coton ou d'é-toupe, et un flacon d'alcool rectifié.
Premier
procédé. Echauffer préalablement la cloche de ver
pas applicable au cas urgent où le malade est déjà très affaibli, son
premier
effet étant un nouvel écoulement de sang cpii peu
coup cle malades, empêche une résolution complète et devient la cause
première
des altérations organiques. Mais la grande vent
qu'à la veine : le sang jaillit aussitôt sur les côtés de la lame. Ce
premier
temps est celui de la ponction qui doit être suiv
l'ophthal-niie; la ranine dans les affections de la langue. Les deux
premières
saignées sont inoffensives ; mais la troisième es
ce compris entre ces deux doigts le bistouri droit ou convexe tenu en
première
position; le doigt indicateur, tenu sur le clos d
omme moyen curatif des maladies de ces vaisseaux. Les opérations du
premier
genre sont: la phlébotomie, déjà décrite, et la t
le bec de gomme élastique, par la plaie de la veine, sous le doigt du
premier
aide comprimant, qui, glissant de haut en bas, dé
une nouvelle injection. L'opération terminée, on réunit la plaie par
première
intention . Varices. Le résultat anatomique q
e des Hop., 2 5 mai 183o, ), il aurait eu recours à deux procédés :
Premier
procédé de M. Davat. Soulever la veine dans un pl
nécessitent, ils ne sauraient empêcher, sous l'influence de la cause
première
productrice, le retour de la maladie sur les vein
ment , du milieu de l'espace intermalléolaire à l'angle postérieur du
premier
espace inter-osseux, à trois millimètres en dehor
n dehors de la saillie du tendon du long extenseur propre. Diviser du
premier
coup la peau dans une longueur de six centimètres
ion déterminé, armé du bistouri tenu en troisième position diviser du
premier
coup la peau, dans une longueur de huit à neuf ce
ne, la face antérieure du membre tournée vers l'opérateur, inciser du
premier
coup la peau, suivant la ligne verticale et moyen
centimètres qui s'arrête à un centimètre du bord du tibia. Dans cette
première
division il faut prendre garde de ne pas intéress
as à un autre centimètre en dehors sur le muscle lui-même. Dans cette
première
incision procéder avec lenteur et ménagement pour
de l'épine iliaque. La peau et le pannicule adipeux étant divisés du
premier
coup, séparer avec la sonde cannelée les longues
s du nerf radial; le faisceau vasculaire mis à découvert au-dessus du
premier
espace inter-osseux, dénuder et lier l'artère. Ce
s de longueur, oblique de haut en bas et de dedans en dehors. Dans ce
premier
temps opératoire il importe de ne couper qu'avec
e claviculaire du grand pectoral et, dans le sillon tracé, inciser du
premier
coup la peau et le pannicule adipeux, à un centim
sur le faisceau claviculaire du sterno-cléido-mastoïdien. Dans cette
première
section diviser, lentement et à plat, seulement l
lan intermédiaire aux scalènes : 20 dans un cas d'ané-vrisme où cette
première
incision fut reconnue insuffisante, il la coupa p
ire ensuite comme il a élé dit précédemment. Dupuytren avait lait ses
premières
ligatures avec la sonde cannelée recourbée et per
nethy est le premier qui osa tenter cette opération ( 1796). Les deux
premiers
essais furent malheureux, mais un troisième (1806
superficialis en ménageant les artères, puis à petits coups les trois
premières
couches, aponé-vrotiques et musculaires. Entrouvr
ses. — (a) Fils de matière animale. Dans le but de pouvoir réunir par
première
intention en laissant dans la plaie des ligatures
oblitération, dit-on, aurait eu lieu après la réunion de la plaie par
première
intention. Sans contester ce résultat on se deman
L'aiguille (pl. 22, fig. 10) peut être introduite par trois procédés.—
Premier
procédé. Offerte perpendiculairement à la peau, l
ptement des complications funestes, et lorsque le calme a succédé aux
premiers
accidens, ou bien le corps étranger, chassé par u
te précaution, dans les abcès simples, n'est guère utile que les deux
premiers
jours. Plusieurs grands chirurgiens préfèrent mêm
Cette dénomination pratique assez naturelle, puisqu'elle est tirée du
premier
aspect des altérations de la forme, peut renferme
cutanée, en enlevant toute l'épaisseur de la peau. Réunir ensuite par
première
intention avec des bandelettes agglutinatives, ou
che ou d'un manche de scalpel. La plaie ne saigne pas : on réunit par
première
intention. Excision ( Procédé de Chopart pour l
inue un nouveau plan d'épingles dans une direction perpendiculaire au
premier
. Il est arrivé ainsi à faire traverser une tumeur
a tumeur extraite est un squirre ou un cancer, on réunit la plaie par
première
intention; mais si c'est un fongus ou une tumeur
e, l'articulation néanmoins reste très raide et ne recouvre jamais sa
première
souplesse malgré les genouillères ou les autres b
Ainsi donc, en cas d'insuccès, le chirurgien, convaincu que la cause
première
qui s'est opposée à la consolidation de la fractu
ilamens de la substance osseuse. Ces différences, qui ont leur raison
première
dans la texture, expliquent pourquoi la nécrose a
. Quand on fait tant que de pratiquer une opération il vaut mieux, du
premier
coup, faire tout ce qui est convenable pour enlev
quent de ne laver et purger l'escarre qu'après un jour, à la levée du
premier
appareil. Cette lenteur dans l'action des caustiq
on le présente rapidement sur les divers points de la surface. Cette
première
application doit être légère. Elle donne lieu ord
u cuir chevelu se pratique avec un fort bistouri qui doit pénétrer du
premier
coup jusqu'aux os, à moins qu'il n'existe des fra
ord de l'orifice ou sur l'indicateur étendu à plat comme un levier du
premier
genre. S'il existe un épanchement au-dessous des
saient immédiatement pendant l'opération, on peut réunir la plaie par
première
intention au moyen de bandelettes agglutinatives,
tunité et sur les avantages réels des amputations. Aussi, à peine ces
premiers
germes de résection sont-ils introduits dans la s
rop gênées, on joindrait une troisième incision transversale aux deux
premières
, de manière à tracer une espèce d'il et à disséqu
a désarticulation. On a eu le plus souvent occasion de l'appliquer au
premier
métacarpien, dans les cas de carie, de luxation,
Chacune de ces indications constitue un temps opératoire distinct. —
Premier
temps. Résection de [extrémité inférieure du radi
hyses styloïdes du radius et du cubitus. La section doit atteindre du
premier
coup jusque sur les os; excepté vers l'extrémité
ire rencontrer les deux trajets sur le ligament inter-osseux. Dans ce
premier
temps de l'opération deux difficultés sont produi
de les tordre; on retire les compresses et, pour réunir la plaie par
première
intention, il suffit de laisser retomber les deux
e, dans l'articulation du coude en divisant, à plein tranchant, et du
premier
coup, le tendon du triceps et en ramenant ensuite
tion du coude. i° Humérus. En s arrêtant, comme nous l'avons vu, au
premier
temps de l'opération de Moreau, on a le procédé l
pophyse acromion vers l'attache inférieure du deltoïde. Lorsque cette
première
plaie est insuffisante pour l'extraction de la tê
lieu diamétralement opposé à celui qu'occupent les gros vaisseaux. Ce
premier
temps achevé, le lambeau est relevé par un aide e
airc et s'étenclant à treize centimètres (cinq pouces) au-dessous. Du
premier
coup de bistouri, la peau, le deltoïde et la caps
à l'axe du bras vers la partie antérieure du moignon de l'épaule. Du
premier
coup le bistouri a divisé dans son trajet la peau
sa disposition deux autres aides, qui lui deviendront nécessaires. —
Premier
temps. Empoigner fortement de la main gauche le b
représentées par les points d'entrée et de sortie de l'instrument. Ce
premier
temps effectué, le chirurgien, retirant son coute
gue dont les deux chefs, confiés à un aide, permettent de soulever ce
premier
pont clermo-musculaire externe et supérieur, form
ésections qui puissent être rationnellement pratiquées sont celles du
premier
métatarsien et de quelques os du tarse. RÉSECTI
les du premier métatarsien et de quelques os du tarse. RÉSECTION DU
PREMIER
OS MÉTATARSIEN. On peut faire la résection d'un
motivent le plus souvent ces opérations. i° Résection partielle du
premier
métatarsien. S'il s'agit d'enlever l'extrémité an
itken et terminer par la désarticulation. 20 Extraction complète du
premier
métatarsien (pl. 59, fig. 1). Tracer sur le côté
e des deux os de la jambe en commençant par la résection du péroné.
Premier
temps. Le membre étant tourné en dedans et conven
timètres (trois pouces) au-dessus du point de départ et atteignant du
premier
coup jusqu'à l'os; puis en faire partir une secon
uces) au-dessus. Ces deux incisions externe et interne pénétreront du
premier
coup jusqu'à l'os. Faisant alors incliner la jamb
La peau et les muscles péroniers doivent être divisés jusqu'à l'os du
premier
coup. Un aide est chargé d'écarter les lèvres de
c la scie, et d'avant en arrière, l'extrémité inférieure du fémur. Ce
premier
temps achevé; si la tête du tibia est malade, iso
u'à une hauteur qui varie suivant l'étendue d'os à réséquer. Ces deux
premières
incisions, qui doivent diviser, du même coup, la
iatement derrière l'articulation. Enfin, de chaque extrémité de cette
première
plaie, faire partir les incisions latérales pour,
supérieure qui s'étende d'un ligament latéral à l'autre et pénètre du
premier
coup dans l'articulation. Faire passer au-dessous
e doigt au-dessous du grand trochanter. De l'angle inférieur de cette
première
plaie, qui pénètre jusqu a l'os, tracer une secon
uces) au-dessous de cette saillie. De l'extrémité supérieure de cette
première
incision, qui divise la peau et les muscles, en f
scrire un lambeau quadrilatère au moyen cle trois incisions. Les deux
premières
sont verticales : l'une commence au niveau du gra
d'isoler de ses connexions en cinq coups de cisailles: i° diviser du
premier
coup l'apophyse orbitaire externe au niveau de la
soi pour se cramponner et réagir contre la force qui le maintient.
Premier
temps. Le chirurgien, placé au-devant du malade,
étendue de la symphise à l'angle maxillaire ; aux extrémités de cette
première
incision en abaisser deux verticales : l'une inte
us et en arrière de l'angle de la mâchoire; des extrémités de cette
première
incision en abaisser deux autres dont l'une divis
à discuter les questions relatives à l'hémostatique, à la réunion par
première
ou par seconde intention, à la levée du premier a
ue, à la réunion par première ou par seconde intention, à la levée du
premier
appareil, à l'hémorragie, à la conicité du moigno
ment par leur union latérale. Nous devons encore noter l'isolement du
premier
métacarpien, qui nous intéresse spécialement à ca
ou du pouce seulement est-elle plus rare que celle du métatarse ou du
premier
métatarsien. Sans reproduire ici avec détail le
n soit avec la scie, soit avec les cisailles. 20 Méthode à lambeau.
Premier
procédé de M. Velpeau. Le chirurgien tenant lui-m
e lambeau dorsal qui en est résulté, et, par les deux angles de cette
première
incision, plonger son couteau sous la face palmai
ité de ces mêmes métacarpiens. Toutefois la méthode àdeux lambeaux (
premier
procédé) nous paraît préférable quand l'étendue d
on circulaire commune, ou mieux à une . division isolée des chairs du
premier
métacarpien et des quatre ; autres par l'une ou l
res par l'une ou l'autre des méthodes indiquées; mais la section , du
premier
métacarpien, en raison de sa mobilité propre, dev
rniers, solidaires entre eux. Amputation des métacarpiens isolés.
Premier
métacarpien. On peut appliquer ici tous les procé
en. On pourrait en quelque sorte assimiler le deuxième métacarpien au
premier
, et l'amputer par le procédé à lambeau externe ta
rigeant la pointe de l'ovale sur les parties molles qui l'unissent au
premier
métacarpien. Troisième et quatrième métacarpien
t plus facile. i0 Procédé ordinaire modifié (pl. 7 2, fig. 1,2, 3).
Premier
temps. Avec la main gauche saisir lavant-bras au-
insi le bénéfice du cône d'Alanson. La méthode à lambeau semble, au
premier
abord, convenir davantage à la structure aplatie
s pour le bras gauche. méthode circulaire (pl. ^3, flg. 2, 3, 4).
Premier
temps. Le bras écarté du tronc, la peau tirée en
ts lambeaux superficiels, interne et externe, sans intéresser dans ce
premier
temps l'artère humérale, relever les lambeaux et
es à conserver, et qu'ensuite, tout en prenant la règle précédente en
première
considération, il vaut toujours mieux amputer dan
AMPUTATIONS DES OS MÉTATARSIENS. Méthode ci lambeaux. Amputation du
premier
os métatarsien. Historique. Ledran démontra le
ure ainsi une plus grande solidité au pied. Si, d'un côté, l'union du
premier
métatarsien avec les autres, par des parties moll
opération est indiquée seulement quand la maladie envahit la tête du
premier
métatarsien sans s'étendre à la diaphyse. On se s
ce en avant ou à côté. Lambeau interne. — Procédé de M. Lisfranc. —
Premier
temps. Pour le pied gauche, saisir avec le pouce,
ère, dans l'espace inter-osseux jusqu'à dix millimètres de la base du
premier
lambeau, et réunit sur la face dorsale et plantai
voir. Procédé de Boyer et de Dupuytren, renouvelé par M. Velpeau. —
Premier
temps. Sur la face dorsale et sur la face plantai
antaire à deux bords interne et antérieur : du point initial de cette
première
incision en faire partir une autre qui, parcouran
, parcourant la face dorsale, se rende obliquement à la commissure du
premier
espace interdigital, isoler l'os et achever l'opé
lité, le pied est soutenu et fixé à son articulation tibio-tarsienne.
Premier
temps. Pour le pied droit la main gauche embrasse
r d'arrière en avant un lambeau qu'on termine aux plis de flexion des
premières
phalanges; relever le lambeau, porter le bistouri
aie, après le pansement, doit être linéaire. Amputation ovalaire du
premier
métatarsien. Les parties molles incisées comme il
lequel on opère cpii devra déterminer le choix clu procédé. Quant au
premier
os métatarsien : comparant d'abord les divers pro
rent à-la-fois la surface osseuse et la plaie latérale. Il semble, au
premier
abord, que le procédé à lambeau interne remplisse
s achevés, l'opération doit être poursuivie de la manière suivante.
Premier
temps (jambe gauche). Marquer avec le pouce gauch
eut-être mieux rapporter à la méthode mixte. Procédé de M. Baudens.—
Premier
temps. Faire une incision ovalaire des tégumens c
. Procédé ordinaire modifié de J.-L. Petit (pl. 85, fig. i et 2).
Premier
temps. Le chirurgien, prenant la position assigné
le cartilagineux, dont l'influence physiologique doit être placée en
première
ligne dans l'appréciation des deux sortes d'amput
iculation par la face dorsale, et dans l'autre par la face palmaire.—
Premier
procédé de M. Lisfranc (pl. 67, fig. 2). La main
re est à deux millimètres au-dessous. Alors, avec le bistouri tenu en
première
position , tailler de gauche à droite u n petit l
qu'un aide la fait remonter, porter le tranchant du bistouri, tenu en
première
position, au milieu de la tête articulaire, à hui
n en ce sens avec la même obliquité que sur l'autre face. Détacher ce
premier
lambeau, en coupant sur l'os, et faire glisser la
mmet. Méthode circulaire. — Procédé de M. Comuau (pl. 68, fig. 4)-—
Premier
temps. La main placée en supination, les quatre d
andis qu'un aide écarte le pouce, le chirurgien saisit avec les trois
premiers
doigts delà main gauche, et attire en avant, la p
commissure interdigitale du pouce et de l'index; elle doit diviser du
premier
coup la peau, le tendon long extenseur et une par
er du premier coup la peau, le tendon long extenseur et une partie du
premier
muscle inter-osseux. L'articulation étant mise à
é et doivent être liées. La plaie, dans chaque procédé, se réunit par
première
intention, maintenue par des bandelettes agglutin
un lamreau.— i° Procédé ancien. La main mise en pronation, les trois
premiers
doigts écartés par un aide, présenter le bistouri
pronation, s'assurer de la ligne articulaire, facile à déterminer du
premier
coup, en reconnaissant, entre le pouce et l'indic
r ensuite en arrière, afin de la réunir en pointe avec l'origine delà
première
. Ce procédé, dit l'auteur, imité de celui qu'il a
es os du carpe correspondans. Ainsi M. Benaben a enlevé avec les deux
premiers
métacarpiens le trapèze, le trapezoide et le scap
cinq millimètres au-dessus. Ajoutons à ces données, que la grande ou
première
ligne de flexion sus-palmaire correspond au plan
t la face dorsale, en ayant soin de n'intéresser que la peau. Pour ce
premier
temps, M. Velpeau conseille d'incliner la main da
re travers de doigt au-dessous de l'acromion; sur les angles de cette
première
incision, en abaisser deux autres verticales, mai
it d'abord par Grosbois mais avec moins de précision. i° Bras gauche.
Premier
temps. Le bras soulevé perpendiculairement : plac
ue par l'extrême exiguité du lambeau externe ou plutôt postérieur. Du
premier
coup le couteau met à découvert la face postérieu
e) au-dessous du niveau du col chirurgical de l'humérus et pénètre du
premier
coup jusqu'à l'os. Faisant retirer les chairs en
usqu'à l'os. Faisant retirer les chairs en haut par un aide, de cette
première
incision, à vingt-cinq millimètres au-dessous de
t M. Larrey on peut substituer, pour plus de facilité, pour les trois
premières
incisions, un grand bistouri convexe. Procédé d
n seul lambeau, par l'impérieuse difficulté de tailler avec sûreté du
premier
coup, dans une grande étendue, de manière à obten
uis Ledran la plupart des chirurgiens avaient préféré l'amputation du
premier
métatarsien dans sa continuité à la désarticulati
e, une incision semi-circulaire étendue du bord interne de la tête du
premier
métatarsien au bord externe du cinquième; disséqu
âcher T. Vf. l'orifice avec la pince. Le lambeau est appliqué par
première
intention. La méthode ovalaire, applicable ici
mputations dans les articulations tarso-métatars1ennes. Amputation du
premier
os métatarsien. Anatomie. Étroit au milieu, cet
foncer obliquement le bistouri, le tranchant en avant, entre les deux
premiers
métatarsiens, et, en faisant basculer l'instrumen
paume de la main gauche, le pouce appliqué sur le rebord saillant du
premier
métatarsien à quelques millimètres au-devant de s
e du cinquième métatarsien, tandis que l'indicateur pose sur celui du
premier
os. La désarticulation commence également par le
n formée par le scaphoïde et le cuboïde, scier le second au niveau du
premier
. La surface est seulement encore un peu irréguliè
là ceux du cinquième métatarsien en dehors, du grand cunéiforme et du
premier
métatarsien en dedans; enfin, le pied remis horiz
du tendon long péronier, et pour le pied droit en sens inverse. Cette
première
incision effectuée, en partant de son sommet sur
obliquement une seconde qui arrive obliquement sur le bord interne du
premier
métatarsien au milieu de sa longueur, le contourn
fin lier les artères tibiales postérieure et antérieure et réunir par
première
intention. Nous nous plaisons à faire connaître c
s antérieurs de la circonférence du membre : cette incision divise du
premier
coup la peau, les ligamens et les autres tissus f
et les artérioles provenant des articulaires. La réunion se fait par
première
intention dans les divers procédés. Le lambeau un
de la même époque est celui de Keer rapporté par S. Cowper. Après ces
premiers
résultats, remise en question dans toute l'Europe
er, descende en arrière vers la tubérosité de l'ischion et pénètre du
premier
coup jusque sur l'articulation; incliner alors le
ule pour s'incliner au delà, plus en arrière, en sens contraire de sa
première
inclinaison én avant. C'est en vain que, pour fac
le fait observer M. Velpeau, si l'on a soin d'inciser complètement du
premier
coup la capsule articulaire sur la demi-circonfér
o-supérieure avec le plan horizontal de la tubérositésciatique. Cette
première
incision, dont la longueur dans l'homme est d'env
couteau sur la face interne de l'os jusqu'au fond de l'angle des deux
premières
incisions, et terminer d'un seul coup la section
ehors, c'est-à-dire toujours vers l'articulation comme centre, et, du
premier
coup, les chairs doivent être coupées aussi profo
lavicule, 219. — De l'omoplate, 220. ^ Membre abdominal. Résection du
premier
os métatarsien, 220. — Des os du tarse, 221.— De
4, 265. —-Amputations dans les articulations tarso-métatarsiennes. Du
premier
os métatarsien, du deuxième, de deux os métatarsi
COMPLÉMENTAIRES DE SCLEROTOMIE, OPHTHALMOLOGIE, TÉNOTOMIE, ETC.
PREMIÈRE
PARTIE PLANCHES L. GUÉRIN, ÉDITEUR DÉPÔT ET
. 3° EXTRÉMITÉ SUPÉRIEURE DU TRONC. D. Clavicule. E,E. Les deux
premières
côtes. F. Épine de l'omoplate. G. Tête de l'h
chial (cinquième, sixième, septième, huitième paires cervicales, et
première
dorsale). 14. Nerf de la septième paire crânien
ros vaisseaux par l'aponévrose prévertébrale. On a négligé les quatre
premières
paires, qui n'auraient eu ni origine, ni soutien,
e derrière le feuillet postérieur de la loge. J. Loge musculaire du
premier
adducteur. 23. 23. Vaisseaux de nutrition dégag
f cubital. K. Partie supérieure de la loge du long supinateur et du
premier
radial avec leurs vaisseaux. L, M, N. Loges de
interosseux antérieurs. 11. Loge du court supinateur. 12. Loge du
premier
radial. 13. Loge du second radial. 14. Vaisse
dons des long abducteur et court extenseur du pouce. 10. Tendons du
premier
radial. 11. Tendons du second radial et du long
la cuisse. 7. Filamens nerveux émanés du nerf crural. D. Loge du
premier
adducteur, dans laquelle on voit saillir en haut
sse. 2. Loge du couturier. 3. Loge du droit interne. 4. Loge du
premier
ou moyen adducteur. 5. Loge du second ou petit
s classer au nombre de huit. PLANCHE 14. Fig. 1. Bistouri tenu en
première
position, le dos de l'instrument tourné vers la p
Position verticale pour commencer une incision, le bistouri tenu en
première
position. Fig. 3. Action d'inciser, la main étant
en haut. Fig. 5. Incision sur un pli à la peau, le bistouri tenu en
première
position. F/g. 6. Seconde position des ciseaux
t Vancien procédé décrit par Boyer. Avec le bistouri droit, tenu en
première
position, on a fait une incision nette, en traver
ue. C. Tronc brachio-céphalique anévrismatique. Une portion de la
première
pièce du sternum est enlevée pour laisser à décou
PÉRATOIRES. FIGURE \. Incision de la peau par le bistouri tenu en
première
position. Cette incision, de dehors en dedans,
er que la peau et le fascia superfîcialis. b. Bistouri incisant, en
première
position. FIGURE 2. Incision de l'aponévrose
ection de la peau. 2. Section de l'aponévrose dorsale du pied. 3.
Premier
faisceau du muscle pédieux, écarté en dehors. 4
— 7. Tendon du muscle droit interne. — 8. Aponévrose falciforme des
premier
et troisième adducteurs, formant le canal ostéo-f
M. Dupuytren. ( Pl. 55 , fig. 18. ) B. Extraction dun séquestre du
premier
os métatarsien. L'opération est représentée au mo
( d ) Surface de la dure-mère mise à nu par l'enlèvement des quatre
premiers
disques osseux. Figure B. Elle représente deux
e plus aucun renseignement, offre d'énormes végétations dont la cause
première
semble avoir été une carie qui a détruit la tête
ple de l'enlèvement isolé d'une phalange. FIGURE 2. Extraction du
premier
os du métacarpe. L'opération a été précédée d'une
1 ). Bistouri qui achève la section des ligamens. B. Extraction du
premier
os métatarsien. (m). Lambeau cutané rectangulaire
Tendon du long fléchisseur propre. ( p ). Muscle inter-osseux. ( q ).
Premier
os cunéiforme. ( r ). Cavité articulaire de la
s. Au fond de la plaie se voient les vaisseaux inter-osseux. ( s ).
Premier
os métatarsien que l'on extrait de la plaie. Figu
s sous-plantaires. Un troisième trait perpendiculaire réunit les deux
premiers
en un sommet tronqué. FIGURE 3. EXTIRPATION D
moignon. Au milieu est la ligne étoilée, résultat de la réunion par
première
intention. C. Surface de la plaie. Elle renferm
franchi l'articulation, taille le lambeau palmaire. F, Réunion par
première
intention de la plaie d'une opération de même gen
péré, k , La même opération terminée sur l'indicateur. L, Réunion par
première
intention de la plaie sur le petit doigt. PLANC
l coup la section des quatre os métacarpiens. Figure 3. Réunion par
première
intention de l'opération précédente. La plaie n'o
t représentée au moment où le chirurgien achève la désarticulation du
premier
os métacarpien. a, b, Mains d'un aide qui conti
ien, achève la section du lambeau palmaire. FIGURE 4. Réunion par
première
intention de l'amputation de la figure 3. FIGUR
ntérieur et de la portion interne du triceps. Figure A. Réunion par
première
intention du moignon de l'opération précédente. L
en dehors les vaisseaux axillaires pinces entre le pouce et les trois
premiers
doigts. f. Main gauche du chirurgien qui gouver
IE. Figure 3. Section des chairs. L'opération est représentée à son
premier
temps, lorsqu'on abaisse, soit avec le couteau ou
ndicateur (p) sont appliqués, chacun de son côté, sur les saillies du
premier
cunéiforme en dedans et du cinquième métatarsien
u couteau qui commence la section du lambeau. Figure 5. Réunion par
première
intention de l'opération précédente , la surface
e précédente. FIGURE 3. AMPUTATION OVALAIRE DANS LA CONTINUITÉ DU
PREMIER
OS MÉTATARSIEN. Le moment choisi de l'opération
a figure représente le premier temps opératoire, où le chirurgien, du
premier
coup de couteau, coupe les tégumens d'un côté à l
us par les doigts d'un aide (i). L'opération est représentée dans son
premier
temps, où l'on pratique la section circulaire de
Félix ALCAN ÉDITEUR 108, Boulevard St-Germain, 108. 1894 .
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1893
(Bicêtre et Fondation Vallée.) 130URN>;VILL, BiCê11'B, 1893. *
PREMIÈRE
PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du servi
I. Enfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. Ce
premier
groupe est subdivisé en deux catégories : la pr
uppléant, M. Acard et de trois infirmiers dont un ayant le grade de
premier
infirmier. b) Petite école : de 1\1110 Blanche
mandé à l'administration de lui faire des propositions lors de sa
première
session. En conformité de cette délibération, u
ministration pourrait pour- suivre parallèlement la construction du
premier
bâti- ment de l'asile et la construction de l'é
« Sur le rapport de sa 3mue commission. « Délibère : « Article
premier
. Est approuvée dans la limite d'une dépense de
0 juin). I. En 1878, le Dr Fuller (de Montréal) a pratiqué pourla
première
fois sans doute la crâniectomie chez un enfant id
gues (2). Le 9 mai 1890, M. le professeur Lannelongue pratiquait sa
première
opération sur une petite fille de 4 ans et fais
et par suite le développement des facultés intel- lectuelles. Cette
première
note été suivie de deux autres mémoires (4), da
autres mémoires (4), dans lesquels M. Lannelongue a complété ses
premiers
renseignements au point de vue opératoire et ré
olon- geant pendant et après la grossesse.-Pas de consanguinité .
Premières
convulsion* a 6 mois. - Idiotie complète : Lare
p tique en accès. - A liai tepvmt,q}1-sei,n puis au lait de chèvre.
Première
dent à 17. mois. ? Co- vulsions à G mois. - Par
'âge de 10 ans. Fig. 10. Uns. VII. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 31
Première
dent à mois. - Début de la marche et de la parole
, acci- dents nerveux. - Émotion vive au 5e mois de la grossesse.
Premières
convulsions à 3 mois; crises fréquentes jusqu'à
onvulsifs mal caracté- risés du 18" au 3U" jour après la naissance.
Premières
(1) Voir l'Ons. V du Compte-rendu de 18 ! ), p,
IX. Ilénilspliirvc cérébral i'p.l1che rf : ICC «sterne. p1 Fli, F3.
première
, seconde et troisième circonvolutions frontales
n. 15 Ons. IX. Hémisphère cérébral droit; face externe. 1 : F2, F3,
première
, seconde et troisième circonvolutions frontales
t. 1S. - Ons. X. - Hémisphère cérébral gauche; face interne. ui, i,
première
frontale. . LI', lobule paracentral. AC, avan
Olls. l. - Hëmisphure cérébral tranche : face externe. 1m, I=, 13,
première
, seconde et troisième circonvolutions frontales
- rieur et inférieur, pli courbe. 1.0, lobe occipital. i' '1'2,
première
et seconde tem- portales- - sr, sillon de Rol
. Secondes convulsions à -1 mois. - Début de la parole à 18 mois. -
Premières
dents à f 111()i ? - Ne marche pas. G'a(t's)ne
ns. SI. - Hémisphère cérébral gauchc ; face externe. F', F2, 11';1,
première
, seconde, Ir isrèmeeirellnyollltions frontnles.
ieur et inférieur, pli courbe. LO, lobe occipital. 1 ? 1 ? T : I,
première
, seconde et troisième circonvolutions tempo-
ig. 22. - Ons. XI. - Hémisphère cérébral gauche ; face interne. FI,
première
frontale. LP, lobule paracentral. AC, avant-c
3. 0118. XI. Hémisphère cérébral droit; face externe. Fi, F,2, l'3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
, lobes pariétaux supérieur et inférieur; pli courbe. Tl, T2, TO,
première
, seconde et tro sième circonvolutions temporale
Fig. 24. - Ou;. 11. - Hémisphère cérébral droit ; face interne. .t",
première
frontale. LP, lobule paracentral. AC, avant-c
ions avec hémiplégie transitoire. Pas de nité. -Egalité d'âge., -
Premières
dents à 4 mois. Dentition complète a 3 ans I J.
20. Ous.XIÎ. Hémisphère cérébral gauche; face externe. Fil, F2, F3,
première
, seconde et troisième circonvolutions fron- t
obes pariétaux su- périeur et inférieur, pli courbe. riz, T2, T3,
première
, seconde et troisième temporales. LI, lobule
Fig. 27. Ons. XII. Hémisphère cérébral gauche ; face interne. 1.'1,
première
circonvolution fron- . taie. LP, lobule parac
. XII.II ? ni3;i' ! frcccrchr.i](]ro ! t;f;)ce externe. F', F2, F3,
première
, seconde et troisième circonvolutions frontales
rieur et inférieur; pli courbe. Lo, lobe occipital. 1 ? T2, T3,
première
, seconde et troisième circonvolutions tempo-
pileptiformes. Chagrins durant la grossesse. Naissance il. 7 mots
Première
dent à 9 mois; dentition complète à 2 ans '/2'
vaise : envie insurmontable de dormir. ; Asphyxie à la naissance.
Premières
convulsions il 14 mois. lie- ; froidissement et
. - Propre à 8 mois. ttaïtement jusqu'à 1G mois ; aspect naturel.
Première
dent à 3 ans ; persistance de la dentition de l
es à 3 jours se répé- tant cinq ou six fois dans le premier mois. -
Première
dent à 2 ans. Parole limitée à quelques mols. -
Grand-père paternel, alcoolique. - 111 ère, convul- sions à 2 ans.
Premiers
symptômes il 10 ans. Cépha- lalgic, vomissement
t présentent une mobilité relative. Le frontal est soudé. Lors du
premier
examen de la tète, on avait noté que les Fig. 3
etite à la 11ais"ilnce. I)églittit io ? l pénible; bave; retard des
premières
manifestations intellectuelles, pré- hension di
s ans. Conception, grossesse, accouchement : rien de particulier.
Première
dent à 10 mois. Dentition complète à 2 ans. Con
(35 septembre), Dum.... commence à syllaber et à écrire, fait les 2
premières
opérations ; connaît les couleurs ; s'habille à
Lecture courante et expressive. Ecriture lisible. Il connaît les 3
premières
opérations et fait de petits problèmes. Il a le
. Tient toujours la tête baissée. 1889 : Petits problèmes sur les 3
premières
opérations. Amé- lioration générale. Timidité q
ption dans l'alcoolisme. -Asphyxie très prononcée à . la naissance.
Premières
convulsions à 6 mois : durée 12 - heures; hémip
et faite avec une grande lenteur. Il commence à connaitre les trois
premières
opérations. Aucune notion en histoire et en géo
uche. - Gâtisme. - Tournoiement de la tête. Balan- cement du tronc.
Première
dent à 6 mois. Grincement des dents. Rougeole e
pti formes. Chagrins durant la grossesse. Naissance à 7 mois 1/2.
Premières
dents à 9 mois, dentition complète à 2 ans 1/2.
sa grand'- mère qui avait un enfant du même âge; sevré à 15 mois.
Premières
dents à 9 mois ; dentition complète à 2 ans et de
, modiste. Pas de convulsions de l'enfance; céphalalgies depuis son
premier
allaitement ; très-nerveuse, sans attaques de n
dit que l'enfant avait eu, une fois, des « convulsions internes. »
Première
dent à 14 mois; toutes le= autres à 2 ans f 12'
uche entr'ouverte. A la mâchoire supérieure, incisives centrales et
premières
mo- laires permanentes, le reste dents de lait
, le reste dents de lait ; à la mâchoire Inférieure, 4 incisives et
premières
molaires permanentes, le reste dents de lait. L
de cyanose ni de gêne respiratoire. Le lendemain de la nais- sance,
premières
convulsions. A deux mois, nouvelles convulsions
ffets consécutifs ont longtemps persisté. III. Le malade a eu ses
premières
convulsions le lendemain de la naissance, les s
orps. Visage souriant habituellement; expression plutôt agréable au
premier
abord, avec un peu d'hébétude toutefois. Cicatr
cordon, mais pas d'asphyxie. - Acci- dents nerveux de 5 à 6 mois. -
Premières
convulsions à huit mois, limitées à droite. - P
ans. - Placement à l'Asile Clinique à 8 azs. -lougeole à7 ans 1/2.
Première
dent à un an.Sou- dure des fontanelles à 8 ans.
L'enfant est pris à 9 heures du matin d'ac- cès épileptiformes. Au
premier
accès, il a vomi son déjeuner du matin. Ces acc
traces. 3° Notre malade. Rien de particulier à la conception. Au
premier
mois de la grossesse, frayeur produite par un cul
concerne l'enfant lui-même, nous trouvons la frayeur de la mère au
premier
mois de la grossesse ; - des émotions multiples
l'heure dans la description qui termine l'ex- posé des cas de cette
première
catégorie. Fig. 45. 214 . IDIOTIE HYDROCÉPHAL
assez bien et n'était pas malade. A 8 mois, lors de l'éruption des
premières
dents, l'enfant eut des confut- sions généralis
re autour du cou. - Muguet à un mots..Her- nie ombilicale à 5 mots.
Premières
convulsions à 5 mots. Début de l'augmentation d
des quatre- 'membres à la suite de convulsions, morte phtisique.
Premières
convulsions iL un an. Secondes convulsions il.
. Dentition Mâchoire supérieure : 13 dents permanentes contigues,
premières
molaires profondément cariées. Inci- sive latér
est légèrement érodé.- Mâchoire inférieure : 14 dents permanentes (
premières
molaires profondément cariées). Dents contiguës
l'hydrocéphalie à 3 mois. - Allaitement ausein. -Sevré à 8 mois. -
Première
dent à 8 mots lj2. - Dentition complète à 2 ans
e à droite ou à gauche. Il ne pouvait se soutenir sur les jambes.
Première
dent à 8 mois 1/2. Dentition complète à deux ans.
e sont en Hydrocéphalie; rachitisme. 245 place ainsi que les deux
premières
grosses molaires perma- nentes. Au maxillaire i
poraires sont en place sauf la première molaire droite. Les deux
premières
molaires permanentes sont en place. La cons- ti
I. Cas d'hydrocéphalie avec malformations. La seconde variété de ce
premier
groupe comprend les cas d'hydrocéphalie compliq
ventricule moyen. T Q, tubercules quadrijumeaux. C, cervelet. F,
première
circonvolution frontale. S 0, scissure. L P, lobe
rs 1888). Père, 51 ans, limonadier, est marié en secondes noces, sa
première
femme étant morte tubercu- leuse. Il buvait bea
leur crâne et de leur cerveau, des particularités intéressantes. Au
premier
abord, ils semblent forts différents et bien qu
e degré. or Les enfants dont nous avons classé les crânes dans ce
premier
groupe sont morts entre 2 ans et 2 ans et demi.
e cette hydrocéphalie. Nous re- connaissons néanmoins que les trois
premiers
enfants étaient atteints d'un degré considérabl
é62ctde la parole à un an. - Bron- chites répétées durant les trois
premières
années. -Pas de convulsions. Onanisme constant.
les trois premières années. -Pas de convulsions. Onanisme constant.
Premier
accès épilep- tique à 3 ans, puis accès mensuel
convulsions et deux autres de congestion cérébrale. Chute à 3 mois.
Première
dent à un ans. Parole à 15 mois. Marche à 22 mo
us morts de contusions, sauf 3 bien portants. Une soeur a perdu son
premier
né de convulsions ayant duré 15 jours. Aucune t
ut nourri au sein maternel presque exclusivement jusqu'à 32 mois,
Première
dent à un an. Dentition complète à 3 ans. March
demi. . Allaitement au sein durant 2 mois, puis au lait de vache.
Première
dent à 16 mois; dentition complète à 4 ans. Déb
avec du lait de vache, la mère n'ayant pas suffi- samment de lait. -
Première
dent à 16 mois. Dentition com- plète à 4 ans. D
sés. - Con- S<112g LL217.1 t . Grossesse : Emotion à G mois. -
Premières
convulsions à 4 mois. - Réapparition des convul
nt été obligés de la soutenir au moyen d'ap- pareils. A trois mois,
premières
convulsions durant seulement quelques minutes.
eu qu'un accès convulsif par mois depuis son entrée durant les six
premiers
mois de 1878 et n'en aurait plus eu d'autres. E
veau et surtout du cervelet. L'observation sui- vante appartient au
premier
groupe. OBS. XVII. - Hydrocéphalie symptomatiqu
mps continuait à l'allaiter. L'enfant n'a jamais eu de convulsions.
Première
dent à 7 ou 8 mois ; les autres dents ont pouss
. Grand-père paternel, alcoolique. Mère, con- vulsions à deux ans. -
Premiers
symptômes 10 ans. - Céphalalgie. Vomissement, g
s nos observations. Symptômes objectifs. 1° Examen de la tête. Le
premier
symptôme qui frappe il l'examen de l'hydro- cép
à 2 (1) Noir (J.). - Étude sur les lies. Observation. 333 ans.
Première
dent à 5 mois. Dentition complète à 2 ans. - Ne
l'enfant n'aurait eu de con- vulsions. Début de la parole à 2 fins.
Première
dent il .'< mois. Dentition complète à 2 ans
nne volonté. 18 novembre. - Apparition de la menstruation pour la
première
fois ; l'enfant n'a pas souffert, ne s'est même p
s, mais toujours vaniteuse et menteuse. Température rectale des 5
premiers
jours : .- Marche DE l'hydrocéphalie, 339 Lle
lation défectueuse, les mâchoires ne se tou- chent qu'au niveau des
premières
molaires. Prognathisme supérieur très accentué.
année, après sa sortie de la Sûreté, ne tarde pas à repren- dre ses
premières
habitudes. Son instituteur note, en juillet, qu
est une tumeur, le liquide se produit plus rapidement que dans le
premier
cas et réagit sur le crâne d'une façon un peu d
n voca- bulaire est le même. Pas de côté plus faible que l'autre.
Première
dentition complète. 28 octobre. L'enfant, march
l.) Bourneville, Bicêtre, 1893. PLANCHE I. TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
PARTIE Section I : IlCCt1'C. 374 Table DES ma
de l'insula de Reil, en dehors. Cette région appartient aux trois
premières
zones mésolobaires d'un centimètre d'épaisseur.
première au fond de la deuxième scis- sure frontale, pour les deux
premières
zones; au fond de la scissure précentrale, pour
a deuxième à la convexité de la troisième frontale, pour les deux
premières
zones ; à la convexité de la quatrième frontale
s les trois, nécessairement, les fibres de Gratiolet, plus les deux
premières
, les fibres d'asso- ciation antéro-postérieures
ux zones précédentes, la section coupait trois frontales (les trois
premières
) ; dans celle-ci, elle n'en coupe que deux : la
s ou à des troubles plus intenses que ceux observés dans les deux
premiers
districts. Dans un prochain 'travail, nous verr
tre le lobe frontal et le lobe pariétal. En somme, dans les trois
premières
zones mésolo- baires d'un centimètre d'épaisseu
apacité intellectuelle et morale. M. Luys, si j'ai bien compris son
premier
discours à l'Académie de Médecine, croit fatale
allusion, prouve qu'il faudrait compter plus de douze ans. Dans son
premier
discours, M. Luys avait fixé, pour Paris, quatr
t depuisplusieurs jours. Quatre mois après (octobre) apparition des
premiers
symptômes du mal actuel. Ce furent d'abord des
sta jusqu'à l'accouchement. Tout cependantalla assez bien jusqu'aux
premières
douleurs : VIm° l'.... commença alors à s'excit
moins fortes que les précédentes. Au moment de l'éruption de ses
premières
dents, l'enfant de M-0 P... a eu des convulsion
r à cette époque et parait remonter à l'année 4870, au moment des
premiers
événements de la guerre franco-allemande. Mme A..
s la foi me du serpent tentateur, a été la cause de la chute de nos
premiers
parents. Elle ne mourra pas, car elle n'est pas
de prépa- ration, les idées hypochondriaques qui apparaissent les
premières
et ce n'est que plus tard, cherchant la cause de
gique. Quant à l'idée d'immortalité, il semble assez difficile au
premier
abord, surtout lorsqu'elle est comme ici logiquem
certains malades de M. Cotard, qui présentent de suite et dès leur
premier
a- ! cès les symptômes spéciaux que nous avons
ns. Ici l'ataxie fut précédée, dix-huit mois avant l'apparition des
premiers
phénomènes, d'une perte de la parole également
la simulation dans les trois observations qu'il rapporte. Dans la
première
, il s'agit d'un homme brutal, querelleur, irascib
céphalique, lorsque les sutures s'ossifient prématurément. Dans son
premier
fait, il nous met en présence d'une fillette de
la longue innocuité de cette compression an- cienne, dont l'origine
première
nous échappe. Le second fait concerne encore un
vez (dix malades ont été traités avec succès) que, souvent dès les
premières
vingt-quatre heures, les parties nécrosées se dél
amine1; par lBcuri : u (dc Pankow). (Neurolog. Ccntrvlbl., 1882.)
Première
observation : manie t l'époque de la ménopause. U
dorsale, en visitant la colonne vertébrale, et particulièrement les
première
et deuxième vertèbres cervicales, la septième c
ilité. Vingt-neuf séances rendent au malade sa force et son énergie
premières
. Le troisième exemple a trait à une fillette de
is voici le revers de la médaille : il semble que les deux ou trois
premières
heures de sommeil soient seules remplies par un
division cellulaire, les malades les plus calmes et les plus aisés (
première
à troisième classe), puis les malades calmes pa
ale de l'établisse- ment. On a dû, il y a douze ans, se défaire des
premiers
cabinets d'aisances continuellement rincés par
n en chef le droit de vote. Clraqueasileestdcstiué, d'abord et en
première
ligne, aux malades de la province correspondant
était nécessaire pour la démonstration qu'il avait en vue. Les deux
premières
leçons sont consacrées à l'étude des réflexes t
la science, neuf lui appartiennent, c'est dire qu'il a été l'un des
premiers
'à vulgariser en Angleterre la connaissance de
ases épileptoïdes des attaques consécutives qu'on ne peut, même à
première
vue, se tromper sur la signification et la natu
asmes limités à un côté de la face ou à l'un des membres. Dans le
premier
cas, le tableau clinique était celui de l'épilep-
tion suffirait donc, à elle seule, à établir le bien fondé de notre
première
proposition, à savoir que l'hystérie emprunte,
hystérie. Si cependant l'on veut bien se reporter par la pensée aux
premiers
jours d'octobre, on comprendra que des discussi
mpérature peut donc être considérée comme un moyen de diagnostic de
premier
ordre dans les cas embarrassants. Les travaux d
vont suivre. Mais il est encore un autre signe diagnostique de
premier
ordre, qui permettra de reconnaître la fausse é
xterne du ventricule latéral. Dans ce district, comme dans les deux
premiers
, l'aphasie a été perma- nente toutes les fois q
ait anatomique, à savoir : que le corps strié fait partie des trois
premières
zones mésolobaires, tandis que la couche optiqu
ue par tous les neurologistes, mais ce fait est contradictoire du
premier
, c'est-à-dire qu'il coïncide avec la perte du l
ma- lade toutefois pouvant s'arrêter à l'une quelconque des trois
premières
phases et s'y fixer définitivement, s'y cristalli
violente surviennent chez ces prédisposés mal équilibrés, et les
premiers
symptômes du délire chronique apparaîtront, le ch
n à ce qu'elle vienne rejoindre l'extrémité postéro supérieure du
premier
sillon temporal, pour couper plus bas la limite p
On y trouve deux scissures : La scissure olfactive, ou (Fig. 5),
premier
sillon orbitaire de Broca, sorte degouttièreree
t;- «'A , 1'i ? 5. Face inférieure. 1, scissure de Sylvius ;>-2,
première
scissure- temporo occipitale ; 3, clemiume scis
vo-. lution temporale; Ta, troisième circonvolution temporale; TOi,
première
circonvolution temhoro-occyitalè, ou lobule fii
interhémisphérique. Synonymie : Gyrus orbilalis medialis (Pansch);
Première
circonvolution orbitaire (Broca); Anterior part
es inferior (Ecker). La scissure frontale supérieure. Synonymie :
Premier
sillon frontal (Broca), 6'M/)e ? 'n-/ ? 'oH<a/
ls qui tracentl'aire de chacune des circonvolutions frontales. a.
Première
circonvolution frontale ou supérieure (Ecker, P
tal supérieur ou troisième et pli de la zone externe, de Gratiolet;
Première
frontale externe; Stipe2o-fi,o21tal gyrus (Huxl
re le gyrus rectus ou gyrus orbitalis me- sialis de Pansch (Ecker);
Première
ou supérieure du groupe des circonvolutions fro
lutions frontales . Erster oder obérer Stirnwindungszug (Bischoff);
Première
frontale (Broca); Gyrus frontal tout (; fait su
er, Broca, Biscbofl. Synonymie : Etage ou pli frontal inférieur..
Première
du pli surcilieo (Gratiolet) ; Première de Meyn
ou pli frontal inférieur.. Première du pli surcilieo (Gratiolet) ;
Première
de Meynert; hife*i,o-f2,o ? ? Ial gy-iis (Huxle
essi enteroidei vertical ! di mezzo (partie antérieure ; (Rolando);
Premier
pli ascendant (Gratiolet); A ? il eio-,p a2, t'
is. b. Circonvolution pariétale ascendante (Charcot). Synonymie :
Première
pariétale; Processi enteroidei verticali cli me
ième pli ascendant (Gratiolet) ; Gyrus pariétal supérieur (Pansch);
Première
circonvolution pariétale (Broca); Lrste Scheile
e des Français, à l'époque où la parié- tale ascendante, s'appelait
première
pariétale; Posieroparietal lobule (Huxley, Turn
e Sylvius, au-dessus également de l'extrémité postéro-supérieure du
premier
sillon temporal (parallèle). Elle est souvent i
fi, scissure parallèle; i, scissure perpendiculaire externe. Fi,
première
circonvolution frontale ! ; F2, deuxième circonvo
conwlutiou teupoiale; 'l'3, troisième circonvolution temporale; 01,
première
circouvolutiou occi- pitale; Os, deuxième circo
fin de ne rien oublier. Procédons de haut en bas. ' .mJ : fr a.
Première
circonvolution de passage (Pozzi). Synonymie. P
mJ : fr a. Première circonvolution de passage (Pozzi). Synonymie.
Premier
pli de Graliolet. En connexion, antérieurement
igi- naire à la fois de ce lobule et de la première temporale. c.
Première
circonvolution occipitale, supérieure, qui, d'apr
s (Turner) ; Obère innere Sclieitelbogeizzvinduiig (Bischoir). d.
Première
scissure occipitale longitudinale ou supérieure
tiolet, Ttirner,Cliarcot). Synonymie : Sillon temporal supérieur ou
premier
(Ecker : Bischoff); Sulcus temporalis (Pansch)
Sulcus temporalis (Pansch) ; Ante2o-ieînljoî,alis sulcus (Huxley);
Premier
sillon temporal (Broca). > ~ , ib Nous avons
rdinairement une sorte de lo- bule entre le pli marginal inférieur (
première
circonvolution temporale), et les circonvolutio
4, scissure parallèle; 5, scissure perpendiculaire externe . Ft,
première
circonvolution frontale; F2, deuxième circonvolut
rconvolution temporale; "3, troisième circonvolution temporale; 0,,
première
circonvolution occi- pitale; 0 ? deuxième circo
E MENTALE. sionnaires; encore les malades, les plus réfractaires au
premier
abord, ont-ils souvent renoncé d'eux-mêmes à to
de vue médico-légal, de pareils états nerveux ont une importance de
premier
ordre : sans rechercher si l'obtusion in- telle
duree^de la : maladie antérieurement ai son entrée, à, l'asile., Son,
premier
acte - déraisonnabie consiste à. ,s,e croire, 1
snquiteniportent des mar- chandises sansiles payer.'A eaulors de sa,
première
altaquer(il y, a quinze jours) de l'hésitation
iées;ecslmodificatibnsétaient°surlbut triâr-n quées àilàibase de la,
première
frontale du;qût6fdroit ? ebausommetS de la fron
mais ré; 1 it,u....Jn.... , petejau'bout de; quelques minutes; sa
première
, assertion j^il, dé- clare se, repentir, de so
[expert de, dpnner son opinion;, il refusa de^se.prononcer.aprèsiun
premier
examen, et, put avoir avec, ,Ie4 prisonnier, de
discuter indéfiniment sans résoudre, la,, question ? Voua donc, une
première
dilficulte. II, en, est une autre, 'bien, plus gr
paraître plusse 50 -p. 100 des associations d'idées dans les quatre
premiers
jours; puis, la proportion décroît rapidement; ce
t ont une grande inipur- tance. 11 tance. 1 n - d'tni Les trois
premières
heures de la matinée sont consacrées à l'ensei-
tout : à gauche, sur la première externe antérieure et postérieure (
première
frontale), sur le lobule paracentral, sur l'ort
t près du bâtiment du milieu, est la sec- tion des pensionnaires de
première
classe ; puis, vient celle des tranquilles et p
quartier cellulaire et des locaux d'habitation des pensionnaires de
première
classe, on a élevé des séparations verticales ent
on pour- rait adapter un tuyau d'arrosage. Les dortoirs, situés au
premier
, renferment dix à douze lits; ils dispensent pa
106 femmes de deuxième et troisième classe et deux pensionnaires de
première
classe pour chaque sexe. Il est situé au nord-o
chambres d'isolement; à droite les femmes, à gauche les hommes. Au
premier
étage, les aliénés calmes ; ici aussi quatre ch
té installés des logements convenables pour quatre pensionnaires de
première
classe. Dans l'angle obtus de la figure, deux a
nation mor- phinique ; léger amaigrissement pendant les cinq ou six
premiers
BIBLIOGRAPHIE. 267 mois. Troubles psychiques
agitation 268 BIBLIOGRAPHIE. continuelle avec cris, les soixante
premières
heures de la nais- sance. (Ohs.deM. Féré, lue à
doit attendre plusieurs secondes pour se mettre en marche et ses
premiers
pas sont lents. La même raideur se produit s'il
es parties qui se dissipe ensuite. Le malade dit que cette gêne des
premiers
mouvements vo- lontaires est beaucoup plus pron
ment que maintenant et ses parents ont remarqué sa gaucherie dès sa
première
enfance. Il n'a pas eu d'autres ma- ladies. Nou
Les attaques de nerfs se sont renouvelées assez souvent depuis leur
première
apparition, notamment en janvier 1882, c'est-à-
ressemblent par toutes. Il en existe deux variétés principales.Les
premières
, très nettement hystériques, se caractérisent c
nsité. Jamais la jambe n'a été prise. Environ deux minutes après ce
premier
accès, un second.se déclare, puis un troisième;
ois delà lacta- tion, les crises réapparurent, toutes pareilles aux
premières
; mais cette fois elles durèrent trois semaines.
minuent de nombre et d'in- tensité ; ils conservent cependant leurs
premiers
caractères, à DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. 291 i
cachet en quelque sorte à part, et en même temps une importance de
premier
ordre au point de vue diagnostique, c'est que,
les petits objets, il pouvait porter un sceau plein et le monter au
premier
étage, parce que les doigts formaient crochet;
utefois, il fréquentait l'école du soir, et en 188, il aurait eu le
premier
prix d'orthographe. Depuis son entrée à Bicêtre,
l'aisselle gauche consé- cutif à de ['eczéma de la face dorsale des
premières
phalanges des premier, quatrième et cinquième d
cutif à de ['eczéma de la face dorsale des premières phalanges des
premier
, quatrième et cinquième doigts; pas de traces d
entimètres et demi en longueur environ; elle est saine dans un deux
premiers
centimètres antérieurs; mais elle estatro- phié
; 4, scissure perpendiculaire interne ; 5, fissure calcarine. F,,
première
circonvolution frontale interne; F2, deuxième cir
drilatère ou avant-coin; C, coin, ou lobule occipital interne; TO,,
première
cinon- volution temporo-occipitale, ou lobule f
; 4, scissure perpendiculaire interne; S, fissure calcarine. F t,
première
circonvolution frontale interne; F., deuxième cir
xième cir- convolution temporo-occipitale, ou lobule lingual; TO ,,
première
circon- volution temporo-occipitale ou lobule f
écorce du cerveau; par 111ov.lEOw. (Neurol. Central6l. 1883)'. 1.
Première
expérience. Quand on interrompt, dans la partie
tels vices d'articulation. Ceux qui bégaient font pendant les deux
premiers
mois des exercices de respiration méthodiques (
ique du tabès); par Schultze. (Arch. f. Psych. XIV, 2)'. Les quatre
premières
observations rapportées par Schultze con- cerne
L. Centralbl., 1883.) L'accident a trait à trois femmes. Les deux
premières
reprirent assez facilement connaissance. L'autr
il accuse également des élancements dans les deux jambes. Les deux
premières
attaques durent un mois, la troisième huit jour
4 août 1882. Trois enfants : le plus jeune a dix mois. Durée du
premier
accès : deux semaines. (La cause supposée est
7 août 1882. Trois enfants : le plus jeune a huit mois Durée du
premier
accès : neuf semaines. Cause inconnue. Pas
pté par l'auteur, et après avoir rendu sommairement compte des deux
premiers
chapitres, nous repro- duirons textuellement le
etit noyau gros comme un noyau de cerise, qui se trouve séparé du
premier
par l'expansion membraneuse du toit du quatrième
ion, il résulte qu'il s'agit d'une anomalie de formation datant des
premiers
temps de la vie embryonnaire, opinion à l'appui
les aliénés. Huit mois de recherches ont absorbé 2,300 grammes du
premier
produit et 2,700 grammes du second. C'est à Dalld
manie domine la scène (manie simple et ses variétés). Si les deux
premiers
stades sont peu marqués ou rétrocèdent rapidement
236. EXPLICATION DES PLANCHES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE
PREMIÈRE
Coupe horizontale à tut centimètre au-dessous d
econde et troisième circonvolutions fion'tales ! F , , Insertion delà
première
circonvolution frontale. i Fi, Insertion de la
lon de Rolande Pi, Pli pariétal supérieur. P C, Pli courbe. l ?
Première
circonvolution temporale; eile envoie un pli de p
PLANCHE VII Face interne de l'hémisphère droit; foyer ancien. F,,
Première
circonvolution frontale. L P, Lobe paracentral.
de l'hémisphère gauche. 1\Ii;me crreur d'impressiou. Fr, Fia, F ,
Première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
pariétal inférieur. P c, Pli courbe. L 0, Lobe occipital. T, ,
Première
circonvolution temporale. L I, Lobule de l'insu
Félix ALCAN ÉDITEUR 08, Boulevard Saint-Germain, 108. 1898
PREMIÈRE
PARTIE. Histoire du Service pendant l'année 189
7. (Bicêtre et Fondation Vallée.; Bourneville, Bicêtre, 1897. *
PREMIÈRE
PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du servi
I. Enfants idiots gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. - Ce
premier
groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
ande Ecole). - La population de cette école était de 183 enfants au
premier
janvier. Tous, sauf 7 qui ne peuvent travailler
et sous peu une vingtaine d'enfants sau- ront parfaitement les deux
premières
figures du qua- drille français. Société de g
e leur maitre dévoué, M. Goy, à trois con- cours de gymnastique. Au
premier
de ces concours, organisé par la ville de Vitry
comprend déjà 12 spécimens. Nous choisissons les sujets avec notre
premier
instituteur et notre surveil- lant et nous les
ents assistent à ces fêtes. Caisse d'épargne. Elle est confiée au
premier
de nos instituteurs, M. Mesnard. Les recettes o
ain (Amandine), surveillantes ; 1\ll11c Beaumont, suppléante ; deux
premières
infirmières : M ? s IIuy'uet et Gcrdcr et 8 inf
geant un lavage quotidien du parquet mal jointoyé, non hourdé, du
premier
étage, il en résulte des inliltrations d'eau to
ille est commencée à Vallée et 20 enfants en connaissent les deux
premières
figures. En8eiuncmcnl professionnel. - A mesure
uestions multiples qui n'ont pu qu'être abordées dans un travail de
premier
jet, et en se con- certant par une collaboratio
alors que l'unité de ce service d'enseignement est une nécessité de
premier
ordre. Le Pensionnat, peu accessible, est trè
usions de cet examen, en affirmant de nouveau notre unanimité. Au
premier
rang et sans conteste nous plaçons le Pro- jet
insalubre, aucun commerce incommode. M. Morin-Goustiaux a eu comme
première
préoccupa- tion, dans l'exécution du plan du Ve
majorité du jury et nous, en particulier, avons placé son projet au
premier
rang. L'asile est un moyen de traitement ; c'
mais avec beaucoup de fautes et de petits problèmes sur les deux
premières
opérations. La mémoire est bonne, La tenue est
rs progrès à l'école. G... fait des problèmes simples sur les trois
premières
opérations. Il gagnerait davan- tage s'il n'éta
ort, mais n'avait pas répondu à une première convocation. - De la
première
à la deuxième convocation, l'autorité militaire s
ervices à eux et à leurs malheureuses familles : réforme sociale au
premier
chef. Joignez-vous à eux, M. le Conseiller. En
uit mots. - Asphyxie et ophlhalmie pll2'2ll2nte à la naissance. -
Première
dent à 16 mois. - Dentition complète à 3 ans. -
e. - Elle fut élevée au biberon jus- qu'à l'âge de 4 ans et demi. -
Première
dent à 16 mois. - Dentition complète à 3 ans. E
érence de poids de 222 gr. Face externe. - Ce que l'on constate à
première
vue sur cette face, c'est une cavité large et p
bservation le tableau de la température de l'enfant durant les cinq
premiers
jours de l'admission. L'enfant est arrivée dans
ara- tion sont interrompus par des plis de passage, réunissant la
première
frontale il la deuxième et la deuxième à la trois
mois convulsions internes. - Mouvements spasmodi- ques au réveil. -
Première
, dent à 16 mois. - Dentition (1) Loc. cit., t.
e mouvements spasmodiques, avec secousses des yeux et de la tête.
Première
dent à 14 mois; dentition complète à 3 ans ; z'a
également le deuxième sillon frontal, dépression' qui semblerait au
premier
abord être de même nature que : ° la lésion pré
s racines correspondant à trois circonvolutions parié- tales : 1°La
première
, épaisse d'un centimètre, longe le bord supérie
bord supérieur de l'hémisphère et se continue en arrière avec la
première
occipitale, P1; - 2° la deuxième se dirige parall
parlent également Porencéphalie vraie. 71 trois racines, les deux
premières
vont former le lobe temporal (Pl. IV, Tl, '1'2)
ux premières vont former le lobe temporal (Pl. IV, Tl, '1'2). -1o]a
première
racine se détache au-dessous de la troisième pa
leur aspect normal. Tous ces caractères ont été notés dans nos deux
premières
observations. Prenons maintenant un cervcau qui
nsanguinitè, - Inégalité d'ligede23 ans. Asphyxie à la naissance. -
Première
dent à sept mois. - Début de la marche à. '2 !
ntécédents héréditaires ET personnels. Il s'est marié deux fois. Sa
première
femme mourut d'acci- dent, il en eut trois enfa
ement dura 15 jours. - Nourri au sein par sa mère, sevré à 11 mois.
Première
dent à 7 mois. - Début de la parole à 4 ans seu
Consanguinité (cousins-germains). Différence d'âge de 13 - atzs. -
Premières
convulsions à 6 mois. - Dentition con- plète à
agea dans la garde. Ces ennuis auraient existé pendant les quatre
premiers
mois de la grossesse. Pas de vomissements. Elle n
lepsie n'a paru qu'au début de la huitième année et durant les sept
premiers
mois de son séjour, l'enfant n'avait eu que deu
ent de plus en plus fréquents, de telle sorte que, pendant les sept
premiers
mois de 1897, elle a eu 42 accès et 30 vertiges
issance malgré trois circulaires du cordon. Allaite- ment maternel.
Première
dent à 14 mois. - Parole il deux ans. - Marche
ossesse. -Légère asphyxie à la naissance. - Convulsions internes du
premier
jus- qu'au quatrième mois et demi. - Grandes co
e mois et demi à un -De là à l'entrée (3 ans) vertiges fréquents. -
Première
dent à un an; dentition complète à l'entrée. Ba
pre- mier mois et par une nourrice pendant les il mois suivants.
Premières
convulsions dès le premier mois, Elles ont per-
ésentait sous forme d'accès et de vertiges. Sous l'influence d'un
premier
traitement par les capsules de bromure de camph
ar sa mère jusqu'à 8 mois, puis sevré, et nourri au lait de chèvre.
Première
dent à deux mois. A parlé il 17 mois ; a marché
moins propre- ment. 140 Accès; température. ' Température des 6
premiers
jours de l'entrée. Épilepsie ET démence progres
and il s'est H8 51'I'FIILIS et idiotie. marié. En effet, ses deux
premiers
enfants sont venus morts-nés et le troisième a
tableau des températures prises, selon la règle, pendant les cinq
premiers
jours de l'admission. Elles oscillent entre 3 i
ue normale ; amygdales grosses ; dents en mauvais état. Carie des
premières
grosses molaires. Les prémolaires et la canine su
est bon. Octobre. - Revacciné sans succès, Températures des cinq
premiers
jours de l'entrée. Autopsie : méninges et cerve
isme. - Albuminurie durant la grossesse. Cris nocturnes et diurnes.
Premières
dents à 6 mois. - Balancement du tronc. - Cogne
; - f° notre malade ; - 5° fille, née en z1889, postérieurement aux
premiers
renseignements, intelli- gente, pas de convulsi
deux fois ont obligé les parents à déménager. Il aurait eu ses deux
premières
dents à G mois. - A l'entrée la den- tition n'é
t eu également de l'albuminurie il. la 5° grossesse, mais pas aux 3
premières
. 166 Idiotie complète : amélioration progressiv
Face convexe de l'hémisphère cérébral droit (p. 60). F', F2, F3,
première
, seconde et troisième circonvolutions cérébrale
Face convexe de l'hémisphère cérébral gauche (p. 61). 1 ? F2, 1 ?
première
seconde et troisième circonvolutions cérébrales
Face convexe de l'hémisphère cérébral droit (p. 60). F', 1 ? 1 ?
première
, seconde et troisième circonvolutions frontales
l ( ? ). pl, pariétale, ascendante. LO, lobe occipital. T1, T2,
première
et seconde circonvolutions temporales. INS, lob
li pariétal inférieur. Légende de la fig. 1 (p. 72). lez, F2, 1 ?
première
, seconde et troisième circonvolutions frontales
périeur. 1, pli pariétal inférieur. LO, lobe occipital. T', T2,
première
, seconde circonvolutions temporales. INS, lobul
e vraie. Face interne de l'hémisphère cérébral droit (p. 70). I ?
première
circonvolution frontale. LO, (en avant), lobe o
'hémisphère cérébral droit (p. 122), 1 ? F2, portions restantes des
première
et seconde circon- volutions frontales. F3 est
droit. Face interne de l'hémisphère cérébral droit (p. 156). F1,
première
circonvolution frontale. LF, lobe paracentral.
auche. Face interne de l'hémisphère cérébral gauche (p. 106). Fi.
première
circonvolution frontale. LP, lobe paracentral.
Face interne de V hémisphère cérébral droit (p. 159). 1· , F2, 1 ?
première
, seconde et troisième circonvolutions frontales
ment du cerveau. Face interne de l'hémisphère droit (p. ) ? 1). 1
première
circonvolution frontale. OR, gyrus reclus. p.
ace coiivexe de l'hémisphère cérébral gauche (la. 159). 1 , F2, 13,
première
, seconde et troisième circonvolutions frontales
Op l', opercule pariétal. S S, scissure de Sylvius. Tri, T2, T3,
première
, seconde et troisième circonvolutions temporale
rveau. Face interne de l'hémisphère cérébral gauche (11. 'la. 1 ,
première
circonvolution frontale. GR, gyrus rectus. ,
anche XVIII. Spécimens de l'écriture DE Dup... (p. ! G3). Fig. 1.
Premiers
essais (novembre 1888). Vigo 2. Exercice scolai
). LIGNES ET LEURS APPLICATIONS ^l'iS^fS ? 1 TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1897
FÉLix ALCAN ÉDITEUR 108, Boulevard St Germain, 108. 1893 il
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1892
92. (Bicêtre et Fondation Vallée.) BOURNE'ILL, Bicêtre, 1892. *
PREMIÈRE
PARTIE Section 1 : Bicêtre. Histoire du servi
lèles à hau- teur variable servent à exercer les plus invalides aux
premiers
mouvements des jambes et des bras. Les jeux u
pléant, M. Routier, et de deux infirmiers dont un ayant le grade de
premier
infirmier. - b) Petite école : de Mlle Blanche
is à manger sans aide. Enseignement professionnel. Nous tenons en
premier
lieu à apprendre aux enfants tout ce qui est né
soleil (1); - l'achat d'une lan- terne magique; - l'aménagement du
premier
étage du bâtiment des écuries et remises en log
ainsi : III. Projet d'agrandissement de la Fondation Vallée.
Premier
rapport. En qualité de membre de la Commission
départementales s'il peut nous affirmer que la construction de ce
premier
bâtiment ne nous coûterait pas plus de 222.000
nt serait construit à usage de dortoirs, 2 au rez-de chaussée, 2 au
premier
étage, soit 80 lits si on adopte des dortoirs d
aurait ainsi 37 lits, qui, joints aux 48 lits des deux dortoirs du
premier
étage du futur bâtiment formeraient un total gé
ment aura une galerie au rez-de-chaussée, une terrasse ou balcon au
premier
étage, afin de pouvoir faire aisément sortir le
du Conseil général. Le projet, après avoir posé, dans son article
premier
, le. principe de l'admission des placements vol
idiots et arriérés, nous pouvons attendre, avant de les admettre a
première
demande, le vote de la nouvelle loi en préparat
l tit ' e vache. Il resta chez sa nour- rice jusqu'à 3 ans, eut sa
première
dent à 7 mois, ne parvint jamais à parler, ni à
vulsifs mal caracté- risés du 18e au 39c jour après la naissance. -
Premières
dents à un an. - Accès de cris. Cognements de t
jour. Seconds convulsions à 4 mois. - Début de la parole à 18 mo8
Premières
dents à 6 mois. - Ne marche pas. - Gâtisme comp
gauche. Pas d'autres convulsions. Début de la parole à 18 mois. -
Première
dent à G mois ; dentition complète à ? - L'enfa
e de Sylvius. Cette zone d'atrophie comprend donc le pied des trois
premières
circon- volutions frontales. Le lobule de l'ins
l, aliéné. - Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 10 a tzs.
Première
dent à mois. - Marche et parole à 20 mois. Méni
sives, en cupule. Canines de lait jaunes et atrophiées. Erosion des
premières
molaires, jaunâtres et irré- gulières sur toute
face. Mâchoire inférieure : 4 incisives permanentes avec érosion.
Premières
molaires avec érosion de toute la surface; le res
e, accès de colère, etc. IV. L'athétose a été constatée à la fin du
premier
mois qui a suivi la fin de la maladie, aussitôt
pré- sente aucun des signes de l'alcoolisme chronique. Marié une
première
fois assez jeune, il eut une fille de son premier
nique. Marié une première fois assez jeune, il eut une fille de son
premier
mariage, morte aux Enfants Malades à l'âge de 3
e. Cette enfant aurait eu des convul- sions durant toute sa vie. Sa
première
femme serait morte subitement durant ses couche
té parfaite, n'aurait pas eu de convulsions durant son enfance. Ses
premières
dents ne seraient survenues qu'à 7 ans, et elle
etit et grêle. ? Elevé au sein par sa mère, il fut sevré à 15 mois.
Première
dent à un an; den- tition complète à 3 ans. - D
ette époque le père n'était pas aliéné. - Grossesse : Pendant les 4
premiers
mois, fatigues diverses. Affaiblissement au 8me
nne Vcdéb raie est en cyphose, Circonférence du thorax au niveau du
premier
espace inter- costal : 56 centimètres au niveau
e affection aiguë, nous faisons prendre leur T. R. pendant les cinq
premiers
jours de leur admission, ce qui nous a permis de
il s'écoule encore 1GO gram- mes de liquide céphalo-rachidien. Au
premier
examen, ce qui frappe surtout c'est la dispro-
s ans. Conception, grossesse, accouchement : rien de particulier.
Première
dent à 10 mois. Dentition complète à 2 ans. - C
autour du cou. Elevé au sein par sa mère, il fut sevré à 18 mois.
Premières
dents à 10 mois; dentition complète à 2 ans. Le
a peine à lui apprendre à téter, cependant durant les deux ou trois
premières
semaines de son existence, « il était bel enfan
u trou de Botal et l'ectopie testiculaire. IV. St..a été l'un des
premiers
enfants sur lesquels M. Lannclongue a pratiqué
hémiplégie transitoire. - Pas de consangui- nité. Egalité d'âge.
Premières
dents à 4 mois. Dentition complète à 3 ans 9/2.
6 mois et but du lait comme aliment principal jusqu'à trois ans. Sa
première
dent apparut à 4 mois; sa dentition était compl
r à l'arrivée. ' La température prise sous l'aisselle pendant les 4
premiers
; jours se maintient autour de 36o, 8. - 148 A
l de voisines, la mère prit tous les deux jours pen- dant les trois
premiers
mois de sa grossesse des bains chauds tempérés
nourri au lait de vache avec semoule et tapioca jusqu'à deux ans. -
Première
dent à 3 ans passés; dentition complète à 10 an
ficilement. III. L'idiotie était complète : accès de cris dès les
premiers
jours de la naissance, début tardif (3 ans) et
ables à 3 jours, se répétant cinq ou six fois dans le premier mois.
Première
dent à 2 ans. Parole limitée il quelques mots.
six fois en un mois ou six semaines puis ont cessé complètement.
Première
dent à 2 ans. La dentition a été complète on ne
ducoeurbatdansle quatrième espace intercostal. Pas de frémissement.
Premier
bruit bien frappé, mais précédé d'un souffle di
ontractée en Angleterre, où il était allé après s'être séparé de sa
première
femme. (2) Elle allirme, contrairement à ce que
Naissance avant terme (8 mois). Allaitement au lait de chèvre. -
Premières
convulsions à 3 jours, ayant duré pendant 4 ou
- Premières convulsions à 3 jours, ayant duré pendant 4 ou 5 heures
Premières
dents à 6 mois. - Secondes convulsions à 6 mois
lsions qui ont duré 3/4 d'heure. - A partir de là, étourdissements.
Premier
accès vers 7 ans 1/2; retour des accès tous les
L'inspection du crâne de notre malade ne peut rien faire présumer à
première
vue. Pas de microcé- phalie, pas de malformatio
la face. Travail ayant duré 5 heures. Allaitement au lait de vache.
Première
dent à 2 ans passés. Accidents scrofuleux. Symp
e après la couche de son second enfant. Pendant la grossesse de son
premier
enfant, elle n'avait pas eu d'accès épi- leptiq
tarses : aucun d'eux n'a jamais eu de maladies du cerveau. - De son
premier
mariage, le père de notre malade avait eu 5 enf
e. Concep- tion, rien de particulier. G1'()S,eSse : durant les deux
premiers
mois, la mère a eu ses règles, mais peu abondan
t de vache. Sevré à 14 mois, il était alors dans un état pitoyable.
Première
dent après 2 ans. Il lui manque actuellement 2
se fit la dentition. La parole est encore nulle à l'heure présente.
Premières
convulsions à 2 jou-s. Elles ont duré tres-peu
née. Pas de consanguinité. Egalié d'âge. -Grossesse tourmentée. -
Premières
convulsions à 14 mois, prédominant à droite, ré
u lait de vache au bibe- ron. A 14 mois, après l'apparition de sa
première
dent, survinrent des convulsions sans cause app
s, sauf celles de 14 mois. Gob ? n'a jamais pu marcher. Av nt ses
premières
convulsions, il prononçait quelques mots, mais
s. beaucoup et elle est très-nerveuse ; elle a, la nuit, dans son
premier
sommeil, des cauchemars et des accès de somnam-
3 mois. Elle a commencé à marcher vers la môme époque. Elle a eu sa
première
dent vers le Il- mois. Elle a commencé à parler
tenir verticale. Ce fait a déjà été remarqué après l'application du
premier
vésicatoire et tient au déve- loppement progres
on de Rolando, superficiel, semble continuer dans sa direction la
première
partie de la scissure de Sylvius. - FI et F2, mal
. d'un côté. Depuis, il n'a pas eu d'autres accidents convulsifs.
Première
dent iL cinq mois. Dentition longue iL se complét
e, qu'il ramène ensuite en traînant légèrement à peu de distance du
premier
, mais toujours en arrière. Cette démar- che est
iques de la Faculté de médecine cle Paris, vint nous entretenir des
premiers
essais du tmitement chÏ1'ur- gical de l'idiotie
niecto21e a été préconisé par M. le professeur Lan- nelonguc. Sa
première
opération a été faite le 9 mai 1890 sur une pet
steàM. Lannelongue qui, deux ans avant M. Lime, a fait connaitreses
premiers
résultats clans une note communiquée le 30 juin
publié une note plus étendue dans laquelle il maintient son opinion
première
sur l'ossification prématurée des sutures chez
n plus d'intérêt. Il. Nombreux sont les chirurgiens qui depuis la
première
publication de M. Lannelongue ont pratiqué la c
ant petite à la naissance. - Déglutition pénible ; bave; retard des
premières
manifestations intellectuelles, pré- hension di
bains salés, sirop d'iodure de fer. Etat actuel (5 juin 1591). - Au
premier
examen, ce qui frappe le plus dans l'aspect ext
é. Grand-père palenwl,alcoolique.-1\1ère, convul- ? sions à 2 anus. -
Premiers
, symptômes à 10 ans. - Gépha- l lalgie, vomisse
tent une- mobilité relative; Le frontal est soudé. .' ? , Lors du
premier
examen de la tête, on. avait noté, que les font
vaise : envie insurmontable de dormir. Asphyxie à la naissance. -
Premières
couvulsions à 14 mois. - Refroi- dissement et c
acci- dents nerveux. - Émotion vive au 5e mois de la grossesse. -
Premières
convulsions à 3 mois; crises fréquentes jusqu'à
- Secondes convulsions à 4 mois. - Début de la parole à 18 mois. -
Premières
dents à 6 mois. - Ne marche pas. - Gâtisme comp
s ans. Conception, grossesse, accouchement : rien de particulier.
Première
dent à 10 mois. Dentition complète à 2 ans. Con
; travail ayant duré 5 heures. - Allaitement au lait de vache. -
Première
dent à 2 ans passés. -- Accidents scro- {tÛeux.
face. Travail ayant duré 3 heures. - Allaitement au lait de vache.
Première
dent à 2 ans passés. - Accidents scrofuleux. -
core une tumeur à siège bien déterminé. ' Avant de terminer cette
première
partie de notre communication laissez-nous vous
s ont eu des convulsions. - Conception probable durant l'ivresse.
Premières
convulsions une heure après la naissance, reven
connaissance il 3 mois. - Evanouissements 3 jours après la 15 mois.
Première
dent à 12 mois. Gâtisme intermittent. - Parole
ans. Soeur, morte de convulsions. Con- ception durant l'ivresse. -
Première
dent à six mois, - Marche et parole nulles. - G
de syncope au 9° mois de ta grossesse. Asphyxie à ta nais- sance.
Première
dent et marche à 14 mois. - Premières convulsio
se. Asphyxie à ta nais- sance. Première dent et marche à 14 mois. -
Premières
convulsions à un mois. Retour mensuel ou bi-men
sme accidentel. Laumail... (Gustave), né le 16 septembre 1878. Sa
première
photographie prise en 1885, quand il avait 7 an
gauche. Gâtisme. Tournoiement de la tête. - Balan- cement du tronc.
Première
dent à 6 mois. Grincement des dents. - Rougeole
al gauche; face externe. (Ons. de Scheff ? p. 10-19). FI, F2, F3,
première
, seconde et troisième circonvolutions frontales
x supérieur et inférieur, pli courbe. Lo, lobe occipital. Tt, T2,
première
et seconde temporales. sr, sillon de Rolando.
heff..., p. 10-19). Hémisphère cérébral gauche; face interne. I ?
première
frontale. LP, lobule paracentral. AC, avant-c
p. 22-30). Hémisphère cérébral gauche; face externe. I'i, F2, F3,
première
, seconde, troisième circonvolutions frontales.
périeur et inférieur, pli courbe. LO, lobe occipital. Tl, T2, T3,
première
, seconde et troisième circonvolutions temporale
Sal..., p. 22-30). Hémisphère cérébral gauche; face interne. F',
première
frontale. LP, lobule paracentral. AC, avant-c
, p. 22-30). Hémisphère cérébral droit; face externe. Fi, F2, F3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
PC, lobes pariétaux supérieur et inférieur; pli courbe. Ti, T2, T3,
première
, seconde et troisième circonvolutions temporale
, de Sal ? p. 22-30). Hémisphère cérébral droit; face interne. r,
première
frontale. LP, lobule paracentral. AC, avant-c
p. 88-96). Hémisphère cérébral gauche; face externe. FI, F2, F3,
première
, seconde et troisième circonvolutions frontales
e Itoc ? p. 88-96). Hémisphère cérébral droit ; face interne. Fi.
première
circonvolution frontale. LP, lobe pariétal. A
. 132-141). Hémisphère cérébral gauche; face externe. FI, F2, F3,
première
, seconde et troisième circonvolutions frontales
, lobes pariétaux supérieur et inférieur, pli courbe. T', T2, T3,
première
, seconde et troisième temporales. LI, lobule de
IIug ? p. 13'2-1H). Hémisphère cérébral gauche; face interne. F',
première
circonvolution frontale. LP, lobule paracentral
p. 132-141). Hémisphère cérébral drot; face interne. FI, F2, F3,
première
, seconde et troisième circonvolutions frontales
upérieur, inférieur et pli courbe Lo, lobe occipital. Tl, T2, T3,
première
, seconde et troisième circonvolutions temporale
teint jaunâtre de vieille cire, toute ratatinée, attire l'attention à
première
vue. Les rides sont très nombreuses sur le cou,
ax et sur les membres ; un simple duvet à la région sus-pubienne. A
première
vue, les organes génitaux donnent l'im- pressio
YSIE GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCÉPHALIQUE PAR R H. FLOURNOY La cause
première
de l'oxycéphalie est très obscure. Virchow, auque
al, frontales pour l'hémisphère droit, sagittales pour le gauche. A
première
vue, on re- marque que les coupes ont un bord r
qu'à confir- mer en tous points ce que nous avions écrit dans notre
premier
travail sur ce sujet.- SUR LE ROLE DE LA DYST
t. Il distingue deux phases dans l'accomplissement de ces actes. La
première
phase (de l'accommodement initial) provoquée par
ition du pouce, contracte les antagonistes comme les agonistes ; au
premier
moment la position d'extension est accentuée, ens
s, les mouve- ments volontaires sont lents, saccadés. La parenté du
premier
cas au der- nier se montre non seulement par le
e premier enfant de la famille, les autres se portent bien. Dans sa
première
enfance a eu à différentes reprises des convulsio
mariée depuis 30 ans. Rien comme antécédent héréditaire. Depuis sa
première
enfance, boit du vin pen- dant ses repas. Menst
eur de vins et spiritueux. Le malade lui-même boit du vin depuis sa
première
enfance. Dès son enfance, il présentait des accès
lcoolique, un frère fou. Menstruation toujours régulière. Depuis sa
première
enfance jusqu'à il y a 4 ans, accès épileptifor
nce chez la même malade et j'ai toujours pratiqué la compression au
premier
examen de la malade, et après avoir établi, par
ssez prononcée (notamment la flexion de la deuxième phalange sur la
première
) et elle va en s'accentuant de l'index vers le pe
paralysés, aucun mouvement de ce genre ne se produira au niveau des
premières
phalanges. En cas de paralysie radiale, l'abduc
remarque tout d'abord un amaigrissement quelquefois considérable du
premier
espace interosseux dorsal. C'est là le signe le
ême temps l'extenseur des doigts n'ayant plus d'antagoniste pour la
première
phalange, il la porte en hyperexlension. Bien q
attitude de la griffe. Cela s'explique par la conservation des deux
premiers
lombricaux qui sont innervés par le médian, et
arté de l'index (pl. XXI, fig. B). L'atrophie des interosseux, du
premier
surtout, donne parfois à la main un aspect dit
e cas des lésions incomplètes) rap- portent qu'au début, les quatre
premiers
doigts étaient en griffe ; plus tard seulement
thénar et les premiers in- - ter-osseux sont les plus paralysés, lo
premier
espace interosseux dorsal est considéra blement
y a une très légère incli- naison en flexion de l'articulation des
première
et deuxième phalanges. Dès les premiers temps d
au niveau des muscles aplatis. La coloration de la main, des trois
premiers
doigts principalement, apparaît très modifiée d
t dimi- nuée dans tout le côté externe de la main et dans les trois
premiers
doigts. Parfois il y a disparition totale de la
NISTY couperosée à certains endroits, notamment à la base des trois
premiers
doigts. Parfois, mais rarement, il y a une hy
plan que les autres doigts ; ceux-ci sont légèrement écartés, leur
première
phalange en extension modérée sur le métacarpe, a
mment exact. Nous considérerons cinq types cliniques principaux :
PREMIER
TYPE. - Le type le plus fréquent consiste en une
'adduction des doigts sont légèrement ébauchés, mais la flexion des
premières
phalanges sur le mé- tacarpe reste toujours imp
tatif dans la région du pli du coude en dedans du biceps. Depuis ce
premier
travail, nous avons dans notre service examiné
it un peu saillie en avant et en dedans. Le pouce en abduction a sa
première
phalange très légèrement fléchie et sa deuxième
explique l'atteinte des deux ordres de fibres (huitième cervicale,
première
dorsale) et les irradiations douloureuses dans
V. Main DE l'annonciateur par hypotonie du médian et hypertonie du
premier
interosseux dorsal (PI. XXIV, C). I. Historique
ue qui tra- versa les parties charnues de l'extrémité supérieure du
premier
espace inter- métacarpien gauche sans toucher à
métacarpien esl en adduction, ce qui accuse plus que normalement le
premier
pli palmaire. La première phalange du pouce, qui
bande d'Esmarcla, qui fait également disparaître la contraction du
premier
interosseux dorsal, mais est sans effet sur la
ître progressivement. 3. Attitude actuelle. Le cinquième doigt a sa
première
phalange fléchie à angle droit sur le carpe, la
oigt a une position analogue, mais moins accentuée, surtout pour la
première
phalange, dont l'angle avec le carpe n'est pas to
deuxième et troisième phalanges restent immobiles. L'extension des
premières
phalanges est très faihle. Les autres phalanges
fléchisseurs et des brides longitudinales sur la face palmaire des
premières
phalanges ; et au dos de la main on voit sailli
ième doigt à un degré moins marqué d'exten- sion. La flexion de ces
premières
phalanges est complète. L'extension de la deuxi
tacarpien qui est érodée et une autre cicatrice légère au niveau du
premier
espace interdigital, toutes deux à la face dorsal
'explique par un mécanisme secondaire, fonctionnel, commandé par le
premier
. En d'autres termes, une lésion siégeant dans l
é en extension et en adduction, croisant par la face palmaire de sa
première
phalange le bord externe de la deuxième phalange
parut dans le cubital 1 (adduction des doigts avec flexion de leurs
premières
phalanges et exten- sion de leurs deux dernière
la flexion de toutes les phalanges, à gauche sim- plement des deux
premières
! Diminution des fléchisseurs-. 10. Vaso-motric
adduction des doigts sont à peu près nor- males. - L'adduction du
premier
métacarpien est possible, mais elle s'exécute san
ontact dans la moitié externe du dos de la main et le dos des trois
premiers
doigts. Hypoesthésie à la chaleur. Le ma- lade
s la dépendance d'une hypertonie du médian. Enfin, la position du
premier
métacarpien (abduction et rotation en dehors) s
ique, comme dans le cas de l'Observation V, par une hy- pertonie du
premier
interosseux dorsal, consécutive à la lésion du ra
qu'elle a aujourd'hui avec cependant une flexion moins grande de la
première
phalange du pouce sur le métacarpien. 3. Attitu
est situé suivant une perpendiculaire à l'axe de la main. sur ce
premier
métacarpien la première phalange du pouce est flé
possible, mais en provoquant une douleur surtout dans la région du
premier
métacar- pien, du premier espace interdigital e
ant une douleur surtout dans la région du premier métacar- pien, du
premier
espace interdigital et du bord cubital de la main
- Tous les mouvements sont possibles sauf : 1° ceux du pouce et du
premier
métacarpien, qui restent dans leur attitude habit
ignaler. 12. Pression. 13. Interprétation. L'abduction extrême du
premier
métacarpien et l'augmentation de surface du pre
tion extrême du premier métacarpien et l'augmentation de surface du
premier
espace interdigital qui en résulte sont sous la
t, d'après Duchenne de Boulogne, de 'fléchir sur son métacarpien le
premier
doigt en maintenant ses phalanges étendues. Pour
la paume de l'avant-bras et de l'éminence thénar ; V, hypertonie du
premier
interosseux dorsal après plaie des masses muscu
sal après plaie des masses musculaires de l'extrémité supérieure du
premier
méta- carpien ; VII, raideur des dernières phal
ès perforation du troisième espace interdigital ; XV, hypertonie du
premier
interosseux et hypertonie des fléchisseurs aprè
u premier interosseux et hypertonie des fléchisseurs après plaie du
premier
espace interdigital et lésion du radial à la ma
dian), II (0.) (tous les nerfs), III (0.) (flé- chisseurs des trois
premiers
doigts, extenseurs des deux premiers), VII (R.
(0.) (flé- chisseurs des trois premiers doigts, extenseurs des deux
premiers
), VII (R. + M.) (fléchisseurs). 3° flgperexci
La bles- sure est il la base du métacarpien et il y a hypertonie du
premier
interos- seux dorsal, V et XV. La blessure est
cas à la suite d'une blessure, blessure avec plaie dans les quatre
premiers
, blessure sans plaie (fracture du poi- gnet) da
(fracture du poi- gnet) dans le dernier. Bien plus, dans les trois
premiers
cas, la blessure avait un siège presque identiq
erficiels, était enroulé en corde etvigou- reusement serré dans ses
premiers
tours sur l'extrémité inférieure de l'avant-bra
véritable traitement préventif, à savoir l'attention à apporter aux
premiers
panse- ments. - II SUR LES troubles VASO-MO
suivants, amélioration progressive, mais légère : flexion nette des
premières
phalanges, ébauche de flexion des deuxièmes, puis
s, mais peu éten- due pour les deux dernières phalanges ; aux trois
premiers
doigts, la flexion de toutes les phalanges est
re, le malade a des douleurs à peu'près continuelles dans les trois
premiers
doigts, douleurs qui s'exagèrent quand le bras es
aissie et gonflée, avec un système pileux très développé. Les trois
premiers
doigts sont fortement oeeH ! s<, infiltrés,
ion des fibres sympathiques périvasculaires, à la condition que les
premières
aient été toutes interrompues, c'est-à-dire que l
scutable, qui affirme la réalité de manifesta- tions douloureuses à
première
vue excessives : des malades nous ont été ainsi
taient à peu près aussi vives que dans les cas précédents ; dans le
premier
*il y avait une grosse paralysie ; dans le second,
space interdigital, bourrelet nodulaire très marqué au niveau de la
première
phalange du ô° doigt. A gauche, il y a un enfonce
l à chacune des deux mains, et d'un orteil prolongeant la série des
premiers
au pied gauche. Le pied droit est normal. (4)
métatarsien s'articulent deux orteils : le cinquième est normal. Au
premier
examen il pourrait sembler qu'il ne soit composé
de la 1. ro phalange. Celle-ci affecte la même forme que les autres
premières
pha- langes ; plus petite que celle du cinquièm
dix enfants. Nous n'avons pu avoir de renseignements sur les trois
premiers
. Peut-être y avait-il parmi eux des polydactyle
ière assurer la persistance de l'anomalie, de telle façon que si le
premier
rejeton restait enfant unique, l'anomalie fût aus
s qui se donnent la peine de réagir. Ce charabia est l'oeuvre des
premiers
sous-officiers qui eurent à les 182 ' COURBON
militaire, la discipline et le sang-froid font d'eux des soldats de
premier
ordre, tant qu'il s'agit seulement de re- cevoi
(3 oxybu- tyrique. Pas d'acétone. Odeur acétonique de l'haleine.
Premier
frisson dans la nuit. Deuxième frisson vers 8 heu
ade, cantonnés dans des localités voisines. Le dixième (obs. I), le
premier
en date, appartient à une section d'infirmiers do
uxième ne s'est pas contaminé directement dans les cantonnements du
premier
. (1) H. BATTEN, Epidémiologie de la poliomyélit
l'écoulement du liquide céphalo-rachidien ayant été très lent à la
première
ponction et l'hypertension n'ayant été constatée
ave ; mais apparurent les troubles des réflexes, et au mo- ment des
premiers
levers, on constata la démarche canetante et spas
rteils, ectropion des deux côtés, sensibilité diminuée au trijumeau
premier
. Il y avait une histoire d'in- fection syphilit
, nous ne pouvons juger autre chose que l'intervalle entre les deux
premières
cures ; séries d'injections ? Nous ne .pouvons
ui fit un jour remarquer à table qu'il avait un creux sur le dos du
premier
espace interosseux gauche ; très peu de temps a
surtout dans sa-partie externe ; elle dessine un creux en avant du
premier
métacarpien ; le pouce est sur le même plan que
annulaire ; le malade y remédie par une légère hyperextension de la
première
phalange. , .. 254 LÉRI L'abduction et l'addu
teur du pouce qui réagit faiblement au faradique. Inexcitabilité du
premier
interosseux. Hypoexcitabilité faradique et galvan
a bascule de l'omoplate de l'un et de l'autre côté. Ce qui frappe à
première
vue, c'est l'atrophie considérable du deltoïde
les orteils sont en hyperextension presque à angle droit dans leur
première
phalange, leurs tendons extenseurs sont tendus
à terre, les orteils s'étendent légèrement, surtout le premier. A
première
vue, c'est l'atrophie de la jambe et du pied droi
des quatre derniers orteils et simplement une ébauche d'extension du
premier
, mais, à cause de leur attitude anormale, on n'
es quatre derniers orteils et des mouvements beaucoup plus forts du
premier
. Les membres supérieurs ont dans tous leurs seg
comme il a subi un traumatisme de la jambe droite, on a tendance au
premier
examen à croire à une atrophie réflexe post-tra
me a été très léger, il datait de six mois avant l'appa- rition des
premiers
troubles fonctionnels et il n'avait déterminé auc
erminé la réaction de Wassermann, c'est soit l'affection médullaire
première
, soit la spirschitose surajoutée sur un terrain n
PAR E. CARATI (de Bologne). Observation I (PI. XLIX). Notre
première
malade est une femme de 29 ans (B. F. de Cesena)
vico et temporo-faciales. Quelle en est la cause ? Elle n'est pas à
première
vue très facile à dé- celer. On ne peut incrimi
est très rare. Il n'y a pas dans l'ensemble d'asymétrie faciale. A
première
vue, il est impossible de faire un diagnostic d
e de la luette par une distance de 1 centimètre, tandis que pour la
première
la distance n'est que de 0 cm. 5. Lorsque la mala
à l'âge de 62 ans. Antécédents personnels. - Dans l'histoire de sa
première
enfance elle n'a eu rien de remarquable. Sa men
main, comme nous les décrirons minutieusement plus loin, frappent à
première
vue. Le thorax est asymétrique, affecté d'une s
edcs phénomènes d'hyposudation qui se révélèrent à notre examen, au
premier
jour de chaleur, pendant que Georges mangeait u
oculaire ; 3° Une hémianidrose cervico-faciale, s'étendant jusqu'au
premier
espace intercostal, l'épaulette deltoïdienne et
e. Elles sortent de la moelle à travers les racines antérieures des
premiers
et seconds segments thoraci- ques et entrent da
occupe donc à peu près les territoires cutanés correspondant aux 4
premières
racines cervicales. Elle est totale, c'est-à-di
de troubles trophiques cutanés, osseux ou articulaires, cas qui au
premier
abord pourraient être considérés comme d'ordre
paraissent très diminués de forcp, particulièrement pour les trois
premiers
. Les mouvements des muscles de l'éminence théna
ies organes externes et ceux internes. L'aspect morphologique des
premiers
se modifie considérablement selon la réduction
ubles du métabolisme sur le développe- mens somatique, on compte en
première
ligne ceux qui portent sur le squelette, dont l
qui s'allon- gent est remarquable également (1). ` (t) Depuis sa
première
publication sur ce sujet, ltummo a signé une alté
tend inconsciemment à redresser son tronc. On lui fait constater ce
premier
résultat et on lui en promet un plus grand. On
le décubitus horizon- tal sans même souffrir. Il a eu à partir du
premier
jour, et pendant 21 mois, des troubles urinaires,
deux. C'est dans cetle attitude qu'il fut évacué. Pendant les deux
premiers
jours, il souffrit de maux de tête continuels q
réquence, et disparurent au bout de six semaines. Pendant les trois
premiers
jours, il aurait eu de la pollakiurie et des do
moment-là, une ecchymose au niveau de la hanche gauche. Jusqu'aux
premiers
jours du mois d'avril, il reste complètement alit
bligé de se coucher sur le côté en chien de fusil. Pendant les deux
premiers
jours qui ont suivi l'accident, il n'a pas pu u
ête, et il aurait vomi et urine du sang pendant les trois ou quatre
premiers
jours. Il a été évacué sur Reims, Rouen et Trouvi
qu'il avait une ecchymose dans la région lombaire droite. Les trois
premiers
jours qui suivirent l'accident, il urina du sang.
heures ; mais on ne l'aurait pas sondé. Il est resté alité les dix
premiers
jours, se plaignant beaucoup de douleurs dans l
. Ce sont encore les images du passé qui nous renseignent sur les
premiers
essais de thérapeutique médicale des psychoses. L
endement, jugement. Bref, de quoi reconstituer un psychisme de tout
premier
ordre. Le reste de l'officine est orné des acce
de plusieurs tuyaux d'échappement. Ici le patient est plongé, tête
première
, dans l'orifice supérieur de l'appareil, il en re
bore, mériterait vraiment de devenir le patron des psychiatres. Aux
premiers
temps du Christianisme; beaucoup de saints eurent
s, ex- posés à des chutes dangereuses. Dans le but de remédier au
premier
inconvénient, c'est-à-dire à l'insuffisance des
ez-de-chausséo. Les dortoirs, au nombre de. deux, sont installés au
premier
étage du bâtiment spécial aux enfants et du bât
ue cette classification administrative est en partie fantaisiste.
PREMIER
PROJET. XXIII fosses seraient de plein-pied ave
ger ou une gêne de service s'il faut les porter à bras (1). 2° Au
premier
étage, dans le pavillon central, l'infirmerie a
de nuit; l'infirmerie contiendra 16 lits ('2). Dans les ailes de ce
premier
étage, deux dortoirs de 10 lits chacun pour la
ur s'en rendre compte, qu'à visiter l'infirmerie du Dépôt. - XXIV
PREMIER
PROJET. En résumé, le pavillon central serait u
ur cette annexe du bâtiment principal d'habitation peut paraître au
premier
abord, un peu élevé; mais il faut remarquer que
ur les parois extérieures des tourelles des cabinets d'aisances .
PREMIER
PROJET. XXV dont l'ossature sera en fer. Les pl
deux Asiles'anglais : Earlswood et Clapton, Nous, ne dirons rien du
premier
, entretenu luxueusement par des souscriptions,
connaissent pas (1) : il nous a semblé préférable de nous servir du
premier
, destiné aux enfants pauvres des paroisses de Lon
un rez-de-chaussée qui doit être abandonné et de dortoirs placés au
premier
étage et au sujet desquels nous allons vous fai
ent parallèle pouvant recevoir une cinquantaine d'enfants. Les deux
premières
propositions se justifient d'elles-mêmes. Quant
rattacheront le gymnase, d'un côté, et les ateliers, de l'autre, au
premier
groupe des bâtiments à construire et qu'il impo
ver des enfants, un vestibule, ainsi que l'escalier condui- sant au
premier
étage. Ce pavillon aura un premier étage, desti
n parfaite ; - 2° une galerie au rez-do-chaussée et une terrasse au
premier
étage, afin de pouvoir faire aisément sortir le
ntre du bâtiment où l'on trouvera aussi l'escalier donnant accès au
premier
étage. Quant aux salles de cet étage - salles (
ré la création d'une section pour les enfants de Bicêtre comme de
première
urgence, puisque à la fin de 1879, il adoptait un
cution du nouveau projet les 717.000 francs qu'il avait affectés au
premier
, ni de prélever une partie de la somme sur les
Séance du 2G juin. LX CONCLUSIONS DU RAPPORT. construits avec ce
premier
crédit, une partie notable sera four- nie par l
les terrassiers commençaient les tranchées pour les fonda- tions du
premier
bâtiment, celui des réfectoires. (Voir le n° 85
es circonstances, nous le disons hautement, a créé la une oeuvre de
premier
ordre. « Nous espérons que notre approbation se
les petits objets, il pouvait porter un sceau plein et le monter au
premier
étage, parce que les doigts formaient crochet;
tefois, il fréquentait l'école du soir, et en 1878, il aurait eu le
premier
prix d'orthographe. Depuis son entrée à Bicêtre,
uche consé- cutif à de l'eczéma impétigineux de la face dorsale des
premières
phalanges des premier, quatrième et cinquième d
'eczéma impétigineux de la face dorsale des premières phalanges des
premier
, quatrième et cinquième doigts; pas de traces d
timètres et demi en longueur environ; elle est saine dans un à deux
premiers
centimètres antérieurs; mais elle estatro- pLié
nte-sept ans, aurait eu, en 1843, une encéphalite très grave ( ? ).
Premier
accès en 1863 sans cause connue; traitée sans s
rain, trois fois par semaine). Le ma- lade eut pendant les quatorze
premiers
jours deux faibles ver- tiges et le traitement
atre fois par semaine. Les accès perdirent leur type. Dans les deux
premiers
mois il n'y eut aucun accès, mais à l'époque où
fance h 18S l. - Fièvre cérébrale et convulsions ti 7 ans (1876). -
Premier
accès en août 1851.-Description des accès. -l1all
s, il y eut plusieurs accès de colère. C'est là qu'il aurait eu ses
premiers
accès ; il en a eu chaque matin pendant trois jou
partie médiane, résultant, selon le malade, d'une chute pendant sa
première
en- fance. DANS l'épilepsie. 43 mâchoire in
ques. Salir morte de méningite. - Cousine germaine : convulsions. -
Premières
convulsions à trois ans et demi; deuxièmes conv
Lef... (Gustave), né le 22 septembre 1852, est entré à Bicêtre une
première
fois le .2 : ; mai 1868, une seconde fois le 29 d
de Bicêtre, où il n'a rien appris; il n'a pas eu d'accès durant ce
premier
séjour. Transféré à Sainl-Lizier, quelques jour
milli- mètres de l'extrémité antérieure de l'hémisphère. (PL. V.)
Première
coupe. Passant par l'extrémité inférieure de la p
n- tale ascendante et se terminant au niveau de l'insertion de la
première
frontale, elle sectionne le pseudo-kyste à 4 cent
vulsions dans l'enfance. - Mère absinthique pendant la grossesse.
Premières
convulsions à trois mois, revenues plusieurs fois
t le chiffre enregistré en 1878(458), ni même celui de 1879 (317)
première
année de la période décroissante signalée plus ha
lument nul. Observation XXII. - Epilepsie. - SOE117' épileptique.
Premières
convulsions à dix- sept mois. - Vertiges à troi
et oncle maternels, cancéreux. - Naissance avant terme (version). -
Premières
convulsions à quatre ans. - Hémiplégie gauche c
erveuses en 4 883. - Grand-père maternel alcoolique, mort aliéné. -
Premières
convulsions à trois ans. - Maux de tête fréquen
tique. - Père mort phthi- sique. - Mère migraineuse et colérique. -
Premières
convulsions à deux ans prédominant à gauche. On
tiges il treize ans. Alcoo- lisme de vingt-quatre à vingt-cinq ans.
Premier
accès à vingt- cinq ans. - Bromure d'or en 1882
que. - Père alcoolique ( ? ). - Fièvre intermittente (trois ans.) -
Premier
accès à sept ans. - Accès d'abord incomplets. -
ci dix-huit mois. - Parésie gauche. - Secousses de la main gauche.
Premier
accès en mai 1880. - Vertiges. - Aura et affaib
ons). - Grossesse : chuté à cinq mois, peur ti sept mois et demi. -
Premières
convulsions à deux mois, suivies d'une paralysi
aujourd'hui, tandis que certains auteurs confondent encore les deux
premières
maladies, tous établissent nettement les différen
rent la roséole de la rougeole, avec laquelle elle parait offrir, à
première
vue, un semblant d'analogie, et décrivent comme u
il, c'est-à-dire huit jours après le début de la roséole chez notre
première
malade, nous sommes de nouveau invité à nous re
us rendre dans la même famille pour visiter la soeur aînée de notre
première
malade. Cette jeune fille âgée de 19 ans était
rale qui a enlevé le malade. -. Sommaire. --Émotion vive à 48 ans :
Premier
accès huit jours plus tard. - Surdité consécuti
oir perdu sa femme et ses enfants. » Notre malade. Il a eu, de sa
première
femme, un fils qui est aujourd'hui âgé d'une tr
igente), interrogée pour la seconde fois en 1882 prétendit que le
premier
accès avait débuté quelque temps avant la guerre,
e temps avant la guerre, c'est-à-dire vers l'âge de 56 à 57 ans. Ce
premier
accès fut suivi de surdité, sans qu'il y ait ja
a moindre affection visible de l'oreille. Pendant les cinq ou six
premières
années, il n'y a eu qu'un accès par an, puis il
malade, a présenté deux particularités très dignes de remarque. En
premier
lieu, elle a débuté à un âge avancé, 48 ans, sa
e paternelle hémi- plégique. - Grossesse : chagrins, traumatisme.
Premiers
signes d'idiotie à deux mois; jamais de con- vu
comme les autres en- fants.» Il n'aurait jamais eu de convulsions.
Première
dent à 8 mois 1/2 (les autres auraient ensuite
tion elle a monté à 39°,6 pour atteindre son maximum vers la fin du
premier
jour de l'éruption 144 HYPERTROPHIE DE la gland
. sur la fréquence de l'un ou de l'autre de ces modes d'union. Au
premier
abord il semblerait qu'elle dût se produire plu
- Frayeurs nocturnes (épilepsie larvée ? ) Céphalalgies. Grimpeur.
Première
admission à l'Asile clini- que. - Accidents hys
mme garçon pharmacien, et s'empoisonna accidentellement, comme la
première
fois d'ailleurs, avec du miel phosphorique; il fu
. Grossesse acci- dentée par des émotions; perte de connaissance.
Premières
convulsions à 2 ans et demi.- Cauchemars. - Fug
entes. Arrestations pour vagabondage. Apprentissages multiples. -
Première
condamnation pour vagabondage etm.araude. Secon
ans, la scarlatine. Très impressionnable, colère, il était, dès ses
premières
années, sujet à des peurs, à des visions la nui
agne-sainte-Geneviève et l'ont dévalisé... » TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1884
litho- graphe, il faut lire les lettres à rebours. Fl , F2, F3 ,
Première
, seconde. et troisième circonvolutions frontale
lon de Rolando. P,, Pli pariétal supérieur. PC, Pli courbe. Ti,
Première
circonvolution temporale ; elle envoie un pli de
PLANCHE II. Face interne de l'hémisphère droit; foyer ancien. FI,
Première
circonvolution frontale. LP, Lobe paracentral.
NCHES. 187 PLANCHE IV. Face interne de l'hémisphère gauche. FI,
Première
circonvolution frontale, coupée par un sillon ver
tale ascendante, le tiers inférieur du sillon de Rolando, etc. F[,
première
circonvolution frontale. - FA, Frontale ascen-
- CS, Coupe de la corne sphé- noidale du ventricule latéral. - FI,
première
circonvolution frontale. - FA, Frontale ascenda
it s'arrête un peu trop en avant). - PA, Pariétale ascen- dante. T,
Première
circonvolution temporale. Fig. 5. LQ, Lobe quad
Félin ALCAN ÉDITEUR 1 108, Boulevard St-Germain, 108. 1899
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1898
898. (Bicêtre et Fondation Vallée.) BOUMNEVILLE, Bicêlre, 1898.
PREMIÈRE
PARTIE - Section I : Bicêtre. Histoire du Ser
I. Enfants idiots gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. - Ce
premier
groupe est subdivisé mais INVALIDES. Ce premier
ais invalides. - Ce premier groupe est subdivisé mais INVALIDES. Ce
premier
groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
ants sont exercés à la gymnastique Pichery, sauf ceux qui, venus du
premier
groupe, c'est-à-dire des invalides étant encore
? COL1 : ). - La population de cette école était de 168 enfants au
premier
janvier. Tous, sauf 21 qui ne peuvent travaille
es. Les 20 enfants signalés l'année dernière comme sachant les deux
premières
figures du quadrille, en connaissent aujourd'hu
tes les figures. Une série nouvelle de Il-) enfants sait les deux
premières
ligures. Société de gymnastique. Les enfants fa
IIAIN (Amandine), surveillantes ; M'ne BEAUMONT, suppléante ; trois
premières
infirmières : Mmes HUGUET, G-ERDER et MARQUET,
geant un lavage quotidien du parquet mal jointoyé, non hourdé, du
premier
étage ; il en résulte des infiltrations d'eau t
Forci sur les jeunes aliénés. On trouve aussi clans ce recueil le
premier
travail paru en Suisse sur les « Classes spéciale
es a toujours été beaucoup plus considérable qu'on ne le croyait au
premier
abord. Il faut compter, dit-il, environ 3 ou 0/
e année de service. 5° Les nominations des maîtres seront faites en
premier
lieu pour un an, après examen, et seront plus t
L'année dernière, au mois de mai, la ville de Bruxelles fonda sa
première
école spéciale. Cet établissement est une école
2° Les arrières médicaux, imbéciles, simples d'esprit, idiots du
premier
degré, etc. Notre école n'est pas une école pou
que, la diversité n'est pas aussi grande qu'on pourrait le penser à
première
vue. Voici les grandes lignes de l'organisation
pas il pas cette pauvre petite créature humaine, au travers de ses
premières
sensations, épier ses premiers jugements sur le
éature humaine, au travers de ses premières sensations, épier ses
premiers
jugements sur les objets qu'elle touche sans le
se, accouchement, rien de notable. Pas d'asphyxie à la naissance. -
Première
dent à 8 mois. Début de la parole et de la marc
rdon, - élevée au biberon (lait de vache), jusqu'au quinzième mois.
Première
! dent iL 8 mois; début de la parole et de la m
s cause connue, elle est devenue plus impressionnable dans les deux
premières
semai- nes de février. Le 17 de ce mois, contra
la naissance enfant mignonne. Allaitement au sein puis au biberon.
Première
dent à 8 mois. - Den- tition complète à 2 ans ¡
, hémiplé- gique. Pas de consanguinité, inégalité d'âge de un an.
Premières
et uniques convulsions à 4 mois. - 1898. Tuber-
la mère, puis nourri au biberon, toujours avec le lait de vache,
Première
dent à 3 mois; à 4 mois il avait 3 dents : c'est
A.), très flexueuse, maigre, sur- tout clans sa partie inférieure :
Première
pariétale (P1.), très large, courte, nombreux s
(P2.), divisée en quatre segments par dos scissures accessoires. -
Première
temporale (T1.),' régulière, se tcr- mine au co
- neux, divisé en deux parties par un sillon médian, - Coin IC,),
première
et deuxième circonvolutions temporo-occipi- tal
émisphère gauche. Lobe occipital, circonvolutions 11'l'égulièl'es, -
Première
circonvo- lution temporale, rectiligne, bien dé
gé de 2 ans qui a eu 7.on 8 fois de fortes conviil- sions durant sa
première
année et qui semblé un peu en ,N'hf'd.. ? ," ?
mois, C.... a marché un an ; a commencé à parler à 20 mois, a eu sa
première
dent vers un an. Il a élé bien portant, intelli
la- rité ses scissures et ses circonvolutions sont normales. - La
première
circonvolution frontale (1), bien développée, est
avé ne semble pas présenter autant de sillons que norma- lement.-La
première
frontale est assez large, bien dévelop- pée. La
I.E, Vieille question pour nous, car elle a été le sujet de notre
premier
travail ou mémoire personnel (1). Nous n'en, fe
quentes (dix a quinze par jour). Hémi- plégie gauche à la suite des
premières
crises. En juin 189't : contractures spasmodiqu
guinité. - Inégalité d'âge de 4 ans. - Frère mort de convulsions.
Première
dent à 6 mois, - Début de la marche -Il 9 mois,
'à deux ans, n'est reprise par ses parents qu'à l'âge de trois ans.
Première
dent à 6 mois ; dentition complète à 2 ans. Déb
leltrc que nous reproduisons, ne rappelle nullement dans ses doux
premiers
tiers, les troubles du langage parlé ; elle écrit
mère, gaie, laborieuse, docile. Ses règles, qui pendant les quinze
premiers
mois, à dater de leur apparition, avaient été r
s ont duré cinq jours et ont été assez abondantes pendant les trois
premiers
jours. Tout indique donc que C... est réellemen
l'habitude nous avons pris la tempéra- turc rectale durant les cinq
premiers
jours. Température à l'entrée. Manie; tempéra
ie, méningite terminale. - .. Conception : graves ennuis du père. -
Premières
con- . vulsions à quatre ans. - Diminution de l
rticulier jusqu'à l'âge de quatre ans. . Vers quatre ou cinq ans,
premières
convulsions, consécu- tivement diminution de l'
uche sans rien dire. La nuit a été bonne. 17. René ne mange rien au
premier
déjeuner ; à midi et le soir, il ne prend qu'un
se soit encore plaint de douleurs dans l'épigaslro. Ne mange pas au
premier
déjeuner; mange très peu il midi. Première douc
pigaslro. Ne mange pas au premier déjeuner; mange très peu il midi.
Première
douche : il faut le déshabiller malgré lui, il
cène que la veille. A bien dor- mi la nuit. 20. - Ne mange pas au
premier
déjeuner, veut écrire à son père il qui il adre
tensité clans la dernière semaine du mois d'août et dans les deux
premières
semaines de septembre, et les der- niers cas se
mère jusqu'à deux mois, par une nourrice sur place jusqu'à un an. -
Première
dent à dix mois ; dentition complète à trente m
berculeuse : . père, mère, frère et deux soeu1'S tuberculeux. ' .
Premières
convulsions limitées à la face. - A 8 mois pre-
mais n'offre ni raideur des membres ni émission d'urines. - (lette
première
crise a duré cinq minutes au plus et, à la 140
mois, au biberon, avec du lait de vache jusqu'à deux ans I ? ? . -
Première
dent il sept mois ; dentition complète il dix h
XI) qui semble être seulement entré au moment où s'est effectuée sa
première
perforation. Ces acci- dents no peuvent être év
sant tout vert. a cessé de crier il 13 mois quand il a été sevré. -
Première
dent il 7 mois, seize à 16 mois ; les vingt il
me temps s'ac- centue la bizarrerie des idées et apparaissent les
premiers
signes A' in stabilité (achats non autorisés, p
., deuxième scissure temporale. L 0, lobe orbitaire. 1 ? F2, Fez,
première
, seconde et troisième circonvolutions frontales
al inférieur. P3, pli courbe. LOC, lobe occipital. Tl, T ? T-3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
cissure perpendiculaire interne. F ca, fissure calcarine. Se toi,
première
scissure temporo-occipilale. Se ton. deuxième s
oro-occipilale. Se ton. deuxième scissure temporo-occ'ipitttle. I
première
circonvolution frontale interne. C C C, circonv
. S S, scissure de Sylyius, S R, sillon de Rolando. Fj, F2, F3'
première
, seconde et troisième circonvolutions frontales
érieur. ' P C, pli courbe-. S P, scissure parallèle. 0., O2 03,
première
,. seconde et troisième circonvolutions occipita
ère,. seconde et troisième circonvolutions occipitales. TI T2 T3,
première
, seconde et troisième circonvolutions temporale
UE (V. p. 97). , Face interne de l'hémisphère cérébral droit. F,,
première
circonvolution frontale. S R, sillon de Rolando
). Face externe ou convexe, de l'hémisphère gauche. I ? 1·'=, F3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
externe. P C, pli courbe. S P, scissure parallèle. 1'r, T2, T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
re, deuxième et troisième circonvolutions temporales. 01, 0 ? 03,
première
, deuxième et troisième circonvolutions occipita
ROGÉPHALIQUE (V. p. 98). Face interne de l'hémisphère gauche. 1""
première
circonvolution frontale externe. L P, lobule pa
Pédoncule. - .' ' C, coin. L G, lobule lingual. .. . Tb T3, T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
HI1). Face externe ou convexe de l'hémisphère droit. 1 ? 1 F2, FI
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
l, lobule de l'insula. Op R, opercule rolandique. .. T ? T2, T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporal
he XI. BOÜRNEVILLE, Bicêtre, 1899. PL. XIII. TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant tannée 1898.
le muscle, le muscle agit sur l'os, l'os est mis en mouvement. (1)
Première
leçon, 18 mai 1855. bouvier. 4 Ainsi, toute a
tion des faits particuliers qui seront à notre disposition. ARTICLE
PREMIER
. DU MAL VERTÉBRAL DE POTT. La colonne vertébr
olonne vertébrale, ce centre d'où rayonne tout le reste du squelette,
premier
objet de vos études anatomiques, fixera d'abord n
fond, semblable à celui des autres régions ; 2° l'affection des deux
premières
vertèbres et de l'occipital ou le spondylarthroca
une des deux classes. Assurément, il n'y a pas à s'y tromper : sur ce
premier
moule, nous voyons une bosse médiane ; sur le sec
his, on n'observe jamais de collection ossi-fluente; c'est le fait du
premier
sujet. Chez le second, atteint du mal de Pott, ex
d'effacer immédiatement l'arc vertébral; impossible alors de dire, au
premier
abord, si l'on a affaire à un rachitisme ou à un
comme celui-ci, l'erreur est possible. Voici une pièce qui semble, au
premier
coup d'œil, se rattacher au mal vertébral. La c
econnaître l'existence de ces abcès. Il y a dans ces collections du
premier
degré, comme dans les autres, une'circonstance qu
ale. Ne croyez pas qu'on ait toujours ce deuxième degré à la suite du
premier
: l'abcès peut se résorber; il peut rester profon
és comme un phénomène général. M. Tavignot, qui les a signalés un des
premiers
, n'avait reconnu leur existence que sur un seul m
ait mécanicien,—adonné de plus à la masturbation. Il n'a été pris des
premiers
symptômes de sa maladie qu'à la fin de l'année de
du mal, puisque nous la voyons survenir naturellement. Ainsi, cette
première
catégorie de cas peut non-seulement rester statio
s sous vos yeux sont relatifs à la catégorie de cas dont je parle. Ce
premier
enfant est depuis deux ans à l'hôpital. Il s'est
il habite un village éloigné, et a été atteint, il y a huit ans, des
premiers
symptômes d'un mal de Pott. On a d'abord fixé une
dire, en effet, qu'il ne faille rien faire chez les malades de cette
première
catégorie? Non, assurément. Sans parler des nouve
s un an, une paralysie des membres supérieurs et inférieurs. Les deux
premières
attaques ont cédé graduellement à l'emploi succes
des moyens qui s'adressent à cette affection elle-même, en parlant du
premier
cas, c'est-à-dire du mal vertébral non compliqué
guérison d'abcès par résorption ; Abernethy en a cité deux. Les trois
premières
guérisons ont été obtenues entre les mains de Lar
d'évacuation. Il faut, dit-il, ouvrir l'abcès par une raison qui, au
premier
abord, semble paradoxale, pour qu'il reste fermé.
tions principales relatives à l'ouverture des abcès par congestion.
Premier
point. — Faut-il ouvrir ces abcès de bonne heure
un dépôt tuberculeux situé à la partie postérieure des corps des deux
premières
vertèbres lombaires; la dure-mère, très-amincie,
xaminer les affections à part; c'est la partie supérieure ou les deux
premières
vertèbres du cou et leurs articulations entre ell
tre elles analogie morbide. La principale différence entre les deux
premières
vertèbres et les suivantes résulte de la disposit
oient décrites ; c'est encore dans cet auteur qu'on rencontre une des
premières
descriptions des symptômes de la synovite sous-oc
r comme bien établie cette fréquence relative. Dans !e mal des deux
premières
vertèbres, on observe, comme dans les autres régi
e centrale du cordon rachidien survenue à la suite de l'affection des
premières
vertèbres. Mécanisme de la guérison. — Après l'
t les cartilages d'encroûtement des facettes correspondantes des deux
premières
vertèbres. L'altération s'étendait à l'atlas, qui
orme névralgique que présente généralement la douleur dans le mal des
premières
vertèbres. Ollivier, en 1826, avait déjà signalé
deur l'ambiguïté du langage, prétend qu'il ne faut pas donner à cette
première
forme de la maladie le nom d'arthrite, mais celui
ains muscles. Le fémur obéit à ce mouvement et déplace le liquide. Ce
premier
pas fait, la luxation se produit rapidement; on l
dans la luxation congénitale? Malheureusement nous l'ignorons. Cette
première
période est infiniment moins claire dans ce derni
. Le premier fait publié est de Palletta (1). Cet auteur est tombé du
premier
coup sur l'espèce la plus rare. Depuis cette époq
Dans l'opinion de Ereschet, un arrêt de développement serait la cause
première
des accidents. Cette supposition ne doit pas nous
ce moment; ses fonctions sont conservées en grande partie. Dans cette
première
forme, la capsule, parfaitement intacte, renferme
est revenu aujourd'hui de cette erreur, que je crois avoir été un des
premiers
à signaler. Voici un premier sujet chez lequel
ont ce qui est relatif au diagnostic de cette lésion. jer caSi — cc
premier
malade est un garçon de onze ans, admis dans une
ît pas, et quand on les connaît, on a encore de la peine à revenir du
premier
jugement qu'on a porté contre elles. » Le strab
bach, mettant à exécution le projet de Stromeyer, eut-il pratiqué ses
premières
opérations en 1839 et 1840, que partout on s'em
érable à tous les autres. L'opération a été divisée en trois temps.
Premier
temps. — A l'aide des ophthalmostats, on ouvre l'
qui s'est soumis à la strabotomie, la pression des paupières dans ce
premier
temps lui a causé la plus forte douleur qn'il ait
d crochet semblable saisit la muqueuse oculaire à quelque distance du
premier
, de manière à former un pli transversal ; il est
signer la courbure des membres , et en particulier le pied bot. (I)
Première
leçon, 23 mai 1856. Pour nous, nous conserveron
ils, le jambier postérieur et le court péronier latéral. Les quatre
premiers
muscles, quand ils agissent seuls, ne produisent
de déviation commençante ; 2° la période de déviation confirmée. I.
Première
période du pied bot. — Elle peut être considérée
comme des déviations arrêtées à leur début ou qui sont restées à leur
première
période. C'est à ce titre que je les décris ici.
es os, les muscles, etc., se sont irrégulièrement développés dès leur
première
formation. Mais, s'il en est ainsi, l'analogie
t le cuboïde, en se portant en dedans, abandonnent en partie les deux
premiers
os, et laissent ainsi à nu leurs extrémités antér
ement du pied est si considérable que son dos repose sur le sol. 1°
Premier
degré, — Les caractères du premier degré sont c
ue son dos repose sur le sol. 1° Premier degré, — Les caractères du
premier
degré sont ceux que nous venons d'assigner au v
iers postérieur et antérieur, qui s'insèrent, l'un au scaphoïde et au
premier
cunéiforme, l'autre à ce dernier os et au premier
au scaphoïde et au premier cunéiforme, l'autre à ce dernier os et au
premier
métatarsien , et qui sont les agents essentiels d
'Achille , faite à celte époque, a transformé ce pied bot en varus du
premier
degré. Le pied forme un angle obtus avec la jambe
ion du talon. Ve cas. — Chez ce garçon, c'est un pied bot double du
premier
degré. Cet enfant a subi deux opérations ; dans u
on a coupé deux tendons. Il reste encore, malgré cela, un pied bot du
premier
degré. VIe cas. — Cette jeune fille, qui est tr
es au dos du pied. Les mouvements ne sont conservés que dans les deux
premiers
orteils, et bien légèrement. On sent encore les m
1° le valgus direct; 2° le valgus talus; 3° le valgus équin. Les deux
premiers
sont presque toujours congénitaux; le troisième e
taux; le troisième est ordinairement accidentel. Je réunirai les deux
premières
variétés dans une seule description, sous le nom
analogue des doigts. Le pied équin direct est plantaire, dans cette
première
disposition des orteils, comme le pied équin simp
11 Ses caractères se composent de ceux du pied équin et du varus au
premier
degré. La base de sustentaiion est beaucoup plus
Pour terminer, nous allons examiner trois enfants atteints, les deux
premiers
, de pieds équins, le dernier de valgus. Ier cas
pied équin. Remarquez comme le talon est élevé; cela fait croire, au
premier
abord, à un grand raccourcissement des muscles du
sensibles. Quant aux orteils, vous voyez une rétraction très-forte du
premier
orteil, qui, néanmoins, cède assez facilement. L'
mun. Ce talus commun nous offre à considérer plusieurs degrés. 1°
Premier
degré. — Dans un premier degré, la pointe du pied
âgé de quatre mois et demi, qui porte à droite un varus congénial du
premier
degré, et à gauche un valgus; vous avez ainsi sou
ans la première année, et même dans la seconde, si le pied bot est au
premier
degré, la résistance est faible; il n'y a pour ai
able , elle réduit les pressions à celles qu'exigerait un pied bot du
premier
degré. Après trois ans, les difficultés croisse
. Il en est une autre pourtant, qu'on a conseillée comme adjuvant des
premières
: c'est l'action de la pesanteur. Dans un petit n
mais à pointe mousse. On manœuvre ainsi avec plus de sécurité. Un des
premiers
, j'ai proposé ce procédé, que plusieurs chirurgie
gne de démarcation entre le tissu nouveau et le tendon. Les fibres du
premier
sont grisâtres ; elles tranchent avec l'aspect na
ce a déjà acquis trop de consistance, ce qu'on reconnaît aisément aux
premiers
essais de traitement mécanique, il faut pratiquer
ison si parfaite. IIe cas. — Marie Pavard porte un varus double, du
premier
degré à droite, bien plus marqué à gauche. A cinq
ats distincts, bien que ceux-ci ne se succèdent pas nécessairement.
Première
période : état atrophiquc, ou résorption intersti
ent dans les deux âges. La souplesse de l'os rachilique, dans cette
première
période, peut encore être accrue par un commencem
plesse naturelle dans l'enfance, suffit-il pour déterminer, dès cette
première
période , des courbures plus ou moins considérabl
uels on a prêté un grand rôle dans l'évolution du rachitisme. Cette
première
période du rachitisme répond à ce degré de la mal
s ai décrit les changements que le tissu osseux éprouve dans les deux
premières
périodes du rachitisme; les membranes qui entoure
eur des membres, d'où la petitesse de la stature. Déjà, dans les deux
premières
périodes , l'accroissement en longueur est ralent
ture que celle des extrémités de la diaphyse des os longs. Dans son
premier
degré, le rachitisme thoracique ne consiste que d
ces extérieures susceptibles de modifier la conformation des os. Au
premier
point de vue, on peut dire, en donnant un peu plu
e lorsqu'on voit les mêmes enfants, atteints de rachitisme dans leurs
premières
années, l'être plus tard de scrofules ou de tuber
des os, est donc un fait moins commun qu'on ne pourrait le croire au
premier
abord. J'ai vu cette tension principalement dans
incurvé, tels que le rond pronateur, à l'avant-bras, le pectine, les
premier
et second adducteurs, à la cuisse, etc. Les mus
ience nous laissent encore dans une grande incertitude sur ces causes
premières
du rachitisme ; aussi les hypothèses n'ont-elles
les bassets à jambes torses, par suite d'une affection rachitique des
premiers
individus de cette variété. Terminons cette séa
ation, résultant de la forme particulière des pièces du rachis. (1)
Première
leçon, 22 mai 1857. Dès le temps d'Hippocrate,
ement la courbure lombaire, en exagérant l'inclinaison en arrière des
premières
vertèbres des lombes. Il est difficile, malgré
ment qui la sépare de la (1) Journal des difformités, a0 2, 1825.
première
pièce du sacrum offre une disposition cunéiforme
lordose symptomatique est ordinairement l'effet du mal vertébral des
premières
vertèbres dorsales. Hippocrate disait déjà que
autre présente la disposition contraire. La cyphose est au niveau des
premières
lombaires, et il y a deux lordoses, l'une au-dess
ues de la scoliose fausse. Ces dernières sont en effet identiques aux
premières
; elles n'en diffèrent qu'en ce qu'elles constitu
une maladie du premier âge, qui ne se prolonge guère au delà des deux
premières
années ; or, la plupart des scolioses ne se forme
coliose. Je réunirai dans une même description anatomique les trois
premières
espèces de courbures latérales de l'épine. A. R
latéralement avec le coccyx, il décrit une courbe opposée à celle des
premières
vertèbres lombaires, et cette inégalité de dévelo
il se rapprocha de Glisson en cherchant dans le rachis même la cause
première
de sa déformation. Il plaça cette cause dans les
s physiologiques conserve le cachet de son origine, au moins dans ses
premières
périodes; son siège, son étendue, sont en rapport
entes. M. Serres (1) dit avoir vu chez Rilta-Christina, morte dans sa
première
année, et sur un autre monstre double du même gen
e n'ai pas à vous présenter d'exemple bien caractérisé de scoliose au
premier
degré. Voici cependant une petite fille de trois
dans certains cas, la même déviation spinale passer en un instant du
premier
degré au deuxième, et revenir aussi promptement a
instant du premier degré au deuxième, et revenir aussi promptement au
premier
degré; c'est-à-dire que les apophyses épineuses d
côté; que les autres courbures n'étaient qu'une conséquence de cette
première
inclinaison (3). On a d'ailleurs quelque peu vari
oliose n'a débuté qu'à l'âge de dix ans, et est encore aujourd'hui au
premier
degré. Sa marche a été lente; ce n'est presque qu
ombaires du côté gauche. C'est un cas bien caractérisé de scoliose du
premier
degré. IIe cas. — Garçon de dix ans; c'est un r
dité lorsqu'on imprime des mouvements au tronc dans les scolioses des
premier
et deuxième degrés, les seules que l'on puisse co
vre pendant des années la marche croissante de la scoliose, depuis sa
première
apparition jusqu'à son degré le plus avancé. Je l
pe de tous les exercices dont il s'agit maintenant. Delpech, l'un des
premiers
, de nos jours, dès 1825, s'est efforcé de donner
e long de deux perches ou des deux côtés d'une échelle horizontale, —
premier
mode de suspension; —• ou le long des barres para
plus complète. De plus, comme nous l'avons fait pour les exercices du
premier
ordre, le dos, mis à nu, nous permettra de vérifi
de la position horizontale; mais, de même que celle des exercices du
premier
ordre, elle lui est bien inférieure au point de v
nsi la courbure des apophyses épineuses , comme dans les attitudes du
premier
ordre d'exercices; je me suis expliqué sur la sig
second système ; on lui a reproché sa mobilité ; on peut reprocher au
premier
son invariabilité. Obligé de me limiter, je ne
un effet comparable à ce que nous avons déjà vu dans les attitudes du
premier
ordre d'exercices et dans les pressions pendant l
onque sur le côté droit, de façon à empêcher le tronc de revenir à sa
première
position. Il y a même quelques inconvénients prop
nence des progrès du mal. Telle déviation est facilement arrêtée à sa
première
période par un léger soutien placé sous les vêtem
moins frappants dans les périodes les moins avancées. Cela semble au
premier
abord assez singulier; mais on comprend qu'une co
e les autres ; ils ne comptaient la durée du traitement que jusqu'aux
premiers
effets obtenus. On devine que ces résultats du
euple. (1) Voy. pl. 20, fig. 3 et 4. FIN. TABLE DES MATIÈRES.
PREMIÈRE
1XXÉE. 1855. Généralités.......................
............... § Ier. — Anatomie pathologique................. ¦
Première
période. Invasion.................. ib. Deuxièm
........... § II. — Diagnostic du mal vertébral............... 17
Première
période...................... 1* Deuxième pério
................ 26 I. Abcès ilio-fémoraux.................... 27
Premier
degré.........«............ 28 Deuxième degré..
............. 154 III. Moyens chirurgicaux................... 155
Premier
temps (de l'opération)............... 157 Deuxi
1 § 1er, — Histoire pathologique des pieds bots. ,........ 173 I.
Première
période du pied bot................ 'b. A. Prem
t......'.............. b. Varus équin..................... 184 1°
Premier
degré.................. 2° Deuxième et troisièm
........... 212 a. Talus direct, talus commun............. ib. 1°
Premier
degré.................. l*« 2° Deuxième et troi
4. FÉLix ALCAN ÉDITEUR 108. Boulevard St-Germain, 108. 1902
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1901
1901 (Bicêtre et Fondation Vallée) BOURNEVILLE, Bicêtre, 1901.
PREMIÈRE
PARTIE SECTION I : Bicêtre, Histoire du Servi
I. Enfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. Ce
premier
groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
vé des enfants ayant déféqué au siège après les repas, durant les 5
premiers
jours de chaque mois. Voici ce relevé qui a por
x. ' vin Traitement MÉDICO-PÉDAGOGIQUE : résultats. qui, venus du
premier
groupe, c'est-à-dire des INVALI- DES, étant enc
ant d'arriver à pouvoir nouer, lacer, bou- tonner et faire les deux
premiers
mouvements à la gymnâs- Fig. 2. - Flacons renfe
oueur, affectueux, commence à envoyer des baisers, à faire les deux
premiers
mouvements à la gymnastique des échelles, tenu
aucune notion classique. Il est resté stationnaire pendant les deux
premières
années qui ont suivi son entrée : ce n'est qu'e
es plantes, les solanées, les tableaux du Louvre, M. Mesnard, notre
premier
instituteur, a montré une série de vues ayant t
appris à faire la division, fait même de petits problèmes sur les 3
premières
opérations et est apte à comprendre et à reteni
écimaux et la division ; il réussit souvent des problèmes sur les 3
premières
opérations. Rem., est doué d'une bonne mémoire.
division par un chiffre. Il fait de petits problèmes sur les trois
premières
opérations. Les progrès en orthographe sont moi
-midi ils s'amusent à danser. Caisse d'épargne. Elle est confiée au
premier
de nos instituteurs, M. MESNAUD. Les recettes o
nommée sous-surveillante sur place; M"10' Grisard, Acard et HUGUET,
premières
infirmières, ont été nommées suppléantes, les d
UET, premières infirmières, ont été nommées suppléantes, les deux
premières
sur place, la dernière à l'hospice de Brévannes
d'après les renseignements que nous avons recueillis. Teigne. - Au
premier
janvier 1901, il restait dans le service 9 teig
Mlle, AGNus (Blanche) et Bohain (Amandine), surveil- lantes ; deux
premières
infirmières, 1111, 1-IuGUET et MARQUET; et 10 i
cou- ramment, son écriture est régulière. Elle connaît les trois
premières
opérations de l'arithmétique sans toutefois en co
défectueuse mais elle peut rédi- ger une lettre ; connait les trois
premières
opérations de l'arithmétique et en comprend l'a
sont immédiatement conduites à l'infirmerie, où Mlle JA- MOULLE,
première
infirmière, attachée spécialement à ce service,
CRor- ZELLE ; d'un sous-surveillant-portier, M. CROIZELLE ; de 3
premières
infirmières, 111 ? S Quatre, JAMOULLE et BARUET
Autant, je pense, demander une installation durable et complète du
premier
coup. Veuillez, je vous prie, honoré confrère B
fréquentes, il faut recommen- cer les démarches déjà faites lors du
premier
placement : certificat de médecin, visa du comm
ortèrent. Le meurtrier fut immédiatement arrêté. « Il résulte des
premiers
renseignements que cet employé était en proie a
l'état bleu), cordon autour du cou, poids, chétif m( bien portant.
Premiers
cris : naturels ou avec stridor ou respiration
es familles. Cause il laquelle les parents attribuent la maladie.
Premiers
signes de l'idiotie, constatés par les parents.
maladie. Premiers signes de l'idiotie, constatés par les parents.
Premiers
signes de l'épilepsie : cauchemars, céphalal- g
x communs sont les suivants : as Tableau de la température des cinq
premiers
jours de l'admission. - Nous faisons prendre, m
nité. Inégalité d'âge de cinq ans (père plus âgé). Notre malade :
première
dent à sept mois. Propre ti dix mois. Premières
é). Notre malade : première dent à sept mois. Propre ti dix mois.
Premières
convulsions à sept mois. Tics convulsifs de l'épa
sa mère jusqu'à dix-sept mois. Prise du sein normale, pas de cris.
Première
dent à sept mois. Dentition complète il dix- hu
mois, a été propre à dix mois. Ni bave, ni succion, ni onanisme.
Premières
convulsions à sept mois, avec la première dent, p
mières convulsions n'ont pas modifié l'intelligence. A la suite des
premières
convulsions, à sept mois, l'enfant, au dire de sa
E CAMPHRE. 7 49.-Il ... dont les vertiges sont très nombreux, a son
premier
accès aujourd'hui, précédé d'une série de verti
3, 4, 9 dans les trois derniers mois au lieu de 300 à 400 dans les
premiers
mois de son séjour, nous lui accordons, sur la de
son 7nrri. - Accouchement un peu long. - Cyanose à la naissance. -
Première
dent à six mois. Dentition complète ri ! ' Débu
des à dxlac a7zs.-Erznuis el et tristesse dans la douzième année. -
Première
crise à treize ans (février 1898). - Ensuite quel
a été nourrie simultanément au sein et au biberon (lait de vache).
Première
dent à six mois.-A quatre mois, on la met- tait
reaux. Deux fois elle est montée sur le barreau de la fenêtre du
premier
étage comme si elle voulait se jeter dans la rue.
. Les membres rigides ont été pris de fortes secousses. Après cette
première
période qui a duré environ une minute, le corps
ien mise en relief par le tableau de la température durant les cinq
premiers
jours de l'ad- mission. Juin. - Les vertiges
ssements. Rien de particulier à l'accouchement et à la naissance. -
Première
dent à six mois. - Début de la parole et de la
jeté des pierres contre un factionnaire : affolement à la sortie. -
Premiers
accidents épileptiques deux semaines après cett
heureux résultat. Il. Réflexions sur la puberté à propos des deux
premières
observations ; Pau 16AYL;IfiEd'I1.3,E. Nous
diarrhée. -Troubles cardiaques : bruit de souffle assez prononcé au
premier
temps, il la base ; l'enfant se plaint du reste
ent le placer dans le même établissement que lui. Nous souvenant du
premier
mensonge, nous nous tenons sur nos gardes; comm
- pochondrie de plusieurs jours. 11 boude même sa grand'mère à sa
première
visite. En même temps s'était produit un embarras
à la psychopathologie pour les mettre à même de relever, dès leurs
premières
manifestations, les symp- tômes qui font presse
de douze ans, elle mâchait sans avaler, rumination ( ? ). - Dès sa
première
enfance, aucun jouet ne l'intéressait, elle pas
ondyle externe. Nous tenons à signaler cette remarque, parce que, à
première
vue, il semblerait en être autrement, et que l'
le en projection, d'autre part en position; et on comprend que la
première
façon de comparaison est défectueuse puisqu'elle
r un os de nouveau-né descend verticalement continuant la direction
première
donnée par l'échancrure placée entre lesdeux tu
antérieure. 88 Stigmates DES mystiques. X... (G.), 18 ans, a son
premier
accès en novembre 1898 et le second en janvier
e, grincement de dents. - Accès de colère, accès de cris la nuit.
Première
dent à 11 mois. Dentition complète à 26 mois. P
d'ennuis d'affaires ; la mère avait sevré deux mois auparavant son
premier
né, étant un peu fati- guée. Grossesse assez bo
'il avait des pointes de cataracte. Le strabisme est consécutif aux
premières
convulsions. G... ne distingue pas les odeurs.
as de griffures, parfois cherchait à mordre les bras de sa bonne.
Première
dent à onze mois ; les autres ont poussé vite ; à
l'école et à l'ardeur qu'apportait l'enfant au travail. A 12 ans
première
attaque de folie : excitation pendant deux jour
laquelle notre malade iL séjourné pendant quelque temps lors de sa
première
atta- que; Le second, 75 ans, bien portant, mar
quatre d'un premier mariage, six d'un second. Des quatre enfants du
premier
lit, l'un est mort athrepsique : a six mois en
98, du jour au lendemain, elle se met à divaguer, elle s'adresse au
premier
venu, dit des « horreurs » à ses saurs ; de plu
oquacité qu'elle avait montrée durant huit jours. L'n mois après ce
premier
accès, à l'époque des règles, absentes encore,
ouvel accès avec exaltation, divagations, turbulence comme aux deux
premières
attaques. C'est alors que la famille se décide
e clinique, elle était bien plus agitée qu'elle ne l'avait été à sa
première
attaque de folie, et qu'à son arrivée il la Fon
IV. La température rectale, prise matin et soir, durant les cinq
premiers
jours de l'entrée, selon l'ha- bitude pour tous
difs du foetus. - Accouchement naturel. ? Ála naissance, 1500 gr.
Première
dent à 7 ou 8 mois ( ? ). Dentition très tardive.
n des règles. Elles ont été suspen- dues pendant la grossesse de sa
première
fille, compliquée d'attaques de nerfs consécuti
la nuit, cessant complètement pendant quelques heures. « Pour ma
première
fille, ce n'était pas la même chose, je les senta
6 mois, quand on lui a donné, en plus du sein, du lait de vache.»
Première
dent à 7 ou 8 mois; elle n'a pas encore toutes
cès de boisson. [Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 10 ans.
Première
dent à 13 mois. Dentition complète à deux ans ?
ôté, et donna le sein jusqu'à la fin du 13e mois. Durant les quinze
premiers
jours, l'enfant cria peu, mais ensuite elle eut
e mois,et qu'on attribua à des coliques. A 15 jours, elle eut ses
premières
convulsions : « ses petits doigts remuaient, se
i les mâchoires étaient serrées. A treize mois, l'enfant perça sa
première
dent; il. deux ans, sa première dentition était
A treize mois, l'enfant perça sa première dent; il. deux ans, sa
première
dentition était complète. Sa deuxième dentition n
ouvent au-dessous de 37". Or, le tableau de la température des cinq
premiers
jours de l'admission nous montre que sa tempéra
de l'hémisphère cérébral gauche. L0, lobe orbitaire. 't, F2, F3,
première
,, seconde et troisième circonvolutions frontale
ch..., p. 151.) Face interne de l'hémisphère cérébral gauche. 1 ?
première
circonvolution frontale. (La lettre F1, placée en
901. Pr.. XVI BoUwrwr.r.e. Bicêtre, 19ü(. Hi TABLE DES MATIERES
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'aunée 1 J0
able DES matières. II. Réflexions sur la puberté àpropos des deux
premières
observations ; par BounNE- VILLE ..............
ve BABÉ et C'P. ÉDITEURS Place de l'École de Médecine. - 1891
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1890
0. (Bicêtre et Fondation Vallée.) BOURNEVILLE, Bicêtre, 1890. *
PREMIÈRE
PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du servi
ce, dédiée aux enfants de Bicetre, que nous avons placée en tête du
premier
volume, indique le but que nous avons poursuivi
de trois infirmiers, garçons de classe, dont un ayant le grade de
premier
infirmier ; b) petite école : de M'I° Bl. Agnus
q mille francs, d'une somme de cinq mille francs en faveur de son
premier
né. « Ma petite cousine Louise Thibault, au- jo
t le 7 décembre 1888. En voici- le texte : ' Le Tribunal civil de
première
instance de la Seine a rendu, en son audience d
88, que les demandeurs critiquent ce congé ; qu'ils prétendent en
premier
lieu que ce congé serait nul, faute d'avoir été s
loi du 10 mai 1838, Le Conseil d'État entendu, Décrète : Article
premier
. Le Ministre de l'intérieur, au nom de l'Etat,
aplanies, à la suite d'un jugement rendu par le Tribu- nal civil de
première
instance de la Seine, et le dé- partement a enf
dernier a obtenu, pour déménager, un délai de six mois, à partir du
premier
janvier 1889, soit jusqu'au 1 cr juillet (ou pl
de fem- mes des asiles de la Seine, en rendant à sa destina- tion
première
le quartier de l'asile de Villejuif où quatre-v
retour, deux pièces séparées par un escalier étroit et incommode.
Premier
élngc (voy. plan n° 3 ci-après). - Nous trou- v
d'une assez grande pièce, séparées par un escalier étroit et, au
premier
étage, de pièces semblables. Ce bâtiment donne
scalier, salle à manger, salon, DESCRIPTION. LXV une chambre ; au
premier
étage, trois chambres assez grandes et deuxpeti
avabo composé d'une auge et des cabinets absolument obscurs ; c) au
premier
étage (voy. plan n° 3, K), un couloir longitudi
), et composé, au rez-de-chaussée de remises, d'écuries, etc., au
premier
, de trois pièces. 2° La seconde partie du domai
nce, de l'installation et de l'entretien du domaine. Les frais de
première
installation (mobilier, lite- rie (1), sommiers
Conseil général soit appelé à apprécier l'extension à donner à sa
première
décision. Je crois donc qu'il importe de bien e
ance publique : surveillantes, sous-surveillantes, suppléan- tes,
premières
infirmières, simples infirmières, et de ne donn
lles. . 4° Pourles. bains : 1 baigneuse. 5° Pour l'infirmerie : 1
première
, infirmière. M. Roux. Nous n'avons pas de suppl
dans le tableau ci-après le mouvement de la popula- tion durant de
premier
exercice, nous fournirons quelques détails sur
aits par les enfants DE Bicêtre. xcix et Givallois (nuit) ; de deux
premières
infirmières, Mille, Lapeyre, pourvue du brevet
irculaires sur le bas-ventre. Soupçon de malformation abdominale.
Première
dentà8mois, poussées lentes. Coup sur le front
ans, né à 7 mois, a eu des convulsions à l'époque de la dentition;
première
dent à 19 mois; n'a marché qu'à 2 ans; ajourné
, son mari lui a demandé pardon de ses soupçons. Pen- dant les deux
premiers
mois, elle était prise chaque soir de trembleme
et envoyé à la campagne, où on le nourrit avec du lait de vache. Sa
première
dent apparut à 8 mois ; la denti- tion s'est fa
ompue à sa par- tie antérieure par un pli de passage entre les deux
premières
frontales. La première frontale s'insère par un
Protubérance et bulbe, sains. Réflexions. I. Nous avons à noter en
premier
lieu des accidents nerveux des deux côtés, mate
ières convulsions survinrent à 6 mois au moment de l'érup- tion des
premières
dents; depais lors, et jusqu'à la deuxième anné
bromure les accès sont beaucoup diminué de fréquence pendant les 3
premiers
mois, puis ils se sont reproduits comme avant (
R... poussait des cris continuels qui constituent souvent un des
premiers
signes de l'idiotie. Les premières convulsions
nvulsions. - Marche et Parole à 4 ans. - Fai- blessedu côté droit. -
Premiers
signes d'idiotie vers 6 mois. Gâtisme. - Bave c
ni de frayeurs, mais la mère aurait commencé à boire pendant cette
première
- grossesse, sans aller jusqu'à l'ivresse. Elle
te. Il a toujours bavé. Il grince parfois des dents. Depuis ' ses
premières
années, il présente un balancement latéral dis-
vexe du crâne de Ber... 52 Réflexions. II. Avant l'apparition des
premiers
symptômes, l'en- fant semblait déjà un peu anor
une sorte de membrane plus ou moins transpa- rent (fig. 4). Lors du
premier
examen de la tête, on avait noté que les fontan
sesse, occasionnée par la Vlte d'un idiot. Asphyxie à la naissance.
Première
dent à 1 an. - Dentition complète à 6 ans. Marc
du canton de Berne). Inégalité d'âge de 2 ans. Le père a eu de sa
première
femme une fille de 15 ans qui a étésujetteà des
Le père et la mère se sont mariés chacun deux fois. Les enfants du
premier
lit de la mère n'ayant pas eu de convulsions, t
er lit de la mère n'ayant pas eu de convulsions, tandis que ceux du
premier
lit du père en ayant eu, on est naturellement e
riétal supérieur au lobule pariétal inférieur, de telle sorte qu'au
premier
abord, il semble exister un dédoublement de la
bien développé, ses circonvolutions sont sinueuses et découpées. Sa
première
circonvolution possède trois plis pariéto-tempo
a saillie de la crête épineuse. Cette dépres- sion comprend les six
premières
dorsales. Examen histologique. 81. · factice
r de la moelle est élargi. Dans la substance blanche on constate du
premier
coup d'oeil la dégénérescence avancée des cordo
éral du même côté. Réflexions. I. Cette observation qui semble au
premier
abord ne comporter d'autres réflexions que cell
t les paroles qu'il lui adresse contrastent singulièrement avec ses
premiers
propos si obscènes. Il fait allusion à son dern
L'Ë 0-LPI LEP SIE. découvert, méat normal, onanisme dans l'enfance,
premiers
rapports sexuels à 16 ans; pas d'excès. Sensi
. - Mère morle aliénée. Accès de colère. Quelques excès de boisson.
Première
attaque en 1881, suivie de bégaiement, d'hémipl
e, le malade prétend cepen- dant que sa mémoire a baissé depuis ses
premières
attaques. Il n'est pas méchant, ni querelleur,
sillon pariétal avec la scissure occipitale externe, la longueur du
premier
sillon temporal. Plus loin, les anomalies non c
conception, mais se prolongeant pendant toute la grossesse et les
premiers
mois de l'allaitement. Cette impression a été D
ence crânienne ; néanmoins le fait d'un microcéphale (t) Voir notre
premier
mémoire, avec planches et figures, sur la microcé
longeant pendant et après la grossesse. Pas de coasatigui- nité.
Premières
convulsions il six mois.- Idiotie complète : ba
ropos de « la folle » ; ses craintes ont ensuite disparu peu à peu.
Premières
convulsions à six mois; elles ont été précédées
« malcndreux ». Bave persistante, devenant parfois très abondante.
Première
dent à un an ( ? ) On ne sait à quel âge il a e
. Les pieds sont peu souples et étendus dans l'axe de la jambe : au
premier
adord il paraît exister un pied-bot, ce qui doi
r I par un gros pli de passage. Un second pli de passage, séparé du
premier
par un sillon à trois branches, réunit ces deux
ur une longueur de 11 millimètres; l'incision com- prend les quatre
premiers
anneaux. La luette est libre de fausse membrane
toutesles lettres, parle assez bien. lia pris le ICI' décembre sa
première
leçon de gymnastique (2). 1880. Janvier. Jan. e
ion : 4 incisives permanentes, canines et petites molaires de lait,
première
molaire permanente aux deux mâchoires. (Voir PL
t paraît peu délicat : Jan. recon- nait le sucre et le sel; mais au
premier
abord il semble préférer la coloquinte; pourtan
ait à quel àgo il a marché et été propre. On croit qu'il n'a ou ses
premières
dents qu'à treize mois. A son arrivée il Paris,
aussitôt que les autres enfants, mais il n'a pas fait de progrès ».
Première
dent à six mois. Rou- geole à trois ans. Pas de
on. Et c'est précisément en raison de cette intervention, dès les
premières
années de la vie, que nous sommes persuadé que
s de balancement. Il rit parfois aux éclats, a des accès de colère.
Première
dent à treize mois : les autres dents ont pouss
treize mois : les autres dents ont poussé en huit mois. A trois ans
premières
convulsions légères : occupant tout le corps et
qui est probablement la troisième circonvolution temporale, et la
première
, existe un espace triangulaire qui est comblé par
tions dont les deux antérieures sont bifurquécs. Face interne.-La
première
circonvolution frontale est net- tement dessiné
illons superficiels. La scissure calloso-7nai'rinale, au niveau des
premières
mas- ses frontales, est tout à fait superficiel
névralgie faciale. Grand'mère, hémiplégie. - Soeurs, con- vulsions.
Premières
convulsions à trois jours, limitées à un côté;
nte, tout le lobule pariétal inft.\- rieur, le pli courbe, les deux
premières
temporales. Cette poche kystique a sa paroi ext
nt s'encastrer la 2e temporale réduite à un coin. " Face interne.
Première
temporale très développée surtout en bas et sép
e; bouffissures au niveau des dernières vertèbres cervicales et des
premières
dorsales supérieures; mains larges et froides,
btenir le résultat qu'on pouvait désirer, comme le montrent les 5
premières
photographies. » Aussi, nous conten- terons-nou
pte rendu de Bicêtre pour 4890. 1 PLANCHE X. TABLE DES MATIERES
PREMIÈRE
PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire DU servi
CLINIQUE ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHIQUE TOME
PREMIER
Avec 89 figures intercalées dans le texte et 50
, par des mouvements convulsifs des bras et des jambes. Après cette
première
crise survinrent des douleurs abdominales avec
einture et entrecoupé par six crises convulsives semblables t 1 : i
première
. Au bout de ce temps le malade put se lever, mais
repose sur le sol par l'intermédiaire de la face dorsale des trois
premiers
orteils. Mais ce pied est tellement inerte que, p
phy- siologique, le pied en équin portantsur le sol par les quatre
premiers
orteils. La marche s'effectue d'ailleurs comme
téristique. Nous ajouterons que cet auteur en a d'ailleurs donné du
premier
coup un tableau qui n'a jamais été dépassé, car
oujours à propos du pronostic, à formuler cette proposition qui, au
premier
abord semblera paradoxale, à savoir que, de la
humain ne s'adresse pas seulement aux artistes; elle est encore de
première
utilité pour les médecins. Il y a déjà longte
La mort elle-même, dès les NOTE SUR L'ANATOMIE MORPHOLOGIQUE. 15
premières
heures, inaugure la dissolution finale, et, par l
no- tions que fournit le cadavre, mais elle anime, elle vivifie ces
premières
connaissances à l'aide desquelles elle reconsti
.. va consulter M. X. qui fait mettre quatre cautères au niveau des
premières
vertèbres lombaires, endroit où existe une légère
les s'opposent au redressement, sans que pour cela le muscle, cause
première
du mal, se soit sclérosé. Le temps n'est plus o
vomissements, des sortes de crises de nerfs. Elle raconte ainsi sa
première
attaque : elle sentait, dit-elle, quelque chose
. ni, 1 à 9) a donné nais- sance à plusieurs oeuvres artistiques de
premier
ordre. Pour ne citer que les plus célèbres nous
Milan, Vallardi, 1885). On le voit, notre maître avait été l'un des
premiers
en France ;t faire connaître la maladie de Frie
e dix ans, pendant le séjour à Buenos-Ayres, qu'on s'est aperçu des
premiers
symptômes de sa maladie. Elle a été prise peu -IL
grossesse et de l'accouchement de la mère, qui furent normaux. Le
première
enfance d'Aub... se passa sans encombres : cepend
ctuel. - Aub... est de taille peu élevée, Im,56. Extérieurement, au
premier
aspect, il semble bien proportionné, il est blond
és déjà pour la plu- part par le médecin allemand lui-même dans son
premier
mémoire. Début de l'affection dans la seconde e
ures hystériques que lors de contractures organiques, alors que les
premières
sont d'ordinaireplusintenses, tiraillen t plus le
produire la forme la plus typique de ces courbes respiratoires. A
première
vue, on est frappé de la forme et de la longueur
matisme direct. Ce processus peut se rencontrer uni à l'un des deux
premiers
, el nous verrons tout à l'heure que cette expli
un point maximum de la douleur dans l'espace compris entre les deux
premiers
orteils; cette douleur est continue et très aig
ente un abaisse- ment notable de la température, Pendant les huit
premiers
jours, le malade eut une fièvre à peu près con-
assez déliés, puis, parvenu au niveau de la partie antérieure du
premier
espace intermétatarsien, se sépare en deux rameau
partie interne du deuxième orteil, l'autre *à la partie externe du
premier
. En cet endroit, ce rameau s'ana- stomose avec
eaux du musculo-cutané, si bien que la peau de la moitié externe du
premier
orteil, de la moitié interne du deuxième et celle
e la moitié interne du deuxième et celle de la partie antérieure du
premier
espace intermétatarsien, est innervée surtout p
ie terminale de ce nerf tibial antérieur, à la partie antérieure du
premier
espace intermétatarsien. On peut se demander po
- lon de l'hippocampe. h. Insertion des pédoncules cérébraux. '- i.
Première
apparition duco.rp, calleux. k. Commissure anté
f- frant une conformation du crâne assez remarquable pour adirer au
premier
coup d'oeil l'attention. En effet, la voûte crâ
fois des convulsions dans le cours de sa pre- mière année. Dans sa
première
enfance, il était sujet à des cauche- mars et à
atteint de tous spasmodique ( ? ). C'est à treize ans qu'il a eu sa
première
attaque d'épilepsie. Depuis, elles se sont reno
emier orteil gauche est déformé, augmenté de volume au voisinage du
premier
métatarsien. La malade meurt le 8 avril 1888, à
ervicale, la contracture hystérique, L'alcoolisme cl ironique. I.
Premier
groupe. - Il s'agissait d'une pachyméningite cerv
ison. Madame Julie-Anlonine B., âgée de quarante-deux ans, a eu ses
premiers
accidents en 1880. A la suite d'une attaque d'h
le coup qu'il a reçu sur le front. Ce dont il s'est aperçu pour la
première
fois, c'est une faiblesse des jambes; cette faibl
ui conduisent à des déformations permanentes, nous pouvons citer au
premier
rang le rachitisme. Or il nous semble précisément
4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. possible, la description
première
de l'acromégalie. Tel est le but de la présente
l se plaignit lorsqu'il fut dans son cabinet. Notre maître ayant du
premier
coup d'oeil reconnu l'existence de l'acromégali
e avec lui, et c'ast avec la glus grande sur- prise qu'assistant au
premier
interrogatoire, nous constatâmes que cet homme
se ren- contrant dans un ensemble. Ainsi, on est tenté de croire, à
première
vue, que le relèvement des orteils n'est que la
Friedreich, si bien que, malgré les 120 cas publiés, je suis un des
premiers
à le signaler. Il est encore plus rare que les do
ment l'arthropathie du second orteil présente l'aspect suivant : la
première
phalange est déviée légèrement en dedans, et dans
sont dans la flexion. Les deuxième et troisième orteils ont leur
première
phalange dans l'ex- tension. Le troisième ort
e. flrtlaropatlcie tibio-pé°onéo-tccrsiemae gauche. Arthropalhie du
premier
orteil. Ce malade a été soigné en 188 dans le s
aient la présence d'un oignon ar- thritique au niveau de la tète du
premier
métatarsien qui était volumineuse. Aujourd'hui,
non. A la .palpation on sent aisément que l'extrémité antérieure du
premier
métatar- sien forme une masse plus volumineuse
lation. Ons VI. - Ataxie locomotrice. Arthropathies du genou et dit
premier
métatarsien. Le nommé T..., charpentier, âgé
bre inférieur. Il y six mois, mal perforant au niveau de la tête du
premier
métatarsien gauche. Quelque temps après, tout
hauteur, tandis que sur le pied droit, la mensuration de la tête du
premier
métatarsien ne donne de haut en bas que 3 centi
douleurs vives dans la jambe droite et déformation consé- cutive du
premier
orteil droit. Il y a six mois, la malade s'aper
. Il n'existe pas une déformation osseuse très marquée au niveau du
premier
métatarsien et de la première phalange; l'os se
ur le deuxième orteil, de telle sorte que l'extrémité antérieure du
premier
orteil est en contact avec le troisième orteil.
mes. La synoviale ne présente pas de vascularisation anor- male. Ce
premier
degré est donc caractérisé par une sorte de fluxi
est représenté par deux fragments irréguliers à surface poreuse.
Premier
métatarsien. Considérablement épaissi à sa partie
nt épaissi à sa partie pos- térieure qui est complètement soudée au
premier
cunéiforme. Le deuxième métatarsien est égaleme
grande prédominance des lésions spinales à la région lombaire. Le
premier
fait avait trait à une arthropathie tabétique des
1874, semblaient corroborer ce que M. Charcot avait trouvé dans sa
première
autopsie (1869). Mais le cas de M. Bourceret (1
s cellules des cornes antérieures. En 1880, M. Charcot abandonna sa
première
thégrie. M. Michel, dans sa thèse, propose troi
ée de Naples. Nous n'avons pas à nous étendre sur les qualités de
premier
ordre de ce morceau de sculputure. Nous nous born
bre de six. Mais une rivière se rencontre sur leur chemin. Les deux
premiers
y culbutent, risquant fort d'entraîner les autr
u expérimenté en fait le diagnostic à distance, dans la rue, ou aux
premiers
pas du malade dans son cabinet. La description,
ure du rachis sié- geant au niveau des douzième vertèbre dorsale et
première
lombaire, et l'immobilisèrent dans une gouttièr
n de la crête épineuse au niveau des dou- zième vertèbre dorsale et
première
vertèbre lombaire. A ce niveau, la crête, un pe
point de vue qualitatif; mais elle est beaucoup plus faible dans la
première
pour tous les modes d'excitation, et quel que soi
e prolonge en bas dans une étendue qui paraît correspondre aux deux
premières
vertèbres lombaires. Sensibilité. -Outre la dou
localisés dans le membre inférieur gauche. Chez lui, comme chez le
premier
malade, épaississement de la peau du côté atrophi
devient rapidement violacé quand le malade est assis. Sous la tête du
premier
métatarsien, siège un durillon qui présente tou
ssée à l'extrémité des orteils, notamment auprès de l'ulcération du
premier
orteil. Quant au pied gauche, il ne présente pa
durillons. Sur la face dorsale du quatrième orteil, sur la pulpe du
premier
orteil, sous la tête du premier métatarsien, ces
u quatrième orteil, sur la pulpe du premier orteil, sous la tête du
premier
métatarsien, ces divers duril- lons, même le de
ons décrire. Ces attaques, nous l'avons vu, se présentèrent pour la
première
fois cinq mois après l'accident primitif. Elles é
iste à partir de la vertèbre proéminente et occupe les sept ou huit
premières
vertèbres dor- sales. La gibbosité ainsi produi
'après les affirmations de la malade, cette diminution de volume du
premier
espace interosseux se soit montrée dès les prem
te, 24 ; main gauche, 27. La malade était droitière; la flexion des
premières
phalanges (interos- seux) se fait bien des deux
sant.. 1 Pas de maladie jusqu'à l'âge de quinze ans. A cette époque
première
attaque de rhumatisme ( ? ). Un an après, la ma
aire, eu égard à la circonfé- 1. Saucerotte, Mélanges de chirurgie.
Première
partie, 1801, p. 407 et suiv. Obser- vation com
vivant, en bonne santé, il est grand et maigre. Apres avoir eu ses
premières
règles à onze ans, elle perdit celle évacuation
rmal ; il ne présente, ainsi que le crâne, aucune déforma- tion ; à
première
vue, il semble atrophié à cause du développement
s faibles, mais l'ouïe et les autres sens sont bien conservés. Au
premier
coup d'oeil, augmentation de la tête, des mains,
- ' ments secs. Au niveau du rachis cyphotique les trois à quatre
premières
vertèbres dor- sales (apophyses épineuses) sont
lication de son trajet ou de ses associations, garde son indépendance
première
. Ce fait est du plus haut intérêt pour la physiol
philosophique et de la physiologie générale. Gall a essayé l'un des
premiers
de la résoudre. Il pensait avoir vu dans la moell
de génie, n'eût approuvé la modification que j'apporte ici à son idée
première
sur le système nerveux. missures, l'une à droit
à l'aide de figures schématiques très-simples. Fig. 1. La figure
première
représente la composition du segment nerveux et s
ommande impérieusement l'importance du sujet que nous traitons ici.
PREMIÈRE
PARTIE anatomie des centres nerveux cérébro-rac
tres nerveux cérébro-rachidiens de l'homme et des primates CHAPITRE
PREMIER
de l'axe nerveux céphalo-rachidien § 1. De la
euse intermédiaire dans toute l'étendue de la région cervicale, qu'au
premier
abord on pourrait nier le sillon, et conclure à l
du bulbe et du noyau de l'encéphale. § 1. Prolégomènes et esquisse
première
. L'axe nerveux, en pénétrant dans le crâne, se
. Face inférieure du noyau. 1° Région du bulbe. Le bulbe semble, au
premier
abord, n'être qu'un renflement de la moelle dans
eut à peine les distinguer; aussi, le plus souvent, n'aperçoit-on, au
premier
abord, que quelques fibres irrégulières qui, d'ai
u'ils sautent aux yeux, si je puis m'exprimer ainsi. Cette exposition
première
sera donc imparfaite à certains égards, mais elle
ion des anatomistes. Ces formations en ceinture ne semblent point, au
premier
abord, appartenir aux systèmes fibreux longitudin
bien remarqué Tiedemann, et qu'on changerait avec raison en celle de
premier
ventricule. En arrière du cervelet, la paroi de
s intermedia. » Cette définition, fort exacte quand on s'en tient aux
premières
apparences, ne peut être aujourd'hui conservée. N
es plus généraux en comparant des abstractions entre elles, semble au
premier
abord moins réelle, quand on envisage le détail d
cule. Dans l'homme le vermis latéral est singulièrement réduit. Son
premier
lobule, désigné sous le nom de lobule accessoire,
e Chimpanzé. Mais il n'y a dans ces singes supérieurs aucune trace du
premier
lobule et à plus forte raison du lobule auriculai
niquement à la réduction de la taille, comme on pourrait le croire au
premier
abord, puisqu'il il y a plus de feuilles dans les
tranchants confondus sur une lame basilaire. Cette forme distingue au
premier
aspect le lobe semilunaire de toutes les autres p
ons de l'encéphale. J'ai le regret de dire que Cuvier, qui a l'un des
premiers
pesé comparativement l'encéphale des animaux, a d
rieure de la scissure de Sylvius, qui est comprise entre la racine du
premier
pli pariétal ascendant et celle du pli courbe, es
de sa forme, sous le nom de lobule quadrilatère. Nous donnerons à ce
premier
pli le nom de pli marginal supérieur. Les dentelu
'est de plus en plus échauffée, et toutefois chacun est resté dans sa
première
opinion, comme cela a lieu d'ordinaire. A priori,
bulbe augmente graduellement d'épaisseur, et ses tranches offrent au
premier
abord un aspect très-différent de celui que prése
ieurs échappent seules à cet arrangement. Cette structure paraît au
premier
abord toute différente de celle de la moelle épin
ventricule médian. Cet aplatissement a lieu en effet, ce qui rend au
premier
abord très-difficile la comparaison des axes de l
du bulbe permet de compléter et de justifier, à certains égards, ces
premières
données. C'est surtout à l'aide de ces coupes que
posent ces plans ont une direction transversale facile à constater au
premier
abord ; plusieurs faisceaux de ces fibres s'entre
ive à le retrouver aisément sous des dissemblances qui paraissent, au
premier
abord, établir une différence totale. Toutefois
st toujours en raison directe de celle du bulbe, ce qui se conçoit au
premier
abord, puisqu'ils naissent sur le prolongement de
ns le cerveau du fœtus dès le cinquième mois. Sa structure la fait au
premier
abord reconnaître (1). 2° Une couche grise d'un
tes. Le second comprendrait des fibres mêlées, mais non continues aux
premières
, et passant directement d'un hémisphère à l'autre
ctus fibreux qui les doublent. Parmi ces tractus, nous distinguons au
premier
abord une bande blanche qui, de la face inférieur
3° Nerfs de sensations spéciales. I. NERFS MOTEURS CRANIENS. «.
Première
paire, paire occipitale. Elle comprend : (a) l'hy
le, et correspond à la seconde série des nerfs moteurs crâniens. Ai
Première
sêtie, ou série normale. Elle comprend les divi
n volontaire et prosbolique. iii. Nerfs de sensation spéciale. a.
Première
paire. Elle comprend le nerf spécial de l'auditio
e. § 3. Réflexions sur les faits exposés. Tous les nerfs des deux
premières
catégories appartiennent à la moelle, au bulbe et
aculté de percevoir les sons semble n'avoir rien perdu de son énergie
première
. Une fille observée par M. Cruveilher, manquait d
ablation interrompt la vision plutôt qu'elle n'en détruit la faculté
première
, et n'a aucun effet sur la faculté auditive. Ains
forcés de voir dans les hémisphères cérébraux eux-mêmes la condition
première
des sensations auditives, aussi bien qu'ils le so
et dans les mammifères les plus élevés elle paraît assez évidente au
premier
abord, et l'on se décidera aisément pour l'affirm
le. En effet, il y a des fibres propres dans les hémisphères, et au
premier
abord la quantité de ces fibres propres pourrait
de la partie claire de Y area germinativa, est le point de départ des
premiers
linéaments du système nerveux. Suivant Baër, cett
n tenir scrupuleusement aux choses essentielles. § 2. Modifications
premières
. Pendant que les premières modifications dont n
e les lobes du cerveau antérieur et se recourbe en sens inverse de sa
première
courbure, c'est-à-dire de bas en haut et d'avant
roisième mois que le système nerveux commence à perdre sa physionomie
première
, par suite de l'accroissement prodigieux du cerve
lle qui, par leur apparence fibreuse et leur blancheur, diffèrent, au
premier
coup d'œil, de la protubérance et des pédoncules
s croissante, ils paraîtront, en généra', d'autant pius semblables au
premier
abord, qu'ils seront plus proches encore de leur
future et ne ressemble absolument qu'à lui-même. Dans cette esquisse
première
qui se complète lentement et qui s'achève d'heure
elle des types ; — c'est beaucoup rabattre sans doute des prétentions
premières
; mais acceptons ces conditions nouvelles. A ne c
caractères généraux qui la distingueront plus tard. Ainsi, les formes
premières
ont un rapport admirable avec les formes futures;
n diffère d'autant plus qu'on se rapproche davantage du moment où ses
premiers
plis apparaissent. Il résulte de ce fait une co
, dès le commencement, en vue de l'état futur. Tout animal a, dès ses
premiers
linéaments, des caractères qui lui sont propres,
lables dans l'un et dans l'autre, l'étendue des couches corticales du
premier
serait à celle des couches corticales du second :
mbranes du système nerveux céphalo-rachidien. (a) Valsalva l'un des
premiers
a parlé de nerfs allant à la durc-rnère. Il les f
ui ont un petit front et un grand occiput se rapportent en général au
premier
cas (2). On lumbus (De re anatomicâ, lib. I, ca
les frères Weber (2). (1) Recherches sur l'encéphale. Paris, 183G.
Première
partie. (2) Elle est égale à 0», 176 suivant ce
t le postérieur. . 0,256 Ces résultats, ainsi qu'on peut le voir au
premier
coup d'œil, diffèrent assez peu de ceux qu'a obte
sont acquises, il y a une question à résoudre : quelle est la source
première
de ces usages bizarres? L'homme, fût-il fou, ne f
du moins, où elle semble avoir pris naissance, et où elle trouva ses
premiers
adeptes. Mais si les caprices de la mode lui proc
apothéose d'un moment, elle fut bientôt dépouillée de cette splendeur
première
et tomba dans le dédain. Toutefois elle a encore
ue des mouvements, de la sensibilité et de l'intelligence. CHAPITRE
PREMIER
. DES NERFS. § 1. Y a-t-il plusieurs espèces d
ait pas encorde laite. » (Propriétés et fonctions du système nerveux.
Première
édition, note de la page 182. Paris, 1824.) (3)
sur-le-champ une réaction opérée. » C'est là le mot propre. Loc. cit.
Première
partie, § 2. Pr. 1. vitio superioribus mutatur,
sont moteurs et les postérieurs sensi-tifs, d'autres attribuaient aux
premiers
les mouvements de flexion et aux seconds les mouv
rieurs exclusivement sensitifs. Ce fait est nettement établi dans son
premier
mémoire. Ce n'est pas tout. Il pratique l'hémis
sensitifs et la substantia gelatinosa. 11 fonde son opinion, quant au
premier
fait, sur les mouvements musculaires, dont les co
élevé de nouvelles théories. Parmi ces travaux on doit distinguer, au
premier
rang, ceux de M. Schiff (de Francfort), et de M.
immédiat des mouvements respiratoires, mais qu'elle intervient comme
premier
mobile et comme principe régulateur de ces mouvem
a cause immédiate de ces mouvements est dans la moelle, mais la cause
première
, le principe qui détermine la moelle à les produi
pas inutile de proposer les hypothèses qui découlent des observations
premières
, et qui ouvrent en toutes choses les portes de l'
de Paris, 5 janvier 1856. Ces observations pourraient paraître, au
premier
abord, aussi favorables à l'hypothèse de Gall qu'
gène dans toutes ses parties. M. Flourens a démontré que les facultés
premières
de l'intelligence s'éteignent toutes à la fois à
Il se fondait sur ce que des animaux (t) Recherches expérimentales.
Première
édition, p. 43-44. (2) Cuvier, Ann. du muséum d
ation du cerveau. TROISIÈME PARTIE. DE L'INTELLIGENCE. CHAPITRE
PREMIER
. DE L'AME. § 1. Opinions des philosophes sur
rps vivant. Telle est l'opinion d'Aristote. Cest, dit-il, Ventéléchie
première
d'un corps organique, qui a la vie en puissance.
est fort ancienne (2). Ainsi, le sang est pour ainsi dire la matière
première
de l'âme, du moins par ses parties les plus délié
image. Cette image peut persister longtemps après que les impressions
premières
se sont dissipées. Cette faculté que l'âme a de c
ive qu'elle pourra se changer en douleur. Pourquoi ces différences au
premier
abord inexplicables? Comment se fait-il que ce qu
urrait-on arriver par là à la con- (1) Rohault. Traité de physique.
Première
partie, chap, xxxi, art. 20. ception d'une visi
un objet, n'est-ce pas le chercher hors de soi? » Trailé des animaux.
Première
partie, ch, vi. sont inhérentes à la constituti
se général, ou de bien-être et de joie. Ces sentiments, dont la cause
première
n'est point aperçue, remuent cependant le système
et des causes ; elle retrouve, par une sorte de calcul, les termes au
premier
abord oubliés d'une série dont elle a repris le f
fait, une fois admis, rend raison d'un grand nombre de phénomènes au
premier
abord inexplicables. Qui n'a, par exemple, été so
et de l'honneur, le marquis de L*** avait perdu jusqu'au souvenir des
premiers
éléments d'une éducation classique que dès son dé
mitif, à sa virginité, si je puis ainsi dire, ou bien de l'impression
première
il est résulté une modification persistante. Dans
in qu'il reste dans la cellule nerveuse quelque chose de l'impression
première
; et delà modification qu'a amenée cette impressio
t au repos. Rien ne démontre mieux la légitimité de cette distinction
première
de la sensation et de l'imagination. Mais, tout
t de pensée possible. L'art spowtané d'imaginer est donc la condition
première
de l'art de penser. Cet art met en usage un procé
et la réminiscence, que la mémoire rattache un souvenir à son origine
première
, et coordonne le présent avec le passé, tandis qu
SOMMEIL. § 1. Définition du sommeil. Le sommeil est la condition
première
de la vie animale. Le fœtus dort dans le sein de
fidélité et que l'habitude d'un certain mouvement donne la direction
première
, on concevra comment les mouvements pourront se d
sement plutôt qu'anéantissement. Je me souviens qu'ayant été, dans ma
première
jeunesse, fort tourmenté de douleurs néphrétiques
, en sorte que la secousse me réveilla. Or imagine-t-on quelle fut ma
première
pensée? Ce fut une pensée de colère contre ceux q
es bien loin de leur sujet, et perdent à la fin la trace de leur idée
première
. La même chose arrive habituellement dans un salo
yons quels sont les arguments pour ou contre. Démocrite a, l'un des
premiers
, attribué cette divination à des causes naturelle
vingt ans, d'une con^itulion scrofuleuse, se réveilla dans l'une des
premières
nuits de sa grossesse avec un cri terrible et tou
liquer. « La nuict propre venant au jour « du Tournoy, dit-il, en mon
premier
sommeil, je songeay « que je voyois le Boy, assis
moins ceux qui savent combien l'esprit est en général esclave de son
premier
point de vue. De ce côté le problème est inattaqu
t les yeux, soit enfin qu'on ait perdu la vue. Nous donnerons à cette
première
catégorie d'hallucinations, le nom à?hallucinatio
mmes qu'on a cru doués de cette faculté merveilleuse, on doit citeren
première
ligne le célèbre Angelo Cattho, archevêque de Vie
re maître, Etienne Pariset, me racontait qu'ayant été affecté dans sa
première
jeunesse d'un typhus épidémique, il demeura plusi
ns de cette sorte que la fameuse doctrine de la palingénésie a eu ses
premiers
fondements. Un autre moyen de procurer l'extase
ander peut-être si certaines hallucinations n'auraient pas pour cause
première
des modifications spontanément éveillées dans les
tache à la terre; aussi, dit-il, est-ce dans les temps de l'innocence
première
que ces rêves sont le plus fréquents. Nous n'insi
des inspirations involontaires : ajoutez à cela la forme mystique des
premiers
désirs du cœur, et la fréquence de ces rêves sing
s précipitations. Or, de même que le ravissement reconnaît pour cause
première
une longue inspiration, les précipitations des so
able et partit. Glenadel fut un bon soldat. Pendant la durée de son
premier
engagement, il ne subit aucune punition. Cependan
nadel est un honnête homme ; il avait victorieusement lutté contre sa
première
impulsion, il se prépare à résister à la seconde,
, je reverrai mon pays! Et depuis le temps de son enfance, ce fut son
premier
bonheur. Le malheureux revient donc à son villa
ple, que cette inquiétude n'ayant aucun motif extérieur, s'adresse au
premier
objet venu parmi ceux dont l'idée est la plus fam
, et se précipitait en un tourbillon d'une inconcevable énergie. Au
premier
abord, on crut à l'existence d'un fluide, et l'on
fforts beaucoup plus énergiques ? Cette question est embarrassante au
premier
abord, mais il ne faut point désespérer de la rés
uels il serait inutile d'insister, donnent la clef de la puissance au
premier
abord inexplicable de certains procédés du magnét
n médecin, J. Delord, consulté sur cette affaire par M. de Montrabbe,
premier
président du parlement de Toulouse, fit de ce jug
'état « actuel de manière à y produire de nouvelles sensations ? Le «
premier
soin des expérimentateurs, ajoutent-ils, a dû êtr
ait plus comique que sa colère de (1) Ann. des sciences naturelles,
première
série, t. XXII, p. 399. (2) In principiis philo
qui attend qu'on lui ouvre une porte en donne aisément la preuve. Ses
premiers
cris sont un simple avertissement; ils sont brefs
en délivrant l'intelligence de l'esclavage des sens, est la condition
première
de toutes les idées morales. L'idée de nombre ell
nt avec elle. Les faits dont je viens de parler peuvent être mis au
premier
rang parmi ceux à l'aide desquels on peut expliqu
l'économie cérébrale. Ainsi s'explique probablement le phénomène, au
premier
abord inexplicable, des mémoires partielles. Tel
................ vu Introduction............................... i
PREMIÈRE
PARTIE. AN ATOM IE DES CENTRES NERVEUX CÉRÉBRO-
RES NERVEUX CÉRÉBRO-RACHIDIENS DE L'HOMME ET DES PRIMATES. CHAPITRE
PREMIER
. —»e l'axe nerveux céphalo-rachidien. 19 § 1. D
be et du noyau de l'encéphale. ... 41 § 1. Prolégomènes et esquisse
première
............. ib. § 2. Description du noyau céré
§ 1. Prolégomènes........................ ib. g 2. Modifications
premières
................... 226 § 3. Perfectionnement su
PARTIE. HISTOIRE EXPÉRIMENTALE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL CHAPITRE
PREMIER
. — Des nerfs................. 329 § 1. Y a-t-il
és............. 365 TROISIÈME PARTIE. DE L'INTELLIGENCE. CHAPITRE
PREMIER
. - »e l'âme............. ... 381 § 1. Opinions
. FÉLIX ALCAN z ÉDITEUR 108, Boulevard St-Germain, 108. 1901
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du Service pendant l'année 1900
1900 (Bicêtre et Fondation Vallée). Bourneville, Bicêtre, 1900.
PREMIÈRE
PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du Servi
. Enfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais INVALIDES. - Ce
premier
groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
vé des enfants ayant déféqué au siège après les repas, durant les 5
premiers
jours des mois d'octobre, novembre et décembre.
me il sa famille et sans le concours de personne. Il fait les trois
premières
opé- rations en arithmétique : a quelques notio
ande Ecole). - La population de cette école était de 171 enfants au
premier
janvier. Tous, sauf 17 qui ne peuvent travaille
ses détails l'école Estienne. Caisse d'épargne. Elle est confiée au
premier
(II Nous profitons de l'occasion pour remercier
de suppléant. M. Petit, infirmier diplômé, a été promu au grade de
premier
infirmier. - Citons aussi la création d'un empl
dangereuses avec le plus grand dévouement. Elle n'est toujours que
première
infir- mière. Nous estimons, comme nous le disi
disions l'an dernier, qu'il y aurait mieux a faire. Teigne. - Au
premier
janvier 1900, il restait dans le service 9 teig
IN (Amandine), surveil- lantes ; 11 ? BEAOEIONT, suppléante ; trois
premières
infirmières, Miles Muguet, Marquet et M"10 Chér
e M"10 MALEXÇON, suppléante (bâtiment des gâteux); de M"10 Grisard,
première
infirmière (pavillon d'isolement), de 11 ? Deri
commence à faire des petits devoirs de grammaire, connaît les deux
premières
opérations de l'arithmétique, elle lit lentemen
fait des devoirs variés de grammaire, géographie, connaît les trois
premières
opérations de l'arithmétique, Le caractère s'es
uelques devoirs de grammaire, lit par syllabes .et.connaît les deux
premières
opérations de l'arithmétique. 5° Delom... (Andr
son écriture est très lisible et bien formée; elle connaît les deux
premières
opérations de l'arithmétique. Elle s'exprime tr
elle suit une dictée du cours élémen- taire. Elle connaît les trois
premières
opérations de l'arith- métique ; lit couramment
ment. Améliorations diverses. Promotions. Mye BARUET a été nommée
première
infirmière et M. Lagrillère premier infirmier.
ons. Mye BARUET a été nommée première infirmière et M. Lagrillère
premier
infirmier. Aménagement du sous-sol du pavillon
étigo, 20 pour maux d'yeux. Nous devons féliciter M"° J. JAMOUILLE,
première
infirmière, attachée spécialement à l'infirmeri
omme devoir : 1° D'examiner l'enfant qui demande à entrer pour la
première
fois à l'école; les parents auront le droit d'ass
remières semaines d'après la nature des sujets. A la fin des quatre
premières
semaines scolaires, dans une réunion tenue par
omme cela se pratique dans les jardins d'enfants. Dans les quatre
premières
semaines, les enfants n'ont à fournir ni livre,
position du Secrétaire général de la préfecture, Arrête : Article
premier
. Les secours de 1 fr. 50 à 2 fr. il. allouer pa
rri ensuite au lait de vache. A bien pris le sein ; non criard.
Première
dent à un an. Dentition complète à ? N'a jama
bi- beron (lait de vache). Prise régulière du sein; non criard.
Première
dent vers un an. Dentition complète à ? N'a j
olume de la langue. - Masses lipomateuses. Phy- sionomie hébétée.
Premières
dents à 2 ans ; dentition complète à 9 ans. 21
dents, les mêmes accès de colère, les mêmes insomnies que lors des
premières
dents. » Et même vers 7 ans, à l'occasion de l'
édemment obtenue. IX. Voici le résumé des traitements institués :
Premier
traitement. Du 11 février au 12 août 1898 avec
nvulsions à trois mois ; à 4 ans mordu par un chien et, à la suite,
premier
accès d'épilepsie. (1) Compte-rendu de Bicétre
ce qui concerne le corps étranger de l'oeso- phare, nous notons, en
première
ligne, l'absence presque complète de troubles f
1.800 gr. ; nourri au sein par sa mère, il a été sevré il 18 mois.
Première
dent à 8 mois, n'a jamais parlé, marche a 26 mo
CESOPIIAGE, A l'ouverture de ce conduit, on trouve au niveau des 5
premiers
anneaux de la trachée, une esquille osseuse cou
n de particulier. Grossesse : albuminu- rie. Accouchement normal. -
Première
dent à 6 mois. Marche à 13 mois. - Parole à ? C
e suite et n'a pas ou d'accès de cris. Il a été sevré iL 18 mois. -
Première
dent h li mois. Le début de la marche a eu lieu
pas encore nouer. En gymnastique, il commence à bien faire les deux
premiers
mouvements (assis, debout, en avant, en arrière
t à fait familiarisé avec ses camarades. Il exécute bien les quatre
premiers
mouve- ments de la gymnastique des échelles. Re
es ennuis multiples. - Somnolence dès la naissance. A quinze jours,
premières
convulsions, prédomi- nant à droite. - A partir
t et constipé» (il en a toujours été ainsi), pas d'accès de cris.
Premières
convulsions à quinze jours pendant une heure, les
; par le Dr Oüca1'aais. ' Les lésions de ce cerveau qui présente, à
première
vue, l'aspect d'un ramollissement kystique, don
à protoplasma abondant) ; certaines de ces cellules pourraient, il
première
vue, être prises pour des cellules pyramidales
'alcoolisme. Nara... {Compte-rendu de Bicêtre de 1896, p. 207.) A
première
vue, les circonvolutions ont une épaisseur nor-
répu- tées insalubres, avec raison, exercées par les parents. Au
premier
rang se placent celles dans lesquelles on manie
Accouchement à 8 mois et demi.- Pas d'as- phyxie à la naissance. -
Première
dent à 2 ans. Jamais de convulsions. Parole et
ve d'avortement, était faible et anémique, a vomi un peu les quinze
premiers
jours, pas d'oedèmc. A 4 mois 1/2 : les mouveme
longeant pendant et après la grossesse. Pas de consan- guinilé. -
Premières
convulsions à six mois. - Idiotie complète : ba
ns à la naissance. Sommeil artificiel prolongé pendant un mois. -
Premier
o't à un mois. - Alimentation extrême- ment réd
ère puis au biberon (4 mois). Impossibilité de prendre le sein. -
Première
dent à 9 mois. - Marche, attention, préhension
d'heure . Accouchement à terme. A la naissance tête toute petite.
Première
dent à 4 mois. Dentition complète à an ? Parole
e, accouchement, rien de particulier. Tête petite à la naissance. -
Première
dent à 5 mois. Dentition complète à 22 mois. =
cès de boisson du mari. Accouchement 15 jours avant terme, naturel.
Première
dent à un ans Marche à 14 mois. Début de la par
7 ans. Conception, grossesse, accouchement, rien de particulier.
Première
dent à 6 mois. Parole nulle. Impossibi- lité de
ssance 900 grammes. - Diarrhée verte il un mois et un mois et demi.
Première
dent à un an. Den- tition complète vers 2 ans.
t, qu'un état d'idiotie s'accompagne d'un crâne paraissant normal à
première
vue, sur lequel un frontal large (ce qu'indique
ra-t-on découvrir quelques signes qui détruisent cette impression
première
, que ce front recouvre un cerveau volumineux ? 2
e à celle des idiots non épileptiques ; aussi le poids du crâne des
premiers
ne ressemble en rien à celui des seconds : épai
nvexe de l'hémisphère gauche. (Obs. de Lecl.. p. 18.) 1 ? F2, F3,
première
, deuxième, troisième circonvolutions frontales.
Sc.S., scissure de Sylvius. L.o., Lobe orbitaire. TI, '1'2, 'P,
première
, deuxième, troisième circonvolutions frontales.
volution du corps calleux. Sc. cm, scissure calloso-marginale. r,
première
circonvolution frontale. Tout, Top, première et
alloso-marginale. r, première circonvolution frontale. Tout, Top,
première
et deuxième circonvolution temporo- occipitales
émisphère droit. (Page 108). L. P. , lobule para-central. F . ,
première
circonvolution frontale. C. , coin. L. Q. , l
che IX. Bourneville, Bicêtre, 1900. Pi.. XI. TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1900
proéminence de la 1 re dorsale et une sensibilité à la pression des
premières
vertèbres lombaires, permettant le diagnostic d
xion et extension de la tête douloureuses ainsi que la pression des
premières
vertèbres dorsales, mais l'absence de gibbosité r
ment de la région lombaire (ce cas marque la transition entre notre
premier
et notre second groupe). 2° Après une pleurésie
alrnoni, Iollarits, le pr Lépine, MM. Teis- sier et Roque dans leur
premier
travail, etc.. Les auteurs italiens ont en géné
avec intégrité relative des ligaments jaunes, à la lordose des deux
premières
cervicales l'ossification de la partie toute anté
des disques avec intégrité du ligament atloïdo-axoïdien postérieur,
premier
des ligaments jaunes (V. fig. 1, 2, 3 et 4). Ce
physes épineuses et les ligaments jaunes des 6° et 7° cervicales et
première
dorsale ne forment plus qu'une lame osseuse uniqu
mmun antérieur avec intégrité des disques montrent main- tenant : \
première
vue ou'il il .s'.^.mit d'un nrnrpqqilq tnl1t (11(
ligaments jaunes paraissent beaucoup moins atteints que dans notre
première
autopsie, mais, comme nous n'avons pas voulu enco
x paraissent très poreuses et sans doute très vasculaires. Les neuf
premières
articulations costo-transversaires à gauche, les
neuf premières articulations costo-transversaires à gauche, les dix
premières
à droite sont ankylosées par ossification de leur
peu près les mêmes que celles que nous avions observées dans notre
première
autopsie : ligaments surépi- neux, partie antér
s et bour- relets. Nous en avons pour preuve l'histoire de l'un des
premiers
mala- 48 PIERRE MARIE ET A. LÉRI des présenté
e travail en étudiant un cas clinique dans lequel elle s'im- pose à
première
vue : j'exposerai sa symptomatologie, je chercher
e vingtaine de jours après il faisait un nouvel accès, différent du
premier
. Spontanément, sans l'intervention d'au- cune c
ait défaut. La circulation du sang offre tout simplement la matière
première
, mais ne suffit pas, je le répète encore, pour
uel les muscles de la peau jouent probablement aussi un rôle est en
premier
lieu l'expression d'une irritabilité singulière d
s des acromégales, il en res- sort, que souvent déjà, dans la toute
première
jeunesse on a remarqué les di- mensions relativ
même observé une augmentation de volume de la glande thyroïde comme
premier
symptôme de la maladie, de sorte qu'on pourrait
t sur le fémur. Aux pieds, le pied droit est valgus talus, les deux
premiers
orteils sont subluxés sur le mé- tatarse, le pi
mine entièrement dans le lobe tem- poral, surtout dans l'écorce des
première
et deuxième circonvolutions tempo- rales. La pa
ent dans la deuxième temporale, un plus grand nombre encore dans la
première
temporale. Un petit nombre de fibres entrent da
e part que ce faisceau renferme de fibres d'association. Dans ses
premières
études (a, b et c) il dit que la couche sagittale
ilieu desquels se trouvent Philippe, Jacob et Mathieu dont les deux
premiers
regardent avec des lunettes une carte écrite ; le
ure. Cette scoliose est à convexité droite ; elle intéresse les dix
premières
dorsales et le sommet de la courbe se trouve au
eule brièveté des muscles, comme dans l'une des observations de mon
premier
mémoire sur ce sujet. De tels caractères suffis
oeur, 19 ans, chlorotique. 2° Soeur, 28 ans, a eu au. moment de ses
premières
règles, à 13 ans, des crises nerveuses qui ont
ussé, car la malade n'a jamais eu à le couper. Le pouce et les deux
premiers
doigts s'allongent normalement, mais les doigts 3
ensoriels et nous n'avons trouvé rien d'anormal, sauf comme chez le
premier
que l'odeur d'asa-fsetida n'était pas sentie. L
eau des avant-bras plus accentués que sur les bras. z Ainsi qu'au
premier
examen nous ne constatons pas de trouble de sens
lfort en raison de la maladie incurable dont elle était frappée. Au
premier
coup d'oeil l'attention est attirée par une tumeu
t de construction rudimentaire, grossières, un peu trop hautes ; la
première
idée donc qui vient à l'esprit est celle de la Pa
sceau optique central. 182 LASALLU-ARCT1A111BAULT mière limbique,
première
frontale, frontale et pariétale ascendantes, les
cendante, la totalité de la pariétale ascendante, de l'insula et la
première
circonvolution temporale. La capsule externe et l
, paralysie du moteur oculaire externe gauche. 1 Ramollissement des
première
et deuxième circonvolutions occipitales, de la
jeure partie de la deuxième temporale. Les autres circonvolutions :
première
et deuxième limbiques, lobules paracentral et f
interne. Cette grosse dégénérescence est d'ordre bien compliqué. En
premier
lieu, elle renferme les fibres provenant de la
sont respectées : lobule paracentral, circon- volutions lombiques,
première
et deuxième temporales. La couche sagittale ext
externe. Hémisphère droit. - Ramollissement du tiers antérieur des
première
et deuxième circonvolutions temporales. *- No
toire exact de chacun de ces deux ordres de fibres. Les lésions des
première
et deuxième circonvolutions temporales d'une pa
nterne représentent les radiations de ce noyau et proviennent de la
première
circonvolution temporale. La coupe la plus anté
ations thalamiques des parties postérieures du lobe pariétal et des
première
et deuxième circonvolutions temporales s'irradien
ns trois de nos cas,, la lésion atteint la moitié postérieure de la
première
circonvolution temporale, mais on ne relève rien
pédoncule d'un cas de ramollissement des deux tiers antérieurs des
première
et deuxième circonvolutions temporales, et, pou
s fibres de projection corticipètes,mais surtout cortici- fuges des
première
et deuxième circonvolutions temporales, et en plu
parle Dejerine, fibres qui s'infléchissent en dedans au niveau des
première
et deuxième circonvolutions temporales et qui s
four ventriculaire, les ra- diations thalamiques et genouillées des
première
et deuxième circonvolutions temporales ne passe
syndromes ainsi que nous avons essayé de le démon- trer dans notre
premier
travail (1). C'est après avoir étudié dans le s
nuée ; elle le serait moins, d'après M. Froelich, qu'au moment de sa
première
radiographie mentionnée plus haut. Voici l'ét
alisées exacte- ment dans le domaine des racines sectionnées. Cette
première
constatation sem- blait nous orienter vers la p
'a jamais été découvert. Chez le chat I, nous avons coupé les trois
premières
racines tho- raciques ; chez les chats V et VI,
aux (à l'exception de deux chiens), ont guéri sans suppuration, par
première
intention. Le chien de l'observation VIII a suc
en même temps, nous communiquions à la Société de biologie (5) nos
premières
constatations, et simultanément paraissait la thè
fibres, au contraire, donnent l'impression de n'être encore qu'aux
premiers
stades du processus. Du côté non opéré il n'y a
atations de Koster de celles fournies par l'autop- sie de nos trois
premiers
animaux, nous voyons que l'accord est facile à ét
e 97 jours. Chez ces deux animaux, la section avait porté sur les 2
premières
racines postérieures sacrées. Parmi les filets
taient normaux. Chez le chien VIII, 15 jours après la section des 2
premières
sacrées, sur 5 préparations des nerfs de la pla
(observ. 1, chat adulte, sacrifié 247 jours après la section des 3
premières
racines dorsales postérieures- gauches dans leur
rations fiues décrites par Kleist, ces altérations n'existant qu'au
premier
mois, alors que nos autop- sies les plus précoc
même temps l'état des fibres à myéline, et de permettre de faire il
première
vue la distinction de l'espace occupé par les f
mble du système nerveux. Cette action toxique se ma- nifesterait en
première
ligne sur le proto-neurone sensitif et sur les pr
thique. Observations. Observation I. Chat adulte. - Section des 3
premières
racines thoraciques postérieures gauches. - Sur
n enlève à la pince coupante les lames vertébrales à la hauteur des
premières
vertèbres tho- raciques. Section ext1'adurale d
s premières vertèbres tho- raciques. Section ext1'adurale des trois
premières
racines thoraciques posté- rieures gauches à la
isparaît complètement au bout de quelques jours ; cicatrisation par
première
intention. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES PO
romato- lyse partielle. Des ganglions gauches (côté opéré) les deux
premiers
ont été exa- minés également au Nissl : légères
acrées, avec résection sur 3 à 4 millimètres de long. Réunion par
première
intention, pas de paralysie ni d'incoordination.
gauches, correspondant aux 2. et 3' nerfs sacrés. ' Guérison par
première
intention, sans paralysie. Santé parfaite jusqu'a
montré plus tard l'au- topsie, à la dernière lombaire et aux trois
premières
racines sacrées. Réunion par première intention
rnière lombaire et aux trois premières racines sacrées. Réunion par
première
intention sans suppuration. Aucune paralysie cons
intactes. Nous prélevons aussi le 5e ganglion lombaire et les trois
premiers
gan- glions sacrés des deux côtés. Enfin, son
fibres myélinisées n'ont été constatées que sur les coupes des deux
premiers
ganglions sacrés du côté gauche. Il a été impos
survie de 10 jours. Observation VII. Chat adulte. Section des deux
premières
racines sa- crées postérieures gauches. Survie
er les dissociations. Observation VIII. Chien adulte. Section des 4
premières
racines sacrées postérieures gauches. SU1'vie 1
ntra-duremérienne de 4 filets radiculaires, qui correspondent aux 2
premières
racines sacrées postérieures gauches. L'animal
ine postérieure sacrée). Observation IX. Chat adulte. Section des 2
premières
racines sacrées postérieures gauches. - Survie
spondaient, comme le montra l'au- 334 ROUX ET HEITZ topsie, aux 2
premières
racines sacrées. Réunion sans suppuration, parési
a pince des lames des deux dernières ver- tèbres lombaires des deux
premières
sacrées. Résection sur une longueur de 3 à 4 mi
ieurs du côté droit dans leur trajet intra-dure-mérien. Réunion par
première
intention. Pas de paralysie consécutive. L'an
mais d'une sclérose disséminée secondaire nettement distincte de la
première
. Entre les deux processus existeraient les différ
Au point de vue histologique il différait de la structure des deux
premiers
par l'épaississement des méninges et des 342 GI
inée syphilitique à foyers un peu particuliers. En effet si dans le
premier
cas on a des lésions vasculaires plus ou moins ac
ute la région du dos. Ces douleurs sur- venaient surtout la nuit.La
première
fois qu'elles survinrent il futincapablepen- da
es rencontre dans le tableau de la sclérose en plaques vraie. Notre
premier
cas est particu- lièrement démonstratif à ce su
Joseph INGEGNIEROS Professeur à l'Université de Buenos-Aires. 1. -
Premières
observations de Charcot. On avait déjà nettemen
ucune forme. Le malade était un paralytique général progressif à sa
première
période. Charcot, après avoir exposé le cas, an
s amusies sans aucune perturbation du langage verbal ordinaire. Les
premières
sont les amusies combinées que nous venons d'anal
méthodiques. Nos observations d'amusies pures hystériques sont les
premières
ayant été l'objet d'une sérieuse étude clinique (
x monographies de Sante de Sanctis méritent une mention spéciale.La
première
monographie de De Sanctis se rapporte aux impul
ion systématique de l'émotion musicale avec des idées érotiques. La
première
fois l'association est occasionnelle ; ensuite le
ne ponction lombaire est pratiquée le matin : on laisse couler les.
premières
gouttes. Le liquide est incolore, [mais, par ce
USSEL phie du crâne et celle des mains, le malade, au moment de son
premier
séjour, ayant quitté l'hôpital au moment où il
basée elle-même sur une hypothèse que nous avions émise dans notre
premier
travail. ' Il est nécessaire de récapituler bri
hyse. Il y a trois faits sur lesquels j'ai surtout insisté dans mon
premier
travail ce sont : 1° L'âge du malade et son d
... viennent à l'appui de cette opinion. * si Déjà dans notre
premier
travail j'ai émis une hypothèse pour donner une
ne contredisent pas cette assertion, comme je l'ai indiqué dans mon
premier
travail. D'autre part, c'est un fait bien connu
- cer directement la fonction de la glande hypophysaire. Dans mon
premier
travail j'avais envisagé la possibilité d'une inf
HUDOVERNIG Pour ces raisons, j'ai traité le malade pendant les dix
premiers
mois avec la thyroïdine ; ce traitement dura du
te dose fut successivement portée à deux tablettes à partir des six
premières
semaines. Pendant ces dix mois il n'y eut au- c
une amélioration, et plutôt même une agqrava- tion. Pendant les dix
premiers
mois le malade était devenu un peu plus tranqui
tteignit l'âge de sept ans, en juin 1904. Ainsi, pendant les deux
premières
périodes du traitement je n'avais ob- tenu aucu
le thérapeutique pour atteindre les buts proposés. Déjà, dans mon
premier
travail,j'avais soutenu que « l'excès de la fonc-
ssi la confirmation de l'hypothèse théorique, déve- loppée dans mon
premier
travail. Pour ces- raisons, j'ai résolu de reco
je crois bon de les comparer avec ceux qui furent décrits dans mon
premier
tra- vail. ' Tête et main (en comparant les r
isibles ; on remarquait seulement les traces de ces cartilages à la
première
phalange aux extrémités distales, et dans les pha
le ralentissement de la croissance n'a pas eu lieu pendant les deux
premières
périodes du traitement (thyroïdine, puis thyroïdi
, ce fait confirme absolument la thèse que j'ai soute- nue dans mon
premier
travail, en disant que « l'excès de la fonction d
anifeste des testicules vers la fin du traitement ovarien. Dans mon
premier
travail j'ai mentionné que les organes génitaux
livre sur les Paralysies et les contractures hytériques furent vos
premiers
travaux. Ils firent sensation, notamment en rai
us a confié sa chaire d'anatomie. Mais ce n'étaient là que les deux
premières
étapes d'une glo- rieuse route que vous deviez
ours après l'accident. A l'autopsie, on constate une fracture de la
première
vertèbre lombaire avec déplacement du corps de ce
es deuxième et quatrième segments lombaires paraissent confondus au
premier
abord. Par suite de cette anomalie la direction
mort survint quand l'enfant avait déjà 4 ans. Voici le résumé de sa
première
observation. Il s'agit d'une fille de 4 ans ame
a vu l'affection se développer et frapper 6 enfants sur 15 dans la ?
première
, deux enfants sur 6 dans la seconde. ri"Dans to
lysie bulbaire ni aucun trouble cérébral. La mort survient dans les
premières
années de la vie ; dans les cas observés, la surv
robuste, dont l'attitude en griffe des deux mains trahit seule, au
premier
examen, l'état de maladie. Etudions en détail l
mation chez des foetus qui tous étaient en même temps dépourvus des
premiers
méta- carpiens et des pouces. Chez l'un d'entre
e du carpe apparaissent tous simultanément, .et le développement du
premier
métacarpien contemporain de celui des autres mé
tuelle existant chez notre malade la distinguent suffisamment de ce
premier
groupe. 1 Lorsque à la petitesse de la taille s
équinisme très pro- noncé avec convexité du tarse (Pl. LXXII C).La
première
phalange des orteils, celle du gros orteil prin
, par des rétractions fibreuses, étendues du calcanéum à la tête du
premier
métatarsien, trousseaux fibreux qui se tendent fo
élargissant fortement la base de sustentation, l'hyperextension des
premières
phalanges du pouce et des orteils est encore au
ar et hypothénar, ainsi que des in- terosseux. L'extension des deux
premières
phalanges des doigts, l'adduction et l'abductio
de l'axe de cea faisceaux; quelques-uns de ces faisceaux donnent au
premier
abord l'aspect de fibres envoie de régénération.
s les orteils, la deuxième et la troisième phalange formant avec la
première
un angle droit ouvert en bas (fig.). -A la voûte
A la voûte plantaire, par suite de la saillie marquée de la tête du
premier
et du cinquième métatar- siens, il existe dans
développement, absolument comme l'oedème précoce, qui est l'un des
premiers
signes d'une tumeur blanche, ou d'une coxalgie
s de lésions. De ces 6 observations de mal de Pott dorsal, les deux
premières
sont des exemples nets de Compression osseuse.
ns l'obs. VIII, les symptômes semblaient indiquer l'in- tégrité des
premiers
segments lombaires dont les racines étaient, cepe
s'étalent sur la face antérieure de la dure-mère au niveau des deux
premières
paires dorsales, qui sont étroi- tement englobé
cines paraît tout aussi marqué dans l'observation XI, pour les deux
premières
paires dorsales, et cepen- dant, il n'y avait d
rt quatre observations, à cause de leur complexité ; dans les trois
premières
, les malades étaient en même temps syphiliti- q
ais qui d'ordinaire ne peut être précisée exactement. Dans nos deux
premiers
cas de mal de Pott cervical, comment distinguer,
s au Pal, permettent d'affirmer une dégénérescence secondaire. Au
premier
examen, on remarque immédiatement l'intégrité de
chies, et la troisième étendue ; le second doigt est fléchi dans sa
première
phalange et étendu dans les autres. Les trois d
OPTIQUE CENTRAL PAR R LASALLE ARCHAMBAULT (Albany, New-York'.
Première
partie. Nous avons en le privilège, grâce au pr
. 105');) pour se convaincre qu'eu abordant ce sujet complexe notre
premier
effort a été d'éviter le piège, 562 - LASALLE A
les relations qu'elles assurent entre l'insula et la circonvolution
première
temporale d'une part, le lobule fusiforme et la
le splénium du corps calleux. Ainsi que nous l'avons dit dès notre
première
des- cription, le faisceau optique est grandeme
ive). Bref, la rétine semble réunir au point de vue de l'origine du
premier
neurone, le type moteur (centre cortical) et le
airement à ce qui se passe pour celles-ci, les noyaux principaux du
premier
neurone visuel sont très éloignés l'un de l'aut
e : « décussation entre le centre d'origine et le noyau terminal du
premier
neurone ». A un point de vue pratique ne pourra
ntrer les exigences de la phy- siologie. Nous revenons à notre idée
première
, que bien qu'elle ne soit aucune- ment périphér
ec certains noyaux du thalamus. Ainsi, nous revenons à notre idée
première
, à savoir, l'origine exclusive- ment genouillée
ts, sur lesquels nous croyons avoir suffisamment insisté dans notre
premier
mémoire (Rev. Neurol., 1905, n° 22, p. 1038-1039,
is il est déjà entrecroisé, grâce au parcours extra-cérébral de son
premier
neurone. Ainsi que le trajet central du nerf au
tral du nerf auditif, de la racine sensitive du trijumeau, a, comme
premier
échelon dans la gamme des niveaux, le sillon bulb
plus réelles que chimériques nous a été démontré de deux façons. En
premier
lieu nous avons vu dans trois cas (dont deux, réc
Dcr.n.LF (Ann ? n). Un cas de po- liomyélite dill'use subaiguë delà
première
enfance (2 pl.), 44t. BRISSAUD et Moutier. Cy
1 FÉLIX ALCAN ÉDITEUR 108, Boulevard Saint-Germain, 108. 1896
PREMIÈRE
PARTIE. Histoire du Service pendant l'année 189
1895. (Bicêtre et Fondation Vallée). Bouhnéville. Bicétre, 1895
PREMIÈRE
PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du servi
I. Enfants idiots galeux, épileptiques nu non, ; mais invalides. Ce
premier
groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
mise g'éné- reusement à notre disposition. Elle est aidée par une
première
infirmière, M ? Cordonnier, qui a également la
hain, surveillantes; 1\11110 Croizelle, sous- surveillante ; - deux
premières
infirmières : 1\T ? Muguet et Pacquelet et 8 in
éfection de l'unique cabinet d'aisances qui dessert les dortoirs du
premier
et du second étage du grand bâtiment ; - la fou
iérés ou les simples d'esprit. : · Classes spéciales. 1,131 Des
premiers
, un certain nombre sont hospitalisés. Or, comme
t d'apoplexie. - Deux frères et une soeur morts de con- vulsions.
Premières
convulsions à 2 ans. - Convulsions mensuelles d
e. - Elevé fm sein en nourrice, il a tété au moins jusqu'à un an. -
Première
dent à un an. Dentition de lait complète à 3 an
il se tenait mal. Ses parents l'ont repris à 2 ans. 15 jours après,
premières
convulsions : l'enfant avait les yeux tournés,
o- ptysie ; à plusieurs reprises on a vu du sang dans ses selles.
Premières
dents à 13 mois ; dentition complète à 20 mois.
leux envoie un pli de passage entre l'extrémité postérieure de la
première
frontale et le lobe paracentral. Ce pli il plus'd
riétale et d'une partie des sutures pariéto-occipitales. C'est la
première
fois que nous observons une synostose aussi éte
tition normale, marche à un an. Pas de convulsions pendant les cinq
premières
années. Cholérine à 13 mois. Rougeole peu grave
s les semaines et même plusieurs fois par semaine. Durant les neufs
premiers
mois de son séjour à la Fondation, C'.... a eu
on l'a confié à une nourrice à la campagne ; celle-ci l'a sevré.
Première
dent à six mois; la date de la dentition complète
lle-ci, le lobule du pli courbe, le pli courbe lui-même et les deux
premières
temporales sont repré- sentées par de petits ru
cérébrale. - Pas de con- sangwinitè. - Inégalité d'âge de 10 ans.
Première
dent à 4 mots. Début de la marche et de la parole
uer pendant les 3 années qui ont suivi. L'enfant a passé les quatre
premiers
mois de cette période chez des parents en pro-
e. Emotion violente de la mère au sixième mois de la grossesse. -
Premier
vertige à huit ans. - Premier accès à onze ans.
re au sixième mois de la grossesse. - Premier vertige à huit ans. -
Premier
accès à onze ans. - Accès sériels. - Diiiiiiiut
uveau-né pendant une demi-heure. Nourri au biberon jusqu'à 2 ans.
Première
dent on ne sait à quel âge. Parole à 2 an : a. Ma
re 1892 : 293 accès et 10 vertiges. En 1893 211 accès. - Les quatre
premiers
mois de 1894, 49 accès et un vertige. L'enfan
eurs, s'amincissent tout-à-coup au niveau du sillon qui sépare la
première
de la seconde frontale. La FA présente un aspect
/u .t>' 'LPI \Lpi \ lez - r "S-1 1 i ? 3. - I ? li'2, F : i,
première
, seconde et troisième circonvolutions fron- tal
1880 que nous avons publié dans les Archi- ves de Neurologie notre
première
observation (1), suivie peu après d'une autre,
phique. 99 cérébrale de l'enfance (1884). S'appuyant sur nos deux
premières
observations car il ne semble pas avoir eu conn
e poussée syphilitique. Violences et colères durant la grossesse. -
PremIers
signes d'idiotie à 3 mots. - Début de la parole
cris, depuis la naissance. L'état physique était satisfai- saint. -
Première
dent vers un an : dentition complète il Début d
colonne vertébrale ; elle courait très bien, « comme un lapin ».
Premières
convulsions à 8 mois : flexion prononcée de la
est aperçue que son enfant était anormal et signale elle-même les
premiers
signes de l'idiotie, indices d'un arrêt de déve
trisation au bout de trois mois. - Convulsions s ` durant les neufs
premiers
mois de la vie. - Athrepsie. - Premières dents
ions s ` durant les neufs premiers mois de la vie. - Athrepsie. -
Premières
dents vers six mois, début de la marche à 4 ans :
côté gauche plus faible que l'autre. - Gâtisme, accès de colère. -
Première
craniectomie en novembre 1892, à droite : dimin
mal » après chaque repas. Cet état, qui persista pendant les quatre
premiers
mois de la grossesse, s'accompagnait de vomisse
s fort que l'autre. L'enfant n'avait jamais été propre jusqu'à la
première
craniectomie (novembre 1892). Le sommeil était
n où siégeait la lésion attribuée au forceps. (Fig. 6). Après cette
première
opération, l'enfant serait devenu, dit- on, plu
de consanguinité. - Inégalité d'âge de 4 ans (mère plus âgée.) J
Première
dent à 6 mois ; dentition complète à 15-18 mois.
a moindre asphyxie. - Nourri au sein par sa mère jusqu'à 20 mois. -
Première
dent à 6 mois; dentition complète de 15 à 18 mo
à 18 mois. - Début de la parole à 18 mois, de la marche à un an.
Premières
et uniques convulsions à un an ; elles ont com-
le lobe quadrilatère, le lohe temporal, le tiers-antérieur de la
première
frontale. - Le ventricule latéral est notablement
naissance, fontanelle antérieure très large. - Hernie ombilicale. -
Premières
dents à mois. -tel deux ans chute sur la face,
et en retard. - Encore malpropre à l'entrée. - Ne marche pas seule.
Premiers
mots à 2 ans. - Affectivité nulle. 1894. Prol
cement ont fait éruption en avant ou en arrière de l'alignement des
premières
. Les dents permanentes sont de volume et de con
nos trois malades et sur leur état d'obésité. Voici le résumé, au
premier
point de vue, de leur histoire. Ons. I. - Idiot
a crié de suite. Élevée au sein par sa mère, sevrée iL treize mois,
première
dent à six mois, dentition complète à vingt-hui
upportable, on est même obligé de l'isoler il plusieurs reprises.
Premières
règles, le 9 mai, assez abondantes ; durée quatre
etite gymnastique. Elle écrit sans faute et sous la dictée les cent
premiers
nombres, fait des additions sans retenue; son é
éniquée à la dose de ? ' ? - (Pas de renseignements). En prenant sa
première
injection, le malade a senti une sensation de f
s fréquentes de 18 mois à 2 ans. - Peur à -13 ans. - Six mois après
premier
accès (août 1884). - Accès de plus en plus rapp
'âge de 19 an* (mère plus âgée.) Peur à la fin de la grossesse. -
Première
dent et parole sa un an. Marche a 18 mois. - Gâ
con- sanguinité. Inégalité d'âge de 9 ans. Grossesse tourmentée.
Premières
convulsions à 3 mois, revenues à diverses repri
Lel... 232 Thérapeutique. tées des mots usuels, connaît les trois
premières
règles, réussit les problèmes qui reposent sur
es. Planche I. Face convexe de l'hémisphère droit. 1 F2, P : I,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
e. L.P.S., lobule pariétal supérieur. L.O., lobe occipital. Tl,
première
temporale. S.S., scissure de Sylvius. Les chi
S planches. Planche II. Face interne de L'hémisphère droit. 1 ,
première
frontale. L.P., lobule paracentral. L.Q., lob
Planche III. Face convexe de l'hémisphère gauche. FI, F2, 1 ? 1,
première
, deuxième, troisième circonvolutions frontales.
planches. PLANCHE IV. Face interne de l'hémisphère gauche. F1,
première
circonvolution frontale. L.P., lobe paracentral
céphalie : Face convexe de l'hémisphère droit (p. 122). Fi, F2, F3,
première
, deuxième, troisième circonvolutions frontales.
pli pariétal supérieur. P.I., pli pariétal inférieur. T2, T2, T3,
première
, deuxième, troisième circonvolutions temporales
S planches. Planche VI. Face interne de l'hémisphère droit. F',
première
frontale. L.P., lobe paracentral. L.C.,lobe c
: face convexe de l'hémisphère cl1'02t. (p. '156). Fez, F3, F3.,
première
, deuxième, troisième circonvolutions frontales.
inférieur. P.C., pli courbe. L.O., lobe occipital. T1) T2, T3.,
première
, deuxième, troisième circonvolutions temporales
. 1 ? .. ; Tracé n° 3 : GANGL. 14 ans 1/2. t TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
PARTIE Section I : Bicêtre. I. Situation du s
e. MÉMOIRE SUR LES PLIS CÉRÉBRAUX DE L'HOMME ET DES PRIMÂTES.
PREMIÈRE
PARTIE. § Ier L'importance des couches cortic
nstration de son hypothèse. Aussi, par une sorte de contradiction, au
premier
abord inexplicable, l'étude des circonvolutions,
tous ces cerveaux avec des ressemblances si évidentes, qu'il est, au
premier
abord, impossible de n'en être point frappé. Si
s le cerveau quatre ordres de circonvolutions. a. Circonvolution du
premier
ordre. — Cette circonvolution répond, en partie,
orale, se terminer en dehors de la tubérosité de la circonvolution du
premier
ordre sur la marge postérieure du quadrilatère pe
u troisième ordre. Elles sont intermédiaires à la circonvolution du
premier
ordre et aux deux circonvolutions du second. Elle
e toutes, et n'ont aucune connexion directe avec la circonvolution du
premier
ordre; c'est là leur caractère essentiel. Trois
ils se continuent, en effet, les uns dans les autres, en sorte qu'au
premier
abord leur distinction peut paraître artificielle
admettre quatre plis de passage que nous désignerons par les noms de
premier
, second, troisième et quatrième plis de passage,
ont été confirmées. C'est donc avec confiance que je reproduis ici ma
première
description. Dans son ensemble, le cerveau des
e supérieur est moins développé, tandis que l'extrémité supérieure du
premier
pli ascendant se dilate et s'évase plus encore qu
de multiplier les mesures ; celles-ci parlent assez : d'ailleurs, au
premier
aspect, le cerveau de VOrang est évidemment plus
ussi les mesures que je donne ici n'ont-elles pas toute la valeur des
premières
. Longueur totale......i 07 millimètres. Large
e la forme particulière du crâne des Gorilles, forme qui rappelle, au
premier
abord, bien que sous des proportions plus massive
esse et la complication générale des plis secondaires distinguent, au
premier
abord, ce cerveau de celui de tous les Primates.
er fait doit être remarqué; c'est la position reculée de la racine du
premier
pli ascendant (pl. I, fig. 1 et 2, 4. 4. 4.). Ce
eux ou trois plis larges et flexueux qui se jettent dans le sommet du
premier
pli ascendant 3'. 3'. 3'. Il serait impossible
us scrupuleuse; leur extrémité postérieure se jette dans le sommet du
premier
pli ascendant et se confond avec lui ; ils sont c
gulière, se termine enfin, au-dessous du précédent, dans le sommet du
premier
pli ascendant. Ces deux plis sont séparés par une
ment dans l'étage supérieur. présentent une symétrie remarquable au
premier
abord; c'est qu'en effet, suivant les belles obse
nt être symétriquement opposés ; 3° Enfin, de même que le sommet du
premier
pli ascendant est uni intimement aux plis de l'ét
fliculté que l'existence de ce pli fait surgir, et qui embarrasse, au
premier
abord, la marche des comparaisons. Jetons maint
té communiqué par l'élève interne de ce service. Ce cerveau était, au
premier
abord, remarquable par l'atrophie des lobes posté
cette dégradation typique, étant beaucoup idéale que réelle, peut, au
premier
abord, n'être point aperçue. Dans les Singes am
té relative, se trouve, pour ainsi dire, anobli dans les Sapajous des
premiers
genres , ou sorte que, tout en conservant les car
on générale des plis à la surface du cerveau, nous serons frappés, au
premier
abord, de la richesse de ces plis sur la moitié p
antérieure. Cette différence établit un contraste si frappant, qu'au
premier
abord le lobe antérieur paraît absolument lisse.
du Saï. On voit alors que la scissure qui sépare le lobe frontal du
premier
pli ascendant est située très-près de l'extrémité
reculé; il répond au sommet de la scissure de Sylvius. L'épaisseur du
premier
pli ascendant est donc énorme ; elle est presque
ues A" par la réduction du lobe frontal; 2° par l'épaisseur énorme du
premier
pli ascendant ; 3° par l'anéantissement presque c
lles parties doivent être tirées les caractéristiques essentielles du
premier
groupe. Je suppose qu'elles seront fournies parle
ntielles du premier groupe. Je suppose qu'elles seront fournies parle
premier
pli ascendant, par le sommet de la scissure de
pelle assez bien la disposition des plis antérieurs dans les Cèbes du
premier
groupe. Mais au delà les différences commencent
iffère à tel point de celui des Sais, qu'il serait bien difficile, au
premier
abord, de les grouper dans la même catégorie. P
interne de l'hémisphère ne présente, non plus, rien de particulier au
premier
abord. Yu par sa face supérieure, le cerveau est
En effet, ce pli existe à la fois dans les Pithèques et les Cèbes du
premier
groupe; il manque à la fois dans les Pithèques et
soient aussi peu tranchées. N'est-il pas surprenant, en effet, qu'au
premier
abord le cerveau du Sajou diffère moins du cervea
ement de ces plis. 3* Parmi ces groupes il en est dans lesquels, du
premier
animal au dernier, s'opère une dégradation éviden
ance commune. Ainsi, en effaçant par la pensée les plis cérébraux des
premières
, on retrouverait, au terme de ces réductions, le
llons et les plis que le type commande on reproduirait le cerveau des
premières
. Donc, de ce qu'un animal a des plis cérébraux,
ractérisé malgré l'absence complète de plis à sa surface, inspire, au
premier
abord, la pensée d'une correspondance possible av
eloppement histologique ; 2° le développement de la forme générale ou
première
; 3° le développement des formes accessoires sura
remière série, à l'exception de VOrang-Outang, chez lequel la base du
premier
pli ascendant a une prédominance marquée. Cette p
atteint, dans VOrang, le volume le plus grand parmi les Singes de ce
premier
groupe. Macaques. — Petit dans le Rhésus, un pe
la voit diminuer dans le cerveau humain. A l'inverse des Singes du
premier
groupe, on la voit décroître en passant des Macaq
-dire dans les Atèles et les Lagotriches; en sorte qu'on pourrait, au
premier
abord, supposer que la longueur de ce lobe est, a
maine. La même gradation est observée dans les Singes américains du
premier
groupe. Ainsi voyons-nous décroître le lobe occip
ixité du regard, pression des globes oculaires. C'est également à ces
premières
recherches faites au laboratoire de M. Charcot à
ue donnent les auteurs de l'attaque d'hystérie vulgaire termine cette
première
partie et montre les connexions intimes qui exist
richesses de sa bibliothèque. ÉTUDES sur L'HYSTÉRO-ÉPILEPSIE
PREMIÈRE
PARTIE DELA GRANDE ATTAQUE HYSTÉRIQUE COMPLÈTE
TIE DELA GRANDE ATTAQUE HYSTÉRIQUE COMPLÈTE ET RÉGULIÈRE CHAPITRE
PREMIER
PRODROMES L'attaque d'hystéro-épilepsie, ou g
dant qu'elle était à Sainte-Anne, où elle est restée pendant les deux
premières
années de sa maladie, elle n'a jamais voulu s'en
sont lâches, peuvent être pinces et soulevés sans douleur; — c. cette
première
exploration montre que le siège de la douleur n'e
nous avons provoqué des irradia-tions douloureuses vers l'épigastre (
premier
nœud de l'aura, dans le langage de M. Piorry), co
stérogènes, et le résultat obtenu ne saurait changer. CHAPITRE II
PREMIÈRE
PÉRIODE. — PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Une attaque comp
28 juin 1870, Suzanne N..., hystéro-épileptique, tombe en attaque aux
premiers
coups de tonnerre d'un violent orage qui se décla
La perte de connaissance est complète pendant toute la durée de cette
première
période de l'attaque, et nous avons entre les mai
au niveau de la figure, et le membre tout en-tier reprend sa position
première
, étendu le long du corps, en accusant le mouvemen
successivement devant la figure. Le poignet est fléchi, et les trois
premiers
doigts de la main, pouce, index et médius, sont é
La période épileptoïde n'a guère de durée constante que dans ses deux
premières
phases : tonisme et clonisme. La phase de stertor
la période épileptoïde, il n'en est pas de même relativement aux deux
premières
phases, qui, lorsqu'elles sont complètes, ont sou
ns pu ob-server qu'un seul tour suffisait pour l'inscription des deux
premières
phases. Un chronographe marquant les secondes nou
faisant une espèce de moulinet. Les poings sont fermés, ou les trois
premiers
doigts étendus. Les jambes se fléchissent et s'ét
litude en même temps que les membres quittent peu à peu leur position
première
pour descendre vers la résolution. Les mouvements
seules toute la phase épileptoïde. Il arrive parfois, que les deux
premières
phases de la période épileptoïde, phase tonique,
de la deuxième période marquée par les mouvements les plus variés.
Première
période. — Tétanisme généralisé suivi de convulsi
font évanouir le rêve et ramènent la malade à la réalité : c'est, en
première
ligne, l'excitation des zones hystérogènes et par
... non, je ne vous céderai pas... d'abord je ne pourrai pas faire ma
première
communion... Oui, je crierai!... Oui, je crierai!
'enfance de la malade, se reproduisent pendant ses attaques, comme au
premier
jour, avec une vivacité que le temps n'a pu attén
es dans leurs intervalles. Ces impressions nou-velles se joignent aux
premières
pour augmenter la durée et la variété des halluci
aux influences les plus profondes l111, le plus souvent, tiennent aux
premières
émotions. Nous avons eu maintes fois l'occasion d
éjà compté dix-neuf attaques. Les attaques sont composées des trois
premières
périodes. Voici comment se déroule l'attaque dont
a, troisième période manque, comme dans l'attaquen° II. Après cette
première
série commence immédiatement une se-conde série,
tracée, et quelle part, dans l'espèce, doit revenir à l'imitation.
PREMIÈRE
OBSERVATION. Suzanne N..., âgée de dix-neuf ans
u-velle attaque qui ne tarde pas à éclater. VI. — 10 heures 38. a).
Première
période comme précédemment. b). Contorsions, cr
ot à la Salpêtrière. Petite, brune, constitution peu robuste. A eu sa
première
at-taque hystéro-épileptique à dix-huit ans. Elle
ois périodes habituelles, avec les parti-cularités suivantes : l°La
première
période n'est qu'esquissée. Au début de l'attaque
— 10 h. 43. Nouvelle attaque aussitôt qu'on cesse la compression. a).
Première
période semblable aux précédentes. b). Deuxième
uin 1879 dans le service de M. Charcot à la Salpêtrière. Elle a eu sa
première
attaque à douze ans. Elle est hémianesthésique à
10 h. 17 m. 30 s. Nouvelle attaque qui présente les trois périodes.
Première
période très marquée. La malade se raidit en fais
nous avons basé notre description de la grande attaque hystérique.
PREMIÈRE
OBSERVATION1. Contracture de la jambe gauche. H
ce de milieu intellectuel, la reconstituent rapidement. A la fin du
premier
mois, elle est améliorée sous tous les rapports.
ès intense. Rien du côté du cœur, ni des organes génitaux. Les deux
premières
périodes sont ici facilement reconnaissables. La
eparaissait, les convulsions étaient bien plus tôt terminées. Notre
première
idée qui avait été aussi celle du docteur Brongni
dît con-naissance. Survenait alors un' peu d'écume à la bouche. Cette
première
période durait de deux à trois minutes. Ensuite a
té dans les trois mois suivants : contractions toniques et cloniques (
première
période?), crises qui occupaient autour d'elle di
t à sauter comme un ver, puis il ne tarda pas à reprendre la position
première
qu'il conserva pendant sept à huit minutes. On me
erre, afin que, dans ses contorsions, lorsqu'à la forme cataleptique (
première
période) succédera le désordre des mouvements (de
mouvements toniques. La durée en est à peine d'une minute. A cette
première
phase de l'attaque succède, sans transition aucun
la malade perd connaissance. L'attaque commence (dé-cembre 1878) :
Première
période. — La malade reste dans la position où el
fatigue. C'est là souvent le prélude de l'attaque (janvier 1878).
Première
période. — Celle-ci s'annonce par des mouvements
t en raison de l'insuffisance des relations qui en ont été l'objet.
PREMIÈRE
OBSERVATION l. L'observation que je vais décrir
es règles cessèrent plutôt qu'à l'or-dinaire. Quelques jours après,
première
attaque d'une sorte de syncope, avec pâ-leur du v
près, sa santé avait toujours été bonne jusqu'à douze ans, époque du
premier
accès épileptique, occasionné, dit-elle, par la p
! je suis malade; » puis elle tombe si elle est debout. Pendant cette
première
période de l'attaque qui s'accompagne de boule hy
aussitôt les yeux... Les attaques ne se composent ici que des deux
premières
pé-riodes, qui présentent leurs principaux caract
es étaient à peine marqués de l'autre côté du corps. Mon impression
première
fut,je dois V avouer, que j'avais devant les yeux
o-mènes somnambuliques et cataleptiques s'y sont surajoutés. Les deux
premières
périodes ont toujours conservé les mêmes carac-tè
, mais elle avait été chloro-tique et était très nerveuse. C'était sa
première
attaque. Deux jours après son entrée, on la vit s
même temps hystériques et épileptiques... » La distinction des deux
premières
périodes (période épilep-toïde et période de clow
es aperçoivent sans cesse, pendant la crise, l'objet qui a causé leur
première
frayeur; les autres accu-sent les sensations les
use du désordre qu'elles pré-sentent. Les membres, un instant raidis (
première
période), se tordent con-vulsivement, se projette
avec visions de choses effrayantes. Une jeune fille, qui avait eu sa
première
attaque immédiatement après avoir été violée, voy
même titre que les accidents convulsifs variés qui composent les deux
premières
périodes. Les observations d'hallucinations dan
crut voir un fantôme, et immé-diatement elle tomba en convulsions. Ce
premier
accès dura pendant quarante huit heures, pendant
gles. Elle en fut si effrayée, qu'elle perdit connaissance et eut son
premier
accès d'hystérie. Cette jeune fille présente ceci
lepsie se sont contentés d'exposer les phénomènes qui composent notre
première
période. Témoin la description qu'en donne Brique
l n'est pas rare de voir l'attaque hystéro-épileptiquc se borner à sa
première
période. La période épileptoïde évolue comme nous
leurs lortlllemcnls et que M. Charcot a qualifiées de démoniaques.
Première
Période. — Dans ces sortes d'attaques, la période
tude à peu près constante, le poignet est fléchi fortement, les trois
premiers
doigts, pouce, index et médius, étendus et écarté
de hoquet, puis un balancement latéral de la tète et du cou; dans ce
premier
temps, le corps était penché, la partie antérieur
le 23 jinvier suivant; elle logea clipz moi. Elle n'eut, depuis son
premier
accident jusqu'à ce jour, aucun accès va-poreux.
on cotfre, elle en sort tous ses habits et ne veut plus les y metire.
Première
apparition des règles sans changement notable.
ui persiste, comme effet direct de l'action de l'éther. (( Lors des
premières
expériences tentées sur les inhalations d'éther,
ébut. Los bras tombent deux fois de suite et reprennent leur position
première
. Nous voulons, à ce momcid, examiner le fond de l
. » Repos; les bras sont croisés. 1. Gl... est ici désignée parla
première
lettre de son nom de baptême. (c Toi qui aimes
it ans. Les couches ont été bonnes; cependant, dans le cours de cette
première
grossesse, elle avait eu les jambes enflées et un
e gauche. Mère, quatre sœurs et deux frères bien portants. Dans ses
premières
années, S... « se trouvait souvent mal; couchée s
es accidents nerveux semblables à ceux dont nous venons de parler. Ce
premier
accès dura deux mois environ. Un second survint d
tante; la durée de ces deux accès fut à peu près la même que celle du
premier
. Ces jours passés. S... se trouvant dans un wag
e retrouver l'unité d'une loi. Dans des études de ce genre, il est de
première
importance pour l'obser-vateur de déterminer avec
turel, les différents états ner-veux qu'ils servent à caractériser.
PREMIÈRE
SÉRIE D'ORSERVATiONS ^ PREMIÈRE ORSERVATION. —
ux qu'ils servent à caractériser. PREMIÈRE SÉRIE D'ORSERVATiONS ^
PREMIÈRE
ORSERVATION. — INFLUENCE DE LA LUMIÈRE SUR LA PRO
la physionomie. Les traits reflètent l'expression du geste. t. CeUe
première
série d'observations date de l'année 1878, et la
absolue. Tel est ce qu'on pourrait appeler le canis hystérique, ou
première
phase de la léthargie provoquée. Mais la malade
lle que peut leur imprimer la contracture provoquée : canw ou sommet/(
première
phase), som-nambulisme (deuxième phase.) Pendan
hénar et hypothénar ont pu être excités séparément. L'excitation du
premier
interosseux dorsal a toujours amené l'extension d
ent de la contracture sous 1. Nous avons pu nous assurer depuis ces
premières
expériences que le retour à la catalepsie n'était
rapidement aux regards de la malade, l'œil reprend aussitôt sa fixité
première
et l'état cata-leptique général revient avec tous
état cataleptique se borne aux phénomènes indiqués dans l'observation
première
. Quel que soit le procédé qui l'ait fait naître,
t. Nous savons que dans l'état léthargique avec hyperexcitabilité, ou
premier
sommeil, Car... est fort mauvaise somnambule, ell
ôme temps que le côté gauche du corps, le cerveau droit est revenu au
premier
tommeil. En elfet, si ce cliangemenl survenu dans
s que le côté droit du corps, c'est le cerveau gauche qui retourne au
premier
sommeil. En ce cas, bien que tout le côté gauche
n sommeil d'un autre genre que celui que nous avons étudié dans notre
première
expérience. II en différait encore par ceci, que
a sensibilité était revenue sur toute la surface du corps. 7) Cette
première
observation terminée, nous remîmes la malade en e
t précédées de phénomènes convulsifs, pouvant être rapportés aux deux
premières
périodes de la grande attaque. Elles ont, avec
à M. le professeur Gharcot par le D' Alexandre de Livry (Belgique).
première
lettre Monsieur le professeur, Je prends la l
églée à treize ans, et régulièrement jusqu'à dix-huit ans. En 1838,
première
attaque d'hystérie. Huit mois après, deuxième a
ayait de prendre les premiers jours. Quinze jours après son entrée,
première
attaque; elle fut convulsive, se répéta assez fré
sions hystériques presque tous les jours en 1839; 18 sep-tembre 1852,
premier
accès de catalepsie. La catalepsie revient tous
physionomie spéciale de la 3° période. Description de l'attaque.
Première
période. — Début par les grands mouvements cloniq
nt de l'autre. Le bruit du gong demeure sans effet pendant les deux
premières
périodes de l'attaque, pendant la troisième, il m
mbres sont le siège d'un état cataleptique dont l'intensité varie. Au
premier
degré, les membres sont souples et conservent les
où elle eut un accès de catalepsie pour la première fois. Les cinq
premiers
accès passèrent inaperçus mais, au sixième accès,
système musculaire s'est toujours montré tel que l'avaient décrit Ie
premiers
observateurs, c'est-à-dire dans une sorte d'inert
quilibre stable, cédaient au moindre choc qui les déran-geait de leur
première
position. Agissait-on sur les extenseurs toujours
ans transition. Il semble qne le second état dérive naturelle-ment du
premier
. L'hallucination qui préside à l'une, l'idée fixe
ne attaque d'hystérie observée par leD' Billet, et composée des trois
premières
périodes. La même malade vit, dans la suite, ses
tères de la catalepsie et du somnambulisme. La persistance des deux
premières
périodes, qui se montrèrent toujours bien distinc
épileptiques, tantôt hys-tériques, répondent parfaitement à nos deux
premières
périodes. Dans la seconde apparaît le délire somn
ée immédiatement dans un état d'hystéricisme, et le lendemain dans sa
première
attaque de nerfs. Elle avait pleuré toute la jour
, et c'est le soir qu'elle tomba subi-tement sans connaissance. Cette
première
attaque paraît avoir duré plusieurs jours; les su
au 25 juillet, fièvre typhoïde de l'enfant. Janvier, février 1851. —
Premiers
symptômes nerveux.—Modification du caractère, tri
n grand cri, et avait une petite attaque convulsive. Au dé-but de son
premier
sommeil, il y avait un léger raidissement du corp
ne peut les entr'ouvrir. Les lèvres, que l'on écarte, reprennent leur
première
position. 1. Hystéricisme et hrjstérie, du somm
mbinaison si l'on se rappelle les connexions qui existent entre notre
première
variété de léthargie et la catalepsie. La malade
de celle-ci le précurseur et, dans certains cas même, la condition
première
de celui-là, se trouvent parfaitement signalées d
ans un puits, et l'on me ramena dans la pièce que j'avais quittée. Ma
première
parole fut celle-ci : suis-je sotte! je prends ce
ns l'autre ce qui se rapporte aux troubles de la motilité. CHAPITRE
PREMIER
QUELQUES FAITS RELATIFS A l'ANESTHÉSIE HYSTÉRIQ
onné le D'' Vigouroux dans VAnnée médicale de 1879. Le récit de cette
première
expérience lui est emprunté iiUégralement. lieu
s consécutives. Que l'aimant soit maintenu ou non dans la situation
première
, bientôt la notion des diverses couleurs disparaî
aune. La notion du rouge persiste. Voici la malade revenue à l'état
premier
; mais les choses n'en restent pas là, et les osc
rgane de la vision, mais bien dans les centres cérébraux eux-mêmes^
Première
expérience. — Nous plaçons devant une de nos mala
ulsion même atténuées. On la rencontre souvent chez les enfants comme
première
mani-festation d'une hystérie qui s'en tiendra to
OSTIC, LE PRONOSTIC ET LE TRAITEMENT DE LA GRANDE HYSTERIE CHAPITRE
PREMIER
DIAGNOSTIC ET PRONOSTIC Ce chapitre sera divi
-port des forces physiques, les malades sont au dernier jour comme au
premier
. Il en est de môme de l'état mental qui demeure t
itton, âgée de /iS ans, entrée à l'hospice de la Salpêlrière en 1860;
premier
accès d'épilepsie à 15 ans ij"!. Elle était fort
ns 1/2 elle est prise d'étourdissements tous les deux ou trois jours.
Premier
accès convulsif à 16 ans 1/2. Les accès deviennen
. L'enlever du milieu qui a vu naître et se développer la maladie. Ce
premier
point peut être obtenu facilement en envoyant le
u temps et de l'expérience une sanction définitive, mais qui, par ses
premiers
résultats, d'accord avecles inductions légitimes
e possible, désirant laisser aux faits eux-mêmes toute leur valeur.
PREMIÈRE
SECTION chorée épidémique du moyen age. — chore
Ce mal se glissa comme une peste en plusieurs autresnon-nains. Cette
première
séquestrée s'abandonna à celui qui la gardait et
uleur. L'une d'entre elles, Anne Langon, qui avait été atteinte des
premières
, souffrait dans Vhypocondre gauche. Tous ces ac
ent par tout son corps, comme si, de bref, elle eût dû retomber en ce
premier
état. » (Gou-lard, loc. cit.) L'heureuse influe
on, Eusède de Saint-Michel, Pierre-Thomas de Saint-Charles 2. » Ces
premiers
symptômes de perturbation nerveuse se montraient
ur nous, nous ne saurions accorder plus de créance à ces dires qu'aux
premières
accusations lancées contre Grandier. La maladie d
roublée, fit quelques frémissements, qui marquaient la pré-î sence du
premier
des quatre démons qvu la possédaient, nommé Asmod
it adoré, le démon, après avoir fait beaucoup de difficulté, obéit au
premier
» de ces commandements, mais qu'il refusa d'obéir
seur d'une feuille de » papier : mais que l'exorciste réitérant ses
premières
défenses l'en empêcha tou-» jours : que le démon
ne foi au-dessus de tout soupçon. Je consignerai ici le récit de sa
première
entrevue avec les religieuses. On y trouve une sc
1879 Rouen, p. 24) eusses bien mieux fait, chieu, de demeurer enta
première
condition que Dieu t'avait donnée, sans changer t
soumet à leur examen cinq des fdles prétendues possédées. Les deux
premières
qui paraissent d'abord absoluutent saines d'espri
entièrement libres et maîtresses de soi; ils considérèrent ces trois
premières
sépa-rément pour prendre une plus exacte connaiss
rit à parler de sa petite Madeleine, sa bonne amie, sa mignonne et sa
première
maîtresse, et de là se lança dans un panneau de v
on et placés au-dessus des remèdes naturels. Dans l'histoire de ces
premières
malades, il est facile de reconnaître les signes
érie. Perronne T..., âgée de dix ans, devait faire prochainement sa
première
com-inmiion, elle ne parlait que de son bonheur;
ndre à l'Eglise. Les crises ne débutèrent plus, comme chez les deux
premiers
enfants, par un état extatique; mais, comme eWes,
et leurs défenseurs ont donné de leur authenticité 2. » Pendant cette
première
période il n'est aucunement question de convulsio
sur le marbre même du tombeau on peut retrouver les signes des deux
premières
périodes de l'attaque de grande hystérie. « Sur
... à peine un quart d'heure de silence et de calme a succédé à ses
premières
émotions, que les yeux égarés de la mourante tomb
fort pour ap-procher du tombeau, ce que je n'avais pu faire depuis ma
première
neuvaine, à cause de la grande foule. Je me pench
n étaient atteintes. Après avoir dit que les convulsions avaient au
premier
abord un extérieur bien ed'rayant, il ajoute :
raits suivants que j'em-prunte à Caimeil : « Une convulsionnaire du
premier
rang tient de très beaux discours dans une langue
léthargie avec perte de connaissance rappelant une des variétés delà
première
période ou période épileptoïde de la grande attaq
yhboiirhood, Lythcricv. Samuel J. Moore. Ballymena 1859. 3. Une des
premières
conditions requises chez les pénitents pour voir
ance pour les déplacer, et ils reprennent immédiatement leur position
première
. .... Les fonctions des sens sont suspendues. E
introduction..............................-........................
PREMIÈRE
PARTIE de la ciiande attaqle hystérique complèt
E de la ciiande attaqle hystérique complète et régulière Chapitre
premier
. — Prodromes.................................• •
gènes.............................................. «^^ Chap. II. —
Première
période. — Période épileptoïde..................
pa/.es V a li i e t é s i)e la grande attaque hystérique. Chai'Itue
premier
. — Variété par modification de la première périod
......... 360 P l\ K M I K I\ !•; S É lU E D'ODS E B V A TI 0 N S
Première
observation. — Intluencc delà kunière sur la prod
......,........ 381 lEUXlf;MK SÉHIE 1) ' 0 1! S F. H V A ï Kl \ S
Première
observation. — Etat des sens pendant la catalepsi
OMES PERMA-NENTS DE L'HYSTÉRO-ÉPILEPSIE OU GRANDE HYSTÉRIE Chapitre
premier
. — Quelques faits relatifs à l'anesthésie hystéri
OSTIC, LE PRONOSTIC ET LE TRAITEMENT DE LA GRANDE HYSTÉRIE Chapitre
premier
. — Diagnostic et pronostic.......................
x.............................. 005 APPENDICE NOTES HISTORIQUES
Première
section. — Choree épidémique du moyen âge. — Chor
u de : Pathologie de Reuin; lisez : pathologie de Requin. Page 303,
premier
mot du titre. — Au lieu de : Vriétés; lisez .• Va
t BABE L'DIIAIIIES-ÉDITEURS Place de l'Écolo-de-Médecine 1888
PREMIÈRE
PARTIE Historique. - Statistique. La nouvelle
Fig. 5. - Ce; solides ont pour but u'aprr ? l1L\coJ aux enf.iius : en
premier
lien, 1\ reconnaître les cônes, cylindres, pyra
mars, et deux en juin. A la fin du mois de mars, s'est produit un
premier
cas de rougeole, qui a été le point de départ t
r 'tous, tant à l'école qu'à l'atelier, la série du matin/dàhs'Ih
première
semaitle dum.tlis, devient la série du soir duran
en 1885 et en 1 SSG ; la moyenne s'est élevée à 48 dans les quatre
premiers
mois de 1887. Le 26 mai, au moment où le direct
' L'assistance de ces enfants remonte déjà loin. En effet, dès les
premiers
temps de l'Hôpital général, dont Bicêtre et la Sa
ne sai- gnée. Le malade succomba cinq heures après l'invasion des
premiers
accidents, et ne fut pas observé pendant les deux
ne. Nous cite- rons encore, parmi les observations parues dans la
première
moitié de notre siècle, c'est-à-dire durant une
de traumatisme, pas d'alcoolisme (lors de la première grossesse du
premier
lit, elle avait sou- vent envie de boire du cog
- Julep avec 0 gr. 0'a centigr. de nitrate de pilocarpine. 4 Cette
première
partie de l'observation a déjà paru sous le titre
cètre. Le 4 octobre suivant, c'est-à-dire plus d'un mois après la
première
lettre à M. Demôle, et huit jours après une nouve
frère, convulsions et affaiblissement paralytique du côté droit.
Premières
convulsions à dix mois. - Convulsions à chaque
à chaque poussée dentaire jusqu'à quatre ans. - Peur à onze ans ;
premiers
accès huit jours plus tard; convulsions limitées
ait enceinte de quatre mois et demi) : « Il a tété sur l'autre. » -
Première
dent à quatre mois, il en avait trois à huit mo
mois il était comme les autres enfants ; c'est alors qu'il eut ses
premières
convulsions internes, dit-on, lors de l'éruption
rs peureux, sans éprouver aucun phénomène nerveux pré- curseur du
premier
accès. Celui-ci eut lieu trois semaines après,
e remit à parler après quelques instants. - Trois jours après cette
première
course, se trouvant à la barrière de Montreuil,
met à courir jusqu'au coin de la grille, puis entre celle-ci et la
première
rangée d'arbres (30 mètres environ) ; arrivé au c
nviron) ; arrivé au cin- quième arbre, il se retourne et revient au
premier
en cou- rant ; ; là il est saisi et maintenu pa
ire avec tapotement du talon gauche. Réflexions. - Vall... a eu son
premier
accès trois semaines après une émotion vive occ
pied gauche a eu une influence sur le nombre des accès , quoique à
première
vue ceux-ci aient été moins fréquents en novemb
l'époque de sa sortie du chemin de fer (dix-huit ans), il a eu ses
premiers
accès, il tombait comme une masse, était roide,
uit mois,. - parole et marche tardives; - rougeole; - ophthalmie. -
Premier
accès ci dix-sept ans; - vertiges; - aura procu
ssance. Elevé en nourrice au sein et au biberon (lait de chèvre). -
Première
dent à cinq mois. A dix-huit mois, étant encore
ait; il n'a jamais été intelligent. C'est à trois ans qu'il eut son
premier
accès convulsif : tout d'un coup il quitta la m
moins long et que fréquemment l'aura n'est signalée que lors des
premiers
accès. IV. Epilepsie POST-PROCUIiSIVE. Les ph
ncle maternel, imbécile. Vertiges procursifs à trois ans et demi. -
Premier
accès à huit ans. - Accès suivis de course. - C
sphères cérébelleux égaux. Hémisphère gauche, face convexe. - La-
première
circonvolu- tion frontale sinueuse, double en a
é. Neuf enfants. - De son mari, une fille. - De son amant les six
premiers
enfants sont morts jeunes à la suite de con- vu
paternelle morte d'apo- plexie. - Grand-père maternel alcoolique. -
Premier
accès ci onze ans précédé de vomissements alime
Le second accès est venu un mois après le premier. Durant les six
premiers
mois, il a eu un accès mensuel et chaque fois l
cès de deux en deux mois ; il suivait alors le catéchisme pour sa
première
communion, ce qui fait que sa mère attribue cette
rie, il avait eu 3 accès et était sans connaissance. Il a eu son
premier
accès à l'infirmerie à 10 heures; à partir de là,
se ter- minant à 2 millim. de la scissure interhémisphérique. -La
première
circonvolution frontale très sinueuse, fortement
ption par viol. - Grande différence d'âge entre les père et mère. -
Premières
convulsions ci six mois. - De quinze mois ci qu
onvulsions ci six mois. - De quinze mois ci quatre ans, vertiges. -
Premier
accès à sept anus. - .Débilité mentale. - Idées
n frère, une soeur, une cousine germaine, morts de convulsions. '
Premières
convulsions à six semaines portant exclusivement
et prédominant au bras. - Vertiges (deux ans et demi à six ans). -
Premiers
accès ti six ans. - Onanisme. - Hémiplégie droi
ernelle phthisique. - Soeur, morte de convulsions. - Gémellarité.
Premières
convulsions ci treize mois. - Début des accès à v
t<t ? Cousin germain idiot. - Frères, morts de con- vulsions. -
Premiers
accès à douze ans. Aura nasale. - Au- tomatisme
cle paternel. - Un petit-cousin paternel, imbécile. - Alcoolisme. -
Premier
accès à vingt-neuf ans.- Vertiges. - Aura média
t de convulsions. Autre frère, convulsions et tumeurs blanches. -
Première
dent ci sept mois; parole ci un cacz, marche à qu
ugeole à quatre azs.-Accidcnts cérébraux ci deux ans. - Scarlatine,
premier
accès à dix ans. - Accès surtout noc- turnes. -
nt très dilatées, les pupilles sont nor- males. Le malade eut son
premier
accès, il y a cinq ans, sans cause connue. Sans
qui est bien conformée. Face interne. Lobe tcmporo-occipital. - Les
première
et deuxième circonvolutions temporo-occipitales
e temporo-occipitale. Face interne. - Lobe temporo-occipital. - Les
première
et deuxième circonvolutions lentporo-occipitale
des pre- ' Nous ferons remarquer que Duch... a eu pendant les deux
premières
années de sa maladie des vertiges sans phénomèn
cérébraux qui ont duré deux mois, sans convulsions, ni paralysie. -
Première
dent à huit mois. Il a parlé a un an, n mat-
issure parallèle presque complète, se prolongejusque dans le lit du
premier
sillon occipital et envoie deux rameaux descend
es traces de méningo- encéphalite, mais moins prononcée que sur les
première
et deuxième frontales. - La frontale ascendante
ite disséminée; un pli de passage à niveau relie le pli courbe à la
première
circonvolution occipitale. Le lobe occipital est
t; la méningo-encéphalite y est peu accentuée. Lobe temporal. - Les
première
et deuxième temporales présen- tent des lésions
rophiés, à la troisième frontale; sur les parties anté- rieures des
première
et deuxième frontales, l'atrophie est beaucoup
ème deux plis de passage à niveau; sur la moitié antérieure de la
première
et sur toute la deuxième, on constate de la ménin
ssu scléreux par pla- ques dans la même région ne sont que les deux
premiers
degrés de l'altération. Sur d'autres points, en
paraissait un peu plus petit. C'est aussi lors de l'apparition des
premiers
phéno- mènes procursifs que l'on nota la diminu
t tremblement consécutif. - Parésie et tremblement du malade dès sa
première
enfance. - Placé en hospice à huit ans. - Diffi
. Deux soeurs mortes de méningite. Conception durant l'ivresse. -
Premières
convulsions prolongées à trois mois, secondes c
n, dix-sept ans, cordonnier ; a eu des convulsions internes dans la
première
enfance; puis, de trois à quatorze ans, des doule
é au sein par sa mère jusqu'à dix-hui mois. A trois ou quatre mois,
premières
convulsions; jusque-là il était fort et paraiss
âchoire inférieure, treize dents; manquent une molaire droite, deux
premières
molaires gauches, une molaire droite cariée. Ar
maman, merde, salope, couillon. n Il répèle devant nous, les trois
premiers
mots; nous voulons lui faire répéter les autres
sont très peu prononcés tandis qu'ils l'étaient notablement dans la
première
phase. La préhension de la cuillère exige les m
ns l'athétose double. Les troubles de la parole se ressemblent au
premier
abord. Toutefois, un examen attentif fait bient
maintenant de fixer avec une certitude suf- fisante pour fournir du
premier
coup au jugement et à l'instruc- tion du médeci
oportionnelle à leur nombre. Nous allons démontrer que sur les deux
premiers
points les opinions de l'auteur sont erronées e
I. DE LA TEMPÉRATURE DANS LES ACCÈS ISOLES D'ÉPILEPSIE. Dans nos
premiers
travaux sur la température des épilep- tiques (
état anatomique de l'appareil sexuel mâle chez les dégénérés. 197
PREMIER
TABLEAU a 107 bi" , DEUXIÈME TABLEAU ? I . -
t entre eux que par leur âge, il suffit d'observer que ceux de la
première
ont dépassé l'âge normal de la puberté, si tous
st venue les surprendre dès leur jeune âge, quelquefois dans leur
première
année, et les a pour ainsi dire im- mobilisés,
t a eu des lypothymies plusieurs fois par semaine, durant les trois
premiers
mois. Pendant le siège, elle a eu beaucoup à so
par la vue d'une tortue, vers le second mois de la grossesse. La
première
fois, elle la vit barbotant dans le ruisseau; ell
a été sevrée à quatorze mois. Elle a marché à treize mois, a eu sa
première
dent à huit mois et ses vingt dents vers deux a
rencontre ce retard chez des enfants parfaitement normaux. Si la
première
dentition peut être précoce dans son apparition,
second patron l'avait accusé d'avoir fait une surlivraison dans sa
première
maison au profit de la personne qui lui avait p
l'ayant vu sauter, l'a suivi jusqu'à Montrouge et l'a signalé au
premier
sergent de ville qu'il a rencontré. Réintégré à
ECROSNIER ET BABÉ ÉDITEURS Place de l'Ecole de Médecine. 1890
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1889
ire du service pendant l'année 1889. BOURNEVILLE,, Bicêtre, 1889.
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1888
Othe. Ces résultats font honneur à nos maîtres et en particulier au
premier
instituteur, M. BOUTILLIER (1). Nous avons mu
riser l'ouver- ture d'urgence à l'Exercice 1889. En utilisant cette
première
XXXVI RÉSISTANCE AU CONSEIL DE SURVEILLANCE.
du quartier des enfants idiots. Cette assertion peut paraître au
premier
abord paradoxale, et pourtant elle est exacte.
de ressources pour cons- truire les édifices et faire les frais de
premier
établisse- ment, c'est l'incertitude où elle se
rt de Saint-Denis; c'est là que, à la suite d'une sortie, il eut sa
première
attaque de rhu- matisme articulaire aigu. Exi
ois après, obéissant à ses goûts et non à ceux d'autrui, il prit sa
première
inscription à la Faculté de médecine de Berne.
s des années précédentes. )0 o THÉRAPEUTIQUE. Durant les quatre
premiers
mois du traitement, nous avions noté une diminu
7; on 1889, 34. Si l'on compare le nombre des accès durant les huit
premiers
mois de cette année, correspondant au traitemen
son avec crises nerveuses. - Tante et oncle : excès de bois- son. -
Premier
accès à 8 ans suivi d'hémiplégie gauche. - Peu
'antécédents névropathiques. - Pas de convulsions dans l'enfance. -
Premier
accès à 7 ans. - Amélioration légère. Bertr..
d'antécédents névropathiqzzes. - Une soeur morte de mé- ningite. -
Premières
convulsions à 8 mois à la suite d'une maladie (
u suivant : 4 THÉRAPEUTIQUE. BROMURE D OR. 25 OBSERVATION X
Premier
accès à 7 ans. - Vertiges peu fréquents. - Amé-
phyxie, nide circulaires du cordon. Nourri au sein par sa mère.
Premières
convulsions à 4 mois, générales, avec déviation
3 4 THÉRAPEUTIQUE. Frayeur occasionnée par son père qui le battait.
Premiers
accès à 10 ans à la la suite de coups. Aggravat
ns asphyxie. -On ne sait à quelle époque il a été propre et a eu sa
première
dent. Il a parlé et marché vers 15 mois. -Il n'
e d'une fièvre cérébrale. - Grand-père maternel mort paralytique. -
Premières
convulsions à 15 mois. - Accès à 5 ans. - Picro
VATION XX 47 i Bien dans la famille. Cousin germain hystérique.
Première
crise à 8 ans, puis 2 ou 3 accès par mois, puis
ptique. - Cousine morte de méningite. - Soeur morte de convulsions.
Premières
convulsions à 11 mois. - Picrotoxine. Vitr...
umer, dans un tableau, les observations qui ont servi de base à nos
premiers
travaux : 54 clinique. dans trois autres cas,
naissance, fontanelle antérieure très large. - Hernie ombilicale. -
Premières
dénis il sept mots/1. deux ans chute sur la fac
marché de bonne heure, sauf le quatrième, mais parlé assez tard».
Première
dent à sept mois, la deuxième à huit mois. On n
dent à sept mois, la deuxième à huit mois. On ne sait à quel âge sa
première
dentition a été complète. L'enfant a été propre
ents (incisives médianes supérieures) ont poussé iL huit mois. La
première
dentition, assure la mère, était complète à un an
ait beaucoup de cheveux et les ongles très longs. Pendant les six
premiers
mois, elle ressemblait à tous les autres enfants.
e con- serve encore, quoique à un moindre degré. Pendant les deux
premières
années, la tête penchait en divers sens, mais a
envie insurmontable de dormir, chute. - Asphyxie à ta naissance. -
Premières
convulsions a 14 mois. - Refroidissement et cya
quième semaine, tandis que le second enfant n'en a jamais présenté.
Première
dent à 13 mois. 11 aurait été bien portant jusq
oitié droite du corps à la naissance. - Influence du lait morphine.
Premières
convulsions internes à 5 mois, suivies de 12 à
n. - Grossesse : .' son état de fatigue a continué durant les trois
premiers
mois ; de temps en temps, douleurs de tête avec
fois vomissements, accidents qui se sont présentés au début de la
première
grossesse (OBSERV. VI). A la fin du troisième moi
re et du corps. ); Vers la fin du mois de mai, elle a eu, pour la
première
fois, des convulsions internes : elle se réveilla
e au début de sa paralysie générale à l'époque de la- conception. -
Premières
convulsions à huit mois. - Bron- chite. - Sympt
rente de celle des autres enfants. A huit mois, dans le cours de sa
première
bronchite, au bout de deux semaines, elle a eu
alors seulement qu'on a noté l'existence de la hernie ombilicale.
Première
dent à 17 mois; elle n'avait pas ses 20 dents à s
s bavé et la langue restait hors de la bouche. Coryzas fréquents.
Première
ophtalmie à 4 mois; depuis, elle en a eu souvent
nné un résumé des travaux de M. Horsley et de M. Schiff, dans notre
premier
mémoire. 108 . CLINIQUE. ces malades et leur
llèle à la surface des cironvolutions, le second perpendiculaire au
premier
. Dans le pre- mier plan, les couches sont étagé
blanche offre des lésions de désintégration. Sur le milieu de cette
première
frontale gauche, la substance blanche a le même
qui gagnent la subslance blanche, comprennent en général les trois
premières
couches de l'écorce. On les trouve dans la plup
re, mère nerveuse, quatre frères et soeurs mortes de convulsions.
Premières
convulsions à six mois, secondes à neuf; puis con
- Beno..., né le 3 mai 1873, mort le 12 février 1884. A quatre ans,
premiers
vertiges, accès d'épilepsie à cinq ans, gâtisme
ise est prise en nappe, toujours au même point, au niveau des trois
premières
couches et présente à ce niveau trois ordres de
ommé Maisonh., 1868-1885, hérédité alcoolique et nerveuse, a eu ses
premières
convulsions à deux ans. Elles étaient limitées
ons à deux ans. Elles étaient limitées au côté gauche. A douze ans,
premières
attaques d'épilepsie, elles avaient ce caractèr
tissu scléreux par plaques dans la même région ne sont que les deux
premiers
degrés de l'altération. Sur d'autres (joints, e
ans, épilepsie tardive. Coupes du para, central gauche. - Les trois
premières
couches de l'écorce sont partout envahies et mo
d'une des circonvolutions frontales du côté gauche. Les lésions des
premières
couches de l'écorce sont comparables, mais beau
rompant l'ordonnance des séries longitudinales et prenant les trois
premières
couches. Elles ne sont pas au contact les unes
cas suivant, il s'agit d'un enfant de trois ans, Porte ? atteint de
premières
convulsions à trois mois. Parole et démarche nu
cris de un à cinq mois. - Convulsions internes à trois se- maines.
Premières
dents à huit mois; marche à un an; blésité ; fi
s un étourdissement et accom- paginée d'hallucinations de la vue. -
Première
attaque à quatorze ans et demi. - Etoiii-dissem
rtes, de dix à quinze minutes au plus. Jamais d'autres convulsions.
Première
dent vers sept ou huit mois, puis elles ont pou
quelqu'un ouvre la porte, il est aussitôt pris de peur, s'empare du
premier
objet de défense qui lui tombe sous la main, et s
nt rameux, anastomosés, et remanient complètement le plan des trois
premières
couches de l'écorce, qui ne sont plus reconnais
ix ALCANE - . EDITEUR -. LOS, Boulevard St-Germain, 108. 1900
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1899
1899. (Bicêtre et Fondation Vallée.) OURNEV1LLE, Bicêtre, 1899.
PREMIÈRE
PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du Servi
I. Enfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. Ce
premier
groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
de mange seul, marche et court librement, il exécute bien les trois
premiers
mouvements de la gymnastique des échelles (1'ir
s à l'aide de l'escaheau (Fig. 19 et 20), sauf ceux qui, venus du
premier
groupe, c'est-à-dire des idiots inva- lides éta
d tableau que quand l'enfant sait bien reconnaître les figures du
premier
. Nous avons recours aussi à des figures en bois
ec voyelles en rouges et consonnes en noir ; e) le zéro et les neuf
premiers
chiffres en noir ; f) le même tableau avec nomb
dans un des nom- breux livres consacrés aux notions élémentaires du
premier
âge, et où l'on apprendra à l'enfant par la pra
suivantes nous présentons à l'enfant la somme des boules des deux
premières
tringles, soit 5, et nous écrivons au-dessous c
en fixés dans la mémoire des enfants puisqu'ils les reconnaissent à
première
vue et les lisent couramment lorsqu'ils les ren
ande école). - La population de cette école était de 175 enfants au
premier
janvier. Tous, sauf 14 qui ne peuvent travaille
sous-sur- veillant, faisant fonctions de surveillant. M. Chérel,
premier
infirmier aux bains, a été nommé suppléant; l'l
que nous avons pu obtenir pour elle, c'est qu'elle soit nom- mée
première
infirmière. Nous estimons qu'il y aurait mieux
irmière. Nous estimons qu'il y aurait mieux à faire. Teigne. - Au
premier
janvier 1899, il restait dans le service 17 tei
n (Amandine), surveillantes ; 11m° BEAUMOXT, sup- pléante ; trois
premières
infirmières : Milo HuGUET, M"10 Gerder et Mlle
du concours actif qu'il nous ont prêté pour l'illustration de cette
première
partie de notre Compte-rendu de Bicêtre. . ?
xigeant un lavage quotidien du parquet mal jointoyé, non hourdé, du
premier
étage, il en résulte des infiltrations d'eau to
lle lit couramment, suit des dictées élémentaires, fait les trois
premières
opérations de l'arithmétique. Sa parole s'est n
ux exercices de ses compagnes. Elle lit par syllabes, fait les deux
premières
opérations de l'arithmétique, écrit lisiblement
n conforme que voici : Le Conseil général, Délibère : « Article
premier
. - Est approuvé, dans la limite d'une dépense d
x faibles d'esprit, il se trouve actuellement, après le retrait des
premiers
, dans les classes dont nous nous occupons, des
e d'enseignement spécial comme étant définitivement arrê- tée. En
premier
licu, il a fallu s'occuper d'adopter le pro- gr
ition du Secrétaire général de la Préfecture ; Arrête : Article
premier
. Des secours de t fr. 50 à 2 francs à allouer p
ectants. il. le Dr Bourneville répond qu'il ne peut s'agir que du
premier
cas et c'est l'opinion de iL le Préfet ; le sec
é. Grand-père maternel mort paralysé. Tante maternelle hystérique. -
Premières
convulsions à 22 mois pendant 2 heures. - Secon
e 23 janvier 1897 dans le service. Il a été soumis au traitement du
premier
mars au 31. août 1898. 25 avril. - Rougeur mo
de l'état général. Le traitement, interrompu, dès l'apparition des
premières
manifestations cutanées, est repris le 2 mai, à
vulsions à quatorze mois pendant onze heures. - Parésie à gauche. -
Premiers
accès cinq ans. Mort de broncho-pneumonie. Fo
s le service le 25 sep- tembre si891, a été soumis au traitement du
premier
mars au 24 mai. 27 avril. - Gonflement de la
ns pendant 7 heures. Violents accès de colère. Vertiges vers 3 ans.
Premier
accès à 7 ans et demi. - Incontinence d'urine.
OSIXATE DE SODIUM. 27 Br... (Pierre), 20 ans. Eosinate de sodium du
premier
juin au 3 1 août. Ce malade n'a présenté aucu
crises nerveuses attribuées à des vers. - Pas de convul- sions. -
Premier
accès d'épilepsie à 13 ans. - Excitation maniaq
glène), '13 ans. Entre le 4 octobre 1894. - Éosi- nate de sodium du
premier
juin au 31 août. 9 juillet. - Coloration rouge
els auec sa soeur. Caractère méchant, kleptomanie, Rougeole, otite.
Premier
accès à neuf ans. Ressa... (Eugène), 19 ans.
. Parole a deux ans et demi, propreté à deux ans. - Rou- geole. -
Premières
convulsions de huit mois; prcn,ic1' accès à 10
enee, - Grand-oncle maternel aliéné. - Tante maternelle nerveuse. -
Premières
con- vulsions à trois ans suivies d'hémiplégie
e la poitrine. Rougeole, scarlatine ; onanisme précoce, cauchemars.
Premier
accès à 5 axis. Dor... (Auguste), 17 ans. Eosin
erveuse. - , Etat asphyxique à la naissance. - Hémiplégie gauche.
Premières
convulsions il. dix-huit mois, - Cinq ou six au
é aux régions précitées. Il occupe de même le dos de la main et des
premières
phalanges. C'est un gonflement mou, non oedémat
mère s'aperçut, que le bras droit était paralysé. Gourme à 9 mois.
Première
dent vers 9 mois ; dentition complète à deux an
uit. - La température rectale prise matin et soir durant les cinq
premiers
jours a oscillé entre 37° et 31°.4. Traitement.
emi- flexion : avant-bras un peu fléchi, poignet fléchi, les deux
premières
phalanges relevées, le pouce en sub-luxation. L
evé au biberon avec du lait et du vin. - Habi- tudes alcooliques. -
Premier
accident nerveux à 12 ans 1 J2 à la suite d'une
tion ne dénote rien dans les poumons ; au coeur, léger souille au
premier
temps à la base. Le foie; déborde un peu les faus
ision; iL la lin du mois, il fait de petits problèmes sur les trois
premières
opérations; il acquiert quelques notions élémen
ception, grossesse, accouchement, naissance, rien de particulier. -
Premières
dents à 6 mois; dentition coin- plète-à 15 mois
n conformé. Nourri au sein par sa mère, sevré à 11 mois. Les deux
premières
dents ont paru à G mois. Dentition com- plète à
x reprises, il partit sans prévenir ses parents. Il est revenu la
première
fois quelques hcures après ; deux autres fois, à
p d'affection pour ses parents. Pas de pyro- manie ; mais depuis sa
première
frayeur il avait conservé une grande peur des a
lques progrès. Il lit couramment, sait faire exactement les trois
premières
opérations de l'arithmétique ; l'écriture reste d
é nombreux dès le début et sont restés tels pendant les six ou sept
premiers
mois de son sé- jour à Bicêtre, ont diminué à p
n d'anormal - Élevé au sein par sa mère jusqu'à 14 mois. - Les deux
premières
dents ont percé le même jour à 8 mois. Dentitio
le étant très contents de lui. Exeat. 1899. 8 mai. - Durant les six
premiers
mois de sa sortie 8.... a été très tranquille e
ception, grossesse, accouchement, naissance, rien de particulier. -
Premières
convulsions à 8 mois pendant 4 heures : consécu
où elle resta jusqu'à un an. C'est lit qu'elle a eu, à 8 mois, ses
premières
convulsions qui coïncidèrent, dit-on, avec l'ap
emières convulsions qui coïncidèrent, dit-on, avec l'apparition des
premières
dents. Ces convulsions survinrent la nuit, débu
gts. La température rectale, prise matin et soir pendant les cinq
premiers
jours de l'admission, a oscillé entre 3î ? et 36n
; crie beaucoup quand, aux repas, elle n'est pas servie l'une des
premières
: c'est sa seule manifestation intellectuelle.
d du lobule de l'insula qui, lui, a trois digitations dont les deux
premières
sont bifurquées. Face interne. - Aucun îlot scl
ps. - Vomis- sements abondants pendant les trois premiersmoil', -
Première
dent à 10 mois; à cette époque, c'Onvulsions. -
e de cet évanouis- sement. Vomissements fréquents pendant les trois
premiers
mois ; elle n'a pas eu d'attaques d'hystérie du
n de particulier. - La mère l'a élevée au sein pen- dant 14 mois. -
Première
dent it dix mois, ou ignore à quelle époque la
ontinence nocturne d'urine. Elle aurait eu des convulsions après sa
première
dent, trois dans la même journée, localisées à
- lecture de police et il l'Asile clinique et pendant les quatre-
premiers
jours qui ont suivi son admission dans notre se
r de 9 ans crises épileptiformes. - Début de la parole à 2 ans. -
Première
dent à 8 mois. - Dentition complète à 2 ans. -
quent une première phase de la dentition et concernent les dents de
premier
remplacement, c'est-à-dire les incisives perman
quand même. - La vue est très mauvaise, au point qu'on est tenté au
premier
abord de la croire aveu- gle. - L'ouïe paraît n
e en sérieuse considération. Notons toutefois que, durant les six
premiers
mois, la tête de la fillette aurait été normale
rmal jusqu'à 13 ans. - Céphalée de l'adolescence; éblouissements. -
Premier
accès à hais. - Accès men- suels ou bi-mensuels
ième à huit mois d'intervalle. Il ignore absolument la cause de son
premier
accès. A partir de 15 ans, les accès ont reparu
x HI3V'I '6681 'a.t ? 9o ? 'a'I'IIAaN\Hlog l TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1899
Félix ALCAN EDITEUR . 108, Boulevard St-Germain, 108. 1904
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 4903
4903 (Bicêtre et Fondation Vallée) BOURNEVILLE, Bicêtre, 1903.
PREMIÈRE
PARTIE Section 1 : Bicêtre. Histoire du Servi
. Enfants idiots, galeux, épileptiques ou non, mais invalides. - Ce
premier
groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
des enfants ayant déféqué au siège après les repas, durant les 5
premiers
jours de chaque mois. Voici ce relevé qui a por
ttention devient plus fixable, il peut maintenant exécuter les deux
premiers
mouvements à la gymnastique des échelles, saute
gracieusement à notre disposition. Elle est aidée par Mm. Landier,
première
infirmière. Quarante enfants composent cette éc
pour la lecture courante, l'écriture est lisible ; il fait les deux
premières
opérations. Il réfléchit et fait part de ses ré
est difficile de le tenir longtemps assis, cependant il ébauche nos
premiers
exercices, essaie de boutonner, lacer. Il place
ui nous ont fait réclamer sans succès le rétablissement du poste de
premier
instituteur qui a existé pendant longtemps. La
beaucoup amusé les enfants. Caisse d'épargne. Elle est confiée au
premier
de nos instituteurs, M. Mesnaud. Les recettes o
ême que nous pre- nons la température à l'entrée, durant les cinq
premiers
jours (1) pour savoir si l'enfant n'est pas sous
st donc facile à établir. A Bicêtre, 83 enfants ont été atteints du
premier
janvier au 10 novembre. L'épidémie s'est étendu
tement dévié en dedans ce qui l'empêche de distinguer les lettres à
première
vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a a ap
ducation de laparole. CXLIX Syllabes simples; Syllabes simples,
premier
groupe. CL Traitement \IÉDICO-PÉD : 1GOGIQUE.
gique soit mis en pratique le plus tôt possible a Clermont. Votre
première
Commission, Messieurs, vous demande d'ac- corde
pendant tonte la durée de la grossesse, céphalal- gics, syncopes.
Première
dent à 8 mois ; début de la marche à 12 mois ;
horée à 14 ans, d'abord limitée au côté gauche, puis généralisée.
Premières
règles en mai 1892. Première attaque d' hystérie
tée au côté gauche, puis généralisée. Premières règles en mai 1892.
Première
attaque d' hystérie en avril 1892. Soignée à la
re semaine, 0 gr. 75 lu seconde, 1 gr. ensuite jusqu'à la fin de ce
premier
traite- ment (18 mars). A ce moment : taille :
, 1903. Nanisme par arrêt de développement simple. 19 Au début du
premier
traitement, les cartilages ppiphy- saires du fé
s. 1899. - Poids 33 k. 300 : taille 1 m. 32 (au lieu de 1 m. 38).
Premier
traitement du 20 juin au 28 février : 0 gr. 50,
ages épiphy- saires, nous le soumettons au traitement thyroïdien.
Premier
traitement, du nos. 1899 au 8 fév.1900 : 0 g1. 50
entrée le 4 mars 1901. L It101. Poids : 43 kg. Taille : 1 ni. 41.
Premier
traitement du ? juin au 31 août, 1 gr. Poids : 41
au lieu de 1 m. 03. 1901. Poids : 20 kg. 500. Taille : 1 ni. In,
Premier
traitement Nanisme par arrêt DE DÉVELOPPEMENT s
oïdienne. Son poids est de 35 ksi1.400, soit en moinsIS kil. 500.
Premier
traitement (juin 1896 afin mai 1898) : 0 gr. 25 j
séjour à la campagne de 1 âge de 9 mois jusqu'à l'âge de six ans. -
Première
dent à. 7 mois. Dentition complète à ( ? ) mois
lsions se reproduisirent ensuite en moyenne une fois par jour. A sa
première
dent. à 8 mois, crises convul- sives plus forte
e alcoolique. - Grossesse accidentée par des coups et des syncopes.
Première
dent (t 10 mois. Marche et début de la parole i
Différence d'âge de 15 ans entre les conjoints. 6 enfants. Les deux
premiers
sont bien portants et normaux. Le troisième est
Il n'est pas encore propre. Jamais de convulsions. Durant toute sa
première
enfance, le sujet est chétif et mal portant. So
blée par de nombreux accidents. (Mauvais traitements du mari, etc.)
Première
dent à 1 an. Parole à 2 ans. Marche à 16 mois.
1896. Poids : 35 kil. 811 ; taille 1 m. 35, soit 15 cent. en moins.
Premier
traitementdu 10 juin 1896 au 29 mai 1897, 1 gr.
s âgé.) Sept enfants. Le père de notre malade a eu 4 enfants d'un
premier
mariage. Ils sont normaux, sobres, non obèses, de
second mariage, sont nés trois enfants, dont notre malade. Les deux
premiers
, filles, sont mortes tuberculeuses, l'une à 23
heures. Présentation du sommet. A la naissance, pas d'asphyxie ;
premiers
cris naturels. Il était « gros comme un enfant
. - Allaitement au sein maternel jusqu'à l'âge de deux ans et demi.
Première
dent à 7 ou 8 mois, dentition complète à une ép
jamais eu d'hallucinations, de tremble- ment, ni de céphalalgie.
Première
dent à 9 mois; dentition complète à deux ans. E
ever pour la débarbouiller», « l'enfant était grasse de partout » -
Première
dent il cinq mois. - Marche à 4 ans. - Gâteuse
; Sein gauche : diamètre vertical : 16 cm., transversal : 18 cm..
Premières
règles en juin, abondantes. 1898. - Les organes
e, vomissements, étourdissements. - Très petite à La nais- sance.
Première
dent it 4 mois. Dentition complète à 3 ans. Mar
n'a pas eu de convulsions, marié deux fois, et sans enfants : sa
première
femme se faisait avorter, sa deuxième était trop
la naissance jus- qu'à cet âge. Allaitement au sein jusqu'à 3 ans.
Première
dent à 4 mois ; dentition complète vers trois a
la famille, on ne cite aucun obèse ni aucun nain. État actuel. - A
premier
examen, l'enfant peut être classée parmi les na
sanguinité. légalité d'âge. La mère a été mariée deux fois ; de son
premier
mari, mort d'une congestion pulmonaire, elle eu
s à la naissance. Elle fut nourrie au bibe- ron (lait de chèvre).
Première
dent il -13 mois. Dentition complète il 2 ans. Dé
, l'enfant poussait quelques cris.- Elevée au sein jusqu'à 22 mois.
Première
dent à six mois, dentition complète à 2 ans. L'
eu saillantes. Petites lèvres, clitoris, capuchon peu déve- loppés.
Premières
règles le 19 février. Elles sont et resteront m
ectropion. - Dentition complète. Dents de forme nor- male. Les deux
premières
molaires supérieures sont hors rang, saillantes
ement rapide avec beaucoup d'eau. - Enfant chétif à la naissance. -
Première
dent à un an. Dentition complète à 4 ans. - Con
arquée des apophyses épineuses des 6e et 7e cervica- les, des trois
premières
dorsales, formant une convexité pro- noncée tou
l. - Grossesse,' accidentée par des ennuis, mais ni peurs ni coups.
Première
dent a 13 mois. - Dentition complète, marche, p
mois, évolution lente, pronon- ciation défectueuse, voix enrouée, -
Premiers
signes de l'idiotie. - Rougeole à 2 ans '/2. Co
enfant comme il faut.» Rien autre à signaler durant la grossesse. -
Premiers
mouvements de l'enfant vers ix mois, semblables
le était plus cal- me que ses frères et soeurs. Sevrée h 18 mois.
Première
dent vers 13 mois. La première dentition a été ma
Poids, 19 kgr. - Taille, lm. 09cent. La température, prise les 5
premiers
jours de l'entrée, oscille entre 36°, 6 et 37,4 .
et cela, pourrait-on dire, dès la vie '1*7-tlïa-ut( ? i-ine, les
premiers
mouvements f m taux n'ayant été perçus par la m
d'élevures ou bien d'ulcérations, de ramollissement, qui sont le
premier
stade d'un état très fréquent dans les méningo-
t. En certains points il se produit un véritable tassement, qui à
première
vue ferait croire il une quantité normale d'é-
ose s'étend en îlot autour des vaisseaux (1). Corps thyroïde. A
première
vue, la constitution générale de cette glande s
e. Du côté des cellules nerveuses de l'écorce, ce qui frap- pe, à
première
vue, c'est l'extrême pauvreté des couches. Leur
. 700, soit 2 kil. 740 au-dessous du poids moyen à son âge. 1902.
Premier
traitement du 12 mai au 31 août 1902. Glande th
sance normale, qui est de 5 cent. 7. De 6 à.7 7 ans et demi, cinq
premiers
mois de 1904, elle a gagné trois centimètres,ta
du traitement thyroïdien. La nutrition - et nous avons été l'un des
premiers
, si- non le premier, à relever ce point - est p
r l'année 1903, nous avons cru devoir y joindre les traitements des
premiers
mois de 1904. il Idiotie congénitale ; microc
cia- tion et une pâleur générale. Sa température oscille les cinq
premiers
jours, entre 37°, 5 et 38°, G. Elle tousse beauco
re plus âgée). Conception, grossesse, accouchement, rien à noter.
Première
dent à 6 mois, dentition complète à 15 mois. Ma
microcéphalie en sont la démonstration. Quelle que soit la cause
première
de l'arrêt de développe- ment des centres nerve
ption, grossesse, accouchement, naissance, rien de particu- lier.
Première
dent- à huit mois; dentition complète à deux ans
L'enfant semblait bien portant et pesait cinq livres et demie; ses
premiers
cris ont été naturels. Allaitement au sein par
été naturels. Allaitement au sein par la mère; sevrage à deux ans.
Première
dent à huit mois. Dentition complète à deux ans
è- dent, à intervalle de dix minutes ou un quart d'heure. Lors du
premier
, la température est de 37°,6 au moment du ronflem
age. Débilité à la naissance.- Allai- tement artificiel irrégulier.
Première
dent : 16 mois. Mar- che et parole nulles. - Gâ
complexe à laquelle la mère attribue le gros ventre de l'enfaut. -
Première
dent à 16 mois. La den- tition n'est pas complè
ndante. SR, sillon de Rolando. SS, scissure de Sylvius. 1' Tri,
première
et seconde circonvolutions temporales. P1, P2,
ne de l'hémisphère cérébral gauche de Tard. (p. 198 et 214). I'a,
première
frontale. C C C, circonvolutions du corps calle
5, ligne 15 au lieu de PL. III, lire Pr,. VII. TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année' 190
s enfants. Nous avons dit qu'elle occupait la plus grande partie du
premier
étage du bâ- timent dit de la Force; - qu'elle
e mauvaises habitudes. Ajou- tons que, plusieurs fois, les matières
premières
ont man- qué et que le travail a dû être suspen
ques. - Soeur morte de convulsions. Frère mort de maladie bleue. --
Premières
convulsions à 7 mois et demi : symptômes ; - Ve
on trouve sept ou huit îlots ou mieux bandes transversales ; les 2
premières
siè- gent à la partie inférieure de la tête du
maladie parait avoir débuté à 7 mois et demi, par des (1) Les deux
premières
observations ont été publiées dans les A 1'- es
Quatre cas seulement paraissent avoir été publiés jusqu'ici : le
premier
a été recueilli par l'un de nous à la Salpêtrière
rises convulsives. - Deux cousins aliénés.- Pas de consanguinité. -
Premières
convulsions à trois mois; prédominance à gauche
nfermer. Pas de gourmandise, de klepto- manie, de pyromanie. Dès sa
première
enfance, son som- meil était agité; il faisait
int de douleurs de tête, a de la fièvre, etc. ; et, tandis que le
premier
état de mal n'avait pas intéressé la motilité, qu
airer cet intéressant sujet. Toutefois, avant d'aborder l'exposé du
premier
cas que nous avons observé, il nous semble util
ternelle : carcinome. - Autre frère : aliéné. - Excès de boissons.-
Premier
accès consécu- tif aune peur, a 18 ans ; délire
yeur (voleur caché dans la chambre à farine de son père), il eut sa
première
crise; il tomba privé de connais- sance et se d
anc et se meurtrir les jambes. Ce deuxième accès fut semblable au
premier
, et suivi d'un délire de deux jours. Le troisième
e troisième accès survint en 1872, alors qu'il retravaillait de son
premier
état, et fut suivi d'un 4e quelques heures aprè
re, sonorité normale. - Circulation : peut-être un léger souffle au
premier
temps et à la pointe; battements du coeur régul
énite, ni de syphi- lis, de scrofule ou d'eczéma. Intelligence. A
première
vue, Cher... paraît assez intelligent ; ses yeu
l'izs2cla loeu plissé, 3e circon- volution frontale bien dessinée;
première
et seconde cir- convolutions frontales très cou
a- dencés du tambour. Edern était donc susceptible d'atten- tion.
Première
conquête. Pouvait-il le devenir de réflexion ?
frontale. A droite, elle est divi- sée vers la moitié, au niveau du
premier
sillon frontal, par une ir.cisure perpendiculai
ndique gauche qui est aussi au niveau de l'extrémité postérieure du
premier
sillon frontal, mais qui est trop courte pour p
endance à se prolonger jusqu'à la scissure de Rolando avec les deux
premières
circonvolutions frontales, remplaçant par leur
I, 1370. 42 IDIOTIE ET ÉPILEPSIE. entre l'extrémité antérieure du
premier
sillon frontal et le coude de la scissure de Ro
branche recourbée qui unit t à gauche les extrémités antérieures du
premier
et du deuxième sillons frontaux. « La deuxièm
E. 43 arrière, elle s'anastomose par sa très mince racine avec la
première
circonvolution frontale et la prérolandique. Puis
ure avec la branche recour- bée émanée de l'extrémité antérieure du
premier
sillon frontal. «La troisième circonvolution
continue avec la première temporale, s'élargit vers l'extrémité du
premier
sillon temporal, dans sa partie postérieure qui
al, le deuxième pli de passage étant tout à fait profond comme le
premier
; de plus, de ce côté, le troisième pli de passag
e occipitale primitive analogue à celle du côté droit, où les trois
premiers
plis de passage auraient été profonds aussi ; a
convolutions temporales dans leur partie an- térieure, et les trois
premiers
sillons temporaux ont leur ex- trémité antérieu
le, il était sujet à des accès de colère, principalement lors des
premiers
temps de son mariage, c'est-à-dire à l'àge de 3
7 heures de travail. L'enfant fut élevé au sein pen- dant les trois
premiers
mois, puis au biberon jusqu'à 30 mois. A neuf m
en- tièrement cessé depuis le 13 décembre 1880. Durant les trois
premiers
mois de 1881, l'enfant a conservé une certaine
ts idiots et épileptiques. Observation I. Idiotie. - Epilepsie. -
Premières
convulsions à 7 semaines. - Rumination. - Rouge
de la mère. Elevé au sein jusqu'à 26 mois, il a été atteint de ses
premières
convulsions à 7 semaines. Celles-ci consistaien
nerveuse; consanguinité. (L'enfant est issu de cousins germains).
Premier
accès d'épilepsie à trois ans, le second, un mo
e. Jusqu'à six ans, iln'a rien présenté d'anor- mal. Acette époque,
premières
convulsions. A partir de six ans et demi, bien
cé thermométrique oscilla autour de 38°. Observation VII. Idiotie :
Premiers
indices de l'ab- sence d'intelligence. Ruminati
e de l'encéphale sont régu- liers, sauf les pédoncules cérébraux. A
première
vue, on est frappé de leur différence de volume
tte hypothèse. Observation XIII. Mère très nerveuse, alcoolique.-
Premières
convulsions n un an. - Deuxième attaque A 3 ans
, ne présenta rien d'anormal jusqu'à l'âge de 17 mois. A ce moment,
première
attaque de ('on... idiotie complète. 141 nuis
ations. Observation XIV. - Mère très nerveuse, faible d'esprit. -
Premières
convulsions dans la première année. - Début de
e. Rupture du cordon au moment de la naissance; chute sur le sol.
Premières
convulsions à trois ans. - Apparition des accès
onne santé. Notre malade. - La grossesse a été bonne; pendant les
premières
semaines est survenue l'éruption de psoriasis,
ropre et se montrait assez intelligent. De 2 ans et demi à 3 ans,
premières
convulsions. A quatre ans, lors de sa première
ns et demi à 3 ans, premières convulsions. A quatre ans, lors de sa
première
entrée à Bicêtre, l'enfant était dans IDIOTIE C
echerches ont été sans résultat. En effet, lors de l'apparition des
premiers
cas de rougeole dans le service, aucun des enfa
39° et 40°. Ainsi que l'a fait remarquer Wun- derlich, « dans cette
première
élévation la température n'atteint que très exc
moins on notait la persistance de quelques-uns des symptômes des
premières
périodes. Nous n'insisterons pas sur les tracés
assez sérieuses à l'appui de cette opinion. TABLE DES MATIÈRES
Première
partie. EXPLICATION DES PLANCHES 172 EXPLICAT
. Microcéphalie. Face convexe de l'hémisphère gauche. F1, F2, F3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
? C, C, corps calleux. C c, circonvolution du corps calleux. r,
première
circonvolution frontale. H, circonvolution de l
cliniques et thermométriques sur les mala- dies du système nerveux.
Premier
fascicule : Uémorrhagie et ramollis- sement du
photo-lithographies. Douze livraisons forment un volume. Les trois
premiers
volumes sont en vente. - Prix de la livraison : 3
nt-bras (qui étaient gonflés). » Telle fut,Messieurs, l'origine des
premières
recherches de M. Morvan. Arrivons maintenant à l'
apparition de panaris, qui sont, par conséquent, consécutifs aux deux
premiers
symptômes mentionnés. La parésie et l'analgésie p
omène du syndrome qu'il nousreste à étudier, est le panaris. C'est au
premier
abord un panaris ordinaire, débutant comme le pan
s le cas de Prouff, il y a eu vingt ans d'intervalle entre les quatre
premiers
panaris qui ont touché la main droite et les quat
observations, on relève l'existence d'un traumatisme à l'origine des
premiers
accidents, mais cela est loin d'être constant.
se passait après l'évolution et la guérison des panaris. Pendant son
premier
séjour on l'électrise, on lui donne quelques poti
ne trouve plus trace aujourd'hui. Etat actuel. — Ce qui frappe, au
premier
abord, en voyant ce malade marcher, c'est la posi
chez un pharmacien qui lui fit avaler quelques drogues et procéda au
premier
pansement d'une fracture du radius qui fut reconn
fracture s'accompagnait d'une vive douleur et que l'application de ce
premier
appareil, ainsi que de celui qu'on plaça un peu p
riques. (Leçon du 13 novembre 1889). Sommaire. — Date récente des
premières
études sur le tremblement hystérique : travaux de
'hystérique. En quoi ce tremblement-ci différera-t-il cliniquement du
premier
? Cela restera à déterminer. Pour en Unir avec
ténuer, vous pourrez à volonté le faire reparaître avec son intensité
première
, par une pression exercée sur les points hystérog
tte issue si désirable n'est pas en dehors des choses possibles. Ce
premier
cas, Messieurs, est un bel exemple du type intent
C'est à 17 ans, alors qu'il travaillait à la campagne, qu'il eut sa
première
attaque de nerfs. Elle se produisit sans aucune c
el on pourrait attribuer un certain rôle dans le développement de ses
premiers
accidents nerveux, si l'on était mieux fixé sur s
hystérique du type intentionnel qui peut être justement rapproché du
premier
malade de la leçon précédente. L'analogie avec la
e pas croire qu'il y ait une relation, un lien quelconque entre cette
première
série d'accès migraineux et ceux que nous avons à
ble. Ainsi vont les choses pendant une longue série de jours. Dans ce
premier
accès, la durée de la période douloureuse n'a pas
enté, d'ailleurs, exactement tous les caractères signalés à propos du
premier
accès. Les symptômes de paralysie oculo-motrice,
été marquée par tous les incidents que nous avons décrits à propos du
premier
accès : hé-micranie droite, vomissements, exacerb
nt fut continué pendant environ trois mois. 2e accès. — Après cette
première
crise, liberté presque absolue pendant près d'une
mplacée par une paralysie oculo-motrice, en tout semblable à celle du
premier
accès, mais qui cette fois n'a pas duré plus de 8
ui cette fois n'a pas duré plus de 8 jours, du moins avec l'intensité
première
. Pendant les trois années qui suivirent cette a
tête localisées à droite dans les régions indiquées à propos des deux
premières
attaques. Vomissements ; exaspération de la doule
par Sydenham. L'œdème bleu est encore à peu près inconnu aujourd'hui.
Premières
observations de M. le professeur Charcot, travaux
. Wallet, entre les mains de qui la malade se trouvait à l'époque des
premiers
accidents, a pratiqué des mensurations des deux m
ne se souvient pas d'avoir été malade étant petite, ni plus tard. Sa
première
maladie serait, dit-elle, la maladie actuelle.
rûlure des pointes de feu, ressentie d'une façon assez nette lors des
premières
séances, ne fut plus du tout perçue dans la suite
n deux mots que le sciatique poplité externe, après avoir fourni deux
premiers
rameaux, la branche cutanée péronière et l'access
inférieur droit. (Lefebvre. Thèse citée.) Femme de vingt et un an.
Premier
accouchement ayant duré deux jours et deux nuits;
élancements violents. Point douloureux péronier, au cou-de-pied, aux
premier
et deuxième orteils. Refroidissement notable du p
de M. Dorion (1) est peut-être plus ingénieuse et plus séduisante au
premier
abord. Mais elle (1) Dorion. — Thèse citée. d
l'été et le malade ne se rappelle pas avoir été exposé avant cette
première
atteinte à aucune fatigue, ni au froid, ni à l'hu
ouleurs continues, sourdes, sans élancements, du moins dans les trois
premières
atteintes, exaspérées par la pression au niveau d
rdissements de toute la région antéro-externe de la jambe gauche. A
première
vue, il semble qu'il existe un certain degré d'at
it donc pu penser qu'il s'agissait là d'un cas à ranger parmi ceux du
premier
groupe. Mais nous avons pu nous convaincre qu'il
un homme de 43 ans, fils de père et de mère diabétiques ; lors de mon
premier
examen, il avait les deux paupières tombantes, l'
e. Pas de douleurs fulgurantes. Pas de vomissements. Le 4 novembre,
première
consultation de M. Charcot. On note la paralysie
132. Faiblesse extrême. Rien dans la poitrine. Enorme souffle au
premier
temps du cœur, remplissant tout le devant de la p
t cependant exister le plus souvent dans les cas de ce genre. Notre
premier
malade est un ancien peintre en voitures, âgé de
dre impotent. La chute des paupières survint un an après le début des
premiers
accidents. Actuellement, le malade présente le fa
. Aux avant-bras l'atrophie porte surtout sur les extenseurs. Mais au
premier
abord elle paraît se répartir à peu près égalemen
Les membres inférieurs, la moitié inférieure du tronc, paraissent au
premier
abord absolument indemnes. Les cuisses ont conser
ction avec le maximum du courant faradique, plus faible pour les deux
premiers
. Mêmes réactions pour le courant galvanique. Thén
nous devons à M. Joffroy ont un tout autre caractère (1). Dans son
premier
cas, la malade, que j'avais observée pendant long
de son vivant, sur une main, un pouce amputé et une mutilation des 3
premiers
doigts, à la suite des panaris; seul, l'auriculai
et qui a consisté dans la désarticulation du médius. Vous pouvez à
première
vue constater les mutilations qu'a subies le mala
de ce genre; il ne faut pas dogmatiser immédiatement et légiférer du
premier
coup, par une déduction hâtive. Les données du la
. Gilles de la Tourette n'en a rencontré que trois; 2° A côté de ce
premier
groupe, il convient d'en placer un second. Dans c
de cette distribution de I'anesthésie qui peut paraître singulière au
premier
abord. Il n'existe point d'autre plaque d'anest
vertiges, scotodinie, il tombe sans connaissance. Il paraît que cette
première
attaque a duré environ une heure. Il s'était heur
pressentiment que l'impression fâcheuse, qui semblait se dégager d'uu
premier
interrogatoire forcément hâtif et incomplet, n'ét
rome de Weber, et qu'à ce titre elle présente pour nous un intérêt de
premier
ordre. 11 faut, pour bien comprendre l'existenc
ueur, car vous n'ignorez pas que l'alcool est un agent hystérogène de
premier
ordre. Mais vous allez voir que, du côté maternel
Antécédents personnels. — N.....est née à Paris; elle a eu dans sa
première
enfance la rougeole et la variole sous une forme
ter l'école qu'elle a dû quitter plus tard vers douze ans. A dix ans,
première
menstruation ; depuis lors, règles assez régulièr
nerai le cas à un nouveau point de vue, et je vous démontrerai que ma
première
argumentation, pour spécieuse qu'elle pouvait par
s convenablement leur place, et, revenant alors sur notre inspiration
première
, nous construirons un nouvel édifice, beaucoup
quer la scoliose : on peut admettre que l'affaissement d'une des deux
premières
vertèbres dorsales dans leur moitié droite a incl
tation des faits, l'on se laisse dominer à l'excès par son impression
première
, et aveugler par une opinion prématurément conçue
tre, à chaque pas qu'il fait, sans pouvoir la diriger. Cependant, à
première
vue, M. Charcot déclare à M. X... que cette démar
ime qu'il suit pendant plus de dix ans (nourriture excellente, vin de
première
marque, exercice plus que modéré), il se réveille
t de la percussion. On obtient, par ces procédés, un renseignement de
premier
ordre, ainsi que vous allez le reconnaître. La pa
rnet moyen. Voilà encore un stigmate syphilitique et un stigmate de
première
valeur dans l'histoire de la syphilis héréditaire
econnaîtrez sans peine, si je vous rappelle un détail tragique de son
premier
interrogatoire. C'est ce même homme qui, ici-même
et de le corser aux moindres indices d'un retour agressif. Quant au
premier
malade, en face de son hémiplégie permanente, nou
lésions ophthal-moscopiques prendrait une importance diagnostique de
premier
ordre. C'est ici le lieu de signaler les importan
plète et typique de la sclérose cérébro-spinale. Pendant les quatre
premières
années qui suivirent son rhumatisme, B... resta c
tif basé sur la connaissance des troubles dont elle est atteinte ? Au
premier
abord on est assez aisément dérouté. Il paraît év
enta aux auditeurs de la Clinique la malade qui fait l'objet de notre
première
observation (2). Avant cette date, les recherch
une idée par la lecture des quatre cas suivants, particulièrement du
premier
et du troisième qui furent pendant longtemps l'ob
e a été inscrit pendant quatre minutes consécutives. Pendant les deux
premières
minutes, représentées par les deux lignes inférie
que ces bâillements produits par imitation représentent assez bien, à
première
vue, les bâillements de la malade, le tracé y déc
ments incoercibles tels qu'on les remarque aujourd'hui. Pendant cette
première
attaque, il y eut une courte période de convulsio
'attaques, le rythme et la cadence sont des éléments différentiels de
premier
ordre qui ne paraissent pas exister dans les bâil
if aux attaques de la malade dont l'histoire est rapportée dans notre
première
observation. noms volume RESIDU FIXE pouu 1
bâillements sans perte de connaissance de sa voisine. A l'une de ses
premières
crises, elle se luxa la mâchoire et resta la bouc
ent et ne se reproduisirent plus par la suite. (G. G ). Fin du Tome
Premier
. TABLE DES MATIÈRES i. De la Maladie de Mor
s tremblements hystériques. (Leçon). Sommaire. — Date récente des
premières
études sur le tremblement hystérique : travaux de
r Sydenham. L'œdème bleu est encore à peu près inconnu aujourd'hui.
Premières
observations de M. le professeur Charcot, travaux
légie syphilitique, 397. B Bâillements hystériques, 429 ; — comme
première
manifestation de l'hystérie, 430: — tracés, 433,
ble et le sujet bien con-formé , le cathétérisme doit se pratiquer du
premier
coup en sui-vant avec précision la manœuvre indiq
le en étendue à la fente palpébrale entre ses deux commissures. Cette
première
incision étant faite, en décrire,aux dépens des t
appliquée en travers sur la région sour-cilière, maintient les trois
premières
. L'œil doit être ainsi main-tenu ouvert artificie
ont de trois genres : enkystées, cellulaires et cancéreuses. Les deux
premiers
se rapportent plus particulièrement à la peau et
qu'à le séparer en ar-rière. Le kyste enlevé en totalité, réunir par
première
inten-tion. 20 Excision par la conjonctive (pl.
sur divers points de la con-jonctive oculaire ou palpébrale ont pour
premier
élément le dé-veloppement anévrismatique de petit
de croire qu'un problème aussi complexe ait pu se ré-soudre ainsi du
premier
jet. Comme toutes les idées vraiment fé-condes ,
frir l'un ou l'autre de ces trois caractères; la capsulaire, les deux
premiers
seulement: l'interstitielle est tou-jours liquide
au dix-huitième mois de la naissance; Lawrence, encore plus hardi, du
premier
au deuxième mois. Les chances de succès diminuent
méthodes : ïabaissement, Yex-traction et la méthode mixte ; les deux
premières
renferment plusieurs procédés. première méthode
a méthode mixte ; les deux premières renferment plusieurs procédés.
première
méthode. — abaissement. Le mot abaissement renf
aisir l'ai-guille comme une plume à écrire entre le pouce et les deux
premiers
doigts de la main qui opère; prendre un point d'a
tion du lambeau cornéal. Saisir le couteau de Richter entre les trois
premiers
doigts de la main qui opère, et tenu horizontalem
e temps. Armé du couteau elliptique de Wenzel, tenu entre les trois
premiers
doigts mais incliné obliquement eu haut à angle d
nt d'un à deux millimètres de la circonférence de la sclé-rotique. Ce
premier
temps étant achevé, on procède à la divi-sion de
l'excision, le décollement et l'extension de la pupille naturelle.
première
méthode. — incision. Coreclomie (de xéon , pupi
l'abaissement du cristallin, l'opération se divise en trois temps.
Premier
temps. Le couteau tenu comme une plume à écrire,
liaire. Procédé de M. Velpeau (pl. 11, fig. 5 ). Ce n'estautrequele
premier
temps du procédé de Wenzel. Au moyen d'un petit c
ion du lambeau de l'iris. i° Incision de la cornée et de l'iris. Ce
premier
temps, emprunte par M. Velpeau, nous est déjà con
(pl. 1 1, fig. 10). Ce procédé réunit l'iridodialysis à l'iridotomie.
Premier
temps : avec une aiguille tranchante sur sa conca
levée, le chi-rurgien se place en face et du côté de l'œil affecté.
Premier
temps. Avec les pinces de Museux ou une érigne si
vant le manche de la curette et en la faisant agir comme un levier du
premier
genre. S'ils ont un trop grand volume on les divi
n ensuite n'étant plus facile que d'en déterminer la sortie. Si cette
première
manœuvre ne suffit pas, on a recours à d'autres p
urette tandis que l'extrémité de sa tige, agissant comme un levier du
premier
genre, repousse le corps en haut et en dehors, et
umeur en tournant la canule en même temps qu'on l'attire à soi. Cette
première
opération achevée, faire glisser sur cette canule
a dilatation, les injec-tions et la cautérisation. Cathétérisme. Au
premier
degré, s'il ne s'agit que de désob-struer la trom
ur la ligne moyenne, divise en deux cette portion cutanée médiane. Ce
premier
temps achevé, on procède à la dissection des deux
faisant basculer sur l'indicateur gauche à la manière d'un levier du
premier
genre. Dès que le polype, en s allongeant, vient
our évi-ter ou les oublis ou les répétitions. Procédés de Levret. —
Premier
procède. L'anse d'un fil d'argent est glissée pré
r tout ce qui se trouve compris entre les mors de l'instrument. Cette
première
section pratiquée, en opérer par-allèlement une s
e incision curviligne qui formera une nouvelle commissure. Dès que ce
premier
temps est effectué du côté droit, pratiquer éga-l
ieffenbach a recours aux applications froides. La réunion s'opère par
première
intention : les fils et les aiguilles peuvent êtr
jeunes enfans de deux à huit ans, il conseille d'opérer dans les six
premiers
mois; ou, si l'enfant est âgé déjà de plusieurs a
chirurgien est placé debout devant le malade. Tout étant disposé :
premier
temps. Si le frein de la lèvre supé-rieure est tr
u plus haut que la première, pour être plus certain de tout couper du
premier
coup ; mais alors on risque de dépasser la premiè
stérieur; puis saisir l'autre lambeau de la lèvre et le rapprocher du
premier
de fa-çon que leurs contours se trouvent exacteme
et un peu obliquement de haut en bas, c'est-à-dire en sens inverse du
premier
trajet parcouru, de sorte que le point de sortie
e. Dès que les sutures entortillées sont fixées on coupe les chefs du
premier
fil tenseur devenu inutile, et on glisse, sous le
evé en haut et le tubercule incisif proéminent, a été de se servir du
premier
pour former la sous-cloison nasale et de détruire
parler ni essayer aucun mouvement des mâchoires pendant les quatre
premiers
jours. La seule alimentation per-mise, pour évite
en profondeur que l'épaisseur des par-ties intéressées, et réunir par
première
intention. 20 Excision à lambeaux. C'est à cett
t que s'organise le trajet fistuleux. Ceux qui sui-vent diffèrent des
premiers
, en ce qu'ils ont d'abord pour objet la guérison
sorte par énueléation ; rien ne s'oppose ici à ce qu'on réunisse par
première
intention. GRENOUILLETTE. La grenouillettc ou
des cas, le kyste appartiendrait aux voies salivaires et aurait pour
première
cause une obstruction de leurs canaux; tandis que
jours après, la section des chairs ayant déterminé la chute de cette
première
ligature, recommencer l'opération avec le même su
ès qui survint, le petit malade guérit parfai-tement. Toutefois cette
première
tentative paraît être restée com-plètement dans l
alité, l'honneur d'une application qui équivaut à une découverte. Son
premier
opéré (1819) fut un jeune médecin anglais, M. Ste
de celui que nous venons de décrire que par le ren-versement des deux
premiers
temps opératoires, l'auteur préfé-rant commencer
ujours très grave par les mêmes motifs, la nature maligne de la cause
première
, et le nombre considérable d'organes des plus imp
t un peu au dessous de la tumeur, couper au milieu crucialement cette
première
incision par une autre horizontale, disséquer et
ar de longues inspirations. Si l'ablation est complète, on réunit par
première
intention avec des bandelettes agglutinatives ou
ion au passage de l'air. L'essentiel au reste n'est pas d'injecter du
premier
coup une grande masse de gaz, mais, au contraire,
thyroïde, de hau-teur inégale, appliqué ordinairement sur les quatre
premiers
ar- (1) Voyez, première partie, tome VI, Anatom
gale, appliqué ordinairement sur les quatre premiers ar- (1) Voyez,
première
partie, tome VI, Anatomie chirurgicale, région so
les manoeuvres et se mettre à l'abri de l'hémorrhagie en pénétrant du
premier
coup dans la trachée avec la canule portée sur un
mprimer, armé du bistouri droit ou convexe, tenu de la main droite en
première
position, pratiquer sur la ligne médiane une inci
s bas et par conséquent plus profond, conseille de remon-ter jusqu'au
premier
anneau trachéal, ce qui limite l'ouverture en bas
calement de haut en bas le cartilage cri-coïde et les trois ou quatre
premiers
anneaux de la trachée. L'ap-plication d'une canul
dans l'œsophage. Dans le procédé original, Desault, pour pénétrer du
premier
coup dans le milieu du pharynx, armait la sonde d
on alimentaire, est d'un petit volume, surtout dans les deux ou trois
premiers
jours après l'in-gestion, le précepte est de tâch
, dans ces derniers temps, un certain nombre d'instrumens dont l'idée
première
est empruntée de ceux de la lithotritie. Tels son
l'estomac, une sonde qu'on laisse à demeure pendant les quatre à six
premiers
jours, c'est-à-dire jusqu'à l'époque ou l'aggluti
plus généralement adoptée, vu l'avantage qu'elle offre d'enlever, du
premier
coup, une portion de tégumens malade ou trop exub
végétations qui se formeraient. Dans le cas con-traire, on réunit par
première
intention, mais, si le cancer avait des racines p
imples, où la maladie est bien circonscrite, que l'on doit réunir par
première
inten-tion. La plupart des chirurgiens n'y emploi
dius de la main gauche, de la droite, armé d'un bistouri ordinaire en
première
position, il incise la peau dans une longueur de
du dernier lieu où il s'est placé, soit par l'épuisement de sa force
première
d'impulsion, soit par les mouvemens des viscères
ultat et favorisera l'action des autres moyens de traitement. Dans ce
premier
cas, on devra faire la ponction aussitôt que la c
la suffocation de l'as-citique. La ponction de l'ascite remonte aux
premiers
âges de la chi-rurgie ; avant J. L. Petit, à qui
Baudens. L'observation d'un cas fortuit a fourni à M. Haudens l'idée
première
de ce procédé cpii se trouve être l'imitation de
mbres et le tronc étaient si complètement évacués qu'à la tuméfaction
première
avait succédé la maigreur et la sécheresse de tis
endue. Dès que l'action est produite, il fend avec le bis-touri cette
première
eschare superficielle pour mettre à décou-vert un
la masse viscérale pour dégager l'orifice de la plaie, avec les trois
premiers
doigts de l'autre main il essaie de faire rentrer
rieure varie suivant que l'étranglement est plus ou moins prononcé.
Premier
sous-procédé. Si la striction de l'orifice n'est
s complet, le corps étranger ayant été évacué par les selles. Cette
première
méthode, en raison des succès qu'il avait déjà ob
ois procédés de MM. Jobert, Lembert et Denans. A notre avis, les deux
premiers
n'offrent pas assez de ga-rantie contre l'épanche
pendant le seul dont la manœuvre soit fa-cile et puisse s'exécuter du
premier
coup, sans tâtonnement. Son seul inconvénient ser
s de la cure radicale, mais l'on sait aussi que les bandages ont pour
premier
, et le plus souvent pour unique but, de contenir
key et Heritz, s'occupèrent d'améliorer la pelote du brayer, les deux
premiers
en proposant d'y placer un bouton d'ivoire ou de
t, assis, ou à genoux, suivant sa convenance, commence l'opération.
Premier
temps. Incision des tègumens. L'incision doit êtr
-mité, coupe la bride ainsi abaissée. Quelquefois on n'atteint pas du
premier
coup le véritable cercle constricteur, parce qu'i
es parties sous-jacentes, on ne pourrait en général exécuter les deux
premiers
résultats, sans détruire préalablement les adhére
ont comprises entre le sac et la peau, Louis propose cle pénétrer, du
premier
coup, jusqu'au sac, et d'ouvrir celui-ci d'un sec
au taxis ou à l'opération. Hernie ombilicale et ventrale. Les trois
premiers
temps de l'opération exigent de grandes précautio
moneux. — Ces chiffres peuvent donc servir de résumé sur la valeur du
premier
procédé de M. Belmas (vessie de baudruche). On a
long manche. Voici comment il pratique maintenant cette opé-ration.
Premier
temps. Après avoir rasé et nettoyé la région, le
n fait un second point, au fond du cul-de-sac , à quelque distance du
premier
. Ainsi, on a deux chefs au-dehors sur la paroi ab
le cordon dans l'anse de fil, et de traverser le péritoine. Les deux
premiers
de ces accidens sont, au reste, faciles à éviter,
yens appropriés de traitement général et local. Ce n'est qu'après ces
premiers
soins, cpii peuvent exiger un temps considérable,
il se borna à inciser l'intestin de haut en bas, en élargissant cette
première
incision par une petite sec-tion horizontale en d
sat. 11 préfère une incision oblique à l'incision per-pendiculaire du
premier
, et à l'incision transversale du second: elle doi
qua-tre, trois, deux, et puis à une. C'est ce qui est arrivé aux deux
premiers
malades opérés par M. Amussat. Le dernier surtout
e pas quelques millimètres d'épaisseur, se reconnaît ordinairement de
première
vue à plusieurs caractères : la couleur violacée
ale a été suivie d'une parfaite guérison. Depui J. L. Petit, l'un des
premiers
qui en aient formulé les préceptes elle a été pra
t de la guérir, c'est cette constriction qu'il regarde comme la cause
première
de la fissure. M. Velpeau, au contraire, paraît c
t de plus d'un centimètre. Le seul cas où elles n'apparaissent pas au
premier
coup-d'œil, c'est lorsqu'elles sont situées à la
ution de tournesol, d'épinard, de safran, d'orca-nette, etc. Les deux
premiers
moyens s'emploient toujours con-curremment; le tr
s l'instrument, en quelque sorte, abandonné à son propre poids. Cette
première
exploration étant effectuée, on amène le bouton v
urulente avec les selles, et le malade continue d'en rendre un peu au
premier
effort de défécation. Dans une certaine étendue,
ord couché parallèlement avec la tige conductrice et qu'il insinue du
premier
coup jusqu'au gorgeret. Relevant alors le bistour
se à plat. La tente est main-tenue à demeure pendant les dix à quinze
premiers
jours en l'en-fonçant de moins en moins à mesure
hlébites et les autres accidens consécutifs, de réunir les plaies par
première
intention au moyen de la suture. La manœuvre est
sus, le bistouri droit boutonné, porté sur le doigt indicateur. Cette
première
incision pratiquée, le chirurgien, libre d'agir a
onnaître le procédé imaginé par M. Velpeau pour amener la réunion par
première
intention après l'excision des tumeurs et des bou
t aux plaies du rectum, et, au lieu de cela, suivie d'une réunion par
première
intention, sans coarctation ultérieure de l'anus;
ion cpii , de son côté, était nouvelle , d'autant qu'il l'a érigée du
premier
coup en une doctrine générale, et cpie son procéd
e l'excision , sans rien ap-pliquer dessus; elles se réunissaient par
première
intention, et après leur guérison , l'anus se tro
meur rentre d'elle-même et cesse de reparaître aprèsles quatre à cinq
premiers
jours, pour peu qu'on ait le soin d'éviter les ef
isfranc s'est chargé de démontrer pratiquement cette pro-position. Sa
première
opération fut faite le i3 février 1826, et le i3
islranc a pour habi-tude de panser à plat pondant les trois ou quatre
premiers
jours, en ayant soin de renouveler le pansement t
squ'une hydrocèle était très volu-mineuse, Dupuytren suivait pour son
premier
temps l'exemple de Douglas : dans les cas ordinai
que les bourses soient distendues , après quoi l'on fait sortir cette
première
injection pour en chasser une seconde et même une
iquée à l'hydrocèle en parti-culier, elle est destinée à se placer au
premier
rang lorsque divers chirurgiens, ayant acquis la
tissus , forcent à condamner ce procédé. B. M. Velpeau est l'un des
premiers
qui aient mis en usage la ligature dans le traite
iques. C. Ligature sous-cutanée. i° M. Velpean est également un des
premiers
qui ait songé à faire la ligature des veines sous
e la tu-meur, et le troisième, la section et la ligature du cordon.
Premier
temps. Section de la peau. Le malade étant couché
ure du cordon en masse avant d'en opérer la section. Celse est un des
premiers
qui en ait parlé, Paul d'Egine suivait ce précept
de nos jours la suture de la plaie, et par conséquent la réunion par
première
intention, qui se pratiquait ancienne-ment ; mais
s lam-beaux latéraux. Appréciation. De ces trois procédés, les deux
premiers
sont indifféremment applicables, et méritent la p
proposé deux moyens : la ré-duction et le débridement. Réduction.
Premier
procédé. Le malade est assis sur une chaise, ou c
; mais s'il est malade ne garder absolument que la partie saine. Ce
premier
temps achevé, on retire en arrière la peau de la
qui les ramène à la posi-tion qu'elles occupent après l'exécution du
premier
temps dans l'autre procédé , c'est-à-dire dans un
i qu'on ne peut refuser à Lieu-taud l'honneur d'en avoir parlé un des
premiers
, puisqu'on trouve sa proposition reproduite dans
Le procédé de Ducamp pour la cautérisation de l'urètre qui paraît, au
premier
abord, si ingénieux et si séduisant, n'en est pas
ès qu'une bougie porte empreinte, n. 3 ou 4, peut passer à travers ce
premier
rétrécissement, il convient de l'introduire, et s
eau dans les lignes suivantes : «Dilater d'abord, ne cautériser une «
première
fois qu'au bout de quatre ou cinq applications «
olles) en a fait construire trois (Pl. 54, fig- 36, 37, 38); les deux
premiers
présentent à leur extrémité profonde une pointe m
le bouton se dégage de la gaîne pour inciser. M. Amussat, l'un des
premiers
qui, en France, ait employé les scarifications de
ficile. Il paraît néanmoins qu'en général on préfère l'urétrotome, ou
premier
scarificateur de M. Amussat, comme étant le plus
s complet (Journal Hebd., t. iv, p. 45)- Lors-qu'on ne réussit pas du
premier
coup, on ne doit pas néanmoins désespérer d'y par
d'établir une fistule artificielle pour en guérir une accidentelle.
Premier
procédé de M. Ségalas. Il consiste à maintenir pr
uemment servi, prétend en avoir retiré de grands avan-tages. Dans son
premier
mémoire, il rapporte l'histoire d'une jeune fille
consignée dans les Mémoires de l'Académie des sciences, est l'un des
premiers
qui l'aient pratiquée. Morand etTollet l'ont auss
rapports du péritoine avec la face antérieure de la vessie. Dans sa
première
opération, Méry pratiqua sa ponction sur le bord
eu pour auteurs que des médicastres obscurs. C'est l'histoire de ces
premiers
litholomistes égyptiens reniés par les maîtres gr
z les Arabes on a songé à la possibilité de les broyer. Toutefois ces
premières
tentatives, apparemment insuffisantes, ne laissen
thotritie soient parsemées de cas où la mort du malade, dans les deux
premiers
mois, est attribuée à l'une de ces causes, circon
port aux difficultés du problème à résoudre, ce mérite de l'intention
première
, toujours vivante à travers les siècles malgré l'
ne longue suite de siècles. Cependant il est permis de croire que ces
premières
tentatives de l'antiquité ne furent pas perdues c
il, par M. Ossian Henry, membre de la commission aca-démique. Comme
premier
fait, d'après l'examen direct de MM. D'Arcet et C
années ( 1834-) que dure l'expérimentation, les malades de ces trois
premières
catégories sont, en grand nombre. Peu ont offert
agir sur une pierre qui n'était fixée par rien. Le souvenir de ces
premières
tentatives s'était-il effacé à tra-vers le moyen
en contact par une plus grande surface avec les agens dissolvans, ces
premières
données, pourtant si précieuses, restèrent tellem
ré au travers de la cavité, ce qui empêchait de pouvoir substituer au
premier
perforateur des fraises et des li-mes capables d'
n destinée à fixer les deux canules l'une sur l'autre ; 20 Dans cette
première
canule glisse la seconde ca-nule appelée litholab
n appelle des forets à développement. M. Leroy (d'Etiolles), l'un des
premiers
, y est parvenu en substituant des forets à fraise
u sein de l'Académie des sciences et dans la presse de l'époque. « Au
premier
abord , dit M. Bégin « (JDict. de Méd. et Chir. p
entra dans une ère nou-velle. ECRASEMENT PAR LA PERCUSSION SEULE.
Premier
percuteur de M. Heurteloup (Pl. 6, fig. 21). Le p
ndonné la gouttière et les dentelures de la branche femelle. Après ce
premier
écrasement, on ouvre de nouveau le percuteur, l'o
cation portant sur la forme des mors. Nous avons vu que les mors du
premier
perçu teurd'Heurteloup présentaient des saillies
mites que nous avons tracées. Chez les vieillards, il semblerait au
premier
abord que le broie-ment dût avoir de grandes chan
en essais in-fructueux. Dans un sujet où il fallait tout inventer de
premier
jet, le but et les moyens , et où le succès des p
Elle représente la base d'une pyramide triangulaire, dont (1) Voyez
première
Partie: Analomic chirurgicale, pages 43-45,et pl.
igeant l'union de la théorie et de la pratique , ne surgissent pas de
premier
jet, mais se développent peu-à-peu par des progrè
duc-teur mâle, engageant la vive arête du second dans l'échancrure du
premier
, et on dilatait la plaie, ou plutôt on déchirait
autre chanoine, de Notre-Dame. Ce dernier le présenta à M. de Harlay,
premier
président du parlement , qui donna ordre aux méde
ins de l'Hôtel-Dieu d'examiner sa capacité. Frère Jacques pratiqua sa
première
opération sur un cadavre dans la vessie duquel on
de M. Méry, le procédé suivant lequel il pratiqua cette opération.
Premier
procède du Frère Jacques. « Il introduisit dans l
rère Jacques, tailla, à Fontainebleau, sous lepatronnage de Duchesne,
premier
médecin des princes, un malade avec le plus grand
et qui arriva le premier à retrouver la taille latéralisée. Dans ses
premiers
essais, il employa un cathéter sans cannelure; su
r vingt-quatre ou quarante-huit heures après. Pendant les huit ou dix
premiers
jours qui suivent l'opération, l'urine passe enti
dans les plus compliqués; c'est ordinairement dans les deux ou trois
premiers
jours qu'elle se manifeste. Boyer assure qu'on la
ne et la prostate, dont on divise quel-quefois le tiers postérieur.
Premier
procédé de Sanson dans lequel on divise la prosta
art le procédé de M. Baudens, le seul qui se distingue, dans ses deux
premiers
temps , du procédé ordinaire. Procédé ordinairk
mèche n'est donc, en général, véritablement utile que durant les deux
premiers
jours qui suivent l'opération, parce que, après c
calculs sans s'exposer à blesser des vais-seaux importans, fut un des
premiers
qui proposa de fendre l'urètre à droite et à gauc
l se pourrait que deux sutures latérales favorisassent la réunion par
première
intention , aussi pensons-nous avec Dupuytren et
/10 Ce tableau prouve , comme les précédens, que c'est dans les dix
premières
années de la vie que la taille réussit le mieux,
gatures partielles. ÉLÉPIIANTIASIS DE LA VULVE. Larrey est un des
premiers
qui en aient parlé. Delpech rapporte (t. ier de s
ive des soins appropriés. Ainsi, elle devra au moins pendant les huit
premiers
jours, rester étendue sur le dos dans son lit, le
dre les bosselures formées par les fèces avec des tumeurs morbides.
Premier
procédé. La femme ayant le dos solidement appuyé
valves, comme celui de M. Colombat. Celui de madame Roivin, un des
premiers
qui ait paru, se compose de deux demi-cylindres d
vessie une sonde par laquelle toute l'urine s'écoula pendant les deux
premiers
jours. Mais alors le point de suture le plus rapp
des parties. Bien que les fils tombent ordinairement dans les deux
première
? semaines, M. Joubert ne coupe le pédicule du lam
n'a pas réussi. M. Vidal croit pouvoir inférer du seul succès de sa
première
opération : i" que les règles pouvaient passer pa
d'un millimètre de diamètre. Avant de rendre à la vulve son ouverture
première
, M. Velpeau tenta, sans succès, d'oblitérer compl
vagin, ce chirurgien, pensant pouvoir remédier en même temps aux deux
premières
affections, préféra exciser desbandelettes muqueu
d'une incrustation calcaire. Madame Rondet, sage-femme , est une des
premières
qui ait employé le caoutchouc , soutenu intérieur
peut survenir lorsque l'utérus est vide, ou dans les trois ou quatre
premiers
mois de la grossesse; elle ne peut avoir lieu plu
ent la constriction. C'est à-peu-près là, ce nous sem-ble, l'effet du
premier
procédé de Levret, De tout ce qui précède, il r
ur le moins inutile. Ce résultat, assurément, est peu encourageant au
premier
abord. Mais si l'on considère, que l'excision du
cherche d'abord à abaisser l'utérus le plus possible. Pour opérer ce
premier
temps on se sert de pinces de Museux ou d'érignes
. Elle consiste à mettre la tumeur à découvert, à en enlever, soit du
premier
coup, soit peu-à-peu, tout ce qui n'est pas adhér
ec succès, ce qui donne un peu plus de 1 succès sur 3 opéra-tions. Du
premier
coup-d'œil il est évident que l'on ne peut rien s
complément pour la médecine opératoire générale devient une nécessité
première
pour la sclérotomie encore placée en dehors de l'
sme infé-rieur ou jugal (strabismus deorsùm vergens). Dans ces quatre
premières
espèces le strabisme est simple ou du moins l'un
rabisme. La section musculaire est indiquée au con-traire si la cause
première
est une cataracte que l'on opère en mèmetemps que
c'est que l'auteur ayant oublié, ou omis une circon-stance, les deux
premiers
opérateurs, abandonnés de leur guide, n'ont pas s
acquise; le strabisme prenait rang dans la chirurgie. Toutefois ce
premier
résultat heureux n'avait pas eu de reten-tissemen
ens, MM. Baudens, Phillips, Velpeau, Ainussat, Guérin, etc., les deux
premiers
surtout, après (rois mois, comptaient déjà les fa
à pu-blier sa découverte, c'est bien loyalement cpie l'on qualifie de
premier
inventeur M. Stromeyer. Mais comme il y a de nomb
e, en prévoyant à mesure les divers temps de l'opération , fait de ce
premier
aide un personnage essentiel dont les fonctions n
strabisme. Procédé de M. Lucas. Ce chirurgien de Londres, l'un des
premiers
qui aient suivi l'exemple de M. Dieffenbach , a o
solu une description qui n'a peut-être été faite que d'après quelques
premiers
essais; mais alors, pour peu que le procédé soil
aplati. Son opération se divise en deux temps. (Pl. C, fig. 8, 9.)
Premier
temps. Le malade assis, la tête appuyée sur un co
e second temps n'est qu'une partieduprocédédeDieffenbach; et, quantau
premier
, nous avons suffisamment indiqué les singularités
supporté l'épreuve delà plus large expérimentation. Ce qui saisit au
premier
aperçu, c'est qu'ils sont bien distincts les uns
la lame de l'instrument est arrivée au bout de sa course. « Dans ce
premier
temps opératoire, la gaine est ouverte, et une pa
i tous les deux, quoique le premier n'ait eu qu'une valeur d'essai.
Premier
procédé {Gazette des hôpitaux du 17 septembre 184
égale à la hauteur du muscle et à l'épaisseur de l'instrument. » Ce
premier
procédé qui emprunte à-la-fois à celui de M. Dief
lpeau, et auquel il se tient définitive-ment, ne ressemble en rien au
premier
. En voici la description d'a-près la Gazette des
ée pour couper seulement avec la main droite des muscles différens.
Premier
procédé (Pl. E, fig. 1,2, 3). Le malade étant cou
djacent de l'orbite. Nous avons tâché d'indiquer avec précision cette
première
manière que du reste les figures achè-vent complè
x sur un mors, une sur l'autre, rentrantes dans l'écartement des deux
premières
. En faisant mordre cette pince un peu profondémen
œil Opéré ne doit pas pouvoir se tourner dans le sens de sa déviation
première
, circonstance dont on s'assure en ordonnant au ma
évrose oculaire de M. Bonnet, de Lyon. Il n'y a rien à ajouter à ce
premier
fait, que celui communiqué par M. Bouvier à M. Am
t avec le lambeau fîbro-muqueux cpie l'on réapplique dans sa position
première
, de manière à fermer la plaie. Au rapport de M. J
que soit le motif pour lequel a été pratiquée l'o-pération , les deux
premiers
sont les plus sûrs, en ce qu'on est certain décou
la non-réussite ou la produc-tion d'une déviation nouvelle, ces deux
premières
sections étant opérées, que les chirurgiens ont é
ridement du fascia, ait suffi pour redresser l'œil ; mais quand cette
première
tentative a été sans effet, il a fallu , pour obt
strabismes convergens, et 14 divergens; ce qui établit le rapport du
premier
au second 6 : 1. D'un autre côté, M. Guérin sur 6
cyloglosse, tantôt survient naturellement, et alors elle a pour cause
première
, l'endurcissement et la contracture des membra-ne
us les faits cpii nous sont déjà connus et dont il emprunte la notion
première
à un opérateur ambulant. Une observation d'une bi
veum ), en atteignant à peine la chair (géiiio-glosses). Si par cette
première
voie, on n'a pas assez coupé, ou s'il y a réunion
s dire une négation complète de la réalité des succès obtenus. Or, ce
premier
fait est grave : comme il arrive toujours , à un
ail, et il est entouré de vaisseaux et de nerfs. » A la rigueur, ce
premier
procédé de M. Amussat peut suffire ; mais à la le
ioration et 5 sans résultat satisfaisant; la moyenne de l'âge des six
premiers
malades guéris est de i3 ans, le septième avait 3
tenu des résultats générale-ment favorables : voici le résumé des [\i
premières
opérations, tel qu'il a été rédigé au mois de jui
iquée plus haut. Jusqu'à présent la prononciation s'est maintenue. Ce
premier
succès, et les résul-tats du procédé rival sont d
différentes, proportionnel-lement au volume des parties à diviser.
Premier
temps. Tension des parties. La première condition
839, page 7 et suivantes. forme d'après les dénominations vagues de
premier
, second, troi-sième degré, il nous paraît plus co
états de forme et de di-rection intermédiaires , depuis la difformité
première
jusqu'à la guérison ou au moins le degré d'amélio
it les parties molles, soit le système osseux. Ainsi, tantôt la cause
première
sera une altération locale accidentelle, même la
u au moyen d'une seule ponction et suivant deux procédés différens.
Premier
procédé. Le malade étant couché sur un lit dont l
emoiselle Céline G— âgée de douze ans et demie, et affectée depuis sa
première
année d'un torticolis produit par la contracture
sont de véritables cordes de rétraction qui sont fréquemment la cause
première
des courbures, mais qui, dans tous les cas, une f
au contact de l'air ; d'où la condition essentielle de la réunion par
première
inten-tion des plaies, l'absence du contact de l'
de kystes synoviaux, dévelop-pés autour des articulations. Les quatre
premiers
avec succès; M. Velpeau sans succès, mais à la vé
tant faite comme l'a, depuis, pratiquée M. Velpeau, qui s'arrête à ce
premier
temps, pratiquer la section du lambeau avec des p
urgien attire en dehors le polype avec l'instrument, glisse sur cette
première
canule l'anse du fil d'une seconde, et la confie
ont en position médiane, mais déviée; les deux au-tres, éloignées des
premières
, présentent leur face linguale en avant. Le grand
faire comprendre la succession des manœuvres qui appar-tiennent à ce
premier
temps opératoire, nous supposons qu'une pre-mière
ins, ap-puyant sur la pulpe des pouces qui font poulies de renvoi, c.
Premier
nœud de la ligature saisi avec une pince à anneau
b) avec une sorte de petite timbale (c) mo-bile dans un anneau. Cette
première
canule en renferme une se-conde (d) mise en mouve
umeur de part en part à sa base, mais de haut en bas : réuni avec son
premier
bout, il étrangle la portion médiane de la tumeur
passage sur la première côte, et, pour plus de précaution, les trois
premiers
doigts de la main droite (b) du même aide comprim
tion, les parties abandonnées à elles-mêmes revenant à leur situation
première
, le pa-rallélisme entre les plans intéressés se t
jours avant la mort. Une petite portion d'os (a), qui semble la cause
première
d'irritation, a été trouvée fichée dans l'épaisse
sacs herniaires. La nature de chacune de ces hernies est indiquée au
premier
aspect par leur éloignement respectif de la ligne
dinaire avec la sonde courbe en argent (Pl. 54, n° 9 ). Figure i . (
Premier
temps. Sonde horizontale.) Introduction du bec de
rique ou perforation. 1. Perforateur à sonde droite de Gruithuisen,
premier
inventeur des instrumens lithotriteurs. La tige
'ÉCLATEMENT PAR PRESSION SIMPLE OU GRADUELLE OU PAR PERCUSSION. 21.
Premier
percuteur inventé par M. Heurteloup. Cet instru
xtérieure, imité par M. Charrière, de celui de Cheselden (9). Pour ce
premier
temps de l'opération , on emploie plus fréquemmen
ES DE STRABISME. Figures 5, 6. Strabisme simple, convergent en bas.
Premier
malade opéré par M. Baudens en novembre 1840.— Fi
s ciseaux (f). FIGURES 2, 3. Procédé de M. C. Phillips. Figure 2.
Premier
temps : application des deux erignes. Figure 3. S
. MÉTHODE SOUS-CONJONCTIVALE DE M. J. GUERIN. Figures l, 2, 3, 4.
Premier
procédé par ponction de la conjonctive. (a) Mai
se isolée du faisceau sternal avec le inyotome ( fig. 9). Figure 6.
Premier
temps. Le doigt médius de la main gauche (a) étan
umeur, et alors, sa réaction habituelle est la bouderie. Dans ses
premières
années, il travaillait aux champs avec les siens,
très nettement dans la photographie, la tête de José Lopes, qui, au
premier
abord semble petite pour un si grand corps, est
gauche et la céphalée ; le sujet les fait également remonter à ses
premiers
souvenirs; elles sont enfin d'accord avec un fait
, et le problème est plus complexe qu'on ne pourrait le supposer au
premier
abord. Pour se convaincrede cette complexité, il
et de taille moyenne. et la chose n'est plus douteuse, il paraît au
premier
abord que l'hyperfonction du corps pituitaire p
endant dire que, très vraisemhla- blement, l'hypophyse, agissant en
première
ligne et en première date, produit le gigantism
vraisemhla- blement, l'hypophyse, agissant en première ligne et en
première
date, produit le gigantisme et l'acromégalie (l
antilisme hypophysaire et un infantilisme testiculaire analogues au
premier
, comme nous avons une adipose d'origine thyroï-
morphologiques étranges, d'un contraste frappant, contradictoire au
premier
chef- comme chez le géant José Lopes. Maintenan
el survient le trouble du développement, qui y joue un rôle de tout
premier
ordre, comme l'ont fait remarquer Brissaud et M
les cas purs, du type de gigantisme acromégalique. 2° Cependant, ce
premier
type peut s'associer à l'acromégalie; il forme
ubles dans d'autres glandes à sécrétion interne. Nous citerons en
première
place les parathyroïdes . En effet les altéra-
tés il existait des phénomènes de tétanie et que la malade de notre
première
observation présentait une tétanie, latente il
Les altérations dentaires parfois très accusées comme chez notre
première
malade sont fréquentes aussi dans l'ostéomalacie.
naissance exacte de cette maladie il faut remonter à la description
première
que Madelung nous a laissée. Après 1889, c'es
organes inter- nes reste négatif. Description de la radiographie
première
: en perspective face palmaire- extrémité supér
e à feu. Le cubitus apparaît fortement dévié el luxé en arrière, la
première
rangée des os du carpe est déviée en rotation dor
ment le mécanisme de la déformation consiste duustene rotation delà
première
rangée des os du carpe ; c'est-à-dire que le semi
sous le nom de « difformité du poignet de Madelung » en mémoire du
premier
auteur qui l'étudia. J'estime que la dénominati
avait une origine traumatique ou professionnelle. Nous trouvons les
premiers
indices de l'hypothèse que notre affection soit d
ement des membranes foetales, se soit produite une subluxation delà
première
rangée des os du carpe, semi-lunaire ou scaphoïde
dans deux embryons humains, un nombre de rayons, correspondant aux
premiers
linéaments des phalanges, supérieur à cinq, dan
urnumé- raire se trouve ou au delà du cinquième doigt ou au delà du
premier
, mais jamais entre les doigts normaux. Si, au c
Presbyophrénie. AMNÉSIE ET FABULATION , 91 Textes de Wernicke.
Premier
texte (1). - « Je vous ai souvent dit qu'en psych
es lettres dans lesquelles il la menace de « l'assassiner comme son
premier
mari ». Elle est mariée, « en troisièmes noces
ariée, « en troisièmes noces » ; voici comment son voisin a tué son
premier
mari. « Nous étions en promenade près de l'eau
arrêtée au moment où elle volait des rideaux dans une voi- ture de
première
classe, à la gare du Nord. Remise en liberté, ell
culièrement remarquable;àcertains moments sur- tout, chez nos trois
premiers
malades. Ce déroulement automatique facile des
ère le conduisit à Amsterdam et le mit en apprentissage chez un des
premiers
norloners de la ville.Il devint rapidement un t
la période de douze ans qui s'est écoulée depuis la publication du
premier
article de M. P. Marie, les observations cliniq
kylosant coïn- cide probablement avec le moment de l'apparition des
premières
douleurs. L'ankylose est le processus primitif
e ré- gion. Une troisième tumeur, beaucoup plus petite que les deux
premières
, grande comme une noix, se trouve située sur le
vec épilepsie et cécité. La cécité et l'épilepsie remonteraient aux
premières
années de l'existence.H. P... est inter- née de
jours d'une somnolence profonde, qu'enfin il fut délivré. Le tout
premier
enseignement qui se dégage de cette histoire est
erne chargé de lesappliqueropéraalternativementsurlesdeuxfesses. La
première
injection eut lieu le 24 juin. A la date du 4 jui
le triumphe commencer, .; Je suis le seigneur de verdure ; . Des
premiers
me venlx advencer, - Car sans moi jeunesse ne d
es, comme l'on dict, et publié ses loix et droitz diffusément ». La
première
épidémie de syphilis (1525) y fut en effet des pl
héraldique de Montaiglon. « Il est chargé d'une croix cantonnée au
premier
d'un puits et aux autres quartiers de quatre fl
s de pustules et plus de tumeurs gommeuses, tout au con- traire des
premières
années. Les pustules, lorsqu'il en paraît, sont p
e à l'époque de la Re- naissance, Paris,1906. · (2) Jean Lemaibe,
Premier
conte envers (Le Triumphe). w - LE TRIUMPHE DE
nt et l'autre probablement brightiques. Et c'est là une no- tion de
première
importance, étant donnée la fréquence de l'hémorr
l'aqueduc de Sylvius sufl1t L pour déterminer l'hydrocéphalie de 3
premiers
ventricules cérébraux, mais les faits probants
9 située sur la ligne médiane, semble obturer l'aqueduc : les trois
premiers
ventricules sont fortement distendus, la malade
olument saines, aussi bien sur la convexité qu'à la base. Les trois
premiers
ventricules cérébraux sont le siège d'une hydro
umeurs Seeligmiillel' (l) trouve une hydrocéphalie énorme des trois
premiers
ventricules et de celui duseptumpeHucidum, avec o
que, somnolence, mort subite. A l'autopsie, hydrocéphalie des trois
premiers
ventricules par oblitération de l'aqueduc de Sylv
r tuberculose pulmonaire. A l'autopsie : énorme hydrocéphalie des 3
premiers
ventri- cules avec oblitération de l'aqueduc de
ptique bilatérale. Mort subite. A l'autopsie, hydro- céphalie des 3
premiers
ventricules, avec occlusion presque complète de
ion névroglique. Touche (2) constate de même, l'hydrocéphalie des 3
premiers
ven- tricules et l'oblitération de l'aqueduc, a
vant la mort. A l'autopsie, existait une hydrocéphalie énorme des 3
premiers
ventricu- les, avec atrophie du manteau cérébra
t à cette obstruction que l'auteur rapporte la dilatation des trois
premiers
ventricules, et les signes d'hypertension intra-c
sme. A l'autopsie, pas de tumeur : hydrocéphalie considérable des 3
premiers
ventricules, oblitération de la partie supérieu
éserves et ne pas adopter de conclusions trop absolues : dans notre
premier
cas, où l'aqueduc de Sylvius n'est pas intéress
métacarpe, maigrit et prend l'aspect d'une gouttière ; peu après la
première
phalange des doigts se porte en extension, tandis
ns, et qu'il voit des contractions fibrillaires dans les muscles du
premier
espace métacarpien. Dans les premiers mois de l
ne ; malgré l'atrophie des muscles de l'éminence hypothé- nar et du
premier
espace du métacarpe, le diamètre de la main droit
avant son entrée dans la clinique Charcot, il avait manifesté à un
premier
examen rapide une vive frayeur provoquée par le t
lle avait fait remplacer la chaise qu'il avait cassée chez lui Mis au
premier
degré avec lait. 28 décembre. - Refuse toute
une la région correspondant à la partie interne de la clavicule, au
premier
et deuxième cartilages costaux, l'autre à la pa
on de la part de l'organisme qui tend instinctivement à remédier au
premier
trouble ana- tomique ; après l'ossification des
edivisiondes cellules en différents types ne serait pas possible.
Premier
TYPE : LES CELLULES pinéales. Le premier type d
es de tissu conjonctif. Nous les divisons en trois groupes. 1) Du
premier
groupe les caractères sont les suivants : il y a
duite artificiellement par la préparation. Ce qui caractérise ce
premier
groupe de cellules est la grande régula- rité e
s qui ont des granules basophiles. 2) Le deuxième groupe diffère du
premier
par les qualités suivantes : le noyau est beauc
thode de Heidendain. Ces cellules sont moins communes que celles du
premier
groupe ; nous ne les avons pas trouvées dans to
rouge. 268 KRABBE Ces cellules sont aussi communes que celles du
premier
groupe. La signification de ces trois groupes d
minoïdes et le troisième groupe des substances lipoïdes. Quant au
premier
groupe des cellules, nous les avons trouvées en g
éales et les cellules névrogliques fait soupçonner une fonction des
premières
différente de celle des cellules névrogliques;
glions rachidiens correspondant aux membres malades. Ainsi, dans le
premier
cas de paralysie spinale à type monopiégique, seu
contient la substance chromatophile la moins altérée. Dans les deux
premiers
cas, la situation centrale du nucléole pourrait
démontrer, car il esl dû à un trau- matisme brutal s'apercevant du
premier
coup. Le deuxième est plus dif- ficile, car, po
, le possèdent dans leur cytoplasma, à quelque distance du noyau. A
première
vue, on serait tenté de croire qu'il s'agit d'une
au déroulement de toutes les phases successives de ce processus.
Première
phase (pi. XLI, fig. a). - Ce qui caractérise cet
essus. Première phase (pi. XLI, fig. a). - Ce qui caractérise cette
première
Nouvelle Iconographie DE la SALPÉTRIkRE. T. X
pourrait penser à la compression des branches postérieures des deux
premiers
nerfs cervicaux par un mal de Pott tout à fait ha
ois seulement il commence à marcher alors que son frère faisait ses
premiers
pas à 15 mois. Pas de rhumatisme articulaire de
s thyroïde n'est pas perceptible la palpation. Tête. La tête qui au
premier
abord paraît petite, présente néanmoins des dim
qui jusqu'à ces jours-ci ne s'est point amélioré. Ce qui frappe au
premier
abord, c'est la diminution de l'intelligence, le
, têtes arrondies, apophyses styloïdes qui se dessinent à peine. La
première
série des os du carpe n'est constituée que par l'
ion ressort davantage si l'on considère surtout le développement du
premier
métacarpien. La dernière phalange du pouce méri
phénomène pathologique, et par conséquent, c'est aux cliniciens en
première
ligne que s'impose la nécessité de résoudre le
Ces phénomènes ataxiques, nous les considérons comme constituant un
premier
groupe, ayant des caractères propres et un mécani
ont tous bien connus, depuis que Duchenne de Boulogne en a donné la
première
description. Voici quelques-uns de ceux-ci :
très avancée. C'est alors qu'en voulant chercher la vraie cause des
premiers
troubles ataxiques, nous avons remarqué que si,
-Ù, dire les phénomènes alaxiques que nous avons décrits dans cette
première
partie de notre travail est la coitsé- rprencec
hie que je m'étendrai. Une telle constatation, si exceptionnelle il
première
vue, répondait pourtant à l'idée qu'on pouvait
ctum. L'autopsie permit de constater l'existence, dans l'étendue du
premier
jusqu'au 9e segment dorsal, d'une atrophie de la
iée à 30 ans, elle a eu de nombreuses grossesses : 9 exactement. La
première
se termina à 7 mois 1/2 par la naissance de deux
n titre mal défini dans une étude d'avoué. A l'entendre, il y était
premier
clerc et faisait marcher lui tout seul toutes l
lasique; voici les données anthropométriques qui confir- ment cette
première
impression (1). NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
l'un de nuus a insisté dans un travail antérieur (3). Dans notre
premier
cas la polydactylie n'est que rudimentaire, car l
ire, à l'aide de deux cas remarquablement étudiés, en 1906. Cette
première
phase de découverte était à peine close, que s'eu
étude éliologique et un rappel de la vie antérieure, fait passer en
première
ligne l'habitus général et les troubles relatif
art des observations de déterminer la glande dont le trouble est le
premier
en date; l'examen attentif des mémoires montre as
testiculaire dans la dystrophie qu'il lui fut donné d'observer : le
premier
phénomène pathologique fut toutefois une orchite.
aire à ceux qu'il 42 i CORDIER ET REBATI U frappe « une pitoyable
première
enfance ; leur intelligence s'atténue, leur app
norchidie. Cette distinction a plus d'importance qu'il ne paraît au
premier
abord. Ces réserves faites, il faut reconnaître
et, bien qu'ayant souvent atteint ou dépassé la trentaine, donne au
premier
abord l'impression d'un adolescent à la période
at du malade est exactement semblable à celui quia été noté lors du
premier
séjour. Rien à signaler dans ses antécédents hé
au en octobre et décembre 1911, c'est-à-dire dix-sept mois après sa
première
observation. A l'entrée (octobre 1911) : Homme
modifiés ; la verge, qui était de dimensions à peu près normales au
premier
séjour,s'est atrophiée depuis un an.Mais le scro-
25 à 1 m.715.. C'est là la mensuration que nous avions faite il son
premier
séjour. Mais en prenant ses dimensions sur un pla
testicules à 25 ans 1/2. C'est à 26 ans 1/2 qu'il voit survenir ses
premières
modifications; sa moustache tombe et sa barbe (
jeté. Les désirs propre- ment dits ont disparu. Il est difficile au
premier
abord de s'en rendre compte, le patient ayant c
rs les avaient interprétés dans un sens différent; ils plaçaient au
premier
plan l'insuffisance d'une des glandes, le plus
i le vaste groupe des insuffisances pluriglandulaires, et dès leurs
premiers
mémoi- res Claude et Gougerot en citaient des e
'un de nous résumait récemment deux observations nouvelles (6) : la
première
donne la preuve d'une variété nouvelle de syndrom
aires, mais de- quelle nature était celte infection qui précéda les
premiers
signes de la maladie ? La bacillose associée à ce
n détail ci- dessus, nous notons qu'ils présentent un faitcommun de
première
impor- tance : c'est le raccourcissement bilaté
v 30 ].70 H. S. STANNUS ET S. A. K. WILSON Depuis l'époque où nos
premières
observations (H. S. Stanuus) ont été faites,un
vant de conclure, nous faisons radiogra- phier le poignet blessé.
Première
radIOgraphie, Les clichés que nous devons à l'ext
mpte la première radiographie pratiquée deux mois après l'accident.
Première
radiographie (juin 1907) : Fracture de l'extrémit
doigts. Réduction à peu près absolue de la capacité de travail. Une
première
radiographie faite deux mois après l'accident rév
els l'atrophie persistait avec ses caractères habituels. Chez notre
premier
malade, la lésion osseuse persiste dix mois apr
as ne sont pas superposables car le second blessé, contrairement au
premier
malade, n'a pas repris le travail. L'existence
me nous l'avons vu, la constatation d'une lésion osseuse chez notre
première
malade modifia complètement notre impression prem
se chez notre première malade modifia complètement notre impression
première
. An moment de l'examen, les symptômes accusés p
: au début, on le voit fléchir toutes les phalanges, y compris les
premières
, puis il essaie d'étendre ces dernières, tout en
car non seulement les autres doigts se fléchissaient, mais les deux
premiers
, le pouce et l'index, se fléchissaient eux auss
ssi de grands troubles d'équilibre cinétique -troubles ataxiques du
premier
groupe on comprend alors com- LE MÉCANISME DE L
elui-ci présentait aussi au membre inférieur gauche des troubles du
premier
groupe, parce que, en relevant la jambe en l'ai
t expliquer que par le même mécanisme que les troubles ataxiques du
premier
groupe, c'est-à-dire qu'ils consistaient en un
vérité, ce phénomène ressemble à un autre que nous avons vu dans la
première
observation, lorsque le malade ne touchait pas so
nguinité. - Inégalité d'âge de 11 ans. - Frère mort de méningite.
Première
dent il 14 mois. Dentition complète à (/). Début
ipation habituelle. Strabisme interne de l'oeil gauche depuis les
premiers
jours de la naissance. Archives, 2° série, 1906
ce pas d'asphyxie. Nourrie au sein par sa mère. Sevrée à 21 mois.
Première
dent à 14 mois. Impossible de savoir à quel âge l
y assistait. Aucune suite locale fâcheuse, guérison de la plaie par
première
intention. On ne croit pas devoir ultérieu- rem
et 3 7°,G. Une seule fois, elle atteignit 37°, 8. Durant les cinq
premiers
jours de son entrée elle a été de : MÉNING0
ion et de la grossesse. -A la naissance, enfant chétif, asphyxié. -
Première
dent à 10 mois. Dentition complète à 2 ans. Pro
était chétif, violacé, et la cyanose persista pendant 3 ou 4 jours.
Premier
cri accompagné de stridor. Allaitement mixte, e
11 mois. Pendant 3 mois, il aurait eu des accès de cris plaintifs.
Première
dent à 10 mois, a souffert beau- coup à ce mome
. Nous avons transcrit plus haut (p. 109) la température des cinq
premiers
jours de l'admission. Comme elle était élevée,
elle souffre al1joUl'd'hui. Les troubles men- taux paraissent les'
premiers
en date et seraient survenus à l'oc- casion d'u
ntérieures droites au niveau des derniers segments lombaires et des
premiers
segments sacrés. Il wmble donc légitime de loca
à la suggestion, surtout à la suggestion armée, il a pu après la
première
séance manger quelques biscuits, puis après la se
actaire à l'hypnose, cette jeune fille a pu être endormie pour la
première
fois à la fin de novembre. Aujourd'hui elle parle
iatrique. Le Précis de Psychiatrie est divisé en trois livres. Le
premier
, que précède une introduction historique, est c
up plus considérable que dans les précédentes ; son importance de
premier
ordre le justifie. Plus de cent pages sont consac
chiques d'involution ou démences. Dans la troisième partie du livre
premier
, M. Régis ex- pose sa classification. Il distin
euse mais toujours judicieusement interprétée, par son érudition de
première
main, son caractère à la fois scientifique et p
le choruidien- nedu IVe ventricule et sur la face postérieure des 2
premiers
seg- ments cervicaux siègent 3 petites masses g
ors le nombre de 5 à 6 par jour diminuèrent peu à peu. En mai 1886,
premier
mois de séjour à l'Asile, on note un accès quo-
profonde, plusépaissectplus dense, à fibres perpendiculaires aux
premières
. Dans ces deux couches cheminent des vaisseaux sa
cliniques. 1881, 1885, 1SS11, ]8\1 : 3, 18(1. (2) Communication au
premier
( : on ? rès 1>clgc de neurologie* ! dv psyc
s diverses (diabètes .surtout.) C'est M. Christian (1) qui l'un des
premiers
a signalé le mal perforant dans , la paralysie
es en trousseaux nettement limités commencent, à la hauteur de la
première
racine cervicale, à s'éparpiller le long de la co
lleBurlla<;lt in toto.Ce cas montre que les libres émanées des 4
premières
racines dorsales et de toutes les racines cervica
x des pyramides était particulièrement nette en l'espèce. Celle des
premiers
ne dépassait pas le niveau de la partie inférie
Eloigne-t- on maintenant ses doigts, l'aiguille reprend sa position
première
. Les doigts posséderaient-ils une force électro
lle recule devant la main qui s'approche, pour revenir sa situation
première
quand la main s'éloigne. Rien de semblable ne s
en agissant sur la face externe des extrémités in- fériea,rrcs des
premier
et cinquième métatarsiens. 6° Fi'appe-t-on sur
s cnfantsagé de quelques mois seulement. Effectivement, l'aspect du
premier
ne laisse aucune hésitation sur l'existence et
téraire, il con- naissait et citait tous mes travaux; il fut un des
premiers
Français qui connut et répandit en France la li
table comme les autres malades, a mangé deux soupes, de la viande (
première
fois depuis 8 mois) des légumes. 14 août 1900 a
une dame âgée de 31 ans. Le début de son affection remonte à son
premier
accouchement qui eut lieu en septembre 1902. Six
fut prise, à la suite d'une vive frayeur, survenue au moment de sa
première
menstruation, d'une attaque convulsive intense
retracer avec précision les circonstances. Peu de temps après cette
première
crise, apparurent des mouvements cloniques invo
- sance, pousse un cri rauque soit en tombant, soit au moment des
premières
convulsions, puis se relève au bout de quinze à t
es : physiologiques au point de vue obstétrical. Pendant les quatre
premiers
jours après l'accouchement, le calme du système
s mouvements choréiques reprennent leur intensité et leur Iréquence
première
. Une vive contrariété provoque, dans la nuit du
chorée de Sydenham vulgaire. Celle-ci apparaît à l'occasion d'une
première
grossesse, et n'est bien souvent qu'un rappel d
pourvu sans phrase dès la plus prochaine vacance ; nous disons le
premier
venu parce quela loi ne metencoreune fois aux p
mal comprise et quel ne sera pas le découragement des infirmiers de
première
classe aux- quels ce seul moyen d'avancement se
les tissus deviennent plus denses, leur dessin s'efface : c'est le
premier
stade. Plus tard le liquide céphalo-rachidien, in
l'hypothermie. Observation IV. -Garçon âgé de 18 ans. Naissance et
premier
» mois normaux. Vers l'âge de li mois, arrêt du
deux symptômes : infantilisme et myxoedème. 11 semble que ces deux
premiers
soient intimement liés et résultent en général
des lobes occipitaux expliquaient la récitée, Enfin le pied delà
première
circonvolution frontale gauche était intéressé pa
laire. Griffe cubitale typique à gauche avec hyperextension de la
première
phalange des deux derniers doigts el. flexion des
bres. Cas. IV. - Torticolis spasmodique organique. Dans les trois
premiers
cas, qui sont des tics vrais, il y eut deux cas
mère. Les suites opératoires furent normales, la réunion se fil par
première
intention, et les troubles signalés plus haut g
gie cérébrale spasmodique « très souvent congénitaux, ou datant des
premiers
mois du la « naissance, la rigidité musculaire
cellent. Aucun de ses anciens collègues n'a eu il revenir sur celle
première
impression et bientôt Vernet devint aussi l'ami d
ents, et exécute à la gym- nastique des échelles de corde les trois
premiers
mouvements. 1896. - Passe à l'écriture, fait de
de mange seul, marche et court librement. Il exécute bien les trois
premiers
mouvements de la gymnastique des échelles. La p
it à la gym- 252 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. nastique les deux
premiers
mouvements (assis, debout) et commence à sauter
en frottant son pavillon; il est nommé par les autres enfants le «
premier
frotteur ». 1904. L'enfant s'améliore toujours,
ême à sa famille et sans le concours de personne. Il fait les trois
premières
opérations en arithmétique, a quelques notions
ttention devient plus fixable, il peut maintenant exécuter les deux
premiers
mouvements à la gymnastique des échelles, saute
pre. Il commence à lacer, à nouer et boutonner. Exécute les deux
premiers
mouvements à la gymnastique, saute 2 degrés de
s penchants. Sait mieux s'occuper aujourd'hui et il fait les quatre
premières
opérations en arithmétique. Com- mence à faire
ons en arithmétique. Com- mence à faire les problèmes sur les trois
premières
règles. Tra- vaille bien à l'atelier de menuise
et boutonner. A la gymnastique, il exécute aujourd'hui les trois
premiers
mouvements et saute trois degrés de l'escabeau.
t difficile de le tenir long- temps assis, cependant il ébauche nos
premiers
exercices, essaie de boutonner, lacer. Il place
lasse. Il lit couramment, fait quelques dictées de mémoire et les 3
premières
opérations, caractère toujours difficile, gross
. -, , . 1898. Notre élève est arrivé à faire assez bien les deux
premières
opérations, l'écriture s'améliore de plus en plus
IQUE DES IDIOTIES. 275 tenant la division et l'application des deux
premières
opéra- tions, commence la rédaction. Il va à l'
ût en classe, il a moins de fautes dans ses dictées, fait les trois
premières
opérations, et ébauche la division, mais ne sai
toujours avec goût et docilité en classe, il fait maintenant les 3
premières
opérations et ébauche la division à un chiffre,
xercices sco- laires a fait des progrès notables; il fait les trois
premières
opérations et commence à en faire l'application
nnés. Nied ? lit couramment, écrit lisiblement, connaît les trois
premières
opérations de l'arithmétique et fait des petites
ont remarquables. A son entrée Germaine ne connaissait que les deux
premières
opérations de l'arithmétique; son écriture étai
re de mots; elle écrit b : en et tait des copies, connaît les trois
premières
opérations de l'arithmétique. En résumé cette e
MENTALE. au psychiatre paraît ici indispensable pour résoudre ces
premiers
points du problème. Mais au point de vue psycho
e depuis novembre 1880. Douze à quatorze crises par mois en- viron.
Première
crise après un accident de voiture : chevaux d'
ider dans l'examen des dates comparées de l'acci- dent et du ou des
premiers
signes physiques constatés de la paralysie géné
segment lombaire, correspond au grand adducteur. Le droit interne,
premier
et second adducteur, doivent tirer leur origine
u groupe postérieur. Atteinte aussi du 5- segment lombaire et des 3
premiers
sacrés. ' On trouve dans ces préparations (figu
dernier cas, que la malade s'endormit quelques instants au bout des
premières
24 heures. Contrairement à ce qui arrive pour l
l'oeuvre de Séguin que nous persistons à considérer comme un des
premiers
éducateurs du XtX" siècle. Outre les volumes do
u durachis, commotions cérébrales concomitantes,etc.) Au moment des
premiers
soins, dans les quarante-huit heures, la loi de
comme une somnambule. Elle se laissa aller dans un fauteuil, et sa
première
question fut celle-ci : « Professeur, tout est
état est devenu latent, et devenir quelquefois même la cause de sa
première
manifestation ; mais il n'est pas prouvé que le
re défectueuse mais elle peut rédiger une lettre; connaît les trois
premières
opérations de l'arithmétique et en comprend l'a
s devoirs variés de grammaire et de géographie, ainsi que les trois
premières
opérations de l'arithmétique. Le caractère est
réels progrès. Elle lisait très couramment, con- naissait les trois
premières
règles de l'arithmétique, commen- çait la divis
plaisir à faire la gymnastique, exé- ci-te parfaitement les quatre
premiers
mouvements, sait de même lacer, boutonner, agra
commence à faire tles petits devoirs de grammaire, connaît les deux
premières
opéra- tions de l'arithmétique, elle lit lentem
it bien; donne à sa lecture une bpnne intonation, connaît les trois
premières
opérations de l'arithmé- tique, suit une petite
xer- cices de ses compagnes. Elle lit par syllabes, fait les deux
premières
opérations de l'arithmétique, écrit lisiblement,
n- L 412 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. taires, connaît les trois
premières
règles de l'arithmétique. Elle a un bon raisonn
logée dans l'espace sous-arachnoïdien compri- mait d'abord les deux
premières
sacrées puis les 3° et 4e ; la balle fut enlevé
nquête, l'auteur a fait les ré- flexions suivantes. Les écoliers de
première
année présentent des troubles de la parole : ma
cation, les universités populaires et aussi les mères qui sont les
premières
éducatrices de l'enfant et peuvent surveiller les
conclusions in- téressantes, il a en plus accumulé des documents de
première
importance que tous les chercheurs pourront uti
est au moment de la ménopause. Elle a eu cinq enfants dont les deux
premiers
sont morts de tuberculose et le dernier est obt
curieuse, nous retrouvons, comme chez le malade del'ob- servation
première
, la blennorrhagie parmi les anam- nestiques deR
s divers segments des membres droits et gauches, au détriment des
premiers
. Les éminences thénar et,iL un moindre degré,hypo
les deux modes de disparition de la cellule nerveuse. II. A cette
première
zone, granuleuse, en succède une seconde moyenn
tement dévié en dedans ce qui l'empêche de distinguer les lettres à
première
vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a appr
ssez couramment, son écriture est régulière. Elle connaît les trois
premières
opérations de l'arithmétique sans toutefois en
est très courante, elle fait des petites dictées, connaît les trois
premières
opérations de l'arithmétique, rédige une lettre
ire, à faire quel- ques devoirs de grammaire, elle connaît les deux
premières
' opérations de l'arithmétique et lit presque .
son écriture est très lisible et bien formée; elle connaît les deux
premières
opérations de l'arithmétique. Elle s'exprime tr
lle exécute les mou- vements avec .une facilité étonnante» Elle est
première
en gymnastique. Cette enfant atteinte d'imbécil
; elle suit une dictée du cours élémentaire. Elle connaît les trois
premières
opérations de l'arithmétique; lit couramment et
es et instituteurs, les infirmiers et in- firmières doivent être de
premier
ordre, au physique et au moral, doués d'un degr
dico-pédagogique (1), etc. , pour les enfants atteints d'idiotie au
premier
et au second degrés, les enfants atteints d'imb
moins profondes. Pans le groupe des lésions dégénératives ligure en
première
li- gne l'abondance du pigment noir qui est nor
culaire. 11JI. Déjerine et Camus montrent ce malade dont les cinq
premières
racines cervicales gauches sont en outre anesthés
de 18J8, ou ordonnés par l'autorité publique, ou volontaires. Des
premiers
, vous êtes seul directement et personnellement re
espondent habituellement L des lésions du tiers postérieur des deux
premières
circonvolu- tions temporo-sphénoïdales. L'étend
ie Elle s'explique moins par l'atteinte d'un territoire cérébral de
première
nécessité que par l'association d'un proces- su
u.vségtir a fait connaître sous le nom de somnambulisme magnifique.
Première
observation (1). « Une cataleptique de quatorze
rdinaire en ce qu’elle répondait aux questions qu'on lui faisait. I.a
première
menstruation s'établit chez elle après quelques m
révolution autour de son corps, el que si Michel ne les saisit pas au
premier
tour, il les manque rarement aux tours qui suiven
t dans un état de spasme. Je me hâtai de la réveiller, bornant là mon
premier
essai. Je crois que cette jeune personne est auss
ant de faire comprendre quelques traits de ces étranges phénomènes.
Première
expérience. — Soit deux lignes de craie tra- cé
même après l’opération; les plaies se cicatrisent en peu de jours par
première
intention; dans les autres cas, je n’ai remarqué
de ses sens. Interrogé sur ses sensations, il ne se rappelle (pie ses
premiers
mouvements , et dit que les trois premiers pas qu
il ne se rappelle (pie ses premiers mouvements , et dit que les trois
premiers
pas qu’il a faits étaient accompagnés d’un sentim
tte scène étrange eussent voulu protester contre ce résultat. Cette
première
émotion calmée, M. du Pote t engage une autre per
honorer son nom ; il se condamne au silence et se résout à partir. Ce
premier
acte est égayé par la présence de deux amis du co
..» En effet, toutes les personnes de la noce paraissent, et les deux
premières
qui se trouvent en présence sont justement le com
stement le comte Annibal,qui a changé de nom, et la petite baronne du
premier
acte, qui n’est rien moins que sa femme légitime.
ontaine vient de livrer k l’impression l’Art de magnétiser; c’est son
premier
écrit. Nous l’analyserons aussitôt qu’il aura par
dans les différentes parties du corps où je dirigeais ma main. Cette
première
magnétisation dura une demi-heure, et la malade s
faire contracter des habitudes et adopter des principes opposes à ses
premières
dispositions. Par exemple, dans la maison où sont
seigné, et, grâce à vos instructions, j’ai réussi constamment. « Ma
première
tentative fut la guérison d’une gastrite nerveuse
’on peut donner aux sciences ce qui leur manque : la connaissance des
premiers
principes; utile, car c’est par elle seule que le
, tandis que chez l'homme c’est, an magnétisme plus spécialement, lin
premier
rang je mettrai chez nous l’amour. Ce mouvement,
tôt ès humeurs immédiatement adhérentes aux substances que non pas ès
premières
qualités d’icelles, dont inférons nécessairement
les difficultés, m’altira les railleries des vétérans de l’art. Ce
premier
échec, que je ne soupçonnais pas, me surprit sans
ne diminution de la somme de nos forces. Voici ce que l’on observe.
Premier
fait. Plein de confiance en lui, sûr de l’impui
uble, tremble de tous ses membres, puis redevient calme. Différent du
premier
expérimenté, nulle fureur ne sc peint en lui; un
rouve quelque difficulté à éloigner l’expérimenté du miroir. Comme au
premier
, on lui ôte le souvenir sans «au du Léthé (I).
qu’une personne s’ofFre à vous vous prévient-il en sa faveur ; cette
première
impression n’a-t-elle rien qui vous blesse, qui v
essous de lui, et que le feu était prêt à dévorer. Soudain toute sa
première
tendresse se réveille ; il n’envisage plus que l’
n faite au banquet du 23 mai 184 6, de consacrer le souvenir de cette
première
ovation à la science que Mesmer nous a léguée, pa
Un journal social de Madrid, intitulé l'Attraction, contient dans son
premier
numéro un long article sur le magnétisme. Ainsi p
-être plus encore, y pourra puiser d'utiles renseignements, car notre
première
pensée a été l'enseignement de l’application du m
Vous ne savez donc pas, madame, lui dit-il, que «j’ai reçu de vous ma
première
couronne? Vous vîntes « à Briennc distribuer les
s mille ob-« stades, chez les soldats, nn chemin, et deviendra leur «
premier
chef. Ce chemin sinueux lui baillera force « pein
de Bonaparte à la secte universelle des francs-juges. La date de son
premier
serment fut fixée au Ier septembre 1795 ; on dit
es tables de pierre où le cours des astres était tracé ; et de là, en
premier
titre, la naissance de l’astronomie, de l’astrolo
voyez dans ce rapide exposé la vérité de ce que j’ai avancé dans mon
premier
article: Mesmer tira la mère du sein de ses enfan
nétique , j’ai pensé qu'il vous serait agréable d’en être informé des
premiers
, afin d’en donner avis à nos amis communs que ce
n jourà l’humanité, ils donnent, d’une voix unanime, la préférence au
premier
de ces moyens. En conséquence, j’ai l’honneur d
om, M. de Balzac est celui qui a le plus étudié le magnétisme. Un des
premiers
, il a affronté le ri- diculc attaché à cette qu
bouche, la cloison alvéolaire située au-dessus de la tumeur. Celte
première
opération fut faite an jour indiqué; les gencives
pe divin infusé par Dieu dans sa créature, et qui obéit à sa destinée
première
en se communiquant de l’un à l’autre ; c’est le l
ribuât les médailles à l’effigie de Mesmer. On appelle les membres du
premier
banquet qui avaient voulu concourir aux dépenses
naissance de Mesmer, il fut proposé de consacrer le souvenir de cette
première
ovation à la science qu’il nous a léguée par une
e année. Le premier elle second tiers des sortants, pris sur les neuf
premiers
membres, seront désignés parle sort; les trois me
les membres composant le Jury, conformément aux dispositions des deux
premiers
paragraphes de l’art. 3. A la suite du vote de
, etc. » Quant aux névralgies temporales, cinq minutes suffisent au
premier
mesmériseur pour que les battements cessent de su
y a chaleur? Ne serait-ce point le nerf reconstitué dans sa condition
première
d’équilibre des fluides? Et quand je dis le nerf,
Les ligaments, excités par cette force vitale, reprenaient leur place
première
, et le nœud était dénoué. La douleur mécanique ce
videntes, sans quoi l’édifice est hasardé et s’écroule tout entier au
premier
souille du scepticisme. — Le Charivari du 2.5 m
lerie ; — Edouard Duché-vreuil, propriétaire ; — Le Goupil, commis de
première
classe de la marine ; — Corrard, ingénieur des co
ocation avec perte de connaissance et de violentes convulsions. Cette
première
attaque d’hystérie dura une demi-heure environ. L
le eut, à la même heure, un accès convulsif parfaitement semblable au
premier
. Dès la troisième attaque, elle fut immédiatement
ur de 14 kilogrammes, éthérisé dans le même service, ne sent rien aux
premiers
coups de bistouri; mais quand on arrive aux ligam
e névralgies pures , etc. Seul, il peut souvent suffire dans les deux
premiers
cas. « Son action ne paraît contrarier en rien
et, archevêque de Reims, et de Donald, archevêque de Lyon. Quant au
premier
, on m'assura avoir dit qu’il ne se permettrait pa
médie. « Cette publicité, en constalant la double mystification des
premiers
ouvriers, a produit chez eux une grande irritatio
n d’homicide est ici plus que légitime. Ce fait, qui paraît simple an
premier
abord, est cependant l’histoire de ce qui sc pass
es Pairs, en consacrant cet état déplorable, a mis entre les mains du
premier
individu venu le moyen de commettre un homicide i
sse instruite et exercée dans l’art militaire formera la pépinière ou
première
force armée de la république. Parmi ceux qui voud
ptibles d’étre électeurs s'ils sont propriétaires à cens suffisant.
Première
réflexion. — Peut-être taxerait-on de singularité
propres à constituer le parti de l'opposition, parmi lesquels sont en
première
ligne B., C. et Ganil. Voilà l’événement qui fo
voulu donner des preuves de clairvoyance, ont détruit les effets des
premières
. En sorte que le pauvre magnétisme a plutôt perdu
le choléra vers 183iou (835. Traitée par le mercure, elle échappa au
premier
des deux lléaux, mais depuis lors elle eut toujou
t qu'il faut distinguer différentes espèces de songes, et que la base
première
de l'oniromancie consiste à s'assurer si le songe
mme peu avisé et qui ne peut rien prévoir, vient de celte coutume des
premiers
chrétiens, qui d’ailleurs n’était qu’un reste des
l’on n’ose plus rejeter sur la fraude et l’ignorance les prodiges des
premiers
siècles. On étudie $ et il semble qu’un changemen
matrice et le charbon à la main gauche.) 2. Jeanne, fille Claverie,
première
née, de Pau, rue Gassies. (Un champignon à l’
graves sans douleur, selon la déclaration des malades, pensa que son
premier
devoir, en constatant rëfücacité .des procédés de
une eau pour ses yeux et partit pour nese réveiller qu’en arrivant au
premier
but de sa sortie. En rentrant, elle fut étonnée d
er; à ces mouvements brusques et répétés qui avaient lieu lors de mes
premières
magnétisations succédèrent des mouvements souples
ranger. L'Alliénée magnétique de Lyon vous prie donc de l'inscrire en
première
ligne des Sociétés qui probablement viendront bie
publié il part avec le fac-similé de la médaille commémora ti ve d u
premier
banquet mesmérien. La ligure ci-contre avec le re
Dieu, ajouta qu’il y avait encore un second commandement semblable au
premier
, celui de l’amour du prochain : Vous aimerez votr
LE ROI. COMPARUTION. Nous, juge ¿’instruction près le tribunal de
première
instance de l’arrondissement do Pau, mandons à l’
de première instance de l’arrondissement do Pau, mandons à l’huissier
premier
requis d'assigner le nommé (*) Laforgue, officier
tin, à la requête de M. le procureur du roi près le tribunal civil do
première
instance séant à Pau, qui élit domicile en son pa
ier en la Cour royale séant à Pau, reçu et immatriculé au tribunal de
première
instance de la liîc ville, demeurant audit Pau, s
rot, d’Arette. (Douleurs rhumatismales.} 13. Bernard Domecq fils,
premier
né, d'Arelte. (Inllammalion au ventre.) 1 i.
au. (Fièvre avec transport ei insomnie.) 41. Jean Lapassade lils,
premier
né, d’Artiguélouve. (.Maladie du foie, migraine
de Monlestruc. (Indainmation de poitrine.) 45. Pierre Bkoca fils,
premier
né, de Baringne. (Inflammation de poitrine, fiè
(Migraine et palpitation de cœur continuelle.) ¿6. Anne, iille Rey,
première
née, de Bizanos. (Fièvre tierce.) 57. Magdela
zkkave, de Lembeye. (Maladie du fuie.) C5. Jean Mouciiouret fils,
premier
né, de Monlcslruc. (Maladie de langueur, fièvre
e, fortes u ¡graines, affection nerveuse.) 70. Marie Trille, lillc,
première
née, h. de Gélos. (Fièvre continue, insomnie, s
épouse Bkhdot, d'Idron. (.Maladie de langueur.) 83. Jean Lauliié,
premier
né, cordonnier, de Pau, rue des Cultivaleurs.
ype est lombO eu cinquante-six jours, lOÍ. Marie Buessolles, fille,
première
née, de Tarbes. (Kpileptique; elle tombait tous
alaise général, insomnie, sans appétit.) 107. JeanneSassous, fille,
première
née, de Pau. (Fièvre continue.) 108. Marthe,
e palpitation de cœur permanente.) 117. Jean-Auguste Foucques lils,
premier
né, de Pau, rue du Palais. (Fièvre lente, mal
isée a suffi pour la guérir.) 122. Jeanne-Jeantin Minvielle, fille,
première
née, de Bilhère. (Maladie de langueur. L'eau
. (Point de côté. Deux séances l’ont guéri.) 126. Louis Dat fils,
premier
né, élève an collège. (Migraine, fièvre nerveus
li. de Pau. (Maladie des paupières ) 130. Anne Cazekave, fille,
première
née, de Pan. (Maladie d'yeux.) 131. Jean Sain
lui fit rendre te dépôt en deux jours.) 150. Marie, fille LaCrouts,
première
née, de Pau. (Pâles couleurs, perte blanche, su
Perle de sang continue. Depuis six semaines ‘elle gardait le lit ; au
premier
verre d’eau magnétisée la perte a cesse.) 153.
ils, li. de Pau. (Hydropisie gén raie.) 156. Pierre Bidaiat fils,
premier
ne, de Bilhère. (Fou.) 157. Jean-Antoine Monr
, premier ne, de Bilhère. (Fou.) 157. Jean-Antoine Monrepos fils,
premier
né, de Gélos. (Migraine permanente cl fièvre le
cœur, migraine, venls, insomnie, sans appétit.) 165. Michel Barbé,
premier
né, de Jurançon. (Rhumatisme, fièvre lente, mig
ente, migraine, insomnie, sans appétit.) 166. Bernard Malarpe fils,
premier
né, d’Assat. . (Convulsions nerveuses.) 167.
(Maladie de langueur, insomnie, sans appétit.) lf.9. Marie IIusté,
première
née, h. de Gélos. (Maladie des femmes, suppress
ntièrement perdu l’usage de marcher.) 180. François d’ARRtCAU fils,
premier
né, de Bilhère. (Inilammation de poitrine et du
ment, c’est le démon qui, sous la forme d’un serpent, conseilla à nos
premiers
parents la désobéissance aux ordres du Créateur (
Ià qu’il doit être combattu futtibus et armis. » Celte objection, à
première
vue, parait très-forte; mais puisque ce ne sont p
constater les progrès sensibles qu’il a faits dans le cours de cette
première
année de sa fondation. Ces progrès sont tels que
, n'était autre chose que la mémoire en sens inverse. Ces érudits des
premiers
jours voyaient ce qui n’est pas encore, aussi cla
s’il eût été précédé du spectre de sa ressemblance. « Le jour de ma
première
communion, j’entendis un concert aérien d’une dou
r la pratique au lit das malades. HOPITAL MESMÉRIQUE DE CALCUTTA.
Premier
rapport du docteur Esdaile; traduit par M. le com
ler; il ne voulait pas être dérangé ; enfin il ouvrit les yeux, et sa
première
demande fut pourquoi tant de monde l'entourait.
Impuissant et faible, je ne puis me comparer à ces grands hommes. Au
premier
échelon d’une échelle qu’ils gravirent, mon œil a
ine avait jugé incurable; c’était une tumeur cancéreuse, etc. Celle
première
opération lit voir à l’œil exercé que le virus
l’opération réussira maintenant que Mmc Valette me donne la main (aux
premiers
cris elle était accourue). Je souffrirai non à
apprendrai, de la force occulte, cause des plus grandes merveilles.
Premier
fait. Ma main tient le miroir fatidique; elle t
ur du miroir, puis s’en éloigne, revient, fléchit et tombe à la plaçe
première
qu’elle occupait. Elle allonge les bras, enfonce
reslé émerveillé. » Jeudi dernier, M. el Mmo Hermann ont donné leur
première
représentation. L’assemblée n’était pas aussi con
as encore admettre le magnétisme. » M. et M“ Hermann, lors de leurs
premières
expériences publiques, appelaient leur seconde vu
s du monde du magnétisme, c’est un tour que nous pouvons apprendre au
premier
venu. S’ils sont visités par des magnétiseurs, il
ffet, comment expliquer le sentiment de sympathie que l’on éprouve au
premier
aspect d'une personne qui vous attire à elle et v
a donc le quatrième mois de traitement avec autant de confiance qu’au
premier
jour ; cependant bientôt une légère somnolence se
ulres, mais simples d’abord pour ne pas intervertir l’ordre établi.
Premier
exemple. Essayons si ce disque magique aura per
teinture d’arnica et demi-once huile de camomille. Pendant les deux
premiers
mois de mon traitement, si je ressentis vivement
Nerveux à la Salpêtrière (1). . MESSIEURS, Je vais consacrer ma
première
leçon du Vendredi de la présente année scolaire
uelle il se rattache : cette famille est celle des Ecttoxttélietts,
première
division des monstres unit tires ccxttosites (c
pies de la Planche III représentent le sujet en question : les deux
premières
donnent l'aspect de face et de profit d'un moulag
se qui doit aboutir à la naissance du monstre, presque toujours aux
premier
et deuxième mois (tel notre cas) ; nous n'insis
up plus court, dont l'extrémité digitale s'arrête vers la moitié du
premier
os,formant sur son bord convexe une saillie vo-
souvent reproduit par D. Teniers le Jeune. Ce dernier 'qui, pour
premier
maître, eut le vieux Teniers, s'inspira souvent
es quatre personnages qui, dans l'Etuve de Cassel, sont groupés aux
premiers
plans. Le malade, assis sur une chaise, de prof
tionnel. -La scène est toute simple et l'intervention se comprend à
première
vue : Le Barbier retire un vieil emplâtre posé
30 mai elles éclatèrent de nouveau subintrantes; le malade tomha du
premier
coup en un véritable état de mal permanent. C'éta
ance néoplasique. A la face externe, la tumeur s'étend sur les deux
premières
circonvolu- tions frontales et laisse intacte l
ord cubital est concave, concavité qui se voit aussi à l'origine du
premier
espace interosseux à cause de la dispa- rition
rapproche beaucoup plus de celle de la main normale. Le contour du
premier
espace interosseux est moins rentrant la main gau
é il y a 23 ans par la main droite. Ce qui a 'attiré son attention en
première
ligne, c'est une parésie dans les mouvements du
ntent dans certains cas des bandes pigmentées et les extrémités des
premières
phalanges sont tuméfiées. Une autre affection à
ans une certaine mesure à l'apparition de ces troubles. Ainsi les 3
premiers
malades présentant la main succulente sont âgés
» Entrons dans les détails des examens microscopiques. A propos du
premier
cas il est noté à propos des cordons postérieur
sans que son état se modifiât, lorsqu'environ trois mois après mon
premier
examen, elle se plaignit de douleurs au niveau de
nt quarante-huit heures. Les douleurs avaient repris leur intensité
première
lorsque je revis la ma- lade. Croyant que leur
sation dans le décubitus dorsal, immobilisation qui joue un.rôle de
premier
ordre dans la thérapeutique rationnelle de cett
is heures ; elles reviennent quatre il cinq jours après chacune des
premières
injections pour disparaître définitivement aprè
imple et aisée. Par ce faire hâtif, aux touches larges,sûres, et de
premier
jet, Brouwer reste un des plus curieux représen
che. La médecine qu'on y fait est fort primitive. Nous assistons au
premier
temps de l'opération dont le Teniers de Cassel
timètre souple ordinaire, de la moelle épinière et des racines. Nos
premières
expériences dans ce sens, exécutées sur des rachi
pectivement de 52 centimètres, 60 cent. 3 et 72 cent. 8. Chez notre
premier
sujet, sur 3 cent. 1 d'allon- gement, 8 millimè
t, 8 millimètres étaient revenus aux vertèbres cervicales, 4 aux 10
premières
dorsales, 12 aux 3 vertèbres suivantes, 7 aux 4 d
a deuxième paire radiculaire dorsale, avec maximum à la hauteur des
premières
paires lombaires : nous renonçons à donner à ce s
veau procédé de traitement ; le 19 janvier 1889, nous publiions nos
premiers
résultats (2), obtenus sur 18 tabéti- ques ; le
douloureuse : la tolérance augmente géné- ralement dans les 5 ou 6
premières
séances pour devenir ensuite station- naire. D'
eu du pourcen- tage de 35 à 40 insucccès pour 100 établi dans notre
première
statistique portant sur 100 cas de tabes traité
traité à l'Institut Pasteur du 25 février au 16 mars, a présentéles
premiers
symptômes de la maladie le 22 mai (spasmes, hyd
re. Ces filaments, bien arrêtés dans leur forme,pourraient donner à
première
vue l'impression des bactéries filamenteuses in
erme complètement la main, on peut constater, à la face dorsale des
premières
phalanges, que l'espace interdigital occupe les
s de l'étendue comprise entre la tête des métacarpiens et celle des
premières
phalanges. Chez M. S.. l'es- pace interdigital
ir sur les épreuves ci-jointes (Pl. XX) qu'à part l'inclinaison des
premières
phalanges sur les métacar- piens,elles ne prése
oubli que sa nourrice avait commis de ne pas lui redresser, dans sa
première
enfance, les qua- tre derniers doigts de ses ma
fre cette disposition : l'angle formé par le rapprochement des deux
premières
phalanges est plus aigu. La corde est très nett
ne de rhumatisme chronique, quelque sé- duisante qu'elle paraisse à
première
vue. (1) JACCOUD, Leçons de Clinique médicale f
phique et qu'il trouve suffisantes pour faciliter le glissement des
premières
phalanges vers le bord cubital ; il fait en out
la déviation cubitale s'accompagne dans la règle d'une flexion des
premières
phalanges sur le métacarpe, flexion qui, dans l
une main de cadavre trois aiguilles, une profondément au niveau du
premier
espace interosseux dorsal, la seconde superfici
sins de la médaille. Et de, même,' quand nous avons associé à cette
première
médaille, une seconde.médaille en aluminium, de m
énar, c'est l'abduc- teur du petit doigt qui semble être atteint en
première
ligne, d'atrophie musculaire. En tout cas, et c
e pal- maire de la main à la face antérieure de l'avant-bras, et en
première
ligne, c'est le cubital antérieur qui serait pr
s premiers noyaux atteints seront ceux qui sont situés au niveau du
premier
segment dorsal et représentent les muscles des
péri-épendymaire qui se dirige dans le sens ver- tical et touche en
première
ligne les noyaux les plus rapprochés du canal é
présenté le type de la main de prédicateur. Même dans l'observation
première
de Charcot et Joffroy, il existait « des canaux
onique plus rare à laquelle paraît appartenir notre cas, du moins à
première
vue. A une analyse plus serrée, on voit qu'on n
e variété de mouvements choréiques que l'on appelle un tic. Cette
première
conclusion est purement symptomatique. Il faut ch
pour origine un centre dans les masses encéphaliques. » Dans son
premier
mémoire (le seul antérieur à Brissaud), Féré n'en
ection, résection, élongation du spinal ; myo- tomie, résection des
premiers
nerfs rachidiens, etc., tous procédés qui ne so
l décrits. Le problème est actuellement beaucoup moins simple qu'au
premier
jour. Le myxoedème joue un rôle pathogénique de
imple qu'au premier jour. Le myxoedème joue un rôle pathogénique de
premier
ordre dans un certain nombre de cas d'infantili
rdivement, le myxoe- dème refait à ceux qu'il frappe, une pitoyable
première
enfance, quelque chose comme la torpeur foetale
n- tile de petite taille se rappro- chera toujours davantage, à
première
vue, du type parfait de l'infantilisme, qui est
actuellement je ne compte plus les faits qui confirment mon opinion
première
. Il me serait facile de vous en présenter un très
249 deux aussi dépourvus de corps thyroïde vous rappelleront notre
premier
malade. Ils ont la face ronde, bouffie, les pau
r les suites de l'extirpation du corps thyroïde, en un mé- moire de
premier
ordre, riche de faits et d'idées ingénieuses. C'e
ette aura été entravé. Il me semble que j'en ai dit assez sur cette
première
variété d'infanti- lisme qui est, n'en doutez p
Laissons de côté la variété féminine et ne considérons que les deux
premières
variétés. Il me semble qu'elles se confondent en
er il côté d'un homme de 29 ans, est, comme vous en pouvez juger du
premier
coup, un peut nomme lui-même mais non plus un
i les grands nègres de l'Afrique centrale. Ce sont des dégénérés au
premier
chef destinés à disparaître. Beaucoup d'entre eux
s et ceux qui sont frustes, et permettant peut-être de conclure des
premiers
aux autres, et de tirer quelques déductions d'o
river sur la ligne médiane qui, en aucun point, n'est atteinte. A
première
vue, si l'on compare notre photographie Pl. XXVII
innervation d'un groupe ner- veux anatomiquement déterminé. A notre
première
observation, on a fait DES NIEVI DANS LEURS RAP
xiquer le foetus, dont les-organes sont des plus sensibles dans ces
premiers
moments du développement. Il est donc possible qu
la difficulté est encore plus grande qu'on ne pourrait le croire au
premier
abord : un grand nombre des hémiplégiques infanti
l'atrophie musculaire n'existait pas. Examinons les 10 malades du
premier
groupe, dont les observations suivent. 10r GR
rite de l'articulation-métacarpo : pha.langieîúiëdüpÓuce ? 3dophie du
premier
espace interosseux et du thénar. Rien au memb
laccidité musculaire sans atrophie vraie. Chez sept des sujets du
premier
groupe, l'atrophie portant sur le mem- bre supé
rendue encore plus évidente par les trois dernières observations du
premier
groupe. En effet, dans l'observation VIII, il e
ienne du pouce, et celle-ci coïncide avec l'atrophie des muscles du
premier
espace interosseux et du thénar. DE L'ATROPIIIE
main, atrophie muscu- laire généralisée. Chez les dix malades du
premier
groupe, l'atrophie est restée limitée au membre
jours après l'accident. Voici, succinctement, les résul- tats de ce
premier
examen : A droite, les mouvements passifs du me
bres inférieurs, le raccourcissement de l'une des jambes frappait à
première
vue : le malade boitait un peu, et il avait la
radiculaires postérieures. Parmi ces collatérales, il distingue en
première
ligne : a) Les collatérales pour la commissure
en dégage impérieusement, c'est la suivante : Les COLLATÉRALES DU
PREMIER
GROUPE, les COLLATÉRALES SENSITIVES, QUI SUBISS
placé devant vous, je n'ai fait représenter que des collatérales du
premier
groupe, des collatérales croisées, qui se rende
yeux. Ce schéma (Fig. 5), je vous le répète, est très ingénieux. A
première
vue, il explique admirable- ment l'hémianesthés
plaie qui persista pendant 13 ans, s'ouvrant, chaque hiver, dès les
premiers
froids, pour ne se fermer qu'en mai. Le pied gauc
s passagère des phénomènes paralytiques et atrophi- ques chez notre
premier
malade, comme le fait est bien connu surtout de-
e spécial quant la gestation, ni quant à la naissance, ni quant aux
premières
années. Il aurait eu des convulsions pour la pr
coloration de la peau s'atténuait. Quand je revins de nou- veau au
premier
octobre il ne restait aucune trace de la colorati
leurs observations on voit que tous présentent, comme les sujets du
premier
groupe, de l'amyotrophie du membre supérieur. M
eau de l'articulation métacarpo- phalangienne du pouce, atrophie du
premier
espace interosseux et du thénar. Mart. M..., ho
ticulation métacarpo-phalaugienne du pouce. Atrophie des muscles du
premier
espace interosseux et du thénar. Membre inférie
l'articulation métacarpo-phalangienne qu'accompagne une atrophie du
premier
espace interosseux et du thénar. - ' De plus, c
microscopique dans les deux cas est identique; seulement, clans le
premier
cas, on a l'impression d'avoir affaire à un proce
la grande maladie qu'elle présente : l'épilepsie. Ce qui frappe au
premier
abord, ce sont ses mains en « pinces de homard
ésents, mais deux, le second et le troisième, sont acco- lés à leur
première
"phalange et libres seulement à l'extrémiCé; ilsso
remarque : il mérite mieux qu'une simple constatation. , Dans sa
première
et magistrale description, P. Marie a déjà signal
. BRISSAUD ET HENRY MEIGE La cuisse et la jambe sont très fortes. A
première
vue, la jambe paraît oedé- mateuse à cause du d
me côté, les deux membres inférieurs formant « les guillemets ». Au
premier
abord, la photographie de son malade ressemble
, non le sque- lette, mais les parties molles, alors que chez notre
premier
malade, Octave L..., la macrodactylie relevait
ssemblent, et que le diagnostic peut être porté, pour ainsi dire, à
première
vue et à distance. Nous voulons parler de la né
progrès sont assez rapides quoique beaucoup plus lents que ceux des
premiers
jours. Il y eut à ce moment quelques difficultés,
is à les varier. Alors, il est meilleur médecin de lui-même que son
premier
guide et il est en mesure de parfaire tout seul
: le diagnostic peut se faire, grâce à cette uniformité d'aspect, à
première
vue et à distance » (1). Parfois, les tumeurs l
er en revue. Mais, d'ores et déjà, on peut se convain- cre, par ces
premières
remarques, qu'il est permis de faire le diagnosti
jambe gauche, le pied droit informe dans une chaussure trouée, (1)
Premier
corridor. N° 33. 432 HENRY MEIGE "la face hid
ons eu l'occasion de voir de près, récemment, cette oeuvre d'art de
premier
ordre (Fig. 5). La Sainte, est représentée debo
ré sur le tard, ont été ajoutées par.Charcot et Paul Richer à leurs
premières
figurations de Lépreux (1). (1) Charcot et PAUL
Jeune atteignit de bonne heure et bientôt dépassa le talent de son
premier
maître, Hans Holbein le Vieux, son'père. Il se
L éditeur 14, rue des Carmes, 14 I 108, Boulevard St-Germain, 108
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1905
1905 (Bicêtre et Fondation Vallée) Bourneville, Bicêtre, 1905.
PREMIÈRE
PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du Servi
— 3° les enfants propres, valides, idiots améliorés, venus des deux
premiers
groupes, imbéciles, arrié-rés, instables, pervers
I. Enfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. — Ce
premier
groupe est subdivisé en deux catégories La premiè
evé clos enfants ayaut déféqué au siège après les repas, durant les 5
premiers
jours de chaque mois. Voici le relevé qui a porté
la gymnastique des échelles et des ressorts, sauf ceux qui, venus du
premier
groupe, c'est-à-dire des invalides, étant encore
e gracieusement à notre disposition. Elle est aidée par M"10 Randier,
première
infirmière. Quarante enfants composent cette écol
ée était moins accentué et Beni... connaissait le mécanisme des trois
premières
opérations de l'arithmétique. Les progrès sur les
incapable de gagner sa vie. Il savait lire couramment, faisait les 3
premières
opérations, suivait assez bien la dictée et pos-s
réclamer enfin avec succès cette année le rétablissement du poste de
premier
instituteur qui a existé durant longtemps. La s
xposi-tion d'horticulture. Caisse d'épargne. —• Elle est confiée au
premier
de nos instituteurs, M. Mesnard. Les recettes ont
s ont été soignés pour angine et 7 pour conjonctivite. Teigne. — Au
premier
janvier 1905, il restait dans le service 11 teign
t dans les établissements privés, mais il doit être au moins égal aux
premiers
. Le Département de la Seine hospitalise, traite
l'avons déjà dit, il faut commencer le traitement de bonne heure, aux
premières
manifestations de l'anor-malité, à deux ans au pl
cessivement tous les degrés de l'échelle. Il y a des exercices qui, à
première
vue, peu-vent paraître inutiles, mais qui sont in
radiction, et prennent le conlre-pied de tout ce qu'on leur dit. Leur
premier
mouvement est un mouve-ment de défense, de révolt
inspirer de l'affection, ils y seront sensibles. Pour vaincre leur
première
résistance, exiger d'eux un travail qu'on sait le
t médico-pédagogique (h, etc., pour les enfants atteints d'idiotie au
premier
et au second degré, les enfants atteints d'imbéci
gner sur leur genre d'existence, pour reprendre leurs (1) Ces trois
premiers
cités comme exemples d'établissements publics pou
l'état bleu), cordon autour du cou, poids, ohétif ou bien portant.
Premiers
cris : naturels ou avec stridor ou respiration re
les familles. Cause à laquelle les parents attribuent la maladie.
Premiers
signes de l'idiotie, constatés par les parents.
es parents. Ecolage. parties de l'enseignement faibles ou fortes.
Premiers
signes de l'épilepsie : cauchemars, céphalal-gies
x communs sont les suivants : a) Tableau de la température des cinq
premiers
jours de l'admission. — Nous faisons prendre, mat
tements, et exécute à la gym-nastique des échelles de corde les trois
premiers
mouvements. 1896. — Passe à l'écriture, fait de
alade mange seul, marche et court ibrement. Il exécute bien les trois
premiers
mouvements de la gymnastique des échelles. La par
ans (1898). Fio. 8. — Maz..., à 11 ans (1895). rustique les deux
premiers
mouvements (assis, debout) et commence à sauter.
-même à sa famille et sans le concours de personne. Il fait les trois
premières
opérations en arithmétique, a quelques notions él
attention devient plus fixable, .il peut maintenant exécuter les deux
premiers
mouvements à la gymnastique des échelles, sauter
pro-pre. Il commence à lacer, à nouer et boutonner. Exécute les deux
premiers
mouvements à la gymnastique, saute 2 degrés de l'
ais penchants. Sait mieux s'occuper aujourd'hui et il fait les quatre
premières
opérations en arithmétique. Com-mence à faire les
ations en arithmétique. Com-mence à faire les problèmes sur les trois
premières
règles. Tra-vaille bien à l'atelier de menuiserie
acer et boutonner. A la gymnastique, il exécute aujourd'hui les trois
premiers
mouvements et saute trois degrés de l'escabeau. A
est difficile de le tenir long-temps assis, cependant il ébauche nos
premiers
exercices, essaie de boutonner, lacer. Il place l
classe. Il lit couramment, fait quelques dictées de mémoire et les 3
premières
opérations, caractère toujours difficile, grossie
alyses. 1898. —1 Notre élève est arrivé à faire assez bien les deux
premières
opérations, l'écriture s'améliore de plus en plus
calcul, il fait main- tenant la division et l'application des deux
premières
opéra-tions, commence la rédaction. Il va à l'ate
goût en classe, il a moins de fautes dans ses dictées, fait les trois
premières
opérations, et ébauche la division, mais ne sait
le toujours avec goût et docilité en classe, il fait maintenant les 3
premières
opérations et ébauche la division à un chiffre, l
s exercices sco-laires a fait des progrès notables; il fait les trois
premières
opérations et commence à en faire l'application.
onnés. Nied... lit couramment, écrit lisiblement, connaît les trois
premières
opérations de l'arithmétique et fait des petites
sont remarquables. A son entrée Germaine ne connaissait que les deux
premières
opérations de l'arithmétique; son écriture était
nombre de mots; elle écrit bien et tait des copies, connaît les trois
premières
opérations de l'arithmétique. — En résumé cette e
core défectueuse mais elle peut rédiger une lettre; connaît les trois
premières
opérations de l'arithmétique et en comprend l'app
des devoirs variés de grammaire et de géographie, ainsi que les trois
premières
opérations de l'arithmétique. Le caractère est
e réels progrès. Elle lisait très couramment, con-naissait, les trois
premières
règles de l'arithmétique, commen-çait la division
vif plaisir à faire la gymnastique, exé-cute parfaitement les quatre
premiers
mouvements, sait de même lacer, boutonner, agrafe
t, commence à faire des petits devoirs de grammaire, connaît les deux
premières
opéra-tions de l'arithmétique, elle lit lentement
lit bien, donne à sa lecture une bonne intonation, connaît les trois
premières
opérations de l'arithmé-tique, suit une petite di
aux exer-cices de ses compagnes. Elle lit par syllabes, fait les deux
premières
opérations de l'arithmétique, écrit lisiblement,
devoirs de grammaire, des'dictées élémen- taires, connaît les trois
premières
règles de l'arithmétique. Elle a un bon raisonnem
ortement dévié en dedans ce qui l'empêche de distinguer les lettres à
première
vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a appris
assez couramment, son écriture est régulière. Elle connaît les tiois
premières
opérations de l'arithmétique sans toutefois en co
e est très courante, elle fait des petites dictées, connaît les trois
premières
opérations de l'arithmétique, rédige une lettre,
écrire, à faire quel-ques devoirs de grammaire, elle connaît les deux
premières
opérations de l'arithmétique et lit presque coura
son écriture. est très lisible et bien formée; elle connaît les deux
premières
opérations de l'arithmétique. Elle s'exprime très
, elle exécute les mou-vements avec une facilité étonnante.. Elle est
première
en gymnastique. — Cette enfant atteinte d'imbécil
es; elle suit une dictée du cours élémentaire. Elle connaît les trois
premières
opérations de l'arithmétique; lit couramment et d
rices et instituteurs, les infirmiers et in-firmières doivent être de
premier
ordre, au physique et au moral, doués d'un degré
médico-pédagogique (1), etc., pour les enfants atteints d'idiotie au
premier
et au second degrés, les enfants atteints d'imbéc
* M. Doury a remplacé M. Bord le 1er novembre. TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1905.
ielle du cer- velet. Il modifie du reste dans ce nouveau travail sa
première
description du faisceau sensoriel cérébelleux,
peu oblique en bas' et en arrière, correspond au manubrium et à la
première
pièce du méso-sternum ; au niveau de la e échancr
. Opéré il y a 9-1 ans pour une fistule rectale. L'apparition des
premières
tumeurs daterait de 23 ans. Collier lipoma- .te
a Paris, suivit ses classes, quand brusquement elle fut prise de sa
première
crise le 11 novembre 1898. Elle avait passé plu
il exprimait celte volonté avec une exaltation singulière, mais au
premier
mot de maison de santé il m'arrêta, un de nos m
ère finit par vainc e la résistance de la mère, il retourna près du
premier
médecin qui l'avait conseillé, et isolée sous sa
II.) S..., malgré ses longues souffrances, n'inspire pas la pitié à
première
vue. Il est assez fort et assez gros (taille 1·
et d'attache de cette tumeur parait être l'arc postérieur des deux
premières
vertèbres lombaires. ce niveau, on est obligé d
DE LA RÉGION LOMBAIRE 75 Voilà le fait : comment l'interpréter ? Au
premier
examen de l'enfant, on pouvait songer, à cause
une composition villageoise peinte sur toile, qui peut remonter aux
premières
années du XVII0 siècle, et 'qui appartient à un
solue. Voici du reste le compte rendu de l'examen pratiqué dans les
premiers
jours de mai, par le professeur Isola : Vision ce
a lame quadri- latère. La tumeur est ainsi placée sur le trajet des
premières
paires crâniennes. Les pédoncules olfactifs son
toujours le même par tous ses caractères, le premier jour comme le
premier
mois, le premier mois comme le deuxième et ^trois
mmeils divers. Je n'ai pas besoin de définir pour le moment les six
premiers
types ; quant au dernier - sommeils di- vers -
t est assez vague, sans doute parce que le sujet l'est aussi, et au
premier
chef. 108 F. SOCA Je relève cependant ceci
que le sommeil a gardé imperturba- blement les mêmes caractères, du
premier
au dernier jour de sa longue maladie. Et cette
z clairement au sommeil ou au coma j'arrive au chiffre de 32 surina
première
série de ces cas, c'est-à-dire approximative- m
ement parler s'est trouvé un phénomène excessive- ment rare dans ma
première
série de cas. On peut dire que les cas de som-
enlevée (gliome) située à la base de la 2e frontale empiétant sur'
première
et s'arrêtant juste à la frontale ascendante, t
Allemagne, un second mémoire de G. Kroenigf/). Cet auteur ajoute au
premier
fait, déjà observé par lui en 1SS4, deux (1) G.
cette déformation. Il présentait bien des symptômes ataxiques, les
premiers
phénomènes avaient, parait-il, cependant débuté d
première observation que nous donnons ici est celle publiée pour la
première
lois par G. Petit, dans les Bulletins de la Socié
0 ans, chute d'une barrique sur le vertex. A 39 ans, apparition des
premières
douleurs fulgurantes, faiblesse des membres infér
eils splanchniques. Le 23 mai, M. Demons pratique la résection du
premier
métatarsien gauche. Les jours suivants, les lam
à gauche co7n- prenant les 6 dernières vertèbres dorsales et les 3
premières
lombaires. Gibbosité angulaire lombaire. Mort
les de la colonne vertébrale. Exagération des courbures nor- males.
Première
courbure latérale à concavité droite au niveau de
vertébral. Deuxième courbure, à convexité droite, comprenant les 3
premières
lombaires et les 6 dernières dorsales. Troisièm
rnières cervicales. Déviation angulaire saillante correspondant aux
premières
lombaires. Corps vertébraux augmentés de volume
des courbures normales qui sont fortement exagérées,elle offre une
première
courbure, à concavité droite, située au niveau de
nne lombaire. Elles sont très réduites de volume du côté gauche des
première
et deuxième vertèbres lom- baires. Les apophyse
entent pas de volumineuses exos- toses comme on peut le constater à
première
vue. La cinquième lonibaire voit sa face inféri
x. A 33 ans, arthropathie de la hanche droite : marche difficile.
Premier
examen à 37 ans, en 1884. Signes non douteux de t
s membres supérieurs et le tronc. , Deux ans après l'apparition des
premières
douleurs, survinrent des troubles de la vessie
amen est pratiqué le 5 juin 1887, c'est-à-dire, trois ans après son
premier
séjour l'hôpital. , La malade a beaucoup maigri
uccombé à une éruption généralisée et à du mal dans la bouche. Lo
premier
phénomène en date, dans l'histoire de sa maladie,
a jambe du côté gauche est plus courte de 0,10 centimètres. Notre
première
idée diagnostique, en voyant cette anasarque réce
mention d'une gravité particulière de la syphilis. Cependant notre
premier
malade paraît avoir été singuliè- rement infect
ne clinique certain pour trancher la question, cependant dans notre
premier
cas la dissémi- nation des troubles des réactio
nécessité de distinguer le pas simple d'avec le. double pas (1).Le
premier
se rapporte aux mouvements qu'un pied fait en s
t-il, de la nature encore obscure de la maladie. (1) Depuis notre
première
communication, nous avons pu examiner 4 malades d
her du goitre exophtalmique. Si tentante qu'elle puisse paraître au
premier
abord, l'hypothèse de Madelung ne résiste pas d
M. Th. Anger, l'enveloppe graisseuse est tellement abondante qu'au
premier
abord on croirait à un lipome. » Et plus loin :
iques dans la région sous-occipitale, sous le menton, au niveau des
premières
vertèbres dorsales dans les régions mammaires e
3 ICONOGRAPHIE DES ARRACHEURS DE DENTS PAR HENRY MEIGE Au
premier
mal de dent remonte sans doute le premier dentist
intéressants sur les costu- mes, les pratiques et les moeurs de ces
premiers
adeptes de l'odotonlogie. Et les images, dont q
n (musée du Louvre). A cette série dont la valeur artistique est de
premier
ordre, il faut ajouter une seconde liste, non m
oopéré à ces illustrations. Les plus anciennes remontent aux toutes
premières
années du XVI" siècle, gravures sur bois, sur cui
a perfection de son oeuvre gravé. Ce dernier par contre est de tout
premier
ordre ; il fut justement admiré par ses con- 20
le hurin dans l'atelier de son père, peintre de vitraux, et que son
premier
maître, Corneliss Enghel- brechtsx, fut bien vi
ignalons se trouvait la reproduction phototy- pique d'un tableau au
premier
abord identique à celui deSt-Omer. Ce ta- bleau
yait disparu. En effet, le tableau de M. de Molènes, s'il parait au
premier
abord être 'de tous points identique à celui de
terdam, et un autre Opérateur, au musée de Bruxelles. Pour les deux
premiers
il s'agit mani- festement de l'extraction simul
étude de l'hémiplégie traumatique à tous les âges de la vie sauf au
premier
, aux différents points de vue de l'étiologie, d
le plus souvent atteintes dans l'hémiplégie traumatique ? C'est en
première
ligne la région du parié- 216 RENÉ MARTIAL ta
la main droite, 15 cent. 5. gauche, 14 cent. 5. Circonférence des
premières
phalanges des quatre derniers doigts à droite,
es quatre derniers doigts à droite, 12 cent. 5. Circonférence des
premières
phalanges des quatre derniers doigts à gauche,
, Ilasque, avec participation du facial inférieur. L'anesthésie des
premiers
jours s'était beaucoup atténuée, et elle dispar
, mais survenue seulement trente- six heures après l'accident. Au
premier
abord, on est tenté de penser que l'hémiplégie n'
inférieur du maxillaire inférieur et descend jus- qu'au devant des
premiers
anneaux de la- trachée. Sur les côtés elle sem-
tait nullement inquiété, car ne remarquait rien d'anormal. Vers les
premiers
jours du mois d'avril 1899, il sentit sur la part
près normal (en regard d'un carpe encore incomplètement développé);
première
phalange courte, tassée avec épiphyse supérieure
face dorsale fortement convexe, la face plantaire très concave ; la
première
phalange des orteils est en extension; les autres
s forme une ligne verticale que conti- nuent les apophyses des cinq
premières
vertèbres dorsales. A ce niveau, la verticale s
lations mais à la raideur arti- culaire des genoux. La démarche, au
premier
coup d'oeil, trahit le tabes. Si l'on commande
A 33 ans, apparition brusque de crises clitori- diennes. A 35 ans,
premières
douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs,
ouie. Deux petits maux perforants symétriques aux talons. A 39 ans,
premiers
troubles de la marche. Depuis l'âge de 40 ans,
che. Depuis l'âge de 40 ans, amaigrissement rapide et progressif. '
Premier
examen en octobre 1898, à l'âge de quarante-cinq
m de courbure au niveau des dernières ver- tèbres cervicales et des
premières
dorsales. Elle présente quelques points saillan
ans, crises gastriques, calmées par les lavages d'estomac. A 38 ans,
premières
douleurs fulgurantes. Début de l'ataxie des mem
. Pas de trace de syphilis. Abus des plaisirs véné- riens.A 45 ans,
premières
douleurs fulgurantes. Chute spontanée des dents.
droit. A 48 ans, douleurs' en ceinture, crises gastriques. 49 ans,
premiers
troubles de la marche . A 52 ans, déviation pro
1881, à l'âge de quarante-cinq ans, que le malade voit survenir les
premières
atteintes de son mal : à cette époque, en effet,
Pas de trace de syphilis. Abus des plaisirs véné- riens. A 45 ans,
premières
douleurs fulgurantes. A 50 ans, chute de voiture,
e, 58 ans. Syphilis à 25 ans, non traitée spécifiquement. A 40 ans,
premières
douleurs fulgurantes. A 50 ans, inclinaison du tr
ns, le malade fut atteint d'un mal perforant plantaire, localisé au
premier
orteil de chaque pied. Il fut amputé une première
t il huit ans, c'est-à-dire sept ans environ après l'apparition des
premières
douleurs fulgurantes, il s'aperçut d'une voussure
présenterai mes conclu- sions personnelles sous forme de thèses.
PREMIÈRE
PARTIE MÉTHODE DE NISSL MODIFICATIONS DE VAN GE
l'huile de cajeput, la benzine et montées au damai'. Depuis cette
première
formule, on a préconisé de nombreuses modifi- c
depuis tantôt deux ans de belles séries qui sont aussi nettes qu'au
premier
jour, tandis que nos coupes colorées à la même
matiques, que Marinesco a dénommée « phase de réaction ». A celle
première
phase succède la phase de réparation, ou de recon
té l'opération. La plaie s'est toujours fermée très rapidement, par
première
intention, sans traces de suppura- tion. Aprè
de travers. L'ap- paritionde ce phénomène fut assez brusque et ses
premières
manifestations coïncidèrent avec un étourdissem
tude. A cet ensemble clinique si singulier correspondent chez notre
premier
malade, des lésions anatomiques d'une topograph
de présomption et non une certitude absolue. L'affection dont notre
première
malade est atteinte ne peut par consé- quent êt
t' a présenté il la Société médicale de Hambourg quatre malades. Le
premier
reçoit un coup de revolver dans la tempe droite.
e deux hypothèses : Ou bien, la lésion peut être très voisine de la
première
altération, résultat d'une propagation de voisina
ien, par l'intermédiaire de la lésion d'un vaisseau compris dans la
première
altération, il s'est développé un foyer de ramoll
d dont il n'est jamais sorti. Il n'y a pas eu de vomissements. Au
premier
examen il présente un affaissement très net des m
ipitale fait une forte saillie ; l'angle sternal et l'insertion des
premières
côtes font un relief très prononcé ; la main est
étré dans la paume de la main dépassant l'extré- mité supérieure du
premier
métacarpien et séparé seulement par un espace d
rois centimètres (au lieu de 9) de l'extrémité la plus proche de la
première
phal'ange de l'index (Pl. LVIII). Les lésions c
trémité inférieure brusquement coupée à 3 centimètres au-dessous du
premier
pli du poignet, rien ne rappelle la disposition o
s (mais nous devons nous souvenir que en réalité la partie saine du
premier
métacarpien représente la première pha- lange d
somme avec l'extrémité UN CAS RARE D'OSTÉO-ARTliROPATnIE 409 des
premières
phalanges, mais ce sont des articulations bouleve
Restent les myopathies essentielles et les formes de transition. Au
premier
abord notre malade semble être atteint de paralys
ourbures, soit enfin la production de courbures anormales. Les deux
premières
séries de ces déviations s'exécu- tent dans le
la dernière dans le sens latéral. Le plus souvent à l'une des deux
premières
s'ajoute la troisième. L'exagéra- tion des cour
es déviations et les altérations des segments lom- baires. Chez son
premier
malade, la dernière vertèbre lombaire était pro-
le, tantôt d'avant en ar- rière, tantôt d'arrière en avant. Dans ce
premier
cas, le promontoire s'é- loigne du pubis, le co
ue. Le bassin devient asymétrique, et ses modifications jointes aux
premières
rendent une description générale impossible. Ce
A peine ont-ils goûté l'herbe de Nicol, à peine ont-ils lancé leur
premier
jet de salive qu'ils ne cessent plus un seul in
morceaux ou voit, mais à un nombre moins grand que dans les quatre
premiers
morceaux, des fibres dégé- nérées. Ce qui saute
an- che sous-corticale avec les préparations correspondantes du cas
premier
, nous ne voyons entre elles qu'une ressemblance
, mais la quantité de ces globules est moins grande que dans le cas
premier
, où les modifications en général étaient bien p
téraux peut être distinguée même à l'oeil nu. Ainsi que dans le cas
premier
, ici aussi la dégénérescence est observée sur l
igmentaires et graisseux, ce qui est encore plus marqué dans le cas
premier
. Les deux cas, décrits plus haut, présentent un
rents, ce qui se trouve en correspondance avec cela que dans le cas
premier
la maladie a duré plus longtemps et le malade s
e. Les troubles moteurs étaient beaucoup plus prononcés dans le cas
premier
; il y avait là des contractures dans les membre
disant que « le syndrome de Basedow reconnaît souvent, comme cause
première
, l'hystérie : la sé- crétion exagérée du corps
aitements. Elle a été mariée deux fois. A 21 ans, à l'époque de ses
premiers
rapports sexuels elle a eu une phlegmasie pelvi
rapports sexuels elle a eu une phlegmasie pelvienne. Elle a eu son
premier
enfant à 23 ans : son fils a actuellement 25 an
s basedowiens se sont manifestés longtemps après l'appa- rition des
premiers
symptômes hystériques qui ont disparu les premier
ales. Il est noté dans les observations une intégrité apparente des
premiers
; quant aux seconds, muscles des gouttières, épine
ependant signaler la présence de débuts précoces, contemporains des
premiers
symptômes douloureux. Nous n'avons pu établir d
u membre supérieur et de l'hémithorax correspondants : la déviation
première
antéro-postérieure se compliquera d'une courbure
ner une chute en arrière de ce dernier et un glissement en avant du
premier
. Les deux fragments ont perdu leurs rapports no
de développement dans la colonne lombaire. La raison en échappe au
premier
abord, mais on peut la retrou- ver à la fois da
t d'acier et de ba- leines. Les résultats furent nuls chez les deux
premiers
, ils furent remar- quables chez le dernier, aus
net et bien défini (ce qui est encore plus rare). Dès le début du
premier
examen l'attention se perte sur les yeux du ma-
complet qui dure deux jours, la paralysie de la IIIe paire date du
premier
moment. L'hémipa- résie se fait remarquer trois
acies gauche. La vessie était également paralysée · Lors de notre
premier
examen, sept semaines plus tard, voici ce que nou
le soir même, la paralysie fut certifiée par un médecin. Durant ce
premier
jour, elle était assoupie, criait par moment et p
te aiguë disséminée; 4° la polyo-myélite antérieure aiguë. Les deux
premières
formes, malgré une certaine ressemblance qu'elles
des documents incontestables sur la myélite aiguë, je dois citer en
première
ligne, le professeur Babès. Dans les derniers t
yélite consécutive à la variole, parmi lesquelles il faut citer, en
première
ligne, le cas de Auché et IIobbs, et celui que j'
our défendre son autonomie, le professeur von Leyden occupe une des
premières
places- C'est lui qui a pour la première fois r
et parmi les symptômes qu'il s'agit de combattre, on doit éviter en
première
ligne les infections secondaires qui produisent l
outefois qu'il fut, en même temps qu'un grand peintre, un savant de
premier
ordre, et la plupart ne savent point sans doute
aire est de 3 centimètres dans notre cas, de 28 millimètres dans le
premier
cas de Hirschberg, et de 20 millimètres dans le s
L'examen ophtalmoscopique pratiqué dans 8 cas (Schenkl, Cabannes, 3
premiers
cas de Gourfein, Lucanus, 1ex cas de Hirschberg e
dans une étendue plus ou moins grande dans 4 cas (Lucanus, Gast, 2
premiers
cas de Gourfein), entourée d'un croissant staph
e se rencontre assez rarement ; il est cependant noté dans les deux
premières
observations de Gourfein. Le plus souvent, c'est
fille. Elle s'est toujours bien portée et attribue son oedème à sa
première
couche à l'âge de 1 ans. Cet oedème avait début
le. uns. III. Célestine P..., âgée de 21 ans, est la soeur de notre
première
malade. Elle n'a eu aucune affection grave dans
té. Cas. IV. - Victorine P..., âgée de 3 ans, est la nièce de notre
première
ma- Iade.Son père est maigre, sans aucune trace
ans l'observation II, c'est seulement à vingt et un ans, pendant la
première
grossesse, que l'oedème apparut incidemment. Da
é à M. H. Meige : c'était d'ailleurs le cas chez sa 638 LANNOIS .
première
malade, et il cite également un cas de la thèse d
e taille, de développement normaux (PI. LXXXII). On est frappé au
premier
abord par la déformation considérable du thorax :
eil gauche dont le début remonterait à l'époque de l'apparition des
premiers
symptômes parétiques. Diminution considérable d
e tumeur du coude droit. En présence de ce cas, à l'époque de notre
premier
examen, lorsque les lésions peu apparentes de l
su- ration. ' Nous avons multiplié nos mesures pour contrôler nos
premiers
résultats qui nous paraissaient en trop nette c
vé « que les cellules gonflent considérablement pendant les 15 à 20
premiers
jours qui suivent la section, c'est-à-dire pend
tre les cellules motrices et les sensibles, comme on l'avait cru au
premier
abord. On affirmait naguère encore la possibili
emonter sans doute à des temps fort éloignés pour retrouver l'origine
première
, le point de départ de ce grand changement, dont
incipe au culte de l'observation pure, parmi les-quels se détache, en
première
ligne, la grande figure d'Hip-pocrate. Messieur
pour la première fois affirmée comme disci-pline particulière. Un des
premiers
essais de systématisa-tion qui aient fait loi, en
ne, son code, si l'on peut ainsi dire, se trouve consigné dans un des
premiers
articles du. grand Diction-naire des sciences méd
sieurs, de caractériser en quel-ques mots cette anatomie pathologique
première
qui, pendant près d'un demi-siècle, a régné sans
je crois, tout au moins, avoir exprimé fidèlement les tendan-ces des
premiers
maîtres. A la vérité, leurs successeurs ou leur
sie telle qu'elle l'a réglementée, constitueront toujours l'opération
première
par laquelle doit nécessairement passer toute inv
l mot tous les services que nous a rendus cette anatomie pathologique
première
, dont la création peut être comptée parmi les glo
morbide dont il lui faut remonter le courant pour pénétrer jusqu'aux
premiers
effets de la cause morbifique. Voilà le program
nique médicale, traduction du Dr Jaccoud, 1.1. p. 53, 1863. + * *
PREMIÈRE
PARTIE Maladies des vieillards. PREMIÈRE LEÇO
. p. 53, 1863. + * * PREMIÈRE PARTIE Maladies des vieillards.
PREMIÈRE
LEÇON Caractères généraux de la pathologie séni
ités qu'elle en-traîne ; elle mérite, à tous égards, d'être placée au
premier
rang des maladies chroniques rassemblées dans cet
tte nous soit aujourd'hui connue dans son essence intime ; les causes
premières
, ici comme ailleurs, se dérobent à nos investigat
du derme offrent, au point de vue pratique, un intérêt spécial. Au
premier
rang, se placent ces concrétions de l'oreille ext
rétrocessions. 11 est évident qu'en pareil cas, on doit supposer au
premier
abord qu'il s'agit de lésions tout à fait superfi
e parenchymateuse(2) qui peut se montrer à deux degrés différents. Au
premier
degré, le rein conserve son volume ordinaire ; ma
ent qu'ils ont une foulure, et le diagnostic est parfois difficile au
premier
abord. Cette sensation a le plus souvent pour siè
avait souvent éprouvée, aux effets d'une forte pression, disait qu'au
premier
tour de vis c'était le rhumatisme, mais qu'au sec
lit que sur 512 cas de goutte le gros orteil a été frappé 373 fois au
premier
accès, soit isolément, soit avec d'autres jointur
exceptionnels où le gros orteil demeure com-plètement libre, soit au
premier
accès, soit aux accès con-sécutifs. Garrod signal
ques qui peuvent se développer sous son influence. C'est surtout au
premier
de ces deux groupes que s'ap-pliquent les express
iques, qui succèdent presque toujours à la longue aux affections delà
première
espèce, et occupent le même siège. Au reste, nous
ir un intérêt vraiment scientifique, la goutte se place évidemment au
premier
rang. 11 est certain, en effet, que cette maladie
; les écrits d'Hippocrate en font foi. Mais, c'est sous le règne des
premiers
Césars qu'elle paraît avoir atteint son apogée ;
), dont la richesse alcoolique varie de 4 à 20 pour 100. Il semble au
premier
abord, que plus un liquide est chargé d'alcool, p
nt accroître la proportion de ce pro-duit excrémentitiel. Mais dès ce
premier
pas, les difficultés commencent. Quelle est l'o
s lésions de la goutte : leur richesse en tissu fibreux les expose en
première
ligne aux atteintes de cette maladie. Sans méco
soin les lésions locales. Unité de cette affection. — Indication des
premiers
travaux qui se rapportent à ce sujet. Caractère
ée du travail morbide. L'analogie que nous signalons ne frappe pas au
premier
abord, surtout si l'on compare entre eux des cas
tres arthropathies chroniques. 1° Arthrite par repos prolongé. — Au
premier
degré, d'après ïeissier et Bonnet (1), l'arthrite
rhumatisme aigu, méritent une at-tention spéciale. Nous placerons en
première
ligne les sueurs, qui sont en général d'une abond
t dites peuvent faire obstacle à la circulation dans des vaisseaux de
premier
ordre, on a vu la fémorale, et même l'iliaque ext
d'autres rapports. Nous allons en donner une description succincte.
Premier
type. — C'est celui qu'on rencontre le plus sou-v
les phalanges. La première de ces deux lésions est sou-vent l'une des
premières
déformations qui signalent le début de la maladie
t des caractères que nous avons décrits sont conservés ; Fig. 18. —
Premier
type. Dans la seconde, on voit manquer la flexi
sur la phalangine, et alors le dos des doigts de la main Fig. 19. —
Première
variété du premier type. paraît excavé à partir
t alors le dos des doigts de la main Fig. 19. — Première variété du
premier
type. paraît excavé à partir de la tête saillan
e la tête saillante des métacarpiens. Fig. 20. — Seconde variété du
premier
typ'e. Second type. — Il est caractérisé : 1°
des doigts de la main; mais que devient le pouce ? Fig. 22, '. —
Première
variété du second type. C'est ici, comme ailleu
étend de quinze à trente ans; mais cette affection n'est pas rare aux
premières
années de la vie ; on la voit se déve-lopper chez
, 1864, p. ?i. — Beau, Gaz. des Hôpitaux 19 juil-let 1864. L'un des
premiers
effets de l'emploi du médicament est souvent de r
ME PARTIE Thermométrie clinique dans les maladies des vieillards.
PREMIÈRE
LEGÓN De l'importance de la thermométrie dans l
ialement l'état fébrile. J'ai, en effet, le projet de consacrer cette
première
leçon à mettre en relief, par quelques exemples f
st-à-dire depuis près de 7 ans, nous ont déterminé à ce choix qui, au
premier
abord, pour-rait paraître singulier. Messieurs,
d, poussés à un certain degré, dans l'organisme, sont des éléments de
premier
ordre et dont il faut tenir compte, non-seulement
enre qu'on pourrait citer sont relatifs à des maladies chroniques. Au
premier
rang, on doit placer les affections cancéreuses,
, dans Y endocardite aiguës, ainsi que nous l'avions annoncé dans nos
premières
études (1), on observe aussi quelquefois un abais
ous avions obtenus à cette époque. Il pourra paraître singulier, au
premier
abord, de voir des phlegmasies qui occupent parfo
vent vive, superficielle, comparable à celle qu'excite une brûlure au
premier
degré, accompagnée de rougeur et de gonflement ;
entent les déformations les plus bizarres en apparence. Il semble, au
premier
abord, qu'il soit impossible de présenter une des
n est en pronation plus ou moins complète, et quelquefois exagérée.
Premier
type. C'est ce type qu'on observe le plus fréquem
rd cubital de la main, est un caractère constant qui se montre un des
premiers
(voy. Cruveilhier, Atlas d'anat. pathol., liv, 9,
en dedans des phalanges, détermine une saillie des têtes osseuses des
premières
du côté de la paume de la main. Enfin, par suite
sont plus ou moins prononcés (voy. Pl. IV, figl. et 2). Variétés du
premier
type. 1° La plupart des caractères du type sont c
a tête de la première phalange en dehors de l'extrémité inférieure du
premier
métacarpien. Quand les difformités dont nous ve
môme phé-nomène se manifeste en sens inverse, et elles offrent notre
premier
type. Cependant, il n'y a chez ces infirmes aucun
ion communes avec elle. La femme Étard a habité, pendant les dix-neuf
premières
années de sa vie, dans une petite maison très bas
prouvait, dit-elle, jamais de fièvre. Deux ans après l'apparition des
premières
douleurs, un grand nombre de nouvelles jointures
alanges, les phalan-ges fléchies, à angle obtus sur les métacarpiens (
premier
type). Les jointures des pouces sont mobiles, tum
néral entre l'application de cette dernière cause et l'apparition des
premiers
symptômes, et s'il existe, comme dit Haygarth, un
froid, le corps étant en sueur, comme ayant provoqué l'apparition des
premiers
accidents, qui se manifestent souvent, au contrai
rvation VI. — Pas d'antécédents héréditaires. — Habita* lion humide ;
première
manifestation rhumatismale. — Nouveaux accidents
compare à un engourdissement très in-tense. Quelques mois après cette
première
attaque, toutes les articulations des orteils du
es métatarsiens, et que les mouvements divers dans l'articu-lation du
premier
métacarpien avec la première phalange sont très f
x côtés de la poitrine : pas de matité par la percussion ; souffle au
premier
temps au cœur et à la base ; ce souffle est. doux
ues ou fléchies; la déformation, en un mot, était exactement celle du
premier
type figuré par M. Charcot (PL II, fig. 2) dans s
fut traité pour un rhumatisme ar-ticulaire aigu, et il attribue cette
première
attaque à l'impres-sion du froid auquel il était
, la majeure partie des articulations des orteils, surtout celles des
premiers
métatarsiens avec les phalanges des gros orteils,
s deux cas, un phénomène très remarquable : au bout des deux ou trois
premiers
jours de l'administration du médicament, il y ava
de coliques de plomb (24 à 28 ans). — Petits accès de 28 à 32 ans. —
Premières
manifes-tations goutteuses à 32 ans. — Accès annu
at d'une entorse. Il dut rester quinze jours au lit. Il assure que ce
premier
accès n'a pas été précédé de désordres de l'estom
uire à peu près chaque année, habituellement en automne à répoque des
premières
gelées et des brouillards; à chaque nouvel accès,
compare à un engourdis-sement très intense. Quelques mois après cette
première
attaque, toutes les articulations des orteils du
les métatarsiens et que les mouvements divers dans l'articulation du
premier
métacarpien avec la première phalange sont très f
eux côtés de la poitrine, pas de matité par la percussion. Souffle au
premier
temps au coeur et à la base ; ce souffle est doux
e degré le plus élevé de cette altération ; dans les articulations du
premier
métatarsien avec la première phalange des deux po
loppé pendant la grossesse. Il existe encore d'autres observations du
premier
ordre (thèse de Charcot). En général, d'après mes
t dit, que le siège. Certains poisons morbides peuvent être placés au
premier
rang, sous ce rapport. 11 y a une ar-thrite morve
re elles, surtout les articulations méta-carpo-phalangiennes des deux
premiers
doigts, sont, dans la majorité des cas, le premie
ent faire saillie sous les téguments, constituent les déformations du
premier
genre. Les jointures sont tantôt plus ou moins ri
plus fréquemment dans le rhumatisme articulaire chronique progressif (
premier
type ou type de flexion. — Voyez Gharcot. Thèse i
dureté du tissu osseux; elles siègent de préférence au voisinage des
premières
articulations phalangien-nes ou des jointures mét
n est en prona-tion plus ou moins complète et quelquefois exagérée.
Premier
type. —- C'est celui qn'on rencontre le plus fréq
sse des phalanges vers le bord cubital de la main est souvent une des
premières
déformations qui s'accusent. Deuxième type. — C
a tête de la première phalange en dehors de l'extrémité inférieure du
premier
métacarpien. Quand les difformités dont nous ve
maladie s'est déclarée dans un âge avancé. J'ai observé que l'un des
premiers
effets de l'emploi du médicament est souvent de r
remier est tiré du drame intitulé Henri IV. Dans la se-conde scène du
premier
acte, le juge gourmande Falstaff pour avoir corro
entiel. Tout ce qu'il est possible de 1. Cette leçon fait partie du
premier
volume des Œuvres complètes de M. Charcot (p. 386
ns le rhumatisme articulaire chro-nique généralisé. Les caractères du
premier
type sont bien accusés dans la figure 2. — La fig
iculaires du deuxième type. Fig. 1, 3. — Déformations articulaires du
premier
type. Fig. 5. — Déformations articulaires du prem
articulaires du premier type. Fig. 5. — Déformations articulaires du
premier
type. Fig. 6. — Main atteinte de nodosités d'Hebe
csnier et Babé, Editeurs, Paris. IMP MOHPOCO TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
PARTIE Maladies des Vieillards. Avis de l'édi
es anciens et les modernes.........................................
PREMIÈRE
LEÇON caractères généraux de la pathologie seni
in les lésions locales. —Unité de cette affection. — Indication des
premiers
travaux qui se rapportent à ce sujet. Caractères
ME PARTIE Thermométrie clinique dans les maladies des vieillards.
PREMIÈRE
LEÇON de L'IMPORTANCE DE LA THERMOMÉTRIE chez L
tion. Séparation des adultes et des enfants. BOURNEVILLE. 4856.
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1886
ne peuvent plus être que l'objet de soins hygié- niques. Quant aux
premiers
, on leur apprend à se tenir sur les jambes à l'
e linge, soit pour cause de réparations. VISITES DU SERVICE. XIII
premier
président de la Cour de cassation, qui dépuis d
ons, relativement aux retards apportés à la fourniture des matières
premières
, ont été moins fréquentes. Cependant le travail
liers, gymnase, réfectoires, écoles, bains, etc.) et par les quatre
premiers
bâtiments de dorloirs et le bâ- timent des gâte
ades, qui, par suite de la déclivité du sol, est pour ainsi dire au
premier
étage, se divise, comme le fait voir la figure
VERSES. libre, nous l'avons fait diviser en deux parties. Dans la
première
, on a aménagé quatre cellules, dont le service
pachydermique. I. IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE Les deux
premières
observations eu date, et non les moins intéress
eu au forceps. -A la naissance, l'enfant était fort; - il perça ses
premières
dents'à deux ans; - il n'es- 8 IDIOTIE CRÉTINOÏ
marcher pour la première fois qu'à trois ans et demi. - Pendant sa
première
enfance, on n'observa aucun autre phéno- mène a
ches. 28 décembre. - Nous voyons le frère et la soeur de Gr... le
premier
, qui a été soldat, a vingt-sept ans, mesure 4m,67
empêche d'explorer les gan- glions.-Peau chaude, état saburral des
premières
voies digestives. 24. - Le malade paraît un peu
valles très éloignés. La peau des bourses est épaisse, ridée et, au
premier
.abord, parait oedématiée, mais l'empreinte des
deux barres transversales. - Legyrus rectus est peu volumineux. Les
première
etdeuième circonvolutions orbitaires sont bien
xième circonvolution frontale par quelques plis de passage. Cette
première
circonvolution s'insère à la circonvolution fron-
décrit sa courbe normale se continue ensuite presque dans le lit du
premier
sillon occipital. Le lobule pariétal inférieur
utions frontales et laissant en avant de lui une petite portion des
première
et deuxième circonvolutions frontales. La trois
trait sur le lobe temporal. Le lobe temporal est bien développé; sa
première
circonvolzt- CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 45 lion
on est très défectueuse. Nous trouvons : Incisive, - 2 -1 ; canine,
première
molaire, ? 2 2;; deuxième molaire, -t"-o L'extr
. MM. J. et A. Reverdin' ont complété peu après (avril 1883) leur
premier
travail en faisant connaître, les résultats des
as de détails sur un autre cas de Kocher remontant à l'époque de sa
première
communication, ainsi que sur quelques autres ca
GLANDE THYROÏDE : PHYSIOLOGIE. 99 brièvement. M. Schiff ', un des
premiers
, a démontré que les rongeurs supportent très bi
a parlé à plus de deux ans, a été propre de très bonne heure. La
première
dent a percé à cinq mois, les autres dents vinren
médecin appela fièvre cérébrale, dura huit jours. Pendant les trois
premiers
, l'enfant parlait bien et était gai, mais les j
ule. ,. Dentition. A la mâchoire supérieure dix dents de lait' et
première
molaire ; à la mâchoire inférieure : première^,
dix dents de lait' et première molaire ; à la mâchoire inférieure :
première
^, molaires droite et gauche et deux incisives c
st interrompue par un petit pli de passage en retrait, allant de là
première
frontale à la circonvolution du corps calleux.
ale, et un sillon profond revient vers la partie antérieure de la
première
scissure temporo-occipitale. Le ventricule laté
ez bien développées, à l'exception de la moitié postérieure de la
première
, les deux scissures sont profondes et réunies à
normale jusqu'à 3 ans. Alcoolisme (vin blanc) à partir de 4 ans.
Premières
convulsions à 4 ans (mai 1885) : affaiblisse- m
en nourrice dans la Mayenne, il n'est revenu qu'au bout de 2 ans.
Première
dent à 4 mois, les autres ont poussé promptemen
é de 3 ans à 4 ans 1/2. C'est à 4 ans que se sont manifestées les
premières
convulsions qui auraient duré une heure. Entre
proque. Au lieu de former un mur do cellules serrées, vi- sibles au
premier
coup d'oeil, elles sont assez dispersées, par g
t par sa mère à l'influence de l'alcool, peu après l'apparition des
premières
convulsions. Ces particularités sont probableme
devenait pas propre et n'ap- prenait pas à parler. Ren... a eu sa
première
dent à 15 mois seulement; les autres sont ensui
oloration ocreuse du foyer. Au niveau de l'extrémité antérieure des
première
et seconde circon- volutions frontales gauches,
it les deux pseudo-kystes qui occupent l'extrémité an- térieure des
première
et deuxième circonvolutions fron- tales et celu
de coloration. ' Cerveau. Hémisphère droit. - Face convexe. - La
première
frontale est sinueuse, bien développée, se ter-
anche offre des lésiuns de désintégration. Sur le milieu de cette
première
frontale gauche, la substance blanche a le même
qui gagnent la substance blanche, comprennent en général les trois
premières
couchesdel'écorce. On les retrouve dans la plup
la MOELLE. L'hippocampe du côté gauche a les mêmes lésions que la
première
frontale; il existe des foyers de désintégration
umatisante et épi- leptique. Grand'mère maternelle migraineuse. -
Premières
convulsions à trois mois.- Premières dents à de
mère maternelle migraineuse. - Premières convulsions à trois mois.-
Premières
dents à deux ans. - Ophthalmic. - Rougeole. - P
cé pendant un mois les mots : « papa » « maman » ; et depuis, rien.
Première
dent seulement à deux ans ; elle a percé sans d
eux du côté gauche, moins étendus, situés sur la partie moyenne des
première
et deuxième frontale et à l'extrémité inférieur
ière cir- convolution frontale, simple à son origine, présente un
premier
pli supérieur qui va s'insérer sur la frontale as
emier,qui s'insère aussi sur la fron- tale ascendante au-dessous du
premier
, un troisième en forme d'S, qui s'insère par un
dans l'enfance, n'est pas migraineuse, mais a eu, pendant les cinq
premiers
mois de sa première grossesse, des céphalalgies
st pas migraineuse, mais a eu, pendant les cinq premiers mois de sa
première
grossesse, des céphalalgies avec vomissements,
omme ceux qu'elle avait sentis quandelle était enceinte de ses deux
premiers
enfants. Il me semble, disait-elle à son mari,
Rat.... Il semble que la tumeur se soit développée dans les trois
premiers
mois de la grossesse. Doit-on en accuserdeschocs
qui auraient pu être subis pendant des vomissements de ces trois
premiers
mois ? Quel rôle a pu jouer ici l'émotion resse
nte : Observation. - Hérédité nulle ( ? ). Pas de consan guinilé.
Premières
convulsions à 3 ans. - Accidents convulsifs rev
sion de la membrane crico-thyroidienne, du cartilage cricoïde et du
premier
anneau de la trachée (c1'ico-lrJ.chéo- CORPS ÉT
n'a rien inventé. Ceci dit, citons quelques faits : 1° Debarg... :
Premier
accès à 9 h. 35 : T. R. 37°,8 ; Se- cond accès
ES ACCÈS SÉRIELS D'ÉPILEPSIE. 233 Second accès cinq heures après lo
premier
: 38°,2 et doux heures plus tard : 370,6. 3°
lo premier : 38°,2 et doux heures plus tard : 370,6. 3° Ren... :
Premier
accès à 3 h. 30 : T. R. 38°, 6 ; - un quar d'he
: 37°,8; le lendemain à 6 heures du matin : 37°,8. 110 Boulan.. :
Premier
accès à 6 heures du matin : T. R. 38°; - un qua
rt d'heure après : 37°,8; - deux heures après : 37 ? 50 Cont... :
Premier
accès à 7 heures du matin. - Second accès à 10
ie : T. R. 37°,9; un quart d'heure après : 37°, 6. 7. Courch... :
Premier
accès à 9 h. 30 : T. R. 37°,7. - Second accès à
u soir : 37°,S. Le lendemain à 6 du matin : 37°,7. 8o Boulan... :
Premier
accès à 11 h. 30 : 3S° ; - Second accès à midi
tôt s'est mis à crier. Elevé au sein par sa mère ; sevré à 14 mois.
Première
dent à 12 mois ; les autres ont poussé lentemen
pour les dents et la parole, dit sa mère, il était intelligent. »
Premières
convulsions à 6 mois, pendant une demi-journée.
re interpariétalo poursuit ensuite son trajet jusquo dans lo lit du
premier
sillon occipital. Le pli pariétal supérieur et
te heures. La malade, nommée Lanib..., a eu 190 accès dans les 23
premières
heures et n'en a plus eu dans les sept der- niè
rs en un mot. Grâce à la stupeur profonde et ardente causée par leurs
premiers
miracles, chacune de leurs affirmations, chacun d
et du plus délicat de tous, et longtemps après qu'il a eu terminé sa
première
phase de théocratie autocratique. N'y voyons nous
un salon ou une cour de collège, ni une stupeur analogue lors de leur
première
entrée dans une science ou un art quelconque (car
japonaise de se modeler très vite sur leur entourage, somnambules de
premier
ordre, extrêmement prompts à s'endormir? — Sous l
e de la doctrine de la suggestion, telle que je l'ai exposée dans mon
premier
livre et dans mes publications ultfl rieures. le
lle était fille unique, peu confiante, ne se laissa pas aller à cette
première
suggestion. Son mari, n'ayant jamais constaté che
die, cette jeune femme devint de nouveau enceinte. Pendant les quatre
premiers
mois, les vomissements étaient exlrêmements fréqu
eut lieu au commencement de décembre, sans accident. Pendant les deux
premiers
jours qui suivirent l'accouchement, la malade n'e
leurs. Je procédai par insinuation douce, pour effacer l'impression
première
que ma brusquerie lui avait causée : je lui affir
inue du 5' espace intercostal aussi n'a plus existé. Pendant les huit
premiers
jours, il y eut encore quelques élancements passa
de perversions sexuelles. Peu de temps après la publication de mon
premier
mémoire, le 6 octobre 1889 — mon malade m'écrivai
, né tout-à-coup parmi nous avec les instincts et les passions de ces
premiers
âges. Ils ont dit ensuite que le criminel-né étai
, agissent héréditairement sur le développement de la criminalité. En
première
ligne se place l'alcoolisme, puis viennent les cé
la dégénérescence physique et une foule d'anomalies, le dénoncent, du
premier
coup d'œil,à l'observateur exercé. Le Dr Laurent
par le ministère de la justice, du projet de loi suivant : Article
premier
. — Quiconque aura donné en spectacle au public un
ltérations syphilitiques. El, ajoute le docteur Buret, ces crânes des
premiers
spécimens de notre espèce, dont cinq ou six mille
été entreprise ou tout au moins ébauchée par l'avocat Laschi qui. au
premier
congrès de Rome, en 1885. lui a consacré quelques
uestions . En tout cas, à sa sortie de prison les mois dernier, son
premier
acte n'a guère été l'acte d'uun homme raisonnable
888 — Le malade a le plus grand désir de guérir et il est, dès la
première
séance, facilement hypnotise par suggestion. Au b
ement ascensionnel inquiétant. Il est à cela des causes multiples, au
premier
rang desquelles nous rangeons l'alcoolisme sans c
rt peut-être fortement courbé sans perdre son pouvoir de reprendre sa
première
(orme. Mais si la pression est trop forte ou si e
nnu qu'un très grand nombre de jeunes enfants, surtout dans les trois
premières
classes des écoles secondaires, n'étaient pas en
a faveur d'un terrain special; la dégénérescence mentale est la cause
première
de l'impulsion vraie. » Il serait difficile de
logie, de semblables déductions comportent, à coup sûr, un intérêt de
premier
ordre. Ce groupe d'hystéries consécutives à une
de de démence. Les éléments symp- tomatiques principaux sont, pour (a
première
étape, des illusions et des interprétations délir
de palpitations. Cet état dure de un mois et demi à trois mois. 2°
Premier
stade où le malade accuse des hallucinations, des
s'améliorer. Ce troisième stade est incurable ; le pronostic des deux
premiers
est assez favorable a la condition qne le malade
par la suggestion, le moindre accident consécutif (2). En 1889. au
premier
Congrès international de l'Hypnotisme, les membre
num qu'elle avait sous la main. Obs. VI —Alix s..., trompée par son
premier
amant avec qui elle vivait depuis cinq ans et n'a
e dernière fois avant de mourir. Il arriva et, après les effusions du
premier
moment, elle saisit son revolver, le dirigea cont
tte depuis l'âge de onze ans et demi A des attaques convulsives. La
premier
est survenue à la suite d'une petite contrariét
ríen. le morphinomane néophyte est comme le collégien qui fome son
premier
cigare ei s'en est très mal trouvé; il n'en a pas
insi le manque de volonté des morphinomanes es: l'une des condi-lions
premières
de la morphtnomanie. Vous rencontrerez des gens q
les morphinomanes de plusieurs vices, parmi lesquels il faut citer en
première
ligne le vol et l'assassinat. Or, il est intéress
.8 usqu'au 22 mai, dernière époque à laquelle remontent dit-elle, ses
premières
relations et sa grossesse. Elle se présenta donc
e polygone de Vincennes, de petits oiseaux tombent foudroyés lors de»
premières
détonations. L'auteur pense pouvoir rattacher ce
és sur la tèle, restent indéfiniment immobiles si on s'oppose a leurs
premières
défenses et si on les tient ferme jusqu'à ce qu'e
prédisposition âu sommeil naturel succédant au réveil et consécutif »
premier
. Voulant tirer un avantacc pratique de ses rech
rtie expérimentale avec présentation de sujets. Notons que c'est '..i
première
fois qu'on a fait dans une université italienne u
dée, suivant son individualité psychique; car, à côté de l'impression
première
qui est le germe, il y a l'élaboration de cette i
n art médical, une science médicale. Mais ce que le premier pâtre, te
premier
savetier peuvent faire, pourvu qu'ils aient assez
e les atténuer par les réserves suivantes: «Ces dangers effrayants au
premier
aspect perdent pourtant beaucoup de leur gravité
t décidé â transporter le malade dans un service hospitalier. Lors du
premier
examen, nous trouvions G... dans l'état suivant :
me spon- \ tanéou provoqué, parlent d'eux à la troisième personne. Au
premier
abord, cela paraît être une bizarrerie sans impor
quoique certaines parties Oc Pêcorce cérébrale aient pour (onction
première
une relation intime avec certaines actions motric
ne pourrait être atteint par la loi. « Enfin, pour revenir à notre
première
question, où commencera le délit ? « Nous croyo
omme cela arrive en général en pareil cas, rejette sur l'autre l'idée
première
du forfait. Rien ne parait moins compliqué. Cepen
a, l'éleva, s'attacha à lui. Quand elle repassa à l'état de condition
première
, et qu'elle aperçut l'animal dans ses appartement
a rappeler i la vie. A quelque temps de là, elle revient en condition
première
: elle n'a plus connaissance des soupçons qui l'o
personnalité à double jeu et à mécanisme alternant. Dans la condition
première
, la malade est autre que dans la condition second
des accès de somnambulisme spontané. 11 est probable que sa condition
première
correspond à l'état normal, et que sa condition s
que donnerait lTiypnotisation pratiquée, dans les états de condition
première
et de condition seconde, sur des sujets atteints
ne fois endormie, elle était dans un autre état que dans si condition
première
et dans sa condition seconde (3). Les expérienc
s mains sur les globes oculaires. Quand on l'hypnotisait en condition
première
, elle se retrouvait, après le réveil, en conditio
qui se succèdent alternativement chez ces malades, l'un, la condition
première
, est l'état de veille normal; l'autre, la conditi
réveil, elle se trouva exactement dans l'eut où elle était avant son
premier
sommeil, mais elle n'avait aucun souvenir de tout
ns son état nota-eau, elle ne sait que ce qu'elle a appris depuis son
premier
sommeil. Si une personne lui est présentée dans u
les indications de M. le professeur Espinas, le nom d'eemmene. Mes
premières
observations sur reemnésie datent de 1S82. Une de
livre sur les Forces non définies, publié en I887 : « Un voit, comme
première
conséquence de ces lois, qu'un sujet peut se donn
uveauté du sujet fera pardonnera ce volume ses imperfections. Comme
première
question, je veux traiter ici de la faron dont se
er lieu des matières simples. Parmi celles-ci. les métaux offrent, au
premier
abord, des effluves de nature vaporeuse, flamboya
ille, par des sujets très sensibles. Si nous avons tenu à citer, en
première
ligne, les expériences de M Bottey, c'est qu'elle
e. M. Liégeois s'appuyait sur un certain nombre d'expériences qui, au
premier
abord, semblerait devoir de piano entraîner la co
d séduit par les expériences. — si ingénieuses, si couscieucieuses, à
première
vue, si irréfutables de M. Liégeois. — mais toujo
peut posséder sans les avoir étudiées et qui livrent leurs secrets an
premier
veau. C'est ce qui fait que chacun trouve fréquem
s que la matière ne suit un peu plus difficile qu'elle ne le paraît à
première
vue. Je crois même que. en ceci comme en beaucoup
ent pour l'Ecole de la Salpëtrière des caractères somatiques fixes do
premier
ordre, indépendants de toute suggestion antérieur
onstration du crime par suggestion n'est pas encore faite, je suis le
première
le reconnaître. Il n'existe pas encore, en effet,
urbation dans une partie des spectateurs : « Arrêtons : « Article
premier
. — D est interdit aux directeur» on propriétaires
a un danger à laisser la pratique de l'hypnotisme entre les mains du
premier
venu, et. pour eux, un des dangers réside dans la
utre dans ta lumière ronge. Dans la lumière bleue, le flamboiement du
premier
barreau se renforça de 8 lignes; dans la lumière
attendais d'elle, elle se laisse volontiers hypnotiser. 24 septembre,
première
séance. Je lui fais fixer ma montre pendant 20 m.
s crises nerveuse. Grande, bien conformée, bien portante. 23 février,
première
séance. Elle dit qu'elle souffre de la tète et qu
nclinaison latérale droite de l'utérus, une présentation du sommet en
première
position. Les contractions utérines se suivaient
'activité vitale. En premier lieu, celle du monde végétal. Lorsqu'aux
premiers
jours du printemps, la chaleur atmosphérique agit
de façon que les bouts de mes doigts arrivassent à l'articulation des
premières
phalanges de la main du sensitif, la Lohée s'allo
nous étudierons les propriétés particulières à cette Lohée. fin du
premier
mémoire DISCUSSIONS ET POLÉMIQUE La Nutrition
nces. Au sujet de cette malade je dois faire une remarque. Aux deux
premières
séances, d'une heure chacune, je n'avais obtenu a
t isdolore. SUOOBSTfOX a l'état de veille C. R., 21 ans, Genevoise,
première
grossesse, phlysique, très grandes cavernes à gau
ne et bien conformée. Bassin normal, bruits du cœur du fœtus faibles.
Premières
douleurs à 2 h. du soir, le 8 février; à 4 h. les
. Je lui ai suggéré do ne plus souffrir pendant son accouchement. Ses
premières
douleurs ont commencé Le 12 octobre et durèrent t
vent réussi chez les malades de cette catégorie. En somme, pour son
premier
essai en neuropathologie, M. Levillain peut espér
ge d'admiration et de reconnaissance, nous fait parvenir la liste des
premiers
souscripteurs qui ont répondu à son appel. Alle
et par l'inculpé; 3" Qu'un régulaiif uniforme soit adopté dans les
premières
opérations de toute expertise médicale; 4* Qu'en
et après avis préalable de la Faculté de Médecine et des tribunaux de
première
Instance de la région, une liste de médecins auxq
eaucoup plus vite. Je vous ferai dormir tout à l'heure ». Après cette
première
insinuation, je continue à l'examiner doucement,
mènent ici remonte à cette date. C'est alors qu'elle a ressenti les «
premières
excitations, » mais à cette époque les crises éta
asser à l'état A, c'est-à-dire à l'état normal, à l'état de condition
première
? Ce passage, qui dans quelques cas se fait sponta
M. Charcot a pu en présenter un second cas tout à fait comparable au
premier
, mais qui, jusqu'ici, avait été très difficile à
iété a décerné : un prix de 1,000 francs offert par la veuve de notre
premier
secrétaire général, le D' L. Lanier, 4 M. 10 D*r
st donc pour nous, messieurs, une grande satisfaction d'avoir été des
premiers
à reconnaître le mérite du docteur Lièbeault, et
Liébeault T Alexandre de Humboldt a dit quelque part que la condition
première
du génie est la patience. Vous conviendrez avec m
vé son verre en l'honneur de M. Dumontpallier, le dévoué Président du
premier
Congrès international de l'hypnotisme, et il a ex
Je remercie particulièrement M. Malinas Roth qui a saisi, l'on des
premier
*, l'importance de nos principes et a amené a les
olice qui l'accompagne, lesquelles ont le don de la terroriser. Nos
premiers
soins furent de tranquilliser la femme Fay et de
t très impressionnable, vive; assez intelligente, paraissant obéir au
premier
mouvement. Apyrexie. Pouls régulier, égal. Elle d
élèves en présence de cette enfant, si impressionnable, si docile au
premier
mouvement. La pauvre enfant travaille comme une a
ompte dans tous les sens, en long, en diagonale, etc.; à l'asile, son
premier
acte est de compter les carreaux. Souvent, après
pélrière j1 '. M. Auguste Voisin a consacre La seconde partie de sa
première
leçon clinique à l'étudo expérimentale des sugges
i, tandis que dans d'autres ils semblaient ne pas l'avoir. Une de ses
premières
expériences faites devant trois magistrats, d'un
aine, et qui peuvent à bon droit, croyons-nous, être rapprochés des
premiers
. rl État des "nerfs périphériques dans l'empo
myéline se détruit et comment elle se restaure. Pour ce qui est du
premier
point, le mode d'évolu- tion de la névrite, les
egment avant de frapper son autre extrémité, et que les parties des
premières
atteintes sont aussi probablement les premières
s figu- res 16 et 17 sont à ce sujet bien significatives. Dans la
première
, nous voyons une fibre large interrompue par tr
ombre d'auteurs ont soutenu, et c'est là une théo- rie qui date des
premiers
jours de l'ataxie locomotrice, que l'incoordina
d plus apparents, sans les modi- fier, les symptômes de l'affection
première
; d'autres fois, au contraire, atteignant plus p
tion des symptômes de « paralysie générale » ; c'est-à- dire qu'aux
premiers
jours, le seul délire alcoolique est apparent e
on, elle s'impose à son tour au délire alcoolique, elle se place au
premier
rang et ses manifestations délirantes laissent
olique avec hallucinations multiples, mobiles, très différentes des
premières
: il voit des vipères autour de son lit, il ent
is disparaissent pour laisser à découvert le délire chro- nique des
premières
années. Avec la dipsomanie, forme particulière
ouveau délire ne tardent pas à disparaitre, les idées mélancoliques
premières
et les impulsions sont toujours là sans avoir r
que comme celle du côté opposé. Toute la partie postérieure de la
première
circonvolution frontale, aussi bien sa face inter
x accès. NOTES SUR l'idiotie. 85 Nouvelle description de l'accès.
Première
période : Pas de cris. On note d'abord quelques
e la circonvolution d'enceinte de la scissure de Sylvius ; sur la
première
temporale ; sur le pli pariétal supérieur ; enfin
mment, elle est la règle dans cette variété d'apoplexie, dans les
premiers
jours qui suivent l'attaque. L'aimant n'est cer
communication faite au congrès de Pise, M. Maragliano. confirme ces
premières
études et s'est assuré que, chez le même indivi
eu de temps après dans le voisinage, se confondit bientôt avec la
première
; enfin, en 1874, il existait sur le côté droit d
depuis trois mois. Pendant les REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 143
premiers
mois de son séjour à l'hôpital, elle répondait en
a lésion cérébrale. Cette conclusion est plus contestable pour la
première
observation où il s'agit d'un persécuté succomban
UE SUR QUELQUES points DE la lypémanie ; par M. H. Mabille. Cette
première
partie du mémoire de M. Mabille ne traite que d
le au service de M. Moreau père, qui se prostituait effrontément au
premier
venu ; les exhibitionnistes de M. Lasègue, et t
menstruation et de l'époque critique, aux excès de l'onanisme, aux
premiers
rapprochements conjugaux (post- connubiales), a
les travaux de l'École de la Salpêtrière. On trouvera aussi dans ce
premier
chapitre quelques considérations sur les dégéné
aussi ce qui en fait un document d'une valeur considérable. Un des
premiers
chapitres est consacré, et pour cause, à la par
roposition du secrétaire général de la Prélecture, arrête : Article
PREMIER
. - Il est créé dans chacun deshospices de Bicêtre
photo- lithographies. Douze livraisons forment un volume. Les deux
premiers
volumes sont en vente. - Prix de la livraison :
ylindre d'axe. Quant au mécanisme suivant lequel s'effectue cette
première
section, il est plus difficile de le déterminer.
ns que l'autre subisse un allonge- ment égal au raccourcissement du
premier
. Pour produire ce mouvement du levier osseux, o
de fumée les plus petites oscillations communi- quées au levier du
premier
tambour. Nous ne croyons pas. devoir insister p
(Jig, 10); qui ne diffère du précédent que par l'absence de la '
première
"secousse;1 celle-ci devait forcément manquer,
ent de la main gauche ; PATHOGÉNIE DES TREMBLEMENTS. 211 t que ce
premier
accès dura à peine cinq minutes; six mois après
par de nombreux foyers de méningo-encéphalite. Observation VI.
Premières
convulsions à 6 mms. - Rémission à 3 ans. - Affai
ante, a eu trois enfants. Rien de particulier à noter pour les deux
premiers
, qui sont bien portants et intelligents. Le tro
die de son enfant. A l'âge de 6 mois, au moment de l'apparition des
premières
dents, survint une première attaque de convulsi
en 1876; 176 en 1877; 257 en 1878 ; 406 en 1879 et 102 dans les 40
premiers
jours 232 CLINIQUE MENTALE. de 1880. Ajoutons
e, il a fait des excès alcooliques, était grand buveur d'ab sinthe.
Premier
accès d'épilepsie à 26 ans,'à'la suite d'ex- cè
i' . \ ' ->> ? homologues de cerveaux sains. Ce qui frappe, a
première
G,W .I·ie.7, ? 1 Il Il.- l 1 '1 ? 1 ¡r vue, c
. l'inégalité des pupilles, etc., etc. que l'on observe dans les,
premières
, périodes,, de, la -.paralysie. générale., vil
t, c'est la haute signification clinique reconnue par M. Burq; le
premier
a deux symptômes très-fréquents dans les névroses
circonstances dans lesquelles, ont été faits, à la Salpêtrière, ces
premiers
essais de l'aimant. , Les résultats obtenus ant
1 1 - n * ' nIm " ' " - ; ' beau mémoire d'Andry : et Thouret. Nos
premières
expériences .... "4 l 'f r' '. 1 1", .. (Soc.
us puissantes que la classique machine à plateau de verre. Pour nos
premiers
essais à la Salpêtrière, nous nous sommes servi
rochain travail; car, il faut le dire sous forme de parenthèse, ces
premiers
essais d'électrisation statique, faits d'abord
par apnée, aux différentes phases de la narcose, soit au début des
premières
inhalations par ac- tion réllexe ; soit plus la
ettre trois formes principales de morts par le chloroforme : t° aux
premières
inhalations, par choc chloroformique initial, p
foie et des or- ganes abdominaux émanant de la moelle par les trois
premières
paires de nerfs dorsaux; 2° L'hyperglycémie e
de là les nerfs splanchniques; 3° L'arrachement des deux ou trois
premières
paires de nerfs dorsaux supprime l'effet, sur l
. Supérieurement, la dégéné- ration n'est plus visible au niveau du
premier
nerf cervical. REVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 2
HEYIj.E ¡mhp.TIl9Y)PH<)OEHYEUSE., 297 tl\t9nY9J ? p'I1dant ou,
premier
, degré, de, la; réaction' de Idégé- nérecJ;lc9'
vers la partie inférieure de la pariétale ascendante gauche et la
première
frontale droite;. à, la base, du cerveau, , un ex
blement constitués, seraient pour lui des causes prédisposantes de
première
importance. La fatigue produite par la station
6te ! Ka) est une affection encore peu connue, mentionnée pour 'la,
première
! fois par M. Gull Nôtesur ûn éiat'èrétüleux su
ment ou quelque autre sen- sation anormale est le premier ou un des
premiers
symptômes restés. Cet engourdissement est décri
dre dans les mouvements ou de contractions spasmodiques sera un des
premiers
signes. Lorsque le sommeil du malade est troubl
malades l'état mental spécial dont on doit à M. J. Falret l'une des
premières
descrip- tions (1861), ultérieurement complétée
tistique de l'asile de Worcester pour 1844, que' 25 malades, à leur
première
atteinte de folie, avaient quitté l'établissement
phéri- ques dans les maladies cérébrales. Nous serons bref sur la
première
partie de ce travail qui porte sur les mêmes docu
position du secrétaire général de la Préfecture, arrête : Article
premier
. Il est créé, dans chacun des hospices de Bicêtre
e médecin de Mulhouse, âgé de 16 ans, a subi ces jours derniers le'
premier
examen pour le baccalauréat ès lettres ; il a é
veau journal. MM. Lombroso et Garofalo viennent de publier les deux
premiers
fascicules d'un recueil intitulé : Archivio di ps
PATHOLOGIQUE. motrice volontaire, elle apparaît du moins comme la
première
étape, comme le relais immédiat. Or, sur quoi r
tait de nombreux cas d'affections mentales. A 8 mois, X... eut sa
première
attaque de convulsions. Jusqu'à l'âge de 3 ans,
ge de 3 ans, elle ne put ni marcher, ni parler. Puis, lors de ses
premiers
pas, on remarqua une faiblesse du membre gauche
ion se faisait régulièrement. C'est à 17 ans, que X... prononça ses
premières
paroles : elle put té- moigner alors d'une bonn
rouve au-dessus de l'articulation scapulo-humérale. Les corps des 4
premières
vertèbres cervicales sont aussi tour- nées à dr
ormal. On remarque, sur le lobe temporal, la scissure parallèle, ou
premier
sillon temporal (PL. X, XI, il), et le 2° sillo
ieure de l'insula. In : p, portion postérieure de l'insula. T' ',
premier
sillon temporal. T ', deuxième sillon temporal.
ansverse. Planche XI. Surface externe de l'hémisphère gauche. f
premier
sillon frontal. f*, deuxième sillon frontal.
xième sillon frontal. Tu', sillon occipital transverse. T 1, T ',
premier
et deuxième sillons temporaux. PLANCHE XII. F
Face inférieure du cerveau. ST, sillon orbitaire transverse. S p,
premier
sillon supra-orbitaire longitudinal. Ss, deuxiè
p élevée pour répondre à celle de la méningite tuberculeuse dans sa
première
période. 2° L'hypothèse d'accidents aigus, gr
ractères du souffle cardiaque n'ont pas changé. On entend encore au
premier
temps, à la pointe, et par propagation à la bas
si le citons-nous de préférence à tout autre. Observation II. '
Première
attaque de rhumatisme articulaire, chez un homme
es deux observations qu'il nous reste à rapporter pour compléter ce
premier
travail sont relatives à des enfants idiots, ch
IDIOTIE PROFONDE. SOJIDIJ.1RB. - Antécédents héréditaires négatifs.
Premières
convulsions à six mois. - Parole, marche nulles
atrophie intéresse surtout le pli courbe, la partie postérieure des
première
et deuxième circonvolutions temporales, la part
érieure de la circonvolu- tion du corps calleux; enfin atrophie des
première
et deuxième circonvolutions occipitales. C'es
parents. L'auscultation du coeur dénote un bruit de souffle rude au
premier
temps et à la base. Il n'y a pas de frémissemen
que cet ordre n'est constant chez tous les sujets que pour les deux
premières
couleurs nommées, couleurs centrales (on verra
che Medicin, avril 1880.) I. Rameau brachial volumineux venant du
premier
nerf inter- costal. On sait que le premier nerf
l'interne se terminait dans la peau des parties correspondantes du
premier
et du deuxième orteil. Tous ces faits rappell
udéenne, hémorrhagie cérébrale). 2° L'arrachement des deux ou trois
premières
paires dor- sales supprime l'effet sur la vascu
de surdité; de temps à autre quelque fatigue. A la pointe du coeur,
premier
bruit clair et soufflant, deuxième bruit pulmon
thésie concomitante). L'observation qui vient d'être décrite a pour
première
étape la lésion du système osseux de la base du
fléchisseurs de l'avant-bras gau- che et les doigts. Dès la fin du
premier
mois, l'atrophie com- mença. Il n'y eut pas le
cule cérébelleux moyen. - M. le docteur Mackensie, qui croyait au
premier
abord à une dégénérescence graisseuse, dit avoi
ajorité des cas. A propos des symptômes, il a noté que la direction
première
de la rotation se fait toujours dans le sens de
le service de M. POLAILLON, avec une tumeur mélanique ulcérée du
premier
métatarsien droit. Il existait des nodosités de m
eux : la guérison s'est maintenue. Voici le détail résumé des trois
premières
: REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 477 7 Observat
utre de M. Bail accusent nettement le caractère de la maladie. La
première
concerne un peintre qui enfermé dans un atelier p
lles, la forme spasmodique et la forme parétique. Dans l'une, les
premiers
signes sont de petits. mouvements spasmodiques de
ation au Progrès Médical.) Bien que le titre en semble restreint au
premier
abord, ce travail n'en touche pas moins à la pl
. M. Grasset a réuni en un seul volume les matériaux nombreux de sa
première
édition et il y a ajouté un grand nombre d'obse
inaire les généralités sur le système nerveux qui constituaient ses
premières
leçons dans l'édition précédente ; nous avons d
ment à Bicêtre et à la Salpètrière, l'étranger, enthousiaste de nos
premiers
résultats, nous avait singulière- ment distancé
ont- l'Abbé (Manche), installée par le médecin en chef, un de nos
premiers
et excellents internes, M. Legruel, nous en somme
in'sul'aiîê'.IJIC : i,9om'm'e.sù les faces correspond dàntesdësdêux
premières
'zones ? on trouve' donc réez nis : le fascicut
1 - 'î -- ? t 1 ? r41l& - % fm ? · meretres rapide, .car .les.
premiers
! , accèside, douleurs - ,' H) JTjilWB-^ ! » ?
Vs «vj> E sol Interrogeai l&jmaladeknouacdit'querjpour Lia''
première
.fois, udepllisïsa ni'aladie,nil;à3ép.ouvél'd,a
Su J J 1`rr, tm ri fcr tpr r) ? rr )fi ) 11 ? m . pans les, quinze,
premiers
jdurs"du sejoltr du malade a I : lifi- ,ptal 's
s postérieures des cinq ou six derniers nerfs dorsaux et des deux
premiers
lombaires suivie dedilatation des vais- seaux e
- que habituellement actif, celui-ci ne donnera rien non plus. La
première
application dont le résultat avait été nul en app
te par les métaux sur certaines malades de la Salpêtrière, lors des
premières
expé- riences d'anesthésie provoquée. En y ré
des fibres nerveuses s'observe toujours à la 4° ou 5° semaine; ses
premières
traces se montrent le 16° jour dans le bout pér
XIII, p. 227, t878) : l'exagération de l'excitation galvanique des
premiers
jours faisant bientôt place à son peu d'effet a
rnière observation émane du travail de Flournoy. Tous diffèrent des
premières
embolies mécaniques par une moins grande intens
pour fixer les idées, comment il décrit une de ces attaques dans sa
première
observation. Il s'agit d'une jeune femme de 22
ints d'atrophie cérébrale sans phénomènes choréi- formes ; chez les,
premiers
, la paralysie y est moins prononcée, et les joi
ès l'hémiplégie ; mais ordinairement ils se présentent. 'dans les ,
premiers
,mois qui suivent l'état de mal convulsif 'qui
t, en effet, de jeter un coup d'oeil sur les articles parus dans ce
premier
volume pour voir la part considé- rable qui lui
ort du mi- nistre de l'intérieur et des cultes, décrète : Article
premier
. Il est institué, sous la présidence du ministre
, L'auteur entre dans le détail des mémoires contenus dans notre
premier
fascicule et conclut : ' Il- JU, j 1 ;; / « Ce
dans notre premier fascicule et conclut : ' Il- JU, j 1 ;; / « Ce
premier
numéro est plein de travaux et de documents int
travaux et de documents intéressants à lire, et, à en juger par ce
premier
fascicule, les'sui- vants seront lus avec soin
n- dra compte prochainement des principaux mémoires que les trois
premiers
fascicules renferment; mais nous n'avons pas voul
CES MÊMES VALEURS EN TITRES AU PORTEUR. , J ,¡ ! 1 .. '' ARTICLE
PREMIER
. - Le tuteurne pourra aliéner, sans être autorisé
ritique. Ces éloges ne doivent cependant s'appliquer,qu'aux deux,,(
premières
éditions du Dictionnaire, car, plus tard, l'auteu
enues rares aujourd'hui, ont été publiées, la t FAITS DIVERS. 619
première
en 1820 et » comprenant deux volumes; la 2° en 18
de toxicologie et aux propriétés de la glycérine, qu'il fût un des
premiers
à employer comme médicament interne. En dehors
313. EXPLICATION DES PLANCHES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE
PREMIÈRE
Toutes les figures contenues dans cette planche
érieure de l'insula. In : y, portion postérieure de l'insula. T',
premier
sillon temporal. T ', deuxième sillon temporal.
ANCHES. PLANCHE XI Surface externe de l'hémisphère gauche. f ',
premier
sillon frontal. f, deuxième sillon frontal. 7
xième sillon frontal. 7 ? sillon occipital transverse. y',7 ? ! ,
premier
et deuxième sillons temporaux. EXPLICATION DES
Face inférieure du cerveau. ST, sillon orbitaire transverse. S p,
premier
sillon suprit-orbitllll'e longitudinal. Ss, deu
tions générales pour les PLAXLHES X, XI, XII, XIII. F 1, 1' 2, F 3,
première
, deuxième, troisième circonvolutions frontales.
e l'insula (portion proéminente). 0, lobe occipital. T l,T2, T 3,
première
, deuxième, troisième circonvolution temporale.
lo-orhitaire. C i, capsule interne. G F, gyrus forniçatus. F ',
première
circonvolution frontale. F', deuxième circonvol
tendons ; or il est aisé de voir cette altération sur les bords des
premières
phalanges qui présentent des épines osseuses bien
Il semble aussi que sa croissance a subi une forte poussée dans la
première
enfance. Michel nous a dit en effet qu'à (le 7 an
igantisme. De semblables associations, quoique un peu paradoxales à
première
vue, ne sont pas rares. Déjà M. Capitan en 1897
de l'observation. - Bracco Guiseppe, 19 ans. A 1 ans ont débuté ses
premiers
troubles : maux de tête, affaiblissement de la vu
s les caractères somatiques et quelques caractères psychiques de la
première
adolescence. Souvent les infantiles du type Lor
ême que chez les infantiles dont j'ai donné la description dans mon
premier
mémoire, ni l'un ni l'autre de ces deux nouveaux
séquence de la maladie de Banti qui avait été probablement la cause
première
de son infantilisme par une action toxique indé
contrairement à ce qu'il avait cru pouvoir déduire de l'examen des
premières
radiographies d'infantiles, il ne croyait plus
om de chétivisme soit un jour l'objet d'un démembrement; je suis le
premier
à reconnaître son polymorphisme et,dans mon espri
r un discernement limité dont il ne dépasse pas les bornes ce qui à
première
vue ne lui donne pas l'air d'un arriéré, si nous
ourrait servir plutôt pour une hypothèse que pour une autre ' ? À
première
vue notre cas ne sert pas une hypothèse plus qu'u
e est minime. Les trois doigts du milieu sont rapprochés- par leurs
premières
phalanges et s'écartent les uns des autres par le
im- ' portance inouïe et pourtant pas assez apprécié durant les dix
premières
années. Dans la monographie de Bruns publiée di
' . Tumeurs de la moelle épinière et DE la COLONNE vertébrale 49
PREMIÈRE
PARTIE TUMEURS VERTÉBRALES Observation I. L
rines ; toujours constipé Jamais sérieusement malade. Il a eu de sa
première
femme deux enfants, qui sont morts jeunes. De sa
e lombaire commence un peu plus haut que d'habitude. On remarque du
premier
coup d'oeil l'atropliie musculaire générale et
Résumé. Il y a 15 mois, la malade âgée de 43 ans éprouve pour la
première
fois des douleurs persistantes dans la région sac
dification de la conformation interne ont atteint un tel degré, qu'au
premier
coup d'oeil on n'arrrive même pas à distinguer
symptômes médullaires. Même la paraplégie aiguë peut constituer le
premier
symptôme morbide. Quelquefois quand la tumeur occ
euse des méninges et envahissement du tissu nerveux). Dans les deux
premiers
cas il s'agit évidemment de « toxines » inconnues
expli- quer anatomiquement les symptômes médullaires. Dans notre
premier
cas on pouvait supposer que la tumeur avait passé
extenseurs de la jambe. i Tout obstacle la distension normale des
premiers
ou à la la contraction; ! normale des seconds a
e de Joseph Chiodo. Or ces deux jeunes gens, qui étaient cousins au
premier
degré, et qui avaient leurs parents consanguins,
ètement négatif. Charles va à l'école et commence régulièrement ses
premiers
es- sais d'écoliers. Observation I. Résumé.
état actuel. Elle a une apparence farouche et sauvage qui frappe à
première
vue. Ses cheveux drus et hérissés encadrent un
s actifs de la main sont réduits à l'extension 'et à la flexion des
premières
phalanges ; toutefois chez Marguerite la préhensi
bégayer quelques mots, mais elle aussi mon- tra un retard dans ses
premiers
pas ; en effet, elle ne commença à marcher qu'à
de 20 mois. Aurélie n'a pas souffert d'attaques convulsives dans sa
première
enfance, jamais elle ne fit les maladies de cet
duction du pouce comme chez sa soeur. La flexion et l'extension des
premières
phalanges se fait encore assez bien. L'avant-
précoce que ses soeurs. A 8 mois elle commençait à bredouiller les
premiers
mots et à 14 mois elle marchait déjà . Jusqu'à l'
jà relevé plusieurs fois dans les maladies familiales. Dans notre
première
observation, nous avons relevé l'existence d'atta
connaît cette observation qui a trait à deux frères qui, dans leur
première
enfance, avaient été frappés par une rigi- dité
spino-névritiques sont au premier plan ; ils ont une importance de
premier
ordre et ils rappellent la forme de Charcot-Marie
s cas,qui justement avaient subi l'atteinte de la maladie dès leurs
premières
années, m'ont démontré les traces les plus évid
TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 159 Au
premier
abord on pourrait penser qu'il s'agit d'une dégén
résumant ce cas nous pouvons dire que chez cet homme de -15 ans les
premiers
symptômes sont apparus six ans avant que la malad
st ainsi que les psychoses dites fonctionnelles appartiendraient au
premier
, qui cliniquement comprendrait : les démen- ces
utorisé à par- ler de l'anatomie palhologique de la folie. L'idée
première
de cette conception nouvelle de l'anatomie pathol
t on nous parle, tant enfin, que la chimie du cerveau en sera à ses
premiers
essais. Pouvons-nous seulement, dans l'étal act
s maladies mentales frappent cet organe, soit pendant son évolution
première
, soit pendant sa vie adulte. On a alors les arr
er un emplâtre sur une jambe de bois. Peu importe, semhle-t-il au
premier
abord, qu'une psychose débute par r un désordre
-humains, et, avec celui de solidarité a présidé à la formation des
premières
sociétés, l'instinct de simulation a dû apparaîtr
ans une proportion qui ne saurait être encore précisée, mais qui, a
première
vue, doit être élevée, puisque, sur une premièr
thorax est d'aplomb. Sont-ils timides ? On peut se le deman- der. A
première
vue, ils ne le semblent pas ; et cependant leur c
ure une notion plus ou moins consciente. L'homme actif sait dès ses
premières
années, qu'il est le maître de ses muscles, de so
t normale. La palpation montre à la partie dorsale de la tête de la
première
phalange, un ressaut osseux net, comme s'il y ava
tit. La grand'mère, normale, eut sept enfants : deux sur trois d'un
premier
lit moururent tuberculeux. Du deuxième lit naquir
café. Elle eut des pertes sanguines irrégulières pendant les trois
premiers
mois de sa gros- sesse ; les mouvements actifs
e qu'il a toujours été un peu faible, de teint blême et que dès ses
premières
années, ses parents s'aperçurent qu'il grandiss
t vite et bien à lire et à écrire. Le patient affirme que dès ses
premières
années son développement corporel se montra ins
eds sont plutôt gros dans les trois cas et particulièrement dans le
premier
, où ils présentent une anomalie que nous allons d
t morts, quel- ques-uns à la naissance, les autres en bas âge ; des
premiers
l'un est mort d'ictère, l'autre d'asphyxie. Son
l'âge de SO ans en menant t toujours une vie très fatigante; notre
premier
malade avait voyagé des journées entières, à pi
idus nous pouvons apprendre très peu de chose, car ils ont dès leur
première
enfance abandonné leurs parents pour vivre au l
local du squelette; 2° par un trouble général delà nutri- tion. Au
premier
groupe appartiennent le nanisme rachitique et ach
êtres robustes, dans un état de nutrition excellent, cela dès leurs
premiers
jours de vie ? Seraient-ils tels si une intoxic
volume très considérable du maxillaire inférieur pourrait aussi, au
premier
abord, faire naître l'idée d'une acromégalie, mai
ine, la doctrine de l'hé- rédo-syphilis, qui s'est mise indûment au
premier
rang ; cette simplifica- tion nous permettra de
erveux central peut être attaqué par la syphilis déjà dans les deux
premières
années et même pendant les premiers mois après
veloppée dans une période précoce, il nous faut rappeler, parmi les
premiers
qui s'occupèrent le plus du sujet, Ileubner qui r
inson auxquels revient le mérite d'avoir délimité l'espace des deux
premières
années après l'infection comme étant le domaine
. Enfin, il faut rappe- ler Neumann, qui observa déjà dans les deux
premières
années après l'in- fection des cas de paralysie
ortelle. L'autopsie donna un résultat négatif. Mingazzini, dans son
premier
travail sur la syphilis cérébrale précoce et ma
t la vie des sujets et fournis de données anatomo-pathologiques. La
première
observation regarde un homme de 27 ans, lequel à
s qui fut frappé d'une hémiplégie, deux mois après l'apparition des
premiers
symptômes de l'in- fection syphilitique. Le mêm
ement moyennant une énergique cure spécifique. Mingazzini, dans son
premier
travail, déjà cité, fit connaître encore les ca
le hérédité existait sûrement dans mes deux cas, plus grave dans le
premier
, moins grave dans le second ; et il n'est pas imp
ut niée (17), ou bien il ne se déclara qu'un ulcère mou (7). Des 76
premiers
, 10 n'avaient suivi aucune cure mercurielle; 36 n
estion est donc beaucoup plus complexe qu'elle ne le semble- rait à
première
vue. Il me semble que dans une matière aussi déli
s, les moments étiologiques que l'on peut incriminer sont : dans le
premier
cas, la tare héréditaire névropathique, l'alcooli
e marquée par la saillie osseuse sur sa face antérieure, dans notre
premier
cas, n'en a pas altéré la structure. Pour que l
s et localisées dans la région lombaire. Elles sont apparues pourla
première
fois dix mois avant l'opération, ont duré six sem
entre de nouveau à l'hôpital.A l'examen on constate que son état du
premier
séjour persiste. La malade lève le membre infér
de Brown-Séquard. Mais nous savons que ce phé- nomène paradoxal au
premier
abord peut résulter d'une compression des pyram
e que même dans le cas présent si peu favorable à la restitution au
premier
coup d'oeil, une amélioration ait pu se produire
grise reprendre sa forme normale. La moitié droite de la moelle au
premier
coup d'mil semble ne pas présenter de lésions.
n partie aussi dans celles de la Ire lombaire (fig. 22). La tumeur,au
premier
coup d'oeil, fait corps avec la moelle épinière
après l'opération étal flasque des muscles. La plaie guérissait par
première
intention. La malade maigrissait tou- jours et
dres). Doigts fléchis. Muscles inter- osseux atrophiés surtout dans
premier
espace. De même le muscle thénar (sur- tout le
ur. Le VIIIe segment dorsal est tout à fait normal sur la coupe. Au
premier
coup d'oeil on n'y remarque point de lésions. Q
vement peu modifiées. Dans quelques endroits seulement,au niveau du
premier
segment dorsal par exemple, on voit une infiltr
consécutivement aux sections des nerfs périphériques. J'ai fait ma
première
communication sur ce sujet dans la séance du (1
es on n'en voit plus aucune. 7° Jean G... Notes cliniques. 46 ans ;
premier
ictus suivi d'hémiplégie droite il y a 5 ans ;
de 394 MARINESCO pigeon qui avait comprimé la moelle au niveau du
premier
segment lombaire. A droite la moelle était comp
es terminales cutanées du petit sciatique. Mais la topographie du
premier
système est plus intéressante encore. D'une faç
derniers inter- costaux, est plus régulière qu'elle ne le paraît à
première
vue ; elle correspond précisément successivemen
rameaux cutanés des branches postérieures du dernier cervical et du
premier
dorsal, droits et gauches. Aussi sa bilatéralit
faire sur des schémas se rapportant à la métamérie médullaire. A
première
vue, on pourrait être surpris de la disposition p
te, recouvrant le territoire d'un nerf péri- phérique (obis. de mon
premier
mémoire) ou reproduisant sa disposi- tion proje
produisant sa disposi- tion projetée sur la peau (obs. 1, 6, de mon
premier
mémoire), ou plus exactement, des prolongements
nce avec le territoire de distribution de la 8c racine cervicale et
première
dorsale des deux côtés (région ulnaire des avant-
graphique de la colonne vertébrale. Pour ce.qui concerne les cas du
premier
groupe, qui sont du reste plus nombreux, il me
yon diminuée d'un tiers environ. 'Sur aucun des métatarsiens et des
premières
phalanges sains l'épiphyse n'est soudée à la di
visibles. Remarquons encore la raréfaction osseuse ma- nifeste des
premières
phalanges raccourcies, en particulier de la quatr
EVALLIER parut après trois semaines. Nourri au sein, le bébé eut sa
première
dent à six mois ; à dix mois, des convulsions a
arqué de la malade. L'extrémité du doigt ne dépasse que très peu la
première
articulation interphalangienne de l'annulaire ; l
tion est achevée. RRACHYMÉLOE MHTAPODIALE CONGÉNITALE IIJrJ 5 des
premières
phalanges des troisième et quatrième doigts de la
de lymphocytes et de fibrine). ' Diagnostic différentiel. Ici en
première
ligne il faut indiquer les difficultés qu'on renc
cin des hommes. Pour cela, il lui fallait compléter son instruclion
première
, apprendre le latin, le grec, faire ses humanit
et même il éprouvait quel- que gêne s'il était fait allusion à ses
premiers
débuts dans la médecine vétérinaire. F. Raymo
: les circonvolutions de l'insula (1), le fasciculus arcualus, les
premiers
faisceaux du claustrum ne présentent aucune altér
agénésie partielle, comparable à celle que Groz a observée dans son
premier
cas. Le trigone et la cloison trans- parente fo
antilisme. Ces carac- tères sont, selon nous, au contraire de toute
première
importance. M. Viola d'ailleurs considère le na
s auteurs emploient donc, dans ce cas, l'expression que Meige a, le
premier
, employée pour les infantiles du type Lorain ; no
et la même déformation du nez que le nain qui fut l'objet de notre
première
observation. Les individus mâles nous ont affir
ormale et la seconde dentition ne s'est pas fait attendre. Dès sa
première
enfance, et ultérieurement, notre sujet a été l'o
ce point de vue il est beaucoup plus typique que le sujet de notre
première
obser- vation, dont l'aspect drôlatique évoque
nous paraît parfaite). Notre nain se différencie du sujet de notre
première
observation par les proportions plus harmonique
e antéro-postérieur du crâne : l'os occipital est, comme chez notre
premier
sujet, très saillant en arrière et donne à la par
est exactement la même que celle que nous avons décrite chez notre
premier
nain ; le nez a le bout relevé, les narines sont
. Extrémités supérieures el inférieures. Encore plus que chez notre
premier
nain, nous remarquons dans ce cas les proportio
s pieds carrés des achondropiasiques. Dans ce cas, comme chez notre
premier
nain, les dernières phalanges des doigts sont d
ut être acquise : elle débute alors insi- dieusement dans les trois
premières
années de la vie (Cange, Markeloff, Steinberg)
eil par absence de longueur du cuboïde. Ce syndrome peut simuler au
premier
abord ! a brachymélie métapodiale. d'autant qu'
sur la localisa- tion de l'arrêt de développement. La nutrition du
premier
rayon est assurée, dans la grande majorité des
e ; elle apparaît avant la naissance ou parfois dans le cours de la
première
enfance, coexiste dans certains cas avec d'autres
Grenzgebicte der Medizin und Chirurgie, 1910, un cas ana- logue au
premier
( ? ) des nôtres. Nous n'avons malheureusement pa
ations furent exécutées à tous les niveaux. même dans la région des
premières
vertèbres cervicales. Dans le cas dé- crit par
ue quelquefois la moelle est couverte par une masse gélatineuse. Au
premier
coup d'oeil on peut prendre cette masse pour la
ue les fonctions de la moelle revenaient après l'opération là où au
premier
coup d'oeil tout semblait perdu. Dans un cas dé
sa biographie, les plus (1) ALpIIONSE Wnursns, L'Histoire de notre
première
école de peinture cherchée dans les meilleure s
lcospilum cameram ascendere et ibidem cum illis convivari ». Ces
premières
lignes du document montrent que le chroniqueur Ga
te. A cet égard, le témoignage du frère convers prend une valeur de
premier
ordre. De plus, on peut induire de ce récit, qu'H
nvolution voisine, laquelle nous croyons pouvoir identifier avec la
première
circonvolution limhirlue de l'hémisphère normal.
de fibres se rend tout d'une pièce dans la zone sous-corticale delà
première
circonvolution limbique. Ainsi, ce cas nous perme
étant en général de formes très harmonieuses, évoque tout de même à
première
vue l'image d'un pyg- mée ; il n'est pas diffor
achondroplasiques, mais nous devons cependant reconnaître que notre
premier
nain a surtout les extrémités supérieures in to
d une légère tendance aux putréfactions intestinales Chez les trois
premiers
sujets de nos observations nous avons prati- LA
ence les quelques caractères somatiques discor- dants chez nos deux
premiers
sujets, nous désirons exposer les quelques tare
a détermination tout à fait primordiale de la microsomie dans notre
première
famille. Nous ne croyons pas que la petite Alex
e est normal. Le droit présente six orteils complets ; les qua- tre
premiers
sont normaux et leur longueur décroît régulièreme
e de Vaucluse. Le père lui- même, atteint de convulsions pendant sa
première
enfance, est devenu dyspep- tique, asthénique e
iennes surtout, sont minces et laissent très facilement explorer le
premier
métacarpien par sa face palmaire. Mais il n'y a n
e soit d'un côté, soit de l'autre ; ainsi (fig. 13) la situation du
premier
et du deuxième doigts du pied droit est régulière
; on le remarque moins sur la figure G; sur lesdites planches, deux
premiers
doigts se trouvent en position de valgus ; parfoi
on de valgus ; parfois,cependant, cette position n'appartient qu'au
premier
orteil d'un seul pied ; ainsi, par l' exemple,
phalangettes sont quelquefois renflées en tête d'épingle, quant au
premier
et au deuxième doigt des deux pieds; c'est ce qui
n compare les figures 1, 2, 13, 16 avec les figures 12 ou 15. Les
premier
, dixième et treizième cas ont été étudiés sur ma
ntendre par syndrome oxycé- phalique : Si nous nous reportons aux
premières
descriptions qui ont été faites par les auteurs
le dit avoir souffert beaucoup pendant sa grossesse. Jean a été son
premier
né, après un accouchement laborieux et très long.
e lait à lui donner et malgré même qu'il ait été soumis pendant les
premiers
mois à un allaitement mercenaire très mauvais et
ut énormément re.tardée, jusqu'à l'âge de 16 mois, et il ne fit ses
premiers
pas qu'à 22 mois. A partir de cette époque, l'a
a sage-femme. Marie fut nourrie au sein de la mère pendant les deux
premiers
mois, mais à la suite d'une indisposition mater
s, l'acuité visuelle est de 8/20 à D. et de 9/20 à S. Comme dans la
première
observation il faut relever le contraste existant
us un certain degré degenu-vulgum plus accusé encore que dans notre
première
observation. Rien d'autre à signaler du côté de
commencé sa dentition. Ce ne fut qu'à l'âge de 20 mois qu'il fit sa
première
dent et il commença à marcher à 25 mois. Dans c
e présente pas cet amaigrissement que nous avons signalé dans notre
première
observation. Vu de face, son crâne n'est pas ex
ycéphalie. Tous ces détails radiologiques ont ici une importance de
premier
ordre, et tous ensemble'constituent, donc le sy
ude anatomique el radiologique du crâne oxycéphale, il est de toute
première
nécessité que nous étudions d'abord le profil r
la valeur de l'angle facial de Cuvier dans le crâne oxycéphale ; à
première
vue, étant donné le prognathisme supé- rieur si
expliquer le méca- nisme de )a pression endocranienne. H ressort à
première
vue que l'hyper- tension cérébrale dans l'oxycé
(Bourneville et Boncourt (3), Hirschberg (4), Enslin (5), mes trois
premières
observa- tions). En résumé, donc, dans le pro
s paralysies, l'aphasie, la fièvre, nous font penser que dans notre
premier
cas la méningite séreuse initiale s'est accompa
eur de la théorie angio-neurotique de Quincke. En effet, dans notre
premier
cas, nous ne trouvons comme cause immédiate que l
e à la convexité cérébrale, comme cela doit s'être passé dans notre
premier
cas, ce sont des symptômes corticaux d'excitati
vé un liquide clair, contenant peu de lymphocytes. Merle, dans sa
première
observation, où il a trouvé à l'autopsie une ép
a noté généralement l'absence d'une température élevée. Dans notre
premier
cas nous avons constaté un mouvement fébrile, non
it de la fièvre pendant les récidives. Fraenkel (2) a noté dans son
premier
cas 37°8, dans le troisième jusqu'à h0°. Axhaus
t la marche relativement favorable de celle méningite. Dans notre
premier
cas nous avons noté l'existence des troubles psyc
; qu'il est souvent très précoce, et parfois pendant longtemps, le
premier
et aussi le seul symptôme. Son utilité est, dans
es est une affeclioit radiculaire ; nous savons de plus que dans sa
première
phase, c'est une affection systématique, c'est-1-
au malade de l'urotropine, médication qui fut maintenue pendant les
premières
semaines. Depuis longtemps déjà, celle préparatio
le résultat d'un travail récurrent auquel est soumise cette matière
première
associative qui, ipso facto, est synthétisée dans
Bien que B... prétende que le dessin a été un des amusements de sa
première
jeunese, c'est lentement et avec hésitation qu'il
) que pourtant, à d'autres reprises, il lisait sans difficulté : du
premier
mot, il écrivit immédiatement Iaos, du second T
alade à peu près au complet. Sa haute stature (1 m. 86) attire au
premier
regard l'attention. Mais ce symptôme nécessaire
ME ACROMÉGALIQUE 131 sives. C'est à cet âge seulement qu'il fit ses
premiers
pas et qu'il commença à parler, et encore, dise
jeux. A huit ans seulement, malgré ses protestations, on lui met sa
première
culotte. C'est pour le jeune garçon l'occasion
ien qu'il l'avait opérée, il y a cinq ans, et elle le reconnaissait
première
vue. Elle ne sait ni lire ni écrire,mais elle a
ulations des phalanges entre elles, et surtout du métacarpe avec la
première
phalange. Ces dernières articulations permettent
e la vie humaine, comme le sont, par exemple, la chute des dénis de
première
dentition, l'apparition de celle de seconde denti
le de seconde dentition, la soudure des épipbyses, l'apparition des
premières
rides de la patte d'oie, etc.. Celte hypothèse
-éllec[i-ité esl excep- tonnelle, Dalis un groupe, l'apparition des
premiers
se fait en une poussée très dense et pour ainsi
cines sacrées (18 à 28 cent.) près de 2 fois supérieure à celle des
premières
racines lombaires (11 à 16 cent.), situation réci
uer en outre que, du fait de l'inclinaison normale du sa- crum, ses
premières
vertèbres sont presque horizontalement placées da
e de « la glande ». En effet, Descartes a pensé tout d'abord qu'une
première
difficulté pouvait être levée par ce choix diffic
princesse Elisabeth. Remanié, il fut publié à Ams- terdam en 1649).
Première
partie, art. 32. Comment on connoit que cette gla
ux (5). En effet, ces petits (1) Traité de l'Homme, éd. Clerselier,
Première
partie, XII, p. 8. (2) ibis, Première partie, X
é de l'Homme, éd. Clerselier, Première partie, XII, p. 8. (2) ibis,
Première
partie, XIV, p. 10. (3) « Jamais ils ne s'arres
Les esprits réfléchis de l'image... formée sur la (1) Des Passions,
première
partie, art 13. xxv 12 Fig. S. 186 SAINTON
ment mue par l'âme, laquelle est de telle nature (1). Des Passions,
première
partie, art. 36. A plusieurs reprises Descartes a
lqu'un d'eux est ôté, cela rend tout le corps dé- (1) Des Passions,
première
partie,art. 34. Descartes résume toute sa physiol
sée ou à l'étendue (3) ». La manière dont il faut (1) Des Passions,
première
partie, art. 30. (2) Des Passions, première, pa
aut (1) Des Passions, première partie, art. 30. (2) Des Passions,
première
, partie ait 31. (3) Le ôyslème de Desc(t7-les,
p. 3 ! )0. (2) 0. IIAMELIN, in op. laud., p. 352. Cf. Des Passions,
première
partie, ait. 1G. (3) Edition du Traité de l'Hom
r, p. 207. (2) I\ ! ALEBnA11CIIC, Recherche de la Vérité. Livre II.
Première
partie. Cil. I, 11. (3) Thomas l3nnnuot.m. Alla
is des doutes sur sa véracité et parmi ceux-ci nous devons citer en
première
ligne Hardy, A. Mayer, Botazzi, etc. Hardy a fait
quelques-unes sont gris bleuie. L'alcool absolu, agent fixateur de
premier
ordre, a été fréquemment employé pour la fixati
étration et gardent pendant ce temps leur tonalité respective. A la
première
catégorie de cellules, en dehors du gonflement co
des phénomènes caractéristiques parmi lesquels nous devons citer en
première
ligne la production d'un vide nucléaire plus ou m
e elles sont connues depuis fort longtemps, et Galien (2), l'un des
premiers
sans doute, les signale dans un de ses ouvrages ;
vertèbres cervico-dorsales portent des côtes, l'insertion des deux
premières
côtes est même si élevée qu'il est difficile d'ap
élevée qu'il est difficile d'apercevoir nettement l'union des deux
premières
côtes au squelette vertébral ; elle est en partie
thorax est presque horizontale. L'explication en est aisée : cette
première
côte s'attache sur la vertèbre la plus élevée, el
ieure : La ligne des apophyses épineuses n'est pas régulière, les 4
premières
, qui font suite à la masse cervico-dorsale soudée
à contenir l'artère vertébrale est situé au dessus de l'origine des
premières
côtes, il est uni au canal rachidien par plusie
e se courbe pour quitter la cage thora- cique, elle passe sur cette
première
côte entre les deux scalènes. Le pneumogastriqu
r origine; ce qui nous fait penser qu'elle est constituée par les 4
premières
vertèbres dorsales, qui, peut- être, au cours d
cette masse est constituée en partie au moins par la réunion des 4
premières
vertèbres dorsales. Les premières côtes remonta
que, il s'est fait un tassement des vertèbres cervi- cales et des 4
premières
vertèbres dorsales. La déterminante étiologique
e critiques de Chaslin et d'Aslros, les auteurs renoncent à leur 1-
première
dénomination et donnèrent à celle dystrophie le n
I. XXXII à XXXIV) C., 40 ans. Le malade a perdu ses parents dans sa
première
enfance. C'est pour ce motif qu'il ne peut pas
de la 7e vertèbre cervicale ainsi que l'élargissement des têtes des
premières
phalanges. Chez la malade de Pinard et Varnier,
lle était complètement guérie et fit, dans l'église paroissiale, sa
première
communion. Le bruit relatant sa résurrec- tion
gens curieux se rendirent à Olinô pour voir le « miracle ». A ma
première
visite chez Caroline, je trouvai celle-ci occupée
erie les choses sérieuses. Elle n'avait pas de souvenirs nets de sa
première
enfance, mais elle se rappelait qu'elle avait jou
ses, elle affirma sur ma question qu'elle n'avait pas encore en ses
premières
règles lorsque la maladie éclata. Un jour d'hiv
que siègent les douleurs les plus caractérisées. A la fin de cette
première
période d'observation, l'attention a été attirée
s la mort. - Dans le protocole d'autopsie, dicté par le Dr Boéchat,
premier
assistant de 1\l. le Professeur Askanazy, nous
examen histotngique détaillé de ce cas inté- ressant. 1'10, 1. -
Premier
segment dorsal (\Iethole de Weigerl). 286 LONG
ires progressives, mais à celle des névrites périphériques. Dans sa
première
observation, bien que l'atrophie musculaire fut p
u hémorragies. Il ne s'agit donc pas, comme on pourrait le penser à
première
vue, d'une tu- meur de la moelle. La topograp
giques, par l'énorme développement du tissu adipeux, qui donnait au
premier
abord l'illusion d'une tumeur, tandis qu'il s'agi
tat de demi-flexion sur la main, sauf l'auriculaire qui présente sa
première
phalange en position d'extension extrême et sa
n, tandis que l'abduction ne se produit qu'en partie pour les trois
premiers
doigts et aucu- nement pour le quatrième et pou
est d'autant plus grave qu'elle date de plus longtemps quant à ses
premières
manifestations, et qu'aussi les muscles atrophiés
gainant plus ou moins l'os et le rendant plus opaque. Lors de notre
premier
examen, la radiographie nous avait paru pré- se
enu le traumatisme et du long in- tervalle qui sépara l'atteinte du
premier
os et celle du second. Mais n'est- ce pas un pe
aît être tout à fait analogue. Un fait pourtant en rend peut-être à
première
vue l'explication un peu moins simple, c'est qu
à manger, mais refuse des gâteaux que la religieuse lui offre. Ses
premières
pa- roles furent provoquées par ces gâteaux ; i
RADICULAIRE OU NON RADICULAIRE PAR PIERRE MARIE et CHARLES FOIX
PREMIÈRE
PARTIE Lorsque Duchenne (de Boulogne) décrivit
rite dut être par la suite écarté et qu'il répartit en 3 classes.
Première
catégorie comprenant des maladies syphilitiques.
rnes postérieures, intégrité presque absolue des cordons blancs. Au
premier
abord, la corne poslérieure paraît saine. A un ex
lésion est bilatérale au contraire de ce qui se passe dans les deux
premiers
cas, et les deux cornes sont abrasées La 3e cer
La présence des fibres musculaires striées dans la moelle; c'est la
première
fois, à notre connaissance, que ce fait est signa
ypertrophie de la dure-mère atteint son côté droit correspondant du
premier
segment dorsal. A la surface postérieure de la du
éeuse. Sur toute l'étendue à partir du 4B segment cervical jusqu'au
premier
dorsal inclu- sivement on constate une adhérenc
le mal de Pott, les douleurs doivent être considérées comme un des
premiers
symptômes de compression; ce fait a été observé p
à l'âge de 30 ans. Sa femme, qui vit encore, eut deux avortements (
première
et cinquième grossesses) ; un fils est mort à l
Membre supérieur droit a) En plaçant les segments du membre dans la
première
position décrite et en percutant sur les points i
parties péri-articulaires. L'extrême difformité du rachis frappe à
première
vue. L'hyperossification est surtout marquée au n
irbelsaule. Simmonds (3) l'appelle : Syndesmistis ossificans. Notre
première
radio- graphie - région cervicale, projection a
es et nous n'y revenons pas. Nous voulons seule- ment ajouter qu'au
premier
examen du malade, le nouveau signe de Babinski
chis présente une courbure régulière, en arc de cercle ; les quatre
premières
vertèbres cervicales, ankylosées, forment avec ce
ent, l'oeil droit montre une petite fente qu'on continue à voir, an
premier
moment de l'occlusion, et qui finit par disparaît
évrite interstitielle intense (Ces lésions ont été étudiées dans la
première
partie de ce mémoire. Nous n'en répéterons pas la
des muscles de l'éminence tbé- nar et des interosseux, notamment du
premier
. Hypo-excitabilité faradique de l'éminence hypo
cteur et l'opposant. Depuis deux ans, fourmillemeuts dans les trois
premiers
doigts de la main droite, un peu dans le quatri
diffé- remment du côté droit et du côté gauche au niveau des trois
premiers
doigts. Pas d'autres troubles sensitifs. L'exam
re. En résumé, troubles subjectifs de la sensibilité dans les trois
premiers
doigts de la main droite, atrophie thénarienne
s malades avaienl des mains dulype Aran-Duclienne et ceci parait au
premier
abord aller à l'encontre de notre opinion, quant
ce dernier diagnostic nous parait particulièrement difficile. Au
premier
abord il semble que l'argument topographique soit
eures de l'après-midi. Analyse de l'urine recueillie pendant les 24
premières
heures : ACROMÉGALIE ET UREMfK 457 sont très
Les articulations de ses genoux deviennent pourtant plus souples.
Premier
examen. - Le 27 mai 1912, la malade qui, de prime
pothérapie associée l'état morphologique ne s'est pas modifié. Au
premier
abord et superficiellement, ce cas répond, dans l
du coeur ou du rein sont mous, ou du moins l'on[ été lors de leurs
premières
manifestations. L'oedème angionelt1'otique de Q
et de radiologie il m'a paru intéressant de rappeler l'histoire des
premiers
efforts de l'é- lectrothérapie des deux célèbre
dia- gnostic, et que je réussis à le mettre dedans (sic) comme le
premier
. Je lui lis observer ensuite que dans une de ses
on ancien pré- tendu délire de persécutions, il maintint toutes ses
premières
affirmations négatives à cet égard. En fuit il
travail, ce qui était évidemment exces- sif. On aurait pu croire au
premier
abord qu'il était faible d'esprit eu égard aux
personnel de ceux-ci, plusieurs de ceux qui l'avaient connu dans sa
première
séquestration, il les avait englobés dans la mê
ter à nouveau en décembre 1893, après le changement de résidence du
premier
médecin qui l'avait observé, se flattant ainsi
é d'effraction, ce qui devait rendre le tribunal incompétent. Cette
première
victoire rem- portée, il se flatta d'en gagner
fis état que pour démontrer l'erreur dans laquelle était tombé le
premier
expert, sur la foi d'un premier certificat. Je de
robinet d'eau de Marne : la salle à manger; la salle de réunion. Au
premier
étage, sur le palier, un poste de secours contre
; nous nous contenterons de 4, que nous reporterons dans les deux
premiers
quartiers de chaque section, où doivent se trouve
sensitifs accolés aux centres d'incita- tion motrice, encore qu'au
premier
abord elle paraisse le mieux s'accorder aux fai
vent, la paralysie générale, la pachyméningite doit être placée au
premier
rang, au même titre que les pseudo-paralysies gén
logie expérimentale appelée à les dissiper en est encore à ses tout
premiers
débuts. » En somme, le problème de la responsabi-
antagoniste destiné à le corriger, de telle sorte que l'ébauche du
premier
entraînât aussitôt la mise en oeuvre du second.
plus court. L'auteur rapporte ici trois cas appartenant à la toute
première
enfance ; il rappelle à cette occasion les symp
ce, on augmentera de deux gouttes par jour jusqu'à l'apparition des
premiers
symptômes d'iodisme. Le mer- cure est l'agent c
, encore en cours de traitement, a déjà été très amélioré; les deux
premiers
sont tout à fait guéris. Les enfants sont très
ns auxquelles il est arrivé : Au point de vue de la préco- cité. au
premier
rang se présenteraient les lymphatiques, et, loin
N'est-ce pas un résultat accidentel ? Les lymphatiques viennent au
premier
rang dans le délit de vaga- bondage. Pour les c
ore en 1879, les brigands Bykow et Tchaïkim ont été condamnés, le
premier
à 12.000, le second à 11.000 coups de cravache, à
hargée. Nous possédons des renseignements sur quatre générations.
Première
génération. La grand'mère paternelle est morte
c'est-à-dire avant l'âge où apparaît habituellement la chorée. Le
premier
sans enfants, le second a eu un enfant névropathe
'ont précédé et qui ont répété sans preuves à l'appui l'affirmation
première
de Lion- tington. Wollenberg se borne à dire qu
rés par un très mince pli de passage pa- riéto-occipital supérieur (
premier
pli de passage de Gratiolet). Au devant du sill
ité. Nous avons suivi le plan de MM. Bail et Régis. A. Longévité.
Première
génération (grands-parents). Sur les 160 grands
environ cinq à dix mille roubles (12500 francs à 25 000 francs) de
premier
établissement ; 1 500 à 3 000 roubles (3 750 fr
s'exaspéraient par le moindre mouvement, par la pression des deux
premières
vertèbres cervicales, et diminuaient par la sta-
ar congestion probable). Une carie de la base de l'occipital et des
première
et deuxième vertèbres cervicales était indéniab
r dans tous les cas où le malade survit pendant les trois ou quatre
premiers
jours. 4° 11 résulte de l'observation des cas q
loroforme est donc un moyen sugges- 176 SOCIÉTÉS SAVANTES. tif de
premier
ordre et avec lui, semble-t-il, on arriverait à h
ura à subir des modifications aussi profondes qu'on se l'imagine au
premier
abord. C'est là un point qu'il me semble diffic
serrurier, il a ouvert. Rien n'était dérangé au rez-de-chaussée. Au
premier
étage on ne remarquait aucun désordre. Le magis
pprimées depuis huit mois, environ deux mois après l'apparition des
premiers
phénomènes anormaux de la miction. Il n'a cepen
l'un de ces trois groupes de troubles analogues. Il se distingue du
premier
par une hyperdiurèse peu abondante, coïncidant
s. C'est que nous connaissons aujour- d'hui le résultat éloigné des
premières
tentatives chirurgicales. L'ancienneté préhisto
e irrémédiable et laisser une cicatrice aussi nocive que la maladie
première
, au point de vue des accès convulsifs. Donc, opé-
idents d'une involution précoce de l'organisme. La pro- portion des
premiers
cas est de 39 p. 100; celle des seconds de 10,9
esure de son degré de dé- générescence, l'épilepsie doit figurer au
premier
rang avec l'idiotie et l'imbécillité. L'auteur
métrie, mais non d'anomalies ou de mons- trtcosités. Féré, dans ses
premiers
travaux, ne parait pas s'en préoccuper, et c'es
e primitive (Wahnsinn) et une forme secondaire (Verrùcktheit). La
première
est brusque dans son début, la seconde se dévelop
s formes classiques, et trop peu sur le caractère protéiforme des
premiers
indices de trouble mental, qui sont ordinairement
apparents pour la famille que pour le médecin. Assez souvent les
premiers
symptômes sont pendant assez longtemps ceux de la
our le diagnostic à ne pas admettre que la démence paralytique à sa
première
période est caractérisée par un ensemble bien d
la majorité des cas les réflexes profonds sont exagérés durant la
première
période; quant aux réflexes tendineux ils demande
tre soignés à domicile, à quelques rares exceptions près, les trois
premiers
, parce qu'ils nécessitent une surveillance et une
inaire. Il n'y aurait que des avantages à réunir ensemble les trois
premiers
, mais il ne faut pas songer un instant à mettre
l du parquet général et d'obtenir ainsi l'annulation du jugement de
première
instance. C'est là une procédure très simple et
le démon auteur des maladies, poursuit ainsi : VARIA. 269 « A ma
première
visite, je trouvai là un sauvage réellement pos-
ations. L'analogie existe seulement relativement à ce que dans le
premier
cas l'état moniliforme des prolongements protopla
cas l'état moniliforme, ressemblant à un cet tain degré à celui du
premier
cas, sert à démontrer un développement incomple
os trois sujets sont des prédisposés, des hérédi- taires ; les deux
premiers
sujets à des bouffées délirantes, le troisième
res, et appa- raît de l'anémie cérébrale déjà manifeste à la fin du
premier
stade de l'augmentation de la pression. L'anémi
ment en dehors, et la pu- pille se rétrécit notablement. La forme
première
de ce symptôme seule avait déjà été observée pa
la place normale, au milieu ; un se- cond, plus petit, à gauche du
premier
, affecte la même direction. Plus bas, les deux
aire. Elles constituent une lame de substance blanche, en dehors du
premier
segment du globus pallidus et vont à la partie
t à la capsule interne par la lame de substance blanche et par le
premier
segment du globus pallidus. Les fibres, dans la c
re et leur colora- tion les fait nettement distinguer des fibres du
premier
système. Les fibres du ruban de Reil sises entr
respiration composée de dix à douze mouvements respiratoires. Le
premier
est tout à fait superficiel, les suivants devienn
trois ans, quelque temps après un premier et pénible accouchement.
Premiers
symptômes : Faiblesse intermittente des muscles
tion tabétique ultérieure ; c'est le diagnostic avecles lésions des
premières
racines lombaires, avec les pseudo-méralgies ra
es, il figurait, non le territoire du fémoro-cutané, mais celui des
première
, deuxième et peut être troisième racines lom- b
n territoire sacro-femoral, rappelle de très près le territoire des
premières
racines lombaires et par conséquent celui du fé
ès satisfaisante, gràce surtout au grand nombre de pensionnaires de
première
et de deuxième classe dont les recettes ont été e
le, lois sur l'ivresse et les débits, etc. L'auteur préconise comme
première
mesure à appliquer en France, la limitation lég
phe de ce chapitre, « le combat pour la tempérance est la condition
première
de toute « amélioration matérielle ou morale de
struction solide qui dépassait les besoins du baccalauréat. Dès ses
premières
inscriptions de. médecine, il prit la bonne hab
pace de BOUCHEREAU. 365 tèmps un tiers de siècle il se montra, du
premier
jour jusqu'au dernier, médecin zélé et dévoué ;
ereau avec le service des aliénés commencent, à vrai dire, avec ses
premières
études médi- cales. C'est en 1859 qu'il fut reç
olonie de Dun qui a pris un développement inespéré. Associé à ces
premières
tentatives, le D1' Bouchereau fut aussi parmi l
ffisamment des conseils et du savant enseignement qui ont guidé mes
premiers
pas dans une carrière que vous venez de remplir
s inspecteurs généraux de l'assistance publique, Arrête : Article
premier
. Unconcours pour l'admissibilité aux emplois de
cours de l'alcoolisme aigu que les malades la manifestent. Dès la
première
heure de leur internement, et quelques jours de
on de Sainte-Anne, dans le service de M. Magnan. " Liepmann, un des
premiers
, observa cette hyperesthésie : Archives, 2' sér
n bien grand nombre de malades. Et il a fallu les examiner dès la
première
heure de leur internement, alors qu'ils n'avaient
l est impossible de fixer l'attention de ces malades. Et c'est la
première
condition que nous réclamions : alcooliques, oui,
e minute. On la reproduit de la même façon vingt minutes après la
première
expérience. En ce qui concerne les autres sens, o
e n'en- tends plus rien, c'est fini. » Quinze minutes après cette
première
tentative, on la renouvelle et le résultat est
phi- litique ne le menace que, si dans l'espace des dix ou quinze
premières
années, il ne répète ce traitement spécifique tou
donnera une quantité beaucoup plus grande de mer- cure que celle du
premier
. Certainement, la quantité de mer- cure introdu
ons mercurielles sous-cutanées dans le but du traitement des formes
premières
de la maladie, ainsi que des maladies post-syph
alibre qu'est assurée la circulation si importante de cet organe de
premier
ordre, c'est par un grand nombre de vaisseaux d
de vingt-six ans qui-mourut deux ans et demi après l'apparition des
premiers
symptômes. Ces symp- tômes furent : des céphalé
iégeait au niveau des deux dernières vertèbres dorsales et des deux
premières
lom- baires. La symptomatologie eut comme carac
ées obscènes. Parmi les causes de cette maladie, il faut citer en
première
ligne la dégénérescence psychique, dont tous le
tiques aliénés, mais aussi des épileptiques sains d'esprit; et la
première
question qui se pose est celle des aménagements à
que toute sensation a nécessairement une origine périphérique. Aux
premiers
tout au moins on peut répon- dre par l'argument
e de nos troubles nerveux, et que le surmenage oculaire figure au
premier
rang de ces irritations : c'est pourquoi il conse
Observation 1. - àlne A. IL ? âgée de cinquante-cinq ans, entrée au
premier
Hôpital municipal le 18 janvier 1899. Il y a de
respectivement de trente-deux et dix-huit ans. La particularité du
premier
cas consiste dans les phénomènes d'acromégalie
ont fini par être appliqués hors des limites de leur signification
première
; de là une confusion préjudiciable à la clarté
tre de Lissauer et Hahn BIBLIOGRAPHIE. 453 constituent la matière
première
du travail de M. Nodet, qui a pu d'autre part t
les identifications secon- daires, supérieures. L'interruption des
premières
constitue les anesthésies corticales sensitivo-
il s'était montré très agité durant toute la journée ; le soir, aux
premières
ombres, il descendit dans la rue, armé d'un cou
quilibrés, naquirent trois fils. Pas de renseignements sur les deux
premiers
. Le troisième est notre malade. Antécédents per
omènes. Les cellules nerveuses de l'écorce ont résisté chez eux aux
premiers
effets HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLISM
ption, grossesse, accouchement, naissance, rien de particu- lier. -
Premières
convulsions à huit mois pendant quatre heures :
ù elle resta jusqu'à un an. C'est là qu'elle a eu, à huit mois, ses
premières
convulsions qui coïncidèrent, dit-on, avec l'appa
ières convulsions qui coïncidèrent, dit-on, avec l'appa- rition des
premières
dents. Ces convulsions survinrent la nuit, débu
té; crie beaucoup quand, aux repas, elle n'est pas servie l'une des
premières
: c'est sa seule manifestation intellectuelle.
ale, le mécanisme de l'inter- ruption par le corps genouillé est de
première
importance. Il y a homonymie entre les faisceau
générale du noyau du facial et de ses groupes parait différente, au
premier
examen, de celle du même noyau chez les animaux
ns. Anatomie pathologique : Les cordons postérieurs sont pris les
premiers
et plus fortement que le reste de la moelle. Ils
nte simple ; forme tuberculeuse ; la méningite séreuse. Si les deux
premiers
types de méningite sont bien connus, le troisiè
hosphates alcalins aux phosphates terreux est modifié au profit des
premiers
, ce qui s'explique par l'intensité, pendant l'a
cula- lations. etc. 2° Homme de vingt-neuf ans. Sans antécédents.
Première
crise d'épilepsie à quatre ans, à la suite d'un
s qui reçut les prénoms d'Armand-Aimé-Dieudonné. L'enfant passa ses
premières
années au village, fréquentant l'école, la viei
e partis. Le coeur est si plein d'espérance à vingt ans. Je pris ma
première
inscription avec la joie du jeune homme qui voi
s- pace de quatre années, que son baccalauréat ès-sciences et son
premier
examen de médecine, et souvent même, dénué de tou
ébranlée et de réunir quelques nouvelles ressources. Peu après son
premier
examen, il fut atteint d'une fièvre typhoïde gr
ulées sur le cerveau durci. r 111., sillon fronto-marginal ; - fi.,
premier
sillon frontal; - f2., deuxième sillon frontal;
frontale; - p F ? pied de la première circonvolution fronlale; F ?
première
circonvolution frnntale; - p F2., pied de la deux
parié- tale de l'opercule ; - G s 111., gyrtis supra-marginal ; P ?
première
circonvolution pariétale; Pe., deuxième circonv
- j ? deuxième sillon intermédiaire; l' c., pli courbe; - 7r p o ?
premier
pli de passage pariéto-occipital de Gratiolet;
ipital anté- rieur de vVermike, i o., sillon intpr-oecipital; - 0'"
première
cir- convolution occipitale; 0 ? deuxième circo
onvolution descendante d'Kcker : 0 ? deuxième sillon occipital; T ?
première
circonvolution temporale; - T2.. deuxième circo
stence antérieure des phénomènes aigus, survenus géné- ralement aux
premiers
âges de la vie. Mais de tels faits doivent consti
OMIASE sentée par des diplégiques anciens, dont la maladie date des
premières
années de leur existence. Il s'agit donc ici, l
teinte depuis longtemps d'endocardite et de brightisme. Ftc. i. -
Première
observation. Destruction presque complète du pied
voisinage a souffert lors de l'épanchement sanguin au niveau de la
première
circonvolution frontale, et l'on sait le rôle trè
nd le malade la re- lève vers le côté sain. Cette parliculaiilé, au
premier
abord paradoxale, s'explique par la physiologie
ons présenter ici quatre cas de tu- meur médullaire, dont les trois
premières
ont été opérées à l'Hôpital Is- raélite à Czyst
mal jusqu'en août 1910. Les seuls symptômes morbides pendant les 12
premières
se- maines ont été des douleurs lancinantes col
ive. 7 mars. Application de l'appareil d'extension. Dans les deux
premiers
jours absence de symptômes d'amélioration dans un
ations du coeur égales. Paralysie spasmodique. Réflexes très vifs ;
première
apparition des phénomènes de pronation et de supi
onvenablement le sens des mou- vements du pied. 40 ROTSTADT 12.
Premiers
symptômes des mouvements du pied gauche, il remue
sion de l'extrémité inférieure droite ; pouls rythmique, plein. 19.
Premier
symptôme de récupération du mouvement dans les pi
it l'idée d'un amas de nouvelles mas- ses néoformées à l'endroit du
premier
traitement. La nécessité d'une seconde opératio
IRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE 47 2-28 août. Le malade fait ses
premiers
pas avec aide. La sensibilité musculaire dans l
it déjà la paramyoclonie de Friedreich. 88 MONIZ Raymond, dans sa
première
leçon sur les myoclonies, demandait si on devai
. Ainsi dans la fig. 1 (obs. I) nous voyons que la malade, entre la
première
et la seconde photographie,a fait la flexion des
uve souvent la symétrie, mais elle manque souvent aussi. Chez notre
première
malade il y a symé- trie de certains groupes mu
e suivant les formes myocloniques. Il y a des cas (comme chez notre
première
malade) dans lesquels les contractions survienn
identifient par leurs tableaux symptoma- toloiques, représentent ce
premier
type de myoclonies essentielles. 2° Le para11¿
caractères spéciaux et les observations rares qui sont adjointes au
premier
cas de l'auteur, justifient son individualité m
oniques ne sont pas incommodés dans l'exécution de ces actes. Notre
première
malade peut t enfiler une aiguille et coudre co
d'idées fixes (Guinon). Ces derniers cas doivent être séparés des
premiers
. Ils ne présentent, généralement, ni le même po
de grosses cicatrices, et a eu la fièvre typhoïde pendant les trois
premiers
mois de l'année 1911 qu'elle passa à 1'llôtel-lii
rt. Plusieurs de ces fibres s'approchent de très près des fibres du
premier
réseau ainsi que des cylindraxes. Toutefois on ne
du tissu névroglique est la même dans le second cas que dans notre
premier
cas. Il en est de même des réseaux intra-médull
évroblidue embryonnaire avec celui des animaux adultes. Fig. 14 -
Premier
cas de paralysie agitante. Ecorce cérébrale. Mê
sa granulation apparaît très clairement dans la figure 20. FIO, 19.
Premier
cas de paralysie agitante. Ecorce cérébrale. St
selon Weigert n'a montré aucune altération particulière dans notre
premier
cas. , Fig. 20. Second cas de paralysie agitant
ir LEWY (Handbuch der Neurologie von Levandowsky, 1912). ' FIG. 21.
Premier
cas de paralysie agitante. Lobe frontal et précen
e. Immersion). « et 6 à divers niveaux. Fic. 22. La cellule « z3 du
premier
cas de paralysie agitante (LÜelschowsyy), ' » l
e son entourage, surtout d'un côté. Dans les capsules surrénales du
premier
cas, quelques tubercules dissé- minés. DU SYS
intramédullaire dans les nerfs périphé- riques, surtout dans notre
premier
cas de paralysie agitante. Dans les éléments ce
fonction de ces glandes, et spécialement de la thyroïde dans notre
premier
cas, influe sur LE tissu NEVUOGLIQUE du système N
jambe où le péroné, étant moins raccourci que le tibia, la tête du
premier
remonte de manière à s'articuler avec le condyle
eurant dans un cercle borné, j'ai rencontré trois individus qui, au
premier
coup d'oeil, se présentaient comme des achondro
est-il possible de faire rentrer dans le cadre de la microsomie sa
première
observation dans laquelle les difformités ne sont
plus longuement, l'histoire el l'examen clinique au complet de mon
premier
sujet. Observation 1 \ Mario Ventisei, âgé de
ut à fait normales. ' A l'examen radiographique du crâne on note au
premier
abord que le développement de la voûte surpasse
attendre d'un homme de sa condition sociale. Examen objectif. Au
premier
abord on note que, bien que de taille de beaucoup
séparer de celle que produit l'achondroplasie : en général dans le
premier
cas les os auraient une surface plus lisse, les i
et la grand'mère en ligne paternelle du sujet étudié. Enfin dans ma
première
observation, comme les différents signes de dys
re déjà des variétés. Ces formes d'achondroplasie partielle dont ma
première
observation représente une variété avec des car
le suffisamment typique de cette affection, je serais d'avis que la
première
pourrait être retirée. de la catégorie de la micr
tation que la thyroïde était normale à la palpation, et que dans ma
première
observation la selle turcique apparaissait plus p
l'incisive latérale de la prémolaire droite. Du côté gauche les deux
premières
molaires sont petites. Plusieurs molaires carié
Celle- de l'os de l'achondroplase : 4 cent. 5. Les dimensions des 4
premiers
métacarpiens sont de 4 centimètres ; 4 cent. 5
rapprochées sur l'os achondroplase que sur le normal. La largeur du
premier
est de 21 centimètres à gauche, de 22 à droite.
erche la société des hommes. La malade sortit guérie. Nos trois
premiers
cas constituent, pensons-nous, des exemples indis
ement de lobe anté- rieur. Il semble logique de considérer les deux
premiers
comme répondant chacun à une insuffisance parti
Pulsations : 104 à la minute : la température varie entre 37°2 aux
premières
heures de l'après-midi et 36° aux premières heu
re varie entre 37°2 aux premières heures de l'après-midi et 36° aux
premières
heures du matin. La respiration est du type abd
nt exclue la pensée d'une méningite cérébrale, on devait penser, en
premier
lieu, que la cause du complexus symptomatolo51que
avec les néoformations de la fosse crânienne postérieure, les deux
premiers
jugements énoncés par Oppenheim pouvaient y aid
s parties périphériques des mem- bres, ni paresthésies ni douleurs,
premiers
symptômes ordinairement d'une polynévrite, laqu
ait eu,avant de venir il la Maternité, trois accès éclamptiques. Au
premier
examen, un s'est rendu compte qu'on avait affaire
lectrique est resté sans effet ; la paralysie, aussi complète qu'au
premier
jour, semble définitive. TROUBLES DE L'ÉCRITURE
serons d'abord brièvement l'histoire clinique de nos trois malades.
Premier
cas. M. N..., juif, âgé de 26 ans, entre dans le
tuliens a surtout fixé l'attention des auteurs. Wollenberg (3) a le
premier
trouvé dans un cas de gliosarcome cérébelleux la
ni dans ceux cités dans la littérature. Nous avons noté dans notre
premier
cas et à un moindre degré aussi dans le second
jamais le malade ne s'y adonna, fût-ce une seule fois. A 16 ans,
premier
coït. Il faut quelques manoeuvres pour amener l'é
ire à 24 ans. Antécédents personnels. Nourri au sein, il a fait ses
premiers
pas à 12 mois. Il n'a fait aucune maladie dans
hyroïdiens est probablement plus compliquée qu'elle ne le semble au
premier
abord. L'insuffisance thyroïdienne simple ne pe
a peau durcit à cet endroit, puis elle se déprime. L'apparition des
premières
plaques sclérodermiques aurait eu lieu vers l'àge
ésions pluriglandulaires dans deux cas de sclérodermie. Dans leur
premier
cas ils ont constaté une sclérose très prononcée
iés chez le même individu, n'ordonne pas expressément l'apparition,
première
dans le temps, de l'un des deux. Dans les cas d
iogrammes en position latérale ont été exécutés à l'époque de notre
premier
examen ; à un an de distance, c'est-à-dire en avr
'examen après l'emploi de méthodes histo- logiques bauales donne, à
première
vue, l'aspect d'un fibrome typique ancien, rich
son de ces différentes fibres nerveuses néoformées à la suite de la
première
amputation est particulièrement intéressante à ét
ité mousse, souvent renflée en une petite massue terminale. Dans ce
premier
névrome nous n'avons trouvé aucune des formatio
dénudation des cylindraxes inter- vient-elle, comme facteur de tout
premier
ordre, dans l'apparition des douleurs ? En te
agnent celte courte note (Pl. XLVIII). La fig. 1 montre l'aspect du
premier
névrome enlevé 23 ans après l'amputation initia
res a été une poule au fusil, dont la championne est une tireuse de
premier
ordre ». Elle lit : 0... bourg, une des plus dé
au fusil dans la cham... pique... je ne peux pas)... une tireuse de
premier
o-r.- (je ne peux pas). La lecture est extrêmemen
la plus grande partie du 2e seg- ment, et l'extrémité supérieure du
premier
. Du noyau caudé, il ne reste que la tête, parti
L'APHASIE DE BROCA 345 Ecriture spontanée. - Telle qu'elle était au
premier
examen ; au-dessous de son nom (Chassergue), et
arole spontanée. - Quand avez-vous été opérée ? - 9 ans... avril...
premier
. Où ? Cossin... matégnité. Combien de temps a
près équivalente. Les extrémités antérieure et postérieure des deux
premières
circonvolutions temporales sont modifiées dans le
es circonvolutions temporales ; mais la partie postérieure des deux
premières
temporales et le pli courbe,qui appar- tiennent
ce, principalement la zone sensorielle (partie postérieure des deux
premières
temporales et pli courbe) dans la récupération
un sujet jeune, même si la lésion est très vasle, comme chez noire
première
malade ; nul doute également que chez elle l'am
t ; il se mord alors le dessus des mains au niveau de la racine des
premières
phalanges (durillons très anciens). Les cris qu'i
des maladies nerveuses. Etat DE la malade LE 18 février 1905. - Au
premier
aspect, on est frappé par une asymétrie très ma
s deux côtés, existe, du côté gauche, un deuxième sillon parallèle au
premier
, surtout appréciable dans la partie inférieure
paralysé avec déviation des traits en sens inverse de la déviation
première
. Exami- née à ce moment, la malade présente :
mplètement ces secousses pen- dant toute sa durée. On pourrait, à
première
vue, prendre pour des tics les contractions de
l-paralytiques de la face, on peut dès à présent envisager les deux
premières
variétés de ces mouvements comme les ébau- ches
ante. Cette interprétation n'est pas une simple vue de l'esprit. En
premier
lieu, l'observation que nous venons de rapporte
constate des tiraille- ments musculaires dirigés respectivement au
premier
point directement en haut, au deuxième point la
traitée électriquement. L'exploration de ces muscles faite pour la
première
fois deux ans après le début de sa paralysie faci
té paralysé avec déviation des Irai en sens inverse de la déviation
première
. Examinée à ce moment, la malade présente : 1
ans ces dernières années. Dans une publication contemporaine de nos
premières
recherches sur ce point, Raymond et Egger (1) sig
longées et peu musclées, un peu grasses au niveau des paumes et des
premières
pha- langes digitales, tandis que l'extrémité d
telligence ni myxoedème. On serait donc tout naturellement tenté au
premier
abord de considérer notre malade comme un type
lmologistes eux aussi étudièrent la question. Michel (4) publia son
premier
travail en 1873.Hirschberg(16) accusa la méningit
lésions étaient manifes- tement de même nature que celles de notre
premier
malade. Parmi les 3 crânes de pagétiques que no
l présentait des déformations énormes, analogues il celles de notre
premier
cas (crâne 7) ; les 4 autres offraient des altéra
fragilité extrême de ces os s'est fait sentir notamment dans notre
première
autopsie où, malgré l'épaisseur énorme des os, le
Dans l'ensemble, les radiographies de bases du crâne apparaissent à
première
vue moins nettes, moins pures, plus floues, plu
ation est parfois extrêmement intense, comme par exemple dans notre
premier
cas et sur le crâne 7, qui sont précisément de
culièrement nette sur le crâne 7 (Pl. LXVI, fig. 2) : et dans notre
première
observation (PI. LXVIII, fig. 2), où l'écaille
que d'une part, le pied-bot tabétique d'autre part et dont nos deux
premiers
malades offrent des types très complets. UN CAS
ére ont observé la xantochromie et la coagulation massive, les deux
premiers
chez deux sujets atteints de méningite sarcomat
nt sous lui dans la station debout. Les douleurs, qui ont fait leur
première
apparition il y a 6 ans, tourmentaient aussi le m
e ascendante ou d'une réaction méningée généralisée. Chez nos deux-
premiers
malades, nous avons porté le diagnostic de méni
trezat el Roger). Les caractères des liquides obtenus chez nos deux
premiers
malades coïncident avec ceux observés par presq
ances albuminoï- des du sang clans le liquide céphalo-rachidien. En
première
ligne c'est l'in- flammation, c'est-à-dire le p
de Froin. Eu effet dans- ce complexus symptomatique, caractérisé en
première
ligne par la coa- gulation massive, Mestrezat a
L'exsudat qui passe par les séreuses enflammées est caractérisé en
première
ligne par l'abon- dance des substances albumino
e par Dieulafoy pour la patho- génie de l'appendicite, considère en
première
ligne comme élément patho- génique la stase du
aphie de la Salpêtrière entre dans sa dix- huitième année. Si ses
premiers
pas ont été rapides, elle n'a garde d'oublier q
articulièrement intéres- sante, la maladie de Friedreich, du nom du
premier
médecin qui l'a dé- crite et qui la considérait
cordons postérieurs de la moelle », et où sont rela- tées les trois
premières
autopsies. L'illustre médecin crut voir dans ce
es anatomiques et cliniques, une affection dont P. Marie a donné la
première
description : l'hérédo-ataxie cérébelleuse. Nou
dans la genèse. 2° Par sa longue incubation. Entre l'accident etles
premiers
symptômes médul- laires, s'écoule une période d
will. Voilà donc notre modeste opinion appuyée par des autorités de
premier
ordre. Outre les prescriptions sur lesquelles
gauche s'étendant en avant à la partie supérieure du pli courbe, au
premier
pli pariéto-temporal à la partie tout à fait po
n, les lunettes, un chapeau, un parapluie. Elle mon- tre bien les 3
premiers
. Pour le parapluie elle dit : c'est un Arifi et
r un changement de forme de notre losange dorso-lombaire, évident à
première
vue. Il devient asymétrique ; ou mieux le quadr
celui qui correspond à la jambe suspendue, au moins dans les trois
premiers
quarts de son mouvement. C'est une nécessité po
ste en effet une sail- lie transversale formée par l'angle des deux
premières
pièces sternales qui se projette en avant. De c
jours beaucoup moins accusés ; ils correspondent aux cartilages des
première
et troisième paires de côtes (Voir PI. IX, A et C
volume de l'Ilisloire de la clairur- gie de Peyrelhe, dont les deux
premiers
volumes ont seuls paru, le 3° est un manus- NOU
Chirurgie^ reproduit ce qui concerne Paré. Remarquons que les deux
premiers
volu- mes de cette histoire ont seuls été publi
e relaté, il est singulièrement édifiant. aré demande à subir son
premier
examen le 18 août 1554. Il est examiné le 24 ao
ard, en1l668, que Félix, ayant acheté de Jean de Réty la 'charge de
premier
barbier et tous les droits qui en dépendent, le
evêque. Le fait suivant est plus démonstratif. Paré raconte dans sa
première
édition qu'on a voulu l'empoisonner parce que :
ême poste près de François II et de Charles IX. Ce dernier le nomma
premier
chirurgien en 1563 ; il conserva cette fonction p
hirurgien ordinaire étaient de deux cent qua- rante livres, ceux de
premier
chirurgien de 800 livres tournois. Un état de l
e à admettre. Et cependant les gens de mon âge, qui ont assisté aux
premiers
travaux de Pasteur, sa- vent qu'alors, des sava
mper, élu évêque de celle ville, il se rendit à Rome. Là il fil son
premier
miracle en guéris- sant un paralytique. Le pape
contre les méfaits des ans, conservera toujours la mémoire d'un des
premiers
protecteurs des « insensés ». Saint DIZIER fut
t être auparavant assuré qu'entre cette manifestation, distincte au
premier
abord et le type déjà décrit, il n'existe pas de
nt mieux que le malade a conscience du mal dont il est atteint. Les
premiers
symptômes ne firent que l'avertir de l'atteinte p
tation et pen- dant la marche ; parfois cependant, on a noté, comme
premiers
phéno- mènes, des douleurs fulgurantes ou non,
grosse scoliose caractéristique, à concavité droite, au niveau des
premières
vertèbres dorsales, sa tête était constam- ment
aison de la multiplicité des systèmes de fibres, moins apparentes à
première
vue. Bien entendu la méthode de Marclii n'est,
de ; dans la seconde, la maladie commence par le cervelet ; dans la
première
, elle débute par la moelle. Mieux encore faudra
de Genève. C'est notre maître M. de Monakow qui nous a donné l'idée
première
de ce travail. Nous nous proposons d'y décrire
tes vacuoles analogues à celles que nous avons' décrites dans notre
premier
cas, mais plus petites, non visibles à l'oeil nu.
mais pourtant moins avancée qu'on ne serait disposé à l'admettre au
premier
abord.Ecrit encore des lettres sensées bien que
ble. Plexus choroïdes. -L'examen des plexus choroïdes aurait pu, au
premier
abord, faire penser à un processus de même ordr
issent pas très supérieures à la normale pour une femme de 1 m. 70.
Première
phalange du gros orteil : longueur : 30 millimètr
d'ailleurs classique de- puis les travaux de Pierre Marie. Mais ce
premier
point admis, deux questions restent à résoudre
an si celle-ci n'était en défaut dans notre observation même où les
premiers
signes d'acromégalie n'ont apparu qu'à 66 ans. Qu
, leur insuf- fisance peut favoriser le développement de la maladie
première
. Ces faits d'acromégalie sans lésion pituitaire
tuellement, l'enfant est petit pour son âge, chétif, intelligent, est
premier
dans sa classe. La teinte cyanotique des tégu
me des signes d'hystérie, notre diagnostic n'est pas douteux. Notre
première
observation se pré- sente comme un cas de dothi
'il souffrait». B... rentre au régiment à la fin de janvier 1903. A
première
inspection, cet homme étant déshabillé, on est
e commence vers la 7e cervicale pour se ter- miner à la hauteur des
premières
lombaires, le maximum de courbure se trouvant v
demi plus tard. Son état était sensiblement le même que lors de son
premier
retour de convalescence. L'épaule est toujours
'octave avec le médius, pendant qu'elles s'élèvent sur la pointe du
premier
orteil chez les danseuses, etc. Dans les form
r est une écriture ataxique forme tré- mulante, comme l'écriture du
premier
comptable ; l'écriture du journalier est une éc
notre confrère de Berlin, M. le professeur Zabludowski, publia son
premier
mémoire dans le Langenhecks journal « sur le trai
muscles iiittros ? eux. situés profondément. Pour les opposants du
premier
et du cinquième doigts, nous faisons les effleura
emples de sco- liose alternante accompagnant la sciatique. L'un des
premiers
a été signalé par Remak (1), à propos d'un homm
un nouveau facteur, mais ne fait que préciser une des modalités du
premier
groupe de faits indiqués par M. Klippel. II V
eu de choses concernant son état de santé avant leur mariage. De sa
première
femme, il n'a pas eu d'enfants. Sa seconde femme
Léri (1). En résumé, de ces trois scléroses postérieures, les deux
premières
ré- pondent à la description classique, schémat
est entrée dans un service de médecine le 30 décembre 1904. A notre
premier
examen nous avons été d'abord frappé de l'aphasie
ent sur l'annulaire. L'attitude de l'index est plus singulière : sa
première
plalange est en ex- tension sur le métacarpe, t
cide à entrer à la Salpêtrière en août 1901. Si nous résumons cette
première
période, nous voyons une asthénie,à début assez
que le deuxième né du même patient souffrait-de la maladie dans ses
premiers
jours de sa vie. Dinkela- ker{8), Strubing (9),
dans la pneumonie franche déterminer les mêmes phénomènes. Notre
première
observation prouve que le b. tiphique peut aussi
étiologie, on dit que l'oe- dème surgit d'une façon idiopathique.La
première
de ces affirmations est d'une acceptation si gé
; il s'agit du trophoedème de Meige en un mot. Cet oedème dans ses
premières
périodes maintient un peu le godet du doigt [Me
me de ces phéno- mènes peut se produire d'une façon indépendante du
premier
. Et l'aug- mentation de la lymphe peut se produ
nstruite et très intelligente, ses qualités l'ont fait appeler à la
première
dignité de son ordre et elle a rempli ces fonctio
e, sa main est trop faible. Peut-être faut-il en chercher l'origine
première
dans la dépression, dans l'asthénie si grande q
hogénie d'ailleurs nous semble pouvoir être invoquée. Lorsque notre
premier
malade nous a dit qu'il avait exercé le métier
fants dont nous allons rapporter les observations et entre les deux
premiers
, une fausse couche de 3 mois. Actuellement c'es
rmales. ' L'aplasie des deux clavicules rend possible chez les deux
premiers
en- fants de nombreux mouvements anormaux qui s
e 2 à 3 ans ; depuis cette époque la santé a toujours été bonne. Sa
première
menstruation date de l'âge de 14 ans ; depuis r
rte de même le traumatisme intra-utérin ou obstétrical. Dans leur
première
communication,MM. Pierre Marie et Sainton avaient
ttHe. xviii 23 346 RABAUD phalie se placent, sans contredit, au
premier
rang. Se présentant avec une fréquence relative
equel ne s'opère pas à la région rachi- dienne la transformation du
premier
versement aqueux du liquide organique ; un être
ent aqueux du liquide organique ; un être qui conserve toujours ses
premières
conditions foetales en ce qui concerne un des p
articulier ; dans les deux cas, cependant, ce processus remonte aux
premières
phases de l'évolution embryonnaire. Dareste dit a
ons provisoires, se rappro- chant en somme de la vérité. CHAPITRE
PREMIER
La morphologie externe et la constitution du sq
xamen. Sans doute, ce caractère n'a pas une impor- tance extrême au
premier
abord; il est cependant intéressant à retenir, au
lein de liquide (PI. XLIV-C). Le second cas est assez comparable au
premier
, quant à son aspect super- ficiel. L'étendue de
première dorsale. Contrairement à ce que l'on pourrait supposer au
premier
abord, la tête ne suit pas nécessairement le mo
caractères observés sont ceux d'une méningite : Nous constatons en
premier
lieu l'épaississement de la pie-mère, la dilata
érences, d'ailleurs, sont beaucoup plus faibles qu'il n'y paTaît au
premier
abord, et tout porte à croire que l'envahisseme
) Structure. Sur une coupe morphologique de la tumeur cérébrale, le
premier
fait frappant, c'est la différence essentielle qu
pileux font généralement défaut. Peut-être serait-il difficile, au
premier
abord, de reconnaître avec certi- tude ces élém
es processus observés dans la moelle ne sont pas de même nature, au
premier
abord, que les processus que nous venons de déc
ropager à la moelle. Divers facteurs interviennent certainement, au
premier
rang desquels se placent des facteurs individue
eudencéphaliens sans acrânie, dont il est question dans le chapitre
premier
, chez lequel la voûte crâ- nienne existe, mais
sont les étages supérieurs qui sont les premiers atteints. Dans notre
premier
cas, nous n'avons relevé aucune trace évidente
tre que les segments supérieurs les moins dégénérés ont disparu les
premiers
parce que, à la dégénérescence est venu s'ajouter
tails. Il faut alors chercher le cylindraxe. Parfois il apparaît du
premier
coup. D'autres fois il faut le chercher au-dessou
de 11 ans, de dilatation cardiaque probablement. 4° Garcon, notre
premier
malade. 5° Garçon, bien portant. Uss . I. Geo
t le type classique de la démarche spasmo- dique. Ce qui domine à
première
vue chez notre malade, c'est l'aspect inerte, h
ive, plutôt médiocre, mais beaucoup moindre qu'on ne le croirait au
premier
abord. C'est la mémoire surtout qui a souffert ch
il, et provoquent une déformation spéciale de la figure qui, déjà à
première
vue, donne l'impression d'une perturbation indé
tuberculose chez les ascendants. Antécédents collatéraux. Les trois
premiers
frères sont morts, l'un à l'âge de deux ans et
si ce sont les membres supérieurs ou inférieurs qui ont faibli les
premiers
. La marche devenait toujours plus difficile, aprè
encore éprouvé des douleurs aux membres inférieurs pendant les deux
premiers
mois qu'il a passés à la maison chez ses parent
es phalanges des quatre derniers doigts sont un peu fléchies sur la
première
. La main est déviée sur le bord cubital de l'avan
e de l'omoplate est mieux conservée. A cause de l'atrophie des deux
premières
por- tions, on observe une dépression sous-clav
ne colère, une hallu- cination, une attaque convulsive; elle est au
premier
abord moindre si la difformité est consécutive
Quant à notre malade elle-même, nous paraissons être en face de sa
première
manifestation hysté- rique. Nous pensons à l'
haussée, s'avancer en n'appuyant que sur le talon, notre impression
première
fut en faveur d'une tuber- culose de l'avant-pi
ernel, dentition facile, a marché à 12 mois, aucune maladie dans sa
première
en- fance. A4 ans 1/2, fièvre typhoïde grave, s
ma- ternel jusqu'à 5 mois, puis l'allaitement eut lieu au biberon :
première
dent à 7 mois, il commença à marcher r1 16 mois
l a de l'écume aux lèvres. Ces crises ont été au nombre de deux, la
première
à l'âge de 6 ans sans cause apparente, la deuxièm
ut la première dent à 6 mois, commença à marcher à 11 mois. Dans sa
première
enfance elle ne fit aucune maladie, ce fut toujou
formité se corrige com- plètement par la suspension cervicale. Au
premier
abord, l'enfant ne paraît pas nerveuse. Elle rit
61 d'un côté, en avant de l'autre côté : or il sautait aux yeux, du
premier
coup, que le thorax était parfaitement symétriq
ion avec celle de la pathogénie. On discute, en effet, sur la cause
première
de ces scolioses hystériques, et il est bien pr
s se pliait de plus en plus à mesure qu'elle traversait la cour. Au
premier
abord, cette théorie semblerait donc convenir à n
été nourrie au sein maternel ; on ne peut avoir aucun détail sur sa
première
enfance. Elle a vécu à Londres jusqu'à l'âge de
occupe d'elle depuis cette époque, ne sait ab- solument rien de ses
premières
années. Durant tout ce temps, elle jouit d'une
très éveillée, les yeux vifs, les regards extrêmement mobiles. Aux
premières
questions qu'on lui pose, elle répond avec viva
organi- ques peuvent subsister alors que la contracture, leur cause
première
, a cessé. Charcot a insisté sur ce fait,que le
même âge, bergère comme elle et comme elle sur le point de faire sa
première
communion. Les deux enfants con- tinuant à se f
ngtemps, car pendant le mois de septembre et octobre-novembre de la
première
année il n'y eut plus de nouveaux cas, mais dès l
d'être désigné une seconde fois pour ramener l'ordre à Morzine. Son
premier
soin fut de faire interdire cette publication d
e des rachitiques. Dans le mémoire de Bonchacourt et Lévi, les deux
premières
radiographies se rapportent à des achondroplasiqu
asse des infections que nous serions tentés de chercher l'étiologie
première
de cette affection, et cette hypothèse nous par
t une affection essentiellement sclérosante, sera souvent la» cause
première
, mais la tuberculose, l'alcoolisme, et toute autr
e ces cellules ? s'agit-il d'un vice de développement remontant aux
premières
phases de la période embryon- naire ? Nous l'ig
bitude^ne^légère flexion de l'avant-bras et l'extension complète du
premier
de ces segments n'est=pas possible. Voici quelq
aractéristique de cette dystrophie. Ce symptôme n'a pas échappé aux
premiers
observa- teurs qui ont eu l'occasion de voir ce
eurs doigts est à peu près égale et les doigts rapprochés par leurs
premières
phalanges s'éloignent par les autres en formant
le professeur Obregia qui a vu avec l'un de nous le malade de notre
première
observation il y a un an. M. Obregia en comparant
rer cette dernière comme une dystrophie diamétralement opposée à la
première
. Et si l'on se donne la peine d'analyser un peu l
oigt présente seulement l'extrémité articulaire métacarpienne de la
première
phalange car il a été réséqué par le chirurgien.
ifs à des altérations du sys- tème nerveux. Je crois que les deux
premières
théories contiennent leur part de vé- rité. Je
rme est encore modifiable : cela est seulement possible pendant les
premières
périodes du développement lorsque les cellules so
lète des phénomènes observés nous sera facile,si nous remontons aux
premières
périodes du développement de l'embryon. Nous sa
elon Bnl'khardt, une consé- quence du défaut de développement de ce
premier
rayon. Mais l'obser- vation que le gros orteil
influence sur les déplacements des os qu'on ob- serve dans les deux
premiers
segments du membre et qui ont produit l'espèce
e postérieure, les interosseux sont tous atrophiés, surtout ceux du
premier
espace ; à la face palmaire l'atrophie est égalem
ans succès, et que moi-même j'ai traité d'une manière intensive mpn
premier
malade sans enrayer chez lui l'évolution de son
re les diverses particularités mor- phologiques relevées dans notre
premier
chapitre. L'étude des moelles où le processus e
r chapitre. L'étude des moelles où le processus en est encore à ses
premières
phases montre que l'inflammation, strictement l
aru. Ces variations tiennent à diverses causes. On serait tenté, au
premier
abord, de les attribuer à l'âge du foetus et de
nt à intervalles rapprochés, sans régularité. Laulaigne (1), qui le
premier
a mis ces faits en lumière, en tirait un élément
ce processus général. Les différences, parfois si considérables au
premier
abord, tiennent à l'état d'ossification de la v
us forme d'une lame plus ou moins large. Les cas qui paraissent à
première
vue les plus embarrassants sont ceux où toute l
st le cas du crâne que nous avons figuré et décrit dans le chapitre
premier
(fig. 6). Mais l'éclatement peut intéresser une
médecine, et il y réussit si bien sous la discipline d'Euphrosyne,
premier
médecin de l'empereur Maximien, que ce prince,
e le chirurgien. La malformation osseuse peut être observée dès ses
premières
phases d'évolution, aussi a-t-elle été minutieu
bien conformé, et qui a toujours joui d'une bonne santé. Dans sa
première
enfance, P... a été élevé au biberon jusqu'à l'âg
aut noter également la déformation des extrémités inférieu- res des
premières
phalanges, particulièrement sur la main gauche.
tte influence doit être plus fréquente qu'on ne peut le supposer au
premier
abord, car dans la plupart des cas relatés, les
es, que j'ai pu observer au cours de ma pratique médicale. Un des
premiers
à signaler l'affection en question fut, selon Pon
a seconde fois depuis 1897, il a de ce second mariage un enfant. Sa
première
femme cardiaque, est décédée en accouchant d'un e
sque le cours d'un fleuve est barré, c'est près de l'obstacle qu'en
premier
lieu il déborde. Dans notre observation c'est san
ine continuer à se différencier en l'absence du cerveau. Surcette
première
période du développement,l'étude des pseudencépha
pouvant laisser croire à l'existence d'une désintégration morbide. Ce
premier
ensemble de faits ne témoigne donc pas d'une pe
d'une action directe. Cependant quelques dispositions semblent, au
premier
abord, résulter d'une action trophique. - C'e
arrêt de croissance se produit nécessairement dès l'apparition des
premiers
phénomènes inflammatoires qui apportent un troubl
ons histologiques sont précises sur ces divers points. Ce qui, au
premier
abord, peut surprendre un esprit prévenu, c'est q
par ordre de dates, de ses compositions gravées, celle surtout des
premiers
tirages, avant retouches, où les demi-teintes son
vergent de l'oeil gauche, qui est à peu près perdu. Cinq ans après,
premiers
signes de déran- gement mental, puis paralysie
qui a une soeur aliénée, a toujours été bizarre, peu intelligent :
premier
accès de manie vers l'âge de trente ans. L'accè
et de Maragliano, médecins du manicome de Reggio, publièrent leurs
premières
recherches expéri- mentales sur les centres psy
sur les centres de la vision et de l'audition. Les résultats de ces
premières
expériences s'accordaient en partie avec ceux d
ent : il va lentement, avec précaution, et se heurte du museau au
premier
obstacle. Enfin, en quoi consiste cette cé- cit
ce ? Quelle est la nature des centres visuels de l'écorce ? 1. Au
premier
abord, et si l'on considère comme faisant parti
uxième circonvolution externe du chien, mais aussi une partie de la
première
et de la troisième, comme le centre cortical de l
cien. Audition. Lorsque Luciani et Tamburini entre- prirent leurs
premières
recherches expérimentales sur le centre cortica
(et sans doute au delà de ces limites), et, chez le singe, sur les
première
et ' l'lie Funclions of the 73nain, 2* édit. 46
se ; mais elle permettrait de comprendre pourquoi Ferrier, dans ses
premières
expériences, fut conduit à admettre que l'actio
ntraire, puisqu'il en résulte que les tissus hypérémiés rouges au
premier
degré qui, selon M. Dubois, d'Amiens, n'est aut
La pression subsistante condense les couches placées au-dessous des
premières
, mais elle éprouve de leur part une nouvelle ré
rience I (10 juillet 1886). Chien pesant 11 kilogrammes. A 9 h. 24,
première
immersion; 29 brasses de profondeur, vingt- cin
ir. Un cinquième et grand infarctus hémorrhagique occupe les deux
premières
circonvolutions frontales gauches, auxquelles cor
Il (6 juillet 1886). Chien pesant 8 kil. 350. A 9 heures du matin,
première
immersion; 28 brasses de profon- deur ; une dem
xpérience III (8 juillet 1886). Chien pesant 9 kil. .00. A 10 h. 5,
première
immersion, 25 brasses de profondeur ; une heure
Expérience IV (6 juillet 1886). - Chien 7 kilogrammes. A 11 h. 30,
première
immersion, 23 brasses de profondeur, 1 h. 30 de
de même poids que celui de l'expérience IV, 7 kil. 50. A 10 heures,
première
immersion; 23 brasses de profondeur; une heure
juillet 1880). - Chien pesant 9 kilogrammes. A 10 heures du matin,
première
immersion; 32 brasses de profon- deur ; une dem
nel, qui le garda six semaines, là il eut de grandes crises pour la
première
fois, crises qu'un médecin aurait qualifiées d'ép
pour s'excuser, dit que c'est par crainte qu'il n'a pas dénoncé la
première
tentative, l'infirmier menaçant les enfants de le
e 25 centimètres environ. On fait une contre-ouverture au niveau du
premier
, mais on ne peut le faire pour le second, qu'on
ur ce point, MM. les prs Vergely et Picot (de Bordeaux) ont été des
premiers
à se servir de cette méthode. MM. Abadie, Darie
e doit être placée en dehors. Il est parfois nécessaire, lors des
premières
séances, chez les individus sensibles, trop gro
ête en place. Il reste encore à placer les pièces des aisselles; au
premier
abord, elles pourraient sembler de peu d'import
tiqué des sections longitudinales de même profondeur le long de la
première
circonvolution occipitale ou de la circonvolution
ur englobait les filets émanés de la queue de cheval, au-dessous du
premier
trou sacré, après l'émission des racines du ple
SOCIÉTÉS SAVANTES. 155 étendu de l'hémisphère cérébral droit qui, à
première
vue, portait sur les ascendants l'insula et la
s, et sur les moyens de lutter contre elle, par M. Dimitri Drill. -
Première
partie : La Psychologie de la cri- minalité, 25
Nous allons résumer rapidement les six chapitres qui composent ce
premier
volume.. ... BIBLIOGRAPHIE 161 Le premer chap
iculier avec les fonctions de la cellule nerveuse. Là finit cette
première
partie du travail entrepris par M. Drill sur le
ent grimper au moyen des colonnes, ou accéder par les fenêtres du
premier
élage, de là, gagner les murs d'enceinte et se la
liter la surveillance et éviter les rixes au moment des repas. Au
premier
étage, il existe sur le palier une chambre d'isol
eçoivent. (The. joitri ? . of. ment, se., janv. 1889.) Ouverture nu
premier
asile d'aliénés en Grèce. - Il n'y a pas encore
llèle à la surface des cironvolutions, le second perpendiculaire au
premier
. Dans le pre- mier plan, les couches sont étagé
blanche offre des lésions de désintégration. Sur le milieu de cette
première
frontale gauche, la substance blanche a le même
qui gagnent la substance blanche, comprennent en général les trois
premières
couches de l'écorce. On les trouve dans la plup
al qui laisse sur le front une profonde cicatrice; trois ans après,
première
attaque d'épilepsie. L'intelligence s'af- faibl
délire ; gravement malade pendant six semaines. Peu de temps après,
première
attaque d'épilepsie, puis démence. VI. Dans l
certains moments de lucidité elative, expliquent l'apparition des
premiers
accidents par une chute sur la tête, que cet offi
qui admettent une étiologie complexe où la profondeur est un des
premiers
éléments étiologiques ; nous citerons spécia- l
décompres- sion, le nombre des immersions (c'est à la suite de la
première
immersion que l'accident est survenu), le refro
tes dans l'espèce : Expérience VII (2 mars 1885). Pirée. - Chien.
Première
immer- sion à 8 heures, 18 brasses de profondeu
ion 40 secondes. Pas d'accident. Expérience VIII (2 mars). Chien.
Première
immersion à 8 h. 30 m., 18 brasses de profondeu
ssion 50 secondes. Aucun accident. EXPÉRIENCE IX (2 mars). - Chien.
Première
immersion, 9 heures, profondeur 20 brasses; séj
ression 1 minute. Aucun accident. Expérience X (2 mars). - Chienne.
Première
immersion 10 heu- res, profondeur 21 brasses; s
pression 1 minute. Pas d'accident. Expérience XI (2 mars). - Chien.
Première
immersion 10 h. 35 m., profondeur 23 brasses; d
ison complète. , EXPÉRIENCE XIII. - Chier : de l'expérience VIII.
Première
im- mersion à 1 I h. 45 m.; profondeur de 19 br
disparu à 2 h. 15 m.. · Expérience XIV. -Chien de l'expérience IX.
Première
immer- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDR
s d'hémorrhagie. Expérience XV (4 mars). Chienne de l'expérience X.
Première
immersion à 8 heures du matin, profondeur 21 br
es taches hémorrhagiques. Expérience XVI. Chien de l'expérience Xi.
Première
immer- sion il 11 heures. Profondeur de 23 bras
e cette observation étant descendu quatre fois avant l'immersion du
premier
accident et trois fois avant celle du second, l
e cause, le nombre des immersions successives. En effet, les deux
premiers
sont arrivés à la suite de la septième immer- s
t levé ayant la voix rauque et toussant. A dix heures, il fait sa
première
immersion dont il a été affecté. Accident de /'
ession étant égaux en durée et parce que c'était à la suite de la
première
immersion que l'accident était arrivé. Si l'on
ue ce n'est pas la seule cause. Il nous faut donc analyser les deux
premiers
acci- dents, qui ont été produits par l'action
t (après une année de travail sous-marin sans accident), il fait sa
première
immersion à la profondeur de 23 brasses, 12 min
il y a des cas ou l'altération de l'activité mentale, du moins le
premier
grade de cette attération, précède l'opération. M
uit cette communication, l'intervention d'un magistrat, M. Barbier,
premier
président de la Cour de cassation, qui regiette
s, qui aura lieu chaque année dans une ville différente, tiendra sa
première
session l'année prochaine ci Rouen. SOCIÉTÉS
barras ? Comment être surpris que les commissions fassent passer en
première
ligne leurs malades, que, par exemple, l'espace d
à tout le champ visuel. La crise a été moins longue que les deux
premières
, elle n'a duré qu'une quinzaine de minutes. Le
vec beaucoup de netteté, de sorte que nous avions pu penser, à un
premier
examen, qu'elle n'était atteinte que de mi- gra
e , mère nerveuse, quatre frères et soeurs mortes de convulsions.
Premières
convulsions à six mois, secondes à neuf; puis con
- Beno..., né le 3 mai 1873, mort le 12 février 1884. A quatre ans,
premiers
vertiges, accès d'épilepsie à cinq ans, gâtisme
ise est prise en nappe, toujours au même point, au niveau des trois
premières
couches et présente à ce niveau trois ordres de
ommé Maisonh., 1868-1885, hérédité alcoolique et nerveuse, a eu ses
premières
convulsions à deux ans. Elles étaient limitées
ons à deux ans. Elles étaient limitées au côté gauche. A douze ans,
premières
attaques d'épilepsie, elles avaient ce caractèr
tissu scléreux par plaques dans la même région ne sont que les deux
premiers
degrés de l'altération. Sur d'autres points, en
ans, épilepsie tardive. Coupes du para, central gauche. - Les trois
premières
couches de l'écorce sont partout envahies et mo
d'une des circonvolutions frontales du côté gauche. Les lésions des
premières
couches de l'écorce sont comparables, mais beau
rompant l'ordonnance des séries longitudinales et prenant les trois
premières
couches. Elles ne sont pas au contact les unes
cas suivant, il s'agit d'un enfant de trois ans, Porte ? atteint de
premières
convulsions à trois mois. Parole et démarche nu
nt rameux, anastomosés, et remanient complètement le plan des trois
premières
couches de l'écorce, qui ne sont plus reconnaissa
tervenir. Puisque Luciani et Tamburini se sont placés, dans ce
premier
mémoire, sur le terrain anatomique pour édifier
et du sens muscu- laire. Hitzig, on le sait, n'était pas arrivé du
premier
coup à cette dernière interprétation. Le profes
cris de un à cinq mois. Convulsions internes ci trois se- maines. -
Premières
dents à huit mois; marche à un an ; blésilé, fi
près un étourdissement et accom- pagnée d'hallucinations de la vue.
Première
attaque à quatorze ' ans et demi. Etourdissemen
rtes, de dix à quinze minutes au plus. Jamais d'autres convulsions.
Première
dent vers sept ou huit mois, puis elles ont pou
ité assez grande de tissu cellulaire sous-cutané. C'est pourquoi au
premier
coup d'oeil l'idée se présente qu'on se trouve
que je me permette de le décrire en détail. Relativement aux quatre
premiers
cas, je ferai remarquer seulement que chez le g
lade; sa mère était épileptique. Notre malade était fille unique du
premier
mariage de sa mère. Dans son enfance, la malade
cause une grave lésion cranio-cérébrale avec perte de substance. Ce
premier
cas se rattache donc de la façon la plus nette
ie survenir sous l'influence du poison saturnin, à l'occasion de sa
première
colique de plomb. Cette observation semble donc
63 centimètres carrés), à trois étages du torse thoraco-spinal, la
première
à une partie quelconque des vertèbres cervicales
dropisie de la gaine à l'extrémité du nerf optique a produit les
premiers
troubles de circulation générateurs des altératio
vait vue jus- qu'àlorsd'une couronne rayonnante, de la corned'Ammon(
premiers
linéaments), d'une voûte à trois piliers. Che
e tout momentané; la même opération dans un plan bien postérieur au
premier
déter- mine une brutale et impétueuse agilalion
tocotpuGililé de l'ivrognerie et de perte de la rai- son. L'article
premier
du paragraphe en question exempte de la respons
nt rameux, anastomosés, et remanient complètement le plan des tiois
premières
couches de l'écorce, qui ne sont plus reconnaissa
FELix ALCAN ÉDITEUR 108, Boulevard Saint-Germain, 108. 1897
PREMIÈRE
PARTIE. Histoire du Service pendant l'année 189
I. Enfants idiots gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. - Ce
premier
groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
mise géné- reusement à notre disposition. Elle est aidée par une
première
infirmière, \I ? Cordonnier, qui a également la
nts lisent couramment, font des dictées, des exercices, et les deux
premières
opérations. VIIr Petite école complémentaire.
e École). - La population de cette école était de '21-'1 enfants au
premier
janvier. Tous, sauf 10 qui ne peuvent travaille
n de leur maître dévoué, M. Goy, à deux concours de gymnastique. Au
premier
de ces concours, orga- nisé par la ville de Vit
te- rendu. Améliorations diverses. Le traitement de M. Mesnard,
premier
instituteur chargé de la direction et de la sur
s et Bohain, surveillantes; - Zip", Beaumnnt, suppléante ; - deux
premières
infirmières : Mllos Iluguet et Pac- cluclct et
xigeant un lavage quotidien du parquet mal jointoyé, non hourdé, du
premier
étage, il en résulte des infiltrations d'eau to
que. grade le 1 ? mai. M"0 Raymond (Suzanne), si ans de services,
première
infirmière depuis 2 ans, a été nom- mée suppléa
ns-nous, du zèle et du dévouement du personnel. C'est à lui et en
premier
lieu à la surveillante, M"" Lanclet que nous de
s, avec des annexes analogues ; z en face l'escalier qui conduit au
premier
étage. La disposition de cet escalier n'est nul
qui donnent sur le vestibule du rez-de-chaussée et le palier clu
premier
étage. Mais les vitres des fenêtres sont démesu
a nais- sance, soit il des affections pathologiques surtout de la
première
enfance (le la naissance il 7 ans, moins souven
s enfants n'ont aucune conscience du danger, et comme les idiots du
premier
degré, ont des tics très variés, sont destructe
es imperfections intellectuelles. Les enfants atteints d'idiotie au
premier
et au second degré, les enfants affectés d'imbé
ans. « Le privilège singulièrement paradoxal, dont jouissent les
premiers
de ces médecins vis-a-vis des seconds ne laisse p
genou droit. - Brûlure de la main gauche à neuf ans et, peu après,
premier
panaris analgésique. - A qua- torze ans, second
ré- tend-on. C'est là qu'il a eu, il treize ans (janvier 1888), son
premier
panaris siégeant à l'index gauche. Voici d'aprè
rcices de lecture, mais ne sait pas lire couramment, fait les trois
premières
opérations, commence à faire la division, mais
e des impressions maternelles, nous devons rappeler que, dans les
premiers
mois de la grossesse, la mère a été vivement frap
ulsions, probablement symptomatiques d'une sclérose cérébrale, le
premier
groupe' d'accidents pathologiques observés chez B
aire du cordon. - Allaite- ment au biberon avec du lait de vache. -
Première
dent à 18 mois ; actuellement la dentition n'es
ion des apophyses épineuses des dernières vertè- bres cervicales et
premières
dorsales est très douloureuse et l'enfant pouss
En avant, on trouve sur les circonvolutions frontale ascendante et
première
fron- tale, des lésions de pachyménirtgite, qui
ont débuté le troisième jour de la vie. III. C'est à la fin delà
première
semaine qu'on aurait constaté la cécité absolue
ation : pouls petit, battements du coeur à 112 ; souffle intense au
premier
temps à la base; cyanose des lèvres, de la lang
2 ans. - Peurs à 3 ans. Hernie inguinale à la naissance disparue.
Première
dent à 7 mois ( ? ). Dentition complète à 4 ans
Fa. Ceci joint aux deux plis antérieurs avec F, lui fait perdre au
premier
abord son autonomie. Quant à SOI-1 tiers postér
- Plusieurs frères et soeurs, convulsions. Cyanose à la naissance.
Premières
convulsions sous formé d'état de mal à 5 ans au
e l'a nourri jusqu'à 15 mois ; c'est vers 13 mois qu'ont paru les
premières
dents. D... commencé à parler à 15 mois; 11 n'a
Membres inférieurs. Le membre droit, moins développé que l'autre à
première
vue, est très légèrement fléchi, le pied n'est
upart des vertiges doivent avoir échappé à l'observation. (2) Cette
première
partie de l'observation a été déjà publiée dans l
re inférieur. 10 i HÉMIPLÉGIE DROITE : SQUELETTE. W Pour les sept
premières
côtes, les mensurations ont été prises depuis l
ez espacées. Dents temporaires en voie de remplacement. Les quatres
premières
molaires permanentes existent. Poids et taill
de méningite. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 12 ans.
Première
dent à 7 mois, dentition complète et début de la
1 j ? . - Début de la marche à 18 mois, de la propreté à 8 mois.
Premières
convulsions a 11 mois : durée 29 heures. -Seconde
chute d'une pièce d'acier, alors que sa femme était déjà enceinte (
premier
mois) de notre malade. - [Père, 70 ans, forgero
t deux mois, puis au bibe- ron (lait de vache) ; sevrage à 18 mois.
Première
dent à 7 mois, dentition complète à 2 ans et de
tout le corps. Il s'est produit deux états de mai convulsifs. Le
premier
a duré 24 heures, le second qui a eu lieu deux jo
face, douleurs de tête, vomissements bilieux, etc. Pendant les huit
premiers
mois du séjour de Pern... à la Fondation, il ne
e corps thyroïde d'origine anglaise; j'ai donné à divers enfants du
premier
tige, atteints de myxoedème congénital, un quar
atrième mois de la grossesse. - Apparence normale à la naissance.
Première
dent à 8 mois. Gâtisme. - Ne marche pas seule.
très lente. - Croûtes du cuir che- velu depuis l'âge de 10 mois. -
Premiers
symptômes de cachexie pachydermique à 8 mois.
a élevée au biberon avec du lait de vache. On croit qu'elle a eu sa
première
dent à 8 mois. La dentition est loin, encore, d
re prendre la tempéra- ture rectale de nos malades pendant les cinq
premiers
jours de leur entrée afin de nous assurer qu'el
ement de la croissance qui a offert la progres- sion suivante : '
Premier
traitement. 160 Idiotie ITXORDI : IfATBUS1; : c
ïde, nanisme, etc. - Etat de la malade à la fin de décembre 189 ?
Premier
traitement par la médication thyroïdienne : 18
dormi beaucoup et n'a jamais eu de convulsions ni d'accès de cris.
Première
dent il 8 mois. Elle n'aurait eu aucune maladie
ses côtes. Voici les températures rectales de Kr... durant les 10
premiers
jours de son admission : Médication thyroïdienn
ans le poids et la taille sont résumés dans le tableau ci-après :
Premier
traitement. MÉDICATION THYROÏDIENNE. 175 t76
solue et rela- tive, dans le sang des m5-xcedémateux et qu'un des
premiers
effets du traitement soit de le relever. Masoin
ait de chèvre), parce qu'elle n'avait pas assez de lait. Il a eu sa
première
dent à un an; on ne sait à quel âge la première
tte, son père refuse, il se sauve et va en louer une. En février,
première
crise nerveuse : l'enfant était en train de déj
st bien développée. On ne peut préciser la date de l'apparition des
premières
dents, maisonassurccladentition a été précoce (
P.A., pariétale ascendante. P.P.I., pli pariétal inférieur. T1,
première
temporale. L.O., lobe occipital. Fig. 2. - Fa
C.C., corps calleux. C.C.C., circonvolution du corps calleux. r,
première
circonvolution frontale. L.P., lobe paracentral
pariétale ascendante. P.I., pli pariétal inférieur. Tl, T2, T-1,
première
, seconde et troisième circonvolutions temporale
o-encéphalite. Face interne de l'hémisphère droit (p. l '26¡, Fi,
premiers
circonvolution frontal ? C.C.C., circonvolution
ion du lobule paracentral est de date assez récente. Les observations
premières
, par le fait de complications multiples, n'avaien
ux, t. II, p. 372, De l'épilepsie partielle d'origine syphilitique.
premier
rang comme fréquence. La tuberculose localisée ne
ez cette malade, à cause du petit accident qui avait interrompu notre
première
série d'expériences. Notre seconde malade, la n
e, que nous avons vu provoquer des hallucinations gaies chez nos deux
premières
femmes, produisait une vive terreur chez la trois
t pendant chaque attaque que par une mimique assez animée. Dans son
premier
récit, le champ de manœuvre couvert de gazon, au
t nous signalions à l'instant les points faibles ou défectueux. Nos
premières
investigations ont porté sur une jeune fille de v
nt par deux états que M. Azam a désignés sous les noms de « condition
première
» et « condition seconde ». Dans son état normal
remière » et « condition seconde ». Dans son état normal ou condition
première
, la malade est grave et travailleuse. Tout à coup
able, une sorte de torpeur la reprend, et elle revient à sa condition
première
. Dans cet état elle a oublié tout ce qui s'est pa
acha l'écharpe blanche qu'il portait au bras (il venait de faire sa
première
communion) et lui causa une vive frayeur. A parti
lissement des règles et sous l'influence d'une émotion qu'elle eut sa
première
attaque d'hystérie. Elle était rentrée un peu t
lie par Georges Guinon (Progrès Médical, 1890, n° 36). Observation du
premier
malade, le nommé B... aboutir l'ingérence du pu
e malade nous à fait voir ici et dont il sera parlé plus bas. Dans sa
première
crise, il voyait des voleurs, appelait au secours
ne grande crainte de tomber malade, comme sa sœur). (1) Toute cette
première
partie de l'observation de Sch...er nous a été ob
barres aux t.. On n'a alors qu'à faire coïncider exactement les deux
premières
feuilles avec la troisième, on voit qu'une barre
lettre non accentuée, à un t non barré sur l'une ou l'autre des deux
premières
. Cette épreuve est tout ce qu'on peut imaginer de
ux fig. 1 et 2 : un point à la fin du titre ; une virgule à la fin du
premier
vers ; point et virgule à la fin du 2e ; point â
e, comme avant le sommeil ; l'anesthésie est passée à gauche. Cette
première
expérience, pour n'avoir été ni bien longue ni bi
e, irrégulière. De plus, on y remarque quelques fautes ou erreurs. Au
premier
vers il est écrit: .... parmi les arbres ; l'm qu
différente, comme on le voit. De plus, les fautes n'existent plus. Au
premier
vers, il y a m arbres au lieu de arbres, à l'avan
malade prend la plume et, délibérément, sans hésitation, numérote sa
première
feuille : 13 et au haut de la page il écrit le de
tention sur ce sujet. Il prend la plume, numérote sans hésitation son
premier
feuillet: 21,en traçant comme toujours en haut le
ons eu si souvent l'occasion de citer au cours de ce travail. Chez sa
première
malade (1860), il note que « les déterminations e
re des somnambules hystériques-M. Mesnet l'avait déjà notée. Dans son
premier
mémoire, il écrit, à propos de sa malade, « que l
nt le milieu entre les deux précédentes. Mais, de même que les deux
premières
peuvent ou bien s'isoler complètement, comme il a
deuxième groupe de cas, alternance de deux personnalités, diffère du
premier
en ce que, après l'apparition de la deuxième pers
qui s'est maintenue pendant un temps plus ou moins long, la personne
première
, normale, reparaît, pour faire place plus tard à
occuperont ici. A vrai dire, la distinction qui les sépare de ceux du
premier
estun peu artificielle. A l'époque où la deuxième
différence commence seulement avec la réapparition de la personnalité
première
. Or, à un moment donné de l'évolution, avant cett
disparaître complètement. Nous retombons à ce moment dans les cas du
premier
type. Mais, revenons maintenant au somnambulism
seconde, état B) se substitue à l'état prime (état normal, condition
première
, état A), le sujet garde toujours quelques notion
; dans son état nouveau, ellene saitquece qu'elle a appris depuis son
premier
sommeil. Si une personne lui est présentée dans u
dant conscient et répond à toutes les questions qu'on lui pose. Cette
première
phase dure dix à quinze minutes et l'auteur a con
triques. Il se souvient très bien de ce qui s'est passé dans les deux
premières
phases,mais non dans la phase cataleptique... Il
e nerveuse. L'histoire de sa vie est assez caractéristique. Dans sa
première
enfance, à la suite d'une peur violente occasionn
e vigilambulisme ou dédoublement hystérique de la personnalité. Cette
première
attuquo dure trois mois consécutifs avec des reto
s fut incapable de boire ; un second accès l'a rendue à son existence
première
, mais, en même temps qu'il lui faisait perdre le
igé, de temps en temps, d'intervenir et de la ramener à son existence
première
; celle-ci ne dure pas, en général, plus d'une he
t facilement provoquer les deux états. Il la place dans l'existence
première
par l'hypnotisme en lui (1) Verriest. — Gongr.
que la deuxième partie de son séjour à Bonneval (non paralysé) et son
premier
séjour à Bicêtre (1884). Tous ces états, et j'e
ndant il sait bien marcher et même monter à cheval et conduire. Cette
première
crise dure vingt jours. Puis tout cesse et l'enfa
est à l'émotion ressentie alors qu'elle attribue le développement des
premiers
accidents. Ce furent d'abord des attaques de ne
ffet aucune notion de la vie antérieure, autrement dit de la personne
première
. La malade connaît, on l'a vu, le nom de son père
gissements de notre pseudo-docteur, qui fut, inutile de le dire, à sa
première
apparition dans l'hôpital, mis à la porte avec to
normal), antérieure à 1884-1885. Suivant le plan adopté pour notre
première
malade, commençons par étudier l'état B. 1° Eta
es dimensions. On peut même transporter par ordre dans la condition
première
des suggestions faites dans le vigilambulisme, co
s ces dernières, l'état second à l'état prime. Dans cette condition
première
, elle ne sait plus ni lire, ni écrire, ni compter
nces existant dans les paroles de la malade qui, ramenée en condition
première
, dit tantôt être en 1884 et tantôt en 1885. Puis,
estes de l'autre. Peu importe que la seconde ait connaissance de la
première
ou non. M. Pitres (de Bordeaux), qui considère l'
igilambulisme. A côté de ces phénomènes grossiers et remarquables à
première
vue, il en est d'autres qu'il faut chercher et qu
du diabète avec le tabès, s'exprimait en ces termes : « A côté de ce
premier
groupe (glycosurie tabétique) il convient d'en pl
que, le malade a été soumis au régime et au traitement. Dans les deux
premiers
mois la glycosurie a diminué alors que les manife
hémorrhagies rétiniennes; 5° l'atrophie du nerf optique. Les quatre
premiers
n'existent pas chez notre malade. Quant à l'atrop
terminée, douloureuse, s Aux mains, l'engourdissement occupe les deux
premières
phalanges des doigts. Enfin il accuse une sensati
. I, p. 589). « Sans doute, dit-il, il est difficile d'admettre, au
premier
aspect, que beaucoup d'arrêts de développement, q
question serait résolue en faveur du pseudo-tabes. A côté de cette
première
catégorie de signes communs aux deux maladies dia
bles dans le tabès comme dans le diabète leur donne une importance de
premier
ordre. Appartiennent à l'ataxie locomotrice progr
èle que nous venons de tracer peut donc permettre de répondre à celte
première
question : Etant donné un diabétique chez lequel
de nous (Oppenheim. Reumont, Fischer). Ils ont donc une importance de
premier
ordre et ils doivent toujours être recherchés. Da
s symptômes, presque pathogno-moniques — nous voulons parler des deux
premiers
— sont absents, de fortes probabilités s'ensuiven
protubérance, que de sa face postéro-supérieure. On aperçoit, uni au
premier
nodule que nous venons de citer, un autre noyau q
qui nous ont semblé dignes d'être notées. On suivra aisément cette
première
partie de notre description sur les figures que n
pe faite au-dessus, ce seeond tubercule situé en avant et à droite du
premier
{Fig. 15) a un demi-centimètre de diamètre, ce de
doigts de chaque main. Ceux-ci sont volumineux, surtout au niveau des
premières
phalanges. Les masses musculaires sont très fer
le même état qu'en 1889. Quant aux jambes, on serait fort tenté au
premier
abord de croire qu'il y existe aussi de la pseudo
n considération, surtout dans les cas difficiles. Il est certain qu'à
première
vue, si le malade ne porte pas sur sa face le cac
çon indiscutable. Si, au contraire, on interroge des épileptiques, au
premier
abord, c'est le contraire qui paraît la règle : l
il droit, congénital. Début à 14 ans, au moment de l'apparition des
premières
règles. Accès caractéristique, de fréquence var
ible. Mère et une sœur mortes phthisiques. Début à 7 ans. Jusqu'aux
premières
règles (13 ans) accès nocturnes, précédés de gran
ents infligés par son père en état d'ivresse) suivie immédiatement du
premier
accès. Depuis lors, accès tous les mois ou tous l
stic quelquefois difficile néanmoins. Mais dans les cas insolubles au
premier
examen il reste toujours les preuves tirées de l'
Charlotte, 20 ans. Début à l'âge de 14 ans, après l'apparition des
premières
règles. Accès au début quotidiens, actuellement
ela arrive le plus souvent dans l'hystérie. En tous cas, dans cette
première
série, on ne rencontre aucun des autres phénomène
lades, qui l'ignorent rarement ou qui en rendent facilement compte au
premier
interrogatoire du médecin. Dans l'épilepsie, au c
un homme buveur et joueur qui la battait. Début à l'âge de 20 ans.
Premier
accès développé à l'occasion d'une attaque à main
1 » 1 Peur ? S » 1 I ¦ » 1 Émotion. § Vue de sa mère. 1
Première
communion. I Vue d'un accès épilep. 1 » 1 i Contr
ne sont point en réalité comparables, bien qu'elles se ressemblent à
première
vue. Nous nous contenterons donc de mentionner le
cette liste prête et il choisit tout de suite, parmi les cas jugés à
première
vue les plus intéressants, un certain nombre de m
ique se rattachent in- timement divers services annexes qui sont de
première
nécessité au point de vue clinique et thérapeutiq
souvent sur eux, au point de vue du diagnostic, des renseignements de
première
importance. Les paralysies faciales, les surdités
a toux hystérique, d'ailleurs, représente un type fondamental dans ce
premier
groupe. Les autres bruits sont, au contraire, ins
soit hystériques, soit appartenant à la maladie des tics, figurent au
premier
rang parmi ceux qui le plus facilement se transme
omb, il y a un an environ, mais il en a été complètement guéri. Cette
première
attaque ne s'est d'ailleurs accompagnée d'aucun a
il survient du mutisme. Le malade dit ne pas avoir de souvenir de ces
premières
attaques, mais depuis il a eu fréquemment des att
peine le temps de se vêtir, pour descendre se livrer dans la rue au
premier
venu. Elle voit son complice, entend la voix de
. Elle a souffert la passion, dit-elle en parlant de ses obsessions
premières
; elle fut « dolorosa », mais elle a été « sacr
ent le traitement correctif mais quasi-spécifique de l'ataxie. La
première
opinion dénote une connaissance par trop stiperfi
elle de la question, la seconde ne tient compte que des débuts, des
premières
tentatives de la rééducation, dont elle ignore
nçaise. Le professeur Raymond, en effet, après avoir constaté les
premiers
succès dus à cette méthode, comprit de bonne heur
ion spéciale. Cette notion de suppléance est donc, elle aussi, de
première
importance en matière de rééducation motrice. L
, se rapportant aux mouvements plus complexes ou à l'adaptation des
premières
à un but déterminé, ne sont obtenues que par l'
trepris par le professeur Leyden à une époque bien antérieure à ses
premières
publications. Dans les gym- nases suédois, les
ces vraiment conformes à la physiologie, enfin une erreur grave des
premiers
rééducateurs venait cer- tainement de l'uniform
e du corps humain au repos ou pendant la marche. Les exercices du
premier
genre consisteront en mouve- ments essentiellem
continue que par poussées successives. Or,' ces notions sont ici de
première
importance. Quand un tabès est en voie d'évolut
ances de succès que l'on peut entreprendrela rééducation : lors des
premières
applications de la méthode, ce n'était pas une
es derniers, s'ils sont incor- rects, compromettent le bénéfice des
premiers
et créent de mauvaises habitudes, autant, dans
s le premier cas, il y a rétrocession du processus pendant les deux
premières
années, ce qui parait une indication pronostiqu
e côté que du côté opposé. S'il existe du myosis, on peut croire au
premier
degré d'une lésion qui irrite celle des cellule
econd cas, un hématome nerveux en même temps que l'appari- tion des
premiers
troubles peut faire penser à des phénomènes de
gélatine à i p. 100. Une amélioration indéniable ayant suivi cette
première
injection, on en pratiqua autres à un ou deux j
mpression cérébrale subsistent. Dix-neuf jours après l'ouverture du
premier
abcès, une ponction pra- tiquée dans la cavité
trouble soit toujours nécessairement radiculaire, bien qu'un des
premiers
il ait signalé la fréquence de ce fait; « il ne f
M. Manouvrier, retournent à une conception physiologique. Avec le
premier
, la considération de la prédominance relative de
tologistes et les neurologistes. Il comprend trois parties. Dans la
première
, après un historique de la question, l'auteur met
ou non sorties de l'urne) au cours des épreuves écrites et orale.
Première
ÉPREUVE écrite : (Anatomie et physiologie du syst
n portant sur la médecine et la chirurgie en général). (5 séances).
Première
séance. Questions sorties : Point de côté; frac
familles de tempérants durant un laps de temps de douze ans. Les 10
premières
familles produisirent ensemble 57 enfants. 25 d
folie communiquée, c'est l'aliénation des deux codélirants. Dans ce
premier
article, il croit en outre, que la folie à deux
randes conditions de la contagion morbide ; revient sur son opinion
première
d'après laquelle le délire de persé- cution seu
ts en présence, l'élément suggestif et l'élément suggestible ; du
premier
, car elle est le résultat de l'action des trois f
ants propres dépendant du terrain et qui viennent se surajouter aux
premiers
. Il y a donc deux éléments à considérer dans le
janvier 1900 à présenter des troubles men- taux.'Pendant les quatre
premiers
mois, elle cherche à la rassurer en tâchant de
. Séparée de sa fille dès le premier jour, elle présente après la
première
semaine une cédation assez marquée dans l'acuité
is son petit-fils et sa fille; C'est la police. » Elle conserve ses
premières
idées de persécution. Elle met toujours sa fille
actifs. Leur séparation fera disparaître très rapidement chez les
premiers
les phénomènes délirants qui ne sont que des phé-
nner des troubles hystériques. A l'âge de quatorze ans elle eut ses
premières
règles ; c'est à la suite de cet événement et à
s deux d'ailleurs fonction de la dégénérescence. Deux mois après sa
première
apparition, la menstruation s'arrêta, et de gra
elle. Cet accès dura environ six mois ; très fort pendant les trois
premiers
, beau- coup moins pendant les derniers, où elle
ion, idées liées aux sensations qu'elle avait éprouvées lors de son
premier
coit. La malade, par suite de l'onanisme répété
ombri qu'elle présentait dès son enfance même. En 1890, date de son
premier
épisode morbide, elle devint tout - d'un coup s
e fut prise d'une bouffée de troubles délirants tout différents des
premiers
ce qui causa son second internement. C'était un
tte- ment distincts, qui se sont montrés à des époques variables.
Premier
épisode : Des obsesions et impulsions morbides :
vaire. La présente observation est elle-même assez suggestive. Un
premier
accès de myasthénie guérit totalement en 6 mois,
ons d'intensité sont la règle lorsque le patient ne succombe pas au
premier
accès. Ces variations s'étendent à des années a
dix ans est rare (Observ. I et 111.) Souvent le malade succombe au
premier
accès (Observ. IV.) Pendant la rémission, la la
nts de nystagmus congénital des deux yeux sans autres lésions. La
première
a quarante-sept ans, la seconde sept ans. Pas d'a
diagnostic se fera par l'examen attentif du malade, cepen- dant au
premier
abord, on peut croire qu'il s'agit de dyspepsie
s singuliers de la tête, du tronc et des membres. Ces mouvements, à
première
vue, semblent indescrip- tibles et n'avoir aucu
à la Société médico-psychologique 1, )[. Charpentier réservait son
premier
groupe aux idées morbides pouvant aller jusqu'a
ar les considé- rations précédentes, il suffira, dans chaque cas du
premier
groupe, de rechercher l'existence du foyer infe
rend avec une intensité qu'il n'avait jamais eue auparavant. Dès sa
première
visite, en effet, la femme trouve son mari couc
alors que Bergonié n'annonçait qu'une action pallia- tive. ' Nos
premières
tentatives de traitement électrique visaient de
référence, ainsi que l'indique Bergonié, dans le dos, au niveau des
premières
vertèbres dorsales descendant jusqu'aux premièr
os, au niveau des premières vertèbres dorsales descendant jusqu'aux
premières
lombaires. On pourra toutefois, si la finesse d
assant pas 10 milli-ampères, vingt minutes ne suffisent plus. Nos
premières
applications furent faites pendant un quart d'h
aine, mais beaucoup plus souvent il faut attendre jusqu'à la fin du
premier
mois pour la voir survenir. Dans le type grave,
oir survenir. Dans le type grave, il y a même parfois au moment des
premières
séances une augmentation des douleurs, fait sur
on qui se montre presque toujours d'une façon nette après les trois
premiers
mois, il se produise une rechute au bout d'un t
ui ont obtenu une amélioration franche, il n'en est pas un, qui, au
premier
présage de réapparition de douleurs, ne soit re
érose diffuse. Particulière à l'enfance, elle porte sur le cerveau.
Première
espèce. Circonvolutions, lobes ou presque un hé
flexion du pied, à l'instant où ce dernier revient à sa posi- tion
première
, les orteils s'étendent, particulièrement le gros
lexe extrêmement marquée. Les réflexes précédents, surtout les deux
premiers
, peuvent, en certaines conditions, être provoqu
ples. Des quatre observations rapportées dans cet article, les deux
premières
se rapportent à deux femmes hystériques ayant p
ntrées. c Ce mouvement considérable, dit M. Charron, correspond aux
premiers
temps de mon administra- tion, pendant lesquels
ssance d'un processus morbide ou d'un défaut d'adju- vants dans ses
premières
années et qui conséquemment n'a pas atteint le
ulièrement dans leurs séances respectives les questions suivantes :
Première
Section : Enfants ET Adolescents. -'4°Patronage
caractère, - On lui attribuait un « grand génie 1 », « un esprit de
premier
ordre et un courage dont il y a peu d'exem- ple
Flécelles, et sa mère l'engageaient à signer. Mais ni les larmes du
premier
, ni les syncopes du second, ni les « menaces ef
mariée à l'âge de dix-huit ans ; a eu quelques migraines depuis ses
premières
règles. PARTICULARITÉS CLINIQUES DE L\ NÉVR-11,
ai, au moment des règles, les douleurs ont reparu avecleurintensité
première
. On fait une tentative avec des intensités de 1
élioration très marquée, mais celle-ci n'a pas persisté au delà des
premiers
jours de janvier et à partir du 10 janvier 1902
de avait pu reprendre de temps à autre le traitement l'amélioration
première
aurait per- sisté d'une façon beaucoup plus mar
, chez un malade atteint d'hérédoafaxie cérébelleuse. L'autopsie du
premier
malade a montré des lésions des cordons postéri
rés et à tirer partie du peu qu'ils ont de cérébralité. Toute cetle
première
partie constitue un résumé très clair et très c
aire ;IL un malade, atteint d'une maladie psychique aiguë pour la
première
fois, nous ne pouvons pas définir tant soit peu
rès net- tement que la manie se manifeste le plus souvent pour la
première
fois entre seize et vingt-cinq ans ; on observe l
e noter, entre autres, que parmi nos malades l'âge le plus jeune du
premier
accès de manie était treize ans et le plus vieu
01, un an environ après la mort de son mari, elle se sent prise des
premières
atteintes de son mal. Inquiétude vague et sans
e jour. En mai 1899, il va de Nice à Maçon en 4 étapes. Les trois
premiers
jours se passent bien, malgré une grande fatigue
mort et les jugements de Dieu. « Alliée à la plus grande partie des
premières
personnes de la ville » de Rouen, elle menait l
itre plus particulièrement à elle, elle ne se démentit jamais de sa
première
piété, mais marcha toujours d'un pas égal dans
rétablit complètement. En 1696 (soixante-deux ans) il présenta les
premiers
symptômes de la maladie dont il devait moutir. 1-
ne pneumonie. Quant à la paralysie, elle « suivit régulièrement son
premier
cours, et alla toujours en augmentant, suit pou
la cure de Magni, près Port-Royal-des-Champs, et demanda à dire sa
première
messe dans la chapelle de cette abbaye. Mais sa s
e continue. Des quatre dont nous connaissons l'âge de la mort, la
première
(Anne-Marie de Flècelles de Brégy) mourut à cin-
mation. A). Transformation des stigmates obstétricaux entre eux :
Première
génération. Grand'mère : présentations anormales.
Transformation des stigmates moraux en stigmates obsté- tricaux.
Première
génération. Troubles mentaux, épilepsie. etc., ma
21, 2 ? p. -il. 448 REVUE CRITIQUE. siqueet psychique. Marié, son
premier
né se présente, comme lui- même, par la face, a
ns qui marquent d'une façon saissisante cette influence du mâle :
Première
observation 1. Premier mari normal : présentation
çon saissisante cette influence du mâle : Première observation 1.
Premier
mari normal : présentations normales en OIGA.
me mari dégénéré : présentation de la face. Deuxième observation'2.
Premier
amant normal : deux présen- tations successives
aneux et du demi-tendineux. Un point reste pourtant debout de leurs
premières
recherches : c'est que les muscles pos- térieur
e du vaisseau. La formation de la lacune passe par deux degrés : au
premier
degré la lacune n'est pas constituée à propre-
qui suppri- mera l'abus des chambres d'isolement est une réforme de
premier
ordre qui prendra rang à côté de celles de Pine
Discussion : M. AIIDLLEIIASS, collaborateur de l'auteur dans son
premier
travail, confirme sur tous les points les opinion
'agit pas de fibres de régénération car tandis que pendant les deux
premières
années la sensibilité ne pouvait être rappelée
de la part de la périphérie se trouve interrompu déjà au niveau du
premier
neurone du faisceau sensitif, comme c'estle cas
ccès revien- nent à l'anniversaire de cette mort et à celui de leur
première
rencontre. Au sur et à mesure que ces crises se
ent assez significatif, de sorte que l'aspect du malade rappelle au
premier
coup d'oeil la paralysie agitante. Les mouvemen
enfants nés avant elle avaient succombé à des convulsions dans leur
première
année. Elle avait eu elle-même des convulsions
Peu de temps après son retour à la maison paternelle, elle eut ses
premières
règles qui lui causèrent une émotion très intense
cepter l'allaitement avec plaisir. Tout allait bien pendant les six
premières
semaines, lorsqu'un jour pendant qu'elle allaitai
ns le motif de ses aveux. Sa fille qui avait été convulsive dans sa
première
enfance n'a présenté d'autres troubles névropat
ur le personnel. Dans la moitié Est, deux chambres particulières du
premier
étage sont remplacées par une chambre à 3 lits.
n, à deux étages, possède 12 lits répartis au rez de chaussée et'au
premier
étage. fiez de chaussée. On accède d'abord dans
ec le patient; elles suppriment enfin d'une façon complète la cause
première
de bien des inconvénients et de bien des troubl
va une carie tuberculeuse sans pus, de la 7° cervicale et des trois
premières
dorsales avec affais- sement du corps de ces qu
cupéré des voies courtes, ce qui s'est produit chez sa malade. En
premier
lieu compression de la moelle, irritation des fai
segment moyen situé entre les champs n° 14 (nouveau), et 34. ' Du
premier
sillon temporal, se développe d'abord la partie q
e gradation dan" la démo- nomanie. Chez les théomanes également. Au
premier
échelon, les gens pieux; à un degré supérieur,
processus, à ce qu'il parait, acheva son développement. Ce cas, au
premier
abord, fait l'impression, ainsi que les cas de
extrais l'impression de l'éditeur : « C'est là un de ces livres de
premier
ordre que chacun devrait avoir, et surtout devr
ur très correct, en habit, qui avait pris place aux fau- teuils des
premières
, sortit pendant le premier acte en tenant des p
portière n'avait rien exagéré : à la fenêtre d'un logement situé au
premier
étage sur la cour, Juliette Teldat se tenait à
2 (l31cët·c et Fondation Vallée)' BOURNEVILLE, Dicêlre, 1902. *
PREMIÈRE
PARTIE Section 1 : Bieètre Histoire du Servic
I. Enfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. Ce
premier
groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
des enfants ayant déféqué au siège après les repas, durant les 5
premiers
jours de chaque mois. Voici ce relevé qui a por
a gymnastique des échelles et des ressorts, sauf ceux qui, venus du
premier
groupe, c'est-à-dire des INVALI- des, étant enc
gracieusement à notre disposition. Elle est aidée par M"10 Randier,
première
infirmière. Quarante enfants composent cette éc
s écrits; il litapeu près couramment ; il fait assez bien les trois
premières
opérations. Il est toujours très attentif, comp
ses détails l'école Estienne, Caisse d'épargne. Elle est confiée au
premier
de nos instituteurs, M. Mesnaud. Les recettes o
même que nous prenons la température à l'entrée, durant les cinq
premiers
jours (1) pour savoir si l'en- fant n'est pas s
croyons les renseignements que nous avons recueillis. Teigne. Au
premier
janvier 1902, il restait dans le service 17 tei
f plaisir à faire la gymnastique, exécute par- faitement les quatre
premiers
mouvements, sait de même lacer, boutonner, agra
ire, à faire quelques devoirs de grammaire, elle connaît les deux
premières
opérations de l'arithmétique et lit presque cou
la paille dans les matelas des gâteux ! Nomination de M"10 Quatre,
première
infir- mière au grade de suppléante. Teigne.
table et illettrée, les enfants, faute d'éducation et d'instruction
premières
, sont de vrais arriérés pédagogiques quoique pa
(1). En attendant que nous puissions faire une description des deux
premières
formes, nous allons rapporter un nouvel exemple
), vigoureux mais a eu des cuttmdstons assez fréquentes, durant sou
premier
mois ; 4° ga1'çon dont il est question plus hau
isait pas au- trefois. Son père s'est remarié avec la soeur de sa
première
femme. trois enfants : 1° fille, G ans, pas de
eur du lobe temporal. Il en est de même à la face interne, sur la
première
circonvolution du corps calleux, ainsi que sur le
ssait déjà anor- male. A un an, elle semblait n'avoir que 6 mois.
Première
dent à 14 mois : dentition anormale. Marche à 2
e bien nette. » La méningite a duré 8-10 jours; pas de paralysie.
Première
dent à 14 mois ; les grosses dents ont paru les
ralysie. Première dent à 14 mois ; les grosses dents ont paru les
premières
, les incisives, les dernières. (Son père a eu sa
provoquer chez elle une miction involontaire : c'est ainsi qu'à sa
première
douche, à ses premiers exercices de gymnastique
e miction involontaire : c'est ainsi qu'à sa première douche, à ses
premiers
exercices de gymnastique, et sous l'influence d
normale, rien à signaler. - Accouchement à terme, rien de spécial.
Première
dent à 10 mois ( ? ¡; dentition complète à 2 an
u'à 13 ans. A t3ans., frayeur vive, brûlure grave; 8 mois plus tard
premier
accès; succession régulière des accès toutes le
ix mois; à deux ans la denti- tion était complète. L'enfant fit ses
premiers
pas à 11 mois, et marcha définitivement vers 14
la cour, il enfonça la porte des ateliers. monta précipitamment au
premier
étage, ouvrit une fenêtre et se jeta dans le vi
ale se prend à son tour : l'enfant se suicide, deux ans après son
premier
accès. L'hérédité, dans ce cas est peu chargée.
de ce privilège. En le faisant, ils rendront au pays un service de
premier
ordre. Ainsi que nous l'avons dit souvent, le p
er, il est tombé dans une sorte de torpeur qui a duré 8 à 10 jours.
Premières
convulsions le 10^ jour, elles ont continué 3 j
extension et s'incline sur la gauche. . AU mois, à l'apparition des
premières
dents, l'enfant ne cesse de crier nuit et jour.
on sur le bassin, la jambe dans une légère flexion sur la cuisse.
Première
dent à 11 mois, dentition complète à 3 ans. Par
scoliose du rachis, les dernières vertèbres cervicales et les trois
premières
dorsales formant Scoliose myxoedémateuse. 77 7
anines de lait. Prémolaire permanente normale, pointes très aiguës.
Première
grosse molaire en cours d'évolution. Un tiers e
rgane un nouvel espace libre qui correspond à l'emplacement de la
première
grosse molaire permanente. La seule grosse molair
boratoire d'anthropologie de l'Ecole des Hautes Etudes. Tète. - A
première
vue deux particularités s'imposent. 1° Le grand
st légèrement saillant : il semble l'avoir été davan- tage lors des
premiers
examens de Deb... à son arrivée à Bicêtre. car
ois, leur disparition, puisque c'est un arrêt de développement. A
première
vue, il semblerait que la voûte palatine fut cons
eures, après qu'ils ont été remarqués, soit qu'ils aient échappé au
premier
examen d'ailleurs rapide, soit qu'ils aient app
mère à huit mois, il était tout à fait normal, époque où il a eu sa
première
dent : il regardait, gazouillait, jouait, se te
ment et sans s'adres- ser à sa mère. Il grimace beaucoup depuis ses
premières
convul- sions, bave, tette sa langue, crie par
exactement les cartons sur le tableau de couleur, à exécuter les
premiers
mouvements de gymnastique et saute les deux premi
à exécuter les premiers mouvements de gymnastique et saute les deux
premiers
degrés de l'escabeau. Caressant, gai, joueur. P
902). 'lâ2 Maladie DES tics; GUÉRISON. chement et à la naissance.
Première
dent ci sept mois; dentition complète à deux an
e manière exagérée, par comparaison avec les mouvements de ses deux
premiers
enfants. Accouchement à terme, naturel, sans ch
phyxie, ni circulaire du cordon. Elle a crié « énormément » les dix
premiers
jours, ne dormait pas, il fallait lui donner le
tion, 1'ien ? Grossesse, caféisme. Accouchement et naissance, rien.
Première
dent il. 6 mois, dentition complète à 2 ans ? .
nnu. Allaitement au sein maternel qu'il a bien pris, sevré à un an.
Première
dent à G mois; dentition complète à 2 ans. Paro
se porter en excès sur la périphérie de la partie déco- lorée ». Au
premier
abord, on pourrait croire que la ré- gion la pl
cep- tion était bon. Pendant la grossesse, la mère aurait été, le
premier
mois, obsédée par le souvenir des images de cire
anément ; ni cordon, ni asphyxie. Nourrie au sein jusqu'à 16 mois.-
Première
dent à 6 mois ; dentition complète à Histoire D
ublié. MÉLANCOLIE; IDÉES DE CULPABILITÉ. 195 Température des cinq
premiers
jours. ' 196 Mélancolie; mutisme. z yeux creu
particulier. Asphyxieà la naissance. - Ophtalmie des nouveaux-nés
Première
dent à cinq mois. Dentition complète à ? . Débu
ant 4 ou 5 jours, et sur lesquelles des détails précis font défaut.
Première
dent à 5 mois. Début de la marche à 20 mois, de
urri ensuite au lait de vache. A bien pris le sein; non criard.
Première
dent à un an.- Dentition complète à ? ? N'a j
biberon (lait de vache). Prise régulière du sein ; non criard.
Première
dent vers un an. Dentition complète il ? ? N'
le infan- tile. Tous deux étaient atteints d'idiotie complète. La
première
question qui se posait était de savoir s'il s'agi
us avions émis l'hypothèse que la lésion constatée il l'autopsie du
premier
malade serait aussi constatée il celle du deuxi
(Obs. de Merc..., p. 13). Face interne de l'hémisphère droit. Fi,
Première
circonvolution frontale interne. LP, Lobule par
(Obs. deJoha ? p. 63.) Face interne de l'hémisphère droit. h ?
Première
circonvolution frontale interne. LP, Lobule par
Obs. de Deba..., p. 110.) Face interne de l'hémisphère droit. FI,
Première
circonvolution frontale. LP, Lobule paracentral
169, XIV XII. 172, XV XIII. 175, XVI XIV. TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
PARTIE Histoire du service pendant l'année 1902
térique; 2o Qu'il n'est qu'hystérique. Nous ne parlerons pas déjà
première
proposition, puisque, d'après les données du pr
assé de combinaisons hystériques essentiellement cu- rables. III.
PREMIÈRE
PARTIE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE
ns la rue, une deuxième attaque précédée des mêmes prodromes que la
première
. On l'a transporté à l'hôpital Bichat. Il était p
et se coucha. Cet accès d'automatisme ambulatoire ne semble pas le
premier
. Assez souvent, le jour ou la nuit, il est pris d
, exclusivement sur les cordons antéro-laléraux, comme dans le type
premier
, classique, de l'unité morbide décrite sous ce
UE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalomyélite) (Suite') t) Notre
premier
malade est un ancien peintre en voitures, âgé de
e impotent. La chute des paupières survint un an après le début des
premiers
accidents. Actuellement, le malade présente le fa
Aux avant-bras l'atrophie porte surtout sur les extenseurs. Mais au
premier
abord elle paraît se répartir à peu près égalem
ion avec le maximum du courant faradique, plus faible pour les deux
premiers
. Mêmes réactions pour le courant galva- nique,
duire textuellement à propos de l'oedème, ce qu'en ont dit les deux
premiers
auteurs que nous avons cités. C'est dans le s
ème hystérique, ce qui nous a permis de le diagnostiquer sûrement à
première
vue chez le malade dont voici l'observation.
gt ans, il a souvent soif devant ses fourneaux. l'as de syphilis.
Première
attaque d'oedème. En août 1888, L... a éprouvé da
nservé.. Description de la main malade (fig. 9). - Ce qui frappe au
premier
abord, c'est un oedème exagéré de la main droit
est remarquable que l'oedème de sa main ait été en quelque sorte la
première
manifestation de la névrose. En effet, on n'a con
relevé ceux qui ont étudié ce malade avant nous. Mais depuis cette
première
atteinte, la maladie a affirmé plus nettement sa
cette malade, à cause du petit accident qui avait interrompu notre
première
série d'expériences. Notre seconde malade, la
les unes sont congénitales, à n'en pas douter, bien que leur cause
première
échappe à nos investigations; d'autres sont rap
Fie. 10. - Cenenii de mÍt'l'(lcéphalc. DE LA CRANIECT0M1E. 91 aux
premiers
mois de la vie, mais il est bien difficile, en pa
e forme de tremblement se lever et se mettre en marche, on peut, au
premier
abord, se croire en présence d'un cas de scléro
térique. En quoi ce tremble- ment-ci différera-t-il cliniquement du
premier
? Cela restera à déter- miner. » Nous nous as
ui existe si souvent chez les hystériques vulgaires à la veille des
premiers
symptômes significatifs; qu'au moment de l'accè
ieurs semaines. Le tremblement persistait toujours. Bref, depuis sa
première
attaque le malade n'a jamais cessé de trembler;
mitation des troubles de la sensibilité. etc., sont des éléments de
premier
ordre. Il serait toutefois nécessaire de connaî
e des paralysies hystériques de nombreuses leçons, il semblerait au
premier
abord que les erreurs sur lesquelles s'apitoye Br
e chacune des'deux affections coexistâmes. Quelle que soit sa cause
première
, la paralysie organique des membres inférieurs
6, 1890, et 1, 1891. 152 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
premier
médecin qui vit ce malade et fit le diagnostic de
u'à présent toutes les quatre semaines. Elles existaient le jour du
premier
examen, le 16 janvier, et c'est à cela qu'il faut
s joyeux que de coustume, tout aussi-tost qu'il fut jour il fit son
premier
coup d'essay, et essaya de le guérir en le toucha
scrmone : Le Roy te touche et Dieu te guairist. » André Delaurens,
premier
médecin du roi, De mirabili slr2cmas sanandi vi s
ollo pestena posse crescere quanz nuda virgo restringat 5. Goeurot,
premier
médecin de François I", conseillait de les « ba
s après le début du mal. Ces documents qui présentent un intérêt de
premier
ordre permettent en outre, si on les compare à
au cou. ' , L'enfant ne se rappelle pas de maladies graves dans sa
première
enfance. Les seuls renseignements qu'on'obtienn
mparée de ce second docu- ment ne fait que confirmer les détails du
premier
et montre en outre l'élat de l'affection dix an
. Armandine S... esl née a Versailles, le 1er janvier 1870. Dans sa
première
enfance, elle n'aeu ni fièvre éruptive,ni autre
classe et s'y est montrée très intelligente, occupant toujours les
premiers
rangs. Elle était gaie, joueuse, aimant beaucoup
tant sur l'extré- mité céphalique; ce second fail, très analogue au
premier
, n'en diffère que par la généralisation du trem
es différentes raisons qui lui firent abandonner par la suite cette
première
interpréta- tion. Frappé surtout par l'origine
on lui a donnée, ou plutôt elle reprend assez lentement sa position
première
, absolu- ment comme la peau du cadavre. Lorsqu'
sque dans les premiers jours de novembre il eut ce qu'il appelle sa
première
attaque de nerfs. » Un jour, vers G heures du soi
« lorsqu'elle sent qu'elle va avoir sa crise ». Au sortir de cette
première
attaque, Claw... remarque que sa jambe et son b
De- puis lors tous les troubles que présentait le malade lors de sa
première
attaque ont persisté sans se modifier le moins
arthritique. Antécédents personnels. Son affection actuelle est sa
première
ma- ladie ; auparavant sa santé avait toujours
isinière), vers une heure ou deux dit matin, elle fut prise pour la
première
fois de violentes douleurs dans la tête. Ces doul
gressivement pendant quatre ou cinq jours. Pendant la durée de ce
premier
accès elle n'éprouva, non plus durant les accès
ondément (il devint triste, pleurait souvent sans motif), il eut sa
première
attaque d'hystéro-épilepsie. Cette attaque, com
G par seconde. - · Nous avons suffisamment insisté dans le chapitre
premier
de ce travail sur la grande analogie qui existe
intenant décrire est resté exaclement tel qu'il était lors de notre
premier
examen, sans se modifier le moins du monde. Voi
s dans l'oreille droite; ces deux accès furent de courte durée : le
premier
de deux heures après midi jusqu'au lendemain, et
de par l'examen de la tête, qui est celui qui a toujours été mis en
première
ligne. Sans doute nous ne croyons plus aujourd'
lite chronique, les autres à la polioencéphalomyélite subaiguë. Les
premiers
, jusqu'ici les plus nombreux, comprennent les cas
an. Début par l'amyotrophie. Parfois l'atrophie musculaire est le
premier
phénomène en date et précède les symptômes oculai
sso-labio-laryngée entraîna la mort six mois après l'apparition des
premiers
accidents. N'allait-il pas en être de même chez
x, le traitement antisyphilitique fut appliqué dès l'apparition des
premiers
accidents et l'affection n'en poursuivit pas mo
ie musculaire progressive. Il s'appuie notamment sur ce que chez la
première
de ses malades il y avait une atrophie des sterno
amètre horizontal. Ces deux amas étaient nettement circonscrits. Du
premier
de ces deux amas partaient latéralement des fib
été suivie depuis l'origine apparente du nerf jusqu'à la hauteur du
premier
nerf cervical, a élé trouvée dégénérée. L'auteu
s présentéd'altération. Wernicke a publié dans son Traité les trois
premiers
faits de polioen- céphalite aiguë hémorrhagique
ne prit pas garde que la crudité du l'ait, ici, était une beauté de
premier
ordre, une inconvenance héroïque. Dans l'esquis
ion musculaire succédant à la contracture spasmodique. Dans cette
première
publication inspirée par M. le professeur Char-
, j'ai pu étudier deux nouveaux faits qui viennent à l'appui de mon
premier
travail. Dans le premier cas, il s'agit d'une d
FIG. 51. - Aspects divers de la jambe gauclie : 1° après la pose du
premier
appareil; 2" après la pose du second; 3° à l'ét
s mouvements en sont aussi très limités. A la face interne des deux
premières
phalanges, une cicatrice marque la trace de l'a
s répondent d'une façon assez inégale à l'électricité induite : le'
premier
et le second réagissent bien, le troisième se con
des traces perma- nentes du thermomètre, sous forme de brûlures au
premier
degré, à gauche (rien d'analogue ne se montre d
lent, dur, aurait autrefois, dit le malade, précédé l'apparition du
premier
panaris; d'abord localisé au dos de la main, il
aires. Rappelons en passant que Uhthoff paraît avoir publié une des
premières
observations, sinon la première, d'ophthalmoplé
dère la face externe du pavillon de l'oreille, ce qui nous frappe à
première
vue, c'est le nombre de saillies et de dépressi
ives; elles sont dites alors surnuméraires. Souvent des dents de la
première
dentition persistent avec celles de la première d
ous fournir des renseignements préliminaires sérieux, constatations
premières
et absolument nécessaires avant de conclure à l
sérieux. Au lieu de noter à la légère tel ou tel fait qui frappe à
première
vue, il faut pratiquer un examen d'ensemble qui
s. En mai 1890, le membre inférieur droit est frappé comme les deux
premières
fois. Une semaine plus tard, la même chose arri
tombe accidentel- lement dans une rivière. Le lendemain, elle a son
premier
accès de suffoca- tion, qui, d'après ce qu'elle
he est devenue difficile. Cette difficulté a augmenté peu à peu. Ce
premier
accès a eu lieu le 12 janvier 1884. Depuis lo
haut mal », dit la malade. Antécédents personnels. Dans les deux
premières
années de sa vie, elle 3M NOUVELLE ICONOGRAPHIE
e Beaune) qui avait dès le début donné ses soins au malade. Dans sa
première
enfance, Denis n'a eu d'autre maladie que la roug
lles se laissent difficilement écarter pour reprendre leur position
première
dès qu'on les abandonne (PI. XIV). Tous les mou
ande vérité et la plus scrupuleuse exactitude. On reconnais- sait à
première
vue les signes caractéristiques de cette terrible
en entonnoir n'a rien de commun, comme on est tenté de le croire au
premier
1. Dictionnaire encyclop. d. se. médic., art. S
essions répétées sur le sternum, à produire la disjonction des deux
premières
pièces et à déprimer la seconde. Malgaigne rapp
dont l'état mental est lui-même rarement indemne. Relativement au
premier
point, nous voyons la poitrine en enton- noir ê
variété de diathèse de contracture dans laquelle les procédés de la
première
catégorie seraient seuls efficaces pourrait s'app
t sans cause connue que dans sa quarante et unième année il a eu sa
première
attaque d'épilepsie, qui a été caractérisée par u
des orteils est beaucoup plus prononcée que d'ordinaire, surtout au
premier
et au cinquième orteils, qui ont une teinte viola
le P... a été élevée dans un orphelinat, jusqu'à vingt ans. Dans sa
première
enfance, elle a toujours été chétive et malade;
-sept ans, fièvres intermit- tentes durant trois mois. A vingt ans,
première
menstruation. Elle se marie un an après (quatre
; la malade est gaie, d'aspect assez vigoureux et rien ne trahit au
premier
abord l'impotence mo- trice dont elle souffre.
otre ami M. Poulalion. État actuel (26 août 1890). Ce qui frappe, à
première
vue, chez ce .malade, c'est son incoordination
core deux zones analogues sur la colonne rachidienne, au niveau des
premières
et des dernières vertèbres dorsales. Les orga
la seconde maladie. On risquera fort de les attribuer à l'affection
première
qui semble seule et qui en réalité n'est que pré-
es cas, l'étude d'un syndrome morbide est simple- ment esquissée du
premier
coup. Bientôt, les faits se multipliant, les rè
d'alors, s'attacha à l'étude de cette question et en fit l'objet du
premier
travail original paru sur la matière. Le 27 nov
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Dans ses leçons cliniques du
premier
semestre de l'année 1889-1 890, M. le professeu
ive mais n'a jamais fait de maladie sérieuse. A quinze ans et demi,
première
apparition des règles qui sont depuis venues to
ce; dès qu'il abandonnait les doigts, ils reprenaient leur position
première
. Les poings étaient entièrement fermés, les poign
ns une maison de santé en Algérie). Antécédents personnels. Dans sa
première
enfance, elle a eu, vers l'âge de trois ans, un
esquelles elle fut soignée à l'hôpital Saiute-Lugénic. A douze ans,
première
menstruation ; depuis, règles assez irrégulière
in de 1884, elle a un second accès convulsif absolument analogue au
premier
. Le 27 juin 1885, la malade éprouve une violent
d'une association d'atrophie cérébrale partielle et d'hystérie. La
première
, la plus ancienne en date, a déterminé sinon l'ap
is le malade a eu chez lui une troisième attaque semblable aux deux
premières
, qui a duré deux heures. A la suite de cette alla
us récent article de la Médecine moderne ', cet auteur complète ses
premières
recherches. Sur sept malades qu'il a eu occasio
chaude qui lui brûla le pied gauche. Immédiatement après, il eut sa
première
attaque convulsive ou plutôt sa première série d'
diatement après, il eut sa première attaque convulsive ou plutôt sa
première
série d'attaques, car les convulsions auraient
raissent, et le huitième jour on recommence la suspension. Les deux
premières
séances se passent sans incident, mais après la
ombeau de Court de Gébelin, celui de la marquise de Fleury, une des
premières
et des plus ferventes adeptes du magné- tisme.
' '7 7 Nous donnons quelques explications sur ce tracé; les deux
premières
lignes verticales qui sont rappro- chées indiqu
t autre mouvement. Ainsi, il commence à crier pendant les vingt
premières
minutes ; ensuite, il gémit en se léchant et
te; à la main gauche elle est dans l'état antérieur; seul le muscle
premier
interosseux fonc- tionne mieux qu'auparavant.
lo-. (tandis qu'à droite elle est égale à 65). La flexion des trois
premiers
doigts est plus faible que celle des deux dernier
la main droite, mais à un faible degré. Il y a atrophie marquée du
premier
in- terosseux de la main gauche et un certain a
L'aphémie surtout (type Bouillaud-Dax-Broca), alalie (de Lordat),
première
variété d'aphasie, amnésie verbale motrice, d'a
he (centre de Exner) 2. Il y est déter- miné d'après les recherches
premières
de Marcé(l8o6, Société de 131ologie) et de Ole
qua- trième forme d'aphasie, au niveau de la partie moyenne de la
première
circonvolution temporale 10. Sauf pour le centr
r la pensée par l'écriture», centre siégeant exactement en avant du
premier
, au tiers postérieur de la deuxième frontale.
evor de Londres6, l'époque d'ap- parition des publications des deux
premiers
auteurs est la date des premières recherches su
parition des publications des deux premiers auteurs est la date des
premières
recherches sur les fonctions motrices du cervea
constatons au niveau de l'articulation mélatarso-phalan- gienne du
premier
orteil, une ulcération à forme ovalaire, large
euse : elle fut soignée alors comme anémique. A l'âge de vingt ans,
première
attaque convul- sive de caractère hystérique, p
ant que tous les phénomènes qui caractérisent la maladie et qui, au
premier
abord, paraissent si différents, sont de la mêm
spection lui dénoterait une tête dolichocéphale ? L'examen même des
premières
photographies, ainsi que d'une nouvelle où la t
transverse maximum oscille entre 132 et 133. Mais je prendrai le
premier
chiffre, d'autant plus qu'il m'est défavorable. E
'adultes, chez lesquels des atrophies, congénitales ou datant de la
première
enfance, sur certains lobes du cerveau et du cerv
ar de petits foyers plus ou moins exclusivement limités à l'écorce.
Premier
cas : un petit foyer de ramollissement ayant ex
par une série d'inler- rogatoires faits pendant les trois ou quatre
premiers
mois que l'on peut arriver à constater le vérit
paragraphe 3 pour que vous développiez votre amendement. (Les deux
premiers
para- graphes sont adoptés.) M. le Président.
e faveur. Si nous n'avons pas reculé devant la perspective de cette
première
impression, c'est que nous avons la conscience
rapport pour constater son état. C'est. consécutivement à ces deux
premiers
rapports, à ces deux premiers jugements, que le
at. C'est. consécutivement à ces deux premiers rapports, à ces deux
premiers
jugements, que le médecin inspecteur se prononc
loi de 1838, l'administration avait le droit, sur le certificat du
premier
médecin venu, d'ordinaire et souvent'le médecin
ses psychiques et causes somatiques. Parmi les 132 BIBLIOGRAPHIE.
premiers
, on trouve comme plus influents, les chagrins, le
nale latérale. A. FORME CENTRALE SPINALE LATÉRALE. Observation I.
Premier
accident le 18 octobre 1875. Descente à 32 bras
autres organes. Observation XIII. Accident provoqué le 25 mai 1886,
première
immersion, déjeuner avant l'éclzesemerzt, profo
lonne vertébrale, faite tous les huit jours ; c) prendre les quatre
premiers
jours de la semaine, deux fois par jour, avant le
t préparée; d) s'abstenir complètement de toute sorte d'excès et au
premier
chef des excès d'alcool; e) éviter la fatigue.
très insignifiante du sens de lieu, comme, par exemple, dans notre
premier
cas et surtout chez le malade d'Oppenheim, chez
BS. II, III, IV, VI, VIII, IX, X). Plus tard, comme le prouve notre
premier
cas, l'atrophie des muscles et les troubles mot
er était folle d'agitation; la plupart des soldats allaient pour la
première
fois en met'; cependant ils passaient le temps à
s cérébraux qui ont duré deux mois, sans convulsions, ni paralysie.
Première
dent à huit mois. Il a parie a un an, n a mar-
issure parallèle presque complète, se prolongejusque dans le lit du
premier
sillon occipital et envoie deux rameaux descend
ise en bas le pied de la troisième circonvo- lution frontale. La.
première
frontale, peu développée, envoie trois plis de pa
es traces de méningo- encéphalite, mais moins prononcée que sur les
première
et deuxième frontales. La frontale ascendante e
ite disséminée; un pli de passage à niveau relie le pli courbe à la
première
circonvolution occipitale. Le lobe occipital est
tit; la méningo-encéphalite y est peu accentuée. Lobe temporal. Les
première
et deuxième temporales présen- tent des lésions
rophiés, à la troisième frontale; sur les parties anté- rieures des
première
et deuxième frontales, l'atrophie est beaucoup
ème deux plis de passage à niveau; sur la moitié antérieure de la
première
et sur toute la deuxième, on constate de la ménin
ssu scléreux par pla- ques dans la même région ne sont que les deux
premiers
degrés de l'altération. Sur d'autres points, en
paraissait un peu plus petit. C'est aussi lors de l'apparition des
premiers
phéno- mènes procursifs que l'on nota la diminu
les circonvolutions antérieures ou d'une manière plus précise, la
première
circonvolution frontale, les deux tiers antérieur
d'étude des dégénérescences secondaires. Chaque fois que la lésion
première
à l'écorce cérébrale, ou au centre ovale ou àla
elle (faisceau de Turk)3. ' Fr.-Franck. Fonctions motrices, 1887.
Première
partie de la leçon XVIII. : Voir pour l'étude d
urs et sensitifs sont à peu près complètement décrits, surtout le
premier
, dans leur trajet de l'écorce cérébrale à la moel
inférieur ou du pli courbe. Pl. c. ; pli courbe. T. 1, T. 2, T. 3 ;
première
, deuxième et troisième cire, temporales. 0. 1,
première, deuxième et troisième cire, temporales. 0. 1, 0. 2, 0. 3;
première
, deuxième et troisième cire, occipitales. R. R.
hes I et IL) . rlc. 2. Coupe préfronlale gauche (Pitres). 1, 2, 3 ;
première
deuxième et troisième cire, frontales. 4 ; cire
ontaux du centre ovale. rlc. 3. Coupe pédiculo frontale. 1, 2, 3;
première
, deuxième et troisième cire frontales. 4 ; extr
e- loppement de l'accès, et cela dans les cas où l'on pourrait au
premier
abord supposer l'absence complète de motifs; d'au
ues généraux dont la maladie reconnaîtrait comme causes : pour le
premier
, la peur occasionnée par la foudre dont il aurait
gré et à son insu. 111. Lan n'a pas eu la prétention de modifier du
premier
jet une loi centenaire. Il est convaincu que da
ne un érythème noueux chez une femme de trente-quatre ans; les deux
premières
atteintes sur- vinrent brusquement sans prodrom
par des gens qui ne sont pas médecins. Présidence de M. MENDEL.
Première
question. ii-l-C)t y2l établir ci coup sûr qu'il
itz, acceptée par 11AI. EDEL, FALK, 1LI, la rédaction du paragraphe
premier
est adoptée telle qu'elle a été proposée par M.
lle est devenue aliénée quatorze jours après avoir mis au monde son
premier
enfant. Il y a six ans, sa soeur a été aliénée co
et doit donner à réfléchir invariablement. Mais, on peut dès les
premiers
jours de l'inanition rencontrer de la diacéturie
n présence de la même accusation. Le soupçon qui s'est attaché au
premier
médecin qui a fait le certificat et au second m
tre de l'instruction publique et des beaux-arts; Arrête : Article
premier
. Il est constitué un concours pour l'admissi- b
é par Régis, pour désigner un cas un peu différent. Voilà pour la
première
catégorie. La seconde comprend des malades dont
ençables, subissent tous les entraînements; ils sont la proie des
premiers
; ils comprennent les timorés, les faibles d'esp
ndérés, ils assistent à Y emballement des der- niers à la suite des
premiers
, et ne prennent de déter- mination qu'à bon esc
ont subis, et ne sont que le reflet, l'écho plus ou moins fidèle du
premier
. La meilleure preuve à fournir en faveur de cet
l'esprit l'a poussée, malgré elle, à la recherche d'un homme, le
premier
venu, pour se livrer à lui. Elle ne l'a pas fait
ncés, mal- léables par excellence, et de même qu'ils ont subi une
première
influence qui a été funeste, ils peuvent subir
de paralysie plus ou moins complète au moment de l'invasion et aux
premiers
temps de la maladie, deviennent moins constants
chez le malade de l'OBSERVATION VII, le 15 mai 1884, jour de notre
premier
examen, y avait une abolition notable des fonct
x tiers inférieurs de la colonne vertébrale; 3° prendre, les quatre
premiers
jours de la semaine, un paquet de seigle ergoté
de grandes modifica- tions, étant presque aussi exaltés qu'à notre
premier
examen. Il en est de même pour l'épilepsie spin
S ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 377 Î A 4 heures du soir,
première
perte de connaissance ; à 5 heures, il revient;
troubles urinaires et rectaux. Contractures passagères. Le 25 mars
première
crise de douleurs fulgurantes. Le 15 mai, il a
tention d'urines et de selles suivie d'incon- tirzence. Le 10 juin,
première
crise de douleurs fulgurantes. - Le 3 juillet e
s. L'amélioration ayant continué ses progrès, il a pu marcher les
premiers
jours de janvier 1881 avec un appui. Au mois de
côté des autres organes. Observation XIX. Accidents du 5 mars 1873,
première
inznacn- sion, vingt-deux ci vingt-trois brasse
l'extension du processus mor- bide trois ans après l'apparition des
premiers
symp- tômes. Mais généralement la mort par prog
intermittentes et d'au- tres influences nocives, ayant procédé aux
premières
manifestations de la maladie aperçues par les m
ut réel du processus pathologique pré- cède de plusieurs années ses
premières
manifestations cliniques. On peut supposer que
premières manifestations cliniques. On peut supposer que ces causes
premières
siègent dans les conditions altérées du dévelop
parti- culièrement important de diagnostiquer la maladie dans ses
premières
périodes et d'examiner avec pré- cision le cara
Jackson, 1'ilrclc, Bouchard, Charcot, Flechsig ont tranché les deux
premières
questions. Les troubles moteurs posl-béiiiiplég
e ne sont pas aussi défavorables qu'elles le pourraient paraître au
premier
abord, par un simple rapprochement des chiffres
es notes sur l'état du malade, quotidiennement pendant les quatorze
premiers
jours qui succèdent à l'admission, puis toutes
de dire qu'on peut diviser les aliénés en deux grandes clauses : la
première
comprend ceux qui ont un trouble dans leurs idées
vous tous, messieurs, comme les magistrats, peuvent la constater du
premier
coup d'oeil. Mais il y a la « folie affective »
ui a des conséquences très graves, puisque ce traitement aura cette
première
conséquence de priver le malade de sa liberté i
e près le tribunal civil de la Seine et le président du tribunal de
première
instance, M. Aubépin. Nous les avons entendus s
lente au fond et eu elle-même. L'honorable président du tribunal de
première
ins- tance en particulier a employé ces express
s de Neurologie Tome XVI Pl I -' EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE
PREMIÈRE
Fin. I. Face externe de ? CMt/tet'eaMee. F. 1,
inférieur ou du pli courbe. PI. c. ; pli courbe T. 1, T. 2, T. 3 ;
première
, deuxième et troisième cire, temporales. 0. 1,
première, deuxième et troisième cire, temporales. 0. 1, 0. 2, 0. 3;
première
, deuxième et troisième cire, occipitales. R. R.
: ) I et II.) Fiv. 2. Coupe préfrontale gauche (Pitres). 1, 2, 3 ;
première
deuxième et troisième cire, frontales. 4 ; cire
ontaux du centre ovale. Fis. 3. Coupe pédiculo frontale. 1, 2, 3;
première
, deuxième et troisième cire, frontales. 4 ; ext
r il y a des paraplégies par mal de Pott qui sont spasmodiques du
premier
au dernier jour, et cela durant des années. Il
gie spasmo- dique sans troubles de la sensibilité, nous sommes au
premier
degré de la classification de M. Van Gehuchten.
ou moins soudées entre elles sont très amincies et s'effondrent au
premier
coup de marteau. Le canal rachidien apparaît al
lle. Après cinq ans de ma- ladie on notait la proéminence des trois
premières
vertèbres thoraciques, l'atrophie des jambes av
ne influence très curative sur quelques manifestations du tabes, en
première
ligne sur les douleurs fulgurantes, sur les tro
n retour à Charcot. Ce dernier chargea M. Gilles de la Tourette des
premiers
essais, et le 19 janvier 1889, le grand neurolo
depuis quatre ans, la pendaison, qu'elle faisait pendant les huit
premiers
mois trois fois par semaine et trois secondes c
commençons la suspension toujours par l'angle de 30°. La durée des
premières
séances est de dix minutes. Après, nous varions
ession unilatérale de la moelle par une gomme siégeant au niveau du
premier
nerf lombaire. G. DENI'. III. Les maladies ne
à l'embolie. Ce foyer doit aller du cinquième segment cervical au
premier
segment dorsal inclusivement, étant donné les mus
ements sont souillés prennent un bain et changent d'habits ; 8° aux
premiers
symptômes de l'empoi- sonnement on mettra, avan
ésulte de l'atteinte des segments cervicaux 5 à 8, et, peut-être du
premier
segment dorsal; l'altération des réflexes patel
lysie du péronier, la faiblesse sphinctérienne, indiquent celle des
premier
à qua- trième segments lombaires gauches, du ci
trième segments lombaires gauches, du cinquième lombaire avec les
premier
et deuxième sacrés droits (paralysie du péronier)
oro-cutané n'est pas périphérique, elle se rattache à la lésion des
premier
à troisième segments lombaires du côté gauche m
VEUSE. 69 antisyphilitique a donné des résultats divers. Dans les 8
premières
, une amélioration s'est fait sentir. Dans les o
Une. telle question qui se rattache à la vie et ù la liberté est de
première
importance. Il faut faire examiner l'état mental
té mentale de leurs voisins d'Albion. Et voici l'évidence, prise de
première
main, du cinquante-cinquième rapport des « Comm
ements traumatiques. Leur diagnostic s'imposait, pour ainsi dire, à
première
vue. Les six autres se présentèrent avec des al
visuel rétréci concentriquement des deux côtés. Le 12 mars 1900,
première
séance de faradisation durant dix minutes. Pas
la deuxième paire radiculaire dorsale avec maximum à la hauteur des
premières
paires lom- baires... Dans le sens antéro-posté
ère : au sommet de la tête, à l'épaule et aux deux talons. Les deux
premiers
points de repère sont marqués au moyen d'un..mo
e influence très salutaire sur quelques manifestations du tabes, en
première
ligne sur les douleurs fulgurantes, sur les tro
tres années; de la pendaison deux fois par semaine pendant les deux
premières
années, de trois, quatre et cinq minutes, et un
ment par l'amélioration des troubles moteurs des tabétiques. Des 14
premières
observations publiées dans la leçon de Charcot,
debout les yeux fermés une et deux minutes. Chez le malade de la
première
observation citée plus haut, le signe de Romberg
irant ce travail était de trouver un signe aidant à la diagnose des
premières
périodes de la paralysie générale. L'auteur pro
t supérieure de la cuisse déterminait, d'abord la flexion des trois
premiers
orteils vers la plante du pied, puis la flexion
servations offrent cette particularité que la flexion plantaire des
premiers
orteils est le phénomène le plus constant en l'
ais le réflexe fémoral sous la forme de flexion plantaire des trois
premiers
orteils subsiste, tandis que ses autres modalit
nié psichiatrii. V. 1900) : Expérience sur les chiens. A. - Les 4
premières
montrent nettement que l'excitation élec- triqu
et ayant contracté la syphilis 38 ans auparavant. Pendant les trois
premiers
mois de la maladie, état de lourdeur et de raid
la sensibilité accompagnant les troubles moteurs. A la fin de la
première
année, amélioration passagère sous l'influence d'
subi la forcipressure de l'aorte, il y a eu, dès les deux ou trois
premières
minutes, paralysie complète des extrémités postér
totale ou paltielle de la moitié droite de la moelle, au niveau des
premier
, second, troisième seg- ments cervicaux, douziè
Marchand, d'autre part par M. IIarten- berg. Les expériences des
premiers
auteurs, dans lesquelles ils ont étudié à la fo
l'influence elle-même, nous signalions déjà, on l'a vu, dans notre
premier
. travail, que l'intensité de l'obsession variai
n apparition. Autant que ma mémoire est exacte, elle remonte à ma
première
année d'internat du lycée (année scolaire 81-8b).
s cardiaques. Je ne crois pas que ces palpitations aient pour cause
première
l'éreuthophobie. Elles existeraient sans elle.
là un paralytique chez lequel la réaction complètement nulle à la
première
période a reparu affaiblie à la seconde et une au
ayer à partir du len- demain. Retour d'Afrique à neuf ans. A douze,
première
commu- nion de Louis qui, le dimanche après, s'
taire, attiré par les aboiements d'un chien. Quelques jours après,
première
crise d'hystérie avec perte de connaissance ; les
- C'est mercredi + Je ne sais pas où je suis + Je me souviens de ma
première
communion, on m'a tiré les oreilles, on m'a fra
Louis, qui est ectopique testiculaire gauche, se plaignit pour la
première
fois d'une zone d'hyperesthésie au niveau de son
don- ner un entraînement manuel plutôt que des leçons pendant ses
premières
années et jusqu'à son adolescence; 3° lui interdi
ri- tuelle, qui dansait agréablement en costume d'homme. Dans les
premiers
temps il usa d'elle comme d'un batscha, mais peu
l'aspect et la mentalité d'une enfant de sept ans. Le sujet a eu sa
première
dent à deux ans, a marché à trois ans et, jusqu
du simple au composé ; et après avoir décrit l'irritabilité, cette
première
réaction de la vie végétale et animale, cette p
ilité, cette première réaction de la vie végétale et animale, cette
première
manifestation de toute activité vitale, il en m
attachée à l'expression émotive n'est qu'une conséquence de cet le
première
hypothèse. Mais, pour justifier la théorie, il
ons faibles; chez d'autres, il n'apparait que longtemps après les
premières
obsessions; dans tous les cas, il n'est jamais qu
e douter si ma maladie était physique ou psychique. C'est pour la
première
fois que je note d'une façon si suivie la marche
diarrhée. -Troubles cardiaques : bruit de souffle assez prononcé au
premier
temps, à la base ; l'enfant se plaint du reste
ent le placer dans le même établissement que lui. Nous souvenant du
premier
mensonge, nous nous tenons sur nos gardes; comm
urs jours. Il boude même sa grand'mère à sa 294 RECUEIL DE FAITS.
première
visite. En même temps s'était produit un embarras
à la psychopathologie pour les mettre à même de relever, dès leurs
premières
manifestations, les symp- tômes qui font presse
négatifs, mais ils ne prouvent rien, dit M. Lannois, contre l'idée
première
: que l'intoxication du sujet, dans les maladie
les frais d'une légère inflammation, autrement dit d'une brûlure du
premier
degré. En revanche, Kozlawsky a obtenu de bons
uble disparait quand on fait répéter la phrase vicieuse. - Les deux
premières
espèces s'observent chez des enfants de quatre
HOLOGIQUES. - L'abolition des réflexes pupillaires est il placer en
première
ligne - au point de vue de la fréquence et de l
t aussi pour le personnel de surveillance pendant les deux ou trois
premiers
jours de suppression. - M. TI ! IVET voudrait
ses mains une administration plus complexe qu'elle ne le parait au
premier
abord et dirige, avec tant d'autorité, les 326
s à base d'interprétations ; beaucoup font illusion et paraissent à
première
vue moins « délirants » que les persécutés ordi
uffre quelques exceptions, ainsi que je l'ai fait observer dans mes
premières
communications sur ce sujet. Vitiligo et Tubes.
n présente, à l'appui de ces observations, une malade qui, lors des
premières
séances d'hypnotisation, présentait les phé- no
té tactile est peu modifiée. Pas de douleurs. Atrophie manifeste du
premier
espace interosseux et de l'éminence thénar SOCI
ue des psychoses pures. Ce caractère négatif présente un intérêt de
premier
ordre pour le diagnostic entre les psychoses pu
s cessèrent et, au bout de trois semaines, les périodes firent leur
première
apparition, pour revenir depuis d'une façon régul
visager toute la gravité de ses accidents con- vulsifs. Lors de son
premier
séjour à l'hôpital (donc peu de temps après), l
es périphériques en trois ans, mais complètement différentes : la
première
, du côté droit, légère, en septembre 1898; la sec
auche, et survenu aussi subitement, et sans troubles cérébraux. A
première
vue, la nouvelle paralysie était exactement la mê
installée. Le plus souvent les symptômes otiques appa- raissent du
premier
au troisième jour, parfois le sixième et le sep-
ng du long supinateur inerte, on perçoit la contraction évidente du
premier
radial externe. Il n'est 378 REVUE DE PATHOLOGI
ophie typique du cerveau et principalement à gauche, et surtout des
première
et seconde tem- porale gauches (figures). A l'a
ans le deuxième groupe par un trouble général de la nutrition. Au
premier
groupe se rattachent les nanismes rachitique et
us dystrophique et toxique dans les manifestations pathologiques du
premier
groupe, permettent de reconnaître un lien de pa
ncontestablement à l'hystérie : aussi la sug- gestion vient-elle en
première
ligne comme traitement E. B. XCV. Contribution
persécution. En même temps, engourdissement des membres. Lors du
premier
examen de la malade on trouve des réflexes lents,
idor voisin pendant que M. Wiglesworth s'occupait de la blessée. Au
premier
abord, la tête semblait avoir été à moitié sépa
tique sans attaques caractéristiques. On n'a pas à s'occuper ici du
premier
groupe. Le second est plus intéressant : les tr
ne désespère pas d'entraîner l'unanimité. Il rappelle que dans son
premier
travail il soutenait - qu'un aliéné ne doit pas
brusquement des symp- tômes de déficit (surdité verbale). Les deux
premiers
accès furent caractérisés par une surdité corti
lombaires ont été pratiquées il quelques semaines d'intervalle, la
première
a permis de diagnostiquer la seconde de ces affec
est difficile. Il reste en suspens pour le SOCIÉTÉS SAVANTES. 421
premier
malade. Le second, dont les mouvements sont plus
limitée à un segment polygonal, quadrangulaire, du champ visuel.
Premier
exemple CLINIQUE. - Cela dit, je vais vous présen
égie; il a succombé à la dernière. Elle a été mariée deux fois, son
premier
mari lui a communiqué la syphilis, elle avait a
'épiphéno- mène de la syphilis cérébrale. Or, tandis que les deux
premières
catégories de manifes- tations - accidents épil
s-corticales, nous sommes donc en droit de conclure que, chez cette
première
malade, l'hémi- anopsie doit être mise sur le c
e je viens de vous en'dire, et je conclus à l'existence, chez notre
première
malade, de lésions diffuses, corticales ou sous
pondérante au niveau du lobe occipital. Nous avons fait, chez cette
première
malade, un essai de traitement iodo-mercuriel;
' la malade n'aille en progressant. Deuxième exemple clinique. Ce
premier
cas est à mettre SUR trois cas d'hémianopsie. 4
tembre dernier, elle a eu une troisième attaque, semblable aux deux
premières
, mais qui n'a pas duré moins de trois jours con
mp visuel des deux yeux, à l'instar de ce qui avait lieu chez notre
première
malade. J'ai dit que c'était là un nouvel argum
visuelles venues de la péri- phérie. Au contraire, les fibres du
premier
groupe, celles qui vont aboutir aux amas gris c
homonyme bilaté- rale ; vous en avez eu des exemples chez nos deux
premiers
malades. Il en sera encore ainsi, chez le trois
'aphémie, on peut mettre en évidence une légère surdité verbale. Au
premier
abord, il semble que le malade comprenne tout c
u lobe temporal gauche; principalement de la partie postérieure des
première
et deuxième circonvo- lutions temporales de ce
- sion de l'apport sanguin dans la zone rolandique, dans les deux
premières
circonvolutions temporales, dans le pli courbe,
le ascendantes, la troisième frontale tout entière, puis les deux
premières
temporales, le pli courbe, la partie antérieure d
s diffuses, comme c'était le cas chez les deux malades présentés en
premier
Archives, 2' série, t. XIII. 30 466 CLINIQUE
constances, une importance indiscutée. C'est ainsi que dans notre
première
observation par exem- ple, le mari infecté au r
ne semble le résultat d'une simple coïncidence. Si dans les deux
premiers
cas, où la syphilis conjugale paraît enjeu, le
fortement rétrécie et ne revient que fort lentement à sa dilatation
première
. La fer- meture des paupières maintenues par l'
diminue peu à la fermeture de l'oeil et recouvre vite sa dilatation
première
. La pupille gauche, insensible, diminue' très for
des reçoivent une nourriture suffisante (257 grammes de viande de
première
qualité tous les jours gras), à ce qu'ils soient
e en revue. Les troubles de l'at- tention frappent l'observateur au
premier
examen ; ils sont cons- BIBLIOGRAPHIE. ë2'l t
'a traité d'une façon fort intéressante. 11 passe en revue dans son
premier
chapitre les causes historiques qui expliquent
recherches ont fourni des résultats souvent surprenants. Les mille
premiers
cas se répartissent ainsi : · 530 VARIA. tr
depuis plusieurs années, d'inscrire, pour chaque malade, après le
premier
examen, le diagnostic et le pronostic, afin que l
vation est classique sur plusieurs points; aussi, semble-t-il, au
premier
abord, qu'elle ne mérite pas que j'en fasse l'obj
ouvé de syphilis; cette constatation est importante. J'ai été des
premiers
, comme vous pouvez en juger par la citation sui
re ses yeux et ses pieds ; il a parfaitement con- servé sa position
première
. Je lui ai commandé d'avancer, et la marche a e
la maladie et des principales formes qu'elle peut revêtir. Les deux
premiers
se rapportent à des tics localisés; le troisièm
main par sa face dorsale, répondant au pre- mier métacarpien et au
premier
espace interosseux, frappe succes- sivement la
de la main droite, l'instrument contondant, qui offre, au niveau du
premier
métacarpien, une coloration rouge foncée. Le ca
st émotionnée, on compte dans une minute six à sept mouvements du
premier
type et deux à trois du second. Il en est de même
ontraction accomplie, le membre, aussitôt, est ramené à sa position
première
, en vertu de la détente mus- culaire par les se
concilie guère avec la théorie d'un organe ramené à sa posi- tion
première
, en vertu de la détente musculaire, mais, en ou
dans les diverses positions prises par la malade, à l'exclusion des
premiers
dont la seule particularité est d'être localisés.
. De ces caractères, celui qui sans contredit offre un intérêt de
premier
ordre, c'est l'uniformité, la cadence avec laquel
plus sou- vent, elle s'éternise, si on peut dire, et ne reprend ce
premier
caractère que lorsqu'elle touche à sa fin, ou b
une et l'autre affection les émotions psychiques ne tiennent pas le
premier
rang dans les commémoratifs des malades ? Que si
rénérallté des faits; c'est elle qui est représentée dans les trois
premières
observations; si pour cette autre malade les mo
351. DE LA MALADIE DES TICS. 39 compris, ce signe a une valeur de
premier
ordre, et sa présence chez la malade confirme l
r le mécanisme avec lequel l'attaque a été constituée dans les deux
premiers
cas, et nous en avons tiré parti pour le diagno
mélioration et la disparition de quelques- - uns d'eux (observation
première
), leur caractère transitoire et intermittent (o
ig- mates hystériques présents dans tous les cas : la paraplégie (
premier
cas), la paralysie crurale avec démarche de Todd,
ttaque et dans les intervalles. Ils comprennent les pares- thésies (
premier
cas), la parésie, le tremblement du bras, la cé
rsonnels Bo... n'a jamais eu de maladies dignes de remarque dans sa
première
jeunesse. Dès l'âge de six ans, il com- mença l
tant très utile de discuter sur quels signes elle était basée. En
première
ligne, il manquait une étiologie satisfaisante
expli- quer pourquoi la paralysie prit la forme hémiplégique. En
premier
lieu, nous devons rappeler que, à l'occasion du t
ix-huit mois que B... avait dû passer à l'hôpital à la suite de son
premier
traumatisme, il est presque certain que les mé-
attitude du malade, l'on pourrait se croire autorisé à l'établir au
premier
coup d'oeil. Arrivés à la fin de notre travail,
myosis pendant toute la durée de l'injection. L'animal est calme.
Premier
arrêt de quelques minutes dans l'injection à 180
François d'Assise, sainte Thérèse, dont les sanctuaires viennent au
premier
rang parmi ceux où se produisent des miracles,
a hanche se remplit et disparait; elle essaye si elle pourra dès ce
premier
jour se servir de ces membres nouvelle- ment ra
Il faut, tout en cherchant toujours, savoir attendre. Je suis le
premier
à reconnaitre qu'aujourd'hui : The1'e a¡'e more t
uvons considérer trois temps dans l'application de cette méthode.
Premier
temps. Le malade est couché sur un plan ho - zo
re alors brusquement et avec force la tête du malade en arrière. Ce
premier
mouve- ment exécuté, l'opérateur laisse un inst
Au cours de ces accès elle fit deux tentatives de suicide. A cette
première
période de l'affection en a succédé une seconde,
a- tion du malade. Il y eut en tout cinq attaques de sommeil : la
première
dura quatre jours ; douze jours après survint une
condaire au point de vue du degré de toxicité de l'urine, l'élément
premier
dépendant de l'intensité de la maladie : chez t
ntôt supérieur en volume au noyau interne. Plus haut, au-dessus des
premiers
trousseaux de la racine interne du pédoncule cé
fibres de la racine ascendante prennent t probablement leur origine
première
dans les parties les plus inférieures de la moe
rescence de celle-ci à la suite de l'ablation expérimentale de la
première
). M. Zagari a voulu contrôler cette assertion à l
sont interprétés d'une façon spéciale. 122 SOCIÉTÉS SAVANTES. Au
premier
abord, on croit avoir affaire à des idées de pers
niers (réaction dégénérative). L'examen anato- mique des muscles du
premier
malade a permis de découvrir, en outre, des alt
epsie, et traités par la méthode chirurgicale de 31. Burckhardt. La
première
observation a trait à un homme de dix-neuf ans, q
oduit ultérieurement qu'un prolapsus cérébral passager; réunion par
première
intention sans fièvre Guérison complète et défini
s gauches du champ visuel. Rien à l'ophtalmoscope. L'amaurose des
premiers
temps tenait évidemment à une hé- miopie bilaté
es du bout central et des cellules dont ils proviennent. Expérience
première
: le nerf facial d'un cobaye adulte est arraché
importance revient aux antécédents héréditaires (56 p. 100) et aux
premières
couches (45 p. 100). Quant aux causes détermina
e du côté lésé a lieu : 1° dans les fibres arquées d'association du
premier
ou du deuxième ordre; 2° dans un système de fib
rté avec les cas que M. Huchard a proposé de nommer du nom de leurs
premiers
observateurs, maladie d'Adams- Stokes. AI11.
). L'exécution des planches est en tous points remarquable, et ce
premier
fascicule permet de préjuger de ce que sera la pu
dix malades de chaque sexe avant leur admission proprement dite. Au
premier
, habitation du directeur et des soeurs auxquell
t ,est; réservé,' pour le rez-de-chaussée, à. des ateliers, pour le
premier
étage à deux appartements de médecins. Tout près
aires, soit 320 indigents et 100 pensionnaires (20 pensionnaires de
première
classe, 80 de seconde classe)..... . . 5" Le
bserve parfois chez les hysté- riques sont autant de traits qui, au
premier
abord, pour- raient en imposer et faire croire
res, sortes de terreurs nocturnes qui s'emparaient de lui pendantle
premier
sommeil, le faisaient sortir du lit, se précipite
et fesse), cette atrophie est très prononcée. Contraste choquant au
premier
coup d'oeil avec le membre du côté droit. DU
ou qu'on place au-dessous du menton un écran ; tandis que dans le
premier
cas, elle s'effondre, dans le second, elle contin
uscu- laire parfaitement normale. Léonie est née à terme. Dans sa
première
enfance, elle était superbe. A l'âge de dix-hui
ent, envahissant ensuite des départements musculaires, qui lors des
premiers
examens avaient paru presque indemnes. A la f
t dans leur intérieur des corps chromatiques, qu'on prendrait, au
premier
abord pour des noyaux, mais qui rappellent aussi
ence sur le nerf radial, donnaient à celui-ci une apparence qu'au
premier
abord on aurait pu prendre pour pathologique. C
elle n'est plus soutenable; du reste M. Metchnikoff revient sur ses
premières
assertions dans un travail récemment publié dan
culaire, désordre transmis par hérédité : en cela réside la cause
première
de l'altération. Son apparition dans l'enfance
habituel sur le sien. Sueurs faciles, souffle ronflant, vibrant au
premier
temps, pâleur très accusée des muqueuses buccal
e d'un côté. Depuis, il n'a pas eu d'autres accidents convulsifs. -
Première
dent à cinq mois. Den- 7 ? 2 î. idiotie congé
nstruction : « Il faudrait désormais moins de cérémonies de pose de
premières
pierres, mais plus d'emploi courant de la briqu
yphilis sur l'évolution et les accidents cliniques, l'apparition du
premier
ictus à l'âge de trente ans, l'intégrité du coe
convulsions cloniques et toniques; 3° la localisation centrale des
premières
; 4° la disparition de ces convulsions, dès la pha
ième et au quatrième stade de déve- loppement, tandis que celles du
premier
et du deuxième stade demeurent intactes. Le cor
troisième stades de développement; intégrité de celles relevant du
premier
stade; dégénérescence moyenne du segment postér
n- tracture psychique serait moins marquée et plus modifiable. La
première
ne disparaît pas pendant le sommeil, tandis que l
la Société médicale de Londres; elles sont au nombre de trois. La
première
est consacrée à la pathologie de la syphilis ; l'
, dit le Médical Record du 28 mai 1892 (p. 610), que le D1' GARDES,
premier
aide à l'institut pathologique de l'université
te vérité sera encore confirmée cette année, puisque dans les douze
premiers
jours de janvier il n'y a pas moins de sept méd
opa- thique. Antécédents personnels. - Sa maladie actuelle est sa
première
maladie. Il avait toujours eu une santé parfait
r les cas où elle est à peine dessinée. Cette scoliose se montre au
premier
coup d'oeil est accompagnée des autres dé- ' Dé
qui ne sont que l'exa- gération de l'instabilité psycho-motrice. En
première
ligne, se ren- contrent les obsessions conscien
té, action sur toute l'écorce cérébrale d'une poliencéphalite de la
première
enfance. Question presque insoluble dans le cas a
érédité inconnue; début il y a cinq ans, à l'âge de trente-six ans;
première
période inconnue; délire de persécution systéma
aire dans chaque cas. Comme on le voit, l'auteur en est resté aux
premières
idées de M. Gérente et ne s'est pas assimilé pa
plus vagues, mais analogues, et participant probable- ment des deux
premières
variétés. A ces trois groupes, il faut ajouter
e M. RICH.1RZ, fonder la Société psychiatrique en question. A cette
première
séance assistaient MM. Besser, Brosuis. Dichl,
blissement. Ce fut seulement le 16 novembre 1879 que M. Ball fit sa
première
leçon ', c'est-à-dire plus de deux ans et demi
sidérait comme plus scientifique de ne pas donner, au moins dans ce
premier
volume, une définition générale de la maladie.
ant autour d'un phénomène « dominateur , c'est-à-dire en mettant au
premier
rang un caractère déclaré par hypothèse le plus
ces périodes de seconde exis- tence dont M. Azam a montré l'un des
premiers
et des plus curieux exemples et qui ont été dep
ité. Cet état est provoqué de diverses manières : quelquefois, la
première
personnalité, le premier groupement des phénomène
lles. Cette seconde pensée existant au-dessous et en dehors de la
première
n'est pas pour nous un phénomène nouveau. Il est
tait alors très peu comprise. « L'état incomplet de la personnalité
première
, dit-il, cons- litue les tares hystériques, il
isant une personne bien portante, en général on obtiendra l'une des
premières
phases du petit hypno- tisme de Nancy. Il est p
onscient pendant la vie, totalement oublié au réveil. Si le rêve, à
première
vue, diffère des opérations de l'esprit à l'état
'arthrite ou le phlegmon, mais, dans tous les cas, la névrite à son
premier
stade de développement. En faveur de cette théo
essément un petit groupe, celui de la folie systématique primitive (
premier
Ver1'ucktheit), Au contraire, MEYNERT et ses él
t bien, pour être compris d'un plus grand cercle de lecteurs. Cette
première
partie a été l'objet d'éloges unanimes et mérit
la neuropathologie russe et fondateur de cette société .savante. Ce
premier
fascicule est rempli de travaux originaux très
vieil argent. Continuant sa promenade, elle se rendit à un rayon du
premier
étage, à peu près désert à cette heure-là, et s'e
de matité précordiale, un assourdissement et une prolongation du
premier
bruit. Les artères sont nettement athéromaleuse
misphère droit est recouvert d'un épanchement hémorrhagique, qui, à
première
vue, parait infiltré dans la méninge molle et don
rtains cas. M. Voisin ajoute que cette excitation s'accentue à la
première
période et l'attribue à l'hypércsthëaie, l'excita
ésie. De tous les états d'excitation, nous apprend M. Sollier, la
première
période de la paralysie générale est celui où l'é
des excès sexuels coïncident quelquefois avec le développement des
premiers
germes de la maladie et quand ils semblent être
ardée, et l'impuissance totale; 2° aux seules périodes prodromique,
première
et deuxième : l'affaiblissement, l'impuissance
d du lobule de l'insula qui, lui, a'trois digitations dont les deux
premières
sont bifurquée's. Face interne. Aucun îlot sclé
erse de celui de la famille syphilitique, c'est-à-dire que, dans la
première
, ce sont les premiers enfants qui sont normaux, p
au delà de la première enfance, puis d'autres qui meurent dans la
première
enfance, puis des mort-nés, et enfin il n'y a plu
bserve par exemple lorsque la mort des premiers-nés dans leur toute
première
enfance estle résultat d'une conception qui s'e
rveiller, en les intéressant par les leçons de choses. Telle est la
première
partie. La seconde partie, toute à la clinique,
dats suivants, tous reconnus admissibles par le jury, savoir : En
première
ligne, ex-sequo : MM. Manheimer et Truelle (84 po
n de Lille, brillant aussi, s'est terminé par la nomination de : en
première
ligne, M. Raviart ; en deuxième ligne, M. Brune
her et qu'ils ont perdu le dernier vestige de leur énergie dès le
premier
effort, infructueux et désespéré de se remettre
9 initiaux (main et bras gauches) furent aisément déterminés. Une
première
couronne de trépan est appliquée à un demi-centi-
sont restés stériles. La plaie est refermée, la réunion se fait par
première
intension. Dès le premier jour le nombre des ac
maladie et les lésions trouvées à l'autopsie rapprochent ce fait du
premier
cas de Cullins cité plus haut. Est-ce à dire
cines créée par la méningo-myélite syphilitique. Il semble bien, au
premier
abord, que nos malades sont des exemples de cet
uerelles de ménage, coups. Vomissements abondants pendant les trois
premiers
mois. - Première dent à dix mois; ci cette époq
e, coups. Vomissements abondants pendant les trois premiers mois. -
Première
dent à dix mois; ci cette époque, convulsions.
nce. FOLIE DE L'ADOLESCENCE. 113 affaiblissement de la mémoire. -
Premiers
troubles intellectuels, hallucinations visuelle
ITS. cet évanouissement. Vomissements fréquents pendant les trois
premiers
mois ; elle n'a pas eu d'attaques d'hystérie dura
particulier. - La mère l'a élevée au sein pendant quatorze mois.
Première
dent à dix mois, on ignore à quelle époque la den
ontinence nocturne d'urine. Elle aurait eu des convulsions après sa
première
dent, trois dans la même journée. localisées à
i nous apparaît sous la forme scrofuleuse dont le goitre est un des
premiers
symp- tômes et la dégradation intellectuelle un
a périphérie sans s'y étendre ; cette disposition continue jusqu'au
premier
segment sacré ; mais le cornu commissural attei
autrement que les fibrilles nues, cela provient de la structure des
premières
et de la çoparticipation d'éléments névroglique
ides en traitement en septembre 1897. 142 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
premiers
temps; une fois que le régime est commencé, il n'
. XX, p. 290.) L'auteur donne ce nom aux mouvements inconscients du
premier
âge, auxquels il attribue une origine ancestral
pendantes du cerveau et de l'oeil; elles se sont produites dans les
premières
semaines du développement foetal à l'époque du st
E PATHOLOGIE NERVEUSE. 157 droite, ramollissement cortical des deux
premières
frontales. s'étendant dans la couche blanche à
urée depuis dix ans à un degré modéré de développement, bien queles
premiers
éléments en soient apparus de très bonne heure
Je n'ai trouvé au contraire dans la littérature aucune mention du
premier
symptôme. J'ai recherché ces deux phénomènes ch
ux (sphère visuelle). Mes expériences ne portent que sur les deux
premiers
centres. Leurs résultats peuvent être résumés e
heures : 1° Nomina- tion du bureau ; 2° Discours du président ; 3°
Première
question, Pathologie mentale. Psychoses de la p
ergues (Vaucluse), en remplacement du Dr Lent; M. le Dr IAVIAI1T,
premier
du concours de Lille, nommé médecin-adjoint à l'a
Dury (Somme), en remplacement du Dr BUBEG, décédé; M. le Dr BicuE,
premier
du concours de Montpellier, nommé médecin-adjoi
extraordinaires; 40 privat-docenten ; 998 étudiants 1.) . Une -des
premières
en Allemagne, l'Université bavaroise de Wùrzbou
autres pavillons, symé- triquement disposés à droite et à gauche du
premier
, comprennent chacun trente malades de chaque se
r plus à-y y revenir, de l'affectation des locaux du sous-sol et du
premier
étage. Le sous-sol des trois pavillons composan
à la buanderie, à la cuisine, aux magasins, etc.. ; ? - . Pas de
premier
étage, sinon au-dessus de la partie antérieure de
nce (2° et 3° pavillons) sont des bâtiments à rez-de-chaussée. Au
premier
étage du pavillon central se trouvent de vastes
oratoires de chimie, de physiologie. Les pavillons latéraux ont, au
premier
étage, les logements des médecins et quelques cha
mmuniquant avec une salle de bains, enfin un autre vestibule. Cette
première
section destinée aux malades paisibles comprend
atifs, la policlinique (consultation externe), la bibliothèque ; au
premier
étage : les laboratoires de chimie, d'histologi
le musée, la salle d'autopsie, la salle des cours. Les logements du
premier
et du deuxième assistants, chargés l'un de la d
l'autre de celle des femmes, sont situés au rez-de-chaussée et au
premier
étage et disposés de façon à permettre aux assist
ons pathologiques et les paralysies, à poser les lois suivantes :
Première
loi. Chaque variété de secousses et de para- ly
vue de l'évolution, en six groupes : .' 1° Morts dans le cours du
premier
accès, 3 cas ; 2° Démences pré- coces, 33 cas.
coces, 33 cas. La démence précoce s'est produite chez 18, dès le
premier
accès ; chez 9, dès le second ; chez 2 à la suite
perdus de vue après le premier accès, 30 cas. L'aspect clinique du
premier
cas observé permet de les confondre, au point d
Elle peut donner lieu à des troubles morbides de trois degrés. Au
premier
degré, c'est une simple exagération du phénomène
me que dans le tabes, la lracture sponta- née a pu se montrer comme
premier
symptôme à la période pré- tabétique, de même e
étique, de même elle peut exister à la période préparalytique comme
première
et unique manifestation de la paralysie générale.
motilité volontaire. Dès maintenant, nous serions en possession des
premiers
matériaux à l'aide desquels nous espérons recon
la dégénérescence, congé- nitale ou acquise, un rôle étiologique de
premier
ordre. Dans le développement des maladies menta
ne. En effet, il peut y avoir des abus avec le régime au lit. -Le
premier
que je voudrais signaler c'est que ce système pré
it; d'un autre côté la diminution d'usage des cellules est un des
premiers
bienfaits de ce régime. 3. La régularisation ex
teur, qui n'eu), pas de suite. Le 3 février 1897, il avait fait une
première
entrée à l'hôpital Desgenettes, où il avait été s
exophtalmique, comme on le croyait autrefois, mais un rôle de tout
premier
ordre. L'infection se localise pendant la pério
dirai rien; je me bornerai à faire certaines remarques à propos du
premier
. J'ai en ell'et soutenu moi-même une théorie se
er de meilleurs termes de comparaison pour établir le mécanisme des
premiers
que de m'adresser aux derniers, d'au- tant plus
mieux compte encore du méca- nisme de la mémoire au moins dans ses
premières
phases. De même pour l'analogie entre l'élément
les déformations). Jugeant par ce que nous savons de l'histoire des
premiers
habitants du Mexique, qui pratiquaient une défo
ent dans le traitement de la folie ou clictolhércclfie. L'auteur du
premier
rapport, M. le professeur Korsakow est mort peu a
Le malade sera mis au lit dès son arrivée, ou plutôt après le bain,
première
application thérapeutique. Comme il est indispen-
ions, après la destruction ou l'affai- blissement de la fonction du
premier
, se déchaînent au moins pour quelque temps libr
c.) Nous devons mentionner une variété particulière d'aphasie de ce
premier
330 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. groupe
t vrai surtout pour la mélancolie qui survient de cinquante ans aux
premières
années de la soixantaine : dans cette période,
l'art de natter les crinières, travail qui n'est pas à la portée du
premier
venu. Ce n'était pas seulement Montjarret, mais
fé- rents bancs, jusqu'à ce qu'il arrive à mettre son pied sur la
première
marche de la plate-forme (fig. 7), qui lui servir
iale et conformément aux indications formulées par Griesinger (la
première
est celle de Ileidelberj). C'est le professeur Fl
al : les sujets affaiblis au rez-de-chaussée ; les pensionnaires de
première
classe au 1er étage, ceux de deuxième classe au
al : le premier groupe (agités), au rez-de-chaussée, le second au
premier
étage. La population des différents quartiers v
lle spécialement affectée aux repas, sauf pour les pensionnaires de
première
classe (dames). La surface et la capacité des l
t de pierre. Le chiffre normal de la population est de'1 aliénés de
première
classe, 6 de deuxième classe, 73 de troisième c
-closets et les bureaux de l'économe. Un escalier double conduit au
premier
étage. Premier étage (hauteur 4 m. 50). Les loc
ureaux de l'économe. Un escalier double conduit au premier étage.
Premier
étage (hauteur 4 m. 50). Les locaux sont distribu
de laboratoires et de musée; par la bibliothèque et le logement du
premier
assistant. A l'étage supérieur, mansardes et lo
iers. C. Les villas possèdent un sous-sol, un rez-de-chaussée, un
premier
étage et un grenier. Ce sont les seuls pavillons
à l'aide de vitres placées à la partie supérieure des portes. Au
premier
étage (4 m. 05 c. de hauteur), même disposition d
bâtiment postérieur (i m. 50 c. de hauteur) renferme la cuisine. Au
premier
étage des deux bâtiments : logements du personn
s en trois catégories, suivant le taux de la journée d'entretien.
Première
classe : 1° Par jour : 37j gr. de pain ; 50 gr. d
avec salade, fruits, etc. Les médecins ont le menu des malades de
première
classe, mais en outre ils font un second déjeun
motrice (hallucinations combinées). Tous les phénomènes de cette
première
catégorie peuvent être considérés comme de véri
nstant suffisant pour provoquer une contraction complète. Les six
premières
expériences démontrent que avec la cathode galv
essivement établi puis supprimé confirment les résultats des quatre
premières
. Les six expériences suivantes destinées à cont
ort instantanée s'est produite sans,cris et sans.- plaintes. Dès le
premier
moment la respiration est arrêtée, et les batteme
as que j'ai observé la réaction de Jolly qui manquait dans les huit
premiers
jours n'a pas tardé à apparaître et la maladie
e, de deux à douze minutes suivant la tolérance de la peau. Cette
première
partie du traitement a un' double but et un dou
de basée sur la myélinisalion, quelque brillants qu'apparaissent au
premier
abord ses résultats, est bien loin d'être suffi
ick, également d'origine orga- nique. Il s'agissait d'une lésion du
premier
lobe temporal gauche, dans le gyrus supramargin
mposant ci. l'esprit d'une façon paroxystique, et sous l'incitation
première
et essentielle de l'émotivité, une idée, un mot
ela même qu'il doit se résoudre en une fonction complexe ayant pour
première
condition de rapprocher, d'unir étroitement deu
dans celle cond tion à la fois nécessaire el suffi- sante. B. Au
premier
abord, rien ne semble plus en contradiction que
rendre toute la portée et l'intérêt. r Relevons encore dans cette
première
partie les statistiques rela- tives à J'état du
rier ou se laissent gronder, mais une fois qu'ils ont surmonté leur
première
répugnance, animés par l'exemple des autres et
Paris, m'a offert le secours de son expérience, et, témoin de nos
premiers
essais, il a conçu un projet d'éducation musicale
ois types les cas de paralysie générale qui peuvent'se présenter.
Premier
type. 7'a&eMe.'réflexes rotuliens manquent ;
ce pour atteindre ce but. Le département de la Seine, toujours au
premier
rang lorsqu'il s'agit d'oeuvres d'assistance et
e 1889 nous avions fait adopter un article ainsi conçu : AtITtCLE
premier
. Les établissements destinés au traitement el à
supérieur de l'Assislance publique, un arlicle analogue : Article
premier
. Les établissements destinés au traitement el c
sse intellectuelle. Le moins violent était hémiplé- gique depuis sa
première
enfance. - L'idiotie morale est produite par de
mort. Au point de vue anatomo-pathologique, il s'agissait dans la
première
observation, d'une congestion méningée, sans aucu
t qu'il en existe des variétés, des formes nombreuses. Si sur cette
première
question je me trouve en désaccord avec M. Mari
ionnés par un fou furieux qui était monté dans un compartiment de
première
. Après avoir quitté la station de Pontoise le c
te d'alarme. Il fit stopper le train et courut à un compartiment de
première
classe, où un individu, la tête à la portière,
Asiles D'ALIÉNÉS. - Nominations et promotions : M. le Dr Jacquin,
premier
du concours de Lyon, nommé médecin adjoint à St-Y
ard, et il a tou- jours marché lourdement, les jambes écartées. Ses
premiers
mouvements ont toujours été difficiles, raides.
sion, un sillon profond sous l'électrode excitatrice, au moment des
premières
contractions du muscle, puis le spasme myotoniq
hariot- de Tripier avec interrupteur à balancier de Gaiffe. Notre
première
planche de-tracés reproduit l'inscription de troi
165 fois à la minute (2 interruptions 2/3 par seconde). Pendant la
première
seconde, il se produit dans le muscle, à chaque i
En raison de l'instrumenta- tion, dont nous disposions, les 2 ou 3
premières
intermittences de l'inter- rupteur se trouvent
s pour les fibres des différents systèmes. Ceci paraît improbable à
première
vue. Il paraîtrait que la lésion étant la même, l
côté droit est beau- coup plus marqué que celui du côté gauche. Au
premier
abord, on croirait à une hémiplégie faciale du
alade ayant été complète- ment sourde de l'oreille droite depuis sa
première
jeunesse à cause d'une otorrliée de ce côté, il
mouvements respiratoires étaient si lents et si superficiels qu'au
premier
coup d'oeil on n'au- rait pas soupçonné 40° de
traitant. La disparition momen- tanée à la suite des deux ou trois
premières
séances devint dans la suite durable et la mala
s la position, quelle qu'elle soil, où on cherche à les fixer. Au
premier
abord les mouvements paraissent très compliqués,
oins prononcés à la troisième articulation phalangienne qu'aux deux
premières
. Quant à l'abduction, elle répond habituellemen
Observation II. (Personnelle. Inédite). Athélose double, datant delà
première
enfance, occupant la face el les quatre extrémi
emuer ses membres, manger ou même s'as- seoir. A deux ans et demi
première
attaque de convulsions ; durée de neuf heures d
niers. Peu de temps après, en faisant un pont de bateaux, il eut sa
première
attaque, et tomba il l'eau. Il serait resté san
la langue. En général il tombe sur le côté droit. Pendant les 10
premiers
mois de son séjour à l'hospice, il n'a eu que deu
ment. État physique. - G., quoique maigre, parait bien constitué au
premier
abord. Taille 1.77, envergure 1.77, poids 64 ki
t son maximum el disparaît ensuite graduellement. A la fin de celte
première
excitation, qui n'a été prolongée que pendant 3
iqué sur le tracé non seulement par l'espace qui sépare chacune des
premières
contractions, mais encore par le niveau occupé pa
uscle se décontracté d'abord assez rapidement (f à u) pendant les 4
premières
secondes ; à ce moment la décontraction devient
c- tion, sur ce tracé comme sur beaucoup d'antres (1). - Les deux
premières
lignes de celle figure ont été inscrites dans les
flement secondaire du muscle sont encore des plus nets sur les deux
premières
lignes, A et B de la figure 1(i qui repré- sent
tains cas (notamment sur les tracés de la figure 15 et sur les deux
premières
lignes de la figure 16, etc.), au moment où ces
lesquelles se produisent les mouvements ondulatoires. Pour les deux
premières
lignes A et B, qui représentent le début de l'exp
spinale existe. Le mot prodromique caractérise donc bien mal cette
première
période ; c'est pourquoi j'ai pro- posé, y a vi
r en s'aidant de béquilles comme il fait aujourd'hui. J'avoue qu'au
premier
abord, lorsque le malade nous arriva ici, je n'
condition de rejeter le haut du corps en arrière, nous constatons à
première
vue un élargissement très marqué des hanches, e
t venir en aide il de nouvelles recherches et y inciter. CHAPITRE
PREMIER
MALADIES DE LA MOELLE. Nous n'avons pas il no
abitude, manifestés les premiers symptômes. Généralement, ]e côté
premier
atteint continue à présenter, pendant toute la
histoire d'un malade qui présente au contraire une scoliose légère,
premier
stade d'une déformation qui pourra par la suite,
ut précéder les autres symptômes, et dans un cas de Friedreich, les
premiers
troubles ataxiques apparurent à l'âge de 17 ans,
eich, et dépendant peut-être d'un processus anatomique différent du
premier
. ' I. Al'tll1'opathies et fractures de la colon
E LA SALPÊTRIÈRE. ligne verticale que condiment les apophyses des 5
premières
vertèbres dorsales. Au-dessous de la 5e vertèbr
me un angle sail- tant en arrière et ;i gauche. C'est au niveau des
première
el deuxième ver- '158 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
utres vertèbres lombaires sont beaucoup moins altérées que les deux
premières
. Leur corps est cependant recouvert de petites sa
uosités de la courbe cle la décontraclion lente. Pour la ligne D la
première
excitation, faite après un intervalle de repos d'
t ; la bobine induite était écartée de 10 centimètres pour les deux
premières
lignes, et de 11 centimètres pour la troisième, m
mouvements ondulatoires à un haut degré de développement. Les trois
premières
lignes représentent l'ins- cription recueillie
assez peu fréquentes, 2 à 15 par seconde, produisent au début de la
première
excitation, lorsque les muscles ont été laissés a
mptôme différent qui est, au même titre qu'eux, l'effet de la cause
première
qui les a produits. Les caractères des mouvemen
mouvements athétosiques augmentent beaucoup, principalement dans la
première
moitié du temps nécessaire à l'accomplissement de
mp- tômes pourrait, dans quelques cas, faire légèrement hésiter, au
premier
abord, le clinicien. Maladie de Parkinson. La
use. De ce que la déviation a sur- vécu quelque temps à l'affection
première
, on ne saurait conclure qu'elle (1) Voy. len»3,
ronc s'incline du côté malade. Celle variété a été signalée pour la
première
fois par M. Brissaud. Nous en avons nous-mème obs
chis lombaire, elle peut néanmoins permettre souvent de découvrir à
première
vue l'exis- tence et le siège d'une sciatique.
que et la sciatique spasmodique avec scoliose homologue, lorsque la
première
s'accompagne de douleur sciatique. L'attitude est
ormités fréquentes, au moins des difformités graves et manifestes à
première
vue. Nous avons exa- miné, superficiellement il
nante du côté relativement respecté, et la concavité de la courbure
première
a-t-elle tendance à se tourner de ce côté. Les au
hie viscérale. Deux autres ont succombé à des convulsions dans leur
première
année. Quatre sont vivants, bien portants, bien
par M. Dutil en 1889. Quant au troisième malade, Rab., il simule au
premier
abord, une con- tracture post-hémiplégique, dan
ire de la maladie. Mme Ot. raconte que sa maladie a débuté dans les
premiers
mois de 1890 à la suite d'une grande frayeur ; ma
S DE LA MALADIE DE PARKINSON. 227 resté longtemps hésitant lors des
premiers
examens ; aujourd'hui, le doute est peut-être e
e. A l'heure actuelle, quand on voit marcher le malade, on aurait à
première
vue tendance à le croire atteint d'hémiplégie d
emière planche de ces tracés, figure 22, se divise en 2 parties. La
première
? à 5°, représente l'inscription des secousses pr
lie sur un autre malade de la clinique (homme hystérique). Les deux
premières
lignes représentent les secousses produites par
ne se produit pas de secousses à l'ouverture du courant, pour les 2
premières
excitations, mais ensuite nous voyons apparaîtr
modérée de courant, d'a- bord quelques secousses correspondant aux
premières
interruptions,, puis apparaissait un spasme myo
ntion suffisamment prolongée de toute excitation, les modifications
premières
de la contractilité se reproduisent bientôt. De
ceux des mouvements athétosiques que nous avons étudiés dans notre
premier
chapitre, moins violents, très affaiblis et que
eux des mou- vements athétosiques que nous avons étudiés dans notre
premier
chapitre, moins violents, très affaiblis et que
C'est habituellement dès la première enfance que se manifestent ces
premiers
indices de l'athétose double ; on peut même dire
et Audry, qu'elle doit très fréquemment se développer dans les deux
premières
années de la vie. C'est d'ailleurs à cette époque
ncursion dans le domaine de l'art moderne et de reproduire une. des
premières
oeuvres du sculpteur Alfred Boucher : Tobie ren
ue des oeuvres anciennes ayant trait aux choses de la médecine. La.
première
tient à la beauté de la composition et à l'exac
ades et citées par les auteurs comme ayant précédé l'apparition des
premières
manifestations de la maladie. Parmi elles il nous
hyxie, a crié de suite. Elevé au sein par la mère, sevré Ù 2 ans.
Première
dent à 6 mois. Il était précoce pour ses dents ma
eure gauche présente une coloration grise très nette. Pendant cette
première
partie de l'examen et lorsqu'on y sépare les deux
is. 1882). Delpech. De l'orthomorphie, 1828. - Déjerine et Sollier.
Premier
cas d'autopsie d'athétose double datant de la pre
e la fourchette slcrnale à la jonction des clavicules ». Les deux
premières
égalités se retrouvent sur notre canon avec cette
ent an n° 6 de la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière. Les cinq
premières
années de la nouvelle Iconographie de SUPPLÉMEN
par livraisons de 3 fr. Table des matières contenues dans les douze
premières
années (1876-1887), 3 fr. La Revue philosophiqu
n Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie. Il ressort de son
premier
chapitre que seuls, les noms de Ch. Lepois, de
évrose. Cette pauvreté d'observations utilisables s'explique par ce
premier
fait que l'hystérie était mal connue autrefois,
sommes de la sûreté des méthodes qui sont entre nos mains (1) ».
PREMIÈRE
PARTIE HYSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANI
MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 315 CHAPITRE
PREMIER
SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE L'HÉMIPLÉG
Les crises convulsives ne se sont pas renouvelées. Le malade qu'au
premier
abord on est tenté de considérer comme atteint
la région cervicale inférieure, au-dessus de la clavicule. Dans le
premier
cas c'est le ganglion inférieur du grand sympathi
es sur la faradisation vaso-constrictrice thérapeutique en 1876. Ma
première
observation porte sur une jeune dame qui se pla
lle moyenne qui était quelquefois visible grâce à la perforation du
premier
. La rougeur inflammatoire pâlissait graduelleme
de M. le professeur Slaviansky. LA FARADISATION THÉRAPEUTIQUE 381
première
catégorie la perte des mouvements et delasensibil
hrodite en bronze de Polyclès fils de Timarcilide, artiste grec des
premiers
temps cle la période gréco-romaine et qu'il ne
du sympathique. Trajet récurrent ou incidence oblique : voilà un
premier
caractère; ce n'est pas tout. Une artériole ne
hes sont communes aux deux nerfs, elles se divisent à la surface du
premier
d'entre eux, puis se prolongent jusqu'au second
. Arrivons aux nerfs des plexus. Ici, la complexité est grande, à
première
vue. Le plexus brachial constitue un bon sujet
b). IDÉES DE grandeur alternant avec LES IDÉES DE PERSE- CUTION. A
première
vue, les malades de cette catégorie ne diffèren
es, non FORMULÉES. -Dans les observations qui précèdent, les quinze
premières
sont certainement des exemples de délire chroni
années, sont restés néan- moins sans aucune velléité ambitieuse. En
première
ligne, j'en citerai un, qui rentre dans la caté
e, le malade a été soumis au régime et au traitement. Dans les deux
premiers
mois la glycosurie a diminué alors que les mani
morrhagies rétiniennes; 5° l'atrophie du nerf optique. Les quatre
premiers
n'existent pas chez notre malade. Quant à l'atr
minée douloureuse. » Aux mains, l'engourdissement occupe les deux
premières
phalanges des doigts. Enfin il accuse une sensa-
veux, l'atté- nuation, l'arrêt ou la disparition de la maladie la
première
en date, lorsque survient la seconde, n'est pas
I, p. 589). « Sans doute, dit-il, il est difficile d'admettre, au
premier
aspect, que beaucoup d'arrêts de développement,
oux hystérique d'ailleurs, représente un type fonda- mental dans ce
premier
groupe. Les autres bruits sont au contraire ins
et guérira très certainement; je n'oserais pas en dire autant de 11
première
. Le diagnostic serait plus facile s'il s'agissa
r plus long trajet dans les cordons postérieurs. - 2. Les fibres du
premier
sys- tème de la zone radiculaire moyenne émanen
oupes organisés dont nous venons de parler. Sont atteintes : '. des
premières
: les zones radiculaires moyennes - les zones,
s cornes postérieures (le réseau des colonnes de Clarke est pris le
première
, les fibres les plus fines sont finalement attein
tion frontale gauche. Si la lésion est très exactement limitée à ce
premier
faisceau, l'aphasie est le seul symptôme apprécia
on cérébrale, la troisième paraissait être une combinaison des deux
premières
. Mais l'anatomie pathologique et l'étude micros
.GAL j par J. PIEUM.\NN. (Alla. Zeitsch. f. Psych., XLVII, 3, 4.)
Premier
cas. On relève : hérédité, tendance à poussées cé
ie en deux parties, qui font l'objet de deux volumes. C'est le tome
premier
qui vient de paraitre, traitant^de l'hystérie n
'auteur donne la clef de la plupart des phénomènes hystériques Ce
premier
volume, illustré de figures dues à M. Paul Richer
vient au système nerveux ou au trouble de la nutrition, comme cause
première
; mais que pourtant, ils ont une grande tendance
veillantes eussent eu le temps de s'en apercevoir. A la suite de ce
premier
enlèvement, le directeur de l'asile prévint les
iénés. Ainsi que nous l'avons déjà fait remarquer, le coucours pour
premier
résultat d'éliminer les candidats, qui, n'ayant
tretien s'élèveront à 61,000 fr. par an d'entretien et les frais de
premier
établissement à 15,000 fr. » (L'Eclair.) Le dép
s que des journalistes, un peu compétents, puissent assister à la
première
scène et à l'embarquement des aliénés. Leurs arti
r. d'amende pour exercice illégal de la médecine. Ce n'est pas la
première
fois que le directeur de l'Institut dynamodermiqu
genre feront doublement regretter sa perte. Malgré la rapidité des
premiers
secours et l'arrivée successive des pompiers d'
il alla, en pleurant, se constituer prisonnier entre les mains des
premiers
agents qu'il rencontra. L'élat do 1111° Gervais
fection actuelle. Il n'a pas eu de convulsions dans le cours de ses
premières
an- nées. Il a marché et parlé de bonne heure ;
e pas d'hallucinations. NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. IS9 C'est du
premier
, du délire de persécution de La- sègue qu'il s'
s semblables, mais qui n'eurent pas les terri- bles conséquences du
premier
, se reproduisirent à des intervalles irrégulier
estions les plus simples et il est incapable de compter au delà des
premiers
- nombres. Mais il a le caractère'gai, il joue
'a' 1 pas. On ! se contentera d'établir 'qu'il est' nuisible au !
premier
chef, et on s'efforcera de le mettre dans ¡'im-)
du pseudo-tabes. ' ,. 184 PATHOLOGIE NERVEUSE. A côté de cette
première
catégorie de signes com- muns aux deux maladies
s le. tabes comme dans le diabète leur donne une impor-. tance de
premier
ordre. Appartiennent à l'ataxie loco- motrice p
e que nous venons de tracer peut donc permettre de répondre à cette
première
question : Etant donné un diabétique chez leque
ous (Oppenheim, Reumont, Fischer). Ils ont donc une importance de
premier
ordre et ils doivent toujours être recherchés.
ymptômes, presque pathogno- moniques - nous voulons parler des deux
premiers
sont absents, de fortes probabilités s'ensuiven
u des hal- lucinations de la vue. Mais voici le fait. Lors de son
premier
accès, elle se lève un matin à S heures, se cro
la malade a eu la z syphilis, et cela au moment de l'apparition des
premiers
troubles intellectuels. Au point de vue de l'
huit mois, elle éprouve dès les premiers mois de cette grossesse sa
première
attaque de sommeil qui depuis s'est renouvelée pl
des mouvements d'ensemble. En un mot, ses carac- tères sont ceux du
premier
cas. La malade raconte que l'attaque de sommeil
Plus tard encore il se produisit de l'hémianopsie, absente dans la
première
année qui suivit l'attaque. Autopsie : Examen att
M. LE Président. Ma foi, les infirmières se sont défendues. .' .Le
premier
témoin entendu est Mm0 Dourches, la mère de Louis
tte malade dont l'étude me semblait devoir être d'une importance de
premier
ordre dans la question si controversée des névr
co-scrofuleuse, décolorée, anémiée, toujours souffrante ; - dans sa
première
jeunesse, elle a eu une coxalgie, suivie de luxa-
- chaque après-midi, deux crises régulières de somnambulisme, la
première
à 1 heure, la deuxième à 8 heures, toutes crises
r, et mangea une partie des ali- ments qu'on lui avait servis. Sa
première
grande 'crise du matin vint comme d'habitude, p
, ses règles ayant paru quelques heures avant. ' Encouragé par ce
premier
résultat, conforme à mes espérances, je pris à
ce à haute voix et se sent soulagée. Le centre auditif de l'écorce (
première
temporale) est dans un tel état d'éréthisme, qu
isant en spino-cérébrale postérieure, elle se donne, sans choix, au
premier
venu. Puis elle est prise d'une vive affection
C'est donc l'anes- thésie hystérique qui doit être l'objet de notre
première
étude psychologique. Je dis étude de psychologi
ent ce symptôme particulier du tabes, que M. Charcot a été l'un des
premiers
à décrire, et qu'il a appelé le masque tabétiqu
s et j'électrisais en réalité avec de simples morceaux de bois. Mon
premier
mou- vement fut de m'écrier et de rattacher les
mois d'octobre dernier, un jeune homme de seize ans qui avait eu sa
première
attaque d'hystérie à la suite d'une forte fraye
Je sens, je vois 2. » Cette seconde définition, loin d'éclaircir la
première
, nous semble en complète contradiction avec elle.
rsonnelle même avec des sensations musculaires.M. Par exemple, au
premier
moment, il regardera et écoutera une personne qui
mon- trons à son oeil gauche, aveugle, des laines de couleur. Aux
premières
laines elle ne dit rien, sinon qu'elle est dans l
s 3 dernières. 42 ans, Duj...,1 accès : -. Nuage épais dans les 2
premières
; Albumine moyenne dans la 3e; Traces dans les
s 2 dernières. 49 ans, Roi..., 1 accès : - Nuage épais dans les 2
premières
; Traces dans les 3 dernières. 16 ans, Fol...,
rnières. ' 28 ans, Saul..., 1 accès : Albumine intense dans les 2
premières
; Traces dans la 3e; Pas d'albumine dans les 2
ant l'accès. 26 ans, Deman..., 1 accès d'épilepsie : Dans les 3
premières
urines, nuage moyen d'albumine; Traces dans les
36 ans, Leco..., 1 accès, 5 urines : Albuminurie moyenne dans les 3
premières
urines; Traces dans les 2 dernières. 17 ans,
ant qu'on recueillait les urines : 1 Traces d'albumine dans les 2
premières
urines; Rien dans les 3 dernières. 51 ans, Bo
51 ans, Boul..., 1 accès, 5 urines : Traces d'albumine dans les 3
premières
urines; Pas d'albumine dans les 2 dernières.
i le cas le plus frappant que nous ayons observé à l'appui de notre
première
hypothèse. Dem... présente à la suite de ses gr
5 accès. La veilleuse a recueilli l'urine après chaque accès. Les 2
premières
urines ne renferment rien d'anormal. La 38 urin
ervalle. 5 urines sont recueillies : albuminurie intense dans les 2
premières
; albuminurie légère dans les 2 suivantes; rien
à la longue une congestion des reins qui peut être insuffisante aux
premiers
accès pour laisser filtrer l'albumine'mais qui
et très variable en quantité. Elle se montre surtout dans les deux
premières
heures qui suivent l'accès convulsif et elle pa
n, la mère et le fils, une autre femme accourue au secours des deux
premières
victimes, et un vieillard enfin qu'il trouve sur
it de faire comme cela ». ' Il parait aussi qu'après avoir tué sa
première
victime, il voulut que le petit garçon de celle
elle se réveillerait il la première occasion, aussi intense que la
première
fois. Et de fait, il lui arrive assez souvent de
ible notamment chez les mélancoliques anxieux. En effet, dans notre
première
observation de mélancolie anxieuse, nous voyons
la lésion de certaines régions de l'écorce du lobe occipital (coin
première
occipale) ou l'interruption des fibres blanches
tre de la vue et celui de la parole, entre le lobe occipital et les
première
et deuxième temporales; suppression du mélange
tante; mais comme elle repose sur les données fournies par les deux
premières
sections, nous sommes forcés de nous excuser d'
i produisent les mouvements visibles. Ce renforcement s'observe aux
premières
périodes de l'existence tandis que la cérébrati
vont graduellement en augmentant de gravité. Leurs certi- ficats de
première
séquestration mentionnent rarement le délit; pr
fréquentes entrées, il n'a trouvé l'épilepsie signalée que dans les
premiers
certificats, et encore ceux-ci ne donnaient-ils l
fallu que le même observateur ait pu suivre les malades depuis leur
première
jusqu'à leur der- nière entrée et en prendre l'
nts, car, en dépit des imperfections inhé- rentes à nos expériences
premières
, nous n'avons eu d'autres mal- heurs à déplorer
leur vienne pas en aide. Tous ceux surtout qui sont en proie aux
premiers
accès d'un mal que l'on peut dissiper, doivent êt
n- séquences, comme on peut le croire, de la chute qu'elle fit du
premier
élage... Hier, elle pensait renouveler l'expéri
, bien dé- fendu qu'il a été d'ailleurs par M. Weyl. Comme les deux
premières
fois, il a eu une terrible attaque qui a nécess
la base de l'orbite, il est toujours parfaitement net et arrête du
premier
coup le doigt qui le recherche. Fixant l'index
sensibilité sous tous les modes, surtout au mem- bre inférieur. A
première
vue, la face ne présente rien d'anormal; mais q
on VIII. B..., femme Q..., soixante-cinq ans. Hémi- plégie droite :
première
attaque il y a dix-neuf ans. Deux ans après, no
la plupart des caa. Parfois cet abaissement est tel qu'il frappe au
premier
abord; L'ETAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 17 d'aut
e en lumière un affaissement du sourcil qui n'apparaissait pas au
premier
examen. Cet abaissement du sourcil est un des s
En arrière le foyer s'arrêtait nettement à la branche ascendante du
premier
sillon temporal dont la lèvre posté- rieure éta
cette coupe encore le pli courbe est intact, la lésion s'arrête au
premier
sillon temporal. En faveur de la localisation à
Dans un certain nombre de cas, plus fréquent qu'il ne semblerait au
premier
abord, le releveur de la paupière supérieure, i
re, c'est la diminution de la fente palpébrale du côté paralysé. Au
premier
abord, il y a là un paradoxe. Dans la paralysie
èse de M. Brissaud. malgré son analogie apparente, si séduisante au
premier
abord, n'est pas admissible et ne résiste pas à
pu observer quatre nouveaux faits, qui confirment tout à l'ait nos
premières
recherches et que nous avons com- muniquées au
résentent des troubles du .sommeil, ce qui constitue parfois un des
premiers
symptômes; le sommeil est douloureux, pénible,
oxalgie, méningite terminale. Conception : graves ennuis du père.
Premières
convulsions ci quatre, ans. Diminution de l'int
e particulier jusqu'à l'âge de quatre ans. Vers quatre ou cinq ans,
premières
convulsions, consécutivement diminution de l'in
uche sans rien dire. La nuit a été bonne. 17. René ne mange rien au
premier
déjeuner ; à midi et le soir, ne prend qu'un pe
se soit encore plaint de douleurs dans l'épigastre. Ne mange pas au
premier
déjeuner; mange très pou à midi. Première douche
épigastre. Ne mange pas au premier déjeuner; mange très pou à midi.
Première
douche : il faut le déshabiller malgré lui, il
même scène que la veille. A bien dormi la nuit. 20. Ne mange pas au
premier
déjeuner, veut écrire à son père à qui il adres
ent, on a opéré l'oeil gauche du second malade, puis le même mil du
premier
. L'opération fut pratiquée en détachant le bout
e ans, toujours nerveuse ; crise de manie après la naissance de son
premier
enfant ; à vingt-trois ans, une crise de chorée
nt clinique à la Salpêtrièrs, et M. le professeur Cornil, un de ses
premiers
élèves et collaborateure, son second interne à
ées pendant l'année scolaire 1897-1898. Les BIBLIOGRAPHIE. 77 f
premières
leçons sont consacrées à l'étude des tumeurs de l
ment des opinions, résultats d'obser- vations toute personnelles.
Première
leçon. Diagnostic et pronostic de Vhémorrhagie cé
tion principale se fait sur le système nerveux central. Parmi les
premiers
, les néoplasmes intra-craniens où la marche de la
des particularités et notamment, au début, avant l'ap- paiition du
premier
accès, les crises de colère fréquentes, les abs
celle période pour user moins de la morphine ajoute souvent à cette
première
intoxication celle produite par la cocaïne, la
'épilepsie. Pas de paralysie, mais idiotie complète. Durant les six
premiers
mois de 1897, elle a 42 accès et 30 vertiges, s
s qui le suivaient en le sifflant, et avait blessé un passant. Ce
premier
drame vient de se compliquer d'un second non mo
action motrice, dans les muscles desservis parle nerf : flexion des
premières
phalanges et extension des der- nières, mouveme
façon précise le point piqué. Au coeur, on constate un souffle au
premier
temps avec maxi- mum à la pointe. L'hypochondre
ternes et nos médecins-adjoints. Ils doivent être, à l'exception du
premier
assistant, célibataires ; c'est le pre- mier as
re collègue de Ville-Evrard s'est fait le porte- drapeau, a eu pour
premier
résultat d'amener récemment la sépa- ration des
ec les mouvements de la tête sont toutes les cervicales et les deux
premières
(quelquefois les quatre premières) thoraciques.
toutes les cervicales et les deux premières (quelquefois les quatre
premières
) thoraciques. Les premières commandent les mouv
atre mois et demi plus tard que dans les territoires primor- diaux.
Première
et deuxième frontale ; circonvolution pariétale
langue déviée sur la droite. Pupilles égales, névrite optique à la
première
période. Réflexe rotulien exagéré. La sensibilité
qui ne-sont que des idiots simples et des arriérés. A l'adresse des
premiers
, nous regrettons que le D1' Ley soit d'avis qu'
dérations sur ces expériences nous semblent nécessaires. Les deux
premières
(XII et XIII) sur les souris ne prouvent qu'une
la personnalité physique et 174 altérations dépressives ; or, des
premières
364 existaient et des secondes 162 avec un état
de ces troubles avec le développement de la maladie. Mais aux deux
premières
périodes de la paralysie générale, à la premièr
. Mais aux deux premières périodes de la paralysie générale, à la
première
surtout il existe une grande différence entre l'é
core en raison directe de la moti- lité, si on trouve pour les deux
premières
périodes le paral- lélisme constaté dans l'ense
rqués et excessifs; mais il n'est pas moins certain qu'à ces deux
premières
phases les altérations du sens tactile se sont re
t nettement, je crois, que les altérations du sens tactile aux deux
premières
périodes de la paralysie générale sont l'apanag
disposés à croire que les troubles du tact chez les paralytiques
Première
période. 196 PATHOLOGIE MENTALE. LE SKKS
urions trouvée : le maximum des altérations se rencontrerait à la
première
période et le minimum à la phase dernière de la
s et les altérations en moins aux alcooliques. En effet, chez les
premiers
nous n'avons jamais relevé d'abolition et seuleme
s inverse aux diverses périodes de la paralysie générale ; les deux
premiers
, avec leur maxi- mum de fréquence à-la première
ci les incommodaient. XVI. Les altérations du sens tactile aux deux
premières
périodes de la maladie ont été constatées de be
es syphilitiques; en outre, celles en moins sont plus spéciales aux
premiers
et celles en plus aux seconds, tandis que l'éta
, 1883, ont fait paraître une série d'articles sur le môme sujet.
PREMIÈRE
PARTIE A. Longévité. Première génération (gaacl
série d'articles sur le môme sujet. PREMIÈRE PARTIE A. Longévité.
Première
génération (gaacls-pa·eals). Sur les 160 grands
dépression mélancolique légère et de courte durée surve- nant comme
premier
désordre psychique chez un adolescent, est part
antérieurs publiés dans le même sens par M. Klippel l'ont placé au
premier
rang des chercheurs originaux sur ces questions
ile. Le plus souvent le médecin de la famille appelé à donner les
premiers
soins emploie le bromure de potassium avec plus o
mastoïdien, du splenius et du trapèze la plaçait dans la position
première
. Le sterno-mastoïdien droit était flasque et ne p
ans. La seconde observation a beaucoup de points communs avec la
première
; même analogie, même difformité, mêmes essais in
naitre des objets ou des scènes que certainement elle voit pour la
première
fois. Ce sont surtout les impressions brusques su
nts ; cela dura néanmoins jusqu'en 1842. L'asile d'Illenau fut le
premier
asile construit et ouvert exprès pour les aliénés
x et a trouvé 18 fois des tares vésaniques ou névropathiques. Une
première
conclusion se dégage donc des faits, abstraction
e, car ils ne sont pas de lui : l'impuissance est en effet l'un des
premiers
symptômes de la terrible démence. HIARCEL l3nr :
un abcès de l'oreille moyenne, parle même. - Comme on le voit, ce
premier
fascicule est intéressant. Nous donnerons le somm
, surtout aux états mélan- coliques décrit les délires religieux du
premier
groupe'. Witkowski insiste- sur les formes seco
t la traduction délirante des ten- dances particulières, natives et
premières
de l'individu. On pourrait distinguer encore pa
ion d'un dynamisme réalisant une force supérieure à l'individualité
première
. Aussi comprend-on qu'on observe cliniquement l
ssibles (dédoublement tardif ou objectif de la personnalité). Notre
premier
groupe comprend les formes complètes des délire
malade de ce genre que nous avons cité avec M. Vallon a présenté un
première
bouffée délirante en 1882 à l'âge de vingt-six
s, passait au second plan, la clinique, elle, s'élevait d'emblée au
premier
en raison des résultats immédiats et inattendus
bsolument le même tableau clinique. Nous arrivons donc déjà à cette
première
conclusion que les délires d'intoxication inter
idée de faire du délire des intoxications un délire de rêve, qui au
premier
abord peut paraître étrange, n'a rien au fond q
rsqu'on s'éveille en voyage dans un lieu où l'on a couché pour la
première
fois : on est alors un instant à se reconnaître,
us difficiles, ramène peu à peu toutes les facultés à leur activité
première
; c'est comme un enfant dont l'intelligence se
indication dominante consiste, nécessairement, à combattre la cause
première
, c'est-à-dire l'auto-intoxication ou l'infec- t
eignements manquent, une autre fois il n'y avait érection, les deux
premiers
mois et demi de l'affection que quand on sondait
l'opinon de P. Marie concernant l'origine infectieuse fréquente des
premiers
. Les névrites périphériques et myélites systéma
.tait pas d'atrophie. La mort survint dix jours après le début des
premiers
accidents. ' L'étude histologique du système ne
ments sont si rétractés qu'une partie du corps cellulaire parait au
premier
abord faire partie du prolongement. Le corps cell
e l'em- poisonnement par le carbamate d'ammonium est identique au
premier
degré de l'intoxication par le carbonate d'ammoni
répartissent ainsi : un père et son fils, une mère et sa fille; les
premiers
n'ayant, d'ailleurs, avec les secondes aucun lien
ne façon régulière entre 3T" et 3-il 5. Le poids qui, dans les huit
premiers
jours, avait baissé de trois livres, s'est rele
et des phénomènes mentaux ; le fond essentiel de ceux- ci, résultat
premier
de l'état somatiquc, est constitué par une form
st, d'ailleurs, à sa troisième attaque de délire subaigu : les deux
premières
n'ont duré que fort peu et ont été suivies d'un
ticulation coxo-fémorale jusqu'à l'extrémité des doigts ; durant la
première
semaine se produisit le phénomène de l'allochirie
els ont été les symptômes qu'a présentés cette malade dans les deux
premières
semaines qui ont suivi l'accident, mais avant de
dévier l'arme de sa direction primitive, celle-ci a dû blesser, en
premier
lieu, la moitié droite de la moelle, et avec la
E-,)I : D6utriîbente. La deuxième séance a eu lieu à 2 heures et sa
première
partie a été occupée par là formation du bureau
le trional en temps voulu. Dans la première obser- vation, type du
premier
groupe, les attaques précédées d'aura motrice s
ondaires. A votre santé, cher monsieur Anglade, et à celle de votre
premier
maître en médecine mentale, le docteur Régis de
er un grand nombre de troubles psychiques, il est des psychopathies
premières
, qui relè- vent de la seule psychologie. Telle
doit être identifiée à l'instabilité mentale. On pourrait croire à
première
vue que certaines psychopathies, telles que la
de cas, dit-il, dans nos asiles et à tort, car il est d'importance
première
dans les psychoses... Ainsi on guérit le buveur a
me un cas d'exemption du service militaire. On peut être surpris au
premier
abord, que cette affection ait paru assez grave
de l'organisme. Sa physionomie, son attitude ne nous révèlent au
premier
abord rien de bien particulier. Il nous apparaît
des anamnestiques nous fournira à ce propos des ren- seignements de
première
importance. Notons d'abord que le père de ce je
menlées. - A trente-deux ans : syphilis. - A quarante-deux ans :
première
manifestation hystérique sous forme d'un accès de
lité d'une amaurose hystérique. Des trois accès de mutisme les deux
premiers
ont éclaté brusquement, le troisième a été préc
inférieure du 3" segment sacré et. un second noyau, posté- rieur au
premier
, allant de la partie supérieure du 2° segment s
mentales permettant aux médecins de remplir auprès des tribunaux de
première
instance l'office d'experts suffisamment aptes
s commis par des militaires entrant dans l'aliénation sont jugés en
premier
ressort exclusivement par les officiers. De ces
Cette disposition craintive augmente chaque jour, et dès la fin du
premier
mois, des illusions et des hallucinations venant
uré vingt-quatre heures. Il existait une présentation de la face en
première
position. Naissance asphyxique avec cyanose et
n terminant, quelques renseignements sur le Dr Pontier, créateur et
premier
directeur de l'asile d'aliénés du Mont-Perrin.
es enfanta appartenant a des classes sociales très dilféreutcs. Nos
premières
recherches ont été faites dans une école communal
nt secondaire. Jusque-la. il ne s'était jamais rongé les ongles: à sa
première
sortie, au bout d'un mois, on s'aperçut qu'il ava
PAR LA SUGGESTION HYPNOTIQUE. L'observation suivante est une des
premières
que nous ayons publiées : elle présente un grand
l un terrain favorable au développement de toutes les habitudes. l.:i
première
indication consiste donc, puisqu'on se trouve en
obstacles à l'avènement de la vraie science, ce grand homme range en
première
ligne : derisio vêtent M. Quelle confiance, en ef
ar suite du décès de M. le professeur Bail. Voici cette liste : Fit
première
ligne M. Joflroy ; en seconde ligne M. Gilbert Ba
e son esprit et à son immense valeur scienliliciite. Il avait été 1ss
premier
prèsi, dent d'honneur acclamé par le Congrès inte
1889. et la Société d'hypiiologie et de psychologie l'avait placé au
premier
rang des hommes dont elle reclamait le patronage.
De chez M. llenrijean. je me rendis chez M. Von Winiwartcr, Voici sa
première
parole : » Ah ! drôle «te fille celle à laquelle
s en rapport avec leur entourage. Je n'envisagerai les rêves de celte
première
classe que par quelques-uns de leurs caractères l
a malade allait ouvrir la portière pour sauter sur la voie. Ce fut sa
première
crise de claustrophobie. I n séjour assez prolong
tère facile, réservé. Louis,- S.... bien portante jusque-là. a eu son
premier
accès d hystérie avec étouffements. perte à peu p
st de marquer notre reconnaissance au docteur Charroi d'avoir, un des
premiers
parmi les savants orthodoxes, osé franchir le seu
t aussitôt, tant ils sont suggcstibles. Des qu'on les a endormis un»!
première
fois, ils entrent ensuite dans le sommeil à quell
elles des sens et de la mémoire. Chez eux. de ce second côté comme du
premier
, le pouvoir de faire effort el de vouloir et cons
la bouche ou des besoins mal satisfaits ont précédé ou accompagné mes
premiers
rêves, et sont entrés pour une bonne part dans le
. Place dans un collège secondaire, il travaille beaucoup, esl un des
premiers
de sa classe, mais il ne s'amuse pas avec ses cam
28 ans ; 12 fois, il y a 57 ans. où je suis né el où j'ai vécu les 12
premières
années de ma vie ; "J fois, il y a déjà 49 ans. d
'époque présente et s'v rattachant. En tenant compte des 12 ans de ma
première
jeunesse dont on en peut au moins retrancher les
ans de ma première jeunesse dont on en peut au moins retrancher les 5
premiers
, il y a de cela 57 ans. et en tenant compte aussi
t (es Hêves 1 que la mémoire tient plutôt à l'énergie de l'impression
première
sur elle, qu'au temps écoulé et qu'à la faculté s
ui ne pouvait être qu'un ctl'el de la pensée. Ce sont les rêves des
premiers
sommeils de la nuit qui se sont effacés le plus s
e que les rêves du second sommeil, presque aussi nombreux que ceux du
premier
, ont été au moins du double plus i-ouscicnlicls.
ont à leur base, s'y sont implantées au moment même de leur formation
première
, en proportion de leur amplitude émotive. Ils s'y
e, mais semblables à celles que j'ai éprouvées lors de leur formation
première
, reparussent de temps en temps dans mon esprit, p
honneur, dans sa conséquence finale, ne l'est pas comme détermination
première
. Si j'eusse eu ma liberlé d'examen, comme lorsque
, je ne redoute pas d'en parler. Honni soit qui mal y pense. Dans mou
premier
sommeil, après m'ètre couché avant que la digesti
Dr Brasseur. médecin de l'hôpital de Schaerbeeh. Elle est intitulée :
Première
autorisation officielle île pratiquer l'hypnotism
ir l'autorisation de pratiquer l'hypnotisme. « Arrête : « Article
premier
— Le sinir Astère Denis est autorisé aux fins de s
ramener le mouvement. Et effectivement au bout d'une demi-heure l'une
première
séance la malade pouvait remuer les doigts de pie
essant, d'exécuter une opération à l'impro-viste en requérant l'aides
premiers
venus qui l'entourent, est souvent spectateur de
menstruel puisse la déterminer; beaucoup de jeunes filles lors de sa
première
apparition sont plutôt honteuses qu'épouvantées,
sé par la mort de son second enfant, et huit jours après survenait sa
première
fausse couche. Jusqu'à ce moment la malade ne sen
en a! fait d'autres: J'ai pris nue sonnette et j'ai dit au sujet : Au
premier
coup de sonnette vous sentirez une espèce de flui
malade l'a fait sans hésitation. Une autre fois je lui ai dit qu'au
premier
coup de sonnette il lèverait les bras et prendrai
eim et aussi sur beaucoup de résultats obtenus personnellement. I.e
premier
malade traité avec succès amena un autre malade q
la psychothérapie sont également assistants à la clinique. Parmi mes
premiers
élèves se trouve M. le Df Vermeren qui vient de f
n de médecine et de chirurgie, en rem pincement de M. Charcot. Au
premier
tour de scrutin. M. Potain a été élu par 43 voix
compatible avec la santé, survenant fréquemment chez les enfants, au
premier
Age de l'adolescence, auquel on a «loiiné le nom
sée le commandement d'un seul coup et puis de s'en détacher l'esprit.
Première
condition qui impose à l'opérateur plus d'attenti
e fourmillement et de pesanteur bien accusée. Quand on a obtenu cette
première
sensation en laissant pendant quelques secondes l
e le sujet est sensible et que javais trouvée, dans la moyenne de mes
premières
expériences, d'une dizaine de centimètres, puisse
s ou quatre lignes il hésite dix fois el il répète plusieurs fois le»
premières
lettres d'un mot avant de pouvoir prononcer le mo
e. La malade consulta de nombreux spécialistes et tous les movens (en
première
ligne l'électricité) furent employés mais sans ré
i par le Dr lleermann vint le 11 juillet de cette année. Elle est à
première
vue saine., d'une stature forte, robuste douée d'
arable des mots de suggestion et d'hypnotisme, celui de M. Liébcaull.
premier
fondateur de l'Ecole de Nancv, dont la science ég
tique peuvent être classées dans les cinq groupes suivants : 1° l-e
premier
comprend les cas dans lesquels les vertèbres sont
nt sa société absolument insupportable ». le malheureux enfant a pour
première
leçon d'appreudre à se dominer soi-même et à effa
soit chimique. — La nécessité des jeux en plein air saute aux yeux du
premier
coup. — De même que les autres personnes qui sont
entre les deux passages reproduits ci-dessus, une dill'érence qui. an
premier
abord, semblerait constituer une contradiction. D
la production de ces derniers qui font défaut dans la production des
premiers
: qu'il s'ensuit entre eux nécessairement une diff
processus nerveux qu'elle accompagne. Cette séparation semble être au
premier
abord une analyse, mais ce n'est qu'une abstracti
d'introduire le fil dans léchas de l'aiguille. Et quand elle eut. -lu
premier
coup, fait ce dont il l'avait défiée, il se tira
meil redevint paisible, sans nouvelles visions terri-liantes. Cette
première
expérience prouve que notre sujet qui a accompli,
ne distance plus grande, elle ne ressentait rîen. Ayant constaté ce
premier
point, nous avons voulu essaver de charger une st
irs sexuels. Ayant passé avec succès ses baccalauréats, il prit ses
premières
inscriptions à la Faculté de médecine. Quand il e
cune incorrection. Lorsqu'il fut appelé à faire comme réserviste sa
première
période de vingt-huit jours d'exercices militaire
ggérait pour arriver à rester seul en possession d'un compartiment de
première
classe, l'a jour, tous les compartiments étant bo
de vomissements répétés. J'interrogeai sur ses antécédents : 25 ans :
premières
règles. 18 ans ; enceinte de 4 mois ; pas de mala
nus poids dans l'autre plateau aurait une volonté, vive de pencher du
premier
côté. On dît de certains hommes qu'ils ont une vo
et, il peut en influencer un autre qui se trouve â peu de distance du
premier
et auquel l'opérateur ne songe même pas. Cette su
e série d'actes assez coinpliqilés et je lui dis : • Mademoiselle, au
premier
coup de sonnette que vous entendrez, vous lèverez
as par erreur que le second sujet accomplissait les actes suggères au
premier
. Je l'influençais indirectement. Tombée dans l'ét
s ordres. Je constatai malgré cela, après l'entraînement créé par 1rs
premières
expériences que les sujet sensibles â la suggesti
vent à celui qui. y croyant, se refuse à lâcher pied. Wolseley un des
premiers
a dit (Temps. 1888) que « la suprème qualité d'un
t d'autans, moins déserter ces grandes assises qu'ils en ont pris los
premiers
l'initiative (Congrès ile l'aris. 1367). Le bui d
z l'éditeur Félix Alcan. Ce: volume n'est pas inférieur en intérêt au
premier
. L'auteur y complète- l'étude des mystiques p
suggestion a la prétention d'être infaillible? Croit-il qu'on peut au
premier
sujet endormi laire une opération douloureuse san
plus, à maîtriser cette émotivité hys-térogène, et j'ajoute, quand ce
premier
résultat est obtenu, on arrive toujours à supprim
e l'idée, cette suggestion, nous l'avons déjà dit. ne s'impose pas au
premier
venu. L'incube et le succube, le sug-gestionneur
ccube, présente lui aussi un état d'à me particulier. Ce n'est pas au
premier
venu qu'on persuadera, par un moyen quelconque, q
relle. Georges Pouchel s'élall. par ses travaux biologiques, placé an
premier
rang des savants français et sa mort sera vivemen
ois l'élève du professeur Pouchel. an Muséum d'histoire naturelle. Au
premier
.ibord il paraissait doué d'un caractère assez. d
l y a un intérêt réel à porter notre attention. L'liypnolisée de ma
première
observation, sa mère, sa sœur, ainsi que Mme G...
question de l'hypnotisme, ne voyons-nous pas Brown-Séquard, l'un des
premiers
, encourager les éludes expérimentales qui devaien
insi mesurer la cause immédiate d'un acte, mais le mobile de l'action
première
. Si In volonté est toujours libre, et c'est là so
s actifs). C'est toujours la même histoire : le nouveau remède est de
premier
ordre, d'une valeur thérapeutique hors ligne, au
mois. Au momcnl de sa maladie il a confié sa maison de commerce â son
premier
employé qui un beau jour lui a volé 250 000 franc
commencement d'incendie se déclarait dans son logement personnel, au
premier
étage. L'enquête du commissaire de police du qu
pas montrée au même moment par rapport à la piqûre. A la suite des
premières
injections, la salive apparaissait après un temps
de la complication qui pouvait en rendre le diagnostic difficile au
premier
abord. Voici l'histoire de ce malade : Ous. I
e passait après l'évolution et la guérison des panaris. Pendant son
premier
séjour on l'électrise, on lui donne quelques po
n ne trouve plus trace aujourd'hui. Etat actuel. Ce qui frappe au
premier
abord en voyant marcher le malade, c'est la pos
ud par exemple. Ces déformations, sans être tout à fait spéciales à
première
vue, ainsi qu'on peut le constater dans les pla
essent subitement comme elles ont commencé. Depuis l'époque de leur
première
apparition, c'est-u'dire depuis l'année 1875, ces
ent jusque dans certains traits qui peuvent paraître accessoires au
premier
abord, mais qui ont cependant leur importance,
les unes des autres les différents types d'attitudes vicieuses, le
premier
principalement, décrits par M. le professeur Char
moins, le retard qu'elles présentent dans cette dernière 1. L'idée
première
de ce travail appartient a notre maître, M. le pr
ent significatif vient révéler la névrose dont il était l'unique et
première
manifestation. Tels sont les divers modes de dé
e, il se mettait à trembler violemment des quatre membres. Lors des
premières
crises, le tremblement ne dura que quelques jou
onnels. - Lui-même n'avait jamais été malade avant l'apparition des
premiers
troubles nerveux qui marquèrent le début de son
se faisant par le tégument externe, on ne trouve des ecchymoses,
premier
degré de l'hémorragie. On consultera à ce sujet,
tiques, il y a des vomissements de sang. Magnus IIÜss, clinicien de
premier
ordre, auquel il est donné d'observer la malade
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. II , Certes, nous n'arrivons pas des
premiers
dans cette question et il semble, à voir le nom
les observations sur lesquelles il a été établi étaient et sont de
premier
ordre, mais, à notre avis, un grand nombre de c
aladie mouraient à la ménopause. Vingt ans plus tard, au moment des
premières
manifestations de l'âge critique, elle se prépa
hystériques 1 - . V L'état mental de l'hystérique homme parait au
premier
abord différer de l'état mental de l'hystérique
cependant quelquefois et M. Charcot, après Cazalis, a été l'un des
premiers
à attirer l'attention sur les phénomènes qui la
l'élément douloureux. A l'inverse de ce que l'on pourrait penser au
premier
abord, ce n'est pas la para- plégie qui constit
la taille de 1 mGL On peut donc évaluer approximativement la taille
première
de noire malade à 'il62. Aujourd'hui elle ne me
i, deux ou trois jours après une peur, il eut pen- dant le repas sa
première
crise qui parait avoir été une crise verti- gin
idée-1 : ') en tête ». Tel était l'état du malade lorsqu'il eut sa
première
attaque dans les cir- constances que voici :
naire. 2° Le tremblement est apparu chez cet homme à la suite de sa
première
attaque, c'est-à-dire le 26 février 1889. Il a
prouva un violent chagrin; et ce fut là, semble-t-il, l'origine des
premiers
accidents nerveux bien caractérisés qu'il a épr
aux audi- teurs de la Clinique la malade qui fait l'objet de notre
première
observation i. 1 Avant cette date, les recher
ne idée par la lecture des quatre cas suivants, particulièrement du
premier
et du troisième qui furent pendant longtemps l'
a été inscrit pendant quatre minutes consécutives. Pendant les deux
premières
minutes, représen- tées par les deux lignes inf
ces bâillements pro- duits par imitation représentent assez bien, à
première
vue, les bâil- lements de la malade, le tracé y
une grande crise de nerfs pendant laquelle se manifestèrent pour la
première
fois des bâillements incoercibles tels qu'on les
OGRAPHIE DE LA SAL1'1 : 1'Itll : r.l;. ' aujourd'hui. Pendant cette
première
attaque, il y eut une courte période de convuls
ait toujours été chétif il n'a cependant jamais été malade dans sa
première
enfance. Mis en classe de six à douze ans, il s
taques, le rhythme et la cadence sont des éléments différentiels de
premier
ordre qui ne paraissent pas exister dans les bâ
aux attaques de la malade dont l'histoire est rapportée dans notre
première
observation. ATTAQUE DE BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES
épétant le dernier mot qu'il vient d'entendre. Lorsqu'on lui dit le
premier
mot d'un commandement militaire, il termine le co
à mettre à l'actif du traitement par la suspension. Dans les deux
premières
catégories, les résultats obtenus sont durables
seur Charcot. Cet appareil, que produit la figure 44, ressemble, au
premier
abord, il l'appareil primitif de Sayre. Il en d
it sous la forme d'un petit génie ailé suivant la tradition que les
premiers
artistes chrétiens avaient emprunté à l'Antiquité
e Prev.... est une jeune fille de dix-huit ans et demi qui paraît à
première
vue bien plus âgée, vingt-cinq ans au moins. Lo
enfant de quatorze ans prend froid au moment de l'apparition des
premières
règles; celles-ci sont supprimées brusquement et,
Etat actuel (avril 1890).' Extrémité céphalique. Il n'existe pas, à
première
vue, de grandes modifications du côté du crâne. L
du bassin, dont il n'existe pas de déformations bien appréciables à
première
vue. 11 est certain cependant qu'il doit présen
gré de déformation probablement d'origine rachitique. L'histoire du
premier
accouche- ment de la malade, qu'on a lue plus h
existe un certain degré d'asymétrie faciale, mais non crânienne, à
première
vue. Il est d'ailleurs remarquable que cette asym
ettant cette succession des noyaux, comment il se fait que les deux
premiers
noyaux soient libres, le troisième et le quatri
, mais le bras gauche ne remue presque pas. (L'observation de cette
première
atteinten'ayantpas été recueillie ne peut être
e des interosseux. Très légère flexion du poignet sur l'avant-bras;
première
phalange très étendue sur le métacarpien; deuxi
facilité, mais les doigts présentent une déformation spéciale. La
première
phalange est dans l'extension et ne peut plus se
, épaissie, dépourvue de sillons, peu mobile. La face dorsale de la
première
phalange du petit doigt présente une petite croût
ajouter que d'ordinaire la sensibilité à la douleur est atteinte en
première
ligne ainsi que le sens du tact, que la sensibi
f basé sur la connaissance des troubles dont elle est atteinte ? Au
premier
abord on est assez aisément dérouté. Il paraît
Le 5 septembre 188G, M. le professeur Charcot remarquait pour la
première
fois une déviation spéciale du corps dans la scia
en 1886 était restée absolument ignorée de M. Charcot, lors de sa
première
observation sur ce sujet, laquelle date, ainsi qu
onais une communication sur la scoliose neuropathique. ' Depuis ses
premières
observations, M. le professeur Charcot a mainte
ès intéressante mono- graphie2, apportait également un correctif au
premier
terme de cette formule et citait trois cas de s
uérison. Dans le second, l'explication est aisée. La douleur, cause
première
de l'attitude vicieuse, s'atténue ou disparaît. L
tte affection a été décrite mais n'a pas été différenciée, jusqu'au
premier
travail publié par cet auteur dans le journal de
analogues à celles du côté opposé. État actuel. - Ce qui frappe au
premier
abord chez notre malade, NOUVELLE ICONOGRAPHIE
son évolution et de ses carac- tères cliniques. Il y a vingt ans,
premier
accès éléphantiasique avec localisation oedémat
petite ville du bassin de la Loire la pro- fession de forgeron. Au
premier
aspect, à cette attitude décrite si soigneuse-
aucune raison de douter de sa véracité. Je conseillai dans cette
première
entrevue un traitement légèrement anti- phlogis
e affection du système nerveux, poliomyélite, tabes, etc. Dans Ta
première
observation, la diplopie, le strabisme divergent
e fut moins lente et entraîna la mort quatre ans après le début des
premiers
symptômes oculaires. Ons. XIX. Ophthalmoplégie
Pas de douleurs fulgurantes. Pas de vomissements. Le 4 novembre,
première
consultation de M. Charcot. On note la paralysie
132. Faiblesse extrême. Rien dans la poitrine. Enorme souffle au
premier
temps du coeur, remplis- sant tout le devant de
MPÊCHENT COMPLÈTEMENT l’efficacité DU MAGNÉTISME. Il faut placer en
première
ligne l’opium et tous les narcotiques, l’onanisme
bserver les faits inexpliqués jusqu’ici. L’origine des forces, causes
premières
de la vitalité humaine, est encore inconnue. Sont
les uns parles autres, prouver l’existence des seconds par celle des
premiers
, et en faire ressortir une doctrine réelle, fondé
; mais peu à peu la voix devint plus claire, et à la monotonie fies
premiers
sons succède un chant vibrant et sonore. L’opér
agnétisme, mais en exagère les dangers; voici sa conclusion : • t.e
premier
qui -voulut diriger la foudre Tut consumé; mainte
tranchés peuvent être rangés en quatre groupes principaux, savoir :
Premier
groupe. — Chaleur ou froid des membres, accélérat
méro.) CLINIQUE MAGNÉTIQUE. AFFECTIONS DES VISCÈRES ABDOMINAUX.
Première
observation.— M. Zanety, plâtrier,Italien, demeur
n-« dant cinq jours; 6 décigrammes de rhubarbe : en « prendre dans sa
première
cuillerée de soupe, pen-« dant huit jours. Guér
e magnétisme dont le programme nous «st inconnu. Il s’est, dans cette
première
leçon, attaché à établir l’existence et la filiat
r et te conduire ; qu’en as-tu fait? Réponds. Tu l’as éteinte dès tes
premiers
pas, voulant marcher dans l’ombre, et c’est en te
a à avoir des extase* dont je me réserve de raconter un jour les deux
premières
. Je m'abstiens de toute hypothèse sur l’état du
le continue à présenter les phénomènes que je vous ai relatés dans ma
première
lettre, et qui, au besoin, pourraient être attest
effets partiels de décomposition, après les vieilles expériences des
premiers
inventeurs. Depuis Franklin, Voltaj puis Davy, pu
O ' SOMNAMBULISME MAGNÉTIQUE. (Suite.) § VI. — SOMNAMBULISME.
Première
observation. Une jeune fille de dix-sept ans, o
le faire jaser, le dénonce. Les juges écoutent la déposition de son
premier
maître; celui-ci raconte les faits de vols', les
IRES DO SOMNAMBULISME MAGNÉTIQUE. (Suite.) § VIII. — MAGIE.
Première
observation. « Une des circonstances les plus s
nu prochain numiroJ}- CLINIQUE MAGNÉTIQUE** Névralgie scuyiqce. —
Première
observation.— Le 23 juin 1S45, M. B"**, pharmacie
e. Le 10 juin 1845 un léger engourdissement fut le résultat do ma
première
magnétisation ; le 18, plus de mal de léte, batte
duite, vient confirmer la règle pratique: tous éprouvent la série des
premiers
effets qui naissent de toute mesmérisation réguli
OIRES DU SOMNAMBULISME MAGNÉTIQUE (Suite.) § VIII. — MAGIE.
Première
observation. (Suiie.) « Nous réglâmes nos con
ies égales d’opium brut, de myrrhe, d’encens et de benjoin. « Comme
premier
exercice, Prudence joue une par- lie d’écarté a
ses de la partie. Dans une des dernières séances, on fit, après cette
première
expérience, passer entre les mains de Prudence di
eut voir en aucune manière, d’après certaines précautions prises à lu
première
séance par deux de nos confrères, qui placèrent e
anchement de sérosité dans le canal « rachidien. Cette maladie a pour
première
cause la « boisson d’eau froide qui a produit une
ter l'anniversaire de lu naissance de Mesmer. Rien n’a manqué à cette
première
fôte. Animé par une sympathie véritable, pur une
les traits de Mesmer pour tjjie médaille qui porterait La date de ce
premier
banquet, de cette première l'ôte, afin que chaque
tjjie médaille qui porterait La date de ce premier banquet, de cette
première
l'ôte, afin que chaque membre de cette réunion en
nte petite fille recueillit les dons de chacun. C’est ainsi que cette
première
fête se termina. Le plaisir n’avait pas cessé d
par suite, la parole, à une jeune fille devenue sourde-muette dès ses
premiers
ans, à la suite d’une grave maladie. Tous les méd
ce document scandaleux ; de l’autre, on doute de son existence. Aux
premières
, nous répondons que nous sommes d’avis qu’on ne d
de condamner, a'priori, tout ce que la raison humaine ne peut pas, du
premier
coup d’œil, embrassér dans ses résultats, ce qui
dont la plus grosse est de la forme et du volume d’un œuf. « Cette
première
dissection n’a pas duré moins de dix minutes, mal
eures trente et une minutes on commence le pansement. Les bords de lu
première
plaie sont réunis à l’aide de cinq épingles trave
s vagues. ' CENT DOUZIÈME ANNIVERSAIRE DE LA NAISSANCE DE MESMER.
Première
célébration, 23 mai. Conformément à un paragrap
, avant toutes choses, je dois me rappeler qu’elle « me blâme, et mon
premier
soin doit être de faire « parler ma respectueuse
nous tendirent une main secourable dans les ténèbres et guidèrent nos
premiers
pas dans le champ de la réalité, éblouissante pou
autres nations, comme de la liberté, lui fussent re-« devablcs de ce
premier
bienfait, de l’art infaillible « de se guérir et
in, pour surveiller l’exécution de la médaille commémorative de cette
première
réunion. * Revue des journaux. — Le Passe-Tem
erse, s’appelaient plus particulièrement prêtres. Ils différaient des
premiers
en ce qu’ils initiaient des étrangers à leurs mys
avec étonnement, le vase se renverser et le malude être guéri. » Ln
première
partie de ce curieux récit s’obtient aujourd’hui
es. Nous y trouvons relatée la guérison de : 1° Trois brûlures de
premier
et de troisième degré ; 2° Trois contusions gra
omédie : il s’en joue tant de semblables sans qu’on s’en fatigue. Ton
premier
médecin, qui n’a pu réussir, sera approuvé, recom
s nous ont laissés dans une ignorance complète sur son origine et ses
premiers
ans. En recherchant le jour de sa naissance nous
est si méchant, et vous si innocents de ce dont on vous accuse!...
Première
observation. On trouve dans la chronique manusc
r dans les manuscrits do Mesmer les idées que fit naître en lui notre
première
révolution. Doué d’un puissant génie, cet homme e
chaque individu, une base qu’on peut dire fondamentale ou un ressort
premier
et général qui dirige les actions les plus variée
lle la nature 1 avait placé des lois particulières à son espèce. Sa
première
existence, ainsi que le développement de ses facu
s races de certains animaux en perfectionnant leur génération et leur
première
éducation ; pourquoi ne mettrait-on pas autant d’
bservation que rien ne peut remplacer; 4° Que l’enfant reçoive pour
première
nourriture le lait maternel au premier moment de
4° Que l’enfant reçoive pour première nourriture le lait maternel au
premier
moment de sa naissance; 5” Que la mère n’ait d’
par un grand nombre d’expériences dont ils citent les suivantes : «
Première
expérience.— Si, l'aiguille du galvanomètre étant
u et mesuré les courants du fluide qui entoure les corps vivants. «
Première
série d'expériences. — Io Soit un barreau de 1er
pe allumée, un tuyau de calorifère, etc ; alors vous pouvez opérer.
Première
expérience. « Les choses étant disposées comme
ion jusqu’à ce que vous retiriez le bras; dès ce moment il reprend sa
première
position et la garde. Seconde expérience. «Si
cée dans les replis d’une couleuvre, qui se disposait à l’avaler. Son
premier
mouvement fut de les jeter tous deux dans l’eau,
, Bernardin de Saint-Pierre ouvrit un cours de morale à Paris; dès sa
première
leçon, ¡1 lui arrive de prononcer dans une phrase
ivement et avec bruit. Le second mouvement est tellement rapproché du
premier
qu’il est impossible qu’il n’y ait point attracti
meil magnétique et les phénomènes du somnambulisme. « Ce fut là mon
premier
essai et mon premier pas dans la route du magnéti
s phénomènes du somnambulisme. « Ce fut là mon premier essai et mon
premier
pas dans la route du magnétisme ; dès lors je com
ns français et étrangers; et quelque absurde qu’elles me parussent au
premier
abord, mon scepticisme indifférent fut grandement
tiques, ils ont une immonse portée. » i i i Je revins donc de cette
première
leçon avec la résolution calme, mais ferme, mais
la marine. — Saffrey, lieutenant de vaisseau. — Le Goupil, commis de
première
classe de la marine. — Naudet, greffier des tribu
Mais nous nous écartons un peu de notre sujet. Reprenons donc notre
première
proposition. L’état de santé du corps humain dé
s à cet égard. Je ne cite pas d’autres observations à l’appui de ce
premier
principe ou aphorisme, quoique je puisse en rappo
que sa démonstration est une conséquence rigoureuse de celle des deux
premières
propositions; en effet, si en diminuant ou renfor
qui dit que dans les maladies nerveuses le magnétisme doit passer en
première
ligne, ont attesté sa puissance curative. Mais la
'assure que ma main ne s’y appuie réellement pas. A la fin de cette
première
séance, qui a duré en tout 40 minutes, j’essaie l
la dissout définitivement. Annonce des règles pour le 28. 27mai.—
Première
crise. Je la soutiens au lieu de chercher à la ca
elque lemps était bien remise, est redescendue plus que jamais* Mon
premier
soin est de la replacer. Pour cela, la main posée
re « pleinement. Tout m’est découvert. Ecoutez. «Ma maladie date du
premier
jour de ma nais-o sance ; ma nourrice avait eu la
é de lui donner une vertu purgative, deux heures après l’ingestion du
premier
verre, le cours de ventre reprenait comme précéde
tes. La catalepsie, la rigidité tétanique des membres, pro duitesen
premier
lieu,surprirent étrangement,ébranlèrent tous les
ir : C’est bien, très-bien, d’avoir décidé qu’une médaille de cette
première
féfe en l’honneur de Mesmer serait frappée et pos
essive de 1 tLa santé, la sûreté et la propriété sont les moyens du
premier
, et l’éducation du second. L’éducation de l’hom
is il ne vient absolument rien (1). Un autre magnétiseur, aussi (le
première
farce, M. de Geslin, convoque la même commission,
site point à conclure que l’éthcr, fond commun des êtres, est l’unité
première
dans laquelle tout sc résume, nous ne pouvons pas
traitement ordonné par la somnambule : 8 septembre.—Durant les six
premiers
jours, manger le matin, à jeun, et le soir, une h
es de bouillon de veau. Le soir, do 8 à 11 heures, pendant les deux
premiers
jours, boire un litre de décoction de houblon. Le
lle société du magnétisme, ont déjà donné leur adhésion écrite. Cette
première
liste ayant été spontanément couverte de signatur
de l'expérience. Le sommeil lucide est presque toujours produit de
premier
jet et par des personnes étrangères à toutes conn
donc pas étonnés de le voir descendre de la chaire, lancé par un des
premiers
orateurs chrétiens. Dimanche, 6, les voûtes de la
té, malgré leurs vives réclamations, exclus immédiatement. Les deux
premiers
paragraphes sont restés sans application. La comm
resse répandent dans le monde ces paroles mâles, éloquentes, d’un des
premiers
orateurs chrétiens, paroles quo nous avons transc
rrogation, et chacun lui donne un remède. U cscrit leur nom, comme du
premier
. Et ainsi, poursuivant son chemin tout bellement,
i les rendissent supérieurs aux autres hom- (l) Erreurs populaire/,
première
paille, Ht. I, clinp. ix. mes. Ils n'ont donc f
res de la famille. Antécédents personnels. Il a souffert pendant sa
première
enfance de divers accidents strumeux sans gravi
ncters, ni gène de la marche, etc. Étal actuel (décembre 1887). - A
première
vue, on est frappé de l'ap- parence tout à fait
d'adduction des doigts ne s'exécutent plus, de même la flexion des
premières
phalanges, et l'extension des deuxièmes et troi
hypothénar. A la main gauche on observe une cicatrice au niveau du
premier
espace interosseux. Il serait survenu la, sans
ieusement, sans cause apparente, et occuper aussi la main droite en
premier
lieu. Les lésions sont moins avancées, elles ne d
8 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTHIÈRE. à droite, mais les trois
premiers
doigts des deux côtés en étaient exempts. Tous
iffe carac- téristique, atrophie des interosseux, en particulier du
premier
, parésie du cubital antérieur. Il existait de p
selon la réserve exprimée par cet observa- teur, de manifestations
premières
d'altérations de la moelle et de ses racines ?
joints (pl. III et IV) en disent plus qu'une longue description. Au
premier
abord rien ne ressemblait plus au gonflement du c
s extenseurs du cou et de la tête. Il n'en est pas moins vrai qu'au
premier
abord, c'est ce changement de volume du cou qui
doigts, étendus, sont déjetés vers le bord cubital; la flexion des
premières
phalanges se fait normalement, mais celle des deu
ment fléchie et portée en adduction et rotation en dedans, les deux
premiers
orteils gauches reposant sur la face dorsale du
peut-être, en présence des accidents nerveux si intenses des quatre
premiers
mois, porté à assombrir ce pronostic plus qu'il
it (la fracture siégeait au niveau des douzième vertèbre dorsale et
première
lombaire). Dans deux autres cas il existait des
entraîne pour ces fractures, même après que la malade a échappé aux
premiers
acci- dents, un pronostic assez sévère. Ils cré
fait tenir à la main, le membre supérieur étant étendu. Les deux
premières
figures représentent les courbes dynamogra- phi
némique, se trouve dans un état de nutrition satisfaisant. Dès le
premier
coup d'oeil, on est surpris par la gros- seur e
ait toujours dissidente, niais l'un de ses docteurs-régents Deslon,
premier
médecin du comte d'Artois, l'un des frères' du ro
lit ou au milieu de la cour et se cramponne de toutes ses forces au
premier
objet qu'elle trouve et on peut à peine vaincre l
ogues et nous en avons de notre côté publié un semblable dans notre
premier
travail sur la catatonie2. Mais si l'attention
sur le sujet sain (et dont la figure 2G reproduit une fraction des
premières
minutes), on voit que les lignes sont absolumen
êmes conditions que le tracé de la figure : ! 5, mai' pendant les 7
premières
minutes. Go tz 0 CI - . ! i n L-
a série tabétique avaient presque atteint leur apogée. Pendant le
premier
mois il y eut une amélioration marquée portant su
, il a présenté à nouveau les ataxiques qui ont servi de thème à sa
première
leçon; l'amélioration non seulement se maintenait
ons du collier en plaçant la boucle supérieure de la- pièce dans le
premier
, le deuxième ou le troisième des crans ou encoche
oit être placée en dehors. ' : Il est parfois, nécessaire, lors des
premières
séances/chez les indivi- dus sensibles, trop gr
nsi dire. Reste maintenant il placer les 'pièces' des aisselles. Au
premier
. abord, elles semblent de peu d'importance, et
nfants, l'autre en a eu trois qui sont morts dans les deux ou trois
premiers
mois. - La mère a 44 ans; se porte bien, mais trè
ls; impossible de rien savoir sur ce point, pour ce qui a trait aux
premiers
temps de son mariage. Alors « la chair » aux ma
blépharospasme persistait encore avec tous ses caractères dans les
premiers
jours du mois de février : on le faisait disparaî
r être un peu moins fréquente, n'en est pas moins un phéno- mène de
premier
ordre comme accompagnement des manifestations h
portant, ne présentait pas de cyanose, pas d'asphyxie. Il passa sa
première
enfance à la campagne, élevé au sein, par une nou
il était propre. La dentition se fil il un an, et l'apparition des
premières
dents ne fut accom- pagnée d'aucun trouble ; ma
ué d'une excellente mémoire. C'est à cet époque qu'apparaissent les
premiers
accès. A 4 ans il eut la variole, à 5 ans la roug
lle est par conséquent moins bénigne qu'on ne pourrait le croire au
premier
abord. G11. Féré, E.-V. PERRUCHET, Médecin de
ns nous dispenser néanmoins de citer les uns comme les autres. Au
premier
rang, voici plusieurs scènes d'hôpital. Une fre
a toujours été d'une santé irrépro- chable jusqu'à l'apparition des
premiers
troubles qui marquèrent le début de la maladie
s jours de l'année 1888, cinq mois, environ, après l'apparition des
premiers
symptômes, elle dut renoncer à son métier de pl
ni). il- Il Les phénomènes constatés, particulièrement chez notre
première
malade d'une part, les expériences concordantes
ralement ' - 1 Sans chercher le pourquoi des limiles'bizarres au
premier
abord de cette distribution de l'insensibilité,
int de vue clinique, pour le diagnostic différentiel, un intérêt de
premier
ordre. Ces observations ont trait à la contra
eux qui, ayant présentes il la pensée les formes des squelettes des
premiers
spécimens du grand arbre généalogique, jetterai
n se jouant encore qu'il en reculait les limites et s'y montrait au
premier
rang. Géomètre, physicien, philosophe, il ne se l
parce qu'il cessa d'y marcher. Écrivain, à peine avait-il publié sa
première
Provinciale, qu'il fut un auteur sans rival et
Rien de particulier à noter durant le reste de son enfance et les
premières
années de son adolescence, si ce n'est une précoc
e voir l'oeuvre d'un esprit aussi jeune... C'est ainsi que, dès ses
premiers
pas dans la vie, emporté par l'irrésistible ins
Pour déterminer exactement les singularités que présente, dès le
premier
aspect, le masque de Pascal, nous ne pouvions mie
ion particulière, fin septembre 1884, au.moment de l'apparition des
premières
règles. (i J'ai pu constater, dit-il, que sa dé
ze ans à la suite d'une vive émotion. Trois semaines après il a son
premier
accès. En 1878 (seize ans) premier séjour à Bic
Trois semaines après il a son premier accès. En 1878 (seize ans)
premier
séjour à Bicêtre : il avait alors un ou deux ac
'accroissement de leur volume et le rehaussement des bords des deux
premières
phalanges à la face palmaire. Le pelvis est b
Mais huit jours après, revenant de l'Hôtel-Dieu où elle avait eu sa
première
attaque, et passant sous le petit Châtelet, elle
oprement parler l'atrophie musculaire. Dans ses Leçons cliniques du
premier
semestre de l'année 1. G'atroa musculare nelle
modifia profondément (tristesse, crises de larmes, etc.) il eut sa
première
attaque d'hystéro- épilepsie. Depuis lors, il
En 1887, deuxième attaque de contracture généralisée semblable à la
première
mais qui ne dura que huit jours. En juin 1888,
as les muscles de l'épaule qu'elle n'atteint pas. Pendant les six
premiers
mois qui suivirent l'accident, B... nepouvaitaval
ANS L'HYSTÉRIE. 269 jours, il recouvra l'usage de sa main. Les deux
premières
fois, quand sa main était anesthésique dans tou
sie s'est atténuée. L'oedème est moins marqué. Le pouce et les deux
premiers
doigts sont animésd'un tremblement léger secous
remue les doigts; au bout de six autres semaines guérison complète.
Première
grossesse très bonne; deuxième grossesse très m
s de la peau, avec rougeur et saillies oedémateuses, ressemblant au
premier
abord à distance à des verge- tures, des cicatr
partie sur la région anesthésiée, devient saillante d'abord dans la
première
portion seulement - puis la seconde s'élève à son
montré M. Charcot dans sa Leçon du 5 février, d'occuper un rang de
première
importance en clinique, n'est pas le simple fait
i donne un tracé bien diffé- rent, à peu près rectiligne pendant le
premiers
jours, s'abaissant jus- qu'à la mort, où se rel
filets sympathiques dont l'origine serait le rameau communicant du
premier
nerf dorsal. Ces notions sont intéressantes au
ion exacte du processus gliomateux (origine médullaire ou réelle du
premier
nerf dorsal), si la théorie de l'innervation de
il rentra à la caserne, et ce fut immédiatement après qu'il eut sa
première
attaque. Yoici quelétaitsonétatle 4 mars-1888,j
e vertical, quoiqu'un peu dévié en bas et à droite; celui des trois
premières
dorsales est fortement oblique en bas et à gauc
ne hauteur manifestement diminuée en avant (15 mill. pour les trois
premières
; 11 mill. pour la partie droite de la 5). Out
sur le cinquième. Epiphyses volumineuses. Extrémité postérieure du
premier
métacarpien : haute de 35 mill., large de 20 mi
mois à l'asile (1882). Rentrée chez elle, elle reprit ses habitudes
premières
, tenant bien son ménage, mais exagérant toujour
hon, diable r, et parfois le mot « Dieu » qui surgissait à côté des
premiers
; c'était, dit-elle, comme un blasphème. De même
our décrire les amnésies hystériques il faut, à mon avis, mettre en
première
ligne un caractère qui vous sur- prendra peut-ê
our, à savoir démêler ce qui est véridique et à ne pas condamner du
premier
coup, sans examen plus approfondi i. Ce, que- M
nt être systématisées, localisées, géné- rales ou continues. .Les
premières
sont peut-être les plus communes : les ma- lade
ux, celui du Dr Despine (d'Aix). Il contient, à mon avis, l'une des
premières
et l'une des plus remarquables descriptions de
ns trouver l'ex- plication de l'amnésie hystérique ? Cela semble au
premier
abord très vraisemblable : lI"'e D..., par exem
somnambulisme réciproques certains états tels que le sou- venir du
premier
se retrouve dans le second et le souvenir du se
aie guérit très rapide- ment, mais trois mois après Ser... avait sa
première
attaque d'épilepsie. Voici son histoire à par
erhémisphérique. Mais la compression porte particulièrement sur les
première
et deuxième frontale. On peut résumer ainsi tou
a' cicatrice osseuse que nous avons décrite doit comprimer les deux
premières
circonvolu- tions frontales droites ainsi qu'un
Il s'est encore mis à pleurer en disant : « Voilà, c'est comme la
première
fois. » , , Cette fugue avait duré vingt-huit h
H. ROT- TENDILLER. (Cent1'alblaU. f. Nervenheilk. NF.,II, 1891.)
Première
étude : manie avec idées de grandeur bizarres et
e accumulateur dans lequel se développe un second courant opposé au
premier
(expé- riences démonstratives au moyen du galva
ns les petites localités, elles abou- tissent à la publicité. Cette
première
déclaration n'est pas, d'ailleurs, la seule act
seignement ni l'éducation en commun; il vaudrait mieux réserver aux
premiers
des établissements séparés comme cela s'est lai
in de l'opération étaient pleins de sang. La plaie se cicatrisa par
première
intention, mais le liquide continuait à fil-' t
l'étaient à un égal de- gré. Il contient, en effet, des mémoires de
premier
ordre qui ont consacré à jamais la grande réput
s'agissait de la première édition. Ce sont cette fois les.vingt-six
premières
leçons qui paraissent en seconde édition. Comme
e question au Conseil su- périeur de l'Assistance publique. Titre
premier
. - l3ut de la Société. ART. 1. - La Société de
s. Le tirage au sort désigne ,les membres sortants pendant les deux
premières
années. Après la troisième année, les membres é
l de Ville dans la salle des délibérations du Conseil municipal, au
premier
étage, où sera le siège du congrès depuis la ve
spère trouver le moyen de détruire quelques-unes de ces racines aux
premiers
temps du développement. C'est un objet louable
e au douzième mot, tantôt, quand elle est parvenue à franchir cette
première
diffi- culté, elle se trouve très perplexe à la
à se laver les mains plusieurs fois. Très exaltée au moment de sa
première
communion ; elle s'ima- ginait toujours s'être
uefois celui-ci s'installe brusquement dans sa pensée et restant au
premier
plan, efface tous les autres souvenirs et devie
ar la façon dont M. Féré calcule ses coefficients urotoxiques (voir
première
note). Depuis ces diverses communications, au
nos expériences sur les cobayes). Nous rapportons tout de même ces
premières
expériences parce que dans plu- sieurs de nos e
es et enfin le temps relativement assez long qui a amené la mort du
premier
animal, la toxicité des urines de Sep ? proe ou
njection.) Le 10 octobre, une attaque de jour. Le 11 2 de nuit.
Première
injection. L'urine recueillie le 29 est claire, e
lles punc- tiformes. Respiration précipitée et superficielle; à 50,
première
attaque de secousses. Ce sont des convulsions t
L'urine a été recueillie du 30 avril, 9 heures du matin, après la
première
attaque au leur (même heure). La surveillante m'a
ons abondantes d'urines claires pendant l'injection des trois cents
premiers
centi- mètres cubes. Autopsie. Congestion rén
tre heures. Urines pendant le délire. Le 11 avril, l'excitation des
premiers
jours commence à tomber. Hug... a son délire ha
grammes. Injection en quarante minutes de 272 c. c. Pendant les 100
premiers
c. c., pas de myosis, au con- traire, dès le dé
et la ligne de démarcation passait par le point de fixation. La ·
première
attaque dura 10 à 12 minutes, et la seconde, surv
je savais que c'était le prélude de la fin de l'attaque. En 1871,
première
attaque d'épilepsie complète (chute avec perte
nsultation externe de la Salpê- trière, 6 avril 1886). ' En 1878,
premières
attaques d'épilepsie partielle, qui se renouve-
eures du matin). Peu de temps après (vers le mois de juillet 1878),
première
attaque d'épilepsie partielle au bras, droit, q
erne de la Salpêtrière; 4 janvier 1881.) Rien durant son enfance.
Première
attaque d'épilepsie partielle à la seconde époq
temps, les accès sont revenus depuis deux mois avec leur intensité
première
. Les attaques sur- viennent à peu près deux foi
1891 (trois mois avant qu'il ne vint à la consultation), il eut sa
première
attaque d'épilepsie partielle. Il se trouvait u
e et la régularité qui président à l'agencement des parties qui, au
premier
abord, ne présentent que contusion. Ces choses
eurs sensations. . Bien que nous soyons peu renseignés sur la cause
première
delà prédominance du côté droit et de l'habitud
ileptique, nous ne voulons point dire que ce soit toujours la cause
première
de l'affection. Les recherches cliniques ont en
à un si haut point en chirurgie cérébrale. C'était là, je crois sa
première
opération et le fait est d'un assez haut intérê
fection en foyer. Par conséquent, il est douteux que, dans les deux
premières
observa- tions, le trouble de la motilité doive
toidien, du trapèze et du splénius du côté gauche, originaire des
premiers
mois de la vie, a abaissé le rocher, tiré sur la
rticle serait la forme atténuée (ni paralysie, ni contractures). La
première
aurait pour facteur la propagation des lésions co
faciale périphérique tout au début de la syphilis, à la période du
premier
exanthème, alors qu'il ne saurait être question
nateur. Séance du lundi lor août. - Présidence de M. Tu. ROUSSEL,
Première
question : Du délire des négations ; sa valeur
ariétés a fait disparaître les contradictions et les lacunes de son
premier
travail. Il importe donc d'établir un groupemen
lles sont en rapport avec des modi- fications de la base organique,
première
, de la personnalité. Le délire des négations, d
moins du délire typique de Colard. Mais ces cas n'infirment pas les
premiers
; ils doivent être considérés comme des cas moins
Charpentier. 11 faut désencombrer les asiles : voilà la ques- tion
première
qui s'impose. Que cet encombrement résulte de la
ont fourni le prétexte de la persécution et qu'à eux reviennent les
premiers
torts; ce sont des victimes, mais coupables, et n
à tous les persécutés, s'en distingue cependant par un caractère de
premier
ordre. C'est à peine s'il en veut à ses per- sé
usceptible de rémissions, plus tenaces quand la conviction maladive
première
est elle-même plus durable. M. RITTI (de Pari
e rémission complète de la paralysie générale. A s'en tenir à cette
première
partie de l'histoire du malade on se trouverait
a craniectomie a été préconisé par M. le professeur Lannelongue. Sa
première
opération a été faite le 9 mai 1890, chez une p
qué le 30 juin 1890 à l'Académie des sciences une note résumant ses
premiers
résultats 1, Suivant lui, il y a trois théories
juin 1890, p. 1382.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 317 maintient son opinion
première
sur « l'ossification anticipée des sutures » ch
ibi que les photographies de leur cerveau. Par opposition à cette
première
série de cas, M. Bourneville fait voir les phot
57.) L'opération que je me propose de faire prochainement, est la
première
de son espèce qui, autant que je sache, ait été a
r 1890, travail normal, sans diffor- mité, pesant environ 6 livres.
Premier
enfant de parents âgés d'à peu près vingt-cinq
dixième jour, on renouvela le pansement, et la plaie se referma par
première
intention sans aucune suppuration. Le malade
ration. 1891. 17 février. Une opération absolument semblable à la
première
fut faite sur cette malade à l'hôpital Jefferson.
ait fait plus de progrès depuis la seconde opération qu'après la
première
. (Il s'agit de l'enfant dont il est parlé plus ha
e cinquième jour. La marche de la guérison est identique à celle du
premier
cas. 3° CAS : - J.-L. H., garçon âgé de seize m
.) A. F..., fille âgée de quatre ans et demi ; accouchement normal;
premier
enfant ; commença à mar- cher à deux ans et à t
loppemment corporel normal, et le teint vermeil. On voit de suite à
première
vue la dimension relativement petite de la tête
e qu'on la lui doit ' toute, elle n'en est pas moins séduisante, au
premier
abord, par son originalité, et, après la lectur
mais elle ne comprend rien au calcul et tandis qu'elle est une des
premières
pour l'orthographe, l'histoire, la géographie,
le lance le mot pré- servateur pour conjurer l'influence funeste du
premier
. Observation XXVII. Dégénérescence mentale. Ono
re lequel il invoque un autre mot, vérité qui combat l'influence du
premier
. Souvent il ajoute treize' au mot dont la signi
a des accès à forme d'épilepsie sensitive. Ils ont le caractère du
premier
accès qui lui prit en 1889. Cepen- dant il est
voir classer des accès d'aphasie motrice, que G... présenta dans sa
première
' L'amnésie hystérique est à présent l'objet da
presque contem- porainement, nous porte tout de suite à discuter en
première
ligne l'hypothèse d'une : a. - Syphilis céréb
l'épilepsie Jaclisonienne. (Arch. sur Psichialrie, XXI. Observation
première
.) ' V. Charcot. Epilepsie partielle crurale et
ADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 405 dont Cha... est victime, parait au
premier
abord presque banale; en effet, la parésie, le
e soutire de maladies nerveuses. Antécédents personnels. - Dès sa
première
enfance B..., a exercé le métier de saltimbanqu
L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 411 an après son
premier
accident sa maladie actuelle se manifesta de la
. Le fait d'avoir perdu connaissance, ce qui lui arrivait pour la
première
fois depuis l'accident de la foudre, effraya beau
éveloppés des deux côtés. B... est resté à la Salpêtrière jusqu'aux
premiers
jours de juillet. Dans cette période il a prése
du lobule parencentral. Et tel en effet fut le diagnostic porté du
premier
coup, main- tenu pendant longtemps. Cependant,
F... présente un bredouillement et un bégaiemennt qui datent de sa
première
crise. Ils sont parfois tellement intenses que
dans l'hys- rérie. Serait-il nécessaire de démontrer que les trois
premières
de ces affections doivent être éliminées ici ?
es rudimentaires, la migraine et l'amblyopie transitoire, dont la
première
est beaucoup plus fréquente et pour ainsi dire pl
pie transitoire. En effet, pendant la période des prodromes et le
premier
temps de la douleur, on remarque tous les signes
chercher ce phénomène maladif. Les hystériques se présentent, au
premier
abord, sous deux aspects différents, les unes son
glas l'a constaté aussi de son côté, spontanément sans connaître ma
première
communication, chez une malade du service de M.
e de AI. le professeur Gros, 1 Les autres études qui complètent ces
premières
conférences seront publiés dans un ouvrage qui
uelques mots très courts, et encore reste-t-il le plus souvent à la
première
syllabe qu'il répète plusieurs fois. Le il avri
et pourtant les acci- dents qui ont suivi n'ont guère dffféré des-
premiers
, ce qui prouverait une fois de plus, s'il en ét
rme aux intérêts de l'aliéné et à ceux de la société. Considérée au
premier
point de vue, elle soustrait le malade à des ch
u, l'élément provocateur (halluci- nations de la vue et de l'ouïe).
Première
opération, 29 décembre 1888. A la curette tranc
ation le 8 mars. Résection de l'écorce de la partie postérieure des
première
et deuxième temporales, soit 2 gr. 50 de cervea
ctes de défense. Hallucinations de l'ouïe. Excision de l'écorce des
première
et deuxième frontales gauches; on trouve en cet
hronique. Hallucinations de l'ouïe, de la vue, du toucher. Démence.
Première
opération : excision de l'écorce du champ verba
eud de pro- cessus pathologiques. Mais il faut être un opérateur de
premier
ordre, un strict observateur de l'anatomie topo
ans qu'existe la Sociélé. C'est le 6 juillet 1867 qu'elle a tenu sa
première
séance. La séance 1 Voy. Archives de Neurologie
avec multiplication très accusée des cellules araignées, dans les
première
et troisième frontales, gyrus rectus, frontales a
ière et troisième frontales, gyrus rectus, frontales ascen- dantes,
première
et deuxième temporales, du côté droit comme du
n était frappé de la disparition des cellules nerveuses au sein des
première
et deuxième couches de Meynert,. Le président
lo-moteur ccmmun, ce dernier n'est point du tout la continuation du
premier
. Le noyau de l'oculo-moteur commun commence, au
astrique, hypoglosse, étaient lésés. La mort était survenue dans la
première
semaine au moment où la maladie avait atteint sa
ise au niveau du bulbe avec celui du côté opposé. A côté de cette
première
forme purement motrice on peut placer une forme
; elle est gauche si c'est le lobe occipital droit, de sorte qu'au
premier
abord il sem- ble qu'ici, comme dans les cas pr
core plus rigoureuse que celle à laquelle nous avaient conduits nos
premières
recherches. C'est ainsi que l'élongation doit êtr
ation et les bénéfices qu'on est en droit d'en attendre. Dans notre
première
com- munication nous disions que certains malad
anesthésies ne répond pas à celle des paralysies, et la marche des
premières
n'est pas nécessairement suivie, du même pas, p
rocher de lui et reste écarté latéralement. (PI. m.) " Les quatre
premiers
métacarpiens et le squelette des doigts normaux
dirigeant obliquement vers le bord cubital de la main ; chez notre
premier
sujet, c'est l'inverse que l'on pouvait noter, la
le doigt surnuméraire où nous remarquons encore la soudure des deux
premiers
segments osseux, phalange et pha- langine. Le
oppement de la face et des extrémités. Nous n'insistons pas sur les
premières
dont la photographie reproduite Pl. VII peut donn
ur le bord radial s'articule une courte pièce osseuse, ébauche d'un
premier
métacarpien qui se prolonge par une seconde pièce
mais notre malade exerce surtout sa main droite. La sensibilité au
premier
abord ne paraît pas troublée davantage, le tact e
de variole. Cette photographie a été prise sur la rive gauche dela
première
cataracte : l'individu qui se trouve sur le mêm
bre 1712, et mourut à Dresde, le 23 ou 24 avril 1 1774. Il eut pour
premiers
maîtres : son père Johann Georg Dietrich et le
es infantiles appartient incontestablement au type myxoedémateux. A
première
vue, il a toutes les apparences d'un enfant de
trois morts de mé- ningite, enfin qu'il se serait trouvé pendant sa
première
enfance dans de mauvaises conditions de nourrit
linger, n'admettait qu'avec certai- nes réserves les conclusions du
premier
; il faisait ressortir les nombreu- ses analogi
es remarques dont il le fait accompagner, il se demande si la cause
première
de cette affection ne serait pas tout autre que c
e clairement qu'elles sont venues secondairement s'y ajouter. 11a
première
catégorie des tumeurs, appartiennent celles qui s
voit d'abord aug- menter lentement de volume dans les deux ou trois
premiers
jours, en même .temps que les douleurs s'exaspè
colonne vertébrale en se penchant. » , On croirait, en lisant cette
première
partie de l'observation, que les tumeurs de la
la fois. Dans le cas d'Henry, l'avant-bras droit a été le siège des
premières
manifestations morbides ; dans celui de Fuerstn
donald signale le bord postérieur du sterno-mastoïdien gauche comme
première
atteinte du mal. ' Dans quelques cas la tumeu
SCLÉRODERMIE LARDACÉE EN COUP DE SABRE DE LA RÉGION' FRONTALE 145
premier
mois de séjour de ce malade à l'hôpital, son état
, nous relevons les anomalies suivantes : L'extrémité antérieure du
premier
métatarsien est hypertrophiée et dé- jetée un p
enfel a constaté sur le squelette la synostose des articulations du
premier
orteil. Partsch et Habeck parlent de l'ankylose
premières traces morbides remontent à la première enfance, aux deux
premières
années de la vie. Sur ce nombre, 12 fois la mal
t à 26 ans, et l'observation de Braum, publiée par Hawkins, dont la
première
atteinte est survenue ci 22 ans. L'affection se
s que chez les hommes, nous trouvons 19, 22, 20 et 35 ans, lors des
premières
attaques. Nous enregistrons ce fait sans y atta
'apophyse épineuse de l'axis, ou, sur les apophyses transverses des
premières
vertèbres cervicales, l'absence de déformation
x infantile, bien décrit par le J)r DiamanLberger, se dis- lingue à
première
vue de la maladie qui nous occupe. Dans la premiè
oute altération, les extrémités sont envahies en dernier lieu elles
premières
manifestations se mollirent au tronc, au dos ou à
e époque, en avril, et chacune d'elle a duré trois mois, les quatre
premières
ont envahi le côté droit, les deux dernières, au
BONNUS Ancien interne des hôpitaux. L'époque de l'apparition des
premiers
phénomènes de la Maladie de Friedreich est suje
nts à l'àge de cinq et huit ans, d'autres, au contraire, voient les
premiers
phénomènes cliniques se manifester il )'age de qu
gnements que nous avons pu recueil- lir, ce qu'a été au jusle celle
première
atteinte. Incidemment, je crois devoir vous rap
e, phénomènes de compression locale. La céphalée figure en tête des
premiers
. Elle a été d'une violence et d'une ténacité exce
ce siège; ce sont eux que j'ai qualifiés de symptômes cardinaux. Le
premier
en date est la titubation. Ce désordre de la marc
gmates apparents sur la mère. La mère a eu trois grossesses : .
Première
grossesse : fausse couche. Deuxième grossesse :
mois présenter un crâne d'une petitesse si dispropor- tionnée qu'au
premier
aspect on avait pu croire il une anencéphalie.
e disproportionnée ; le crâne a un développement si restreint qu'au
premier
aspect on croirait à une anencéphalie ; la voûte
ré en 1881. Femme restant indemne, assure-t-on. Trois grossesses.
Première
grossesse suivant immédiatement le mariage. Enfan
ofesseur A. Fournier) (inédite). - Père syphilitique et mère saine.
Premier
enfant hydrocéphale. - Second enfant affecté d'ép
8 (1). Marié en 1850. Mère restée saine. Quatre enfants. Les deux
premiers
ont été hydrocéphales in utero et n'ont pu être e
urielles, de six semaines chacune, avec le protoindure pour les six
premières
, et le sirop de Gibert pour la dernière : quatr
a été surveillée par l'un de mes collègues au point de vue spécial.
Première
grossesse, donnant naissance en 1876 il un enfa
is. Pas d'accidents secondaires remarqués. Mariage à vingt-six ans.
Première
grossesse donnant naissance à un enfant chétif, m
e grossesses qui se sont terminées de la façon suivante : les trois
premières
par des fausses couches et la dernière par la n
médecin pour « des taches roses à la peau ». Trois grossesses :
Première
grossesse : enfant mort en naissant. LES MALFOR
taminée par son mari à l'âge de vingt ans. A eu trois grossesses.
Première
grossesse : avortement à trois mois. Deuxième g
senté des accidents cutanés. Mère indemne ; a eu deux grossesses.
Première
grossesse : fille venue à terme, bien portante.
sèche du corps de l'ongle, survenue pendant le septième mois de sa
première
grossesse et sur la nature de laquelle il est i
de laquelle il est impossible de se prononcer. Deux gros- sesses.
Première
grossesse. Enfant venu à terme, bien constitué, a
que ; ayant contaminé sa femme six mois environ avant le début delà
première
grossesse. La mère" a eu un chancre des parties g
Nous pouvons à ce point de vue rappeler deux cas personnels. .Le
premier
se rapporte à une paralysie infantile développée
ure, légère- ment douloureuse à la pression ; elle couvre les trois
premières
côtes et va jusqu'au milieu du dos ; elle sembl
la plupart des tumeurs existantes à l'épaule gauche au moment de sa
première
admission, et, au milieu, une petite masse osse
t une partie se trouve dans le grand dentelé (elle existait déjà à sa
première
admission) et sur une côte à laquelle elle est
avec le vésica- toire ; le froid a une action sur les tumeurs. A sa
première
admission, il prend du colchique, du 19 au 30,
, 1878, nO' 20-2. Léopoldine Beck, 7 ans, a présenté à la fin de sa
première
année une diffi- culté dans les mouvements du c
est libre. Léger épaississement de la crête iliaque Anomalie de la
première
phalange du gros orteil. - Membre inférieur dro
bras étaient fixés dans la position qu'ils occupent actuellement.
Première
apparition des règles en 1882 ; maux de tête depu
ace. Une seule fois,on constata, huit mois après l'ap- parition des
premières
douleurs, un noyau osseux à la partie supérieure
t quel- quefois de craquements. La flexion des genoux, qui semble à
première
vue entièrement conservée, est cependant un peu
de la nuque qui ne cessaient même pas dans le repos au lit. A ma
première
visite, même dans le décubitus dorsal, la tête ét
tions de la tête avec la colonne qui sont prises les dernières : le
premier
malade de M. P. Marie, plus ankylose que le nôtre
ire. z Voici la relation succincte des faits qui appartiennent à ce
premier
groupe : (lus. Il (BoECK Med. Annalen voz Puc
nité. La mère, dont la voûte palatine est un peu creuse, a eu comme
premier
enfant une fille parfai- tement conformée, âgée
sse frontale droite est très mar- quée ; il ne semble pas exister à
première
vue d'asymétrie crânienne, mais si on prend des
nt d'hypertrophie. Du côté des épaules rien à noter. Il semble, à
première
vue, que la région du coude et de l'avant-bras so
mâchoire supérieure, que t dents : deux incisives, une canine, une
première
prémolaire. Il n'y a rien d'anormal dans l'aspe
la face est déformé et légèrement dévié. Cette déformation, dont le
premier
signe appréciable aurait été une augmentation de
nerveux central chez nos monstres. Commençons par l'examen des deux
premiers
cas. 1° Enfant-âgé de 2 ans environ, chez leq
a vie intra-ulérine. Dans tous les cas précédents, à l'exception du
premier
, les cellules de la corne antérieure examinées
ée dans toute son étendue, la convexité dirigée vers la nuque. A sa
première
moitié il existe une masse irrégulière, osseuse
er du nom de Charcot de faire connaître les qualités artistiques de
premier
ordre qui embellissent encore l'auréole du sava
llectuel de la France, le professeur Charcot mérite d'être placé au
premier
rang. Il a révélé aux médecins du monde entier la
e ; ils les façonnent pour la grandeur de la France. Charcot fut au
premier
rang parmi ces grands éducateurs. Aujourd'hui,
oins durable ! Retracer cette oeuvre dans ses grandes lignes fut ma
première
préoccupation, lorsque m'échut la lourde tâche
ent d'un devoir de piété filiale envers l'homme qui avait guidé mes
premiers
pas dans la carrière médicale. Il me serait imp
ons violentes; les accidents, toutes sortes d'empoisonnement et, en
première
ligne, l'alcoolisme. Pour déraciner le mal, il
que notre volonté intervienne autrement que pour donner l'impulsion
première
à des muscles habitués 1 se contracter d'une cert
nouveauté, de la thermométrie, de la physiologie, il était l'un des
premiers
à les appliquer à la clinique. Il était mû par
r, Messieurs, par ce court exposé, que Charcot était un maî- tre de
premier
ordre en anatomie pathologique et que son oeuvre
able, et que Lewinski lui-même est revenu sur l'ab- solutisme de sa
première
opinion (3). Il est du reste difficile de faire
artiennent en propre à cette paralysie associée et la distinguent à
première
vue, avant tout examen électrique, 'de la paral
ment que la gouttière scapulo-thoracique sera plus profonde dans le
premier
cas. D'autre part, dans l'élévation du bras en de
r elle est très comparable, moins l'intensité de la lésion, à notre
premier
sujet. Voici son histoire résumée : Virginie G.
d'être relevées. Au point de vue de l'étiologie nous voyons que la
première
manifestation est provoquée par une irritation lo
que nous eûmes bien soin de l'épuiser entièrement. Pendant les deux
premiers
jours qui suivirent la ponction la malade se trou
lutiond es signes physiques. Le jour où nous avons constaté pour la
première
fois l'épanchement, la malade était très calme. M
yens thérapeutiques mis en oeuvre et les résultats obtenus. Dans'la
première
attaque trois ou quatre ventouses scarifiées fo
ection pulmonaire, ne s'expliquerait- elle pas par l'hystérie ? A
première
vue l'idée est séduisante. En effet, lors de sa p
stérie ? A première vue l'idée est séduisante. En effet, lors de sa
première
atta- que nous avons été frappés de l'insistanc
R UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE 471 ment suggestive. Sa
première
phase est une attaque d'hystéro-épilepsie ; la
eil. Les phalanges semblent petites et mal développées. La tête des
premiers
métatarsiens est grosse. O¡;\'. Iconographie Dr
on de la main, sans limites précises, dans la portion tendineuse du
premier
radial. L'anconé est transformé en une pointe o
es poussées, de même qu'ils déterminent parfois la localisation des
premiers
phénomènes de la maladie ; DE LA MYOSITE OSSIFI
réfères, lu termineras les études, et tu seras médecin. » Les trois
premiers
enfants n'eurent qu'à s'incliner devant la décisi
usieurs Ibis en tête de ses lettres, pour indiquer l'adresse de son
premier
appartement. Un y voit un coq qui vient de pond
ne série de types nationaux dessinés par Char- ('11l IUI', de son
premier
voyage en fiu.ssic. )ja('('ttccti)t0)t est me
âtre un opéra de Wagner, il en sai- sit l'ampleur cl revint sur son
premier
jugement. Une vue d'ensemble lui avait permis d
itique était, aiguisé. En cela, son aptitude supérieure à saisir du
premier
coup d'oeil les caractères saillants ct il les
l. Son goût pour la satirc en images se révéla précocement. Ses
premières
tentatives ne sont pas les moins intéressantes;
le\'clll et l1al'llll. allcn- ti ! ' Ü SOli lahem, l'Ill 1111 des
premiers
collaborateurs du Maître : mieux qu'un élève, un
dessins de Charcot en sont remplis. , Que conclure, sinon que, du
premier
coup d'oeil, il était apte à recon- naître tell
elques jours après, les chants et les-cris avaient repris avec leur
première
intensité. Observation III. - M. A... (Joseph
e trouve de ce seul fait écartée, ainsi que je l'ai établi dans mon
premier
travail. Il importe donc de commencer l'étude d
que le pyromane n'est, pour ainsi dire, jamais découvert après son
premier
crime. Ce que j'ai observé et les recherches qu
. Il y en a même parmi eux qui n'opèrent qu'à ce moment; nos deux
premiers
malades étaient dans ce cas. Sous l'influence d
sant par Courcelles pour rentrer chez lui, il avait mis le feu une
première
fois; à deux kilomètres de ce village, il rencont
révenu réputé non aliéné; empressement à porter secours. Les deux
premiers
dimanches d'août 1881, deux meules de fourrage
toute résistance fut impossible ; et il commit immé- diatement son
premier
crime. Il est très affirmatif sur le mobile psy
eau. Le nommé Bard... (Alcide), né le 13 août 4830, est entré une
première
fois à l'asile de la Roche-sur-Yon, le 7 juillet
s, presque sans trace de sillons, dont l'un répond au pied des deux
premières
frontales et l'autre à la troisième. La circonv
parant ces états de la démence, à l'inverse de Griesinger. Ses deux
premières
classes d'aliéna- tions héréditaires comprennen
me originaire de Sander, en la divisant en deux sous-variétés. La
première
, hallucinatoire dépressive, après une période d'i
pathologiquement à transformer en fausses perceptions l'excitation
première
. Aussi le délire hal- lucinatoire se développe-
raison mystérieuse, celui-ci, procédant tout à fait à l'inverse du
premier
, progressera-t-il selon un mode uniforme et con
1876, sur 2,029 individus qui se trouvaient à Illenau dès les trois
premières
années de son exis- tence, 15 seulement sont re
cas irréfutables où il faut agir. Enfin les autres interviennent du
premier
coup et forcent l'ingestion ali- mentaire, soit
que l'écorce est uniforme dans ses fonctions. Munk est le chef des
premiers
, Goltz des seconds, mais, même painu les dé- fe
upe de 60 albuminuriques, ne constatait, quelques jours après son
premier
examen, que six à sept cas d'albuminurie. Il s'ag
ystérie infantile. Les troubles des facultés affectives sont un des
premiers
symptômes delà maladie. La symptomatologie est
ysicien ordinaire do l'illustre et puissante République de Berne.
PREMIÈRE
NARRATION Il existe dans le district d'Erlach,
jeune malade, ils exposèrent le motif de leur visite et l'ordre du
premier
magistrat, et demandèrent la permis- sion d'exa
ne durerait pas longtemps et qu'elle recouvrerait bientôt sa santé
première
, ou serait appelée au ciel pour partager les cé
s qu'elle faisait au mé- decin et au chirurgien qui, par l'ordre du
premier
magistrat, avaient été envoyés vers elle, et qu
la mission retournèrent chez eux et remirent le cas tout entier au
premier
magistrat. Ce dernier, pour plus de prudence, e
t la réputation de cette femme, et ordre leur fut donné de venir au
premier
jour à la ville pour rendre compte de leur enqu
ependant, l'innocence de la mère ayant été reconnue, par l'ordre du
premier
des magistrats, après huit jours d'interne- men
au mois de mars de l'an 1602, avait dix-huit ans"; toutefois, ses
premiers
jeûnes ne 'durèrent qu'un mois. Ses moeurs avai
doute, d'après nous, que la mort devait bientôt en résulter. Notre
premier
soin fut de demander au Sénat des lettres pour
te sortait de sa bouche. Nous trouvâmes également que, depuis notre
première
visite, ses cheveux étaient revenus à leur long
; qu'elledoit, en outre, donner satisfaction à un intérêt social de
premier
ordre et aux piéoccupations légitimes et sans c
u'elles doivent inspirer. L'énoncé du problème fut l'objet de nos
premières
préoccupa- tions. En le posant, le gouvernement
portance et vous dire qu'à côté de l'action médicale reconnue de
première
nécessité, le Gouvernement a proposé, et la commi
éditations profondes, de ses études attentives et soutenues. Si, au
premier
abord , elles vous surprennent, veuillez y réfl
suite au rapport ,contient les changements apportés à la rédaction
première
, et, SÉNAT. 155 quand ce texte a paru, la mêm
ications qu'elle avait elle-même consenti à apporter à sa rédaction
première
. Elle s'est convaincue qu'en revenant purement
tion la fonction d'assistant des cliniques médicales du collège, de
premier
assistant de la clinique du DT Séguin, de profe
questions ultérieures que nous lui adressons, elle suit son idée
première
et nous fait des réponses qui n'ont aucun rappo
maintenant de fixer avec une certitude suf- fisante pour fournir du
premier
coup au jugement et à l'instruc- tion du médeci
oportionnelle à leur nombre. Nous allons démontrer que sur les deux
premiers
points les opinions de l'auteur sont erronées e
I. DE LA TEMPÉRATURE DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'ÉPILEPSIE. Dans nos
premiers
travaux sur la température des épilep- tiques (
n actif. La seconde forme serait le délire des grandeurs associé au
premier
ou existant seul, le plus souvent de couleur ér
nsion (surtout à droite) des émi- nences thénar et hypothénar et du
premier
espace interosseux) ; ainsi, à droite, les exte
fet contient d'assez nombreux détails, dont quel- ques-uns même, au
premier
aspect, peuvent sembler étrangers à la loi sur
le, de la commission, le Gouvernement ne peut accepter que les deux
premiers
. Sur le premier, il n'y a pas de dissentiment p
. On satisferait ainsi au désir exprimé par la commission dans le
premier
paragraphe de l'article 4er, sans soulever la gro
ns la loi. Tout en donnant l'assenti- ment du Gouvernement aux deux
premiers
paragraphes de l'ar- ticle 4 ? je dois faire co
que dans les asiles privés qu'on peut l'appliquer aujourd'hui. Le
premier
des traitements est le traitement religieux. (Exc
e du Gouverne- ment. Je suis étonné qu'après avoir admis les deux
premiers
para- graphes de l'article 1 ? il se refuse, au
sa place n'est pas dans la loi. (Très bien ! très bien ! ) Voilà ma
première
objection contre le paragraphe ! 3 de l'article I
oir les aliénés sont de deux sortes : publics ou privés... » (Cette
première
partie du paragraphe, mise aux voix, est adopté
ix, est adoptée.) M. le PRÉSIDENT. Je mets aux voix l'ensemble du
premier
para- graphe. (Le premier paragraphe est adopté
le PRÉSIDENT. Quelqu'un demande-t-il la parole sur l'un des quatre
premiers
paragraphes de l'article 4 ? ... Je les mets aux
paragraphes de l'article 4 ? ... Je les mets aux voix. (Les quatre
premiers
paragraphes de l'article 1, mis aux voix, sont
ne maison de santé, et mem e dans un hospice. » C'estévidemmentau
premier
de ces trois cas, celui où le conseil de famill
le conseil de famille à se charger du traitement ». Voilà pour le
premier
point. Je passe au second. A l'énumération qui
ile de cette personne ». Il est donc inutile de rien ajouter sur ce
premier
point. Mais, dans la rédaction que je propose,
ication du paragraphe 3, qm évidemment s'applique à la 296 SÉNAT.
première
partie de l'article et non pas aux parents qui so
iale de l'homme. Nous avons déjà annoncé à leur apparition les deux
premiers
volumes de la Bibliothèque anthropologique. 1°
cot. L'école qu'il a fondée, les ouvrages qu'il a publiés, les deux
premiers
volumes de ses Leçons qui constituent des chefs
es recherches et de ses doctrines, l'éminent maître a imposée (voy.
Première
Leçon). Notre rôle se bornera à indiquer les ti
aire,- guérison soudaine d'une hémiplégie hystérique, etc. Les deux
premiers
volumes des Leçons de M. Charcot sont arrivés à
agonie et par la mort, l'étude des empoisonnements, terminent cette
première
partie qui est écrite avec toute la verve du mé
les cérémonies du sabbat et de l'exorcisme sont résumées dans ce
premier
chapitre. Le récit des miracles de saint Médard n
de traumatisme, pas d'alcoolisme (lors de la première grossesse du
premier
lit, elle avait sou- vent envie de boire du cog
0. Julep avec 0 gr. O'4 centigr. de nitrate de pilocarpine. ' Cette
première
partie de l'observation a déjà paru sous le titre
cêtre. Le 4 octobre suivant, c'est-à-dire plus d'un mois après la
première
lettre à M. Demôle, et huit jours après une nouve
frère, convulsions et affaiblissement paralytique du côté droit.
Premières
convulsions à dix mois. Convulsions à chaque po
s à chaque poussée dentaire jusqu'à quatre ans. Peur à onze ans ;
premiers
accès huit jours plus tard; convulsions limitées
était enceinte de quatre mois et demi) : « il a tété sur l'autre ».
Première
dent à quatre mois, il en avait trois à huit mo
mois il était comme les autres enfants ; c'est alors qu'il eut ses
premières
convulsions internes, dit-on, lors de l'éruption
rs peureux, sans éprouver aucun phénomène nerveux pré- curseur du
premier
accès. Celui-ci eut lieu trois semaines après,
se remit à parler après quelques instants. Trois jours après cette
première
course, se trouvant à la barrière de Montreuil,
met à courir jusqu'au coin de la grille, puis entre celle-ci et la
première
rangée d'arbres (30 mètres environ) ; arrivé au c
nviron) ; arrivé au cin- quième arbre, il se retourne et revient au
premier
en cou- rant ; là il est saisi et maintenu par
re avec tapotement du talon gauche. Réflexions. Va))... a eu son.
premier
accès trois semaines après une émotion vive occ
pied gauche a eu une influence sur le nombre des accès , quoique à
première
vue ceux-ci aient été moins fréquents en novemb
et moins vascularisées. - Le cerveau une fois décortiqué, il y a, à
première
vue, une dif- férence très appréciable en étend
nous montre que cet individu apprécia parfai- tement le danger. Son
premier
mot est celui de la ter- reur, et lesecond est
vit apparaître de toutes parts des travaux dont plusieurs sont de
première
importance. Nous nous abstiendrons de donner ic
-moteurs sur lesquels M. Lancereaux a insisté. Finissons-en avec ce
premier
paragraphe en disant que l'auteur américain a b
rations médullaires soient parfaitement nettes'. Il semble donc au
premier
abord que la lésion du faisceau pyramidal siège
délie frenopntie. Il Pisani, 1885. Cette distinction très simple au
premier
abord l'est beaucoup moins si l'on consulte la
rudi- mentaire impulsive. Nous avons vu que c'est Arndt, qui, le
premier
, a décrit cette forme de Paranoïa. Cette Parano
ion, de l'appréciation des choses extérieures, lésions limitées aux
première
et deuxième couches corticales, et n'affectant
infirmes ou dans des succursales du même établissement. Question
première
. Les malades en conflit avec la Loi ont-ils jeté
e à la rédaction de la commis- sion. à savoir qu'il faut ajouter au
premier
paragraphe : « Est assimilée, sous le rapport d
cations très sérieuses de cette disposition du projet qu'on peut au
premier
abord consi- dérer comme une mesure exorbitante
érêt de l'aliéné et de la société. Je puis tout d'abord signaler ce
premier
résultat de l'expé- rience, à savoir que, tandi
sitions de coeur et d'esprit finissent par remplacer la ten- dresse
première
. Les calculs intéressés s'y mêlent trop souvent,
xion tardive ? : ' tous les membres de la commission ayant signé Je
premier
rap- port. La question a été mûrement étudiée,
inverse. La flexion du tronc sur le bassin est notée dans les trois
premières
observa- tions. Il est impossible de voir sur l
devons encore l'étudier à d'autres points de vue. Dans les trois
premières
observations il est noté qu'il est impossible d
onc qui ressemble un peu à celle de la sciatique et qui pourrait, à
première
vue, prêter à la confusion (voir Planche V, fig
endant, nous trouvons, ainsi que M. Charcot l'a fait remarquer, la.
première
indication du syndrome qui nous occupe, dans un
la fonction de la station et de la marche. Ainsi, dans les quatre
premières
observations, la fonction est complètement abso
Antécédents personnels. Goh... n'a jamais été malade pen- dant sa
première
enfance. A l'âge de cinq ans, il a eu la rougeole
le 51 1 CLINIQUE NERVEUSE. diagnostic de la lésion qui chez notre
premier
malade a pu produire les symptômes relatés. N
ntact. Aux doigts et sur- tout à partir de la moitié inférieure des
premières
phalanges, le malade ne perçoit plus du tout la
le grand sympathique dans sa portion cervicale ou au niveau de son
premier
gan- glion thoracique. C'est ainsi que l'éphidr
'éphidrose latérale droite de la face, suivant le tra- jet des deux
premières
branches du trijumeau. La suda- tion survenait
inité. Neuf enfants. De son mari, une fille. De son amant les six
premiers
enfants sont morts jeunes à la suite de con- vu
rs, basées sur la différence des termes, qui sont si fréquentes aux
premières
périodes de la description raisonnée d'une mala
le pour le nosographe. A ce propos, nous ne pouvons que placer au
premier
rang dans le sujet spécial qui nous occupe l'ou
précédées de phénomènesconvulsifs pouvant être rapportés aux deux
premières
périodes de la grande attaque. » Néanmoins, com
omènes convulsifs toniques et cloniques ne constituent que les deux
premières
périodes de la grande attaque. Or il est assez
ville et Regnard est certainement vraie, mais les conclusions du
premier
de ces auteurs sont peut-êtreun peu trop absolues
as; il estime qu'ils peuvent se diviser en dix groupes principaux :
Premier
groupe : Idées de persécutions traumatiques ou
ourdonnements d'oreilles. Ce cas fait observer M. Ballet, semble au
premier
abord donner raison aux auteurs qui subordonnen
3,800 coûtent près d'un million et demi de marks (1,875,000 fr.).
Première
séance. M. l'instituteur en chef municipal, le Dr
s de nos établissements. La question de la nourriture occupe un des
premiers
rangs parmi les desiderata de l'assistance des
lternée dont on essaiera de produire à l'établissement les matières
premières
(c'est la meilleure façon de s'assurer de l'exc
é- vroglie. Cependant, dans la substance blanche de la moelle, le
premier
résultat peut être, même par une lésion mécanique
e des affaires, mériter la confiance du ministre de l'intérieur. En
première
ligne, il y placera les anciens notaires et les
uation, il me semble téméraire de voter l'article 12, même dans ses
premiers
paragraphes; nous ne pouvons le faire en connai
Président. Je donne au Sénat une nouvelle lecture, non pas des deux
premiers
paragraphes de l'article 13, sur lesquels on es
s admettiez le principe, je crois qu'il faudrait s'arrêter aux deux
premiers
paragraphes de l'arlicle 14 et supprimer tout l
ment réunis entre eux. Sur les mains on n'observe que l'atrophie du
premier
espace interosseux et un léger amai- grissement
symptômes qui s'associent à ceux-là avaient été remarqués dans le
premier
cas' et en partie observés par divers auteurs :
Le membre inférieur droit est dans le même état qu'il présentait au
premier
examen. Mais sur le thorax, l'anesthésie thermi
vingt-un ans et devint père de six enfants, qui moururent dans la
première
enfance, à la suite de diarrhées; une seule fille
dos de la troisième phalange, 6 ; de la première, 10. Main gauche,
première
phalange, face palmaire, 4-5 ; de la deuxième e
itié radiale de la main droite (fig. 7 et 8). Il occupe les trois
premiers
doigts et la ra- diale du quatrième; sa limite
out dans la partie inféro-externe, et un commencement d'atrophie du
premier
muscle interosseux ; tous les mouvements du pou
les du tissu cellulaire, aussi bizarre que cela puisse sembler de
premier
abord, leur liaison avec les symptômes fondamen
ystérique se présente sous deux formes cliniques typiques qui, au
premier
abord, semblent séparées, mais qui, en réa- lit
trop facile à distinguer pour que l'erreur soit possible. Dans le
premier
cas, il s'agit d'une diminution réelle ou d'une
développement égal à celui du cochon d'Inde, il marcherait dès le
premier
jour. » La question de mécanisme présente, du r
. La question est toutefois plus complexe qu'elle ne le paraît au
premier
abord. En effet, outre que, comme nous l'avons
grand sympathique cervical, les symptômes que nous présentait notre
premier
malade et qui sont ana- logues à ceux qui sont
les fibres irido-dilatatrices, après s'être réu- nies au niveau du
premier
ganglion thoracique aux 1 Fr. Flanck. - Dict. e
excité le ganglion cervical su- LI CLINIQUE NERVEUSE. périeur et
premier
thoracique, l'électrisation du bout supérieur d
r l'attention sur deux ordres de faits que l'on trouve dans notre
première
observation, comme d'ailleurs dans plusieurs de
e paternelle morte d'apoplexie. Grand-père ma- ternel alcoolique. -
Premier
accès à onze ans précédé de vomissements alimen
Le second accès est venu un mois après le premier. Durant les six
premiers
mois, il a eu un accès mensuel et chaque fois l
cès de deux en deux mois ; il suivait alors le catéchisme pour sa
première
communion, ce qui fait que sa mère attribue cette
232 CLINIQUE NERVEUSE. gées ; manquent : deux petites molaires et
premières
molaires arrachées pour carie. Trois dents cari
rois dents cariées. -Mâchoire injë1'ieure : douze dents; manquent :
premières
molaires droite et gauche arrachées pour carie.
rie, il avait eu 3 accès et était sans connaissance. Il a eu son
premier
accès à l'infirmerie à 10 heures; à partir de là,
scissure interhémisphérique. - La DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 239
première
circonvolution frontale très sinueuse, fortement
ption par viol. - Grande différence d'âge entre les père et mère. -
Premières
convulsions Ii six mois. - De quinze mois ri qu
onvulsions Ii six mois. - De quinze mois ri quatre ans, vertiges. -
Premier
accès à sept ans. - Débilité mentale. - Idées m
ère, une 1>(1HlI', une cousine geimaine, morts de convulsions.
Premières
convulsions à six semaines portant exclusivement
et prédominant au bras. - Vertiges (deux ans et demi à six ans). -
Premiers
accès à six ans. - Ült(L7ttS))ie. - Hémiplégie
ernelle phthisique. Soeur, morte de convulsions. - Gémellarité. ,
Premières
convulsions a treize mois. Début des accès à ving
phthisique.- Cousin germain idiot. Frères, morts de con- vulsions.
Premiers
accès à douze ans. - Aura nasale. Au- tomatisme
oncle paternel. Un petit-cousin paternel, imbécile. - Alcoolisme. -
Premier
accès à vingt-neuf uns. - Vertiges. - Aura médi
convulsions. - Autre frère, convulsions et tumeurs blttliches. -
Première
dent « sept mois; parole Ii un an, marche 11.lJui
Rougeole ci quatre Accitieizis cérébraux deux aux. - . Scw'latine,
premier
accès ci dix ans. - Accès surtout noc- turnes.
nt très dilatées, les pupilles sont nor- males. Le malade eut son
premier
accès, il y a cinq ans, sans cause connue. Sans
iquant les descriptions et les conclusions de l'auteur. Ce sont des
premiers
que nous nous occuperons tout d'abord. IIeclc
toutes les actions animales et organiques de cette illuminée. La
première
fois qu'elle fut prise de cet etonnaut sommeil, o
t. XV. 18 8 '274 4 REVUE CRITIQUE. ANALYSE D'URINE DE CHAUFFAT
Première
analyse (lor avril, septième jour de sommeil).
érite encore de rester classique, il n'en est pas moins vrai que sa
première
proposition doit être rejetée, car la face et l
, 1886, p. 2 Î.- ' - DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 295 Ea
premier
lieu, nous devons parler d'une affection, d'un
, et qu'on ne saurait assez préciser en raison de leur intérêt de
premier
ordre. Aussi convient-il de féliciter M. Vétault
ions nouvelles que nous avons pu recueil- lir ; loin d'infirmer nos
premières
conclusions, ces faits nouveaux viennent, au co
lconque, etc. Et alors cette paralysie faciale qui apparaissait, au
premier
abord, comme un accident imputable au froid, à
auxquelles nous avait conduit l'étude des faits relatés dans notre
premier
mémoire, tels sont aussi -les enseignements qui
cité quelques-uns. Nous en avons mentionné deux exemples dans notre
premier
travail : il s'agis- sait dans l'un des cas d'u
ive orthodoxe. Fièvre typhoïde à l'âge de dix ans. Il y a huit ans,
première
pa- 2-alysie de la face du côté gauche dont il
réactions électriques normales. Nous avons déjà indiqué dans notre
premier
travail que la paralysie faciale (c'est là enco
épondre à une critique qui nous a été adressée, au sujet de notre
premier
mémoire, par un auteur allemand, M. Edinger. «
être rattachée à une altération du nerf ou que parfois son origine
première
doive être cherchée dans l'encéphale, la cause
e qui est bien conformée. Face interne. Lobe temporo-occipital. Les
première
et deuxième circonvolutions tenaporo-occipitale
ssure temporo-occipitale. Face interne. Lobe temporo-occipital. Les
première
et deuxième circonvolutions lemporo-occipitales
des pre- .' Nous ferons remarquer que Duch... a eu pendant les deux
premières
années de sa maladie des vertiges sans phénomèn
1887, à 4 heures du soir, nous avons soumis un petit chien à notre
première
expérience. Nous l'avons attaché avec sa laisse
t normal, elles mettent plus de deux minutes, tandis que dans les
premières
expériences elles mettaient environ une demi-minu
en, du quartier de la Villette, a été introduit dans une barque. Au
premier
tour, il 398 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. aboyai
ia. (l21v. sp. di fren, 1886,) - D'après Hammond (loc. cit.) un des
premiers
cas de catatonie se trouve dans les croquis de
les caractères donnés comme pathognomoniques nous voyons figurer au
premier
rang les phénomènes catato- \ niques d'aspects
ns l'athétose double. Les troubles de la parole se ressemblent au
premier
abord. Toutefois, un examen attentif fait bient
tituent, dans presque tous les cas, des facteurs pathogénétiques de
premier
ordre, ets'ac- compagnentaussi presque toujours
tions d'épilepsie compliquée de folie systéma- tique. Dans les deux
premières
, les accès d'épilepsie ne se sont plus reprodui
enfin, des cas dans lesquels le délire des grandeurs se montre le
premier
et est suivi de délire de persécution. Si bien qu
oville étage la mégalomanie sur douze observations; dans les quatre
premières
, il s'agit manifestement d'héréditaires dégéné-
la paralysie et l'atrophie des muscles de l'éminence thénar et du
premier
interosseux, mais il ne faut pas croire que chez
es extenseurs de concert avec l'atteinte de l'éminence thénar et du
premier
interosseux et même de plusieurs interosseux. S
ogie T.XV. PI,.I Fig. 1 Fi¿- 2 EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE
PREMIÈRE
DÉFORMATIONS PATiTICULIliItES DU TRONC CAUSÉES
le médius et l'annulaire. Il y a un certain degré d'adduc- tion du
premier
métacarpien, qui est sur le même plan que les C
la paume de la main, les muscles qui s'attachent au bord interne du
premier
métacarpien, et tout à fait contre ce bord semb
jambes remontant jusqu'aux cuisses. Sur les extrémités de chaque
premier
métatarsien au niveau de l'articulation mé- tat
ndants et se voient avec la plus grande netteté, pour ainsi dire du
premier
coup d'oeil. Ils sont situés à la partie moyenn
nce en deux parties égales. Moelle. Les racines antérieures des 4
premières
paires de la région cervicale sont manifestemen
fut faite, d'après son désir. Du côté gauche, la plaie se ferma par
première
intention. Du côté droit, il y eut suppuration.
ne lèse la veine saphène. Presque tou- jours la plaie se ferme par
première
intention. Pour ce qui est de la puissance des
s, nous divisons toutes nos expériences en quatre groupes. Groupe
premier
. - Tractions faites à la main, au moyen d'un cr
s rattacher cette augmentation qu'au système nerveux lui-même. Ce
premier
point résolu, se pose la même question que nous
particulières de la méthode de Rosenihal (électrothérapie, 1873).
Premier
procédé. On essaie, à l'aide d'un courant fara-
de M. Vogt (thèse de Felicki, Greisswald, 1881), il adopte pour son
premier
fait l'idée d'une contracture de l'aponévrose p
du mari - avor- tements = syphilis de la femme), forment le fond du
premier
mémoire. Après avoir procédé à la Revue critiqu
comportent, il les a conden- sés sous forme de proposition dans ce
premier
mémoire. Les voici : REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
à la viande pourraient en dissimuler; il m'a été impossible à une
première
entrevue de faire surgir cette explication qu'ell
e qu'ils contiennent d'essentiel étudie successivement : Chapitre
PREMIER
. Historique. C'est en 1796 que William Eucke ou
croire aux prétendues facultés pro phétiques des somnambules. Cette
première
partie se termine par quelques considérations s
la para- lysie spasmodique, la poliomyélite, etc., font briller au
premier
rang les Charcot, Vulpian, Duchenne, Aran, Prév
lace que chacune des notes occupe sur le clavier du piano. 1.' Au
premier
moment 4 et 5 paraissent d'une diffi- culté inc
tant le succès, c'est qu'il ne devine ordi- nairement que les trois
premières
notes, et, d'après elles, il en conclut à l'air
, comme, par exemple, on devine le nom de Pierre d'après les deux
premières
lettres pi, si l'on sait d'avance qu'il s'agit
le lecteur, ne connaissant pas le but, fasse un 150 PHYSIOLOGIE.
premier
mouvement à droite, c'est-à-dire dans la direc-
uoi je fis un mouvement rapide, qui formait la diago- nale des deux
premiers
mouvements d'essai, et alors il devint facile d
d'une tension musculaire dans une direction perpendiculaire à la
première
ligne. Si l'obstacle rencontré se manifeste à u
immédiatement soulagé; se calmait, se tranquillisait. ' Lorsque ces
premiers
efforts n'étaient pas couronnés de succès, on a
ILLES D'IDIOTS. 193 Observation 1. - Idiotie; épilepsie nocturne.
Premières
convulsions à sept mois; - peur à dix ans : premi
sie nocturne. Premières convulsions à sept mois; - peur à dix ans :
premier
accès d'épilepsie. Caractère et marche des accè
arché à dix-sept mois, a été propre à deux ans, a parlé vers un an.
Premières
convulsions internes ( ? ) à sept mois : pendan
heval emporté qui courait vers lui et trois jours après, il eut son
premier
accès, puis un second huit jours plus tard. Dep
oyens, mais l'orthographe est encore défectueuse, il sait les trois
premières
opérations d'arith métique. La mémoire est to
d'un oeuf de pigeon. , Observation II. - Imbécillité ; ÉPILEPSIE.
Premier
accès à six mois. - Marche des accès. Description
ois. Jamais de convulsions. A six' mois a au germe de ses idents »,
premier
accès; deuxième accès à deux ans; troisième acc
ise; tache pigmen- taire de la largeur d'une lentille au niveau des
premières
vertèbres dorsales. ,, T ? , % . . 1'\ . " ;'
... veut monter un escalier, il a beaucoup de peine à franchir la
première
marche, il s'élève moins péniblement sur la deu
ez facile de s'assurer que ce ne sont pas à proprement parler les
premières
contractions musculaires qui sont difficiles et
e pour constater l'accélération progressive des contractions : la
première
dure huit secondes, la deuxième quatre, la septiè
musculaire dont se plaint M. M... Parmi elles, il faut signaler, en
première
ligne le froid. Son influence est des plus mani
ns, arc de cercle. Cl'ucificmcnt, Point de délire à la fin de cette
première
attaque. Sommeil. Hyperexcila- bilité neuro-mus
i la vipère, dont le contact lui avait occasionné à Saint-Urbain sa
première
attaque. Il pousse des cris aigus; il déchire s
ait reporté avant le moment où il tomba malade, et où il prit cette
première
attaque d'hystérie épileptoïde qui marqua le dé
soit tout à fait au début de la maladie, soit dans le cours de la
première
période du tabes. Cette paralysie guérit habituel
ignore la cause, car la notion d'hérédité n'en révèle pas l'origine
première
. Tel est l'esprit du mémoire. P. K. XXXVI. UN c
lé employé dans le' traitement de l'hystérie. Mais Mitchell est lei
premier
qui les ait réunis en un seul système complexe
y a anémie. A elles la diète lactée pure durant les trois à quatre
premières
semâmes, (nais en si faibles quantités qu'on le
ples. Au degré le plus inférieur, l'idiot ressemble à un enfant des
premières
semaines 'de la vie, c'est un, , ! l¡tom1l : le
syllabes et- des,nroLsse présentent sous 'deux aspecLs : ,Voici, en,
premier
;;lieu,,le,lylb«tieinerit t.rèsâécen- ttié penda
s hémiplégie' droite et) contracture mo- dérée ; le balbutiement du
premier
malader : était,,évideurnrept d'ùéigïtii,luillï
à'l'afiile' en''octobre 1 S70; débile dès sa naissance'; depuis sa
première
année, convulsions du côté gauche avec perte co
ndant les périodes d'accal- mie, voire au sein de leur famille ; au
premier
signal on les inter- nerait sans bruit. Discu
e tableau de l'épilepsie. Le second jour de son arrivée il avait sa
première
attaque. ' M. RIEGER a observé chez un épilepti
, ,, , >ti t ,"»V * ' t' l'I -" ' * ' i En' ce 'gui concerne la'
première
question, ,1e président rappelle, que W ? SANDM
dans l'insula gauche expliqué l'hémiplégie droite et l'aphasie des
premiers
temps. Un foyer de ramollissement dans les circ
endel. Peut-êlre cette différence tient-elle à la 'méthode ' ? ' Au
premier
stade, c'est principalement le noyau qu'il faut
néreux et des convictions ardentes qui ont honoré notre pays, notre
première
République, et qui transmettront aux génération
énés de leurs chaîne-. Ce fut, en eilet, partout où il a passé, son
premier
acte et il était signifi- catif. En cessant de
« Ce fut encore la Convention nationale qui l'appela à l'une des
premières
chaires delà Faculté de médecine réorganisée et q
r rendre VARIA. 283 justice à l'Assemblée qui l'a choisi l'un des
premiers
pour contri- buer à la reconstitution morale de
, l'honneur de présenter aux mandataires de la ville de Paris et au
premier
magistral du département de la Seine ce bronze
ns. N'est-ce pas lui qui nous a ouvert la voie ? N'est-il pas notre
premier
maître en aliénation mentale ? Semblable au Vir
eur Dr.A. FOREL; médecin en second, D Lauffer; médecin assistant en
premier
, X... ? médecin assistant en second, X... ? Ces
vaise foi. Merzig. On a, l'hiver dernier, enlevé le pensionnat de
première
et deuxième classes pour faire de la place aux
elles il avait été traité pendant des années, fait corroboré par sa
première
femme dont il était di- vorcé, le jury l'a décl
IÈRE. 311 Dans la région de l'origine apparente des racines de la
première
et de la seconde paires dorsales, on remarque la
ssements. Dans la région de l'origine apparente des racines de la
première
paire dorsale, quelques cellules nerveuses des co
'irritabilité émotive ou l'affaiblissement in- tellectuel. Les deux
premières
affections mentales étaient exclues aussi bien
'aurait jamais soupçonné. D'après ses aveux, Berger, par les deux
premiers
incendies, avait voulu brûler une maison, sa prop
hasard pour avoir des occasions de boire, ayant remarqué, lors des
premiers
sinistres, la libéralité de la municipalité.
prenait une large part. Enfin, à diverses reprises, après les deux
premiers
sinistres, on avait entendu le prévenu dire : «
ite, il a sans doute essayé d'utiliser nos questions, mais seul son
premier
récit est sincère. On a donc la' confirmation d
n DES instincts. Antécédents personnels. - Arrêt de développement ;
premières
con- vulsions dans la première année; secondes
t demi; parole à trois ans. Mauvais instincts. - Accès de colère. -
Premier
placement à Bicétre, en 1870; transfert Li l'as
continence noc- turne d'urine. Les notes prises sur lui pendant son
premier
séjour ne donnent que des renseignements très i
Observation VI. IDIOTIE complète. Athrepsie de la première enfance;
premières
convulsions à huit mois; secondes convulsions à
En mars et avril 1882, il est plus docile et plus assidu; après un
premier
séjour à l'infirmerie (15 mai-27 juillet), il tra
ur de l'asile de Maréville, de nombreux renseignements sur ces deux
premiers
malades : nous n'indiquerons ici que les traits
oids, 18 kil. 500; taille, lm,l2. - - Il septembre. Etat actuel. Au
premier
abord, on est frappé de l'aspect malingre et ch
te de chaîne ininterrompue, et les lésions étendues et profondes du
premier
groupe ne sont-elles que l'expression dernière
minutieuse, conçu et exécuté de la façon suivante. Dans le chapitre
premier
inti- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 409 tulé
é et le seul survivant .des huit en- fants qu'elle avait eus de son
premier
mari : voici le sort des sept autres : le premi
ement. Interrogée, celle femme déclare qu'après la naissance de son
premier
enfant, elle a perdu ses cheveux, que deux ans
e, une dégénérescence hyaline (colloïde) des cellules ner- veuses ;
premier
stade : tuméfaction, trouble; hypertrophie, gon
ES détenus ; par de KRAFFT- . EBING (Jah7'büch. f. Psych., V, 3).
PREMIER
cas. Condamnation à la prison perpétuelle pour
provisoire (voy. paragraphe final). L'in- troduction, les chapitres
premier
(mode d'action dissemblable des deux sortes de
triques dans l'électrisation de la peau) se résument comme il suit.
Premier
exemple : Une femme atteinte de dilatation vasc
toute la vie de V..., états que nous devons décrire en détail. -
PREMIER
état. Hémiplégie et hémianesthésie sensitivo-sens
à, des excitations inégales de la substance nerveuse. Dans les deux
premiers
cas, des trous décrits ou plutôt du diploë mis
isme grâce aux sondes molles anglaises passées par le nez. Les deux
premières
observations concernant des dames de qua- rante
alimentation à la sonde de quatre mois et demi pendant les quatorze
premières
semaines, il diminuait de poids de 27 p. 100, p
ski, 234, 248, 207, 260, 261. EXPLICATION DES PLANCHES [PLANCHE
PREMIÈRE
Fig. 1. Coupe transversale de la moelle épinièr
nité. Inégalité d'âge de cinq ans (père plus âgé). Notre malade :
première
dent à sept mois. Propre à dix mois. Premières
gé). Notre malade : première dent à sept mois. Propre à dix mois.
Premières
convulsions à sept mois. Tics convulsifs de l'épa
sa mère jusqu'à dix-sept mois. Prise du sein normale, pas de cris.
Première
dent à sept mois. Dentition complète à dix- hui
mois, a été propre à dix mois. Ni bave, ni succion, ni onanisme.
Premières
convulsions à sept mois, avec la première dent, p
mières convulsions n'ont pas modifié l'intelligence. A la suite des
premières
convulsions, à sept mois, l'enfant, au dire de sa
DE CAMPHRE. 5 39. - R ? dont les vertiges sont très nombreux, a son
premier
accès aujourd'hui, précédé d'une série de [vert
3, 4, 9 dans les trois derniers mois au lieu de 300 à 400 dans les
premiers
mois de son séjour, nous lui accordons, sur la de
adie de son mari. Accouchement un peu long. Cyanose à la naissance.
Première
dent à six mois. Dentition complète à ? Début d
d'éludés à douze ans. Ennuis et tristesse dans la douzième année.
Première
crise à treize ans (février 1898). Ensuite quelqu
a été nourrie simultanément au sein et au biberon (lait de vache).
Première
dent à six mois. A quatre mois, on la met- tait
reaux. Deux fois elle est montée sur le barreau de la fenêtre- du
premier
étage comme si elle voulait se jeter dans la rue.
en mise en relief par le tableau' de la température durant les cinq
premiers
jours de l'ad= mission. - ' Juin. Les vertige
issements. Rien de particulier à l'accouchement et et la naissance.
Première
dent ci six mois. Début de la parole , et de la
eux résultat. .·4H t. Réflexions sur la puberté à propos des deux
premières
i, observations, par Bourneville. Nous avons
port, la question de doses mise à part, un argument en faveur du
premier
principe de l'Organon : similia siiiiilibzls cz
ique. 11 donne trois observations avec figures des coupes. Les deux
premières
concernent la démence paralytique sans tabes. L
tale la plus proche; 6) du coin; c,) de la première temporale et du
premier
pli de passage tem- * poral profond ; d) du sys
lysie n générale sont celles qui, chez le foetus, se myélinisentles
premières
: or celles-ci correspondent presque exclusivem
foyer. La faiblesse marquée des muscles du tronc et de la nuque des
premières
semaines disparut égale- ment, ce qui prouve qu
on du doigt ap- puyé sur le déclic. Un autre ressort antagoniste du
premier
et plus faible, relève le marteau aussitôt sa c
pecteurs généraux en date du 10 décembre 1901, arrête : ' Article
premier
. Un concours pour l'admission aux emplois de mé
du jury, il serait fait appel au juré suppléant pour remplacer le
premier
juré absent et les épreuves continueraient, de pl
r, entre 8 heures et demie et 9 heures, au sujet de la locataire du
premier
étage, Emma M..., âgée de trente ans, qui se tord
différent de celui de l'épi- thélium intestinal auquel ressemble à
première
vue notre tumeur (fig- 9), Si donc on peut ad
isés de cette dernière affection, le nystagmus est apparu dès les
premiers
jours de la vie, et qu'en outre il manque à cette
L'enfant s'est bien élevé, est venu au monde facilement, a fait ses
premières
deuts à sept ou huit mois. Il n'a parlé franche
âge de vingt-trois ans que notre sujet semble avoir été pris de ses
premières
manifestations comitiales : il habitait alors a
, sous sa lueur factice, un grand éclat religieux, il faut citer en
première
ligne sainte Thérèse : c'est elle la plus illus
, L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 131 I A ces écrits dont les quatre
premiers
parurent de son vivant, il faut ajouter ses let
sse de constitution. qui devait être grande, lorsqu'éclata la crise
première
, début de la maladie. DE la PÉRIODE aiguë. L'hy
ontre les autres, posez le diapason en marche sur le pariétal de la
première
, vous trouverez la transmission du son abrégée de
auteur entre ici dans des considérations intéressantes sur les deux
premières
races mentionnées, leur rôle dans l'histoire, l
la même vie politique, ! religieuse, sociale et économique, leur «
première
nature ». C'est de la même manière que ceux qui
e et sur les cuisses. Cette anesthésie . occupe les territoires des
première
, deuxième et troisième racines postérieures lom
stituer la Société médico. psychologique. Il adresse un hommage aux
premiers
médecins qui en firent partie, parmi lesquels p
l. Le prix est décerné ex-sequo à MM. Bernard-Leroy et Castin. Un
première
mention avec 400 fr. est accordée à âl. Coliolan.
ris, et le 2foi avril 1852 la Société médico- psychologique tint sa
première
séance. Parmi les adhérents de la première heur
psychologique tint sa première séance. Parmi les adhérents de la
première
heure, on relève les noms de : Ferrus, qui fut no
d'un sens clinique très sûr, d'une observation très approfondie, ce
premier
travail est une oeuvre vraiment remarquable ; i
58), soit à la Société 9 ? iédico-psycho log iq ite (1858), soit au
premier
Congrès international de médecine mentale (1878
onne qui aura compris les éléments scientifiques exposés dans cette
première
partie et qui se les sera assimilés, sera en ét
? mars) : D'un jugement rendu par défaut par le tri- bunal civil de
première
instance de Poitiers, il résulte que XI110 Blan
e de malades revient au second de ces groupes et chez les femmes au
premier
. De plus, on voit encore que le nombre de femme
l, du succès de notre réunion qui, pour la 244 SOCIÉTÉS SAVANTES.
première
fois, a atteint et même dépassé le chiffre imposa
s le chaos de l'ancienne métaphysique. Aussi bien n'est-ce pas la
première
fois que le médecin devient, par la force des cho
ution, le vertige de locomotion. Les troubles circulatoires sont au
premier
rang des symptômes de l'anxiété; il y a des spa
ychose d'angoisse à l'âge mûr. 7/e') ? <e : Joue un rôle de tout
premier
ordre. Pathogénie : Le rôle parti- culièrement
spasmes, en se fondant uniquement sur l'ori- gine fonctionnelle des
premiers
et organique des seconds. Ces réserves faites,
bruits qui l'avaient fait qualifier du nom imagé de pélomane. La
première
audition ne provoqua que le dégoût de Mmo X...
minué sur certains points et augmenté sur d'autres au détriment des
premiers
, sans qu'il y ait en réalité augmentation ni di
s à un examen plus approfondi. Cette nouvellle session aura lieu du
premier
au sept septembre prochain, à Anvers. Elle sera
les, traitez-les, faites qu'ils ne se voient ni se s'écrivent, le
premier
fera tous les jours un pas vers l'incurabilité, l
s bouffées hallucinatoires, G... est calme, d'appa- rence lucide au
premier
abord, il se conduit correctement, recon- naît
e les créatures n'auraient pu jamais me procurer. Maintenant, aux
premières
approches que j'en ressens, Notre-Seigneur enlève
n état d'hystérie, plus on est en état de sainteté. Dans les deux
premières
oraisons, il n'y a pas encore maladie, il y a s
din où pousseront les symptômes nerveux. Laissons décote ces deux
premières
oraisons, et arrivons aux trois der- nières.
plusieurs années ne se soient pas écoulées depuis l'apparition des
premiers
accès. Quant à l'icliolie, on sait que son tr
autre malade dont l'état reste stationnaire depuis treize ans, une
première
ponclion fut négative, mais une deuxième, faite s
sence d'une personne inquiète et surtout étonnée, qui manifeste la
première
sa stupéfaction d'avoir commis un tel acte de vio
craintif; il a peur de rencontrer les personnes qui ont assisté aux
premières
mani- festations de son affection mentale ; le
et traiter de même les. délinquants alcooliques récidivistes à leur
première
récidive ; 5° développer les sociétés de tempér
t. Il est probable que d'autres accès surgiront semblables aux deux
premiers
et que la même auto-accusation réapparaîtra cha
aspect tout à fait particulier qui permet de les distinguer déjà à
première
vue de toutes les autres tumeurs. Ils sont touj
n du pouce pendant trois secondes sur la peau de la face dorsale du
premier
espace interosseux de la main est beaucoup plus
nécessaire, d'un certain degré d'automatisme psychologique, origine
première
des idées délirantes' 1 ». C'est en vertu de so
femmes chantent. C'est le bonheur. A côté de cette planète, planète
première
, il y a les planètes secon- daires où l'homme e
e de douze ans, elle mâchait sans avaler, rumination (` ? ). Dès sa
première
enfance, aucun jouet ne l'intéressait, elle pas
tion, jusque-là très bien portante, raconte qu'il y a huit mois, sa
première
molaire inférieure droite a mordu sur un grain
- teur à la Société de Neurologie, d'une fracture indirecte de la
première
vertèbre lombaire avec luxation probable, causée
ation sous la' dénomination d'asynergie cérébelleuse. L'attitude du
premier
malade observé, quand il cherche à mar- cher, a
a bouche fermée, et que l'inspiration pulmonaire le contrarie. Un
premier
essai fait sous la surveillance et la direction d
a confiance chancelante du malade, à la suite de la réussite de ses
premiers
essais. L'état affectif du sujet marqué d'abord p
le bonheur dans sa carrière d'avoir des relations scientifiques de
premier
ordre : Ferrns, Reiiaudin, Morel, Lasègue, Jane
bréviaire à tous ceux qui à l'étranger parlaient notre langue. Son
premier
commenta- teur, le De Rousseau, a dit de ce liv
eur, le De Rousseau, a dit de ce livre : « Cet ouvrage constitue le
premier
inventaire de la science psychiatrique, dont il c
'aliénés. Contrairement à l'assertion du Journal, ce n'est pas la
première
fois qu'on organise des distractions pour les ali
femmes dans les cabinets d'aisances. Si on l'avait envoyé, après sa
première
FAITS DIVERS. , 463 '11) arrestation, à l'asi
moindre occasion, événements qui rappellent les circon- stances du
premier
choc moral. Ces circonstances sont suffi- sante
re avec intensité pendant les paroxysmes angois- sants la sensation
première
, reproduction qui se reconstitue intégralement
la fenêtre, c'est elle mainte- nant qui semble plus étroite que'la
première
, actuellement la plus éloignée de la baie. Cett
stérieures et des cordons postérieurs : c'est une dégénérescence du
premier
neurone centripète. La lésion des racines est seg
oration, on constate que le réflexe patellaire ne se produit qu'aux
premiers
coups de marteau frappés sur le tendou, il s'af
sse-t-on reposer le malade, on peut à nouveau le provoquer, dans sa
première
vigueur, mais une nouvelle investi- gation- rép
résume la suite de ses recherches sur la cellule nerveuse. Les deux
premiers
élé- ments qui apparaissent dans toute cellule
lé- ments qui apparaissent dans toute cellule nerveuse depuis ses
premières
origines sont : 1° la charpente librillaire, et 2
En effet, cette classe comporte des enfants névropathes, qui, au
premier
abord, paraissent lui appartenir soit par leurs a
ou imbéciles, alors même qu'ils ont reçu une éducation spéciale de
premier
ordre, continuent à manquer de jugement et de b
oive rapporter à cette cause la pathogénie du délire. 3" Si cette
première
conclusion est vraie, il est probable que la fa
nes gens voués à la démence précoce sont parmi ceux qui, dans leurs
premières
années, n'ont jamais présenté un signe quelconq
érer le philosophe allemand comme un cas de pathologie mentale. Son
premier
ouvrage sur l'origine de la tragédie passa inap
s inutiles et nuisant à la plasticité de l'intelligence. Dans ses
premiers
essais, on voit apparaître deux conceptions qui
tendance héréditaire à un fonctionnement mental anormal ; dans sa
première
enfance, il était arriéré; dans son enfance, il a
es moteurs ont été observés chez 108 sujets paraly- tiques aux deux
premières
périodes de la maladie. De ces divers cas, l'au
fait inverse n'a pas été observé pour la première période. A cette
première
période, les rémissions dans les troubes moteur
c- tement au schéma donné par Rocher pour le territoire des trois
premières
racines lombaires. Fait également intéressant, il
ue je'présente, la maladie a été en quelque sorte schématisée. Un
premier
ictus, avec hémiplégie droite, survenue à sept he
'être consi- dérée comme une entité spéciale, et d'autre part qu'au
premier
stade de la maladie, les états émotionnels path
Zona. Un cas de topographique radiculaire rigoureuse des trois
premières
lombaires, avec trouble de la sensibilité dans
Sans insister sur ce troisième groupe nous étudierons des faits du
premier
et du second groupe. Nous dirons que l'in- suff
q jours un même infirmier n'est en contact avec les malades que les
premier
, troisième et cin- quième jours. Le deuxième jo
hiques. II. Admission des malades. § 2. La clinique est destinée en
premier
lieu à recevoir les Hessois, et, parmi les non-
mère à huit mois, il était tout à fait normal, époque où il a eu sa
première
dent : il regardait, gazouillait, jouait, se te
ment et sans s'adres- ser à sa mère. Il grimace beaucoup depuis ses
premières
convul- sions, bave, tette sa langue, crie par
exactement les cartons sur le tableau de couleur, à exécuter les
premiers
mouvements de gymnastique et saute les deux premi
à exécuter les premiers mouvements de gymnastique et saute les deux
premiers
degrés de l'escabeau. Caressant, gai, joueur. P
ition qu'il a-est absurde, vous dis- trayez son attention de l'idée
première
, l'innervation du bras cata- leptique ne s'effe
que pour obtenir une coupe de l'épaisseur voulue par rapport à la
première
section et ainsi de suite. Tandis qu'on procède à
ymptômes que l'on rencontre ordinairement, il convient de mettre en
première
ligne les troubles visuels dus, soit à l'hypéré
u'ils n'étaient pas d'origine syphilitique bien que l'apparition du
premier
accès quelque temps après le début de l'infecti
re-mère qui REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 73 constituent la cause
première
de la compression ; 4° Le mécanisme par lequel
ome angiolithique. On peut se demander si les crises convulsives du
premier
malade ne sont pas symptomatiques de production
boratoire d'anthropologie de l'Ecole des Hautes Etudes. Tète. - A
première
vue deux particularités s'imposent. 1° Le grand
st légèrement saillant : il semble l'avoir été davan- tage lors des
premiers
examens de Deb... à son arrivée à Bicêtre, car
ois, leur disparition, puisque c'est un au'et de développement. A
première
vue, il semblerait que la voûte palatine fut cons
eures, après qu'ils ont été remarqués, so t qu ils aient échappé au
premier
examen d'ailleurs rapide, soit qu'ils aient app
évrogliques ainsi qu'on peut s'en rendre compte à l'examen de notre
première
ligure; les espaces in terfascicu 1 aires (1 jS
alytiques généraux : nous les avons étu- diées en détail dans notre
premier
travail, aussi comprendra-t-on que nous n'insis
égénérescence. Les reins sont très altérés. La lésion qui frappe au
premier
abord est l'épaississement énorme des parois ar
pérer son équi- libre, voici ce que l'on obtient. Qu'il s'agisse du
premier
ou du second mode d'opérer, les résultats sont
thique ne se manifeste que vers l'âge de cinq ou six ans, et son
premier
signe est souvent fourni par une discordance entr
rapproche la mort fréquente des enfants en Las-âge appartenant aux
premières
, on a de la tendance à accuser la syphilis. La
es sont probablement identiques et ne diffèrent que parle degré, le
première
étant plus violente et raccom- pagnant de troub
de la voir apparaître plus tard. Un malade de M. Uejerinett'a en sa
première
aitaqiieépileptifoi-me qu'à l'âge de six ans. Il
tacte, mais au-dessous de cette écorce à la partie moyenne de cette
première
temporale il y avait sociétés savantes. 177 u
'une sclérose en plaques mais ne peuvent se prononcer sur l'origine
première
de ces lésions, tout à fait excepi ioiinelles.
ité fonc- tionnelle qu'il est sur de présenter, au moins pendantles
premiers
jours. Réfractaire â l'hypuoptisme proprement d
s, ainsi qu'il le déclarait en propres termes dans la préface de ce
premier
volume. L'année suivante, dans la préface du vo
doute, les leçons de clinique du professeur Raymond s'adressent en
première
ligne à ceux qui s'adonnent spécialement à l'ét
on du coeur permet de constater un bruit de galop a dédoublement du
premier
temps. Le pouls est 206 CLINIQUE NERVEUSE. te
ci cinq mois. Rien d'anormal à l'accou- cheinent et à la naissance.
Première
dent ci sept mois; dentition complète à deux an
e manière exagérée, par comparaison avec les mouvements de ses deux
premiers
enfants. Accouchement à terme, naturel, sans ch
phyxie, ni circulaire du cordon. Elle a crié « énormément » les dix
premiers
jours, ne dormait pas, il fallait lui donner le
et le sommeil était bon. Allaitement maternel, sevrage à deux ans.
Première
dent à sept mois, dentition complète à deux ans
ndait, et qu'il était devenu par la suite un délirant paranoïde. Ce
premier
résultat acquis, je ne tardai pas à découvrir d'a
n locale de la Colonie. Ce comité se-compose du bourgmestre et du
premier
échevin de Gheel, de trois membres désignés par l
e si le microscope nous montre, chez les paralytiques géné- raux du
premier
groupe de M. Klippel, de l'hyperhémie, de la di
e une petite dictée, écrit elle-même une lettre et connaît les deux
premières
opérations de l'arithmé- tique. Comme caractè
la naissance. Les enfants avaient montré un esprit éveillé dans les
premiers
mois de leur vie et ce n'est que vers l'âge d'un
les sont un peu gonflés. 2° Weiss... (Suzanne), neuf ans et demi. A
première
vue, on pourrait ne pas croire que cette enfant
SAVANTES. 257 Cas V. Le Br... (Sainte-Marie), douze ans (fig. 20).
Premier
traitement (1er janvier-24 avril 1902), 0 gr. 5
peut dire que, dans 60 p. 100 des cas, le tabes s'arrête dans les
premiers
symptômes, ou évolue avec une telle lenteur que l
ne peut guère être conduite et appliquée que par le médecin. Cette
première
période de mobilisation est suivie d'une deuxiè
ar conséquent le bulbe joue, croyons-nous, un rôle physiologique de
premier
ordre dans l'évolution biologique des anencépha
nt que des critiques insignifiantes en comparaison des documents de
premier
ordre amassés dans ces 350 pages, où sont succe
ibios, Castor, etc.) et de leur signification précise termine cette
première
partie. Dans la seconde partie se trouvent ex
intitule régisseur de la famille de L... C'est de là que datent ses
premiers
démêlés avec la justice. Quelques jours après s
, juge d'instruction : « Au nom de votre bonne mère qui dirigea vos
premiers
pas, que « vous avez bien aimée, ayez pitié d'u
'esprit. En ce qui concerne les malades de la première classe, la
première
mesure prise pour améliorer leur condition fut de
issage. En 1894, une colonie pour épileptiques sains d'esprit, la
première
de ce genre en Angleterre, fut ouverte à Chalfont
qu'au réveil. Michelson fait ici une remarque qui nous intéresse au
premier
chef : la première courbe est, avons-nous dit,
it sans pouvoir retrouver le sommeil ; 2° ceux qui n'ont pas « leur
premier
sommeil » naturel, qui tar- dent indéfiniment à
- sion mentale. Ces observations de Janet sont, croyons-nous, les
premières
où l'insomnie des hystériques soit rationnellemen
hystériques et des épileptiques (B.). 318 SOCIÉTÉS SAVANTES. ses
premiers
travaux, l'anémie cérébrale dans le sommeil et la
taire lacto-végétarien et l'u- sage des laxatifs répondent aux deux
premières
indications. La troisième indication est rempli
sortent de la face latérale de la moelle cervicale le long des cinq
premiers
segments médul- laires. Si on poursuit leur tra
blent en rapport avec la syringomyélie. Schlesinger et Kienbock des
premiers
, ont été frappés par l'état mental spécial prés
traitement hypnotique, il s'en occupe depuis 1886. Il a publié ses
premières
observations relatives à la psychothérapie en 1
s peuvent ne pas être dépourvus d'une certaine intelligence et le
premier
cas que je vous fais passer en est un exemple. En
n opérée engageaient l'un de nous à enlever les fils appartenant au
premier
des trois plans de suture pratiqués sur la paro
eurement, car il semble bien de règle qu'elles constituent la toute
première
manifestation de la maladie, comme elles' sont
. Nous connaissions trop la «Leçon d'Anatomie» pour être étonnés au
premier
moment, mais à mesure que le tableau, longuemen
ppli- quer de la glace sur la tête. Jusqu'alors il avait été un des
premiers
élèves, et l'étude lui était très facile. Dès l
tuberculeux alités ; à gauche de ce couloir un vaste réfectoire. Au
premier
étage, existent deux dortoirs de seize lits, de
ant une phase d'une variété d'aliénation mentale dégénérative. La
première
phase, mélancolie, parfois délire paranoïaque, de
era la cause de la perte du monde, parce qu'elle n'a pas répondu au
premier
appel »... « elle aurait du mendier »... « elle
mois. Elle arrive à Marévilte quatre mois après l'appa- rition des
premiers
troubles intellectuels; nous constatons aloi, d
s t'age de trente- cinq ans elle eut, nous dit-elle aujourd'hui, sa
première
maladie, et fit un séjour de quelques semaines
. En 1899 seulement réapparaissent les troubles qui ont motivé la
première
hospitalisation : altération de la santé physique
né avec soin, et le résultat de ce nouvel examen comparé à celui du
premier
. Nous avons alor, pu constater que d'une façon
malade B... paralytique à la seconde période ne présentait lors du
premier
examen aucune lésion du fond de t'oeit ; sorti en
illaire, de valeur diagnostique. C'est tout au plus si le retour du
premier
indiquerait l'amélioration de la paralysie faci
ns autop- sie, les symptômes ont été tellement semblables à ceux du
premier
cas qu'on peut logiquement les attribuer à une
ibuer à une cause identique, et si l'on remarque que dans les trois
premiers
cas, l'existence de la syphilis était avérée, e
ont en ce qui touche la moelle, une découverte récente, et l'un des
premiers
travaux sur cette question est celui de Nonne,
a le nom d'Avenue Charcot à la voie principale de la station. Cette
première
et instinctive ma- nifestation de reconnaissanc
9 naturelle des recherches qui ont, en grande partie, absorbé la
première
période de sa carrière : confiné dans le domaine
is d'un innovateur. Or, il ne s'agit pas là d'un lait isolé. Un des
premiers
, Charcot pré- conisa et vulgarisa le traitement
ontre l'inefficacité des bromures em- mployés pour venir à bout des
premières
. Il a réhabilité et ins- tauré, sur des bases s
constata- tion à Charcot. L'année suivante, ce dernier y envoya ses
premiers
malades, ils y obtinrent des résultats très fav
active au rapprochement et au bonheur des peuples, car ils sont au
premier
rang des apôtres de la fraternité hnmaine et pa
troubles vésico-rectaux très accusés ? ; ' Nous avons prélevé uu
premier
morceau comprenant toute l'épaisseur du foyer p
e. Il y a eu dans son développement deux périodes distinctes : la
première
, qui, très vraisemblablement, a succédé au trauma
jonrneltement. J'ai passé la visite. - Vous êtes malade, ici là en
première
catégorie, vous ausculte;, entrez sans frapper;
nd se rencontre dans les états chroniques, qui, contrai- rement aux
premiers
, sont généralement incurables. Citons aussi le
aute d'em- blée. Il est décousu d'emblée. En un mot il est tel le
premier
jour qu'il le sera le dernier. Le monologue du ma
légie spasmo- dique. Le t'ai' rapporté par les auteurs semble, au
premier
abord, lui donner tort; en effet, cinq mois se
ne autre qui repose dans une chambre assez voisine pour répondre au
premier
appel Jusqu'à une époque récente, la population
s. Discussion : M. Midlleuass, collaborateur de l'auteur dans son
premier
travail, confirme sur tous les points les opinion
ntenant six lits. Les hommes sont au rez-de-chaussée, les femmes au
premier
. Les malades bruyants sont à l'extrémité de cha
onfection des lois sur l'ivre-se, la santé publique, les enfants du
premier
à ? e et les enfants moralement abandonnés. Par
de l'effort intellectuel. La polarisation se fait surtout autour du
premier
effort, autour de la première adaptation réali-
ent et il rend à cause de ce fait de plus en plus obsédante l'image
première
. La fatigue augmente cette obsession et finit p
miné l'état de la musculature oculaire de trois tabétiques. Leur
premier
malade, quarante-neuf ans, tabétique avec ataxie
uccessivement nous nous sommes butés à une série de difficultés. En
premier
lieu, les chiens éthyroïdés succombent rapideme
e mentale, il y a chez lui une insuffisance psychique (idiotisme du
premier
degré). Un troisième, âgé de 9 ans, danse, pa
s toute sa hauteur, depuis le troisième segment lom- baire jusqu'au
premier
segment dorsal et au bulbe par le noyau in- ter
ale motrice, depuis le deuxième ou troisième segment sacré jusqu'au
premier
segment lombaire, puis, dans la moelle cervical
vant avec quelques petites interruptions jusqu'au bord supérieur du
premier
sacré, disparaissant dans le cinquième segment lo
e. SK) NÉCROLOGIE. Élève d'un homme que je considère comme un des
premiers
anatomo-pathologistes de ce temps, de mon collè
uelques mots l'oeuvre scien- tifique de notre ami. Philippe fit ses
premières
études médicales à Lyon, où il devint rapidemen
b,erv. de Deba..., p. 104. Face interne de l'hémisphère droit F',
Première
circonvolution frontale. LP, Lobule paracentral
SYSTÈME NERVEUX RECUEILLIES ET PUBLIÉES par BOURNEVILLE |TOME
PREMIER
avec 35 figures dans le texte et 14 planches
Tous droits réservés, AVIS DE L'ÉDITEUR. Cette réimpression du
premier
volume des Œuvres complè-tes de M. Gharcot ne dif
is encore à la Science française. BoURNEVILLE. 14 Juillet 1892.
PREMIÈRE
PARTIE Des troubles trophiques consécutifs aux
iques consécutifs aux maladies du cerveau et de la moelle épinière.
PREMIÈRE
LEÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésio
im-médiate, sur la nutrition des parties périphériques. 1° Une des
premières
est relative à la section du nerf scia-tique chez
f scia-tique chez les mammifères. Schrœder van der Kolk^qui, un dés
premiers
, l'a instituée, attribuait les troubles de la nut
et ilnous amènera à comprendre, je l'espère, pourquoi des lésions, au
premier
abord semblables et portant sur les mômes points
à la suite des lésions traumatiques des nerfs. Paget qui, l'un des
premiers
, a appelé l'attention sur quel-ques-uns dcces acc
dian. En conséquence il s'étaitformé sur la peau du pouce et des deux
premiers
doigts de la main, des ulcères qui résistaient à
opsie, que les corps des six dernières vertèbres dorsales et des deux
premières
lombaires étaient cariés. La dure-mère, dans les
s ne l'ignorez pas, qu'en pareille cir-constance, dès avant la fin du
premier
septénaire, la contrac-tilité électrique des musc
sont mises en parallèle avec les faits pathologiques, me parurent, au
premier
abord, devoir ruiner tout l'édifice. En effet, à
d'une façon complète sur le bout péri-phérique. Vous voyez que ces
premiers
résultats ne s'éloignent pas sen-siblement de ceu
faiblis-sent ensemble et ensemble se reproduisent avec leur intensité
première
, lors de la restauration du nerf qui, à la vérité
2. Voir Charcot et Joffroy, loc. cil. après la brusque invasion des
premiers
symptômes. L'émacia-tion des masses musculaires m
une influence directe sur la nutrition des muscles. Relativement au
premier
point, on ne pourrait qu'imaginer des hypothèses
ffets de l'irritation des nerfs, il pourra sembler contradictoire, au
premier
abord, que la nutrition des muscles ne soit pas a
la première période de l'ataxie 1. Kolliker. — Histologie humaine,
première
partie, p. 345, 340. locomotrice progressive (1
épart de véritables eschares; mais ce dernier se sépare nettement des
premières
par des caractères importants qui sont: en premie
lospital, par le docteur Woodman, le thermomètre placé entre les deux
premiers
orteils donne, en moyenne, 27°, 5. le maximum éta
ée était déjà prononcée quatre jours seulement après l'apparition des
premiers
symptômes (2). On peut voir survenir encore la
oppent la jointure. 1. Charcot, — Sur quelques arthropalhies, etc.,
première
partie ( Arch. de physiologie, t, I, 1878.) Ell
genre, il est fréquent de constater, peu de temps après le début des
premiers
accidents paralytiques,une modification plus ou m
volume de la salive rendue dépasse de beaucoup celui de la glande. Ce
premier
l'ait démontre qu'il ne s'agit pas ici. tout simp
ng et de Henle, dominantes à l'épo-que où Ludwig a fait connaître ses
premières
recherches, on pouvait être tenté d'expliquer le
ette hypérémie, cette stase par irritation des tissus se présente, au
premier
abord, avec je ne sais quel dehors d'une concepti
l'observation des cas isolés ne permet pas de saisir facilement. Au
premier
abord, vous avez pu penser qu'un spectacle mo-not
reprend bientôt toute son intensité. Ane tenir compte que de cette
première
distinction, établie d'après l'influence du repos
n-sidération que les deux affections qui doivent faire l'objet de nos
premières
études cliniques, la paralysie agitante et la scl
lque chose de spécial. Quand l'affection est au début, l'écriture, au
premier
abord, semble normale ; mais si on l'examine à la
nd la malade parle, elle a du tremblement des lèvres et rémission des
premières
syllabes se l'ait assez péniblement ; la parole e
à la vérité, dans lesquels la rigidité musculaire est un symptôme des
premiers
temps de la maladie, et réellement prédominant. J
ent à la substance blanche de la moelle vousparai-sent sans doute, au
premier
abord, presque entièrement com-posées de petits c
1876 — Hayem. — Etudes sur les diverses formes d'encéphalite, 1868.
premier
cas, elles simulent de minces cloisons homogènes,
t pas l'opinion de quelques auteurs, parmi lesquels il faut citer, au
premier
rang, des maîtres tels que Henle et Ch. Robin (1)
sclérose proprement dite, lorsque l'altération n'a pas encore dépassé
premières
les phases dé son évolution. De tout cela, on a
es membres inférieurs affaiblis reprendre pour un temps, leur énergie
première
. Ces rémissions peuvent même se reproduire parfoi
nt de vue du diagnostic. Des périodes dans la sclérose en plaques. —
Première
, seconde et troisième périodes. — Symptômes de pa
ielles du cerveau et la paralysie géné-rale progressive, il semble au
premier
abord qu'il n'existe aucun point de contact. Voic
congestives, la tem-pérature s'élève au contraire, dès l'invasion des
premiers
symp-tômes, au-dessus du chiffre physiologique et
iers temps de la maladie et précipitent la terminaison fatale. 1.
Première
période.— Le mode d'invasion et d'enchaînement de
plus souvent, que deux, quatre, six ans même après l'appari-tion des
premiers
accidents de la sclérose multiloculaire. III.
ue chez les hommes. Ainsi, parmi les cas que j'ai rassemblés dans mes
premières
études, trois ou quatre seulement concernent de
oelle — et principalement la moelle allongée — la sclérose occupe, en
première
ligne, les cordons postérieurs, puis les cor-dons
il en est un digne d'attention entre tous, qui fera l'objet de notre
première
entrevue: c'est, —si je ne m'a-buse, — un exemple
igatoire, un autre phénomène qui est pour ainsi dire le complément du
premier
: je veux parler de vomissements se répétant tous
suffisent, je crois, pour vous convaincre, Messieurs, que, dans cette
première
période, la simulation a été impossible. Mes amis
hystériques, de l'autre est aussi absolue qu'elle semble l'être au
premier
abord. Dans le premier groupe de faits, la mort
jours pleins, les urines sont complètement supprimées durant les six
premiers
jours et leur quantité est très faible pendant le
a moitié ou aux trois quarts des liqui-des ingérés pendant les quatre
premiers
jours, puis sensiblement égale à la quantité de l
ngérés : or, pendant ce temps, il y a eu un peu d'urine dans les deux
premiers
jours (15 gr. et 250 gr.), mais leur émission est
pas de nom dans la nomenclature française, n'est pas une position de
première
importance. Faisant appela la nomenclature en u
de l'hyperesthésie ovarienne. — Son siège exact. — Aura hysté-rique ;
premier
nœud : — globe hystérique ou second nœud ; — phén
est convenu que ces dernières comptent parmi les plus communes. Au
premier
abord, il semble donc qu'il n'y ait qu'un désacco
nt lâches, peuvent être pinces et soulevés sans douleurs ; — c) cette
première
explora-tion montre que le siège de la douleur n'
, nous avons provoqué des irradiations douloureuses vers l'épigastre (
premier
nœud de l'aura,,dans le langage de M. Piorry) com
pas nécessaire d'user de toutes ses forces et l'application des deux
premiers
doigts de la main sur le siège présumé de l'ovair
trouvons signalée une pratique fort curieuse à étudier, et dont Pidée
première
, selon toute vraisem-blance, aura dû être suggéré
ession du ventre. 11 est, en effet, des hystériques qui, en proie aux
premiers
tourments de l'aura, mettent instinctivement d'el
qu'il ne s'agissait pas chez elles d'attaques vulgaires, rentrant du
premier
coup, sans discussion, dans le type classique. Ce
ti-forme, employé, si je ne me trompe, par Louyer-Villermay, l'un des
premiers
, conviendrait à désigner ces attaques mixtes. La
nt ses allures et le pronostic qui lui est propre. A l'égard de cette
première
forme de l'hystéro-épilepsie, tout le monde est d
rme. Je rappelerai à votre souvenir la malade Etchev... qui, dans son
premier
accès, est tombée dans le feu et s'estabîmé la fi
ore; de la malade dont il est question Leçon IX, p. 275. d) A cette
première
phase sur laquelle, je le répète, porte principal
es d'un côté du corps, ceux du côté droit, sont sans cesse agités. Au
premier
aperçu, ces mouvements paraissent désordonnés ; i
même ordre. J'ajouterai enfin, —c'est là un caractère, à mon sens, de
premier
ordre, que la compression méthodique de la région
i (Bjuillet 1874). Le tremblement aurait envahi les mem-bres dans tes
premiers
mois de 1873 et aurait frappé d'abord le membre s
de grandeur {Fig. 30 et 31) et parfois paraît normale au Fig. 30.
premier
abord. Mais, si, comme le recommande M. Charcot,
d et Richeront donné à l'aide dumyographe de Marey, le tracé de cette
première
période de l'attaque (1). 1. Études graphiques
angue rendent la physiono-mie effrayante; beaucoup étendent les trois
premiers
doigts de lamain, de maniôreà simuler le geste de
net (Archives générales de médecine, 1860), et celle de M. Moissenet (
Premier
fascicule des Actes delà Société médicale des hôp
onne-t-on ces parties à elles-mêmes qu'elles reprennent leur attitude
première
. Tous ces accidents, douleur et contracture, av
cement du mois d'août, sans modification quel-conque, lorsque, un des
premiers
jours de ce mois, sans cause appréciable, la cont
nse de Saint-Guy (2), en quelque sorte atténuée; mais il est facile à
première
vue, d'y reconnaître que l'hystérie et l'hystéro-
20 ~ Landolt del. Imp. Lemercier Cie Paris TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
LEÇON troubles trophiques consécutifs aux lésio
nt de vue du diagnostic. Des périodes dans la sclérose en plaques. —
Première
, seconde et troisième périodes. — Symptômes de
de l'hyperesthésie ovarienne. — Son siège exact. — Aura hysté-rique ;
premier
nœud ; — globe hystérique ou second nœud ; — phén
ion. Etant donné cet insuccès du traitement faut-il penser que leur
première
opinion était la bonne ? Nous le ne croyons pas
rétention ; rarement incontinence; un peu de constipation. Cette
première
période peut durer des mois entiers sinon des ann
es malades qui s'observent peu ne viennent consulter qu'après cette
première
période toujours insidieuse, comme nous l'avons
s insidieuse, comme nous l'avons dit : et il est possible que cette
première
période ait passé totale- ment inaperçue chez n
nifestation médullaire. Peut-être aussi est-ce bien parce que cette
première
période est méconnue par les médecins consultés,
fulgurantes res- semblant à s'y méprendre à celles du tabes vrai. A
premier
interrogatoire du malade on pense à l'ataxie lo
es do peptonate d'hydrargyre. Sirop d'iodure de fer. A partir des
premiers
jours de décembre l'état général s'améliore et la
le même état qu'en 1889. Quant aux jambes, on serait fort tenté au
premier
abord de croire qu'il y existe aussi de la pseu
ce d' « accidents hystériques simulant l'épilepsie partielle ». Son
premier
mémoire sur cette question coïncida avec une obse
ères trop abso- lus qu'il avait d'abord attribués à ce type dans sa
première
description (2). Il reconnaît qu'à côté du muti
provoque en général dans la forme stationnaire comme dans les deux
premières
périodes de la forme progressive un amendement
par exemple. Dans les premières phases de la maladie l'effet de la
première
séance est en général plus considérable que l'eff
efficace et je ne crois pas qu'elle soit rationnelle dans les deux
premières
périodes du tabes. Elle ne peut agir à mon avis
ennent au moins en partie de cette méninge. J'en attendais avant ma
première
ten- tative un effet évident d'autant plus que
a pensée que là peut-être le secours divin lui serait accordé. Au
premier
abord, nous constatâmes chez cet enfant les étran
é pour n'offrir aucune occasion il la curiosité publique dans cette
première
tenta- tive, de l'autre pour n'avoir pas il rou
rents. Dans les trois 64 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
premiers
jours qui suivirent l'expulsion du démon, il se p
ns le poignet. C'est au point qu'il ne put dormir pendant les douze
premières
nuits, et cela malgré l'immobilisation dans un
ulcérations analogues à celles quenous avions constatées sur notre
premier
malade. Ce jeune homme était tombé, le 26 févri
par blessure des nerfs et le mal perforant classi- que : chez notre
premier
malade, l'aspect des ulcérations rappelait, en
triciel à exciser : c'est l'élongation que j'ai pratiquée sur notre
premier
malade et vous savez quel succès nous a donné cet
r notre premier malade et vous savez quel succès nous a donné cette
première
opé- ration. Mais chez notre blessé d'aujourd'h
rf viennent au contact, et on le noue sur le côté. L'ensemble de ce
premier
point (fil d'appui) forme un véritable cadre qu
mplètement, et l'événement a justifié mes prévisions. Le 22 juin,
premier
pansement, nous retirons le drain. Depuis ce temp
te de cellules épithé- lioïdes. FIG. 6. CYLINDRES d'axe dans LEUR
PREMIER
stade DE DESTRUCTION (Hypertrophie) tels qu'on
'élévation du sourcil droit. L'analgésie est toujours la même qu'au
premier
et au second examen. DEUXIÈME PARTIE HYSTÉRIE
ningite aiguë, en second lieu pour la méningite chronique. CHAPITRE
PREMIER
. SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE LA MÉNING
fièvre conservent donc malgré tout une importance séméiologique de
premier
ordre. Si l'on ajoute à cela que la pseudo-méni
l des crises nerveuses ( ? ) Bonne santé habituelle. Réglée pour la
première
fois il y a 8 jours et il cette occasion, malaise
l qui persiste encore. État actuel. Jeune fille bien constituée. Au
premier
abord, il semble qu'elle ait un ptosis double e
osyllabes aux questions qu'on lui pose ; son intelligence paraît au
premier
abord assez obtuse. Elle se plaint pourtant d'une
n'ajoute aucun renseignement à ce que l'on sait de l'apparition des
premières
règles depuis 8 jours. En présence de ces phéno
ers 16 mois, n'aurait parlé que vers l'âge de 3 ans. Au cours de sa
première
dentition, acci- dents convulsifs assez fréquen
la céphalée et des vomissements dût être ré- formé après les trois
premiers
jours et en présence du hoquet, de l'anurie, on
s d'une façon irrégulière sur les deux hémisphères cérébraux. Celle
première
distinction a son importance ; elle est bien mise
III. On observe chez les enfants des syndromes hystériques de la
première
catégorie qui simulent l'hémiplégie spasmodique i
es sensitifs et des réactions électriques. La tête ne présente, à
première
vue, rien d'anormal. Pas de calvitie; pas de sé
ré par des cercles concen- triques d'épiderme corné. Les muscles du
premier
espace interosseux pa- raissent atrophiés. Le p
space interosseux pa- raissent atrophiés. Le pouce, infléchi par sa
première
phalange, n'est point raccourci ; sur la pulpe,
grandes difficultés d'interprétation relatives au siège des lésions
premières
qui tenaient sous leur dépendance les troubles tr
a marché à 18 mois, n'a pas eu de convulsions. Variole et rougeole.
Premier
accès d'épilepsie à la suite d'une frayeur à t'
Sa mère était fille unique. Son père avait 3 soeurs et 1 frère du
premier
lit ; 2 frères et 5 soeurs du dernier lit. Plus
es 2 ou 3 mois. Ces troubles de la voix ont disparu en 1889 depuis sa
première
saison de la Bourboule. Toux nerveuse surtout l
ne fait découvrir rien autre chose que des tubes nerveux dans leur
premier
stade de destruc- tion : d'énormes cylindre-axe
s coupes en plus ou moins grand nombre dans la hau- teur des 4 ou 5
premières
racines dorsales surtout clans le cordon latéral
s lésions des vaisseaux qui cheminent à la surface de la moelle. Le
premier
, il décrit les altérations des veines dans les lé
e Bd. XXII IIeft 1). 162 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
premières
en date occupent les méninges et les vaisseaux et
dans le cordon autéro-latérrll druit : on peut voir la lésion au
premier
degré, pour ainsi dire, dans celte région, La n
e cérébrale. Bien que ces altérations rachidiennes aient attiré les
premières
l'attention des observateurs, on peut dire aujour
mblance, à une lésion de vieille date, dont l'ori- gine remonte aux
premiers
accidents cérébro-spinaux éprouvés par le ma- l
tous les auteurs, et que l'on est autorisé à rapporter aux lésions
premières
en date : soit qu'il s'agisse de phéno- mènes d
oncerne les prodromes de l'affection médullaire. Seulement ici, les
premiers
accidents syphilitiques, au lieu d'être récents,
aire marcher. Plus tard ( à de 30 ans), il perdit une soeur (née du
premier
mariage de son père) qu'il aimait beaucoup. Il
: dans la main droite au contraire elles prédominaient dans les trois
premiers
. A ces symptômes douloureux est venue ensuite s
s la jambe et dans le pied gauches (fait qui n'existait pas lors du
premier
examen). La piqûre légère est sentie, même dans c
a au public étonné comme un guérisseur admirable, un hypnotiseur de
première
force. Ce qui n'était pas bien difficile, les m
ait de toutes les découvertes de la science moderne : il fut un des
premiers
à se servir des projections électri- ques dans
et qu'il s'aide de sa canne, rien d'anormal n'attire l'attention il
première
vue. Mais vient-il il hâter le pas, la marche e
matin, la tonicité musculaire est beaucoup plus modérée que lors du
premier
examen. La percussion du tendon rotulien amène
s observés se sont produits dans la première année, dans les 15, 16
premiers
mois qui ont suivi l'ap- parition du chancre in
ues montrent que, dans la majorité des cas, elles appartiennent aux
premières
années de l'infection syphilitique. Erb sur 22
circonscrite parce qu'elle se développe à une période éloignée des
premiers
accidents infectieux, admettre due la gomme sol
issance de nouveau à des désordres anatomiques analogues à ceux des
premières
périodes de l'infection.. Nous n'avons pas à ab
à tel point qu'on serait presque autorisé, faisant abstraction des
premières
, à décrire à part l'arté- rite syphilitique de
ALPÊTRIÈRE. pédestre qui n'a pas duré moins de cinq jours. Les deux
premiers
jours, il dut marcher sous une pluie battante,
suivant le type d'extension cubital. Ces déformations remontent aux
premiers
jours qui ont suivi la journée du 2 août 88. An
concerts en tous les points du monde. Il était très recherché comme
premier
violon solo. En 1872, il vint à Paris où il par
te sur le pied droit, c'est une flexion plantaire, qui survenait la
première
; puis le membre inférieur se contractait, bientôt
espéré à la fois. Les accidents neurasthéniques déjà signalés à son
premier
voyage n'ont fait que s'accroître depuis. La
rouve une légère amélioration sur l'état de ces membres lors de son
premier
voyage. L'anesthésie cutanée est nettement limi
, une idée malencontreuse qui vienne gâter tous les bienfaits de sa
première
cure. Elle repartira alors vers de nouvelles cl
oit une analogie singulière entre la parabole hébraïque de Caïn, le
premier
meurtrier auquel Dieu commanda : « Tu seras agité
leusement équilibrés, des aptitudes artistiques et scientifiques de
premier
ordre. Plus que les autres, ils sont soumis à c
rasoir peut le faire disparaître. C'est le cas de S. qui lors de sa
première
visite possédait une barbe opulente et qui, la
étranges ? Assurément. Et il faut savoir faire le Diagnostic. - En
première
ligne, il faut citer l'affection que M. Charcot
- cin et le malade. Là naquit un véritable mont-de-piété et notre
premier
hôtel des ventes. Mais Renaudot, dédaignant les
lades. » Ce livre, écrit en entier de la main de Renaudot est notre
premier
traité de diagnostic clinique, débarassé des préj
développement des organes peut être troublé, surtout pendant les
premières
périodes de la vie embryonnaire; on peut donc c
formes semblent plus particulièrement se transmettre en nature; au
premier
rang, il faut citer la folie suicide. Esquiro
rveux; mais les affections mentales occupent incontestablement le
premier
rang. Nous ne ferons que citer quelques faits q
quatorze ans; mi- graine ophlhalmique depuis l'âge de dix-sept ans;
premiers
phénomènes de l'ataxie (incontinence d'urine) à
latérale amyotrophique proprement dite, mais de la coïncidence des
premières
de ces altérations avec une dégénérescence du s
ment la description qui va suivre. Ce qui frappe tout d'abord, au
premier
coup d'oeil jeté sur ces figures, c'est l'exist
eule topographie un argument décisif con- tre la systématisation. A
première
vue, on a bien affaire ici à la même dispositio
le système centrifuge ou du faisceau pyramidal, situé en dedans du
premier
. Ces 56 PATHOLOGIE NERVEUSE. deux systèmes, p
e de la région dorsale et dans le cordon latéral. Ce qui frappe, au
premier
abord, c'est l'épaississement très marqué de la
e con- FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 67 vient sur ce
premier
argument, car, nous l'avons vu, quelques auteur
es. Nous croyons donc pouvoir ad- mettre que cette irritation a été
première
en date, et qu'il s'est agi dans notre cas d'un
é des éléments qui ne jouaient aucun rôle lors de son développement
premier
. Toute sclérose péri- vasculaire devient en eff
a en face de symptômes qui relèveront à la fois de l'altération des
premiers
et de celle des seconds. Or, les lésions isolée
ifestations cliniques prédo- minantes, celles qui ressortissent aux
premiers
ou aux derniers de ces cordons ? Les faits vont
firme la ressemblance symptomatologique que nous avons été l'un des
premiers
à établir, entre l'hystérie de la femme et cell
88 RECUEIL DE FAITS. ordinaire dans l'intervalle, il fut pris de sa
première
attaque pendant son travail habituel, dans une
PSIE. 8 ! ) anormale. On ne sent au palper de l'orteil qu'une seule
première
phalange; on ne peut se rendre compte s'il en e
e rougeur à la face et de quelques convulsions clomques. Après un
premier
répit de courte durée, apparaissent de grands mou
e par l'exposé qui suit de quelques-unes de nos expérimentations.
Première
expérience (21 avril 1881). - L'un de nous s'assi
t un peu mou, tremblotant, d'aspect gélatiniforme. Pas de lésions à
première
vue : pas d'atrophie de la corne d'Ammon. Les v
ayons le passage qui nous intéresse : Observation IXaIV.- Idiotie :
premiers
indices de l'absence d'in- telligence. Ruminati
que c'est bien dans le système nerveux qu'il faut chercher la cause
première
du mérycisme. Diagnostic. Dans un des premiers
ut chercher la cause première du mérycisme. Diagnostic. Dans un des
premiers
chapitres de ce mé- moire, nous avons dit en dé
ycisme, qu'il devait être distingué du vomissement. En effet, si, à
première
vue, ces deux phénomènes offrent quelque analog
de la précé- dente, appartient au centre auditif de Munk. Ces deux
premières
126 REVUE D'.\N.1TUIlE et de PHYSIOLOGIE. rég
nneur de vous entretenir un instant d'une jeune fille paraissant au
premier
abord beaucoup plus hystérique qu'épileptique,
r 1883, commença la série de 8,0U0 attaques dont j'ai parlé dans ma
première
communication. Ces accès res- semblaient à ceux
'apparition de l'hé- mianesthésie droite, lui firent abandonner son
premier
diagnostic, et le portèrent il penser qu'il s'a
x F.II1'o DIVERS. 13 ) 1 contre une, avait plat·.é 11. Clmrcut en
première
ligne. L'Académie a ratifié le choix de la comm
émité postérieure des frontales moyenne et inférieure. Les quatre
premiers
faits sont des exemples très nets de phénomènes
les coupes pédiculo-frontale et frontale de Pitres. Les lésions du
premier
donnent lieu à l'apha- sie, tout comme les lési
supérieure des trois plis postérieurs de l'insula. Destruction delà
première
circonvolution temporo- sphénoïdale. Sur la c
? \ \" ? \'' *'\' » ? \' v Itr W"1 11 ·w 1 .' Il semble étrange, au
premier
abord, qu'une lésion I,f 1110" hl 'II Jl.. l, l
uel les lésions intéressent les faisceaux blancs sous-jacents. Au
premier
groupe appartiennent les cas de Barlow, de Magn
ième portion ,1 d noyau lenticulaire.' ? , , , 1 /' "\1 A gauche,
premier
foyer symétrique, de deux cen- 168 . PATHOLOGIE
res ; mi- graineux, atteint plusieurs fois de sciatique), a eu un
premier
accès de goutte à l'âge de trente-trois ans. Les
aient échappé au génie d'observation de Duchenne; il a été l'un des
premiers
à mettre en relief leur fré- quence relative et
noyau originel de l'hypoglosse et ceux des moteurs oculaires. Au
premier
abord, on serait tenté d'invoquer l'appa- ritio
identiques; il est dès lors naturel de penser que la pathogénie des
premières
doit être la même que celle des secondes et que
alades' souffrit de difficultés à uriner huit ans avant d'avoir ses
premières
dou- leurs fulgurantes ; quelquefois ces troubl
but brusque développées au cours de l'ataxie. Souvent dans les deux
premières
périodes, ces troubles sont t transitoires au m
ution; la fille s'y oppo- sant, il y eut procès. La fille perdit en
première
instance, mais gagna en appel; le jugement, tou
ire. M. \Iuxxex. En serait-il de même à la suite d'un jugement de
première
instance ? M. Labitte. Je ne crois pas; le méde
açon, le même malade qui /prétendait alors être «un lmmensitaire de
premier
ordre, le Grand Commandeur des Elé- ments, le C
à la suite d'une sortie d'essai, ayant ainsi perdu le bénéfice des
premiers
temps du traitement et se trouvant dès lors dan
ui résultent des évasions sont supportées pour les pensionnaires de
première
classe, par la bourse de ces derniers, et par l
te et à gauche, des chambres de pensionnaires, hommes et femmes, de
première
et deuxième classe. Les corps de logis destinés
spivestner) et de dortoirs (soverum) tant au rez-de-chaussée qu'au
premier
étage. Tous les lits sont en bois, le fond de c
dix malades sans parler'des gardiens attachés aux pensionnaires dé
première
classe, qui touchent vingt-cinq à trente couronne
chambres à coucher sont, comme les chambres de malades, situées au
premier
étage; mais on y rencontre aussi quelques, cham
y rencontre aussi quelques, chambres séparées pour malades de la
première
classe ainsi que des salles de jour et de travail
baignoires et les accessoires nécessaires pour, malades calmes de 1
première
, di uxième et en partie de, troisième, classe; on
DIVERS. Société d'anthropologie DE Bordeaux et du SUD-OUEST. - La
première
séance de cette Société a eu lieu le samedi 19 ja
s phénomènes après tous les repas, surtout après le café au lait du
premier
repas du matin. Le patient s'habitua peu à peu
la pression au niveau de la septième, vertèbre cervicale et de la
première
dorsale. L'autopsie décèle de la carie de la prem
battement, phéno- mènes fébriles, douleurs, on relève dans les deux
premiers
accès des attaques parétiques de toutes formes,
vie de celle de la moelle. Nous connaissons déjà les erre- ments du
premier
procédé'. Quant à la moelle, on la galvanise de
onscrit dont la nature histologique est mal définie à la hauteur du
premier
nerf cervical au centre de la corne antérieure
Nous avons classé les professions en quatre groupes princi- paux.
Premier
groupe. Nous avons d'abord réuni en un groupe (
us à la nitro-henzine. Deuxième groupe. Si nous avons pu établir ce
premier
groupe sur des faits authentiques, nous avons l
Troisième groupe. Notre troisième groupe, alors même que les deux
premiers
groupes eussent été mieux étudiés, ne pouvait l
dent, mais où l'influence de la profession ne saute pas à l'oeil du
premier
coup, où son influence paraît moins manifeste q
et la folie se trouvent des maladies intermédiaires qui masquent à
première
vue la relation avec la cause initiale : SOCIÉT
e la plus grande violence et encore retournent, ils à leur position
première
dès que l'effort ce ,se. M. BALLET critique le
tet. Lorsque, l'année dernière, je suis venu prendre place ici, mes
premières
paroles vous ont exprimé ma reconnaissance pour
ntourent la scissure de Sylvius (frontale et pariétale ascendantes,
première
temporale) constituent les régions qui recèlent c
rvira de terme de comparaison. Elle présente deux stades. Dans le
premier
, les cellules des cornes de la moelle sont milles
ement fonctionnel de l'activité du travail psychique est le facteur
premier
des symptômes ; c'est donc sur les couches cort
uffreut simplement d'une pertur- bation locale de la nutrition. Aux
premiers
, s'adresse particuliè- rement un traitement gén
rps entier. La manière de vivre est réglementée comme il suit : les
première
et seconde collations se prennent au lit. Entre
gine externe, tous les efforts de conception ou de volition. Un des
premiers
signes de la réussite de la cure, c'est un ennu
outons pas que ce conseil, dans l'ordre de ses travaux, ne mette au
premier
rang la question du concours et ne s'em- presse
e et à gauche cinq cellules d'hommes; la disposition est la même au
premier
étage (cellules de femmes). Le sous-sol en cont
mise par M. Herold. Dans sa pensée, les con- ditions du concours du
premier
degré sont suffisantes pour que les médecins ad
des prisons, a résolu de mettre au concours les sujets suivants :
Première
thèse. [Prix : 2,000 francs). - « Exposer les pro
de 160 pages chacun. Prix de chaque fascicule : 3 fr. 50. Les deux
premiers
fascicules sont en vente. Kocuen (A.). De la
rchives de Neurologie T VII PL I EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE
PREMIÈRE
Fig. 1. -.Coupe de la moelle au niveau de la pa
tégorie peuvent se placer le malade de MM. Ballet et Dheur et notre
première
malade. 2° Le délire médianimique n'est que l
pidement parcourue dans la suite de la désagrégation mentale. Notre
première
malade n'avait ja- mais pris part à aucune prat
comprenant la période antérieure à son entrée en traitement et son
premier
séjour au sanatorium de Boulogne; l'autre corre
ée de trente-six ans, son intelligence générale paraît brillante au
premier
abord quoique plutôt médiocre en réalité. Sa fami
le songea à la religion qu'elle connaissait mal et essaya de prier.
Premières
hallucinations. Audition d'esprits. - Ainsi confi
endresse exigée, la seule vue de l'écriture de M. Schtein comme ses
premières
visites suffisent à ramener tous les malaises m
veut même améliorer le christianisme. Elle jette sur le papier les
premières
bases de la religion de la bonté, elle en compose
oqué en cachette sa belle-mère et Rarahu. En somme, pendant cette
première
phase, elle avait sans influence ' extérieure s
extérieure spéciale évolué vers une religiosité extrême et fait ses
premiers
pas sans initiation véritable dans le spiritisme
racontent ses hallucinations. Nous avons pu, d'ailleurs, pendant ce
premier
séjour constater l'acquisition de notions que p
b-consciente des lectures que nous lui avons vu faire pen- dant son
premier
séjour au sanatorium. On y retrouve des rémi- n
incomparable qu'elle inspire à son protecteur céleste. Fig. 1. -
Premier
dessin médianimique exécuté les yeux fermés par
triomphe, car, dit-elle, elle l'ignorait absolument, la vérite du
premier
fait doit entraîner celle du second. Elle oublie
ond. Elle oublie que nous lui avons parlé de. ce comité lors de son
premier
séjour; notre incrédulité la déconcerte et semb
microcéphalie en sont la démonstration. Quelle que soit la causé
première
de l'arrêt de développe- ment des centres nerve
ques des racines du plexus brachial (dernières paires cervicales et
première
dorsale.) Le sympathique a une action trophique
côte des méninges, les causes occasionnelles sont l'apparition des
premières
règles et une émotion morale intense, toutes ca
psychique rece- vant des impressions inusitées, ne parvient pas au
premier
mo- ment à les corriger et, par suite, se tromp
due; 4° Le myosis et la suppression de la salive peuvent être les
premiers
symptômes d'une méningite ou d'une myélite; 5°
médiats : le second (83 cas) donne les résultats plus permanents.
Premier
groupe de 111 opérations : 19 morts (17 p. 100) p
nter sous des dehors tels qu'il serait possible de la confondre, au
premier
abord, avec des maladies communes du système ne
tout à fait impossibles, l'ab- duction, impossible pour les quatre
premiers
doigta est vaguement esquissée par l'auriculair
frent la dimension d'une plume d'oie et une consistance telle qu'au
premier
abord on pour- rait hésiter à reconnaître des f
e et leurs loca- lisations sont autant d'éléments qui pourraient au
premier
abord faire admettre le diagnostic de syringomy
rs quelqu'un qu'elle désire ou dont elle attend le secours. Une des
premières
visites de sa fille l'a laissée très énervée; l
vaient paru s'effacer pendant l'intervalle relativement sain de son
premier
séjour au Sanatorium, duraut lequel elle n'avait,
homo- trice dont elle ignorait au début l'idendité a constitué le
premier
fait de celte médiumnité spontanée à la suite de
ssi ignorante en matière religieuse qu'en matière spirite quand ses
premières
tendances se sont organisées en hallucinations
ALTER déduit que certaines maladies du système nerveux central, au
premier
rang la paralysie générale et l'épilepsie, tien
re une précédente com- munication de mye Déjerine leurs conclusions
premières
sur les dégénérations du cordon antérieur. Cons
s- sement de mémoire très accentué et une certaine agitation; les
premiers
jours il avait des hallucinations auditives; une
t offre une certaine valeur. Les signes vasomoteurs sont à citer en
première
ligne : ce sont le dermogra- phisme, le pseudo-
onner. Voici au surplus les conclusions du rapport. I. Il faut en
première
ligne prévenir les crimes et délits des aliénés
extension dans le plaisir. La pre- mière pensée de l'enfant est son
premier
mouvement : 9° L'art de tous les pays et de tou
'asseoir sous peine de tomber accroupi. Il a de la raideur pour les
premiers
mouvements de mastication, de la'gêne pour la pre
tée aux précédentes, c'est celle de ces individus qui, placés une
première
fois à l'asile en dehors de tout démêlé avec la j
sont en rapport avec les muscles de la jambe et du .pied. Dans les
premier
et deuxième segments sacrés les deux groupement
e grêle, du jambier postérieur et des fléchisseurs. Les centres des
premiers
sont placés plus bas que ceux du jambier antéri
gment lombaire, celui du couturier, le groupement antéro-externe du
premier
de ces segments. Le centre du grand adducteur o
la partie centrale du troi- sième se trouvent les centres des deux
premiers
adducteurs et du SOCIÉTÉS SAVANTES. 281 droit
le demi-membraneux et probablement le demi-tendineux. Dans les deux
premiers
segments sacrés, il est en rapport avec le bice
it des progrès de la science moderne. Après avoir rendu hommage aux
premiers
créateurs de la méthode médico-pédagogique, aux
père avait 292 CLINIQUE mentale. défendu de les lui appliquer. Au
premier
camarade fouetté en sa présence, il éprouva un
ui passer les bras autour de la taille et se pâmer. Il avait eu son
premier
spasme voluptueux. Peu après, X... fut changé d
La mort mystérieuse de son père lui revint en mémoire et pour la
première
fois, il se sentit attiré vers le suicide. La nui
ci s'accentuait, il prenait un plaisir plus vif à ce spectacle; ses
premières
vagues aspirations sexuelles s'y associèrent ;
pler ceux-ci. Il avait quinze ans depuis un mois, lorsqu'il fit ses
premières
armes avec la femme de chambre de sa famille ;
les pieds de sa maîtresse. A noter que l'éjaculation spon- tanée du
premier
soir ne se reproduisit plus. Mais la maîtresse
iosité scientifique. Il y a là une indication thérapeutique de tout
premier
ordre. J'estime, en effet, que la connaissance
e perceptions nettes des fonctions qui s'ac- complissent. Ce qui, à
première
vue, peut tromper c'est que, lorsqu'elle* a les
n, les phénomènes nocturnes que l'on observe peuvent en imposer, au
premier
abord, pour du somnambu- lisme spontané : mais
un ouvrage compliqué, mais pour récupérer ensuite leur inten- sité
première
. L'émotion les exagère toujours ; ils s'affaiblis
ents des mouvements volontaires pour reparaître avec leur intensité
première
quand cessent les mouvements volon- taires. - P
s. II. Lésions bilatérales. Ces chiens ont préalablement subi une
première
expérience unilatérale; ce n'est que lorsque le t
t. C'est une hypothèse à laquelle Cassirer a essayé d'apporter la
première
preuve clinique. Son observasion de parésie des n
existe déjà chez le chien nouveau- né, mais dans le cours des deux
premières
semaines de la vie il ne jouit pas de l'excitab
orticale propres au mouvement suivant ne se substituent à temps aux
premiers
. Mais pourquoi cette persévérance du mécanisme
procédés : REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 341
Premier
procédé. Fixer préalablement les pièces dans une
tupeur et cata- tonie, une paralysie faciale périphérique. Les deux
premières
sont évidemment, dit l'auteur, des psychoses sy
ires. A l'âge de seize ans, sous l'influence du surmenage, il a son
premier
accès de migraine ophlhalrnique; celui-ci se co
malade parle. L'auteur croit devoir rattacher ces accidents à la
première
menstruation, la jeune personne ne paraissant avo
près le choc qu'il venait de supporter. - Je suis tombé une fois du
premier
étage sur la tête, ajouta-t-il, et je n'ai abso
pour se débarrasser de l'enfant que le passementier avait eu de son
premier
mariage. Les dires de Pierre Prat, paraissaient
des meil- leures dispositions. - VARIA. 365 Pendant les quinze
premiers
jours que le passementier passa dans sa famille
pédagogiques ? Adresser toute correspondance à M. Tobie Jockheere,
premier
secrétaire adjoint de la Société Protectrice de
eront astreints. Les avantages consistent en : nourriture (table de
première
classe du régime des Asiles) logement, éclairag
cendent d'ivrognes ou d'alcooliques, comme beaucoup d'aïeules des
premières
, du reste. Cela connu, il semble que l'on devrait
constitue chez l'adulte le caractère épileptique, en quelque sorte
première
manifestation bruyante de l'épilepsie (que l'on
oment des règles chez les épileptiques, et l'on sait aussi que la
première
attaque d'épilepsie éclate presque toujours à une
nnelle du corps thyroïde et des glandes génitales», elle paraît, au
premier
abord, assez difficile à remplir; comment, en e
malades, il comptait 14 mérycoles dont 11 étaient des idiots. Notre
première
observation est celle d'un adulte; la seconde,
Les aliments ainsi ruminés revenaient secs et avec leur appa- rence
première
; elle ruminait surtout la viande qu'elle préféra
es au maximum pour les filles. Il atteint un peu plus lentement son
premier
tiers que ne le fait l'encéphale entier. Par su
xclusivisme de ranger, d'après ces troubles, des intelli- gences de
premier
ordre avec de simples dégénérés. Pour le moment
tte lenteur de l'iris à revenir à son état normal constitue une des
premières
manifestations de l'état morbide du système ner-
as de ce qui l'entoure, le maniaque aperçoit tout et vivement. Le
premier
est d'une humeur indifférente, niaise ou puérile;
ause déterminante et directe de la maladie. - Parmi les sujets du
premier
groupe, on trouve seulement des épileptiques (3
pagnée du juge de paix, du greffier et de M. le D1' Edouard. Des
premières
constatations il résulte que la femme Pollet a no
uelle de la Revue de philosophie, dirigée par 111. E. I'I;7LLAL13E.
Premier
volume iii-8- de 350 pages, prix : 10 francs, C
furent exceptionnellement longues, durant jus- qu'au 2 mai, date du
premier
incendie. ' . Le 29 avril, c'est-à-dire cinq jo
nc- tion clinique en aliénés présumés curables et incurables. Aux
premiers
, l'asile avec ses moyens d'isolement peut suf-
tion, grossesse, accouchement, naissance, rien de particu- lier .
Première
dent à huit mois; dentition complète à deux ans e
L'enfant semblait bien portant et pesait cinq livres et demie; ses
premiers
cris ont été naturels. Allaitement au sein par
été naturels. Allaitement au sein par la mère; sevrage à deux ans.
Première
dent à huit mois. Dentition complète à deux ans
è- dent, à intervalle de dix minutes ou un quart d'heure. Lors du
premier
, la température est de 37°,G au moment du ronflem
rence physique aurait réjoui le coeur d'un évolution- niste, car au
premier
aspect il était un spécimen parfait du type sim
imentaire. D'où, en décrivant son aspect on énonçait qu'il était au
premier
abord du type simien, mais son intelligence éta
l le sache, aucune section de cuirs chevelus anormaux. Le crâne à
première
vue ne présentait pas d'autre anomalie marquée
veau et le cervelet, le dernier étant gros à l'excès par rapport au
premier
. Enlevé, l'organe pesait seulement 20 onces.
- niques et intermittents. les autres toniques et permanents. Les
premiers
, dont ils rapportent cinq observations sont pour
es différencient nettement l'hémispasme du tic. A ces caractères de
première
importance, s'en ajoutent quel- ques autres sec
qui consistaient en un ramollissement du lobe tem- poral droit, des
premières
et deuxièmes frontales, ainsi que de la face in
trophiques- 496 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. conjonctifs, cause
première
du trophoedéme. Il ajoute que si l'on songe que
ent. 11 existe encore un peu de tachycardie : 100, et un souffle au
premier
temps à la pointe. Il n'y a plus de tremblement
en. M. Paul FAREZ. - M. X..., élève du Conservatoire, a obtenu un
premier
accessit au concours de 1902. A l'approche du con
le premier des seconds prix. Le voilà tout désigné pour un brillant
premier
prix en 1905; il ne manquera pas de recourir en
e coude de montagnard, il parvint à se faire jour et à se porter au
premier
rang, juste à côté de la voi- ture. La voiture
'occuperai immédiatement d'un autre infantilisme, tout différent du
premier
, et celui-là authentique, digne du nom qu'il po
hiques,-disons : demyxoedè- me à divers degrés.Ceux-)à mettaient en
première
ligne et en première date l'abolition ou l'insu
xoedè- me à divers degrés.Ceux-)à mettaient en première ligne et en
première
date l'abolition ou l'insuffisance des fonction
progrès qu'il dut sa repoussante laideur. S'il était resté tel qu'au
premier
jour, il n'aurait été ni plus ni moins affreux
42 de taille, c'est-à-dire qu'il n'a presque plus grandi depuis sa
première
puberté ; et quoiqu'il n'ait jamais eu la seconde
malade sujette à des accès fébriles passagers, présente bientôt les
premiers
symptômes d'une péritonite tubercuieuse à évoluti
ion de cette malade, ce qui nous intéresse actuellement : dès notre
premier
examen, l'aspect infantile du visage et du corps
d'autres encore : il y a des gens,par exemple,qui conservent leurs
premières
dents jusqu'à un âge avancé ; certains hommes d
partielle peut donc donner lieu à des anomalies déconcer- tantes au
premier
abord. A l'étude de l'infantilisme on a récemment
ète, elle comporte un certain nombre de symptômes plus spéciaux, au
premier
rang desquels se placent les manifestations de né
38 ans. Syphilis; tabes antérieur, puis paralysie générale dont les
premiers
symptômes remontent à 4 ans à peu près,avec troub
res, ni rétrac- tions. Nous avons vu tout à l'heure chez nos deux
premiers
malades des symp- tômes nombreux de négativisme
s blanches, pas de grossesse. C'est au moment de l'apparition des
premières
règles, à l'âge de 18 ans, que débute l'affecti
des globes oculaires ; mais tous ces phénomènes, très marqués lors du
premier
examen, ne se sont pas montrés lors des examens
. Cliniquement, ce qui permettrait presque de faire le diagnostic à
première
vue, c'est l'habitus très particulier des malad
it caractéristique : il est constitué par quatre segments, les deux
premiers
: tête, cou et tronc, forment un angle ouvert e
suivante : les infections que notre malade a subies au cours de ses
premières
années ont déterminé des lésions pro- fondes de
des cornes antérieures) semblent à cet auteur devoir être mises au
premier
rang et démontrer l'origine spinale de celle form
l'évolution de l'affection. 1 Observation I. - Il s'agit dans ce
premier
cas d'un nommé Ch ? buandier, âgé de 72 ans, da
ARTIER ET DESCOMPS. - OSTÉITE syphilitique déformante type PAGET 85
premiers
symptômes de sa maladie sont apparus. Ce furent d
ènes ostéo--arliculaires que présente la malade. Ce qui frappe an
premier
abord, c'est une déformation très accentuée de la
droit. - 1° Le tibia présente le maximum de déformations. C'est en
premier
lieu une double courbure, l'une fortement convexe
on n'y ressent pas de craquements. 5° Depuis quelques mois les deux
premiers
orteils sont immobiles et présen- tent une défo
e vue clinique, ces déformations ostéo-articulaires, font penser au
premier
abord (il suffit d'examiner les photographies ci-
ont que l'expression d'un seul et même trouble qui commence dans le
premier
cas avant la cessation de la croissance en longue
ment, sont appelés à interpréter la forme humaine, et parmi eux, en
première
ligne, les cli- niciens, on peut même dire tous
s notions que fournit le cadavre, mais elle anime, elle vivifie ces
premières
connaissances à l'aide desquel- les elle recons
ffre l'aspect « pleurard » de la paralysie glosso- labio-laryngée à
première
vue, surtout lorsque la bouche reste entr'ouverte
ne se sont jamais répétées ultérieurement. Le malade, même dans sa
première
enfance, n'a jamais souffert d'aucune autre aff
et en adduction légère, avec légère flexion dorsale permanente des
premières
pha- langes des orteils (PI. XXV). Il existe
noter très aisément que les racines antérieures gauches, partir du
premier
segment lombaire au troisième segment sacré inc
re, et s'étant présentée comme telle d'emblée. Le malade, depuis sa
première
enfance, a bien pu se servir de ses extrémités
ux affections,en effet, frappent de préférence des enfants,dans les
premières
années de leur vie, au milieu d'une bonne santé.
tombés malades brusquement dans l'intervalle de 10 jours. Les deux
premiers
enfants pré- sentèrent des phénomènes généraux
c une mauvaise serpette. Si j'insiste sur cette cause traumatique,à
première
vue de médiocre intensi- té,c'est que je la ret
de trophoedème, acquis, d'origine traumatique, se plaçant à côté du
premier
groupe de trophoedèmes héréditaires ou familiau
ou très tardivement, un an après le traumatisme initial dans notre
première
observation. Puis l'oedème devient envahissant, p
triques emboîtées les unes dans les autres ; puis, au delà de cette
première
gaine lamelleuse commence une zone de tissu con
out depuis les travaux de Henry Meige (1) et de Debove et auquel le
premier
a donné le nom de trophoedème chronique sous lequ
uche, la variole et la rou- geole. Menstruée à 14 ans 1/2. Les deux
premières
années les époques cataméniales ont continué ré
dans la manière dont l'oedème s'est installé. `. Pendant les deux
premières
années l'aecième n'a intéressé'que la cuisse* S
xactitude anatomique de ces oeuvres d'art ou enseignement. Dès sa
première
leçon d'ouverture, à l'Ecole des Beaux-Arts, M. P
s-uns de ses élèves avaient introduite dans son atelier. Dans son
premier
cours de l'année 1906-1907, M. Paul Richer a tenu
onyme avec réaction pupillaire hémiopique. En peu de temps les deux
premiers
* symptômes disparurent complètement et l'hémia
re cérébrale postérieure. On sait en effet que cette artère dans sa
première
portion directe ou ascendante- comprise entre l
re ou de ses branches ». Mais si la thrombose ne se limite pas à la
première
portion de la cérébrale postérieure et qu'elle s'
artères embolisées. Le siège de prédi- lection des nécroses est, en
première
ligne, les cordons postérieurs et puis les cord
taté les foyers d'hémorragie. Dans un de ces cas, - représentant le
premier
stade de la maladie, car le malade mourut' le cin
le malade mourut' le cinquième jour, - j'ai constaté, en dehors des
premières
lésions de la myélite (congestion, diapédèse le
épaissies. J'ai trouvé ces lésions chez des malades guéris de leur
première
attaque (ayant eu lieu plusieurs années auparavan
ente ; il n'a eu aucune maladie digne d'être men- tionnée jusqu'aux
premiers
jours de juin 1906, où il fut atteint d'un malais
a vis pour la seconde fois. L'examen donna un résultat semblable au
premier
; on observait seulement plus d'inclinaison du t
ui fut continué pendant quarante jours : les douleurs diparurent au
premier
mois ; les mouvements actifs réapparurent lente
juvénile d'Erb. En effet, cet auteur a signalé dans la description
première
de son type la possibilité d'une pseudo-hypertrop
la dentition. Quoique âgée de 16 ans elle n'a que 13 dents : 9 de
première
dentition à la mâchoire supérieure, 4 à la mâch
nant à l'étude des cas publiés en France, nous voyons que dès leurs
premières
communications Marie et Sainton avaient observé d
de beaucoup la,plus altérée et il est donc possible d'incriminer en
première
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. X
n est de courte durée et l'iris reprend progressivement sa position
première
, la mydriase est redevenue maximale au bout d'
s qu'avec l'eau pure et l'iris ne tarde pas à reprendre sa position
première
. Au bout de 6 minutes la pupille commence à se ré
ats que pour l'eau pure ; l'iris ne tarde pas à reprendre sa position
première
et la mydriase n'est pas inllueucée. Anesthésie
phénomènes que pour l'eau pure ; quand l'iris a repris sa position
première
la mydriase n'est pas plus prononcée ; paralysi
joint permet de s'en rendre compte aisément. Quoiqu'ils affectent à
première
vue le type d'une hémianesthésie droite, on voit
INGOMYÉLIE AVEC PHÉNOMÈNES BULBA11;LS 271 1 Il y a une objection de
première
valeur à faire cette hypothèse ; dans le cas qu
it des yeux. Rxitus le 4 avril 1904. DATES. - 30 septembre 1903 :
premiers
symptômes de maladie, sous forme d'attaque conv
hidien est DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 289 la cause
première
de toutes ces altérations pathologiques. Il peut
ôpital Tenon. Ancien prosecteur provisoire à la Faculté. CHAPITRE
PREMIER
L'histoire clinique du sujet hémimèle dont nous
comme disposition et insertions, sans qu'on puisse les rattacher au
premier
abord à des muscles normaux. Aussi le corps et
rfois possible de fixer la date originelle, sinon toujours la cause
première
. L'argument de Mathias-Duval, à savoir que « l'
lange sur la tête métacarpienne ; de même au bord cubital. Ces deux
premières
phalanges se terminent par des portions osseuse
angulaire, il répond, en haut, au ligament triangulaire, en bas, au
premier
os de la bran- che interne. La face dorsale d
ux os seulement. : leur et 5e métacarpiens. Le leur s'unit aux deux
premiers
os du carpe ; le 5° s'unit seulement au grand os
rs les sealènes, elle se divise en cinq petites branches : les deux
premières
vont se perdre sur les parties molles qui tapis
solé des précédents. Ces différents os paraissent être l'ébauche du
premier
cunéiforme, du scaphoïde, de l'astragale, du ca
férieure et externe du radius au voisinage de l'apophyse styloide.
Premier
et deuxième radial externe. Leur tendon contourne
scaphoïde et au tra- pèze. Le métacarpien semble correspondre au
premier
, bien qu'il soit un peu plus long ; un seul sés
on observe deux plis cutanés de flexion, l'un un peu postérieur au
premier
. C'est au niveau de ces plis et particulièremen
ayant en outre, à gauche une main bifide avec syndactylie des deux
premiers
doigts et des trois derniers, et un bec-de-lièv
ment, est remontée de droile à gauche tout le long du cul-de-sac du
premier
diverticule et après est descendue dans la dila-
ype sacciforme décrit par Leichtemtern (1). Pour l'expli- cation du
premier
gonflement nous sommes encore plus embarrassés;
rd éteint ; ils sont silencieux et recherchent la solitude. Dans le
premier
cas nous constatons une abondance d'illusions, d'
emarquer par sa vaillance dans les combats, se trouvant toujours au
premier
rang, devenait soudain lâche. Ce siège prolongé
et convulsions épileptiformes ou leurs équivalents psychi- ques. Au
premier
rang de ces derniers il faut citer les automatism
ue que jamais il n'a éprouvé la moindre difficulté de reconnaître à
première
vue la cheiromégalie de l'hypertrophie acroméga
distincts les uns des autres, sont élargis en battant de cloche, le
premier
en retrait sur les autres, le cinquième presque a
rare que l'absence du radius. Kümmel n'en a pu réunir que 13 de la
première
, contre 67 de la seconde ; on peut y ajouter le c
époque assez avancée de celle-ci correspondant à la formation et au
premier
développement des membres. Le mécanisme de leur p
ent les mouvements du membre supérieur, n'apparais- sent point à ce
premier
examen comme offrant des différences bien appré-
nq métacarpiens sont présents ; le 1 er est le plus court. Les deux
premières
rangées de phalanges sont présentes. Muscles :
ni- veau de leurs tendons qui se fusionnent avec le périchondre du
premier
doigt. - Tous les muscles de l'adulte sont pr
TROPHIE MAMMAIRE 423 de 6 kilogrammes et demi qu'elle avait lors du
premier
examen, au mois d'octobre, elle en était venue
Intelligent il répond avec précision aux questions. Ce qui frappe à
première
vue en dehors de la petite taille du sujet, c'est
rosse tête et l'exiguïté de ses bras, le rapprochement s'imposait à
première
vue. Bien que très dissemblables, les deux affe
ns l'anamnèse ; et parce que la cure anti- luétique, entreprise aux
premiers
symptômes du mal, n'en a pas empêché l'évolutio
re manière ; car, je ne dis pas : il a guéri ; mais il s'est guéri.
PREMIÈRE
PARTIE. OBSERVATION 1S décembre 1902. Taurone à
ssation de ce traitement. 16 décembre 1902. - Examen clinique. Au
premier
coup d'oeil le sterno-masloïdien droit apparaît n
Les yeux doivent rester fixés sur le point d'intersection des deux
premières
lignes. Grâce a ce dispositif, le moindre dépla
a différence qui existait entre les deux sterno-mastoïdiens lors du
premier
examen a disparu. ' 23 janvier 1903. -- Les pro
ental dé Taurone. 21 juin 1903. -'Vous m'avez demandé lors de mes
premières
visites de : 486 HENRY MEIGE consentir un pac
Pour la première fois un affaissement marqué s'est produit les deux
premiers
jours, deux heures environ après l'absorption de
vé ce trouble, mais un ins- tant seulement, en me rasant. Depuis sa
première
apparition, j'en étais atteint à intervalles él
: A 6 heures 1/2, lever, toilette et petit déjeuner. A 7 heures,
premier
exercice devant miroir pour me fixer un peu (rédu
est intéressant de constater que les actes automatiques ont été les
premiers
à s'exécuter correctement ; les mouvements volont
’avoir en horreur, et detestation tels meschans pes-chez condamnez en
premier
de Dieu, et après des hommes, procédant seulement
nt qu’il chante, cette pâle statue que la mort a faite, se colore des
premières
nuances de la vie, ses lèvres blanches commencent
tant il est difficile d'interrompre une âme fatiguée qui dort de son
premier
sommeil ! Toutefois le visage de la mort n’a pa
feu vulgaire.Tout les convie cependant à s’emparer du magnétisme, ce
premier
anneau de la chaîne mystérieuse qui n’emprunte dé
de puissance bienfaisante que Dieu a déposé en nous. Dès les quelques
premières
magnétisations, la fièvre continuelle qui minait
nt quelques personnes de sa connaissance auxquelles elle racontait sa
première
aventure et son rêve. Une de ces personnes, for
au dehors; l'habitude de l’ordre s’est intronisée parmi nous, et son
premier
fruit a été de bannir l’acrimonie de nos discussi
l sur le chemin des honneurs et de la fortune, aurait pu parvenir aux
premières
dignités; mais il sacrifia tout au bonheur plus p
monies, Nous enseignent à vous prier. X Comme au temps de l'ùre
première
, Où Moïse reçut la loi. Qu’ils nous inondent
ce, lisez : marquera sa place, etc. ( I ) Ces paroles existaient de
premier
jet, mais elles n'ont pas été prononcée«, et lors
on. Sous le lit on voit quatre cnnopes rangés l'un après l’autre. I.e
premier
est le signe de la Vierge, le deuxième est termin
ts de toute l’en ceinte des parois du salon. Mon appartement était au
premier
étage d’une maison alors isolée, à l’angle de la
à ce que la pomme tombe d’elle-même, et que les mains reprennent leur
premier
état. Cette femme Connaissait parfaitement, on le
sses choses, ce qu’il y a de Uni* -‘e’ ce îu' toml)C sous ics sens du
premier
venu; 'j"s a 1 a tenu aucun compte de ce qui ne p
ments oraux, ont besoin de l’expérieuce des autres pour diriger leurs
premiers
pas. C’est donc à la condition qu’aucun détail ne
el langage. L’abbé de Lamennais s'est fait grand avec l'idée de son
premier
livre de l’Indifférence en matière de religion, s
néanmoins l’action délétère! Nous voici devant la prévention. Ma
première
faute, ce serait, dans la relation de l’état cata
(tyxii); mais un élément (elementum, — quasi alimentum, une espèce de
première
alimentation; oto.X£îov, une suite naturelle). C'
n, quelque hazardéc que l’opinion qu’elle comporte puisse paraître au
premier
abord, il est à présumer qu’elle sera prise en co
ui prend sa place et parle par la bouche de ce corps, pendant que son
premier
locataire se promène; ou bien, si ce premier loca
e corps, pendant que son premier locataire se promène; ou bien, si ce
premier
locataire ne s'est pas retiré, niais qu’il ait
iste en cinq opérations successives, ou 6e décompose en cinq temps.
Premier
temps : abaissement du boni de la table sur les g
’opinion publique, cet autre tribunal qui casse souvent les arrêts du
premier
et exerce une justice souveraine : c’est par ses
u globe. « L’atmosphère nous apparaît comme renfermant les matières
première
« de toute l'organisation. (•) Voir le n* 93, 2*
n réalité qu'une locution vide de sens. « Jercndraiaumot matière sa
première
acception, en l’employant seulement pour désigner
e est insaisissable : cette cause, désignée sous le nom de mouvements
premiers
, n’est rien autre que la subitance lumineuse. »
oviser, n’importe quoi d’un quart d’heure, quitte à tourner court aux
premiers
symptômes, non pas d’irritation, mais d’inattenti
« Le jenne homme les emportait dans le pan de sa blouse, lorsqu aux
premiers
gémissements qu’ils firemt entendre, la mère acco
xe en devenant partie d'eux-mêmes; mais dégagé ensuite, il reprend sa
première
nature pour aller se fixer en d’autres corps. C’e
a un premier tour, ets’arrêta, content de son œuvre; ce tour fait, ce
premier
cercle tracé, il se laissa encore pendre sur le s
fixe, verte et glacée comme une émeraude, une émeraude vivante. Ce
premier
geste n’opéra aucun résultat appréciable, le serp
(La Phrénoloqie, etc.). « L’ignorance et le découragement sont nos
premiers
ennemis. « Toute chose intelligible (2) est une
e doctrine. » Le docteur Gama , ancien Chirurgien en chef d'armée, ex
Premier
Professeur du Val-dc-Grâce. La conclusion , c’e
propriétés et letfonctiom du système nerveux. allongée, de l'organe
premier
molcur du mécanisme respiratoire, el point vital
être placé dessous; ri inoxet/isv$v, le dessous; vivj npSnr,, la base
première
; -i oùdu., l’essence), est l'ètre en soi, dans sa
e : en un mot, c’est Vesprit, c'est la force dans son individuelle et
première
manifestation, tant dans la vie d’ensemble planét
, n'en est pas moins quelque chose. * L'opinion des anciens, sur \e
premier
principe rte toute* choses, est (Electro-dynami
rcasse, » disait Turcnnc aux réactions de son corps en assistant à sa
première
bataille; « si tu savais où je dois te conduire e
au B***, s’enTlormit-elle? — Plus d’une (1) Elle fa il partie de ma
première
lettre au I)1 Charpignon; lettre ayant nn motif p
r les guérisons opérées depuis le 20 juin 1821 à IVurtzbourg). Dès ce
premier
essai, l’abbé de Hohenlolie opéra seul et par l’a
ns un petit bal par souscription, chez Jacquemart, que je vis pour ja
première
fois Angèle Bobin. J'arrivais à la Charité, accom
t avoir des renseignement nécessaires. Les deux visiteuses montent au
premier
étage, dans un magasin. A peine entrée, Elise arr
ez : Abercombec, au lieu de Abercom-bec!;. ÉTUDE HISTORIQUE. I ES
PREMIERS
ÉTABLISSEMENTS DU MAGNÉTISME A PARIS. Tel est l
uquel M. Fassy est arrivé ne laisse rien a désirer, car YHistoire des
premiers
Etablissements de magnétisme à Paris est une œuvr
e. Faire connaître les oppositions que rencontra Mesmer pendant son
premier
séjour en France, les difficultés constantes qui
son intéressant et précieux travail. T. Vuiu.erme-Dunand. T.ES
PREMIERS
ÉTABLISSEMENTS DU MAGNÉTISME A PARIS. (Étude
s assertions à l’Académie des sciences et à la Faculté de médecine. —
Premier
établissement de traitement magnétique en France.
de Mesmer & M......— Réfutation de la Faculté de médecine. IV.
Premières
relations avec le Dr Desion. — Publication du Mém
e l’Harmonie universelle et de l’Harmonie de France. — Liste des cent
premiers
souscripteurs. XVI. Quelles maladies on traitai
slon. — Sa prédiction par une somnambule. XXIV. Conclusion de cette
première
partie de Y Étude historique des premiers Établis
XXIV. Conclusion de cette première partie de Y Étude historique des
premiers
Établissements de Magnétisme en France.—Dispersio
nécessaires et qu’il agissait seulement par le Magnétisme animal. Ses
premiers
essais ne furent pas heureux. Critiqué par les mé
houz de « charlatan et de jongleur (1), » il vit le baron de Stoërck,
premier
médecin de l’impératrice Marie-Thérèse, qui jusqu
son système aux Académies de Paris, de Londres et de Berlin. Les deux
premières
gardèrent le silence. La dernière seule répondit
it^r^ A la maii] fermée d’un prélat, M, ftlenj^qd, évêque s3b'-Nancy,
premier
aumônier de l’Euipeceur, qi)i s’ôt(ii/.jir^g sent
es, on doit en conclure que la connaissance du magnétisme remonte aux
premiers
âges de l’humanité. Quelle merveilleuse histoir
uelle merveilleuse histoire que celle du magnétisme, qui commence aux
premiers
efforts de l’esprit et nous conduit par la série
s hommes ; niâis les peuples soumis à leur direction furent aUSsi lës
premiers
d'entt-e les peuples. celui qüi parmi nous Comp
-lmit lignes gravées en beaux caractères hiéroglyphiques. » Les six
premiers
versets du texte ne comprennent que la série des
le chef de Bachtan 0 Ol apporter ses présents , ¡1 mit sa fille au
premier
rang pour implorer n Sa Majesté et solliciter aup
lle plut au roi par-dessus toute chose; « il lui donna, en qualité de
première
épouse royale, le nom de Neferou-u Ra (beautés du
attestation de ces cures nombreuses. « Pendant les trois ou quatre
premiers
mois de mes investigations, » dit un des plus res
st duc à ce que les disciples de Mesmer appellent magnétisme. Cette
première
proposition, ainsi tranchée, se fond dès lors ave
ance de la cause étant en raison de la grandeur de l’effet ; la cause
première
du magnétisme universel est un principe incrié: D
ourrait être publié. Baron Du l’OTET, propricluirc-ycrant. I.SP
PREMIERS
ÉTABLISSEMENTS DU MAGNÉTISME A PARIS. Étude h
u mois de septembre du I)r d'Ëslon, membre de la Faculté de médecine,
premier
médecin ordinaire de Mgr le comte d’Artois, frère
la figure qui devait y être représentée. Ce miroir se reconnaît au
premier
coup d’œil pour un miroir magique; la forme des c
’il existe des procédés réellement magiques. L’enfant à double vue du
premier
, qui, les yeux bandés, devine les plus plus petit
ès ces explications que je donne telles qu'elles m'ont ôté fournies à
première
demande, je me suis rappelé que, toutes les fois
s, astrologues, etc., 217. Établissements magnétiques. Histoire des
premiers
établissements du magnétisme à Paris , par M. Pau
chirurgicales, par le Dr A. Tripler. Extrait et appréciation, 418.
Premiers
(les) établissements du magnétisme à Paris. Etude
jette le désordre dans ses facultés. Mais quel est le caractère des
premiers
troubles ? S'agit-il d'une mo- nomanie ? Justin
une marche ascensionnelle. Chez Justine, on ne voit aucune trace du
premier
état. Les hallucinations signa- lées par le D'
au moins une résistance anormale aux incitations volontaires. Les
premiers
sont faibles, les seconds seuls sont frappés de
onde séquestration du malade à l'asile de Clermont ; comme après sa
première
entrée, les accidents aigus, les lamentations,
airer cet intéressant sujet. Toutefois, avant d'aborder l'exposé du
premier
cas que nous avons observé, il nous semble util
ur (voleur caché dans la chambre à farine de son père), il eut sa
première
crise : il tomba privé de connaissance, et se déb
ernièrement. En 1872, il disait a M. J. Falret, qu'à la suite de ce
premier
accès il s'en serait reproduit d'autres tous le
une sorte d'intermittence. A nous, au contraire, il déclare que son
premier
accès a été unique, et que ce n'est qu'a l'âge
banc et se meurtrir les jambes. Ce deuxième accès fut semblable au
premier
, et suivi d'un délire de deux jours. Le troisième
Le troisième accès urvint en 1872 alors qu'il retravaillait de son
premier
état, et fut suivi d'un 4c quelques heures aprè
rrière, sonorité normale.CM'cttMtOH : peut-être un léger souffle au
premier
temps et à la pointe; batte- ments du coeur rég
d'adénite, ni de syphilis, de scrofule ou d'eczéma. Intelligence. A
première
vue, Cliér... parait assez intelligent; ses yeu
elca peu plissé; troisième circon- volution frontale bien dessinée;
première
et seconde circonvolutions frontales très court
; ? ., corps calleux. C. c., circonvolution du corps calleux. N1,
première
circonvolution frontale. ? circonvolution de l'hi
r du matériel dans une compagnie de chemins de fer ; mais depuis sa
première
attaque cette émotivité a subi quelques alterna
he maladroitement appliquée pendant le cours du traitement de notre
premier
malade. D'ailleurs, le développement de ces phé
ale. Rappelons en deux mots néanmoins quel est ce trajet, dans sa
première
partie. Les impressions recueillies à la périph
des corps genouillés et de la couche optique côtoieraient celles du
premier
faisceau, en dedans et au-dessous desquelles elle
ce grise des noyaux centraux ou des circonvolutions, si bien que au
premier
aspect, on pourrait penser qu'on a affaire à de
li- que, la coupe de Flechsig, et sur trois coupes verticales. La
première
nous a permis d'envisager le faisceau suivant sa
ui gagnent verticalement ou latéralement les circonvolutions. Les
premières
seront gris brun, les autres légèrement teintées
réfléchit aux conditions qui sont nécessaires à la réa- lisation du
premier
, on comprendra qu'il se puisse produire exclusi
qui contiennent les nerfs spéciaux seraient situées en dedans des
premières
. Cette hypothèse nous a paru d'autant plus plau
acture de la clavicule et une fracture complète de jambe. Dans le
premier
cas, malgré l'absence de déplacement, douleurs lo
s et leurnon moinsprompte disparition. De plus greffées sur le fond
premier
d'obnubilation, ces psychoses sont loin de se m
ALE. fraîchement exprimé, ou du « fluid méat», dans le potage. Le
premier
jour de ce traitement, le malade est abattu; il a
terviennent déjà dans l'étio- logie. Ce sont, ou bien les formes du
premier
groupe, mais aux derniers jours delà pneumonie,
La division comporte les manifestations du stade prodromique et des
premiers
jours rassemblées sous le nom de délires initia
i étant de 62, 5 p. 100 (infection intense), celle des délires delà
première
sema"te n'atteint que 41 p. 100, tandis qu'il n
n des perturbations mentales : quelques jours après l'évolution des
premières
manifestations somatiques se développe soudain
icités et présentaient des désordres du système nerveux. , Dès sa
première
enfance, on remarqua chez X... des signes non é
lité ? La paralysie générale, qui par sa fréquence se présentait en
première
ligne à l'esprit, a été écartée parce que le co
rébrales, pense qu'une série de poussées exsudatives ont succédé au
premier
épanchement sanguin jetant le désarroi dans la
si- dence à M. de Rinecker. Celui-ci est élu par acclamation. Son
premier
soin est de consacrer à la mémoire du Dr Fischer,
ie. La patiente, qui avait complètement guéri de la totalité de ses
premiers
accidents, a d'ailleurs été reprise de troubles m
une relation étiologique entre la vérole et le tabes dorsal. Cette
première
tentative fut. froidement accueillie en France :
course, en des temps inégaux; elle se déplace rapidement chez le
premier
sujet, avec moins de vitesse chez le second. .
table hémianesthésie que nous avions à faire. En résumé, nos deux
premières
hystériques n'ont pu être examinées qu'une fois
soulagement quelconque dans leur état de souffrance; c'est une des
premières
négations de ces malades dont quelques-uns iron
squ'à douze), quarante-deux sur quatre- vingt-huit malades des deux
premiers
groupes, ont des lésions de l'appareil générate
ychiques de la paralysie générale progressive à forme expansive, au
premier
degré. Durant six mois la maladie évolue sans l
aitement. Si bizarre et si peu physiologique que puisse paraître au
premier
abord une pareille idée, M. Mortimer Granville
'il se sent en danger imminent de tomber. Pendant les deux ou trois
premières
semaines, on n'obtiendra que des résultats très
reviennent, on enlève les points de suture ; la réunion se fait par
première
intention. Le dixième jour, l'écoulement cesse,
sion égale sur les deux côtés du cerveau. Le strabisme parait rare (
premier
cas) et passager. Dans deux cas, déviation de l
plusieurs points adhérents, notamment à l'extrémité postérieure des
première
et deuxième frontales. M. Schwaah en conclut qu
résoudre les questions suivantes qui faciliteront votre travail.
Première
question. A quelle catégorie d'aliénés cet asile
diagnostic suivant : Processus encéphalitique survenu au début delà
première
enfance ou dans le cours de la vie intra-utérin
bilan psychiatrique et psychopathique des pays qu'il a étudiés. Une
première
question s'impose : La civilisation < : t-<
tuer. En dépit de toutes les apparences de la mélancolie notées au
premier
abord, un examen approfondi ne permettait de co
s de la neuropathologie une place trop restreinte. Pour échapper au
premier
, M. H. Huchard a pris le parti de conserver au
ffecté aux divers services de jour. Les dortoirs seront toujours au
premier
, ils offriront une capacité moyenne de 32 mètres
aux de dégagement. L'infirmerie sera située, comme les dortoirs, au
premier
étage ; les précautions hygiéniques y seront mu
visée du Conseil Général. Les auteurs des trois projets classés les
premiers
recevront chacun une prime, savoir : 270 FAITS
n entre le délire de culpa- bilité et le délire des persécutions.
Première
' catégorie. Observation I. NI ? E..., âgée de
ts per- vers innés. Les deux filles aimaient également, dès leurs
premières
années, les jeux des garçons; elles dési- raien
presque permanent de surexcitation nerveuse et mentale. * Dans sa
première
enfance, M. X... a eu des convulsions très viol
x et avait le projet de se marier ; et plus tard, pendant les trois
premiers
mois de son mariage, et c'était aussi pour lui
dont l'aîné est : li;yçIwizq,lys.,C'est"Ini qui a été l'objet de ses
premiers
désirs, sa vue, . lailt lait ( 1 Il,), état d'e
, n ... - ,j ? j ,p ,j ` 336 REVUE CRITIQUE. PLANCHE V Les cinq
premières
figures représentent des coupes successives (de h
rines. C'est dans l'ouvrage célèbre de Rollo 1 que l'on trouve la
première
mention des troubles oculaires chez les diabétiqu
e observations. C'est l'opinion professée par M. Lécorclié, dès son
premier
mémoire. C. Les facultés intellectuelles se dér
exci- fables faradiquement, mais avec prédominance de l'anode. Le
premier
, interosseux dorsal de la main gauche donne les m
lle à établir, s'occupe de leur étude à la surface de la moelle'.
Première
partie. -Les injections ont été faites à l'aide d
orte de reconnaître l'épilepsie le plus tôt possible. Dans les deux
premières
années, l'axe spinal est excessivement irritabl
nes à leur émergence, indiquerait une méningite primitive dont le
premier
foyer serait, vu l'âge et l'allure des altération
opé- ratoires guérissent souvent simplement, quelquefois même par
première
intention. Cu. F. Des maladies mentales et nerv
olfT (Y.), 383. Wuillamié, 52. EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE
PREMIÈRE
Face convexe de l'hémisphère gauche. Fi, F',
PLANCHE PREMIÈRE Face convexe de l'hémisphère gauche. Fi, F', F3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
C. c., corps calleux. C. c., circonvolution du corps calleux. F1,
première
circonvolution frontale. ? circonvolution de l'hi
s successives. EXPLICATION DES PLANCHES. 415 PLANCHE V Les cinq
premières
figures représentent des coupes successives (de h
reconnaîtrons dans notre description l'existence de deux périodes.
Première
période. 1° Le mode d'invasion de la paralysie in
ont), n'avait pas fait, dit-il. de maladies graves depuis celle de sa
première
en-fance, que ses parents lui ont racontée et qui
tée par des râles sous-crépitants nom-breux et la dyspnée. Lorsque ce
premier
stade était pris à temps et que les mucosités éta
ore l'hyperémie pulmo-naire ; nous la retrouvons, non-seulement comme
premier
degré de la maladie dans les points qui doivent a
ermée, mais il est resté au milieu une ouverture qui, à l'époque delà
première
admission de la malade, mesurait près de 2 centi-
-velles études. A. Première période. C'est surtout relativement aux
premières
phases de la maladie que les données positives co
n sait, la majeure partie des faisceaux primitifs subirait dans celte
première
période, l'atrophie simple, sans dégénération gra
s observations de MM. Volk-mann et Steudener portent à le penser, aux
premières
phases de la maladie. Mais, c'estlàun point qui r
plus particulièrement la paralysie infantile. Relativement à notre
première
conclusion, il suffira de faire re-marquer qu'ell
vomissements. Si la dose du médi-cament n'est pas considérable, à ces
premiers
symptômes succède un sentiment de faim très-marqu
ur la circula-tion de la membrane interdigitale de la grenouille. Nos
premières
expériences, faites avec le concours de notre exc
ui nous ont donné le spectacle d'une véritable attaque d'hystérie. Au
premier
abord, voyant le nombre des inspirations doubler
, du nerf médian du môme côté. 11 s'a-gissait, d'après M. Charcot, du
premier
degré d'une névrite ascen-dante. Au niveau du r
tait une névrite très-accusée au niveau du renflement; une névrite au
premier
degré, au-dessus du renflement; au-dessous, beauc
uvres chirurgicales du calhélérisme curviligne exigent cinq temps :
Premier
temps. Introduire la sonde dans l'urèthre, la cou
quatre temps suivants néces-saires à l'introduction de cette sonde.
Premier
temps. La verge légèrement ramenée vers le pubis,
suivi du frisson et de l'accès de fièvre ; 4° Toutes les fois qu'au
premier
examen on juge la dilatation tem-poraire ou impos
la pubücalion du D1' Fano dans le compte rendu que nous avons fait du
premier
volume de ce traité de chirurgie. (Voy. Revue pho
us n'avons plus qu'à teñirnos lecteurs au courant du contenu des deux
premières
parties du tome second du môme ou-vrage, la trois
au-dessous de l'angle supérieur de l'occipital descendait jus-qu'aux
premières
vertèbres sacrées, jusqu'au niveau du bord supéri
à h partie moyenne qui comprend les vertèbres cervicales et les trois
premières
vertèbres dorsales, elle n'établit que peu de sép
ervicales et dorsales. Toutes les vertèbres cervicales et les trois
premières
vertèbres dorsales sont soudées les unes aux autr
qu'il fait en avant dans sa moitié supérieure. De chaque côté des six
premières
vertèbres dorsales qui concourent à former le spi
à former le spina bifida, partent comme dans l'état normal, les six
premières
côtes. Mais, au lieu de se diriger presque horizo
ent. L'ouverture supérieure du thorax, formée par la réunion des deux
premières
côtes au sternum, est donc très-oblique de haut e
e continuait avec un spina bifida des vertèbres cervicales et des six
premières
vertèbres dorsa-les. 11 paraît donc y avoir une a
auteur, est indiquée et résumée dans les trois périodes suivantes :
Première
période : Digitaline ci doses thérapeutiques. — E
ses toxiques. On observe deux temps suc-cessifs et bien distincts. Au
premier
temps : Exagération de tous les phénomènes de la
s d'avril 1871, c'est-à-dire environ deux ans après l'appa-rition des
premiers
symptômes, les deux tumeurs que nous venons de si
il en est un, digne d'attention entre tous, qui fera l'objet de notre
première
entrevue : c'est — si je ne m'abuse — un exemple
gatoire, un autre phéno-mène qui est pour ainsi dire le complément du
premier
: je veux parler de vomissements se répétant tous
suffisent, je crois, pour vous convaincre, messieurs, que, dans cette
première
période, la simulation a été impossible. Mes amis
des hystériques de l'autre est aussi absolue qu'elle semble l'être au
premier
abord. Dans le premier groupe de faits, la mort
ar Scanzoni. — Avec lui nous distinguerons les variétés suivantes :
Première
variété. Le col hypertrophié et surtout épaissi e
ge-femme appelée n'arriva que bien des heures après l'appa-rition des
premières
douleurs ; elle annonça que les choses allaient à
versés une autre série de phénomènes, que nous avons observés dès nos
premières
recherches. Dès que le courant cesse, on con-stat
Des incisions limitent de tous côtés les parties saines ; après ce
premier
temps de l'opération, les corps caverneux et spon
, 1861.) Madame X., âgée de 50 ans, fait remonter à l'époque de son
premier
ac-couchement ce qu'elle appelle sa descente de m
qu'il ne s'agissait pas chez elles d'attaques vulgaires, rentrant du
premier
coup, sans discus-sion, dans le type classique. C
ptiforme, employé, si je ne me trompe, par Louyer-Villermay, l'un des
premiers
, convien-drait à désigner ces attaques mixtes. La
t ses allures et le rro-nostic qui lui est propre. A l'égard de cette
première
forme de l'hystéro-épilepsie, tout le monde est d
me. Je rappellerai à votre souvenir la malade Etchevery qui, dans son
premier
accès, est tombée dans le feu et s'est abîmé la f
ou une respiration stertoreuse plus ou moins pro-longée. d) A cette
première
phase sur laquelle, je le répète, porte prin- 1
lorsqu'ils se contractent très-facilement. Ce fait paraît étrange au
premier
abord, et je me hâte d'ajouter qu'il ne se rapp
aire et farado-muscu-laire. Ce seul fait nous porta à rejeter notre
premier
diagnostic, et nous fûmes forcé d'admettre une lé
ire, moteur oculaire externe. Cette parésie était difficile à juger à
première
vue, car les yeux avaient conservé une mobilité a
érissant très-rapidement. De plus, nous avons également modifié notre
premier
pronostic, car il est bien différent et plus grav
u'artérielle, dont la source est surtout dans la tumeur elle-même. Ce
premier
temps de l'opé-ration terminé,. la masse tient en
rande simplicité ; re-nouvelé trois fois en 24 heures pendant les six
premiers
jours, il a consisté en pulvérisations d'eau phén
érature rectale. — 1'. SISte; puis, SatlS Cause appre- Pouls. - I.a
première
température a été ciable, apparaît une complica
nomènes morbides, cher-chant à en pénétrer les causes, non les causes
premières
, car cel-les-ci sont en dehors de notre portée, m
avec une dilatation vasculaire : nerfs dilatateurs. » L'existence des
premiers
est parfaitement démontrée par la section du gran
honneur, ont été 1 Rapport sur la répression de l'alcoolisme. des
premiers
à signaler. Le mal est reconnu de tous aujourd'hu
à bout en établissant une com-pression avec de l'amadou. 15 avril.
Première
injection de 5 gouttes de perchlorure de fer dans
tes dans le lobule anté-rieur, où l'on avait tenté infructueusement b
première
injection. Vive douleur au moment où le perchloru
sculaire progres-sive, le résultat ne paraît pas bien satisfaisant au
premier
abord, mais néanmoins il est digne d'être noté. C
on retrancha la plus grande partie de la langue : la plaie guérit par
première
in-tention. La portion enlevée mesure 5 centimètr
production de l'arthropathie. » Nous avons essayé de résumer cette
première
partie du mémoire qui est la partie clinique ; no
ont nés à Paris et ils habitent, avenue de Choisy, un appar-tement au
premier
étage, bien aéré, exposé au midi ; ils ont eu 7 a
lâche, comme œdé-matiée. Il existe une légère voussure au niveau des
premières
dor-sales. La peau du dos est couverte de poils r
lèvres pendant les efforts. Le vagin est peu renversé, en sorte qu'au
premier
abord on pourrait prendre cette lésion pour un ab
ui avait eu des mélrorrha-gies considérables après chacun de ses deux
premiers
accouche-ments. L'avenir nous dira sans doute a
alade meurt guéri de sa paraplégie, la lésion de la moelle semble, au
premier
abord, n'avoir subi aucune modification ; mais un
être sévères, n'en sont pas moins parfaitement fondées. Le chapitre
premier
consacre 21 pages à étudier l'urine physio-logiqu
f donnent des cicatrices molles et peu ou pas rétractiles. Ces deux
premiers
chapitres ne sont donc pas à leur place dans ce l
tères que nous présentent les li-pomes en pareil cas. Lors de notre
premier
examen, la tumeur, de forme ovoïde, avait à peu p
out de dix jours. Le monstre, considéré dans son ensemble, paraît à
première
vue formé d'une partie sous-ombilicale normale,
dont les deux derniers accolés et un bourgeon intermédiaire aux deux
premiers
dans la REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX A
vi-cules tiennent à un sternum cartilagineux unique seulement dans sa
première
pièce. Le membre supérieur droit n'est relié à
au moyen de liga-ments. A gauche, il n'y a que sept côtes. Les quatre
premières
ont une portion commune en arrière, à quatre tête
ns de se croire enceinte à partir de ce jour ; soit, au jour de notre
premier
examen, huit mois et une semaine de grossesse.
premier examen, huit mois et une semaine de grossesse. Victoire, au
premier
aspect, présente les apparences les plus complète
nure, de la longueur des membres supérieurs. Impossible de voir, au
premier
examen, les membres inférieurs. Le fond de l'utér
composée de cinq vertèbres, les deux dernières lombaires et les trois
premières
sacrées ; c'est une véritable gibbosité : aussi c
cent quatre-vingt-cinq pages, dont la couverture est bleu tendre. —Au
premier
aspect, cet ouvrage ressemble, à s'y méprendre, à
e ce travail se trouve une carte de la localité. — Les cinquante-deux
premières
pages sont consacrées à l'historique de cette sta
elques-unes de es lignes inspirées par la vérité. Baron DU POTET.
PREMIÈRE
CAUSERIE MAGNÉTIQUE. Patience et persévérance.
au milieu de sensations nouvelles et qu’il la conduit à reprendre ses
premières
aspirations, ses plus nobles élans, toute sa foi.
n qui la rend plus belle , plus pure dès u’elle se ressouvient de ses
premiers
rêves, de ses douces qxtases, du baiser d’adieu d
élire ; par cette douce et bienfaisante influence, la sympathie, — ce
premier
talent du médecin, — s’établirait plus facilement
ciennes religions; des contrées où la civilisation a fait à peine ses
premiers
pas, telles que le. Texas et la Californie, compt
e suffisant de séances. Mais beaucoup de personnes se rebutent si, du
premier
coup, le magnétisme ne leur présente pas tous les
à merveille, puis une fera défaut : ils ne tiendront aucun compte des
premières
et ne cesseront d’objecter l’insuccès unique, en
posable que l’esprit de Newton ou de Daily se mît à la disposition du
premier
venu qui voudrait l’appeler. Ou a répondu que les
t un son donné, et qui, à l’état malade , rendent un son différent du
premier
. Il s’assure par là de l’existence des désordres;
par la seule volonté, sans s occuper du crâne du somnambule. Un des
premiers
magnétistes de l'Italie, M. Eugène Allix , a cher
s les exagérer. D’ailleurs, ce sang épanché, qui constitue l’accident
premier
pathologique, si l’on ne trouve pas moyen de le r
qu’il avoue dans son enseignement sur ses bases fondamentales et ses
premiers
principes. » Si l’orateur est dans le vrai, auc
soutenu examens et thèses , et d’être muni d’un diplôme, ü suffira du
premier
venu, pour peu qu’il connaisse passablement sa la
ersonnes en question. Elle les examina successivement. Quant aux deux
premiers
, elle me dit que ça venait de deux personnes qui
ffrit pas la moindre difficulté. A peu près une semaine après cette
première
visite., elle revint che* le docteur. Le docteur
, de la susceptibilité timide, et, de plus, la peau présente aussi au
premier
contact un frémissement qui est pour nous la preu
r contact un frémissement qui est pour nous la preuve qu’il éprouve à
première
vue , pour ceux qui l’approchent, un sentiment vi
ne navire européen a abordé une des îles océaniennes, il développe au
premier
contact des maladies à caractère endémique et sur
écédents dans la jurisprudence. La solution donnée par le tribunal de
première
instance aux questions posées avait été contraire
s sur le travail, sans trouble dans les intérêts. Les antagonistes du
premier
jour sont morts sans que leur opposition ait rien
r terre; le lendemain elle tomba deux fois ; un médecin fut appelé du
premier
moment ; malgré les soins et l’emploi de tous les
e , tantôt dans un autre, selon que l’esprit peut remonter à la cause
première
, et plus ou moins bien la comprendre ! Evidemment
monde est naturel , quel qu’il soit, et s’il ne lui paraît pas tel au
premier
abord, c’est que son défaut de lumière lui en dér
savants, ce sont les faits si communs en Amérique, et qu’un médium de
premier
ordre, M. Hume , vient de reproduire à Paris, dan
un démon qu’un ange, d’après la manière dont il.se manifeste. — Cette
première
preuve n’est doue qu’une fausse présomption ; ell
tres le Spiritualiste de la Nouvelle-Orléans, qui vient de lancer son
premier
numér«, avec cette épigraphe : « Ils ne sont
pour ainsi dire goutte à goutte dans le cœur de l’homme matériel des
premiers
temps ; elles ne sauraient donc condamner en quoi
on autorité personnelle. Mais nous reconnaissons, avec les juges de
première
instance, qu’il y a lieu de décider tout autremen
ne se font point sans elles. Toutes les maladies ne cèdent point aux
premiers
efforts. Le magnétisme est déjà un grand art ; ce
, lisez : je suis croyant du... A la suite de la première partie du
premier
couplet d«Terre et Cieux, mettez deux points, et
aux bras d’une espèce de cornac chargé de recevoir les illuminés aux
premiers
tressaillements de l’esprit divin... L’illuminé,
ts, consent à se transporter partout où l’on voudra et à se servir du
premier
appareil qui sera mis à sa disposition. Comme il
certaines crisiaques, et qu’on nommait te /laide magnétique. L’un des
premiers
, j'ai combattu , sinon l’existence, du moins le m
quel cœur. GUn.uto, Cent-Garde de S. M. Le 25 mai 1857. Cette
première
partie de la soirée s’est terminée au milieu d’un
bligent à scinder ce mémoire , d’autant que, n’ayant plus sa destinée
première
, celle d’une allocution au sein d’une brève réuni
ut homme complètement orga-« nisé a le sentiment d’une cause ou force
première
qui « lie tout et enchaine tout, mais je ne puis
e sa composition, savoir : le subtil et Y épais ; l'un , la substance
première
, l’intelligence, la force expansive, imprimant la
ervations particulières, très-souvent ce ralentissement serait un des
premiers
effets du commencement de chaque magnétisation ,
s de la Société du Mesmérisme le récit de deux faits intéressants :
Premier
fait. Somnambule guérie à l'aide de sa propre luc
pour mon acte de contrition, je leur livre l’extrait que voici de ma
première
séance d’expérimentation particulière sur la clai
s expériences diverses auxquelles il s’est livré avant d’arriver à de
premiers
résultats et sur ces premiers résultats même. t-
les il s’est livré avant d’arriver à de premiers résultats et sur ces
premiers
résultats même. t- piébart. A M. te Rédacteur
mées. Rue Volie-Méricourl, 61, Paris. MÉMOIRE D’UNE PLANCHETTB.
Premier
article. L’histoire de Jullie, ou plutôt des vi
épète, les savants qui avaient montré une certaine sympathie pour nos
premiers
essais, lâchèrent pied dès que nous voulûmes les
utes les espérances. Je n’oublierai jamais la vive impression que nos
premiers
succès, sous ce nouveau mode, nous firent éprouve
et j’en reviens à notre Jullie. Aussi bien, c’est elle qui fut notre
première
visiteuse à la planchette, et en m’occupant d’ell
u’elle était née sur la paroisse Notre-Dame, et qu’elle avait fait sa
première
communion le 12 mai 1790, au Bon-Pasteur (1). Voi
s ses ferveurs secrètes... Il y avait une dizaine de vers, et cette
première
production nous mit singulièrement en goût. Nous
ns (1) convaincantes. J’en inscris ici deux nouvelles observations.
Première
observation. Le 10 décembre dernier, je venais d’
., somnambule d’uneimpressionnabilité très-sensitive, était assise au
premier
rang de l’auditoire. Elle me tournait le dos. Ell
Le rayonnement naturel Ct une merveille de ce genre, lors de notre
première
époque impériale. Un homme, admis devant l’empe
nt heureux de la confiance qui nous est inspirée par son caractère.
PREMIÈRE
LETTRE. A Monsieur le baron du Polel, directeur
des neuf jours, la grappe n'était plus qu’une ombre de son apparence
première
: le reste s’effaça jusqu'au dernier vestige. A
èrement c«fait; il s'ensuit donc que, si l'électricité « est la cause
première
d«l’affinité et delà médicalitè, il doit exister,
l’his-« toire des œuvres de la nature, ne peut mener qu’à la u cause
première
de tous les êtres. Loin donc qu’elle con-« duise
le dehors. Disons tout de suite que, dans bien des cas, les nerfs du
premier
système peuvent suppléer ceux du second, envers l
plus foncée, quelquefois plus claire que la feuill«elle-même. « Notre
première
pensée fut de soupçonner la supercherie des Lamas
ui déjà Home ressemble par tant de points. On sait que le jour delà
première
entrevue du Snedemborg avec Dieu, laquelle eut li
ces derniers étaient loin d’avoir atteint le degré de perfection des
premiers
. La lecture de l’article bibliographique de not
je te dis que ce n’était rien : eu montant l’escalier pour arriver au
premier
étage, j'avais mis le pied sur le bord de ma robe
on commune. Je te répétai alors leur signalement, en tout conforme au
premier
, et, comme ils furent mis en liberté faute de pre
ogé sur l’utilité de ces développements, répondit que, quant aux deux
premiers
, je pouvais en tirer parti dans l’intérét de sa s
tes leurs assertions seront sujettes à vérification r comme celles du
premier
venu ; s’il s’agit d'un fait, il ne suffira pas,
ils tiennent du prodige et sortent des opinions reçues? Du nombre des
premiers
est M. Viennet, membre de l’Académie française ;
rogrès des révolutions, F.t prend au sérieux les visions cornues Du
premier
charlatan qui lui tombe des nues ! J'ai vu mill
st le docteur Hare, professeur à l’université de Philadelphie, un des
premiers
chimistes et physiciens de ce siècle, dont le nom
IVorking-Farmer, ingénieur et chimiste de distinction et agronome de
premier
mérite que ses innovations et ses succès en agric
ophie matérialiste ; c’est le docteur Wilkinson, regardé comme un des
premiers
écrivains de l'Angleterre ; ce sont des médecins,
rmanence, et s’offrant aux investigations directes et quotidiennes du
premier
curieux venu, sont reconnus, après un examen auqu
apparente, c’est-à-dire dans ceux de leurs effets qui nous frappent à
première
vue, et sans avoir égard à la cause problématique
ois ordres, psychique, physiologique et physique. Celles des deux
premières
catégories méritent certainement de nous intéress
ire, la prescription n’aura pas plus de valeur que si elle émanait du
premier
venu n’ayant ni lucidité, ni connaissance aucune
econnaître son erreur. Nous allons résumer ici un court passage de sa
première
lettre au Spiritual Telegraph, de New-York ; nous
rs que le magnétisme est encore a la mamelle, ET qu’il MET a PEINE SA
PREMIÈRE
OENT. « Je n’ai cité aucun fait de prévision à
je me suis plus souvent servi du second. Mais d’abord, au sujet du
premier
mode, je dois ajouter quelques explications pour
i peuvent être attachés à ces opérations. Il y en a bien d’autres, au
premier
rang desquels nous devons placer l’incertitude de
t un diplôme d’allopathes. Ceci nous fait l’effet d’une assemblée des
premiers
chrétiens où l’on n’aurait pu pénétrer qu’avec un
Du Potet. BIBLIOGRAPHIE. —e^P-DO-vî/»— DÉCOUVERTE DES CAUSES
PREMIÈRES
ET FINALES comprenant la circulation de l'électro
sités par sa pensée ; il éprouvera les mêmes impressions que lors des
premières
pérégrinations ; il n’hésitera pas à. les déclare
mblait accablé sous le poids d’une grande fatigue. Ainsi se fit cette
première
séance, au grand étonnement des témoins dont les
ésenter à l’Académie, la commission nommée par elle ne voulut plus du
premier
appareil. Elle en imagina un autre. M. Pigeaire p
s plus grands hommes de l’antiquité étaient constamment aux ordres du
premier
tourneur de tables venu, et du haut des sphères s
que l’engourdissement, et les doigts reprirent toute leur élasticité
première
. Pour venir à l’appui de la bonté des procédés
uisent par de là l’Atlantique et même chez nous, et qui paraissent au
premier
coup d’œil devoir être rangés parmi ceux du spiri
TISME RECÈLE ET QUI LE TAISENT SONT BIEN COUPABLES. Oui, COUPABLES AU
PREMIER
CHEF, CAR ILS TUENT, CAR ILS LAISSENT TUER. » (Pa
la raison. Tout accueillir sans contrôle, ou rejeter tout ce qui, au
premier
abord, semble invraisemblable et par cela seul qu
exemple, prit goût au magnétisme, et, devant nous. se mit à faire ses
premières
armes. Il endormit une jeune personne : en magnét
le fer, il détermine de véritables attractions et des répulsions. Ces
premiers
effets sont susceptibles d’une étude rationnelle;
ent l’assurance de mon dévouement sans bornes, l!É(iUÉ, M. M. »
Première
observation. — Madame Pauline Candel, vingt-neuf
nute ; elle devait en avoir quatre pour obtenir sa guérison. Les deux
premières
avaient complètement réussi, et j’étais près d’ob
un docteur, qui, ayant su quelle avait élé magnétisée , la condamna à
première
vue. En effet, grâce à une médication bien ente
r une pensée qui n’était point la sienne , et qu’il ignorait jusqu’au
premier
mot des belles choses qui venaient d’être dites p
te pièce mémorable ; la teneur en est en substance celle-ci: «Article
premier
. Attendu que M. Willis a été accusé de se livrer
ion favorable d’un grand nombre d’écrivains éminents et de savants de
premier
ordre, parmi lesquels nous sommes heureux de comp
par M. E. Allix. Annonce de cet ouvrage, 560. Découverte des causes
premières
et finales, comprenant la circulation de l'élec
is a fait des progrès depuis son entrée ". Effectivement, les trois
premiers
jours qui suivirent son admission, Céline..., p
oncierge ». Elle sait écrire son nom, connaît l'addition des 3 ou 4
premiers
chiffres, coud un peu. Mais sa grande occupation
est aujourd'hui aussi vivante que jamais : M. Bonne qui dans son
premier
article la déclarait abandonnée, cite lui-même le
e à l'esprit, même à celui de M. Bonne qui nous apprend que cette
première
division méridienne entre les deux premiers blast
nous apprend que cette première division méridienne entre les deux
premiers
blastomères « indique le plan de la future symé
ant précis où elle se termine, les deux globes vitellins, (les deux
premiers
blastomères) ont la arme d'ovoïdes simplement L
dirigée du côté où est apparu le sillon de segmenta- tion Ces deux
premiers
globes vitellins demeurent à peine quel- ques i
er,il faudrait admettre que.chez les Ar- tiozoaires dont les quatre
premiers
blastomères sont encore a toti- potents », chez
devant l'autre. Chez les Phytozoaires quintiradiés,dont les quatre
premiers
blas- tomères présentent la même totipotence, o
peut en conclure à une participation nécessairement égale des deux
premiers
blastomères à la formation des ébauches médianes.
u organes qui dérivent de chaque substance. On sait encore que la
première
segmentation est suivie chez des Phytozoaires qui
nne (p. 197). Chez les Poissons osseux, les Urodèles etc., les deux
premiers
blasto- mères sont souvent très inégaux, sans q
vers, sans toutefoisque le dernier soit l jamais perpendiculaire au
premier
, ainsi que le croyaient les pre- miers expérime
s capable d'impressionnner », s'est efforcé de donner un sens à ses
premiers
raisonnements : « Double l'homme : double le pou-
toute son ampleur Pourquoi donc l'A. n'a-t-il pas persisté dans sa
première
explication : le tube ner- veux est double puis
signée le z9 septembre de la même année. A noter qu'au cours de ce
premier
internement le sujet avait présenté des trouble
onnées. Pourtant, après section des dernières cer- vicales et des 5
premières
dorsales, la dégénération n'atteint pas la moel
ers 22 en- viron sont internés par la première fois, 14 ont eu leur
premier
ac- cès à la puberté ; il reste 20 malades qui
e transformer, de recourir à des procédés médico-pé- dagogiques, au
premier
rang desquels il faut placer la suggestion hypn
ce qu'on est convenu d'appeler une femme incomprise. Dans les sept
premières
années de son mariage, elle lit cinq grossesses
otable. Les accidents mentaux qui se déroulent pendant les quatre
premières
semaines consistent : 1° en petits accès d'excita
produisent encore de temps en temps la nuit, surtouL au moment du
premier
sommeil. Les mois suivants, l'amélioration s'ac
eau rend l'hommage à la mé- moire duD° Christian, un des anciens et
premiers
pré- sidents du congrès de psychiatrie, que la
evées (au-dessus de 600 volts , fait qui peut paraître paradoxal au
premier
abord. Les crises cloniques sont dues à l'exc
G. GARRIsoN du Tribunal suprême de New- Jersey et JOHN W. POVEILL,
premier
juge (chief de justice) de la Cour Suprême de V
istant entre la maladie du coeur et l'état psychique. Chez nos deux
premiers
malades, des accidents de dépression caractéris
ts dont j'ai été depuis le témoin n'ont pu que me confirmer dans ma
première
ap- préciation. La suggestion, la persuasion
et l'accès d'il y a deux mois. Voilà trois mois consécutifs, qu'au
premier
quartier, ma on..., à la fièvre, pendant deux o
t je formulerai la médication qui la guérira. » Le mois suivant, au
premier
quartier de la lune,je retourne près de la mala
les mois, pendant quatre mois consécutifs, et toujours au moment du
premier
quartier ? 14 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES E
nature grippale, mais par une simple coïncidence, il avait lieu au
premier
quar- tier de la lune ; il n'en fallut pas dava
tres) constituent, un deuxième groupe qu'il y a lieu d'opposer au
premier
groupe, Celui des phénomènes pithiatiques. CONG
RÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 151 Les phénomènes du
premier
groupe sont-ils indépendants des phénomènes du
trouver là un caractère de délimitation. En résumé, les troubles du
premier
groupe, que j'appelle pithiatiques, se distingu
ement à l'objet qu'il désigne, il doit s'appliquer exclusivement au
premier
groupe. Je crois donc pouvoir dire que la défin
op bon observateur de lui-même pour s'y tromper, et il a noté les
premiers
signes de sa décadence intellectuelle en termes
Obs. : Développement intellectuel tardif. Caractère or- gueilleux.
Premier
internement en 1884, à l'âge de 35 ans; deuxièm
aractère des fibres embryonnaires. Ceci tend à prouver que la cause
première
de la dégénéres- cence 1 abétiquc consiste dans
, des variations régionales et des fibres myélini- ques.Le chapitre
premier
(développement) est divisé en deux arti- cles,
fa- veurde cette conclusion. Enfin, dans la dornière partie de ce
premier
article, l'auteur se contente d'énumérer les pr
histogé- nétique prédominant : 1° Période de préparation (les deux
premiers
mois, avant la migration centrifuge des neurobl
me ; 3° Période de stratification (2e moitié de la vie foetale et 2
premiers
mois de la vie extra-utérine) ; les cellules du
à ses pratiques et c'est cette contrainte qui serait l'occasion des
premières
crises. ' L'aura qui précède la crise est con
llègue de l'Intérieur, qu'il serait fait une masse de la retenue du
premier
douzième et des retenues de 5 % dues par les co
missaires de police communaux pour les cinq 198 asiles d'aliénés.
premiers
mois de ! 895, et que, à partir du mois de juin i
raitement, et pré- sentant la distinction des retenues relatives au
premier
dou- zièmeet des retenues de 5 ^ia . Des inst
dernier acte du Congrès et l'on peut dire que cet acte est de toute
première
impor- tance. En somme, les aliénistes français
. Dans le cas où le nombre des candidats ayant pris part aux deux
premières
épreuves est supérieur au quadruple du nombre des
preuves est supérieur au quadruple du nombre des pla- ces, ces deux
premières
épreuves peuvent être considérées comme élimina
r très différente. En second lieu, cette malade n'en était pas à sa
première
212 CONGRÈS DES MEDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOG
e congrès. Le Département à la tête duquel il est placé sera un des
premiers
à profiter, tant en ce qui concerne son travail
t temps ont caractérisé l'hystérie. A ce point de vue je mettrai au
premier
rang un fait à la fois banal et célèbre ,ce délir
ant depuis des siècles dans le pays les plus divers. En résumé ce
premier
grand symptôme de l'hystérie pourrait se caract
nué sur certains points et augmenté sur d'autres, au détriment des
premiers
, sans qu'il, ait, en réalité,augmentation ni dimi
ma. La fièvre ne fut, jamais bien élevée, mais les températures des
premiers
jours n'ont pas été connues. Coïnci- dence avec
leur calvaire, vous avez vu souvent que ce qui pouvait paraître au
premier
abord de la mauvaise vo- lonté, le dédain du pa
qu'a été édictée la loi du 28 juin 1904. Aux termes de l'arti- cle
premier
: «Les pupilles de l'Assistance publique, qui à r
tat. Membres. MM. Albanel, juge d'instruction près le tribunal de
première
instance de la Seine. Le docteur Bourneville, mem
iène publiques est chargé de l'exécution du présent arrêté. Cette
première
tentative pour l'application de la loi de 1\J04 a
ence est de rigueur. Aussi considé- rons-nous comme un succès celle
première
manifestation et fai- sons-nous des voeux pour
es rapports et des démonstra- tions doivent être adressées jusqu'au
premier
juillet 1908 au 250 valti v secrétaire généra
rtout si elle se trouve à la campagne ; mais après, tout revient au
premier
état ; la malade va dans une grande ville et y
du sens génésique, est aussi, bien entendu, très naturel.Dans notre
première
observa- tion, chez Mme X., c'étaient aussi les
tichiste assez banal du pied et surtout des botti- nes de femme. Au
premier
aspect le fétichisme, des botti- nes et le sadi
. Mais l'intérêt des malades n'est pas aussi simple qu'il paraît au
premier
abord. Seules, des personnes ne sachant rien de
de six à seize ou dix-sept ans. Or, en ce qui concerne les frais de
première
installation, la loi de 1885 ne permettrait pas
comme d'ordinaire, à la charge des communes. Pour les dépenses de
première
installation (bâtiments, mobilier, etc.), elles
'en exposer les motifs et d'en soutenir la discus- sion : Article
premier
. Sur la demande des communes et des département
Art. 4. La subvention accordée par l'Etat pour les dé- penses de
première
installation, d'appropriation, et d'agran- diss
ture interne de l'oeil. De nouvelles expériences confirmèrent ses
premières
recherches, lapin : arrachement d'un long segme
ement les articles suivants des statuts de l'association. Article
premier
. Les médecins des établissements publics d'alié
, leur composition, leur nature. Le délire de MUle Granet semble au
premier
abord répondre au concept de la paranoïa persec
e notre malade réservait des surprises. Ses talons présentaient, au
premier
aspect, des ampoules sous lesquel- les il était
des récits faits à quelques semaines d'intervalle. Lors de notre
premier
entretien, il était admis que le Comte de 344 C
evait se venger ou se tuer parce qu'elle n'a plus rien à espérer.Le
premier
état émotif semble être, d'une ma- nière généra
tude et du classement des produits de désintégration : certains,des
premiers
connus, ceux que met en évidence la méthode de
tés : l'hystérie serait en cause pour le deuxième groupe ; quant au
premier
, s'élimine la neurasthénie acquise qui n'appara
son mari dormait encore, elle s'approcha du lit qu'il occupait au
premier
étage delà maison et y mit le feu, après l'avoir
uvements passifs, bien déter- minés des doigts. Vraiment, lors du
premier
examen, le malade ne per- cevait pas la flexion
streinte et plus spéciale sur les nerfs de la main et du pied. La
première
forme d'affection des nerfs périphériques ca- r
de particulier. Accès de cris nuit et jour pendant trois semaines.-
Première
dent à dix mois ; denti- tion complète rl 2 ans
emaines.- Première dent à dix mois ; denti- tion complète rl 2 ans.
Premières
convulsions ci 16 mois, durée 2 jours ; avec pr
vortement. Quelques vomissements assez fréquents pen- dant les deux
premiers
mois. Pas de maladies infectieuses. Mouvements
sait 4 kilogr., pas d'as- phyxie, ni de circulaires. Pendant les 25
premiers
jours, il a eu des accès de cris nuit et jour.
es jambes. N'a jamais été propre.' Antécédents morbides. A 16 mois,
premières
convul- sions ; elles ont duré deux jours, sans
s. L'enfant fut alitée consécutivement pendant 8 jours. Avant cette
première
crise l'enfant se servait de préférence de sa m
uchemars qui la font tressauter. Déjà très agitée la nuit avant ses
premières
convulsions, on remar- que que l'agitation augm
'un élalcongénilal, dénoté par les accès de cris, durant les quatre
premières
semaines ; de là un retard de la marche, de la
observation renferme, comme toujours, la température pendant les G
premiers
jours de l'ad- mission, les tableaux des accès,
te la marche des accès et la marche de la température. Durant les 6
premières
heures le malade a eu 139 accès ; sa températur
e de tous ces symptô- .mes corrige ce que ce rapprochement offre au
premier
coup d'oeil d'un peu forcé et se termine par de
t les salles de conversation, réfectoires, infirmeries, bains; au
premier
sont les chambres il coucher et cabinets de toi
édité, les maladies du foetus et de la première enfance figurent au
premier
rang des causes;même l'hérédité simi- laire qui
30. Dans le cas où le nombre des candidats ayant pris part aux deux
premières
épreuves est supérieur au qua- druple du nombre
preuves est supérieur au qua- druple du nombre des places, ces deux
premières
épreuves peu- vent être considérées comme élimi
IATIONS DE LA COLONNE VERTÉBRALE. EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE
PREMIÈRE
. Fig. 1. — Colonne vertébrale de Séraphin. — Pi
sparu en totalité ou en partie que dans la région cervicale, dans les
premier
, deuxième, troisième et huitième espaces interver
bure s'étend de la quatrième vertèbre dorsale à la neuvième. Les cinq
premières
dorsales décrivent une courbe inverse à peine mar
uteur. Ces deux vertèbres sont soudées dans ce même sens. Les trois
premières
dorsales décrivent une courbe légère, à convexité
à droite. La courbure dorsale reste toutefois prédominante. Les trois
premières
dorsales forment une petite courbure en retour, c
tes dans le même sens, ici à gauche de la ligne médiane. Les quatre
premières
lombaires, les quatre premières dorsales, décrive
che de la ligne médiane. Les quatre premières lombaires, les quatre
premières
dorsales, décrivent des courbures accessoires ou
e demi-circonférence constituée par la douzième vertèbre dorsale, les
première
, deuxième et troisième lombaires. La flèche de ce
III, la courbure supérieure est assez longue; elle comprend les cinq
premières
dorsales, et la - : deuxième courbure, quoique pr
elle de la figure 1 ; seulement elle descend plus bas et comprend les
première
et deuxième lombaires. Là courbure supérieure,
iose anguleuse ; homme adulte. — Ma collection. —Pages 388, 401. Au
premier
coup d'oeil, on croirait qu'il y a eu ici mal ver
re : 10 parce qu'une déformation aussi considérable doit remonter aux
premières
années de la vie ; 2" parce que le rachitisme est
égion postérieure du tronc. La supérieure, formée par les cinq ou six
premières
côtes gauches, est la plus saillante. Pl. IV.
secondaire supérieure, formée par la septième cervicale et les trois
premières
dorsales, a, en avant et en arrière, 6 millimètre
centimètres entre ce fil et le milieu de la courbure représenté parla
première
vertèbre lombaire. La ligure 3 fait voir la gra
e ; mais les troisième et quatrième dorsales, la douzième et les deux
premières
lombaires, qui appartiennent aux deux courbures s
droit, répondant à la convexité de la première courbure. Fig. 2. —
Première
vertèbre dorsale, vue également par la partie pos
influence explique également la direction des apophyses épineuses des
première
et deuxième dorsales. Fig. 5, a et h. — Quatriè
voir l'inclinaison de Yarc par rapport au corps. Fig. 14, a et b. —
Première
lombaire, vue parles faces supérieure et postérie
E DORSALE DROITE PRINCIPALE ENORME. Ma collection. Page 399. 1.
Première
côte. Droite. Abaissée à l'extrémité postérie
sseuse semblable, encore plus volumineuse, réunit, du côté droit, les
première
et deuxième lombaires. Ces ostéides assuraient le
ses progrès, lents d'abord, augmentèrent aux approches de la puberté.
Première
menstruation à quatorze ans et trois mois. Le tra
aisant ressortir l'angle inférieur de l'omoplate gauche; élévation du
premier
de ces os, abaissement et obliquité du second ; l
donc du avoir la plus grande part dans l'accroissement en hauteur des
premiers
mois, et la lenteur de cet accroissement dans les
Comme dans le cas précédent, la croissance ne fut rapide que les cinq
premiers
mois, (lui donnèrent 25 millimètres, c'est-à-dire
I. I il H A I H F S - F D IT K U R S Place de TRcoia-da-Méderine
PREMIÈRE
PARTIE Anomalies de l'ataxie locomotrice PREM
a-da-Méderine PREMIÈRE PARTIE Anomalies de l'ataxie locomotrice
PREMIÈRE
LEÇON Prodrome anatomique. Sommaire. — La tâc
eurs; sa signification. — Examen à l'œil nu; notions qu'il fournit. —
Premiers
faits de sclérose des cordons postérieurs. Exam
ent à établir deux catégories : Io Douleurs terebrantes. Dans cette
première
variété, les douleurs sont comparées par les mala
nte à l'observateur, laissez-moi rapporter brièvement quelques cas.
Premier
cas. — M. B... a eu, en 1860, des accès de dou-le
luxation de la jointure. Il con-vient d'opposer cet exemple aux trois
premiers
cas qui, eux, je le répète, appartiennent à la fo
er passer en revue, sont des plus vulgaires, et, par conséquent, au
premier
rang dans la clinique usuelle. La carie vertébral
parce que, en somme, elles sont plutôt rares. a) Le gliôme vient en
première
ligne, non en raison de sa fréquence, car c'est u
ent le nom de symp-tômes intrinsèques. Occupons-nous tout d'abord des
premiers
. Afin de faciliter la connaissance de ces sympt
ne mesure, aux autres formes, les résultats que va nous fournir cette
première
étude. Le principe, d'ailleurs, est toujours le
Lépine 3, ont complété, en y ajoutant quelques traits importants, mes
premières
observations, lesquels datent de 1865 4. Mais nou
ou ne portent que sur une des moitiés latérales du cordon nerveux.
Premier
cas: Succession des symptômes. — Prédominance, an
, n'est pas sans quelque intérêt. En effet, l'existence, à titre de
premier
symptôme, de four-millements, de picotements, de
elle. Arrêtons-nous un instant aux troubles de la motilité. A. Au
premier
degré, il s'agit d'une simple parésie, mais celle
dans une certaine mesure, de se rendre compte de cette différence, au
premier
abord singulière, si l'on se reporte à la théorie
tait étendue au membre supérieur gauche. Deux mois après le début des
premiers
symptômes, les membres paralysés, profondément am
alade, paraissait occuper la dernière vertèbre cervicale et les trois
premières
dorsales. Un fait recueilli par M. E. Rollet, à l
ion sacrée le malade succomba, quatre mois environ après le début des
premiers
accidents. La moelle épinière, à l'autopsie, fut
ivent figurer aussi parmi les phénomènes qui se lient quelquefois aux
premiers
effets de la compression spinale cervicale. Ce sy
recon-naîtrons dans notre description l'existence de deux périodes.
Première
période. 1° Le mode d'invasion de la paralysie in
, p. J . 1° Invasion brusque de la paralysie motrice qui atteint du
premier
coup son summum d'intensité, à la suite d'un état
sait, la majeure partie des faisceaux primitifs subirait, dans cette
première
période, l'atrophie simple sans 1 Voir Heine et
s observations de MM. Volkmann et Steudener portent à le pen-ser, aux
premières
phases de la maladie. Mais, c'est là un point qui
plus particulièrement la paralysie infantile. Relativement à notre
première
conclusion, il suffira de faire remarquer qu'elle
1er novembre 1873, c'est-à-dire deux mois et demi après le début des
premiers
accidents. Je constatai alors ce qui suit: des de
lnsieurs travaux qui ont paru sur ce sujet, depuis la publication des
premières
recherches entreprises à la Salpêtrière. Ces pr
lication des premières recherches entreprises à la Salpêtrière. Ces
premières
études concernant des pensionnaires de l'hos-pice
peut faire défaut (fig. 9) et ne saurait, par conséquent, figurer au
premier
rang dans la caractéristique de la lésion spinale
es mêmes observations de MM. Roger et Damaschino, c'est que, dans ses
premières
phases, l'altération des cellules nerveuses est m
phie véritable, dont M. L. Clarke a bien décrit toutes les phases; au
premier
degré de cette altération, la cellule dimi-nue de
uvent avec une rapidité singulière, 4, 6, 10 jours après le début des
premiers
accidents et qu'elles contribuent puissamment à d
alors que les muscles voisins ont conservé leur relief nor-mal. Ce
premier
trait est, en quelque sorte, caractéristique; c'e
grise. A chacune de ces parties est venue s'adjoindre, vers la tin du
premier
mois, une zone de substance blanche, laquelle est
rfs spinaux ; — 4° enfin des lésions trophiques des muscles. Sur ce
premier
point, je serai bref, parce que je suppose connue
l'hypoglosse, du spinal et même du facial. Or, pour ne parler que du
premier
, les gran-des cellules multipolaires qui le compo
la rapidité relative de son évolution, considérée depuis le début des
premiers
accidents jusqu'à la terminaison fatale. Celle-ci
on, une chute qu'il a faite deux ou trois mois avant l'apparition des
premiers
symptômes, chute qui a eu pour résultat immédiat
ment avec l'état des membres supé-rieurs. Cette paraplégie offre ce
premier
trait particulier qu'elle ne se complique pas de
ion du grand sympathique ou des nerfs périphéri-ques. Relativement au
premier
point, je ne puis donner aucun renseigne-ment, le
Duchenne (de Boulogne), ne devrait rigoureusement s'appliquer qu'aux
premières
périodes de la maladie, tandis que celles atrophi
ier lieu, par quelques mots, la dénomination, singulière peut-être au
premier
abord, que je vous proposais tout à l'heure d'acc
épond au type classique créé par Duchenne (de Boulogne). — Ce sont au
premier
rang, vous ne l'avez pas oublié, et bien longtemp
. (J.-M. C.) troubles de la sensibilité, déjà si accentués lors des
premières
phases, persistent ou s'aggravent. On peut en dir
eurs peuvent encore se tenir debout et marcher tant bien que mal, ses
premiers
débuts remontent à 8, 10, 13 ans. Il n'est pas ra
e, par propagation de proche en proche du travail morbide. Les deux
premiers
groupes nous occuperont surtout ; quant au troisi
s, pendant toute la durée du mois de mai et du mois de juin et les 20
premiers
jours de juillet. Vers le commencement de juin,
raît devoir être rattaché à l'action de la quinine. Encouragé par ces
premiers
résultats, j'engageai G... à se lever et à essaye
se terminait souvent par des nausées ou même des vomisse-ments. Ces
premiers
renseignements une fois obtenus, j'explorai somma
t reproduire de tout point la description présentée à propos de notre
première
malade. Je ferai ressor-tir seulement que, à l'in
dant la traversée, un nouvel accès se produisit, en tout semblable au
premier
; puis, quelques jours après un autre encore, mai
jours, et quelquefois même plusieurs foisparjour. Pendant les trois
premiers
mois, à part la céphalalgie à peu près toujours p
du membre inférieur. Si enfin, comme cela se présentait dans les deux
premières
observations que j'ai rapportées, les convul-sion
exactement conforme à la théorie. Vous avez vu, en effet, dans notre
première
ob-servation, la douleur de tête prémonitoire et
eux n'avaient plus reparu. Malheureusement, durant le cours des six
premiers
mois de l'année 187S, la diarrhée contractée en C
et le malade pouvait assister, en quelque sorte, au développement des
premières
phases de l'attaque. La perte de connaissance s
r gauche, s'était manifestée. Le huitième jour, à partir du début des
premiers
accidents, la mort survint inopinément à la suite
es (diam. transv.), et qui s'étend, en hauteur, depuis le niveau delà
première
paire cervicale envi-ron, jusqu'au niveau de la s
de la plupart des cylindres axiles tuméfiés, déjà noté dans les deux
premières
observations. Mais un fait propre au troisième ca
e la névroglie et des vaisseaux capillaires. Sous ce rapport, notre
première
observation surtout est très instructive. Elle mo
et d'une manière per-manente, surtout au niveau des articulations des
premières
pha-langes ; de telle sorte que l'on a sous les y
t rare, accidentel et, dans le psoas, où l'altération se montre à son
premier
degré, on n'en observe pas tra-ces. En somme, l
ées considérablement épaissies du perimysium internum, paraissent, au
premier
abord, avoir conservé à peu près toutes les dimen
tement défaut, ou bien elle joue un rôle évidemment accessoire. Cette
première
phase paraît répondre à la première période clini
Du-chenne (de Boulogne) ne devrait rigoureusement s'appliquer qu'aux
premières
périodes de la maladie, tandis que celles d'atrop
sion du grand sympathique ou des nerfs périphériques. Relativement au
premier
point, je ne puis donner aucun ren-seignement, le
ntôt ils s'étendent. L'attitude habituelle sem-ble être pour les deux
premiers
doigts, l'extension forcée. Quand on demande à la
thropathies des femurs. imp becçue ã paris . TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
LEÇON prodrome anatomique. Sommaire. — La tâc
eurs, sa signification. — Examen à l'œil nu; notions qu'il fournit. —
Premiers
faits de sclérose des cordons postérieurs. Exam
ou ne portent que sur une des moitiés latérales du cordon nerveux.
Premier
cas : Succession des symptômes. — Prédominance, a
re, environ, sans aucun accident consécutif particulier. L'un des
premiers
symptômes a été une céphalalgie tenace, très in
- dire, l'incapacité de se souvenir des faits présents ressort au
premier
rang. De quelle manière pouvons-nous expliquer ce
ain nombre d'observations à l'appui de ses affirmations. Les neuf
premières
qu'il rapporte sont relatives au mutisme temporai
aisis avec facilité. Il n'est pas question, bien en- tendu, dans ce
premier
enseignement tout intituitif, de conjugai- sons
tion était indiquée. On trouva une tumeur, née du périoste des deux
premières
vertèbres lom- baires, comprimant la fece pesté
e, fiasque avec atrophie musculaire à ces formes spasmodiques; la
première
devait être d'origine spinale, les autres et c'es
dévoué». Mais après Jofré, au cours des siècles, il dévia de cette
première
impulsion, à la liberté, à la douceur, aux soin
es des asiles de la Seine, qui sont cependant des établissements de
premier
ordre et qui peuvent parfaitement, ainsi que l'
s intervalles entre les accès épileptiformes chez des paralytiques.
Premier
cas, hémi- plégie et aphasie, accès épileptifor
é. La lésion intéresse donc toutes les racines du plexus : les deux
premières
, cinquième et sixième cervicales, dans une mesu
complète, les trois dernières, septième et huitième cervicales, et
première
dorsale dans une moindre mesure, d'une façon in
thiques de la miction sont plus fréquents qu'il ne semblerait au
premier
abord. Dans le cas actuel, il s'agit d'une forme
r le même segment. La gliose dans sa marche ascendante atteint en
premier
lieu les fléchisseurs, et c'est grâce à l'immunit
cès alcooliques. Voilà bien la multiplicité des causes sclérogènes,
premier
caractère de la maladie, caractère qui empêche
, un léger éclat diastolique aor- tique, parfois un dédoublement du
premier
bruit, qui rap- pelle d'une façon fort intéress
ultiple disséminée est peut-être plus complet encore que chez notre
premier
malade; en de- hors de la moelle vous avez cinq
ordons postérieurs, racines postérieures, ganglions spinaux). Cette
première
lésion même la plus étroitement locale est le p
du trimestre dernier, qui justifient celles-ci en complétant les
premières
. Il ne me reste qu'un mot à ajouter pour montre
mort, et elle paraît également être restée stationnaire les quatre
premières
années. Pendant seize ans nous l'avons examiné
gmate d'hystérie. Et si chez Mme X... nous avions réussi dans notre
première
manoeuvre abortive, nous n'aurions pas eu le pl
plasti- 138 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cité des cellules est de
première
importance, ou, en d'autres termes, leur access
aire conservé. Proéminence des dernières épines cer- vicales et des
premières
dorsales. Décès après deux ans de maladie, à l'
l'enfance, bonne santé habituelle jusqu'à dix-neuf ans. A ce moment
première
crise, sensation de secousse électrique dans l'in
l'asile (formalités d'admission ; comment on procède à l'admission;
première
observation du malade). Procédés à l'internemen
isme outré. Jeudi elle était rentrée dans son appartement, situé au
premier
étage, vers huit heures, lorsque à deux heures
le topogra- '180 . PATHOLOGIE NERVEUSE. phique ne répond qu'à la.
première
partie du problème ana- tomo-pathologique. Ce p
ique du tabes s'accorde avec notre formule ana- tomique générale.
Première
partie. - Topographie DES LÉSIONS médullaires du
stinées à montrer la topographie des lésions dans le tabès initial (
première
étape anatomique de la mala- die). Coupes tra
A) sont malades (fibres fines, fibres déco- lorées). Frg. 12, 13 (
première
racine sacrée, première racine lombaire). Le quad
fines, fibres déco- lorées). Frg. 12, 13 (première racine sacrée,
première
racine lombaire). Le quadrilatère tabétique gag
ensitivo-réflexes (Koelliker). Ce groupe est spécialement chargé du
premier
temps de tout acte réflexe, c'est-à-dire de l'a
ompliquées et difficiles, il se trouvera peut-être le subordonné du
premier
médicastre venu, fruit sec de la clien- tèle, q
savant ami en soit convaincu,1 malgré sa précaution de remettre au
premier
toute l'autorité; et ce seront les malheu- reux
de médecins n'hési- teraient pas à se présenter. Le concours a pour
premier
résultat d'éliminer les candidats qui ne sont p
prenne ce qu'il a écrit. De l'alphabet il écrira correctement les 5
premières
lettres et mal les suivantes, mettra 7 minutes
science d'acquisitions nombreuses et capitales, qu'ils portèrent du
premier
coup à un rare degré de perfection. « Est-il né
culté de médecine de Toulouse; Faire[, médecin de la Salpêtrière.
Première
QUESTION : - Paralysie générale. Après la lectu
laçait dans l'utérus le siège de la. 250 SOCIÉTÉS SAVANTES. cause
première
de la névrose. Les travaux les plus importants su
t, soit surtout dans l'appendice placé à la fin, qui rapporte comme
première
observation en date celle d'une fille de douze
s considérations sur ce qui touche particulièrement l'enfance. En
première
ligne, il faut inscrire la tare héréditaire. L'hé
ce qui peut être utile au second deviendrait-il dangereux pour le
premier
. Ne s'agit-il pas là, comme pour toutes les médic
t injuste de faire retomber sur le second les méfaits imputables au
premier
. Une objection tirée de ce fait qu'un certain nom
apté aux propositions ci-dessus énoncées, sans oublier de placer au
premier
rang le ser- vice médical relégué actuellement
songé plus tôt à quelque chose d'aussi simple quoique paradoxal au
premier
abord. Mais alorsje me demande ce que viennent fa
L'auteur a observé ces dernières années les trois cas suivants :
Premier
cas. - Chez un garçon de dix-huit ans se manifest
la volonté. L'auteur laisse décote les falsi- fications mimiqnes du
premier
ordre. Lorsque la volonté intervient pour modif
rmes cliniques il reproduit le récit d'un obsédé, qui est l'une des
premières
et des meilleures descriptions qui exis- tent d
guaient avant la période paralytiforme par leur symptoma- tologie
première
, par leur évolution symptomatique. Il me ' Arch
serait utile, indispensable, de chercher les causes et l'évolution
première
des affections dites paralysies géné- rales, et
rie de l'enfance que j'avais, à dessein, laissée de côté lors de ma
première
publication, m'étant réservé d'en faire l'objet
nt d'appliquer des sangsues aux oreilles. « Çà l'avait guérie de sa
première
et de sa seconde méningite, » disent-ils. Je dé
laboratoire agricole départe- mental, nous le fait connaître. Cette
première
analyse pourtant est assez incomplète. 6 déce
ant qui n'avait plus l'aspect chétif qu'il présentait dans les deux
premières
années de son affection, il était très bien dév
e émotion il est, en 1885, brusquement pris d'étouffe- ments. Cette
première
crise qui l'effraya, dura vingt secondes envi.
déterminantes là, causés occasionnelles ici ; 3° Les facteurs du
premier
groupe, ceux qu'on retrouve seuls dans l'étiolo
on temporale, en avant elle avance sur 342 SOCIÉTÉS SAVANTES. les
première
et deuxième frontales; suites simples. La malade,
'Association des aliénistes et neurologistes russes. Le succès du
premier
congrès des aliénistes russes, qui a eu lieu à
s d'épilepsie corticale observés par lui dans ces derniers temps.
Premier
cas. Il s'agit d'une jeune fille de vingt-trois a
le plus souvent. Telle est, très résumée, la théorie qui forme la
première
partie. Elle est d'une psychologie très contenue,
e diarrhée ; l'enfant est nourri aux seins. A l'âge d'un an il a sa
première
crise : les membres se raidissent, les yeux son
tuer son maître. Antécédents pel'SOl1l1els. - Rien à noter dans sa
première
enfance. A dix ans elle est atteinte de diphtér
dra difficilement qu'un enfant, ayant eu un accès convulsif dans sa
première
enfance (si cet accès était de nature hystériqu
Pris d'un doute sérieux au sujet de la nature de la coxalgie de ma
première
malade, je l'examine alors plus attentivement.
; aussi l'erreur est-elle facile. On a vu (observation 7) que le
premier
accès de méningisme avait été pris par le médecin
aiment anormal des névroses dans ce pays. 9° Traitement. Dans mon
premier
travail sur l'hystérie en Vendée,je disais : «L
obtenir; serait-il possible, que je ne le conseillerais pas à cette
première
période de la vie. Pour mon compte, je ne l'ai
t l'importance éclatera aux yeux, si l'on considère qu'il s'agit du
premier
fait bien établi "(1' line terminaison des cylind
n'intervint pas. Une demi-heure après cette chute, il a présenté sa
première
crise de convulsions. Les crises convulsives se
elle provoquées par l'anémie temporaire de cet organe. Depuis notre
premier
travail, nous avons reproduit sur un plus grand
avons reproduit sur un plus grand nombre d'animaux nos expériences
premières
; nous avons cherché à déterminer non seu- lemen
ats pathologiques. La grande -découverte qui a été faite dans cette
première
période est due à Nissl, qui a montré Archives,
ci d'ailleurs l'état de notre malade le 7 avril 1897, jour de notre
premier
examen. Amaigrie par une continuelle déplétion,
le traitement spécifique chez un tabétique que l'on voit pour la
première
fois ou plutôt dont on est le premier médecin.
mmes ou même 8 grammes par la bouche ou en lave- ment. - Après ce
premier
traitement, la conduite variera suivant les eff
ar exemple, combiner un traitement de la manière suivante : les dix
premiers
jours de chaque mois, 50 centigrammes d'iodure
itement général des scléroses, le régime joue un rôle absolument de
premier
ordre. C'est également vrai pour les cas où la
i la sclérose a envahi, en même temps que la moelle, des organes de
première
importance pour la destruction ou l'éli- minati
s importante qu'on ne le croit et qu'on ne le dit généralement. .Le
premier
et le principal moyen pour combattre ces symptôme
t déjà fait ces diagnostics délicats, et les observations, dont les
premières
remontent à quelques années à peine, se multiplie
lques années à peine, se multiplient rapidement.- Aussi, dans cette
première
monographie de l'encé- phalite hémorragique, on
( ? ) iL douze ans. Pre- mière attaque à seize ans à l'occasion des
premières
règles. Signes physiques de dégénérescence. Obn
e so- lution, 90 grammes de sels. Réaction fébrile à la suite des
premières
injections seulement. Un peu d'amaigrissement.
e solution et 92 grammes de sels. Réaction fébrile à la suite des
premières
injections. Aucune modification dans l'état phy
solution et 64 grammes de sels. Réactions fébriles à la suite des
premières
injections. Pas de modification de l'état phy-
. R..., vingt ans (épilepsie). Enfant natu- relle. Mère alcoolique.
Première
attaque à l'âge de douze ans. Attaques quotidie
n alcaline et 92 grammes de sels. Réactions fébriles à la suite des
premières
injections seulement. Aucune modi- fication imp
issait progressi- vement, avaient complètement disparu après les 10
premières
injections. Dans tous les cas : amaigrissement
vésaniques qui empruntent leur forme et leur ori- gine à la maladie
première
. D'autres auteurs nient au con- . traire tout r
es : goitre, tachy- cardie, tremblement, ont été mal interprétés au
premier
abord et nous avons appliqué le traitement de l
r toute idée d'ophtalmoplégie corti- cale, qui avait été suggérée à
première
vue. P. l3GLt.11'. \\1VII. U,r cas d'amnésie; p
modifications vasculaires, qui se développent quelquefois dans la
première
jeunesse, semblent jouer un rôle important. On
nd pas sur les noyaux, ni sur les tractus intrabulbaires des quatre
premières
paires nerveuses céré- brales et de la petite p
t le nerf vertébral qui en part. Du reste, Jaboulay, à propos de sa
première
intervention par la simple section du sympathiq
nte-Anne la cli- nique des maladies mentales ; Arrête : . Article
premier
. Le professeur titulaire de la chaire de la cli
femmes). Pensionnats pour 152 pensionnaires de deux classes (24 de
première
et 128 de seconde), répartis en 6 pavillons ave
» Notre pays aurait pu être, sinon le premier, au moins l'un des
premiers
à accomplir cette réforme d'assistance et d'éduca
s l'un l'autre. » Il se couche; mais il ne fut guère avant en son
premier
somme, qu'il ne se levât de plein saut et commenç
92, Villac... passa dans l'une des sections d'adultes. Pendant le
premier
mois, il continua à donner des gifles. Un jour, u
nts les plus précieux quelle a reçus, nous sommes heureux de citer au
premier
rang ceux de MM. Dumontpallier, Charles Ptichet,
ur moi une nerveuse, et son nervosismo, quelle qu'eut été son origine
première
, peut-être de grandes émotions et grands chagrins
es dernières régies étaient venues le 30 avril et que j'avais fait ma
première
visite suggestive le 13 mai, en présence du mari.
ue l'utérus n'avait plus la mobilité que javais constatée lors do mes
premières
visites, l'utérus avait en apparence la grosseur
x, de l'état général et de l'état local, me permit d'affirmer, dès ma
première
visite, que Mme X.- n'était nullement malade et q
re séance, j'essayai l'hypnose. Je n'obtins qu'un som-. meil léger au
premier
degré. Je suggérai à la malade de no plus grimace
e 3 sans difficulté, simplement un peu essoufflée à la suite de cette
première
promenade, après quatre mois de repos au lit. É
e de l'hypnotisme ; mais ce ne fut pas moins de quarante ans après sa
première
publication que Neurologie parvint jusqu'à elle p
alée était l'hypnose fortuite à laquelle il était sujet, l'indication
première
était donc de le délivrer de celle sensibilité. C
our voir ce qu'il allait faire. Il descendit ainsi lentement jusqu'au
premier
, puis, tout à coup, il prit son élan, descendit d
t jusqu'au premier, puis, tout à coup, il prit son élan, descendit du
premier
aurez-de-chaussée, traversa les couloirs et s'éch
femme a 24 ans. Elle a eu deux enfants dont l'un est mort. Pendant sa
première
grossese elle fut traitée à Paris dans le service
a pratique du mesmérisme : il était demeure inconnu à Mesmer et à ses
premiers
disciples, et les phénomènes auxquels il donna li
ent injuste de faire retomber sur le second les méfaits imputables au
premier
. Une objection tirée de ce fait qu'un certain nom
ditaires L'érytropnoble (1). Par M. le D1 BotrcBEn.dc Rouen. Au
premier
Congrès Français annuel de médecine mentale tenu
tout ; la dernière le 15 août. Le 27 août, à 2 h. de l'après-midi,
premières
contractions sans douleurs. A 5 h., les contracti
ement doit avoir lieu le 18 février 1897. Au commencement de janvier,
première
séance : cette femme parait difficilement hypnoti
elles parlent au nom de ce besoin nouveau. Si le peuple anglais, au
premier
tiers de ce siècle buvait sec, sacrait, paillarda
, puis de consentir à l'épouser, après qu'il aurait divorcé d'avec sa
première
femme. Le rapporteur entre dans des détails de na
ent lieu à 8 heures et demie du soir dans une grande salle, située au
premier
étage et éclairée au gaz. J'indiquerai du reste p
e les conditions particulières dans lesquelles nous nous trouvions.
Première
séance, le 7 mai à 8 heures et demie du soir. Éta
suggestion mentale analogue, je fais revenir les bras à leur position
première
et ils retombent ensemble lentement, toujours ave
ien entendu, en pleine lumière et dans le plus grand silence. Cetto
première
expérience terminée, je m'approche du sujet et je
a jambe se porte en avant. Remarques sur ces deux expériences : Ces
premières
expériences, très simples en apparence, emprunten
ser, par conséquent, il n'y avait pas d'auto-suggestion possible. Ces
premières
suggestions ont pourtant réussi de la façon la pl
suffisante;— 3° ¿a détention en elle-même. Pour co qui est des deux
premières
causes, j'en appelle ici au témoignage de ceux qu
aire ses maîtres par son travail et il occupe régulièrement l'une des
premières
places dans les diverses compositions. Or, vers l
il convient de la redresser, de lui rendre la fixité et la régularité
premières
, en un mot, d'en faire la rééducation. Or, cela s
concerne personnellement, je commençai à hypnotiser en mai 1889. Mon
premier
malade fut un homme de bonne éducation qui souffr
ypnotisme. La susceptibilité individuelle varie beaucoup. Parmi mes
premiers
malades, j'eus peu de cas de maladies nerveuses g
j'eus peu de cas de maladies nerveuses graves ; et je réussis dans ma
première
centaine de cas dont 48 passèrent dans la pha
G..., 50 ans, somnambule dans sa jeunesse. Après la naissance de son
premier
enfant, elle craignit de lui faire mal en marchan
» Je n'ai pas soutenu cette doctrine, à aucune époque ; depuis mes
premiers
écrits sur la question en 1883, jusqu'à mon derni
tion thérapeutique. Ce n'est qu'en 1884, depuis le jour où parut ma
première
publication : De la suggestion dans l'état hypnot
ons névropathiques ou splanchni-ques constatées, venant s'agréger aux
premiers
, fournissent les éléments du diagnostic. Et, quan
e comporte chez eux le système musculaire ? L'insomnie est l'un des
premiers
symptômes de la folie; chez les aliénés chronique
des. Le II août, muni de cet appareil, le malade quitta l'hôpital-Les
premiers
jours les mouvements spasmodiques semblaient dimi
proposition. Ils n'avaient rien négligé pour nous décourager dans nos
premiers
efforts pour appeler l'attention des éducateurs s
C'est pourquoi nous jugeâmes prudent de de nous cantonner, dans cette
première
communication, sur un terrain inattaquable, celui
les éléments d'une véritable pédagogie expérimentale. Lors de noire
première
communication, un des auditeurs, prévoyant tout l
vie entière fut consacrée à l'étude de la médecine, et qui fut un des
premiers
par ses recherches, son enseignement et ses publi
e (de Lille). Il y a une quinzaine d'années, lorsque je faisais mes
premières
expériences d'hypnotisme, j'avais observé à plusi
e fourmillement et de pesanteur bien accusée. Quand on a obtenu cette
première
sensation en laissant, pendant quelques secondes,
s ; « Il n'y a pas d'hypnotisme. » La thèse, un peu paradoxale au
premier
abord, n'a pas été comprise par la majorité des l
e légère variante, le décret célèbre rédigé par Rochcforl : « Article
premier
: Il n'y a plus rien. — Article 2 : M. Hartenberg
nement à l'asile de Ville-Evrard, il avait été mis en liberté, et son
premier
soin avait été de tuer sa femme dans un accès de
que nous ayons jamais vues. Mesnet donna sans réserve son adhésion au
premier
Congrès international de l'hypnotisme expérimenta
e fois par une action électrique notablement plus faible que celle du
premier
départ (par exemple par une étincelle à distance
çois de Sales à Naples, de Brescia, de Bergame, d'Imola. répondent au
premier
type, tandis que le second est représenté par ceu
pansement et on enlevait les sutures; la blessure s'était fermée par
première
intention, et nous permîmes que le malade se levâ
le travail cérébral. La chose n'est pas si simple qu'elle parait au
premier
abord. Un même acte déterminé par une sensation p
t et à l'alimentation que l'on prend. La connaissance de ces causes
premières
nous permettra non seulement de modifier les acte
é ne pourra-t-il pas être supprimé par un nouveau rêve antagoniste du
premier
? Cela, certes, l'hypnotisme est très capable de l
la croyance aux constatations sensorielles, encore que l'évidence des
premières
, étant médiate, est moins frappante. III. — LE
ance, que l'expérience devait échouer, et ne la voyant pas réussir du
premier
coup, l'on y a renoncé trop vite. D'ailleurs, à
ans une note manuscrite qu'a bien voulu me remettre, à Paris, lors du
premier
Congrès de l'Hypnotisme, en 1889, M. le D' Forel,
e et de la déterminer à l'épouser, après qu'il aura divorcé d'avec sa
première
femme. Le temps me manque pour entrer dans tous l
était un travailleur consciencieux, un observateur sagace qui, un des
premiers
, se livra avec grand succès à l'étude des maladie
conscience, 3° l'intensité de l'énergie psychique du sujet. Les deux
premiers
sont ici, grâce à la suggestion, presque totaleme
ainsi que le prouvent les considérai ions suivantes : i" Lors de ma
première
intervention, je n'avais pas, comme bien on pense
ouveau. Or, une amélioration s'est manifestée quelques jours après ma
première
intervention ; elle s'est accentuée de plus en pl
effets précédemment obtenus se sont mis à rétrocéder comme lors de ma
première
absence ; éloigné de celte malade, je n'ai pas pu
NS LA FAMILLE PASCAL Par M. le Dr Charles Binet-Sanglé (1) CHAPITRE
PREMIER
La RELIGION en france, EN auvergne ET a ClERMON
démonstration du crime, dit-il, n'est pas encore faite, je suis le «
premier
â le reconnaître. Il n'existe pas encore, dans le
grand nombre de circonstances, peut-être comprendra-t-on l'intérêt de
premier
ordre qui s'attache aux questions que nous nous e
eu des convulsions à l'âge de 10 mois, au moment do l'apparition des
premières
dénis. Son sommeil est troublé par des terreurs n
vienne à lui-même son propre maître; sans doute, il n'arrivera pas du
premier
coup à posséder pleinement cette méthode, mais, a
ent des convertis de Guillebcrt. ¦ S'insinuer dans leur amitié fut sa
première
attention; et, s'étant acquis quelque crédit sur
trer au malade sa main : il lu, répète tous les heureux pronostics du
premier
sorcier; il en ajoute d'autres ; enfin il en vien
avili sa profession par un rôle indécent et malhonnête; comme si leur
première
science n'était pa^ de gérir! comme si le plus ha
e 7/9 mars 1652, s'est servi de vous pour me procurer les progrès des
premiers
mouvements de sa grâce. » Pour l'aider à entrer
e mai. M Lépinay présente un livre de M. Ad. Guénon, vétérinaire en
premier
au 15* chasseurs ; il fait l'analyse de cet ouvra
thologic viscérale ». Co travail comporte six chapitres dont les cinq
premiers
sont consacres à la neuropalhologie des divers ap
m, sillon calloso-marginal. - Cil, couronne rayonnante. - Fui, Po, p"
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontale
remière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f,, /2,
premier
et deuxième sillons frontaux. - Pli, faisceau l
Ia,Ip, circonvolutions antérieure et postérieure de l'insula. - Li,
première
circonvolution Iimhique, - le, lame cornée. - Lme
al, - OF', partie du faisceau occipito-frontal, s'irradiant dans la
première
circonvolution frontale. - Ope, opercule frontal.
-épendymaire. - Si, septum lucidum. so, sillon sus-orbitaire. - T,,
première
circonvolution temporale. - Th, couche optique.
sillon calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante. - F,, F2, h'3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions frontales.
ère, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f" /2, fla,
premier
, deuxième et troisième sillons frontaux. - f4, qu
sillon olfactif. - f'2, incisure du deuxième sillon frontal. - Zi,
première
circonvolution lim- bique. - mF,, face interne
e fusiforme. V7, circonvolution de l'hippocampe. - I, insula. - L,,
première
circonvolu- tion limbique. lc, lame cornée et f
première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - tl, lo,
premier
et deuxième sillons temporaux. - Tap, tapetum.
obe occipital (cuneus (C), lobules lingual (Lg) et fusiforme (Fus),
première
(0,), deuxième (0,) et troisième (03) circonvo-
v, faisceau occipital vertical.-ou, orifices vasculaires.- Pi, l'a.
première
et deuxième circonvolutions pariétales. - Pc, p
1'" Z'3, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - li, h,
premier
et troisième sil- lons temporaux. - Tap, tapetu
circonvolution de l'hip- pocampe. - ip, sillon interpariétal. - Li,
première
circonvolution limbique. Lms, lame médullaire s
campe ? G', queue du noyau caudé. ol, sillon collatéral. - P,, l'z,
première
et deuxième circonvolutions pariétales. - PrC, pr
us. - RTh, radiations thalamiques. sp, sillon sous-pariétal. - T,, T2
première
et deuxième circonvolutions temporales. - 12, l
de l'insula. - ig, indusium briseur.- K, scissure calcarine. - LI,
première
circonvolution limbique. - le, lame cornée et fib
2, VL3, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - 01,
première
circonvolution occipitale. - l'lchl, plexus cho
uche optique. sl),z, stratum zonale de la couche optique. - 1 ? 7 ?
première
et deuxième circonvolutions temporales. - t, sill
substance grise sou-ependyma.irc. Sll, stratum iacunosuui. 1'1, Ti.
première
et deuxième circonvo- lutions temporales. - t,
s du segment posté- rieur de la couronne rayon- nante- p" l ? T3,
première
, deuxième, troisième circon- volutions fronta
s de l'insula. - Il), circonvolution postérieure de l'insuln. - ?
première
circonvolution ]imbi(jue. 1)1 /0'" face inter
; Ni sa queue. L3 troisième seg- ment du noyau lenticulaire. O,
première
circonvolution occipitale.- OF, faisceau oc-
x couches sagittales de son segment antérieur ou lrontal.-1 ? Fa,
première
, deuxième circonvolution.- frontales. - f,, p
tal.-1 ? Fa, première, deuxième circonvolution.- frontales. - f,,
premier
sillon frontal. fla, fais- l'eau longitudinal
r - ip, si 1lonintei,l)ariétil. - Il, scissure calcarine. - Li,
première
circonvolution limbique. ? n ! e,)amemM- dull
L3, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - 0,.
première
circonvolution oc- cipitale. - ouf, faisceau oc
rieur de la couronne rayon- nante. SI, septum luci- dum. - 1\,
première
ci ? convoliition temporale. 4'il ton tempora
cis- sure calloso-marginale. - coa, commissure antérieure - F,,
première
circonvolu- tion frontale; 111F" sa l'ace int
lutions antérieures de nn- sula. - K, scissure calca- rine. , La,
première
, deuxième circonvolutions limbiques. - AC, no
ts du noyau lenticulaire. - NM, centre médian de Luys. - 0,, 0"
première
, deuxième circon- volutions occipitales. - oa,
cule inférieur du noyau caudé. - coa, commissure antérieure. - F"
première
circonvolutionfrontate ;)nF, sa face interne.
. - A', scissure cal- carine. . ? , lobule lingual. - NL,, i\'L3.
premier
, troi- sième segments du noyau lenticulaire.
sième segments du noyau lenticulaire. - VR noyau rouge. - 0,, 02
première
, deuxième circonvolutions occipitales. - oa.
l. - coa, commissure antérieure. CH, couronne rayonnante. - F,, Fa,
première
et deuxième circonvolutious frontales. fI, prem
ante. - F,, Fa, première et deuxième circonvolutious frontales. fI,
premier
sillon frontal. Fa, circonvolution frontale ascen
cinatus. - Fies, lobule fusiforme. - fl, fibres tangentielles de la
première
circonvolution limbique, L,. - l, insula. - lme,
Sli, substance innommée sous-lenticulaire de lteichert. Ti, Ts, T3,
première
, deuxième et troisième circonvolutions temporales
l, septum lucidum. - slm, stratum zonale. - Th, couche optique. - T,,
première
circonvolution temporale. - premier sillon temp
e. - Th, couche optique. - T,, première circonvolution temporale. -
premier
sillon temporal (sillon parallèle). - Tap, tapetu
antérieure. - fi, épendyme ventriculaire de la corne frontale. - L,,
première
circonvolution limbique. Zone, lame médullaire
ginal. coa, commissure antérieure. - CR, couronne rayonnante. - Fi,
première
circonvolution fron- tale. fi, premier sillon f
couronne rayonnante. - Fi, première circonvolution fron- tale. fi,
premier
sillon frontal. - Fa, circonvolution frontale asc
- Fu, faisceau uncinatus. - Fus, lobule fusiforme. - I, insula. L\,
première
circonvolution limbique. - lme, lame médullaire
mygdalien. - NC, noyau caudé. - Nul3, YI2, NL" troisième, deuxième et
premier
segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau
térieure de la scissure de 5ylvius.-sir, stratum zonale. - 1',T,Ta,
première
, deuxième et troisième circonvolu- tions tempor
e, deuxième et troisième circonvolu- tions temporales.- t,, t2, la,
premier
, 'deuxième et troisième sillons temporaux. - l'e,
, queue du noyau caudé. - NL3, NL2, Nui, ? troi- siège, deuxième et
premier
segments du noyau lenticulaire, le segment intern
11, circonvolution de l'hippocampe. - ip, sillon interpariétal. - 7,
première
cir- convolution limbique. - Lme, lame médullai
mus. - 1'"1 ? T,, les trois circonvolutions tempo- rales. - li, 13,
premier
et troisième sillons temporaux.- Tap, tapetum. -
2, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - NG,(Al),
premier
segment du noyau lenticulaire et anse du noyau le
us. - SR. Formation réticulée de la calotte. - T, + Ip, union de la
première
circonvolution temporale avec l'insula postérieur
Ni, noyau interne du thalamus. - A'i3, NL" XL" troisième, deuxième et
premier
seg- ments du noyau lenticulaire. - Nm, noyau m
che optique. - si, sillon opto-strié. - strz, stratum zonale. - T,,
première
circonvolution temporale. - SI, septum lucidum.
volution temporale. - SI, septum lucidum. - t,, sillon parallèle ou
premier
sillon temporal. - Tap, tapetum. - pilier antérie
noyau interne du thalamus. - \'L3, NL2, NL,, troisième, deuxième et
premier
segments du noyau lenticulaire. - noyau médian
llon opto-strié. - SI, septum lucidum. - slr, stratum zonale. - 7 ?
première
circonvolution temporale. Tga, pilier antérieur d
innominée sous-lenticulaire de Reichert. strz, stratum zonale. T,,
première
circonvolution temporale. - Te, tuber cinereum. T
appeler qu'il s'agit ici d'une malformation cérébrale remontant aux
premiers
mois de la vie embryonnaire, avant la soudure du
ires. L'origine corticale du faisceau de Tiirck fut établie pour la
première
fois par l'un de nous, en 1893, dans des recherch
u côté opposé de la moelle. admit, en outre, que la destruction des
premier
et deuxième segments du noyau lenticulaire, sur
ait reliée aux ganglions de la base par le système de projection de
premier
ordre dont les fibres abordaient cha- cun des g
des vaiialions que présente la décussation des pyramides. Dans ses
premiers
travaux, il admet encore, avec Meynert, l'origine
ieure du pli marginal supérieur (Gsm) l'extrémité postérieure de la
première
circonvolution temporale. Cette lésion a détruit,
circonvolution pariétale ascendante, de la partie postérieure des
première
et deuxième circonvolutions temporales, des cir
gert. 2/1 grandeur nature. La substance blanche des circonvolutions
première
temporale (Ti) et postérieure de l'insula (Ip)
anche non différenciée des circon- volutions frontale ascendante et
première
et deuxième frontales. Dégénérescence de la'cap
llon,Fig. 129 à 133), ce sont le gyrus supra- marginalis (Gsm), les
première
et deuxième circonvolutions temporales (Ti, 1'=)e
indre degré lorsque les lésions du lobe pariétal s'étendent sur les
première
et deuxième circonvo- lutions temporales, s'obs
ceau (Bicêtre, 189). Ramollissement de l'extrémité anté- rieure des
première
et deuxième circonvolutions frontales droites. Pl
u. Hémisphère droit. Ramollissement de l'extrémité anté- rieure des
première
et deuxième circonvolutions frontales droites. Dé
la pointe frontale et en particulier l'extrémité anté- rieure des
première
et deuxième ei,co21vollitio ? Sfi-012tales(Fi e
a région supérieure de la moelle au niveau de l'émergence de la
première
paire de ra- cines cervicales. La par- tie no
pyramidal, au niveau du pied de la couronne rayonnante, pendant les
premiers
12 à 18 mois de la vie extra-utérine, a donc comp
rojection corticale, conséquence directe de la lésion des neurones de
premier
ordre; .-3° les atrophies indirectes, secondair
parallèles, et forment presque une couche con- tinue (Fig. 161). A
première
vue le segment postérieur de la capsule interne p
'agénésie par malformations des hémisphères cérébraux remontant aux
premiers
mois de la vie intra-utérine, cette disparition e
iées antérieures, co- lorées en rose) irrigue la face orbitaire des
première
et troisième circonvolutions frontales, la part
d'évolution du manteau cérébral est bilatérale, qu'elle remonte aux
premiers
âges de la vie em- bryonnaire, avant la soudure
deux hémisphères (à l'exception des trois quarts postérieurs de la
première
circonvolution limbique gauche et de la moitié in
phale (circonvolution de l'hip- pocampe, partie postérieure de la
première
circonvolution limbique, corne d'Ammon, circonv
le manteau cérébral nous indique que cette malformation remonte aux
premiers
stades de la vie embryonnaire avant la soudure
l lout le contingent des libres corticales fait défaut, est donc de
première
importance pour étudier le système de fibres qu
eau de fibres de projection. - OF, faisceau occipito-frontal. - Ll,
première
circonvolution lim- bique. Bibliothèque des I
étroit dans la ré- gion thalamique où ses fibres sont adossées au
premier
et au deuxième segments du noyau lenticulaire e
riétal et comprend, en avant, les pieds d'insertion des deuxième et
première
circonvo- lutions frontales. Le centre du membr
tal et le centre de l'Ppnule sur la frontale ascendante au-dessous du
premier
sillon frontal. Ils ont montré, en outre, qu'il
de l'épaule, c'est-à-dire immédiatement en arrière et au-dessus du
premier
sillon frontal, ont obtenu l'abduction de la cu
yeux occupent chez le macaque (Fig. 241) la partie postérieure des
première
et deuxième circonvolutions frontales, en particu
latente de ce dernier a une durée beaucoup plus longue que celle du
premier
. Il résulte, en outre, des expériences de Pick,
érieures et posté- rieures de l'insula. - l, scissure calcarine. -G
première
circonvolution limbique, - ni, 24'r ANATOMIE DE
lr. noyau caudé, \-C' Queue du noyau caudé. - NR, noyau rouge. - 0,
première
circon- volution occipitale. - ofi, face orbita
, substance per- forée antérieure. - Ti, T'i, centre de Wernicke et
première
circonvolution temporale droite. - 7(/p, pilier
, par lésion bilatérale ou unilatérale de la partie postérieure des
premières
circonvolutions temporales, sont rares. Wernick
et Friedlander, Kussmaul et Kaufmann) le malade présente, après une
première
attaque d'apoplexie, une hémiplégie droite totale
akow croit que la surdité tonale relève d'une lésion bilatérale des
premières
circonvolutions temporales; il émet en outre l'hy
st intime, précoce, et l'union de ces deux images constitue la base
première
, tou- jours présente du langage intérieur. Ce n
gittales du segment postérieur de la cou- ronne rayonnante. l', 7 ?
première
circonvolution frontale gauche et droite. 3. cir-
ution temporale du côté opposé et passant par le corps calleux. - tu,
première
circon- volution temporale. - tel, fibres calle
trajet des fibres qui, provenant de la zone motrice, - neurones de
premier
ordre, - vont actionner les noyaux des nerfs mote
ampe. - 11(i), isthme de la cir- convolution de l'hippocampe. - Li,
première
circonvolution limbique. Na, noyau anté- rieur
a, commissure antérieure. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - 7 ?
première
circonvo- lution limbique. - Lmi, lame médullai
ormations cérébrales, certaines vastes hydrocéphalies remontant aux
premiers
âges de la vie embryonnaire et s'accompagnant d'u
ntérieurs du septum lucidum. - fTc, faisceau du tuber cinereum. - LI,
première
circon- volution limbique,. - NR, noyau rouge.
ant, mais plus ou moins saillant suivant les sujets. Dans le Tome
premier
de cet ouvrage, nous avons décrit ce petit amas
Une dégénérescence très fine, mais très manifeste du globus pallidus (
premier
et deuxième segments du noyau lenticulaire NL2,
oppement plus ou moins complet du man- teau cérébral, remontant aux
premiers
alges de la vie embryonnaire et présentant comme
à la scissure calcarine et à la scissure pariéto-occipitale. - L,,
première
circonvolution limbique. - Lmi, lame médullaire
hydrocéphalie congénitale avec malformation cérébrale remontant aux
premiers
stades de la vie embryonnaire (cas Richard et cas
semi-lunaire de Flech- sig. - \'L3, cVL, Xi, troisième, deuxième et
premier
segments du noyau lenticulaire ; les premier et
troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire ; les
premier
et deuxième segments (NL,, '\IL2) sont subdivisés
e grise centrale du troisième ventricule. - SI, septum lucidum. - T,,
première
circonvolution temporale. - Tap, tapetum. - Tga
ariétal. - Lms, lame médullaire super- ficielle du subiculum. - L,,
première
circonvolution limbique ou circonvolution du corp
ert à la partie interne du pied du pédoncule cérébral. Or, les deux
premiers
cas montrent simplement que la commissure de Me
onnets) et les cellules bipolaires de la rétine. NERF OLFACTIF. -
PREMIÈRE
PAIRE (I) 1. VOIE OLFACTIVE périphérique. Le ne
rfs olfactifs. Elles forment le neurone olfactif périphérique ou de
premier
ordre, sont assimi- lables aux racines postérie
iples et complexes. Elles présentent trois relais ganglionnaires de
première
importance : le bulbe oliactif, les centres olf
mpe. - II(i), isthme de la cir- convolution de l'hippocampe. -L(1),
première
circonvolution limbique. Na, noyau anté- rieur
RFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 421 l'insula. -IC, scissure calcarine. -D"
première
circonvolution limbique. NC, noyau caudt Ne', q
noyau caudt Ne', queue du noyau caudé. - 11'li, noyau rouge. - Oi,
première
circonvolution occipitale - 0F1 face orbitaire
pa, substance perforée anté rieure. - T,, T,' centre de Wernicke et
première
circonvolution temporale. - Tgp, pilie postérie
rties consti- tuantes. Leurs rapports ré- ciproques. CHAPITRE
PREMIER
MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE Situation. Ra
ôté du vermis. Le deuxième lobule (2, 2) compense l'insuffisance du
premier
. Il présente un segment hémisphérique droit de
rlconzboidens 221edzillx oblongatæ, ventricule du cervelet de Galien,
premier
ventricule de Tiedcmazz, parce qu'il se dévelop
cus superficiel et les fibres aberrantes postéro-externes. Les deux
premiers
faisceaux s'adossent au ruban de Reil médian. L
.-T ? quatrième ventricule. VI. nerf moteur oculaire externe. - VII
premier
segment du nerf facial. - lllg, genou du facial.
ce blanche centrale, deux sont supérieures et deux inférieures. Les
premières
se portent dans le lobe central et dans la lingul
on transverse antérieur (sta) diminue, et ne se distingue guère des
premiers
par sa pro- fondeur dans la région des hémisphè
son bord externe. Sur la coupe S7, (Fig. 415), elle fait place aux
premières
lamelles du flocculus (Floc). Les coupes S 6 et
diculaires du nerf moteur oculaire externe. Nl'II, noyau d'origine,
premier
segment genou et quatrième segment ( VIL), du n
en avant, dans un plan oblique sensiblement paral- lèle à celui du
premier
segment, pour émerger finalement dans la fossette
cielles du bulbe et le système des fibres cc·réGello-olivaires. Les
premières
fibres arciformes (fpt) qui se détachent du corps
fortement colorées par la laque hématoxylinique. Ce faisceau qui, à
première
vue, semble n'être que la prolon- gation du péd
péricellulaire ; puis, elles se prolongent sur les ramifications de
premier
et deuxième ordre des dendrites des cellules de P
réfléchit au- dessous du noyau du toit, puis recouvre l'écorce des
premières
lamelles du nodule avant de se continuer avec l
TABLE DES MATIÈRES. TROISIÈME PARTIE RHOMBENCÉPHALE CHAPITRE
PREMIER
MORPHOLOGIE DU II 0 M JI E il C J P JI ALE TA
s des segments métamériques du corps. Ils ont en effet pour ébauche
première
un bourrelet longitudinal de la somatopleure, la
entait une atrophie complète des muscles de l'éminence thénar et du
premier
interosseux de la main droite. Cette atrophie é
ine cervicale correspondant à l'atrophie de l'éminence thénar et du
premier
interosseux. Ne peut-on dès lors croire que si
llaire cervical, mais à l'intégrité du groupe cellulaire externe du
premier
segment dorsal, conséquence importante qui perm
l'avait déjà remarqué. La santé de l'enfant reste parfaite dans les
premières
années. Mais, à l'âge de 5 ans, un samedi soir, H
ésentent dans leur situation habituelle avec une légère flexion des
premières
phalanges sur les métacarpiens, une flexion plu
arpiens, une flexion plus accentuée des deuxièmes phalanges sur les
premières
, et une légère flexion des troisièmes sur les deu
ascendants ou les collatéraux. La mère de la malade, avait eu d'un
premier
mariage, deux enfants, puis de son second mariage
bonne. En marchant, le malade se tient droit, regarde en avant. Aux
premiers
pas les jambes fonctionnent dif- ficilement, ma
inairement d'une forte contrac- tion tonique, prononcée surtout aux
premiers
mouvements de flexion et dispa- raissant gradue
rticularités fondamentales génériques contient encore en qualité de
premier
ordre une atrophie musculaire très originale, m
é décoré de fresques par Giotto. . Ces peintures, qui remontent aux
premières
années du XI\7' siècle, sont parmi les plus imp
Diagnostic. Messieurs, je vous ai déjà dit qu'en examinant pour la
première
fois le malade, j'avais diagnostiqué, chez lui, u
tée de la façon suivante : Le plexus lombaire, émanation des quatre
premières
paires lombaires, anime les muscles adducteurs,
crural, ses branches terminales. Le plexus sacré, émanation des 4.
premières
sacrées et de la cinquième paire lombaire, anim
gie des affections de la queue de cheval, telle que j'ai été un des
premiers
à la faire con- naître dans des leçons didactiq
réflexe im- plique l'intégrité du cinquième segment lombaire et du
premier
segment sacré de la moelle, ainsi que du nerf s
ou la partie la plus inférieure du névraxe, comprise au-dessous du
premier
segment sacré, sont touchées. Le réflexe achill
niveau des apophyses épineuses de la douzième vertèbre dorsale, des
première
et deuxième vertèbres lom- baires, réveillée ou
de compléter l'examen en faisant d'autres coupes parallèles à cette
première
, mais toujours à quelques milli- mètres à peine
nce avec laquelle la capsule interne est frappée : il semblerait au
premier
abord qu'il dût en résulter une sympto- matolog
ux. Nous verrons plus tard dans quel état on les aper- çoit. Mais à
première
vue la cavité paraît remplie d'une substance plus
l y a plusieurs lacunes : on en voit parmi elles qui sont encore au
premier
degré d'altération. Sur une préparation colorée
ce tissu subit des modifications très importantes. Ce qui frappe au
premier
abord sur une coupe colorée à l'hématoxyline-éosi
ons vont en s'atténuant à mesure qu'on s'éloigne de la lacune. Le
première
zone et la plus atteinte est constituée par le bo
ns anomalies ; elle fut nourrie par sa mère. Pas de convulsions :
premières
dents à 2 ans, canines à 3 ans. L'enfant n'a ma
ontractions dans les divers fais- ceaux costaux sur les cinq ou six
premières
côtes, mais les faisceaux claviculaires paraiss
au Collège noyai, conseitterdu roy, parle dans son Orthopédie (tome
premier
, 1741) des « pieds dont le talon ne touche pas
a partie intéressée par rapport aux autres et nous permet ainsi une
première
localisation dans le champ sensoriel. Mais il nou
a propriété la plus fonda- mentale d'une chose réelle, la condition
première
de son existence, la dernière qu'on puisse lui
s éditeurs. N. D. L. B. 186 PAUL RICHER que, Gilles de Corbeil,
premier
médecin de Philippe-Auguste, avait écrit sur la
semble attendre l'arrêt qui va sor- tir de ses lèvres savantes. Au
premier
abord, on pourrait la prendre pour une mendiant
mortelle-même ne pouvait trouver d'auxiliaire plus utile ? Dans la
première
moitié du XVIe siècle un peintre flamand, B. Van
ne blennorrhagie, mais il nie formellement avoir eu la syphilis. Sa
première
femme mourut en couches ; l'enfant, bien conformé
le; le traitement bromure, institué deux ans après l'apparition des
premières
crises, les fil cesser complètement, ce qui par
ersistait. Quant à la céphalée, elle persistait elle aussi comme au
premier
jour, et depuis elle n'a pas rétro- cédé jusqu'
ale. Ce phénomène s'est répété assez régulièrement pendant les deux
premiers
mois qui ont suivi la sortie, puis les accès se
, fig. B et C). Elle est, dans son ensemble ab- solument informe. A
première
vue elle paraît constituée par une masse de cha
. ' En somme, si nous nous reportons à l'évolution embryologique du
premier
arc branchial pair, arc mandibulaire ou facial,
ance. Le sillon prérolandiqu e sépare la frontale ascendante Fa des
premières
frontales Fb, Fc, Fd, les sil- lons frontaux su
CIIIDE ET vurpas quement les images mentales jouent un rôle de tout
premier
ordre dans les sensations ou l'accomplissement
non sans peine sur le xiphopage, études qui ont été faites pour la
première
fois, offrent des considérations extrêmement curi
cette intervention. La petite fille se développa bien, elle eut ses
premières
dents à 8 mois, commença à parler à 11 ; à deux
parence radiographique qui se modifierait sur une autre épreuve. Ce
premier
métatarse a deux épiphyses très dilatées, réu-
troit, sur la face externe du segment distal du membre, pendant les
premiers
mois de la grossesse. (1) FIIIEBEN, Ueber /cong
être séparée qu'avec une grande difficulté (Pl. XXXIII, fig.B). A
première
vue il est indubitable que c'est l'oblitération d
uellement et les hallucinations de l'ouïe reprenaient leur activité
première
. A l'autop- sie, des lésions de méningo-encépha
sécutivement à une ou plusieurs attaques épileptifor- mes. Les deux
premiers
accès furent caractérisés par une surdité cortica
fréquemment, et quelques auteurs lui ont accordé une importance de
premier
ordre (Sachs, Obersteiner et Redlich, Nageotte) :
gorgés de sang. Les racines antérieures sont saines. L'examen du
premier
ganglion dorsal coupé perpendiculairement et en
.. 41 ans. Réglée à 13 ans 1/2, elle a été déflorée à cette époque.
Premières
douleurs fulgurantes à l'âge de 16 ans ; depuis
t et de Pal, l'éosine et l'hématoxyline, le picro-car- miu, etc..
Premier
ganglion lombaire gauche, coupé longitudinalement
rome catatonique font encore partie des phénomènes qui sem- blent à
première
vue la contre-partie du négativisme : la cataleps
it clinique désormais acquis. Nous y avons déjà insisté, dans notre
premier
travail avec M. Chaslin; nous n'y reviendrons p
rement, dénote combien les idées sont désordonnées : « La syphilis,
première
cause que j'ai été enfermé, Pillou, voleurs de
rçoit qu'on ne le regarde plus, il reprend brusquement son attitude
première
. Il suffit cependant de constater ce fait à haute
t suivie d'une nouvelle période de dépression plus accentuée que la
première
, arrivant presque jusqu'à la stupeur avec refus d
s d'automatisme ne peuvent être que des co- rollaires. La condition
première
qui en constitue le substratum, c'est l'insuffi
d'activilé volontaire, c'est l'aboulie. Il peut sembler étrange, au
premier
abord, que l'opposition, la résis- tance puisse
comme des phénomènes élémentaires. Si opposés qu'ils semblent au
premier
abord, ils ne supposent pas moins également, « un
amp; Cie, Éditeurs EXOSTOSES MULTIPLES A TENDANCE SUPPURATIVE 353
première
a le volume d'une noisette, la seconde celui d'un
e pas lents et d'attitudes hiératiques » et aux deagalrvu (fête des
premiers
riz). Au VI° siècle interviennent des influence
de cette rénovation et kabouki-shibcrï le théâtre populaire dont le
premier
s'organisa à Kyoto. Le théâtre eut son Shakespe
elui qui se donne la mort est rarement un fou. D'ailleurs, la cause
première
est identique dans les deux cas : hérédité et inf
z tous les deux, une cyphose dorsale supérieure, très nette chez la
première
malade, moins accentuée chez le second, avec peut
ns de la colonne verté- brale. Parmi les 12 observations de notre
premier
tableau, la huitième (Bel, 54 ans) nous semble
cienneté de la maladie n'est pas davantage une cause ; la malade de
PREMIER
TABLEAU. Parkinsoniens avec déviations de la colo
ement est beaucoup plus intense que chez plusieurs malades de notre
première
série (parkinsoniens avec déviation). Au contra
e retrouver, dans ce second cas, une symptoma- tologie identique au
premier
, quoiqu'un peu plus complexe, et une même évolu
du sterno-mastoïdien du même côté, avec prédominance d'action des
premiers
muscles. La tête est fléchie à droite et en arr
d-bot analogue au pied-bot de Friedreich : équinisme, extension des
premières
phalanges, flexion des autres, saillie des tend
pas de douleur. IV Nous avons suffisamment insisté, à propos du
premier
cas, sur l'analo- gie qui, d'après nous, existe
eils et, au contraire, ils sont tous abolis chez Vig. Il y a là, au
premier
abord, une différence fondamentale qui semble n
rès faiblement, les autres réflexes sont toujours nuls. Lors de nos
premiers
examens, nous avions toujours trouvé les réflexes
agonisme entre les réflexes tendineux et cutanés, l'exagération des
premiers
coïncidant avec l'abolition des seconds et vice
nergie musculaire (1). Cette particularité existe encore chez notre
première
malade, mais chez elle l'exploration électrique
XI). L'apparence homogène, quasi-amorphe de ce tissu fait penser ;i
première
vue à un exsudât coagulé. Il n'en est rien cepend
ffer (1), Juliusberger et Meyer (2), Marinesco (3) ; tandis que les
premiers
auteurs n'ont pu ainsi déceler aucune modificatio
mmonium. 464 FÉRÉ ACTION PHYSIOLOGIQUE DE QUELQUES BROMURES 465
première
série comme avec la même dose de bromure de potas
étant pris dans l'acception restreinte que je viens de spécifier.
Premier
exemple CLINIQUE. La malade en question, une nomm
re de la cuisse et de la jambe tirent leur innervation sensitive du
premier
segment sacral, tes téguments du périnée et ceu
du névraxe à des niveaux différents : les points de pénétration des
premières
sont situés à un niveau manifestement plus élevé
à gauche. Déplus, ils sont frappés d'une atrophie qui se remarque à
première
vue. La mensuration, pratiquée à la partie moye
e, dont le cas est à mettre en parallèle avec celui du précédent. A
première
vue il peut sembler que dans les deux cas la mê
ous semblent intéressants. Cette étude est un complément de notre
premier
travail ; elle est particulièrement consacrée à
la méningite, est extrêmement précoce, qu'elle accompagne les tout
premiers
symptômes de la syphilis nerveuse, qu'elle peut m
a lésion caractéristique sur laquelle nous avons insisté dans notre
premier
cas et que nous allons retrouver dans le troisièm
vieilli qui présente une hémiplégie droite remon- tant au début des
premières
crises, c'est-à-dire à l'âge de 15 mois. Elle b
re ; et elles dépen- dent aussi des excitations réflexes du côté du
premier
neurone sensitif. Des prolongements protoplasmi
les de l'évolution assez disparates, pour qu'il semble téméraire au
premier
abord de les rappro- cher dans une description
n'offrent peut-être pas des garanties irrécusables, en revanche ce
premier
chiffre est officiellement confirmé par l'observa
lle gigan- tesque : il mesure 1 m. 98 et pèse 114 kilogrammes. Au
premier
abord on remarque que le corps est augmenté dans
ssies, leurs ongles conformés normalement. Seul le petit doigt a sa
première
phalange fléchie, et ses mouvements d'extension,
et le problème est plus complexe qu'on ne pourrait le sup- poser au
premier
abord. Pour justifier celte assertion, il nous su
le tromper, ils prennent la voix d'un parent, d'un ami, et. si, au
premier
appel, l'homme ou la femme demande ce qu'on lui
igantisme pour se para- chever par l'acromégalie, peut s'arrêter au
premier
stade, sans jamais atteindre le second. On conn
ttre au service de l'homme le plus puissant qu'il rencontrerait Son
premier
maître ayant eu peur de Satan, il se mit au ser
étrie et une voussure assez pronon- cée par suite de la saillie des
première
et deuxième côtes dont la courbure est plus mar
elisant les lettres qu'elle écrivait. Pour l'écriture, dans une des
premières
séances, nous dîmes à la malade d'écrire alors
te de* discussions avec lui, et trouve une enfant malade. Les trois
premiers
jours elle continue à uriner 2,000 grammes, 1,5
st capitale, car elle explique le mécanisme des crises. L'émotion
première
a amené les premiers phénomènes. Cette émotion
ntécédents héréditaires. Intégrité de l'état mental jusqu'à 39 ans.
Première
période dure 3 ans, deuxième période 12 ans ; h
1 ? juillet 1841, jour de l'inau- guration, près d'Helsingfors, du
premier
asile d'aliénés de la région, l'asile de Lapwik
et on demande des asiles spéciaux. A-t-on réfléchi aux questions de
première
importance qui doivent être résolues avant d'ou
' M. Wernicke présente quatorze malades de sa clinique; les deux
premiers
constituent des exemples d'idées présomptueuses o
jeunes savants sont enlevés avant d'avoir produit tout ce que leurs
premières
oeuvres pouvaient faire espérer d'eux, on constat
rme et Dechambre : Des maladies intercurrentes des aliénés, t. III,
première
partie, p. 163 à 188. A. 1865. On peut juger
niâtre qu'il se décide à livrer son oeuvre à la publi- cité. Un des
premiers
, il a utilisé le microscope dans ses recherches,
s se réservent le droit de revision et de dénonciation du traité au
premier
janvier de chaque année. L'application du traité
ocureur général ; le tribunal suprême se rallie aux conclusions des
premiers
juges à raison des conclusions des pre- miers s
atification annuelle. Avantages en nature : logement, nourriture de
première
classe, chauffage, éclairage, blanchis- sage, e
braires associés éditeurs. Narich (B.). Élude sur la fièvre dengue.
Première
épidémie de Smyrne (Turquie d'Asie) en été 1889
genèse. Meynert et Fritsch, ainsi que nous l'avons vu dans leurs
premiers
mémoires sur l'incohérence hallucinatoire (halluc
nclusion. La première, qui entre autres mérites a celui d'être la
première
observation que nous ayons trouvée dans nos reche
mains étaient cyanosées. Elles étaient froides, insensibles. Les
premières
phalanges étaient pâles, insensibles à la piqûre,
ques. 1 Les hystériques ont des émotions faciles et persistantes,
premier
point. Et du fait de l'hystérie, la grande exagér
rveillés et inspectés, il existe des placements autres qui sont aux
premiers
ce que sont chez nous aux asiles certains établis
à la troisième paire dorsale au niveau des apophyses épineuses des
première
et deuxième vertèbres dorsales. A partir du 1 V
10 146 SOCIÉTÉS SAVANTES. pression du lobe frontal gauche et des
première
et deuxième fron- tales droites. Les ascendante
votants, est né à La Flèche (Sarthe) en 1832. Il a fait ses deux
premières
années d'étude (1851-1852) à l'école de médecin
Pitié. L'année suivante il concourut pour l'internat et fut reçu
premier
interne provisoire. Au cours de'l'année 1855, l
ivaguer comme les jours précédents. Devant nous, Maumy, dès notre
première
visite, a joué la comédie de la folie ; pendant
Quant à l'état physique de l'inculpé, il est satisfaisant. Dans les
premiers
temps de son séjour à Mazas, Maumy était un peu p
s, des crises de sommeil. Le malade éprouva un soulagement dès la
première
séance, et après 7 séances tous les phénomènes
même savant à la monomanied'Esquirol; il met en relief que les deux
premières
classes de dégénérés de Morel compren- nent pre
condaire ce sont des psychonévroses tout à fait distinctes des deux
premières
, qui sévissent sur un cerveau ayant bénéficié d
voir. ' Kours psichiatrii. Moscou, 1893. 196 CLINIQUE MENTALE.
PREMIÈRE
CLASSE. DÉSORDRES PSYCHIQUES, SYMPTOMATIQUES ET
sychose polynévritique; en conséquence, quand il débute, dans les
premiers
jours d'une confusion mentale asthénique, il est
bien qu'il avait voulu se pendre, il demeura comme stupéfait. Ma
première
pensée fut qu'il dissimulait. Avec les aliénés, e
es, soit par en haut, jusqu'aux REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 205
premières
racines dorsales. A partir du maximum supérieur,
ent en haut vers les premières racines cervicales et en bas vers.la
première
dorsale. La lésion porte surtout sur le faiscea
typique et s'accompagna de'diverses idées délirantes; c'étaient, en
premier
lieu, des idées de ruine avec des idées de culpab
4.) Il s'agit de deux cas de mélancolie et d'un cas de manie : le
premier
cas de mélancolie est sorti guéri de l'asile aprè
F. V., 1894.) Les hallucinations de l'ouïe ont parfois pour origine
première
des pulsations auriculaires tenant à une lésion
nouveaux crimes, les magistrats se calmeront dans leur beau zèle du
premier
moment. Un autre avantage sera de leur laisser
ropos incohérents, confusion complète des idées qui rapproche cette
première
forme de la seconde. La seconde forme, en effet
f et Cie, éditeurs. L'ouvrage doit comprendre trois parties dont ce
premier
volume ne nous donne que les deux premières, sa
dre trois parties dont ce premier volume ne nous donne que les deux
premières
, savoir : l'embryologie, l'histogenèse et l'his
ernier déborde le noyau lenticulaire en arrière, et se distingue du
premier
par la direction de ses fibres qui, au lieu d'ê
la mélancolie où, rendant hommage à celui qui l'a décrit pour la
première
fois, il lui donne le nom de syndrome de Cotard.
moyen de lutter plus efficacement encore contre l'al- coolisme. En
première
ligne, il faut encourager et soutenir le mouvem
I pavillons pour les tranquilles, un pavillon pour les malades de
première
classe, un autre pour les malades de deuxième cla
ans le bâtiment principal de l'asile et placés sous la direction du
premier
médecin de l'établissement, tandis que les cas mo
de n'a pu encore être faite par nous jusqu'à ce jour. Il parait à
première
vue évident que cet état gastrique doit suivre
et très variable en quantité. Elle se montre surtout dans les- deux
premières
heures qui suivent l'accès convulsif et elle pa
Les attaques convulsives furent assez fréquentes pendant les huit
premiers
jours de la maladie; après ce temps elle semble a
du cerveau du singe correspond, d'après MM. Beevor et Horsley1, au
premier
sillon frontal de l'homme. Le siège de la lésio
lement détruite au' niveau de la huitième paire cervicale et de la
première
dorsale; il y avait dégénérescence descendante et
cinquième paire avec troubles passagers de l'activité cérébrale. Le
premier
cas concerne un homme de cinquante-quatre ans ind
Les mêmes mots se répètent jusqu'à'dix-neuf fois sur 100 chez les
premiers
, tandis que la répétition n'est que de six fois à
le lisait un vers, elle prononçait très nettement les deux ou trois
premières
lignes, puis la parole devenait lente, elle bre
nt une altération rêgressivequi, dans les 330 sociétés' savantes.
premières
semaines, ne va pas au delà du centre voisin. Peu
elles gravures, qui ornent ce volume et reproduisent les traits des
premiers
aliénistes, on aurait voulu trouver un fac-simi
egardé un objet A et qu'elle passera un autre objet B '' l'image du
premier
A persiste et empêche de voir le second ; il fa
uences, les attaques, les sôinnâmbulismes; les suggestions, etc. Ce
premier
caractère de' là'mobilité n'a' pu être' vérifié
aisons.;Pansement iodoformé,laisséseptr,jours en·place;iréunion par,
première
,intention : uof 9dmB(, ernfei si ub9vikhi ob s·tu
onnels.- Rien jusqu'à douze ans, pas de convul- sions de l'enfance.
Première
crise épileptique à douze ans après, avoir eu p
vec des positions bizarres. La position de la malade fait penser au
premier
abord aux athétoses doubles. Les muscles du tro
durée de façon à devenir permanente trois ou quatre jours après sa
première
apparition. Notons que déjà M. le Dr Guy avait pu
obligée de l'attacher avec une camisole de force. Le 9 novembre,
premier
bain statique de trente minutes. La malade est
uffeur de che- min de fer et être garçon de ferme, ce qui était son
premier
métier. Il avait perdu tout souvenir de l'accid
plus importants de sa vie. Il a aussi perdu tout souvenir des deux
premiers
mois passés à l'hôpital, on ne saurait retracer
dont l'évolution se poursuit longtemps encore après l'époque de sa
première
apparition. (Revue neurologique, juin 1893,) E.
social est un besoin d'association et l'horreur de l'isolement. Du
premier
provient pathologiquement l'amour fétiche (cult
e, la température moyenne est en général un peu plus basse dans l'a
première
que dans la dernière. La forme incohérente est
du méde- cin, la victoire restant toujours, en dernière analyse, au
premier
. M. Friand. Il serait intéressant de faire ici
) P. KERAVAL. SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE DU NORD-EST DE L'ALLEMAGNE.
PREMIÈRE
SESSION DE ZOPPOT. Séance du 30 juillet 1894.
qu'ils ont été par des*- architectes qui semblent avoir ignoré les
premiers
besoins de ces malades. Aussi ne saurait-on trop
sile d'aliénés dans le département de la Seine. In-4" de 101 pages;
première
partie. Les sujets traités sont : population; c
s diverses catégories de sujets. Ce mémoire ne sera consacré qu'aux
premiers
, les seconds seront l'objet d'un autre travail.
es femmes dont les occupations sont intérieures. Nous arrivons au
premier
étage qui renferme au milieu un vestibule avec
re à leurs lits en chaussettes. Cette mesure est anti-hygiénique au
premier
chef et dans les services que j'ai dirigés je l
sile de Ville-Evrard, on n'a prévu de cabinets que pour la journée,
première
erreur; on les a dis- posés de telle sorte que
u mal comitial. Diverses conditions défectueuses dans l'hygiène des
premières
semaines, comme le décubitus habituel sur le mê
lation, etc. Il est évident que parmi ces causes, il faut placer au
premier
rang celles qui sont capables d'établir une pré
cette malade a eu des convulsions ; réglée à seize ans, elle eut sa
première
attaque à la suite d'une frayeur, à dix-sept an
urants induits très faibles qu'on augmente progressivement jusqu'au
premier
mouvement de l'animal. Chaque mouvement isolé e
enlève de nouveau les centres corticaux néoformés à la suite d'une
première
ablation ils peuvent reparaître une deuxième fois
momentanément la résistance, puis celle-ci se relève et atteint son
premier
niveau, qu'elle dépasse même un peu. 456 REVUE
tiel et pendant l'application du cou- rant surtout pendant les deux
premières
minutes. Sur le cadavre la résistance reste plu
mblement et la diminution du goitre surtout marquée dans les quinze
premières
séances, après quoi la tumeur demeure stationna
issant un pôle du générateur d'électricité à l'embout métallique du
premier
appareil à douches ; 2° par le jet d'eau sortan
tes deux aussi l'amélioration mentale fut manifeste avant la fin du
premier
mois. Après quatre mois de traitement, l'une de
lles siègent aux régions inférieures, et les lésions des racines.
Première
observation. Homme de vingt-deux ans, chute d'un
certains cloîtres qui étaient obligés de recevoir des aliénés. « La
première
transformation importante et réellement fondament
fut élevé dans les traditions de la famille. Quand son éducation
première
fut terminée, pensant qu'il avait un esprit jur
les de Hollande, d'Allemagne et de France. En 185-li, il publia son
premier
ouvrage, ayant trait à ses visites. Il fut alors
ais une meilleure nourriture, une meilleure hygiène personnelle. Au
premier
rang parmi ces méthodes modernes de traitement
vures de saint Ignace de Loyola, composée d'après les récits de ses
premiers
disciples. Ce sont les dessins de ce livre que
symptomatique d'une véritable névrose vaso-motrice de la peau. La
première
de ces affections est connue des dermato- logis
doit le remonter immédiatement. Or, notre malade n'entendit ni le
premier
ni le second signal, et par conséquent, il est re
laires. » Observation XXI. Accident provoqué le 13 mars 1886 à la
première
immersion : séjour une demi-heure, décompression
malade de vue. Observation XXII. Accident survenu le 13 juin 1883.
Première
immersion, 1 1 heures du matin, ',)0 brasses de
la paraplégie était survenue brusquement et elle était complète aux
premiers
mo- ments de son invasion. Chez le malade de
êtu la même forme que ceux de la vessie, à savoir : chez les deux
premiers
malades, incontinence de matières fécales; chez
res inférieurs, occasionnée peut- être par la fatigue chez les deux
premiers
malades et par le refroidissement chez le trois
illé jusqu'au z juillet, sans accident, quand ce jour-là il fait sa
première
immersion à une profondeur de 18 brasses et res
mois sans accident. Le 20 août 1883, à 9 heures du matin, il faitsa
première
immer- sion à la profondeur de 21 brasses, conc
est difficile à diagnostiquer que quand il y a mutisme obstiné. Les
premier
, second et qua- trième groupes sont faciles à p
marquées par l'apparition de cette maladie. Pendant les dix-huit
premières
années, ce furent plutôt des cas isolés, sévissan
tique fondamentale, propre aux buveurs aliénés ; elle constitue une
première
étape dans le délire des persécutions; le délire
'état mental de chaque malade, au moins chaque semaine pendant le
premier
mois de séjour, au moins chaque mois pendant le r
de rappeler que les dispo- sitions proposées relativement aux deux
premières
catégories d'individus constituent une des prin
de l'accusé ne soit pas isolé. Le défenseur peut soutenir, dans un
premier
système, que le fait n'est pas vrai, qu'il ne peu
à titre subsidiaire en quelque sorte et pour venir à l'appui de sa
première
argumenta- tion, que, d'ailleurs, cet homme n'e
la famille du patient et du patient lui-même. Tel est l'objet de la
première
partie (A) du volume en question, dans laquelle l
plaques, paralysie générale, méningite). Voilà la matière des deux
premiers
chapitres, matière qu'a tout d'abord à traiter
médecins adjoints des Asiles publics d'aliénés, arrête : Article
premier
. Les docteurs en médecine .nommés par la voie d
condition d'âge n'était exigée, arrête : , VARIA. 171 1 Article
premier
. Pourront, à titre transitoire et purement exce
nsitoire et purement exceptionnel, être autorisés à prendre part au
premier
concours d'admissibilité aux emplois de médecin
ier, ce qui explique d'ailleurs l'insuffisance du délai accordé, ce
premier
essai de concours a donné de bons résultats. Ce
mple, le cas remarquable du D1' Osborne, si souvent cité', peut à
première
vue paraître de la cécité verbale ? r Quand on
dans les plis courbes, à l'exclusion des lobes occipitaux. Dans ses
premières
expériences, il négligea l'antisepsie, et delà
sant, pas de frisson ni de fièvre. A 40 heu- res, il fait à jeun sa
première
immersion à 24 brasses de profon- deur et après
availlé à peu près une année sans accident. Le la mai, il fait sa
première
immersion de la journée, à 8 heures du matin, à
let, à son retour à Erine, ayant fait sur les côtes de cette lle sa
première
immersion, à la profondeur de z brasses, il com
de bien-être entre la décompression et l'in- vasion de l'accident.
Première
aphasie motrice trois à quatre minutes de durée
Observation XXXV. Accident survenu le 3 avril, il la suite de la
première
immersion faite à une profondeur de 20 brasses, d
observé de visu. Observation XXXVI. Accident survenu le 10 Octobre.
Première
immersion, profondeur de 16 brasses, séjour d'u
e année et quelques mois sans accident. Le 10 octobre, il fait sa
première
immersion près du Pirée à une profondeur de 16
llé pen- dant trois ans, sans accident. Le 13 août 1883, il fait sa
première
immersion de la journée à une profondeur de vin
, au bout desquelles il s'est fait brusquement remonter. C'était sa
première
immer- sion. Il n'y avait pas de courant de mer
illé pendant un mois environ sans accident. Le 1er juin, il fait sa
première
immersion de la jonr- née à une profondeur de d
n indisposition, il se décide à travailler. Il fait étant à jeun sa
première
immersion à la pro- fondeur de 23 brasses et ap
Le 3 août 1884, de retour de la grande campagne d'été, il fait sa
première
immersion près des côtes d'Egine, à une profondeu
lla pendant une année sans accident. Le 13 juillet 1886, il fait sa
première
immersion à la profondeur de 23 brasses, treize
excitation périphérique, il resterait à démontrer que la réalité du
premier
procédé exclut celle du second. C'est ici, il fau
es causes psychiques, soit par des causes physiques; la réalité des
premières
causes n'exclut pas celle des autres. Pour cite
r. » M. Vizzioli, au mois d'octobre 1888, a montré à la séance du
premier
congrès des médecins italiens, une malade, Mlle
bran- che, puis empiétait sur la face interne de l'hémisphère. Le
premier
sujet, homme instruit et très intelligent, mort à
ieure du côté opposé. Toutes ces fibres forment trois faisceaux. Lé
premier
contient trois systèmes de fibres : 10 des fibr
ale, sortent de la moelle avec la huitième ' paire cervicale et les
première
et deuxième paires dorsales ; des rameaux commu
pulsif qu'il a commis. M. CW1USLT. - Aton malade a été frappé de sa
première
attaque épileptiforme quelques jours après son
ne put pendant une année complète apprendre à l'école que les trois
premières
lettres de l'alphabet ; opéré de ses tumeurs ad
cas d'affaiblissement de la mémoire chez les alcooliques. Les deux
premiers
concernent des épileptiques alcooliques qui, à
e solution présentaient absolument les mêmes inconvénients que la
première
. En conséquence nous l'avons écartée. Alors, comm
votre disposition, et je comprends qu'il peut y avoir un intérêt de
premier
ordre à empêcher que cet individu acquitté, qui
x et s'il doit être interné dans un établissement d'aliénés. Sur ce
premier
point, il ne peut pas exister de difficulté. Il
M. DELSOL. Nous croyons que la justice a le droit, car elle est la
première
gardienne de l'ordre public, et nous vous proposo
'excitable », écrivaient Luciani et Tamburini, en 1878, dans leur
premier
mémoire '. Mais, si ce problème est ici posé da
à-dire à la fréquence de ces maladies chez les Juifs, il semble à
première
vue que la statistique de M. le Dr Korsakoff pa
relativement assez élevé. Mais cette donnée perd son importance, en
premier
lieu, parce que la comparaison des résultats ob
et la volonté du malade jouent un grand rôle; maint malade qui, au
premier
interrogatoire, avait déclaré que toute sa pare
Moscou, six mois avant son admission à l'hôpital. Pendant les huit
premières
années de son travail, le malade se porta toujo
année après, il fut de nouveau atteint de constipation et pour la
première
fois apparurent dans la région de la hanche et du
tement des gens empoi- sonnés par un poison quelconque (l'alcool au
premier
plan, le plomb, le sulfure de carbone, etc.) ou
rvation L1R. Accident provoqué le 25 juillet ci 10 heures du malin.
Première
immersion, 28 brasses de profondeur, cinq minutes
ouleurs articulaires insignifiantes. Le 25 juillet 188t, il fait sa
première
immersion près de Salamis, à une profondeur de
rès beau type de manie transitoire; 2° que nous apprenons pour la
première
fois l'existence de manie transitoire occa- sio
casque, il a été bientôt pris d'une sensation pareille à celle du
premier
accident, c'est-à-dire que sa chaise s'enfonçait
HMPLOI DES SCAPHANDRES. 39, ciforts qu'il était obligé de gagner sa
première
position et de prier ceux qui l'entouraient de
, suivies de vomissements si forts, qu'il est forcé de reprendre sa
première
position et de prier son entourage de ne pas le
l'air comprimé, dès 1874. Vers le commencement de 1874, il a eu son
premier
accident ; le malade ne peut en fixer exactemen
r, c'est-à-dire pendant la compression, les petits symptômes de son
premier
accident. Trois minutes après la décompression
ur de tête. Le 5 août 1880, c'est-à-dire vingt-cinq mois depuis son
premier
accident, il descend à une profondeur de 40 mèt
ent. Hémiplégie gauche, trois jours de durée. Le 20 juillet 1879,
première
immersion, 20 brasses de profondeur, vingt-cinq m
inférieur droit une heure et demie de durée. Le 15 septembre 1880,
première
immersion, 22 brasses de profondeur, une demi-h
llé un mois sans acci- dents. Le 10 juin de cette année, il fait sa
première
immersion à une profondeur de 23 brasses et apr
ue aussi bien qu'avant l'accident. Le 15 septembre 1880, il fait sa
première
immersion de la journée, à une profondeur de 22
ibles à déterminer, hémiplégie droite fugitive. Le 20 juillet 1882,
première
immersion, 26 brasses de profondeur, vingt-cinq
qué, a eu au cours de son travail quatre accidents différents. Le
premier
est un accident cérébral complexe. La perte de
t le malade meurt. A preuve par exemple deux observations dont la
première
est due à l'excellente thèse de M. Alphonse Gai
Des études ont été faites sur ce sujet par il. Kouznetzoff. A la
première
période de l'hyperémie, une grande quantité de ce
s, ont des symptômes complexes tout à fait différents de ceux des
premières
. Lésions des nerfs périphériques dans la phtisi
mbe gauche. Sceur hémiplégique. Rien de particulier à la naissance.
Premiers
signes de cachexie pachydermique. Etat intellec
avec l'effet, le stade congestif, modification anatomique, étant la
première
étape du processus morbide. Au surplus, la premiè
osées avec cette certitude qui vous impressionne toujours. Mais, ce
premier
élan passé, on éprouve la'nécessité de faire qu
des deux éléments de tout acte volontaire, le 496 BIBLIOGRAPHIE.
premier
, l'état de conscience, n'a aucuile efficacité, ta
transformation des excitations en mouvements. Plus tard, le désir,
première
esquisse du caractère individuel, marquent le p
extérieure, c'est-à-dire en une forme parti- culière de mouvement (
Première
partie : notion de l'activité psychique). Aussi
Hystéro-épilepsie chez les garçons, par Lauffnauer, 290. Idiots (
premier
asile d' - en Italie), 335; asile d' en Allemag
sœurs à rentrer dans l'état d’innocence parfaite à l imitation de nos
premiers
parents qui n'avaient aucune honte do leur nudité
e résultat. D'égales peines seraient sans doute infligées à David, ce
premier
directeur du couvent de Saint-Louis, à ce prêtre
’université, l'irréprochable et malheureux jeune homme reçut d’un des
premiers
citoyens de Boston et l’un des plus riches négoci
frappés sur un bout de la table, à la barbe d’un de nos médecins. Son
premier
mouvement fut d’explorer le dessous de la table:
teur Neidhard, de Philadelphie, m'a dit tenir du docteur Grev, un des
premiers
praticiens de New-York, que ce dernier étant un j
la nia-ilecine et la philosophie... Et quand les principes qu’un des
premiers
j’ai formulés relativement à ces forces dynamique
ation sont sensiblement modifiées dans certains moments. Les quatre
premières
magnétisations donnèrent un calme général et fire
Nous trouvons dans son récit un fait qui mérite d’être noté. Un des
premiers
esprits qui se présentèrent à lui à l’aide de l’é
ffronter ses ennemis, au lieu de chercher à les calmer. A cette cause
première
et principale vint se joindre la haine du cardina
cembre 1(53A, c’est-à-dire quatre mois après la mort de Grandier. Ses
premiers
soins furent employés à calmer l’état d'agitation
levant les yeux , il aperçut un corps attaché par le cou à l’une des
premières
branches. On coupa lac orde. — C’est bien lui!
Marie-Antoinette, etc. M. le comte d’Ourches, qui avait assisté aux
premières
expériences, a fini par opérer seul, et a obtenu
ysiologique, la force musculaire, constitutive, matérielle, semble au
premier
abord devoir être le plus puissant auxiliaire pou
sont communiquées par ses semblables, et ajouter une foi aveugle aux
premières
balivernes que lui débite son guéridon, je n’ai p
rin ; sans nul cloute, ce dernier fera ressortir une inconséquence de
première
force que commet cet auteur, inconséquence qui co
rces immenses qui sont partout et qui agissent partout, dont la cause
première
est inconnue et dont, les physiciens, aussi bien
tants ; mais après ce fait il est inutile de les rapporter. Une des
premières
réflexions qui se présentent est celle-ci : lors
es prescriptions qui vont être formulées. — Mercredi 17 décembre. —
Première
consultation. — Diète, privation totale de vin, d
our la vie du voisinage assassinant de ces trop loquaces 'animaux. Ce
premier
mot est grrrratte qu’ils disent en courbant le co
ET, propriétaire-gérant■ CONTROVERSE. i HUOf 11 ('pou se à la
premier
e pur tic de la lettre de M. H F)' Charpi-gnon, i
us de laut de misères morales et physiques et saisir enfin lus causes
premières
et finales de ses amères contradictions!... Que
t avec la civilisation progressive de l’humanité. Les dépositaires du
premier
Livre étaient dispersés, il en fallait d’autres j
ributs. Peut-être même n’en saurons-nous jamais plus sur les causes
premières
; l’harmonie pourrait bien être dans les contraste
ar l’initiation de quelques-uns par Mesmer, puis la propagande de ces
premiers
disciples amenant la diffusion de cette nouvelle
on de lumière Ravive tant d’obscurités; Dieu veut, dans leur gloire
première
, Que sesenfants soient rachetés. L'œuvre imme
tant, Il attire Fidclc aux confins du village, Et, s'adressant au
premier
paysan Qu’il aperçoit sur son passage, Il lui d
tat se transmue, jusqu’à l'intégrité de son retour à la perfection du
premier
type, dans les félicités régionales de l’absolu.
ns de U> (trie. et les instruments, lis lurent le privilège du
premier
homme, c’est-à-dire du proto-type de la race homi
comme une terre sublime, ou plutôt la substance ¡¡indique à l’état du
premier
milieu de la création. Cette terre touche la mais
ce précédente. En terminant, il m'1 dit : Je me nomme Bock, je suis
premier
médecin du roi de Danemark et je viens d'adresser
oms placés désormais, et sous bien des rapports avec juste raison, an
premier
rang de la science. 11 faut que la vérité,-ou ce
re de ces deux passages doit, ce nous semble, avoir fait naître cette
première
réflexion dans l’esprit du lecteur. Quoi ! messie
ous arrêtons pas, comme pourrait bien l’avoir faitM. Baudrillart, aux
premières
pages. Une pensée générale domine cet ouvrage , l
l’autre la Magie magnétique. Si nous sommes arrêté par la volonté du
premier
et par les lois de discrétion pour parler de son
genre; il sa borne à ce que nous pourrions appeler les évocations de
premier
degré, bien préférables en cequ’elles sont généra
bbat, et il en donne pour raison que le démon, l’esprit du mal, cause
première
du sabbat, était, dans ces religions, placé sur l
ourchu ; le branle infernal ^commence, et se prolonge ainsi jusqu'aux
premiers
chants de 1 oiseau matinal, dont la voix a le pou
culte établi. Parmi les circonstances propres au sabbat figurent en
première
ligne les voyages aériens que confessaient avoir
n résulie que les plus célèbres et les plus savants ignorent jusqu’au
premier
mot des causes et des remèdes de cette épidémie,
aladie. — Cela acommencé dans le dos. — Mais, la cause? C’est lacause
première
que ces messieurs voudraient connaître. — Je ne v
eur le baron, J'ai considéré le bon accueil que vous avez fait à ma
première
communication comme un encouragement à vous en ad
ne totale, car avant tout il faut vivre... En arrivant à Toronto, mon
premier
soin fut de m’informer s’il s’y trouvait quelque
acile de vous imaginer qu’à moi de décrire mes sensations après cette
première
séance. L’effet quelle eut sur moi fut d’adresser
i même en approcher. M. Burdin, modifiant loyalement ses conditions
premières
, consentait à ce que le prix fût réputé gagné dès
vous ayez touchéà la moelle. Conclusion : de la moëllc au membre,
première
moitié du cercle ; du membre à la moelle, deuxièm
dé par l’étude, le plus souvent par le hasard, découvre ce fait ; son
premier
soin est de le constater, d'en étudier toutes
ntre la joue et le bâton frotté. Je renvoie, pour plus de détails, au
premier
volume du Cours de Physique de M. Jamin, professe
reprochée , des procédés et des formes académiques, n’ôte rien à mon
premier
motif, surtout quand je parcours la liste des nom
. Jules Favre, le général Lafayette, cité par Arago, etc. Voilà mon
premier
motif : il est de l’ordre moral. Je tire le sec
nt changé ce bloc dans les monnaies primitives, toutes rendues à leur
premier
état. Beaucoup d’autres manifestations extraord
i l’on n’y faisait point participer le principe spirituel comme cause
première
; car, même avec cette puissante coopération, cer
magnétique de Paris, décédé le 24 avril dernier. C’était un savant de
premier
ordre et un des défenseurs les plus éclairés et l
assez confortablement établi pour mon quartier-général, j’allumai mon
premier
cigare..,. ; j’avais! près de moi mes pistolets,
ches, sur lesquelles l'oiseau cherchait à se fixer pour commencer ses
premiers
chants ; un vague et harmonieux murmure s’échappa
pied du château, et les parfums des fleurs ouvrant leurs calices aux
premiers
rayons du soleil achevaient de calmer l’agitation
s faire sentir leur mauvaise influence, ceux surtout venus avec notre
premier
sang, avec le rudiment de vie que nous transmiren
le somnambulisme artificiel, dit encore lucidité électrique. Lea deux
premiers
constituent ce que nous appelons électrisation hu
sation humaine, le troisième porte le nom de somnambulisme ; les deux
premiers
sont purement physiques, le troisième appartient
er. Le dernier état suppose sans doute les deux autres, mais lés deux
premiers
existent indépendamment du dernier. (i) Prate
ant les nuits en prières dans l’église, ne dormant que fort peu et au
premier
coin venu du couvent. Il passait le reste du temp
itude deseser-vir lui-même; il quitta un moment ses hôtes et monta au
premier
étage de sa maison, où se trouvait sa chambre à c
ion humaine, c’est-à-dire tous ceux que nous comprenons dans les deux
premiers
groupes, ainsi que ceux que présente l’état physi
isme minéral. Voici quelques faits qui viennent à l’appui de ces deux
premières
assertions : 1° La pile de Volta, ou le galvani
ucoup de temps pour arriver à replacer le magnétisé dans sa situation
première
, et l’effroi que l’on éprouve Ote l’envie d’aller
rs consciencieux de la vérité, Ce sujet a singulièrement facilité mes
premiers
pas dans la science ; c’est sur lui, endormi ou é
sensible au poignet. Bientôt l’enfant parla, disant : « Boire ! »
première
parole échappée de ses lèvres depuis trente-quatr
endant une amélioration assez prononcée résulterait pour lui de cette
première
expérimentation. Le lendemain (Jeudi) nous no
MENTALE, par Battu de Bounonr, L’essence du moral c’est l’âme. La»
première
fois que je fus admis dans une de ces retraites,
catholicisme de mademoiselle Marguerite Fox, célèbre médium, une des
premières
qui ait présenté la faculté de produire des coups
ces ; trois fois le sujet est tombé en défaillance en s’approchant du
premier
chêne, et, en ce moment, son magnétiseur se senta
e temps trois fois par semaine, le laissant à lui-même pendant chaque
première
demi-heure. On a suivi ses ordres, et, en effet,
tempérament lymphatique, est une des plus célèbres danseuses d'un des
premiers
théâtres italiens. Elle a été atteinte d’une scia
son séjour à la campagne, en se livrant à des expériences. Il fit ses
premiers
essais sur une jeune fille très-impressionnable,
comte de Treurenberg et le baron de Greenwalder, tous deux médiums de
première
force et même supérieurs à Home. — Tout cela est
il y en a qui ressemblent exactement à celles que l’on présentait aux
premiers
chrétiens. On regarde donc aujourd’hui comme inno
teur, semblables à ces mauvais cabotins qui se posent en virtuoses de
premier
ordre et qui sont toujours enrhumés ¡quand il s’a
r s’il avait eu l’intention de transporter les symptômes de chorée au
premier
sujet. Le docteur répondit qu’il n’avait point eu
t pressentir la réponse, interrogea le jeune homme. Les deux ou trois
premières
réponses n’ayant pas été satisfaisantes, il revin
doutait pas que les portes avaient été ouvertes et fermées. Depuis ce
premier
essai, M. Gregerson l’a plusieurs fois endormi d’
du spiritualisme, et des religions naturelle et révélées. Dans cette
première
publication, l’auteur se livre à des considératio
en répandre la connaissance dans le public. M. Vshburner, dans son
premier
essai, n’aborde pas la question du spiritualisme;
her d’où il est parti et se perche au sommet. Alors, il revient à son
premier
état, mais une vache ou un veau se trouve placé e
s corps inorganiques. Mais voici qui les rapproche singulièrement des
premières
idées de Mesmer. Ces pôles, que nous voyons se ma
agnétisation sullit pour la débarrasser de ses violentes douleurs. Ce
premier
fait avait lieu le 8 septembre dernier, vers dix
uel accident avait pu troubler ainsi le résultat si bienfaisant de ma
première
naa-gnétisation ? ù O savants ! venez et approc
ure quelle serait encore la durée de ma captivité, m’en rapportant au
premier
passage qui me tomberait sous les yeux. J’ouvre,
er dans la voie expérimentale. Le succès le plus complet couronna mes
premiers
essais, et dès ce moment je devins un fervent ade
la science ? Je viens, monsieur le barou, vous rendre compte de mes
premiers
pas dans cette belle science dont vous ôtes le pl
, la chimie, la minéralogie, la médecine, etc., etc., ont puisé leurs
premiers
principes à l’école de l'observation. 11 en est d
pourtant, personne ne le conteste, à la tète de tous les peuples. Au
premier
abord, il semble qu’il y ait contradiction dans c
ns de M. du Potet, 375. Métaphysique. De l'essence unique, ou cause
première
de la vie à tous scs degrés, dans l'ordre physiqu
OSNIER ET BABÉ LIBRAIRES-ÉDITEURS Place de l'Ecole-de-Médecine.
PREMIÈRE
LEGON S Leçon d'ouverture. Sommaire. — Créa
e l'avoue, la chaire de clinique des maladies du système nerveux, mes
premières
paroles seront l'expression de ma gratitude enver
sieurs, veuillez le remarquer, constituent nécessairement les assises
premières
de toute construction scientifique en pathologie,
et qu'ensuite on l'abandonne à lui-même, il revient dans sa position
première
, comme par un mouvement de ressort. En outre, ce
s du même genre, dont quelques-uns sont rapportés dans l'appendice du
premier
volume de mes leçons faites à la Salpêtrière. Dan
s sont ornées, offrent un contraste frappant avec l'attitude de notre
première
malade, dont la physionomie trahit un état intell
sse droite, qui est très remarquable. Non seulement la fesse paraît à
première
vue très amaigrie, mais par la palpation on la se
les caractères de deux grands types dont j'ai donné la description. —
Premier
type ou type d'extension. En considérant d'abord
e la main, on voit se prcùiuirTrïnre déformation qui rappelle notre
premier
type, le type d'extension (Fig. 8). On peut fai
nc pas, vous le voyez, contrairement à ce qu'on pouvait s'imaginer au
premier
abord, opposition, ni surtout contradiction entre
. Après ce préambule, j'entre immédiatement en matière par l'étude du
premier
de ces cas. Il s'agit, vous le voyez, d'une jeu
en relief, parce que l'hérédité njvro£§th|ajK3^|u^, vous le savez, au
premier
, mng^dans^ i'étiologie,,ç].el'hystérie. Cette c
ion du pouce est déterminée par l'adducteur, véritable interosseux du
premier
espace, qui est animé par le cubital ; mais l'aut
sseuse, vous nous voyez reproduire exactement la déformation de notre
première
malade, en excitant le muscle opposant dans la pa
stérique et purement hystérique. Et vous voyez qu'en somme ce qui, au
premier
abord, paraissait irrégulier, bizarre, rentre par
près l'expérience, le pouce est revenu immédiatement dans sa position
première
, sans apparence de fatigue, aussi fortement appli
ation s'est un peu améliorée depuis, mais, cependant, l'extension des
premières
phalanges est encore incomplète, ce qui semble dû
e bonne heure (au bout de 14 jours, dans un cas) après le début des
premières
douleurs et dans les cas même où le membre n'a ja
fessier, innervés par le fessier supérieur qui vient directement des
premières
paires sacrées. Quoi qu'il en soit, l'observati
nnervés par le nerf fessier supérieur qui, lui, émane directement des
premières
branches du plexus sacré, que ces muscles, dis-je
alysé des deux membres du côté droit. Mais, dans le domaine des trois
premières
branches, la circulation s'est rétablie, et c'est
était surtout une mémoire visuelle. La vision mentale lui donnait, au
premier
appel, la représentation des traits des personnes
lettres et il récitait en lisant mentalement le passage voulu qui, au
premier
appel, se présentait à lui avec une grande nettet
rriver à l'endroit cherché. 11 ne se souvient plus que des quelques
premiers
vers de l'Iliade et la lecture d'Homère, de Virgi
fait unique ou tout au moins le fait primitif, fondamental. Dans ce
premier
groupe des amyotrophies deutéropathiques, nous ét
à l'esprit d'admettre que l'altération des fibres musculaires, cause
première
de la faiblesse, puisse se produire sans modifica
le tremblement de la paralysie agitante. On voit tout de suite, au
premier
coup d'œil, combien les deux tracés diffèrent dan
ar seconde, et c'est la seule différence apparente qui les sépare des
premiers
. Nous comprendrons parmi eux : 1° Le tremblement
de Basedow. Et une distinction peut être encore faite entre les trois
premiers
et le dernier en se fondant sur ce fait que, dans
t de la sclérose en plaques. Ainsi sont formés, Messieurs, les deux
premiers
groupes de tremblements ou mouvements involontair
t sur le bras, soit en percutant le tendon rotulien, comme chez notre
première
malade. Mais avant de faire naître une de ces a
dire, revenant par accès spontanés ou provoqués, comme dans nos deux
premiers
cas, mais ici toujours entremêlés avec des phénom
ue de l'affection est encore plus nettement accusée que chez les deux
premières
malades. La maladie rhythmée ne s'est pas détaché
pour un rien. En 1883, elle a été réglée pour la première fois : ces
premières
menstrues, qui étaient accompagnées de violentes
ais on ne saurait certainement pas voir là un caractère distinctif de
premier
ordre, — ces caprices, ces changements de caractè
il, lorque 10 jours après l'accident, au milieu de la nuit, il eut sa
première
attaque d'hystêro-épilepsie. Depuis celte époque,
ois et souvent, dans l'intervalle, pendant la nuit, soit au moment du
premier
sommeil, soit au réveil, il était profondément
forte, exercée sur ce dernier point, détermina immédiatement lors du
premier
examen, une attaque que nous pûmes étudier dans t
s un cas où la paralysie datait de 10 mois, devait faire repousser du
premier
coup l'hypothèse d'une lésion du plexus brachial
de se passer. Il est à remarquer que pendant toute la durée de celte
première
attaque, le membre supérieur gauche ri a pas p?*i
ertain nombre des phénomènes observés chez notre malade paraissent, à
première
vue, pouvoir s'expliquer tout naturellement dans
ur lui l'attention, dans ces dernières années. Après avoir obtenu ces
premiers
résultats, nous nous attendions tout naturellemen
particulier dont je vous ai entretenus si souvent déjà. Mais lors du
premier
examen nous avons été déçus dans nos prévisions;
de réparation et de limitation de celle-ci, lequel semble bizarre, au
premier
abord, sans doute parce qu'il n'a pas encore été
lement bien établie, on doit reconnaître qu'elle ne s'imposait pas au
premier
abord et qu'il a fallu, pour la mettre en évidenc
e l'épaule qui, dans la chute, a étéfappée. Le 11 mars, lors de notre
premier
examen, la paralysie était com- Fig. 58]et 59 —
ccent d'autorité, je répète un certain nombre de fois mon affirmation
première
. Vous voyez qu'après quelques minutes de discussi
qui concerne les troubles du mouvement, ce qu'elle était dans notre
première
expérience, c'est-à-dire exactement assimilable
t. Il y a cependant à relever, sur un point, une différence qui, au
premier
abord, paraît bien profonde. Elle est relative, v
ll, Bain. Sens et intelligence, p. 411, Spencer. Psychology, t. I, et
Premiers
principes, p. 216, p. 497. II. Jakson. Clinical a
ne. En résumé, vous le voyez, Messieurs, nous ne trouvons dans ce
premier
examen rien qui soit contraire à l'idée d'une aff
au bout de deux jours, et la main, abandonnée à elle-même, reprit sa
première
attitude. Depuis cette époque, un grand nombre
contracture signalée par M. Yolkmann, il faut placer, d'après lui, au
premier
rang, l'existence de modifications profondes surv
langage articulé ; de plus, tous les deux sont aphones. L'aphonie du
premier
est absolue : à peine lui est-il possible d'émett
ns de les faire ressortir ultérieurement. Je m'occuperai d'abord du
premier
malade, celui qui doit être l'objet principal de
met presque de reconnaître le mutisme hystérique, pour ainsi dire, du
premier
coup, et sans plus long examen. Je raconte souv
mis à l'hypno-tisalion et que, d'un autre côté, on n'aperçoit pas, au
premier
abord du moins, dans l'observation, les condition
rveux. On remarquera que la paralysie motrice n'a pas été complète du
premier
coup et que, dans ce cas par conséquent, comme da
cette fonction, qui précède leur excitation actuelle. » Et ailleurs (
Premiers
principes, p. 216) : « La volition est une déchar
hercher à expliquer le mécanisme de cette lésion. Il semblerait, au
premier
abord, assez naturel de l'attribuer à l'impotence
ctéristique qui permet, pour ainsi dire, de diagnostiquer sa nature à
première
vue et de la distinguer des diverses formes d'aph
application de sangsues, crise nerveuse encore plus terrible que la
première
, mais la fièvre et le délire disparaissaient au b
e, c'est qu'il a eu, en 1884, cinq crises nerveuses ressemblant aux
premières
(en 18G9) en un mois et demi de temps, mais incom
des mouvements des lèvres et de la langue, l'absolue indépendance du
premier
organe dans la production des consonnes et même d
du diagnostic désaffections nerveuses, préciser aussi nettement et du
premier
coup d'œil, tous les cas d'origine hystérique ; m
rniers ne sont mis en fonction que par une sorte de réflexe parti des
premiers
. Cette théorie, M. le professeur Charcot la rejet
ot, une forme d'aphasie parfaitement autonome. TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
LEÇON. leçon d'ouverture. Sommaire. — Créatio
ent produit sou effet. Le candidat fumeur a expié douloureusement son
premier
péché et s'est bien promis de ne pas recommencer.
'il n'a qu'a le vouloir sérieusement. 11 est bien rare qu'après celte
première
séance, il ne reprenne pas courage et qu'il ne di
1873, l'un d'eux s'échappe; le 3 juin, il arrive au colombier de son
premier
maître. Cet oiseau n'avait jamais été entraîné
aux effets de cette drogue orientale. Voici le fait : Lors de mon
premier
séjour en Egypte, en 1866-67, après la fameuse ép
ouvement de compression brusque. Je ressentis un tel soulagement au
premier
bruit imitatif qui se produisit, que je priai mon
hacune, ensemble 133 francs; « Le condamne. eu outre, aux dépens de
première
instance d'appel; « Fixe au minimum la durée de
entretenir une correspondance, de sorte qu'on soit toujours prêt, au
premier
signal de détresse ou de découragement du malade
CONGRÈS DE PSYCHOLOGIE EXPÉRIMENTALE En se séparant, les membres du
premier
Congrès international de psychologie, tenu à Pari
ous pouvons affirmer que l'intérêt du second Congrès a égalé celai du
premier
. L'organisation du Congrès de Londres fait le p
u et que la suggestion resterait sans influence. En effet, les huit
premières
séances n'ont amené qu'un très léger engourdissem
le monde extérieur, amnésie au réveil, etc.). Le résultat de cette
première
séance fui la disparition de la céphalalgie et de
n concours, etc. Il va sans dire que, pour assurer et compléter ces
premiers
résultats, il fallait continuer l'action psychoth
ous supérieurs harmoniques : ils ne font que donner plus de force aux
premiers
. Mais ceux-ci éveillent des sentiments, des senti
ournil la nature elle-même dans chaque son, correspondent aux nombres
premiers
, 11, 13, 17, 19, etc. Les nombres premiers al leu
correspondent aux nombres premiers, 11, 13, 17, 19, etc. Les nombres
premiers
al leurs produits sont donc des nombres complémen
fois. 11 est Juste de dire qu'elle avait versé d'avance le montant du
premier
mois de traitement. Cela a certainement eu beauco
ressentie par lui puisse être représentée par le chiffre 10 et qu'aux
premières
paroles, au premier éclat de son éloquence, il en
se être représentée par le chiffre 10 et qu'aux premières paroles, au
premier
éclat de son éloquence, il en communique au moins
'est ce qui fait que tant d'orateurs mal aguerris sont arrêtés à leur
premier
élan, précisément par le succès de leur parole :
nous parle, mieux nous nous prêterons à ses moindres intentions Notre
premier
mouvement sera de tenir pour vrai tout ce qu'elle
ce: s'il a quelque réputation et quelque commerce avec les esprits de
premier
ordre: enfin t'il est assez heureux pour plaire e
condition, que la crise seconde, ou imitation, présente avec la crise
première
, ou imitée, certaine ressemblance, certains trait
La police dut intervenir, et les magistrats leur firent savoir qu'au
premier
miaulement, des soldats entreraient dans le couve
uges à un point désigné du bras pour produire une profonde brûlure au
premier
moment de l'accès. L'effroi et la mise eu scène p
ce qui est le contraire de la vérité; car il oublie d'ajouter que ma
première
communication sur ce sujet a été faite en 1886 à
ciaire ». (Bull, de la Société de méd. légale de Freinte, tome XII.
première
partie, Paris, 1892) Guinon — « Du dédoublement d
mpression très fugitive d'être teints en beau vert clair. C'était aux
premières
lueurs du matin. Quoique frappé par cette sorte d
chée, la voilà ! Les objets blancs ou gris clair m'ont paru verts, au
premier
moment du réveil, parce qu'à ce moment les centre
ua non de la manifestation du phénomène de l'illumination en vert, au
premier
moment de l'irruption de la lumière blanche au fo
ui disait alors n'avoir pas eu de selles depuis quatorze jours. Mon
premier
essai fut suivi d'un sommeil rapidement obtenu. P
ssis à lui faire faire cinq pas. la longueur de la chambre. « Cette
première
séance est renouvelée tous les jours suivants et
f de clinique des Quinze-Vingts. M. le D- de Bourgon a été l'un des
premiers
adhérents au Congres international de l'hypnotism
tement sons la mais l'une des jeunes filles qui m'avaient servi à mes
premières
expériences. Devant lui. je traverse ses bras d'u
là l'hypnotisme vulgaire. Voici ce qu'il m'écrivait le mardi : - Ma
première
cigarette, hier, après déjeuner, m'a semblé d'un
os enfants, ainsi que toutes celles qu'elles a eues pendant les douze
premières
années de notre mariage, a savoir, maux de seins
e l'aie déjà fait — et, dans tous les cas. qu'il serait impossible au
premier
venu d'hypnotiser en suivant un formulaire. A q
ce. Depuis 1881, idées noires qui ont augmenté d'intensité lors de ma
première
visite en 1888. Elle avait fait une tentative de
à La troisième séance au moyen du prisme et de la suggestion. Dès te
premier
sommeil provoqué, je lui ai suggéré de ne plus av
accouru précisément pour s'opposer au meurtre d'un innocent, est des
premiers
saisis par la contagion homicide, et qui plus est
tion, la période de dépression désirée se montra rapidement dès cette
première
tentative. Nous donnâmes la suggestion : « Vous d
estre animée par le bouffie divin ! Depuis l'origine mystérieuse du
premier
homme, les autres procèdent d'un œuf fécondé qui
ation dont la science a étudié toutes les phases, elle donne lieu aux
premiers
linéaments de l'être humain. D'abord greffé sur l
ai vu souvent depuis, un fait qui a échappé à Darwin, c'est qu'un des
premiers
phénomènes d'une émotion pénible chez le chien es
-cinq minutes, avec amnésie totale après la crise. Le 15 septembre,
premier
essai de traitement par l'hypnose. La méthode hab
de M. Dumontpallier. La corretpondance imprimée comprend les quatre
premiers
fascicules de la Revue de l'hypnotisme allemande
surpris de le trouver réfractaire au sommeil. Si je m'étais borné aux
premières
tentatives d'hypnotisation j'aurais pu formuler,
bout de quinze jours elle reprend ses études et les continue jusqu'au
premier
de l'an, puis rerient dans sa famille, fatiguée d
où elle sautait sur son lit et se frottait vivement la tète comme au
premier
jour de son arrivée. Si on lui parlait alors, la
Forel, le sommeil hypnotique en général, seulement en trois degrés :
premier
degré, somnolence ; second degré, léger sommeil (
s suggestions sont déjà plus facilement exécutées, mais dans les deux
premiers
, l'amnésie n'exisle pas. Dans le somnambulisme, p
deux observations suivantes viennent confirmer leurs conclusions :
Première
observation. — B. B.. , soixante ans, issu d'une
un moyen ne pouvait le détourner du besoin de boire de l'alcool. Au
premier
jour d'un tel accès j'entrepris le traitement, et
a pour le second cas peut donc, en tout élat de cause, s'appliquer au
premier
. L'antiquité et le moyen-àge fourmillent d'exem
eu à peu. Le 21 août, elle put sortir, et le 3 septembre, elle fit sa
première
promenade en voiture. Je confesse, dit à ce pro
sommeil ordinaire est très léger; E.. s'éveille an moindre bruit, au
premier
appel ; mais endormi, il parle souvent et à plusi
ngt-« quatre heures. » 3° Antécédents personnels. —E.. . pendant sa
première
et sa seconde enfance, a eu la rougeole et la var
nuit, même depuis son mariage, quelquefois même auprès de sa femme.
Première
tentative de suicide. — Quelques Jours après sa m
ter à toute impulsion subite, et de réfléchir avant d'agir. Dès le»
première
* séances le tremblement diminua et le sommeil rep
e* séances le tremblement diminua et le sommeil reparut. Forts de ces
premiers
résultats, nous attaquâmes la masturbation- Don
s de lutte à soutenir contre lui-même ; le tremblement avait cédé aux
premières
suggestions et le sommeil de la nuit était devenu
estions les plus énergiques sur la nécessité de ne jamais céder a son
premier
mouvement et de toujours réfléchir avant de parle
is la facilité avec laquelle E... cède aux suggestions et s'endort au
premier
ordre, nous semblant incompatible avec le service
e veut qu'elle se fasse le jour même de sa naissance, après les trois
premières
heures canoniques qui la suivent. Point n'est bes
é par une obéissance automatique plus ou moins grande. Dans ces six
premiers
degrés, il n'y a pas amnésie au réveil, le malade
étiseur. Certains adeptes de l'École de Charcot ont modifié ces idées
premières
. Ainsi, tandis que cet auteur considère les trois
e peut se produire les yeux ouverts où les yeux fermés, d'où les deux
premières
variétés mentionnées dans le tableau de Pitres.
somnambuloïdes sont ceux que nous ont présentés les malades des sept
premières
observations ; ils sont caractérisés par la conse
éthargie et de catalepsie décrites par l'école de Paris et les trente
premiers
sujets que nous avons hypnotisés ne nous ont prés
evons-nous, avec Luys, l'envisager comme le premier ? Dans nos onze
premières
observations, nous avons eu des sujets de plusieu
rs de nature rhumatismale? Quelle que doive être la réponse à cette
première
question de thérapeutique psychique, c'est-à-dire
ne distance plus grande, elle ne ressentait rien. Ayant constaté ce
premier
point, nous avons voulu essayer de charger une st
résenter quelque trace. Nous pourrions dans ce classement mettre en
première
ligne les symptômes d'ordre sensitif : douleurs,
de prise sur celle aberration mentale. On peut donc dire, ce qui au
premier
abord peut sembler paradoxal, que l'hystérique, d
le mot Marie el trace avec son crayon les lettres marie. Toute celle
première
partie de l'expérience n'est qu'une preuve destin
du système neuro-musculaire ne s'improvisent pas. Or, supposer que lu
premier
venu soit capable, par une mimique aussi savante
et tris écouté; il fonde un établissement de consultations gratuites,
premier
essai d assistance publique à domicile; il essaie
e, substances colorantes) fournissent au diagnostic des éléments de
premier
ordre. Mais je puis dire de ces caractères ce que
ntenant que les réflexes cutanés ont une importance sémiologique de
premier
ordre; j'ai montré en effet, et mon opinion est
dans la mise en jeu duquel la volonté peut avoir sa part... Comme
premier
exemple de signe subjectif, prenons la céphalée.
atteint d'une névrite périphérique, le deuxième de tabes et que le
premier
soit un simple névropathe. Je vous ferai remarque
s deux ou trois derniers orteils, c'est dans le premier ou les deux
premiers
orteils que l'extension est ordinairement le plus
ed ne provoque d'extension que dans le gros orteil ou dans les deux
premiers
orteils et donne lieu en même temps à une flexi
tension des orteils ; dans ce dernier cas, ce sont généralement les
premières
excitations qui donnent lieu à de la flexion. C
gauche, il détermine une extension qui est plus forte dans les deux
premiers
que dans les trois derniers orteils. Le secon
uparavant, l'excitation de la plante du pied provoquait ainsi qu'au
premier
jour, l'extension des orteils. Le phénomène des
j'ai émis une opinion contraire et, environ trois semaines après ma
première
consultation, un deuxième examen me permettait
hode ne constitue donc pas une minutie ; telle particularité qui, à
première
vue, semble un détail sans importance acquiert
xe. Outre que la forme de ce dernier n'est pas identique à celle du
premier
, ce qui, à la vérité, est d'une appréciation dé
inférieurs. En résumé, il est assez facile de se mettre à l'abri du
premier
genre d'erreur. L'erreur du deuxième genre es
dans lesquelles on observe de l'irréflectivité en deux groupes. Au
premier
appartiennent trois grandes affections pour le
lles l'absence des réflexes osso-tendineux constitue un symptôme de
première
importance. Ce sont le tabès, les névrites et l
transverses, les compressions médullaires, la syringomyélie, etc.
PREMIER
GROUPE. Tabès. Occupons-nous d'abord de la mala
jusqu'à huit minutes après l'exécution. » . Cette observation, à
première
vue, semble décisive. Cependant on pour- rait o
on des réflexes de défense saute aux yeux, il en est d'autres où, à
première
inspection, elle est douteuse, car la ligne de
défense. Mais dans quelle mesure les deux derniers sont-ils liés au
premier
? C'est ce que nous allons chercher à déterminer,
ns une opinion diamétralement opposée depuis près de vingt ans, mon
premier
travail relatif à cette question datant de t83(2)
ané plantaire fournit au diagnostic différentiel des indications de
premier
ordre, si, au lieu de se contenter, comme on l'
un signe tout à fait caractéristique. J'ai décrit ce signe pour la
première
fois dans mon travail que je vous ai déjà mention
rs défaut dans l'hémiplégie orga- nique, présente une importance de
premier
ordre, au point de vue du diagnostic. Vous po
ier moi-même, concorderaient avec ceux que j'ai notés déjà dans mon
premier
travail sur la paraplégie en flexion et sur lesqu
sociation la longueur sur laquelle la moelle est comprimée. A cette
première
règle nous avons pu ajouter la suivante : Dans
ir dans le fond une opinion analogue à la mienne puisque, dans leur
premier
article sur le retrait réflexe du membre inféri
ue Neurologique, t. XX, p. 121), Pierre Marie et Foix publient leur
premier
travail sur ce sujet. Il est intitulé : « Sur le
longé, la persistance relative de l'attitude en flexion. Dans cette
première
phase, la zone réflexogène serait limitée, comm
ur la neurologie française, que revient l'honneur d'avoir étudié en
premier
les contractures en flexion ; mais c'est M. Bab
uelques concessions tout en conservant en grande partie son opinion
première
. « Il est possible, dit-il, que l'automatisme de
demment. Ce fait que les réflexes de défense m'avaient paru dès mes
premières
observations particulièrement intenses dans les
hologiques ou physiologiques. Il résulte de ce que j'ai dit que les
premières
peuvent être considérées comme l'exagération des
ération des secondes, ou plutôt les secondes comme la réduction des
premières
: de part et d'autre, en effet, on observe le p
ans l'exemple choisi, le mouvement conjugué de flexion a pour cause
première
la tension d'un muscle appartenant au groupe de
ans l'observation I. ces derniers existent parfois en l'absence des
premiers
, il n'en est pas moins vrai que ces deux espèces
la pupille droite est plus petite que la gauche, et on est porté au
premier
abord à faire dépendre ce trouble de la compres
s observations que nous avons faites depuis la publication de notre
premier
travail ont encore fortifié notre manière de voir
parole est scandée, ils ont du nystag- (') J. Babinski (Extrait du
premier
travail : Sur le rôle du cervelet dans les actes
t de rap- procher les résultats de ces deux ordres de recherches.
PREMIÈRE
PARTIE (') La constatation des analogies entre
a trajectoire du mouvement un point en deçà du but. Mais dans leurs
premiers
essais ils commettent des erreurs d'évalua- tio
mer de mouvements, il est invité à se mettre en marche. Or, dès son
premier
pas il est arrêté. La cuisse est fléchie, elle
quement et avec bruit sur le sol sa jambe oscillante, a terminé son
premier
pas, il ne peut aller plus loin ; il est en dange
rappante par son amplitude et sa constance. Nous avons, dès notre
première
communication, rapproché ce phé- nomène du mouv
ébelleux offre des ressemblances avec celui d'un tabétique et qu'au
premier
abord la confusion est possible. Il en est ains
rie de raisons : il par la localisation de l'ataxie : elle porte en
première
ligne sur le tronc, et l'on examine la sensibil
ôle positif. C'est là le vertige voltaïque. . En igoi date de mon
premier
travail sur ce sujet l'accord n'était pas fait
mal qui m'a paru réunir les conditions les plus favorables dans mes
premières
recherches est le pigeon, dont s'est servi Floure
sion artérielle ou de méningo-encé- phalite diffuse. Or, dans cette
première
période, on dispose largement du temps nécessai
-mère n'est pas intéressée ; il est donc rationnel de s'en tenir au
premier
temps si la stase papillaire vient à céder après
guer l'un plus que l'autre. , P. A... exerce son métier depuis sa
première
jeunesse, c'est-à-dire depuis plus de quarante
ts et surtout la marche ont encore plus d'action peut-être. Dès les
premiers
pas, la tète se renverse fortement en arrière et
ié par une exostose. A part cette légère claudication, il semble au
premier
abord que le membre inférieur ne soit pas atteint
t maintenue depuis, comme on peut le constater aujourd'hui. Dans ma
première
communication sur la section du spinal, j'ai dé
on, le défaut d'activité n'est pas aussi complet qu'il le semble au
premier
abord. Quand on l'y invite, elle est en mesure
voici le point sur lequel nous désirons attirer l'attention : notre
première
malade, nous n'avons pas encore étudié à cet égar
à son secours ; ce fait, contrairement à ce qu'on pourrait croire à
première
vue, n'est pas en contradiction avec ce que je
tre foyers primitifs, dont l'un, le plus grand, est tout récent. Ce
premier
foyer s'étend sur toute la moitié supérieure du
i paraissent semblables à ceux qui résultent de la section des deux
premières
paires dorsales ; 1,° Une lésion unilatérale du
s de spasmes qui ramènent immédiatement les membres à leur attitude
première
. Les réflexes rotuliens ainsi que les réflexes de
férieur. Je le trouve abattu, s'exprimant plus difficilement que la
première
fois où je l'avais vu; la marche est possible, ma
du 24 mars 189g. . 328 . PARl'lPLÉÇ1ES -. AFFECTIONS DE LA MOELLE
première
crise, une cure hydrargyrique, nous proposant de
exemple, chez la malade qui fait le sujet de l'observation I de mon
premier
travail, précédemment cité ; elle avait été exa
ent cité ; elle avait été examinée, à maintes reprises, à partir du
premier
jour de son entrée à l'hôpital, époque où elle
abolis. Mais cela n'est pas constant; dans l'obser- vation I de mon
premier
travail, où les réflexes tendineux n'ont jamais
uer ou être très légères, ainsi que je l'ai fait ressortir dans mon
premier
tra- vail. C'est même ce que j'ai toujours cons
sont abolis. Il en résulte un ensemble symptomatique qui parait, à
premier
examen, dépendre du tabes, qui doit être pourta
ningite; remariée ensuite, elle a eu plusieurs fausses couches. Son
premier
mari est mort d'une maladie de la moelle qui l'a,
HIE RADICULAIRE DANS LES PARAPLÉGIES MÉDULLAIRES AVEC ANESTHÉSIE (
Première
note.) IDIM..T. Babinski, A. BARBÉ ET J. JARKOW
ttiré l'attention. Voici l'exposé de ces nouvelles observations :
Premier
malade (quatrième cas). - NI. E..., négociant, se
son extrémité inférieure. Or, de cette dernière notion jointe à la
première
il serait évidemment facile de déduire la longueu
périeure du territoire des réflexes de défense. Voici un exemple du
premier
genre d'erreur : une excitation de la peau au-d
tte manière, en prenant les précautions déjà indi- quées dans notre
premier
travail, en rapprochant les résultats obtenus à
ne dépassa pas 3 ? 8 et le pouls 84. La plaie opératoire guérit par
première
intention. Le soir même de l'opération, la mala
connaître avec certitude les compressions de ce genre, et voilà une
première
question qu'il faut tâcher de résoudre. C'est b
nnel. Quant à l'anesthésie, elle présente les mêmes limites qu'au
premier
examen, mais d'absolument fixe qu'elle était au
ration. L'ensemble des symptômes que nous avons constatés dès notre
premier
examen et l'évolution de l'affection conduisire
rculeuses manifestes des corps vertébraux. Plus d'un an après notre
premier
examen, l'état de la malade n'ayant subi aucune
mérienne. Nos prévi- sions, exprimées avant l'opération, dans notre
première
communication du 6 mars('), ont été, comme on l
n toute vraisemblance, était le fait d'adhérences consécutives à la
première
injection. Si notre interprétation se confirme pa
-elle, ne subit pas de modification appréciable. 9 décembre 1911.
Premier
examen. La malade présente une paraplégie spasmod
'est-à-dire trois semaines après l'opération, la malade est pour la
première
fois en état d'esquisser, sous l'action du couran
a tumeur a subi une importante dégénérescence fibreuse. Dès notre
premier
examen, l'hypothèse d'une compression de la moell
eignaient approximative- ment le même niveau qu'à l'époque de notre
premier
examen. C'est, du moins, ce que nous avait dit
épreuve du lipiodol ; mais l'image qui avait été obtenue dans cette
première
radiographie n'avait rien de caractéristique. D
bille arrêtée à la 3e vertèbre dorsale présentait une forme, qui, à
première
vue, pouvait surprendre. En effet, dans des obs
ns cet état que la malade entre à l'hôpital le 9 février 1925. Au
premier
examen (9 février ig25), la malade'se plaint uniq
e, sans être, croyons-nous, inextricable. Deux questions se posent.
Première
question : Pourquoi, malgré l'existence incontest
hors, ses côtés correspondent au bord externe de l'avant-bras et au
premier
méta- carpien ; l'angle inférieur est ouvert en
il, et provoquent une déformation spéciale de la figure qui, déjà à
première
vue, donne l'impression d'une perturbation indé
s énergiquement que les autres et, parmi ceux-ci, il faut placer au
premier
rang les fléchisseurs des doigts. Les membres i
hésie générale ou d'hémianesthésie, quelque complète qu'elle soit à
première
inspection, chez qui l'expérience habituelle cons
Publié dans la Semaine Médicale, 6 janvier I[JOr;. Ayant fait mes
premiers
pas, dans la carrière neurologique, à l'École /
groupe (émotifs), soit du troisième (réflexes), associés à ceux du
premier
(pithiatiques), en particulier à l'hémi- anesth
onne dans la salle et qu'il doit aller s'asseoir confortablement au
premier
rang. On le voit se mettre sur les genoux de la
faut-il pas y voir, comme quelques- uns de ceux qui assistèrent aux
premières
expériences, une simple fiction ? On peut, en e
noncées pendant le prétendu sommeil hypnotique. Charcot, dès ses
premières
investigations sur les états dits hypnotiques,
s dans la Catalepsie vraie, ils constituent une des illu- sions des
premiers
expérimentateurs, trompés sans doute par des idée
esté. Ajoutons encore que l'un de nous fit partie, pendant les huit
premiers
mois de la campagne, d'une ambulance divisionna
e recul, qu'au moment de l'exode de la population qui, effrayée des
premiers
effets du bombardement de Saint-Dié, s'éloignait
s dès qu'on s'éloigne de la ligne de feu. A 15 ou 20 kilomètres des
premières
lignes, dans les formations sanitaires de la zo
are, du reste qu'un sujet qui a réagi à la première ou aux quelques
premières
excitations cutanées ne présente plus de réaction
fluence d'une contraction volontaire des muscles. Or, chez les deux
premiers
malades de M. Déjerine, cette condition fondame
que celles qui s'adressent directement aux muscles eux-mêmes. » Ces
premières
constatations furent (') John Hunter, OEuvres c
firmer que vous avez affaire à une affection organique. » Dès nos
premières
communications sur les contractures et les paraly
T ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. LENTEUR DE LA secousse musculaire. Un des
premiers
caractères qui nous a frappés au cours de nos i
us l'influence de la réfri- gération et de l'anémie. Il semble, à
première
vue, y avoir une certaine contradiction entre les
rande amplitude. En réalité, le muscle se comporte alors comme au
premier
stade de l'intoxication par la vératrine, l'un
mènes vaso-moteurs sympathiques, eux-mêmes d'origine réflexe. Au
premier
mécanisme répondent, sans doute, les contractures
ammes par injection et d'une injection par semaine. Pendant les dix
premiers
jours les troubles oculaires continuent à s'acc
e le niveau qu'elles occupent. Je ne m'occuperai pas ici de cette
première
question. Je me contenterai de faire remarquer
rs n'avait fait qu'empirer, a commencé à s'améliorer après les deux
premières
radiographies, et que cette amélioration a été in
bles de motilité ont été exclusive- ment localisés pendant les deux
premiers
mois de la maladie, il y a une lésion destructi
logie, 5 juin ig3o). TABLE DES MATIÈRES Pages. Introduction v
PREMIÈRE
PARTIE LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE I. Introducti
. Œuvres complètes, t. v., Poumons. 1 (FACULTÉ DE MÉDECINE, 1877)
PREMIÈRE
LEÇON tudes qui intéressent au plus haut degré
ogie la plus usuelle, la plus vulgaire et il pourrait vous sembler au
premier
abord que, dans ce domaine tant de fois exploré p
os horizons, semer parmi vous l'inquiétude, le découra-gement dès nos
premiers
pas et j'ai hâte, en manière de cor-rectif, d'aff
nfluence toute-puissante de quelques chefs d'école, per-sonnalités de
premier
ordre, exceptionnelles, et qu'il ne sera peut-êtr
s qui entrent dans leur composition. Nous nous attacherons d'abord au
premier
point. Nous abordons là, Messieurs, une questio
deux culs-de-sac : d'où il suit que nous aurons trois culs-de-sac de
premier
ordre, terminés par deux ampoules secondaires.
ci sont greffés de distance en distance sur les canaux alvéolaires de
premier
ou de second ordre et communiquent avec eux par u
moment, les régions supérieures des canaux aériens (larynx, trachée,
premières
divisions bron-chiques), nous considérerons seule
z, un des élèves de Eberth1. C'est à ces deux auteurs qu'est, due h
première
démonstration régulière, indiscutable, de l'épith
cherches. — Lorsque l'animal succombe avant l'accomplissement des six
premières
heures qui suivent l'opération, on trouve dans le
n glomérule, tantôt près d'une artère. Tubes contournés (A, A.). — Au
premier
abord, quelques-uns paraissenl Fig. 26. — Rein
à faire prévaloir — distinctions subtiles en apparence, peut-être, au
premier
abord, — ne peut manquer de ressortir à vos yeux,
est redevable de cette œuvre de débrouillement. Il faut citer ici en
première
ligne le nom de Gillette qui, dans un article trè
rches chez les auteurs étrangers ont été peu fruc-tueuses. CHAPITRE
PREMIER
. DE LA PNEUMONIE CHRONIQUE SIMPLE. I. Anato
dus qui avaient succombé de un mois à six semaines après le début des
premiers
accidents thoraciques. C. Induration grise, ard
complètes, x. v, Poumons. 9 semble devoir appartenir seulement aux
premiers
degrés de la maladie, car dans la plupart des obs
plus ou moins considérable d'un lobe, ou même d'un poumon. Dans notre
première
observation, un poumon tout entier était induré;
30. trouve signalée dans des observations où l'on a pu assister aux
premiers
débuts de l'affection, mais ce ne serait point là
hénomènes qui accompagnent l'induration. — Voyez les détails de notre
première
obser-vation). sans dilatation bronchique, cave
sujet de recherches. Diagnostic. — A moins qu'on n'ait assisté aux
premiers
dé-veloppements de la maladie, et qu'on n'ait pu
ura été plus étudiée, et qu'on sera parvenu à la reconnaître dans ses
premiers
développements, il sera possible d'enrayer sa mar
s, un an après le début des accidents pulmonaires. La lésion était au
premier
degré dans le lobe supérieur, avec des nodules pé
ure, obser-vées chez l'homme, et sur lesquelles M. Moxon 1 a l'un des
premiers
appelé l'attention, s'accompagnent d'une angioleu
iaque. Intestin conges-tionné. Le deuxième cas est fort analogue au
premier
. Pleurésie datant de quinze mois ; affaissement d
deur de cet organe. Cette vue se trouve exprimée déjà par l'auteur du
premier
traité dogmatique qui ait été écrit sur les malad
de tubercules miliaires ni d'infarctus caséeux. Il était évident à
première
vue qu'il ne s'agissait pas là d'un t Zenker. —
organe d'hématose. En effet, elle se divise elle-même enramuscules de
premier
, deuxième, troi-sième ordre, etc.; mais elle port
n n'existe pas encore, où le tuber-cule tout entier en est encore aux
premières
phases de son développement. Il n'y a encore qu
pulmonaires réunies, jusqu'au point où ces dernières se séparent des
premières
pour occuper les espaces interlobulaires. Les pet
l'on compare le tubercule de guérison à une granulation miliaire, au
premier
abord, il y a identité. En quoi donc ce tubercule
les erratiques). Ces données tendraient donc à confirmer l'impression
première
suscitée par l'examen à l'œil nu, qu'il s'agit là
leurs carac-tères des cellules plates du tissu conjonctif. A cette
première
distinction, une seconde vient s'ajouter: dans
d'un malade, sort brus-quement de la salle et se précipite du haut du
premier
étage de l'escalier. On le relève dans l'état le
contre dans le sang à l'état normal, c'est l'existence, au centre des
premiers
, d'un noyau qui manque dans les globules normaux
a profond, et le malade succombe de un à six jours après le début des
premiers
accidents, ou bien il tombe comme frappé d'apople
ocythémie a été poursuivie avec ardeur de-puis l'année 1845, date des
premières
publications de II. Ben-nett et de Virchow sur ce
des amas comme cendrés et plus ou moins larges. Cristaux. — Lors du
premier
examen qui a été fait le jour de l'autopsie, on n
èrement colorés par le reflet des globules rouges; ils paraissent, au
premier
coup d'œil, être constitués par des tables losang
. dans tous les cas de leucocythémie, ils devront prendre place aux
premiers
rangs parmi les altérations caractéristiques de c
. Souffle à double courant dans les vaisseaux du cou. Souffle doux au
premier
temps du cœur ayant son maximum a la base. — OL
certain point de vue, les di-viser en deux catégories principales.
Première
catégorie. Obs. I. — Chez une malade morle d'an
robable que la tumeur, d'abord solide dans toute son étendue lors des
premiers
temps de sa formation, s'est ramollie par la su
rieur du poumon gauche, mais y restant pendant plu-sieurs jours à son
premier
degré; abandonnant ensuite la par-tie primitiveme
e cet orifice pouvait être considérable, bien que le souffle perçu au
premier
temps et à la base fût très faible; car, d'un côt
de 2 cenlimètres de long sur 2 millimètres de large ; le souffle, au
premier
temps et à la base, observé peu -dantla vie, étai
aque un bruit de souffle ayant son maximum vers la base du cœur et au
premier
temps ; ce bruit de souffle est assez fort. L'uri
inct, un peu rude, au second temps, et bruit de souffle plus léger au
premier
temps. Le maximum de ces bruits est plutôt à la b
x encore sur le trajet de l'aorte, on n'entend plus que le souffle du
premier
temps, et encore est-il moins bien distinct qu'au
beaucoup plus faible que le bruit entendu au niveau du cœur à ce même
premier
temps. Ce bruit diastolique vasculaire était sans
s of the Pulmonary Arteries (London Medico-Chi-rurgical Transactions,
premier
mémoire, 1844 ; deuxième mémoire, 1845). Willis (
uoi qu'il en soit, — et ceci est la princi-cipale conclusion de cette
première
partie de notre travail, — celles que nous avons
ant, le 4 juillet 1853. L'é'at fut très satisfaisant pendant les huit
premiers
jours qui suivirent. Dans l'après-midi du huitièm
tères malades fut signalé par Bizot qui le considérait comme l'un des
premiers
indices d'un travail in-flammatoire. Cette observ
ignes de l'infection purulente, surve-nant brusquement après les deux
premières
périodes de la maladie, sont, en réalité, les s
que; 4° artère splénique; S0 aorte abdominale, etc. Rokitansky met en
première
ligne l'aorte ascendante; viennent ensuite la cro
ré (Bamberger). L'auscultation fait entendre un bruit de souffle au
premier
temps, sur le trajet de l'aorte, quand les rugo
n fait à l'appui de ses opinions. Nous devons à Yésale la relation du
premier
cas où cette lésion ait été anatomique-ment const
lusieurs tumeurs anévris-males de l'aorte chez le même sujet. Dans sa
première
statis-tique, Lebert a rassemblé 14 cas de ce gen
emps : avec une impul-sion systolique ; 5° Bruit de souffle rude au
premier
temps ; faible et voilé au second temps ; 6° Br
mier temps ; faible et voilé au second temps ; 6° Bruit ronflant au
premier
temps, beaucoup plus fort qu'à la base du cœur ;
mps ; 7° Bruit rude aux deux temps, plus rude au second temps qu'au
premier
; 8° Mêmes conditions, avec rudesse excessive a
ns, avec rudesse excessive au second temps , 9° Battement simple au
premier
temps, souffle au second (très rare) ; 10° Au p
ent simple au premier temps, souffle au second (très rare) ; 10° Au
premier
temps, il existe un battement et un souffle, qu
u dire de Lebert. D'après cet auteur, les maux de reins sont l'un des
premiers
signes des anévrismes de l'aorte sous-diapliragma
t sans doute en accélérer les progrès. Il semblerait impossible, au
premier
abord, qu'un ané-vrysme de l'aorte fût occasionné
aortique. Il en est de même de la dysphagie, ce qui paraît étrange au
premier
abord ; mais il faut tenir compte de la compressi
ut varier de quelques mois à quelques années : il semblerait donc, au
premier
abord, que les moyens thérapeutiques ne peuvent a
du malade pendant treize jours. Quoique cette opération paraisse, au
premier
abord, assez conlraire à la logique, il ne faut p
la moyenne à ce niveau (Rokitansky.) Il est probable que dans cette
première
variété d'anévrisme disséquant, l'enveloppe extér
ète. On peut établir à cet égard trois catégories, d'après Peacock:
Premier
degré. — Déchirure plus ou moins étendue de la tu
e au péricarde, tan-tôt comprise dans sa cavité elle peut répondre au
premier
, deuxième ou troisième espace intercostal. Lors
ge immédiat; 2° le froncement des parois de l'ar-tère, qui semble, au
premier
abord, résulter d'une ligature ; 3° l'absence de
ongénital de l'aorte avait été admise, il existait un souille rude au
premier
temps, ayant son maximum à la base du cœur. Nous
rité. Le pronostic est moins grave qu'on ne pourrait le supposer au
premier
abord. Chez plusieurs individus, la vie s'est pro
re et comme cireuse de la peau, souffle intense à la base du cœur, au
premier
temps ; souffle continu à double cou-rant dans le
quant la persistance d'une lésion cardiaque. Pendant les dix ou douze
premiers
jours de son séjour à l'hôpital, rien de remarqua
nt, s'est développée ensuite. Nous ignorons quelle a pu être la cause
première
de cette coagulation spontanée du sang dans les a
e et des granulations pigmentai-res. Ces altérations correspondent au
premier
degré de la gan-grène. La nécrose des tissus qui
essins appartenant à la collection de l'auteur TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
PARTIE Maladies des Poumons PREMIÈRE LEÇON le
'auteur TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Maladies des Poumons
PREMIÈRE
LEÇON les instituts pathologiques et la cliniqu
lassiques. On connaît les deux cas qu'il avait observés : chez le
premier
malade, au déclin des oreillons, anxiété inex-
très affaiblie il est vrai, plusieurs mois après la disparition des
premiers
symptômes. Un autre caractère des plus singulie
ffection : l'un de Suell chez une fille de huit ans qui avait eu sa
première
attaque à l'âge de dix-huit mois. L'autre de E.
pouvons affirmer qu'il appartienne au même ordre de faits, ce qui à
première
vue nous semble peu probable étant donné l'âge
ur, sans spécifier aucunement la nature de celle-ci. L'idée, qui au
premier
abord est la plus ration- nelle, est évidemment
térêt réel, n'a pas une signification absolue. En terminant cette
première
partie, faisons remarquer, pour simple mémoire,
mais si les lésions n'ont pu être constatées à l'oeil nu dans la
première
observation, nous avons été plus heureux dans la
RALES MOTRICES. il sont appréciables qu'au microscope si la maladie
première
est récente. Cliniquement, la lésion descendant
té débauché, délaissant le foyer con- jugal, pour vivre entouré des
premières
filles venues. La grand'- mère du grand-père ma
enferma à l'asile de Bétel, et ce n'est qu'un an après qu'il eut sa
première
attaque d'épilepsie. Jusque-là, d'après les ren
auteurs dans la .conception de leurs théories. 52 REVUE CRITIQUE.
Premier
groupe. Lésions matérielles. Il est bien évi- d
adies à manifestations cérébrales ; ils sont les effets de la cause
première
qui provoque la perturbation générale terminée
er satisfaisante et applicable à tous les cas. Les faits de notre
premier
groupe peuvent s'appliquer par l'hyperglycémie,
ue nous paraissent dominer la situation. On pourrait désigner cette
première
catégorie sous le nom de coma diabétique simple
er les accidents de tout autre nature dont nous avons formé notre
première
catégorie. II. FORMES CLINIQUES DU COMA DIABÉTI
'af- faissement général du sujet. Cet anéantissement qui, dès les
premiers
moments, révèle la gravité fatale des accidents,
empoisonnement; ce sont des symptômes d'excitation qui résultent du
premier
contact de la substance toxique avec la matière
us avons noté sept fois le coma acétonémique. Si la cause intime,
première
, qui détermine la fermentation acétonique nous
pe facio-scapulo-huméral, scapulo-huméral, fémoro-tibial. Dans le
premier
cas, quand les muscles de la face sont atteints,
sous-sol renferme les bains et, pour les pensionnaires-hommes de
première
et deuxième classes, un bassin natatoire, dont l'
ils de chauf- fage, la tisanene. Les pavillons des pensionnaires de
première
et deuxième classe sont ainsi divisés : au rez-
, une chambre de bains, un cabinet de toilette. Même disposition au
premier
étage, avec cette dilfé- rence que les quatre c
n de jour au rez-de-chaussée pour lotis les malades, et chambres au
premier
étage. Au rez-de-chaussée, sont : la salle a ma
chaque côté, une chambre à dew lits destinée aux indispositions. Au
premier
, douze malades dorment au-dessus du réfectoire,
avec le bras gauche paralysé ; le lendemain, elle est prise pour la
première
fois de vomissements qui persistent pendant plusi
aient l'un à l'autre SOCIÉTÉS SAVANTES. 95 sur toute l'étendue du
premier
tiers de la scissure longitudinale. Plaque gang
e dépressive) ; le mécanisme est le même pour les psychopathies des
premiers
jours qui suivent la délivrance. Dans ces cas,
ette pression augmente, les capillaires cérébraux sont comprimés en
première
ligne. Cette assertion est inexacte; car, bien
'Uni- versité de Louvain, a été chargé de faire un rapport sur la
première
, et M. le Dr Semai, médecin directeur de l'asile
es. Au contraire, dans son état physiologique régulier ou condition
première
, la malade est plus triste, plus abattue ; elle
tat, elle n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant son état
premier
. M. Verriest a, tour à tour, provoqué l'apparit
at pour boire avide- ment plusieurs verres d'eau. Cette existence
première
ne se maintient que pendant une heure environ,
, les mesures qui remplissent ses nombreuses pages nous donnent, au
premier
FAITS DIVERS. - 125 coup d'oeil, l'idée d'un
se faire internationaler. » C'est qu'en effet l'érudition tient la
première
place dans ce travail ; les matériaax y sont accu
le, souvent désignée sous le nom d'hémianopsie homonyme. Les deux
premières
variétés sont exclusivement causées, d'après l'
l. - z L, 0., lobes optiques (tubercules qundriumenuxJ. - P. 0. C.,
premiers
centres optiques, comprenant le lobe optique, l
de la base, est due à l'altération d'une bandelette optique ou des
premiers
centres visuels d'un côté. Ce diagnostic peut
uit et dix ans, ne cessèrent qu'à l'âge de treize ans, époque de sa
première
menstruation; l'inter- valle qui les séparait é
ommencement de ce second retard (septembre 1869), elle présenta ses
premiers
phénomènes épilepliques, survenus la nuit, pend
février suivant. A la fin de ce der- nier mois (âge, dix-sept ans),
première
attaque de rhumatisme ( ? ) survenant deux ans
où le mal comitial était constitué déjà depuis deux ans. Or, cette
première
attaque, de même que les deux sui- vantes, la m
reste pendant pres- qu'un mois et n'est sensiblement diminué qu'aux
premiers
jours d'avril. Pendant sa maladie, MUe Witt..
st le complément, par des études microscopiques, des expériences du
premier
mémoire sur des chats et lapins nouveau-nés (ab
ait pu guérir; d'ailleurs, abstraction faite de l'âge, cet homme, à
première
vue, aurait plutôt l'air d'un délirant chroniqu
nt en question serait venu au monde bien portant; vers la fin de sa
première
année, on aurait constaté un marasme qui se pro
fournies par l'urine, qui se montrent dès le début de l'abstinence (
premier
jour), se continuent pendant sa durée, ou s'il
ment cette dernière assertion, elles montrent en outre que dès le
premier
jour de l'abstinence, et sur le seuil de l'inanit
obiles. Le siège de la cicatrice frontale, qui occupe le tiiveaudes
première
et deuxième frontales gauches, suscite l'hypothès
. Du 1 1 août à fin septembre, bains à Nenndorf. Pendant les quatre
premières
semaines, vingt-huit bains, auxquels un ajoute
un ajoute tantôt du sel, tantôt du soufre; on le galvanise pour la
première
fois. Amélioration à tous égards. A ce moment, dy
pécifiée à l'aide de l'expression de sénilité précoce appliquée aux
premiers
; dans la paralysie générale, la lésion, qui porte
ration horizontale de ? locaux d'ha- bitation et des dortoirs ; aux
premiers
sont adjoints des jardins dont l'accès est très
lle réunira 200 malades qui y prendront leurs repas VARIA. 323 Au
premier
étage, deux grands dortoirs de 50 malades chacun
isolement. Lequar- tier du lazareth comprendra : à l'entresol et au
premier
, quatre ailes en forme de pavillons de chacun 1
ade de lre classe, mais en relation avec salon de conversation ; au
premier
étage, chambres à deux lits. Les malades de 30
e centre, dans sa conscience troublée par le morphium, prenait au
premier
moment cette irritation faible comme relâche, m
dérés aussi par MM. Charcot et Richer' comme réflexes spinaux. En
premier
lieu, ils traitent des réflexes tendineux, ils le
mer phénomènes de suggestion. La différence entre les réflexes du
premier
ordre (spinaux) et ceux du deuxième ordre (cort
et de là dans les racines anté- rieures : c'est l'arc de réflexe du
premier
ordre; ou bien, passant par la substance blanch
lui seul, ou bien tous les deux arcs ; l'interruption de l'axe du
premier
ordre seul doit être très rare. Ces conditions
mple loi physique, elle produira un effet plus fort dans celui du
premier
ordre. Donc, plus la voie du réflexe du cerveau
ils sont accablés très vite de sommeil. L'exagération du réflexe du
premier
ordre produit les phénomènes dont la loi de Pfl
es antagonistes se contractent et que la raison de ces derniers aux
premiers
détermine la sûreté, la direction et la grandeu
ulpée de vol, avait été jugée par l'une des chambres du tribunal de
première
instance, et condamnée à trois mois de prison.
sentiment de vive émotion; elle a peur, et, après avoir 'épondu aux
premières
questions, elle est prise d'un état synco- pal,
elle les acci- dents nerveux peuvent reparaitre avec leur intensité
première
. Dans ces conditions, le vol pour lequel elle e
ce fut pendant sa convalescence que, sans cause connue, éclate la
première
crise. A ce moment, se manifeste une légère surdi
Réflexions. En résumé, voici deux nouveaux faits qui, joints à nos
premières
observations, nous démontrent à n'en pas douter
tions internes, on réussit dans le cin- quième des cas relatifs aux
premières
, et quatorze fois sur les autres. Les faits pos
sur des considérations a priori : l'expérience n'a pas confirmé les
premières
; la marche de la science a renversé la base sur l
ont un attribut donné, un individu ou des individus ressemblent aux
premiers
par certains autres attributs, donc ils leur re
recours à l'hypnotisme. Et il faut les féliciter d'être entrés les
premiers
dans cette voie expérimentale. Les résultats déjà
, au moyen d'un état de cons- cience intermédiaire qui ressemble au
premier
état, qui est associé au second, et qui, en se
service des aliénés et de créer un établissement spécial pour leur
première
admission. Cet éta- blissement contiendrait cen
. Zeiiker, 286. Zohrab, 405. EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE
PREMIÈRE
FOYER DL RAMOLLISSEMENT AYANT DÉTRUIT LA MOITIE
é atteinte de mal de Pott. Mlle D... a eu des convulsions dans sa
première
enfance. Elle jouit d'ailleurs d'une bonne sant
.de vue de l'hérédité. Antécédents personnels : Convulsions dans Ja
première
enfance; à l'âge de dix ans, tic convulsif du m
attribuait rétrospectivement l'analgésie hystérique, il citait au
premier
rang MusciusScévola. Il estimait, avec toute ap
mple de les nier que de les interpréter. N'oubliant rien des leçons
premières
que j'avais re- çues au début de mon éducation
la tête une sorte de déplacement latéral qui se marie très bien au
premier
mouvement rythmique. Ces mouvements ayant duré
tion de la cons- cience. - Cette conservation de la conscience au
premier
abord paraît complète puisque ledanseur s'in- t
ne sai- gnée. Le malade succomba cinq heures après l'invasion des
premiers
accidents, et ne fut pas observé pendant les deux
ne. Nous cite- rons encore, parmi les observations parues dans la
première
moitié de notre siècle, c'est-à-dire durant une
tre part le corps résistant ou pressant ». De ces sensations, les
premières
c'est-à-dire les sentiments liés aux états de ten
vements bilatéraux parfaitement coordonnés. G.-H. Lewes, dans son
premier
ouvrage (Physiology of Common Life, 1860) admet
h. Bastian qui s'est montré le défenseur de cette opinion. Dans son
premier
mémoire sur le sens muscu- laire (Brit. Med. Jo
ril, je fus appelé auprès d'une femme de trente et un ans, pour son
premier
accouchement. A l'examen, je trouvai les diamèt
normal que doit con- sister une des tâches les plus importantes du
premier
congrès des aliénistes russes. Les debats qu'a
dispositions des articles 7, 8, 16, » etc. Il me suffit de lire ces
premiers
mots où l'article 7 est visé pour faire comprendr
aitement, et je n'ignore pas que, lorsque, dans les trois ou quatre
premiers
mois, l'aliéné ne peut pas être ramené à la rai
accepté celte seconde paitie de l'amen- dement ; elle maintient sa
première
rédaction, qui n'excepte que les ascendants, le
endants, le conjoint, le frère ou la soeur. Elle s'en lient à cette
première
rédaction et je crois qu'il est inu- tile que l
n est celle même que le Gouvernement vous avait proposée dans son
premier
projet; nous nous y sommes ralliés et nous la con
idi. Au bout de quatre semaines, la jeune fille recouvra sa santé
première
. L'usage des pieds et des mains qu'elle avait aup
cause, je n'ai.pas la prétention d'approfondir le fait. Je mets en
première
ligne ce que j'ai avancé, laissant à chacun la
èlement ce qu'ils ont avancé. Nous' com- mençons donc par mettre en
première
ligne la savante lettre écrite sur cette même j
A 1 Hôtel-Dieu de Cbâleau-Tbierry, les deux cabanons sont situés au
premier
étage de l'ancien bâtiment de la boulangerie, a
et qui, bien que liées intimement à l'hystérie, pourraient être au
premier
abord facilement méconnues, tantla névrose qui
faiblesse qui lui semblait étrange. Voici ce que je constatai : A
première
vue, l'avant-bras et la main du côté droit, pa-
urs sans laisser de trace, alors que les désordres sensitifs, cause
première
du mal, persistent sans modification. Au nom
ralysies généralisées, décrites pour la 222 2 PATHOLOGIE MENTALE.
première
fois par Gubler, n'ont absolument rien de commu
ultat un strabisme diver- gent de l'oeil du côté blessé. Vers 1882,
premiers
signes de la paralysie générale à laquelle il s
pas une prédisposition à la paralysie générale. Or, à cet'égard uu
premier
point me paraît à noter : lorsque l'on étudie l
t mois; - parole et marche tardives ; - rougeole; - ophthalmie. -
Premier
accès à dix-sept ans; vertiges ; aura procur- s
ssance. - Elevé en nourrice au sein et au biberon (lait de chèvre).
Première
dent à cinq mois. A dix-huit mois, étant encore
et oncle maternels morts de phthisie. Chute pendant la grossesse. -
Première
crise procursive à trois ans. Pleurésie. - Mort
ait; il n'a jamais été intelligent. C'est à trois ans qu'il eut son
premier
accès convulsif : tout d'un coup il quitta la m
moins long et que fréquemment l'aura n'est signalée que lors des
premiers
accès. III. Épilepsie POST-PROCUItSIVE. Les p
l'époque de sa sortie du chemin de fer (dix-huit ans), il a eu ses
premiers
accès, il tombait comme une masse, était roide,
le maternel, imbé- cile. Vertiges procursifs à trois ans et demi.
Premier
accès à huit ans. Accès suivis de course. Carac
d'un idiot qui, fils et petit-fils de maîtres-tambours, exécuta du
premier
coup un roulement lorsqu'on lui présenta un tam-
les touches. Dans ces mouvements, les extenseurs du poignet et des
premières
phalanges sont à l'état de tension (extenseur c
es écrivains; l'auteur attribue cette différence à ce que dans la
première
, les muscles intéressés sont plus volumineux, plu
vie future pour être le vrai Messie attendu et annoncé depuis la
première
faute de l'homme créé à son image. Gloria, Gloria
c tant de dévouement, n'ait pas eu la satisfaction de proposer le
premier
la sortie du malade à l'autorité administrative.
s par des lésions cérébrales ; les sujets frappés n'offrent point à
première
vue les signes de l'hystérie et le diagnostic d
troisième assistant à l'asile d'Utica, puis deuxième en 1852, enfin
premier
en 1853. Il avait alors 38 ans. La même année i
emmes; le nombre total des heures de réclusion a été de 204 pourles
premières
, et de 326 pour les secondes. Depuis plu- sieur
divers incidents de son existence. Réglée à onze ans, le jour de sa
première
communion, ses règles ont été toujours régulières
Il semble que ce soit sous cette influence que s'est produite la
première
attaque de sommeil, le 22 novembre 1883. F... se
et scapu- laire droites ainsi que les apophyses épineuses des trois
premières
vertèbres dorsales. Le réveil se produit, d'ail
r dans le cabinet de M. Grasset, ne se rend pas même bien compte au
premier
abord de l'en- droit où elle se trouve ; quand
uivant l'or- dre reçu, dire bonjour à M. Grasset, qui se trouve aux
premiers
lits de la salle des femmes. Elle tombe immédia
bras en croix et l'abolition de la parole. On la ramène en crise du
premier
type par la compression du poignet. 22. L'aya
re. En dehors de ces attaques, que nous appellerons « attaques du
premier
type », F... en présente d'autres un peu différ
l'intelligence. Tandis qu'elle entend et parle dans l'at- taque du
premier
type, elle n'entend ni ne parle dans l'attaque
de cercle. Cela parait donc plutôt être une attaque réduite à sa
première
période, à la phase tonique de la période épile
tout le corps. A côté de ces caractères communs, dans l'attaque du
premier
type, l'ouïe et la parole sont conservées, tand
UE NERVEUSE. magistralement étudié et décrit à la Salpêtrière. Un
premier
caractère capital, qui différencie absolument n
ur HISTOIRE D'UNE HYSTÉRIQUE HYPNOTISABLE. 349 la faire passer du
premier
au second type de l'attaque spontanée, du premi
a faire passer du premier au second type de l'attaque spontanée, du
premier
au second degré de son som- meil pathologique.
ue. On peut déterminer le passage in- verse et revenir du second au
premier
degré en com- primant une des zones hypnogènes,
s avions obtenu par la compression du facial : elle est passée du
premier
au second type, du premier au se- cond degré.
mpression du facial : elle est passée du premier au second type, du
premier
au se- cond degré. Les différences avec l'éta
tion. Les uns et les autres existent. Notre malade fait partie du
premier
groupe : c'est une hypnotisée à caractères soma
ué est entière- ment dominé par la suggestion. F... appartient au
premier
groupe : c'est une hysté- rique antérieure, une
encore classique, c'est que, ne considérant que les hypnotisés du
premier
groupe, c'est-à-dire les hystériques hypno- tis
pposé, puis la cuisse et le front du côté gauche. La localisation
première
des troubles du mouve- ment et de la sensibilit
et tremblement consécutif. Parésie et tremblement du malade dès sa
première
enfance. Placé en hospice à huit ans. - Difficu
ré. Deux soeurs mortes de méningite. Conception durant l'ivresse.
Premières
convulsions prolongées à trois mois, secondes c
on, dix-sept ans, cordonnier; a eu des convulsions internes dans la
première
enfance; puis, de trois à quatorze ans, des doule
au sein par sa mèrejusqu'à dix-huit mois. A trois. ou quatre mois,
premières
convulsions; jusque-là il était fort et paraiss
âchoire inférieure, treize dents; manquent une molaire droite, deux
premières
molaires gauches, une molaire droite cariée. Ar
maman, merde, salope, couillon. » Il répète devant nous, les trois
premiers
mots; nous voulons lui faire répéter les autres
sont très peu prononcés tandis qu'ils l'étaient notablement dans la
première
phase. La préhension de la cuillère exige les m
sigmoïde (en arrière du sillon crucial), du segment postérieur des
première
et deuxième circonvolutions primitives, de la p
ent de M. Bardoux, qui préjuge dans les deux der- nières phrases du
premier
alinéa la solution de la question con- tenue da
titulé : Comment doit-on soigner les aliénés ? par le Dl Gran- ger,
premier
médecin adjoint de l'asile de Buffalo'; l'autre :
s du dehors. Plusieurs d'entre vous n'ayant reçu aucune instruction
première
avant leur admission à l'asile, se sont abstenu
Archives de Neurologie T.XIV. PU EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE
PREMIÈRE
ATIIÉTIIOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ OBSERVATI
Il se laissait influencer par ses familiers et par ses affranchis. Sa
première
femme, Messaline, exerça longtemps sur lui l'asce
forces. Figurez-vous, que pour monter votre escalier [car j'habite au
premier
) j'ai été obligé de me reposer trois fois. L'admi
, chaude ; d'autres ont une voix plate, qui ne porte pas, froide. Aux
premiers
l'émotion; les seconds distillent l'ennui. -Te
M. de Coynart ; M. le D' Roulin ; M. le Dr Bosy, médecin major de
première
classe ; M. le Dr Hahn ; M. le Dr Gascard ;
cevoir de M. le professeur Edmond Perrier, qui fut, au Muséum, un des
premiers
maîtres du Dr Bérillon. Paris le ¡8 Juin igo6.
ifs applaudissements.) Et pourquoi Dumontpallier avait-il jugé du
premier
coup que nous étions faits pour tirer la charrue
ntéressants et si variés ont été couronnés par le succès. Un de vos
premiers
ouvrages a pour titre : L'œuvre scientifique de P
4 cas ils n'ont eu lieu qu'à la première séance, et une fois aux deux
premières
; donc G hypnoses sur plus de 50.000 ont présenté
rre lasse, je finissais par me coucher. Or presque régulièrement, mon
premier
sommeil était occupé par un rève, ayant pour suje
préoccupation marquée ; je résolvais mon théorème en rêve pendant mon
premier
sommeil, avant tout repos appréciable. Ne bénéfic
r une culture générale digne de ce nom, en contact avec la science de
première
main, la seule qui soit attrayante et féconde, la
ous. Un banquet, sous la présidence de M. le professeur Beauvisage,
premier
adjoint au Maire de Lyon, a réuni les membres de
borieuse et brillante carrière, et je suis heureux d'avoir été un des
premiers
à discerner ses mérites. Mais avant de vous en en
er sous silence sa franchise et l'indépendance de son esprit. Dès nos
premiers
entretiens, je le voyais avec plaisir, en enfant
Société d'hypnologie, dont la fondation avait été décidée à la fin du
premier
Congrès international de l'hypnotisme, il assumai
de Troisième. Après chaque composition, il dit à sa famille qu'il est
premier
, second ou troisième. Chacun est fier de lui; on
, spontanément, les mots suivants lui tombent des lèvres : « J'ai été
premier
! » Il n'est même pas stupéfait de l'énormité d
maine, il annonce régulièrement qu'il a eu l'une ou l'autre des trois
premières
places. Il n'est nullement préoccupé de l'immoral
plus évidente, à savoir que la suggestion hypnotique est un agent de
premier
ordre dans les cures d'orthopédie mentale et mora
ts et autres phénomènes du même ordre, même lorsqu'on leur attache, à
première
vue, peu d'importance. Il faut leur donner une da
ommencement du mois d'octobre 1877, j'arrivai à Paris pour prendre ma
première
inscription de médecine, j'étais dans une situati
sant.. Sans s'être jamais écartée du programme inscrit en tête de son
premier
numéro, elle entre dans la vingt-et-unième année
services que la .Revue de l'Hypnotisme a rendus, il faut inscrire en
première
ligne l'organisation des deux premiers Congrès do
a rendus, il faut inscrire en première ligne l'organisation des deux
premiers
Congrès do l'hypnotisme. Ce fut d'une façon fort
é des suffrages. (Applaudissements.) Un des principaux résultats du
premier
Congrès de l'hypnotisme fut de donner naissance à
un seul instant de sa présence. Le jour de ma leçon, il arriva un des
premiers
. L'allocution qu'il prononça fit profondément vib
r, membre dévoué de la Société d'hypnologie, qu'on trouve toujours au
premier
rang lorsqu'il s'agit de soutenir des causes just
ici plusieurs de ses représentants les plus éminents. Je saluerai en
première
ligne le Dr Go-don, fondateur et directeur de l'E
t dans tous leurs membres. » (S. L., p. 152.) « Les époptes dans leur
premier
sommeil dorment ordinairement avec une sorte d'in
us important et le dernier de Braid. « Depuis la publication de mon
premier
livre, dit Braid, j'ai poursuivi mes études sur l
réel c'est ce qui se présente pour les états les plus superficiels du
premier
degré du somnambulisme. Dans la circonstance qui
ent, l'état d'hypnose est facilement produit comme une suite de cette
première
suggestion directe. Le second cas présente un p
rent, comme s'il cherchait à regarder à son centre. Pendant les dix
premières
minutes, le sujet tiendra les regards fixés sur l
trois séries de trois suggestions. Le malade devait lire les trois
premières
pendant la première semaine, la seconde série de
ues. Ce ne sont pourtant là que les angles de la Base. Tétralogique à
première
vue, la grande Pyramide est quinaire par son somm
aissés par leurs parents, moralement abandonnés, peuvent être pris au
premier
abord pour des enfants anormaux. Un interrogatoir
alisée. Ma cliente m'écrit de Durban qu'elle a pleinement joui de son
premier
voyage sur mer. Elle a passé trois semaines consé
meil léger. Arrivé à Batavia, il me décrit son voyage, me donne ses
premières
impressions. Non seulement, me dit-il, je suis re
mi les manifestations objectives de l'intimidation, il faut placer au
premier
rang l'apparition de la rougeur ou de la pâleur.
egrés successifs, ils en arrivent à éprouver de véritables pho6ies,au
premier
rang desquelles il fautplacer Véreutophobie. Que
-pectant attention, la désignation importe peu, qu'ils reçoivent leur
première
éducation sexuelle. Il n'y a donc rien d'étonnant
me, à un sujet très hypnotisable. De là, la ténacité et la fixité des
premières
impressions normales ou anormales de la vie sexue
econd perfectionnement de ses aptitudes physiques? Il semble être, au
premier
abord, une conséquence du premier. On serait asse
tudes physiques? Il semble être, au premier abord, une conséquence du
premier
. On serait assez disposé à admettre qu'ayant à sa
, la pratique habituelle de l'exercice corporel. Elles pourraient, au
premier
abord, sembler suffisantes pour expliquer le perf
s, le cas de l'enfant T... est beaucoup moins grave qu'il apparaît au
premier
aspect. Il s'agit là d'une enfant mal élevée, che
que de préciser la nature de ces accidents ; on serait même tenté, au
premier
abord, de penser à une attaque d'épilepsie, affec
avoir : « le concours de l'agrégation est supprimé. » Mais à peine ce
premier
article était-il voté, qu'effrayés de leur propre
par des emportements. Avare dans l'espoir de rendre à sa famille son
premier
éclat, hautain aux Etats de Bretagne avec les gen
d'enfants intimidés qui ont gardé toute leur vie l'empreinte de cette
première
éducation. Quelquefois les enfants sont livrés
toutes les classes de l'école; dans chaque classe, il a toujours été
premier
; il est la gloire de l'école, aime à répé- te
le Traité des névroses, rédigé en collaboration avec Axenfeld. Un des
premiers
, le D' Huchard a fait connaître en France l'impor
rd a fait connaître en France l'importance de la neurasthénie; un des
premiers
, il a démontré le rôle des troubles psychologique
nt abordé la clientèle sans avoir la moindre notion d'obstétrique. Au
premier
rang de ces professeurs brillait un remarquable p
ans une sorte de provisoire, de situation d'attente. Cependant, à
première
vue, rien n'aurait été négligé dans les combinais
s par les lignes, les volumes, les couleurs elles mouvements. • Aux
premières
époques guerrières, les hommes se préparant à com
. Craignant de révéler son émotion à ses parents, elle s'arrêtait aux
premiers
vers et feignait d'avoir oublié le reste. Connais
ister à leurs efforts et à leurs succès. Les timides qui arrivent aux
premières
places à la suite d'une série de victoires rempor
remèdes qui lui ont été prescrits auront toute action efficace; cette
première
forme de suggestion, celle que subit le malade de
cultés mentales chez l'adénoidien. « Major qui, en 1885, fut un des
premiers
à noter la coexistence de la respiration buccale
s praticiens de France. Après ces votes de principes, l'œuvre de ce
premier
congrès pouvait être considérée comme terminée. E
s, correspondent exactement à celles que j'avais formulées. Une des
premières
personnalités auxquelles j'avais cru devoir offri
is à visière arrondie, (forme non angulaire nécessitée par la matière
première
employée), mais les « casseurs d'assiette » s'emp
n tricorne chez le successeur du roi du grand siècle. Les shakos du
premier
empire, avec leur évasement orienté vers le ciel,
iquer à la Société deux qui présentent un intérêt tout particulier.
Premier
cas. — II s'agit d'un jeune homme de dix-huit ans
ysiologique, manque de la régénération qui est la caractéristique des
premiers
âges de la vie... La sénilité est un ensemble ext
». La dissolution suit en un mot un ordre inverse de l'évolution des
premiers
âges. Preyer écrit de l'enfant : « L'évolution
la réalité, cette fois, du manquement aux statuts du concours, et aux
premières
règles de l'équité, il n'eût point ratifié ces no
de Sylvabella (Var), ainsi que de MM. Barthe, médecin vétérinaire en
premier
, et A. Vogel, homme de lettres. Ces candidatures
Paris, 1907. Antoine Dupin : Le dogme de la Trinité dans les trois
premiers
siècles, in-12, 77 pages Librairie critique, Em
agent physique,' doit d’abord être étudié. 11 est la base et la cause
première
de tous les phénomènes que nous aurons à examiner
l'existence de l’agent qu’on appelle communément magnétisme animal.
Première
expérience. Me prenant moi-même pour une machin
CTIONS CHRONIQUES ANCIENNES, SYSTÈME NERVEUX PEU 1MPRESSIOSNABLE.
Premiers
effets : Légère chaleur, respiration plus marqu
se continue pas; vous ne pouvez plus même reproduire lo sentiment des
premiers
effets. Si la nature refuse de vous suivre et d
s celles d’un homme en délire ! La porte, fermée à clef, céda à ses
premiers
efforts, tant ils étaient violents. Une seconde p
e votre silence, cher et respectable ami ; je vous ai envoyé les deux
premières
feuilles de mon mémoire pour servir d’introductio
e les autres nations, comme de la liberté, en soient redevables de ce
premier
bienfait de l’art infaillible de se préserver et
ments pour le nourrir. De même, comme la maladie considérée dans sa
première
cause n’est qu’//z?, ce moyen de. la nature n’est
ociétés philanthropiques qui se sont formées pour cet effet depuis ma
première
apparition en France; pour qu’on puisse se dispen
ra servir à la construction du nouvel édifice des sciences. Dès nos
premiers
pas dans la carrière que nous poursuivons, nous a
mblait ne pas devoir tarder; la famille du reste s’y attendait à la
première
syncope. Qu’aurais-je tenté après les mille moyen
t la faire descendre. Pour ceux de nos abonnés qui ont souscrit aux
premières
conditions, les 5 fr. qu’ils se trouvent, par sui
onnées à l’impulsion et au magnétisme qu’elle n reçus, ret rouvera sa
première
direct ion et s’y fixera. C’esl ainsi que l’har
ps organisés, une fois troublée, doit éprouver les incertitudes de ma
première
supposition , si elle n’est appelée et déterminée
n rie peut être pour quelque chose dans les résultats. PARALYSIE.
Première
observation. E. Bnrret, Agé de vingt-quatre ans
qui cessent d’être purement physiques. § I. — EFFETS DU HACHISCH.
Première
observation. De tout temps, les Orientaux, à qu
t odieux témoin qui vous accompagne partout, que j'ai compris pour ¡a
première
fois quelle pouvait être l'existence des esprits
la nature à revenir sur scs desseins et à reprendre en sous-œuvre son
premier
ouvrage. Cela ne se peut faire sans une connaissa
ombinaisons, si je puis dire. Vous avancez ou retardez l’invasion. Ce
premier
pas fait, vous ôtes bientôt maître du mal. Dans
nt parvenus à reconnoitre son existence, mais à peine ont-ils fait ce
premier
pas qu’entrainé au delà du vrai ils ont prétendu
erfections des humeurs, qu’on doit regarder comme des effets de cette
première
eause. Il s’en suit, comme on verra encore, qu’
te ce qui nous esl parvenu de cet important mémoire. Ce soni le» deui
premières
Feuilles doni Mesmer annonce l'envoi dans sa letl
ce fait ne persista point. La musique qui était exécutée par M. C...,
premier
prix du Conservatoire, n’a point paru agir d’une
celte vision et ne s’occupait point de loterie. Je l’endormis, et sa
première
parole fut celle-ci: « Eh bienj le 72° 26 est sor
numéros?— Certainement. — Alors dites-nous ceux qui doivent sortir au
premier
tirage. » Elfe en donna quatre, en disant : a Je
iesse de hasarder quelque chose du leur. C’est tout autre chose des
premiers
. Ils s’embarquent hardiment sur le vaste océan du
profanes cette sainte union! Le somnambulisme est contemporain des
premiers
hommes. Au commencement du monde, il a dû être pe
L’INTELLIGENCE, HALLUCINATIONS. (Suite.) § H.— Effets de l’opium.
Première
observation. Dans un ouvrage étranger, l’Anglai
tances les' plus minutieuses de l’enfance, les scènes oubliées de mes
premières
années revivaient souvent dans mes songes; je n’a
er de jeter un dernier regard sur cette ville qui a été témoin de mes
premiers
efforts pour établir une vérité sublime. Hôtel-Di
it? moi, je me rappellerai toujours le lieu de mon triomphe et de mes
premiers
succès. Fuyez donc, triste et douloureux souven
vient de faire quelques excursions dans les environs de Lyon, et scs
premières
indications ont été couronnées de succès. Il a dé
is signaler est une dame. « Les deux autres faits sont analogues au
premier
; et si j’ai attendu une circonstance pour les pub
céder devant des considérations d’un ordre majeur. J’ai publié ces
premiers
faits dans mon premier écrit : Expériences de l’H
érations d’un ordre majeur. J’ai publié ces premiers faits dans mon
premier
écrit : Expériences de l’Hôtel-Dieu, et j’ai, dan
fut rien dit à Marie du fait sur lequel elle était consultée, et son
premier
mol fut pour rassurer M"* Balicle sur l’existence
approche de l’autre, celle que je viens de quitter retomberiiiiis son
premier
état; il nie faut y revenir. Les crises que je fa
dant me rendit si heureux que je me promis bien de l’aller voir à mon
premier
vovage en France, et vous me voyez, mon jeune ami
e que vous m’avez presque converti : aussi, à mon arrivée à Paris, ma
première
visite sera-t-elle réservée à M. Marcülct. .Mon
eur, lui dis-je, pourriez-vous deviner qui je suis?____ » Voici ses
premières
paroles : « Vous ôtes un ami du colonel Curwood
e est la signature d’un arliele publié dans /• Courrier- français des
premiers
jours de mai et reproduit dans différents journau
la moindre douleur, arracher le moindre, gémissement. « La levée du
premier
appareil eut aussi lieu dans l’état magnétique, e
H. WlART. Cambrai, 12 juin 1815. Nous avons sous les yeux les six
premières
livraisons des Archives de la Société miujtiétiqu
tellement abondantes, que la malade n’eu pouvait croire ses yeux. Ces
premières
déjections la soulagèrent; la langue fut moins pâ
’une manière précise les sources qu’il n’avait fait qu’indiquer à son
premier
passage à Pontarlier. Il a trouvé trois sources s
ations. Alors M. Talbot, dentiste, procéda à l’extraction de la dent,
première
molaire gauche de la mâchoire inférieure. Comme e
IE MAGNÉTIQUE. (Suilc.) § III. I.c corps perd, l’ûmn regagne Sa
première
liberté; Le savoir qui raccompagne, Plus parf
us étonnants phénomènes, et (pii par sa nature rentre dans les causes
premières
, comme celui de la lumière, de la chaleur, du mou
comme de l'individu ? Peut-être sa raison parcourt-elle lentement ses
premières
phases avant d’arriver à sa virilité, el peut-êlr
rend de lui-même, monte l’escalier qui conduit nu rez-de-chaussée, au
premier
étage, entre dans le salon, s’assied sur une chai
le ne le connaît point encore, tandis que vous, au contraire, dès vos
premiers
pas, vous produirez des faits que votre esprit co
ou guérir; il n’appartient qu’à l’étude de pouvoir les distinguer du
premier
coup d’œil. Jamais un livre, quel qu’il soit, ne
uelle on apprit la mort du marquis de Rambouillet, fut arrivée. Cette
première
circonstance s’étant trouvée véritable et de la m
ment, avoir recours à un intermédiaire, M. Possin place le cristal en
première
ligne. M. Dclacour dil, au contraire, qu’ayant fa
à 10 centimètres, et les boutons étaient loin de paraître. Enfin, 1e
premier
fleurit le 20 mai, et donna successivement dix be
rd différente, el, le nouveau magnétiseur ne suivant pas la marche du
premier
, le travail critique qui s’opérait dans les organ
leurs maladies, et de ce qui s’est passé dans lo cours des séances.
PREMIER
FAIT. M"e T..., âgée do vingt-trois ans, demeur
TOIRES DU SOMNAMBULISME MAGNÉTIQUE. (Suite.) § IV. — RÊVES.
Première
observation. « Mlle c....., clouée d’un excelle
mièrement sur cette terre matérielle à l’état d’enfance, de noviciat,
premier
degré préparatoire â la progression éternelle, l’
ile lorsque les conditions de succès se trouvent réunies. Je place en
première
ligne le silence de l’assemblée, le recueillement
où doivent êlre déposées les pièces du grand procès qui s’instruit.
Première
observation. Treize ans avant la Révplution fra
nous allons faire des Archives de la Société magnétique de Cambrai.
PREMIER
SEMESTRE. NÉVROSES. 1“ Madame B...., affectée
gré l’imminence de la mort, M. Sauvil-lez la magnétisa et obtint pour
premier
résultat le sommeil, dont la moribonde était priv
Au bout d’une quinzaine, les douleurs avaient recouvré leur intensité
première
; nouvelles magnétisations, et guérison complète a
utes, et Dieu nous absoudra, car nous étions «dans l'ignorance. Notre
premier
tribut de reconnaissance « est pour Mesmer, le bi
. Ja- net sont des plus intéressantes nous voyons se présenter en
première
ligne toutes les formes, précises ou vagues, du
rêves agités, de vrais cauchemars qui se produisent dans la toute
première
période du sommeil et qui ont le caractère péni
nt souvent des syndrômes hystériques en rapport avec leur infirmité
première
. 1 On a constaté que les hystériques atteints d
loyant, on doit même, dirions-nous, réussir 't2 THÉRAPEUTIQUE. du
premier
coup. Sans doute un homme versé dans l'hypno- l
par semaine. Enfant peu développée pour son âge. 16 février 1893.
Première
hypnose suivie de la suggestion appropriée. Pas
u'il s'agit d'un enfant paresseux à se lever, n'obéissant pas aux
premiers
avertissements de sa vessie. La suite de l'observ
s pisser au lit, sentir le besoin et se réveiller. 45. Les quatre
premiers
jours de la semaine, maux de tête, épistaxis, v
circonstance aggravante qu'il a eu des accidents convulsifs dans sa
première
enfance. Malgré cela la guérison est prompte et
éjà arrivé à dix heures du soir. Jamais de maladies graves; dans sa
première
enfance, bronchites dont il ne se sent plus. Il
t. C'est venu sans cause connue. Elle urine une 28 THÉRAPEUTIQUE.
première
fois presque aussitôt couchée, et deux ou trois f
aura besoin, il le sentira et se réveillera aussitôt. » 18 Les cinq
premières
nuits sèches; les deux dernières mouillées. 2
t, on trouve de chaque côté deux zones d'anesthésie complète. Une
première
zone, zone cruro-fessière, qui comprend la partie
rmation postérieure du thorax ; 3° l'horizontalité des épaules. Les
premier
et troisième points sont simples et ne demanden
symptomatique, la névrasthénie propre et la névrose d'angoisse. Ce
premier
point établi, il range les influences étiologiq
té primigènes, autonomes, causes réelles de l'irritation spinale et
premiers
éléments d'un tabes par exemple. En tout cas, i
2 p. 100 de morphine); la première semaine, 0,20 par jour Jes trois
premiers
jours et 0,30 les quatre autres; la deuxième se
la région de Lyon, qui a été exceptionnellement brillant (les deux
premiers
candidats ayant obtenu 85 et 84 points sur 90),
'administration supérieure se montre absolument équitable, place au
premier
rang les services rendus ; à la condition aussi
patronage. FAITS DIVERS. Journalistique. Nous avons reçu les cinq
premiers
numéros de Archivio delle psicopatie sexuali, r
droit. Elles s'atténuent en remon- tant, laissant intactes les deux
premières
lombaires. Les racines sacrées présentent des a
one appelée communément, cornu- commissurale, qui répondent à notre
premier
système de fibres endogènes groupe antérieur ou
endogènes groupe antérieur ou à court trajet. L'établissement de ce
premier
groupe et sa nature endogène sont des mieux éta
la troisième racine lombaire, et dans leur cas à la hauteur de la
première
paire lombaire la zone cornu-commissurale est dég
pouvons que nous ranger à l'avis de ces auteurs. En résumé notre
premier
système représente un trajet com- missural cour
os. Les sinus sont gorgés de sang noir. La dure-mère présente au
premier
abord un aspect tendu et une coloration ardoisé
rougeâtre; elle n'adhère nulle part aux parties sous-jacentes. La
première
fortement injectée, rouge foncé, ecchymotique en
endemain, comme il était plus calme, on lui amputa le bras. Les dix
premiers
jours qui suivirent l'opération, il demeura dan
endant ces neuf mois, développement du corps régulier. A trois mois
première
crise épi- leptiforme, attaques très fréquentes
ne présentent point de signes de débilité mentale et dont la cause
première
de l'affection tient plutôt à un sentiment très i
leçons, résumant une année d'enseignement à la Salpêtrière. Cette
première
série de leçons est divisée en deux parties dis-
une galerie de la salle Poirel, rue Victor-Poirel. Soir, 2 heures :
Première
question du programme. Pathogénie et physiologi
istration de l'asile. Lundi 3 août. Matin, 9 heures : Discussion du
premier
rapport (suite). Soir, 2 heures : Deuxième ques
s autres, et assez bons pour les deux derniers. L'un des enfants du
premier
groupe a été transformé tant au point de vue ph
s utile de s'entendre sur la dénomination de la méthode. Dans notre
premier
travail nous l'avons appelée : gymnastique rais
chez les tabétiques par cette mé- thode de traitement. Dans notre
premier
travail sur le même sujet nous avons insisté su
pendant six ans 1 Dans l'OBSERVATION III, quoique moins brillante à
première
vue, l'àmélioration est pourtant encore plus re
abes qui défendent le traite- ment de Frenkel nous devons placer en
première
ligne les lé- sions articulaires. Nous avons pu
ations, avec dermographisme. * L'oedème, qui fait le sujet de notre
première
observation, est cet oedème bleu de Charcot qui
ordi- nairement, une sensation de chaleur qu'on retrouve dans le
premier
cas, et de froid dans le second. . Voici d'aill
nt au niveau de l'angle de la mâchoire, si bien qu'il semblerait, à
première
vue, qu'il y a une double adénopathie sous-maxi
« suffit d'avoir lu la description de Charcot pour le reconnaître à
première
vue et à distance », il n'en est pas de même de
ons qui favorisent les progrès et la science, ses fondateurs et ses
premiers
adhérents ont' décidé d'en ouvrir l'accès à ceu
de la périphérie de l'appareil sensoriel correspondant. La cause
première
de cette excitation peut résider dans l'appareil
bleu de Charcot. Raynaud, dans sa thèse inaugurale, en 1862, a le
premier
décrit une série de troubles circulatoires abouti
gangrène symétrique. L'asphyxie locale est, d'après l'auteur, le
premier
degré de la gangrène quoiqu'elle puisse également
semblent bien appar- tenir à la catégorie de .ceux ayant pour cause
première
un trau- matisme initial, mais avec cette circo
esure si douloureuse pour les familles. Nous voterons donc les deux
premières
conclusions du rapport. La loi distingue deux s
ivant la mère), une petite grosseur qui s'est développée peu à peu.
Premières
crises d'épilepsie à quinze ans, c'est-à-dire six
petit pécule qui lui permit de gagner la France et de subvenir aux
premiers
frais. Arrivé à Paris, il se fait conduire immé
accusés, et c'est surtout l'ensemble de la physionomie qui donne à
première
vue, sans qu'on puisse l'analyser nettement, l'
sur les phénomènes moteurs que nous venons de décrire, figurent en
première
ligne les in- fluences morales : la vue d'un in
es différencier de l'affection présentée par K... sont nombreux. En
première
ligne le début par les membres inférieurs et l'
pes musculaires qui y prennent part, ce sont là autant de signes de
première
impor- tance qui permettent, malgré certaines a
la sep- tième partie est une sorte d'annuaire des asiles. - ) .
Première
partie. Système d'Etat. Le gouvernement tend à
antageux, à tous les points de vue, de n'acheter que des denrées de
première
qualité. Constructions, réparations, etc. - Les
Constructions, réparations, etc. - Les hôpitaux d'Etat datent : le
premier
, de 1836; le deuxième, de 1857; le troisième, de
aux 60 ques- tions précédentes. Nous laisserons de côté les trois
premières
qui n'offrent pas d'in- térêt pour nous. 4. L
s aurions bien des remarques à faire sur différents points de cette
première
partie de l'analyse si intéressante de M. le D'
hystérique a été depuis longtemps observé et décrit. C'est Wilis le
premier
qui, en 1678, en a tracé un tableau clinique exac
c- tion non déterminée, mais de nature non syphilitique certaine.
Première
observation . - Femme, trente et un ans, non syph
ellement caractéristiques, qu'on fait ordinairement le diagnostic à
première
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 299 vue et qu'o
ois cas DE HOQUET hystérique; clinique du Dr de Renzi, de Naples.
Premier
cas. Femme, vingt-neuf ans, mariée, tare nerveuse
de faire un long voyage pour se rendre dans cette ville. Le soir du
premier
jour de son entrée dans le service du Dr de Renzi
la pression le long de la colonne vertébrale, à la hauteur des cinq
premières
vertèbres spi- nales. Paresthésies. Fourmille
nt de sommeil. Ces accidents cessent brusquement. En février 1893
premiers
symptômes d'ataxie. Troubles de la marche début
t des nuits entières sa femme était forcée de le consoler. En 1888,
premières
douleurs fulgurantes dans la peau des cuisses e
cts à ce point de vue les cas de paralysie générale des aliénés :
Premier
groupe. Caractérisé par la mydriase paralytique a
baires, pseudo-bulbaires, de la sclérose en plaques, est facile. Au
premier
abord un aphasique sensoriel peut passer pour u
, centre des images motrices d'articulation; partie postérieure des
première
et deuxième temporales centre des images auditi
connaissance, et quoiqu'il n'eût pas les violentes agita- tions des
premières
crises, il se roidissait et écumait. Je fis venir
ans demeurée arriérée par suite d'une méningite survenue dans la
première
enfance, et ayant en outre un bras et une jambe f
it mâché de grains d'avoine. Lejeune prévenu, qui n'en et pas à son
premier
vol, reconnaît en souriant avec fierté les fait
c, le moi, en se dédoublant tardivement ici, laisse l'individualité
première
non amoindrie, au contraire, la personnalité su
de ces observations empruntée à Morel en imposerait faci- lement à
première
vue, pour un délire religieux à systématisa- ti
traverse. DE L'HOSPITALISATION DANS LE LOIR-ET-CHER. 437 I Un des
premiers
soucis des administrations locales de la Révo-
r comte de Blois, etc. Deux points sont encore à signaler dans ce
premier
essai d'assis- tance aux aliénés. Malgré les se
a liberté » du soi-disant comte Thibaut. Telle est l'histoire de ce
premier
asile de Blois ; avant de s'arrê- ter sur le pl
t que ces améliorations devaient t être comprises dans les frais de
premier
établissement et à la charge du département, sa
ment construit dans les jardins du bureau de bienfaisance. Article
premier
. Les individus admis jusqu'à ce jour, à titre d
curité, grâce à la négligence des faiseurs de tables, six études de
première
importance d'ailleurs mal divisées. 1° Pathol
du tambour, à la première apparition des phénomènes de névrite, aux
premières
douleurs musculaires. Il donne aussi une nouvel
s'est effectué des embolies daus la sylvienne gauche dont les trois
premières
branches corticales, et peut-être aussi celles
s dans le texte. Saint-Pétersbourg, chezRicker, 1896.) Dans cette
première
partie de son ouvrage M. Bechtereff étudie les
surveillance du dortoir du rez-de-chaussée et des deux dortoirs du
premier
; si elle est retenue auprès d'une malade, elle ne
Le couloir des cellules du rez-de-chaussée et celui des cellules du
premier
étage étaient garnis sur presque toute leur étend
ender leur folie s'aggrave. « Dans le dortoir des agitées, situé au
premier
étage, nous avons retrouvé le même spectacle qu
9 heures du matin ci 10 heures du soir. 11, rue de Bavière, 11, au
premier
. Liège (Outre-Meuse).] Les charlatans et les so
ue du Mardi 23 Octobre 1888 COURS DE M. CHARCOT ANNÉE IS88-18S9
PREMIÈRE
LEÇON . OBJET : 1° et 2° Bâillement hystériqu
essants et dont vous n'auriez sans doute pas soupçonné l'existence au
premier
abord. C'est ce dont vous deviendrez convaincus,
D..u! » — Une jeune fille âgée de quinze ans, appartenant à l'une des
premières
familles de la ville deX..., jeune fille fort bie
psychiques quelquefois bien effacées, des qualités intellectuelles de
premier
ordre. M. Ciiarcoï (au malade) : Voulez-vous no
liée en 1886 était restée absolument ignorée de M. Gharcot lors de sa
première
observation sur ce sujet, laquelle date de septem
a sciatique, in Archiv. générales de Médecine, p. 585, 1864, t. II.
premier
chef, et bienfaisante en proclamant une fois de p
son nom. Nous voilà conduits bien loin de notre point de départ; au
premier
abord, notre homme nous paraissait placé uniqueme
ici de l'hémiplégie vulgaire de cause organique qu'il s'agit et cette
première
impression se trouvera confirmée par tout ce qui
de recueillir de la bouche du malade des renseignements relatifs aux
premiers
effets de la blessure ; il nous apprend qu'il est
qui se produisent en conséquence du choc local ne se réalisent pas du
premier
coup, en général. Elles n'apparaissent qu'à la su
urée, n'est pas aussi considérable qu'on serait tenté de le croire au
premier
abord. Sur ce sujet vous consulterez peut-être av
us avons actuellement sous les yeux, le diagnostic se pourra faire du
premier
coup, car la résolution complète, absolue des mem
et à la suite d'un interrogatoire même très sommaire, il devient, du
premier
coup, éminemment vraisemblable que la cause à inv
nts de notre malade. C'est un garçon d'environ 27 ans, né à Paris, au
premier
abord d'assez chétive apparence ; mais il affirme
rs, nous croyons pouvoir affirmer, en nous fondant sur l'histoire des
premières
périodes de la vie de notre malade qu'il a été fr
ngtemps sous vos yeux. Je vous l'ai annoncé comme un choréique ; au
premier
abord vous pourriez ne m'en pas croire tant sont
tuellement par un souffle assez rude siégeant à la pointe du cœur, au
premier
temps. Les grands mouvements choréiques se sont
t du Siège » et qu'il est le dernier de quatre enfants dont les trois
premiers
sont morts en bas âge. Avec une telle hérédité,
ce genre. Il ne représente pas, sans doute, dans l'espèce, un fait de
première
gravité; les accidents nerveux dont souffre notre
,que jamais je ne pourrai rentrer dans la compagnie puisque, comme au
premier
jour, je suis émotif, vertigineux, sans volonté e
plus haut, presque tous les muscles qui ont été frappés, l'ont été du
premier
coup, au plus haut degré, de telle sorte que l'on
de sa maladie. A la malade : Veuillez nous parler, je vous prie des
premières
douleurs que vous avez éprouvées. La malade : V
de fixer le diagnostic à une époque où la maladie en est encore à ses
premiers
commencements. Il y a bien longtemps, messieurs,
je me suis efforcé d'appeler l'attention sur cet ordre de faits ; mes
premières
études à cet égard remontent en effet à l'année 1
l pendant fort longtemps encore alors que déjà la perception des deux
premières
couleurs a cessé d'exister. D'après les nombreuse
r la sclérose en plaques. Seulement ici, c'est l'hystérie quiparaîtau
premier
abord dominer la situation et masquer l'autre élé
es autres couleurs est complètement effacée; tandis que dans les deux
premiers
cas c'est nécessairement la notion du rouge et ce
cts. 2. Voir Leçons du mardi 1888-89. Leçon d.u 11 décembre 1888,
première
, tantôt la seconde qui ouvre la marche. Bien souv
u point que la marche lui était devenue très difficile. J'avoue qu'au
premier
abord, à entendre ce récit, notre impression avai
it même craindre que les membres supérieurs, épargnés dans la maladie
première
, ne participassent cette fois dans une certaine m
écède, que le pronostic est moins grave qu'il ne paraissait l'être au
premier
abord, car, en somme, ainsi que je l'ai déjà proc
une grande échelle par la voie nautique. Ces préliminaires qui, au
premier
abord, paraissent étrangers à la cause, sont dest
ngue (1), de la mobilité des vertèbres peut donner des indications de
premier
ordre. On sait qu'à l'état normal lorsque le tr
conseils éclairés par une compétence spéciale en la matière, dans nos
premiers
essais. Avant de procéder à l'exposé des résult
maintenant, parfois à peine perceptibles. Le traitement, après ces
premiers
résultats encourageants, a été continué et le nom
cle doit être placée en dehors. Il est parfois nécessaire, lors des
premières
séances, chez les individus sensibles, trop gros
tête en place. 11 reste encore à placer les pièces des aisselles ; au
premier
abord elles pourraient sembler de peu d'importanc
connaître, dans un court exposé, ce qui est advenu chez les autres.
Premier
malade.— Voici d'abord un homme vigoureux, âgé de
au gros orteil du côté gauche que la douleur s'est localisée, lors du
premier
accès, puis ça a été le tour de l'articulation mé
celle qui s'était produite il y a deux ans, lors de l'apparition des
premiers
sifflements d'oreille et des premiers symptômes d
x ans, lors de l'apparition des premiers sifflements d'oreille et des
premiers
symptômes d'obnubilation auditive. Cette fois enc
u dès l'origine ; sans quoi, il ne manquerait pas de se soustraire du
premier
coup à toute discipline. Prévenez-le, avec autori
discipline. Prévenez-le, avec autorité, qu'il ne doit pas céder à ses
premières
impressions, et qu'il lui faudra passer outre ; e
ncé. Il ne s'était produit aucune amélioration sensible pendant cette
première
période. On recommença l'emploi du sulfate de q
genre, autant cela est difficile, au contraire, lorsqu'il s'agit des
premiers
. Ainsi, chez notre malade, si j'en juge par une e
us, et dont la maigreur extrême n'a pas manqué de frapper vos yeux du
premier
coup. Cette maigreur, jointe aux quelques autres
pulmonaire à évolution rapide. Nous verrons dans un instant si cette
première
impres sion sera justifiée par l'étude du cas.
des- membres inférieurs que nous avons rencontrée déjà chez nos deux
premiers
sujets à des degrés divers, et que nous retrouver
ussitôt elle est devenue raide, comme les autres fois. A partir des
premières
tentatives d'hynoptisation,P... était devenue tri
i l'occasion de revenir : j'en viens actuellement à l'examen de notre
premier
malade. Il offre, vous disais-je, un exemple de n
rte, procédé du même pas. Cependant la céphalée remonte peut-être aux
premiers
jours qui ont suivi l'accident, seulement elle s'
ue des douleurs fulgurantes tabétiques. Procédons, et voyons si cette
première
impression se trouve justifiée par le concours d'
re pour combattre la contracture, et remettre les choses dans l'ordre
premier
? Certes, les moyens proposés ne manquent pas: ai
ait pendant la nuit 1. "Voir pour plus de détails, relativement aux
premières
crises, la Leçon du 31 janvier 1888, p-156 et sui
. Ciiarcot : Ah oui, c'est juste : vous avez dû remarquer que dans sa
première
crise, il lui a semblé que pendant sa fugue, il a
abord, puis plus tard tous les trois ou quatre mois. Durant les trois
premières
années, les médecins consultés se sont invariable
ers (2). Là, dans ma description, les crises gastriques figurent au
premier
rang àcôté d'autres troubles viscéraux du même or
ise gastrique ne constituée i, jamais un épisode unique; l'apparition
première
d'une de ces ^crises II doit toujours faire prévo
suis aperçu, monsieur, que j'avais la voix rauque et basse lors de ma
première
crise, c'est-à-dire à la fin de 1883. M. Charco
régions... S'adressant au malade : A quelle époque avez-vous eu la'
première
de ces grandes crises de larynx qui quelquefois v
ans ce voyage pédestre qui n'a pas duré moins de cinq jours. Les deux
premiers
jours il a dû marcher sous une pluie battante, à
ontracture spasmodique du membre supérieur droit date, paraît-il, des
premiers
jours qui ont suivi la journée du 2 août. A cette
e la sensibilité de ce genre aussi accentués et ainsi disposés. Cette
première
impression sera confirmée d'ailleurs par tout ce
xistence d'un travail inflammatoire. On sait que la boiterie date des
premiers
jours de la maladie ; dans ce temps-là les douleu
. Après cela, il importe, en manière de contraste, défaire figurer au
premier
rang, dans la caractéristique du syndrome, la con
che qui, soutenu par sa nourrice, s'exerce gauchement à esquisser ses
premiers
pas. Ces faits-là constitueront ce que j'appeller
ervée dans notre cas? C'est ce qu'il nous faut examiner maintenant. A
première
vue et sans y regarder de plus près, la localisat
ses chèvres ; ce sont donc les muscles de la face qui ont été pris en
premier
. Aujourd'hui, l'atrophie porte sur les muscles de
considérablement prostré, affaibli; si on ne lui donnait pas alors sa
première
injection, il serait incapable de se lever. A 1
eux, en général bénins et de courte durée, parmi lesquels figurent au
premier
rang les paralysies. Mais quels sont exactement l
soin d'émettre cette hypothèse : elle sera naturellement repoussée du
premier
coup. » A l'heure qu'il est, on ne saurait plus a
3° Même forme chez un vieillard de 75 ans. Messieurs, Dans notre
première
leçon du mardi de la présente année scolaire (1),
eune, ce sont des mouvements brusques, saccadés que l'on observe : au
premier
abord, cela ne saute pas aux yeux, il faut è*,re
t fait à 33 ans seulement, tandis que les tics, en général, font leur
première
apparition dans l'enfance ; que notre malade comp
us permettre de reconnaître que les ressemblances qui paraissaient au
premier
abord les rapprocher étroitement, sont tout extér
he, qui, soutenu par sa nourrice, s'exerce gauchement à esquisser ses
premiers
pas ». Je vous ai proposé, vous ne l'avez peut-êt
il est parfaitement établi par le récit du malade que, lors de cette
première
atteinte, les membres inférieurs, qui, lorsqu'il
ir du lit, mais l'astasie s'était reproduite dans toute son intensité
première
et, aujourd'hui, nous retrouvons, après huit mois
fonctions vésicales. Le malade se tient debout parfaitement, et, au
premier
abord, dans cette attitude rien d'anormal ne s'ob
à la formation d'une cavité dans la substance grise spinale. 1° En
premier
il y a lieu de signaler, dès à présent, comme con
ultze »,ditM. Kahler son émule dans la poursuite de ces études, « aie
premier
appelé l'attention sur la combinaison de l'atroph
sions thermiques. Ainsi,déjà en 1886, deux ans après l'apparition des
premiers
symptômes amyotrophiques, un jour qu'il se chauff
eminée, il laissa se produire sur l'une de ses jambes, une brûlure au
premier
degré. Plus tard, alors qu'il était placé dans le
rsque dans les premiers jours de novembre, il eut ce qu'il appelle sa
première
« attaque de nerfs ». Un jour, vers 6 heures du
rise »,appelle auprès d'elle la femme du malade. Au sortir de cette
première
attaque, Glaw... remarqua que sa jambe et son bra
es. Depuis lors tous les troubles que présentait le malade lors de sa
première
attaque ont persisté sans se modifier le moins du
provoquée par la foudre (Sensibilité).. . 546 TABLE DES MATIÈRES
PREMIÈRE
LEÇON Pages 1° et 2°. Bâillement hystérique (
re, et fis connaître à Mme B..., qui ne s'en souvenait aucunement, ma
première
visite et la provocation du sommeil hypnotique.
quand vers la fin de 1885 éclata une forte crise de delirium. A cette
première
crise qui céda aux moyens ordinaires succéda, en
t dans sa guérison, je pus constater qu'il n'avait aucun souvenir des
premiers
moments de notre entrevue. Après quelques minutes
éty désigne sous le nom de Force neurique rayonnante. Il semble, au
premier
abord, que tienne soit plus facile que de tranche
ative qui menace l'avenir de l'enfant. Un jeune homme, sorti l'un des
premiers
d'une école du gouvernement, m'a fait à cet égard
nerveux plus ou moins dans la voie de l'hystérie. Elle-même, dès sa
première
jeunesse, a présenté des convulsions qui, a l'épo
ntégrité de ses facultés intellectuelles, à qui la jugerait sur cette
première
impression. Mais poursuivez l'examen, mettez en
ication : 1° Une jeune femme de 22 ans, très hypnotisable depuis sa
première
jeunesse, accouche pour la première fois. Aband
période de la dilatation du col. elle supporte très impatiemment ses
premières
douleurs, avec les exagérations propres à sa cons
bregmatique et je produisis de la somno-lence. Il résulta de cette
première
séance une douleur vive dans la région breg-manqu
t du temps, qu'une manifestation de la suggestion des milieux ?. Au
premier
examen, la question semble paradoxale. Mais, si,
ce. A peine au lendemain de sa naissance, avant même l'apparition des
premières
lueurs intellectuelles, il est l'objet des sugges
C'est la raison du plus fort exercée sans entrave, c'est le droit des
premiers
occupants appliqué sans correctif possible et l'o
'état de veille, comme à l'état de sommeil dans nos rêves, un rôle de
premier
ordre, et qui constitue par conséquent un des cha
ses yeux une hypothèse simple, presque enfantine, et qui satisfait au
premier
abord par son extrême simplicité. Le chapitre c
t justice de cette hypothèse par cette seule observation que c'est du
premier
coup que nos sujets atteignent leur maximum de se
cendie. Il y a lieu de modifier la loi, de placer les distilleries en
première
catégorie et d'obliger les propriétaires à désinf
rd une lettre de sa femme, qui écrivait : « J'ai été bien effrayée au
premier
moment de l'arrivée inopinée de mon mari, mais il
sse éner-giquement toute autre boisson que l'eau. » Quant aux trois
premiers
, ils furent bientôt libérés et quittèrent l'asile
possibles, les plus indignes, pour me faire offrir un verre, etc. »
Première
séance d'hypnotisme, le 28 mars 1887. — Je fais f
éance d'hypnotisme du jour précédent. Cinquième séance, 14 avril. —
Premiers
phénomènes de catalepsie suggestive des membres,
ister, elle a des règles trop copieuses et trop fréquentes. Avant son
premier
accouchement, elle était réglée tous les vingt et
le caractère s'est considérablement modifié, elle obéit maintenant du
premier
coup et sait se dominer pour faire ce qu'elle veu
crime ou un délit. Ce que l'on peut surtout redouter en laissant au
premier
venu le droit de se livrer i des pratiques d'hypn
e lois question de taire enfermer Mme N... dans un asile d'aliénés.
Première
séance d'hypnotisme, le 20 juin. — La malade mani
actuellement dans la ménopause et offre quelques troubles utérins.
Première
séance d'hypnotisme, le 20 juillet. — Nul effet.
juin et juillet 1887). Somnambulisme provoque, parue depuis notre
première
communication, il déclare que, pour sa part, il e
contraction des muscles sous-jacents. Peu après la publication des
premières
recherches de Charcot, la question de l'hypnotism
tant par des vertiges avec démence ou affaiblissement intellectuel au
premier
degré et perversion des instincts. 2° C'est sou
connaissant la substance en question, il en est qui, frappés par ces
premières
manifestations, trahissent leurs sentiments par l
a tirer de son immobilité. Une fois revenue à elle, Berthe répond aux
premières
questions du commissaire en déclarant qu'elle ne
ncien ami de M. Laurenty. savant connu, voyageur infatigable, qui. au
premier
appel, accourt du fond du Pérou. Grâce à son appu
tement le docteur Barillot, directeur du Journal de l'Hypnotisme. A
première
vue, le docteur déclare qu'il n'y a rien de grave
rait comme maniaque et où il aurait le loisir de la voir. Une fois ce
premier
résultat acquis, et ce devait être facile, grâce
soude. Les phénomènes annoncés se produisent. Deux mois après cette
première
expérience, M. Voisin endort de nouveau sa malade
use. J'ai recueilli jusqu'à ce jour i3i cas de pelade : 100 avant mon
premier
mémoire et 31 depuis. L'investigation faite par t
ésultat positif. Je ne serais pas revenu sur les conclusions de mon
premier
travail, si je n'avais pas constaté encore tout d
uer ce qui se rapporte à cette question unique (1). Dans ces treize
premières
expériences, j'avais seulement cherché à donner à
des de Mme B... depuis le 26 décembre jusqu'au 12 janvier (date de ma
première
expérience). Elle demeurait dans une soupente et,
à 9 heures, descendait dans l'appartement de M. X... pour prendre son
premier
déjeuner. De 9h. 15 à midi 15 environ, dans une p
lle dînait et, quelque temps après son dîner, remontait se coucher.
Première
expérience. — Je sors de chez moi le mercredi 12
alors m'a parle et je ne sais pas ce que je lui ai répondu. » Cette
première
expérience était donc un insuccès, puisque l'état
ure pour aller faire quelques emplettes. Elle arrive à 3 h. 51 et son
premier
mot à C..., qui lui ouvre, avant qu'elle sache qu
à terme. Antécédents personnels. — Parle à un an, marche à 15 mois.
Première
dent à 10 mois. A 2 ans, elle commence à avoir de
e au jardin pendant cinq ou six jours et y fasse quelques pas. A ma
première
visite, fin septembre 1887, je trouve une personn
es correspondent, à peu près, à ce que peut faire un de nos élèves en
première
, troisième, cinquième et septième années. Le dern
a Société médico-psychologique, le lundi 3o janvier 1888. Dans sa
première
enfance, elle éprouva une grande frayeur à la vue
a deux jours et deux nuits sans qu'on parvînt à l'éveiller. Ce fut sa
première
attaque de sommeil Elle rentra à Genève et, dès
ble aux étincelles sur le bras et la jambe gauches. Elle se récria au
premier
abord, mais j'insistai, en répétant de plus en pl
ours le même ; ses nuits très mauvaises. Je l'hypnotise facilement du
premier
coup en lui fermant les yeux avec deux doigts et
, la mouette, l'oie, le cygne, la perdrix blanche, le ptarmigan. En
première
ligne des quadrupèdes qui foulent ces terres déso
e, de — o°) sur le développement et sur l'équilibre de l'organisme?
Première
remarque : l'évolution de l'animal, — de même que
cord sur ce point, c'est que l'ingestion de neige et de glace qui, au
premier
abord, sembleraient là comme à point pour l'assou
de mes lecteurs qui lisent la Revue philosophique savent que j'ai, ie
premier
, fait connaître une méthode infaillible (elle l'a
Mademoiselle rentrera dans deux ou trois heures, vous irez ouvrir au
premier
coup de sonnette. » Sans bouger, elle murmura un
leurs sujets un sommeil qui les fatigue, c'est bien leur faute. Leur
premier
sujet les aura entraînés dans cette mauvaise voie
t dans l'état second ne se rappellent plus leurs douleurs dans l'état
premier
: on peut conclure à tort de cette absence de mém
ent presque immédiatement après l'application des tubes. Dans cette
première
séance, la commission vit se reproduire sous ses
Sur les chagrins d'amour, que beaucoup ont jugé à propos de mettre en
première
ligne,, le sceptique Bernuts fait ses réserves. «
aste par son insouciance avec l'artificielle suractivité de celui des
premières
. » « Je tiens d'un médecin de Wilna, écrit po
e le 31 janvier 1880. Elle est endormie rapidement et en léthargie.
Première
suggestion: Me dire le lendemain le nom de la boi
sionomie un nouveau cachet. Le caractère s'est modifié; elle obéît du
premier
coup et ne fait plus de résistance opiniâtre. La
nd la stupéfaction des assistants ; aussi, quand le Cheikh réclama sa
première
victime, quelques hésitations se produisirent-ell
3 h. 1/2), mille fois au mar'reb coucher du soleil) et mille fois au
premier
a'cha (8 h. 1/2). A la hadhra. séance, ce ne so
e la pratique de l'hypnotisme ne soit plus laissée entre les mains du
premier
venu. La section d'hygiène et de médecine publi
. Et c'est ici que les habitudes d'esprit de chacun jouent un rôle de
premier
ordre dans la décision qui intervient. I.a sévéri
ratique de l'hypnotisme ne devait pas être laissée entre les mains du
premier
venu. Un ou deux orateurs ont tenté de défendre
va-t-on nous dire. Nous n'en disconvenons pas. C'est la suggestion au
premier
degré, celle que tout boa maître emploie, comme
stives sont normales. Au cœur, nous avons trouvé un souffle doux au
premier
temps avec maximum à la base. Quelquefois, l'enfa
étudier, par une observation continue, le développement psychique des
premières
années de l'enfant. Mais la méthode d'observation
, en quelque sorte, succombé à la peine: quelques-uns avaient eu leur
première
attaque au moment où ils venaient d'être maltrait
erveuse de tous les instants. Les professions dites libérales sont au
premier
rang, parmi celles-là. « La suractivité mentale s
lusieurs mois et ne se réveillent qu'au printemps, à l'apparition des
premiers
chauds rayons du soleil. M. le professeur Charc
re, et fis connaître à Mme B..., qui ne s'en souvenait aucunement, ma
première
visite et la provocation du sommeil hypnotique.
quand vers la fin de 1885 éclata une forte crise de delirium. A cette
première
crise qui céda aux moyens ordinaires succéda, en
t dans sa guérison, je pus constater qu'il n'avait aucun souvenir des
premiers
moments de notre entrevue. Après quelques minutes
éty désigne sous le nom de Force neurique rayonnante. Il semble, au
premier
abord, que tienne soit plus facile que de tranche
ative qui menace l'avenir de l'enfant. Un jeune homme, sorti l'un des
premiers
d'une école du gouvernement, m'a fait à cet égard
nerveux plus ou moins dans la voie de l'hystérie. Elle-même, dès sa
première
jeunesse, a présenté des convulsions qui, a l'épo
ntégrité de ses facultés intellectuelles, à qui la jugerait sur cette
première
impression. Mais poursuivez l'examen, mettez en
ication : 1° Une jeune femme de 22 ans, très hypnotisable depuis sa
première
jeunesse, accouche pour la première fois. Aband
période de la dilatation du col. elle supporte très impatiemment ses
premières
douleurs, avec les exagérations propres à sa cons
bregmatique et je produisis de la somno-lence. Il résulta de cette
première
séance une douleur vive dans la région breg-manqu
t du temps, qu'une manifestation de la suggestion des milieux ?. Au
premier
examen, la question semble paradoxale. Mais, si,
ce. A peine au lendemain de sa naissance, avant même l'apparition des
premières
lueurs intellectuelles, il est l'objet des sugges
C'est la raison du plus fort exercée sans entrave, c'est le droit des
premiers
occupants appliqué sans correctif possible et l'o
'état de veille, comme à l'état de sommeil dans nos rêves, un rôle de
premier
ordre, et qui constitue par conséquent un des cha
ses yeux une hypothèse simple, presque enfantine, et qui satisfait au
premier
abord par son extrême simplicité. Le chapitre c
t justice de cette hypothèse par cette seule observation que c'est du
premier
coup que nos sujets atteignent leur maximum de se
cendie. Il y a lieu de modifier la loi, de placer les distilleries en
première
catégorie et d'obliger les propriétaires à désinf
rd une lettre de sa femme, qui écrivait : « J'ai été bien effrayée au
premier
moment de l'arrivée inopinée de mon mari, mais il
sse éner-giquement toute autre boisson que l'eau. » Quant aux trois
premiers
, ils furent bientôt libérés et quittèrent l'asile
possibles, les plus indignes, pour me faire offrir un verre, etc. »
Première
séance d'hypnotisme, le 28 mars 1887. — Je fais f
éance d'hypnotisme du jour précédent. Cinquième séance, 14 avril. —
Premiers
phénomènes de catalepsie suggestive des membres,
ister, elle a des règles trop copieuses et trop fréquentes. Avant son
premier
accouchement, elle était réglée tous les vingt et
le caractère s'est considérablement modifié, elle obéit maintenant du
premier
coup et sait se dominer pour faire ce qu'elle veu
crime ou un délit. Ce que l'on peut surtout redouter en laissant au
premier
venu le droit de se livrer i des pratiques d'hypn
e lois question de taire enfermer Mme N... dans un asile d'aliénés.
Première
séance d'hypnotisme, le 20 juin. — La malade mani
actuellement dans la ménopause et offre quelques troubles utérins.
Première
séance d'hypnotisme, le 20 juillet. — Nul effet.
juin et juillet 1887). Somnambulisme provoque, parue depuis notre
première
communication, il déclare que, pour sa part, il e
contraction des muscles sous-jacents. Peu après la publication des
premières
recherches de Charcot, la question de l'hypnotism
tant par des vertiges avec démence ou affaiblissement intellectuel au
premier
degré et perversion des instincts. 2° C'est sou
connaissant la substance en question, il en est qui, frappés par ces
premières
manifestations, trahissent leurs sentiments par l
a tirer de son immobilité. Une fois revenue à elle, Berthe répond aux
premières
questions du commissaire en déclarant qu'elle ne
ncien ami de M. Laurenty. savant connu, voyageur infatigable, qui. au
premier
appel, accourt du fond du Pérou. Grâce à son appu
tement le docteur Barillot, directeur du Journal de l'Hypnotisme. A
première
vue, le docteur déclare qu'il n'y a rien de grave
rait comme maniaque et où il aurait le loisir de la voir. Une fois ce
premier
résultat acquis, et ce devait être facile, grâce
soude. Les phénomènes annoncés se produisent. Deux mois après cette
première
expérience, M. Voisin endort de nouveau sa malade
use. J'ai recueilli jusqu'à ce jour i3i cas de pelade : 100 avant mon
premier
mémoire et 31 depuis. L'investigation faite par t
ésultat positif. Je ne serais pas revenu sur les conclusions de mon
premier
travail, si je n'avais pas constaté encore tout d
uer ce qui se rapporte à cette question unique (1). Dans ces treize
premières
expériences, j'avais seulement cherché à donner à
des de Mme B... depuis le 26 décembre jusqu'au 12 janvier (date de ma
première
expérience). Elle demeurait dans une soupente et,
à 9 heures, descendait dans l'appartement de M. X... pour prendre son
premier
déjeuner. De 9h. 15 à midi 15 environ, dans une p
lle dînait et, quelque temps après son dîner, remontait se coucher.
Première
expérience. — Je sors de chez moi le mercredi 12
alors m'a parle et je ne sais pas ce que je lui ai répondu. » Cette
première
expérience était donc un insuccès, puisque l'état
ure pour aller faire quelques emplettes. Elle arrive à 3 h. 51 et son
premier
mot à C..., qui lui ouvre, avant qu'elle sache qu
à terme. Antécédents personnels. — Parle à un an, marche à 15 mois.
Première
dent à 10 mois. A 2 ans, elle commence à avoir de
e au jardin pendant cinq ou six jours et y fasse quelques pas. A ma
première
visite, fin septembre 1887, je trouve une personn
es correspondent, à peu près, à ce que peut faire un de nos élèves en
première
, troisième, cinquième et septième années. Le dern
a Société médico-psychologique, le lundi 3o janvier 1888. Dans sa
première
enfance, elle éprouva une grande frayeur à la vue
a deux jours et deux nuits sans qu'on parvînt à l'éveiller. Ce fut sa
première
attaque de sommeil Elle rentra à Genève et, dès
ble aux étincelles sur le bras et la jambe gauches. Elle se récria au
premier
abord, mais j'insistai, en répétant de plus en pl
ours le même ; ses nuits très mauvaises. Je l'hypnotise facilement du
premier
coup en lui fermant les yeux avec deux doigts et
, la mouette, l'oie, le cygne, la perdrix blanche, le ptarmigan. En
première
ligne des quadrupèdes qui foulent ces terres déso
e, de — o°) sur le développement et sur l'équilibre de l'organisme?
Première
remarque : l'évolution de l'animal, — de même que
cord sur ce point, c'est que l'ingestion de neige et de glace qui, au
premier
abord, sembleraient là comme à point pour l'assou
de mes lecteurs qui lisent la Revue philosophique savent que j'ai, ie
premier
, fait connaître une méthode infaillible (elle l'a
Mademoiselle rentrera dans deux ou trois heures, vous irez ouvrir au
premier
coup de sonnette. » Sans bouger, elle murmura un
leurs sujets un sommeil qui les fatigue, c'est bien leur faute. Leur
premier
sujet les aura entraînés dans cette mauvaise voie
t dans l'état second ne se rappellent plus leurs douleurs dans l'état
premier
: on peut conclure à tort de cette absence de mém
ent presque immédiatement après l'application des tubes. Dans cette
première
séance, la commission vit se reproduire sous ses
Sur les chagrins d'amour, que beaucoup ont jugé à propos de mettre en
première
ligne,, le sceptique Bernuts fait ses réserves. «
aste par son insouciance avec l'artificielle suractivité de celui des
premières
. » « Je tiens d'un médecin de Wilna, écrit po
e le 31 janvier 1880. Elle est endormie rapidement et en léthargie.
Première
suggestion: Me dire le lendemain le nom de la boi
sionomie un nouveau cachet. Le caractère s'est modifié; elle obéît du
premier
coup et ne fait plus de résistance opiniâtre. La
nd la stupéfaction des assistants ; aussi, quand le Cheikh réclama sa
première
victime, quelques hésitations se produisirent-ell
3 h. 1/2), mille fois au mar'reb coucher du soleil) et mille fois au
premier
a'cha (8 h. 1/2). A la hadhra. séance, ce ne so
e la pratique de l'hypnotisme ne soit plus laissée entre les mains du
premier
venu. La section d'hygiène et de médecine publi
. Et c'est ici que les habitudes d'esprit de chacun jouent un rôle de
premier
ordre dans la décision qui intervient. I.a sévéri
ratique de l'hypnotisme ne devait pas être laissée entre les mains du
premier
venu. Un ou deux orateurs ont tenté de défendre
va-t-on nous dire. Nous n'en disconvenons pas. C'est la suggestion au
premier
degré, celle que tout boa maître emploie, comme
stives sont normales. Au cœur, nous avons trouvé un souffle doux au
premier
temps avec maximum à la base. Quelquefois, l'enfa
étudier, par une observation continue, le développement psychique des
premières
années de l'enfant. Mais la méthode d'observation
, en quelque sorte, succombé à la peine: quelques-uns avaient eu leur
première
attaque au moment où ils venaient d'être maltrait
erveuse de tous les instants. Les professions dites libérales sont au
premier
rang, parmi celles-là. « La suractivité mentale s
lusieurs mois et ne se réveillent qu'au printemps, à l'apparition des
premiers
chauds rayons du soleil. M. le professeur Charc
e balancent paisiblement dans le ciel, et qui, sans doute, abrita nos
premiers
parents. C’est avec hésitation que nous avons ren
t de la science divine comme de l’universitaire : celle-ci se vend au
premier
venu, l’autre, plus pure, s’accorde à l’esprit si
er dans cette route ouverte. Mon Essai philosophique est sorti de mes
premiers
aperçus ; il eût fallu poursuivre. Quoi qu’il en
it-ce que pendant un moment. Peut-il transmettre ces connaissances au
premier
venu? Non, il ne serait point compris : il parle
a publicité. Le nom des nouveaux actionnaires sera, comme celui des
premiers
, inscrit sur la liste générale publiée dans le Jo
uvre, en feront la demande. 2° A partir de ce jour, le prix des six
premiers
volumes de la collection est réduit de moitié en
as que j'ai opérés, cl il n’y en a pas eu moins d’une douzaine, cette
première
douleur n'a jamais été sentie. Les malades ne s
on. Je n'ai pas réussi dans une douzaine de cas successifs depuis mes
premières
et heureuses expériences avec l’éther, et certes
eau. Aucun tremblement ne fut perceptible dans le corps du malade, du
premier
au dernier moment. Après qu'on l’eut bien lavé,
ffre depuis cinq ans d’un rhumatisme, qui, dans les trois ou quatre
premiers
mois, était accompagné d’une fièvre quotidienne q
nt etgénéralement une heure par jour, il n’a rien ressenti les quatre
premiers
jours durant la magnétisation ; mais les articula
ci à quelques mois la propagation magnétique aura repris son activité
première
. Le bureau, élu en séance annuelle, se compose,
ies de l’Électricilé, tome 11, p. 500. autres chiens succédèrent au
premier
, et éprouvèrent le même sort : la guérison était
avec chacune d’elles, il éprouva tous les symptômes d’une phlhisie au
premier
dé-gré : ce ne fut probablement qu’à sa forte con
s le décès de chacune de ces deux malades, il recouvra promptement sa
première
santé. Presque toutes les inflammations des mem
semble les abandonner que par caprice, et tantôt les foudroie dès ses
premières
atteintes , tantôt les enlève après de longues et
ce moment, n’importe d’ailleurs quelle que soit leur nature. Un des
premiers
et des plus grands symptômes du choléra est dans
oup ; elle a scs mystères, ses difficultés, et lorsque nous vîmes nos
premiers
essais parodiés dans leur reproduction, nous savi
us attendons des détails directs et plus complets. BIBLIOGRAPHIE.
PREMIERS
PRINCIPES DE MÉDECINE, par le Dr À. IîiLi.mr.; tr
emande alors la baguette de cristal dont il se sert d’habitude, comme
premier
rapporteur, pour introduire avec succès le fluide
epôt le traitement simultané des deux malades. 1° Anne Chaigneau.
Première
séance. — Après deux heures et deihie de magnétis
a catalepsie cessa comme les jours précédents. 2° Marie Rivierre.
Première
séance. — M. Gravé, après la magnétisation ci-des
matin relève doucement la tige penchée, et qui ouvrant son calice aux
premiers
rayons du soleil, s’épanouit lentement aux regard
t. — On vient de trouver à Paris un manuscrit du Dr Wurtz, l’un des
premiers
élèves de Mesmer, traitant du magnétisme. Il est
ngliohaire, et certes le magnétisme revendique ;t juste titre une des
premières
places. Des faits sortis de nos mains sont là d’a
connu ne possède la propriété. C’est dono ici que s’arrête l’analogie
première
, et qu’on doit reconnaître dans le fluide magné
ns fortement intéressé, soit spontanément, soit par suite d’une cause
première
inhérente aux organes. « 2" Que son action, com
e les organes principaux de la vie, ceux qu’on désigne sous le nom de
premières
voies, ne sauraient être affectés par le magnétis
urelle du sujet. L’organisme de celui-ci se montre-t-il rebelle aux
premiers
essais, l’action magnétique est alors soutenue pe
i vive, cette ardente charité, cette religieuse espérance, conditions
premières
de succès, dont leur sacré caractère et le dégage
s de l’âme humaine, ces perceptions presque divines que Puységur le
premier
nous révéla. « Toutes ces prétendues connaissan
cas de chirurgie, puis ceux de médecine. § 1. — CAS DE CH1HUHGIX.
Première
Observation. Muneeroodeen, âgé de trente ans, e
re expérience , quoique très-extraordinaire, ne pourrait pas être, au
premier
coup d’œil, considérée comme impossible par les i
Il ne s’agit pas ici d'ün écrivain plus ou moins obscur; b’est un des
premiers
physiologistes, le professeur de l’Université de
qu’elle veut lui imposer; bien plus, qu’elle lui rend personnelles.
Première
expérience. Dans une séance récente, M. du Pote
re, il fut indifférent à toutes les épreuves d’insensibilité, sauf au
premier
contact d’un charbon ardent, qu’il ne sentit poin
miens), Histoire académique du. Magnétisme animal, pag. S et G. (2)
Premier
Mémoire de Mesmer, proposition 1, p. 12 des Mémoi
ima ntés (5). « Ainsi, théorie ou pratique, tout dans le mes- (1)
Premier
Mémoire de Mesmer, p. 113, aphorisme 80. (2) Jt
le docteur étranger eut en lui un impétueux et utile auxiliaire, l u
premier
mémoire apprit au public les cures merveilleuses
apport et discussions sur le Magnétisme animal, note 1, p. 220. (2)
Premier
Mémoire de Mesmer, p. 53. concilier à Mesmer l'
êt, qui ne laisseraient aucun doute sur la localisation du cerveau.
Premier
cas. J’ai signalé, dans un article précédent (i
gt;eau. Remue cette poussière, Tu n’y trouveras rien De ma beauté
première
. 455 llegante Ilion : Dans cc mominicnl,
c’est le troisième cas qu’il traite par le magnétisme. Dans les deux
premier
», il avait magnétisé seul, et avait obtenu la ces
trésorier. Les cihq autres membres conservent leurs attri-btitiôns
premières
. Le comité et le conseil d’administration ainsi
édique de /louillnn , n" de février et de mai 1784, p. 127 et 12!) du
premier
, 10!* du second, des expériences faites à l’aide
ur le disque mobile : et aussitôt c.elui-ci s’écartait brusquement du
premier
, je le maintenais éloigné, el quelquefois même à
iques, astronomiques, physiques el chimiques, rédigé par M. Saigcy. —
Première
section du Bulletin universel des sciences et de
les caprices ou la loi du principe spirituel qui nous anime. Dès nos
premiers
pas nous cherchâmes également. Lorsque nous vîmes
e. Les esprits avides du merveilleux s’emparent avec enthousiasme des
premiers
faits, ils les commentent, les exaltent; mais le
vait les rendre malades ou les guérir. Corneille Agrippa est un des
premiers
philosophes hermétiques qui ait fait jouer un rôl
: la poudre sympathique et l’onguent armaire. Paracelse est un des
premiers
inventeurs de la poudre de sympathie. Cette subst
MAGNÉTIQUES. Jury magnétique d’ehcodragembnt et de récohpehse.
Première
séance annuelle. A ceux qui doutent de l’existe
es du génie humain. La science, dans l’ordre moral, en est restée aux
premiers
âges de notre histoire; lorsque tout marche autou
L’usage du saint-chrême, ou onction huileuse, remonte sans doute aux
premières
pratiques de l’exorcisme; car on s’en est toujour
et la plupart des ouvrages cités plus haut. guérissait rarement au
premier
exorcisme ; il y consacrait souvent plusieurs séa
17. INSTITUTIONS MAGNÉTIQUES. d’encocragement et de récompensé
Première
séance annuelle. Jlary magnétique (Suile.)
t dominée par les dangers de l’avenir, nous n’avons pu donner à cette
première
solennité toute la splendeur qu’elle comportait.
chainement.) Jlury magnétique d’encouragement et de récompense.
Première
séance annuelle. (Suite.) En publiant ses Sta
poser à la maladie. Ces moyens, comme ceux que j’ai détaillés dans ma
première
lettre, n’ont produit aucun résultat. Quand, le
ES. .ïury mngnC'tiqnc n’ENCOl'RAf.ESIBNT HT DE RÉ COM I* ENS E.
Première
assemblée générale imnueHe. (Suite.) Extrait
ivantes : Requérons qu’il plaise à la Cour confirmer l’ordonnance des
premiers
juges. TOME Vin. — M“ 105. —10 L'MIÎRE 1849- 21
, je voulus essayer de magnétiser. Le hasard me favorisa , car, à mon
premier
essai, je réussis parfaitement, puisque je tombai
ceux qui ignoreraient la possibilité de rétablir les choses dans leur
premier
étal. Flux et reflux! Le flot baisse, il se reièv
osition de l’expérimenté, nous le soutenons sur un signe différent du
premier
. Petit à petit, il revient à la vie, et je renonc
intelligences où vous moissonnez si largement, parce que, l’un clos
premiers
, vous en avez découvert toutes les richesses. Ce
de m’y égarer , d’être trop psychiste et pas assez /luidiste. Dès mes
premiers
pas dans la science, j’ai compris toute l'action
ts naturels du mesmérisme et leurs résultats ; entre la certitude des
premiers
et l’incertitude des derniers. De ce que les phén
venu à son état normal; et cependant, aussitôt qu’il est réveillé, sa
première
'parole est pour annoncer son voyage ! Bien plus,
titre pompeux de Révélation. Dans l’ordre du temps, elle doit être sa
première
. « Avant que j’eusse des entretiens avec les es
connaître l’esprit général. Voici comment il commençait : « Dans ma
première
lettre sur le magnétisme naturel , il y a deux an
he est assise à côté de l’abbé Joly. Elle est comprise dans les trois
premiers
chefs d’accusation que nous venons d’énumérer.
causes, 404. — Assemblée du Jury, élection des fonctionnaires, 461 .—
Première
séance annuelle. Compte-rendu. Discours de M. du
par G. Bush. Analyse et examen critique par M. Chocarne, 657, 681.
Premiers
principes de Médecine, par le Dr Billing, traduit
l'occasion de la parole, mais aussi pendant la mastication et le
premier
temps de la déglutition qui est devenue difficile
. Les troubles de la parole qui s'étaient déjà montrés lors de la
première
attaque soin actuellement beaucoup plus accusés.
ades et s'affirme par ses stigmates les plus caractéristiques. Ce
premier
point établi, il reste à démontrer que chez nos
poitrine, « puis il esquisse avec difficulté et incorrection la «
première
syllabe du mot et enfin projette ce mot « d'un-
ent d'élévation de l'épaule ne se combine jamais avec l'un des deux
premiers
; ils se produi- sent toujours isolément. Leur
ne attaque épileptifurllle. L'autopsie révèle : une encéphalite des
première
et deuxième temporales gauches, avec ramollisse
reils de la motilité sont nuls ou incomplets; ils sont pendant leur
première
enfance sourds, aveugles, impotents. Le microsc
eloppement du jeune acte, mais font absolument défaut dans la toute
première
enfance et l'âge de l'adolescence et de parfait
rieure ou bien consécutive à la plus fu- tile contrariété. Les deux
premiers
cas peuvent se i encontrer dans d'autres formes
e dernier fait; il connait huit exemples d'épilepsie consécutive au
premier
coït. 11 n'est donc pas étonnant que la pervers
ette passion qui seule le satisfait, date, comme l'épilepsie, de la
première
enfance. Concomitance de délire religieux (extati
e l'écorce des frontales supérieurs, toutes parié- taux supérieurs,
premières
temporales des deux cota, delà parié- tale asce
gaines de myéline ont diminué de volume; on croirait assister aux
premières
périodes de développement des fibres cérébelleuse
tes chez diverses espèces normales et pathologiques. Il arrive à ce
premier
résultat que l'encéphale des aliénés pèse moins
dont voici les principales dispositions : Aux termes de l'article
premier
, quiconque aura donné en spec- tacle au public
ux mots que le scia- tique poplité externe, après avoir fourni deux
premiers
rameaux, la branche cutanée péronière et l'acce
férieur droit. (LErrnvnu. Thèse citée.) Femme de vingt et un ans.
Premier
accouchement ayant duré deux jours et deux nuit
ncements violents. Point doulou- reux péronier, au cou de pied, aux
premier
et deuxième orteils. Refroidissement notable du
e M. Dorion' est -peut-être plus ingé- nieuse et plus séduisante au
premier
abord. Mais elle demanderait à être vérifiée pa
l'été et le malade ne se rappelle pas avoir été exposé avant cette
première
atteinte à aucune fatigue, ni au froid, ni à l'
leurs continues, sourdes, sans élancements, du moins dans les trois
premières
alleintes, exaspérées par la pres- sion au nive
issements de toute la région antéro-externe de la jambe gauche. A
première
vue, il semble qu'il existe un certain degré d'at
donc pu penser- qu'il s'agissait là d'un cas à ranger parmi ceux du
premier
groupe. Mais nous avons pu nous convaincre qu'i
t. C'est seulement y a trois ans que la malade a constaté pour la
première
fois les mouvements qui motivent son entrée. Ces
ssivement les caractères que nous constatons aujourd'hui. Lors du
premier
examen (et l'aspect n'a malheureusement pas cha
plitude très réduite. Les grandes salutations comme celles de notre
première
malade, les mouvements de pédale et de saut, cl
ante est l'existence d'un tremblement se produisant au repos. Or, à
première
vue, le tremblement de la malade semble bien se
T TREMBLEMENT. 201 thésie pharyngée, au contraire, est complète. Au
premier
abord, je n'ai pas attaché à ce signe une grand
hémiplégie droite (France : )Id., 1SS3). 216 6 CLINIQUE NERVEUSE.
premières
observations sont dues à Bourdon qui en a empru
étudié d'abord en Angleterre, puis en Allemagne. 0. Berger, un des
premiers
, fit remarquer la perte de la sensibilité consé
ofondément, paraît-il, à la face dorsale de la main, au ni- veau du
premier
espace interosseux. Il n'y a qu'un écoulement d
palmaire de la main, au tiers supérieur de la phalange des quatre
premiers
doigts et au cinquième doigt en son entier; il a
ribution à la pathologie des paralysies faciales périphé- riques. -
Première
observation. - Paralysie, probablement par cont
le Maire de Rouen d'avoir bien voulu honorer de leur présence cette
première
séance du Congrès. Puis, il invite les membres
it rien moins 278 8 SOCIÉTÉS SAVANTES. que douteuse chez les deux
premières
. Quant à la troisième, elle était certainement
t on hérite simplement d'une prédisposition. En tout cas, il est de
première
importance de recueillir des chiffres exacts re
ils ont pu disposer, leur ont permis d'asseoir la formule de cette
première
affirmation. Le lobe frontal est, dans l'espèce
.. Seul, l'examen électrique a donné un symptôme à l'appui des deux
premiers
, la diminution de la résistance électrique dont
Les points pour cette épreuve devront être donnés au début de la
première
séance de lecture des compositions écrites 1. C
ut paraître difficile à soutenir. Toutefois, si on se reporte aux
premières
observations, si on se rappelle que le facies s
is il n'a plus éprouvé aucun trouble. Les signes constatés, lors du
premier
examen, hémianesthésie, etc., ont presque compl
diminuent par la pression exercée sur la région affectée. - Cette
première
période dure dix jours. Aux accès de cépha- lal
et des pratiques hydrothérapiques. Elle revient deux mois après sa
première
visite. Son état est très amélioré. Les accès n
uer plusieurs des arguments que nous avons rangés dans - les deux
premiers
groupes. En effet l'évolution de la migraine a
LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 331 tenus aussi dans les deux
premiers
groupes. 1° Les accès de migraine sont accompag
avoir démontré^ avec toute la rigueur possible, 'que dans les deux
premières
obser- vations l'hystérie tient la migraine oph
elié au seg- ment médullaire dont il émane : arc rachidien : A ce
premier
arc rachidien s'en ajoute un second, dont une b
s les deux tiers internes, ce sont des filets plus minces que les
premiers
placés aussi parallèlement les uns auprès des a
ableaux. Ce fait dépend de deux causes : 1° en opérant d'après la
première
de ces méthodes nous avons - pour donner aux ex
ux numéros les plus élevés de la série, les seconds sont arrêtés du
premier
coup par les caractères d'un ton grisâtre encor
d'attirer l'attention sur certains cas d'amnésie qui revêtent au
premier
abord l'aspect de la démence dont ils diffèrent c
- vent elle passait des nuits à travailler. Elle s'est mariée une
première
fois à vingt-sept ans. Son mari est mort au bout
bles. A cette époque il était marié, mais pas avec notre malade. Sa
première
femme, très frappée par les expériences de ce g
la chaise sur laquelle elle est assise. Examen intellectuel. -Au
premier
abord on constate que, d'une façon générale, la
onfirmation. Elle ne paraît pas d'une intelli- gence élevée, et, au
premier
abord, on pourrait la prendre pour une imbécile
lons, elle dit se les représenter très bien. Après la mort de son
premier
mari, elle reprit son métier de : J96 . CLINIQU
elle se souvient qu'il était en pension et qu'il avait déjà fait sa
première
communion lorsqu'elle s'est remariée. Après ins
res inférieurs ne peuvent-elles pas être considérées comme la cause
première
de son amnésie relative aux mouvements de la st
, loin d'avoir affaire à une démente, comme on pouvait le croire au
premier
abord, nous sommes en face d'une affection de p
et rectifie même certains détails qu'elle avait donnés lors de ses
premiers
interrogatoires. De même pour les faits actuels
quare. Notre ami, le Dr Ferrier, dont le Progrès médical a été le
premier
à faire connaître en France les belles recherches
ancet qui a eu la gracieuseté de nous communiquer les clichés. B.
première
leçon : introduction M. le Président et Messieu
verser son équilibre et si on y parvient, il reprend son attitude
première
. Si on pince son pied ou sa queue, l'animal bondi
jours réussi à obtenir l'action des muscles du cou en excitant le
premier
point mentionné. Nous avons obtenu assez souvent
- llip, coude. - An/de, poignet. du Fingers, doigt. genou. - liallux,
premier
tronc. Wp, hanche. Anlde, cheville du pied , Kn
r tronc. Wp, hanche. Anlde, cheville du pied , Knee, genou. Hallux,
premier
orteil. - Toes, orteils. 424 PHYSIOLOGIE PATH
cent aux circonvolutions pariétales inférieures et supérieures, aux
première
et deuxième temporale. Atrophie des circonvolut
e transitoire. En réalité M. Pick présente trois malades. Chez le
premier
, il a constaté, à la suite du sondage de l'urèthr
accidents de syphilis héréditaires revètent-elles une importance de
premier
ordre en ce qui concerne le rôle de la syphi- l
térieure; par J. DIN1'Elt. (Centralbl. f. NCl'vel1heilk, 1889.) La'
première
observation est une observation deguérison. Chez
té publié il y a vingt ans et bien connu de nos lecteurs. Les trois
premiers
chapitres contiennent principalement l'historique
de guérir et escroquerie; il fut con- damné à 60 francs d'amende du
premier
chef et acquitté du se- cond. Pour se mettre à
a peine de la détention perpétuelle. . Cette condamnation étonne au
premier
abord. Après réflexion, on est moins surpris. N
▲