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1 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
E PARIS LAURÉAT DE L'INSTITUT ET DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE ' TOME PREMIER MÉTHODES GÉNÉRALES D'ÉTUDE EMBRYOGÉNIE HISTOGEN
férenls faisceaux, ainsi que l'origine de leurs nerfs respectifs. PREMIÈRE PARTIE CHAPITRE 1 MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTU
eur dans le numérotage des racines, on peut aller à la recherche du premier nerf dorsal, dans le creux sus-claviculaire, au
e étiquetée le' dorsale dans le canal rachidien, correspond bien au premier nerf dorsal. Lorsqu'il s'agit de lésions portan
n encore plus parfaite des fibres à myé- line, Weigert a modifié sa première méthode, et imbibe d'un sel de cuivre la pièce
l'un de nous, et dans tous leurs détails sur verre dépoli. Puis, ce premier dessin, purement linéaire, était calqué de nouv
blatt. 1891. CHAPITRE II DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX' I. - PREMIERS DÉVELOPPEMENTS DU NÉVRAXE Le système ner- veu
ilitée par les travaux si importants de His. Cependant, l'étude des premières phases du développement n'a pu encore être faite
opaques (4), *), étroites à leur partie moyenne, qui correspond aux premières protover- tèbres (PV), plus larges en avant e
vésicules encéphaliques antérieure, moyenne et postérieure, ou de première , deuxième et troisième vésicules encéphaliques
et qui procèdent soit par division, soit par bourgeonnement, des première et troi- sième vésicules encéphaliques. La vési
al.) CM, canal neural ou médullaire. - GS, ganglion spinal. - EC, premiers rudiments des cellules du tube endothélial du coe
vue par la face inférieure ou ventrale. - 1, bord antérieur de la première vésicule encéphalique qui se courbe vers le bas.
t feuillet rétinien .(le la vésicule oculaire secondaire (d). - V,, première vésicule encéphalique - Vo, vésicule oculairo p
rmédiaire d'un court et large pédicule creux, le pédicule oculaire, premier rudiment du nerf optique; leur partie supéro-po
te d'une prolifération de ses cellules, il une petite masse pleine, premier rudiment du cristallin (lig. 16, d, ([Il*[ est pe
, est le plus souvent accompagné d'un arrêt de développement de la. première vési- cule encéphalique, dont la fente vertico-
rties, on trouve en général une dépression large mais peu profonde, premier rudi- ment de la fosse Sylvienne (FS). Un léger
t au développement inégal de la voûte et du plancher du névraxe. La première courbure qui apparaît, est connue sous le nom de
uxième mois de la vie embryonnaire; ils correspondent exactement au premier u Septum postérieur. Sillon médian pos- t
17, ventricule latéral, DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 11 : 1 premier mois de la vie intra-utérine Entre la suture opto
C, écorce cérébrale.- Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fi, première circonvolution frontale.-FT, faisceau de Tlirck
uturale opto-striée primitive. - STh, région sous-thalamique. - Ti, première circonvolution temporale. - To, deuxième circon
oisième segment du noyau lenticulaire. - nL, nerfs de Lancisi. - 0, première circonvolution occipitale. - l'ch, pli choroïdien
. - ssl, sillon semi-lunaire. Ssy, surface suturale primitive. - 1'l, première cir- convolution temporale. - lec, ttenia tecta
. , Fiu. u-t. - r ace interne du cerveau u un loetus humain de la première moitié du cinquième mois. (D'après V. Mihalkovicz
hémisphèros cé- rébraux. i Epaississement de leurs parois. Premiers sillons, définitifs. Sillon ammonique. I
pare le txnia tecta et le fasciola cinerea du gyrus fornicatus , ou première circonvolution limbique; au niveau du sillon de l
, il délimite le gyrus fornicatus (circonvolution du corps calleux, première circonvolution limbique (L,), compris entre le
ippocampe. - it, incisure temporale. - K, scissure calcarine. - Li, première circonvolution limbique. - LI (i), isthme du lo
à celui des ganglions de la base du ccrveau antérieur, et dont les premiers rudiments apparaissent déjà vers la lin du premie
ur, et dont les premiers rudiments apparaissent déjà vers la lin du premier mois de la vie intra-utérine, sous la forme d'u
ernicke. Vers le sixième mois apparaît la scissure ''parallèle ou première temporale; elle est parallèle à la branche pos-
is circonvolutions parallèles à direction antéro- postérieure : les première , deuxième et troisième circonvolutions tempo- r
chez l'embryon humain 10 au1 y., les grandes 13 à 1 ? le noyau des premières mesure de 4 à 5 y., celui des secondes de 6 1/2
nsformations en deux stades, l'un embryonnaire, comprenant les deux premiers mois de la vie intra-utérine, pendant lequel le
astes en cellules nerveuses et en cellules névrogliques. - - § I. PREMIER STADE. STADE EMBRYONNAIRE. A. CELLULES ÉPITHÉLI
nerf grand hyporlosse. - 1, 2, 3, 4, 5, ganglions spinaux des cinq premiers nerfs cervicaux. loto ANATOMIE DES CENTRES NERV
nstitution radiaire de la charpente épendymaire et l'apparition des premiers neuroblastes, que l'on constate leur présence d
est défendue par Ramon y Cajal et v. Lenhossek. - D'après les deux premiers auteurs, toutes les cellules névrogliques provi
ngement cylindre-axile apparaît de très bonne heure avant la fin du premier mois (His). Leurs prolongements protoplasmiques
ses; elles s'en- lacent comme une liane autour des ramifications de premier et de deuxième ordre des dendrites des cellules
ve est constituée au moins par trois neurones. Le neurone sensitif de premier ordre est représenté par la cellule du ganglion
se d'insertion conique (fig. 114). De très bonne heure, à la fin du premier mois chez l'embryon hu- main (llis), la périphé
s à divers états de développement. (D'a- près Vignal.) Los deux premiers , A et B, viennent d'un nerf d'un embryon de
'après Ran- vier.) (', étranglement du tube en T. - n, noyau du premier segment de la branche cellulaire fin T. ë. prem
- n, noyau du premier segment de la branche cellulaire fin T. ë. premier étranglement de la branche cellulaire. ttt, n
ns, et forment dans le ganglion une masse granuleuse, comparable au premier abord à la substance ponctuée, décrite par Leyd
é de l'ar- borisation terminale, et sontsitués au voisi- nage des premières ramifications ; ils con- stituent les noyaux cl
, sillon calloso-marginal ; cm', sa branche verticale. Fi, h'q, Fa, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
onvolutions frontales. - Fa, circonvolution frontale ascendante. f, premier sillon frontal. - 11ci, hémisphères cérébelleux.
- 11ci, hémisphères cérébelleux. - ip, sillon interpariétal. - L,, première circonvolution du lobe lombique. - mF" face inter
de la pre- mière circonvolution frontale. -NL, nerf de Lancisi. Oi, première circonvolution occipitale. - Pi, Pa, première e
nerf de Lancisi. Oi, première circonvolution occipitale. - Pi, Pa, première et deuxième circonvolutions pariétales. - l'a, ci
e circonvolution occipitale. - oF,, oFs, oF" partie orbitaire , des première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
perforé antérieur. - Spp, espace perforé postérieur. - Ti, T., T'a, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
occipital. - P, lobe pariétal. - T, lobe tem- poral. - F,, f'2, F3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
e. - Iv', éperon supérieur do la scissure calcarine. - 0 ! , 0;,03, première , deuxième et troisième circonvolutions occipitale
- oa, sillon occipital antérieur. oF\, oF" oF3, face orbitaire des première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
- OpP, opercule pariétal. - Opli, opercule rolan- dique. - Pi, P2, première et deuxième circonvolutions pariétales. - Pa, cir
nche verticale ascendante de la scissure do Sylvius. - 7't, Tt, T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
anche commune aux scissures calcarine et pariéto- occipitale. - LI, première circonvolution du lobe limbique. - L2'H), deuxièm
ue. - sec, sinus du corps calleux. - 7, sinus de \Ionro. - so, so', premier et deuxième sillons sus-orbitaires. - Sp, septum
ès la photographie d'une pièce durcie dans l'alcool.) Fi, F., r3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
ions frontales. c,capde la troisième circonvolution frontale. ? i ? premier et deuxième sillons frontaux ? sillon de la deuxi
pitalc. - Iv", éperon inférieur de la scissure calcarine. - 01,0.,Oa, première , deuxième et troisième circonvolutions occipita
a, sillon occipital antérieur. - oF\¡oF ? oF3, partie orbitaire des première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
ntal. - OpP., opercule pariétal. - OpR, opercule rolandique. ^1,^2, première et deuxième circonvolutions pariétales. Pa, circo
a scissure de Sylvius. -soe, sillon orbitaire externe. 7·,,TE, 7'3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
ndue de la scissure de Rolando, ainsi que les pieds d'insertion des premières circonvolutions frontale et pariétale. C, cap
le. C, cap de la troisième circonvolution frontale. - F,, Fa, F3, première , deuxième et troisième circonvo- lutions fronta
emière, deuxième et troisième circonvo- lutions frontales. - fi,fi, premier et deuxième sillons frontaux. - ? sillon de la
e. - OpP., opercule pariétal. - 0/;ff, opercule rolandique. - Pi,P, première et deuxième circonvolutions pariétales. - Pa, c
' ! +p)'.}, sillons prérolandiques infé- rieur et supérieur. - 7tC" premier pli vertical de Gromier. - 7tC., deuxième pli v
après, la photographie d'une pièce à l'état frais.) F'1,"F2;F3, première , deuxième- et troisième circonvolutions front
ière, deuxième- et troisième circonvolutions frontales. - fi, f2, premier et ' deuxième sillons frontaux. - Fa, circonv
Fa, circonvolution frontale ascendante. - /, insula. - P ? Po, première et deuxième circonvolutions pariétales. - j0[
ue infé- rieur. R, scissuredeRolando, S, scissure de Sylvius. - première circonvolution temporale. - 3j, circonvolu- t
frais.) C, cap de la troisième circonvolution frontale. F,, F3, F,, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
mière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. rio f2, f3, premier , deuxième sillons frontaux. - Fa, ci ? convolut
ution postérieure de l'insnla. - ip, sillon inter-pariétal.-P,, Pa, première et deuxième circonvolutions parietales. -Pa, circ
t dont les principaux sont constitués par les pieds d'insertion des première et deuxième circonvolutions frontales. Lorsque
sillon prérolandique inférieur qu'il compense (fig. loi, 155, 158). Premier sillon frontal (f;).- SYNo.xYMiH.scus frontalis s
o.xYMiH.scus frontalis superior.Obere Slirn- urche (Ecker, Pansch). Premier sillon frontal (Broca). - SU}JC1'O-fJ'olltal sulc
ier sillon frontal (f,), il direction antéro-postérieure, sépare la première circonvolution frontale de la deuxième. Il naît e
e, dont il est séparé en général par les pieds d'insertion des deux premières circonvolutions frontales (1 ? F2), Son origine
ue (pri, prs) (f)g. 155, t5G), sniouprôrota.n'U- quc supbriour. Premier sillon frontal Luc. 15G. Lobe frontal droit. (D
photographie d'une pièce durcie dans le bichromate.) Fi, F., F3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
les. - F.,(c), cap de la troi- sième circonvolution frontale. - f,, premier et deuxième sillons frontaux. /%, sillon de la
ontale. -OpF, opercule frontal. 0/jR, opercule rolandique.- Pi, Pe, première et deuxième circonvolutions pariétales. - l'a, ci
scissure de Sylvius. - soe, sillon orbitaire externe. - Ti, T, 13, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
r un ou deux plis anastomotiques superficiels, qui relient les deux premières circonvolutions frontales. Un troisième pli anast
n ironto- marginal (fm), dans lequel il se jette quelquefois. Les premier et deuxième sillons frontaux donnent, en différen
ès la photographie d'une pièce durcie dans le bichromate.) F,,F., première et deuxième circonvolutions frontales. - F,(c),
sure pariétale de l'opercule. - oF1, oPe, oF3, partie orbitaire des première , deuxième et troi- sième circonvolutions fronta
circon- volutions frontales, qui portent de haut en bas les noms de première deuxième et troisième circonvolutions frontales
noms de première deuxième et troisième circonvolutions frontales. Première , deuxième et troisième circonvolutions frontales
Superior frontal gyrus (Turner). - Troisième frontale (Meynert). - Première circonvolution frontale (Broca). Deuxième front
ircon- volution frontale (Broca). Étage ou pli frontal inférieur; premier étage ou surcilier (Gratiolet). - Première fron-
e ou pli frontal inférieur; premier étage ou surcilier (Gratiolet). - Première fron- tale (Meynert). - Infero frontal gyrus (H
xtaposent pour décrire un trajet curviligne parallèle à celui de la première frontale, et pour s'insérer à la moitié supérieur
ce durcie au bichromate.) D, gyrus descendons d'Ecker. - FI, F, F3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
frontales. - F3(c\ cap de la troisième circonvolution frontale. fi, premier et deuxième sillons frontaux. /2, sillon de la
-ip, sillon inter-pari,;tal. - j, incisure de Jensen. - 0" o ? 03, première , deuxième, troisième circonvolutions occipitales.
sième circon- volution frontale. opF,, opercule frontal. - Pl, 1),, première , deuxième circonvolutions pa- riétales. - Pa, c
rolandique, supérieur. - pt, sillon pariétal transverse. - 7tGI, 7tG" premier et deuxième plis verticaux de (lromier. - R, sc
ment de la branche verticale de la scissure de Sylvius. - Ti,T*,T3, première , deuxième, troisième circonvolutions temporales
rofondé- ment situé, que le sillon prérolandique semble , ,. au premier abord, se jeter directement dans la scis- sur
. cm' ,partieyerticale du sillon çalloso-marginal.-F" F., F3,' z première , -deuxième et troisième circonvolutions frontales
onvolutions frontales. Fa, circonvolution frontale ascendante.' /r, premier sillon frontal. - incisure du deuxième sillon f
rontal. ip, sillon inter-pariétal. j, incisure de Jensen. - 01, 0., première et deuxième circonvolutions occipitales. Pi, Pi
n prérolandique supérieur. - pt, sillon pariétal transverse. - 7tG" premier pli vertical de Gromier. - R, scissure de Rolan
ieur de l'insula (ms). La troisième circonvolution frontale fait sa première apparition chez les anthropoïdes, où elle n'exi
volution frontale en rouge. D, gyrus descendens d'Ecker. F,,F,F3, première ,, deuxième et troisième circonvolutions frontal
ipo, incisure pré-occipitale. -,j, incisure de Jensen. - 0,, 0., 03, première , deuxième et troi- sième circonvolutions occipi
, sillon occipital antérieur. - oF,, oF ? 0F3, partie orbitaire des première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
onvolution pariétale inférieure. - OpR, opercule rolandique. - PI,P2, première et deuxième circonvolutions pariétales. - Pa, c
cissure de Sylvius.- soe, sillon orbi- taire externe. - Ti, T., T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
et troisième circonvolutions temporales. - ti, sillon parallèle ou premier sillon temporal. - l ? sa branche verticale. t2,
. - 0/) ? opercule pariétal. - OpR, opercule rolandique. - 1'l, Pi, première et deuxième circonvolutions pariétales. Pa, circo
(a), sa branche antérieure; S(v), sa branche verticale. - 7't, 7., 7, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
SYNONYMIE, - l'roccssi enleroidei - vertical di mezzo (Rolando). - Premier pli ascendant (Gratiolet). - Antcro-parietal gyru
me et troisième circonvolutions fron- ' tales (F2, Fla). L'union du premier sillon frontal avec la scissure de Rolando corr
journé dans l'alcool.) '. cm, sillon calloso-marginal. - F,, F;,f3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
ution frontale. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - fi, f2, premier et deuxième sillons frontaux. ? incisure du deuxi
convolution pariétale ascendante. ,, pFi, pF, pieds d'insertion des première et deuxième circonvolutions frontales. - por, sil
landique inférieur. - prs, sillon prérolandique supé- rieur. -1tG1, premier pli vertical de Gromicr. - pt, sillon pariétal tr
ure, verticale et postérieure de la scissure tle Sylvius. - T,, T., première et deuxième circonvolu- tions temporales. - ti,
,, T., première et deuxième circonvolu- tions temporales. - ti, le, premier et deuxième sillons temporaux. 264 ANATOMIE DES
a. - io, sillon inter-occipital. - ip, sillon inter- pariétal.- Oi, première circonvolution occipitale. - 0" deuxième circonvo
Pa, circonvo- lution pariétale ascendante. - lle, pli courbe. - Pi, première circonvolution pariétale. - 112, deuxième circo
que supérieur. - pt, sillon pariétal transverse de Brissaud. - 1tG" premier lui vertical de Gronder. - 1tG" deuxième pli vert
supérieur. S(v), branche verticale de la scissure de Sylvius. - 7 ? première circonvolution temporale. - Tt, deuxième circon
nvolution temporale. - Tt, deuxième circonvolution temporale. - ti, premier sillon temporal. t'i,t'i, ses branches vertical
phie d'une pièce fraîche.) . D, gyrus descendant d'Eckeiv F,,F3,F,, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
do] Jensen. - K", éperon inférieur de la scissure calcarine. - 01,0t, première et deuxième circonvolutions occipitales. - 0" d
- tale. - OpP, opercule pariétal. - OpR, opercule rolandique. - Pi, première circonvolution pariétale. 7 ? deuxième circonvo
, pli anastomotique profond du sillon inter-occipital. - 7tG" 7tG., premier et deuxième plis verticaux de Crémier. - 7tP.,
s. - S(v), branche verticale de la scissure de z Sylvius. - T,, Ti, première et deuxième circonvolutions temporales li, sillon
ière et deuxième circonvolutions temporales li, sillon parallèle ou premier sillon temporal. - l ? branche verticale du sillo
inférieur, de (elle sorte que le sillon post-rolandique pourrait, à première vue, être confondu avec la scissure de Rolando
une antérieure, le pli 7zzar,irtal.ntpc-rinur (Gsm) de Gratiolet ou premier pli de passage pariéto-temporal, l'autre postér
assage pariéto-temporal, l'autre postérieure, le pli courbe (Pc). Première circonvolution pariétale (P,). Synonymie. Lobule
er). Lobulus parietalis superior, Obères Scheitelhppchen (Ecker). - Première circonvolution pariétale (Broca). Notation : (E
au même hémisphère.. Fa, circonvolution frontale ascendante. Fi, première circonvolution frontale ? r2, deuxième circonvo
circonvolution frontale.-F,(c), cap de la circonvolution de Broca. f, premier sillon frontal.- fi, deuxième sillon frontal. -
rontale ? Op.F', opercule frontal.OpjR, oper- cule rolandique. - 0" première circonvolution occipitale. - 0=, deuxième circonv
branche postérieure. - Tp, circonvolution temporale profonde. - T,, première circonvolution temporale. Tue, deuxième circonvol
lh6eliei,léipp(,-heiz (lluschke). Unterer Scheilelbogerz (Meynert). Première pariétale (Hnguenin). Lobule temporal inférieur
mière, deuxième et troisième circonvolutions occipitales. - 0" 0" premier et deuxième sillons occipitaux. - Opll., opercule
1'), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - l ? T ? 7·,,· première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
première, deuxième et troisième circonvolutions temporales.- t, 12, premier et deuxième sillons temporaux. MORPHOLOGIE CÉRÉ
rine. - K", éperon inférieur de la scissure calcarine. - 01, 0" 0,, première , deuxième et troisième cir- convolutions occipi
me sillon occipital. - z oa, sillon occipital antérieur. - Pi, ! '. première et deuxième circonvolutions pariétales. - l'c,
-occipitale. - pt, sillon pariétal transverse. - 'i ! G1, ·r<G ? premier et deuxième plis verticaux de Gromier. ï'i, T ?
<G ? premier et deuxième plis verticaux de Gromier. ï'i, T ? 7], première , deuxième et troisième circonvolu- tions tempor
t troisième circonvolu- tions temporales. - tl, sillon parallèle ou premier sillon temporal. t'i, branche verticale du sill
ES NERVEUX. Circonvolutions occipitale.. Gyrlls desccndens. ! Première circon- volution occipitale. deux parties, l'
rconvolutions occipitales désignées de haut en bas sous le nom de : première (0,), deuxième (0» et ou circonvolutions occipita
circonvolution, descendante (D) ou " gyrus descendais d'Ecker. ' Première circonvolution occipitale (0,). - Synonymie. Gyru
cm, sillon calloso-marginal. - D, gyrus descen- dons d'Ecker. - F,, première circonvolution frontale. - Fa, cir- convolution
ère, deuxième et troisième circonvolutions occipitales. - P1,1>" première et deuxième circonvolutions pariétales. - Pa, cir
llon pariétal transverse. icG.pli vertical de Gromier. - "pro" "po" premier et deuxième plis de passage parieto-occipitaux
cissure de Rolande. Sili, scissure inter-h"mispherir¡nc" - T,,T,T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
, première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - ti, premier sillon 1em- poralou sillon parallèle.- t' branc
. (D'après la photographie d'une pièce durcie au bichromate.) FI, première circonvolution frontale. - Fa, circon- volution
c le sillon occipital antérieur. j, incisure de Jensen. - 0,,0,,03, première , deuxième et troisième circonvolutions occipita
- S(p;,hranclic postérieure de la scissure de Sylvius. - 1 ? T,T3, première , deuxième et troisième circon- volutions tempor
Sulcus temporalis (Pansch). An- tero-temporalissulcus (Huxley). Premier sillon temporal (Broca). Notations : (Ecker, Br
durcie dans le bichromate.) D, circonvolution descendante. - Fi, première circon- volution frontale. - Fa, circonvolution
l. - ip, sillon inter-pariétal. - j, incisure de Jensen. - 0,,0,Oa, première , deuxième et troisième circonvolutions occipita
aux. OpP ? opercule pariétal. OpR, oper- cule rolandique. - P,, P ? première et deuxième circon- volntions pariétales. - Pa,
lon post-rolandique. - prs, sillon prérolandique supérieur. - 1tGIo premier pli vertical de Gromier. - R, scissure (le Rola
p;, branche pos- térieure de la scissure de Sylvius. - 1'i, T ? 73, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
ccipitale. - ipop, incisure pariétale de l'opercule. - Oi,0>,03, première , deuxième et troisième circonvolutions occipita
l. - OpP, opercule pariétale. opR, oper- cule rolandique. - 1'101'" première et deuxième circon- volutions pariétales. - Pa,
ital antérieur (oa). Troisième sillon temporal (t3). - Synonymie. - Première scissure ternpono- occipitale (Pansrli). - Sulc
elles et peu sinueuses, et qui portent de haut en bas, les noms de première (T,), deuxième (T,) et troisième circon- voluti
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. Deuxième circon- volution temporale. Première circon- volution temporale. Lobule marginal
et troisième circonvolu- tions occipitales (03) (fig. 150, 171). Première Circonvolution temporale (T,). - SvKoKYMiK : Gyru
hoff). Superior or Upper temporo-sphenoidal convolution (Turner). - Première circonvolution temporale (Broca). - Notation :
le semble alors se jeter dans la scissure de Sylvius, tandis que la première circonvolution temporale (T,) se continue directe
arginal postérieur. - ms, sillon marginal supérieur. - Oi,0>,03, première , deuxième et troisième circonvolutions occipitale
cipital 'lntÓrieur de 'V ernicke. -oF"oF2,oF3, partie orbitaire des première ,deuxiëmeettroisiëmecirconvolutionsfrontales.0/) ?
frontal. OjoP ? opercule pariétal. - OpR, opercule rolandique ? i,P première et deuxième circon- volutions pariétales. - Pa,
randies antérieure et verticale de la scissure de Sylvius. - 1'"T., première et deuxième circonvolutions temporales. l'i, bran
La circonvolution antérieure de l'insiil correspond aiix trois premières circonvo- lutions des auteurs. met qui affect
de l'insula (la), volumineuse et triangu- laire, comprend les trois premières circonvolutions de l'insula des dlilérents aute
e collatérale (ot) et la scissure de l'hippocampe (h). ' Les deux premières scissures se réunissent à angle aigu et délimiten
che commune aux scissures calca- rine et pariéto-occipitale. - 7,t, première circon- volution limbique. - L2(H), deuxième ci
ou circonvolution de l'hippo- campe. - Lf, lobule lingual; Lfli, sa première circonvolution; 2. sa deuxième circonvolution.
ranche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitale. - Li, première circonvolution limbique. - L2(Il), deuxième cir
racentral (Parc). Circonvolution frontale interne (mFJ. Synonymie : Première circonvolution - . frontale interne (Charcot).
ipitale. - it, incisure temporale. - K, scis- sure calcarine. - Li, première circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual. -
ux. so, sillon sus-orbitaire. sp, scissure sous-pariétale. TI, T" Ta. première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
sentent la face interne des circonvolutions pariétale supérieure et première frontale. La surface du cuneus est irrégulièremen
, sinus du corps calleux. - so, sillon sus-orbitairc. - T,, T», T3, première , deuxième et troisième circonvolutions tem- por
branche com- mune aux scissures calcarine et parioto-occipitale.J, première circonvolution du lobe lim- bique ou gyrus forn
orbi- taire inférieure. - su, scissure sous-pariétalc. - Ti,T ? T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
tszM{/ (Bischoff). - Quatrième circonvolution occipitale (Broca). - Première circonvolution temporo-occipitale (Charcot, Pozzi
oca nous comprenons donc : 1° La circonvolution du corps calleux ou première circonvolution, lim- bique (Li)' 2° La circon
e (Cg). 5° Le lobe olfactif (Lol). ' MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 297 Première Circonvolution limbique (L,).-STNONS : If6 : Bo&l
eur d'avant en arrière; situé en arrière du bourrelet du corps cal- Première circon- volution limbique. Ses crêtes ou our-
tion temporale (Broca). - Circonvolution temporo-occipital interne- Première circonvolution tcmporo-occipitale (Charcot). - Un
anche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitalc. - Z.i, première circonvolution limbique. - Lr, lobule lingual.
sure calcarine. -K", éperon inférieur de la scissure calcarine, LI, première circonvolution lim- bique. - l, sillon intra-li
eloppé au dépens de la vésicule des hémisphères et creusé, dans les premiers stades du développement foetal, d'une cavité qui
ranche commune aux scissures calcarine et ltariéto-occiltitalc. - Li, première circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual.
inter-hemispherique. Spp, substance perforée pos- térieure. T,, T2, première et deuxième circonvolutions temporales. 1 ? la, d
ous avons désigné la circonvolution du corps calleux sous le nom de première circonvolution limbique (L,) et la circonvoluti
érolandique formé par l'union des deux sillons précédents pr 3. Premier sillon frontal.... si Ses incisures : .. fil
... so Deuxième sillonsus-orbitaire. so' Circonvolutions : . 4. Première circonvolution fron- tale ? ......... . Fi Sa
e . : ....... * P, 2. Sa portion interne ou Prc- cunéus PrC Son premier pli vertical de Gromier ......... Son deuxièm
..... it 6. Scissure collatérale .... ot Circonvolutions : " 1. Première circonvolution tem- porale........ T, 2. Deux
ngual.. 19 10. Scissure collatérale.... ot Circonvolutions : 1. Première circonvolution occi- pitale.......... Oi 2. S
fp 8. Sillontardif(fissuraserotüra). fs Circonvolutions : " 1. Première circonvolution lim- bique ou circonvolution du
orps genouillé interne auquel aboutit la commissure, de Gudden. Cl, première paire ccrvic;tle. - C : 11, con- missure de Mey
. CG, commis- sure de Gudden. - Cgi, corps genouillé interne. - CI, première paire cervicale. - CM, com- missure de Mcyncrt.
ent externe une partie du plancher des ventricules latéraux (VI) ou premier et deuxième ventricules cérébraux. Le noyau caudé
ieure. - ds, diverticule du subiculum. - F, champ de Forel. F,,F-2, première et deuxième circonvolutions frontales. - Fa, circ
utions frontales. - Fa, circon- volution frontale ascendante. - rio premier sillon frontal. Fi, fimbria. - Fus, lobule fusifo
-épendymairc. Si, septum lucidum. SJI, sillon de Monro 7 ? 7'», Ï3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
ière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. l,, l ? 13, premier , deuxième et troisième sillons temporaux. - Tch,
cm, sillon calloso-marginal ; en ? sa branche verticale. | Fi, F2, première et deuxième circonvolutions frontales. Fa, circon
utions frontales. Fa, circonvolution frontale ascen- j dantc. - f,, premier sillon frontal ? lCv, hémisphères cérébelleux. -
c Lancisi. - 0,, 'prc- I mièro circonvolution occipitale. - Pi, Pi, première et deuxième circonvolutions pariétales. ' l'a,
ion de l'lmtbénula. - Gp, glande pinéale. - I, infundi- bulum. - L" première circonvolution limbique. - Il, lame terminale emb
imbique. CO, centre ovale. cm, sillon calloso-marginal. Fi, Fs, F3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
tale ascendante.- et deuxième sillons fron- taux. - f ? incisure du premier sillon frontal. io, sillon inter-occipital. ip, s
occipital. ip, sillon inter- pariétal. K, scissure calcarine. - L,, première circonvolution limbique. Lg, lobule lin- gual.
a pre-mière circonvolution frontale. NI,, nerf de Lancisi. - 0,, 0, première et deuxième circonvolutions occipitales. ou, sill
, bour- relet du corps calleux (splenium). EM, ergot de Morand. Fi, première circonvolution frontale. - Fin, forceps major.
. Fi, première circonvolution frontale. - Fin, forceps major. - L,, première circonvolution limbique. Lip, lobe cérébel- leu
é. Ne, noyau externe du thalamus. NL3, NI NLI troisième deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. - JV/f, noyau r
h, ganglion de l'habénula. Gp, glande pinéale. /, infundibulum. L,, première circonvolution lim- bique. - lt, lame terminale
ur- relet du corps calleux (splenium). - EM, ergot de Morand. - 7'\ première circonvolution frontale. Fm, forceps major. L"
rand. - 7'\ première circonvolution frontale. Fm, forceps major. L" première circonvolution limbique. Lip, lobe cérébel- leu
- Fm, forceps major. ipo, incisure pré-occipitale de Meynert. - Li, première circonvo- lution limbique. - LO, lobe occipital
olutions frontales. - Fa, circon- · volution frontale ascendante. ? premier sillon frontal. Fi, fimbria. - Fus, lobule fusifo
o. 1(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. 7 ? T2, T3, première , deuxième et troisième circonvo- ' lutiuns temp
re, deuxième et troisième circonvo- ' lutiuns temporales. 11, 12, ? premier , deuxième et troisième sillons temporaux. 7'c/),
sillon calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante. - I'i, Fi, ft, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. fui, f2, premier et deuxième sillons frontaux. Fa, circonvolution
, les trois circonvolutions frontales (F,, F2, F3) séparées par les premier et deuxième sillons frontaux (fl, puis le sillo
es fibres, frontale ascendante. - ip, sillon. inter-pariétal. - Li, première circonvolution limbique. - - face interne de la
ique. - - face interne de la première circonvolution frontale. - 0" première circonvolution occipi- talc. - Pi, circonvoluti
nt (Sge), la substance grise sous-épendymaire aug- - 1 ? 1% : , F3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - fui, f2, premier et deuxième sillons frontaux. Fa, circonvolutio
irconvolution frontale ascendante. ip, sillon intcr-parietal. - L,, première circonvolution limbique. - n2l· ? face interne de
nterne de la première circonvolution frontale. NC, noyau caudé.- 0" première circonvolution occipitale. - OF, faisceau occipit
ne. - cm, sillon calloso- marginal. - CO, centre ovale. F,, F3, F3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
remière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - ) ? f ? premier et deuxième sillons frontaux. - Fa, circonvolutio
ngitudinal inférieur. /, insula. - ip, sillon intcr-pariétal. - L,, première circonvolution limbique. le, lame cornée. mF,, fa
upérieur. NC, tête du noyau caudé. NC ? queue du noyau caudé. - 0,, première circonvolution occipitale. - OF, faisceau uccip
rcule (if). Le lobe temporal est représenté sur cette coupe par les première et deuxième circonvolutions temporales (Tp '1 )
ne. - cm, sillon calloso-marginal. - CO, centre ovale. - F,, I=, Fui, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. fi, /«, premier et deuxième sillons frontaux. Fa, circonvolutio
ures et postérieures de l'insula. - ip, sillon inter-pariétal. - L" première circonvolution Ihnbiqnc.7.m ? tn : , lames médull
et externe de la couche optique.- \'C', queue du noyau caudé. - 0., première circonvolution occipitale. - OF, faisceau occipit
e la capsule interne. - cm, sillon calloso-marginal. - F,, F.j. Fs, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
Fs, première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. f\, h, premier et deuxième sillons frontaux. - Fa, circonvolut
l'opercule. io, sillon intcr-occipiLal.- K, scissure calcarinc. L" première circonvolution limbique. - Li (t), isthme du lobe
noyau caudé. - NL3, troisième segment du noyau lenticulaire. - 0" 0" première et deuxième circonvolutions occipitales. - OF,
e. Sge, substance grise centrale. - SI, septum lucidum. - l ? 1·.=, première et deuxième circonvolutions tempo- rales. - t ?
ne. - cm, sillon calloso-marginal. - CO, centre ovale. - FI, F" F3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f,, r" premier et deuxième sillons frontaux. - Fa, circonvolutio
rieur. - il), sillon inter-pariétal. li, scissure calcarine. - LI, première circonvolution lim- bique. le, lame cornée. Lme
NG,, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - Oi, Os, première et deuxième circonvolutions occipitales. oa, si
lucidum. sp, scissure sous-pariétale. Slrz, stratum ronale. - 7'i, T" première et deuxième circonvolutions temporales. < ?
est représenté par la circonvolution temporale profonde (Tp) et les première et deuxième circonvolutions temporales ('1' pT").
O, centre ovale. - Csc, circonvolutions sous-calleuses. - 1-\, 1· ? première et deuxième circonvolutions frontales. - F3(c), c
es. - F3(c), cap de la troisième circon- volution frontale. f,, f2, premier et deuxième sillons frontaux. - pli, faisceau lon
percule. io, sillon inter-occipital. - K, scissuse calcarinc. ? [, ,, première circonvo- lution limbique. le, lame cornée. - L
troisième et deuxième segments du noyau lenticu- laire. 0,> Os, première et deuxième circonvolutions occipitales. - oa, si
ntale. - SI, septum lucidum. - sp, scissure sous-pariétale. - li, 7 ? première et deuxième circonvolutions temporales. 1\, bra
noyau interne et le noyau externe (Ne). Ce dernier se distingue du premier par sa coloration plus pâle et son aspect strié
rconvolutions sous- calleuses. do, diverticule occipital. F,,F~,F3, première , deuxième et troisième circonvo- lutions fronta
ière, deuxième et troisième circonvo- lutions frontales. - fui, f2, premier et deuxième sillons frontaux. - F3{c), cap de la
de la scissure calcarine et de la scissure pariéto-occipil,ale. - 7 ? première circon- volution limbique. - L(i), isthme du lo
terne de la couche optique. - NL3, NL2, NL,, troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. 0,, 0 ? première
roisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. 0,, 0 ? première et deuxième circonvolutions occipitales. - oa,
ce grise centrale. Sge, substance grise sous-ependymaire. - T,, T3, première et deuxième circonvolutions temporales. - t ? b
diverti- cule occipital. - dsp, diverticule sous-pinéal. - F,, ]0'" première et deuxième circonvolutions frontales. - r3lcl,
les. - r3lcl,, cap de la troisième circonvolution frontale. - fi, fi, premier et deuxième sillons frontaux. - Fli, faisceau l
de la scissure calcarine avec la scissure pariéto-occipitalc. - L, première circonvolution limbiquc ? ( ? isthme du lobe li
e la- couchc optique. - J\'1 ? NL" .V ? VL ? troisième, deuxième et premier segments du noyau len- ticulaire, le segment in
le segment interne comprend à ce niveau deux segments, ,, ? - 0" Os, première et deuxième circonvolutions occipitales. - oa,
. T,, 7'», pre- mière et deuxième circonvolutions temporales. , l2, premier et deuxième sillons tempo- raux. Tap, tapetum.
diverticule occipital. lis, diverticule du subiculum. F,, h Fi. F,, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
r, e), cap de la troi- sième circonvolution frontale.- t'l, t'" fi, premier , deuxième et troisième sillons frontaux. - FI,
e la scissure calcarine et de la scissure parieto-occipitale. - L,, première circonvolution limbique. - le, lame cornée. - L
terne de la couche optique. - Nez, NL" u'L,, ? troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire, - ce dernier ét
oyau médian de la couche optique (centre médian de Luys). - 0,, 0 ? première et deuxième circonvolutions occipitales. - OF,
se centrale. - Sge, substance grise sous-épendymairc. T, , ? 2, T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
e.- 7'p, pilier postérieur du trigone. Th, couche optique. lit i-i, premier et deuxième sillons temporaux. - V3, troisième ve
utions frontales sont séparées les unes des autres, par les sillons premier et deuxième frontal (f,, f.,); la coupe intéresse
commissure antérieure. - ds, diverticule du subiculum. -F,, Fs, Fj, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
emière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. f,, f" f3, premier , deuxième et troisième sillons frontaux. - FOI, f
issures calca- rine et pariéto-occipitale. - le, lame cornée. - L,, première circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual.
- NC. queue du noyau caudé. -NL3, NL" NL,, ? troisième, deuxième et premier segment du noyau lenticu- laire (le dernier seg
dernier segment est divisé en deux). - NR, noyau rouge. - 0,, Os, 03, première , deuxième et troisième circonvolutions occipita
s-épen- dymaire. - so, sillon sus-orbitaire de Broca. - T,, T2. T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
emière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - t,, t2, premier et deuxième sillons temporaux. - Tap, tapetum.
ace externe les trois circon- volutions temporales (T,, T ? T3)L,-a première circonvolution temporale (T,), qui était intére
u conJraire, est sectionnée dans une grande étendue, et séparée des première et troisième circonvolutions temporales (T,, T.,)
ème circonvolution occipitale (0), enfin la partie inférieure de la première circonvolution occipitale (0,) et le dernier vest
rus descendons d'I : ckcr. ds, diverticule du subiculum. F,, rl ? F3, première , deuxième et troisième circonvolutions'frontalc
première, deuxième et troisième circonvolutions'frontalcs. - f,, (" premier et troisième sillons frontaux. - Fli, faisceau
mmée, de Reichert. so, sillon sus-orbitaire de Broca. - T,, T2, T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
rus descendons d'Eckcr. ds, diverticule du subiculum. F,, 7''B, P3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
insula. - io, sillon inter-occipital. - K, scissure calcarine.- L,, première circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual. -
ance réticulée. - Sti, substance innominée de Reichert. - 7 ? 1 ? T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
remière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - l, 12, premier et deuxième sillons tem- poraux. - Tap, tapetum
erticule du subiculum. Epp, espace perforé postérieur. - F,, F" Fa, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
fusiforme. 11, hippocampe. 1, insula. - K, scissure calcarine. - L, première circonvolution limbique. te, lame cornée. - Lg,
e postérieure. - Sti, substance innommée de Reichert. - T,, Ts, T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
mière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. <., 1 ? premier et deuxième sillons temporaux. - Tap, tapetum. -
rticule du subiculum. - Epa, espace perforé antérieur. - F,, P2, 1·i, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
sure de Sylvius. - Spa, substance perforée antérieure. - T,, 7's, T ? première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
gyrus descendons d'Eckcr. - ds, diverticule du subiculum. - F,, F3, première et troisième circonvolutions frontales. - fa, t
ressé au niveau du gyrus rectus (mF,) et de la partie orbitaire des première et troisième circonvolutions frontales (Fu F3). U
tions optiques de Gratiolet. - S, vallée de Sylvius. - Ti, 7'a, Va, première , deuxième et troisième circonvolu- tions tempor
s circonvolutions frontales désignées de haut en bas sous le nom de première , deuxième et troisième (F Fi' F.i), prennent une
circonvolution frontale et n'intéresse à la face externe que les deux premières cir- convolutions frontales (F,, F2), subdivisé
oso-marginal (cm) sépare en haut et en bas de la face interne de la première circonvolution frontale (mF,). Le genou du corp
lleux. - Cing, cingulum. - cm, sillon cal- loso-marginal. - F,, Fi, première et deuxième circonvolu- tions frontales. ? 3, p
l. - F,, Fi, première et deuxième circonvolu- tions frontales. ? 3, premier , deuxième et troisième sillons frontaux. f, sil
e sillons frontaux. f, sillon olfactif. - f ,. /'2, incisures des premier et deuxième sillons frontaux. - Foa, forceps an
me sillons frontaux. - Foa, forceps antérieur du corps calleux. L,, première circonvolution limbique. - mi" face interne de
leux. - Cing, cingulum - cm, sillon calloso-marginal. - Fi, Fi, F3, première deuxième et troisième circonvolutions frontales
- 7'C, cap de la troisième circonvolution frontale. - ru, fi, /3, premier , deuxième et troisième sillons fron- taux. - fu
/'2, /3, incisure des pre- mier et deuxième sillons frontaux. - L,, première circonvolution limbique. - ¡¡¡F" circonvolution
m. - cm, sillon calloso-marginal. - CO, centre ovale. -1"" r2, r.1, première , deuxième et troisième circon- volutions fronta
cs.-F,C, cap de la troisième circonvolution frontale. - f,, f2, f3, premier , deuxième et troisième sillons frontaux. - (" i
ème sillon frontal. f,, sillon olfactif. - ic, incisure du cap. L,, première cir- convolution limbique. - OF, faisceau occip
um. - cm, sillon calloso-marginal. CO, centre ovale. - Fi, ? z, fa, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
. - FaC, cap de la troisième circonvolution frontale. - f,, f2, f3, première , deuxième et troisième sillons frontaux. - fi,
sillon olfactif. Fu, faisceau uncinatus. - ic, incisure du cap. LI, première circonvolution limbique. mF,, face interne de l
u corps calleux. - - Sge, substance grise sous-épendymaire. TA, Ts, première et deuxième circonvolutions temporales.-t,, pre
maire. TA, Ts, première et deuxième circonvolutions temporales.-t,, premier sillon temporal. Il £ , ventricule latéral. C
ulum. - cm, sillon calloso-marginal. - CO, centre ovale. - F" F" F" première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
- F3C, cap de la troisième circonvolution frontale. - - fi, f2, /3, premier , deuxième et troisième sillons frontaux. - fa, si
olfactif. - Fu, faisceau unci- natus. - ic, incisure du cap. - L,, première circonvolution limbique. - 111fut, face interne
us du corps calleux. Sge, substance grise sous-épendymaire. T,, 7 ? première et deuxième circonvolutions temporales.- t,, 12,
. T,, 7 ? première et deuxième circonvolutions temporales.- t,, 12, premier et deuxième sillons temporaux. 442 AKATOMIE DES
lum.. en ? , sillon calloso-marginal. CO, centre ovale. F,, Fs, F3, première , deuxième et troisième circon- volutions fronta
première, deuxième et troisième circon- volutions frontales. - f,, premier sillon frontal. - Fu, fais- ceau uncinatus. - L
es. - f,, premier sillon frontal. - Fu, fais- ceau uncinatus. - L,, première circonvolution limbique, z face interne de la p
es postérieure et. verticale de la scissure de Sylvius. T,, 7 ? 1 ? première , deuxième et troisième circon- volutions tempor
ière, deuxième et troisième circon- volutions temporales. - l,, 12, premier et deuxième sillons tem- portaux. - lec, toenia
, pre- mière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f" premier sillon frontal. - Fa, cir- convolution frontale
u, faisceau uncinatus. - l, insula. - it, incisure temporale. - Li, première circonvolution limbique. - face interne de la pre
. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. T,, 7's, T3, première , deuxième et troisième circonvolutions teiiipor
irconvolutions teiiiporiles. - Tol, tubercule olfactif. - 11, t2, ta, premier , deuxième et troisième sillons temporaux. - 17,
série de coupes, nous trouvons au niveau du lobe frontal, les deux premières circonvolutions frontales (Fj ! F2) et la circo
ales (T,, tu,, Te) et le commencement du lobule fusiforme (Fus). La première circonvolution temporale (T,) est étroite et minc
lloso-marginal. CO, centre ovale. coa, commissure antérieure. Fi, .j, première et deuxième circonvolutions frontales. - premie
térieure. Fi, .j, première et deuxième circonvolutions frontales. - premier sillon frontal. Fa, circonvolution frontale asc
siforme. - Il, circonvolution de l'hip- pocampe. - I, insula. - L,, première circonvolution limbique. - linge, lame médullaire
e de Sylvius. - Spa, substance perforée antérieure. - 7·,, 7·,, 1 ? première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
ère, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - t,, f" la, premier , deuxième et troisième sillons temporaux. U, circ
rginal. CO, centre ovale. - coa, com- missure antérieure. - F,, r2, première et deuxième circonvolutions frontales. - f,, prem
eure. - F,, r2, première et deuxième circonvolutions frontales. - f,, premier sillon frontal. Fa, circonvolution frontale asc
. - Fu, faisceau uncinatus. Fus, lobule fusiforme.- I, insula.- L,, première circonvolution limbique, - 7nF,, fice interne d
au amygdalien. XC, noyau caudé. - NL3, 1. i. troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. OF, faisceau occi
substance perforée antérieure. - SI, septum lucidum. - tu T-2, T3, première , deuxième et troisième circonvolu- tions tempor
e, deuxième et troisième circonvolu- tions temporales. - l" l" 1.1, premier , deuxième et troisième sillons temporaux. - Tga,
lloso-marginal. - CO, centre ovale. coa, commissure antérieure. F,, première et deuxième circonvolutions fron- tales. - Fa,
ule fusi- forme. H, circonvolution de l'hippocampe. 1, insula. -L,; première circonvolution lim- bique. - lnté, lui, lames m
llon de Monro. - Sti, substance innominée de Rei- chert. 7\, T2, T, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
ière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. tl, 19, ta, premier , deuxième et troisième sillons temporaux. - Tc, t
lle est séparée de la deuxième circonvolution frontale (1=), par le premier sillon frontal (f,). On rencontre ensuite à la fa
a, commissure antérieure. ds, diverticule du subiculum. - r,, F2, Fa, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
a, première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f,, premier sillon frontal. - Fa, circonvolution frontale a
eau thalamique de Forel. - Fus, lobule fusiforme.- /, insula. - G,, première circonvolution limbique.- L.,(11), deuxième cir
nce grise sous-ependymaire. - sM, sillon de Monro. - z T,, Ta, 7*3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
, première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. t,, t ? premier et deuxième sillons temporaux. - Tap, tapetum.
commissure antérieure. - ds, diverticule du subiculum. - F,, l'.z, première et deuxième circonvolutions frontales. - premie
ulum. - F,, l'.z, première et deuxième circonvolutions frontales. - premier sillon frontal. F, champ de Forel. - Fa, circonvo
s, lobule fusiforme. - h, sillon de l'hippocampe. z ? insula. - L,, première circonvolution limbique. - L2 (II), deuxième circ
ance grise sous-épendymaire. sJl, sillon de de Monro. - T,, Ts, T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
emière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - l,, 12, premier et deuxième sillons temporaux. Tap, tapetum. - Tg
ulum. - Epp, espace perforé postérieur. - F, champ de Forci. - Fui, première circonvolution frontale. Fa, circonvolution front
- 11, hippocampe. . le, sillon de l'hippocampe. - I, insula. - L,, première circonvolution limbiquc. - le, lame cornée. - L
stance grise sous- épendymaire. sM, sillon de Monro. - T,, T ? T.1, première , deuxième et troisième circonvo- lutions tempor
ière, deuxième et troisième circonvo- lutions temporales. - l,, 12, premier et deuxième sillons temporaux. - Tap. tapetum. -
sillon de l'hippocampe. -l, insula. - ip, sillon inter-pariétal. L,, première circonvolu- tion limbique. - Lme, Lmi, lames mé
orps calleux. - S',ge, substance grise sous-épendymaire. 1'l, T ? 73. première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
e, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - t,, t'2, t3, premier , deuxième et troisième sillons temporaux. - tec
tion de l'hippocampe. /, insula. - ip, sillon inter-pariétal. - L,, première circonvolution limbique. - le, lame cornée. - Lzn
orter d'une part (coupes ne-' 75 et 78, fig. ? ! c1-`3ai0), dans la première circonvolution temporale (T,) et d'autre part, da
e inférieure du noyau lenticulaire sous-épcndymaire. - 7't, T2, T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
ère, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - Ile i-1 13 premier , deuxième et troisième sillons tcmporau. - Tap, t
circonvolution de -l'hippocampe. ip, sillon intcr- pariétal. - L,, première circonvolution limbique. le, lame cornée. - Lzz,
substance grise sous-épendymaire, - sM, sillon de Monro. T,; 7 ? 7'3. première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
ière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. t,, 12, 13, premier , deuxième et troisième sillons tem- poraux. T'a
supra-marginalis). Il, hippocampe. - ip, sillon intcr-pariétal. Gi, première circonvolution limbique. - le, lame cornée. - L
- sM, sillon de Monro. - S/i, substance réticulée. - 7'l, 7'i, T3, première , deuxième et troisième circonvolutions tcm- por
ière, deuxième et troisième circonvolutions tcm- porales. - t,, t3, premier et troisième sillons temporaux. Tap, tapetum. Tg,
us, lobule fusiforme. - H, hippocampe. ip, sillon inter-pariétal. L,, première circonvo- lution limbique. - le, lame cornée. -
grise sous-épendymaire ? SR, sub- stance réticulée. - 7 ? T'a, lui, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
emière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - t,, l,, premier et troisième sillons temporaux. - Tap, tapetum.-
re. SR, substance réti- culée. - slr, stratum zonale. - T,, T., T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
emière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. t, t" t3, premier , deuxième et troisième sillons temporaux. Tap, ta
H, circonvolution de l'hippocampe. - ip, sillon inter-pariétal. - L,, première circonvolution limbique. le, lame cornée. - Lrn
;, l'i, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - 11, t2, premier et deuxième sillons temporaux. Tap, tapetum. -
mpe. fg, sillon fimbrio- godronné. - ip, sillon inter-pariétal. Li, première circonvolution limbique. le, lame cornée. Lms,
porales. Tap, tape- tum. - pilier .postérieur du trigone. - t,, t2, premier et deuxième sillons temporaux. 1'l, ventricule
ranche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitalc. - LI, première circonvolution limbique. - Lms, lame médullaire s
*+/jo, branche commune aux scissures calcarine etpariéto-occipitaic ? première circon- volution limbique. Lms, lame médullaire
nche commune aux scissures calcarinc ct luiriétn- occipitale. - L,, première circonvolution limbique. - 01, sillon collatéral.
et troisième circonvolutions temporales. Tap, tal'etunl. -1" ti, l3, premier , deuxième et troisième sillons temporaux. <e
e lobe occipital en arrière du bourrelet du corps calleux. Les deux premières passent par la partie postérieure du lobule par
ranche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipilale. - Li, première circonvolution limbique. - L (i), isthme du lobe
che com- mune aux scissures calcarine et pariéto-occipitale. - Lui, première circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual.
calcarine. - G, lobule lingual ? sillon du lobule lingual. - 0,. 0" première et deuxième circonvolutions occipitales. - ot,
ne. - L7, lobule lingual. - lg, sillon du lobule lingual. - 0[, ou, première et deuxième circonvolu- tions occipitales.-ot,
en grande partie par le cingulum (Cing). La face interne de la première circonvolution frontale (mu,,), se confond en
r et les incisures qui l'entaillent appartiennent presque toutes au premier sillon frontal, c'est-à-dire à la face externe de
unéus (C) et sur l'isthme du lobe limbique (i). Elle est séparée du premier par la scissure calcarine (K) et du second par
à la scissure calcarine et à la scissure parieto-occipitalc. - L,, première circonvolution limbique. - Le, lobule central du
NL, nerf de Lancisi. - Nil, noyau rouge. - Nt, noyau du toit. - 0), première circonvolution occipitale. - oF, partie orbi- t
rectus). - P, étage inférieur ou pied du pédoncule' cérébral. - P,, première circonvolution pariétale. - Pa, circonvolution pa
ïdes dans cette région de la couche optique a lieu de surprendre au premier abord. Il faut se rappeler en effet, que les plex
tes sur les cerveaux durcis au bichromate, faisceau qui s'étend, du premier indice de séparation du noyau caudé (21C) et du
e. - cop, commissure postérieure D, gyrus descendons d'Ecker. - F,, première circonvolution frontale. fa, sillon olfactif. Fa,
branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitale. L,, première circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual.
en. - Nm, noyau médian de la couche optique. - NR, noyau rouge. - 0,, première circon- volution occipitale. Oc, olive cérébell
dus ( : 'IL" ,Î et du 32 Csc, circonvolutions sous-calleuses. FI, première circonvolution frontale. Fa. circonvo- lution f
noyau externe du thala- mus. NI3, " putamen et globus pallidus. 0, première circonvolution occipitale. Ou, olive cérébelleu
e. oF\, partie orbiLairc de la première circonvolution frontale. Pu première circonvolution pariétale. ? étage inférieur du pé
llons suivants : les parties li/'bitaÏ1'es des troisième, deuxième et première circon- volutions frontales (oF ? oV ? oF,) sép
D,gCca, digitations de la corne d'Ammon. EM, ergot de Morand. F,, 7 ? première et deuxième circonvolutions frontales. l'l, /3,
d. F,, 7 ? première et deuxième circonvolutions frontales. l'l, /3, premier et troisième sillons frontaux. Fa, cir- convolu
NL2, ;>IL¡, noyau lenticulaire avec ses trois segntents.-0,, 0, première et deuxième circonvolutions occipitale ? oFt.oF.j
ème circonvolutions occipitale ? oFt.oF.j, oF" partie orhitairc des première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
ontales. ol, sillon collatéral. P, pied du pédoncule cérébral. -P,, première circonvolution pariétale. - l'a, cir- convoluti
rieure. - Cil, couronne rayonnante. - EM, ergot de Morand. Fui, F,, première et deuxième circonvolutions frontales. ? pre- C
e présente rien de spécial il noter, si ce n'est l'appari- tion des premières circonvolutions de l'insula (I), dans le fond de
caudé. NL3, NL" NL,, noyau lenticulaire et ses trois segments. Oi, première circonvolution occipitale. oF,, oF ? 0l'3, partie
et troisième circonvolutions frontales. - ol, sillon collatéral. Pi, première circonvolution pariétale. - P, pied du pédoncul
ovale. coa, commissure antérieure. - CR, couronne rayonnante. F,, Fa, première et deuxième circonvolutions frontales. f2, f3,
te. F,, Fa, première et deuxième circonvolutions frontales. f2, f3, premier , deuxième et troisième sillons fron- taux. Fà,
oisième circonvolutions occipitales. ot, sillon collatéral. - P,, P2, première et deuxième circonvolutions pariétales. - Pa, c
Th, radiations optiques de Gra- tiolet. S, scissure de Sylvius. Ti, première et deuxième circonvolutions temporales. - T3 +
tions optiques de Gratiolet. - S, scissure de Sylvius. - Ti, 1'" 7'3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
e, de Meckel. Fi, deuxième circon- volution frontale. - fI, {2, ¡ ? premier , deuxième et troisième sillons frontaux. Fa, circ
ions thalamiques de Gratiolet. - S, scissure- de Sylvius. - Ti, T3, première et troisième circonvolutions temporales. - t\,
de la queue du noyau caudé (NC') pour se rendre dans la région des première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
nce grise sous- épendymaire de la corne sphénoïdale. - 1'1, 1'" 1'" première , deuxième et troisième cir- convolutions tempor
les.ï'ap,tapctum.ï/), circonvolution temporale profonde. Il, l" 1 ? premier , deuxième et troisième sillons temporaux. - t ? p
rconvolutions temporales (T3' T2, T,), séparées par les deuxième et premier sillons temporaux (t2, t,). La face supérieure de
lis et relie la circonvolution pariétale inférieure (Pz [Gsm] il la première circonvolution eno)'6te(Tt). COUPES MACROSCOPIQ
eure, postérieure et verticale de la scissure de Sylvius.- Tu 7, ï'3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
, sillon calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante. - Fi, 7 ? 13, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
ère, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - fi, /a, f3, premier , deuxième et troisième sillons frontaux. - f4, qu
ou sillon olfactif. - 1'" incisure du deuxième sillon frontal. - L" première circonvolution limbique. - ' mF,, face interne
e clans sa partie supérieure par des fibres qui s'irradient dans la première circonvolution frontale (Fj) (face externe et fac
ntales à la face externe du lobe frontal et la partie orbitaire des première (oF,) et troisième circonvolutions frontales (o
cm, sillon calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante. F,, Fi, Fa, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
emière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. A, fi, ft, premier , deuxième et troisième sillons frontaux. /», quat
u sillon olfactif. - r2, incisure du deuxième sillon frontal. - Li, première circonvolution limbique. mF" face interne de la
première circonvolution frontale. oF, (Gr), partie orbitaire de la première circonvolution frontale (gyrus rectus). -oFa, par
colliculus du noyau caudé. - CR, couronne rayonnante. - Fi, F2, F3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
F3, première, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - fi, premier sillon COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. ;i29
Fu, faisceau uncinatus. - l, insula. - ig, induseum griseum. - L,, première circonvolution limbique. 2zF,, face interne de
e, substance grise sous-pcndynurirc. SI, scl>tum lucidum.-T,, T" première et deuxième circonvolutions temporales. - li, 1 ?
al. coa, commissure antérieure. CR, couronne rayonnante : 1 7 ? 1 ? première et deuxième cir- convolutions frontales. ? prem
nte : 1 7 ? 1 ? première et deuxième cir- convolutions frontales. ? premier sillon frontal. Fa, circonvolution frontale ascen
tus. Fus, lobule fusiforme. fi, fibres tagentielles. J. insula. L,, première circonvolution limbique. Ime, lame médullaire ext
m lucidum.- Sti, sulv- stance innominée de Reichert. - 7'i, T2, Ta, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
e, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - il, 1.2, la, premier , deuxième et troisième sillons temporaux. 7'c, tu
-marginal. coa, commissure antérieure. CR, couronne rayonnante. Fi. première circonvolution frontale. ? i, premier sillon fr
CR, couronne rayonnante. Fi. première circonvolution frontale. ? i, premier sillon frontal. - Fa, circonvolution frontale asc
les. -Fu, faisceau uncinatus. Fus, lobule fusiforme. l, insula. LI, première circonvolution limbique. lme, lame médullaire e
amygdalien. A'C, noyau caudé. XL3. NL" NLI, troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. OF, faisceau oc
rieure de la scissure de Sylvius. - si ? stratum xonaie. Th 7 ? 1\, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
mière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. t,, l"2, ta, premier , deuxième et troisième sillons temporaux. Te, t
a circonvolution frontale ascendante (Fa), les plis d'insertion des première et troisième circonvolutions frontales (F,, Fa) e
- F,, F.1, pre- mière et troisième circonvolutions frontales. - fi, premier sillon frontal.-F, champ de Forel. Fa, circonvo
- Fus, lobule fusiforme. -h, sillon de l'hippocampe. - /, insula. L,, première circonvolution limbique. - L ? (H), circonvolut
ne et interne du thalamus. - NL,, NL" 11'L,, troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire, le premier segmen
nce grise sous-pendy-nmirc. - strz, stratum zonale. - Tt, riz, 7'j, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
'j, première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - Il, premier et deuxième sillons temporaux. Tap, tapetum tec
s, diverticulc du subicultllll. Epp, espace perforé postérieur. F,, première circonvolution frontale. l'" premier sillon front
space perforé postérieur. F,, première circonvolution frontale. l'" premier sillon frontal. Fa, cir- convolution frontale a
, sillon de Diippocanrnp. /, insula. ip, sillon inter-pariétal. LI, première circonvolution limbique. le, lame cornée et fibre
ubstance grise sous-épendymaire. strz, stratum zonalc.-1 ? 7*2, 7 ? première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
? première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. t" l" premier et deuxième sillons temporaux. Tap, tapetum. te
substance grise de la protubérance. strz, stratum zonale. T,, 7 ? T3. première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. Il, l,. premier et deuxième sillons tem- poraux. Tup, tapetum.
l'hippocampe. Ip, insula postérieur. ip, sillon inter-pariétal. L,, première circonvolution limbique. Lg, lobule lingual. Lm
- SR, sub- stance réticulée. - strz, stratum zonalc. - T,, T ? T3, première , deuxième et troisième cir- convolutions tempor
mière, deuxième et troisième cir- convolutions temporales. - 1,, /, premier et deuxième sillons temporaux. 1'(tl), tapetum.
emière circonvolution limbique (L,)'dans le ]iré- (PPC) et dans les première et deuxième circonvolutions pariétales (P,, P2).
l'hippocampe. ip, il)', sillon inter-pariétal et ses incisures. L,, première circonvolution limbique. Lg, lobule lingual. L111
111S, lame médullaire superficielle. ot, sillon collatéral. P,, P ? première et deuxième circonvolutions pariétales. Pc, pli
ni, T3, deuxième et troisième circon- volutions temporales. - l" l" premier et deuxième sillons temporaux. t ? incisure du
llon occipital antérieur de Werniclce. - ot, sillon collatéral. P,, première circonvolution pariétale. Pc, pli courbe. po, s
. 265). - - Cette coupe intéresse la pointe occipitale au niveau du premier pli anastomotique cunéo-lingual (1tC+ Lg) et pa
rine. Lg, lobule lingual. lg, sillon du lobule lingual. 0,, 02, 03, première , deuxième et troisième circonvolutions occipitale
et des longs faisceaux d'associa- tion, comprend 6 coupes; les deux premières intéressent les deux tiers postérieurs de l'hém
es radiées ne s'observent sur cette préparation, qu'au niveau de la première circonvolution temporale (1\) et au niveau du lob
; les trois coudes de sa face externe correspondent aux deuxième et première circonvolutions temporales (T" T,). Les deux po
duscum griseum. lp, insula postérieur. - li, scissure calcarine. - Lu première circon- volution limbique.- le, lame cornée et
- 1 NL3, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire.-0,, première circonvolution occipitale. - Plchl, plexus chor
sous-epcndymaire de la corne occipitale. strz, stratum xonale ? 7 ? première et deuxième convolutions temporales. - t,, sill
ce réticulée d'Arnold ou lame médullaire superficielle. T,, T., T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
, sil- lon calloso-marginal. CR, couronne rayonnante. - F,, Fi, F3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
première, deuxième et troisième circonvolutions frontales.- f,, f , premier et deuxième sillons frontaux. - Fli, fais- ceau
eur. - i, sillon insulaire. la, Ip, insula antérieur et postérieur. ? première circonvolution limbique. - le, lame cornée. - Lme
us-épendymaire. SI, scptum lucidum. so, sillon sus-orhitaire. - T,, première circonvolution temporale. Th, couche optique. - T
oa, com- missure antérieure. - CR, couronne rayonnante. F,, Fa, Fa, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
te coupe passe par le seuil de l'insula (SI), la face orbitaire des première et troisième circonvolutions frontales (oF,, oF
nsi que l'irradiation des fibres radiées dans la face orbitaire des première et troisième circonvolutions frontales (or"or3),
sous-6lendymairc.- Sli, substance innominée de Reichert. - T,, T ? première et deuxième circonvolutions temporales. - T{fa, p
NZ.3, putamcn. - Nil, noyau rouge. - oF,, oF,, partie orbitaire des première et troisième circonvolutions frontales. - P, étag
les, que l'on voit s'irradier en avant dans la partie orbitaire les première et troisième circonvolutions frontales (oF uoF 3)
Reichert. - Stri, stratum intermedium du pédoncule cérébral. - T,, première circonvolution temporale. - Tc, tuber cinereum.
ubstance grise suus-chendymairc. - sa, stratum lacunosum. - Ti, T2, première et deuxième circonvo- lutions temporales. - l,,
. - F" F3, deuxième et troisième circonvolutions frontales. /i, fi- premier et deuxième sillons frontaux. - Fa, circonvolutio
res lenticnlo-candees. ft, fibres tangentielles du Uenia tecta. - L,, première circon- volution limbique. - NC, noyau caudé. N
res à direction ascendante explique ainsi l'aspect, si singulier au premier abord, que présente sur cette coupe hori- zonta
gentielles du ttenia tecta. iSI, inser- tion du septum lucidum. L,, première circonvolution limbique. - le, lame cornée et t
opto-strié. - SI, septum lucidum. strz, stratum zonale. - T,(Gsm), première circonvolution temporale (gyrus supra-nmrginali
igert. Dans la couche profonde, on observe, surtout au niveau de la première circonvolution temporale (T,) ainsi qu'au sommet
de Gratiolet. - si, sillon opto-strié. strz, stratum zonale. - T,, première circonvolution temporale. - t,, sillon parallèle
e. - T,, première circonvolution temporale. - t,, sillon parallèle ou premier sillon temporal. Tg V, carrefour ventriculaire.
SI, septum lucidum. strz, stratum zonale. Th, couche optique. ï't, première circonvolution temporale. ti, premier sillon temp
le. Th, couche optique. ï't, première circonvolution temporale. ti, premier sillon temporal (sillon paral- lèle). Tap, tape
recourbé ; il em- brasse dans sa concavité la partie supérieure du premier segment (NL,), dont il est séparé par la lame m
i, noyau interne du thalamus. lfL3, lIL2, NI troisième, deuxième et premier segments du noyau, lenticulaire. Nm, noyau médi
couche optique. si, sillon opto-strié. - strz, stratum-zonale. - T,, première circonvolu- tion temporale. SI, septum lucidum.
convolu- tion temporale. SI, septum lucidum. t" sillon parallèle ou premier sillon temporal. Tap, tapetum. Tga, pilier anté
Ni. noyau interne du thalamus. NL" NU. NLI, troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire.- Nm, noyau médi
i, sillon opto-strié. Si, septum lucidum. strz, stratum zonale. T,, première circonvolution temporale. Tgn, pilier antérieur d
yau semi-lunaire de Flechsig. .\/.3, NL" NL" troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire, le premier et le
de Gratiolet. Sgc, substance grise centrale. SI, septum lucidum. T,, première circon- volution temporale. Talt, tapetum. 7'a,
i\'C', queue du noyau caudé. NL3, NL" NL,, ? troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire, le segment inte
sule, il continue sa route en avant, en fournissant des fibres à la première circonvolution temporale, ainsi qu'il la capsule
. NC, tète du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. NLa, NU, NL,, premier , deuxième et troisième segments du noyau lenticul
VL2, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - NL,(Al), premier seg- ment du noyaù lenticulaire et anse du noya
par la commissure antérieure (coa) qui la sépare du deuxième et du premier segment du noyau lenticulaire (NL,, NL,). La tète
nce grise sous-épcndymaire. Sli, substance innominée de Reichert. T,, première circon- volution temporale. Tap, tapetum. Tga,
'anse du noyau lenticulaire (Al) embrassent le noyau rouge (NR); le premier contourne sa face externe, le second sa face inte
nombre de fibres il la crête de ces circonvolutions, à savoir : aux première et deuxième circonvolutions temporales, au lobule
a. iPchl, insertion des plexus choroïdes du ventricule latéral. L,, première circonvolution limbique. le, lame cornée et libre
Sih, scissure iiit,er-liénii-,pli(1-ique. strz, stratum zonale. T,, première circonvolution temporale. Tga pilier antérieur
aux externe et interne du thalamus. NL3, NG. troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. Nm. noyau médian
alamus. Sge, substance grise centrale. s<) ? stratum zonale. T,, première circonvolution temporale. Tga, pilier antérieur d
us (centre médian de Luys). NL3, NL" NI ? NL ? troisième, deuxième et premier seg- ments du noyau lenticulaire, le premier ét
aire de Flechsig. Ni, noyau interne du thala- mus. NL3, NL2, NL,, ? premier , deuxième et troisième segments du noyau lenticul
premier, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire, le. premier , segment est divisé en deux parties NL,, NL ? par
sure de Forel occupant la voûte de l'espace perforé postérieur. fi, première circonvolution frontale. Fcop, faisceau de la c
C', queue du noyau caudé. 1YL3, NLi, -VL,, ? troisième, deuxième et premier segments, ce dernier subdivisé en deux du noyau
faisceau longitudinal postérieur (Flp), qui fait sur cette coupe sa première apparition, sous forme d'un petit faisceau tria
. Sti, substance innominée de Reichert. strz, stratum zonale. - T,, première circonvolution temporale. Te, tuber cinereum. Th,
lui de la coupe précédente n° 7 x (tig. 3) que par l'apparition des premiers fascicules d'un faisceau, situé immédiatement en
e. - SU, substance innominée de Reichert. strz, stratum zonale. T,, première circonvolution temporale. Tc, tuber cinereum. Tgp
igine de ces libres. zone corticale tangenlielle, stratum zonale, premier plexus de Cajal, fig. 342 et 347, fl). Cette co
-ci entrent en effet dans la constitution des faisceaux radiés, les premiers , au contraire, poursuivent leur trajet tangentiel
de l'écorce jouis- sent de propriétés physiologiques différentes. Première circonvolution limbique. Nerf de Lancisi. -Taenia
auvreté de la 3° couche en grandes cellules pyramidales. Les deux premières couches de cette circonvolution (couche moléculai
lées autochtones de la couche moléculaire (Gg. 355, m, n). Les deux premières origines sont certaines; il est par contre dout
des grandes cellules triangulaires ou multipolaires, que Broca le premier rapprocha des cellules pyramidales de la région
. (5' couche.) de 0mi",20 à omm,25 de diamètre, assez semblables, à première vue, aux glomérules du rein. Ces glomérules ren
re et qui concourt à former, en grande partie, la masse blanche des première et deuxième circonvolu- tions limbiques (L, et
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. les autres dans la partie orbitaire des première et troisième circonvola- FiG. 3 15. - Coupe hor
hère droit et passant par le seuil de l'insula, la face orbitaire des première et troisième circonvolutions frontales, la part
n. NL" putamen. NR, noyau rouge. - oF 11, 0F3, partie orbitaire des première et troisième circonvolutions frontales. Il étage
Reichert. - Slri, stratum intermedium du pédoncule cérébral. - Ti, première circonvolution temporale. - Te, tuber cinereum. T
. sillon intcr-occipital. - ip, sillon inter-pariétal. - 0" 0 ? 0,, première , deuxième et troisième circonvolutions occipitale
circonvolutions occipitales. - oF,, oF2, oF3, partie orbitaire des première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
isième circonvolutions frontales. - oF,(Gr), gyrus rectus. Pi, Il ? première et deuxième circonvolutions pariétales. -Pa, circ
, sillon pré-rolandique supérieur. - Il, scissure de Rolando.- Ti, T" première et deuxième circonvolutions tcmporales.- 11, si
re et deuxième circonvolutions tcmporales.- 11, sillon parallèle ou premier sillon temporal. - 1'l, 1'l, branches . vertica
crochet (U), dans le pôle temporal et dans la partie antérieure des première et deuxième circonvolutions temporales (T,, '1'2)
, sillon marginal postérieur. ms, sillon marginal supérieur. 0\, 0" première et deuxième circonvolutions occipitales. oa, sill
cipital antérieur de \'erniclce. oF,, 07 ? opta, partie orbitaire des première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
/.) ? opercule pariétal. Ov, faisceau occipital vertical. - PI, 1 ? première et deuxième circonvolutions pariétales. - Pu, c
ranches antérieure, et verticale de la scissure de Sylvius. - Ti, 7 ? première et deuxième circonvolutions temporales. - t,, s
e et deuxième circonvolutions temporales. - t,, sillon parallèle ou premier sillon temporal. - l ? t ? branches verticales
. -Il. circonvolution de l"hippocampe.- li, scissure calcarine. LI, première circonvolution limbique. Gg, lolmlc lingual. /l,
? circonvolution de l'hippo- campe. h, sillon de l'hippocampe. L,, première circonvo- lution limbique. - .YC, tronc du noya
SCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 763 1,; rayonnante. - F,, F ? première et deuxième circonvolutions frontales. - f, premi
nante. - F,, F ? première et deuxième circonvolutions frontales. - f, premier sillon frontal. Fa, circonvolution frontale asc
us, lobule fusiforme. ft, fibres tangentielles. - /, insula. L,, ,, première circonvolution limbique. - <n : e, lame médu
septum lucidum. Sti, substance innommée de Reichert. - TI, T2, T,, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
ière, deuxième et troisième circonvolutions temporales. II, t2, t3, premier , deuxième et troisième sillons temporaux. Tc,tube
,) (fig. 383, voy. aussi lige52 à 262). La paroi externe répond aux première et deuxième circonvolutions tempo- l'ales (T,,
bippocampc. -ip, ip', sillon inter-parietal et ses incisurcs. - Li, première circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual, Lu
, lame médullaire superficielle. - ot, sillon collatéral. - l'" 1'" première et deuxième circonvolu- tions pariétales. - Pc,
? T3, deuxième et troi- sième circonvolutions temporales. - l,, 1 ? premier et deuxième sillons temporaux. 12', incisure du
lon occipital antérieur de Wernicke. - of, sillon collatéral. - Pl, première circonvolution pariétale. z ! 'c, pli courbe. po,
, ,VL3. deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - 0,, première circonvolution occipitale. - Plchl, plexus choroï
ntriculaire de la couche optique. - strz, stratum zonale. - 1 ? Vs, première et deuxième circonvolutions temporales. - 1,, s
rforé. antérieur (Epa) en arrière et dans l'écorce adjacente de .la première circonvolution temporale (Ti) (fig, 386) (Voy.-
bstance grise sous-épendymaire. - Stl, stratum lacunosum. - Ti, TB, première et deuxième 'circonvolu- tions temporales. -t,,
grise de la protubérance. - strz, stratum zonale. - 7'i, 1· ? T'j. première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - t1, ti, premier et deuxième sillons temporaux. - Tap, tapetum.
Les radiations du corps genouillé interne tirent leur origine de la première circonvolution temporale, ainsi que Monakow, Maha
longitu- dinal chez le singe. volution limbique. - l, insula. G,, première circonvolution limbique. bne, lame médul- laire
. - Lg, lobule lin- gual.- 19, sillon du lobule lingual. 0,, 0" 03, première , deuxième et troisième circonvolu- tions occipi
plété en dehors par le faisceau occipilo-frontal (OF). Autour de ce premier système de fibres, on trouve l'anneau irrégulie
sillon calloso-marginal. - CR, couronne j rayonnante. - Fi, re, F, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
emière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. fi.fi, f3, premier , deuxième et troisième sillons frontaux. - f,, si
sillon olfactif. - f incisure du deuxième i- sillon frontal. - Lui, première circonvolution limbique. - mF,, face interne delà
al. - Lui, première circonvolution limbique. - mF,, face interne delà première cir- convolution frontale. OF, faisceau occipit
au uncinatus, qui viennent s'irradier dans les faces orbitaires des première et troisième circonvolutions frontales. Mais
lvien (OpFz, OpR, OpP2), de la partie postérieure du lobe temporal ( première et deuxième circonvolutions temporales) (T 1>
sversales (lig. 280 et 390). Les fibres originaires des deuxième et première circonvolutions frontales (F,, F,) s'irradient
cm, sillon calloso-marginal. CR, couronne rayonnante. F,,F->,F3, première , deuxième et, troisième circonvolutions frontal
première, deuxième et, troisième circonvolutions frontales. fi, f2, premier et deuxième sillons frontaux. - Fli, fai- sceau
. i, sillon insulaire. la, //), insula antérieur et postérieur. L,, première circonvolution limbique. le, lame cornée. - Lme,
endymaire. - SI, scptum lucidum. - .so, sillon sus-orbitaire. - T,, première circonvolution temporale. - Th, couche optique. -
84). Les radiations calleuses qui naissent du cunéus (( : ;1 et lit première ('ir- convolution occipitale IO,) convergent, e
é du lobe pariéto-temporal (deuxième circonvolution temporale [T2], première et deuxième circonvo- lutions pariétales [P,, P
ariétal (deuxième circonvolution occipitale [0.=], pli courbe [Pc], première circonvolution pariétale [I',], précunéus [l'rC
la scissure calca- rine et de la scissure pariéto-occipitale. ii, première circonvolution limbique. Lg, lo- bule lingual.
obe limbique. Lg, lobule lingual.o<, sillon collatéral. - Il,, Pu, première et deux 3me circonvolutions pariétales. l'a, ci
range.). 802 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. lire. Pendant les deux premières années de son séjour à Bicètre, présenta un degré
rtie verticale. fAe, fibres d'association externes de leviiert. L,, première circonvolution limbique. 2)îF, face interne dc&
L,, première circonvolution limbique. 2)îF, face interne dc> fà première circonvolution frontale. .YC, noyau caudé. - Pa
a. NC, tète du noyau caudé. NC', queue du noyau caude. NL3, NL" XL" premier , deuxième et troisième s'eg- ments du noyau len
oral. Pour Foville (1844), elle s'étendait à tout le lobe limbique ( première et deuxième circonvolutions limbiques (L"L [II
ammifères une partie ascendante, qui relierait entre elles les deux premières circon- volutions limbiques, en passant par la
mdren Opticuscentren. Mûnchen. med. Wochenschr. 1892. FIN DU TOME PREMIER TABLE DES MATIÈRES DU TOME PREMIER 812 ' TA
ochenschr. 1892. FIN DU TOME PREMIER TABLE DES MATIÈRES DU TOME PREMIER 812 ' TABLE DES MATIÈRES. TABLE DES MATIÈRES.
2 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Atlas
it la nature de ces lésions, il n'empêche jamais de les reconnaître à première vue; les foyers de ramollissement prennent une te
au correspond à l'inclinaison des fibres, mais elle ne révèle pas, du premier coup, la direction anatomique de ces fibres ; en
anatomique de ces fibres ; en d'autres termes, on ne peut pas dire, à première vue, si les fibres sont obliques en avant et en
d'un jaune brun. Comme ces deux teintes sont ternes, elles semblent à première vue se confondre. Avec un peu d'attention, on s'a
en Allemagne depuis quinze ans, et parmi lesquelles on doit citer en première ligne celles de Flechsig et de ses nombreux élève
re cérébral, c'est-à-dire du cerveau proprement dit. VII Les neuf premières planches de notre atlas représentent les circonvo
ontale ascendante, 8. F1. Première circonvolution frontale, 8. f. Premier sillon frontal, 4, 14. fi. Sillon de la premièr
n frontale, 5. F5. Troisième circonvolution frontale, 9, 15. F'a. Première circonvolution frontale accessoire. F2a. Deuxiè
ieur de la scissure calcarine, 12. L. Scissure limbique, 7, 14. 01. Première circonvolution occipitale, 12. 02. Deuxième cir
d'anastomose moyen de la première frontale à la deuxième, 14. -ttO. Premier pli de passage pariéto-occipiïal, pli de passage
ssage pariéto-occipiïal, pli de passage pa-riéto-occipital supérieur, premier pli de passage externe (Gratiolet), 11, 12. ttO
Sillon rostral, 5. T1. Première circonvolution temporale, 12. tv Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
Gyrus postérieur du lobe carré, 22, 25. GR. Gyrus reclus, 24. GSF. Première circonvolution sous-frontale, 23, GSf. Deuxième c
ssage fronto-limbique, 23. ¦kL. Pli de passage pariéto-limbique. tiO. Premier pli de passage pariéto-occipital, 7i06. Pli de pa
4. sC. Sinus du corps calleux, 17, 18. sCu. Sillon du cuneus, 25. sF. Premier sillon sous-frontal, 21, 28. sf. Deuxième sillon
rontale ascendante, F1. Première circonvolution frontale, 54. fy. Premier sillon frontal. /i,. Sillon de la première circ
circonvolution frontale. F5. Troisième circonvolution frontale. F*a. Première circonvolution frontale accessoire. FOr . Circonv
lobule du pli courbe et le lobule pariétal supérieur, 51, 54. ttO. Premier pli de passage pariéto-occipital, pli de passage
assage pariéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital supérieur, premier pli de passage externe (Gratiolet). t:OT. Trois
SR. Sillon rostral. T1. Première circonvolution temporale, 54. tv Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
ion frontale ascendante. F1. Première circonvolution frontale, 58. fv Premier sillon frontal, 56. /i,. Sillon de la première
rieur. it. Incisure temporale de Sylvius. L. Scissure limbique. 01. Première circonvolution occipitale, 57, 40. Ov Premier sil
entre le lobule du pli courbe et le lobule pariétal supérieur. 7:0. Premier pli de passage pariéto-occipital, pli de passage
assage pariéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital supérieur, premier pli de passade externe (Gra-tiolet), 40. 7iOT.
SR. Sillon rosirai. T1. Première circonvolution temporale. tk. Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
GQP. Gyrus postérieur du lobe carré, 44. GR. Gyrus rectus. GSF. Première circonvolution sous-frontale, 45, 45. GSf. Deux
. ROS. Rostrum. RR. Ruban de Reil. sCu. Sillon du cuneus. sF. Premier sillon sous-frontal, 45, 45. sf. Deuxième sillo
GQP. Gyrus postérieur du lobe carré, 50, 52. GR. Gyrus rectus. GSF. Première circonvolution sous-frontale, 48. GSf. Deuxième
mus (corpus album subrolun-dum). NR. Noyau rouge de la calotte. Ot. Premier sillon occipital. 02. Deuxième circonvolution o
rum. sC. Sinus du corps calleux. sCu. Sillon du cuneus, 51. sF. Premier sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-f
ré, 55. GQF. Gyrus postérieur du lobe carré. GR. Gyrus reclus. GSF. Première circonvolution sous-frontale. GSf. Deuxième circo
térieur. sG. Sinus du corps calleux. sCu. Sillon du cuneus. sF. Premier sillon sous-frontal, 55. sf. Deuxième sillon so
56. GQP. Gyrus postérieur du lobe carré, 56. GR. Gyrus rectus. GSF. Première circonvolution sous-frontale. GSf. Deuxième cir
ieur. ROS. Rostrum du corps calleux. sCu. Sillon du cuneus. sF. Premier sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-f
rforé antérieur, 63. F1. Première circonvolution frontale, 65, 65. fv Premier sillon frontal, 65. F"2. Deuxième circonvolution
Sillon rosirai, 63. T1. Première circonvolution temporale, 65. lv Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
eur, 79. E1. Première circonvolution frontale, 68, 72, 75, 79. f. Premier sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution fro
ialis, 75. GLP. Globus pallidus, 75. GR. Gyrus reclus, 79. GSF. Première circonvolution sous-frontale, 68, 75. GSf. Deux
scissure de Sylvius, 69, 79, 80. sC. Sinus du corps calleux, 68. sF. Premier sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-fro
ire interne. T1. Première circonvolution temporale, 69, 72, 80. ty. Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
ule pariétal supé-rieur, 92, 93, 94, 99. PC. Pli courbe, 92. tzO. Premier pli de passage pariéto-occipital, pli de passage
assage pariéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital supérieur, premier pli de passage externe (Gra-tiolet), 88. tiP. D
n du cuneus, 87, 89, 94, 98. si. Sillon du lobule lingual, 87. tv Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
Faisceau longitudinal inférieur, 101, 102, 104, 108. FLi, FL2, FLô. Première , deuxième et troisième couches du faisceau long
lobe carré, 99, 101. T1. Première circonvolution temporale, 100. t{. Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
ngitudinal inférieur, 112, 116, 119, 122, 125, 128. FLi. FLr2, FLs. Première , deuxième, troisième couches du faisceau longit
P. Scissure sous-pariétale, 109. sQ. Recessus du lobe carré, 110. TJ. Première circonvolution temporale. tv Premier sillon tem
essus du lobe carré, 110. TJ. Première circonvolution temporale. tv Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
ure sous-pariétale, 152. T1. Première circonvolution temporale. tt. Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
Scissure sous-pariétale. T1. Première circonvolution temporale. tv Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
du corps calleux, 171. T1. Première circonvolution temporale. tv Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
olution frontale ascendante. F1. Première circonvolution frontale. f. Premier sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix
e sous-épendymaire, 188. T1. Première circonvolution temporale. tl. Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
frontale ascendante. F1. Première circonvolution frontale, 204. /i. Premier sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix,
e sous-épendymaire, 196. T1. Première circonvolution temporale. ty. Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
ntale ascendante, 205. F1. Première circonvolution frontale, 205. fj. Premier sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix
ndymaire, 205, 209, 216. T1. Première circonvolution temporale. tL. Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
sous-épendymaire, 227. T1. Première circonvolution temporale. tx. Premier sillon temporal, sillon parallèle. T2. Deuxième
Rth. Radiatio thalami. T1. Première circonvolution temporale. ty. Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
rontale ascendante, 272. F1. Première circonvolution frontale. fv Premier sillon frontal. FCF. Faisceau compact du fornix
rontale ascendante, 290. F1. Première circonvolution frontale. f. Premier sillon frontal, 290. F2. Deuxième circonvolutio
ontale ascendante. F1. Première circonvolution frontale, 506. f\. Premier sillon frontal, 506, 507. F2. Deuxième circonvo
térieur, 527, 552, 554. F1. Première circonvolution frontale. f\. Premier sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution fro
illon latéral du subiculum. F1. Première circonvolution frontale. fr. Premier sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution front
perforé antérieur, 584. F1. Première circonvolution frontale, 588. f. Premier sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution front
pace perforé antérieur, 598. F1. Première circonvolution frontale. fv Premier sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution front
ré antérieur, 407, 415. F1. Première circonvolution frontale. f\. Premier sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution fro
3. Cin. Cingulum, 425. F1. Première circonvolution frontale /j. Premier sillon frontal, 419, 425. F2. Deuxième circonvo
FPF. Faisceau pariéto-frontal, 425. GR. Gyrus reclus, 4H. GSF. Première circonvolution sous-frontale GSf. Deuxième circ
s lenliformis, 428, 452. F1. Première circonvolution frontale. f. Premier sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution fro
érieur de la voûte, 456. F1. Première circonvolution frontale. f. Premier sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution fro
. psp. Pédoncule, Pul. Pulvinar, 457. PUT. Putamen, 456. tcO. Premier pli de passage pariéto-occipital. QA. Tubercule
er descendant du fornix. F1. Première circonvolution frontale. fv Premier sillon frontal. F2. Deuxième circonvolution fro
rne du thalamus, 440. NpC. Noyau postérieur du thalamus, 440. 01. Première circonvolution occipitale. 02. Deuxième circonv
tale à la deuxième. 7if. Petit pli de passage fronto-limbique. 7i0. Premier pli de passage externe. tcP. Deuxième pli de pass
sQ. Recessus du lobe carré. T1. Première circonvolution temporale. tv Premier sillon temporal. ttt. Rranche inférieure du sillo
olution frontale ascendante. F1. Première circonvolution frontale. f. Premier sillon frontal. fu. Sillon de la première circo
NCC. Queue du noyau caudé, 445. NeC. Noyau externe du thalamus. 01. Première circonvolution occipitale. Ov Premier sillon occi
d'anastomose antérieur de la première frontale à la deuxième. 7rO. Premier pli de passage pariéto-occipital, pli de passage
sage pariéto-occipital, pli de passage pariéto - occipital supérieur, premier pli de passage externe (Gratiolet). 7iP. Deuxiè
interne. SPL. Splenium. T1. Première circonvolution temporale. tv Premier sillon temporal. T2. Deuxième circonvolution te
rforé postérieur. F1. Première circonvolution frontale, 459. /*!• Premier sillon frontal, 459. F2. Deuxième circonvolutio
nterne, 461. T1. Première circonvolution temporale, 459, 461. ty. Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
e inférieure du putamen. T1. Première circonvolution temporale. ti. Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
3 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
s loin et qui appartient à la partie postérieure de l'espace perforé ( première figure). Plus profondément (deuxième et troisième
ure, blanche, traversée par les vaisseaux lenticulo-striés (schéma 4, première figure). Si l'on gratte superficiellement l'espac
été bien mise en évidence par Trolard (schéma 4, deuxième figure). Ce premier grattage superficiel permet de constater que la p
isceau régulier, rubanné comme celui qui est indiqué sur le schéma 4 ( première figure). Souvent elle s'étale et éparpille ses fi
le lobe temporal, le lobe limbique et le lobe de Vinsida. Les quatre premiers sont suffisamment désignés par le nom qu'ils port
t convenues par des congrès internationaux ; ce sont là des œuvres de première utilité et qui justifient, de temps à autre, les
ilement et suffisamment désignée par un exposant : F'F2 désignent les première et deuxième circonvolutions frontales; T4,06 dési
sous de la ligne). On évite ainsi plus facilement la confusion de O1 ( première circonvolution occipitale) avec Ot (premier sillo
ment la confusion de O1 (première circonvolution occipitale) avec Ot ( premier sillon occipital)..... et ainsi de suite. Les p
, sont parfois si grandes et si imprévues qu'il paraît impossible, au premier abord, de réduire tel cerveau d'homme à un cervea
bique ; TJ, tubercule de jonction ; sME, grand sillon métopique ; F1, première circonvolution frontale ; pro, sillon prae-ovalai
onge au-dessous du genou du corps calleux (GC), où il prend le nom de premier sillon sous-frontal (sF). 11 ne garde le nom de s
que; sP, scissure sous-pariétale; pt, sillon pariétal transverse; sf, premier sillon sous-frontal; F*, première circonvolution
pt, sillon pariétal transverse; sf, premier sillon sous-frontal; F*, première circonvolution frontale; T.F, grand pli de passag
carré; BQ, bourrelet du lobe carré; sM£, grand sillon métopique; sF, premier sillon sous-i'rontal; zF, grand pli de passage fr
ostérieure ; iî, scissure de Rolande ; sme, incisure métopique ; GSF, premier gyrus sous-h-ontal ; GSf, deuxième gyrus soHS-fro
Oe). Le grand sillon métopique (sME), la plupart du temps séparé du premier sillon sous-frontal (sF) par un pli tardif, forme
e en bas et en arrière jusqu'au tubercule de jonction, sous le nom du premier pli sous-frontal (GSF). Le second sillon sous-f
f et son bulbe ; f, région frontale ; P, région pariétale ; fi, premier sillon frontal ; /"j, deuxième sillon frontal;
le ; fi, premier sillon frontal ; /"j, deuxième sillon frontal; premier sillon temporal; tt,, deuxième sillon temporal;
ou ascendante de la scissure de Sylvius ; R, scissure de Rolande; f^, premier sillon frontal; /¦», deuxième sillon frontal; P',
œ-rolandique supérieur ; pri, sillon pras-rolandique inférieur ; t.^, premier sillon temporal; t^, deuxième sillon temporal; T\
^, premier sillon temporal; t^, deuxième sillon temporal; T\ ï^, T^', première , deuxième, troisième circonvolutions temporales;
ème, troisième circonvolutions temporales; t^^, branche supérieure du premier sillon temporal ; tii, branche inférieure du prem
he supérieure du premier sillon temporal ; tii, branche inférieure du premier sillon temporal ; PC, pli courbe ; Oe, scissure p
0, pôle occipital; r.O, pli de passage pariéto-occipital supérieur ou premier pli de passage externe; t.P, pli de passage parié
r (prs) ou prœ-rolandique supérieur reçoit l'extrémité postérieure du premier sillon frontal (/i) ; le sillon inférieur ou prœ-
externe (Oe) ; c'est le pli de passage pariéto-occipital supérieur ou premier pli de passage externe (Gratiolet). Il réunit le
rrière dans une petite incisure transversale (0,), qu'on doit appeler premier sillon occipital, mais qu'on peut considérer — pa
occipitale externe (Oe). Ce qui se trouve au-dessus et en avant de ce premier sillon occipital est la première circonvolution
trouve au-dessus et en avant de ce premier sillon occipital est la première circonvolution occipitale (O1). La première occip
). La première occipitale fait immédiatement suite, on le conçoit, au premier pli de passage externe. Ce qui se trouve au-desso
pli de passage externe. Ce qui se trouve au-dessous et en arrière du premier sillon occipital (oj) est la deuxième circonvolut
lvius ; R, scissure de Rolande ; F, frontale ascendante ; F", F-, F^, première , deuxième, troisième circonvolutions frontales ;
^, première, deuxième, troisième circonvolutions frontales ; /",,/"a, premier et deuxième sillons frontaux; soe, sillon orbitai
lon post-rolandique inférieur; Oe, scissure occipitale externe ; o,,, premier sillon occipital ; o,, deuxième sillon occij)ital
remier sillon occipital ; o,, deuxième sillon occij)ital ; 0\ 0^, 0', première , deuxième, troisième circonvolutions occipitales
; PC, pli courbe ; r.V, deuxième pli de passage externe; T', T*, T', première , deuxième, troisième circonvolutions temporales;
, T*, T', première, deuxième, troisième circonvolutions temporales; premier sillon temporal ou sillon parallèle; t^, deuxième
ariétal transverse; F, circonvolution frontale ascendante; F1, F2,F3, première , deuxième, troisième circonvolutions frontales; F
convolution fronto-orbitaire externe ; FO2, lobule orbitaire; ft, f%, premier sillon frontal et deuxième sillon frontal ; t±, t
; ft, f%, premier sillon frontal et deuxième sillon frontal ; t±, t2, premier sillon temporal et deuxième sillon temporal ; T1,
t2, premier sillon temporal et deuxième sillon temporal ; T1, T2, T3, première , deuxième, troisième circonvolutions temporales ;
oisième circonvolutions temporales ; P, pariétale ascendante; P', P2, premier et deuxième lobules pariétaux; PC, pli courbe ; O
Oe, scissure occipitale externe; A', scissure calcarine ; O1, O2, 05, première , deuxième, troisième circonvolutions occipitales.
ion temporale transverse ; pTt, pied de la temporale transverse ; T1, première cirvonvolution temporale formant l'opercule tempo
sure de Rolando ; F, circonvolution frontale ascendante ; F1, F2, F3, première , deuxième, troisième frontales; P, circonvolution
troisième frontales; P, circonvolution pariétale ascendante ; P1, P2, première et deuxième circonvolutions pariétales ; GP, lobu
ions pariétales ; GP, lobule du pli courbe ; PC, pli courbe ; O1, O2, première et deuxième circonvolutions occipitales; r.O, pre
urbe ; O1, O2, première et deuxième circonvolutions occipitales; r.O, premier pli de passage externe ; itP, deuxième pli de pas
grand sillon occipito-temporal de Pansch; si, sillon lingual; 1, premier et troisième sillons temporaux. //, sillon en I
sième sillons temporaux. //, sillon en II du lobule orbitaire ; F^, première circonvolution frontale; GR, gyrus reclus; OLB, b
II de l'Atlas.) R, scissure de Rolande ; L, scissure limbique ; sF, premier sillon sous-frontal ; sf, deuxième sillon sous-fr
rré; T'*, circonvolution de l'hippocampe ou cinquième temporale; GSF, première circonvolution sous-frontale; GSf, deuxième circo
ure ou sous-frontale, à l'origine de la scissure limbique (L), et des premier et deuxième sillons sous-frontaux (sF et sf). Cet
du carrefour. L, scissure limbique; C, circonvolution limbique; sF, premier sillon sous-frontal; sf, deuxième sillon sous-fro
en résulte que le petit pli de passage fronto-limbique (tt/) naît du premier pli sous-frontal. D'autre part, le grand sillon m
anfractuosités et des plis dépend donc exclusivement de l'anomalie du premier sillon sous-frontal {sF). Et ainsi se vérifie tou
7'us vestibuli; L, scissure limbique; C, circonvolution limbique; sF, premier sillon sous-frontal ; sf, deuxième sillon sous-fr
scissure limbique; C, circonvolution limbique; GR, gyrus rectus; sF, premier sillon sous-frontal ; sf, deuxième sillon sous-ir
phère droit. L, scissure limbique ; C, circonvolution limbique; sF, premier sillon sous-frontal ; sME, grand sillon métopique
d'une portée exceptionnelles. Ce pli de passage pourrait être pris, à première vue, pour la circonvolution limbique elle-même (G
scissure limbique; sC, sinus du corps calleux; ce, corps calleux; sF, premier sillon sous-frontal; sf, deuxième sillon sous-fro
l; sf, deuxième sillon sous-frontal; C, circonvolution limbique; GSF, première circonvolution sous-frontale : itF, grand pli de
genou et venir se terminer dans la région du carrefour, au-dessus du premier gyrus sous-frontal (GSF). L'intervalle qui, à ce
circonvolution frontale, une incisure isolée, allongée, parallèle au premier sillon frontal (/i) et qui subdivise la première
œ-rolandique supérieur; pi-i, sillon prœ-rolandique inférieur; f^, f„ premier et deuxième sillons frontaux ; f/, sillon de la p
A', scissure calcarine; K', branche inférieure de la calcarine ; ti, premier sillon temporal ou sillon parallèle ; ^js, sa bra
convolution frontale ascendante; P, pariétale ascendante; F^, F-, F', première , deuxième, troisième frontales; pF^, pied delà de
étal inférieur; GP, lobule du pli courbe; PC, pli courbe; 0', 0-, 0', première , deuxième, troisième circonvolutions occipitales
0', première, deuxième, troisième circonvolutions occipitales ; r.O, premier de passage externe ; icP, deuxième pli de passage
de passage externe ; -OT, troisième pli de passage externe ; T-, T', première , deuxième, troisième circonvolutions temporales ;
sillons frontaux; F, circonvolution frontale ascendante ; F1, F2, F3, première , deuxième, troisième circonvolutions frontales; f
pariétal transverse; P, circonvolution pariétale ascendante ; P1, P2, première et deuxième circonvolutions pariétales ; GP, lobu
volutions pariétales ; GP, lobule du pli courbe; PC, pli courbe; t:0, premier pli de passage externe; t;P, deuxième pli de pass
llèle; l|S et ttt, ses branches supérieure et inférieure; T1, T2, T3, première , deuxième, troisième circonvolutions temporales.
aire externe. jR, scissure de Rolande; F, frontale ascendante; F\ F^, première et deuxième frontales; P, pariétale ascendante ;
; P, pariétale ascendante ; sillon post-rolandique supérieur; P^, P-, première et deuxième circonvolutions pariétales; PC, pli c
; is, sa branche inférieure; t.^, deuxième sillon temporal; T*,T^,T', première , deuxième-troisième circonvolutions temporales.
rontale (circonvolution de Broca); soe, sillon orbitaire externe; T1, première circonvolution temporale. qu'on retrouve et dét
praî-rolandique supérieur ; ^ri, sillon pra;-rolandique inférieur; F\ première frontale ; F^, F^, deuxième frontale; CAP, cap de
; pt, sillon pariétal transverse; Oe, scissure occipitale; T% T-, T", première , deuxième, ti'oisième circonvolutions temporales;
Et ainsi s'établit le premier système de projection de Meynert. Ces premières connexions entre la surface et les noyaux du cent
e l'écorce ne s'accroît pas proportionnellement ou parallèlement au premier système de projection. Il s'ensuit que si les inc
ure du lobule du pli courbe; ipc, incisure du pli courbe; 0^, 0^, 0', première , deuxième et troisième circonvolutions occipitale
0', première, deuxième et troisième circonvolutions occipitales; itO, premier pli de passage externe ;-P, deuxième pli de passa
ascendante ou la frontale ascendante en deux plis distincts, peut, à première vue, passer pour une scissure de Rolando suppléme
confondus en un seul ; F, circonvolution frontale ascendante; ¥', F2, première et deuxième circonvolutions frontales; pF2, pied
ution frontale (pF1). En btís* il reçoit l'extrémité postérieure du premier sillon frontal (f{) qui, dirigé horizontalement,
mier sillon frontal (f{) qui, dirigé horizontalement, sépare les deux premières circonvolutions frontales (F1,!*'2). pri. Le si
rveau ; là il est interrompu par le pli d'anastomose moyen (tcFM) des première et deuxième circonvolutions centrales. Il repre
(P*s), par le pli inférieur du lobule pariétal supérieur (P*i), parle premier pli de passage pariéto-occipital (tu 0) ; la régi
cisure de l'opercule. t%. Le deuxième sillon temporal, parallèle au premier , se compose de trois tronçons, séparés par des pl
ssure occipitale externe ne se reconnaît qu'à la situation précise du premier pli de passage pariéto-occipital (tcO). Elle n'em
andique inférieur (pri), puis se recourbe franchement en avant. Cette première portion de son trajet est le pied de la troisième
tal supérieur va d'avant en arrière, s'amincissant toujours, jusqu'au premier pli de passage pariéto-occipital (%0). Il est d
erse (pTt). O1. La première circonvolution occipitale fait suite au premier pli de passage externe (tcO); elle est adjacente
e le pôle sphénoïdal (PS). Elle s'étend d'avant en arrière, entre les premier et deuxième sillons temporaux (t± et £2) jusqu'à
a aucune anastomose avec le lobe frontal. Le grand développement du premier sillon sous-frontal (sF), continué par le grand s
la région temporale ne présentent rien qui les différencie de ceux du premier hémisphère. ot^. Le grand sillon occipito-tempo
es branches de la scissure de Sylvius (-S') et du sillon parallèle ou premier sillon temporal {t^). S'. La branche externe de
oe), qui la supplée quelquefois totalement. Le sillon parallèle, ou premier sillon temporal, suit presque toujours, comme son
un sillon prse-rolandique supérieur à trois grands rameaux (prs). Ce premier sillon frontal (f^) s'étend d'arrière en avant da
et en dedans du sillon orbitaire externe (soe). Cette pénétration du premier sillon Irontal (Q dans la région orbitaire entraî
ans le sillon pariétal {p). Il n'y a donc pas, sur cet hémisphère, de premier pli de passage externe, comme on en voit un (xO)
utre hémisphère. Il est vraisem blable que c'est h cette absence du premier pli de passage externe que le lobe occipital doit
remière circonvolution occipitale (0') \ t^. Le sillon parallèle ou premier sillon temporal est interrompu, dans son trajet d
pli d'anastomose moyen de F* à F% lequel interrompt la continuité du premier sillon frontal {Q. F-. La deuxième frontale, tr
frontale. /¦/. Le sillon de la deuxième frontale n'est parallèle au premier sillon que dans la région antérieure. — Dans la r
es verticales, soit par de grandes branches, également verticales, du premier sillon frontal (/¦J et du second {Q. f^. Le sec
ale (pP^) et la deuxième pariétale (P^). t^. Le sillon parallèle ou premier sillon temporal s'étend, sans interruption et par
nière générale : 1" que la première circonvolution (0') fait suite au premier pli de passage (xO); 2" que la deuxième (0^) fait
rit et d'une intelligence moyenne. Ils sont, comme on en peut juger à première vue, absolument dissemblables, surtout en ce qui
e limbique (L), prend, par compensation. une importance notable. Au premier abord on pourrait le confondre avec la scissure l
me il est possible de retrouver à l'état d'ébauche les parties qui, à première vue, semblent faire défaut sur cet hémisphère, on
se présente ici. Bien plus, on voit ce pli de passage (xF) surgir du premier sillon sous-frontal (sF), qui se bifurque pour lu
ncer en sens inverse, c'est-à-dire d'arrière en avant, une branche du premier sillon occipital (oj venue de la face externe du
GMP). Le grand pli de passage fronto-limbique (xF), qui fait suite au premier gyrus sous-frontal, se continue donc avec le gyru
e d'interprétation morphologique, dont l'importance n'apparaît pas du premier coup avec une grande évidence. Mais il faut consi
igures de cette planche représentent des hémisphères cérébraux qui, à première vue, s'écartent tellement du type schématique qu'
bulbe olfactif (OLE) et va se terminer dans une branche antérieure du premier sillon frontal {f^). Celle-ci communique égalemen
ente à la face inférieure du lobe frontal le prolongement réfléchi du premier sillon frontal, comme la circonvolution olfactive
a planche X. ce, corps calleux. — C, circonvolution limbique. — F', première circonvolution frontale. — GSF, GSf, première et
olution limbique. — F', première circonvolution frontale. — GSF, GSf, première et deuxième circonvolutions sous-frontales. — TJ,
to-frontal (FPF), s'accole et s'insère, selon toute vraisemblance, au premier et au deuxième plis de passage pariéto-occipitaux
pli courbe (PC). On voit aussi que le lobule pariétal siipérieur, ou première circonvolution pariétale (P*) n'a plus qu'une trè
en apparence moins profonde encore que la précédente, part souvent du premier sillon temporal {t^). D'ailleurs on voit, sur la
ppe cette incisure rejoint, dans la profondeur, la substance grise du premier sillon temporal. ti^ est le premier sillon temp
illon temporal (ou sillon pai^allèle). V, T, T représentent les trois premières circonvolutions temporales. Entre la deuxième et
et la paroi interne du ventricule. Ce faisceau n'est pas différent du premier ; c'est le môme et il porte sur la figure la même
lesquels nous sommes entré à propos de chacune des figures des trois premières planches, n'ont eu pour but que de fixer d'une fa
e, en effet, ses fibres sont verticales et ne se reconnaissent pas du premier coup dans le plan de la section. — Les trois fais
indiqué; on ne remarquera que le pli de communication qui, au fond du premier sillon (tit fig. 66), ou sillon parallèle, relie
qs), décrit le môme arc à concavité interne, en avant et au-dessus du premier , et franchit la ligne médiane en se mettant en co
La quatrième couche (LM4) s'incline en dehors, alors que les trois premières se sont déjà portées vers les parties externes et
Reste une cinquième couche (LMS) encore plus profonde que les quatre premières ; celle-là est, en fait, assez nettement isolée; e
égion postérieure du thalamus, toute la substance grise paraisse au premier abord confondue en une seule masse, il est donc p
n'appartient pas, en réalité, à l'étage inférieur, dont il semble, au premier abord, faire partie, mais à l'étage supérieur, do
et du lobe pariétal, elle ne présente de spécial que l'apparition du premier sillon frontal (/j fig. 86) dont le cul-de-sac po
partiennent à la bandelette optique. Ce que l'on peut considérer, à première vue, comme la capsule du corps genouillé, n'est d
pour pénétrer dans la couche optique, toutes les fibres corticales du premier système de projection. C'est-à-dire que c'est sur
on isolement n'était pas bien net; les fibres postéro-antérieures des premières circonvolutions temporales qui le constituent éta
du faisceau arqué (ARC), se montre également. plus compact au fond du premier sillon frontal, que la coupe commence à entamer {
olandiquc supérieur {p7's, fîg. 92) reçoit l'extrémité postérieure du premier sillon frontal (/"J. Bientôt le sillon prseroland
versales en série. C'est par hasard que le couteau a divisé ici cette première lame blanche. PUT. Le putamen (fig. 91, 92, 94,
à reconnaître, marchant d'arrière en avant dans le manteau des deux premières circonvolutions temporales. En général il présent
connu sous le nom à\mse du noyau lenticulaire. On peut s'étonner, à première vue, que les cloisons verticales du noyau lenticu
à montrer le trajet parcouru parla racine inférieure du thalamus; F1, première circonvolution frontale. F5, troisième circonvo
frontale. F5, troisième circonvolution ; IN", insula de Reil ; T1, première temporale; llip, circonvolution de l'hippocampe e
son trajet elle décrit donc une courbe à concavité supérieure ; cette première portion appartient tout entière au centre ovale d
tion temporale et de la deuxième; il est donc à cheval sur le fond du premier sillon temporal ou sillon parallèle. Il conserver
eau longitudinal postérieur (FLP). Mais il faut admettre que les deux premiers de ces faisceaux, c'est-à-dire la lamina tegmenti
sseaux (branches de la lenticulo-striée) successivement sous les deux premiers segments du noyau lenticulaire et sous l'intersti
oration de cette capsule, que ses fibres n'ont aucun rapport avec les première et deuxième circonvolutions temporales (T1 T2). E
us et au-dessous de lui : disposition assez difficile à comprendre au premier abord et dont nous allons nous occuper immédiatem
ue ou tubercule de jonction (TJ, fig. 152) et le gyrus rectus (GR) ou première circonvolution frontale réfléchie. Ces rapports
e plus loin en avant. Il est présumable qu'elles aboutissent aux deux premières circonvolutions frontales, et que la troisième, e
me disposition, à très peu de chose près, se retrouvé slif les quatre premières coupes de cette planche. Mais déjà à partir de la
se fusionnent (fig. 154); puis ces deux circonvolutions avec les deux premières (T', T, fig. 155). Enfin il ne reste bientôt plus
Le faisceau pariéto-frontal (fig. 135, 136), toujours sous-jacent au premier sillon frontal (/"J, s'unit, dans son trajet anté
x (FDF). 11 appartient donc spécialement, ici comme précédemment, aux première et deuxième circonvolutions frontales, mais, d'un
ées de la convexité du cerveau. Les détails de l'écorce se lisent à première vue; ifs ne présentent pas de difficultés d'inter
férieures du segment antérieur de la capsule interne (CIA). Sur cette première coupe — et il en est toujours de même lorsque le
PASSANT PAR LA RÉGION SUPÉRIEURE DE LA MASSE OPTO-STRIÉE. Les deux premières figures (10 et 11) représentent le plan de sectio
la répartition et aux rapports réciproques de leurs noyaux. Ces deux premières coupes horizontales passent par le milieu des deu
e sphénoïdal. A la face externe se succèdent, d'avant en arrière, les première , deuxième et troisième temporales (T', V, T'). Le
n évidence sur les figures de la planche XLI. Figure 4. Les trois premières figures représentaient les coupes horizontales de
e segment inférieur de l'hémisphère qui a été reproduit ici. Les deux premières figures seules le font voir dans son ensemble. Le
ur former la bandelette de Giacominî (BGI), rendent très difficile, à première vue, la compréhension d'une coupe prise au hasard
ntérieures du bulbe. F. Circonvolution frontale ascendante. - F'. Première circonvolution frontale. . f\. Premier sillon f
rontale ascendante. - F'. Première circonvolution frontale. . f\. Premier sillon frontal. f\,. Sillon de la première circ
convolution frontale. F". Troisième circonvolution frontale. F'a. Première circonvolution frontale accessoire. F^a. Deuxiè
.j FLL Faisceau longitudinal inférieur. FLi, FL2, FLs, FL4, FLs. Première , deuxième, troisième, quatrième, cinquième couche
arré. GR. Gijinis reclus. GS. Pyramide grise de Sœmmering. GSF. Première circonvolution sous-frontale. GSf. Deuxième cir
yau de la calotte, ganglion du pédoncule cérébelleux supérieur. 0'. Première circonvolution occipitale. 0^. Premier sillon o
érébelleux supérieur. 0'. Première circonvolution occipitale. 0^. Premier sillon occipital. 0\ Deuxième circonvolution oc
entre le lobule du pli courbe et le lobule pariétal supérieur. 7:0. Premier pli de passage pariéto-occipital, pli de passage
age pariéto-occipital, pli de passage pariéto- occipital supérieur, premier pli de passage externe (Gratiolet). rjy. Pli de p
. Sillon de séparation du corps gcnouillé externe et du pulvinar. sF. Premier sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-fro
lum de la corne d'Ammon. SUF. Subiculum de la fasciola cinerea. T'. Première circonvolution temporale. tj. Premier sillon te
e la fasciola cinerea. T'. Première circonvolution temporale. tj. Premier sillon temporal, sillon parallèle, scissure paral
férieur (FLI)......... 78,102, 154 Faisceau longitudinal inférieur ( première couche) FLi)...... 212 Faisceau longitudinal in
Frontale ascendante (circonvolution), (F)........xliv, 8 Frontale ( première circonvolution), (F*)............ 8 Frontale (p
Frontale (première circonvolution), (F*)............ 8 Frontale ( première circonvolution accessoire), (F*a)....... 8 Fron
prse-ovalaire (j9î'o)................. lvi Incisure sus-orbitaire ( première ), (sF)............. Incisure sus-orbitaire (deu
Moteur oculaire commun (MOG)............. "vm, 300 o Occipitale ( première circonvolution), (0*)........... 11 Occipitale
'èiWon dn subiculum {Dsu).......... ......... 145 Sillon frontal ( premier ), (/;)............... xli, 4 Sillon frontal (de
Sillon métopique (petit) (sme)................ 21 Sillon occipital ( premier ), (Oj)................ xlv Sillon occipital (de
tal (quatrième), (o^).............. pass. Sillon occipito-temporal ( premier ), (o^j........... pass. Sillon occipito-tempora
ffi-uncique (PR[/)............vu, xxvii, 3, 20 Sillon sous-frontal ( premier ), (sf).............. xxxvn Sillon sous-frontal
xxvn Sillon rostral [SR)...................xl, 5 Sillon temporal ( premier ) (fj ................ 7 Sillon temporal (deuxiè
Sinus corporis callosi {sC)................xvi, 17 Sous-frontale ( première circonvolution), (GSf)......... xl Sous-frontal
4 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
COMPLÉMENTAIRES DE SGLÉROTOMIE, OPHTHALMOLOGIE, TÉNOTOMIE, ETC. PREMIÈRE PARTIE TEXTES GÉNÉRAUX L. GUÉRIN, ÉDITEUR d
uxquelles doit satisfaire une bonne figure de médecine opératoire. Au premier aperçu un pareil résultat semble impossible, la d
mens, par des liquides, des vapeurs ou des gaz. Ce point de vue, au premier aperçu ne semble être qu'une abstraction ou une p
s fonctions, ou sont influencés par elles, et se trouvent ainsi cause première ou secondaire de leurs perturbations. Une fois la
ucture, la conformation générale et le trajet, cpi'il ne le semble au premier coup-d'œil. A la superficie, l'enveloppe splanchn
oblitération de l'artère principale au-dessous d'eux. Dans les deux premières fractions des membres, les faisceaux vasculaires
tèbre axis, au-dessus de laquelle l'intervalle correspondant aux deux premières vertèbres expose aux lésions traumatiques de la m
A l'extérieur elle présente en haut la saillie de la soudure des deux premières pièces du sternum, et inférieurement la fossette
our cette région, d'une portion de l'arc antérieur des quatre ou cinq premières côtes réunies par les muscles intercostaux, et re
te. Il est constitué par la clavicule, une portion des quatre ou cinq premières côtes, l'apophyse coracoide, et, jusqu a un certa
l'humérus sus-épineux, sous-épineux, petit et grand ronds, les trois premiers enveloppés clans leur gaine os-téo-fibreuse, et,
cles de l'avant-bras fléchisseurs ou extenseurs. Par la surface de sa première rangée, le scaphoïde, le pyramidal et le semi-lun
nvexe du psoas-iliaque', en dedans par le plan du pectine et des deux premiers adducteurs; dans le sillon intermédiaire à ces mu
mente l'étranglement, dans la gaine fibreuse, causé par la congestion première . 3° Couche fibro-musculaire. Elle se compose de l
sque la terminaison fatale par épuisement est imminente , si la cause première n'en est immédiatement enlevée. Cette circonstanc
on sans eux serait impossible. Dans certains cas môme, la fonction du premier aide ne le cède guère en difficulté à celle de l'
sible, dirigent les actions du chirurgien pour la pose et la levée du premier appareil, les pansemens consécutifs, la situation
aigu, comme on serait induit à le supposer, et comme il le paraît, au premier aspect, sous le microscope. Sa forme réelle est u
pe cutanée. 4° Dimensions de la plaie. Toute incision doit avoir du premier coup de bistouri l'étendue que l'on veut lui donn
bistouri l'étendue que l'on veut lui donner. On peut aussi, clans ce premier mouvement, gagner en profondeur, lorsqu'il n'y a
nciser que couche par couche ; mais, clans ces cas mêmes, la peau, du premier trait, doit être coupée dans toute son épaisseur
rincipes ; il importe de s'exercer de bonne heure et long-temps à ces premiers élémens de médecine opératoire, si l'on veut se d
s au nombre de huit, disposées suivant la fréquence de leur emploi. Première position \ Dite approximativement le bistouri t
ment la même que la première, quant à la manière de placer les quatre premiers doigts ; elle n'en diffère que par la situation d
dans les cas où il a besoin de garder la liberté de ses deux mains. Premier procédé. Incision oblique avec ponction. Son exéc
deur : la tension étant opérée, le bistouri tenu de la main droite en première position, on en présente la pointe perpendiculair
qui sépare les doigts de l'opérateur et de l'aide le bistouri tenu en première position, on fait, du talon à la pointe de l'inst
droite se pratique, comme nous l'avons dit, avec le bistouri tenu en première position. Quant aux deux autres incisions, l'une
gauche, dont le dos est tourné vers l'opérateur. Le bistouri tenu en première position, on abaisse l'instrument perpendiculaire
oche, et, si le cas le permet, on obtient promptement une réunion par première intention. Incision en T'. Elle diffère de l'in
es ou sur des bords libres. Dans le premier cas, l'instrument tenu en première position, on fait d'abord une première section de
la même manière du côté opposé. Le bistouri tenu de la main droite en première position, le chirurgien pratique de dehors en ded
une trop grande épaisseur. Prenant ensuite un bistouri droit tenu en première ou en troisième position, le chirurgien incise de
oi, les tissus étant saisis entre les tranchans. L'on se garantira du premier de ces deux inconvéniens en ne présentant aux par
abaissé; mais, s'il est restreint dans son jeu, il doit être tenu en première ou en troisième position. 2° Dissection de tiss
oisième position. 2° Dissection de tissus adhérens. Le bistouri, en première position, ne procède que de pointe et par petits
ction directe. L'instrument tenu perpendiculairement à la surface, en première 1 ou en troisième2 position, suivant que l'épaiss
ant trois formes. i° Striction complète. Son objet est d'obtenir du premier coup tout l'effet désirable, sauf à y revenir. On
qu'il est possible; un aide, par la pression du doigt, assujettit ce premier nœud pendant qu'on l'assure par un second. Si la
mens, le garrot, le barillet et les diverses sortes de serre-nœuds. Premier procédé. Fils de substances végétales ou animales
les membranes muqueuses, il suffit de la simple ligature par les deux premiers procédés. Si, au contraire, une tumeur est très r
, même à plusieurs fois, après quelques heures d'intervalles, dès Je premier jour de son application. effets des ligatures e
l'opération. Dès que la circulation capillaire est retombée dans son premier état d'atonie, on doit avoir recours à une nouvel
culièrement à celles des viscères. La réduction exige deux conditions premières : placer les parties dans le relâchement, et diri
aggraver ou produire des accidens inflammatoires. Dans la réunion par première intention, le laps de temps est de trois jours au
opératoires des sutures. suture entrecoupée ou a points séparés. — Premier procédé. On la pratique avec l'aiguille courbe de
nant au-devant d'elle les deux tiers de l'épaisseur des chairs. Cette première aiguille doit être posée au sommet du lambeau, ou
, les parties se trouvent maintenues dans un rapport parfait. Cette première bandelette doit toujours occuper la partie moyenn
ehors. Dans les simples piqûres des artères, la réunion se fait par première intention ; et, au bout d'un certain temps, ou il
rouve, il vaut mieux reprendre de suite avec promptitude la direction première perpendiculaire au plan osseux. 7° La pression
angle, qui a pour côtés la masse du psoas iliaque en dehors, celle du premier adducteur et du pectine en dedans. Le pouce ou un
ne vers la tête et les extrémités supérieures. Pour bien comprimer du premier coup, la pelote doit être présentée dans son plus
strument en action, vient saisir, entre le pouce et les deux ou trois premiers doigts opposans, les parties qui renferment les v
'ils laissaient à demeure , pour, en cas d'hémorrhagie par section du premier fil, être à même de suspendre immédiatement l'hém
près des causes de production et une structure différentes. Les trois premières affectent spécialement le pied et surtout la face
un ou deux ongles seulement sont envahis et surtout au pied, ceux du premier , du second ou du cinquième orteils se développent
e remédier à la courbure de l'ongle, considéré en théorie comme cause première . Procédé de Desault. Muni d'une petite plaque d
ble. Procédé de Dupuytren. L'orteil tenu entre le pouce et les deux premiers doigts de la main gauche, introduire à plat sous
uloureux et effrayant; toutefois la douleur estbien plutôt le fait du premier temps inévitable, l'arrachement de l'ongle, que d
enu sur ses côtés et par la tface palmaire entre le pouce et les deux premiers doigts de la main gauche du chirurgien, avec le b
e cette opération pour comprendre à quel point elle est contraire aux premières notions d'une saine physiologie ; ce mode mécaniq
s trois jours et on la transporte au besoin sur les dents au-delà des premières , de manière à répartir le vide entre plusieurs. D
ux on presse sur la couronne pour enfoncer la racine dans sa position première ; si au contraire la douleur est très vive dans le
ntielle pour l'extraction des dents molaires, représente un levier du premier genre, dont la branche de la puissance, ou la tig
hui de la nécessité de rajeunir le vaccin en le reprenant à sa source première . Caractères physiques du vaccin. Le vaccin est
ge base, dont il fait tenir la partie supérieure par un aide. Dans ce premier temps, on doit, en faisant rouler entre les doigt
la mèche, et on assujettit le tout par un bandage. Pour la levée du premier appareil, lorsque la suppuration commence à s'éta
es. Ce n'est qu'une incision de dehors en dedans, le bistouri tenu en première position. 2° Scarifications superficielles. A.
runte le lambeau doit être un peu mobile et très vasculaire. Ces deux premières conditions supposent qu'elle est assez épaisse et
sutures. Ce mode de réunion, tel qu'on le pratique aujourd'hui, par première intention, est dû à M.Graefe.Tagliacozzi, à une é
CES VICIEUSES ET RÉUNIONS ANORMALES. La cicatrice cutanée, dans son premier état, se compose d'un tissu vasculairemoLi et rén
Si la souplesse et l'extensibilité des tissus permettent d'obtenir du premier coup tout l'effet désiré, on panse immédiatement
posé , de manière à faire saillir fortement le muscle sous la peau. Premier procédé. Faire , à un travers de doigt au-dessus
é de M. Stromeyer et ses modifications, qui permettent la réunion par première intention, sont préférables à celui de Delpech. U
ec allongement, il s agit de rétablir les muscles dans leur condition première . Dans un cas semblable, où, les muscles extenseur
t rasant la surface de l'os maxillaire, au-dessus des dents canine et première molaire, jusqu'au sommet de la fosse canine où se
m au milieu et suivant la direction des libres du masseter. Cette première incision n'intéressant que la peau et l'attache c
ui avait été coupée, fut liée immédiatement : la plaie fut réunie par première intention, et le malade était guéri au neuvième j
es boulettes de coton ou d'é-toupe, et un flacon d'alcool rectifié. Premier procédé. Echauffer préalablement la cloche de ver
pas applicable au cas urgent où le malade est déjà très affaibli, son premier effet étant un nouvel écoulement de sang cpii peu
coup cle malades, empêche une résolution complète et devient la cause première des altérations organiques. Mais la grande vent
qu'à la veine : le sang jaillit aussitôt sur les côtés de la lame. Ce premier temps est celui de la ponction qui doit être suiv
l'ophthal-niie; la ranine dans les affections de la langue. Les deux premières saignées sont inoffensives ; mais la troisième es
ce compris entre ces deux doigts le bistouri droit ou convexe tenu en première position; le doigt indicateur, tenu sur le clos d
omme moyen curatif des maladies de ces vaisseaux. Les opérations du premier genre sont: la phlébotomie, déjà décrite, et la t
le bec de gomme élastique, par la plaie de la veine, sous le doigt du premier aide comprimant, qui, glissant de haut en bas, dé
une nouvelle injection. L'opération terminée, on réunit la plaie par première intention . Varices. Le résultat anatomique q
e des Hop., 2 5 mai 183o, ), il aurait eu recours à deux procédés : Premier procédé de M. Davat. Soulever la veine dans un pl
nécessitent, ils ne sauraient empêcher, sous l'influence de la cause première productrice, le retour de la maladie sur les vein
ment , du milieu de l'espace intermalléolaire à l'angle postérieur du premier espace inter-osseux, à trois millimètres en dehor
n dehors de la saillie du tendon du long extenseur propre. Diviser du premier coup la peau dans une longueur de six centimètres
ion déterminé, armé du bistouri tenu en troisième position diviser du premier coup la peau, dans une longueur de huit à neuf ce
ne, la face antérieure du membre tournée vers l'opérateur, inciser du premier coup la peau, suivant la ligne verticale et moyen
centimètres qui s'arrête à un centimètre du bord du tibia. Dans cette première division il faut prendre garde de ne pas intéress
as à un autre centimètre en dehors sur le muscle lui-même. Dans cette première incision procéder avec lenteur et ménagement pour
de l'épine iliaque. La peau et le pannicule adipeux étant divisés du premier coup, séparer avec la sonde cannelée les longues
s du nerf radial; le faisceau vasculaire mis à découvert au-dessus du premier espace inter-osseux, dénuder et lier l'artère. Ce
s de longueur, oblique de haut en bas et de dedans en dehors. Dans ce premier temps opératoire il importe de ne couper qu'avec
e claviculaire du grand pectoral et, dans le sillon tracé, inciser du premier coup la peau et le pannicule adipeux, à un centim
sur le faisceau claviculaire du sterno-cléido-mastoïdien. Dans cette première section diviser, lentement et à plat, seulement l
lan intermédiaire aux scalènes : 20 dans un cas d'ané-vrisme où cette première incision fut reconnue insuffisante, il la coupa p
ire ensuite comme il a élé dit précédemment. Dupuytren avait lait ses premières ligatures avec la sonde cannelée recourbée et per
nethy est le premier qui osa tenter cette opération ( 1796). Les deux premiers essais furent malheureux, mais un troisième (1806
superficialis en ménageant les artères, puis à petits coups les trois premières couches, aponé-vrotiques et musculaires. Entrouvr
ses. — (a) Fils de matière animale. Dans le but de pouvoir réunir par première intention en laissant dans la plaie des ligatures
oblitération, dit-on, aurait eu lieu après la réunion de la plaie par première intention. Sans contester ce résultat on se deman
L'aiguille (pl. 22, fig. 10) peut être introduite par trois procédés.— Premier procédé. Offerte perpendiculairement à la peau, l
ptement des complications funestes, et lorsque le calme a succédé aux premiers accidens, ou bien le corps étranger, chassé par u
te précaution, dans les abcès simples, n'est guère utile que les deux premiers jours. Plusieurs grands chirurgiens préfèrent mêm
Cette dénomination pratique assez naturelle, puisqu'elle est tirée du premier aspect des altérations de la forme, peut renferme
cutanée, en enlevant toute l'épaisseur de la peau. Réunir ensuite par première intention avec des bandelettes agglutinatives, ou
che ou d'un manche de scalpel. La plaie ne saigne pas : on réunit par première intention. Excision ( Procédé de Chopart pour l
inue un nouveau plan d'épingles dans une direction perpendiculaire au premier . Il est arrivé ainsi à faire traverser une tumeur
a tumeur extraite est un squirre ou un cancer, on réunit la plaie par première intention; mais si c'est un fongus ou une tumeur
e, l'articulation néanmoins reste très raide et ne recouvre jamais sa première souplesse malgré les genouillères ou les autres b
Ainsi donc, en cas d'insuccès, le chirurgien, convaincu que la cause première qui s'est opposée à la consolidation de la fractu
ilamens de la substance osseuse. Ces différences, qui ont leur raison première dans la texture, expliquent pourquoi la nécrose a
. Quand on fait tant que de pratiquer une opération il vaut mieux, du premier coup, faire tout ce qui est convenable pour enlev
quent de ne laver et purger l'escarre qu'après un jour, à la levée du premier appareil. Cette lenteur dans l'action des caustiq
on le présente rapidement sur les divers points de la surface. Cette première application doit être légère. Elle donne lieu ord
u cuir chevelu se pratique avec un fort bistouri qui doit pénétrer du premier coup jusqu'aux os, à moins qu'il n'existe des fra
ord de l'orifice ou sur l'indicateur étendu à plat comme un levier du premier genre. S'il existe un épanchement au-dessous des
saient immédiatement pendant l'opération, on peut réunir la plaie par première intention au moyen de bandelettes agglutinatives,
tunité et sur les avantages réels des amputations. Aussi, à peine ces premiers germes de résection sont-ils introduits dans la s
rop gênées, on joindrait une troisième incision transversale aux deux premières , de manière à tracer une espèce d'il et à disséqu
a désarticulation. On a eu le plus souvent occasion de l'appliquer au premier métacarpien, dans les cas de carie, de luxation,
Chacune de ces indications constitue un temps opératoire distinct. — Premier temps. Résection de [extrémité inférieure du radi
hyses styloïdes du radius et du cubitus. La section doit atteindre du premier coup jusque sur les os; excepté vers l'extrémité
ire rencontrer les deux trajets sur le ligament inter-osseux. Dans ce premier temps de l'opération deux difficultés sont produi
de les tordre; on retire les compresses et, pour réunir la plaie par première intention, il suffit de laisser retomber les deux
e, dans l'articulation du coude en divisant, à plein tranchant, et du premier coup, le tendon du triceps et en ramenant ensuite
tion du coude. i° Humérus. En s arrêtant, comme nous l'avons vu, au premier temps de l'opération de Moreau, on a le procédé l
pophyse acromion vers l'attache inférieure du deltoïde. Lorsque cette première plaie est insuffisante pour l'extraction de la tê
lieu diamétralement opposé à celui qu'occupent les gros vaisseaux. Ce premier temps achevé, le lambeau est relevé par un aide e
airc et s'étenclant à treize centimètres (cinq pouces) au-dessous. Du premier coup de bistouri, la peau, le deltoïde et la caps
à l'axe du bras vers la partie antérieure du moignon de l'épaule. Du premier coup le bistouri a divisé dans son trajet la peau
sa disposition deux autres aides, qui lui deviendront nécessaires. — Premier temps. Empoigner fortement de la main gauche le b
représentées par les points d'entrée et de sortie de l'instrument. Ce premier temps effectué, le chirurgien, retirant son coute
gue dont les deux chefs, confiés à un aide, permettent de soulever ce premier pont clermo-musculaire externe et supérieur, form
ésections qui puissent être rationnellement pratiquées sont celles du premier métatarsien et de quelques os du tarse. RÉSECTI
les du premier métatarsien et de quelques os du tarse. RÉSECTION DU PREMIER OS MÉTATARSIEN. On peut faire la résection d'un
motivent le plus souvent ces opérations. i° Résection partielle du premier métatarsien. S'il s'agit d'enlever l'extrémité an
itken et terminer par la désarticulation. 20 Extraction complète du premier métatarsien (pl. 59, fig. 1). Tracer sur le côté
e des deux os de la jambe en commençant par la résection du péroné. Premier temps. Le membre étant tourné en dedans et conven
timètres (trois pouces) au-dessus du point de départ et atteignant du premier coup jusqu'à l'os; puis en faire partir une secon
uces) au-dessus. Ces deux incisions externe et interne pénétreront du premier coup jusqu'à l'os. Faisant alors incliner la jamb
La peau et les muscles péroniers doivent être divisés jusqu'à l'os du premier coup. Un aide est chargé d'écarter les lèvres de
c la scie, et d'avant en arrière, l'extrémité inférieure du fémur. Ce premier temps achevé; si la tête du tibia est malade, iso
u'à une hauteur qui varie suivant l'étendue d'os à réséquer. Ces deux premières incisions, qui doivent diviser, du même coup, la
iatement derrière l'articulation. Enfin, de chaque extrémité de cette première plaie, faire partir les incisions latérales pour,
supérieure qui s'étende d'un ligament latéral à l'autre et pénètre du premier coup dans l'articulation. Faire passer au-dessous
e doigt au-dessous du grand trochanter. De l'angle inférieur de cette première plaie, qui pénètre jusqu a l'os, tracer une secon
uces) au-dessous de cette saillie. De l'extrémité supérieure de cette première incision, qui divise la peau et les muscles, en f
scrire un lambeau quadrilatère au moyen cle trois incisions. Les deux premières sont verticales : l'une commence au niveau du gra
d'isoler de ses connexions en cinq coups de cisailles: i° diviser du premier coup l'apophyse orbitaire externe au niveau de la
soi pour se cramponner et réagir contre la force qui le maintient. Premier temps. Le chirurgien, placé au-devant du malade,
étendue de la symphise à l'angle maxillaire ; aux extrémités de cette première incision en abaisser deux verticales : l'une inte
us et en arrière de l'angle de la mâchoire; des extrémités de cette première incision en abaisser deux autres dont l'une divis
à discuter les questions relatives à l'hémostatique, à la réunion par première ou par seconde intention, à la levée du premier a
ue, à la réunion par première ou par seconde intention, à la levée du premier appareil, à l'hémorragie, à la conicité du moigno
ment par leur union latérale. Nous devons encore noter l'isolement du premier métacarpien, qui nous intéresse spécialement à ca
ou du pouce seulement est-elle plus rare que celle du métatarse ou du premier métatarsien. Sans reproduire ici avec détail le
n soit avec la scie, soit avec les cisailles. 20 Méthode à lambeau. Premier procédé de M. Velpeau. Le chirurgien tenant lui-m
e lambeau dorsal qui en est résulté, et, par les deux angles de cette première incision, plonger son couteau sous la face palmai
ité de ces mêmes métacarpiens. Toutefois la méthode àdeux lambeaux ( premier procédé) nous paraît préférable quand l'étendue d
on circulaire commune, ou mieux à une . division isolée des chairs du premier métacarpien et des quatre ; autres par l'une ou l
res par l'une ou l'autre des méthodes indiquées; mais la section , du premier métacarpien, en raison de sa mobilité propre, dev
rniers, solidaires entre eux. Amputation des métacarpiens isolés. Premier métacarpien. On peut appliquer ici tous les procé
en. On pourrait en quelque sorte assimiler le deuxième métacarpien au premier , et l'amputer par le procédé à lambeau externe ta
rigeant la pointe de l'ovale sur les parties molles qui l'unissent au premier métacarpien. Troisième et quatrième métacarpien
t plus facile. i0 Procédé ordinaire modifié (pl. 7 2, fig. 1,2, 3). Premier temps. Avec la main gauche saisir lavant-bras au-
insi le bénéfice du cône d'Alanson. La méthode à lambeau semble, au premier abord, convenir davantage à la structure aplatie
s pour le bras gauche. méthode circulaire (pl. ^3, flg. 2, 3, 4). Premier temps. Le bras écarté du tronc, la peau tirée en
ts lambeaux superficiels, interne et externe, sans intéresser dans ce premier temps l'artère humérale, relever les lambeaux et
es à conserver, et qu'ensuite, tout en prenant la règle précédente en première considération, il vaut toujours mieux amputer dan
AMPUTATIONS DES OS MÉTATARSIENS. Méthode ci lambeaux. Amputation du premier os métatarsien. Historique. Ledran démontra le
ure ainsi une plus grande solidité au pied. Si, d'un côté, l'union du premier métatarsien avec les autres, par des parties moll
opération est indiquée seulement quand la maladie envahit la tête du premier métatarsien sans s'étendre à la diaphyse. On se s
ce en avant ou à côté. Lambeau interne. — Procédé de M. Lisfranc. — Premier temps. Pour le pied gauche, saisir avec le pouce,
ère, dans l'espace inter-osseux jusqu'à dix millimètres de la base du premier lambeau, et réunit sur la face dorsale et plantai
voir. Procédé de Boyer et de Dupuytren, renouvelé par M. Velpeau. — Premier temps. Sur la face dorsale et sur la face plantai
antaire à deux bords interne et antérieur : du point initial de cette première incision en faire partir une autre qui, parcouran
, parcourant la face dorsale, se rende obliquement à la commissure du premier espace interdigital, isoler l'os et achever l'opé
lité, le pied est soutenu et fixé à son articulation tibio-tarsienne. Premier temps. Pour le pied droit la main gauche embrasse
r d'arrière en avant un lambeau qu'on termine aux plis de flexion des premières phalanges; relever le lambeau, porter le bistouri
aie, après le pansement, doit être linéaire. Amputation ovalaire du premier métatarsien. Les parties molles incisées comme il
lequel on opère cpii devra déterminer le choix clu procédé. Quant au premier os métatarsien : comparant d'abord les divers pro
rent à-la-fois la surface osseuse et la plaie latérale. Il semble, au premier abord, que le procédé à lambeau interne remplisse
s achevés, l'opération doit être poursuivie de la manière suivante. Premier temps (jambe gauche). Marquer avec le pouce gauch
eut-être mieux rapporter à la méthode mixte. Procédé de M. Baudens.— Premier temps. Faire une incision ovalaire des tégumens c
. Procédé ordinaire modifié de J.-L. Petit (pl. 85, fig. i et 2). Premier temps. Le chirurgien, prenant la position assigné
le cartilagineux, dont l'influence physiologique doit être placée en première ligne dans l'appréciation des deux sortes d'amput
iculation par la face dorsale, et dans l'autre par la face palmaire.— Premier procédé de M. Lisfranc (pl. 67, fig. 2). La main
re est à deux millimètres au-dessous. Alors, avec le bistouri tenu en première position , tailler de gauche à droite u n petit l
qu'un aide la fait remonter, porter le tranchant du bistouri, tenu en première position, au milieu de la tête articulaire, à hui
n en ce sens avec la même obliquité que sur l'autre face. Détacher ce premier lambeau, en coupant sur l'os, et faire glisser la
mmet. Méthode circulaire. — Procédé de M. Comuau (pl. 68, fig. 4)-— Premier temps. La main placée en supination, les quatre d
andis qu'un aide écarte le pouce, le chirurgien saisit avec les trois premiers doigts delà main gauche, et attire en avant, la p
commissure interdigitale du pouce et de l'index; elle doit diviser du premier coup la peau, le tendon long extenseur et une par
er du premier coup la peau, le tendon long extenseur et une partie du premier muscle inter-osseux. L'articulation étant mise à
é et doivent être liées. La plaie, dans chaque procédé, se réunit par première intention, maintenue par des bandelettes agglutin
un lamreau.— i° Procédé ancien. La main mise en pronation, les trois premiers doigts écartés par un aide, présenter le bistouri
pronation, s'assurer de la ligne articulaire, facile à déterminer du premier coup, en reconnaissant, entre le pouce et l'indic
r ensuite en arrière, afin de la réunir en pointe avec l'origine delà première . Ce procédé, dit l'auteur, imité de celui qu'il a
es os du carpe correspondans. Ainsi M. Benaben a enlevé avec les deux premiers métacarpiens le trapèze, le trapezoide et le scap
cinq millimètres au-dessus. Ajoutons à ces données, que la grande ou première ligne de flexion sus-palmaire correspond au plan
t la face dorsale, en ayant soin de n'intéresser que la peau. Pour ce premier temps, M. Velpeau conseille d'incliner la main da
re travers de doigt au-dessous de l'acromion; sur les angles de cette première incision, en abaisser deux autres verticales, mai
it d'abord par Grosbois mais avec moins de précision. i° Bras gauche. Premier temps. Le bras soulevé perpendiculairement : plac
ue par l'extrême exiguité du lambeau externe ou plutôt postérieur. Du premier coup le couteau met à découvert la face postérieu
e) au-dessous du niveau du col chirurgical de l'humérus et pénètre du premier coup jusqu'à l'os. Faisant retirer les chairs en
usqu'à l'os. Faisant retirer les chairs en haut par un aide, de cette première incision, à vingt-cinq millimètres au-dessous de
t M. Larrey on peut substituer, pour plus de facilité, pour les trois premières incisions, un grand bistouri convexe. Procédé d
n seul lambeau, par l'impérieuse difficulté de tailler avec sûreté du premier coup, dans une grande étendue, de manière à obten
uis Ledran la plupart des chirurgiens avaient préféré l'amputation du premier métatarsien dans sa continuité à la désarticulati
e, une incision semi-circulaire étendue du bord interne de la tête du premier métatarsien au bord externe du cinquième; disséqu
âcher T. Vf. l'orifice avec la pince. Le lambeau est appliqué par première intention. La méthode ovalaire, applicable ici
mputations dans les articulations tarso-métatars1ennes. Amputation du premier os métatarsien. Anatomie. Étroit au milieu, cet
foncer obliquement le bistouri, le tranchant en avant, entre les deux premiers métatarsiens, et, en faisant basculer l'instrumen
paume de la main gauche, le pouce appliqué sur le rebord saillant du premier métatarsien à quelques millimètres au-devant de s
e du cinquième métatarsien, tandis que l'indicateur pose sur celui du premier os. La désarticulation commence également par le
n formée par le scaphoïde et le cuboïde, scier le second au niveau du premier . La surface est seulement encore un peu irréguliè
là ceux du cinquième métatarsien en dehors, du grand cunéiforme et du premier métatarsien en dedans; enfin, le pied remis horiz
du tendon long péronier, et pour le pied droit en sens inverse. Cette première incision effectuée, en partant de son sommet sur
obliquement une seconde qui arrive obliquement sur le bord interne du premier métatarsien au milieu de sa longueur, le contourn
fin lier les artères tibiales postérieure et antérieure et réunir par première intention. Nous nous plaisons à faire connaître c
s antérieurs de la circonférence du membre : cette incision divise du premier coup la peau, les ligamens et les autres tissus f
et les artérioles provenant des articulaires. La réunion se fait par première intention dans les divers procédés. Le lambeau un
de la même époque est celui de Keer rapporté par S. Cowper. Après ces premiers résultats, remise en question dans toute l'Europe
er, descende en arrière vers la tubérosité de l'ischion et pénètre du premier coup jusque sur l'articulation; incliner alors le
ule pour s'incliner au delà, plus en arrière, en sens contraire de sa première inclinaison én avant. C'est en vain que, pour fac
le fait observer M. Velpeau, si l'on a soin d'inciser complètement du premier coup la capsule articulaire sur la demi-circonfér
o-supérieure avec le plan horizontal de la tubérositésciatique. Cette première incision, dont la longueur dans l'homme est d'env
couteau sur la face interne de l'os jusqu'au fond de l'angle des deux premières incisions, et terminer d'un seul coup la section
ehors, c'est-à-dire toujours vers l'articulation comme centre, et, du premier coup, les chairs doivent être coupées aussi profo
lavicule, 219. — De l'omoplate, 220. ^ Membre abdominal. Résection du premier os métatarsien, 220. — Des os du tarse, 221.— De
4, 265. —-Amputations dans les articulations tarso-métatarsiennes. Du premier os métatarsien, du deuxième, de deux os métatarsi
COMPLÉMENTAIRES DE SCLEROTOMIE, OPHTHALMOLOGIE, TÉNOTOMIE, ETC. PREMIÈRE PARTIE PLANCHES L. GUÉRIN, ÉDITEUR DÉPÔT ET
. 3° EXTRÉMITÉ SUPÉRIEURE DU TRONC. D. Clavicule. E,E. Les deux premières côtes. F. Épine de l'omoplate. G. Tête de l'h
chial (cinquième, sixième, septième, huitième paires cervicales, et première dorsale). 14. Nerf de la septième paire crânien
ros vaisseaux par l'aponévrose prévertébrale. On a négligé les quatre premières paires, qui n'auraient eu ni origine, ni soutien,
e derrière le feuillet postérieur de la loge. J. Loge musculaire du premier adducteur. 23. 23. Vaisseaux de nutrition dégag
f cubital. K. Partie supérieure de la loge du long supinateur et du premier radial avec leurs vaisseaux. L, M, N. Loges de
interosseux antérieurs. 11. Loge du court supinateur. 12. Loge du premier radial. 13. Loge du second radial. 14. Vaisse
dons des long abducteur et court extenseur du pouce. 10. Tendons du premier radial. 11. Tendons du second radial et du long
la cuisse. 7. Filamens nerveux émanés du nerf crural. D. Loge du premier adducteur, dans laquelle on voit saillir en haut
sse. 2. Loge du couturier. 3. Loge du droit interne. 4. Loge du premier ou moyen adducteur. 5. Loge du second ou petit
s classer au nombre de huit. PLANCHE 14. Fig. 1. Bistouri tenu en première position, le dos de l'instrument tourné vers la p
Position verticale pour commencer une incision, le bistouri tenu en première position. Fig. 3. Action d'inciser, la main étant
en haut. Fig. 5. Incision sur un pli à la peau, le bistouri tenu en première position. F/g. 6. Seconde position des ciseaux
t Vancien procédé décrit par Boyer. Avec le bistouri droit, tenu en première position, on a fait une incision nette, en traver
ue. C. Tronc brachio-céphalique anévrismatique. Une portion de la première pièce du sternum est enlevée pour laisser à décou
PÉRATOIRES. FIGURE \. Incision de la peau par le bistouri tenu en première position. Cette incision, de dehors en dedans,
er que la peau et le fascia superfîcialis. b. Bistouri incisant, en première position. FIGURE 2. Incision de l'aponévrose
ection de la peau. 2. Section de l'aponévrose dorsale du pied. 3. Premier faisceau du muscle pédieux, écarté en dehors. 4
— 7. Tendon du muscle droit interne. — 8. Aponévrose falciforme des premier et troisième adducteurs, formant le canal ostéo-f
M. Dupuytren. ( Pl. 55 , fig. 18. ) B. Extraction dun séquestre du premier os métatarsien. L'opération est représentée au mo
( d ) Surface de la dure-mère mise à nu par l'enlèvement des quatre premiers disques osseux. Figure B. Elle représente deux
e plus aucun renseignement, offre d'énormes végétations dont la cause première semble avoir été une carie qui a détruit la tête
ple de l'enlèvement isolé d'une phalange. FIGURE 2. Extraction du premier os du métacarpe. L'opération a été précédée d'une
1 ). Bistouri qui achève la section des ligamens. B. Extraction du premier os métatarsien. (m). Lambeau cutané rectangulaire
Tendon du long fléchisseur propre. ( p ). Muscle inter-osseux. ( q ). Premier os cunéiforme. ( r ). Cavité articulaire de la
s. Au fond de la plaie se voient les vaisseaux inter-osseux. ( s ). Premier os métatarsien que l'on extrait de la plaie. Figu
s sous-plantaires. Un troisième trait perpendiculaire réunit les deux premiers en un sommet tronqué. FIGURE 3. EXTIRPATION D
moignon. Au milieu est la ligne étoilée, résultat de la réunion par première intention. C. Surface de la plaie. Elle renferm
franchi l'articulation, taille le lambeau palmaire. F, Réunion par première intention de la plaie d'une opération de même gen
péré, k , La même opération terminée sur l'indicateur. L, Réunion par première intention de la plaie sur le petit doigt. PLANC
l coup la section des quatre os métacarpiens. Figure 3. Réunion par première intention de l'opération précédente. La plaie n'o
t représentée au moment où le chirurgien achève la désarticulation du premier os métacarpien. a, b, Mains d'un aide qui conti
ien, achève la section du lambeau palmaire. FIGURE 4. Réunion par première intention de l'amputation de la figure 3. FIGUR
ntérieur et de la portion interne du triceps. Figure A. Réunion par première intention du moignon de l'opération précédente. L
en dehors les vaisseaux axillaires pinces entre le pouce et les trois premiers doigts. f. Main gauche du chirurgien qui gouver
IE. Figure 3. Section des chairs. L'opération est représentée à son premier temps, lorsqu'on abaisse, soit avec le couteau ou
ndicateur (p) sont appliqués, chacun de son côté, sur les saillies du premier cunéiforme en dedans et du cinquième métatarsien
u couteau qui commence la section du lambeau. Figure 5. Réunion par première intention de l'opération précédente , la surface
e précédente. FIGURE 3. AMPUTATION OVALAIRE DANS LA CONTINUITÉ DU PREMIER OS MÉTATARSIEN. Le moment choisi de l'opération
a figure représente le premier temps opératoire, où le chirurgien, du premier coup de couteau, coupe les tégumens d'un côté à l
us par les doigts d'un aide (i). L'opération est représentée dans son premier temps, où l'on pratique la section circulaire de
5 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
Félix ALCAN ÉDITEUR 108, Boulevard St-Germain, 108. 1894 . PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1893
(Bicêtre et Fondation Vallée.) 130URN>;VILL, BiCê11'B, 1893. * PREMIÈRE PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du servi
I. Enfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. Ce premier groupe est subdivisé en deux catégories : la pr
uppléant, M. Acard et de trois infirmiers dont un ayant le grade de premier infirmier. b) Petite école : de 1\1110 Blanche
mandé à l'administration de lui faire des propositions lors de sa première session. En conformité de cette délibération, u
ministration pourrait pour- suivre parallèlement la construction du premier bâti- ment de l'asile et la construction de l'é
« Sur le rapport de sa 3mue commission. « Délibère : « Article premier . Est approuvée dans la limite d'une dépense de
0 juin). I. En 1878, le Dr Fuller (de Montréal) a pratiqué pourla première fois sans doute la crâniectomie chez un enfant id
gues (2). Le 9 mai 1890, M. le professeur Lannelongue pratiquait sa première opération sur une petite fille de 4 ans et fais
et par suite le développement des facultés intel- lectuelles. Cette première note été suivie de deux autres mémoires (4), da
autres mémoires (4), dans lesquels M. Lannelongue a complété ses premiers renseignements au point de vue opératoire et ré
olon- geant pendant et après la grossesse.-Pas de consanguinité . Premières convulsion* a 6 mois. - Idiotie complète : Lare
p tique en accès. - A liai tepvmt,q}1-sei,n puis au lait de chèvre. Première dent à 17. mois. ? Co- vulsions à G mois. - Par
'âge de 10 ans. Fig. 10. Uns. VII. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 31 Première dent à mois. - Début de la marche et de la parole
, acci- dents nerveux. - Émotion vive au 5e mois de la grossesse. Premières convulsions à 3 mois; crises fréquentes jusqu'à
onvulsifs mal caracté- risés du 18" au 3U" jour après la naissance. Premières (1) Voir l'Ons. V du Compte-rendu de 18 ! ), p,
IX. Ilénilspliirvc cérébral i'p.l1che rf : ICC «sterne. p1 Fli, F3. première , seconde et troisième circonvolutions frontales
n. 15 Ons. IX. Hémisphère cérébral droit; face externe. 1 : F2, F3, première , seconde et troisième circonvolutions frontales
t. 1S. - Ons. X. - Hémisphère cérébral gauche; face interne. ui, i, première frontale. . LI', lobule paracentral. AC, avan
Olls. l. - Hëmisphure cérébral tranche : face externe. 1m, I=, 13, première , seconde et troisième circonvolutions frontales
- rieur et inférieur, pli courbe. 1.0, lobe occipital. i' '1'2, première et seconde tem- portales- - sr, sillon de Rol
. Secondes convulsions à -1 mois. - Début de la parole à 18 mois. - Premières dents à f 111()i ? - Ne marche pas. G'a(t's)ne
ns. SI. - Hémisphère cérébral gauchc ; face externe. F', F2, 11';1, première , seconde, Ir isrèmeeirellnyollltions frontnles.
ieur et inférieur, pli courbe. LO, lobe occipital. 1 ? 1 ? T : I, première , seconde et troisième circonvolutions tempo-
ig. 22. - Ons. XI. - Hémisphère cérébral gauche ; face interne. FI, première frontale. LP, lobule paracentral. AC, avant-c
3. 0118. XI. Hémisphère cérébral droit; face externe. Fi, F,2, l'3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
, lobes pariétaux supérieur et inférieur; pli courbe. Tl, T2, TO, première , seconde et tro sième circonvolutions temporale
Fig. 24. - Ou;. 11. - Hémisphère cérébral droit ; face interne. .t", première frontale. LP, lobule paracentral. AC, avant-c
ions avec hémiplégie transitoire. Pas de nité. -Egalité d'âge., - Premières dents à 4 mois. Dentition complète a 3 ans I J.
20. Ous.XIÎ. Hémisphère cérébral gauche; face externe. Fil, F2, F3, première , seconde et troisième circonvolutions fron- t
obes pariétaux su- périeur et inférieur, pli courbe. riz, T2, T3, première , seconde et troisième temporales. LI, lobule
Fig. 27. Ons. XII. Hémisphère cérébral gauche ; face interne. 1.'1, première circonvolution fron- . taie. LP, lobule parac
. XII.II ? ni3;i' ! frcccrchr.i](]ro ! t;f;)ce externe. F', F2, F3, première , seconde et troisième circonvolutions frontales
rieur et inférieur; pli courbe. Lo, lobe occipital. 1 ? T2, T3, première , seconde et troisième circonvolutions tempo-
pileptiformes. Chagrins durant la grossesse. Naissance il. 7 mots Première dent à 9 mois; dentition complète à 2 ans '/2'
vaise : envie insurmontable de dormir. ; Asphyxie à la naissance. Premières convulsions il 14 mois. lie- ; froidissement et
. - Propre à 8 mois. ttaïtement jusqu'à 1G mois ; aspect naturel. Première dent à 3 ans ; persistance de la dentition de l
es à 3 jours se répé- tant cinq ou six fois dans le premier mois. - Première dent à 2 ans. Parole limitée à quelques mols. -
Grand-père paternel, alcoolique. - 111 ère, convul- sions à 2 ans. Premiers symptômes il 10 ans. Cépha- lalgic, vomissement
t présentent une mobilité relative. Le frontal est soudé. Lors du premier examen de la tète, on avait noté que les Fig. 3
etite à la 11ais"ilnce. I)églittit io ? l pénible; bave; retard des premières manifestations intellectuelles, pré- hension di
s ans. Conception, grossesse, accouchement : rien de particulier. Première dent à 10 mois. Dentition complète à 2 ans. Con
(35 septembre), Dum.... commence à syllaber et à écrire, fait les 2 premières opérations ; connaît les couleurs ; s'habille à
Lecture courante et expressive. Ecriture lisible. Il connaît les 3 premières opérations et fait de petits problèmes. Il a le
. Tient toujours la tête baissée. 1889 : Petits problèmes sur les 3 premières opérations. Amé- lioration générale. Timidité q
ption dans l'alcoolisme. -Asphyxie très prononcée à . la naissance. Premières convulsions à 6 mois : durée 12 - heures; hémip
et faite avec une grande lenteur. Il commence à connaitre les trois premières opérations. Aucune notion en histoire et en géo
uche. - Gâtisme. - Tournoiement de la tête. Balan- cement du tronc. Première dent à 6 mois. Grincement des dents. Rougeole e
pti formes. Chagrins durant la grossesse. Naissance à 7 mois 1/2. Premières dents à 9 mois, dentition complète à 2 ans 1/2.
sa grand'- mère qui avait un enfant du même âge; sevré à 15 mois. Premières dents à 9 mois ; dentition complète à 2 ans et de
, modiste. Pas de convulsions de l'enfance; céphalalgies depuis son premier allaitement ; très-nerveuse, sans attaques de n
dit que l'enfant avait eu, une fois, des « convulsions internes. » Première dent à 14 mois; toutes le= autres à 2 ans f 12'
uche entr'ouverte. A la mâchoire supérieure, incisives centrales et premières mo- laires permanentes, le reste dents de lait
, le reste dents de lait ; à la mâchoire Inférieure, 4 incisives et premières molaires permanentes, le reste dents de lait. L
de cyanose ni de gêne respiratoire. Le lendemain de la nais- sance, premières convulsions. A deux mois, nouvelles convulsions
ffets consécutifs ont longtemps persisté. III. Le malade a eu ses premières convulsions le lendemain de la naissance, les s
orps. Visage souriant habituellement; expression plutôt agréable au premier abord, avec un peu d'hébétude toutefois. Cicatr
cordon, mais pas d'asphyxie. - Acci- dents nerveux de 5 à 6 mois. - Premières convulsions à huit mois, limitées à droite. - P
ans. - Placement à l'Asile Clinique à 8 azs. -lougeole à7 ans 1/2. Première dent à un an.Sou- dure des fontanelles à 8 ans.
L'enfant est pris à 9 heures du matin d'ac- cès épileptiformes. Au premier accès, il a vomi son déjeuner du matin. Ces acc
traces. 3° Notre malade. Rien de particulier à la conception. Au premier mois de la grossesse, frayeur produite par un cul
concerne l'enfant lui-même, nous trouvons la frayeur de la mère au premier mois de la grossesse ; - des émotions multiples
l'heure dans la description qui termine l'ex- posé des cas de cette première catégorie. Fig. 45. 214 . IDIOTIE HYDROCÉPHAL
assez bien et n'était pas malade. A 8 mois, lors de l'éruption des premières dents, l'enfant eut des confut- sions généralis
re autour du cou. - Muguet à un mots..Her- nie ombilicale à 5 mots. Premières convulsions à 5 mots. Début de l'augmentation d
des quatre- 'membres à la suite de convulsions, morte phtisique. Premières convulsions iL un an. Secondes convulsions il.
. Dentition Mâchoire supérieure : 13 dents permanentes contigues, premières molaires profondément cariées. Inci- sive latér
est légèrement érodé.- Mâchoire inférieure : 14 dents permanentes ( premières molaires profondément cariées). Dents contiguës
l'hydrocéphalie à 3 mois. - Allaitement ausein. -Sevré à 8 mois. - Première dent à 8 mots lj2. - Dentition complète à 2 ans
e à droite ou à gauche. Il ne pouvait se soutenir sur les jambes. Première dent à 8 mois 1/2. Dentition complète à deux ans.
e sont en Hydrocéphalie; rachitisme. 245 place ainsi que les deux premières grosses molaires perma- nentes. Au maxillaire i
poraires sont en place sauf la première molaire droite. Les deux premières molaires permanentes sont en place. La cons- ti
I. Cas d'hydrocéphalie avec malformations. La seconde variété de ce premier groupe comprend les cas d'hydrocéphalie compliq
ventricule moyen. T Q, tubercules quadrijumeaux. C, cervelet. F, première circonvolution frontale. S 0, scissure. L P, lobe
rs 1888). Père, 51 ans, limonadier, est marié en secondes noces, sa première femme étant morte tubercu- leuse. Il buvait bea
leur crâne et de leur cerveau, des particularités intéressantes. Au premier abord, ils semblent forts différents et bien qu
e degré. or Les enfants dont nous avons classé les crânes dans ce premier groupe sont morts entre 2 ans et 2 ans et demi.
e cette hydrocéphalie. Nous re- connaissons néanmoins que les trois premiers enfants étaient atteints d'un degré considérabl
é62ctde la parole à un an. - Bron- chites répétées durant les trois premières années. -Pas de convulsions. Onanisme constant.
les trois premières années. -Pas de convulsions. Onanisme constant. Premier accès épilep- tique à 3 ans, puis accès mensuel
convulsions et deux autres de congestion cérébrale. Chute à 3 mois. Première dent à un ans. Parole à 15 mois. Marche à 22 mo
us morts de contusions, sauf 3 bien portants. Une soeur a perdu son premier né de convulsions ayant duré 15 jours. Aucune t
ut nourri au sein maternel presque exclusivement jusqu'à 32 mois, Première dent à un an. Dentition complète à 3 ans. March
demi. . Allaitement au sein durant 2 mois, puis au lait de vache. Première dent à 16 mois; dentition complète à 4 ans. Déb
avec du lait de vache, la mère n'ayant pas suffi- samment de lait. - Première dent à 16 mois. Dentition com- plète à 4 ans. D
sés. - Con- S<112g LL217.1 t . Grossesse : Emotion à G mois. - Premières convulsions à 4 mois. - Réapparition des convul
nt été obligés de la soutenir au moyen d'ap- pareils. A trois mois, premières convulsions durant seulement quelques minutes.
eu qu'un accès convulsif par mois depuis son entrée durant les six premiers mois de 1878 et n'en aurait plus eu d'autres. E
veau et surtout du cervelet. L'observation sui- vante appartient au premier groupe. OBS. XVII. - Hydrocéphalie symptomatiqu
mps continuait à l'allaiter. L'enfant n'a jamais eu de convulsions. Première dent à 7 ou 8 mois ; les autres dents ont pouss
. Grand-père paternel, alcoolique. Mère, con- vulsions à deux ans. - Premiers symptômes 10 ans. - Céphalalgie. Vomissement, g
s nos observations. Symptômes objectifs. 1° Examen de la tête. Le premier symptôme qui frappe il l'examen de l'hydro- cép
à 2 (1) Noir (J.). - Étude sur les lies. Observation. 333 ans. Première dent à 5 mois. Dentition complète à 2 ans. - Ne
l'enfant n'aurait eu de con- vulsions. Début de la parole à 2 fins. Première dent il .'< mois. Dentition complète à 2 ans
nne volonté. 18 novembre. - Apparition de la menstruation pour la première fois ; l'enfant n'a pas souffert, ne s'est même p
s, mais toujours vaniteuse et menteuse. Température rectale des 5 premiers jours : .- Marche DE l'hydrocéphalie, 339 Lle
lation défectueuse, les mâchoires ne se tou- chent qu'au niveau des premières molaires. Prognathisme supérieur très accentué.
année, après sa sortie de la Sûreté, ne tarde pas à repren- dre ses premières habitudes. Son instituteur note, en juillet, qu
est une tumeur, le liquide se produit plus rapidement que dans le premier cas et réagit sur le crâne d'une façon un peu d
n voca- bulaire est le même. Pas de côté plus faible que l'autre. Première dentition complète. 28 octobre. L'enfant, march
l.) Bourneville, Bicêtre, 1893. PLANCHE I. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Section I : IlCCt1'C. 374 Table DES ma
6 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
de l'insula de Reil, en dehors. Cette région appartient aux trois premières zones mésolobaires d'un centimètre d'épaisseur.
première au fond de la deuxième scis- sure frontale, pour les deux premières zones; au fond de la scissure précentrale, pour
a deuxième à la convexité de la troisième frontale, pour les deux premières zones ; à la convexité de la quatrième frontale
s les trois, nécessairement, les fibres de Gratiolet, plus les deux premières , les fibres d'asso- ciation antéro-postérieures
ux zones précédentes, la section coupait trois frontales (les trois premières ) ; dans celle-ci, elle n'en coupe que deux : la
s ou à des troubles plus intenses que ceux observés dans les deux premiers districts. Dans un prochain 'travail, nous verr
tre le lobe frontal et le lobe pariétal. En somme, dans les trois premières zones mésolo- baires d'un centimètre d'épaisseu
apacité intellectuelle et morale. M. Luys, si j'ai bien compris son premier discours à l'Académie de Médecine, croit fatale
allusion, prouve qu'il faudrait compter plus de douze ans. Dans son premier discours, M. Luys avait fixé, pour Paris, quatr
t depuisplusieurs jours. Quatre mois après (octobre) apparition des premiers symptômes du mal actuel. Ce furent d'abord des
sta jusqu'à l'accouchement. Tout cependantalla assez bien jusqu'aux premières douleurs : VIm° l'.... commença alors à s'excit
moins fortes que les précédentes. Au moment de l'éruption de ses premières dents, l'enfant de M-0 P... a eu des convulsion
r à cette époque et parait remonter à l'année 4870, au moment des premiers événements de la guerre franco-allemande. Mme A..
s la foi me du serpent tentateur, a été la cause de la chute de nos premiers parents. Elle ne mourra pas, car elle n'est pas
de prépa- ration, les idées hypochondriaques qui apparaissent les premières et ce n'est que plus tard, cherchant la cause de
gique. Quant à l'idée d'immortalité, il semble assez difficile au premier abord, surtout lorsqu'elle est comme ici logiquem
certains malades de M. Cotard, qui présentent de suite et dès leur premier a- ! cès les symptômes spéciaux que nous avons
ns. Ici l'ataxie fut précédée, dix-huit mois avant l'apparition des premiers phénomènes, d'une perte de la parole également
la simulation dans les trois observations qu'il rapporte. Dans la première , il s'agit d'un homme brutal, querelleur, irascib
céphalique, lorsque les sutures s'ossifient prématurément. Dans son premier fait, il nous met en présence d'une fillette de
la longue innocuité de cette compression an- cienne, dont l'origine première nous échappe. Le second fait concerne encore un
vez (dix malades ont été traités avec succès) que, souvent dès les premières vingt-quatre heures, les parties nécrosées se dél
amine1; par lBcuri : u (dc Pankow). (Neurolog. Ccntrvlbl., 1882.) Première observation : manie t l'époque de la ménopause. U
dorsale, en visitant la colonne vertébrale, et particulièrement les première et deuxième vertèbres cervicales, la septième c
ilité. Vingt-neuf séances rendent au malade sa force et son énergie premières . Le troisième exemple a trait à une fillette de
is voici le revers de la médaille : il semble que les deux ou trois premières heures de sommeil soient seules remplies par un
division cellulaire, les malades les plus calmes et les plus aisés ( première à troisième classe), puis les malades calmes pa
ale de l'établisse- ment. On a dû, il y a douze ans, se défaire des premiers cabinets d'aisances continuellement rincés par
n en chef le droit de vote. Clraqueasileestdcstiué, d'abord et en première ligne, aux malades de la province correspondant
était nécessaire pour la démonstration qu'il avait en vue. Les deux premières leçons sont consacrées à l'étude des réflexes t
la science, neuf lui appartiennent, c'est dire qu'il a été l'un des premiers 'à vulgariser en Angleterre la connaissance de
ases épileptoïdes des attaques consécutives qu'on ne peut, même à première vue, se tromper sur la signification et la natu
asmes limités à un côté de la face ou à l'un des membres. Dans le premier cas, le tableau clinique était celui de l'épilep-
tion suffirait donc, à elle seule, à établir le bien fondé de notre première proposition, à savoir que l'hystérie emprunte,
hystérie. Si cependant l'on veut bien se reporter par la pensée aux premiers jours d'octobre, on comprendra que des discussi
mpérature peut donc être considérée comme un moyen de diagnostic de premier ordre dans les cas embarrassants. Les travaux d
vont suivre. Mais il est encore un autre signe diagnostique de premier ordre, qui permettra de reconnaître la fausse é
xterne du ventricule latéral. Dans ce district, comme dans les deux premiers , l'aphasie a été perma- nente toutes les fois q
ait anatomique, à savoir : que le corps strié fait partie des trois premières zones mésolobaires, tandis que la couche optiqu
ue par tous les neurologistes, mais ce fait est contradictoire du premier , c'est-à-dire qu'il coïncide avec la perte du l
ma- lade toutefois pouvant s'arrêter à l'une quelconque des trois premières phases et s'y fixer définitivement, s'y cristalli
violente surviennent chez ces prédisposés mal équilibrés, et les premiers symptômes du délire chronique apparaîtront, le ch
n à ce qu'elle vienne rejoindre l'extrémité postéro supérieure du premier sillon temporal, pour couper plus bas la limite p
On y trouve deux scissures : La scissure olfactive, ou (Fig. 5), premier sillon orbitaire de Broca, sorte degouttièreree
t;- «'A , 1'i ? 5. Face inférieure. 1, scissure de Sylvius ;>-2, première scissure- temporo occipitale ; 3, clemiume scis
vo-. lution temporale; Ta, troisième circonvolution temporale; TOi, première circonvolution temhoro-occyitalè, ou lobule fii
interhémisphérique. Synonymie : Gyrus orbilalis medialis (Pansch); Première circonvolution orbitaire (Broca); Anterior part
es inferior (Ecker). La scissure frontale supérieure. Synonymie : Premier sillon frontal (Broca), 6'M/)e ? 'n-/ ? 'oH<a/
ls qui tracentl'aire de chacune des circonvolutions frontales. a. Première circonvolution frontale ou supérieure (Ecker, P
tal supérieur ou troisième et pli de la zone externe, de Gratiolet; Première frontale externe; Stipe2o-fi,o21tal gyrus (Huxl
re le gyrus rectus ou gyrus orbitalis me- sialis de Pansch (Ecker); Première ou supérieure du groupe des circonvolutions fro
lutions frontales . Erster oder obérer Stirnwindungszug (Bischoff); Première frontale (Broca); Gyrus frontal tout (; fait su
er, Broca, Biscbofl. Synonymie : Etage ou pli frontal inférieur.. Première du pli surcilieo (Gratiolet) ; Première de Meyn
ou pli frontal inférieur.. Première du pli surcilieo (Gratiolet) ; Première de Meynert; hife*i,o-f2,o ? ? Ial gy-iis (Huxle
essi enteroidei vertical ! di mezzo (partie antérieure ; (Rolando); Premier pli ascendant (Gratiolet); A ? il eio-,p a2, t'
is. b. Circonvolution pariétale ascendante (Charcot). Synonymie : Première pariétale; Processi enteroidei verticali cli me
ième pli ascendant (Gratiolet) ; Gyrus pariétal supérieur (Pansch); Première circonvolution pariétale (Broca); Lrste Scheile
e des Français, à l'époque où la parié- tale ascendante, s'appelait première pariétale; Posieroparietal lobule (Huxley, Turn
e Sylvius, au-dessus également de l'extrémité postéro-supérieure du premier sillon temporal (parallèle). Elle est souvent i
fi, scissure parallèle; i, scissure perpendiculaire externe. Fi, première circonvolution frontale ! ; F2, deuxième circonvo
conwlutiou teupoiale; 'l'3, troisième circonvolution temporale; 01, première circouvolutiou occi- pitale; Os, deuxième circo
fin de ne rien oublier. Procédons de haut en bas. ' .mJ : fr a. Première circonvolution de passage (Pozzi). Synonymie. P
mJ : fr a. Première circonvolution de passage (Pozzi). Synonymie. Premier pli de Graliolet. En connexion, antérieurement
igi- naire à la fois de ce lobule et de la première temporale. c. Première circonvolution occipitale, supérieure, qui, d'apr
s (Turner) ; Obère innere Sclieitelbogeizzvinduiig (Bischoir). d. Première scissure occipitale longitudinale ou supérieure
tiolet, Ttirner,Cliarcot). Synonymie : Sillon temporal supérieur ou premier (Ecker : Bischoff); Sulcus temporalis (Pansch)
Sulcus temporalis (Pansch) ; Ante2o-ieînljoî,alis sulcus (Huxley); Premier sillon temporal (Broca). > ~ , ib Nous avons
rdinairement une sorte de lo- bule entre le pli marginal inférieur ( première circonvolution temporale), et les circonvolutio
4, scissure parallèle; 5, scissure perpendiculaire externe . Ft, première circonvolution frontale; F2, deuxième circonvolut
rconvolution temporale; "3, troisième circonvolution temporale; 0,, première circonvolution occi- pitale; 0 ? deuxième circo
E MENTALE. sionnaires; encore les malades, les plus réfractaires au premier abord, ont-ils souvent renoncé d'eux-mêmes à to
de vue médico-légal, de pareils états nerveux ont une importance de premier ordre : sans rechercher si l'obtusion in- telle
duree^de la : maladie antérieurement ai son entrée, à, l'asile., Son, premier acte - déraisonnabie consiste à. ,s,e croire, 1
snquiteniportent des mar- chandises sansiles payer.'A eaulors de sa, première altaquer(il y, a quinze jours) de l'hésitation
iées;ecslmodificatibnsétaient°surlbut triâr-n quées àilàibase de la, première frontale du;qût6fdroit ? ebausommetS de la fron
mais ré; 1 it,u....Jn.... , petejau'bout de; quelques minutes; sa première , assertion j^il, dé- clare se, repentir, de so
[expert de, dpnner son opinion;, il refusa de^se.prononcer.aprèsiun premier examen, et, put avoir avec, ,Ie4 prisonnier, de
discuter indéfiniment sans résoudre, la,, question ? Voua donc, une première dilficulte. II, en, est une autre, 'bien, plus gr
paraître plusse 50 -p. 100 des associations d'idées dans les quatre premiers jours; puis, la proportion décroît rapidement; ce
t ont une grande inipur- tance. 11 tance. 1 n - d'tni Les trois premières heures de la matinée sont consacrées à l'ensei-
tout : à gauche, sur la première externe antérieure et postérieure ( première frontale), sur le lobule paracentral, sur l'ort
t près du bâtiment du milieu, est la sec- tion des pensionnaires de première classe ; puis, vient celle des tranquilles et p
quartier cellulaire et des locaux d'habitation des pensionnaires de première classe, on a élevé des séparations verticales ent
on pour- rait adapter un tuyau d'arrosage. Les dortoirs, situés au premier , renferment dix à douze lits; ils dispensent pa
106 femmes de deuxième et troisième classe et deux pensionnaires de première classe pour chaque sexe. Il est situé au nord-o
chambres d'isolement; à droite les femmes, à gauche les hommes. Au premier étage, les aliénés calmes ; ici aussi quatre ch
té installés des logements convenables pour quatre pensionnaires de première classe. Dans l'angle obtus de la figure, deux a
nation mor- phinique ; léger amaigrissement pendant les cinq ou six premiers BIBLIOGRAPHIE. 267 mois. Troubles psychiques
agitation 268 BIBLIOGRAPHIE. continuelle avec cris, les soixante premières heures de la nais- sance. (Ohs.deM. Féré, lue à
doit attendre plusieurs secondes pour se mettre en marche et ses premiers pas sont lents. La même raideur se produit s'il
es parties qui se dissipe ensuite. Le malade dit que cette gêne des premiers mouvements vo- lontaires est beaucoup plus pron
ment que maintenant et ses parents ont remarqué sa gaucherie dès sa première enfance. Il n'a pas eu d'autres ma- ladies. Nou
Les attaques de nerfs se sont renouvelées assez souvent depuis leur première apparition, notamment en janvier 1882, c'est-à-
ressemblent par toutes. Il en existe deux variétés principales.Les premières , très nettement hystériques, se caractérisent c
nsité. Jamais la jambe n'a été prise. Environ deux minutes après ce premier accès, un second.se déclare, puis un troisième;
ois delà lacta- tion, les crises réapparurent, toutes pareilles aux premières ; mais cette fois elles durèrent trois semaines.
minuent de nombre et d'in- tensité ; ils conservent cependant leurs premiers caractères, à DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. 291 i
cachet en quelque sorte à part, et en même temps une importance de premier ordre au point de vue diagnostique, c'est que,
les petits objets, il pouvait porter un sceau plein et le monter au premier étage, parce que les doigts formaient crochet;
utefois, il fréquentait l'école du soir, et en 188, il aurait eu le premier prix d'orthographe. Depuis son entrée à Bicêtre,
l'aisselle gauche consé- cutif à de ['eczéma de la face dorsale des premières phalanges des premier, quatrième et cinquième d
cutif à de ['eczéma de la face dorsale des premières phalanges des premier , quatrième et cinquième doigts; pas de traces d
entimètres et demi en longueur environ; elle est saine dans un deux premiers centimètres antérieurs; mais elle estatro- phié
; 4, scissure perpendiculaire interne ; 5, fissure calcarine. F,, première circonvolution frontale interne; F2, deuxième cir
drilatère ou avant-coin; C, coin, ou lobule occipital interne; TO,, première cinon- volution temporo-occipitale, ou lobule f
; 4, scissure perpendiculaire interne; S, fissure calcarine. F t, première circonvolution frontale interne; F., deuxième cir
xième cir- convolution temporo-occipitale, ou lobule lingual; TO ,, première circon- volution temporo-occipitale ou lobule f
écorce du cerveau; par 111ov.lEOw. (Neurol. Central6l. 1883)'. 1. Première expérience. Quand on interrompt, dans la partie
tels vices d'articulation. Ceux qui bégaient font pendant les deux premiers mois des exercices de respiration méthodiques (
ique du tabès); par Schultze. (Arch. f. Psych. XIV, 2)'. Les quatre premières observations rapportées par Schultze con- cerne
L. Centralbl., 1883.) L'accident a trait à trois femmes. Les deux premières reprirent assez facilement connaissance. L'autr
il accuse également des élancements dans les deux jambes. Les deux premières attaques durent un mois, la troisième huit jour
4 août 1882. Trois enfants : le plus jeune a dix mois. Durée du premier accès : deux semaines. (La cause supposée est
7 août 1882. Trois enfants : le plus jeune a huit mois Durée du premier accès : neuf semaines. Cause inconnue. Pas
pté par l'auteur, et après avoir rendu sommairement compte des deux premiers chapitres, nous repro- duirons textuellement le
etit noyau gros comme un noyau de cerise, qui se trouve séparé du premier par l'expansion membraneuse du toit du quatrième
ion, il résulte qu'il s'agit d'une anomalie de formation datant des premiers temps de la vie embryonnaire, opinion à l'appui
les aliénés. Huit mois de recherches ont absorbé 2,300 grammes du premier produit et 2,700 grammes du second. C'est à Dalld
manie domine la scène (manie simple et ses variétés). Si les deux premiers stades sont peu marqués ou rétrocèdent rapidement
236. EXPLICATION DES PLANCHES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE Coupe horizontale à tut centimètre au-dessous d
econde et troisième circonvolutions fion'tales ! F , , Insertion delà première circonvolution frontale. i Fi, Insertion de la
lon de Rolande Pi, Pli pariétal supérieur. P C, Pli courbe. l ? Première circonvolution temporale; eile envoie un pli de p
PLANCHE VII Face interne de l'hémisphère droit; foyer ancien. F,, Première circonvolution frontale. L P, Lobe paracentral.
de l'hémisphère gauche. 1\Ii;me crreur d'impressiou. Fr, Fia, F , Première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
pariétal inférieur. P c, Pli courbe. L 0, Lobe occipital. T, , Première circonvolution temporale. L I, Lobule de l'insu
7 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
Félix ALCAN ÉDITEUR 08, Boulevard Saint-Germain, 108. 1898 PREMIÈRE PARTIE. Histoire du Service pendant l'année 189
7. (Bicêtre et Fondation Vallée.; Bourneville, Bicêtre, 1897. * PREMIÈRE PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du servi
I. Enfants idiots gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. - Ce premier groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
ande Ecole). - La population de cette école était de 183 enfants au premier janvier. Tous, sauf 7 qui ne peuvent travailler
et sous peu une vingtaine d'enfants sau- ront parfaitement les deux premières figures du qua- drille français. Société de g
e leur maitre dévoué, M. Goy, à trois con- cours de gymnastique. Au premier de ces concours, organisé par la ville de Vitry
comprend déjà 12 spécimens. Nous choisissons les sujets avec notre premier instituteur et notre surveil- lant et nous les
ents assistent à ces fêtes. Caisse d'épargne. Elle est confiée au premier de nos instituteurs, M. Mesnard. Les recettes o
ain (Amandine), surveillantes ; 1\ll11c Beaumont, suppléante ; deux premières infirmières : M ? s IIuy'uet et Gcrdcr et 8 inf
geant un lavage quotidien du parquet mal jointoyé, non hourdé, du premier étage, il en résulte des inliltrations d'eau to
ille est commencée à Vallée et 20 enfants en connaissent les deux premières figures. En8eiuncmcnl professionnel. - A mesure
uestions multiples qui n'ont pu qu'être abordées dans un travail de premier jet, et en se con- certant par une collaboratio
alors que l'unité de ce service d'enseignement est une nécessité de premier ordre. Le Pensionnat, peu accessible, est trè
usions de cet examen, en affirmant de nouveau notre unanimité. Au premier rang et sans conteste nous plaçons le Pro- jet
insalubre, aucun commerce incommode. M. Morin-Goustiaux a eu comme première préoccupa- tion, dans l'exécution du plan du Ve
majorité du jury et nous, en particulier, avons placé son projet au premier rang. L'asile est un moyen de traitement ; c'
mais avec beaucoup de fautes et de petits problèmes sur les deux premières opérations. La mémoire est bonne, La tenue est
rs progrès à l'école. G... fait des problèmes simples sur les trois premières opérations. Il gagnerait davan- tage s'il n'éta
ort, mais n'avait pas répondu à une première convocation. - De la première à la deuxième convocation, l'autorité militaire s
ervices à eux et à leurs malheureuses familles : réforme sociale au premier chef. Joignez-vous à eux, M. le Conseiller. En
uit mots. - Asphyxie et ophlhalmie pll2'2ll2nte à la naissance. - Première dent à 16 mois. - Dentition complète à 3 ans. -
e. - Elle fut élevée au biberon jus- qu'à l'âge de 4 ans et demi. - Première dent à 16 mois. - Dentition complète à 3 ans. E
érence de poids de 222 gr. Face externe. - Ce que l'on constate à première vue sur cette face, c'est une cavité large et p
bservation le tableau de la température de l'enfant durant les cinq premiers jours de l'admission. L'enfant est arrivée dans
ara- tion sont interrompus par des plis de passage, réunissant la première frontale il la deuxième et la deuxième à la trois
mois convulsions internes. - Mouvements spasmodi- ques au réveil. - Première , dent à 16 mois. - Dentition (1) Loc. cit., t.
e mouvements spasmodiques, avec secousses des yeux et de la tête. Première dent à 14 mois; dentition complète à 3 ans ; z'a
également le deuxième sillon frontal, dépression' qui semblerait au premier abord être de même nature que : ° la lésion pré
s racines correspondant à trois circonvolutions parié- tales : 1°La première , épaisse d'un centimètre, longe le bord supérie
bord supérieur de l'hémisphère et se continue en arrière avec la première occipitale, P1; - 2° la deuxième se dirige parall
parlent également Porencéphalie vraie. 71 trois racines, les deux premières vont former le lobe temporal (Pl. IV, Tl, '1'2)
ux premières vont former le lobe temporal (Pl. IV, Tl, '1'2). -1o]a première racine se détache au-dessous de la troisième pa
leur aspect normal. Tous ces caractères ont été notés dans nos deux premières observations. Prenons maintenant un cervcau qui
nsanguinitè, - Inégalité d'ligede23 ans. Asphyxie à la naissance. - Première dent à sept mois. - Début de la marche à. '2 !
ntécédents héréditaires ET personnels. Il s'est marié deux fois. Sa première femme mourut d'acci- dent, il en eut trois enfa
ement dura 15 jours. - Nourri au sein par sa mère, sevré à 11 mois. Première dent à 7 mois. - Début de la parole à 4 ans seu
Consanguinité (cousins-germains). Différence d'âge de 13 - atzs. - Premières convulsions à 6 mois. - Dentition con- plète à
agea dans la garde. Ces ennuis auraient existé pendant les quatre premiers mois de la grossesse. Pas de vomissements. Elle n
lepsie n'a paru qu'au début de la huitième année et durant les sept premiers mois de son séjour, l'enfant n'avait eu que deu
ent de plus en plus fréquents, de telle sorte que, pendant les sept premiers mois de 1897, elle a eu 42 accès et 30 vertiges
issance malgré trois circulaires du cordon. Allaite- ment maternel. Première dent à 14 mois. - Parole il deux ans. - Marche
ossesse. -Légère asphyxie à la naissance. - Convulsions internes du premier jus- qu'au quatrième mois et demi. - Grandes co
e mois et demi à un -De là à l'entrée (3 ans) vertiges fréquents. - Première dent à un an; dentition complète à l'entrée. Ba
pre- mier mois et par une nourrice pendant les il mois suivants. Premières convulsions dès le premier mois, Elles ont per-
ésentait sous forme d'accès et de vertiges. Sous l'influence d'un premier traitement par les capsules de bromure de camph
ar sa mère jusqu'à 8 mois, puis sevré, et nourri au lait de chèvre. Première dent à deux mois. A parlé il 17 mois ; a marché
moins propre- ment. 140 Accès; température. ' Température des 6 premiers jours de l'entrée. Épilepsie ET démence progres
and il s'est H8 51'I'FIILIS et idiotie. marié. En effet, ses deux premiers enfants sont venus morts-nés et le troisième a
tableau des températures prises, selon la règle, pendant les cinq premiers jours de l'admission. Elles oscillent entre 3 i
ue normale ; amygdales grosses ; dents en mauvais état. Carie des premières grosses molaires. Les prémolaires et la canine su
est bon. Octobre. - Revacciné sans succès, Températures des cinq premiers jours de l'entrée. Autopsie : méninges et cerve
isme. - Albuminurie durant la grossesse. Cris nocturnes et diurnes. Premières dents à 6 mois. - Balancement du tronc. - Cogne
; - f° notre malade ; - 5° fille, née en z1889, postérieurement aux premiers renseignements, intelli- gente, pas de convulsi
deux fois ont obligé les parents à déménager. Il aurait eu ses deux premières dents à G mois. - A l'entrée la den- tition n'é
t eu également de l'albuminurie il. la 5° grossesse, mais pas aux 3 premières . 166 Idiotie complète : amélioration progressiv
Face convexe de l'hémisphère cérébral droit (p. 60). F', F2, F3, première , seconde et troisième circonvolutions cérébrale
Face convexe de l'hémisphère cérébral gauche (p. 61). 1 ? F2, 1 ? première seconde et troisième circonvolutions cérébrales
Face convexe de l'hémisphère cérébral droit (p. 60). F', 1 ? 1 ? première , seconde et troisième circonvolutions frontales
l ( ? ). pl, pariétale, ascendante. LO, lobe occipital. T1, T2, première et seconde circonvolutions temporales. INS, lob
li pariétal inférieur. Légende de la fig. 1 (p. 72). lez, F2, 1 ? première , seconde et troisième circonvolutions frontales
périeur. 1, pli pariétal inférieur. LO, lobe occipital. T', T2, première , seconde circonvolutions temporales. INS, lobul
e vraie. Face interne de l'hémisphère cérébral droit (p. 70). I ? première circonvolution frontale. LO, (en avant), lobe o
'hémisphère cérébral droit (p. 122), 1 ? F2, portions restantes des première et seconde circon- volutions frontales. F3 est
droit. Face interne de l'hémisphère cérébral droit (p. 156). F1, première circonvolution frontale. LF, lobe paracentral.
auche. Face interne de l'hémisphère cérébral gauche (p. 106). Fi. première circonvolution frontale. LP, lobe paracentral.
Face interne de V hémisphère cérébral droit (p. 159). 1· , F2, 1 ? première , seconde et troisième circonvolutions frontales
ment du cerveau. Face interne de l'hémisphère droit (p. ) ? 1). 1 première circonvolution frontale. OR, gyrus reclus. p.
ace coiivexe de l'hémisphère cérébral gauche (la. 159). 1 , F2, 13, première , seconde et troisième circonvolutions frontales
Op l', opercule pariétal. S S, scissure de Sylvius. Tri, T2, T3, première , seconde et troisième circonvolutions temporale
rveau. Face interne de l'hémisphère cérébral gauche (11. 'la. 1 , première circonvolution frontale. GR, gyrus rectus. ,
anche XVIII. Spécimens de l'écriture DE Dup... (p. ! G3). Fig. 1. Premiers essais (novembre 1888). Vigo 2. Exercice scolai
). LIGNES ET LEURS APPLICATIONS ^l'iS^fS ? 1 TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1897
8 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
FÉLix ALCAN ÉDITEUR 108, Boulevard St Germain, 108. 1893 il PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1892
92. (Bicêtre et Fondation Vallée.) BOURNE'ILL, Bicêtre, 1892. * PREMIÈRE PARTIE Section 1 : Bicêtre. Histoire du servi
lèles à hau- teur variable servent à exercer les plus invalides aux premiers mouvements des jambes et des bras. Les jeux u
pléant, M. Routier, et de deux infirmiers dont un ayant le grade de premier infirmier. - b) Petite école : de Mlle Blanche
is à manger sans aide. Enseignement professionnel. Nous tenons en premier lieu à apprendre aux enfants tout ce qui est né
soleil (1); - l'achat d'une lan- terne magique; - l'aménagement du premier étage du bâtiment des écuries et remises en log
ainsi : III. Projet d'agrandissement de la Fondation Vallée. Premier rapport. En qualité de membre de la Commission
départementales s'il peut nous affirmer que la construction de ce premier bâtiment ne nous coûterait pas plus de 222.000
nt serait construit à usage de dortoirs, 2 au rez-de chaussée, 2 au premier étage, soit 80 lits si on adopte des dortoirs d
aurait ainsi 37 lits, qui, joints aux 48 lits des deux dortoirs du premier étage du futur bâtiment formeraient un total gé
ment aura une galerie au rez-de-chaussée, une terrasse ou balcon au premier étage, afin de pouvoir faire aisément sortir le
du Conseil général. Le projet, après avoir posé, dans son article premier , le. principe de l'admission des placements vol
idiots et arriérés, nous pouvons attendre, avant de les admettre a première demande, le vote de la nouvelle loi en préparat
l tit ' e vache. Il resta chez sa nour- rice jusqu'à 3 ans, eut sa première dent à 7 mois, ne parvint jamais à parler, ni à
vulsifs mal caracté- risés du 18e au 39c jour après la naissance. - Premières dents à un an. - Accès de cris. Cognements de t
jour. Seconds convulsions à 4 mois. - Début de la parole à 18 mo8 Premières dents à 6 mois. - Ne marche pas. - Gâtisme comp
gauche. Pas d'autres convulsions. Début de la parole à 18 mois. - Première dent à G mois ; dentition complète à ? - L'enfa
e de Sylvius. Cette zone d'atrophie comprend donc le pied des trois premières circon- volutions frontales. Le lobule de l'ins
l, aliéné. - Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 10 a tzs. Première dent à mois. - Marche et parole à 20 mois. Méni
sives, en cupule. Canines de lait jaunes et atrophiées. Erosion des premières molaires, jaunâtres et irré- gulières sur toute
face. Mâchoire inférieure : 4 incisives permanentes avec érosion. Premières molaires avec érosion de toute la surface; le res
e, accès de colère, etc. IV. L'athétose a été constatée à la fin du premier mois qui a suivi la fin de la maladie, aussitôt
pré- sente aucun des signes de l'alcoolisme chronique. Marié une première fois assez jeune, il eut une fille de son premier
nique. Marié une première fois assez jeune, il eut une fille de son premier mariage, morte aux Enfants Malades à l'âge de 3
e. Cette enfant aurait eu des convul- sions durant toute sa vie. Sa première femme serait morte subitement durant ses couche
té parfaite, n'aurait pas eu de convulsions durant son enfance. Ses premières dents ne seraient survenues qu'à 7 ans, et elle
etit et grêle. ? Elevé au sein par sa mère, il fut sevré à 15 mois. Première dent à un an; den- tition complète à 3 ans. - D
ette époque le père n'était pas aliéné. - Grossesse : Pendant les 4 premiers mois, fatigues diverses. Affaiblissement au 8me
nne Vcdéb raie est en cyphose, Circonférence du thorax au niveau du premier espace inter- costal : 56 centimètres au niveau
e affection aiguë, nous faisons prendre leur T. R. pendant les cinq premiers jours de leur admission, ce qui nous a permis de
il s'écoule encore 1GO gram- mes de liquide céphalo-rachidien. Au premier examen, ce qui frappe surtout c'est la dispro-
s ans. Conception, grossesse, accouchement : rien de particulier. Première dent à 10 mois. Dentition complète à 2 ans. - C
autour du cou. Elevé au sein par sa mère, il fut sevré à 18 mois. Premières dents à 10 mois; dentition complète à 2 ans. Le
a peine à lui apprendre à téter, cependant durant les deux ou trois premières semaines de son existence, « il était bel enfan
u trou de Botal et l'ectopie testiculaire. IV. St..a été l'un des premiers enfants sur lesquels M. Lannclongue a pratiqué
hémiplégie transitoire. - Pas de consangui- nité. Egalité d'âge. Premières dents à 4 mois. Dentition complète à 3 ans 9/2.
6 mois et but du lait comme aliment principal jusqu'à trois ans. Sa première dent apparut à 4 mois; sa dentition était compl
r à l'arrivée. ' La température prise sous l'aisselle pendant les 4 premiers ; jours se maintient autour de 36o, 8. - 148 A
l de voisines, la mère prit tous les deux jours pen- dant les trois premiers mois de sa grossesse des bains chauds tempérés
nourri au lait de vache avec semoule et tapioca jusqu'à deux ans. - Première dent à 3 ans passés; dentition complète à 10 an
ficilement. III. L'idiotie était complète : accès de cris dès les premiers jours de la naissance, début tardif (3 ans) et
ables à 3 jours, se répétant cinq ou six fois dans le premier mois. Première dent à 2 ans. Parole limitée il quelques mots.
six fois en un mois ou six semaines puis ont cessé complètement. Première dent à 2 ans. La dentition a été complète on ne
ducoeurbatdansle quatrième espace intercostal. Pas de frémissement. Premier bruit bien frappé, mais précédé d'un souffle di
ontractée en Angleterre, où il était allé après s'être séparé de sa première femme. (2) Elle allirme, contrairement à ce que
Naissance avant terme (8 mois). Allaitement au lait de chèvre. - Premières convulsions à 3 jours, ayant duré pendant 4 ou
- Premières convulsions à 3 jours, ayant duré pendant 4 ou 5 heures Premières dents à 6 mois. - Secondes convulsions à 6 mois
lsions qui ont duré 3/4 d'heure. - A partir de là, étourdissements. Premier accès vers 7 ans 1/2; retour des accès tous les
L'inspection du crâne de notre malade ne peut rien faire présumer à première vue. Pas de microcé- phalie, pas de malformatio
la face. Travail ayant duré 5 heures. Allaitement au lait de vache. Première dent à 2 ans passés. Accidents scrofuleux. Symp
e après la couche de son second enfant. Pendant la grossesse de son premier enfant, elle n'avait pas eu d'accès épi- leptiq
tarses : aucun d'eux n'a jamais eu de maladies du cerveau. - De son premier mariage, le père de notre malade avait eu 5 enf
e. Concep- tion, rien de particulier. G1'()S,eSse : durant les deux premiers mois, la mère a eu ses règles, mais peu abondan
t de vache. Sevré à 14 mois, il était alors dans un état pitoyable. Première dent après 2 ans. Il lui manque actuellement 2
se fit la dentition. La parole est encore nulle à l'heure présente. Premières convulsions à 2 jou-s. Elles ont duré tres-peu
née. Pas de consanguinité. Egalié d'âge. -Grossesse tourmentée. - Premières convulsions à 14 mois, prédominant à droite, ré
u lait de vache au bibe- ron. A 14 mois, après l'apparition de sa première dent, survinrent des convulsions sans cause app
s, sauf celles de 14 mois. Gob ? n'a jamais pu marcher. Av nt ses premières convulsions, il prononçait quelques mots, mais
s. beaucoup et elle est très-nerveuse ; elle a, la nuit, dans son premier sommeil, des cauchemars et des accès de somnam-
3 mois. Elle a commencé à marcher vers la môme époque. Elle a eu sa première dent vers le Il- mois. Elle a commencé à parler
tenir verticale. Ce fait a déjà été remarqué après l'application du premier vésicatoire et tient au déve- loppement progres
on de Rolando, superficiel, semble continuer dans sa direction la première partie de la scissure de Sylvius. - FI et F2, mal
. d'un côté. Depuis, il n'a pas eu d'autres accidents convulsifs. Première dent iL cinq mois. Dentition longue iL se complét
e, qu'il ramène ensuite en traînant légèrement à peu de distance du premier , mais toujours en arrière. Cette démar- che est
iques de la Faculté de médecine cle Paris, vint nous entretenir des premiers essais du tmitement chÏ1'ur- gical de l'idiotie
niecto21e a été préconisé par M. le professeur Lan- nelonguc. Sa première opération a été faite le 9 mai 1890 sur une pet
steàM. Lannelongue qui, deux ans avant M. Lime, a fait connaitreses premiers résultats clans une note communiquée le 30 juin
publié une note plus étendue dans laquelle il maintient son opinion première sur l'ossification prématurée des sutures chez
n plus d'intérêt. Il. Nombreux sont les chirurgiens qui depuis la première publication de M. Lannelongue ont pratiqué la c
ant petite à la naissance. - Déglutition pénible ; bave; retard des premières manifestations intellectuelles, pré- hension di
bains salés, sirop d'iodure de fer. Etat actuel (5 juin 1591). - Au premier examen, ce qui frappe le plus dans l'aspect ext
é. Grand-père palenwl,alcoolique.-1\1ère, convul- ? sions à 2 anus. - Premiers , symptômes à 10 ans. - Gépha- l lalgie, vomisse
tent une- mobilité relative; Le frontal est soudé. .' ? , Lors du premier examen de la tête, on. avait noté, que les font
vaise : envie insurmontable de dormir. Asphyxie à la naissance. - Premières couvulsions à 14 mois. - Refroi- dissement et c
acci- dents nerveux. - Émotion vive au 5e mois de la grossesse. - Premières convulsions à 3 mois; crises fréquentes jusqu'à
- Secondes convulsions à 4 mois. - Début de la parole à 18 mois. - Premières dents à 6 mois. - Ne marche pas. - Gâtisme comp
s ans. Conception, grossesse, accouchement : rien de particulier. Première dent à 10 mois. Dentition complète à 2 ans. Con
; travail ayant duré 5 heures. - Allaitement au lait de vache. - Première dent à 2 ans passés. -- Accidents scro- {tÛeux.
face. Travail ayant duré 3 heures. - Allaitement au lait de vache. Première dent à 2 ans passés. - Accidents scrofuleux. -
core une tumeur à siège bien déterminé. ' Avant de terminer cette première partie de notre communication laissez-nous vous
s ont eu des convulsions. - Conception probable durant l'ivresse. Premières convulsions une heure après la naissance, reven
connaissance il 3 mois. - Evanouissements 3 jours après la 15 mois. Première dent à 12 mois. Gâtisme intermittent. - Parole
ans. Soeur, morte de convulsions. Con- ception durant l'ivresse. - Première dent à six mois, - Marche et parole nulles. - G
de syncope au 9° mois de ta grossesse. Asphyxie à ta nais- sance. Première dent et marche à 14 mois. - Premières convulsio
se. Asphyxie à ta nais- sance. Première dent et marche à 14 mois. - Premières convulsions à un mois. Retour mensuel ou bi-men
sme accidentel. Laumail... (Gustave), né le 16 septembre 1878. Sa première photographie prise en 1885, quand il avait 7 an
gauche. Gâtisme. Tournoiement de la tête. - Balan- cement du tronc. Première dent à 6 mois. Grincement des dents. - Rougeole
al gauche; face externe. (Ons. de Scheff ? p. 10-19). FI, F2, F3, première , seconde et troisième circonvolutions frontales
x supérieur et inférieur, pli courbe. Lo, lobe occipital. Tt, T2, première et seconde temporales. sr, sillon de Rolando.
heff..., p. 10-19). Hémisphère cérébral gauche; face interne. I ? première frontale. LP, lobule paracentral. AC, avant-c
p. 22-30). Hémisphère cérébral gauche; face externe. I'i, F2, F3, première , seconde, troisième circonvolutions frontales.
périeur et inférieur, pli courbe. LO, lobe occipital. Tl, T2, T3, première , seconde et troisième circonvolutions temporale
Sal..., p. 22-30). Hémisphère cérébral gauche; face interne. F', première frontale. LP, lobule paracentral. AC, avant-c
, p. 22-30). Hémisphère cérébral droit; face externe. Fi, F2, F3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
PC, lobes pariétaux supérieur et inférieur; pli courbe. Ti, T2, T3, première , seconde et troisième circonvolutions temporale
, de Sal ? p. 22-30). Hémisphère cérébral droit; face interne. r, première frontale. LP, lobule paracentral. AC, avant-c
p. 88-96). Hémisphère cérébral gauche; face externe. FI, F2, F3, première , seconde et troisième circonvolutions frontales
e Itoc ? p. 88-96). Hémisphère cérébral droit ; face interne. Fi. première circonvolution frontale. LP, lobe pariétal. A
. 132-141). Hémisphère cérébral gauche; face externe. FI, F2, F3, première , seconde et troisième circonvolutions frontales
, lobes pariétaux supérieur et inférieur, pli courbe. T', T2, T3, première , seconde et troisième temporales. LI, lobule de
IIug ? p. 13'2-1H). Hémisphère cérébral gauche; face interne. F', première circonvolution frontale. LP, lobule paracentral
p. 132-141). Hémisphère cérébral drot; face interne. FI, F2, F3, première , seconde et troisième circonvolutions frontales
upérieur, inférieur et pli courbe Lo, lobe occipital. Tl, T2, T3, première , seconde et troisième circonvolutions temporale
9 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
teint jaunâtre de vieille cire, toute ratatinée, attire l'attention à première vue. Les rides sont très nombreuses sur le cou,
ax et sur les membres ; un simple duvet à la région sus-pubienne. A première vue, les organes génitaux donnent l'im- pressio
YSIE GÉNÉRALE CHEZ UNE OXYCÉPHALIQUE PAR R H. FLOURNOY La cause première de l'oxycéphalie est très obscure. Virchow, auque
al, frontales pour l'hémisphère droit, sagittales pour le gauche. A première vue, on re- marque que les coupes ont un bord r
qu'à confir- mer en tous points ce que nous avions écrit dans notre premier travail sur ce sujet.- SUR LE ROLE DE LA DYST
t. Il distingue deux phases dans l'accomplissement de ces actes. La première phase (de l'accommodement initial) provoquée par
ition du pouce, contracte les antagonistes comme les agonistes ; au premier moment la position d'extension est accentuée, ens
s, les mouve- ments volontaires sont lents, saccadés. La parenté du premier cas au der- nier se montre non seulement par le
e premier enfant de la famille, les autres se portent bien. Dans sa première enfance a eu à différentes reprises des convulsio
mariée depuis 30 ans. Rien comme antécédent héréditaire. Depuis sa première enfance, boit du vin pen- dant ses repas. Menst
eur de vins et spiritueux. Le malade lui-même boit du vin depuis sa première enfance. Dès son enfance, il présentait des accès
lcoolique, un frère fou. Menstruation toujours régulière. Depuis sa première enfance jusqu'à il y a 4 ans, accès épileptifor
nce chez la même malade et j'ai toujours pratiqué la compression au premier examen de la malade, et après avoir établi, par
ssez prononcée (notamment la flexion de la deuxième phalange sur la première ) et elle va en s'accentuant de l'index vers le pe
paralysés, aucun mouvement de ce genre ne se produira au niveau des premières phalanges. En cas de paralysie radiale, l'abduc
remarque tout d'abord un amaigrissement quelquefois considérable du premier espace interosseux dorsal. C'est là le signe le
ême temps l'extenseur des doigts n'ayant plus d'antagoniste pour la première phalange, il la porte en hyperexlension. Bien q
attitude de la griffe. Cela s'explique par la conservation des deux premiers lombricaux qui sont innervés par le médian, et
arté de l'index (pl. XXI, fig. B). L'atrophie des interosseux, du premier surtout, donne parfois à la main un aspect dit
e cas des lésions incomplètes) rap- portent qu'au début, les quatre premiers doigts étaient en griffe ; plus tard seulement
thénar et les premiers in- - ter-osseux sont les plus paralysés, lo premier espace interosseux dorsal est considéra blement
y a une très légère incli- naison en flexion de l'articulation des première et deuxième phalanges. Dès les premiers temps d
au niveau des muscles aplatis. La coloration de la main, des trois premiers doigts principalement, apparaît très modifiée d
t dimi- nuée dans tout le côté externe de la main et dans les trois premiers doigts. Parfois il y a disparition totale de la
NISTY couperosée à certains endroits, notamment à la base des trois premiers doigts. Parfois, mais rarement, il y a une hy
plan que les autres doigts ; ceux-ci sont légèrement écartés, leur première phalange en extension modérée sur le métacarpe, a
mment exact. Nous considérerons cinq types cliniques principaux : PREMIER TYPE. - Le type le plus fréquent consiste en une
'adduction des doigts sont légèrement ébauchés, mais la flexion des premières phalanges sur le mé- tacarpe reste toujours imp
tatif dans la région du pli du coude en dedans du biceps. Depuis ce premier travail, nous avons dans notre service examiné
it un peu saillie en avant et en dedans. Le pouce en abduction a sa première phalange très légèrement fléchie et sa deuxième
explique l'atteinte des deux ordres de fibres (huitième cervicale, première dorsale) et les irradiations douloureuses dans
V. Main DE l'annonciateur par hypotonie du médian et hypertonie du premier interosseux dorsal (PI. XXIV, C). I. Historique
ue qui tra- versa les parties charnues de l'extrémité supérieure du premier espace inter- métacarpien gauche sans toucher à
métacarpien esl en adduction, ce qui accuse plus que normalement le premier pli palmaire. La première phalange du pouce, qui
bande d'Esmarcla, qui fait également disparaître la contraction du premier interosseux dorsal, mais est sans effet sur la
ître progressivement. 3. Attitude actuelle. Le cinquième doigt a sa première phalange fléchie à angle droit sur le carpe, la
oigt a une position analogue, mais moins accentuée, surtout pour la première phalange, dont l'angle avec le carpe n'est pas to
deuxième et troisième phalanges restent immobiles. L'extension des premières phalanges est très faihle. Les autres phalanges
fléchisseurs et des brides longitudinales sur la face palmaire des premières phalanges ; et au dos de la main on voit sailli
ième doigt à un degré moins marqué d'exten- sion. La flexion de ces premières phalanges est complète. L'extension de la deuxi
tacarpien qui est érodée et une autre cicatrice légère au niveau du premier espace interdigital, toutes deux à la face dorsal
'explique par un mécanisme secondaire, fonctionnel, commandé par le premier . En d'autres termes, une lésion siégeant dans l
é en extension et en adduction, croisant par la face palmaire de sa première phalange le bord externe de la deuxième phalange
parut dans le cubital 1 (adduction des doigts avec flexion de leurs premières phalanges et exten- sion de leurs deux dernière
la flexion de toutes les phalanges, à gauche sim- plement des deux premières ! Diminution des fléchisseurs-. 10. Vaso-motric
adduction des doigts sont à peu près nor- males. - L'adduction du premier métacarpien est possible, mais elle s'exécute san
ontact dans la moitié externe du dos de la main et le dos des trois premiers doigts. Hypoesthésie à la chaleur. Le ma- lade
s la dépendance d'une hypertonie du médian. Enfin, la position du premier métacarpien (abduction et rotation en dehors) s
ique, comme dans le cas de l'Observation V, par une hy- pertonie du premier interosseux dorsal, consécutive à la lésion du ra
qu'elle a aujourd'hui avec cependant une flexion moins grande de la première phalange du pouce sur le métacarpien. 3. Attitu
est situé suivant une perpendiculaire à l'axe de la main. sur ce premier métacarpien la première phalange du pouce est flé
possible, mais en provoquant une douleur surtout dans la région du premier métacar- pien, du premier espace interdigital e
ant une douleur surtout dans la région du premier métacar- pien, du premier espace interdigital et du bord cubital de la main
- Tous les mouvements sont possibles sauf : 1° ceux du pouce et du premier métacarpien, qui restent dans leur attitude habit
ignaler. 12. Pression. 13. Interprétation. L'abduction extrême du premier métacarpien et l'augmentation de surface du pre
tion extrême du premier métacarpien et l'augmentation de surface du premier espace interdigital qui en résulte sont sous la
t, d'après Duchenne de Boulogne, de 'fléchir sur son métacarpien le premier doigt en maintenant ses phalanges étendues. Pour
la paume de l'avant-bras et de l'éminence thénar ; V, hypertonie du premier interosseux dorsal après plaie des masses muscu
sal après plaie des masses musculaires de l'extrémité supérieure du premier méta- carpien ; VII, raideur des dernières phal
ès perforation du troisième espace interdigital ; XV, hypertonie du premier interosseux et hypertonie des fléchisseurs aprè
u premier interosseux et hypertonie des fléchisseurs après plaie du premier espace interdigital et lésion du radial à la ma
dian), II (0.) (tous les nerfs), III (0.) (flé- chisseurs des trois premiers doigts, extenseurs des deux premiers), VII (R.
(0.) (flé- chisseurs des trois premiers doigts, extenseurs des deux premiers ), VII (R. + M.) (fléchisseurs). 3° flgperexci
La bles- sure est il la base du métacarpien et il y a hypertonie du premier interos- seux dorsal, V et XV. La blessure est
cas à la suite d'une blessure, blessure avec plaie dans les quatre premiers , blessure sans plaie (fracture du poi- gnet) da
(fracture du poi- gnet) dans le dernier. Bien plus, dans les trois premiers cas, la blessure avait un siège presque identiq
erficiels, était enroulé en corde etvigou- reusement serré dans ses premiers tours sur l'extrémité inférieure de l'avant-bra
véritable traitement préventif, à savoir l'attention à apporter aux premiers panse- ments. - II SUR LES troubles VASO-MO
suivants, amélioration progressive, mais légère : flexion nette des premières phalanges, ébauche de flexion des deuxièmes, puis
s, mais peu éten- due pour les deux dernières phalanges ; aux trois premiers doigts, la flexion de toutes les phalanges est
re, le malade a des douleurs à peu'près continuelles dans les trois premiers doigts, douleurs qui s'exagèrent quand le bras es
aissie et gonflée, avec un système pileux très développé. Les trois premiers doigts sont fortement oeeH ! s<, infiltrés,
ion des fibres sympathiques périvasculaires, à la condition que les premières aient été toutes interrompues, c'est-à-dire que l
scutable, qui affirme la réalité de manifesta- tions douloureuses à première vue excessives : des malades nous ont été ainsi
taient à peu près aussi vives que dans les cas précédents ; dans le premier *il y avait une grosse paralysie ; dans le second,
space interdigital, bourrelet nodulaire très marqué au niveau de la première phalange du ô° doigt. A gauche, il y a un enfonce
l à chacune des deux mains, et d'un orteil prolongeant la série des premiers au pied gauche. Le pied droit est normal. (4)
métatarsien s'articulent deux orteils : le cinquième est normal. Au premier examen il pourrait sembler qu'il ne soit composé
de la 1. ro phalange. Celle-ci affecte la même forme que les autres premières pha- langes ; plus petite que celle du cinquièm
dix enfants. Nous n'avons pu avoir de renseignements sur les trois premiers . Peut-être y avait-il parmi eux des polydactyle
ière assurer la persistance de l'anomalie, de telle façon que si le premier rejeton restait enfant unique, l'anomalie fût aus
s qui se donnent la peine de réagir. Ce charabia est l'oeuvre des premiers sous-officiers qui eurent à les 182 ' COURBON
militaire, la discipline et le sang-froid font d'eux des soldats de premier ordre, tant qu'il s'agit seulement de re- cevoi
(3 oxybu- tyrique. Pas d'acétone. Odeur acétonique de l'haleine. Premier frisson dans la nuit. Deuxième frisson vers 8 heu
ade, cantonnés dans des localités voisines. Le dixième (obs. I), le premier en date, appartient à une section d'infirmiers do
uxième ne s'est pas contaminé directement dans les cantonnements du premier . (1) H. BATTEN, Epidémiologie de la poliomyélit
l'écoulement du liquide céphalo-rachidien ayant été très lent à la première ponction et l'hypertension n'ayant été constatée
ave ; mais apparurent les troubles des réflexes, et au mo- ment des premiers levers, on constata la démarche canetante et spas
rteils, ectropion des deux côtés, sensibilité diminuée au trijumeau premier . Il y avait une histoire d'in- fection syphilit
, nous ne pouvons juger autre chose que l'intervalle entre les deux premières cures ; séries d'injections ? Nous ne .pouvons
ui fit un jour remarquer à table qu'il avait un creux sur le dos du premier espace interosseux gauche ; très peu de temps a
surtout dans sa-partie externe ; elle dessine un creux en avant du premier métacarpien ; le pouce est sur le même plan que
annulaire ; le malade y remédie par une légère hyperextension de la première phalange. , .. 254 LÉRI L'abduction et l'addu
teur du pouce qui réagit faiblement au faradique. Inexcitabilité du premier interosseux. Hypoexcitabilité faradique et galvan
a bascule de l'omoplate de l'un et de l'autre côté. Ce qui frappe à première vue, c'est l'atrophie considérable du deltoïde
les orteils sont en hyperextension presque à angle droit dans leur première phalange, leurs tendons extenseurs sont tendus
à terre, les orteils s'étendent légèrement, surtout le premier. A première vue, c'est l'atrophie de la jambe et du pied droi
des quatre derniers orteils et simplement une ébauche d'extension du premier , mais, à cause de leur attitude anormale, on n'
es quatre derniers orteils et des mouvements beaucoup plus forts du premier . Les membres supérieurs ont dans tous leurs seg
comme il a subi un traumatisme de la jambe droite, on a tendance au premier examen à croire à une atrophie réflexe post-tra
me a été très léger, il datait de six mois avant l'appa- rition des premiers troubles fonctionnels et il n'avait déterminé auc
erminé la réaction de Wassermann, c'est soit l'affection médullaire première , soit la spirschitose surajoutée sur un terrain n
PAR E. CARATI (de Bologne). Observation I (PI. XLIX). Notre première malade est une femme de 29 ans (B. F. de Cesena)
vico et temporo-faciales. Quelle en est la cause ? Elle n'est pas à première vue très facile à dé- celer. On ne peut incrimi
est très rare. Il n'y a pas dans l'ensemble d'asymétrie faciale. A première vue, il est impossible de faire un diagnostic d
e de la luette par une distance de 1 centimètre, tandis que pour la première la distance n'est que de 0 cm. 5. Lorsque la mala
à l'âge de 62 ans. Antécédents personnels. - Dans l'histoire de sa première enfance elle n'a eu rien de remarquable. Sa men
main, comme nous les décrirons minutieusement plus loin, frappent à première vue. Le thorax est asymétrique, affecté d'une s
edcs phénomènes d'hyposudation qui se révélèrent à notre examen, au premier jour de chaleur, pendant que Georges mangeait u
oculaire ; 3° Une hémianidrose cervico-faciale, s'étendant jusqu'au premier espace intercostal, l'épaulette deltoïdienne et
e. Elles sortent de la moelle à travers les racines antérieures des premiers et seconds segments thoraci- ques et entrent da
occupe donc à peu près les territoires cutanés correspondant aux 4 premières racines cervicales. Elle est totale, c'est-à-di
de troubles trophiques cutanés, osseux ou articulaires, cas qui au premier abord pourraient être considérés comme d'ordre
paraissent très diminués de forcp, particulièrement pour les trois premiers . Les mouvements des muscles de l'éminence théna
ies organes externes et ceux internes. L'aspect morphologique des premiers se modifie considérablement selon la réduction
ubles du métabolisme sur le développe- mens somatique, on compte en première ligne ceux qui portent sur le squelette, dont l
qui s'allon- gent est remarquable également (1). ` (t) Depuis sa première publication sur ce sujet, ltummo a signé une alté
tend inconsciemment à redresser son tronc. On lui fait constater ce premier résultat et on lui en promet un plus grand. On
le décubitus horizon- tal sans même souffrir. Il a eu à partir du premier jour, et pendant 21 mois, des troubles urinaires,
deux. C'est dans cetle attitude qu'il fut évacué. Pendant les deux premiers jours, il souffrit de maux de tête continuels q
réquence, et disparurent au bout de six semaines. Pendant les trois premiers jours, il aurait eu de la pollakiurie et des do
moment-là, une ecchymose au niveau de la hanche gauche. Jusqu'aux premiers jours du mois d'avril, il reste complètement alit
bligé de se coucher sur le côté en chien de fusil. Pendant les deux premiers jours qui ont suivi l'accident, il n'a pas pu u
ête, et il aurait vomi et urine du sang pendant les trois ou quatre premiers jours. Il a été évacué sur Reims, Rouen et Trouvi
qu'il avait une ecchymose dans la région lombaire droite. Les trois premiers jours qui suivirent l'accident, il urina du sang.
heures ; mais on ne l'aurait pas sondé. Il est resté alité les dix premiers jours, se plaignant beaucoup de douleurs dans l
. Ce sont encore les images du passé qui nous renseignent sur les premiers essais de thérapeutique médicale des psychoses. L
endement, jugement. Bref, de quoi reconstituer un psychisme de tout premier ordre. Le reste de l'officine est orné des acce
de plusieurs tuyaux d'échappement. Ici le patient est plongé, tête première , dans l'orifice supérieur de l'appareil, il en re
bore, mériterait vraiment de devenir le patron des psychiatres. Aux premiers temps du Christianisme; beaucoup de saints eurent
10 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
s, ex- posés à des chutes dangereuses. Dans le but de remédier au premier inconvénient, c'est-à-dire à l'insuffisance des
ez-de-chausséo. Les dortoirs, au nombre de. deux, sont installés au premier étage du bâtiment spécial aux enfants et du bât
ue cette classification administrative est en partie fantaisiste. PREMIER PROJET. XXIII fosses seraient de plein-pied ave
ger ou une gêne de service s'il faut les porter à bras (1). 2° Au premier étage, dans le pavillon central, l'infirmerie a
de nuit; l'infirmerie contiendra 16 lits ('2). Dans les ailes de ce premier étage, deux dortoirs de 10 lits chacun pour la
ur s'en rendre compte, qu'à visiter l'infirmerie du Dépôt. - XXIV PREMIER PROJET. En résumé, le pavillon central serait u
ur cette annexe du bâtiment principal d'habitation peut paraître au premier abord, un peu élevé; mais il faut remarquer que
ur les parois extérieures des tourelles des cabinets d'aisances . PREMIER PROJET. XXV dont l'ossature sera en fer. Les pl
deux Asiles'anglais : Earlswood et Clapton, Nous, ne dirons rien du premier , entretenu luxueusement par des souscriptions,
connaissent pas (1) : il nous a semblé préférable de nous servir du premier , destiné aux enfants pauvres des paroisses de Lon
un rez-de-chaussée qui doit être abandonné et de dortoirs placés au premier étage et au sujet desquels nous allons vous fai
ent parallèle pouvant recevoir une cinquantaine d'enfants. Les deux premières propositions se justifient d'elles-mêmes. Quant
rattacheront le gymnase, d'un côté, et les ateliers, de l'autre, au premier groupe des bâtiments à construire et qu'il impo
ver des enfants, un vestibule, ainsi que l'escalier condui- sant au premier étage. Ce pavillon aura un premier étage, desti
n parfaite ; - 2° une galerie au rez-do-chaussée et une terrasse au premier étage, afin de pouvoir faire aisément sortir le
ntre du bâtiment où l'on trouvera aussi l'escalier donnant accès au premier étage. Quant aux salles de cet étage - salles (
ré la création d'une section pour les enfants de Bicêtre comme de première urgence, puisque à la fin de 1879, il adoptait un
cution du nouveau projet les 717.000 francs qu'il avait affectés au premier , ni de prélever une partie de la somme sur les
Séance du 2G juin. LX CONCLUSIONS DU RAPPORT. construits avec ce premier crédit, une partie notable sera four- nie par l
les terrassiers commençaient les tranchées pour les fonda- tions du premier bâtiment, celui des réfectoires. (Voir le n° 85
es circonstances, nous le disons hautement, a créé la une oeuvre de premier ordre. « Nous espérons que notre approbation se
les petits objets, il pouvait porter un sceau plein et le monter au premier étage, parce que les doigts formaient crochet;
tefois, il fréquentait l'école du soir, et en 1878, il aurait eu le premier prix d'orthographe. Depuis son entrée à Bicêtre,
uche consé- cutif à de l'eczéma impétigineux de la face dorsale des premières phalanges des premier, quatrième et cinquième d
'eczéma impétigineux de la face dorsale des premières phalanges des premier , quatrième et cinquième doigts; pas de traces d
timètres et demi en longueur environ; elle est saine dans un à deux premiers centimètres antérieurs; mais elle estatro- pLié
nte-sept ans, aurait eu, en 1843, une encéphalite très grave ( ? ). Premier accès en 1863 sans cause connue; traitée sans s
rain, trois fois par semaine). Le ma- lade eut pendant les quatorze premiers jours deux faibles ver- tiges et le traitement
atre fois par semaine. Les accès perdirent leur type. Dans les deux premiers mois il n'y eut aucun accès, mais à l'époque où
fance h 18S l. - Fièvre cérébrale et convulsions ti 7 ans (1876). - Premier accès en août 1851.-Description des accès. -l1all
s, il y eut plusieurs accès de colère. C'est là qu'il aurait eu ses premiers accès ; il en a eu chaque matin pendant trois jou
partie médiane, résultant, selon le malade, d'une chute pendant sa première en- fance. DANS l'épilepsie. 43 mâchoire in
ques. Salir morte de méningite. - Cousine germaine : convulsions. - Premières convulsions à trois ans et demi; deuxièmes conv
Lef... (Gustave), né le 22 septembre 1852, est entré à Bicêtre une première fois le .2 : ; mai 1868, une seconde fois le 29 d
de Bicêtre, où il n'a rien appris; il n'a pas eu d'accès durant ce premier séjour. Transféré à Sainl-Lizier, quelques jour
milli- mètres de l'extrémité antérieure de l'hémisphère. (PL. V.) Première coupe. Passant par l'extrémité inférieure de la p
n- tale ascendante et se terminant au niveau de l'insertion de la première frontale, elle sectionne le pseudo-kyste à 4 cent
vulsions dans l'enfance. - Mère absinthique pendant la grossesse. Premières convulsions à trois mois, revenues plusieurs fois
t le chiffre enregistré en 1878(458), ni même celui de 1879 (317) première année de la période décroissante signalée plus ha
lument nul. Observation XXII. - Epilepsie. - SOE117' épileptique. Premières convulsions à dix- sept mois. - Vertiges à troi
et oncle maternels, cancéreux. - Naissance avant terme (version). - Premières convulsions à quatre ans. - Hémiplégie gauche c
erveuses en 4 883. - Grand-père maternel alcoolique, mort aliéné. - Premières convulsions à trois ans. - Maux de tête fréquen
tique. - Père mort phthi- sique. - Mère migraineuse et colérique. - Premières convulsions à deux ans prédominant à gauche. On
tiges il treize ans. Alcoo- lisme de vingt-quatre à vingt-cinq ans. Premier accès à vingt- cinq ans. - Bromure d'or en 1882
que. - Père alcoolique ( ? ). - Fièvre intermittente (trois ans.) - Premier accès à sept ans. - Accès d'abord incomplets. -
ci dix-huit mois. - Parésie gauche. - Secousses de la main gauche. Premier accès en mai 1880. - Vertiges. - Aura et affaib
ons). - Grossesse : chuté à cinq mois, peur ti sept mois et demi. - Premières convulsions à deux mois, suivies d'une paralysi
aujourd'hui, tandis que certains auteurs confondent encore les deux premières maladies, tous établissent nettement les différen
rent la roséole de la rougeole, avec laquelle elle parait offrir, à première vue, un semblant d'analogie, et décrivent comme u
il, c'est-à-dire huit jours après le début de la roséole chez notre première malade, nous sommes de nouveau invité à nous re
us rendre dans la même famille pour visiter la soeur aînée de notre première malade. Cette jeune fille âgée de 19 ans était
rale qui a enlevé le malade. -. Sommaire. --Émotion vive à 48 ans : Premier accès huit jours plus tard. - Surdité consécuti
oir perdu sa femme et ses enfants. » Notre malade. Il a eu, de sa première femme, un fils qui est aujourd'hui âgé d'une tr
igente), interrogée pour la seconde fois en 1882 prétendit que le premier accès avait débuté quelque temps avant la guerre,
e temps avant la guerre, c'est-à-dire vers l'âge de 56 à 57 ans. Ce premier accès fut suivi de surdité, sans qu'il y ait ja
a moindre affection visible de l'oreille. Pendant les cinq ou six premières années, il n'y a eu qu'un accès par an, puis il
malade, a présenté deux particularités très dignes de remarque. En premier lieu, elle a débuté à un âge avancé, 48 ans, sa
e paternelle hémi- plégique. - Grossesse : chagrins, traumatisme. Premiers signes d'idiotie à deux mois; jamais de con- vu
comme les autres en- fants.» Il n'aurait jamais eu de convulsions. Première dent à 8 mois 1/2 (les autres auraient ensuite
tion elle a monté à 39°,6 pour atteindre son maximum vers la fin du premier jour de l'éruption 144 HYPERTROPHIE DE la gland
. sur la fréquence de l'un ou de l'autre de ces modes d'union. Au premier abord il semblerait qu'elle dût se produire plu
- Frayeurs nocturnes (épilepsie larvée ? ) Céphalalgies. Grimpeur. Première admission à l'Asile clini- que. - Accidents hys
mme garçon pharmacien, et s'empoisonna accidentellement, comme la première fois d'ailleurs, avec du miel phosphorique; il fu
. Grossesse acci- dentée par des émotions; perte de connaissance. Premières convulsions à 2 ans et demi.- Cauchemars. - Fug
entes. Arrestations pour vagabondage. Apprentissages multiples. - Première condamnation pour vagabondage etm.araude. Secon
ans, la scarlatine. Très impressionnable, colère, il était, dès ses premières années, sujet à des peurs, à des visions la nui
agne-sainte-Geneviève et l'ont dévalisé... » TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1884
litho- graphe, il faut lire les lettres à rebours. Fl , F2, F3 , Première , seconde. et troisième circonvolutions frontale
lon de Rolando. P,, Pli pariétal supérieur. PC, Pli courbe. Ti, Première circonvolution temporale ; elle envoie un pli de
PLANCHE II. Face interne de l'hémisphère droit; foyer ancien. FI, Première circonvolution frontale. LP, Lobe paracentral.
NCHES. 187 PLANCHE IV. Face interne de l'hémisphère gauche. FI, Première circonvolution frontale, coupée par un sillon ver
tale ascendante, le tiers inférieur du sillon de Rolando, etc. F[, première circonvolution frontale. - FA, Frontale ascen-
- CS, Coupe de la corne sphé- noidale du ventricule latéral. - FI, première circonvolution frontale. - FA, Frontale ascenda
it s'arrête un peu trop en avant). - PA, Pariétale ascen- dante. T, Première circonvolution temporale. Fig. 5. LQ, Lobe quad
11 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
Félin ALCAN ÉDITEUR 1 108, Boulevard St-Germain, 108. 1899 PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1898
898. (Bicêtre et Fondation Vallée.) BOUMNEVILLE, Bicêlre, 1898. PREMIÈRE PARTIE - Section I : Bicêtre. Histoire du Ser
I. Enfants idiots gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. - Ce premier groupe est subdivisé mais INVALIDES. Ce premier
ais invalides. - Ce premier groupe est subdivisé mais INVALIDES. Ce premier groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
ants sont exercés à la gymnastique Pichery, sauf ceux qui, venus du premier groupe, c'est-à-dire des invalides étant encore
? COL1 : ). - La population de cette école était de 168 enfants au premier janvier. Tous, sauf 21 qui ne peuvent travaille
es. Les 20 enfants signalés l'année dernière comme sachant les deux premières figures du quadrille, en connaissent aujourd'hu
tes les figures. Une série nouvelle de Il-) enfants sait les deux premières ligures. Société de gymnastique. Les enfants fa
IIAIN (Amandine), surveillantes ; M'ne BEAUMONT, suppléante ; trois premières infirmières : Mmes HUGUET, G-ERDER et MARQUET,
geant un lavage quotidien du parquet mal jointoyé, non hourdé, du premier étage ; il en résulte des infiltrations d'eau t
Forci sur les jeunes aliénés. On trouve aussi clans ce recueil le premier travail paru en Suisse sur les « Classes spéciale
es a toujours été beaucoup plus considérable qu'on ne le croyait au premier abord. Il faut compter, dit-il, environ 3 ou 0/
e année de service. 5° Les nominations des maîtres seront faites en premier lieu pour un an, après examen, et seront plus t
L'année dernière, au mois de mai, la ville de Bruxelles fonda sa première école spéciale. Cet établissement est une école
2° Les arrières médicaux, imbéciles, simples d'esprit, idiots du premier degré, etc. Notre école n'est pas une école pou
que, la diversité n'est pas aussi grande qu'on pourrait le penser à première vue. Voici les grandes lignes de l'organisation
pas il pas cette pauvre petite créature humaine, au travers de ses premières sensations, épier ses premiers jugements sur le
éature humaine, au travers de ses premières sensations, épier ses premiers jugements sur les objets qu'elle touche sans le
se, accouchement, rien de notable. Pas d'asphyxie à la naissance. - Première dent à 8 mois. Début de la parole et de la marc
rdon, - élevée au biberon (lait de vache), jusqu'au quinzième mois. Première ! dent iL 8 mois; début de la parole et de la m
s cause connue, elle est devenue plus impressionnable dans les deux premières semai- nes de février. Le 17 de ce mois, contra
la naissance enfant mignonne. Allaitement au sein puis au biberon. Première dent à 8 mois. - Den- tition complète à 2 ans ¡
, hémiplé- gique. Pas de consanguinité, inégalité d'âge de un an. Premières et uniques convulsions à 4 mois. - 1898. Tuber-
la mère, puis nourri au biberon, toujours avec le lait de vache, Première dent à 3 mois; à 4 mois il avait 3 dents : c'est
A.), très flexueuse, maigre, sur- tout clans sa partie inférieure : Première pariétale (P1.), très large, courte, nombreux s
(P2.), divisée en quatre segments par dos scissures accessoires. - Première temporale (T1.),' régulière, se tcr- mine au co
- neux, divisé en deux parties par un sillon médian, - Coin IC,), première et deuxième circonvolutions temporo-occipi- tal
émisphère gauche. Lobe occipital, circonvolutions 11'l'égulièl'es, - Première circonvo- lution temporale, rectiligne, bien dé
gé de 2 ans qui a eu 7.on 8 fois de fortes conviil- sions durant sa première année et qui semblé un peu en ,N'hf'd.. ? ," ?
mois, C.... a marché un an ; a commencé à parler à 20 mois, a eu sa première dent vers un an. Il a élé bien portant, intelli
la- rité ses scissures et ses circonvolutions sont normales. - La première circonvolution frontale (1), bien développée, est
avé ne semble pas présenter autant de sillons que norma- lement.-La première frontale est assez large, bien dévelop- pée. La
I.E, Vieille question pour nous, car elle a été le sujet de notre premier travail ou mémoire personnel (1). Nous n'en, fe
quentes (dix a quinze par jour). Hémi- plégie gauche à la suite des premières crises. En juin 189't : contractures spasmodiqu
guinité. - Inégalité d'âge de 4 ans. - Frère mort de convulsions. Première dent à 6 mois, - Début de la marche -Il 9 mois,
'à deux ans, n'est reprise par ses parents qu'à l'âge de trois ans. Première dent à 6 mois ; dentition complète à 2 ans. Déb
leltrc que nous reproduisons, ne rappelle nullement dans ses doux premiers tiers, les troubles du langage parlé ; elle écrit
mère, gaie, laborieuse, docile. Ses règles, qui pendant les quinze premiers mois, à dater de leur apparition, avaient été r
s ont duré cinq jours et ont été assez abondantes pendant les trois premiers jours. Tout indique donc que C... est réellemen
l'habitude nous avons pris la tempéra- turc rectale durant les cinq premiers jours. Température à l'entrée. Manie; tempéra
ie, méningite terminale. - .. Conception : graves ennuis du père. - Premières con- . vulsions à quatre ans. - Diminution de l
rticulier jusqu'à l'âge de quatre ans. . Vers quatre ou cinq ans, premières convulsions, consécu- tivement diminution de l'
uche sans rien dire. La nuit a été bonne. 17. René ne mange rien au premier déjeuner ; à midi et le soir, il ne prend qu'un
se soit encore plaint de douleurs dans l'épigaslro. Ne mange pas au premier déjeuner; mange très peu il midi. Première douc
pigaslro. Ne mange pas au premier déjeuner; mange très peu il midi. Première douche : il faut le déshabiller malgré lui, il
cène que la veille. A bien dor- mi la nuit. 20. - Ne mange pas au premier déjeuner, veut écrire à son père il qui il adre
tensité clans la dernière semaine du mois d'août et dans les deux premières semaines de septembre, et les der- niers cas se
mère jusqu'à deux mois, par une nourrice sur place jusqu'à un an. - Première dent à dix mois ; dentition complète à trente m
berculeuse : . père, mère, frère et deux soeu1'S tuberculeux. ' . Premières convulsions limitées à la face. - A 8 mois pre-
mais n'offre ni raideur des membres ni émission d'urines. - (lette première crise a duré cinq minutes au plus et, à la 140
mois, au biberon, avec du lait de vache jusqu'à deux ans I ? ? . - Première dent il sept mois ; dentition complète il dix h
XI) qui semble être seulement entré au moment où s'est effectuée sa première perforation. Ces acci- dents no peuvent être év
sant tout vert. a cessé de crier il 13 mois quand il a été sevré. - Première dent il 7 mois, seize à 16 mois ; les vingt il
me temps s'ac- centue la bizarrerie des idées et apparaissent les premiers signes A' in stabilité (achats non autorisés, p
., deuxième scissure temporale. L 0, lobe orbitaire. 1 ? F2, Fez, première , seconde et troisième circonvolutions frontales
al inférieur. P3, pli courbe. LOC, lobe occipital. Tl, T ? T-3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
cissure perpendiculaire interne. F ca, fissure calcarine. Se toi, première scissure temporo-occipilale. Se ton. deuxième s
oro-occipilale. Se ton. deuxième scissure temporo-occ'ipitttle. I première circonvolution frontale interne. C C C, circonv
. S S, scissure de Sylyius, S R, sillon de Rolando. Fj, F2, F3' première , seconde et troisième circonvolutions frontales
érieur. ' P C, pli courbe-. S P, scissure parallèle. 0., O2 03, première ,. seconde et troisième circonvolutions occipita
ère,. seconde et troisième circonvolutions occipitales. TI T2 T3, première , seconde et troisième circonvolutions temporale
UE (V. p. 97). , Face interne de l'hémisphère cérébral droit. F,, première circonvolution frontale. S R, sillon de Rolando
). Face externe ou convexe, de l'hémisphère gauche. I ? 1·'=, F3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
externe. P C, pli courbe. S P, scissure parallèle. 1'r, T2, T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
re, deuxième et troisième circonvolutions temporales. 01, 0 ? 03, première , deuxième et troisième circonvolutions occipita
ROGÉPHALIQUE (V. p. 98). Face interne de l'hémisphère gauche. 1"" première circonvolution frontale externe. L P, lobule pa
Pédoncule. - .' ' C, coin. L G, lobule lingual. .. . Tb T3, T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
HI1). Face externe ou convexe de l'hémisphère droit. 1 ? 1 F2, FI première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
l, lobule de l'insula. Op R, opercule rolandique. .. T ? T2, T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporal
he XI. BOÜRNEVILLE, Bicêtre, 1899. PL. XIII. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant tannée 1898.
12 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
le muscle, le muscle agit sur l'os, l'os est mis en mouvement. (1) Première leçon, 18 mai 1855. bouvier. 4 Ainsi, toute a
tion des faits particuliers qui seront à notre disposition. ARTICLE PREMIER . DU MAL VERTÉBRAL DE POTT. La colonne vertébr
olonne vertébrale, ce centre d'où rayonne tout le reste du squelette, premier objet de vos études anatomiques, fixera d'abord n
fond, semblable à celui des autres régions ; 2° l'affection des deux premières vertèbres et de l'occipital ou le spondylarthroca
une des deux classes. Assurément, il n'y a pas à s'y tromper : sur ce premier moule, nous voyons une bosse médiane ; sur le sec
his, on n'observe jamais de collection ossi-fluente; c'est le fait du premier sujet. Chez le second, atteint du mal de Pott, ex
d'effacer immédiatement l'arc vertébral; impossible alors de dire, au premier abord, si l'on a affaire à un rachitisme ou à un
comme celui-ci, l'erreur est possible. Voici une pièce qui semble, au premier coup d'œil, se rattacher au mal vertébral. La c
econnaître l'existence de ces abcès. Il y a dans ces collections du premier degré, comme dans les autres, une'circonstance qu
ale. Ne croyez pas qu'on ait toujours ce deuxième degré à la suite du premier : l'abcès peut se résorber; il peut rester profon
és comme un phénomène général. M. Tavignot, qui les a signalés un des premiers , n'avait reconnu leur existence que sur un seul m
ait mécanicien,—adonné de plus à la masturbation. Il n'a été pris des premiers symptômes de sa maladie qu'à la fin de l'année de
du mal, puisque nous la voyons survenir naturellement. Ainsi, cette première catégorie de cas peut non-seulement rester statio
s sous vos yeux sont relatifs à la catégorie de cas dont je parle. Ce premier enfant est depuis deux ans à l'hôpital. Il s'est
il habite un village éloigné, et a été atteint, il y a huit ans, des premiers symptômes d'un mal de Pott. On a d'abord fixé une
dire, en effet, qu'il ne faille rien faire chez les malades de cette première catégorie? Non, assurément. Sans parler des nouve
s un an, une paralysie des membres supérieurs et inférieurs. Les deux premières attaques ont cédé graduellement à l'emploi succes
des moyens qui s'adressent à cette affection elle-même, en parlant du premier cas, c'est-à-dire du mal vertébral non compliqué
guérison d'abcès par résorption ; Abernethy en a cité deux. Les trois premières guérisons ont été obtenues entre les mains de Lar
d'évacuation. Il faut, dit-il, ouvrir l'abcès par une raison qui, au premier abord, semble paradoxale, pour qu'il reste fermé.
tions principales relatives à l'ouverture des abcès par congestion. Premier point. — Faut-il ouvrir ces abcès de bonne heure
un dépôt tuberculeux situé à la partie postérieure des corps des deux premières vertèbres lombaires; la dure-mère, très-amincie,
xaminer les affections à part; c'est la partie supérieure ou les deux premières vertèbres du cou et leurs articulations entre ell
tre elles analogie morbide. La principale différence entre les deux premières vertèbres et les suivantes résulte de la disposit
oient décrites ; c'est encore dans cet auteur qu'on rencontre une des premières descriptions des symptômes de la synovite sous-oc
r comme bien établie cette fréquence relative. Dans !e mal des deux premières vertèbres, on observe, comme dans les autres régi
e centrale du cordon rachidien survenue à la suite de l'affection des premières vertèbres. Mécanisme de la guérison. — Après l'
t les cartilages d'encroûtement des facettes correspondantes des deux premières vertèbres. L'altération s'étendait à l'atlas, qui
orme névralgique que présente généralement la douleur dans le mal des premières vertèbres. Ollivier, en 1826, avait déjà signalé
deur l'ambiguïté du langage, prétend qu'il ne faut pas donner à cette première forme de la maladie le nom d'arthrite, mais celui
ains muscles. Le fémur obéit à ce mouvement et déplace le liquide. Ce premier pas fait, la luxation se produit rapidement; on l
dans la luxation congénitale? Malheureusement nous l'ignorons. Cette première période est infiniment moins claire dans ce derni
. Le premier fait publié est de Palletta (1). Cet auteur est tombé du premier coup sur l'espèce la plus rare. Depuis cette époq
Dans l'opinion de Ereschet, un arrêt de développement serait la cause première des accidents. Cette supposition ne doit pas nous
ce moment; ses fonctions sont conservées en grande partie. Dans cette première forme, la capsule, parfaitement intacte, renferme
est revenu aujourd'hui de cette erreur, que je crois avoir été un des premiers à signaler. Voici un premier sujet chez lequel
ont ce qui est relatif au diagnostic de cette lésion. jer caSi — cc premier malade est un garçon de onze ans, admis dans une
ît pas, et quand on les connaît, on a encore de la peine à revenir du premier jugement qu'on a porté contre elles. » Le strab
bach, mettant à exécution le projet de Stromeyer, eut-il pratiqué ses premières opérations en 1839 et 1840, que partout on s'em
érable à tous les autres. L'opération a été divisée en trois temps. Premier temps. — A l'aide des ophthalmostats, on ouvre l'
qui s'est soumis à la strabotomie, la pression des paupières dans ce premier temps lui a causé la plus forte douleur qn'il ait
d crochet semblable saisit la muqueuse oculaire à quelque distance du premier , de manière à former un pli transversal ; il est
signer la courbure des membres , et en particulier le pied bot. (I) Première leçon, 23 mai 1856. Pour nous, nous conserveron
ils, le jambier postérieur et le court péronier latéral. Les quatre premiers muscles, quand ils agissent seuls, ne produisent
de déviation commençante ; 2° la période de déviation confirmée. I. Première période du pied bot. — Elle peut être considérée
comme des déviations arrêtées à leur début ou qui sont restées à leur première période. C'est à ce titre que je les décris ici.
es os, les muscles, etc., se sont irrégulièrement développés dès leur première formation. Mais, s'il en est ainsi, l'analogie
t le cuboïde, en se portant en dedans, abandonnent en partie les deux premiers os, et laissent ainsi à nu leurs extrémités antér
ement du pied est si considérable que son dos repose sur le sol. 1° Premier degré, — Les caractères du premier degré sont c
ue son dos repose sur le sol. 1° Premier degré, — Les caractères du premier degré sont ceux que nous venons d'assigner au v
iers postérieur et antérieur, qui s'insèrent, l'un au scaphoïde et au premier cunéiforme, l'autre à ce dernier os et au premier
au scaphoïde et au premier cunéiforme, l'autre à ce dernier os et au premier métatarsien , et qui sont les agents essentiels d
'Achille , faite à celte époque, a transformé ce pied bot en varus du premier degré. Le pied forme un angle obtus avec la jambe
ion du talon. Ve cas. — Chez ce garçon, c'est un pied bot double du premier degré. Cet enfant a subi deux opérations ; dans u
on a coupé deux tendons. Il reste encore, malgré cela, un pied bot du premier degré. VIe cas. — Cette jeune fille, qui est tr
es au dos du pied. Les mouvements ne sont conservés que dans les deux premiers orteils, et bien légèrement. On sent encore les m
1° le valgus direct; 2° le valgus talus; 3° le valgus équin. Les deux premiers sont presque toujours congénitaux; le troisième e
taux; le troisième est ordinairement accidentel. Je réunirai les deux premières variétés dans une seule description, sous le nom
analogue des doigts. Le pied équin direct est plantaire, dans cette première disposition des orteils, comme le pied équin simp
11 Ses caractères se composent de ceux du pied équin et du varus au premier degré. La base de sustentaiion est beaucoup plus
Pour terminer, nous allons examiner trois enfants atteints, les deux premiers , de pieds équins, le dernier de valgus. Ier cas
pied équin. Remarquez comme le talon est élevé; cela fait croire, au premier abord, à un grand raccourcissement des muscles du
sensibles. Quant aux orteils, vous voyez une rétraction très-forte du premier orteil, qui, néanmoins, cède assez facilement. L'
mun. Ce talus commun nous offre à considérer plusieurs degrés. 1° Premier degré. — Dans un premier degré, la pointe du pied
âgé de quatre mois et demi, qui porte à droite un varus congénial du premier degré, et à gauche un valgus; vous avez ainsi sou
ans la première année, et même dans la seconde, si le pied bot est au premier degré, la résistance est faible; il n'y a pour ai
able , elle réduit les pressions à celles qu'exigerait un pied bot du premier degré. Après trois ans, les difficultés croisse
. Il en est une autre pourtant, qu'on a conseillée comme adjuvant des premières : c'est l'action de la pesanteur. Dans un petit n
mais à pointe mousse. On manœuvre ainsi avec plus de sécurité. Un des premiers , j'ai proposé ce procédé, que plusieurs chirurgie
gne de démarcation entre le tissu nouveau et le tendon. Les fibres du premier sont grisâtres ; elles tranchent avec l'aspect na
ce a déjà acquis trop de consistance, ce qu'on reconnaît aisément aux premiers essais de traitement mécanique, il faut pratiquer
ison si parfaite. IIe cas. — Marie Pavard porte un varus double, du premier degré à droite, bien plus marqué à gauche. A cinq
ats distincts, bien que ceux-ci ne se succèdent pas nécessairement. Première période : état atrophiquc, ou résorption intersti
ent dans les deux âges. La souplesse de l'os rachilique, dans cette première période, peut encore être accrue par un commencem
plesse naturelle dans l'enfance, suffit-il pour déterminer, dès cette première période , des courbures plus ou moins considérabl
uels on a prêté un grand rôle dans l'évolution du rachitisme. Cette première période du rachitisme répond à ce degré de la mal
s ai décrit les changements que le tissu osseux éprouve dans les deux premières périodes du rachitisme; les membranes qui entoure
eur des membres, d'où la petitesse de la stature. Déjà, dans les deux premières périodes , l'accroissement en longueur est ralent
ture que celle des extrémités de la diaphyse des os longs. Dans son premier degré, le rachitisme thoracique ne consiste que d
ces extérieures susceptibles de modifier la conformation des os. Au premier point de vue, on peut dire, en donnant un peu plu
e lorsqu'on voit les mêmes enfants, atteints de rachitisme dans leurs premières années, l'être plus tard de scrofules ou de tuber
des os, est donc un fait moins commun qu'on ne pourrait le croire au premier abord. J'ai vu cette tension principalement dans
incurvé, tels que le rond pronateur, à l'avant-bras, le pectine, les premier et second adducteurs, à la cuisse, etc. Les mus
ience nous laissent encore dans une grande incertitude sur ces causes premières du rachitisme ; aussi les hypothèses n'ont-elles
les bassets à jambes torses, par suite d'une affection rachitique des premiers individus de cette variété. Terminons cette séa
ation, résultant de la forme particulière des pièces du rachis. (1) Première leçon, 22 mai 1857. Dès le temps d'Hippocrate,
ement la courbure lombaire, en exagérant l'inclinaison en arrière des premières vertèbres des lombes. Il est difficile, malgré
ment qui la sépare de la (1) Journal des difformités, a0 2, 1825. première pièce du sacrum offre une disposition cunéiforme
lordose symptomatique est ordinairement l'effet du mal vertébral des premières vertèbres dorsales. Hippocrate disait déjà que
autre présente la disposition contraire. La cyphose est au niveau des premières lombaires, et il y a deux lordoses, l'une au-dess
ues de la scoliose fausse. Ces dernières sont en effet identiques aux premières ; elles n'en diffèrent qu'en ce qu'elles constitu
une maladie du premier âge, qui ne se prolonge guère au delà des deux premières années ; or, la plupart des scolioses ne se forme
coliose. Je réunirai dans une même description anatomique les trois premières espèces de courbures latérales de l'épine. A. R
latéralement avec le coccyx, il décrit une courbe opposée à celle des premières vertèbres lombaires, et cette inégalité de dévelo
il se rapprocha de Glisson en cherchant dans le rachis même la cause première de sa déformation. Il plaça cette cause dans les
s physiologiques conserve le cachet de son origine, au moins dans ses premières périodes; son siège, son étendue, sont en rapport
entes. M. Serres (1) dit avoir vu chez Rilta-Christina, morte dans sa première année, et sur un autre monstre double du même gen
e n'ai pas à vous présenter d'exemple bien caractérisé de scoliose au premier degré. Voici cependant une petite fille de trois
dans certains cas, la même déviation spinale passer en un instant du premier degré au deuxième, et revenir aussi promptement a
instant du premier degré au deuxième, et revenir aussi promptement au premier degré; c'est-à-dire que les apophyses épineuses d
côté; que les autres courbures n'étaient qu'une conséquence de cette première inclinaison (3). On a d'ailleurs quelque peu vari
oliose n'a débuté qu'à l'âge de dix ans, et est encore aujourd'hui au premier degré. Sa marche a été lente; ce n'est presque qu
ombaires du côté gauche. C'est un cas bien caractérisé de scoliose du premier degré. IIe cas. — Garçon de dix ans; c'est un r
dité lorsqu'on imprime des mouvements au tronc dans les scolioses des premier et deuxième degrés, les seules que l'on puisse co
vre pendant des années la marche croissante de la scoliose, depuis sa première apparition jusqu'à son degré le plus avancé. Je l
pe de tous les exercices dont il s'agit maintenant. Delpech, l'un des premiers , de nos jours, dès 1825, s'est efforcé de donner
e long de deux perches ou des deux côtés d'une échelle horizontale, — premier mode de suspension; —• ou le long des barres para
plus complète. De plus, comme nous l'avons fait pour les exercices du premier ordre, le dos, mis à nu, nous permettra de vérifi
de la position horizontale; mais, de même que celle des exercices du premier ordre, elle lui est bien inférieure au point de v
nsi la courbure des apophyses épineuses , comme dans les attitudes du premier ordre d'exercices; je me suis expliqué sur la sig
second système ; on lui a reproché sa mobilité ; on peut reprocher au premier son invariabilité. Obligé de me limiter, je ne
un effet comparable à ce que nous avons déjà vu dans les attitudes du premier ordre d'exercices et dans les pressions pendant l
onque sur le côté droit, de façon à empêcher le tronc de revenir à sa première position. Il y a même quelques inconvénients prop
nence des progrès du mal. Telle déviation est facilement arrêtée à sa première période par un léger soutien placé sous les vêtem
moins frappants dans les périodes les moins avancées. Cela semble au premier abord assez singulier; mais on comprend qu'une co
e les autres ; ils ne comptaient la durée du traitement que jusqu'aux premiers effets obtenus. On devine que ces résultats du
euple. (1) Voy. pl. 20, fig. 3 et 4. FIN. TABLE DES MATIÈRES. PREMIÈRE 1XXÉE. 1855. Généralités.......................
............... § Ier. — Anatomie pathologique................. ¦ Première période. Invasion.................. ib. Deuxièm
........... § II. — Diagnostic du mal vertébral............... 17 Première période...................... 1* Deuxième pério
................ 26 I. Abcès ilio-fémoraux.................... 27 Premier degré.........«............ 28 Deuxième degré..
............. 154 III. Moyens chirurgicaux................... 155 Premier temps (de l'opération)............... 157 Deuxi
1 § 1er, — Histoire pathologique des pieds bots. ,........ 173 I. Première période du pied bot................ 'b. A. Prem
t......'.............. b. Varus équin..................... 184 1° Premier degré.................. 2° Deuxième et troisièm
........... 212 a. Talus direct, talus commun............. ib. 1° Premier degré.................. l*« 2° Deuxième et troi
13 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
4. FÉLix ALCAN ÉDITEUR 108. Boulevard St-Germain, 108. 1902 PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1901
1901 (Bicêtre et Fondation Vallée) BOURNEVILLE, Bicêtre, 1901. PREMIÈRE PARTIE SECTION I : Bicêtre, Histoire du Servi
I. Enfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. Ce premier groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
vé des enfants ayant déféqué au siège après les repas, durant les 5 premiers jours de chaque mois. Voici ce relevé qui a por
x. ' vin Traitement MÉDICO-PÉDAGOGIQUE : résultats. qui, venus du premier groupe, c'est-à-dire des INVALI- DES, étant enc
ant d'arriver à pouvoir nouer, lacer, bou- tonner et faire les deux premiers mouvements à la gymnâs- Fig. 2. - Flacons renfe
oueur, affectueux, commence à envoyer des baisers, à faire les deux premiers mouvements à la gymnastique des échelles, tenu
aucune notion classique. Il est resté stationnaire pendant les deux premières années qui ont suivi son entrée : ce n'est qu'e
es plantes, les solanées, les tableaux du Louvre, M. Mesnard, notre premier instituteur, a montré une série de vues ayant t
appris à faire la division, fait même de petits problèmes sur les 3 premières opérations et est apte à comprendre et à reteni
écimaux et la division ; il réussit souvent des problèmes sur les 3 premières opérations. Rem., est doué d'une bonne mémoire.
division par un chiffre. Il fait de petits problèmes sur les trois premières opérations. Les progrès en orthographe sont moi
-midi ils s'amusent à danser. Caisse d'épargne. Elle est confiée au premier de nos instituteurs, M. MESNAUD. Les recettes o
nommée sous-surveillante sur place; M"10' Grisard, Acard et HUGUET, premières infirmières, ont été nommées suppléantes, les d
UET, premières infirmières, ont été nommées suppléantes, les deux premières sur place, la dernière à l'hospice de Brévannes
d'après les renseignements que nous avons recueillis. Teigne. - Au premier janvier 1901, il restait dans le service 9 teig
Mlle, AGNus (Blanche) et Bohain (Amandine), surveil- lantes ; deux premières infirmières, 1111, 1-IuGUET et MARQUET; et 10 i
cou- ramment, son écriture est régulière. Elle connaît les trois premières opérations de l'arithmétique sans toutefois en co
défectueuse mais elle peut rédi- ger une lettre ; connait les trois premières opérations de l'arithmétique et en comprend l'a
sont immédiatement conduites à l'infirmerie, où Mlle JA- MOULLE, première infirmière, attachée spécialement à ce service,
CRor- ZELLE ; d'un sous-surveillant-portier, M. CROIZELLE ; de 3 premières infirmières, 111 ? S Quatre, JAMOULLE et BARUET
Autant, je pense, demander une installation durable et complète du premier coup. Veuillez, je vous prie, honoré confrère B
fréquentes, il faut recommen- cer les démarches déjà faites lors du premier placement : certificat de médecin, visa du comm
ortèrent. Le meurtrier fut immédiatement arrêté. « Il résulte des premiers renseignements que cet employé était en proie a
l'état bleu), cordon autour du cou, poids, chétif m( bien portant. Premiers cris : naturels ou avec stridor ou respiration
es familles. Cause il laquelle les parents attribuent la maladie. Premiers signes de l'idiotie, constatés par les parents.
maladie. Premiers signes de l'idiotie, constatés par les parents. Premiers signes de l'épilepsie : cauchemars, céphalal- g
x communs sont les suivants : as Tableau de la température des cinq premiers jours de l'admission. - Nous faisons prendre, m
nité. Inégalité d'âge de cinq ans (père plus âgé). Notre malade : première dent à sept mois. Propre ti dix mois. Premières
é). Notre malade : première dent à sept mois. Propre ti dix mois. Premières convulsions à sept mois. Tics convulsifs de l'épa
sa mère jusqu'à dix-sept mois. Prise du sein normale, pas de cris. Première dent à sept mois. Dentition complète il dix- hu
mois, a été propre à dix mois. Ni bave, ni succion, ni onanisme. Premières convulsions à sept mois, avec la première dent, p
mières convulsions n'ont pas modifié l'intelligence. A la suite des premières convulsions, à sept mois, l'enfant, au dire de sa
E CAMPHRE. 7 49.-Il ... dont les vertiges sont très nombreux, a son premier accès aujourd'hui, précédé d'une série de verti
3, 4, 9 dans les trois derniers mois au lieu de 300 à 400 dans les premiers mois de son séjour, nous lui accordons, sur la de
son 7nrri. - Accouchement un peu long. - Cyanose à la naissance. - Première dent à six mois. Dentition complète ri ! ' Débu
des à dxlac a7zs.-Erznuis el et tristesse dans la douzième année. - Première crise à treize ans (février 1898). - Ensuite quel
a été nourrie simultanément au sein et au biberon (lait de vache). Première dent à six mois.-A quatre mois, on la met- tait
reaux. Deux fois elle est montée sur le barreau de la fenêtre du premier étage comme si elle voulait se jeter dans la rue.
. Les membres rigides ont été pris de fortes secousses. Après cette première période qui a duré environ une minute, le corps
ien mise en relief par le tableau de la température durant les cinq premiers jours de l'ad- mission. Juin. - Les vertiges
ssements. Rien de particulier à l'accouchement et à la naissance. - Première dent à six mois. - Début de la parole et de la
jeté des pierres contre un factionnaire : affolement à la sortie. - Premiers accidents épileptiques deux semaines après cett
heureux résultat. Il. Réflexions sur la puberté à propos des deux premières observations ; Pau 16AYL;IfiEd'I1.3,E. Nous
diarrhée. -Troubles cardiaques : bruit de souffle assez prononcé au premier temps, il la base ; l'enfant se plaint du reste
ent le placer dans le même établissement que lui. Nous souvenant du premier mensonge, nous nous tenons sur nos gardes; comm
- pochondrie de plusieurs jours. 11 boude même sa grand'mère à sa première visite. En même temps s'était produit un embarras
à la psychopathologie pour les mettre à même de relever, dès leurs premières manifestations, les symp- tômes qui font presse
de douze ans, elle mâchait sans avaler, rumination ( ? ). - Dès sa première enfance, aucun jouet ne l'intéressait, elle pas
ondyle externe. Nous tenons à signaler cette remarque, parce que, à première vue, il semblerait en être autrement, et que l'
le en projection, d'autre part en position; et on comprend que la première façon de comparaison est défectueuse puisqu'elle
r un os de nouveau-né descend verticalement continuant la direction première donnée par l'échancrure placée entre lesdeux tu
antérieure. 88 Stigmates DES mystiques. X... (G.), 18 ans, a son premier accès en novembre 1898 et le second en janvier
e, grincement de dents. - Accès de colère, accès de cris la nuit. Première dent à 11 mois. Dentition complète à 26 mois. P
d'ennuis d'affaires ; la mère avait sevré deux mois auparavant son premier né, étant un peu fati- guée. Grossesse assez bo
'il avait des pointes de cataracte. Le strabisme est consécutif aux premières convulsions. G... ne distingue pas les odeurs.
as de griffures, parfois cherchait à mordre les bras de sa bonne. Première dent à onze mois ; les autres ont poussé vite ; à
l'école et à l'ardeur qu'apportait l'enfant au travail. A 12 ans première attaque de folie : excitation pendant deux jour
laquelle notre malade iL séjourné pendant quelque temps lors de sa première atta- que; Le second, 75 ans, bien portant, mar
quatre d'un premier mariage, six d'un second. Des quatre enfants du premier lit, l'un est mort athrepsique : a six mois en
98, du jour au lendemain, elle se met à divaguer, elle s'adresse au premier venu, dit des « horreurs » à ses saurs ; de plu
oquacité qu'elle avait montrée durant huit jours. L'n mois après ce premier accès, à l'époque des règles, absentes encore,
ouvel accès avec exaltation, divagations, turbulence comme aux deux premières attaques. C'est alors que la famille se décide
e clinique, elle était bien plus agitée qu'elle ne l'avait été à sa première attaque de folie, et qu'à son arrivée il la Fon
IV. La température rectale, prise matin et soir, durant les cinq premiers jours de l'entrée, selon l'ha- bitude pour tous
difs du foetus. - Accouchement naturel. ? Ála naissance, 1500 gr. Première dent à 7 ou 8 mois ( ? ). Dentition très tardive.
n des règles. Elles ont été suspen- dues pendant la grossesse de sa première fille, compliquée d'attaques de nerfs consécuti
la nuit, cessant complètement pendant quelques heures. « Pour ma première fille, ce n'était pas la même chose, je les senta
6 mois, quand on lui a donné, en plus du sein, du lait de vache.» Première dent à 7 ou 8 mois; elle n'a pas encore toutes
cès de boisson. [Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 10 ans. Première dent à 13 mois. Dentition complète à deux ans ?
ôté, et donna le sein jusqu'à la fin du 13e mois. Durant les quinze premiers jours, l'enfant cria peu, mais ensuite elle eut
e mois,et qu'on attribua à des coliques. A 15 jours, elle eut ses premières convulsions : « ses petits doigts remuaient, se
i les mâchoires étaient serrées. A treize mois, l'enfant perça sa première dent; il. deux ans, sa première dentition était
A treize mois, l'enfant perça sa première dent; il. deux ans, sa première dentition était complète. Sa deuxième dentition n
ouvent au-dessous de 37". Or, le tableau de la température des cinq premiers jours de l'admission nous montre que sa tempéra
de l'hémisphère cérébral gauche. L0, lobe orbitaire. 't, F2, F3, première ,, seconde et troisième circonvolutions frontale
ch..., p. 151.) Face interne de l'hémisphère cérébral gauche. 1 ? première circonvolution frontale. (La lettre F1, placée en
901. Pr.. XVI BoUwrwr.r.e. Bicêtre, 19ü(. Hi TABLE DES MATIERES PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'aunée 1 J0
able DES matières. II. Réflexions sur la puberté àpropos des deux premières observations ; par BounNE- VILLE ..............
14 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
ve BABÉ et C'P. ÉDITEURS Place de l'École de Médecine. - 1891 PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1890
0. (Bicêtre et Fondation Vallée.) BOURNEVILLE, Bicêtre, 1890. * PREMIÈRE PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du servi
ce, dédiée aux enfants de Bicetre, que nous avons placée en tête du premier volume, indique le but que nous avons poursuivi
de trois infirmiers, garçons de classe, dont un ayant le grade de premier infirmier ; b) petite école : de M'I° Bl. Agnus
q mille francs, d'une somme de cinq mille francs en faveur de son premier né. « Ma petite cousine Louise Thibault, au- jo
t le 7 décembre 1888. En voici- le texte : ' Le Tribunal civil de première instance de la Seine a rendu, en son audience d
88, que les demandeurs critiquent ce congé ; qu'ils prétendent en premier lieu que ce congé serait nul, faute d'avoir été s
loi du 10 mai 1838, Le Conseil d'État entendu, Décrète : Article premier . Le Ministre de l'intérieur, au nom de l'Etat,
aplanies, à la suite d'un jugement rendu par le Tribu- nal civil de première instance de la Seine, et le dé- partement a enf
dernier a obtenu, pour déménager, un délai de six mois, à partir du premier janvier 1889, soit jusqu'au 1 cr juillet (ou pl
de fem- mes des asiles de la Seine, en rendant à sa destina- tion première le quartier de l'asile de Villejuif où quatre-v
retour, deux pièces séparées par un escalier étroit et incommode. Premier élngc (voy. plan n° 3 ci-après). - Nous trou- v
d'une assez grande pièce, séparées par un escalier étroit et, au premier étage, de pièces semblables. Ce bâtiment donne
scalier, salle à manger, salon, DESCRIPTION. LXV une chambre ; au premier étage, trois chambres assez grandes et deuxpeti
avabo composé d'une auge et des cabinets absolument obscurs ; c) au premier étage (voy. plan n° 3, K), un couloir longitudi
), et composé, au rez-de-chaussée de remises, d'écuries, etc., au premier , de trois pièces. 2° La seconde partie du domai
nce, de l'installation et de l'entretien du domaine. Les frais de première installation (mobilier, lite- rie (1), sommiers
Conseil général soit appelé à apprécier l'extension à donner à sa première décision. Je crois donc qu'il importe de bien e
ance publique : surveillantes, sous-surveillantes, suppléan- tes, premières infirmières, simples infirmières, et de ne donn
lles. . 4° Pourles. bains : 1 baigneuse. 5° Pour l'infirmerie : 1 première , infirmière. M. Roux. Nous n'avons pas de suppl
dans le tableau ci-après le mouvement de la popula- tion durant de premier exercice, nous fournirons quelques détails sur
aits par les enfants DE Bicêtre. xcix et Givallois (nuit) ; de deux premières infirmières, Mille, Lapeyre, pourvue du brevet
irculaires sur le bas-ventre. Soupçon de malformation abdominale. Première dentà8mois, poussées lentes. Coup sur le front
ans, né à 7 mois, a eu des convulsions à l'époque de la dentition; première dent à 19 mois; n'a marché qu'à 2 ans; ajourné
, son mari lui a demandé pardon de ses soupçons. Pen- dant les deux premiers mois, elle était prise chaque soir de trembleme
et envoyé à la campagne, où on le nourrit avec du lait de vache. Sa première dent apparut à 8 mois ; la denti- tion s'est fa
ompue à sa par- tie antérieure par un pli de passage entre les deux premières frontales. La première frontale s'insère par un
Protubérance et bulbe, sains. Réflexions. I. Nous avons à noter en premier lieu des accidents nerveux des deux côtés, mate
ières convulsions survinrent à 6 mois au moment de l'érup- tion des premières dents; depais lors, et jusqu'à la deuxième anné
bromure les accès sont beaucoup diminué de fréquence pendant les 3 premiers mois, puis ils se sont reproduits comme avant (
R... poussait des cris continuels qui constituent souvent un des premiers signes de l'idiotie. Les premières convulsions
nvulsions. - Marche et Parole à 4 ans. - Fai- blessedu côté droit. - Premiers signes d'idiotie vers 6 mois. Gâtisme. - Bave c
ni de frayeurs, mais la mère aurait commencé à boire pendant cette première - grossesse, sans aller jusqu'à l'ivresse. Elle
te. Il a toujours bavé. Il grince parfois des dents. Depuis ' ses premières années, il présente un balancement latéral dis-
vexe du crâne de Ber... 52 Réflexions. II. Avant l'apparition des premiers symptômes, l'en- fant semblait déjà un peu anor
une sorte de membrane plus ou moins transpa- rent (fig. 4). Lors du premier examen de la tête, on avait noté que les fontan
sesse, occasionnée par la Vlte d'un idiot. Asphyxie à la naissance. Première dent à 1 an. - Dentition complète à 6 ans. Marc
du canton de Berne). Inégalité d'âge de 2 ans. Le père a eu de sa première femme une fille de 15 ans qui a étésujetteà des
Le père et la mère se sont mariés chacun deux fois. Les enfants du premier lit de la mère n'ayant pas eu de convulsions, t
er lit de la mère n'ayant pas eu de convulsions, tandis que ceux du premier lit du père en ayant eu, on est naturellement e
riétal supérieur au lobule pariétal inférieur, de telle sorte qu'au premier abord, il semble exister un dédoublement de la
bien développé, ses circonvolutions sont sinueuses et découpées. Sa première circonvolution possède trois plis pariéto-tempo
a saillie de la crête épineuse. Cette dépres- sion comprend les six premières dorsales. Examen histologique. 81. · factice
r de la moelle est élargi. Dans la substance blanche on constate du premier coup d'oeil la dégénérescence avancée des cordo
éral du même côté. Réflexions. I. Cette observation qui semble au premier abord ne comporter d'autres réflexions que cell
t les paroles qu'il lui adresse contrastent singulièrement avec ses premiers propos si obscènes. Il fait allusion à son dern
L'Ë 0-LPI LEP SIE. découvert, méat normal, onanisme dans l'enfance, premiers rapports sexuels à 16 ans; pas d'excès. Sensi
. - Mère morle aliénée. Accès de colère. Quelques excès de boisson. Première attaque en 1881, suivie de bégaiement, d'hémipl
e, le malade prétend cepen- dant que sa mémoire a baissé depuis ses premières attaques. Il n'est pas méchant, ni querelleur,
sillon pariétal avec la scissure occipitale externe, la longueur du premier sillon temporal. Plus loin, les anomalies non c
conception, mais se prolongeant pendant toute la grossesse et les premiers mois de l'allaitement. Cette impression a été D
ence crânienne ; néanmoins le fait d'un microcéphale (t) Voir notre premier mémoire, avec planches et figures, sur la microcé
longeant pendant et après la grossesse. Pas de coasatigui- nité. Premières convulsions il six mois.- Idiotie complète : ba
ropos de « la folle » ; ses craintes ont ensuite disparu peu à peu. Premières convulsions à six mois; elles ont été précédées
« malcndreux ». Bave persistante, devenant parfois très abondante. Première dent à un an ( ? ) On ne sait à quel âge il a e
. Les pieds sont peu souples et étendus dans l'axe de la jambe : au premier adord il paraît exister un pied-bot, ce qui doi
r I par un gros pli de passage. Un second pli de passage, séparé du premier par un sillon à trois branches, réunit ces deux
ur une longueur de 11 millimètres; l'incision com- prend les quatre premiers anneaux. La luette est libre de fausse membrane
toutesles lettres, parle assez bien. lia pris le ICI' décembre sa première leçon de gymnastique (2). 1880. Janvier. Jan. e
ion : 4 incisives permanentes, canines et petites molaires de lait, première molaire permanente aux deux mâchoires. (Voir PL
t paraît peu délicat : Jan. recon- nait le sucre et le sel; mais au premier abord il semble préférer la coloquinte; pourtan
ait à quel àgo il a marché et été propre. On croit qu'il n'a ou ses premières dents qu'à treize mois. A son arrivée il Paris,
aussitôt que les autres enfants, mais il n'a pas fait de progrès ». Première dent à six mois. Rou- geole à trois ans. Pas de
on. Et c'est précisément en raison de cette intervention, dès les premières années de la vie, que nous sommes persuadé que
s de balancement. Il rit parfois aux éclats, a des accès de colère. Première dent à treize mois : les autres dents ont pouss
treize mois : les autres dents ont poussé en huit mois. A trois ans premières convulsions légères : occupant tout le corps et
qui est probablement la troisième circonvolution temporale, et la première , existe un espace triangulaire qui est comblé par
tions dont les deux antérieures sont bifurquécs. Face interne.-La première circonvolution frontale est net- tement dessiné
illons superficiels. La scissure calloso-7nai'rinale, au niveau des premières mas- ses frontales, est tout à fait superficiel
névralgie faciale. Grand'mère, hémiplégie. - Soeurs, con- vulsions. Premières convulsions à trois jours, limitées à un côté;
nte, tout le lobule pariétal inft.\- rieur, le pli courbe, les deux premières temporales. Cette poche kystique a sa paroi ext
nt s'encastrer la 2e temporale réduite à un coin. " Face interne. Première temporale très développée surtout en bas et sép
e; bouffissures au niveau des dernières vertèbres cervicales et des premières dorsales supérieures; mains larges et froides,
btenir le résultat qu'on pouvait désirer, comme le montrent les 5 premières photographies. » Aussi, nous conten- terons-nou
pte rendu de Bicêtre pour 4890. 1 PLANCHE X. TABLE DES MATIERES PREMIÈRE PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire DU servi
15 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
CLINIQUE ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHIQUE TOME PREMIER Avec 89 figures intercalées dans le texte et 50
, par des mouvements convulsifs des bras et des jambes. Après cette première crise survinrent des douleurs abdominales avec
einture et entrecoupé par six crises convulsives semblables t 1 : i première . Au bout de ce temps le malade put se lever, mais
repose sur le sol par l'intermédiaire de la face dorsale des trois premiers orteils. Mais ce pied est tellement inerte que, p
phy- siologique, le pied en équin portantsur le sol par les quatre premiers orteils. La marche s'effectue d'ailleurs comme
téristique. Nous ajouterons que cet auteur en a d'ailleurs donné du premier coup un tableau qui n'a jamais été dépassé, car
oujours à propos du pronostic, à formuler cette proposition qui, au premier abord semblera paradoxale, à savoir que, de la
humain ne s'adresse pas seulement aux artistes; elle est encore de première utilité pour les médecins. Il y a déjà longte
La mort elle-même, dès les NOTE SUR L'ANATOMIE MORPHOLOGIQUE. 15 premières heures, inaugure la dissolution finale, et, par l
no- tions que fournit le cadavre, mais elle anime, elle vivifie ces premières connaissances à l'aide desquelles elle reconsti
.. va consulter M. X. qui fait mettre quatre cautères au niveau des premières vertèbres lombaires, endroit où existe une légère
les s'opposent au redressement, sans que pour cela le muscle, cause première du mal, se soit sclérosé. Le temps n'est plus o
vomissements, des sortes de crises de nerfs. Elle raconte ainsi sa première attaque : elle sentait, dit-elle, quelque chose
. ni, 1 à 9) a donné nais- sance à plusieurs oeuvres artistiques de premier ordre. Pour ne citer que les plus célèbres nous
Milan, Vallardi, 1885). On le voit, notre maître avait été l'un des premiers en France ;t faire connaître la maladie de Frie
e dix ans, pendant le séjour à Buenos-Ayres, qu'on s'est aperçu des premiers symptômes de sa maladie. Elle a été prise peu -IL
grossesse et de l'accouchement de la mère, qui furent normaux. Le première enfance d'Aub... se passa sans encombres : cepend
ctuel. - Aub... est de taille peu élevée, Im,56. Extérieurement, au premier aspect, il semble bien proportionné, il est blond
és déjà pour la plu- part par le médecin allemand lui-même dans son premier mémoire. Début de l'affection dans la seconde e
ures hystériques que lors de contractures organiques, alors que les premières sont d'ordinaireplusintenses, tiraillen t plus le
produire la forme la plus typique de ces courbes respiratoires. A première vue, on est frappé de la forme et de la longueur
matisme direct. Ce processus peut se rencontrer uni à l'un des deux premiers , el nous verrons tout à l'heure que cette expli
un point maximum de la douleur dans l'espace compris entre les deux premiers orteils; cette douleur est continue et très aig
ente un abaisse- ment notable de la température, Pendant les huit premiers jours, le malade eut une fièvre à peu près con-
assez déliés, puis, parvenu au niveau de la partie antérieure du premier espace intermétatarsien, se sépare en deux rameau
partie interne du deuxième orteil, l'autre *à la partie externe du premier . En cet endroit, ce rameau s'ana- stomose avec
eaux du musculo-cutané, si bien que la peau de la moitié externe du premier orteil, de la moitié interne du deuxième et celle
e la moitié interne du deuxième et celle de la partie antérieure du premier espace intermétatarsien, est innervée surtout p
ie terminale de ce nerf tibial antérieur, à la partie antérieure du premier espace intermétatarsien. On peut se demander po
- lon de l'hippocampe. h. Insertion des pédoncules cérébraux. '- i. Première apparition duco.rp, calleux. k. Commissure anté
f- frant une conformation du crâne assez remarquable pour adirer au premier coup d'oeil l'attention. En effet, la voûte crâ
fois des convulsions dans le cours de sa pre- mière année. Dans sa première enfance, il était sujet à des cauche- mars et à
atteint de tous spasmodique ( ? ). C'est à treize ans qu'il a eu sa première attaque d'épilepsie. Depuis, elles se sont reno
emier orteil gauche est déformé, augmenté de volume au voisinage du premier métatarsien. La malade meurt le 8 avril 1888, à
ervicale, la contracture hystérique, L'alcoolisme cl ironique. I. Premier groupe. - Il s'agissait d'une pachyméningite cerv
ison. Madame Julie-Anlonine B., âgée de quarante-deux ans, a eu ses premiers accidents en 1880. A la suite d'une attaque d'h
le coup qu'il a reçu sur le front. Ce dont il s'est aperçu pour la première fois, c'est une faiblesse des jambes; cette faibl
ui conduisent à des déformations permanentes, nous pouvons citer au premier rang le rachitisme. Or il nous semble précisément
4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. possible, la description première de l'acromégalie. Tel est le but de la présente
l se plaignit lorsqu'il fut dans son cabinet. Notre maître ayant du premier coup d'oeil reconnu l'existence de l'acromégali
e avec lui, et c'ast avec la glus grande sur- prise qu'assistant au premier interrogatoire, nous constatâmes que cet homme
se ren- contrant dans un ensemble. Ainsi, on est tenté de croire, à première vue, que le relèvement des orteils n'est que la
Friedreich, si bien que, malgré les 120 cas publiés, je suis un des premiers à le signaler. Il est encore plus rare que les do
ment l'arthropathie du second orteil présente l'aspect suivant : la première phalange est déviée légèrement en dedans, et dans
sont dans la flexion. Les deuxième et troisième orteils ont leur première phalange dans l'ex- tension. Le troisième ort
e. flrtlaropatlcie tibio-pé°onéo-tccrsiemae gauche. Arthropalhie du premier orteil. Ce malade a été soigné en 188 dans le s
aient la présence d'un oignon ar- thritique au niveau de la tète du premier métatarsien qui était volumineuse. Aujourd'hui,
non. A la .palpation on sent aisément que l'extrémité antérieure du premier métatar- sien forme une masse plus volumineuse
lation. Ons VI. - Ataxie locomotrice. Arthropathies du genou et dit premier métatarsien. Le nommé T..., charpentier, âgé
bre inférieur. Il y six mois, mal perforant au niveau de la tête du premier métatarsien gauche. Quelque temps après, tout
hauteur, tandis que sur le pied droit, la mensuration de la tête du premier métatarsien ne donne de haut en bas que 3 centi
douleurs vives dans la jambe droite et déformation consé- cutive du premier orteil droit. Il y a six mois, la malade s'aper
. Il n'existe pas une déformation osseuse très marquée au niveau du premier métatarsien et de la première phalange; l'os se
ur le deuxième orteil, de telle sorte que l'extrémité antérieure du premier orteil est en contact avec le troisième orteil.
mes. La synoviale ne présente pas de vascularisation anor- male. Ce premier degré est donc caractérisé par une sorte de fluxi
est représenté par deux fragments irréguliers à surface poreuse. Premier métatarsien. Considérablement épaissi à sa partie
nt épaissi à sa partie pos- térieure qui est complètement soudée au premier cunéiforme. Le deuxième métatarsien est égaleme
grande prédominance des lésions spinales à la région lombaire. Le premier fait avait trait à une arthropathie tabétique des
1874, semblaient corroborer ce que M. Charcot avait trouvé dans sa première autopsie (1869). Mais le cas de M. Bourceret (1
s cellules des cornes antérieures. En 1880, M. Charcot abandonna sa première thégrie. M. Michel, dans sa thèse, propose troi
ée de Naples. Nous n'avons pas à nous étendre sur les qualités de premier ordre de ce morceau de sculputure. Nous nous born
bre de six. Mais une rivière se rencontre sur leur chemin. Les deux premiers y culbutent, risquant fort d'entraîner les autr
u expérimenté en fait le diagnostic à distance, dans la rue, ou aux premiers pas du malade dans son cabinet. La description,
ure du rachis sié- geant au niveau des douzième vertèbre dorsale et première lombaire, et l'immobilisèrent dans une gouttièr
n de la crête épineuse au niveau des dou- zième vertèbre dorsale et première vertèbre lombaire. A ce niveau, la crête, un pe
point de vue qualitatif; mais elle est beaucoup plus faible dans la première pour tous les modes d'excitation, et quel que soi
e prolonge en bas dans une étendue qui paraît correspondre aux deux premières vertèbres lombaires. Sensibilité. -Outre la dou
localisés dans le membre inférieur gauche. Chez lui, comme chez le premier malade, épaississement de la peau du côté atrophi
devient rapidement violacé quand le malade est assis. Sous la tête du premier métatarsien, siège un durillon qui présente tou
ssée à l'extrémité des orteils, notamment auprès de l'ulcération du premier orteil. Quant au pied gauche, il ne présente pa
durillons. Sur la face dorsale du quatrième orteil, sur la pulpe du premier orteil, sous la tête du premier métatarsien, ces
u quatrième orteil, sur la pulpe du premier orteil, sous la tête du premier métatarsien, ces divers duril- lons, même le de
ons décrire. Ces attaques, nous l'avons vu, se présentèrent pour la première fois cinq mois après l'accident primitif. Elles é
iste à partir de la vertèbre proéminente et occupe les sept ou huit premières vertèbres dor- sales. La gibbosité ainsi produi
'après les affirmations de la malade, cette diminution de volume du premier espace interosseux se soit montrée dès les prem
te, 24 ; main gauche, 27. La malade était droitière; la flexion des premières phalanges (interos- seux) se fait bien des deux
sant.. 1 Pas de maladie jusqu'à l'âge de quinze ans. A cette époque première attaque de rhumatisme ( ? ). Un an après, la ma
aire, eu égard à la circonfé- 1. Saucerotte, Mélanges de chirurgie. Première partie, 1801, p. 407 et suiv. Obser- vation com
vivant, en bonne santé, il est grand et maigre. Apres avoir eu ses premières règles à onze ans, elle perdit celle évacuation
rmal ; il ne présente, ainsi que le crâne, aucune déforma- tion ; à première vue, il semble atrophié à cause du développement
s faibles, mais l'ouïe et les autres sens sont bien conservés. Au premier coup d'oeil, augmentation de la tête, des mains,
- ' ments secs. Au niveau du rachis cyphotique les trois à quatre premières vertèbres dor- sales (apophyses épineuses) sont
16 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
lication de son trajet ou de ses associations, garde son indépendance première . Ce fait est du plus haut intérêt pour la physiol
philosophique et de la physiologie générale. Gall a essayé l'un des premiers de la résoudre. Il pensait avoir vu dans la moell
de génie, n'eût approuvé la modification que j'apporte ici à son idée première sur le système nerveux. missures, l'une à droit
à l'aide de figures schématiques très-simples. Fig. 1. La figure première représente la composition du segment nerveux et s
ommande impérieusement l'importance du sujet que nous traitons ici. PREMIÈRE PARTIE anatomie des centres nerveux cérébro-rac
tres nerveux cérébro-rachidiens de l'homme et des primates CHAPITRE PREMIER de l'axe nerveux céphalo-rachidien § 1. De la
euse intermédiaire dans toute l'étendue de la région cervicale, qu'au premier abord on pourrait nier le sillon, et conclure à l
du bulbe et du noyau de l'encéphale. § 1. Prolégomènes et esquisse première . L'axe nerveux, en pénétrant dans le crâne, se
. Face inférieure du noyau. 1° Région du bulbe. Le bulbe semble, au premier abord, n'être qu'un renflement de la moelle dans
eut à peine les distinguer; aussi, le plus souvent, n'aperçoit-on, au premier abord, que quelques fibres irrégulières qui, d'ai
u'ils sautent aux yeux, si je puis m'exprimer ainsi. Cette exposition première sera donc imparfaite à certains égards, mais elle
ion des anatomistes. Ces formations en ceinture ne semblent point, au premier abord, appartenir aux systèmes fibreux longitudin
bien remarqué Tiedemann, et qu'on changerait avec raison en celle de premier ventricule. En arrière du cervelet, la paroi de
s intermedia. » Cette définition, fort exacte quand on s'en tient aux premières apparences, ne peut être aujourd'hui conservée. N
es plus généraux en comparant des abstractions entre elles, semble au premier abord moins réelle, quand on envisage le détail d
cule. Dans l'homme le vermis latéral est singulièrement réduit. Son premier lobule, désigné sous le nom de lobule accessoire,
e Chimpanzé. Mais il n'y a dans ces singes supérieurs aucune trace du premier lobule et à plus forte raison du lobule auriculai
niquement à la réduction de la taille, comme on pourrait le croire au premier abord, puisqu'il il y a plus de feuilles dans les
tranchants confondus sur une lame basilaire. Cette forme distingue au premier aspect le lobe semilunaire de toutes les autres p
ons de l'encéphale. J'ai le regret de dire que Cuvier, qui a l'un des premiers pesé comparativement l'encéphale des animaux, a d
rieure de la scissure de Sylvius, qui est comprise entre la racine du premier pli pariétal ascendant et celle du pli courbe, es
de sa forme, sous le nom de lobule quadrilatère. Nous donnerons à ce premier pli le nom de pli marginal supérieur. Les dentelu
'est de plus en plus échauffée, et toutefois chacun est resté dans sa première opinion, comme cela a lieu d'ordinaire. A priori,
bulbe augmente graduellement d'épaisseur, et ses tranches offrent au premier abord un aspect très-différent de celui que prése
ieurs échappent seules à cet arrangement. Cette structure paraît au premier abord toute différente de celle de la moelle épin
ventricule médian. Cet aplatissement a lieu en effet, ce qui rend au premier abord très-difficile la comparaison des axes de l
du bulbe permet de compléter et de justifier, à certains égards, ces premières données. C'est surtout à l'aide de ces coupes que
posent ces plans ont une direction transversale facile à constater au premier abord ; plusieurs faisceaux de ces fibres s'entre
ive à le retrouver aisément sous des dissemblances qui paraissent, au premier abord, établir une différence totale. Toutefois
st toujours en raison directe de celle du bulbe, ce qui se conçoit au premier abord, puisqu'ils naissent sur le prolongement de
ns le cerveau du fœtus dès le cinquième mois. Sa structure la fait au premier abord reconnaître (1). 2° Une couche grise d'un
tes. Le second comprendrait des fibres mêlées, mais non continues aux premières , et passant directement d'un hémisphère à l'autre
ctus fibreux qui les doublent. Parmi ces tractus, nous distinguons au premier abord une bande blanche qui, de la face inférieur
3° Nerfs de sensations spéciales. I. NERFS MOTEURS CRANIENS. «. Première paire, paire occipitale. Elle comprend : (a) l'hy
le, et correspond à la seconde série des nerfs moteurs crâniens. Ai Première sêtie, ou série normale. Elle comprend les divi
n volontaire et prosbolique. iii. Nerfs de sensation spéciale. a. Première paire. Elle comprend le nerf spécial de l'auditio
e. § 3. Réflexions sur les faits exposés. Tous les nerfs des deux premières catégories appartiennent à la moelle, au bulbe et
aculté de percevoir les sons semble n'avoir rien perdu de son énergie première . Une fille observée par M. Cruveilher, manquait d
ablation interrompt la vision plutôt qu'elle n'en détruit la faculté première , et n'a aucun effet sur la faculté auditive. Ains
forcés de voir dans les hémisphères cérébraux eux-mêmes la condition première des sensations auditives, aussi bien qu'ils le so
et dans les mammifères les plus élevés elle paraît assez évidente au premier abord, et l'on se décidera aisément pour l'affirm
le. En effet, il y a des fibres propres dans les hémisphères, et au premier abord la quantité de ces fibres propres pourrait
de la partie claire de Y area germinativa, est le point de départ des premiers linéaments du système nerveux. Suivant Baër, cett
n tenir scrupuleusement aux choses essentielles. § 2. Modifications premières . Pendant que les premières modifications dont n
e les lobes du cerveau antérieur et se recourbe en sens inverse de sa première courbure, c'est-à-dire de bas en haut et d'avant
roisième mois que le système nerveux commence à perdre sa physionomie première , par suite de l'accroissement prodigieux du cerve
lle qui, par leur apparence fibreuse et leur blancheur, diffèrent, au premier coup d'œil, de la protubérance et des pédoncules
s croissante, ils paraîtront, en généra', d'autant pius semblables au premier abord, qu'ils seront plus proches encore de leur
future et ne ressemble absolument qu'à lui-même. Dans cette esquisse première qui se complète lentement et qui s'achève d'heure
elle des types ; — c'est beaucoup rabattre sans doute des prétentions premières ; mais acceptons ces conditions nouvelles. A ne c
caractères généraux qui la distingueront plus tard. Ainsi, les formes premières ont un rapport admirable avec les formes futures;
n diffère d'autant plus qu'on se rapproche davantage du moment où ses premiers plis apparaissent. Il résulte de ce fait une co
, dès le commencement, en vue de l'état futur. Tout animal a, dès ses premiers linéaments, des caractères qui lui sont propres,
lables dans l'un et dans l'autre, l'étendue des couches corticales du premier serait à celle des couches corticales du second :
mbranes du système nerveux céphalo-rachidien. (a) Valsalva l'un des premiers a parlé de nerfs allant à la durc-rnère. Il les f
ui ont un petit front et un grand occiput se rapportent en général au premier cas (2). On lumbus (De re anatomicâ, lib. I, ca
les frères Weber (2). (1) Recherches sur l'encéphale. Paris, 183G. Première partie. (2) Elle est égale à 0», 176 suivant ce
t le postérieur. . 0,256 Ces résultats, ainsi qu'on peut le voir au premier coup d'œil, diffèrent assez peu de ceux qu'a obte
sont acquises, il y a une question à résoudre : quelle est la source première de ces usages bizarres? L'homme, fût-il fou, ne f
du moins, où elle semble avoir pris naissance, et où elle trouva ses premiers adeptes. Mais si les caprices de la mode lui proc
apothéose d'un moment, elle fut bientôt dépouillée de cette splendeur première et tomba dans le dédain. Toutefois elle a encore
ue des mouvements, de la sensibilité et de l'intelligence. CHAPITRE PREMIER . DES NERFS. § 1. Y a-t-il plusieurs espèces d
ait pas encorde laite. » (Propriétés et fonctions du système nerveux. Première édition, note de la page 182. Paris, 1824.) (3)
sur-le-champ une réaction opérée. » C'est là le mot propre. Loc. cit. Première partie, § 2. Pr. 1. vitio superioribus mutatur,
sont moteurs et les postérieurs sensi-tifs, d'autres attribuaient aux premiers les mouvements de flexion et aux seconds les mouv
rieurs exclusivement sensitifs. Ce fait est nettement établi dans son premier mémoire. Ce n'est pas tout. Il pratique l'hémis
sensitifs et la substantia gelatinosa. 11 fonde son opinion, quant au premier fait, sur les mouvements musculaires, dont les co
élevé de nouvelles théories. Parmi ces travaux on doit distinguer, au premier rang, ceux de M. Schiff (de Francfort), et de M.
immédiat des mouvements respiratoires, mais qu'elle intervient comme premier mobile et comme principe régulateur de ces mouvem
a cause immédiate de ces mouvements est dans la moelle, mais la cause première , le principe qui détermine la moelle à les produi
pas inutile de proposer les hypothèses qui découlent des observations premières , et qui ouvrent en toutes choses les portes de l'
de Paris, 5 janvier 1856. Ces observations pourraient paraître, au premier abord, aussi favorables à l'hypothèse de Gall qu'
gène dans toutes ses parties. M. Flourens a démontré que les facultés premières de l'intelligence s'éteignent toutes à la fois à
Il se fondait sur ce que des animaux (t) Recherches expérimentales. Première édition, p. 43-44. (2) Cuvier, Ann. du muséum d
ation du cerveau. TROISIÈME PARTIE. DE L'INTELLIGENCE. CHAPITRE PREMIER . DE L'AME. § 1. Opinions des philosophes sur
rps vivant. Telle est l'opinion d'Aristote. Cest, dit-il, Ventéléchie première d'un corps organique, qui a la vie en puissance.
est fort ancienne (2). Ainsi, le sang est pour ainsi dire la matière première de l'âme, du moins par ses parties les plus délié
image. Cette image peut persister longtemps après que les impressions premières se sont dissipées. Cette faculté que l'âme a de c
ive qu'elle pourra se changer en douleur. Pourquoi ces différences au premier abord inexplicables? Comment se fait-il que ce qu
urrait-on arriver par là à la con- (1) Rohault. Traité de physique. Première partie, chap, xxxi, art. 20. ception d'une visi
un objet, n'est-ce pas le chercher hors de soi? » Trailé des animaux. Première partie, ch, vi. sont inhérentes à la constituti
se général, ou de bien-être et de joie. Ces sentiments, dont la cause première n'est point aperçue, remuent cependant le système
et des causes ; elle retrouve, par une sorte de calcul, les termes au premier abord oubliés d'une série dont elle a repris le f
fait, une fois admis, rend raison d'un grand nombre de phénomènes au premier abord inexplicables. Qui n'a, par exemple, été so
et de l'honneur, le marquis de L*** avait perdu jusqu'au souvenir des premiers éléments d'une éducation classique que dès son dé
mitif, à sa virginité, si je puis ainsi dire, ou bien de l'impression première il est résulté une modification persistante. Dans
in qu'il reste dans la cellule nerveuse quelque chose de l'impression première ; et delà modification qu'a amenée cette impressio
t au repos. Rien ne démontre mieux la légitimité de cette distinction première de la sensation et de l'imagination. Mais, tout
t de pensée possible. L'art spowtané d'imaginer est donc la condition première de l'art de penser. Cet art met en usage un procé
et la réminiscence, que la mémoire rattache un souvenir à son origine première , et coordonne le présent avec le passé, tandis qu
SOMMEIL. § 1. Définition du sommeil. Le sommeil est la condition première de la vie animale. Le fœtus dort dans le sein de
fidélité et que l'habitude d'un certain mouvement donne la direction première , on concevra comment les mouvements pourront se d
sement plutôt qu'anéantissement. Je me souviens qu'ayant été, dans ma première jeunesse, fort tourmenté de douleurs néphrétiques
, en sorte que la secousse me réveilla. Or imagine-t-on quelle fut ma première pensée? Ce fut une pensée de colère contre ceux q
es bien loin de leur sujet, et perdent à la fin la trace de leur idée première . La même chose arrive habituellement dans un salo
yons quels sont les arguments pour ou contre. Démocrite a, l'un des premiers , attribué cette divination à des causes naturelle
vingt ans, d'une con^itulion scrofuleuse, se réveilla dans l'une des premières nuits de sa grossesse avec un cri terrible et tou
liquer. « La nuict propre venant au jour « du Tournoy, dit-il, en mon premier sommeil, je songeay « que je voyois le Boy, assis
moins ceux qui savent combien l'esprit est en général esclave de son premier point de vue. De ce côté le problème est inattaqu
t les yeux, soit enfin qu'on ait perdu la vue. Nous donnerons à cette première catégorie d'hallucinations, le nom à?hallucinatio
mmes qu'on a cru doués de cette faculté merveilleuse, on doit citeren première ligne le célèbre Angelo Cattho, archevêque de Vie
re maître, Etienne Pariset, me racontait qu'ayant été affecté dans sa première jeunesse d'un typhus épidémique, il demeura plusi
ns de cette sorte que la fameuse doctrine de la palingénésie a eu ses premiers fondements. Un autre moyen de procurer l'extase
ander peut-être si certaines hallucinations n'auraient pas pour cause première des modifications spontanément éveillées dans les
tache à la terre; aussi, dit-il, est-ce dans les temps de l'innocence première que ces rêves sont le plus fréquents. Nous n'insi
des inspirations involontaires : ajoutez à cela la forme mystique des premiers désirs du cœur, et la fréquence de ces rêves sing
s précipitations. Or, de même que le ravissement reconnaît pour cause première une longue inspiration, les précipitations des so
able et partit. Glenadel fut un bon soldat. Pendant la durée de son premier engagement, il ne subit aucune punition. Cependan
nadel est un honnête homme ; il avait victorieusement lutté contre sa première impulsion, il se prépare à résister à la seconde,
, je reverrai mon pays! Et depuis le temps de son enfance, ce fut son premier bonheur. Le malheureux revient donc à son villa
ple, que cette inquiétude n'ayant aucun motif extérieur, s'adresse au premier objet venu parmi ceux dont l'idée est la plus fam
, et se précipitait en un tourbillon d'une inconcevable énergie. Au premier abord, on crut à l'existence d'un fluide, et l'on
fforts beaucoup plus énergiques ? Cette question est embarrassante au premier abord, mais il ne faut point désespérer de la rés
uels il serait inutile d'insister, donnent la clef de la puissance au premier abord inexplicable de certains procédés du magnét
n médecin, J. Delord, consulté sur cette affaire par M. de Montrabbe, premier président du parlement de Toulouse, fit de ce jug
'état « actuel de manière à y produire de nouvelles sensations ? Le « premier soin des expérimentateurs, ajoutent-ils, a dû êtr
ait plus comique que sa colère de (1) Ann. des sciences naturelles, première série, t. XXII, p. 399. (2) In principiis philo
qui attend qu'on lui ouvre une porte en donne aisément la preuve. Ses premiers cris sont un simple avertissement; ils sont brefs
en délivrant l'intelligence de l'esclavage des sens, est la condition première de toutes les idées morales. L'idée de nombre ell
nt avec elle. Les faits dont je viens de parler peuvent être mis au premier rang parmi ceux à l'aide desquels on peut expliqu
l'économie cérébrale. Ainsi s'explique probablement le phénomène, au premier abord inexplicable, des mémoires partielles. Tel
................ vu Introduction............................... i PREMIÈRE PARTIE. AN ATOM IE DES CENTRES NERVEUX CÉRÉBRO-
RES NERVEUX CÉRÉBRO-RACHIDIENS DE L'HOMME ET DES PRIMATES. CHAPITRE PREMIER . —»e l'axe nerveux céphalo-rachidien. 19 § 1. D
be et du noyau de l'encéphale. ... 41 § 1. Prolégomènes et esquisse première ............. ib. § 2. Description du noyau céré
§ 1. Prolégomènes........................ ib. g 2. Modifications premières ................... 226 § 3. Perfectionnement su
PARTIE. HISTOIRE EXPÉRIMENTALE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL CHAPITRE PREMIER . — Des nerfs................. 329 § 1. Y a-t-il
és............. 365 TROISIÈME PARTIE. DE L'INTELLIGENCE. CHAPITRE PREMIER . - »e l'âme............. ... 381 § 1. Opinions
17 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
. FÉLIX ALCAN z ÉDITEUR 108, Boulevard St-Germain, 108. 1901 PREMIÈRE PARTIE Histoire du Service pendant l'année 1900
1900 (Bicêtre et Fondation Vallée). Bourneville, Bicêtre, 1900. PREMIÈRE PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du Servi
. Enfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais INVALIDES. - Ce premier groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
vé des enfants ayant déféqué au siège après les repas, durant les 5 premiers jours des mois d'octobre, novembre et décembre.
me il sa famille et sans le concours de personne. Il fait les trois premières opé- rations en arithmétique : a quelques notio
ande Ecole). - La population de cette école était de 171 enfants au premier janvier. Tous, sauf 17 qui ne peuvent travaille
ses détails l'école Estienne. Caisse d'épargne. Elle est confiée au premier (II Nous profitons de l'occasion pour remercier
de suppléant. M. Petit, infirmier diplômé, a été promu au grade de premier infirmier. - Citons aussi la création d'un empl
dangereuses avec le plus grand dévouement. Elle n'est toujours que première infir- mière. Nous estimons, comme nous le disi
disions l'an dernier, qu'il y aurait mieux a faire. Teigne. - Au premier janvier 1900, il restait dans le service 9 teig
IN (Amandine), surveil- lantes ; 11 ? BEAOEIONT, suppléante ; trois premières infirmières, Miles Muguet, Marquet et M"10 Chér
e M"10 MALEXÇON, suppléante (bâtiment des gâteux); de M"10 Grisard, première infirmière (pavillon d'isolement), de 11 ? Deri
commence à faire des petits devoirs de grammaire, connaît les deux premières opérations de l'arithmétique, elle lit lentemen
fait des devoirs variés de grammaire, géographie, connaît les trois premières opérations de l'arithmétique, Le caractère s'es
uelques devoirs de grammaire, lit par syllabes .et.connaît les deux premières opérations de l'arithmétique. 5° Delom... (Andr
son écriture est très lisible et bien formée; elle connaît les deux premières opérations de l'arithmétique. Elle s'exprime tr
elle suit une dictée du cours élémen- taire. Elle connaît les trois premières opérations de l'arith- métique ; lit couramment
ment. Améliorations diverses. Promotions. Mye BARUET a été nommée première infirmière et M. Lagrillère premier infirmier.
ons. Mye BARUET a été nommée première infirmière et M. Lagrillère premier infirmier. Aménagement du sous-sol du pavillon
étigo, 20 pour maux d'yeux. Nous devons féliciter M"° J. JAMOUILLE, première infirmière, attachée spécialement à l'infirmeri
omme devoir : 1° D'examiner l'enfant qui demande à entrer pour la première fois à l'école; les parents auront le droit d'ass
remières semaines d'après la nature des sujets. A la fin des quatre premières semaines scolaires, dans une réunion tenue par
omme cela se pratique dans les jardins d'enfants. Dans les quatre premières semaines, les enfants n'ont à fournir ni livre,
position du Secrétaire général de la préfecture, Arrête : Article premier . Les secours de 1 fr. 50 à 2 fr. il. allouer pa
rri ensuite au lait de vache. A bien pris le sein ; non criard. Première dent à un an. Dentition complète à ? N'a jama
bi- beron (lait de vache). Prise régulière du sein; non criard. Première dent vers un an. Dentition complète à ? N'a j
olume de la langue. - Masses lipomateuses. Phy- sionomie hébétée. Premières dents à 2 ans ; dentition complète à 9 ans. 21
dents, les mêmes accès de colère, les mêmes insomnies que lors des premières dents. » Et même vers 7 ans, à l'occasion de l'
édemment obtenue. IX. Voici le résumé des traitements institués : Premier traitement. Du 11 février au 12 août 1898 avec
nvulsions à trois mois ; à 4 ans mordu par un chien et, à la suite, premier accès d'épilepsie. (1) Compte-rendu de Bicétre
ce qui concerne le corps étranger de l'oeso- phare, nous notons, en première ligne, l'absence presque complète de troubles f
1.800 gr. ; nourri au sein par sa mère, il a été sevré il 18 mois. Première dent à 8 mois, n'a jamais parlé, marche a 26 mo
CESOPIIAGE, A l'ouverture de ce conduit, on trouve au niveau des 5 premiers anneaux de la trachée, une esquille osseuse cou
n de particulier. Grossesse : albuminu- rie. Accouchement normal. - Première dent à 6 mois. Marche à 13 mois. - Parole à ? C
e suite et n'a pas ou d'accès de cris. Il a été sevré iL 18 mois. - Première dent h li mois. Le début de la marche a eu lieu
pas encore nouer. En gymnastique, il commence à bien faire les deux premiers mouvements (assis, debout, en avant, en arrière
t à fait familiarisé avec ses camarades. Il exécute bien les quatre premiers mouve- ments de la gymnastique des échelles. Re
es ennuis multiples. - Somnolence dès la naissance. A quinze jours, premières convulsions, prédomi- nant à droite. - A partir
t et constipé» (il en a toujours été ainsi), pas d'accès de cris. Premières convulsions à quinze jours pendant une heure, les
; par le Dr Oüca1'aais. ' Les lésions de ce cerveau qui présente, à première vue, l'aspect d'un ramollissement kystique, don
à protoplasma abondant) ; certaines de ces cellules pourraient, il première vue, être prises pour des cellules pyramidales
'alcoolisme. Nara... {Compte-rendu de Bicêtre de 1896, p. 207.) A première vue, les circonvolutions ont une épaisseur nor-
répu- tées insalubres, avec raison, exercées par les parents. Au premier rang se placent celles dans lesquelles on manie
Accouchement à 8 mois et demi.- Pas d'as- phyxie à la naissance. - Première dent à 2 ans. Jamais de convulsions. Parole et
ve d'avortement, était faible et anémique, a vomi un peu les quinze premiers jours, pas d'oedèmc. A 4 mois 1/2 : les mouveme
longeant pendant et après la grossesse. Pas de consan- guinilé. - Premières convulsions à six mois. - Idiotie complète : ba
ns à la naissance. Sommeil artificiel prolongé pendant un mois. - Premier o't à un mois. - Alimentation extrême- ment réd
ère puis au biberon (4 mois). Impossibilité de prendre le sein. - Première dent à 9 mois. - Marche, attention, préhension
d'heure . Accouchement à terme. A la naissance tête toute petite. Première dent à 4 mois. Dentition complète à an ? Parole
e, accouchement, rien de particulier. Tête petite à la naissance. - Première dent à 5 mois. Dentition complète à 22 mois. =
cès de boisson du mari. Accouchement 15 jours avant terme, naturel. Première dent à un ans Marche à 14 mois. Début de la par
7 ans. Conception, grossesse, accouchement, rien de particulier. Première dent à 6 mois. Parole nulle. Impossibi- lité de
ssance 900 grammes. - Diarrhée verte il un mois et un mois et demi. Première dent à un an. Den- tition complète vers 2 ans.
t, qu'un état d'idiotie s'accompagne d'un crâne paraissant normal à première vue, sur lequel un frontal large (ce qu'indique
ra-t-on découvrir quelques signes qui détruisent cette impression première , que ce front recouvre un cerveau volumineux ? 2
e à celle des idiots non épileptiques ; aussi le poids du crâne des premiers ne ressemble en rien à celui des seconds : épai
nvexe de l'hémisphère gauche. (Obs. de Lecl.. p. 18.) 1 ? F2, F3, première , deuxième, troisième circonvolutions frontales.
Sc.S., scissure de Sylvius. L.o., Lobe orbitaire. TI, '1'2, 'P, première , deuxième, troisième circonvolutions frontales.
volution du corps calleux. Sc. cm, scissure calloso-marginale. r, première circonvolution frontale. Tout, Top, première et
alloso-marginale. r, première circonvolution frontale. Tout, Top, première et deuxième circonvolution temporo- occipitales
émisphère droit. (Page 108). L. P. , lobule para-central. F . , première circonvolution frontale. C. , coin. L. Q. , l
che IX. Bourneville, Bicêtre, 1900. Pi.. XI. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1900
18 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
proéminence de la 1 re dorsale et une sensibilité à la pression des premières vertèbres lombaires, permettant le diagnostic d
xion et extension de la tête douloureuses ainsi que la pression des premières vertèbres dorsales, mais l'absence de gibbosité r
ment de la région lombaire (ce cas marque la transition entre notre premier et notre second groupe). 2° Après une pleurésie
alrnoni, Iollarits, le pr Lépine, MM. Teis- sier et Roque dans leur premier travail, etc.. Les auteurs italiens ont en géné
avec intégrité relative des ligaments jaunes, à la lordose des deux premières cervicales l'ossification de la partie toute anté
des disques avec intégrité du ligament atloïdo-axoïdien postérieur, premier des ligaments jaunes (V. fig. 1, 2, 3 et 4). Ce
physes épineuses et les ligaments jaunes des 6° et 7° cervicales et première dorsale ne forment plus qu'une lame osseuse uniqu
mmun antérieur avec intégrité des disques montrent main- tenant : \ première vue ou'il il .s'.^.mit d'un nrnrpqqilq tnl1t (11(
ligaments jaunes paraissent beaucoup moins atteints que dans notre première autopsie, mais, comme nous n'avons pas voulu enco
x paraissent très poreuses et sans doute très vasculaires. Les neuf premières articulations costo-transversaires à gauche, les
neuf premières articulations costo-transversaires à gauche, les dix premières à droite sont ankylosées par ossification de leur
peu près les mêmes que celles que nous avions observées dans notre première autopsie : ligaments surépi- neux, partie antér
s et bour- relets. Nous en avons pour preuve l'histoire de l'un des premiers mala- 48 PIERRE MARIE ET A. LÉRI des présenté
e travail en étudiant un cas clinique dans lequel elle s'im- pose à première vue : j'exposerai sa symptomatologie, je chercher
e vingtaine de jours après il faisait un nouvel accès, différent du premier . Spontanément, sans l'intervention d'au- cune c
ait défaut. La circulation du sang offre tout simplement la matière première , mais ne suffit pas, je le répète encore, pour
uel les muscles de la peau jouent probablement aussi un rôle est en premier lieu l'expression d'une irritabilité singulière d
s des acromégales, il en res- sort, que souvent déjà, dans la toute première jeunesse on a remarqué les di- mensions relativ
même observé une augmentation de volume de la glande thyroïde comme premier symptôme de la maladie, de sorte qu'on pourrait
t sur le fémur. Aux pieds, le pied droit est valgus talus, les deux premiers orteils sont subluxés sur le mé- tatarse, le pi
mine entièrement dans le lobe tem- poral, surtout dans l'écorce des première et deuxième circonvolutions tempo- rales. La pa
ent dans la deuxième temporale, un plus grand nombre encore dans la première temporale. Un petit nombre de fibres entrent da
e part que ce faisceau renferme de fibres d'association. Dans ses premières études (a, b et c) il dit que la couche sagittale
ilieu desquels se trouvent Philippe, Jacob et Mathieu dont les deux premiers regardent avec des lunettes une carte écrite ; le
ure. Cette scoliose est à convexité droite ; elle intéresse les dix premières dorsales et le sommet de la courbe se trouve au
eule brièveté des muscles, comme dans l'une des observations de mon premier mémoire sur ce sujet. De tels caractères suffis
oeur, 19 ans, chlorotique. 2° Soeur, 28 ans, a eu au. moment de ses premières règles, à 13 ans, des crises nerveuses qui ont
ussé, car la malade n'a jamais eu à le couper. Le pouce et les deux premiers doigts s'allongent normalement, mais les doigts 3
ensoriels et nous n'avons trouvé rien d'anormal, sauf comme chez le premier que l'odeur d'asa-fsetida n'était pas sentie. L
eau des avant-bras plus accentués que sur les bras. z Ainsi qu'au premier examen nous ne constatons pas de trouble de sens
lfort en raison de la maladie incurable dont elle était frappée. Au premier coup d'oeil l'attention est attirée par une tumeu
t de construction rudimentaire, grossières, un peu trop hautes ; la première idée donc qui vient à l'esprit est celle de la Pa
sceau optique central. 182 LASALLU-ARCT1A111BAULT mière limbique, première frontale, frontale et pariétale ascendantes, les
cendante, la totalité de la pariétale ascendante, de l'insula et la première circonvolution temporale. La capsule externe et l
, paralysie du moteur oculaire externe gauche. 1 Ramollissement des première et deuxième circonvolutions occipitales, de la
jeure partie de la deuxième temporale. Les autres circonvolutions : première et deuxième limbiques, lobules paracentral et f
interne. Cette grosse dégénérescence est d'ordre bien compliqué. En premier lieu, elle renferme les fibres provenant de la
sont respectées : lobule paracentral, circon- volutions lombiques, première et deuxième temporales. La couche sagittale ext
externe. Hémisphère droit. - Ramollissement du tiers antérieur des première et deuxième circonvolutions temporales. *- No
toire exact de chacun de ces deux ordres de fibres. Les lésions des première et deuxième circonvolutions temporales d'une pa
nterne représentent les radiations de ce noyau et proviennent de la première circonvolution temporale. La coupe la plus anté
ations thalamiques des parties postérieures du lobe pariétal et des première et deuxième circonvolutions temporales s'irradien
ns trois de nos cas,, la lésion atteint la moitié postérieure de la première circonvolution temporale, mais on ne relève rien
pédoncule d'un cas de ramollissement des deux tiers antérieurs des première et deuxième circonvolutions temporales, et, pou
s fibres de projection corticipètes,mais surtout cortici- fuges des première et deuxième circonvolutions temporales, et en plu
parle Dejerine, fibres qui s'infléchissent en dedans au niveau des première et deuxième circonvolutions temporales et qui s
four ventriculaire, les ra- diations thalamiques et genouillées des première et deuxième circonvolutions temporales ne passe
syndromes ainsi que nous avons essayé de le démon- trer dans notre premier travail (1). C'est après avoir étudié dans le s
nuée ; elle le serait moins, d'après M. Froelich, qu'au moment de sa première radiographie mentionnée plus haut. Voici l'ét
alisées exacte- ment dans le domaine des racines sectionnées. Cette première constatation sem- blait nous orienter vers la p
'a jamais été découvert. Chez le chat I, nous avons coupé les trois premières racines tho- raciques ; chez les chats V et VI,
aux (à l'exception de deux chiens), ont guéri sans suppuration, par première intention. Le chien de l'observation VIII a suc
en même temps, nous communiquions à la Société de biologie (5) nos premières constatations, et simultanément paraissait la thè
fibres, au contraire, donnent l'impression de n'être encore qu'aux premiers stades du processus. Du côté non opéré il n'y a
atations de Koster de celles fournies par l'autop- sie de nos trois premiers animaux, nous voyons que l'accord est facile à ét
e 97 jours. Chez ces deux animaux, la section avait porté sur les 2 premières racines postérieures sacrées. Parmi les filets
taient normaux. Chez le chien VIII, 15 jours après la section des 2 premières sacrées, sur 5 préparations des nerfs de la pla
(observ. 1, chat adulte, sacrifié 247 jours après la section des 3 premières racines dorsales postérieures- gauches dans leur
rations fiues décrites par Kleist, ces altérations n'existant qu'au premier mois, alors que nos autop- sies les plus précoc
même temps l'état des fibres à myéline, et de permettre de faire il première vue la distinction de l'espace occupé par les f
mble du système nerveux. Cette action toxique se ma- nifesterait en première ligne sur le proto-neurone sensitif et sur les pr
thique. Observations. Observation I. Chat adulte. - Section des 3 premières racines thoraciques postérieures gauches. - Sur
n enlève à la pince coupante les lames vertébrales à la hauteur des premières vertèbres tho- raciques. Section ext1'adurale d
s premières vertèbres tho- raciques. Section ext1'adurale des trois premières racines thoraciques posté- rieures gauches à la
isparaît complètement au bout de quelques jours ; cicatrisation par première intention. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES PO
romato- lyse partielle. Des ganglions gauches (côté opéré) les deux premiers ont été exa- minés également au Nissl : légères
acrées, avec résection sur 3 à 4 millimètres de long. Réunion par première intention, pas de paralysie ni d'incoordination.
gauches, correspondant aux 2. et 3' nerfs sacrés. ' Guérison par première intention, sans paralysie. Santé parfaite jusqu'a
montré plus tard l'au- topsie, à la dernière lombaire et aux trois premières racines sacrées. Réunion par première intention
rnière lombaire et aux trois premières racines sacrées. Réunion par première intention sans suppuration. Aucune paralysie cons
intactes. Nous prélevons aussi le 5e ganglion lombaire et les trois premiers gan- glions sacrés des deux côtés. Enfin, son
fibres myélinisées n'ont été constatées que sur les coupes des deux premiers ganglions sacrés du côté gauche. Il a été impos
survie de 10 jours. Observation VII. Chat adulte. Section des deux premières racines sa- crées postérieures gauches. Survie
er les dissociations. Observation VIII. Chien adulte. Section des 4 premières racines sacrées postérieures gauches. SU1'vie 1
ntra-duremérienne de 4 filets radiculaires, qui correspondent aux 2 premières racines sacrées postérieures gauches. L'animal
ine postérieure sacrée). Observation IX. Chat adulte. Section des 2 premières racines sacrées postérieures gauches. - Survie
spondaient, comme le montra l'au- 334 ROUX ET HEITZ topsie, aux 2 premières racines sacrées. Réunion sans suppuration, parési
a pince des lames des deux dernières ver- tèbres lombaires des deux premières sacrées. Résection sur une longueur de 3 à 4 mi
ieurs du côté droit dans leur trajet intra-dure-mérien. Réunion par première intention. Pas de paralysie consécutive. L'an
mais d'une sclérose disséminée secondaire nettement distincte de la première . Entre les deux processus existeraient les différ
Au point de vue histologique il différait de la structure des deux premiers par l'épaississement des méninges et des 342 GI
inée syphilitique à foyers un peu particuliers. En effet si dans le premier cas on a des lésions vasculaires plus ou moins ac
ute la région du dos. Ces douleurs sur- venaient surtout la nuit.La première fois qu'elles survinrent il futincapablepen- da
es rencontre dans le tableau de la sclérose en plaques vraie. Notre premier cas est particu- lièrement démonstratif à ce su
Joseph INGEGNIEROS Professeur à l'Université de Buenos-Aires. 1. - Premières observations de Charcot. On avait déjà nettemen
ucune forme. Le malade était un paralytique général progressif à sa première période. Charcot, après avoir exposé le cas, an
s amusies sans aucune perturbation du langage verbal ordinaire. Les premières sont les amusies combinées que nous venons d'anal
méthodiques. Nos observations d'amusies pures hystériques sont les premières ayant été l'objet d'une sérieuse étude clinique (
x monographies de Sante de Sanctis méritent une mention spéciale.La première monographie de De Sanctis se rapporte aux impul
ion systématique de l'émotion musicale avec des idées érotiques. La première fois l'association est occasionnelle ; ensuite le
ne ponction lombaire est pratiquée le matin : on laisse couler les. premières gouttes. Le liquide est incolore, [mais, par ce
USSEL phie du crâne et celle des mains, le malade, au moment de son premier séjour, ayant quitté l'hôpital au moment où il
basée elle-même sur une hypothèse que nous avions émise dans notre premier travail. ' Il est nécessaire de récapituler bri
hyse. Il y a trois faits sur lesquels j'ai surtout insisté dans mon premier travail ce sont : 1° L'âge du malade et son d
... viennent à l'appui de cette opinion. * si Déjà dans notre premier travail j'ai émis une hypothèse pour donner une
ne contredisent pas cette assertion, comme je l'ai indiqué dans mon premier travail. D'autre part, c'est un fait bien connu
- cer directement la fonction de la glande hypophysaire. Dans mon premier travail j'avais envisagé la possibilité d'une inf
HUDOVERNIG Pour ces raisons, j'ai traité le malade pendant les dix premiers mois avec la thyroïdine ; ce traitement dura du
te dose fut successivement portée à deux tablettes à partir des six premières semaines. Pendant ces dix mois il n'y eut au- c
une amélioration, et plutôt même une agqrava- tion. Pendant les dix premiers mois le malade était devenu un peu plus tranqui
tteignit l'âge de sept ans, en juin 1904. Ainsi, pendant les deux premières périodes du traitement je n'avais ob- tenu aucu
le thérapeutique pour atteindre les buts proposés. Déjà, dans mon premier travail,j'avais soutenu que « l'excès de la fonc-
ssi la confirmation de l'hypothèse théorique, déve- loppée dans mon premier travail. Pour ces- raisons, j'ai résolu de reco
je crois bon de les comparer avec ceux qui furent décrits dans mon premier tra- vail. ' Tête et main (en comparant les r
isibles ; on remarquait seulement les traces de ces cartilages à la première phalange aux extrémités distales, et dans les pha
le ralentissement de la croissance n'a pas eu lieu pendant les deux premières périodes du traitement (thyroïdine, puis thyroïdi
, ce fait confirme absolument la thèse que j'ai soute- nue dans mon premier travail, en disant que « l'excès de la fonction d
anifeste des testicules vers la fin du traitement ovarien. Dans mon premier travail j'ai mentionné que les organes génitaux
livre sur les Paralysies et les contractures hytériques furent vos premiers travaux. Ils firent sensation, notamment en rai
us a confié sa chaire d'anatomie. Mais ce n'étaient là que les deux premières étapes d'une glo- rieuse route que vous deviez
ours après l'accident. A l'autopsie, on constate une fracture de la première vertèbre lombaire avec déplacement du corps de ce
es deuxième et quatrième segments lombaires paraissent confondus au premier abord. Par suite de cette anomalie la direction
mort survint quand l'enfant avait déjà 4 ans. Voici le résumé de sa première observation. Il s'agit d'une fille de 4 ans ame
a vu l'affection se développer et frapper 6 enfants sur 15 dans la ? première , deux enfants sur 6 dans la seconde. ri"Dans to
lysie bulbaire ni aucun trouble cérébral. La mort survient dans les premières années de la vie ; dans les cas observés, la surv
robuste, dont l'attitude en griffe des deux mains trahit seule, au premier examen, l'état de maladie. Etudions en détail l
mation chez des foetus qui tous étaient en même temps dépourvus des premiers méta- carpiens et des pouces. Chez l'un d'entre
e du carpe apparaissent tous simultanément, .et le développement du premier métacarpien contemporain de celui des autres mé
tuelle existant chez notre malade la distinguent suffisamment de ce premier groupe. 1 Lorsque à la petitesse de la taille s
équinisme très pro- noncé avec convexité du tarse (Pl. LXXII C).La première phalange des orteils, celle du gros orteil prin
, par des rétractions fibreuses, étendues du calcanéum à la tête du premier métatarsien, trousseaux fibreux qui se tendent fo
élargissant fortement la base de sustentation, l'hyperextension des premières phalanges du pouce et des orteils est encore au
ar et hypothénar, ainsi que des in- terosseux. L'extension des deux premières phalanges des doigts, l'adduction et l'abductio
de l'axe de cea faisceaux; quelques-uns de ces faisceaux donnent au premier abord l'aspect de fibres envoie de régénération.
s les orteils, la deuxième et la troisième phalange formant avec la première un angle droit ouvert en bas (fig.). -A la voûte
A la voûte plantaire, par suite de la saillie marquée de la tête du premier et du cinquième métatar- siens, il existe dans
développement, absolument comme l'oedème précoce, qui est l'un des premiers signes d'une tumeur blanche, ou d'une coxalgie
s de lésions. De ces 6 observations de mal de Pott dorsal, les deux premières sont des exemples nets de Compression osseuse.
ns l'obs. VIII, les symptômes semblaient indiquer l'in- tégrité des premiers segments lombaires dont les racines étaient, cepe
s'étalent sur la face antérieure de la dure-mère au niveau des deux premières paires dorsales, qui sont étroi- tement englobé
cines paraît tout aussi marqué dans l'observation XI, pour les deux premières paires dorsales, et cepen- dant, il n'y avait d
rt quatre observations, à cause de leur complexité ; dans les trois premières , les malades étaient en même temps syphiliti- q
ais qui d'ordinaire ne peut être précisée exactement. Dans nos deux premiers cas de mal de Pott cervical, comment distinguer,
s au Pal, permettent d'affirmer une dégénérescence secondaire. Au premier examen, on remarque immédiatement l'intégrité de
chies, et la troisième étendue ; le second doigt est fléchi dans sa première phalange et étendu dans les autres. Les trois d
OPTIQUE CENTRAL PAR R LASALLE ARCHAMBAULT (Albany, New-York'. Première partie. Nous avons en le privilège, grâce au pr
. 105');) pour se convaincre qu'eu abordant ce sujet complexe notre premier effort a été d'éviter le piège, 562 - LASALLE A
les relations qu'elles assurent entre l'insula et la circonvolution première temporale d'une part, le lobule fusiforme et la
le splénium du corps calleux. Ainsi que nous l'avons dit dès notre première des- cription, le faisceau optique est grandeme
ive). Bref, la rétine semble réunir au point de vue de l'origine du premier neurone, le type moteur (centre cortical) et le
airement à ce qui se passe pour celles-ci, les noyaux principaux du premier neurone visuel sont très éloignés l'un de l'aut
e : « décussation entre le centre d'origine et le noyau terminal du premier neurone ». A un point de vue pratique ne pourra
ntrer les exigences de la phy- siologie. Nous revenons à notre idée première , que bien qu'elle ne soit aucune- ment périphér
ec certains noyaux du thalamus. Ainsi, nous revenons à notre idée première , à savoir, l'origine exclusive- ment genouillée
ts, sur lesquels nous croyons avoir suffisamment insisté dans notre premier mémoire (Rev. Neurol., 1905, n° 22, p. 1038-1039,
is il est déjà entrecroisé, grâce au parcours extra-cérébral de son premier neurone. Ainsi que le trajet central du nerf au
tral du nerf auditif, de la racine sensitive du trijumeau, a, comme premier échelon dans la gamme des niveaux, le sillon bulb
plus réelles que chimériques nous a été démontré de deux façons. En premier lieu nous avons vu dans trois cas (dont deux, réc
Dcr.n.LF (Ann ? n). Un cas de po- liomyélite dill'use subaiguë delà première enfance (2 pl.), 44t. BRISSAUD et Moutier. Cy
19 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
1 FÉLIX ALCAN ÉDITEUR 108, Boulevard Saint-Germain, 108. 1896 PREMIÈRE PARTIE. Histoire du Service pendant l'année 189
1895. (Bicêtre et Fondation Vallée). Bouhnéville. Bicétre, 1895 PREMIÈRE PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du servi
I. Enfants idiots galeux, épileptiques nu non, ; mais invalides. Ce premier groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
mise g'éné- reusement à notre disposition. Elle est aidée par une première infirmière, M ? Cordonnier, qui a également la
hain, surveillantes; 1\11110 Croizelle, sous- surveillante ; - deux premières infirmières : 1\T ? Muguet et Pacquelet et 8 in
éfection de l'unique cabinet d'aisances qui dessert les dortoirs du premier et du second étage du grand bâtiment ; - la fou
iérés ou les simples d'esprit. : · Classes spéciales. 1,131 Des premiers , un certain nombre sont hospitalisés. Or, comme
t d'apoplexie. - Deux frères et une soeur morts de con- vulsions. Premières convulsions à 2 ans. - Convulsions mensuelles d
e. - Elevé fm sein en nourrice, il a tété au moins jusqu'à un an. - Première dent à un an. Dentition de lait complète à 3 an
il se tenait mal. Ses parents l'ont repris à 2 ans. 15 jours après, premières convulsions : l'enfant avait les yeux tournés,
o- ptysie ; à plusieurs reprises on a vu du sang dans ses selles. Premières dents à 13 mois ; dentition complète à 20 mois.
leux envoie un pli de passage entre l'extrémité postérieure de la première frontale et le lobe paracentral. Ce pli il plus'd
riétale et d'une partie des sutures pariéto-occipitales. C'est la première fois que nous observons une synostose aussi éte
tition normale, marche à un an. Pas de convulsions pendant les cinq premières années. Cholérine à 13 mois. Rougeole peu grave
s les semaines et même plusieurs fois par semaine. Durant les neufs premiers mois de son séjour à la Fondation, C'.... a eu
on l'a confié à une nourrice à la campagne ; celle-ci l'a sevré. Première dent à six mois; la date de la dentition complète
lle-ci, le lobule du pli courbe, le pli courbe lui-même et les deux premières temporales sont repré- sentées par de petits ru
cérébrale. - Pas de con- sangwinitè. - Inégalité d'âge de 10 ans. Première dent à 4 mots. Début de la marche et de la parole
uer pendant les 3 années qui ont suivi. L'enfant a passé les quatre premiers mois de cette période chez des parents en pro-
e. Emotion violente de la mère au sixième mois de la grossesse. - Premier vertige à huit ans. - Premier accès à onze ans.
re au sixième mois de la grossesse. - Premier vertige à huit ans. - Premier accès à onze ans. - Accès sériels. - Diiiiiiiut
uveau-né pendant une demi-heure. Nourri au biberon jusqu'à 2 ans. Première dent on ne sait à quel âge. Parole à 2 an : a. Ma
re 1892 : 293 accès et 10 vertiges. En 1893 211 accès. - Les quatre premiers mois de 1894, 49 accès et un vertige. L'enfan
eurs, s'amincissent tout-à-coup au niveau du sillon qui sépare la première de la seconde frontale. La FA présente un aspect
/u .t>' 'LPI \Lpi \ lez - r "S-1 1 i ? 3. - I ? li'2, F : i, première , seconde et troisième circonvolutions fron- tal
1880 que nous avons publié dans les Archi- ves de Neurologie notre première observation (1), suivie peu après d'une autre,
phique. 99 cérébrale de l'enfance (1884). S'appuyant sur nos deux premières observations car il ne semble pas avoir eu conn
e poussée syphilitique. Violences et colères durant la grossesse. - PremIers signes d'idiotie à 3 mots. - Début de la parole
cris, depuis la naissance. L'état physique était satisfai- saint. - Première dent vers un an : dentition complète il Début d
colonne vertébrale ; elle courait très bien, « comme un lapin ». Premières convulsions à 8 mois : flexion prononcée de la
est aperçue que son enfant était anormal et signale elle-même les premiers signes de l'idiotie, indices d'un arrêt de déve
trisation au bout de trois mois. - Convulsions s ` durant les neufs premiers mois de la vie. - Athrepsie. - Premières dents
ions s ` durant les neufs premiers mois de la vie. - Athrepsie. - Premières dents vers six mois, début de la marche à 4 ans :
côté gauche plus faible que l'autre. - Gâtisme, accès de colère. - Première craniectomie en novembre 1892, à droite : dimin
mal » après chaque repas. Cet état, qui persista pendant les quatre premiers mois de la grossesse, s'accompagnait de vomisse
s fort que l'autre. L'enfant n'avait jamais été propre jusqu'à la première craniectomie (novembre 1892). Le sommeil était
n où siégeait la lésion attribuée au forceps. (Fig. 6). Après cette première opération, l'enfant serait devenu, dit- on, plu
de consanguinité. - Inégalité d'âge de 4 ans (mère plus âgée.) J Première dent à 6 mois ; dentition complète à 15-18 mois.
a moindre asphyxie. - Nourri au sein par sa mère jusqu'à 20 mois. - Première dent à 6 mois; dentition complète de 15 à 18 mo
à 18 mois. - Début de la parole à 18 mois, de la marche à un an. Premières et uniques convulsions à un an ; elles ont com-
le lobe quadrilatère, le lohe temporal, le tiers-antérieur de la première frontale. - Le ventricule latéral est notablement
naissance, fontanelle antérieure très large. - Hernie ombilicale. - Premières dents à mois. -tel deux ans chute sur la face,
et en retard. - Encore malpropre à l'entrée. - Ne marche pas seule. Premiers mots à 2 ans. - Affectivité nulle. 1894. Prol
cement ont fait éruption en avant ou en arrière de l'alignement des premières . Les dents permanentes sont de volume et de con
nos trois malades et sur leur état d'obésité. Voici le résumé, au premier point de vue, de leur histoire. Ons. I. - Idiot
a crié de suite. Élevée au sein par sa mère, sevrée iL treize mois, première dent à six mois, dentition complète à vingt-hui
upportable, on est même obligé de l'isoler il plusieurs reprises. Premières règles, le 9 mai, assez abondantes ; durée quatre
etite gymnastique. Elle écrit sans faute et sous la dictée les cent premiers nombres, fait des additions sans retenue; son é
éniquée à la dose de ? ' ? - (Pas de renseignements). En prenant sa première injection, le malade a senti une sensation de f
s fréquentes de 18 mois à 2 ans. - Peur à -13 ans. - Six mois après premier accès (août 1884). - Accès de plus en plus rapp
'âge de 19 an* (mère plus âgée.) Peur à la fin de la grossesse. - Première dent et parole sa un an. Marche a 18 mois. - Gâ
con- sanguinité. Inégalité d'âge de 9 ans. Grossesse tourmentée. Premières convulsions à 3 mois, revenues à diverses repri
Lel... 232 Thérapeutique. tées des mots usuels, connaît les trois premières règles, réussit les problèmes qui reposent sur
es. Planche I. Face convexe de l'hémisphère droit. 1 F2, P : I, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
e. L.P.S., lobule pariétal supérieur. L.O., lobe occipital. Tl, première temporale. S.S., scissure de Sylvius. Les chi
S planches. Planche II. Face interne de L'hémisphère droit. 1 , première frontale. L.P., lobule paracentral. L.Q., lob
Planche III. Face convexe de l'hémisphère gauche. FI, F2, 1 ? 1, première , deuxième, troisième circonvolutions frontales.
planches. PLANCHE IV. Face interne de l'hémisphère gauche. F1, première circonvolution frontale. L.P., lobe paracentral
céphalie : Face convexe de l'hémisphère droit (p. 122). Fi, F2, F3, première , deuxième, troisième circonvolutions frontales.
pli pariétal supérieur. P.I., pli pariétal inférieur. T2, T2, T3, première , deuxième, troisième circonvolutions temporales
S planches. Planche VI. Face interne de l'hémisphère droit. F', première frontale. L.P., lobe paracentral. L.C.,lobe c
: face convexe de l'hémisphère cl1'02t. (p. '156). Fez, F3, F3., première , deuxième, troisième circonvolutions frontales.
inférieur. P.C., pli courbe. L.O., lobe occipital. T1) T2, T3., première , deuxième, troisième circonvolutions temporales
. 1 ? .. ; Tracé n° 3 : GANGL. 14 ans 1/2. t TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Section I : Bicêtre. I. Situation du s
20 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
e. MÉMOIRE SUR LES PLIS CÉRÉBRAUX DE L'HOMME ET DES PRIMÂTES. PREMIÈRE PARTIE. § Ier L'importance des couches cortic
nstration de son hypothèse. Aussi, par une sorte de contradiction, au premier abord inexplicable, l'étude des circonvolutions,
tous ces cerveaux avec des ressemblances si évidentes, qu'il est, au premier abord, impossible de n'en être point frappé. Si
s le cerveau quatre ordres de circonvolutions. a. Circonvolution du premier ordre. — Cette circonvolution répond, en partie,
orale, se terminer en dehors de la tubérosité de la circonvolution du premier ordre sur la marge postérieure du quadrilatère pe
u troisième ordre. Elles sont intermédiaires à la circonvolution du premier ordre et aux deux circonvolutions du second. Elle
e toutes, et n'ont aucune connexion directe avec la circonvolution du premier ordre; c'est là leur caractère essentiel. Trois
ils se continuent, en effet, les uns dans les autres, en sorte qu'au premier abord leur distinction peut paraître artificielle
admettre quatre plis de passage que nous désignerons par les noms de premier , second, troisième et quatrième plis de passage,
ont été confirmées. C'est donc avec confiance que je reproduis ici ma première description. Dans son ensemble, le cerveau des
e supérieur est moins développé, tandis que l'extrémité supérieure du premier pli ascendant se dilate et s'évase plus encore qu
de multiplier les mesures ; celles-ci parlent assez : d'ailleurs, au premier aspect, le cerveau de VOrang est évidemment plus
ussi les mesures que je donne ici n'ont-elles pas toute la valeur des premières . Longueur totale......i 07 millimètres. Large
e la forme particulière du crâne des Gorilles, forme qui rappelle, au premier abord, bien que sous des proportions plus massive
esse et la complication générale des plis secondaires distinguent, au premier abord, ce cerveau de celui de tous les Primates.
er fait doit être remarqué; c'est la position reculée de la racine du premier pli ascendant (pl. I, fig. 1 et 2, 4. 4. 4.). Ce
eux ou trois plis larges et flexueux qui se jettent dans le sommet du premier pli ascendant 3'. 3'. 3'. Il serait impossible
us scrupuleuse; leur extrémité postérieure se jette dans le sommet du premier pli ascendant et se confond avec lui ; ils sont c
gulière, se termine enfin, au-dessous du précédent, dans le sommet du premier pli ascendant. Ces deux plis sont séparés par une
ment dans l'étage supérieur. présentent une symétrie remarquable au premier abord; c'est qu'en effet, suivant les belles obse
nt être symétriquement opposés ; 3° Enfin, de même que le sommet du premier pli ascendant est uni intimement aux plis de l'ét
fliculté que l'existence de ce pli fait surgir, et qui embarrasse, au premier abord, la marche des comparaisons. Jetons maint
té communiqué par l'élève interne de ce service. Ce cerveau était, au premier abord, remarquable par l'atrophie des lobes posté
cette dégradation typique, étant beaucoup idéale que réelle, peut, au premier abord, n'être point aperçue. Dans les Singes am
té relative, se trouve, pour ainsi dire, anobli dans les Sapajous des premiers genres , ou sorte que, tout en conservant les car
on générale des plis à la surface du cerveau, nous serons frappés, au premier abord, de la richesse de ces plis sur la moitié p
antérieure. Cette différence établit un contraste si frappant, qu'au premier abord le lobe antérieur paraît absolument lisse.
du Saï. On voit alors que la scissure qui sépare le lobe frontal du premier pli ascendant est située très-près de l'extrémité
reculé; il répond au sommet de la scissure de Sylvius. L'épaisseur du premier pli ascendant est donc énorme ; elle est presque
ues A" par la réduction du lobe frontal; 2° par l'épaisseur énorme du premier pli ascendant ; 3° par l'anéantissement presque c
lles parties doivent être tirées les caractéristiques essentielles du premier groupe. Je suppose qu'elles seront fournies parle
ntielles du premier groupe. Je suppose qu'elles seront fournies parle premier pli ascendant, par le sommet de la scissure de
pelle assez bien la disposition des plis antérieurs dans les Cèbes du premier groupe. Mais au delà les différences commencent
iffère à tel point de celui des Sais, qu'il serait bien difficile, au premier abord, de les grouper dans la même catégorie. P
interne de l'hémisphère ne présente, non plus, rien de particulier au premier abord. Yu par sa face supérieure, le cerveau est
En effet, ce pli existe à la fois dans les Pithèques et les Cèbes du premier groupe; il manque à la fois dans les Pithèques et
soient aussi peu tranchées. N'est-il pas surprenant, en effet, qu'au premier abord le cerveau du Sajou diffère moins du cervea
ement de ces plis. 3* Parmi ces groupes il en est dans lesquels, du premier animal au dernier, s'opère une dégradation éviden
ance commune. Ainsi, en effaçant par la pensée les plis cérébraux des premières , on retrouverait, au terme de ces réductions, le
llons et les plis que le type commande on reproduirait le cerveau des premières . Donc, de ce qu'un animal a des plis cérébraux,
ractérisé malgré l'absence complète de plis à sa surface, inspire, au premier abord, la pensée d'une correspondance possible av
eloppement histologique ; 2° le développement de la forme générale ou première ; 3° le développement des formes accessoires sura
remière série, à l'exception de VOrang-Outang, chez lequel la base du premier pli ascendant a une prédominance marquée. Cette p
atteint, dans VOrang, le volume le plus grand parmi les Singes de ce premier groupe. Macaques. — Petit dans le Rhésus, un pe
la voit diminuer dans le cerveau humain. A l'inverse des Singes du premier groupe, on la voit décroître en passant des Macaq
-dire dans les Atèles et les Lagotriches; en sorte qu'on pourrait, au premier abord, supposer que la longueur de ce lobe est, a
maine. La même gradation est observée dans les Singes américains du premier groupe. Ainsi voyons-nous décroître le lobe occip
21 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
ixité du regard, pression des globes oculaires. C'est également à ces premières recherches faites au laboratoire de M. Charcot à
ue donnent les auteurs de l'attaque d'hystérie vulgaire termine cette première partie et montre les connexions intimes qui exist
richesses de sa bibliothèque. ÉTUDES sur L'HYSTÉRO-ÉPILEPSIE PREMIÈRE PARTIE DELA GRANDE ATTAQUE HYSTÉRIQUE COMPLÈTE
TIE DELA GRANDE ATTAQUE HYSTÉRIQUE COMPLÈTE ET RÉGULIÈRE CHAPITRE PREMIER PRODROMES L'attaque d'hystéro-épilepsie, ou g
dant qu'elle était à Sainte-Anne, où elle est restée pendant les deux premières années de sa maladie, elle n'a jamais voulu s'en
sont lâches, peuvent être pinces et soulevés sans douleur; — c. cette première exploration montre que le siège de la douleur n'e
nous avons provoqué des irradia-tions douloureuses vers l'épigastre ( premier nœud de l'aura, dans le langage de M. Piorry), co
stérogènes, et le résultat obtenu ne saurait changer. CHAPITRE II PREMIÈRE PÉRIODE. — PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Une attaque comp
28 juin 1870, Suzanne N..., hystéro-épileptique, tombe en attaque aux premiers coups de tonnerre d'un violent orage qui se décla
La perte de connaissance est complète pendant toute la durée de cette première période de l'attaque, et nous avons entre les mai
au niveau de la figure, et le membre tout en-tier reprend sa position première , étendu le long du corps, en accusant le mouvemen
successivement devant la figure. Le poignet est fléchi, et les trois premiers doigts de la main, pouce, index et médius, sont é
La période épileptoïde n'a guère de durée constante que dans ses deux premières phases : tonisme et clonisme. La phase de stertor
la période épileptoïde, il n'en est pas de même relativement aux deux premières phases, qui, lorsqu'elles sont complètes, ont sou
ns pu ob-server qu'un seul tour suffisait pour l'inscription des deux premières phases. Un chronographe marquant les secondes nou
faisant une espèce de moulinet. Les poings sont fermés, ou les trois premiers doigts étendus. Les jambes se fléchissent et s'ét
litude en même temps que les membres quittent peu à peu leur position première pour descendre vers la résolution. Les mouvements
seules toute la phase épileptoïde. Il arrive parfois, que les deux premières phases de la période épileptoïde, phase tonique,
de la deuxième période marquée par les mouvements les plus variés. Première période. — Tétanisme généralisé suivi de convulsi
font évanouir le rêve et ramènent la malade à la réalité : c'est, en première ligne, l'excitation des zones hystérogènes et par
... non, je ne vous céderai pas... d'abord je ne pourrai pas faire ma première communion... Oui, je crierai!... Oui, je crierai!
'enfance de la malade, se reproduisent pendant ses attaques, comme au premier jour, avec une vivacité que le temps n'a pu attén
es dans leurs intervalles. Ces impressions nou-velles se joignent aux premières pour augmenter la durée et la variété des halluci
aux influences les plus profondes l111, le plus souvent, tiennent aux premières émotions. Nous avons eu maintes fois l'occasion d
éjà compté dix-neuf attaques. Les attaques sont composées des trois premières périodes. Voici comment se déroule l'attaque dont
a, troisième période manque, comme dans l'attaquen° II. Après cette première série commence immédiatement une se-conde série,
tracée, et quelle part, dans l'espèce, doit revenir à l'imitation. PREMIÈRE OBSERVATION. Suzanne N..., âgée de dix-neuf ans
u-velle attaque qui ne tarde pas à éclater. VI. — 10 heures 38. a). Première période comme précédemment. b). Contorsions, cr
ot à la Salpêtrière. Petite, brune, constitution peu robuste. A eu sa première at-taque hystéro-épileptique à dix-huit ans. Elle
ois périodes habituelles, avec les parti-cularités suivantes : l°La première période n'est qu'esquissée. Au début de l'attaque
— 10 h. 43. Nouvelle attaque aussitôt qu'on cesse la compression. a). Première période semblable aux précédentes. b). Deuxième
uin 1879 dans le service de M. Charcot à la Salpêtrière. Elle a eu sa première attaque à douze ans. Elle est hémianesthésique à
10 h. 17 m. 30 s. Nouvelle attaque qui présente les trois périodes. Première période très marquée. La malade se raidit en fais
nous avons basé notre description de la grande attaque hystérique. PREMIÈRE OBSERVATION1. Contracture de la jambe gauche. H
ce de milieu intellectuel, la reconstituent rapidement. A la fin du premier mois, elle est améliorée sous tous les rapports.
ès intense. Rien du côté du cœur, ni des organes génitaux. Les deux premières périodes sont ici facilement reconnaissables. La
eparaissait, les convulsions étaient bien plus tôt terminées. Notre première idée qui avait été aussi celle du docteur Brongni
dît con-naissance. Survenait alors un' peu d'écume à la bouche. Cette première période durait de deux à trois minutes. Ensuite a
té dans les trois mois suivants : contractions toniques et cloniques ( première période?), crises qui occupaient autour d'elle di
t à sauter comme un ver, puis il ne tarda pas à reprendre la position première qu'il conserva pendant sept à huit minutes. On me
erre, afin que, dans ses contorsions, lorsqu'à la forme cataleptique ( première période) succédera le désordre des mouvements (de
mouvements toniques. La durée en est à peine d'une minute. A cette première phase de l'attaque succède, sans transition aucun
la malade perd connaissance. L'attaque commence (dé-cembre 1878) : Première période. — La malade reste dans la position où el
fatigue. C'est là souvent le prélude de l'attaque (janvier 1878). Première période. — Celle-ci s'annonce par des mouvements
t en raison de l'insuffisance des relations qui en ont été l'objet. PREMIÈRE OBSERVATION l. L'observation que je vais décrir
es règles cessèrent plutôt qu'à l'or-dinaire. Quelques jours après, première attaque d'une sorte de syncope, avec pâ-leur du v
près, sa santé avait toujours été bonne jusqu'à douze ans, époque du premier accès épileptique, occasionné, dit-elle, par la p
! je suis malade; » puis elle tombe si elle est debout. Pendant cette première période de l'attaque qui s'accompagne de boule hy
aussitôt les yeux... Les attaques ne se composent ici que des deux premières pé-riodes, qui présentent leurs principaux caract
es étaient à peine marqués de l'autre côté du corps. Mon impression première fut,je dois V avouer, que j'avais devant les yeux
o-mènes somnambuliques et cataleptiques s'y sont surajoutés. Les deux premières périodes ont toujours conservé les mêmes carac-tè
, mais elle avait été chloro-tique et était très nerveuse. C'était sa première attaque. Deux jours après son entrée, on la vit s
même temps hystériques et épileptiques... » La distinction des deux premières périodes (période épilep-toïde et période de clow
es aperçoivent sans cesse, pendant la crise, l'objet qui a causé leur première frayeur; les autres accu-sent les sensations les
use du désordre qu'elles pré-sentent. Les membres, un instant raidis ( première période), se tordent con-vulsivement, se projette
avec visions de choses effrayantes. Une jeune fille, qui avait eu sa première attaque immédiatement après avoir été violée, voy
même titre que les accidents convulsifs variés qui composent les deux premières périodes. Les observations d'hallucinations dan
crut voir un fantôme, et immé-diatement elle tomba en convulsions. Ce premier accès dura pendant quarante huit heures, pendant
gles. Elle en fut si effrayée, qu'elle perdit connaissance et eut son premier accès d'hystérie. Cette jeune fille présente ceci
lepsie se sont contentés d'exposer les phénomènes qui composent notre première période. Témoin la description qu'en donne Brique
l n'est pas rare de voir l'attaque hystéro-épileptiquc se borner à sa première période. La période épileptoïde évolue comme nous
leurs lortlllemcnls et que M. Charcot a qualifiées de démoniaques. Première Période. — Dans ces sortes d'attaques, la période
tude à peu près constante, le poignet est fléchi fortement, les trois premiers doigts, pouce, index et médius, étendus et écarté
de hoquet, puis un balancement latéral de la tète et du cou; dans ce premier temps, le corps était penché, la partie antérieur
le 23 jinvier suivant; elle logea clipz moi. Elle n'eut, depuis son premier accident jusqu'à ce jour, aucun accès va-poreux.
on cotfre, elle en sort tous ses habits et ne veut plus les y metire. Première apparition des règles sans changement notable.
ui persiste, comme effet direct de l'action de l'éther. (( Lors des premières expériences tentées sur les inhalations d'éther,
ébut. Los bras tombent deux fois de suite et reprennent leur position première . Nous voulons, à ce momcid, examiner le fond de l
. » Repos; les bras sont croisés. 1. Gl... est ici désignée parla première lettre de son nom de baptême. (c Toi qui aimes
it ans. Les couches ont été bonnes; cependant, dans le cours de cette première grossesse, elle avait eu les jambes enflées et un
e gauche. Mère, quatre sœurs et deux frères bien portants. Dans ses premières années, S... « se trouvait souvent mal; couchée s
es accidents nerveux semblables à ceux dont nous venons de parler. Ce premier accès dura deux mois environ. Un second survint d
tante; la durée de ces deux accès fut à peu près la même que celle du premier . Ces jours passés. S... se trouvant dans un wag
e retrouver l'unité d'une loi. Dans des études de ce genre, il est de première importance pour l'obser-vateur de déterminer avec
turel, les différents états ner-veux qu'ils servent à caractériser. PREMIÈRE SÉRIE D'ORSERVATiONS ^ PREMIÈRE ORSERVATION. —
ux qu'ils servent à caractériser. PREMIÈRE SÉRIE D'ORSERVATiONS ^ PREMIÈRE ORSERVATION. — INFLUENCE DE LA LUMIÈRE SUR LA PRO
la physionomie. Les traits reflètent l'expression du geste. t. CeUe première série d'observations date de l'année 1878, et la
absolue. Tel est ce qu'on pourrait appeler le canis hystérique, ou première phase de la léthargie provoquée. Mais la malade
lle que peut leur imprimer la contracture provoquée : canw ou sommet/( première phase), som-nambulisme (deuxième phase.) Pendan
hénar et hypothénar ont pu être excités séparément. L'excitation du premier interosseux dorsal a toujours amené l'extension d
ent de la contracture sous 1. Nous avons pu nous assurer depuis ces premières expériences que le retour à la catalepsie n'était
rapidement aux regards de la malade, l'œil reprend aussitôt sa fixité première et l'état cata-leptique général revient avec tous
état cataleptique se borne aux phénomènes indiqués dans l'observation première . Quel que soit le procédé qui l'ait fait naître,
t. Nous savons que dans l'état léthargique avec hyperexcitabilité, ou premier sommeil, Car... est fort mauvaise somnambule, ell
ôme temps que le côté gauche du corps, le cerveau droit est revenu au premier tommeil. En elfet, si ce cliangemenl survenu dans
s que le côté droit du corps, c'est le cerveau gauche qui retourne au premier sommeil. En ce cas, bien que tout le côté gauche
n sommeil d'un autre genre que celui que nous avons étudié dans notre première expérience. II en différait encore par ceci, que
a sensibilité était revenue sur toute la surface du corps. 7) Cette première observation terminée, nous remîmes la malade en e
t précédées de phénomènes convulsifs, pouvant être rapportés aux deux premières périodes de la grande attaque. Elles ont, avec
à M. le professeur Gharcot par le D' Alexandre de Livry (Belgique). première lettre Monsieur le professeur, Je prends la l
églée à treize ans, et régulièrement jusqu'à dix-huit ans. En 1838, première attaque d'hystérie. Huit mois après, deuxième a
ayait de prendre les premiers jours. Quinze jours après son entrée, première attaque; elle fut convulsive, se répéta assez fré
sions hystériques presque tous les jours en 1839; 18 sep-tembre 1852, premier accès de catalepsie. La catalepsie revient tous
physionomie spéciale de la 3° période. Description de l'attaque. Première période. — Début par les grands mouvements cloniq
nt de l'autre. Le bruit du gong demeure sans effet pendant les deux premières périodes de l'attaque, pendant la troisième, il m
mbres sont le siège d'un état cataleptique dont l'intensité varie. Au premier degré, les membres sont souples et conservent les
où elle eut un accès de catalepsie pour la première fois. Les cinq premiers accès passèrent inaperçus mais, au sixième accès,
système musculaire s'est toujours montré tel que l'avaient décrit Ie premiers observateurs, c'est-à-dire dans une sorte d'inert
quilibre stable, cédaient au moindre choc qui les déran-geait de leur première position. Agissait-on sur les extenseurs toujours
ans transition. Il semble qne le second état dérive naturelle-ment du premier . L'hallucination qui préside à l'une, l'idée fixe
ne attaque d'hystérie observée par leD' Billet, et composée des trois premières périodes. La même malade vit, dans la suite, ses
tères de la catalepsie et du somnambulisme. La persistance des deux premières périodes, qui se montrèrent toujours bien distinc
épileptiques, tantôt hys-tériques, répondent parfaitement à nos deux premières périodes. Dans la seconde apparaît le délire somn
ée immédiatement dans un état d'hystéricisme, et le lendemain dans sa première attaque de nerfs. Elle avait pleuré toute la jour
, et c'est le soir qu'elle tomba subi-tement sans connaissance. Cette première attaque paraît avoir duré plusieurs jours; les su
au 25 juillet, fièvre typhoïde de l'enfant. Janvier, février 1851. — Premiers symptômes nerveux.—Modification du caractère, tri
n grand cri, et avait une petite attaque convulsive. Au dé-but de son premier sommeil, il y avait un léger raidissement du corp
ne peut les entr'ouvrir. Les lèvres, que l'on écarte, reprennent leur première position. 1. Hystéricisme et hrjstérie, du somm
mbinaison si l'on se rappelle les connexions qui existent entre notre première variété de léthargie et la catalepsie. La malade
de celle-ci le précurseur et, dans certains cas même, la condition première de celui-là, se trouvent parfaitement signalées d
ans un puits, et l'on me ramena dans la pièce que j'avais quittée. Ma première parole fut celle-ci : suis-je sotte! je prends ce
ns l'autre ce qui se rapporte aux troubles de la motilité. CHAPITRE PREMIER QUELQUES FAITS RELATIFS A l'ANESTHÉSIE HYSTÉRIQ
onné le D'' Vigouroux dans VAnnée médicale de 1879. Le récit de cette première expérience lui est emprunté iiUégralement. lieu
s consécutives. Que l'aimant soit maintenu ou non dans la situation première , bientôt la notion des diverses couleurs disparaî
aune. La notion du rouge persiste. Voici la malade revenue à l'état premier ; mais les choses n'en restent pas là, et les osc
rgane de la vision, mais bien dans les centres cérébraux eux-mêmes^ Première expérience. — Nous plaçons devant une de nos mala
ulsion même atténuées. On la rencontre souvent chez les enfants comme première mani-festation d'une hystérie qui s'en tiendra to
OSTIC, LE PRONOSTIC ET LE TRAITEMENT DE LA GRANDE HYSTERIE CHAPITRE PREMIER DIAGNOSTIC ET PRONOSTIC Ce chapitre sera divi
-port des forces physiques, les malades sont au dernier jour comme au premier . Il en est de môme de l'état mental qui demeure t
itton, âgée de /iS ans, entrée à l'hospice de la Salpêlrière en 1860; premier accès d'épilepsie à 15 ans ij"!. Elle était fort
ns 1/2 elle est prise d'étourdissements tous les deux ou trois jours. Premier accès convulsif à 16 ans 1/2. Les accès deviennen
. L'enlever du milieu qui a vu naître et se développer la maladie. Ce premier point peut être obtenu facilement en envoyant le
u temps et de l'expérience une sanction définitive, mais qui, par ses premiers résultats, d'accord avecles inductions légitimes
e possible, désirant laisser aux faits eux-mêmes toute leur valeur. PREMIÈRE SECTION chorée épidémique du moyen age. — chore
Ce mal se glissa comme une peste en plusieurs autresnon-nains. Cette première séquestrée s'abandonna à celui qui la gardait et
uleur. L'une d'entre elles, Anne Langon, qui avait été atteinte des premières , souffrait dans Vhypocondre gauche. Tous ces ac
ent par tout son corps, comme si, de bref, elle eût dû retomber en ce premier état. » (Gou-lard, loc. cit.) L'heureuse influe
on, Eusède de Saint-Michel, Pierre-Thomas de Saint-Charles 2. » Ces premiers symptômes de perturbation nerveuse se montraient
ur nous, nous ne saurions accorder plus de créance à ces dires qu'aux premières accusations lancées contre Grandier. La maladie d
roublée, fit quelques frémissements, qui marquaient la pré-î sence du premier des quatre démons qvu la possédaient, nommé Asmod
it adoré, le démon, après avoir fait beaucoup de difficulté, obéit au premier » de ces commandements, mais qu'il refusa d'obéir
seur d'une feuille de » papier : mais que l'exorciste réitérant ses premières défenses l'en empêcha tou-» jours : que le démon
ne foi au-dessus de tout soupçon. Je consignerai ici le récit de sa première entrevue avec les religieuses. On y trouve une sc
1879 Rouen, p. 24) eusses bien mieux fait, chieu, de demeurer enta première condition que Dieu t'avait donnée, sans changer t
soumet à leur examen cinq des fdles prétendues possédées. Les deux premières qui paraissent d'abord absoluutent saines d'espri
entièrement libres et maîtresses de soi; ils considérèrent ces trois premières sépa-rément pour prendre une plus exacte connaiss
rit à parler de sa petite Madeleine, sa bonne amie, sa mignonne et sa première maîtresse, et de là se lança dans un panneau de v
on et placés au-dessus des remèdes naturels. Dans l'histoire de ces premières malades, il est facile de reconnaître les signes
érie. Perronne T..., âgée de dix ans, devait faire prochainement sa première com-inmiion, elle ne parlait que de son bonheur;
ndre à l'Eglise. Les crises ne débutèrent plus, comme chez les deux premiers enfants, par un état extatique; mais, comme eWes,
et leurs défenseurs ont donné de leur authenticité 2. » Pendant cette première période il n'est aucunement question de convulsio
sur le marbre même du tombeau on peut retrouver les signes des deux premières périodes de l'attaque de grande hystérie. « Sur
... à peine un quart d'heure de silence et de calme a succédé à ses premières émotions, que les yeux égarés de la mourante tomb
fort pour ap-procher du tombeau, ce que je n'avais pu faire depuis ma première neuvaine, à cause de la grande foule. Je me pench
n étaient atteintes. Après avoir dit que les convulsions avaient au premier abord un extérieur bien ed'rayant, il ajoute :
raits suivants que j'em-prunte à Caimeil : « Une convulsionnaire du premier rang tient de très beaux discours dans une langue
léthargie avec perte de connaissance rappelant une des variétés delà première période ou période épileptoïde de la grande attaq
yhboiirhood, Lythcricv. Samuel J. Moore. Ballymena 1859. 3. Une des premières conditions requises chez les pénitents pour voir
ance pour les déplacer, et ils reprennent immédiatement leur position première . .... Les fonctions des sens sont suspendues. E
introduction..............................-........................ PREMIÈRE PARTIE de la ciiande attaqle hystérique complèt
E de la ciiande attaqle hystérique complète et régulière Chapitre premier . — Prodromes.................................• •
gènes.............................................. «^^ Chap. II. — Première période. — Période épileptoïde..................
pa/.es V a li i e t é s i)e la grande attaque hystérique. Chai'Itue premier . — Variété par modification de la première périod
......... 360 P l\ K M I K I\ !•; S É lU E D'ODS E B V A TI 0 N S Première observation. — Intluencc delà kunière sur la prod
......,........ 381 lEUXlf;MK SÉHIE 1) ' 0 1! S F. H V A ï Kl \ S Première observation. — Etat des sens pendant la catalepsi
OMES PERMA-NENTS DE L'HYSTÉRO-ÉPILEPSIE OU GRANDE HYSTÉRIE Chapitre premier . — Quelques faits relatifs à l'anesthésie hystéri
OSTIC, LE PRONOSTIC ET LE TRAITEMENT DE LA GRANDE HYSTÉRIE Chapitre premier . — Diagnostic et pronostic.......................
x.............................. 005 APPENDICE NOTES HISTORIQUES Première section. — Choree épidémique du moyen âge. — Chor
u de : Pathologie de Reuin; lisez : pathologie de Requin. Page 303, premier mot du titre. — Au lieu de : Vriétés; lisez .• Va
22 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
t BABE L'DIIAIIIES-ÉDITEURS Place de l'Écolo-de-Médecine 1888 PREMIÈRE PARTIE Historique. - Statistique. La nouvelle
Fig. 5. - Ce; solides ont pour but u'aprr ? l1L\coJ aux enf.iius : en premier lien, 1\ reconnaître les cônes, cylindres, pyra
mars, et deux en juin. A la fin du mois de mars, s'est produit un premier cas de rougeole, qui a été le point de départ t
r 'tous, tant à l'école qu'à l'atelier, la série du matin/dàhs'Ih première semaitle dum.tlis, devient la série du soir duran
en 1885 et en 1 SSG ; la moyenne s'est élevée à 48 dans les quatre premiers mois de 1887. Le 26 mai, au moment où le direct
' L'assistance de ces enfants remonte déjà loin. En effet, dès les premiers temps de l'Hôpital général, dont Bicêtre et la Sa
ne sai- gnée. Le malade succomba cinq heures après l'invasion des premiers accidents, et ne fut pas observé pendant les deux
ne. Nous cite- rons encore, parmi les observations parues dans la première moitié de notre siècle, c'est-à-dire durant une
de traumatisme, pas d'alcoolisme (lors de la première grossesse du premier lit, elle avait sou- vent envie de boire du cog
- Julep avec 0 gr. 0'a centigr. de nitrate de pilocarpine. 4 Cette première partie de l'observation a déjà paru sous le titre
cètre. Le 4 octobre suivant, c'est-à-dire plus d'un mois après la première lettre à M. Demôle, et huit jours après une nouve
frère, convulsions et affaiblissement paralytique du côté droit. Premières convulsions à dix mois. - Convulsions à chaque
à chaque poussée dentaire jusqu'à quatre ans. - Peur à onze ans ; premiers accès huit jours plus tard; convulsions limitées
ait enceinte de quatre mois et demi) : « Il a tété sur l'autre. » - Première dent à quatre mois, il en avait trois à huit mo
mois il était comme les autres enfants ; c'est alors qu'il eut ses premières convulsions internes, dit-on, lors de l'éruption
rs peureux, sans éprouver aucun phénomène nerveux pré- curseur du premier accès. Celui-ci eut lieu trois semaines après,
e remit à parler après quelques instants. - Trois jours après cette première course, se trouvant à la barrière de Montreuil,
met à courir jusqu'au coin de la grille, puis entre celle-ci et la première rangée d'arbres (30 mètres environ) ; arrivé au c
nviron) ; arrivé au cin- quième arbre, il se retourne et revient au premier en cou- rant ; ; là il est saisi et maintenu pa
ire avec tapotement du talon gauche. Réflexions. - Vall... a eu son premier accès trois semaines après une émotion vive occ
pied gauche a eu une influence sur le nombre des accès , quoique à première vue ceux-ci aient été moins fréquents en novemb
l'époque de sa sortie du chemin de fer (dix-huit ans), il a eu ses premiers accès, il tombait comme une masse, était roide,
uit mois,. - parole et marche tardives; - rougeole; - ophthalmie. - Premier accès ci dix-sept ans; - vertiges; - aura procu
ssance. Elevé en nourrice au sein et au biberon (lait de chèvre). - Première dent à cinq mois. A dix-huit mois, étant encore
ait; il n'a jamais été intelligent. C'est à trois ans qu'il eut son premier accès convulsif : tout d'un coup il quitta la m
moins long et que fréquemment l'aura n'est signalée que lors des premiers accès. IV. Epilepsie POST-PROCUIiSIVE. Les ph
ncle maternel, imbécile. Vertiges procursifs à trois ans et demi. - Premier accès à huit ans. - Accès suivis de course. - C
sphères cérébelleux égaux. Hémisphère gauche, face convexe. - La- première circonvolu- tion frontale sinueuse, double en a
é. Neuf enfants. - De son mari, une fille. - De son amant les six premiers enfants sont morts jeunes à la suite de con- vu
paternelle morte d'apo- plexie. - Grand-père maternel alcoolique. - Premier accès ci onze ans précédé de vomissements alime
Le second accès est venu un mois après le premier. Durant les six premiers mois, il a eu un accès mensuel et chaque fois l
cès de deux en deux mois ; il suivait alors le catéchisme pour sa première communion, ce qui fait que sa mère attribue cette
rie, il avait eu 3 accès et était sans connaissance. Il a eu son premier accès à l'infirmerie à 10 heures; à partir de là,
se ter- minant à 2 millim. de la scissure interhémisphérique. -La première circonvolution frontale très sinueuse, fortement
ption par viol. - Grande différence d'âge entre les père et mère. - Premières convulsions ci six mois. - De quinze mois ci qu
onvulsions ci six mois. - De quinze mois ci quatre ans, vertiges. - Premier accès à sept anus. - .Débilité mentale. - Idées
n frère, une soeur, une cousine germaine, morts de convulsions. ' Premières convulsions à six semaines portant exclusivement
et prédominant au bras. - Vertiges (deux ans et demi à six ans). - Premiers accès ti six ans. - Onanisme. - Hémiplégie droi
ernelle phthisique. - Soeur, morte de convulsions. - Gémellarité. Premières convulsions ci treize mois. - Début des accès à v
t<t ? Cousin germain idiot. - Frères, morts de con- vulsions. - Premiers accès à douze ans. Aura nasale. - Au- tomatisme
cle paternel. - Un petit-cousin paternel, imbécile. - Alcoolisme. - Premier accès à vingt-neuf ans.- Vertiges. - Aura média
t de convulsions. Autre frère, convulsions et tumeurs blanches. - Première dent ci sept mois; parole ci un cacz, marche à qu
ugeole à quatre azs.-Accidcnts cérébraux ci deux ans. - Scarlatine, premier accès à dix ans. - Accès surtout noc- turnes. -
nt très dilatées, les pupilles sont nor- males. Le malade eut son premier accès, il y a cinq ans, sans cause connue. Sans
qui est bien conformée. Face interne. Lobe tcmporo-occipital. - Les première et deuxième circonvolutions temporo-occipitales
e temporo-occipitale. Face interne. - Lobe temporo-occipital. - Les première et deuxième circonvolutions lentporo-occipitale
des pre- ' Nous ferons remarquer que Duch... a eu pendant les deux premières années de sa maladie des vertiges sans phénomèn
cérébraux qui ont duré deux mois, sans convulsions, ni paralysie. - Première dent à huit mois. Il a parlé a un an, n mat-
issure parallèle presque complète, se prolongejusque dans le lit du premier sillon occipital et envoie deux rameaux descend
es traces de méningo- encéphalite, mais moins prononcée que sur les première et deuxième frontales. - La frontale ascendante
ite disséminée; un pli de passage à niveau relie le pli courbe à la première circonvolution occipitale. Le lobe occipital est
t; la méningo-encéphalite y est peu accentuée. Lobe temporal. - Les première et deuxième temporales présen- tent des lésions
rophiés, à la troisième frontale; sur les parties anté- rieures des première et deuxième frontales, l'atrophie est beaucoup
ème deux plis de passage à niveau; sur la moitié antérieure de la première et sur toute la deuxième, on constate de la ménin
ssu scléreux par pla- ques dans la même région ne sont que les deux premiers degrés de l'altération. Sur d'autres points, en
paraissait un peu plus petit. C'est aussi lors de l'apparition des premiers phéno- mènes procursifs que l'on nota la diminu
t tremblement consécutif. - Parésie et tremblement du malade dès sa première enfance. - Placé en hospice à huit ans. - Diffi
. Deux soeurs mortes de méningite. Conception durant l'ivresse. - Premières convulsions prolongées à trois mois, secondes c
n, dix-sept ans, cordonnier ; a eu des convulsions internes dans la première enfance; puis, de trois à quatorze ans, des doule
é au sein par sa mère jusqu'à dix-hui mois. A trois ou quatre mois, premières convulsions; jusque-là il était fort et paraiss
âchoire inférieure, treize dents; manquent une molaire droite, deux premières molaires gauches, une molaire droite cariée. Ar
maman, merde, salope, couillon. n Il répèle devant nous, les trois premiers mots; nous voulons lui faire répéter les autres
sont très peu prononcés tandis qu'ils l'étaient notablement dans la première phase. La préhension de la cuillère exige les m
ns l'athétose double. Les troubles de la parole se ressemblent au premier abord. Toutefois, un examen attentif fait bient
maintenant de fixer avec une certitude suf- fisante pour fournir du premier coup au jugement et à l'instruc- tion du médeci
oportionnelle à leur nombre. Nous allons démontrer que sur les deux premiers points les opinions de l'auteur sont erronées e
I. DE LA TEMPÉRATURE DANS LES ACCÈS ISOLES D'ÉPILEPSIE. Dans nos premiers travaux sur la température des épilep- tiques (
état anatomique de l'appareil sexuel mâle chez les dégénérés. 197 PREMIER TABLEAU a 107 bi" , DEUXIÈME TABLEAU ? I . -
t entre eux que par leur âge, il suffit d'observer que ceux de la première ont dépassé l'âge normal de la puberté, si tous
st venue les surprendre dès leur jeune âge, quelquefois dans leur première année, et les a pour ainsi dire im- mobilisés,
t a eu des lypothymies plusieurs fois par semaine, durant les trois premiers mois. Pendant le siège, elle a eu beaucoup à so
par la vue d'une tortue, vers le second mois de la grossesse. La première fois, elle la vit barbotant dans le ruisseau; ell
a été sevrée à quatorze mois. Elle a marché à treize mois, a eu sa première dent à huit mois et ses vingt dents vers deux a
rencontre ce retard chez des enfants parfaitement normaux. Si la première dentition peut être précoce dans son apparition,
second patron l'avait accusé d'avoir fait une surlivraison dans sa première maison au profit de la personne qui lui avait p
l'ayant vu sauter, l'a suivi jusqu'à Montrouge et l'a signalé au premier sergent de ville qu'il a rencontré. Réintégré à
23 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
ECROSNIER ET BABÉ ÉDITEURS Place de l'Ecole de Médecine. 1890 PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1889
ire du service pendant l'année 1889. BOURNEVILLE,, Bicêtre, 1889. PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1888
Othe. Ces résultats font honneur à nos maîtres et en particulier au premier instituteur, M. BOUTILLIER (1). Nous avons mu
riser l'ouver- ture d'urgence à l'Exercice 1889. En utilisant cette première XXXVI RÉSISTANCE AU CONSEIL DE SURVEILLANCE.
du quartier des enfants idiots. Cette assertion peut paraître au premier abord paradoxale, et pourtant elle est exacte.
de ressources pour cons- truire les édifices et faire les frais de premier établisse- ment, c'est l'incertitude où elle se
rt de Saint-Denis; c'est là que, à la suite d'une sortie, il eut sa première attaque de rhu- matisme articulaire aigu. Exi
ois après, obéissant à ses goûts et non à ceux d'autrui, il prit sa première inscription à la Faculté de médecine de Berne.
s des années précédentes. )0 o THÉRAPEUTIQUE. Durant les quatre premiers mois du traitement, nous avions noté une diminu
7; on 1889, 34. Si l'on compare le nombre des accès durant les huit premiers mois de cette année, correspondant au traitemen
son avec crises nerveuses. - Tante et oncle : excès de bois- son. - Premier accès à 8 ans suivi d'hémiplégie gauche. - Peu
'antécédents névropathiques. - Pas de convulsions dans l'enfance. - Premier accès à 7 ans. - Amélioration légère. Bertr..
d'antécédents névropathiqzzes. - Une soeur morte de mé- ningite. - Premières convulsions à 8 mois à la suite d'une maladie (
u suivant : 4 THÉRAPEUTIQUE. BROMURE D OR. 25 OBSERVATION X Premier accès à 7 ans. - Vertiges peu fréquents. - Amé-
phyxie, nide circulaires du cordon. Nourri au sein par sa mère. Premières convulsions à 4 mois, générales, avec déviation
3 4 THÉRAPEUTIQUE. Frayeur occasionnée par son père qui le battait. Premiers accès à 10 ans à la la suite de coups. Aggravat
ns asphyxie. -On ne sait à quelle époque il a été propre et a eu sa première dent. Il a parlé et marché vers 15 mois. -Il n'
e d'une fièvre cérébrale. - Grand-père maternel mort paralytique. - Premières convulsions à 15 mois. - Accès à 5 ans. - Picro
VATION XX 47 i Bien dans la famille. Cousin germain hystérique. Première crise à 8 ans, puis 2 ou 3 accès par mois, puis
ptique. - Cousine morte de méningite. - Soeur morte de convulsions. Premières convulsions à 11 mois. - Picrotoxine. Vitr...
umer, dans un tableau, les observations qui ont servi de base à nos premiers travaux : 54 clinique. dans trois autres cas,
naissance, fontanelle antérieure très large. - Hernie ombilicale. - Premières dénis il sept mots/1. deux ans chute sur la fac
marché de bonne heure, sauf le quatrième, mais parlé assez tard». Première dent à sept mois, la deuxième à huit mois. On n
dent à sept mois, la deuxième à huit mois. On ne sait à quel âge sa première dentition a été complète. L'enfant a été propre
ents (incisives médianes supérieures) ont poussé iL huit mois. La première dentition, assure la mère, était complète à un an
ait beaucoup de cheveux et les ongles très longs. Pendant les six premiers mois, elle ressemblait à tous les autres enfants.
e con- serve encore, quoique à un moindre degré. Pendant les deux premières années, la tête penchait en divers sens, mais a
envie insurmontable de dormir, chute. - Asphyxie à ta naissance. - Premières convulsions a 14 mois. - Refroidissement et cya
quième semaine, tandis que le second enfant n'en a jamais présenté. Première dent à 13 mois. 11 aurait été bien portant jusq
oitié droite du corps à la naissance. - Influence du lait morphine. Premières convulsions internes à 5 mois, suivies de 12 à
n. - Grossesse : .' son état de fatigue a continué durant les trois premiers mois ; de temps en temps, douleurs de tête avec
fois vomissements, accidents qui se sont présentés au début de la première grossesse (OBSERV. VI). A la fin du troisième moi
re et du corps. ); Vers la fin du mois de mai, elle a eu, pour la première fois, des convulsions internes : elle se réveilla
e au début de sa paralysie générale à l'époque de la- conception. - Premières convulsions à huit mois. - Bron- chite. - Sympt
rente de celle des autres enfants. A huit mois, dans le cours de sa première bronchite, au bout de deux semaines, elle a eu
alors seulement qu'on a noté l'existence de la hernie ombilicale. Première dent à 17 mois; elle n'avait pas ses 20 dents à s
s bavé et la langue restait hors de la bouche. Coryzas fréquents. Première ophtalmie à 4 mois; depuis, elle en a eu souvent
nné un résumé des travaux de M. Horsley et de M. Schiff, dans notre premier mémoire. 108 . CLINIQUE. ces malades et leur
llèle à la surface des cironvolutions, le second perpendiculaire au premier . Dans le pre- mier plan, les couches sont étagé
blanche offre des lésions de désintégration. Sur le milieu de cette première frontale gauche, la substance blanche a le même
qui gagnent la subslance blanche, comprennent en général les trois premières couches de l'écorce. On les trouve dans la plup
re, mère nerveuse, quatre frères et soeurs mortes de convulsions. Premières convulsions à six mois, secondes à neuf; puis con
- Beno..., né le 3 mai 1873, mort le 12 février 1884. A quatre ans, premiers vertiges, accès d'épilepsie à cinq ans, gâtisme
ise est prise en nappe, toujours au même point, au niveau des trois premières couches et présente à ce niveau trois ordres de
ommé Maisonh., 1868-1885, hérédité alcoolique et nerveuse, a eu ses premières convulsions à deux ans. Elles étaient limitées
ons à deux ans. Elles étaient limitées au côté gauche. A douze ans, premières attaques d'épilepsie, elles avaient ce caractèr
tissu scléreux par plaques dans la même région ne sont que les deux premiers degrés de l'altération. Sur d'autres (joints, e
ans, épilepsie tardive. Coupes du para, central gauche. - Les trois premières couches de l'écorce sont partout envahies et mo
d'une des circonvolutions frontales du côté gauche. Les lésions des premières couches de l'écorce sont comparables, mais beau
rompant l'ordonnance des séries longitudinales et prenant les trois premières couches. Elles ne sont pas au contact les unes
cas suivant, il s'agit d'un enfant de trois ans, Porte ? atteint de premières convulsions à trois mois. Parole et démarche nu
cris de un à cinq mois. - Convulsions internes à trois se- maines. Premières dents à huit mois; marche à un an; blésité ; fi
s un étourdissement et accom- paginée d'hallucinations de la vue. - Première attaque à quatorze ans et demi. - Etoiii-dissem
rtes, de dix à quinze minutes au plus. Jamais d'autres convulsions. Première dent vers sept ou huit mois, puis elles ont pou
quelqu'un ouvre la porte, il est aussitôt pris de peur, s'empare du premier objet de défense qui lui tombe sous la main, et s
nt rameux, anastomosés, et remanient complètement le plan des trois premières couches de l'écorce, qui ne sont plus reconnais
24 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
ix ALCANE - . EDITEUR -. LOS, Boulevard St-Germain, 108. 1900 PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1899
1899. (Bicêtre et Fondation Vallée.) OURNEV1LLE, Bicêtre, 1899. PREMIÈRE PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du Servi
I. Enfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. Ce premier groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
de mange seul, marche et court librement, il exécute bien les trois premiers mouvements de la gymnastique des échelles (1'ir
s à l'aide de l'escaheau (Fig. 19 et 20), sauf ceux qui, venus du premier groupe, c'est-à-dire des idiots inva- lides éta
d tableau que quand l'enfant sait bien reconnaître les figures du premier . Nous avons recours aussi à des figures en bois
ec voyelles en rouges et consonnes en noir ; e) le zéro et les neuf premiers chiffres en noir ; f) le même tableau avec nomb
dans un des nom- breux livres consacrés aux notions élémentaires du premier âge, et où l'on apprendra à l'enfant par la pra
suivantes nous présentons à l'enfant la somme des boules des deux premières tringles, soit 5, et nous écrivons au-dessous c
en fixés dans la mémoire des enfants puisqu'ils les reconnaissent à première vue et les lisent couramment lorsqu'ils les ren
ande école). - La population de cette école était de 175 enfants au premier janvier. Tous, sauf 14 qui ne peuvent travaille
sous-sur- veillant, faisant fonctions de surveillant. M. Chérel, premier infirmier aux bains, a été nommé suppléant; l'l
que nous avons pu obtenir pour elle, c'est qu'elle soit nom- mée première infirmière. Nous estimons qu'il y aurait mieux
irmière. Nous estimons qu'il y aurait mieux à faire. Teigne. - Au premier janvier 1899, il restait dans le service 17 tei
n (Amandine), surveillantes ; 11m° BEAUMOXT, sup- pléante ; trois premières infirmières : Milo HuGUET, M"10 Gerder et Mlle
du concours actif qu'il nous ont prêté pour l'illustration de cette première partie de notre Compte-rendu de Bicêtre. . ?
xigeant un lavage quotidien du parquet mal jointoyé, non hourdé, du premier étage, il en résulte des infiltrations d'eau to
lle lit couramment, suit des dictées élémentaires, fait les trois premières opérations de l'arithmétique. Sa parole s'est n
ux exercices de ses compagnes. Elle lit par syllabes, fait les deux premières opérations de l'arithmétique, écrit lisiblement
n conforme que voici : Le Conseil général, Délibère : « Article premier . - Est approuvé, dans la limite d'une dépense d
x faibles d'esprit, il se trouve actuellement, après le retrait des premiers , dans les classes dont nous nous occupons, des
e d'enseignement spécial comme étant définitivement arrê- tée. En premier licu, il a fallu s'occuper d'adopter le pro- gr
ition du Secrétaire général de la Préfecture ; Arrête : Article premier . Des secours de t fr. 50 à 2 francs à allouer p
ectants. il. le Dr Bourneville répond qu'il ne peut s'agir que du premier cas et c'est l'opinion de iL le Préfet ; le sec
é. Grand-père maternel mort paralysé. Tante maternelle hystérique. - Premières convulsions à 22 mois pendant 2 heures. - Secon
e 23 janvier 1897 dans le service. Il a été soumis au traitement du premier mars au 31. août 1898. 25 avril. - Rougeur mo
de l'état général. Le traitement, interrompu, dès l'apparition des premières manifestations cutanées, est repris le 2 mai, à
vulsions à quatorze mois pendant onze heures. - Parésie à gauche. - Premiers accès cinq ans. Mort de broncho-pneumonie. Fo
s le service le 25 sep- tembre si891, a été soumis au traitement du premier mars au 24 mai. 27 avril. - Gonflement de la
ns pendant 7 heures. Violents accès de colère. Vertiges vers 3 ans. Premier accès à 7 ans et demi. - Incontinence d'urine.
OSIXATE DE SODIUM. 27 Br... (Pierre), 20 ans. Eosinate de sodium du premier juin au 3 1 août. Ce malade n'a présenté aucu
crises nerveuses attribuées à des vers. - Pas de convul- sions. - Premier accès d'épilepsie à 13 ans. - Excitation maniaq
glène), '13 ans. Entre le 4 octobre 1894. - Éosi- nate de sodium du premier juin au 31 août. 9 juillet. - Coloration rouge
els auec sa soeur. Caractère méchant, kleptomanie, Rougeole, otite. Premier accès à neuf ans. Ressa... (Eugène), 19 ans.
. Parole a deux ans et demi, propreté à deux ans. - Rou- geole. - Premières convulsions de huit mois; prcn,ic1' accès à 10
enee, - Grand-oncle maternel aliéné. - Tante maternelle nerveuse. - Premières con- vulsions à trois ans suivies d'hémiplégie
e la poitrine. Rougeole, scarlatine ; onanisme précoce, cauchemars. Premier accès à 5 axis. Dor... (Auguste), 17 ans. Eosin
erveuse. - , Etat asphyxique à la naissance. - Hémiplégie gauche. Premières convulsions il. dix-huit mois, - Cinq ou six au
é aux régions précitées. Il occupe de même le dos de la main et des premières phalanges. C'est un gonflement mou, non oedémat
mère s'aperçut, que le bras droit était paralysé. Gourme à 9 mois. Première dent vers 9 mois ; dentition complète à deux an
uit. - La température rectale prise matin et soir durant les cinq premiers jours a oscillé entre 37° et 31°.4. Traitement.
emi- flexion : avant-bras un peu fléchi, poignet fléchi, les deux premières phalanges relevées, le pouce en sub-luxation. L
evé au biberon avec du lait et du vin. - Habi- tudes alcooliques. - Premier accident nerveux à 12 ans 1 J2 à la suite d'une
tion ne dénote rien dans les poumons ; au coeur, léger souille au premier temps à la base. Le foie; déborde un peu les faus
ision; iL la lin du mois, il fait de petits problèmes sur les trois premières opérations; il acquiert quelques notions élémen
ception, grossesse, accouchement, naissance, rien de particulier. - Premières dents à 6 mois; dentition coin- plète-à 15 mois
n conformé. Nourri au sein par sa mère, sevré à 11 mois. Les deux premières dents ont paru à G mois. Dentition com- plète à
x reprises, il partit sans prévenir ses parents. Il est revenu la première fois quelques hcures après ; deux autres fois, à
p d'affection pour ses parents. Pas de pyro- manie ; mais depuis sa première frayeur il avait conservé une grande peur des a
lques progrès. Il lit couramment, sait faire exactement les trois premières opérations de l'arithmétique ; l'écriture reste d
é nombreux dès le début et sont restés tels pendant les six ou sept premiers mois de son sé- jour à Bicêtre, ont diminué à p
n d'anormal - Élevé au sein par sa mère jusqu'à 14 mois. - Les deux premières dents ont percé le même jour à 8 mois. Dentitio
le étant très contents de lui. Exeat. 1899. 8 mai. - Durant les six premiers mois de sa sortie 8.... a été très tranquille e
ception, grossesse, accouchement, naissance, rien de particulier. - Premières convulsions à 8 mois pendant 4 heures : consécu
où elle resta jusqu'à un an. C'est lit qu'elle a eu, à 8 mois, ses premières convulsions qui coïncidèrent, dit-on, avec l'ap
emières convulsions qui coïncidèrent, dit-on, avec l'apparition des premières dents. Ces convulsions survinrent la nuit, débu
gts. La température rectale, prise matin et soir pendant les cinq premiers jours de l'admission, a oscillé entre 3î ? et 36n
; crie beaucoup quand, aux repas, elle n'est pas servie l'une des premières : c'est sa seule manifestation intellectuelle.
d du lobule de l'insula qui, lui, a trois digitations dont les deux premières sont bifurquées. Face interne. - Aucun îlot scl
ps. - Vomis- sements abondants pendant les trois premiersmoil', - Première dent à 10 mois; à cette époque, c'Onvulsions. -
e de cet évanouis- sement. Vomissements fréquents pendant les trois premiers mois ; elle n'a pas eu d'attaques d'hystérie du
n de particulier. - La mère l'a élevée au sein pen- dant 14 mois. - Première dent it dix mois, ou ignore à quelle époque la
ontinence nocturne d'urine. Elle aurait eu des convulsions après sa première dent, trois dans la même journée, localisées à
- lecture de police et il l'Asile clinique et pendant les quatre- premiers jours qui ont suivi son admission dans notre se
r de 9 ans crises épileptiformes. - Début de la parole à 2 ans. - Première dent à 8 mois. - Dentition complète à 2 ans. -
quent une première phase de la dentition et concernent les dents de premier remplacement, c'est-à-dire les incisives perman
quand même. - La vue est très mauvaise, au point qu'on est tenté au premier abord de la croire aveu- gle. - L'ouïe paraît n
e en sérieuse considération. Notons toutefois que, durant les six premiers mois, la tête de la fillette aurait été normale
rmal jusqu'à 13 ans. - Céphalée de l'adolescence; éblouissements. - Premier accès à hais. - Accès men- suels ou bi-mensuels
ième à huit mois d'intervalle. Il ignore absolument la cause de son premier accès. A partir de 15 ans, les accès ont reparu
x HI3V'I '6681 'a.t ? 9o ? 'a'I'IIAaN\Hlog l TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1899
25 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
Félix ALCAN EDITEUR . 108, Boulevard St-Germain, 108. 1904 PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 4903
4903 (Bicêtre et Fondation Vallée) BOURNEVILLE, Bicêtre, 1903. PREMIÈRE PARTIE Section 1 : Bicêtre. Histoire du Servi
. Enfants idiots, galeux, épileptiques ou non, mais invalides. - Ce premier groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
des enfants ayant déféqué au siège après les repas, durant les 5 premiers jours de chaque mois. Voici ce relevé qui a por
ttention devient plus fixable, il peut maintenant exécuter les deux premiers mouvements à la gymnastique des échelles, saute
gracieusement à notre disposition. Elle est aidée par Mm. Landier, première infirmière. Quarante enfants composent cette éc
pour la lecture courante, l'écriture est lisible ; il fait les deux premières opérations. Il réfléchit et fait part de ses ré
est difficile de le tenir longtemps assis, cependant il ébauche nos premiers exercices, essaie de boutonner, lacer. Il place
ui nous ont fait réclamer sans succès le rétablissement du poste de premier instituteur qui a existé pendant longtemps. La
beaucoup amusé les enfants. Caisse d'épargne. Elle est confiée au premier de nos instituteurs, M. Mesnaud. Les recettes o
ême que nous pre- nons la température à l'entrée, durant les cinq premiers jours (1) pour savoir si l'enfant n'est pas sous
st donc facile à établir. A Bicêtre, 83 enfants ont été atteints du premier janvier au 10 novembre. L'épidémie s'est étendu
tement dévié en dedans ce qui l'empêche de distinguer les lettres à première vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a a ap
ducation de laparole. CXLIX Syllabes simples; Syllabes simples, premier groupe. CL Traitement \IÉDICO-PÉD : 1GOGIQUE.
gique soit mis en pratique le plus tôt possible a Clermont. Votre première Commission, Messieurs, vous demande d'ac- corde
pendant tonte la durée de la grossesse, céphalal- gics, syncopes. Première dent à 8 mois ; début de la marche à 12 mois ;
horée à 14 ans, d'abord limitée au côté gauche, puis généralisée. Premières règles en mai 1892. Première attaque d' hystérie
tée au côté gauche, puis généralisée. Premières règles en mai 1892. Première attaque d' hystérie en avril 1892. Soignée à la
re semaine, 0 gr. 75 lu seconde, 1 gr. ensuite jusqu'à la fin de ce premier traite- ment (18 mars). A ce moment : taille :
, 1903. Nanisme par arrêt de développement simple. 19 Au début du premier traitement, les cartilages ppiphy- saires du fé
s. 1899. - Poids 33 k. 300 : taille 1 m. 32 (au lieu de 1 m. 38). Premier traitement du 20 juin au 28 février : 0 gr. 50,
ages épiphy- saires, nous le soumettons au traitement thyroïdien. Premier traitement, du nos. 1899 au 8 fév.1900 : 0 g1. 50
entrée le 4 mars 1901. L It101. Poids : 43 kg. Taille : 1 ni. 41. Premier traitement du ? juin au 31 août, 1 gr. Poids : 41
au lieu de 1 m. 03. 1901. Poids : 20 kg. 500. Taille : 1 ni. In, Premier traitement Nanisme par arrêt DE DÉVELOPPEMENT s
oïdienne. Son poids est de 35 ksi1.400, soit en moinsIS kil. 500. Premier traitement (juin 1896 afin mai 1898) : 0 gr. 25 j
séjour à la campagne de 1 âge de 9 mois jusqu'à l'âge de six ans. - Première dent à. 7 mois. Dentition complète à ( ? ) mois
lsions se reproduisirent ensuite en moyenne une fois par jour. A sa première dent. à 8 mois, crises convul- sives plus forte
e alcoolique. - Grossesse accidentée par des coups et des syncopes. Première dent (t 10 mois. Marche et début de la parole i
Différence d'âge de 15 ans entre les conjoints. 6 enfants. Les deux premiers sont bien portants et normaux. Le troisième est
Il n'est pas encore propre. Jamais de convulsions. Durant toute sa première enfance, le sujet est chétif et mal portant. So
blée par de nombreux accidents. (Mauvais traitements du mari, etc.) Première dent à 1 an. Parole à 2 ans. Marche à 16 mois.
1896. Poids : 35 kil. 811 ; taille 1 m. 35, soit 15 cent. en moins. Premier traitementdu 10 juin 1896 au 29 mai 1897, 1 gr.
s âgé.) Sept enfants. Le père de notre malade a eu 4 enfants d'un premier mariage. Ils sont normaux, sobres, non obèses, de
second mariage, sont nés trois enfants, dont notre malade. Les deux premiers , filles, sont mortes tuberculeuses, l'une à 23
heures. Présentation du sommet. A la naissance, pas d'asphyxie ; premiers cris naturels. Il était « gros comme un enfant
. - Allaitement au sein maternel jusqu'à l'âge de deux ans et demi. Première dent à 7 ou 8 mois, dentition complète à une ép
jamais eu d'hallucinations, de tremble- ment, ni de céphalalgie. Première dent à 9 mois; dentition complète à deux ans. E
ever pour la débarbouiller», « l'enfant était grasse de partout » - Première dent il cinq mois. - Marche à 4 ans. - Gâteuse
; Sein gauche : diamètre vertical : 16 cm., transversal : 18 cm.. Premières règles en juin, abondantes. 1898. - Les organes
e, vomissements, étourdissements. - Très petite à La nais- sance. Première dent it 4 mois. Dentition complète à 3 ans. Mar
n'a pas eu de convulsions, marié deux fois, et sans enfants : sa première femme se faisait avorter, sa deuxième était trop
la naissance jus- qu'à cet âge. Allaitement au sein jusqu'à 3 ans. Première dent à 4 mois ; dentition complète vers trois a
la famille, on ne cite aucun obèse ni aucun nain. État actuel. - A premier examen, l'enfant peut être classée parmi les na
sanguinité. légalité d'âge. La mère a été mariée deux fois ; de son premier mari, mort d'une congestion pulmonaire, elle eu
s à la naissance. Elle fut nourrie au bibe- ron (lait de chèvre). Première dent il -13 mois. Dentition complète il 2 ans. Dé
, l'enfant poussait quelques cris.- Elevée au sein jusqu'à 22 mois. Première dent à six mois, dentition complète à 2 ans. L'
eu saillantes. Petites lèvres, clitoris, capuchon peu déve- loppés. Premières règles le 19 février. Elles sont et resteront m
ectropion. - Dentition complète. Dents de forme nor- male. Les deux premières molaires supérieures sont hors rang, saillantes
ement rapide avec beaucoup d'eau. - Enfant chétif à la naissance. - Première dent à un an. Dentition complète à 4 ans. - Con
arquée des apophyses épineuses des 6e et 7e cervica- les, des trois premières dorsales, formant une convexité pro- noncée tou
l. - Grossesse,' accidentée par des ennuis, mais ni peurs ni coups. Première dent a 13 mois. - Dentition complète, marche, p
mois, évolution lente, pronon- ciation défectueuse, voix enrouée, - Premiers signes de l'idiotie. - Rougeole à 2 ans '/2. Co
enfant comme il faut.» Rien autre à signaler durant la grossesse. - Premiers mouvements de l'enfant vers ix mois, semblables
le était plus cal- me que ses frères et soeurs. Sevrée h 18 mois. Première dent vers 13 mois. La première dentition a été ma
Poids, 19 kgr. - Taille, lm. 09cent. La température, prise les 5 premiers jours de l'entrée, oscille entre 36°, 6 et 37,4 .
et cela, pourrait-on dire, dès la vie '1*7-tlïa-ut( ? i-ine, les premiers mouvements f m taux n'ayant été perçus par la m
d'élevures ou bien d'ulcérations, de ramollissement, qui sont le premier stade d'un état très fréquent dans les méningo-
t. En certains points il se produit un véritable tassement, qui à première vue ferait croire il une quantité normale d'é-
ose s'étend en îlot autour des vaisseaux (1). Corps thyroïde. A première vue, la constitution générale de cette glande s
e. Du côté des cellules nerveuses de l'écorce, ce qui frap- pe, à première vue, c'est l'extrême pauvreté des couches. Leur
. 700, soit 2 kil. 740 au-dessous du poids moyen à son âge. 1902. Premier traitement du 12 mai au 31 août 1902. Glande th
sance normale, qui est de 5 cent. 7. De 6 à.7 7 ans et demi, cinq premiers mois de 1904, elle a gagné trois centimètres,ta
du traitement thyroïdien. La nutrition - et nous avons été l'un des premiers , si- non le premier, à relever ce point - est p
r l'année 1903, nous avons cru devoir y joindre les traitements des premiers mois de 1904. il Idiotie congénitale ; microc
cia- tion et une pâleur générale. Sa température oscille les cinq premiers jours, entre 37°, 5 et 38°, G. Elle tousse beauco
re plus âgée). Conception, grossesse, accouchement, rien à noter. Première dent à 6 mois, dentition complète à 15 mois. Ma
microcéphalie en sont la démonstration. Quelle que soit la cause première de l'arrêt de développe- ment des centres nerve
ption, grossesse, accouchement, naissance, rien de particu- lier. Première dent- à huit mois; dentition complète à deux ans
L'enfant semblait bien portant et pesait cinq livres et demie; ses premiers cris ont été naturels. Allaitement au sein par
été naturels. Allaitement au sein par la mère; sevrage à deux ans. Première dent à huit mois. Dentition complète à deux ans
è- dent, à intervalle de dix minutes ou un quart d'heure. Lors du premier , la température est de 37°,6 au moment du ronflem
age. Débilité à la naissance.- Allai- tement artificiel irrégulier. Première dent : 16 mois. Mar- che et parole nulles. - Gâ
complexe à laquelle la mère attribue le gros ventre de l'enfaut. - Première dent à 16 mois. La den- tition n'est pas complè
ndante. SR, sillon de Rolando. SS, scissure de Sylvius. 1' Tri, première et seconde circonvolutions temporales. P1, P2,
ne de l'hémisphère cérébral gauche de Tard. (p. 198 et 214). I'a, première frontale. C C C, circonvolutions du corps calle
5, ligne 15 au lieu de PL. III, lire Pr,. VII. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année' 190
26 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
s enfants. Nous avons dit qu'elle occupait la plus grande partie du premier étage du bâ- timent dit de la Force; - qu'elle
e mauvaises habitudes. Ajou- tons que, plusieurs fois, les matières premières ont man- qué et que le travail a dû être suspen
ques. - Soeur morte de convulsions. Frère mort de maladie bleue. -- Premières convulsions à 7 mois et demi : symptômes ; - Ve
on trouve sept ou huit îlots ou mieux bandes transversales ; les 2 premières siè- gent à la partie inférieure de la tête du
maladie parait avoir débuté à 7 mois et demi, par des (1) Les deux premières observations ont été publiées dans les A 1'- es
Quatre cas seulement paraissent avoir été publiés jusqu'ici : le premier a été recueilli par l'un de nous à la Salpêtrière
rises convulsives. - Deux cousins aliénés.- Pas de consanguinité. - Premières convulsions à trois mois; prédominance à gauche
nfermer. Pas de gourmandise, de klepto- manie, de pyromanie. Dès sa première enfance, son som- meil était agité; il faisait
int de douleurs de tête, a de la fièvre, etc. ; et, tandis que le premier état de mal n'avait pas intéressé la motilité, qu
airer cet intéressant sujet. Toutefois, avant d'aborder l'exposé du premier cas que nous avons observé, il nous semble util
ternelle : carcinome. - Autre frère : aliéné. - Excès de boissons.- Premier accès consécu- tif aune peur, a 18 ans ; délire
yeur (voleur caché dans la chambre à farine de son père), il eut sa première crise; il tomba privé de connais- sance et se d
anc et se meurtrir les jambes. Ce deuxième accès fut semblable au premier , et suivi d'un délire de deux jours. Le troisième
e troisième accès survint en 1872, alors qu'il retravaillait de son premier état, et fut suivi d'un 4e quelques heures aprè
re, sonorité normale. - Circulation : peut-être un léger souffle au premier temps et à la pointe; battements du coeur régul
énite, ni de syphi- lis, de scrofule ou d'eczéma. Intelligence. A première vue, Cher... paraît assez intelligent ; ses yeu
l'izs2cla loeu plissé, 3e circon- volution frontale bien dessinée; première et seconde cir- convolutions frontales très cou
a- dencés du tambour. Edern était donc susceptible d'atten- tion. Première conquête. Pouvait-il le devenir de réflexion ?
frontale. A droite, elle est divi- sée vers la moitié, au niveau du premier sillon frontal, par une ir.cisure perpendiculai
ndique gauche qui est aussi au niveau de l'extrémité postérieure du premier sillon frontal, mais qui est trop courte pour p
endance à se prolonger jusqu'à la scissure de Rolando avec les deux premières circonvolutions frontales, remplaçant par leur
I, 1370. 42 IDIOTIE ET ÉPILEPSIE. entre l'extrémité antérieure du premier sillon frontal et le coude de la scissure de Ro
branche recourbée qui unit t à gauche les extrémités antérieures du premier et du deuxième sillons frontaux. « La deuxièm
E. 43 arrière, elle s'anastomose par sa très mince racine avec la première circonvolution frontale et la prérolandique. Puis
ure avec la branche recour- bée émanée de l'extrémité antérieure du premier sillon frontal. «La troisième circonvolution
continue avec la première temporale, s'élargit vers l'extrémité du premier sillon temporal, dans sa partie postérieure qui
al, le deuxième pli de passage étant tout à fait profond comme le premier ; de plus, de ce côté, le troisième pli de passag
e occipitale primitive analogue à celle du côté droit, où les trois premiers plis de passage auraient été profonds aussi ; a
convolutions temporales dans leur partie an- térieure, et les trois premiers sillons temporaux ont leur ex- trémité antérieu
le, il était sujet à des accès de colère, principalement lors des premiers temps de son mariage, c'est-à-dire à l'àge de 3
7 heures de travail. L'enfant fut élevé au sein pen- dant les trois premiers mois, puis au biberon jusqu'à 30 mois. A neuf m
en- tièrement cessé depuis le 13 décembre 1880. Durant les trois premiers mois de 1881, l'enfant a conservé une certaine
ts idiots et épileptiques. Observation I. Idiotie. - Epilepsie. - Premières convulsions à 7 semaines. - Rumination. - Rouge
de la mère. Elevé au sein jusqu'à 26 mois, il a été atteint de ses premières convulsions à 7 semaines. Celles-ci consistaien
nerveuse; consanguinité. (L'enfant est issu de cousins germains). Premier accès d'épilepsie à trois ans, le second, un mo
e. Jusqu'à six ans, iln'a rien présenté d'anor- mal. Acette époque, premières convulsions. A partir de six ans et demi, bien
cé thermométrique oscilla autour de 38°. Observation VII. Idiotie : Premiers indices de l'ab- sence d'intelligence. Ruminati
e de l'encéphale sont régu- liers, sauf les pédoncules cérébraux. A première vue, on est frappé de leur différence de volume
tte hypothèse. Observation XIII. Mère très nerveuse, alcoolique.- Premières convulsions n un an. - Deuxième attaque A 3 ans
, ne présenta rien d'anormal jusqu'à l'âge de 17 mois. A ce moment, première attaque de ('on... idiotie complète. 141 nuis
ations. Observation XIV. - Mère très nerveuse, faible d'esprit. - Premières convulsions dans la première année. - Début de
e. Rupture du cordon au moment de la naissance; chute sur le sol. Premières convulsions à trois ans. - Apparition des accès
onne santé. Notre malade. - La grossesse a été bonne; pendant les premières semaines est survenue l'éruption de psoriasis,
ropre et se montrait assez intelligent. De 2 ans et demi à 3 ans, premières convulsions. A quatre ans, lors de sa première
ns et demi à 3 ans, premières convulsions. A quatre ans, lors de sa première entrée à Bicêtre, l'enfant était dans IDIOTIE C
echerches ont été sans résultat. En effet, lors de l'apparition des premiers cas de rougeole dans le service, aucun des enfa
39° et 40°. Ainsi que l'a fait remarquer Wun- derlich, « dans cette première élévation la température n'atteint que très exc
moins on notait la persistance de quelques-uns des symptômes des premières périodes. Nous n'insisterons pas sur les tracés
assez sérieuses à l'appui de cette opinion. TABLE DES MATIÈRES Première partie. EXPLICATION DES PLANCHES 172 EXPLICAT
. Microcéphalie. Face convexe de l'hémisphère gauche. F1, F2, F3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
? C, C, corps calleux. C c, circonvolution du corps calleux. r, première circonvolution frontale. H, circonvolution de l
cliniques et thermométriques sur les mala- dies du système nerveux. Premier fascicule : Uémorrhagie et ramollis- sement du
photo-lithographies. Douze livraisons forment un volume. Les trois premiers volumes sont en vente. - Prix de la livraison : 3
27 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
nt-bras (qui étaient gonflés). » Telle fut,Messieurs, l'origine des premières recherches de M. Morvan. Arrivons maintenant à l'
apparition de panaris, qui sont, par conséquent, consécutifs aux deux premiers symptômes mentionnés. La parésie et l'analgésie p
omène du syndrome qu'il nousreste à étudier, est le panaris. C'est au premier abord un panaris ordinaire, débutant comme le pan
s le cas de Prouff, il y a eu vingt ans d'intervalle entre les quatre premiers panaris qui ont touché la main droite et les quat
observations, on relève l'existence d'un traumatisme à l'origine des premiers accidents, mais cela est loin d'être constant.
se passait après l'évolution et la guérison des panaris. Pendant son premier séjour on l'électrise, on lui donne quelques poti
ne trouve plus trace aujourd'hui. Etat actuel. — Ce qui frappe, au premier abord, en voyant ce malade marcher, c'est la posi
chez un pharmacien qui lui fit avaler quelques drogues et procéda au premier pansement d'une fracture du radius qui fut reconn
fracture s'accompagnait d'une vive douleur et que l'application de ce premier appareil, ainsi que de celui qu'on plaça un peu p
riques. (Leçon du 13 novembre 1889). Sommaire. — Date récente des premières études sur le tremblement hystérique : travaux de
'hystérique. En quoi ce tremblement-ci différera-t-il cliniquement du premier ? Cela restera à déterminer. Pour en Unir avec
ténuer, vous pourrez à volonté le faire reparaître avec son intensité première , par une pression exercée sur les points hystérog
tte issue si désirable n'est pas en dehors des choses possibles. Ce premier cas, Messieurs, est un bel exemple du type intent
C'est à 17 ans, alors qu'il travaillait à la campagne, qu'il eut sa première attaque de nerfs. Elle se produisit sans aucune c
el on pourrait attribuer un certain rôle dans le développement de ses premiers accidents nerveux, si l'on était mieux fixé sur s
hystérique du type intentionnel qui peut être justement rapproché du premier malade de la leçon précédente. L'analogie avec la
e pas croire qu'il y ait une relation, un lien quelconque entre cette première série d'accès migraineux et ceux que nous avons à
ble. Ainsi vont les choses pendant une longue série de jours. Dans ce premier accès, la durée de la période douloureuse n'a pas
enté, d'ailleurs, exactement tous les caractères signalés à propos du premier accès. Les symptômes de paralysie oculo-motrice,
été marquée par tous les incidents que nous avons décrits à propos du premier accès : hé-micranie droite, vomissements, exacerb
nt fut continué pendant environ trois mois. 2e accès. — Après cette première crise, liberté presque absolue pendant près d'une
mplacée par une paralysie oculo-motrice, en tout semblable à celle du premier accès, mais qui cette fois n'a pas duré plus de 8
ui cette fois n'a pas duré plus de 8 jours, du moins avec l'intensité première . Pendant les trois années qui suivirent cette a
tête localisées à droite dans les régions indiquées à propos des deux premières attaques. Vomissements ; exaspération de la doule
par Sydenham. L'œdème bleu est encore à peu près inconnu aujourd'hui. Premières observations de M. le professeur Charcot, travaux
. Wallet, entre les mains de qui la malade se trouvait à l'époque des premiers accidents, a pratiqué des mensurations des deux m
ne se souvient pas d'avoir été malade étant petite, ni plus tard. Sa première maladie serait, dit-elle, la maladie actuelle.
rûlure des pointes de feu, ressentie d'une façon assez nette lors des premières séances, ne fut plus du tout perçue dans la suite
n deux mots que le sciatique poplité externe, après avoir fourni deux premiers rameaux, la branche cutanée péronière et l'access
inférieur droit. (Lefebvre. Thèse citée.) Femme de vingt et un an. Premier accouchement ayant duré deux jours et deux nuits;
élancements violents. Point douloureux péronier, au cou-de-pied, aux premier et deuxième orteils. Refroidissement notable du p
de M. Dorion (1) est peut-être plus ingénieuse et plus séduisante au premier abord. Mais elle (1) Dorion. — Thèse citée. d
l'été et le malade ne se rappelle pas avoir été exposé avant cette première atteinte à aucune fatigue, ni au froid, ni à l'hu
ouleurs continues, sourdes, sans élancements, du moins dans les trois premières atteintes, exaspérées par la pression au niveau d
rdissements de toute la région antéro-externe de la jambe gauche. A première vue, il semble qu'il existe un certain degré d'at
it donc pu penser qu'il s'agissait là d'un cas à ranger parmi ceux du premier groupe. Mais nous avons pu nous convaincre qu'il
un homme de 43 ans, fils de père et de mère diabétiques ; lors de mon premier examen, il avait les deux paupières tombantes, l'
e. Pas de douleurs fulgurantes. Pas de vomissements. Le 4 novembre, première consultation de M. Charcot. On note la paralysie
132. Faiblesse extrême. Rien dans la poitrine. Enorme souffle au premier temps du cœur, remplissant tout le devant de la p
t cependant exister le plus souvent dans les cas de ce genre. Notre premier malade est un ancien peintre en voitures, âgé de
dre impotent. La chute des paupières survint un an après le début des premiers accidents. Actuellement, le malade présente le fa
. Aux avant-bras l'atrophie porte surtout sur les extenseurs. Mais au premier abord elle paraît se répartir à peu près égalemen
Les membres inférieurs, la moitié inférieure du tronc, paraissent au premier abord absolument indemnes. Les cuisses ont conser
ction avec le maximum du courant faradique, plus faible pour les deux premiers . Mêmes réactions pour le courant galvanique. Thén
nous devons à M. Joffroy ont un tout autre caractère (1). Dans son premier cas, la malade, que j'avais observée pendant long
de son vivant, sur une main, un pouce amputé et une mutilation des 3 premiers doigts, à la suite des panaris; seul, l'auriculai
et qui a consisté dans la désarticulation du médius. Vous pouvez à première vue constater les mutilations qu'a subies le mala
de ce genre; il ne faut pas dogmatiser immédiatement et légiférer du premier coup, par une déduction hâtive. Les données du la
. Gilles de la Tourette n'en a rencontré que trois; 2° A côté de ce premier groupe, il convient d'en placer un second. Dans c
de cette distribution de I'anesthésie qui peut paraître singulière au premier abord. Il n'existe point d'autre plaque d'anest
vertiges, scotodinie, il tombe sans connaissance. Il paraît que cette première attaque a duré environ une heure. Il s'était heur
pressentiment que l'impression fâcheuse, qui semblait se dégager d'uu premier interrogatoire forcément hâtif et incomplet, n'ét
rome de Weber, et qu'à ce titre elle présente pour nous un intérêt de premier ordre. 11 faut, pour bien comprendre l'existenc
ueur, car vous n'ignorez pas que l'alcool est un agent hystérogène de premier ordre. Mais vous allez voir que, du côté maternel
Antécédents personnels. — N.....est née à Paris; elle a eu dans sa première enfance la rougeole et la variole sous une forme
ter l'école qu'elle a dû quitter plus tard vers douze ans. A dix ans, première menstruation ; depuis lors, règles assez régulièr
nerai le cas à un nouveau point de vue, et je vous démontrerai que ma première argumentation, pour spécieuse qu'elle pouvait par
s convenablement leur place, et, revenant alors sur notre inspiration première , nous construirons un nouvel édifice, beaucoup
quer la scoliose : on peut admettre que l'affaissement d'une des deux premières vertèbres dorsales dans leur moitié droite a incl
tation des faits, l'on se laisse dominer à l'excès par son impression première , et aveugler par une opinion prématurément conçue
tre, à chaque pas qu'il fait, sans pouvoir la diriger. Cependant, à première vue, M. Charcot déclare à M. X... que cette démar
ime qu'il suit pendant plus de dix ans (nourriture excellente, vin de première marque, exercice plus que modéré), il se réveille
t de la percussion. On obtient, par ces procédés, un renseignement de premier ordre, ainsi que vous allez le reconnaître. La pa
rnet moyen. Voilà encore un stigmate syphilitique et un stigmate de première valeur dans l'histoire de la syphilis héréditaire
econnaîtrez sans peine, si je vous rappelle un détail tragique de son premier interrogatoire. C'est ce même homme qui, ici-même
et de le corser aux moindres indices d'un retour agressif. Quant au premier malade, en face de son hémiplégie permanente, nou
lésions ophthal-moscopiques prendrait une importance diagnostique de premier ordre. C'est ici le lieu de signaler les importan
plète et typique de la sclérose cérébro-spinale. Pendant les quatre premières années qui suivirent son rhumatisme, B... resta c
tif basé sur la connaissance des troubles dont elle est atteinte ? Au premier abord on est assez aisément dérouté. Il paraît év
enta aux auditeurs de la Clinique la malade qui fait l'objet de notre première observation (2). Avant cette date, les recherch
une idée par la lecture des quatre cas suivants, particulièrement du premier et du troisième qui furent pendant longtemps l'ob
e a été inscrit pendant quatre minutes consécutives. Pendant les deux premières minutes, représentées par les deux lignes inférie
que ces bâillements produits par imitation représentent assez bien, à première vue, les bâillements de la malade, le tracé y déc
ments incoercibles tels qu'on les remarque aujourd'hui. Pendant cette première attaque, il y eut une courte période de convulsio
'attaques, le rythme et la cadence sont des éléments différentiels de premier ordre qui ne paraissent pas exister dans les bâil
if aux attaques de la malade dont l'histoire est rapportée dans notre première observation. noms volume RESIDU FIXE pouu 1
bâillements sans perte de connaissance de sa voisine. A l'une de ses premières crises, elle se luxa la mâchoire et resta la bouc
ent et ne se reproduisirent plus par la suite. (G. G ). Fin du Tome Premier . TABLE DES MATIÈRES i. De la Maladie de Mor
s tremblements hystériques. (Leçon). Sommaire. — Date récente des premières études sur le tremblement hystérique : travaux de
r Sydenham. L'œdème bleu est encore à peu près inconnu aujourd'hui. Premières observations de M. le professeur Charcot, travaux
légie syphilitique, 397. B Bâillements hystériques, 429 ; — comme première manifestation de l'hystérie, 430: — tracés, 433,
28 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
ble et le sujet bien con-formé , le cathétérisme doit se pratiquer du premier coup en sui-vant avec précision la manœuvre indiq
le en étendue à la fente palpébrale entre ses deux commissures. Cette première incision étant faite, en décrire,aux dépens des t
appliquée en travers sur la région sour-cilière, maintient les trois premières . L'œil doit être ainsi main-tenu ouvert artificie
ont de trois genres : enkystées, cellulaires et cancéreuses. Les deux premiers se rapportent plus particulièrement à la peau et
qu'à le séparer en ar-rière. Le kyste enlevé en totalité, réunir par première inten-tion. 20 Excision par la conjonctive (pl.
sur divers points de la con-jonctive oculaire ou palpébrale ont pour premier élément le dé-veloppement anévrismatique de petit
de croire qu'un problème aussi complexe ait pu se ré-soudre ainsi du premier jet. Comme toutes les idées vraiment fé-condes ,
frir l'un ou l'autre de ces trois caractères; la capsulaire, les deux premiers seulement: l'interstitielle est tou-jours liquide
au dix-huitième mois de la naissance; Lawrence, encore plus hardi, du premier au deuxième mois. Les chances de succès diminuent
méthodes : ïabaissement, Yex-traction et la méthode mixte ; les deux premières renferment plusieurs procédés. première méthode
a méthode mixte ; les deux premières renferment plusieurs procédés. première méthode. — abaissement. Le mot abaissement renf
aisir l'ai-guille comme une plume à écrire entre le pouce et les deux premiers doigts de la main qui opère; prendre un point d'a
tion du lambeau cornéal. Saisir le couteau de Richter entre les trois premiers doigts de la main qui opère, et tenu horizontalem
e temps. Armé du couteau elliptique de Wenzel, tenu entre les trois premiers doigts mais incliné obliquement eu haut à angle d
nt d'un à deux millimètres de la circonférence de la sclé-rotique. Ce premier temps étant achevé, on procède à la divi-sion de
l'excision, le décollement et l'extension de la pupille naturelle. première méthode. — incision. Coreclomie (de xéon , pupi
l'abaissement du cristallin, l'opération se divise en trois temps. Premier temps. Le couteau tenu comme une plume à écrire,
liaire. Procédé de M. Velpeau (pl. 11, fig. 5 ). Ce n'estautrequele premier temps du procédé de Wenzel. Au moyen d'un petit c
ion du lambeau de l'iris. i° Incision de la cornée et de l'iris. Ce premier temps, emprunte par M. Velpeau, nous est déjà con
(pl. 1 1, fig. 10). Ce procédé réunit l'iridodialysis à l'iridotomie. Premier temps : avec une aiguille tranchante sur sa conca
levée, le chi-rurgien se place en face et du côté de l'œil affecté. Premier temps. Avec les pinces de Museux ou une érigne si
vant le manche de la curette et en la faisant agir comme un levier du premier genre. S'ils ont un trop grand volume on les divi
n ensuite n'étant plus facile que d'en déterminer la sortie. Si cette première manœuvre ne suffit pas, on a recours à d'autres p
urette tandis que l'extrémité de sa tige, agissant comme un levier du premier genre, repousse le corps en haut et en dehors, et
umeur en tournant la canule en même temps qu'on l'attire à soi. Cette première opération achevée, faire glisser sur cette canule
a dilatation, les injec-tions et la cautérisation. Cathétérisme. Au premier degré, s'il ne s'agit que de désob-struer la trom
ur la ligne moyenne, divise en deux cette portion cutanée médiane. Ce premier temps achevé, on procède à la dissection des deux
faisant basculer sur l'indicateur gauche à la manière d'un levier du premier genre. Dès que le polype, en s allongeant, vient
our évi-ter ou les oublis ou les répétitions. Procédés de Levret. — Premier procède. L'anse d'un fil d'argent est glissée pré
r tout ce qui se trouve compris entre les mors de l'instrument. Cette première section pratiquée, en opérer par-allèlement une s
e incision curviligne qui formera une nouvelle commissure. Dès que ce premier temps est effectué du côté droit, pratiquer éga-l
ieffenbach a recours aux applications froides. La réunion s'opère par première intention : les fils et les aiguilles peuvent êtr
jeunes enfans de deux à huit ans, il conseille d'opérer dans les six premiers mois; ou, si l'enfant est âgé déjà de plusieurs a
chirurgien est placé debout devant le malade. Tout étant disposé : premier temps. Si le frein de la lèvre supé-rieure est tr
u plus haut que la première, pour être plus certain de tout couper du premier coup ; mais alors on risque de dépasser la premiè
stérieur; puis saisir l'autre lambeau de la lèvre et le rapprocher du premier de fa-çon que leurs contours se trouvent exacteme
et un peu obliquement de haut en bas, c'est-à-dire en sens inverse du premier trajet parcouru, de sorte que le point de sortie
e. Dès que les sutures entortillées sont fixées on coupe les chefs du premier fil tenseur devenu inutile, et on glisse, sous le
evé en haut et le tubercule incisif proéminent, a été de se servir du premier pour former la sous-cloison nasale et de détruire
parler ni essayer aucun mouvement des mâchoires pendant les quatre premiers jours. La seule alimentation per-mise, pour évite
en profondeur que l'épaisseur des par-ties intéressées, et réunir par première intention. 20 Excision à lambeaux. C'est à cett
t que s'organise le trajet fistuleux. Ceux qui sui-vent diffèrent des premiers , en ce qu'ils ont d'abord pour objet la guérison
sorte par énueléation ; rien ne s'oppose ici à ce qu'on réunisse par première intention. GRENOUILLETTE. La grenouillettc ou
des cas, le kyste appartiendrait aux voies salivaires et aurait pour première cause une obstruction de leurs canaux; tandis que
jours après, la section des chairs ayant déterminé la chute de cette première ligature, recommencer l'opération avec le même su
ès qui survint, le petit malade guérit parfai-tement. Toutefois cette première tentative paraît être restée com-plètement dans l
alité, l'honneur d'une application qui équivaut à une découverte. Son premier opéré (1819) fut un jeune médecin anglais, M. Ste
de celui que nous venons de décrire que par le ren-versement des deux premiers temps opératoires, l'auteur préfé-rant commencer
ujours très grave par les mêmes motifs, la nature maligne de la cause première , et le nombre considérable d'organes des plus imp
t un peu au dessous de la tumeur, couper au milieu crucialement cette première incision par une autre horizontale, disséquer et
ar de longues inspirations. Si l'ablation est complète, on réunit par première intention avec des bandelettes agglutinatives ou
ion au passage de l'air. L'essentiel au reste n'est pas d'injecter du premier coup une grande masse de gaz, mais, au contraire,
thyroïde, de hau-teur inégale, appliqué ordinairement sur les quatre premiers ar- (1) Voyez, première partie, tome VI, Anatom
gale, appliqué ordinairement sur les quatre premiers ar- (1) Voyez, première partie, tome VI, Anatomie chirurgicale, région so
les manoeuvres et se mettre à l'abri de l'hémorrhagie en pénétrant du premier coup dans la trachée avec la canule portée sur un
mprimer, armé du bistouri droit ou convexe, tenu de la main droite en première position, pratiquer sur la ligne médiane une inci
s bas et par conséquent plus profond, conseille de remon-ter jusqu'au premier anneau trachéal, ce qui limite l'ouverture en bas
calement de haut en bas le cartilage cri-coïde et les trois ou quatre premiers anneaux de la trachée. L'ap-plication d'une canul
dans l'œsophage. Dans le procédé original, Desault, pour pénétrer du premier coup dans le milieu du pharynx, armait la sonde d
on alimentaire, est d'un petit volume, surtout dans les deux ou trois premiers jours après l'in-gestion, le précepte est de tâch
, dans ces derniers temps, un certain nombre d'instrumens dont l'idée première est empruntée de ceux de la lithotritie. Tels son
l'estomac, une sonde qu'on laisse à demeure pendant les quatre à six premiers jours, c'est-à-dire jusqu'à l'époque ou l'aggluti
plus généralement adoptée, vu l'avantage qu'elle offre d'enlever, du premier coup, une portion de tégumens malade ou trop exub
végétations qui se formeraient. Dans le cas con-traire, on réunit par première intention, mais, si le cancer avait des racines p
imples, où la maladie est bien circonscrite, que l'on doit réunir par première inten-tion. La plupart des chirurgiens n'y emploi
dius de la main gauche, de la droite, armé d'un bistouri ordinaire en première position, il incise la peau dans une longueur de
du dernier lieu où il s'est placé, soit par l'épuisement de sa force première d'impulsion, soit par les mouvemens des viscères
ultat et favorisera l'action des autres moyens de traitement. Dans ce premier cas, on devra faire la ponction aussitôt que la c
la suffocation de l'as-citique. La ponction de l'ascite remonte aux premiers âges de la chi-rurgie ; avant J. L. Petit, à qui
Baudens. L'observation d'un cas fortuit a fourni à M. Haudens l'idée première de ce procédé cpii se trouve être l'imitation de
mbres et le tronc étaient si complètement évacués qu'à la tuméfaction première avait succédé la maigreur et la sécheresse de tis
endue. Dès que l'action est produite, il fend avec le bis-touri cette première eschare superficielle pour mettre à décou-vert un
la masse viscérale pour dégager l'orifice de la plaie, avec les trois premiers doigts de l'autre main il essaie de faire rentrer
rieure varie suivant que l'étranglement est plus ou moins prononcé. Premier sous-procédé. Si la striction de l'orifice n'est
s complet, le corps étranger ayant été évacué par les selles. Cette première méthode, en raison des succès qu'il avait déjà ob
ois procédés de MM. Jobert, Lembert et Denans. A notre avis, les deux premiers n'offrent pas assez de ga-rantie contre l'épanche
pendant le seul dont la manœuvre soit fa-cile et puisse s'exécuter du premier coup, sans tâtonnement. Son seul inconvénient ser
s de la cure radicale, mais l'on sait aussi que les bandages ont pour premier , et le plus souvent pour unique but, de contenir
key et Heritz, s'occupèrent d'améliorer la pelote du brayer, les deux premiers en proposant d'y placer un bouton d'ivoire ou de
t, assis, ou à genoux, suivant sa convenance, commence l'opération. Premier temps. Incision des tègumens. L'incision doit êtr
-mité, coupe la bride ainsi abaissée. Quelquefois on n'atteint pas du premier coup le véritable cercle constricteur, parce qu'i
es parties sous-jacentes, on ne pourrait en général exécuter les deux premiers résultats, sans détruire préalablement les adhére
ont comprises entre le sac et la peau, Louis propose cle pénétrer, du premier coup, jusqu'au sac, et d'ouvrir celui-ci d'un sec
au taxis ou à l'opération. Hernie ombilicale et ventrale. Les trois premiers temps de l'opération exigent de grandes précautio
moneux. — Ces chiffres peuvent donc servir de résumé sur la valeur du premier procédé de M. Belmas (vessie de baudruche). On a
long manche. Voici comment il pratique maintenant cette opé-ration. Premier temps. Après avoir rasé et nettoyé la région, le
n fait un second point, au fond du cul-de-sac , à quelque distance du premier . Ainsi, on a deux chefs au-dehors sur la paroi ab
le cordon dans l'anse de fil, et de traverser le péritoine. Les deux premiers de ces accidens sont, au reste, faciles à éviter,
yens appropriés de traitement général et local. Ce n'est qu'après ces premiers soins, cpii peuvent exiger un temps considérable,
il se borna à inciser l'intestin de haut en bas, en élargissant cette première incision par une petite sec-tion horizontale en d
sat. 11 préfère une incision oblique à l'incision per-pendiculaire du premier , et à l'incision transversale du second: elle doi
qua-tre, trois, deux, et puis à une. C'est ce qui est arrivé aux deux premiers malades opérés par M. Amussat. Le dernier surtout
e pas quelques millimètres d'épaisseur, se reconnaît ordinairement de première vue à plusieurs caractères : la couleur violacée
ale a été suivie d'une parfaite guérison. Depui J. L. Petit, l'un des premiers qui en aient formulé les préceptes elle a été pra
t de la guérir, c'est cette constriction qu'il regarde comme la cause première de la fissure. M. Velpeau, au contraire, paraît c
t de plus d'un centimètre. Le seul cas où elles n'apparaissent pas au premier coup-d'œil, c'est lorsqu'elles sont situées à la
ution de tournesol, d'épinard, de safran, d'orca-nette, etc. Les deux premiers moyens s'emploient toujours con-curremment; le tr
s l'instrument, en quelque sorte, abandonné à son propre poids. Cette première exploration étant effectuée, on amène le bouton v
urulente avec les selles, et le malade continue d'en rendre un peu au premier effort de défécation. Dans une certaine étendue,
ord couché parallèlement avec la tige conductrice et qu'il insinue du premier coup jusqu'au gorgeret. Relevant alors le bistour
se à plat. La tente est main-tenue à demeure pendant les dix à quinze premiers jours en l'en-fonçant de moins en moins à mesure
hlébites et les autres accidens consécutifs, de réunir les plaies par première intention au moyen de la suture. La manœuvre est
sus, le bistouri droit boutonné, porté sur le doigt indicateur. Cette première incision pratiquée, le chirurgien, libre d'agir a
onnaître le procédé imaginé par M. Velpeau pour amener la réunion par première intention après l'excision des tumeurs et des bou
t aux plaies du rectum, et, au lieu de cela, suivie d'une réunion par première intention, sans coarctation ultérieure de l'anus;
ion cpii , de son côté, était nouvelle , d'autant qu'il l'a érigée du premier coup en une doctrine générale, et cpie son procéd
e l'excision , sans rien ap-pliquer dessus; elles se réunissaient par première intention, et après leur guérison , l'anus se tro
meur rentre d'elle-même et cesse de reparaître aprèsles quatre à cinq premiers jours, pour peu qu'on ait le soin d'éviter les ef
isfranc s'est chargé de démontrer pratiquement cette pro-position. Sa première opération fut faite le i3 février 1826, et le i3
islranc a pour habi-tude de panser à plat pondant les trois ou quatre premiers jours, en ayant soin de renouveler le pansement t
squ'une hydrocèle était très volu-mineuse, Dupuytren suivait pour son premier temps l'exemple de Douglas : dans les cas ordinai
que les bourses soient distendues , après quoi l'on fait sortir cette première injection pour en chasser une seconde et même une
iquée à l'hydrocèle en parti-culier, elle est destinée à se placer au premier rang lorsque divers chirurgiens, ayant acquis la
tissus , forcent à condamner ce procédé. B. M. Velpeau est l'un des premiers qui aient mis en usage la ligature dans le traite
iques. C. Ligature sous-cutanée. i° M. Velpean est également un des premiers qui ait songé à faire la ligature des veines sous
e la tu-meur, et le troisième, la section et la ligature du cordon. Premier temps. Section de la peau. Le malade étant couché
ure du cordon en masse avant d'en opérer la section. Celse est un des premiers qui en ait parlé, Paul d'Egine suivait ce précept
de nos jours la suture de la plaie, et par conséquent la réunion par première intention, qui se pratiquait ancienne-ment ; mais
s lam-beaux latéraux. Appréciation. De ces trois procédés, les deux premiers sont indifféremment applicables, et méritent la p
proposé deux moyens : la ré-duction et le débridement. Réduction. Premier procédé. Le malade est assis sur une chaise, ou c
; mais s'il est malade ne garder absolument que la partie saine. Ce premier temps achevé, on retire en arrière la peau de la
qui les ramène à la posi-tion qu'elles occupent après l'exécution du premier temps dans l'autre procédé , c'est-à-dire dans un
i qu'on ne peut refuser à Lieu-taud l'honneur d'en avoir parlé un des premiers , puisqu'on trouve sa proposition reproduite dans
Le procédé de Ducamp pour la cautérisation de l'urètre qui paraît, au premier abord, si ingénieux et si séduisant, n'en est pas
ès qu'une bougie porte empreinte, n. 3 ou 4, peut passer à travers ce premier rétrécissement, il convient de l'introduire, et s
eau dans les lignes suivantes : «Dilater d'abord, ne cautériser une « première fois qu'au bout de quatre ou cinq applications «
olles) en a fait construire trois (Pl. 54, fig- 36, 37, 38); les deux premiers présentent à leur extrémité profonde une pointe m
le bouton se dégage de la gaîne pour inciser. M. Amussat, l'un des premiers qui, en France, ait employé les scarifications de
ficile. Il paraît néanmoins qu'en général on préfère l'urétrotome, ou premier scarificateur de M. Amussat, comme étant le plus
s complet (Journal Hebd., t. iv, p. 45)- Lors-qu'on ne réussit pas du premier coup, on ne doit pas néanmoins désespérer d'y par
d'établir une fistule artificielle pour en guérir une accidentelle. Premier procédé de M. Ségalas. Il consiste à maintenir pr
uemment servi, prétend en avoir retiré de grands avan-tages. Dans son premier mémoire, il rapporte l'histoire d'une jeune fille
consignée dans les Mémoires de l'Académie des sciences, est l'un des premiers qui l'aient pratiquée. Morand etTollet l'ont auss
rapports du péritoine avec la face antérieure de la vessie. Dans sa première opération, Méry pratiqua sa ponction sur le bord
eu pour auteurs que des médicastres obscurs. C'est l'histoire de ces premiers litholomistes égyptiens reniés par les maîtres gr
z les Arabes on a songé à la possibilité de les broyer. Toutefois ces premières tentatives, apparemment insuffisantes, ne laissen
thotritie soient parsemées de cas où la mort du malade, dans les deux premiers mois, est attribuée à l'une de ces causes, circon
port aux difficultés du problème à résoudre, ce mérite de l'intention première , toujours vivante à travers les siècles malgré l'
ne longue suite de siècles. Cependant il est permis de croire que ces premières tentatives de l'antiquité ne furent pas perdues c
il, par M. Ossian Henry, membre de la commission aca-démique. Comme premier fait, d'après l'examen direct de MM. D'Arcet et C
années ( 1834-) que dure l'expérimentation, les malades de ces trois premières catégories sont, en grand nombre. Peu ont offert
agir sur une pierre qui n'était fixée par rien. Le souvenir de ces premières tentatives s'était-il effacé à tra-vers le moyen
en contact par une plus grande surface avec les agens dissolvans, ces premières données, pourtant si précieuses, restèrent tellem
ré au travers de la cavité, ce qui empêchait de pouvoir substituer au premier perforateur des fraises et des li-mes capables d'
n destinée à fixer les deux canules l'une sur l'autre ; 20 Dans cette première canule glisse la seconde ca-nule appelée litholab
n appelle des forets à développement. M. Leroy (d'Etiolles), l'un des premiers , y est parvenu en substituant des forets à fraise
u sein de l'Académie des sciences et dans la presse de l'époque. « Au premier abord , dit M. Bégin « (JDict. de Méd. et Chir. p
entra dans une ère nou-velle. ECRASEMENT PAR LA PERCUSSION SEULE. Premier percuteur de M. Heurteloup (Pl. 6, fig. 21). Le p
ndonné la gouttière et les dentelures de la branche femelle. Après ce premier écrasement, on ouvre de nouveau le percuteur, l'o
cation portant sur la forme des mors. Nous avons vu que les mors du premier perçu teurd'Heurteloup présentaient des saillies
mites que nous avons tracées. Chez les vieillards, il semblerait au premier abord que le broie-ment dût avoir de grandes chan
en essais in-fructueux. Dans un sujet où il fallait tout inventer de premier jet, le but et les moyens , et où le succès des p
Elle représente la base d'une pyramide triangulaire, dont (1) Voyez première Partie: Analomic chirurgicale, pages 43-45,et pl.
igeant l'union de la théorie et de la pratique , ne surgissent pas de premier jet, mais se développent peu-à-peu par des progrè
duc-teur mâle, engageant la vive arête du second dans l'échancrure du premier , et on dilatait la plaie, ou plutôt on déchirait
autre chanoine, de Notre-Dame. Ce dernier le présenta à M. de Harlay, premier président du parlement , qui donna ordre aux méde
ins de l'Hôtel-Dieu d'examiner sa capacité. Frère Jacques pratiqua sa première opération sur un cadavre dans la vessie duquel on
de M. Méry, le procédé suivant lequel il pratiqua cette opération. Premier procède du Frère Jacques. « Il introduisit dans l
rère Jacques, tailla, à Fontainebleau, sous lepatronnage de Duchesne, premier médecin des princes, un malade avec le plus grand
et qui arriva le premier à retrouver la taille latéralisée. Dans ses premiers essais, il employa un cathéter sans cannelure; su
r vingt-quatre ou quarante-huit heures après. Pendant les huit ou dix premiers jours qui suivent l'opération, l'urine passe enti
dans les plus compliqués; c'est ordinairement dans les deux ou trois premiers jours qu'elle se manifeste. Boyer assure qu'on la
ne et la prostate, dont on divise quel-quefois le tiers postérieur. Premier procédé de Sanson dans lequel on divise la prosta
art le procédé de M. Baudens, le seul qui se distingue, dans ses deux premiers temps , du procédé ordinaire. Procédé ordinairk
mèche n'est donc, en général, véritablement utile que durant les deux premiers jours qui suivent l'opération, parce que, après c
calculs sans s'exposer à blesser des vais-seaux importans, fut un des premiers qui proposa de fendre l'urètre à droite et à gauc
l se pourrait que deux sutures latérales favorisassent la réunion par première intention , aussi pensons-nous avec Dupuytren et
/10 Ce tableau prouve , comme les précédens, que c'est dans les dix premières années de la vie que la taille réussit le mieux,
gatures partielles. ÉLÉPIIANTIASIS DE LA VULVE. Larrey est un des premiers qui en aient parlé. Delpech rapporte (t. ier de s
ive des soins appropriés. Ainsi, elle devra au moins pendant les huit premiers jours, rester étendue sur le dos dans son lit, le
dre les bosselures formées par les fèces avec des tumeurs morbides. Premier procédé. La femme ayant le dos solidement appuyé
valves, comme celui de M. Colombat. Celui de madame Roivin, un des premiers qui ait paru, se compose de deux demi-cylindres d
vessie une sonde par laquelle toute l'urine s'écoula pendant les deux premiers jours. Mais alors le point de suture le plus rapp
des parties. Bien que les fils tombent ordinairement dans les deux première ? semaines, M. Joubert ne coupe le pédicule du lam
n'a pas réussi. M. Vidal croit pouvoir inférer du seul succès de sa première opération : i" que les règles pouvaient passer pa
d'un millimètre de diamètre. Avant de rendre à la vulve son ouverture première , M. Velpeau tenta, sans succès, d'oblitérer compl
vagin, ce chirurgien, pensant pouvoir remédier en même temps aux deux premières affections, préféra exciser desbandelettes muqueu
d'une incrustation calcaire. Madame Rondet, sage-femme , est une des premières qui ait employé le caoutchouc , soutenu intérieur
peut survenir lorsque l'utérus est vide, ou dans les trois ou quatre premiers mois de la grossesse; elle ne peut avoir lieu plu
ent la constriction. C'est à-peu-près là, ce nous sem-ble, l'effet du premier procédé de Levret, De tout ce qui précède, il r
ur le moins inutile. Ce résultat, assurément, est peu encourageant au premier abord. Mais si l'on considère, que l'excision du
cherche d'abord à abaisser l'utérus le plus possible. Pour opérer ce premier temps on se sert de pinces de Museux ou d'érignes
. Elle consiste à mettre la tumeur à découvert, à en enlever, soit du premier coup, soit peu-à-peu, tout ce qui n'est pas adhér
ec succès, ce qui donne un peu plus de 1 succès sur 3 opéra-tions. Du premier coup-d'œil il est évident que l'on ne peut rien s
complément pour la médecine opératoire générale devient une nécessité première pour la sclérotomie encore placée en dehors de l'
sme infé-rieur ou jugal (strabismus deorsùm vergens). Dans ces quatre premières espèces le strabisme est simple ou du moins l'un
rabisme. La section musculaire est indiquée au con-traire si la cause première est une cataracte que l'on opère en mèmetemps que
c'est que l'auteur ayant oublié, ou omis une circon-stance, les deux premiers opérateurs, abandonnés de leur guide, n'ont pas s
acquise; le strabisme prenait rang dans la chirurgie. Toutefois ce premier résultat heureux n'avait pas eu de reten-tissemen
ens, MM. Baudens, Phillips, Velpeau, Ainussat, Guérin, etc., les deux premiers surtout, après (rois mois, comptaient déjà les fa
à pu-blier sa découverte, c'est bien loyalement cpie l'on qualifie de premier inventeur M. Stromeyer. Mais comme il y a de nomb
e, en prévoyant à mesure les divers temps de l'opération , fait de ce premier aide un personnage essentiel dont les fonctions n
strabisme. Procédé de M. Lucas. Ce chirurgien de Londres, l'un des premiers qui aient suivi l'exemple de M. Dieffenbach , a o
solu une description qui n'a peut-être été faite que d'après quelques premiers essais; mais alors, pour peu que le procédé soil
aplati. Son opération se divise en deux temps. (Pl. C, fig. 8, 9.) Premier temps. Le malade assis, la tête appuyée sur un co
e second temps n'est qu'une partieduprocédédeDieffenbach; et, quantau premier , nous avons suffisamment indiqué les singularités
supporté l'épreuve delà plus large expérimentation. Ce qui saisit au premier aperçu, c'est qu'ils sont bien distincts les uns
la lame de l'instrument est arrivée au bout de sa course. « Dans ce premier temps opératoire, la gaine est ouverte, et une pa
i tous les deux, quoique le premier n'ait eu qu'une valeur d'essai. Premier procédé {Gazette des hôpitaux du 17 septembre 184
égale à la hauteur du muscle et à l'épaisseur de l'instrument. » Ce premier procédé qui emprunte à-la-fois à celui de M. Dief
lpeau, et auquel il se tient définitive-ment, ne ressemble en rien au premier . En voici la description d'a-près la Gazette des
ée pour couper seulement avec la main droite des muscles différens. Premier procédé (Pl. E, fig. 1,2, 3). Le malade étant cou
djacent de l'orbite. Nous avons tâché d'indiquer avec précision cette première manière que du reste les figures achè-vent complè
x sur un mors, une sur l'autre, rentrantes dans l'écartement des deux premières . En faisant mordre cette pince un peu profondémen
œil Opéré ne doit pas pouvoir se tourner dans le sens de sa déviation première , circonstance dont on s'assure en ordonnant au ma
évrose oculaire de M. Bonnet, de Lyon. Il n'y a rien à ajouter à ce premier fait, que celui communiqué par M. Bouvier à M. Am
t avec le lambeau fîbro-muqueux cpie l'on réapplique dans sa position première , de manière à fermer la plaie. Au rapport de M. J
que soit le motif pour lequel a été pratiquée l'o-pération , les deux premiers sont les plus sûrs, en ce qu'on est certain décou
la non-réussite ou la produc-tion d'une déviation nouvelle, ces deux premières sections étant opérées, que les chirurgiens ont é
ridement du fascia, ait suffi pour redresser l'œil ; mais quand cette première tentative a été sans effet, il a fallu , pour obt
strabismes convergens, et 14 divergens; ce qui établit le rapport du premier au second 6 : 1. D'un autre côté, M. Guérin sur 6
cyloglosse, tantôt survient naturellement, et alors elle a pour cause première , l'endurcissement et la contracture des membra-ne
us les faits cpii nous sont déjà connus et dont il emprunte la notion première à un opérateur ambulant. Une observation d'une bi
veum ), en atteignant à peine la chair (géiiio-glosses). Si par cette première voie, on n'a pas assez coupé, ou s'il y a réunion
s dire une négation complète de la réalité des succès obtenus. Or, ce premier fait est grave : comme il arrive toujours , à un
ail, et il est entouré de vaisseaux et de nerfs. » A la rigueur, ce premier procédé de M. Amussat peut suffire ; mais à la le
ioration et 5 sans résultat satisfaisant; la moyenne de l'âge des six premiers malades guéris est de i3 ans, le septième avait 3
tenu des résultats générale-ment favorables : voici le résumé des [\i premières opérations, tel qu'il a été rédigé au mois de jui
iquée plus haut. Jusqu'à présent la prononciation s'est maintenue. Ce premier succès, et les résul-tats du procédé rival sont d
différentes, proportionnel-lement au volume des parties à diviser. Premier temps. Tension des parties. La première condition
839, page 7 et suivantes. forme d'après les dénominations vagues de premier , second, troi-sième degré, il nous paraît plus co
états de forme et de di-rection intermédiaires , depuis la difformité première jusqu'à la guérison ou au moins le degré d'amélio
it les parties molles, soit le système osseux. Ainsi, tantôt la cause première sera une altération locale accidentelle, même la
u au moyen d'une seule ponction et suivant deux procédés différens. Premier procédé. Le malade étant couché sur un lit dont l
emoiselle Céline G— âgée de douze ans et demie, et affectée depuis sa première année d'un torticolis produit par la contracture
sont de véritables cordes de rétraction qui sont fréquemment la cause première des courbures, mais qui, dans tous les cas, une f
au contact de l'air ; d'où la condition essentielle de la réunion par première inten-tion des plaies, l'absence du contact de l'
de kystes synoviaux, dévelop-pés autour des articulations. Les quatre premiers avec succès; M. Velpeau sans succès, mais à la vé
tant faite comme l'a, depuis, pratiquée M. Velpeau, qui s'arrête à ce premier temps, pratiquer la section du lambeau avec des p
urgien attire en dehors le polype avec l'instrument, glisse sur cette première canule l'anse du fil d'une seconde, et la confie
ont en position médiane, mais déviée; les deux au-tres, éloignées des premières , présentent leur face linguale en avant. Le grand
faire comprendre la succession des manœuvres qui appar-tiennent à ce premier temps opératoire, nous supposons qu'une pre-mière
ins, ap-puyant sur la pulpe des pouces qui font poulies de renvoi, c. Premier nœud de la ligature saisi avec une pince à anneau
b) avec une sorte de petite timbale (c) mo-bile dans un anneau. Cette première canule en renferme une se-conde (d) mise en mouve
umeur de part en part à sa base, mais de haut en bas : réuni avec son premier bout, il étrangle la portion médiane de la tumeur
passage sur la première côte, et, pour plus de précaution, les trois premiers doigts de la main droite (b) du même aide comprim
tion, les parties abandonnées à elles-mêmes revenant à leur situation première , le pa-rallélisme entre les plans intéressés se t
jours avant la mort. Une petite portion d'os (a), qui semble la cause première d'irritation, a été trouvée fichée dans l'épaisse
sacs herniaires. La nature de chacune de ces hernies est indiquée au premier aspect par leur éloignement respectif de la ligne
dinaire avec la sonde courbe en argent (Pl. 54, n° 9 ). Figure i . ( Premier temps. Sonde horizontale.) Introduction du bec de
rique ou perforation. 1. Perforateur à sonde droite de Gruithuisen, premier inventeur des instrumens lithotriteurs. La tige
'ÉCLATEMENT PAR PRESSION SIMPLE OU GRADUELLE OU PAR PERCUSSION. 21. Premier percuteur inventé par M. Heurteloup. Cet instru
xtérieure, imité par M. Charrière, de celui de Cheselden (9). Pour ce premier temps de l'opération , on emploie plus fréquemmen
ES DE STRABISME. Figures 5, 6. Strabisme simple, convergent en bas. Premier malade opéré par M. Baudens en novembre 1840.— Fi
s ciseaux (f). FIGURES 2, 3. Procédé de M. C. Phillips. Figure 2. Premier temps : application des deux erignes. Figure 3. S
. MÉTHODE SOUS-CONJONCTIVALE DE M. J. GUERIN. Figures l, 2, 3, 4. Premier procédé par ponction de la conjonctive. (a) Mai
se isolée du faisceau sternal avec le inyotome ( fig. 9). Figure 6. Premier temps. Le doigt médius de la main gauche (a) étan
29 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
umeur, et alors, sa réaction habituelle est la bouderie. Dans ses premières années, il travaillait aux champs avec les siens,
très nettement dans la photographie, la tête de José Lopes, qui, au premier abord semble petite pour un si grand corps, est
gauche et la céphalée ; le sujet les fait également remonter à ses premiers souvenirs; elles sont enfin d'accord avec un fait
, et le problème est plus complexe qu'on ne pourrait le supposer au premier abord. Pour se convaincrede cette complexité, il
et de taille moyenne. et la chose n'est plus douteuse, il paraît au premier abord que l'hyperfonction du corps pituitaire p
endant dire que, très vraisemhla- blement, l'hypophyse, agissant en première ligne et en première date, produit le gigantism
vraisemhla- blement, l'hypophyse, agissant en première ligne et en première date, produit le gigantisme et l'acromégalie (l
antilisme hypophysaire et un infantilisme testiculaire analogues au premier , comme nous avons une adipose d'origine thyroï-
morphologiques étranges, d'un contraste frappant, contradictoire au premier chef- comme chez le géant José Lopes. Maintenan
el survient le trouble du développement, qui y joue un rôle de tout premier ordre, comme l'ont fait remarquer Brissaud et M
les cas purs, du type de gigantisme acromégalique. 2° Cependant, ce premier type peut s'associer à l'acromégalie; il forme
ubles dans d'autres glandes à sécrétion interne. Nous citerons en première place les parathyroïdes . En effet les altéra-
tés il existait des phénomènes de tétanie et que la malade de notre première observation présentait une tétanie, latente il
Les altérations dentaires parfois très accusées comme chez notre première malade sont fréquentes aussi dans l'ostéomalacie.
naissance exacte de cette maladie il faut remonter à la description première que Madelung nous a laissée. Après 1889, c'es
organes inter- nes reste négatif. Description de la radiographie première : en perspective face palmaire- extrémité supér
e à feu. Le cubitus apparaît fortement dévié el luxé en arrière, la première rangée des os du carpe est déviée en rotation dor
ment le mécanisme de la déformation consiste duustene rotation delà première rangée des os du carpe ; c'est-à-dire que le semi
sous le nom de « difformité du poignet de Madelung » en mémoire du premier auteur qui l'étudia. J'estime que la dénominati
avait une origine traumatique ou professionnelle. Nous trouvons les premiers indices de l'hypothèse que notre affection soit d
ement des membranes foetales, se soit produite une subluxation delà première rangée des os du carpe, semi-lunaire ou scaphoïde
dans deux embryons humains, un nombre de rayons, correspondant aux premiers linéaments des phalanges, supérieur à cinq, dan
urnumé- raire se trouve ou au delà du cinquième doigt ou au delà du premier , mais jamais entre les doigts normaux. Si, au c
Presbyophrénie. AMNÉSIE ET FABULATION , 91 Textes de Wernicke. Premier texte (1). - « Je vous ai souvent dit qu'en psych
es lettres dans lesquelles il la menace de « l'assassiner comme son premier mari ». Elle est mariée, « en troisièmes noces
ariée, « en troisièmes noces » ; voici comment son voisin a tué son premier mari. « Nous étions en promenade près de l'eau
arrêtée au moment où elle volait des rideaux dans une voi- ture de première classe, à la gare du Nord. Remise en liberté, ell
culièrement remarquable;àcertains moments sur- tout, chez nos trois premiers malades. Ce déroulement automatique facile des
ère le conduisit à Amsterdam et le mit en apprentissage chez un des premiers norloners de la ville.Il devint rapidement un t
la période de douze ans qui s'est écoulée depuis la publication du premier article de M. P. Marie, les observations cliniq
kylosant coïn- cide probablement avec le moment de l'apparition des premières douleurs. L'ankylose est le processus primitif
e ré- gion. Une troisième tumeur, beaucoup plus petite que les deux premières , grande comme une noix, se trouve située sur le
vec épilepsie et cécité. La cécité et l'épilepsie remonteraient aux premières années de l'existence.H. P... est inter- née de
jours d'une somnolence profonde, qu'enfin il fut délivré. Le tout premier enseignement qui se dégage de cette histoire est
erne chargé de lesappliqueropéraalternativementsurlesdeuxfesses. La première injection eut lieu le 24 juin. A la date du 4 jui
le triumphe commencer, .; Je suis le seigneur de verdure ; . Des premiers me venlx advencer, - Car sans moi jeunesse ne d
es, comme l'on dict, et publié ses loix et droitz diffusément ». La première épidémie de syphilis (1525) y fut en effet des pl
héraldique de Montaiglon. « Il est chargé d'une croix cantonnée au premier d'un puits et aux autres quartiers de quatre fl
s de pustules et plus de tumeurs gommeuses, tout au con- traire des premières années. Les pustules, lorsqu'il en paraît, sont p
e à l'époque de la Re- naissance, Paris,1906. · (2) Jean Lemaibe, Premier conte envers (Le Triumphe). w - LE TRIUMPHE DE
nt et l'autre probablement brightiques. Et c'est là une no- tion de première importance, étant donnée la fréquence de l'hémorr
l'aqueduc de Sylvius sufl1t L pour déterminer l'hydrocéphalie de 3 premiers ventricules cérébraux, mais les faits probants
9 située sur la ligne médiane, semble obturer l'aqueduc : les trois premiers ventricules sont fortement distendus, la malade
olument saines, aussi bien sur la convexité qu'à la base. Les trois premiers ventricules cérébraux sont le siège d'une hydro
umeurs Seeligmiillel' (l) trouve une hydrocéphalie énorme des trois premiers ventricules et de celui duseptumpeHucidum, avec o
que, somnolence, mort subite. A l'autopsie, hydrocéphalie des trois premiers ventricules par oblitération de l'aqueduc de Sylv
r tuberculose pulmonaire. A l'autopsie : énorme hydrocéphalie des 3 premiers ventri- cules avec oblitération de l'aqueduc de
ptique bilatérale. Mort subite. A l'autopsie, hydro- céphalie des 3 premiers ventricules, avec occlusion presque complète de
ion névroglique. Touche (2) constate de même, l'hydrocéphalie des 3 premiers ven- tricules et l'oblitération de l'aqueduc, a
vant la mort. A l'autopsie, existait une hydrocéphalie énorme des 3 premiers ventricu- les, avec atrophie du manteau cérébra
t à cette obstruction que l'auteur rapporte la dilatation des trois premiers ventricules, et les signes d'hypertension intra-c
sme. A l'autopsie, pas de tumeur : hydrocéphalie considérable des 3 premiers ventricules, oblitération de la partie supérieu
éserves et ne pas adopter de conclusions trop absolues : dans notre premier cas, où l'aqueduc de Sylvius n'est pas intéress
métacarpe, maigrit et prend l'aspect d'une gouttière ; peu après la première phalange des doigts se porte en extension, tandis
ns, et qu'il voit des contractions fibrillaires dans les muscles du premier espace métacarpien. Dans les premiers mois de l
ne ; malgré l'atrophie des muscles de l'éminence hypothé- nar et du premier espace du métacarpe, le diamètre de la main droit
avant son entrée dans la clinique Charcot, il avait manifesté à un premier examen rapide une vive frayeur provoquée par le t
lle avait fait remplacer la chaise qu'il avait cassée chez lui Mis au premier degré avec lait. 28 décembre. - Refuse toute
une la région correspondant à la partie interne de la clavicule, au premier et deuxième cartilages costaux, l'autre à la pa
on de la part de l'organisme qui tend instinctivement à remédier au premier trouble ana- tomique ; après l'ossification des
edivisiondes cellules en différents types ne serait pas possible. Premier TYPE : LES CELLULES pinéales. Le premier type d
es de tissu conjonctif. Nous les divisons en trois groupes. 1) Du premier groupe les caractères sont les suivants : il y a
duite artificiellement par la préparation. Ce qui caractérise ce premier groupe de cellules est la grande régula- rité e
s qui ont des granules basophiles. 2) Le deuxième groupe diffère du premier par les qualités suivantes : le noyau est beauc
thode de Heidendain. Ces cellules sont moins communes que celles du premier groupe ; nous ne les avons pas trouvées dans to
rouge. 268 KRABBE Ces cellules sont aussi communes que celles du premier groupe. La signification de ces trois groupes d
minoïdes et le troisième groupe des substances lipoïdes. Quant au premier groupe des cellules, nous les avons trouvées en g
éales et les cellules névrogliques fait soupçonner une fonction des premières différente de celle des cellules névrogliques;
glions rachidiens correspondant aux membres malades. Ainsi, dans le premier cas de paralysie spinale à type monopiégique, seu
contient la substance chromatophile la moins altérée. Dans les deux premiers cas, la situation centrale du nucléole pourrait
démontrer, car il esl dû à un trau- matisme brutal s'apercevant du premier coup. Le deuxième est plus dif- ficile, car, po
, le possèdent dans leur cytoplasma, à quelque distance du noyau. A première vue, on serait tenté de croire qu'il s'agit d'une
au déroulement de toutes les phases successives de ce processus. Première phase (pi. XLI, fig. a). - Ce qui caractérise cet
essus. Première phase (pi. XLI, fig. a). - Ce qui caractérise cette première Nouvelle Iconographie DE la SALPÉTRIkRE. T. X
pourrait penser à la compression des branches postérieures des deux premiers nerfs cervicaux par un mal de Pott tout à fait ha
ois seulement il commence à marcher alors que son frère faisait ses premiers pas à 15 mois. Pas de rhumatisme articulaire de
s thyroïde n'est pas perceptible la palpation. Tête. La tête qui au premier abord paraît petite, présente néanmoins des dim
qui jusqu'à ces jours-ci ne s'est point amélioré. Ce qui frappe au premier abord, c'est la diminution de l'intelligence, le
, têtes arrondies, apophyses styloïdes qui se dessinent à peine. La première série des os du carpe n'est constituée que par l'
ion ressort davantage si l'on considère surtout le développement du premier métacarpien. La dernière phalange du pouce méri
phénomène pathologique, et par conséquent, c'est aux cliniciens en première ligne que s'impose la nécessité de résoudre le
Ces phénomènes ataxiques, nous les considérons comme constituant un premier groupe, ayant des caractères propres et un mécani
ont tous bien connus, depuis que Duchenne de Boulogne en a donné la première description. Voici quelques-uns de ceux-ci :
très avancée. C'est alors qu'en voulant chercher la vraie cause des premiers troubles ataxiques, nous avons remarqué que si,
-Ù, dire les phénomènes alaxiques que nous avons décrits dans cette première partie de notre travail est la coitsé- rprencec
hie que je m'étendrai. Une telle constatation, si exceptionnelle il première vue, répondait pourtant à l'idée qu'on pouvait
ctum. L'autopsie permit de constater l'existence, dans l'étendue du premier jusqu'au 9e segment dorsal, d'une atrophie de la
iée à 30 ans, elle a eu de nombreuses grossesses : 9 exactement. La première se termina à 7 mois 1/2 par la naissance de deux
n titre mal défini dans une étude d'avoué. A l'entendre, il y était premier clerc et faisait marcher lui tout seul toutes l
lasique; voici les données anthropométriques qui confir- ment cette première impression (1). NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
l'un de nuus a insisté dans un travail antérieur (3). Dans notre premier cas la polydactylie n'est que rudimentaire, car l
ire, à l'aide de deux cas remarquablement étudiés, en 1906. Cette première phase de découverte était à peine close, que s'eu
étude éliologique et un rappel de la vie antérieure, fait passer en première ligne l'habitus général et les troubles relatif
art des observations de déterminer la glande dont le trouble est le premier en date; l'examen attentif des mémoires montre as
testiculaire dans la dystrophie qu'il lui fut donné d'observer : le premier phénomène pathologique fut toutefois une orchite.
aire à ceux qu'il 42 i CORDIER ET REBATI U frappe « une pitoyable première enfance ; leur intelligence s'atténue, leur app
norchidie. Cette distinction a plus d'importance qu'il ne paraît au premier abord. Ces réserves faites, il faut reconnaître
et, bien qu'ayant souvent atteint ou dépassé la trentaine, donne au premier abord l'impression d'un adolescent à la période
at du malade est exactement semblable à celui quia été noté lors du premier séjour. Rien à signaler dans ses antécédents hé
au en octobre et décembre 1911, c'est-à-dire dix-sept mois après sa première observation. A l'entrée (octobre 1911) : Homme
modifiés ; la verge, qui était de dimensions à peu près normales au premier séjour,s'est atrophiée depuis un an.Mais le scro-
25 à 1 m.715.. C'est là la mensuration que nous avions faite il son premier séjour. Mais en prenant ses dimensions sur un pla
testicules à 25 ans 1/2. C'est à 26 ans 1/2 qu'il voit survenir ses premières modifications; sa moustache tombe et sa barbe (
jeté. Les désirs propre- ment dits ont disparu. Il est difficile au premier abord de s'en rendre compte, le patient ayant c
rs les avaient interprétés dans un sens différent; ils plaçaient au premier plan l'insuffisance d'une des glandes, le plus
i le vaste groupe des insuffisances pluriglandulaires, et dès leurs premiers mémoi- res Claude et Gougerot en citaient des e
'un de nous résumait récemment deux observations nouvelles (6) : la première donne la preuve d'une variété nouvelle de syndrom
aires, mais de- quelle nature était celte infection qui précéda les premiers signes de la maladie ? La bacillose associée à ce
n détail ci- dessus, nous notons qu'ils présentent un faitcommun de première impor- tance : c'est le raccourcissement bilaté
v 30 ].70 H. S. STANNUS ET S. A. K. WILSON Depuis l'époque où nos premières observations (H. S. Stanuus) ont été faites,un
vant de conclure, nous faisons radiogra- phier le poignet blessé. Première radIOgraphie, Les clichés que nous devons à l'ext
mpte la première radiographie pratiquée deux mois après l'accident. Première radiographie (juin 1907) : Fracture de l'extrémit
doigts. Réduction à peu près absolue de la capacité de travail. Une première radiographie faite deux mois après l'accident rév
els l'atrophie persistait avec ses caractères habituels. Chez notre premier malade, la lésion osseuse persiste dix mois apr
as ne sont pas superposables car le second blessé, contrairement au premier malade, n'a pas repris le travail. L'existence
me nous l'avons vu, la constatation d'une lésion osseuse chez notre première malade modifia complètement notre impression prem
se chez notre première malade modifia complètement notre impression première . An moment de l'examen, les symptômes accusés p
: au début, on le voit fléchir toutes les phalanges, y compris les premières , puis il essaie d'étendre ces dernières, tout en
car non seulement les autres doigts se fléchissaient, mais les deux premiers , le pouce et l'index, se fléchissaient eux auss
ssi de grands troubles d'équilibre cinétique -troubles ataxiques du premier groupe on comprend alors com- LE MÉCANISME DE L
elui-ci présentait aussi au membre inférieur gauche des troubles du premier groupe, parce que, en relevant la jambe en l'ai
t expliquer que par le même mécanisme que les troubles ataxiques du premier groupe, c'est-à-dire qu'ils consistaient en un
vérité, ce phénomène ressemble à un autre que nous avons vu dans la première observation, lorsque le malade ne touchait pas so
30 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nguinité. - Inégalité d'âge de 11 ans. - Frère mort de méningite. Première dent il 14 mois. Dentition complète à (/). Début
ipation habituelle. Strabisme interne de l'oeil gauche depuis les premiers jours de la naissance. Archives, 2° série, 1906
ce pas d'asphyxie. Nourrie au sein par sa mère. Sevrée à 21 mois. Première dent à 14 mois. Impossible de savoir à quel âge l
y assistait. Aucune suite locale fâcheuse, guérison de la plaie par première intention. On ne croit pas devoir ultérieu- rem
et 3 7°,G. Une seule fois, elle atteignit 37°, 8. Durant les cinq premiers jours de son entrée elle a été de : MÉNING0
ion et de la grossesse. -A la naissance, enfant chétif, asphyxié. - Première dent à 10 mois. Dentition complète à 2 ans. Pro
était chétif, violacé, et la cyanose persista pendant 3 ou 4 jours. Premier cri accompagné de stridor. Allaitement mixte, e
11 mois. Pendant 3 mois, il aurait eu des accès de cris plaintifs. Première dent à 10 mois, a souffert beau- coup à ce mome
. Nous avons transcrit plus haut (p. 109) la température des cinq premiers jours de l'admission. Comme elle était élevée,
elle souffre al1joUl'd'hui. Les troubles men- taux paraissent les' premiers en date et seraient survenus à l'oc- casion d'u
ntérieures droites au niveau des derniers segments lombaires et des premiers segments sacrés. Il wmble donc légitime de loca
à la suggestion, surtout à la suggestion armée, il a pu après la première séance manger quelques biscuits, puis après la se
actaire à l'hypnose, cette jeune fille a pu être endormie pour la première fois à la fin de novembre. Aujourd'hui elle parle
iatrique. Le Précis de Psychiatrie est divisé en trois livres. Le premier , que précède une introduction historique, est c
up plus considérable que dans les précédentes ; son importance de premier ordre le justifie. Plus de cent pages sont consac
chiques d'involution ou démences. Dans la troisième partie du livre premier , M. Régis ex- pose sa classification. Il distin
euse mais toujours judicieusement interprétée, par son érudition de première main, son caractère à la fois scientifique et p
le choruidien- nedu IVe ventricule et sur la face postérieure des 2 premiers seg- ments cervicaux siègent 3 petites masses g
ors le nombre de 5 à 6 par jour diminuèrent peu à peu. En mai 1886, premier mois de séjour à l'Asile, on note un accès quo-
profonde, plusépaissectplus dense, à fibres perpendiculaires aux premières . Dans ces deux couches cheminent des vaisseaux sa
cliniques. 1881, 1885, 1SS11, ]8\1 : 3, 18(1. (2) Communication au premier ( : on ? rès 1>clgc de neurologie* ! dv psyc
s diverses (diabètes .surtout.) C'est M. Christian (1) qui l'un des premiers a signalé le mal perforant dans , la paralysie
es en trousseaux nettement limités commencent, à la hauteur de la première racine cervicale, à s'éparpiller le long de la co
lleBurlla<;lt in toto.Ce cas montre que les libres émanées des 4 premières racines dorsales et de toutes les racines cervica
x des pyramides était particulièrement nette en l'espèce. Celle des premiers ne dépassait pas le niveau de la partie inférie
Eloigne-t- on maintenant ses doigts, l'aiguille reprend sa position première . Les doigts posséderaient-ils une force électro
lle recule devant la main qui s'approche, pour revenir sa situation première quand la main s'éloigne. Rien de semblable ne s
en agissant sur la face externe des extrémités in- fériea,rrcs des premier et cinquième métatarsiens. 6° Fi'appe-t-on sur
s cnfantsagé de quelques mois seulement. Effectivement, l'aspect du premier ne laisse aucune hésitation sur l'existence et
téraire, il con- naissait et citait tous mes travaux; il fut un des premiers Français qui connut et répandit en France la li
table comme les autres malades, a mangé deux soupes, de la viande ( première fois depuis 8 mois) des légumes. 14 août 1900 a
une dame âgée de 31 ans. Le début de son affection remonte à son premier accouchement qui eut lieu en septembre 1902. Six
fut prise, à la suite d'une vive frayeur, survenue au moment de sa première menstruation, d'une attaque convulsive intense
retracer avec précision les circonstances. Peu de temps après cette première crise, apparurent des mouvements cloniques invo
- sance, pousse un cri rauque soit en tombant, soit au moment des premières convulsions, puis se relève au bout de quinze à t
es : physiologiques au point de vue obstétrical. Pendant les quatre premiers jours après l'accouchement, le calme du système
s mouvements choréiques reprennent leur intensité et leur Iréquence première . Une vive contrariété provoque, dans la nuit du
chorée de Sydenham vulgaire. Celle-ci apparaît à l'occasion d'une première grossesse, et n'est bien souvent qu'un rappel d
pourvu sans phrase dès la plus prochaine vacance ; nous disons le premier venu parce quela loi ne metencoreune fois aux p
mal comprise et quel ne sera pas le découragement des infirmiers de première classe aux- quels ce seul moyen d'avancement se
les tissus deviennent plus denses, leur dessin s'efface : c'est le premier stade. Plus tard le liquide céphalo-rachidien, in
l'hypothermie. Observation IV. -Garçon âgé de 18 ans. Naissance et premier » mois normaux. Vers l'âge de li mois, arrêt du
deux symptômes : infantilisme et myxoedème. 11 semble que ces deux premiers soient intimement liés et résultent en général
des lobes occipitaux expliquaient la récitée, Enfin le pied delà première circonvolution frontale gauche était intéressé pa
laire. Griffe cubitale typique à gauche avec hyperextension de la première phalange des deux derniers doigts el. flexion des
bres. Cas. IV. - Torticolis spasmodique organique. Dans les trois premiers cas, qui sont des tics vrais, il y eut deux cas
mère. Les suites opératoires furent normales, la réunion se fil par première intention, et les troubles signalés plus haut g
gie cérébrale spasmodique « très souvent congénitaux, ou datant des premiers mois du la « naissance, la rigidité musculaire
cellent. Aucun de ses anciens collègues n'a eu il revenir sur celle première impression et bientôt Vernet devint aussi l'ami d
ents, et exécute à la gym- nastique des échelles de corde les trois premiers mouvements. 1896. - Passe à l'écriture, fait de
de mange seul, marche et court librement. Il exécute bien les trois premiers mouvements de la gymnastique des échelles. La p
it à la gym- 252 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. nastique les deux premiers mouvements (assis, debout) et commence à sauter
en frottant son pavillon; il est nommé par les autres enfants le « premier frotteur ». 1904. L'enfant s'améliore toujours,
ême à sa famille et sans le concours de personne. Il fait les trois premières opérations en arithmétique, a quelques notions
ttention devient plus fixable, il peut maintenant exécuter les deux premiers mouvements à la gymnastique des échelles, saute
pre. Il commence à lacer, à nouer et boutonner. Exécute les deux premiers mouvements à la gymnastique, saute 2 degrés de
s penchants. Sait mieux s'occuper aujourd'hui et il fait les quatre premières opérations en arithmétique. Com- mence à faire
ons en arithmétique. Com- mence à faire les problèmes sur les trois premières règles. Tra- vaille bien à l'atelier de menuise
et boutonner. A la gymnastique, il exécute aujourd'hui les trois premiers mouvements et saute trois degrés de l'escabeau.
t difficile de le tenir long- temps assis, cependant il ébauche nos premiers exercices, essaie de boutonner, lacer. Il place
lasse. Il lit couramment, fait quelques dictées de mémoire et les 3 premières opérations, caractère toujours difficile, gross
. -, , . 1898. Notre élève est arrivé à faire assez bien les deux premières opérations, l'écriture s'améliore de plus en plus
IQUE DES IDIOTIES. 275 tenant la division et l'application des deux premières opéra- tions, commence la rédaction. Il va à l'
ût en classe, il a moins de fautes dans ses dictées, fait les trois premières opérations, et ébauche la division, mais ne sai
toujours avec goût et docilité en classe, il fait maintenant les 3 premières opérations et ébauche la division à un chiffre,
xercices sco- laires a fait des progrès notables; il fait les trois premières opérations et commence à en faire l'application
nnés. Nied ? lit couramment, écrit lisiblement, connaît les trois premières opérations de l'arithmétique et fait des petites
ont remarquables. A son entrée Germaine ne connaissait que les deux premières opérations de l'arithmétique; son écriture étai
re de mots; elle écrit b : en et tait des copies, connaît les trois premières opérations de l'arithmétique. En résumé cette e
MENTALE. au psychiatre paraît ici indispensable pour résoudre ces premiers points du problème. Mais au point de vue psycho
e depuis novembre 1880. Douze à quatorze crises par mois en- viron. Première crise après un accident de voiture : chevaux d'
ider dans l'examen des dates comparées de l'acci- dent et du ou des premiers signes physiques constatés de la paralysie géné
segment lombaire, correspond au grand adducteur. Le droit interne, premier et second adducteur, doivent tirer leur origine
u groupe postérieur. Atteinte aussi du 5- segment lombaire et des 3 premiers sacrés. ' On trouve dans ces préparations (figu
dernier cas, que la malade s'endormit quelques instants au bout des premières 24 heures. Contrairement à ce qui arrive pour l
l'oeuvre de Séguin que nous persistons à considérer comme un des premiers éducateurs du XtX" siècle. Outre les volumes do
u durachis, commotions cérébrales concomitantes,etc.) Au moment des premiers soins, dans les quarante-huit heures, la loi de
comme une somnambule. Elle se laissa aller dans un fauteuil, et sa première question fut celle-ci : « Professeur, tout est
état est devenu latent, et devenir quelquefois même la cause de sa première manifestation ; mais il n'est pas prouvé que le
re défectueuse mais elle peut rédiger une lettre; connaît les trois premières opérations de l'arithmétique et en comprend l'a
s devoirs variés de grammaire et de géographie, ainsi que les trois premières opérations de l'arithmétique. Le caractère est
réels progrès. Elle lisait très couramment, con- naissait les trois premières règles de l'arithmétique, commen- çait la divis
plaisir à faire la gymnastique, exé- ci-te parfaitement les quatre premiers mouvements, sait de même lacer, boutonner, agra
commence à faire tles petits devoirs de grammaire, connaît les deux premières opéra- tions de l'arithmétique, elle lit lentem
it bien; donne à sa lecture une bpnne intonation, connaît les trois premières opérations de l'arithmé- tique, suit une petite
xer- cices de ses compagnes. Elle lit par syllabes, fait les deux premières opérations de l'arithmétique, écrit lisiblement,
n- L 412 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. taires, connaît les trois premières règles de l'arithmétique. Elle a un bon raisonn
logée dans l'espace sous-arachnoïdien compri- mait d'abord les deux premières sacrées puis les 3° et 4e ; la balle fut enlevé
nquête, l'auteur a fait les ré- flexions suivantes. Les écoliers de première année présentent des troubles de la parole : ma
cation, les universités populaires et aussi les mères qui sont les premières éducatrices de l'enfant et peuvent surveiller les
conclusions in- téressantes, il a en plus accumulé des documents de première importance que tous les chercheurs pourront uti
est au moment de la ménopause. Elle a eu cinq enfants dont les deux premiers sont morts de tuberculose et le dernier est obt
curieuse, nous retrouvons, comme chez le malade del'ob- servation première , la blennorrhagie parmi les anam- nestiques deR
s divers segments des membres droits et gauches, au détriment des premiers . Les éminences thénar et,iL un moindre degré,hypo
les deux modes de disparition de la cellule nerveuse. II. A cette première zone, granuleuse, en succède une seconde moyenn
tement dévié en dedans ce qui l'empêche de distinguer les lettres à première vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a appr
ssez couramment, son écriture est régulière. Elle connaît les trois premières opérations de l'arithmétique sans toutefois en
est très courante, elle fait des petites dictées, connaît les trois premières opérations de l'arithmétique, rédige une lettre
ire, à faire quel- ques devoirs de grammaire, elle connaît les deux premières ' opérations de l'arithmétique et lit presque .
son écriture est très lisible et bien formée; elle connaît les deux premières opérations de l'arithmétique. Elle s'exprime tr
lle exécute les mou- vements avec .une facilité étonnante» Elle est première en gymnastique. Cette enfant atteinte d'imbécil
; elle suit une dictée du cours élémentaire. Elle connaît les trois premières opérations de l'arithmétique; lit couramment et
es et instituteurs, les infirmiers et in- firmières doivent être de premier ordre, au physique et au moral, doués d'un degr
dico-pédagogique (1), etc. , pour les enfants atteints d'idiotie au premier et au second degrés, les enfants atteints d'imb
moins profondes. Pans le groupe des lésions dégénératives ligure en première li- gne l'abondance du pigment noir qui est nor
culaire. 11JI. Déjerine et Camus montrent ce malade dont les cinq premières racines cervicales gauches sont en outre anesthés
de 18J8, ou ordonnés par l'autorité publique, ou volontaires. Des premiers , vous êtes seul directement et personnellement re
espondent habituellement L des lésions du tiers postérieur des deux premières circonvolu- tions temporo-sphénoïdales. L'étend
ie Elle s'explique moins par l'atteinte d'un territoire cérébral de première nécessité que par l'association d'un proces- su
31 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
u.vségtir a fait connaître sous le nom de somnambulisme magnifique. Première observation (1). « Une cataleptique de quatorze
rdinaire en ce qu’elle répondait aux questions qu'on lui faisait. I.a première menstruation s'établit chez elle après quelques m
révolution autour de son corps, el que si Michel ne les saisit pas au premier tour, il les manque rarement aux tours qui suiven
t dans un état de spasme. Je me hâtai de la réveiller, bornant là mon premier essai. Je crois que cette jeune personne est auss
ant de faire comprendre quelques traits de ces étranges phénomènes. Première expérience. — Soit deux lignes de craie tra- cé
même après l’opération; les plaies se cicatrisent en peu de jours par première intention; dans les autres cas, je n’ai remarqué
de ses sens. Interrogé sur ses sensations, il ne se rappelle (pie ses premiers mouvements , et dit que les trois premiers pas qu
il ne se rappelle (pie ses premiers mouvements , et dit que les trois premiers pas qu’il a faits étaient accompagnés d’un sentim
tte scène étrange eussent voulu protester contre ce résultat. Cette première émotion calmée, M. du Pote t engage une autre per
honorer son nom ; il se condamne au silence et se résout à partir. Ce premier acte est égayé par la présence de deux amis du co
..» En effet, toutes les personnes de la noce paraissent, et les deux premières qui se trouvent en présence sont justement le com
stement le comte Annibal,qui a changé de nom, et la petite baronne du premier acte, qui n’est rien moins que sa femme légitime.
ontaine vient de livrer k l’impression l’Art de magnétiser; c’est son premier écrit. Nous l’analyserons aussitôt qu’il aura par
dans les différentes parties du corps où je dirigeais ma main. Cette première magnétisation dura une demi-heure, et la malade s
faire contracter des habitudes et adopter des principes opposes à ses premières dispositions. Par exemple, dans la maison où sont
seigné, et, grâce à vos instructions, j’ai réussi constamment. « Ma première tentative fut la guérison d’une gastrite nerveuse
’on peut donner aux sciences ce qui leur manque : la connaissance des premiers principes; utile, car c’est par elle seule que le
, tandis que chez l'homme c’est, an magnétisme plus spécialement, lin premier rang je mettrai chez nous l’amour. Ce mouvement,
tôt ès humeurs immédiatement adhérentes aux substances que non pas ès premières qualités d’icelles, dont inférons nécessairement
les difficultés, m’altira les railleries des vétérans de l’art. Ce premier échec, que je ne soupçonnais pas, me surprit sans
ne diminution de la somme de nos forces. Voici ce que l’on observe. Premier fait. Plein de confiance en lui, sûr de l’impui
uble, tremble de tous ses membres, puis redevient calme. Différent du premier expérimenté, nulle fureur ne sc peint en lui; un
rouve quelque difficulté à éloigner l’expérimenté du miroir. Comme au premier , on lui ôte le souvenir sans «au du Léthé (I).
qu’une personne s’ofFre à vous vous prévient-il en sa faveur ; cette première impression n’a-t-elle rien qui vous blesse, qui v
essous de lui, et que le feu était prêt à dévorer. Soudain toute sa première tendresse se réveille ; il n’envisage plus que l’
n faite au banquet du 23 mai 184 6, de consacrer le souvenir de cette première ovation à la science que Mesmer nous a léguée, pa
Un journal social de Madrid, intitulé l'Attraction, contient dans son premier numéro un long article sur le magnétisme. Ainsi p
-être plus encore, y pourra puiser d'utiles renseignements, car notre première pensée a été l'enseignement de l’application du m
Vous ne savez donc pas, madame, lui dit-il, que «j’ai reçu de vous ma première couronne? Vous vîntes « à Briennc distribuer les
s mille ob-« stades, chez les soldats, nn chemin, et deviendra leur « premier chef. Ce chemin sinueux lui baillera force « pein
de Bonaparte à la secte universelle des francs-juges. La date de son premier serment fut fixée au Ier septembre 1795 ; on dit
es tables de pierre où le cours des astres était tracé ; et de là, en premier titre, la naissance de l’astronomie, de l’astrolo
voyez dans ce rapide exposé la vérité de ce que j’ai avancé dans mon premier article: Mesmer tira la mère du sein de ses enfan
nétique , j’ai pensé qu'il vous serait agréable d’en être informé des premiers , afin d’en donner avis à nos amis communs que ce
n jourà l’humanité, ils donnent, d’une voix unanime, la préférence au premier de ces moyens. En conséquence, j’ai l’honneur d
om, M. de Balzac est celui qui a le plus étudié le magnétisme. Un des premiers , il a affronté le ri- diculc attaché à cette qu
bouche, la cloison alvéolaire située au-dessus de la tumeur. Celte première opération fut faite an jour indiqué; les gencives
pe divin infusé par Dieu dans sa créature, et qui obéit à sa destinée première en se communiquant de l’un à l’autre ; c’est le l
ribuât les médailles à l’effigie de Mesmer. On appelle les membres du premier banquet qui avaient voulu concourir aux dépenses
naissance de Mesmer, il fut proposé de consacrer le souvenir de cette première ovation à la science qu’il nous a léguée par une
e année. Le premier elle second tiers des sortants, pris sur les neuf premiers membres, seront désignés parle sort; les trois me
les membres composant le Jury, conformément aux dispositions des deux premiers paragraphes de l’art. 3. A la suite du vote de
, etc. » Quant aux névralgies temporales, cinq minutes suffisent au premier mesmériseur pour que les battements cessent de su
y a chaleur? Ne serait-ce point le nerf reconstitué dans sa condition première d’équilibre des fluides? Et quand je dis le nerf,
Les ligaments, excités par cette force vitale, reprenaient leur place première , et le nœud était dénoué. La douleur mécanique ce
videntes, sans quoi l’édifice est hasardé et s’écroule tout entier au premier souille du scepticisme. — Le Charivari du 2.5 m
lerie ; — Edouard Duché-vreuil, propriétaire ; — Le Goupil, commis de première classe de la marine ; — Corrard, ingénieur des co
ocation avec perte de connaissance et de violentes convulsions. Cette première attaque d’hystérie dura une demi-heure environ. L
le eut, à la même heure, un accès convulsif parfaitement semblable au premier . Dès la troisième attaque, elle fut immédiatement
ur de 14 kilogrammes, éthérisé dans le même service, ne sent rien aux premiers coups de bistouri; mais quand on arrive aux ligam
e névralgies pures , etc. Seul, il peut souvent suffire dans les deux premiers cas. « Son action ne paraît contrarier en rien
et, archevêque de Reims, et de Donald, archevêque de Lyon. Quant au premier , on m'assura avoir dit qu’il ne se permettrait pa
médie. « Cette publicité, en constalant la double mystification des premiers ouvriers, a produit chez eux une grande irritatio
n d’homicide est ici plus que légitime. Ce fait, qui paraît simple an premier abord, est cependant l’histoire de ce qui sc pass
es Pairs, en consacrant cet état déplorable, a mis entre les mains du premier individu venu le moyen de commettre un homicide i
sse instruite et exercée dans l’art militaire formera la pépinière ou première force armée de la république. Parmi ceux qui voud
ptibles d’étre électeurs s'ils sont propriétaires à cens suffisant. Première réflexion. — Peut-être taxerait-on de singularité
propres à constituer le parti de l'opposition, parmi lesquels sont en première ligne B., C. et Ganil. Voilà l’événement qui fo
voulu donner des preuves de clairvoyance, ont détruit les effets des premières . En sorte que le pauvre magnétisme a plutôt perdu
le choléra vers 183iou (835. Traitée par le mercure, elle échappa au premier des deux lléaux, mais depuis lors elle eut toujou
t qu'il faut distinguer différentes espèces de songes, et que la base première de l'oniromancie consiste à s'assurer si le songe
mme peu avisé et qui ne peut rien prévoir, vient de celte coutume des premiers chrétiens, qui d’ailleurs n’était qu’un reste des
l’on n’ose plus rejeter sur la fraude et l’ignorance les prodiges des premiers siècles. On étudie $ et il semble qu’un changemen
matrice et le charbon à la main gauche.) 2. Jeanne, fille Claverie, première née, de Pau, rue Gassies. (Un champignon à l’
graves sans douleur, selon la déclaration des malades, pensa que son premier devoir, en constatant rëfücacité .des procédés de
une eau pour ses yeux et partit pour nese réveiller qu’en arrivant au premier but de sa sortie. En rentrant, elle fut étonnée d
er; à ces mouvements brusques et répétés qui avaient lieu lors de mes premières magnétisations succédèrent des mouvements souples
ranger. L'Alliénée magnétique de Lyon vous prie donc de l'inscrire en première ligne des Sociétés qui probablement viendront bie
publié il part avec le fac-similé de la médaille commémora ti ve d u premier banquet mesmérien. La ligure ci-contre avec le re
Dieu, ajouta qu’il y avait encore un second commandement semblable au premier , celui de l’amour du prochain : Vous aimerez votr
LE ROI. COMPARUTION. Nous, juge ¿’instruction près le tribunal de première instance de l’arrondissement do Pau, mandons à l’
de première instance de l’arrondissement do Pau, mandons à l’huissier premier requis d'assigner le nommé (*) Laforgue, officier
tin, à la requête de M. le procureur du roi près le tribunal civil do première instance séant à Pau, qui élit domicile en son pa
ier en la Cour royale séant à Pau, reçu et immatriculé au tribunal de première instance de la liîc ville, demeurant audit Pau, s
rot, d’Arette. (Douleurs rhumatismales.} 13. Bernard Domecq fils, premier né, d'Arelte. (Inllammalion au ventre.) 1 i.
au. (Fièvre avec transport ei insomnie.) 41. Jean Lapassade lils, premier né, d’Artiguélouve. (.Maladie du foie, migraine
de Monlestruc. (Indainmation de poitrine.) 45. Pierre Bkoca fils, premier né, de Baringne. (Inflammation de poitrine, fiè
(Migraine et palpitation de cœur continuelle.) ¿6. Anne, iille Rey, première née, de Bizanos. (Fièvre tierce.) 57. Magdela
zkkave, de Lembeye. (Maladie du fuie.) C5. Jean Mouciiouret fils, premier né, de Monlcslruc. (Maladie de langueur, fièvre
e, fortes u ¡graines, affection nerveuse.) 70. Marie Trille, lillc, première née, h. de Gélos. (Fièvre continue, insomnie, s
épouse Bkhdot, d'Idron. (.Maladie de langueur.) 83. Jean Lauliié, premier né, cordonnier, de Pau, rue des Cultivaleurs.
ype est lombO eu cinquante-six jours, lOÍ. Marie Buessolles, fille, première née, de Tarbes. (Kpileptique; elle tombait tous
alaise général, insomnie, sans appétit.) 107. JeanneSassous, fille, première née, de Pau. (Fièvre continue.) 108. Marthe,
e palpitation de cœur permanente.) 117. Jean-Auguste Foucques lils, premier né, de Pau, rue du Palais. (Fièvre lente, mal
isée a suffi pour la guérir.) 122. Jeanne-Jeantin Minvielle, fille, première née, de Bilhère. (Maladie de langueur. L'eau
. (Point de côté. Deux séances l’ont guéri.) 126. Louis Dat fils, premier né, élève an collège. (Migraine, fièvre nerveus
li. de Pau. (Maladie des paupières ) 130. Anne Cazekave, fille, première née, de Pan. (Maladie d'yeux.) 131. Jean Sain
lui fit rendre te dépôt en deux jours.) 150. Marie, fille LaCrouts, première née, de Pau. (Pâles couleurs, perte blanche, su
Perle de sang continue. Depuis six semaines ‘elle gardait le lit ; au premier verre d’eau magnétisée la perte a cesse.) 153.
ils, li. de Pau. (Hydropisie gén raie.) 156. Pierre Bidaiat fils, premier ne, de Bilhère. (Fou.) 157. Jean-Antoine Monr
, premier ne, de Bilhère. (Fou.) 157. Jean-Antoine Monrepos fils, premier né, de Gélos. (Migraine permanente cl fièvre le
cœur, migraine, venls, insomnie, sans appétit.) 165. Michel Barbé, premier né, de Jurançon. (Rhumatisme, fièvre lente, mig
ente, migraine, insomnie, sans appétit.) 166. Bernard Malarpe fils, premier né, d’Assat. . (Convulsions nerveuses.) 167.
(Maladie de langueur, insomnie, sans appétit.) lf.9. Marie IIusté, première née, h. de Gélos. (Maladie des femmes, suppress
ntièrement perdu l’usage de marcher.) 180. François d’ARRtCAU fils, premier né, de Bilhère. (Inilammation de poitrine et du
ment, c’est le démon qui, sous la forme d’un serpent, conseilla à nos premiers parents la désobéissance aux ordres du Créateur (
Ià qu’il doit être combattu futtibus et armis. » Celte objection, à première vue, parait très-forte; mais puisque ce ne sont p
constater les progrès sensibles qu’il a faits dans le cours de cette première année de sa fondation. Ces progrès sont tels que
, n'était autre chose que la mémoire en sens inverse. Ces érudits des premiers jours voyaient ce qui n’est pas encore, aussi cla
s’il eût été précédé du spectre de sa ressemblance. « Le jour de ma première communion, j’entendis un concert aérien d’une dou
r la pratique au lit das malades. HOPITAL MESMÉRIQUE DE CALCUTTA. Premier rapport du docteur Esdaile; traduit par M. le com
ler; il ne voulait pas être dérangé ; enfin il ouvrit les yeux, et sa première demande fut pourquoi tant de monde l'entourait.
Impuissant et faible, je ne puis me comparer à ces grands hommes. Au premier échelon d’une échelle qu’ils gravirent, mon œil a
ine avait jugé incurable; c’était une tumeur cancéreuse, etc. Celle première opération lit voir à l’œil exercé que le virus
l’opération réussira maintenant que Mmc Valette me donne la main (aux premiers cris elle était accourue). Je souffrirai non à
apprendrai, de la force occulte, cause des plus grandes merveilles. Premier fait. Ma main tient le miroir fatidique; elle t
ur du miroir, puis s’en éloigne, revient, fléchit et tombe à la plaçe première qu’elle occupait. Elle allonge les bras, enfonce
reslé émerveillé. » Jeudi dernier, M. el Mmo Hermann ont donné leur première représentation. L’assemblée n’était pas aussi con
as encore admettre le magnétisme. » M. et M“ Hermann, lors de leurs premières expériences publiques, appelaient leur seconde vu
s du monde du magnétisme, c’est un tour que nous pouvons apprendre au premier venu. S’ils sont visités par des magnétiseurs, il
ffet, comment expliquer le sentiment de sympathie que l’on éprouve au premier aspect d'une personne qui vous attire à elle et v
a donc le quatrième mois de traitement avec autant de confiance qu’au premier jour ; cependant bientôt une légère somnolence se
ulres, mais simples d’abord pour ne pas intervertir l’ordre établi. Premier exemple. Essayons si ce disque magique aura per
teinture d’arnica et demi-once huile de camomille. Pendant les deux premiers mois de mon traitement, si je ressentis vivement
32 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
Nerveux à la Salpêtrière (1). . MESSIEURS, Je vais consacrer ma première leçon du Vendredi de la présente année scolaire
uelle il se rattache : cette famille est celle des Ecttoxttélietts, première division des monstres unit tires ccxttosites (c
pies de la Planche III représentent le sujet en question : les deux premières donnent l'aspect de face et de profit d'un moulag
se qui doit aboutir à la naissance du monstre, presque toujours aux premier et deuxième mois (tel notre cas) ; nous n'insis
up plus court, dont l'extrémité digitale s'arrête vers la moitié du premier os,formant sur son bord convexe une saillie vo-
souvent reproduit par D. Teniers le Jeune. Ce dernier 'qui, pour premier maître, eut le vieux Teniers, s'inspira souvent
es quatre personnages qui, dans l'Etuve de Cassel, sont groupés aux premiers plans. Le malade, assis sur une chaise, de prof
tionnel. -La scène est toute simple et l'intervention se comprend à première vue : Le Barbier retire un vieil emplâtre posé
30 mai elles éclatèrent de nouveau subintrantes; le malade tomha du premier coup en un véritable état de mal permanent. C'éta
ance néoplasique. A la face externe, la tumeur s'étend sur les deux premières circonvolu- tions frontales et laisse intacte l
ord cubital est concave, concavité qui se voit aussi à l'origine du premier espace interosseux à cause de la dispa- rition
rapproche beaucoup plus de celle de la main normale. Le contour du premier espace interosseux est moins rentrant la main gau
é il y a 23 ans par la main droite. Ce qui a 'attiré son attention en première ligne, c'est une parésie dans les mouvements du
ntent dans certains cas des bandes pigmentées et les extrémités des premières phalanges sont tuméfiées. Une autre affection à
ans une certaine mesure à l'apparition de ces troubles. Ainsi les 3 premiers malades présentant la main succulente sont âgés
» Entrons dans les détails des examens microscopiques. A propos du premier cas il est noté à propos des cordons postérieur
sans que son état se modifiât, lorsqu'environ trois mois après mon premier examen, elle se plaignit de douleurs au niveau de
nt quarante-huit heures. Les douleurs avaient repris leur intensité première lorsque je revis la ma- lade. Croyant que leur
sation dans le décubitus dorsal, immobilisation qui joue un.rôle de premier ordre dans la thérapeutique rationnelle de cett
is heures ; elles reviennent quatre il cinq jours après chacune des premières injections pour disparaître définitivement aprè
imple et aisée. Par ce faire hâtif, aux touches larges,sûres, et de premier jet, Brouwer reste un des plus curieux représen
che. La médecine qu'on y fait est fort primitive. Nous assistons au premier temps de l'opération dont le Teniers de Cassel
timètre souple ordinaire, de la moelle épinière et des racines. Nos premières expériences dans ce sens, exécutées sur des rachi
pectivement de 52 centimètres, 60 cent. 3 et 72 cent. 8. Chez notre premier sujet, sur 3 cent. 1 d'allon- gement, 8 millimè
t, 8 millimètres étaient revenus aux vertèbres cervicales, 4 aux 10 premières dorsales, 12 aux 3 vertèbres suivantes, 7 aux 4 d
a deuxième paire radiculaire dorsale, avec maximum à la hauteur des premières paires lombaires : nous renonçons à donner à ce s
veau procédé de traitement ; le 19 janvier 1889, nous publiions nos premiers résultats (2), obtenus sur 18 tabéti- ques ; le
douloureuse : la tolérance augmente géné- ralement dans les 5 ou 6 premières séances pour devenir ensuite station- naire. D'
eu du pourcen- tage de 35 à 40 insucccès pour 100 établi dans notre première statistique portant sur 100 cas de tabes traité
traité à l'Institut Pasteur du 25 février au 16 mars, a présentéles premiers symptômes de la maladie le 22 mai (spasmes, hyd
re. Ces filaments, bien arrêtés dans leur forme,pourraient donner à première vue l'impression des bactéries filamenteuses in
erme complètement la main, on peut constater, à la face dorsale des premières phalanges, que l'espace interdigital occupe les
s de l'étendue comprise entre la tête des métacarpiens et celle des premières phalanges. Chez M. S.. l'es- pace interdigital
ir sur les épreuves ci-jointes (Pl. XX) qu'à part l'inclinaison des premières phalanges sur les métacar- piens,elles ne prése
oubli que sa nourrice avait commis de ne pas lui redresser, dans sa première enfance, les qua- tre derniers doigts de ses ma
fre cette disposition : l'angle formé par le rapprochement des deux premières phalanges est plus aigu. La corde est très nett
ne de rhumatisme chronique, quelque sé- duisante qu'elle paraisse à première vue. (1) JACCOUD, Leçons de Clinique médicale f
phique et qu'il trouve suffisantes pour faciliter le glissement des premières phalanges vers le bord cubital ; il fait en out
la déviation cubitale s'accompagne dans la règle d'une flexion des premières phalanges sur le métacarpe, flexion qui, dans l
une main de cadavre trois aiguilles, une profondément au niveau du premier espace interosseux dorsal, la seconde superfici
sins de la médaille. Et de, même,' quand nous avons associé à cette première médaille, une seconde.médaille en aluminium, de m
énar, c'est l'abduc- teur du petit doigt qui semble être atteint en première ligne, d'atrophie musculaire. En tout cas, et c
e pal- maire de la main à la face antérieure de l'avant-bras, et en première ligne, c'est le cubital antérieur qui serait pr
s premiers noyaux atteints seront ceux qui sont situés au niveau du premier segment dorsal et représentent les muscles des
péri-épendymaire qui se dirige dans le sens ver- tical et touche en première ligne les noyaux les plus rapprochés du canal é
présenté le type de la main de prédicateur. Même dans l'observation première de Charcot et Joffroy, il existait « des canaux
onique plus rare à laquelle paraît appartenir notre cas, du moins à première vue. A une analyse plus serrée, on voit qu'on n
e variété de mouvements choréiques que l'on appelle un tic. Cette première conclusion est purement symptomatique. Il faut ch
pour origine un centre dans les masses encéphaliques. » Dans son premier mémoire (le seul antérieur à Brissaud), Féré n'en
ection, résection, élongation du spinal ; myo- tomie, résection des premiers nerfs rachidiens, etc., tous procédés qui ne so
l décrits. Le problème est actuellement beaucoup moins simple qu'au premier jour. Le myxoedème joue un rôle pathogénique de
imple qu'au premier jour. Le myxoedème joue un rôle pathogénique de premier ordre dans un certain nombre de cas d'infantili
rdivement, le myxoe- dème refait à ceux qu'il frappe, une pitoyable première enfance, quelque chose comme la torpeur foetale
n- tile de petite taille se rappro- chera toujours davantage, à première vue, du type parfait de l'infantilisme, qui est
actuellement je ne compte plus les faits qui confirment mon opinion première . Il me serait facile de vous en présenter un très
249 deux aussi dépourvus de corps thyroïde vous rappelleront notre premier malade. Ils ont la face ronde, bouffie, les pau
r les suites de l'extirpation du corps thyroïde, en un mé- moire de premier ordre, riche de faits et d'idées ingénieuses. C'e
ette aura été entravé. Il me semble que j'en ai dit assez sur cette première variété d'infanti- lisme qui est, n'en doutez p
Laissons de côté la variété féminine et ne considérons que les deux premières variétés. Il me semble qu'elles se confondent en
er il côté d'un homme de 29 ans, est, comme vous en pouvez juger du premier coup, un peut nomme lui-même mais non plus un
i les grands nègres de l'Afrique centrale. Ce sont des dégénérés au premier chef destinés à disparaître. Beaucoup d'entre eux
s et ceux qui sont frustes, et permettant peut-être de conclure des premiers aux autres, et de tirer quelques déductions d'o
river sur la ligne médiane qui, en aucun point, n'est atteinte. A première vue, si l'on compare notre photographie Pl. XXVII
innervation d'un groupe ner- veux anatomiquement déterminé. A notre première observation, on a fait DES NIEVI DANS LEURS RAP
xiquer le foetus, dont les-organes sont des plus sensibles dans ces premiers moments du développement. Il est donc possible qu
la difficulté est encore plus grande qu'on ne pourrait le croire au premier abord : un grand nombre des hémiplégiques infanti
l'atrophie musculaire n'existait pas. Examinons les 10 malades du premier groupe, dont les observations suivent. 10r GR
rite de l'articulation-métacarpo : pha.langieîúiëdüpÓuce ? 3dophie du premier espace interosseux et du thénar. Rien au memb
laccidité musculaire sans atrophie vraie. Chez sept des sujets du premier groupe, l'atrophie portant sur le mem- bre supé
rendue encore plus évidente par les trois dernières observations du premier groupe. En effet, dans l'observation VIII, il e
ienne du pouce, et celle-ci coïncide avec l'atrophie des muscles du premier espace interosseux et du thénar. DE L'ATROPIIIE
main, atrophie muscu- laire généralisée. Chez les dix malades du premier groupe, l'atrophie est restée limitée au membre
jours après l'accident. Voici, succinctement, les résul- tats de ce premier examen : A droite, les mouvements passifs du me
bres inférieurs, le raccourcissement de l'une des jambes frappait à première vue : le malade boitait un peu, et il avait la
radiculaires postérieures. Parmi ces collatérales, il distingue en première ligne : a) Les collatérales pour la commissure
en dégage impérieusement, c'est la suivante : Les COLLATÉRALES DU PREMIER GROUPE, les COLLATÉRALES SENSITIVES, QUI SUBISS
placé devant vous, je n'ai fait représenter que des collatérales du premier groupe, des collatérales croisées, qui se rende
yeux. Ce schéma (Fig. 5), je vous le répète, est très ingénieux. A première vue, il explique admirable- ment l'hémianesthés
plaie qui persista pendant 13 ans, s'ouvrant, chaque hiver, dès les premiers froids, pour ne se fermer qu'en mai. Le pied gauc
s passagère des phénomènes paralytiques et atrophi- ques chez notre premier malade, comme le fait est bien connu surtout de-
e spécial quant la gestation, ni quant à la naissance, ni quant aux premières années. Il aurait eu des convulsions pour la pr
coloration de la peau s'atténuait. Quand je revins de nou- veau au premier octobre il ne restait aucune trace de la colorati
leurs observations on voit que tous présentent, comme les sujets du premier groupe, de l'amyotrophie du membre supérieur. M
eau de l'articulation métacarpo- phalangienne du pouce, atrophie du premier espace interosseux et du thénar. Mart. M..., ho
ticulation métacarpo-phalaugienne du pouce. Atrophie des muscles du premier espace interosseux et du thénar. Membre inférie
l'articulation métacarpo-phalangienne qu'accompagne une atrophie du premier espace interosseux et du thénar. - ' De plus, c
microscopique dans les deux cas est identique; seulement, clans le premier cas, on a l'impression d'avoir affaire à un proce
la grande maladie qu'elle présente : l'épilepsie. Ce qui frappe au premier abord, ce sont ses mains en « pinces de homard
ésents, mais deux, le second et le troisième, sont acco- lés à leur première "phalange et libres seulement à l'extrémiCé; ilsso
remarque : il mérite mieux qu'une simple constatation. , Dans sa première et magistrale description, P. Marie a déjà signal
. BRISSAUD ET HENRY MEIGE La cuisse et la jambe sont très fortes. A première vue, la jambe paraît oedé- mateuse à cause du d
me côté, les deux membres inférieurs formant « les guillemets ». Au premier abord, la photographie de son malade ressemble
, non le sque- lette, mais les parties molles, alors que chez notre premier malade, Octave L..., la macrodactylie relevait
ssemblent, et que le diagnostic peut être porté, pour ainsi dire, à première vue et à distance. Nous voulons parler de la né
progrès sont assez rapides quoique beaucoup plus lents que ceux des premiers jours. Il y eut à ce moment quelques difficultés,
is à les varier. Alors, il est meilleur médecin de lui-même que son premier guide et il est en mesure de parfaire tout seul
: le diagnostic peut se faire, grâce à cette uniformité d'aspect, à première vue et à distance » (1). Parfois, les tumeurs l
er en revue. Mais, d'ores et déjà, on peut se convain- cre, par ces premières remarques, qu'il est permis de faire le diagnosti
jambe gauche, le pied droit informe dans une chaussure trouée, (1) Premier corridor. N° 33. 432 HENRY MEIGE "la face hid
ons eu l'occasion de voir de près, récemment, cette oeuvre d'art de premier ordre (Fig. 5). La Sainte, est représentée debo
ré sur le tard, ont été ajoutées par.Charcot et Paul Richer à leurs premières figurations de Lépreux (1). (1) Charcot et PAUL
Jeune atteignit de bonne heure et bientôt dépassa le talent de son premier maître, Hans Holbein le Vieux, son'père. Il se
33 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
L éditeur 14, rue des Carmes, 14 I 108, Boulevard St-Germain, 108 PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1905
1905 (Bicêtre et Fondation Vallée) Bourneville, Bicêtre, 1905. PREMIÈRE PARTIE Section I : Bicêtre. Histoire du Servi
— 3° les enfants propres, valides, idiots améliorés, venus des deux premiers groupes, imbéciles, arrié-rés, instables, pervers
I. Enfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. — Ce premier groupe est subdivisé en deux catégories La premiè
evé clos enfants ayaut déféqué au siège après les repas, durant les 5 premiers jours de chaque mois. Voici le relevé qui a porté
la gymnastique des échelles et des ressorts, sauf ceux qui, venus du premier groupe, c'est-à-dire des invalides, étant encore
e gracieusement à notre disposition. Elle est aidée par M"10 Randier, première infirmière. Quarante enfants composent cette écol
ée était moins accentué et Beni... connaissait le mécanisme des trois premières opérations de l'arithmétique. Les progrès sur les
incapable de gagner sa vie. Il savait lire couramment, faisait les 3 premières opérations, suivait assez bien la dictée et pos-s
réclamer enfin avec succès cette année le rétablissement du poste de premier instituteur qui a existé durant longtemps. La s
xposi-tion d'horticulture. Caisse d'épargne. —• Elle est confiée au premier de nos instituteurs, M. Mesnard. Les recettes ont
s ont été soignés pour angine et 7 pour conjonctivite. Teigne. — Au premier janvier 1905, il restait dans le service 11 teign
t dans les établissements privés, mais il doit être au moins égal aux premiers . Le Département de la Seine hospitalise, traite
l'avons déjà dit, il faut commencer le traitement de bonne heure, aux premières manifestations de l'anor-malité, à deux ans au pl
cessivement tous les degrés de l'échelle. Il y a des exercices qui, à première vue, peu-vent paraître inutiles, mais qui sont in
radiction, et prennent le conlre-pied de tout ce qu'on leur dit. Leur premier mouvement est un mouve-ment de défense, de révolt
inspirer de l'affection, ils y seront sensibles. Pour vaincre leur première résistance, exiger d'eux un travail qu'on sait le
t médico-pédagogique (h, etc., pour les enfants atteints d'idiotie au premier et au second degré, les enfants atteints d'imbéci
gner sur leur genre d'existence, pour reprendre leurs (1) Ces trois premiers cités comme exemples d'établissements publics pou
l'état bleu), cordon autour du cou, poids, ohétif ou bien portant. Premiers cris : naturels ou avec stridor ou respiration re
les familles. Cause à laquelle les parents attribuent la maladie. Premiers signes de l'idiotie, constatés par les parents.
es parents. Ecolage. parties de l'enseignement faibles ou fortes. Premiers signes de l'épilepsie : cauchemars, céphalal-gies
x communs sont les suivants : a) Tableau de la température des cinq premiers jours de l'admission. — Nous faisons prendre, mat
tements, et exécute à la gym-nastique des échelles de corde les trois premiers mouvements. 1896. — Passe à l'écriture, fait de
alade mange seul, marche et court ibrement. Il exécute bien les trois premiers mouvements de la gymnastique des échelles. La par
ans (1898). Fio. 8. — Maz..., à 11 ans (1895). rustique les deux premiers mouvements (assis, debout) et commence à sauter.
-même à sa famille et sans le concours de personne. Il fait les trois premières opérations en arithmétique, a quelques notions él
attention devient plus fixable, .il peut maintenant exécuter les deux premiers mouvements à la gymnastique des échelles, sauter
pro-pre. Il commence à lacer, à nouer et boutonner. Exécute les deux premiers mouvements à la gymnastique, saute 2 degrés de l'
ais penchants. Sait mieux s'occuper aujourd'hui et il fait les quatre premières opérations en arithmétique. Com-mence à faire les
ations en arithmétique. Com-mence à faire les problèmes sur les trois premières règles. Tra-vaille bien à l'atelier de menuiserie
acer et boutonner. A la gymnastique, il exécute aujourd'hui les trois premiers mouvements et saute trois degrés de l'escabeau. A
est difficile de le tenir long-temps assis, cependant il ébauche nos premiers exercices, essaie de boutonner, lacer. Il place l
classe. Il lit couramment, fait quelques dictées de mémoire et les 3 premières opérations, caractère toujours difficile, grossie
alyses. 1898. —1 Notre élève est arrivé à faire assez bien les deux premières opérations, l'écriture s'améliore de plus en plus
calcul, il fait main- tenant la division et l'application des deux premières opéra-tions, commence la rédaction. Il va à l'ate
goût en classe, il a moins de fautes dans ses dictées, fait les trois premières opérations, et ébauche la division, mais ne sait
le toujours avec goût et docilité en classe, il fait maintenant les 3 premières opérations et ébauche la division à un chiffre, l
s exercices sco-laires a fait des progrès notables; il fait les trois premières opérations et commence à en faire l'application.
onnés. Nied... lit couramment, écrit lisiblement, connaît les trois premières opérations de l'arithmétique et fait des petites
sont remarquables. A son entrée Germaine ne connaissait que les deux premières opérations de l'arithmétique; son écriture était
nombre de mots; elle écrit bien et tait des copies, connaît les trois premières opérations de l'arithmétique. — En résumé cette e
core défectueuse mais elle peut rédiger une lettre; connaît les trois premières opérations de l'arithmétique et en comprend l'app
des devoirs variés de grammaire et de géographie, ainsi que les trois premières opérations de l'arithmétique. Le caractère est
e réels progrès. Elle lisait très couramment, con-naissait, les trois premières règles de l'arithmétique, commen-çait la division
vif plaisir à faire la gymnastique, exé-cute parfaitement les quatre premiers mouvements, sait de même lacer, boutonner, agrafe
t, commence à faire des petits devoirs de grammaire, connaît les deux premières opéra-tions de l'arithmétique, elle lit lentement
lit bien, donne à sa lecture une bonne intonation, connaît les trois premières opérations de l'arithmé-tique, suit une petite di
aux exer-cices de ses compagnes. Elle lit par syllabes, fait les deux premières opérations de l'arithmétique, écrit lisiblement,
devoirs de grammaire, des'dictées élémen- taires, connaît les trois premières règles de l'arithmétique. Elle a un bon raisonnem
ortement dévié en dedans ce qui l'empêche de distinguer les lettres à première vue. Malgré tous ces inconvénients, elle a appris
assez couramment, son écriture est régulière. Elle connaît les tiois premières opérations de l'arithmétique sans toutefois en co
e est très courante, elle fait des petites dictées, connaît les trois premières opérations de l'arithmétique, rédige une lettre,
écrire, à faire quel-ques devoirs de grammaire, elle connaît les deux premières opérations de l'arithmétique et lit presque coura
son écriture. est très lisible et bien formée; elle connaît les deux premières opérations de l'arithmétique. Elle s'exprime très
, elle exécute les mou-vements avec une facilité étonnante.. Elle est première en gymnastique. — Cette enfant atteinte d'imbécil
es; elle suit une dictée du cours élémentaire. Elle connaît les trois premières opérations de l'arithmétique; lit couramment et d
rices et instituteurs, les infirmiers et in-firmières doivent être de premier ordre, au physique et au moral, doués d'un degré
médico-pédagogique (1), etc., pour les enfants atteints d'idiotie au premier et au second degrés, les enfants atteints d'imbéc
* M. Doury a remplacé M. Bord le 1er novembre. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1905.
34 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ielle du cer- velet. Il modifie du reste dans ce nouveau travail sa première description du faisceau sensoriel cérébelleux,
peu oblique en bas' et en arrière, correspond au manubrium et à la première pièce du méso-sternum ; au niveau de la e échancr
. Opéré il y a 9-1 ans pour une fistule rectale. L'apparition des premières tumeurs daterait de 23 ans. Collier lipoma- .te
a Paris, suivit ses classes, quand brusquement elle fut prise de sa première crise le 11 novembre 1898. Elle avait passé plu
il exprimait celte volonté avec une exaltation singulière, mais au premier mot de maison de santé il m'arrêta, un de nos m
ère finit par vainc e la résistance de la mère, il retourna près du premier médecin qui l'avait conseillé, et isolée sous sa
II.) S..., malgré ses longues souffrances, n'inspire pas la pitié à première vue. Il est assez fort et assez gros (taille 1·
et d'attache de cette tumeur parait être l'arc postérieur des deux premières vertèbres lombaires. ce niveau, on est obligé d
DE LA RÉGION LOMBAIRE 75 Voilà le fait : comment l'interpréter ? Au premier examen de l'enfant, on pouvait songer, à cause
une composition villageoise peinte sur toile, qui peut remonter aux premières années du XVII0 siècle, et 'qui appartient à un
solue. Voici du reste le compte rendu de l'examen pratiqué dans les premiers jours de mai, par le professeur Isola : Vision ce
a lame quadri- latère. La tumeur est ainsi placée sur le trajet des premières paires crâniennes. Les pédoncules olfactifs son
toujours le même par tous ses caractères, le premier jour comme le premier mois, le premier mois comme le deuxième et ^trois
mmeils divers. Je n'ai pas besoin de définir pour le moment les six premiers types ; quant au dernier - sommeils di- vers -
t est assez vague, sans doute parce que le sujet l'est aussi, et au premier chef. 108 F. SOCA Je relève cependant ceci
que le sommeil a gardé imperturba- blement les mêmes caractères, du premier au dernier jour de sa longue maladie. Et cette
z clairement au sommeil ou au coma j'arrive au chiffre de 32 surina première série de ces cas, c'est-à-dire approximative- m
ement parler s'est trouvé un phénomène excessive- ment rare dans ma première série de cas. On peut dire que les cas de som-
enlevée (gliome) située à la base de la 2e frontale empiétant sur' première et s'arrêtant juste à la frontale ascendante, t
Allemagne, un second mémoire de G. Kroenigf/). Cet auteur ajoute au premier fait, déjà observé par lui en 1SS4, deux (1) G.
cette déformation. Il présentait bien des symptômes ataxiques, les premiers phénomènes avaient, parait-il, cependant débuté d
première observation que nous donnons ici est celle publiée pour la première lois par G. Petit, dans les Bulletins de la Socié
0 ans, chute d'une barrique sur le vertex. A 39 ans, apparition des premières douleurs fulgurantes, faiblesse des membres infér
eils splanchniques. Le 23 mai, M. Demons pratique la résection du premier métatarsien gauche. Les jours suivants, les lam
à gauche co7n- prenant les 6 dernières vertèbres dorsales et les 3 premières lombaires. Gibbosité angulaire lombaire. Mort
les de la colonne vertébrale. Exagération des courbures nor- males. Première courbure latérale à concavité droite au niveau de
vertébral. Deuxième courbure, à convexité droite, comprenant les 3 premières lombaires et les 6 dernières dorsales. Troisièm
rnières cervicales. Déviation angulaire saillante correspondant aux premières lombaires. Corps vertébraux augmentés de volume
des courbures normales qui sont fortement exagérées,elle offre une première courbure, à concavité droite, située au niveau de
nne lombaire. Elles sont très réduites de volume du côté gauche des première et deuxième vertèbres lom- baires. Les apophyse
entent pas de volumineuses exos- toses comme on peut le constater à première vue. La cinquième lonibaire voit sa face inféri
x. A 33 ans, arthropathie de la hanche droite : marche difficile. Premier examen à 37 ans, en 1884. Signes non douteux de t
s membres supérieurs et le tronc. , Deux ans après l'apparition des premières douleurs, survinrent des troubles de la vessie
amen est pratiqué le 5 juin 1887, c'est-à-dire, trois ans après son premier séjour l'hôpital. , La malade a beaucoup maigri
uccombé à une éruption généralisée et à du mal dans la bouche. Lo premier phénomène en date, dans l'histoire de sa maladie,
a jambe du côté gauche est plus courte de 0,10 centimètres. Notre première idée diagnostique, en voyant cette anasarque réce
mention d'une gravité particulière de la syphilis. Cependant notre premier malade paraît avoir été singuliè- rement infect
ne clinique certain pour trancher la question, cependant dans notre premier cas la dissémi- nation des troubles des réactio
nécessité de distinguer le pas simple d'avec le. double pas (1).Le premier se rapporte aux mouvements qu'un pied fait en s
t-il, de la nature encore obscure de la maladie. (1) Depuis notre première communication, nous avons pu examiner 4 malades d
her du goitre exophtalmique. Si tentante qu'elle puisse paraître au premier abord, l'hypothèse de Madelung ne résiste pas d
M. Th. Anger, l'enveloppe graisseuse est tellement abondante qu'au premier abord on croirait à un lipome. » Et plus loin :
iques dans la région sous-occipitale, sous le menton, au niveau des premières vertèbres dorsales dans les régions mammaires e
3 ICONOGRAPHIE DES ARRACHEURS DE DENTS PAR HENRY MEIGE Au premier mal de dent remonte sans doute le premier dentist
intéressants sur les costu- mes, les pratiques et les moeurs de ces premiers adeptes de l'odotonlogie. Et les images, dont q
n (musée du Louvre). A cette série dont la valeur artistique est de premier ordre, il faut ajouter une seconde liste, non m
oopéré à ces illustrations. Les plus anciennes remontent aux toutes premières années du XVI" siècle, gravures sur bois, sur cui
a perfection de son oeuvre gravé. Ce dernier par contre est de tout premier ordre ; il fut justement admiré par ses con- 20
le hurin dans l'atelier de son père, peintre de vitraux, et que son premier maître, Corneliss Enghel- brechtsx, fut bien vi
ignalons se trouvait la reproduction phototy- pique d'un tableau au premier abord identique à celui deSt-Omer. Ce ta- bleau
yait disparu. En effet, le tableau de M. de Molènes, s'il parait au premier abord être 'de tous points identique à celui de
terdam, et un autre Opérateur, au musée de Bruxelles. Pour les deux premiers il s'agit mani- festement de l'extraction simul
étude de l'hémiplégie traumatique à tous les âges de la vie sauf au premier , aux différents points de vue de l'étiologie, d
le plus souvent atteintes dans l'hémiplégie traumatique ? C'est en première ligne la région du parié- 216 RENÉ MARTIAL ta
la main droite, 15 cent. 5. gauche, 14 cent. 5. Circonférence des premières phalanges des quatre derniers doigts à droite,
es quatre derniers doigts à droite, 12 cent. 5. Circonférence des premières phalanges des quatre derniers doigts à gauche,
, Ilasque, avec participation du facial inférieur. L'anesthésie des premiers jours s'était beaucoup atténuée, et elle dispar
, mais survenue seulement trente- six heures après l'accident. Au premier abord, on est tenté de penser que l'hémiplégie n'
inférieur du maxillaire inférieur et descend jus- qu'au devant des premiers anneaux de la- trachée. Sur les côtés elle sem-
tait nullement inquiété, car ne remarquait rien d'anormal. Vers les premiers jours du mois d'avril 1899, il sentit sur la part
près normal (en regard d'un carpe encore incomplètement développé); première phalange courte, tassée avec épiphyse supérieure
face dorsale fortement convexe, la face plantaire très concave ; la première phalange des orteils est en extension; les autres
s forme une ligne verticale que conti- nuent les apophyses des cinq premières vertèbres dorsales. A ce niveau, la verticale s
lations mais à la raideur arti- culaire des genoux. La démarche, au premier coup d'oeil, trahit le tabes. Si l'on commande
A 33 ans, apparition brusque de crises clitori- diennes. A 35 ans, premières douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs,
ouie. Deux petits maux perforants symétriques aux talons. A 39 ans, premiers troubles de la marche. Depuis l'âge de 40 ans,
che. Depuis l'âge de 40 ans, amaigrissement rapide et progressif. ' Premier examen en octobre 1898, à l'âge de quarante-cinq
m de courbure au niveau des dernières ver- tèbres cervicales et des premières dorsales. Elle présente quelques points saillan
ans, crises gastriques, calmées par les lavages d'estomac. A 38 ans, premières douleurs fulgurantes. Début de l'ataxie des mem
. Pas de trace de syphilis. Abus des plaisirs véné- riens.A 45 ans, premières douleurs fulgurantes. Chute spontanée des dents.
droit. A 48 ans, douleurs' en ceinture, crises gastriques. 49 ans, premiers troubles de la marche . A 52 ans, déviation pro
1881, à l'âge de quarante-cinq ans, que le malade voit survenir les premières atteintes de son mal : à cette époque, en effet,
Pas de trace de syphilis. Abus des plaisirs véné- riens. A 45 ans, premières douleurs fulgurantes. A 50 ans, chute de voiture,
e, 58 ans. Syphilis à 25 ans, non traitée spécifiquement. A 40 ans, premières douleurs fulgurantes. A 50 ans, inclinaison du tr
ns, le malade fut atteint d'un mal perforant plantaire, localisé au premier orteil de chaque pied. Il fut amputé une première
t il huit ans, c'est-à-dire sept ans environ après l'apparition des premières douleurs fulgurantes, il s'aperçut d'une voussure
présenterai mes conclu- sions personnelles sous forme de thèses. PREMIÈRE PARTIE MÉTHODE DE NISSL MODIFICATIONS DE VAN GE
l'huile de cajeput, la benzine et montées au damai'. Depuis cette première formule, on a préconisé de nombreuses modifi- c
depuis tantôt deux ans de belles séries qui sont aussi nettes qu'au premier jour, tandis que nos coupes colorées à la même
matiques, que Marinesco a dénommée « phase de réaction ». A celle première phase succède la phase de réparation, ou de recon
té l'opération. La plaie s'est toujours fermée très rapidement, par première intention, sans traces de suppura- tion. Aprè
de travers. L'ap- paritionde ce phénomène fut assez brusque et ses premières manifestations coïncidèrent avec un étourdissem
tude. A cet ensemble clinique si singulier correspondent chez notre premier malade, des lésions anatomiques d'une topograph
de présomption et non une certitude absolue. L'affection dont notre première malade est atteinte ne peut par consé- quent êt
t' a présenté il la Société médicale de Hambourg quatre malades. Le premier reçoit un coup de revolver dans la tempe droite.
e deux hypothèses : Ou bien, la lésion peut être très voisine de la première altération, résultat d'une propagation de voisina
ien, par l'intermédiaire de la lésion d'un vaisseau compris dans la première altération, il s'est développé un foyer de ramoll
d dont il n'est jamais sorti. Il n'y a pas eu de vomissements. Au premier examen il présente un affaissement très net des m
ipitale fait une forte saillie ; l'angle sternal et l'insertion des premières côtes font un relief très prononcé ; la main est
étré dans la paume de la main dépassant l'extré- mité supérieure du premier métacarpien et séparé seulement par un espace d
rois centimètres (au lieu de 9) de l'extrémité la plus proche de la première phal'ange de l'index (Pl. LVIII). Les lésions c
trémité inférieure brusquement coupée à 3 centimètres au-dessous du premier pli du poignet, rien ne rappelle la disposition o
s (mais nous devons nous souvenir que en réalité la partie saine du premier métacarpien représente la première pha- lange d
somme avec l'extrémité UN CAS RARE D'OSTÉO-ARTliROPATnIE 409 des premières phalanges, mais ce sont des articulations bouleve
Restent les myopathies essentielles et les formes de transition. Au premier abord notre malade semble être atteint de paralys
ourbures, soit enfin la production de courbures anormales. Les deux premières séries de ces déviations s'exécu- tent dans le
la dernière dans le sens latéral. Le plus souvent à l'une des deux premières s'ajoute la troisième. L'exagéra- tion des cour
es déviations et les altérations des segments lom- baires. Chez son premier malade, la dernière vertèbre lombaire était pro-
le, tantôt d'avant en ar- rière, tantôt d'arrière en avant. Dans ce premier cas, le promontoire s'é- loigne du pubis, le co
ue. Le bassin devient asymétrique, et ses modifications jointes aux premières rendent une description générale impossible. Ce
A peine ont-ils goûté l'herbe de Nicol, à peine ont-ils lancé leur premier jet de salive qu'ils ne cessent plus un seul in
morceaux ou voit, mais à un nombre moins grand que dans les quatre premiers morceaux, des fibres dégé- nérées. Ce qui saute
an- che sous-corticale avec les préparations correspondantes du cas premier , nous ne voyons entre elles qu'une ressemblance
, mais la quantité de ces globules est moins grande que dans le cas premier , où les modifications en général étaient bien p
téraux peut être distinguée même à l'oeil nu. Ainsi que dans le cas premier , ici aussi la dégénérescence est observée sur l
igmentaires et graisseux, ce qui est encore plus marqué dans le cas premier . Les deux cas, décrits plus haut, présentent un
rents, ce qui se trouve en correspondance avec cela que dans le cas premier la maladie a duré plus longtemps et le malade s
e. Les troubles moteurs étaient beaucoup plus prononcés dans le cas premier ; il y avait là des contractures dans les membre
disant que « le syndrome de Basedow reconnaît souvent, comme cause première , l'hystérie : la sé- crétion exagérée du corps
aitements. Elle a été mariée deux fois. A 21 ans, à l'époque de ses premiers rapports sexuels elle a eu une phlegmasie pelvi
rapports sexuels elle a eu une phlegmasie pelvienne. Elle a eu son premier enfant à 23 ans : son fils a actuellement 25 an
s basedowiens se sont manifestés longtemps après l'appa- rition des premiers symptômes hystériques qui ont disparu les premier
ales. Il est noté dans les observations une intégrité apparente des premiers ; quant aux seconds, muscles des gouttières, épine
ependant signaler la présence de débuts précoces, contemporains des premiers symptômes douloureux. Nous n'avons pu établir d
u membre supérieur et de l'hémithorax correspondants : la déviation première antéro-postérieure se compliquera d'une courbure
ner une chute en arrière de ce dernier et un glissement en avant du premier . Les deux fragments ont perdu leurs rapports no
de développement dans la colonne lombaire. La raison en échappe au premier abord, mais on peut la retrou- ver à la fois da
t d'acier et de ba- leines. Les résultats furent nuls chez les deux premiers , ils furent remar- quables chez le dernier, aus
net et bien défini (ce qui est encore plus rare). Dès le début du premier examen l'attention se perte sur les yeux du ma-
complet qui dure deux jours, la paralysie de la IIIe paire date du premier moment. L'hémipa- résie se fait remarquer trois
acies gauche. La vessie était également paralysée · Lors de notre premier examen, sept semaines plus tard, voici ce que nou
le soir même, la paralysie fut certifiée par un médecin. Durant ce premier jour, elle était assoupie, criait par moment et p
te aiguë disséminée; 4° la polyo-myélite antérieure aiguë. Les deux premières formes, malgré une certaine ressemblance qu'elles
des documents incontestables sur la myélite aiguë, je dois citer en première ligne, le professeur Babès. Dans les derniers t
yélite consécutive à la variole, parmi lesquelles il faut citer, en première ligne, le cas de Auché et IIobbs, et celui que j'
our défendre son autonomie, le professeur von Leyden occupe une des premières places- C'est lui qui a pour la première fois r
et parmi les symptômes qu'il s'agit de combattre, on doit éviter en première ligne les infections secondaires qui produisent l
outefois qu'il fut, en même temps qu'un grand peintre, un savant de premier ordre, et la plupart ne savent point sans doute
aire est de 3 centimètres dans notre cas, de 28 millimètres dans le premier cas de Hirschberg, et de 20 millimètres dans le s
L'examen ophtalmoscopique pratiqué dans 8 cas (Schenkl, Cabannes, 3 premiers cas de Gourfein, Lucanus, 1ex cas de Hirschberg e
dans une étendue plus ou moins grande dans 4 cas (Lucanus, Gast, 2 premiers cas de Gourfein), entourée d'un croissant staph
e se rencontre assez rarement ; il est cependant noté dans les deux premières observations de Gourfein. Le plus souvent, c'est
fille. Elle s'est toujours bien portée et attribue son oedème à sa première couche à l'âge de 1 ans. Cet oedème avait début
le. uns. III. Célestine P..., âgée de 21 ans, est la soeur de notre première malade. Elle n'a eu aucune affection grave dans
té. Cas. IV. - Victorine P..., âgée de 3 ans, est la nièce de notre première ma- Iade.Son père est maigre, sans aucune trace
ans l'observation II, c'est seulement à vingt et un ans, pendant la première grossesse, que l'oedème apparut incidemment. Da
é à M. H. Meige : c'était d'ailleurs le cas chez sa 638 LANNOIS . première malade, et il cite également un cas de la thèse d
e taille, de développement normaux (PI. LXXXII). On est frappé au premier abord par la déformation considérable du thorax :
eil gauche dont le début remonterait à l'époque de l'apparition des premiers symptômes parétiques. Diminution considérable d
e tumeur du coude droit. En présence de ce cas, à l'époque de notre premier examen, lorsque les lésions peu apparentes de l
su- ration. ' Nous avons multiplié nos mesures pour contrôler nos premiers résultats qui nous paraissaient en trop nette c
vé « que les cellules gonflent considérablement pendant les 15 à 20 premiers jours qui suivent la section, c'est-à-dire pend
tre les cellules motrices et les sensibles, comme on l'avait cru au premier abord. On affirmait naguère encore la possibili
35 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
emonter sans doute à des temps fort éloignés pour retrouver l'origine première , le point de départ de ce grand changement, dont
incipe au culte de l'observation pure, parmi les-quels se détache, en première ligne, la grande figure d'Hip-pocrate. Messieur
pour la première fois affirmée comme disci-pline particulière. Un des premiers essais de systématisa-tion qui aient fait loi, en
ne, son code, si l'on peut ainsi dire, se trouve consigné dans un des premiers articles du. grand Diction-naire des sciences méd
sieurs, de caractériser en quel-ques mots cette anatomie pathologique première qui, pendant près d'un demi-siècle, a régné sans
je crois, tout au moins, avoir exprimé fidèlement les tendan-ces des premiers maîtres. A la vérité, leurs successeurs ou leur
sie telle qu'elle l'a réglementée, constitueront toujours l'opération première par laquelle doit nécessairement passer toute inv
l mot tous les services que nous a rendus cette anatomie pathologique première , dont la création peut être comptée parmi les glo
morbide dont il lui faut remonter le courant pour pénétrer jusqu'aux premiers effets de la cause morbifique. Voilà le program
nique médicale, traduction du Dr Jaccoud, 1.1. p. 53, 1863. + * * PREMIÈRE PARTIE Maladies des vieillards. PREMIÈRE LEÇO
. p. 53, 1863. + * * PREMIÈRE PARTIE Maladies des vieillards. PREMIÈRE LEÇON Caractères généraux de la pathologie séni
ités qu'elle en-traîne ; elle mérite, à tous égards, d'être placée au premier rang des maladies chroniques rassemblées dans cet
tte nous soit aujourd'hui connue dans son essence intime ; les causes premières , ici comme ailleurs, se dérobent à nos investigat
du derme offrent, au point de vue pratique, un intérêt spécial. Au premier rang, se placent ces concrétions de l'oreille ext
rétrocessions. 11 est évident qu'en pareil cas, on doit supposer au premier abord qu'il s'agit de lésions tout à fait superfi
e parenchymateuse(2) qui peut se montrer à deux degrés différents. Au premier degré, le rein conserve son volume ordinaire ; ma
ent qu'ils ont une foulure, et le diagnostic est parfois difficile au premier abord. Cette sensation a le plus souvent pour siè
avait souvent éprouvée, aux effets d'une forte pression, disait qu'au premier tour de vis c'était le rhumatisme, mais qu'au sec
lit que sur 512 cas de goutte le gros orteil a été frappé 373 fois au premier accès, soit isolément, soit avec d'autres jointur
exceptionnels où le gros orteil demeure com-plètement libre, soit au premier accès, soit aux accès con-sécutifs. Garrod signal
ques qui peuvent se développer sous son influence. C'est surtout au premier de ces deux groupes que s'ap-pliquent les express
iques, qui succèdent presque toujours à la longue aux affections delà première espèce, et occupent le même siège. Au reste, nous
ir un intérêt vraiment scientifique, la goutte se place évidemment au premier rang. 11 est certain, en effet, que cette maladie
; les écrits d'Hippocrate en font foi. Mais, c'est sous le règne des premiers Césars qu'elle paraît avoir atteint son apogée ;
), dont la richesse alcoolique varie de 4 à 20 pour 100. Il semble au premier abord, que plus un liquide est chargé d'alcool, p
nt accroître la proportion de ce pro-duit excrémentitiel. Mais dès ce premier pas, les difficultés commencent. Quelle est l'o
s lésions de la goutte : leur richesse en tissu fibreux les expose en première ligne aux atteintes de cette maladie. Sans méco
soin les lésions locales. Unité de cette affection. — Indication des premiers travaux qui se rapportent à ce sujet. Caractère
ée du travail morbide. L'analogie que nous signalons ne frappe pas au premier abord, surtout si l'on compare entre eux des cas
tres arthropathies chroniques. 1° Arthrite par repos prolongé. — Au premier degré, d'après ïeissier et Bonnet (1), l'arthrite
rhumatisme aigu, méritent une at-tention spéciale. Nous placerons en première ligne les sueurs, qui sont en général d'une abond
t dites peuvent faire obstacle à la circulation dans des vaisseaux de premier ordre, on a vu la fémorale, et même l'iliaque ext
d'autres rapports. Nous allons en donner une description succincte. Premier type. — C'est celui qu'on rencontre le plus sou-v
les phalanges. La première de ces deux lésions est sou-vent l'une des premières déformations qui signalent le début de la maladie
t des caractères que nous avons décrits sont conservés ; Fig. 18. — Premier type. Dans la seconde, on voit manquer la flexi
sur la phalangine, et alors le dos des doigts de la main Fig. 19. — Première variété du premier type. paraît excavé à partir
t alors le dos des doigts de la main Fig. 19. — Première variété du premier type. paraît excavé à partir de la tête saillan
e la tête saillante des métacarpiens. Fig. 20. — Seconde variété du premier typ'e. Second type. — Il est caractérisé : 1°
des doigts de la main; mais que devient le pouce ? Fig. 22, '. — Première variété du second type. C'est ici, comme ailleu
étend de quinze à trente ans; mais cette affection n'est pas rare aux premières années de la vie ; on la voit se déve-lopper chez
, 1864, p. ?i. — Beau, Gaz. des Hôpitaux 19 juil-let 1864. L'un des premiers effets de l'emploi du médicament est souvent de r
ME PARTIE Thermométrie clinique dans les maladies des vieillards. PREMIÈRE LEGÓN De l'importance de la thermométrie dans l
ialement l'état fébrile. J'ai, en effet, le projet de consacrer cette première leçon à mettre en relief, par quelques exemples f
st-à-dire depuis près de 7 ans, nous ont déterminé à ce choix qui, au premier abord, pour-rait paraître singulier. Messieurs,
d, poussés à un certain degré, dans l'organisme, sont des éléments de premier ordre et dont il faut tenir compte, non-seulement
enre qu'on pourrait citer sont relatifs à des maladies chroniques. Au premier rang, on doit placer les affections cancéreuses,
, dans Y endocardite aiguës, ainsi que nous l'avions annoncé dans nos premières études (1), on observe aussi quelquefois un abais
ous avions obtenus à cette époque. Il pourra paraître singulier, au premier abord, de voir des phlegmasies qui occupent parfo
vent vive, superficielle, comparable à celle qu'excite une brûlure au premier degré, accompagnée de rougeur et de gonflement ;
entent les déformations les plus bizarres en apparence. Il semble, au premier abord, qu'il soit impossible de présenter une des
n est en pronation plus ou moins complète, et quelquefois exagérée. Premier type. C'est ce type qu'on observe le plus fréquem
rd cubital de la main, est un caractère constant qui se montre un des premiers (voy. Cruveilhier, Atlas d'anat. pathol., liv, 9,
en dedans des phalanges, détermine une saillie des têtes osseuses des premières du côté de la paume de la main. Enfin, par suite
sont plus ou moins prononcés (voy. Pl. IV, figl. et 2). Variétés du premier type. 1° La plupart des caractères du type sont c
a tête de la première phalange en dehors de l'extrémité inférieure du premier métacarpien. Quand les difformités dont nous ve
môme phé-nomène se manifeste en sens inverse, et elles offrent notre premier type. Cependant, il n'y a chez ces infirmes aucun
ion communes avec elle. La femme Étard a habité, pendant les dix-neuf premières années de sa vie, dans une petite maison très bas
prouvait, dit-elle, jamais de fièvre. Deux ans après l'apparition des premières douleurs, un grand nombre de nouvelles jointures
alanges, les phalan-ges fléchies, à angle obtus sur les métacarpiens ( premier type). Les jointures des pouces sont mobiles, tum
néral entre l'application de cette dernière cause et l'apparition des premiers symptômes, et s'il existe, comme dit Haygarth, un
froid, le corps étant en sueur, comme ayant provoqué l'apparition des premiers accidents, qui se manifestent souvent, au contrai
rvation VI. — Pas d'antécédents héréditaires. — Habita* lion humide ; première manifestation rhumatismale. — Nouveaux accidents
compare à un engourdissement très in-tense. Quelques mois après cette première attaque, toutes les articulations des orteils du
es métatarsiens, et que les mouvements divers dans l'articu-lation du premier métacarpien avec la première phalange sont très f
x côtés de la poitrine : pas de matité par la percussion ; souffle au premier temps au cœur et à la base ; ce souffle est. doux
ues ou fléchies; la déformation, en un mot, était exactement celle du premier type figuré par M. Charcot (PL II, fig. 2) dans s
fut traité pour un rhumatisme ar-ticulaire aigu, et il attribue cette première attaque à l'impres-sion du froid auquel il était
, la majeure partie des articulations des orteils, surtout celles des premiers métatarsiens avec les phalanges des gros orteils,
s deux cas, un phénomène très remarquable : au bout des deux ou trois premiers jours de l'administration du médicament, il y ava
de coliques de plomb (24 à 28 ans). — Petits accès de 28 à 32 ans. — Premières manifes-tations goutteuses à 32 ans. — Accès annu
at d'une entorse. Il dut rester quinze jours au lit. Il assure que ce premier accès n'a pas été précédé de désordres de l'estom
uire à peu près chaque année, habituellement en automne à répoque des premières gelées et des brouillards; à chaque nouvel accès,
compare à un engourdis-sement très intense. Quelques mois après cette première attaque, toutes les articulations des orteils du
les métatarsiens et que les mouvements divers dans l'articulation du premier métacarpien avec la première phalange sont très f
eux côtés de la poitrine, pas de matité par la percussion. Souffle au premier temps au coeur et à la base ; ce souffle est doux
e degré le plus élevé de cette altération ; dans les articulations du premier métatarsien avec la première phalange des deux po
loppé pendant la grossesse. Il existe encore d'autres observations du premier ordre (thèse de Charcot). En général, d'après mes
t dit, que le siège. Certains poisons morbides peuvent être placés au premier rang, sous ce rapport. 11 y a une ar-thrite morve
re elles, surtout les articulations méta-carpo-phalangiennes des deux premiers doigts, sont, dans la majorité des cas, le premie
ent faire saillie sous les téguments, constituent les déformations du premier genre. Les jointures sont tantôt plus ou moins ri
plus fréquemment dans le rhumatisme articulaire chronique progressif ( premier type ou type de flexion. — Voyez Gharcot. Thèse i
dureté du tissu osseux; elles siègent de préférence au voisinage des premières articulations phalangien-nes ou des jointures mét
n est en prona-tion plus ou moins complète et quelquefois exagérée. Premier type. —- C'est celui qn'on rencontre le plus fréq
sse des phalanges vers le bord cubital de la main est souvent une des premières déformations qui s'accusent. Deuxième type. — C
a tête de la première phalange en dehors de l'extrémité inférieure du premier métacarpien. Quand les difformités dont nous ve
maladie s'est déclarée dans un âge avancé. J'ai observé que l'un des premiers effets de l'emploi du médicament est souvent de r
remier est tiré du drame intitulé Henri IV. Dans la se-conde scène du premier acte, le juge gourmande Falstaff pour avoir corro
entiel. Tout ce qu'il est possible de 1. Cette leçon fait partie du premier volume des Œuvres complètes de M. Charcot (p. 386
ns le rhumatisme articulaire chro-nique généralisé. Les caractères du premier type sont bien accusés dans la figure 2. — La fig
iculaires du deuxième type. Fig. 1, 3. — Déformations articulaires du premier type. Fig. 5. — Déformations articulaires du prem
articulaires du premier type. Fig. 5. — Déformations articulaires du premier type. Fig. 6. — Main atteinte de nodosités d'Hebe
csnier et Babé, Editeurs, Paris. IMP MOHPOCO TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Maladies des Vieillards. Avis de l'édi
es anciens et les modernes......................................... PREMIÈRE LEÇON caractères généraux de la pathologie seni
in les lésions locales. —Unité de cette affection. — Indication des premiers travaux qui se rapportent à ce sujet. Caractères
ME PARTIE Thermométrie clinique dans les maladies des vieillards. PREMIÈRE LEÇON de L'IMPORTANCE DE LA THERMOMÉTRIE chez L
36 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
tion. Séparation des adultes et des enfants. BOURNEVILLE. 4856. PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1886
ne peuvent plus être que l'objet de soins hygié- niques. Quant aux premiers , on leur apprend à se tenir sur les jambes à l'
e linge, soit pour cause de réparations. VISITES DU SERVICE. XIII premier président de la Cour de cassation, qui dépuis d
ons, relativement aux retards apportés à la fourniture des matières premières , ont été moins fréquentes. Cependant le travail
liers, gymnase, réfectoires, écoles, bains, etc.) et par les quatre premiers bâtiments de dorloirs et le bâ- timent des gâte
ades, qui, par suite de la déclivité du sol, est pour ainsi dire au premier étage, se divise, comme le fait voir la figure
VERSES. libre, nous l'avons fait diviser en deux parties. Dans la première , on a aménagé quatre cellules, dont le service
pachydermique. I. IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE Les deux premières observations eu date, et non les moins intéress
eu au forceps. -A la naissance, l'enfant était fort; - il perça ses premières dents'à deux ans; - il n'es- 8 IDIOTIE CRÉTINOÏ
marcher pour la première fois qu'à trois ans et demi. - Pendant sa première enfance, on n'observa aucun autre phéno- mène a
ches. 28 décembre. - Nous voyons le frère et la soeur de Gr... le premier , qui a été soldat, a vingt-sept ans, mesure 4m,67
empêche d'explorer les gan- glions.-Peau chaude, état saburral des premières voies digestives. 24. - Le malade paraît un peu
valles très éloignés. La peau des bourses est épaisse, ridée et, au premier .abord, parait oedématiée, mais l'empreinte des
deux barres transversales. - Legyrus rectus est peu volumineux. Les première etdeuième circonvolutions orbitaires sont bien
xième circonvolution frontale par quelques plis de passage. Cette première circonvolution s'insère à la circonvolution fron-
décrit sa courbe normale se continue ensuite presque dans le lit du premier sillon occipital. Le lobule pariétal inférieur
utions frontales et laissant en avant de lui une petite portion des première et deuxième circonvolutions frontales. La trois
trait sur le lobe temporal. Le lobe temporal est bien développé; sa première circonvolzt- CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 45 lion
on est très défectueuse. Nous trouvons : Incisive, - 2 -1 ; canine, première molaire, ? 2 2;; deuxième molaire, -t"-o L'extr
. MM. J. et A. Reverdin' ont complété peu après (avril 1883) leur premier travail en faisant connaître, les résultats des
as de détails sur un autre cas de Kocher remontant à l'époque de sa première communication, ainsi que sur quelques autres ca
GLANDE THYROÏDE : PHYSIOLOGIE. 99 brièvement. M. Schiff ', un des premiers , a démontré que les rongeurs supportent très bi
a parlé à plus de deux ans, a été propre de très bonne heure. La première dent a percé à cinq mois, les autres dents vinren
médecin appela fièvre cérébrale, dura huit jours. Pendant les trois premiers , l'enfant parlait bien et était gai, mais les j
ule. ,. Dentition. A la mâchoire supérieure dix dents de lait' et première molaire ; à la mâchoire inférieure : première^,
dix dents de lait' et première molaire ; à la mâchoire inférieure : première ^, molaires droite et gauche et deux incisives c
st interrompue par un petit pli de passage en retrait, allant de là première frontale à la circonvolution du corps calleux.
ale, et un sillon profond revient vers la partie antérieure de la première scissure temporo-occipitale. Le ventricule laté
ez bien développées, à l'exception de la moitié postérieure de la première , les deux scissures sont profondes et réunies à
normale jusqu'à 3 ans. Alcoolisme (vin blanc) à partir de 4 ans. Premières convulsions à 4 ans (mai 1885) : affaiblisse- m
en nourrice dans la Mayenne, il n'est revenu qu'au bout de 2 ans. Première dent à 4 mois, les autres ont poussé promptemen
é de 3 ans à 4 ans 1/2. C'est à 4 ans que se sont manifestées les premières convulsions qui auraient duré une heure. Entre
proque. Au lieu de former un mur do cellules serrées, vi- sibles au premier coup d'oeil, elles sont assez dispersées, par g
t par sa mère à l'influence de l'alcool, peu après l'apparition des premières convulsions. Ces particularités sont probableme
devenait pas propre et n'ap- prenait pas à parler. Ren... a eu sa première dent à 15 mois seulement; les autres sont ensui
oloration ocreuse du foyer. Au niveau de l'extrémité antérieure des première et seconde circon- volutions frontales gauches,
it les deux pseudo-kystes qui occupent l'extrémité an- térieure des première et deuxième circonvolutions fron- tales et celu
de coloration. ' Cerveau. Hémisphère droit. - Face convexe. - La première frontale est sinueuse, bien développée, se ter-
anche offre des lésiuns de désintégration. Sur le milieu de cette première frontale gauche, la substance blanche a le même
qui gagnent la substance blanche, comprennent en général les trois premières couchesdel'écorce. On les retrouve dans la plup
la MOELLE. L'hippocampe du côté gauche a les mêmes lésions que la première frontale; il existe des foyers de désintégration
umatisante et épi- leptique. Grand'mère maternelle migraineuse. - Premières convulsions à trois mois.- Premières dents à de
mère maternelle migraineuse. - Premières convulsions à trois mois.- Premières dents à deux ans. - Ophthalmic. - Rougeole. - P
cé pendant un mois les mots : « papa » « maman » ; et depuis, rien. Première dent seulement à deux ans ; elle a percé sans d
eux du côté gauche, moins étendus, situés sur la partie moyenne des première et deuxième frontale et à l'extrémité inférieur
ière cir- convolution frontale, simple à son origine, présente un premier pli supérieur qui va s'insérer sur la frontale as
emier,qui s'insère aussi sur la fron- tale ascendante au-dessous du premier , un troisième en forme d'S, qui s'insère par un
dans l'enfance, n'est pas migraineuse, mais a eu, pendant les cinq premiers mois de sa première grossesse, des céphalalgies
st pas migraineuse, mais a eu, pendant les cinq premiers mois de sa première grossesse, des céphalalgies avec vomissements,
omme ceux qu'elle avait sentis quandelle était enceinte de ses deux premiers enfants. Il me semble, disait-elle à son mari,
Rat.... Il semble que la tumeur se soit développée dans les trois premiers mois de la grossesse. Doit-on en accuserdeschocs
qui auraient pu être subis pendant des vomissements de ces trois premiers mois ? Quel rôle a pu jouer ici l'émotion resse
nte : Observation. - Hérédité nulle ( ? ). Pas de consan guinilé. Premières convulsions à 3 ans. - Accidents convulsifs rev
sion de la membrane crico-thyroidienne, du cartilage cricoïde et du premier anneau de la trachée (c1'ico-lrJ.chéo- CORPS ÉT
n'a rien inventé. Ceci dit, citons quelques faits : 1° Debarg... : Premier accès à 9 h. 35 : T. R. 37°,8 ; Se- cond accès
ES ACCÈS SÉRIELS D'ÉPILEPSIE. 233 Second accès cinq heures après lo premier : 38°,2 et doux heures plus tard : 370,6. 3°
lo premier : 38°,2 et doux heures plus tard : 370,6. 3° Ren... : Premier accès à 3 h. 30 : T. R. 38°, 6 ; - un quar d'he
: 37°,8; le lendemain à 6 heures du matin : 37°,8. 110 Boulan.. : Premier accès à 6 heures du matin : T. R. 38°; - un qua
rt d'heure après : 37°,8; - deux heures après : 37 ? 50 Cont... : Premier accès à 7 heures du matin. - Second accès à 10
ie : T. R. 37°,9; un quart d'heure après : 37°, 6. 7. Courch... : Premier accès à 9 h. 30 : T. R. 37°,7. - Second accès à
u soir : 37°,S. Le lendemain à 6 du matin : 37°,7. 8o Boulan... : Premier accès à 11 h. 30 : 3S° ; - Second accès à midi
tôt s'est mis à crier. Elevé au sein par sa mère ; sevré à 14 mois. Première dent à 12 mois ; les autres ont poussé lentemen
pour les dents et la parole, dit sa mère, il était intelligent. » Premières convulsions à 6 mois, pendant une demi-journée.
re interpariétalo poursuit ensuite son trajet jusquo dans lo lit du premier sillon occipital. Le pli pariétal supérieur et
te heures. La malade, nommée Lanib..., a eu 190 accès dans les 23 premières heures et n'en a plus eu dans les sept der- niè
37 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
rs en un mot. Grâce à la stupeur profonde et ardente causée par leurs premiers miracles, chacune de leurs affirmations, chacun d
et du plus délicat de tous, et longtemps après qu'il a eu terminé sa première phase de théocratie autocratique. N'y voyons nous
un salon ou une cour de collège, ni une stupeur analogue lors de leur première entrée dans une science ou un art quelconque (car
japonaise de se modeler très vite sur leur entourage, somnambules de premier ordre, extrêmement prompts à s'endormir? — Sous l
e de la doctrine de la suggestion, telle que je l'ai exposée dans mon premier livre et dans mes publications ultfl rieures. le
lle était fille unique, peu confiante, ne se laissa pas aller à cette première suggestion. Son mari, n'ayant jamais constaté che
die, cette jeune femme devint de nouveau enceinte. Pendant les quatre premiers mois, les vomissements étaient exlrêmements fréqu
eut lieu au commencement de décembre, sans accident. Pendant les deux premiers jours qui suivirent l'accouchement, la malade n'e
leurs. Je procédai par insinuation douce, pour effacer l'impression première que ma brusquerie lui avait causée : je lui affir
inue du 5' espace intercostal aussi n'a plus existé. Pendant les huit premiers jours, il y eut encore quelques élancements passa
de perversions sexuelles. Peu de temps après la publication de mon premier mémoire, le 6 octobre 1889 — mon malade m'écrivai
, né tout-à-coup parmi nous avec les instincts et les passions de ces premiers âges. Ils ont dit ensuite que le criminel-né étai
, agissent héréditairement sur le développement de la criminalité. En première ligne se place l'alcoolisme, puis viennent les cé
la dégénérescence physique et une foule d'anomalies, le dénoncent, du premier coup d'œil,à l'observateur exercé. Le Dr Laurent
par le ministère de la justice, du projet de loi suivant : Article premier . — Quiconque aura donné en spectacle au public un
ltérations syphilitiques. El, ajoute le docteur Buret, ces crânes des premiers spécimens de notre espèce, dont cinq ou six mille
été entreprise ou tout au moins ébauchée par l'avocat Laschi qui. au premier congrès de Rome, en 1885. lui a consacré quelques
uestions . En tout cas, à sa sortie de prison les mois dernier, son premier acte n'a guère été l'acte d'uun homme raisonnable
888 — Le malade a le plus grand désir de guérir et il est, dès la première séance, facilement hypnotise par suggestion. Au b
ement ascensionnel inquiétant. Il est à cela des causes multiples, au premier rang desquelles nous rangeons l'alcoolisme sans c
rt peut-être fortement courbé sans perdre son pouvoir de reprendre sa première (orme. Mais si la pression est trop forte ou si e
nnu qu'un très grand nombre de jeunes enfants, surtout dans les trois premières classes des écoles secondaires, n'étaient pas en
a faveur d'un terrain special; la dégénérescence mentale est la cause première de l'impulsion vraie. » Il serait difficile de
logie, de semblables déductions comportent, à coup sûr, un intérêt de premier ordre. Ce groupe d'hystéries consécutives à une
de de démence. Les éléments symp- tomatiques principaux sont, pour (a première étape, des illusions et des interprétations délir
de palpitations. Cet état dure de un mois et demi à trois mois. 2° Premier stade où le malade accuse des hallucinations, des
s'améliorer. Ce troisième stade est incurable ; le pronostic des deux premiers est assez favorable a la condition qne le malade
par la suggestion, le moindre accident consécutif (2). En 1889. au premier Congrès international de l'Hypnotisme, les membre
num qu'elle avait sous la main. Obs. VI —Alix s..., trompée par son premier amant avec qui elle vivait depuis cinq ans et n'a
e dernière fois avant de mourir. Il arriva et, après les effusions du premier moment, elle saisit son revolver, le dirigea cont
tte depuis l'âge de onze ans et demi A des attaques convulsives. La premier est survenue à la suite d'une petite contrariét
ríen. le morphinomane néophyte est comme le collégien qui fome son premier cigare ei s'en est très mal trouvé; il n'en a pas
insi le manque de volonté des morphinomanes es: l'une des condi-lions premières de la morphtnomanie. Vous rencontrerez des gens q
les morphinomanes de plusieurs vices, parmi lesquels il faut citer en première ligne le vol et l'assassinat. Or, il est intéress
.8 usqu'au 22 mai, dernière époque à laquelle remontent dit-elle, ses premières relations et sa grossesse. Elle se présenta donc
e polygone de Vincennes, de petits oiseaux tombent foudroyés lors de» premières détonations. L'auteur pense pouvoir rattacher ce
és sur la tèle, restent indéfiniment immobiles si on s'oppose a leurs premières défenses et si on les tient ferme jusqu'à ce qu'e
prédisposition âu sommeil naturel succédant au réveil et consécutif » premier . Voulant tirer un avantacc pratique de ses rech
rtie expérimentale avec présentation de sujets. Notons que c'est '..i première fois qu'on a fait dans une université italienne u
dée, suivant son individualité psychique; car, à côté de l'impression première qui est le germe, il y a l'élaboration de cette i
n art médical, une science médicale. Mais ce que le premier pâtre, te premier savetier peuvent faire, pourvu qu'ils aient assez
e les atténuer par les réserves suivantes: «Ces dangers effrayants au premier aspect perdent pourtant beaucoup de leur gravité
t décidé â transporter le malade dans un service hospitalier. Lors du premier examen, nous trouvions G... dans l'état suivant :
me spon- \ tanéou provoqué, parlent d'eux à la troisième personne. Au premier abord, cela paraît être une bizarrerie sans impor
quoique certaines parties Oc Pêcorce cérébrale aient pour (onction première une relation intime avec certaines actions motric
ne pourrait être atteint par la loi. « Enfin, pour revenir à notre première question, où commencera le délit ? « Nous croyo
omme cela arrive en général en pareil cas, rejette sur l'autre l'idée première du forfait. Rien ne parait moins compliqué. Cepen
a, l'éleva, s'attacha à lui. Quand elle repassa à l'état de condition première , et qu'elle aperçut l'animal dans ses appartement
a rappeler i la vie. A quelque temps de là, elle revient en condition première : elle n'a plus connaissance des soupçons qui l'o
personnalité à double jeu et à mécanisme alternant. Dans la condition première , la malade est autre que dans la condition second
des accès de somnambulisme spontané. 11 est probable que sa condition première correspond à l'état normal, et que sa condition s
que donnerait lTiypnotisation pratiquée, dans les états de condition première et de condition seconde, sur des sujets atteints
ne fois endormie, elle était dans un autre état que dans si condition première et dans sa condition seconde (3). Les expérienc
s mains sur les globes oculaires. Quand on l'hypnotisait en condition première , elle se retrouvait, après le réveil, en conditio
qui se succèdent alternativement chez ces malades, l'un, la condition première , est l'état de veille normal; l'autre, la conditi
réveil, elle se trouva exactement dans l'eut où elle était avant son premier sommeil, mais elle n'avait aucun souvenir de tout
ns son état nota-eau, elle ne sait que ce qu'elle a appris depuis son premier sommeil. Si une personne lui est présentée dans u
les indications de M. le professeur Espinas, le nom d'eemmene. Mes premières observations sur reemnésie datent de 1S82. Une de
livre sur les Forces non définies, publié en I887 : « Un voit, comme première conséquence de ces lois, qu'un sujet peut se donn
uveauté du sujet fera pardonnera ce volume ses imperfections. Comme première question, je veux traiter ici de la faron dont se
er lieu des matières simples. Parmi celles-ci. les métaux offrent, au premier abord, des effluves de nature vaporeuse, flamboya
ille, par des sujets très sensibles. Si nous avons tenu à citer, en première ligne, les expériences de M Bottey, c'est qu'elle
e. M. Liégeois s'appuyait sur un certain nombre d'expériences qui, au premier abord, semblerait devoir de piano entraîner la co
d séduit par les expériences. — si ingénieuses, si couscieucieuses, à première vue, si irréfutables de M. Liégeois. — mais toujo
peut posséder sans les avoir étudiées et qui livrent leurs secrets an premier veau. C'est ce qui fait que chacun trouve fréquem
s que la matière ne suit un peu plus difficile qu'elle ne le paraît à première vue. Je crois même que. en ceci comme en beaucoup
ent pour l'Ecole de la Salpëtrière des caractères somatiques fixes do premier ordre, indépendants de toute suggestion antérieur
onstration du crime par suggestion n'est pas encore faite, je suis le première le reconnaître. Il n'existe pas encore, en effet,
urbation dans une partie des spectateurs : « Arrêtons : « Article premier . — D est interdit aux directeur» on propriétaires
a un danger à laisser la pratique de l'hypnotisme entre les mains du premier venu, et. pour eux, un des dangers réside dans la
utre dans ta lumière ronge. Dans la lumière bleue, le flamboiement du premier barreau se renforça de 8 lignes; dans la lumière
attendais d'elle, elle se laisse volontiers hypnotiser. 24 septembre, première séance. Je lui fais fixer ma montre pendant 20 m.
s crises nerveuse. Grande, bien conformée, bien portante. 23 février, première séance. Elle dit qu'elle souffre de la tète et qu
nclinaison latérale droite de l'utérus, une présentation du sommet en première position. Les contractions utérines se suivaient
'activité vitale. En premier lieu, celle du monde végétal. Lorsqu'aux premiers jours du printemps, la chaleur atmosphérique agit
de façon que les bouts de mes doigts arrivassent à l'articulation des premières phalanges de la main du sensitif, la Lohée s'allo
nous étudierons les propriétés particulières à cette Lohée. fin du premier mémoire DISCUSSIONS ET POLÉMIQUE La Nutrition
nces. Au sujet de cette malade je dois faire une remarque. Aux deux premières séances, d'une heure chacune, je n'avais obtenu a
t isdolore. SUOOBSTfOX a l'état de veille C. R., 21 ans, Genevoise, première grossesse, phlysique, très grandes cavernes à gau
ne et bien conformée. Bassin normal, bruits du cœur du fœtus faibles. Premières douleurs à 2 h. du soir, le 8 février; à 4 h. les
. Je lui ai suggéré do ne plus souffrir pendant son accouchement. Ses premières douleurs ont commencé Le 12 octobre et durèrent t
vent réussi chez les malades de cette catégorie. En somme, pour son premier essai en neuropathologie, M. Levillain peut espér
ge d'admiration et de reconnaissance, nous fait parvenir la liste des premiers souscripteurs qui ont répondu à son appel. Alle
et par l'inculpé; 3" Qu'un régulaiif uniforme soit adopté dans les premières opérations de toute expertise médicale; 4* Qu'en
et après avis préalable de la Faculté de Médecine et des tribunaux de première Instance de la région, une liste de médecins auxq
eaucoup plus vite. Je vous ferai dormir tout à l'heure ». Après cette première insinuation, je continue à l'examiner doucement,
mènent ici remonte à cette date. C'est alors qu'elle a ressenti les « premières excitations, » mais à cette époque les crises éta
asser à l'état A, c'est-à-dire à l'état normal, à l'état de condition première ? Ce passage, qui dans quelques cas se fait sponta
M. Charcot a pu en présenter un second cas tout à fait comparable au premier , mais qui, jusqu'ici, avait été très difficile à
iété a décerné : un prix de 1,000 francs offert par la veuve de notre premier secrétaire général, le D' L. Lanier, 4 M. 10 D*r
st donc pour nous, messieurs, une grande satisfaction d'avoir été des premiers à reconnaître le mérite du docteur Lièbeault, et
Liébeault T Alexandre de Humboldt a dit quelque part que la condition première du génie est la patience. Vous conviendrez avec m
vé son verre en l'honneur de M. Dumontpallier, le dévoué Président du premier Congrès international de l'hypnotisme, et il a ex
Je remercie particulièrement M. Malinas Roth qui a saisi, l'on des premier *, l'importance de nos principes et a amené a les
olice qui l'accompagne, lesquelles ont le don de la terroriser. Nos premiers soins furent de tranquilliser la femme Fay et de
t très impressionnable, vive; assez intelligente, paraissant obéir au premier mouvement. Apyrexie. Pouls régulier, égal. Elle d
élèves en présence de cette enfant, si impressionnable, si docile au premier mouvement. La pauvre enfant travaille comme une a
ompte dans tous les sens, en long, en diagonale, etc.; à l'asile, son premier acte est de compter les carreaux. Souvent, après
pélrière j1 '. M. Auguste Voisin a consacre La seconde partie de sa première leçon clinique à l'étudo expérimentale des sugges
i, tandis que dans d'autres ils semblaient ne pas l'avoir. Une de ses premières expériences faites devant trois magistrats, d'un
38 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
aine, et qui peuvent à bon droit, croyons-nous, être rapprochés des premiers . rl État des "nerfs périphériques dans l'empo
myéline se détruit et comment elle se restaure. Pour ce qui est du premier point, le mode d'évolu- tion de la névrite, les
egment avant de frapper son autre extrémité, et que les parties des premières atteintes sont aussi probablement les premières
s figu- res 16 et 17 sont à ce sujet bien significatives. Dans la première , nous voyons une fibre large interrompue par tr
ombre d'auteurs ont soutenu, et c'est là une théo- rie qui date des premiers jours de l'ataxie locomotrice, que l'incoordina
d plus apparents, sans les modi- fier, les symptômes de l'affection première ; d'autres fois, au contraire, atteignant plus p
tion des symptômes de « paralysie générale » ; c'est-à- dire qu'aux premiers jours, le seul délire alcoolique est apparent e
on, elle s'impose à son tour au délire alcoolique, elle se place au premier rang et ses manifestations délirantes laissent
olique avec hallucinations multiples, mobiles, très différentes des premières : il voit des vipères autour de son lit, il ent
is disparaissent pour laisser à découvert le délire chro- nique des premières années. Avec la dipsomanie, forme particulière
ouveau délire ne tardent pas à disparaitre, les idées mélancoliques premières et les impulsions sont toujours là sans avoir r
que comme celle du côté opposé. Toute la partie postérieure de la première circonvolution frontale, aussi bien sa face inter
x accès. NOTES SUR l'idiotie. 85 Nouvelle description de l'accès. Première période : Pas de cris. On note d'abord quelques
e la circonvolution d'enceinte de la scissure de Sylvius ; sur la première temporale ; sur le pli pariétal supérieur ; enfin
mment, elle est la règle dans cette variété d'apoplexie, dans les premiers jours qui suivent l'attaque. L'aimant n'est cer
communication faite au congrès de Pise, M. Maragliano. confirme ces premières études et s'est assuré que, chez le même indivi
eu de temps après dans le voisinage, se confondit bientôt avec la première ; enfin, en 1874, il existait sur le côté droit d
depuis trois mois. Pendant les REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 143 premiers mois de son séjour à l'hôpital, elle répondait en
a lésion cérébrale. Cette conclusion est plus contestable pour la première observation où il s'agit d'un persécuté succomban
UE SUR QUELQUES points DE la lypémanie ; par M. H. Mabille. Cette première partie du mémoire de M. Mabille ne traite que d
le au service de M. Moreau père, qui se prostituait effrontément au premier venu ; les exhibitionnistes de M. Lasègue, et t
menstruation et de l'époque critique, aux excès de l'onanisme, aux premiers rapprochements conjugaux (post- connubiales), a
les travaux de l'École de la Salpêtrière. On trouvera aussi dans ce premier chapitre quelques considérations sur les dégéné
aussi ce qui en fait un document d'une valeur considérable. Un des premiers chapitres est consacré, et pour cause, à la par
roposition du secrétaire général de la Prélecture, arrête : Article PREMIER . - Il est créé dans chacun deshospices de Bicêtre
photo- lithographies. Douze livraisons forment un volume. Les deux premiers volumes sont en vente. - Prix de la livraison :
ylindre d'axe. Quant au mécanisme suivant lequel s'effectue cette première section, il est plus difficile de le déterminer.
ns que l'autre subisse un allonge- ment égal au raccourcissement du premier . Pour produire ce mouvement du levier osseux, o
de fumée les plus petites oscillations communi- quées au levier du premier tambour. Nous ne croyons pas. devoir insister p
(Jig, 10); qui ne diffère du précédent que par l'absence de la ' première "secousse;1 celle-ci devait forcément manquer,
ent de la main gauche ; PATHOGÉNIE DES TREMBLEMENTS. 211 t que ce premier accès dura à peine cinq minutes; six mois après
par de nombreux foyers de méningo-encéphalite. Observation VI. Premières convulsions à 6 mms. - Rémission à 3 ans. - Affai
ante, a eu trois enfants. Rien de particulier à noter pour les deux premiers , qui sont bien portants et intelligents. Le tro
die de son enfant. A l'âge de 6 mois, au moment de l'apparition des premières dents, survint une première attaque de convulsi
en 1876; 176 en 1877; 257 en 1878 ; 406 en 1879 et 102 dans les 40 premiers jours 232 CLINIQUE MENTALE. de 1880. Ajoutons
e, il a fait des excès alcooliques, était grand buveur d'ab sinthe. Premier accès d'épilepsie à 26 ans,'à'la suite d'ex- cè
i' . \ ' ->> ? homologues de cerveaux sains. Ce qui frappe, a première G,W .I·ie.7, ? 1 Il Il.- l 1 '1 ? 1 ¡r vue, c
. l'inégalité des pupilles, etc., etc. que l'on observe dans les, premières , périodes,, de, la -.paralysie. générale., vil
t, c'est la haute signification clinique reconnue par M. Burq; le premier a deux symptômes très-fréquents dans les névroses
circonstances dans lesquelles, ont été faits, à la Salpêtrière, ces premiers essais de l'aimant. , Les résultats obtenus ant
1 1 - n * ' nIm " ' " - ; ' beau mémoire d'Andry : et Thouret. Nos premières expériences .... "4 l 'f r' '. 1 1", .. (Soc.
us puissantes que la classique machine à plateau de verre. Pour nos premiers essais à la Salpêtrière, nous nous sommes servi
rochain travail; car, il faut le dire sous forme de parenthèse, ces premiers essais d'électrisation statique, faits d'abord
par apnée, aux différentes phases de la narcose, soit au début des premières inhalations par ac- tion réllexe ; soit plus la
ettre trois formes principales de morts par le chloroforme : t° aux premières inhalations, par choc chloroformique initial, p
foie et des or- ganes abdominaux émanant de la moelle par les trois premières paires de nerfs dorsaux; 2° L'hyperglycémie e
de là les nerfs splanchniques; 3° L'arrachement des deux ou trois premières paires de nerfs dorsaux supprime l'effet, sur l
. Supérieurement, la dégéné- ration n'est plus visible au niveau du premier nerf cervical. REVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 2
HEYIj.E ¡mhp.TIl9Y)PH<)OEHYEUSE., 297 tl\t9nY9J ? p'I1dant ou, premier , degré, de, la; réaction' de Idégé- nérecJ;lc9'
vers la partie inférieure de la pariétale ascendante gauche et la première frontale droite;. à, la base, du cerveau, , un ex
blement constitués, seraient pour lui des causes prédisposantes de première importance. La fatigue produite par la station
6te ! Ka) est une affection encore peu connue, mentionnée pour 'la, première ! fois par M. Gull Nôtesur ûn éiat'èrétüleux su
ment ou quelque autre sen- sation anormale est le premier ou un des premiers symptômes restés. Cet engourdissement est décri
dre dans les mouvements ou de contractions spasmodiques sera un des premiers signes. Lorsque le sommeil du malade est troubl
malades l'état mental spécial dont on doit à M. J. Falret l'une des premières descrip- tions (1861), ultérieurement complétée
tistique de l'asile de Worcester pour 1844, que' 25 malades, à leur première atteinte de folie, avaient quitté l'établissement
phéri- ques dans les maladies cérébrales. Nous serons bref sur la première partie de ce travail qui porte sur les mêmes docu
position du secrétaire général de la Préfecture, arrête : Article premier . Il est créé, dans chacun des hospices de Bicêtre
e médecin de Mulhouse, âgé de 16 ans, a subi ces jours derniers le' premier examen pour le baccalauréat ès lettres ; il a é
veau journal. MM. Lombroso et Garofalo viennent de publier les deux premiers fascicules d'un recueil intitulé : Archivio di ps
PATHOLOGIQUE. motrice volontaire, elle apparaît du moins comme la première étape, comme le relais immédiat. Or, sur quoi r
tait de nombreux cas d'affections mentales. A 8 mois, X... eut sa première attaque de convulsions. Jusqu'à l'âge de 3 ans,
ge de 3 ans, elle ne put ni marcher, ni parler. Puis, lors de ses premiers pas, on remarqua une faiblesse du membre gauche
ion se faisait régulièrement. C'est à 17 ans, que X... prononça ses premières paroles : elle put té- moigner alors d'une bonn
rouve au-dessus de l'articulation scapulo-humérale. Les corps des 4 premières vertèbres cervicales sont aussi tour- nées à dr
ormal. On remarque, sur le lobe temporal, la scissure parallèle, ou premier sillon temporal (PL. X, XI, il), et le 2° sillo
ieure de l'insula. In : p, portion postérieure de l'insula. T' ', premier sillon temporal. T ', deuxième sillon temporal.
ansverse. Planche XI. Surface externe de l'hémisphère gauche. f premier sillon frontal. f*, deuxième sillon frontal.
xième sillon frontal. Tu', sillon occipital transverse. T 1, T ', premier et deuxième sillons temporaux. PLANCHE XII. F
Face inférieure du cerveau. ST, sillon orbitaire transverse. S p, premier sillon supra-orbitaire longitudinal. Ss, deuxiè
p élevée pour répondre à celle de la méningite tuberculeuse dans sa première période. 2° L'hypothèse d'accidents aigus, gr
ractères du souffle cardiaque n'ont pas changé. On entend encore au premier temps, à la pointe, et par propagation à la bas
si le citons-nous de préférence à tout autre. Observation II. ' Première attaque de rhumatisme articulaire, chez un homme
es deux observations qu'il nous reste à rapporter pour compléter ce premier travail sont relatives à des enfants idiots, ch
IDIOTIE PROFONDE. SOJIDIJ.1RB. - Antécédents héréditaires négatifs. Premières convulsions à six mois. - Parole, marche nulles
atrophie intéresse surtout le pli courbe, la partie postérieure des première et deuxième circonvolutions temporales, la part
érieure de la circonvolu- tion du corps calleux; enfin atrophie des première et deuxième circonvolutions occipitales. C'es
parents. L'auscultation du coeur dénote un bruit de souffle rude au premier temps et à la base. Il n'y a pas de frémissemen
que cet ordre n'est constant chez tous les sujets que pour les deux premières couleurs nommées, couleurs centrales (on verra
che Medicin, avril 1880.) I. Rameau brachial volumineux venant du premier nerf inter- costal. On sait que le premier nerf
l'interne se terminait dans la peau des parties correspondantes du premier et du deuxième orteil. Tous ces faits rappell
udéenne, hémorrhagie cérébrale). 2° L'arrachement des deux ou trois premières paires dor- sales supprime l'effet sur la vascu
de surdité; de temps à autre quelque fatigue. A la pointe du coeur, premier bruit clair et soufflant, deuxième bruit pulmon
thésie concomitante). L'observation qui vient d'être décrite a pour première étape la lésion du système osseux de la base du
fléchisseurs de l'avant-bras gau- che et les doigts. Dès la fin du premier mois, l'atrophie com- mença. Il n'y eut pas le
cule cérébelleux moyen. - M. le docteur Mackensie, qui croyait au premier abord à une dégénérescence graisseuse, dit avoi
ajorité des cas. A propos des symptômes, il a noté que la direction première de la rotation se fait toujours dans le sens de
le service de M. POLAILLON, avec une tumeur mélanique ulcérée du premier métatarsien droit. Il existait des nodosités de m
eux : la guérison s'est maintenue. Voici le détail résumé des trois premières : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 477 7 Observat
utre de M. Bail accusent nettement le caractère de la maladie. La première concerne un peintre qui enfermé dans un atelier p
lles, la forme spasmodique et la forme parétique. Dans l'une, les premiers signes sont de petits. mouvements spasmodiques de
ation au Progrès Médical.) Bien que le titre en semble restreint au premier abord, ce travail n'en touche pas moins à la pl
. M. Grasset a réuni en un seul volume les matériaux nombreux de sa première édition et il y a ajouté un grand nombre d'obse
inaire les généralités sur le système nerveux qui constituaient ses premières leçons dans l'édition précédente ; nous avons d
ment à Bicêtre et à la Salpètrière, l'étranger, enthousiaste de nos premiers résultats, nous avait singulière- ment distancé
ont- l'Abbé (Manche), installée par le médecin en chef, un de nos premiers et excellents internes, M. Legruel, nous en somme
in'sul'aiîê'.IJIC : i,9om'm'e.sù les faces correspond dàntesdësdêux premières 'zones ? on trouve' donc réez nis : le fascicut
1 - 'î -- ? t 1 ? r41l& - % fm ? · meretres rapide, .car .les. premiers ! , accèside, douleurs - ,' H) JTjilWB-^ ! » ?
Vs «vj> E sol Interrogeai l&jmaladeknouacdit'querjpour Lia'' première .fois, udepllisïsa ni'aladie,nil;à3ép.ouvél'd,a
Su J J 1`rr, tm ri fcr tpr r) ? rr )fi ) 11 ? m . pans les, quinze, premiers jdurs"du sejoltr du malade a I : lifi- ,ptal 's
s postérieures des cinq ou six derniers nerfs dorsaux et des deux premiers lombaires suivie dedilatation des vais- seaux e
- que habituellement actif, celui-ci ne donnera rien non plus. La première application dont le résultat avait été nul en app
te par les métaux sur certaines malades de la Salpêtrière, lors des premières expé- riences d'anesthésie provoquée. En y ré
des fibres nerveuses s'observe toujours à la 4° ou 5° semaine; ses premières traces se montrent le 16° jour dans le bout pér
XIII, p. 227, t878) : l'exagération de l'excitation galvanique des premiers jours faisant bientôt place à son peu d'effet a
rnière observation émane du travail de Flournoy. Tous diffèrent des premières embolies mécaniques par une moins grande intens
pour fixer les idées, comment il décrit une de ces attaques dans sa première observation. Il s'agit d'une jeune femme de 22
ints d'atrophie cérébrale sans phénomènes choréi- formes ; chez les, premiers , la paralysie y est moins prononcée, et les joi
ès l'hémiplégie ; mais ordinairement ils se présentent. 'dans les , premiers ,mois qui suivent l'état de mal convulsif 'qui
t, en effet, de jeter un coup d'oeil sur les articles parus dans ce premier volume pour voir la part considé- rable qui lui
ort du mi- nistre de l'intérieur et des cultes, décrète : Article premier . Il est institué, sous la présidence du ministre
, L'auteur entre dans le détail des mémoires contenus dans notre premier fascicule et conclut : ' Il- JU, j 1 ;; / « Ce
dans notre premier fascicule et conclut : ' Il- JU, j 1 ;; / « Ce premier numéro est plein de travaux et de documents int
travaux et de documents intéressants à lire, et, à en juger par ce premier fascicule, les'sui- vants seront lus avec soin
n- dra compte prochainement des principaux mémoires que les trois premiers fascicules renferment; mais nous n'avons pas voul
CES MÊMES VALEURS EN TITRES AU PORTEUR. , J ,¡ ! 1 .. '' ARTICLE PREMIER . - Le tuteurne pourra aliéner, sans être autorisé
ritique. Ces éloges ne doivent cependant s'appliquer,qu'aux deux,,( premières éditions du Dictionnaire, car, plus tard, l'auteu
enues rares aujourd'hui, ont été publiées, la t FAITS DIVERS. 619 première en 1820 et » comprenant deux volumes; la 2° en 18
de toxicologie et aux propriétés de la glycérine, qu'il fût un des premiers à employer comme médicament interne. En dehors
313. EXPLICATION DES PLANCHES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE Toutes les figures contenues dans cette planche
érieure de l'insula. In : y, portion postérieure de l'insula. T', premier sillon temporal. T ', deuxième sillon temporal.
ANCHES. PLANCHE XI Surface externe de l'hémisphère gauche. f ', premier sillon frontal. f, deuxième sillon frontal. 7
xième sillon frontal. 7 ? sillon occipital transverse. y',7 ? ! , premier et deuxième sillons temporaux. EXPLICATION DES
Face inférieure du cerveau. ST, sillon orbitaire transverse. S p, premier sillon suprit-orbitllll'e longitudinal. Ss, deu
tions générales pour les PLAXLHES X, XI, XII, XIII. F 1, 1' 2, F 3, première , deuxième, troisième circonvolutions frontales.
e l'insula (portion proéminente). 0, lobe occipital. T l,T2, T 3, première , deuxième, troisième circonvolution temporale.
lo-orhitaire. C i, capsule interne. G F, gyrus forniçatus. F ', première circonvolution frontale. F', deuxième circonvol
39 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
tendons ; or il est aisé de voir cette altération sur les bords des premières phalanges qui présentent des épines osseuses bien
Il semble aussi que sa croissance a subi une forte poussée dans la première enfance. Michel nous a dit en effet qu'à (le 7 an
igantisme. De semblables associations, quoique un peu paradoxales à première vue, ne sont pas rares. Déjà M. Capitan en 1897
de l'observation. - Bracco Guiseppe, 19 ans. A 1 ans ont débuté ses premiers troubles : maux de tête, affaiblissement de la vu
s les caractères somatiques et quelques caractères psychiques de la première adolescence. Souvent les infantiles du type Lor
ême que chez les infantiles dont j'ai donné la description dans mon premier mémoire, ni l'un ni l'autre de ces deux nouveaux
séquence de la maladie de Banti qui avait été probablement la cause première de son infantilisme par une action toxique indé
contrairement à ce qu'il avait cru pouvoir déduire de l'examen des premières radiographies d'infantiles, il ne croyait plus
om de chétivisme soit un jour l'objet d'un démembrement; je suis le premier à reconnaître son polymorphisme et,dans mon espri
r un discernement limité dont il ne dépasse pas les bornes ce qui à première vue ne lui donne pas l'air d'un arriéré, si nous
ourrait servir plutôt pour une hypothèse que pour une autre ' ? À première vue notre cas ne sert pas une hypothèse plus qu'u
e est minime. Les trois doigts du milieu sont rapprochés- par leurs premières phalanges et s'écartent les uns des autres par le
im- ' portance inouïe et pourtant pas assez apprécié durant les dix premières années. Dans la monographie de Bruns publiée di
' . Tumeurs de la moelle épinière et DE la COLONNE vertébrale 49 PREMIÈRE PARTIE TUMEURS VERTÉBRALES Observation I. L
rines ; toujours constipé Jamais sérieusement malade. Il a eu de sa première femme deux enfants, qui sont morts jeunes. De sa
e lombaire commence un peu plus haut que d'habitude. On remarque du premier coup d'oeil l'atropliie musculaire générale et
Résumé. Il y a 15 mois, la malade âgée de 43 ans éprouve pour la première fois des douleurs persistantes dans la région sac
dification de la conformation interne ont atteint un tel degré, qu'au premier coup d'oeil on n'arrrive même pas à distinguer
symptômes médullaires. Même la paraplégie aiguë peut constituer le premier symptôme morbide. Quelquefois quand la tumeur occ
euse des méninges et envahissement du tissu nerveux). Dans les deux premiers cas il s'agit évidemment de « toxines » inconnues
expli- quer anatomiquement les symptômes médullaires. Dans notre premier cas on pouvait supposer que la tumeur avait passé
extenseurs de la jambe. i Tout obstacle la distension normale des premiers ou à la la contraction; ! normale des seconds a
e de Joseph Chiodo. Or ces deux jeunes gens, qui étaient cousins au premier degré, et qui avaient leurs parents consanguins,
ètement négatif. Charles va à l'école et commence régulièrement ses premiers es- sais d'écoliers. Observation I. Résumé.
état actuel. Elle a une apparence farouche et sauvage qui frappe à première vue. Ses cheveux drus et hérissés encadrent un
s actifs de la main sont réduits à l'extension 'et à la flexion des premières phalanges ; toutefois chez Marguerite la préhensi
bégayer quelques mots, mais elle aussi mon- tra un retard dans ses premiers pas ; en effet, elle ne commença à marcher qu'à
de 20 mois. Aurélie n'a pas souffert d'attaques convulsives dans sa première enfance, jamais elle ne fit les maladies de cet
duction du pouce comme chez sa soeur. La flexion et l'extension des premières phalanges se fait encore assez bien. L'avant-
précoce que ses soeurs. A 8 mois elle commençait à bredouiller les premiers mots et à 14 mois elle marchait déjà . Jusqu'à l'
jà relevé plusieurs fois dans les maladies familiales. Dans notre première observation, nous avons relevé l'existence d'atta
connaît cette observation qui a trait à deux frères qui, dans leur première enfance, avaient été frappés par une rigi- dité
spino-névritiques sont au premier plan ; ils ont une importance de premier ordre et ils rappellent la forme de Charcot-Marie
s cas,qui justement avaient subi l'atteinte de la maladie dès leurs premières années, m'ont démontré les traces les plus évid
TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 159 Au premier abord on pourrait penser qu'il s'agit d'une dégén
résumant ce cas nous pouvons dire que chez cet homme de -15 ans les premiers symptômes sont apparus six ans avant que la malad
st ainsi que les psychoses dites fonctionnelles appartiendraient au premier , qui cliniquement comprendrait : les démen- ces
utorisé à par- ler de l'anatomie palhologique de la folie. L'idée première de cette conception nouvelle de l'anatomie pathol
t on nous parle, tant enfin, que la chimie du cerveau en sera à ses premiers essais. Pouvons-nous seulement, dans l'étal act
s maladies mentales frappent cet organe, soit pendant son évolution première , soit pendant sa vie adulte. On a alors les arr
er un emplâtre sur une jambe de bois. Peu importe, semhle-t-il au premier abord, qu'une psychose débute par r un désordre
-humains, et, avec celui de solidarité a présidé à la formation des premières sociétés, l'instinct de simulation a dû apparaîtr
ans une proportion qui ne saurait être encore précisée, mais qui, a première vue, doit être élevée, puisque, sur une premièr
thorax est d'aplomb. Sont-ils timides ? On peut se le deman- der. A première vue, ils ne le semblent pas ; et cependant leur c
ure une notion plus ou moins consciente. L'homme actif sait dès ses premières années, qu'il est le maître de ses muscles, de so
t normale. La palpation montre à la partie dorsale de la tête de la première phalange, un ressaut osseux net, comme s'il y ava
tit. La grand'mère, normale, eut sept enfants : deux sur trois d'un premier lit moururent tuberculeux. Du deuxième lit naquir
café. Elle eut des pertes sanguines irrégulières pendant les trois premiers mois de sa gros- sesse ; les mouvements actifs
e qu'il a toujours été un peu faible, de teint blême et que dès ses premières années, ses parents s'aperçurent qu'il grandiss
t vite et bien à lire et à écrire. Le patient affirme que dès ses premières années son développement corporel se montra ins
eds sont plutôt gros dans les trois cas et particulièrement dans le premier , où ils présentent une anomalie que nous allons d
t morts, quel- ques-uns à la naissance, les autres en bas âge ; des premiers l'un est mort d'ictère, l'autre d'asphyxie. Son
l'âge de SO ans en menant t toujours une vie très fatigante; notre premier malade avait voyagé des journées entières, à pi
idus nous pouvons apprendre très peu de chose, car ils ont dès leur première enfance abandonné leurs parents pour vivre au l
local du squelette; 2° par un trouble général delà nutri- tion. Au premier groupe appartiennent le nanisme rachitique et ach
êtres robustes, dans un état de nutrition excellent, cela dès leurs premiers jours de vie ? Seraient-ils tels si une intoxic
volume très considérable du maxillaire inférieur pourrait aussi, au premier abord, faire naître l'idée d'une acromégalie, mai
ine, la doctrine de l'hé- rédo-syphilis, qui s'est mise indûment au premier rang ; cette simplifica- tion nous permettra de
erveux central peut être attaqué par la syphilis déjà dans les deux premières années et même pendant les premiers mois après
veloppée dans une période précoce, il nous faut rappeler, parmi les premiers qui s'occupèrent le plus du sujet, Ileubner qui r
inson auxquels revient le mérite d'avoir délimité l'espace des deux premières années après l'infection comme étant le domaine
. Enfin, il faut rappe- ler Neumann, qui observa déjà dans les deux premières années après l'in- fection des cas de paralysie
ortelle. L'autopsie donna un résultat négatif. Mingazzini, dans son premier travail sur la syphilis cérébrale précoce et ma
t la vie des sujets et fournis de données anatomo-pathologiques. La première observation regarde un homme de 27 ans, lequel à
s qui fut frappé d'une hémiplégie, deux mois après l'apparition des premiers symptômes de l'in- fection syphilitique. Le mêm
ement moyennant une énergique cure spécifique. Mingazzini, dans son premier travail, déjà cité, fit connaître encore les ca
le hérédité existait sûrement dans mes deux cas, plus grave dans le premier , moins grave dans le second ; et il n'est pas imp
ut niée (17), ou bien il ne se déclara qu'un ulcère mou (7). Des 76 premiers , 10 n'avaient suivi aucune cure mercurielle; 36 n
estion est donc beaucoup plus complexe qu'elle ne le semble- rait à première vue. Il me semble que dans une matière aussi déli
s, les moments étiologiques que l'on peut incriminer sont : dans le premier cas, la tare héréditaire névropathique, l'alcooli
e marquée par la saillie osseuse sur sa face antérieure, dans notre premier cas, n'en a pas altéré la structure. Pour que l
s et localisées dans la région lombaire. Elles sont apparues pourla première fois dix mois avant l'opération, ont duré six sem
entre de nouveau à l'hôpital.A l'examen on constate que son état du premier séjour persiste. La malade lève le membre infér
de Brown-Séquard. Mais nous savons que ce phé- nomène paradoxal au premier abord peut résulter d'une compression des pyram
e que même dans le cas présent si peu favorable à la restitution au premier coup d'oeil, une amélioration ait pu se produire
grise reprendre sa forme normale. La moitié droite de la moelle au premier coup d'mil semble ne pas présenter de lésions.
n partie aussi dans celles de la Ire lombaire (fig. 22). La tumeur,au premier coup d'oeil, fait corps avec la moelle épinière
après l'opération étal flasque des muscles. La plaie guérissait par première intention. La malade maigrissait tou- jours et
dres). Doigts fléchis. Muscles inter- osseux atrophiés surtout dans premier espace. De même le muscle thénar (sur- tout le
ur. Le VIIIe segment dorsal est tout à fait normal sur la coupe. Au premier coup d'oeil on n'y remarque point de lésions. Q
vement peu modifiées. Dans quelques endroits seulement,au niveau du premier segment dorsal par exemple, on voit une infiltr
consécutivement aux sections des nerfs périphériques. J'ai fait ma première communication sur ce sujet dans la séance du (1
es on n'en voit plus aucune. 7° Jean G... Notes cliniques. 46 ans ; premier ictus suivi d'hémiplégie droite il y a 5 ans ;
de 394 MARINESCO pigeon qui avait comprimé la moelle au niveau du premier segment lombaire. A droite la moelle était comp
es terminales cutanées du petit sciatique. Mais la topographie du premier système est plus intéressante encore. D'une faç
derniers inter- costaux, est plus régulière qu'elle ne le paraît à première vue ; elle correspond précisément successivemen
rameaux cutanés des branches postérieures du dernier cervical et du premier dorsal, droits et gauches. Aussi sa bilatéralit
faire sur des schémas se rapportant à la métamérie médullaire. A première vue, on pourrait être surpris de la disposition p
te, recouvrant le territoire d'un nerf péri- phérique (obis. de mon premier mémoire) ou reproduisant sa disposi- tion proje
produisant sa disposi- tion projetée sur la peau (obs. 1, 6, de mon premier mémoire), ou plus exactement, des prolongements
nce avec le territoire de distribution de la 8c racine cervicale et première dorsale des deux côtés (région ulnaire des avant-
graphique de la colonne vertébrale. Pour ce.qui concerne les cas du premier groupe, qui sont du reste plus nombreux, il me
yon diminuée d'un tiers environ. 'Sur aucun des métatarsiens et des premières phalanges sains l'épiphyse n'est soudée à la di
visibles. Remarquons encore la raréfaction osseuse ma- nifeste des premières phalanges raccourcies, en particulier de la quatr
EVALLIER parut après trois semaines. Nourri au sein, le bébé eut sa première dent à six mois ; à dix mois, des convulsions a
arqué de la malade. L'extrémité du doigt ne dépasse que très peu la première articulation interphalangienne de l'annulaire ; l
tion est achevée. RRACHYMÉLOE MHTAPODIALE CONGÉNITALE IIJrJ 5 des premières phalanges des troisième et quatrième doigts de la
de lymphocytes et de fibrine). ' Diagnostic différentiel. Ici en première ligne il faut indiquer les difficultés qu'on renc
cin des hommes. Pour cela, il lui fallait compléter son instruclion première , apprendre le latin, le grec, faire ses humanit
et même il éprouvait quel- que gêne s'il était fait allusion à ses premiers débuts dans la médecine vétérinaire. F. Raymo
: les circonvolutions de l'insula (1), le fasciculus arcualus, les premiers faisceaux du claustrum ne présentent aucune altér
agénésie partielle, comparable à celle que Groz a observée dans son premier cas. Le trigone et la cloison trans- parente fo
antilisme. Ces carac- tères sont, selon nous, au contraire de toute première importance. M. Viola d'ailleurs considère le na
s auteurs emploient donc, dans ce cas, l'expression que Meige a, le premier , employée pour les infantiles du type Lorain ; no
et la même déformation du nez que le nain qui fut l'objet de notre première observation. Les individus mâles nous ont affir
ormale et la seconde dentition ne s'est pas fait attendre. Dès sa première enfance, et ultérieurement, notre sujet a été l'o
ce point de vue il est beaucoup plus typique que le sujet de notre première obser- vation, dont l'aspect drôlatique évoque
nous paraît parfaite). Notre nain se différencie du sujet de notre première observation par les proportions plus harmonique
e antéro-postérieur du crâne : l'os occipital est, comme chez notre premier sujet, très saillant en arrière et donne à la par
est exactement la même que celle que nous avons décrite chez notre premier nain ; le nez a le bout relevé, les narines sont
. Extrémités supérieures el inférieures. Encore plus que chez notre premier nain, nous remarquons dans ce cas les proportio
s pieds carrés des achondropiasiques. Dans ce cas, comme chez notre premier nain, les dernières phalanges des doigts sont d
ut être acquise : elle débute alors insi- dieusement dans les trois premières années de la vie (Cange, Markeloff, Steinberg)
eil par absence de longueur du cuboïde. Ce syndrome peut simuler au premier abord ! a brachymélie métapodiale. d'autant qu'
sur la localisa- tion de l'arrêt de développement. La nutrition du premier rayon est assurée, dans la grande majorité des
e ; elle apparaît avant la naissance ou parfois dans le cours de la première enfance, coexiste dans certains cas avec d'autres
Grenzgebicte der Medizin und Chirurgie, 1910, un cas ana- logue au premier ( ? ) des nôtres. Nous n'avons malheureusement pa
ations furent exécutées à tous les niveaux. même dans la région des premières vertèbres cervicales. Dans le cas dé- crit par
ue quelquefois la moelle est couverte par une masse gélatineuse. Au premier coup d'oeil on peut prendre cette masse pour la
ue les fonctions de la moelle revenaient après l'opération là où au premier coup d'oeil tout semblait perdu. Dans un cas dé
sa biographie, les plus (1) ALpIIONSE Wnursns, L'Histoire de notre première école de peinture cherchée dans les meilleure s
lcospilum cameram ascendere et ibidem cum illis convivari ». Ces premières lignes du document montrent que le chroniqueur Ga
te. A cet égard, le témoignage du frère convers prend une valeur de premier ordre. De plus, on peut induire de ce récit, qu'H
nvolution voisine, laquelle nous croyons pouvoir identifier avec la première circonvolution limhirlue de l'hémisphère normal.
de fibres se rend tout d'une pièce dans la zone sous-corticale delà première circonvolution limbique. Ainsi, ce cas nous perme
étant en général de formes très harmonieuses, évoque tout de même à première vue l'image d'un pyg- mée ; il n'est pas diffor
achondroplasiques, mais nous devons cependant reconnaître que notre premier nain a surtout les extrémités supérieures in to
d une légère tendance aux putréfactions intestinales Chez les trois premiers sujets de nos observations nous avons prati- LA
ence les quelques caractères somatiques discor- dants chez nos deux premiers sujets, nous désirons exposer les quelques tare
a détermination tout à fait primordiale de la microsomie dans notre première famille. Nous ne croyons pas que la petite Alex
e est normal. Le droit présente six orteils complets ; les qua- tre premiers sont normaux et leur longueur décroît régulièreme
e de Vaucluse. Le père lui- même, atteint de convulsions pendant sa première enfance, est devenu dyspep- tique, asthénique e
iennes surtout, sont minces et laissent très facilement explorer le premier métacarpien par sa face palmaire. Mais il n'y a n
e soit d'un côté, soit de l'autre ; ainsi (fig. 13) la situation du premier et du deuxième doigts du pied droit est régulière
; on le remarque moins sur la figure G; sur lesdites planches, deux premiers doigts se trouvent en position de valgus ; parfoi
on de valgus ; parfois,cependant, cette position n'appartient qu'au premier orteil d'un seul pied ; ainsi, par l' exemple,
phalangettes sont quelquefois renflées en tête d'épingle, quant au premier et au deuxième doigt des deux pieds; c'est ce qui
n compare les figures 1, 2, 13, 16 avec les figures 12 ou 15. Les premier , dixième et treizième cas ont été étudiés sur ma
40 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
ntendre par syndrome oxycé- phalique : Si nous nous reportons aux premières descriptions qui ont été faites par les auteurs
le dit avoir souffert beaucoup pendant sa grossesse. Jean a été son premier né, après un accouchement laborieux et très long.
e lait à lui donner et malgré même qu'il ait été soumis pendant les premiers mois à un allaitement mercenaire très mauvais et
ut énormément re.tardée, jusqu'à l'âge de 16 mois, et il ne fit ses premiers pas qu'à 22 mois. A partir de cette époque, l'a
a sage-femme. Marie fut nourrie au sein de la mère pendant les deux premiers mois, mais à la suite d'une indisposition mater
s, l'acuité visuelle est de 8/20 à D. et de 9/20 à S. Comme dans la première observation il faut relever le contraste existant
us un certain degré degenu-vulgum plus accusé encore que dans notre première observation. Rien d'autre à signaler du côté de
commencé sa dentition. Ce ne fut qu'à l'âge de 20 mois qu'il fit sa première dent et il commença à marcher à 25 mois. Dans c
e présente pas cet amaigrissement que nous avons signalé dans notre première observation. Vu de face, son crâne n'est pas ex
ycéphalie. Tous ces détails radiologiques ont ici une importance de premier ordre, et tous ensemble'constituent, donc le sy
ude anatomique el radiologique du crâne oxycéphale, il est de toute première nécessité que nous étudions d'abord le profil r
la valeur de l'angle facial de Cuvier dans le crâne oxycéphale ; à première vue, étant donné le prognathisme supé- rieur si
expliquer le méca- nisme de )a pression endocranienne. H ressort à première vue que l'hyper- tension cérébrale dans l'oxycé
(Bourneville et Boncourt (3), Hirschberg (4), Enslin (5), mes trois premières observa- tions). En résumé, donc, dans le pro
s paralysies, l'aphasie, la fièvre, nous font penser que dans notre premier cas la méningite séreuse initiale s'est accompa
eur de la théorie angio-neurotique de Quincke. En effet, dans notre premier cas, nous ne trouvons comme cause immédiate que l
e à la convexité cérébrale, comme cela doit s'être passé dans notre premier cas, ce sont des symptômes corticaux d'excitati
vé un liquide clair, contenant peu de lymphocytes. Merle, dans sa première observation, où il a trouvé à l'autopsie une ép
a noté généralement l'absence d'une température élevée. Dans notre premier cas nous avons constaté un mouvement fébrile, non
it de la fièvre pendant les récidives. Fraenkel (2) a noté dans son premier cas 37°8, dans le troisième jusqu'à h0°. Axhaus
t la marche relativement favorable de celle méningite. Dans notre premier cas nous avons noté l'existence des troubles psyc
; qu'il est souvent très précoce, et parfois pendant longtemps, le premier et aussi le seul symptôme. Son utilité est, dans
es est une affeclioit radiculaire ; nous savons de plus que dans sa première phase, c'est une affection systématique, c'est-1-
au malade de l'urotropine, médication qui fut maintenue pendant les premières semaines. Depuis longtemps déjà, celle préparatio
le résultat d'un travail récurrent auquel est soumise cette matière première associative qui, ipso facto, est synthétisée dans
Bien que B... prétende que le dessin a été un des amusements de sa première jeunese, c'est lentement et avec hésitation qu'il
) que pourtant, à d'autres reprises, il lisait sans difficulté : du premier mot, il écrivit immédiatement Iaos, du second T
alade à peu près au complet. Sa haute stature (1 m. 86) attire au premier regard l'attention. Mais ce symptôme nécessaire
ME ACROMÉGALIQUE 131 sives. C'est à cet âge seulement qu'il fit ses premiers pas et qu'il commença à parler, et encore, dise
jeux. A huit ans seulement, malgré ses protestations, on lui met sa première culotte. C'est pour le jeune garçon l'occasion
ien qu'il l'avait opérée, il y a cinq ans, et elle le reconnaissait première vue. Elle ne sait ni lire ni écrire,mais elle a
ulations des phalanges entre elles, et surtout du métacarpe avec la première phalange. Ces dernières articulations permettent
e la vie humaine, comme le sont, par exemple, la chute des dénis de première dentition, l'apparition de celle de seconde denti
le de seconde dentition, la soudure des épipbyses, l'apparition des premières rides de la patte d'oie, etc.. Celte hypothèse
-éllec[i-ité esl excep- tonnelle, Dalis un groupe, l'apparition des premiers se fait en une poussée très dense et pour ainsi
cines sacrées (18 à 28 cent.) près de 2 fois supérieure à celle des premières racines lombaires (11 à 16 cent.), situation réci
uer en outre que, du fait de l'inclinaison normale du sa- crum, ses premières vertèbres sont presque horizontalement placées da
e de « la glande ». En effet, Descartes a pensé tout d'abord qu'une première difficulté pouvait être levée par ce choix diffic
princesse Elisabeth. Remanié, il fut publié à Ams- terdam en 1649). Première partie, art. 32. Comment on connoit que cette gla
ux (5). En effet, ces petits (1) Traité de l'Homme, éd. Clerselier, Première partie, XII, p. 8. (2) ibis, Première partie, X
é de l'Homme, éd. Clerselier, Première partie, XII, p. 8. (2) ibis, Première partie, XIV, p. 10. (3) « Jamais ils ne s'arres
Les esprits réfléchis de l'image... formée sur la (1) Des Passions, première partie, art 13. xxv 12 Fig. S. 186 SAINTON
ment mue par l'âme, laquelle est de telle nature (1). Des Passions, première partie, art. 36. A plusieurs reprises Descartes a
lqu'un d'eux est ôté, cela rend tout le corps dé- (1) Des Passions, première partie,art. 34. Descartes résume toute sa physiol
sée ou à l'étendue (3) ». La manière dont il faut (1) Des Passions, première partie, art. 30. (2) Des Passions, première, pa
aut (1) Des Passions, première partie, art. 30. (2) Des Passions, première , partie ait 31. (3) Le ôyslème de Desc(t7-les,
p. 3 ! )0. (2) 0. IIAMELIN, in op. laud., p. 352. Cf. Des Passions, première partie, ait. 1G. (3) Edition du Traité de l'Hom
r, p. 207. (2) I\ ! ALEBnA11CIIC, Recherche de la Vérité. Livre II. Première partie. Cil. I, 11. (3) Thomas l3nnnuot.m. Alla
is des doutes sur sa véracité et parmi ceux-ci nous devons citer en première ligne Hardy, A. Mayer, Botazzi, etc. Hardy a fait
quelques-unes sont gris bleuie. L'alcool absolu, agent fixateur de premier ordre, a été fréquemment employé pour la fixati
étration et gardent pendant ce temps leur tonalité respective. A la première catégorie de cellules, en dehors du gonflement co
des phénomènes caractéristiques parmi lesquels nous devons citer en première ligne la production d'un vide nucléaire plus ou m
e elles sont connues depuis fort longtemps, et Galien (2), l'un des premiers sans doute, les signale dans un de ses ouvrages ;
vertèbres cervico-dorsales portent des côtes, l'insertion des deux premières côtes est même si élevée qu'il est difficile d'ap
élevée qu'il est difficile d'apercevoir nettement l'union des deux premières côtes au squelette vertébral ; elle est en partie
thorax est presque horizontale. L'explication en est aisée : cette première côte s'attache sur la vertèbre la plus élevée, el
ieure : La ligne des apophyses épineuses n'est pas régulière, les 4 premières , qui font suite à la masse cervico-dorsale soudée
à contenir l'artère vertébrale est situé au dessus de l'origine des premières côtes, il est uni au canal rachidien par plusie
e se courbe pour quitter la cage thora- cique, elle passe sur cette première côte entre les deux scalènes. Le pneumogastriqu
r origine; ce qui nous fait penser qu'elle est constituée par les 4 premières vertèbres dorsales, qui, peut- être, au cours d
cette masse est constituée en partie au moins par la réunion des 4 premières vertèbres dorsales. Les premières côtes remonta
que, il s'est fait un tassement des vertèbres cervi- cales et des 4 premières vertèbres dorsales. La déterminante étiologique
e critiques de Chaslin et d'Aslros, les auteurs renoncent à leur 1- première dénomination et donnèrent à celle dystrophie le n
I. XXXII à XXXIV) C., 40 ans. Le malade a perdu ses parents dans sa première enfance. C'est pour ce motif qu'il ne peut pas
de la 7e vertèbre cervicale ainsi que l'élargissement des têtes des premières phalanges. Chez la malade de Pinard et Varnier,
lle était complètement guérie et fit, dans l'église paroissiale, sa première communion. Le bruit relatant sa résurrec- tion
gens curieux se rendirent à Olinô pour voir le « miracle ». A ma première visite chez Caroline, je trouvai celle-ci occupée
erie les choses sérieuses. Elle n'avait pas de souvenirs nets de sa première enfance, mais elle se rappelait qu'elle avait jou
ses, elle affirma sur ma question qu'elle n'avait pas encore en ses premières règles lorsque la maladie éclata. Un jour d'hiv
que siègent les douleurs les plus caractérisées. A la fin de cette première période d'observation, l'attention a été attirée
s la mort. - Dans le protocole d'autopsie, dicté par le Dr Boéchat, premier assistant de 1\l. le Professeur Askanazy, nous
examen histotngique détaillé de ce cas inté- ressant. 1'10, 1. - Premier segment dorsal (\Iethole de Weigerl). 286 LONG
ires progressives, mais à celle des névrites périphériques. Dans sa première observation, bien que l'atrophie musculaire fut p
u hémorragies. Il ne s'agit donc pas, comme on pourrait le penser à première vue, d'une tu- meur de la moelle. La topograp
giques, par l'énorme développement du tissu adipeux, qui donnait au premier abord l'illusion d'une tumeur, tandis qu'il s'agi
tat de demi-flexion sur la main, sauf l'auriculaire qui présente sa première phalange en position d'extension extrême et sa
n, tandis que l'abduction ne se produit qu'en partie pour les trois premiers doigts et aucu- nement pour le quatrième et pou
est d'autant plus grave qu'elle date de plus longtemps quant à ses premières manifestations, et qu'aussi les muscles atrophiés
gainant plus ou moins l'os et le rendant plus opaque. Lors de notre premier examen, la radiographie nous avait paru pré- se
enu le traumatisme et du long in- tervalle qui sépara l'atteinte du premier os et celle du second. Mais n'est- ce pas un pe
aît être tout à fait analogue. Un fait pourtant en rend peut-être à première vue l'explication un peu moins simple, c'est qu
à manger, mais refuse des gâteaux que la religieuse lui offre. Ses premières pa- roles furent provoquées par ces gâteaux ; i
RADICULAIRE OU NON RADICULAIRE PAR PIERRE MARIE et CHARLES FOIX PREMIÈRE PARTIE Lorsque Duchenne (de Boulogne) décrivit
rite dut être par la suite écarté et qu'il répartit en 3 classes. Première catégorie comprenant des maladies syphilitiques.
rnes postérieures, intégrité presque absolue des cordons blancs. Au premier abord, la corne poslérieure paraît saine. A un ex
lésion est bilatérale au contraire de ce qui se passe dans les deux premiers cas, et les deux cornes sont abrasées La 3e cer
La présence des fibres musculaires striées dans la moelle; c'est la première fois, à notre connaissance, que ce fait est signa
ypertrophie de la dure-mère atteint son côté droit correspondant du premier segment dorsal. A la surface postérieure de la du
éeuse. Sur toute l'étendue à partir du 4B segment cervical jusqu'au premier dorsal inclu- sivement on constate une adhérenc
le mal de Pott, les douleurs doivent être considérées comme un des premiers symptômes de compression; ce fait a été observé p
à l'âge de 30 ans. Sa femme, qui vit encore, eut deux avortements ( première et cinquième grossesses) ; un fils est mort à l
Membre supérieur droit a) En plaçant les segments du membre dans la première position décrite et en percutant sur les points i
parties péri-articulaires. L'extrême difformité du rachis frappe à première vue. L'hyperossification est surtout marquée au n
irbelsaule. Simmonds (3) l'appelle : Syndesmistis ossificans. Notre première radio- graphie - région cervicale, projection a
es et nous n'y revenons pas. Nous voulons seule- ment ajouter qu'au premier examen du malade, le nouveau signe de Babinski
chis présente une courbure régulière, en arc de cercle ; les quatre premières vertèbres cervicales, ankylosées, forment avec ce
ent, l'oeil droit montre une petite fente qu'on continue à voir, an premier moment de l'occlusion, et qui finit par disparaît
évrite interstitielle intense (Ces lésions ont été étudiées dans la première partie de ce mémoire. Nous n'en répéterons pas la
des muscles de l'éminence tbé- nar et des interosseux, notamment du premier . Hypo-excitabilité faradique de l'éminence hypo
cteur et l'opposant. Depuis deux ans, fourmillemeuts dans les trois premiers doigts de la main droite, un peu dans le quatri
diffé- remment du côté droit et du côté gauche au niveau des trois premiers doigts. Pas d'autres troubles sensitifs. L'exam
re. En résumé, troubles subjectifs de la sensibilité dans les trois premiers doigts de la main droite, atrophie thénarienne
s malades avaienl des mains dulype Aran-Duclienne et ceci parait au premier abord aller à l'encontre de notre opinion, quant
ce dernier diagnostic nous parait particulièrement difficile. Au premier abord il semble que l'argument topographique soit
eures de l'après-midi. Analyse de l'urine recueillie pendant les 24 premières heures : ACROMÉGALIE ET UREMfK 457 sont très
Les articulations de ses genoux deviennent pourtant plus souples. Premier examen. - Le 27 mai 1912, la malade qui, de prime
pothérapie associée l'état morphologique ne s'est pas modifié. Au premier abord et superficiellement, ce cas répond, dans l
du coeur ou du rein sont mous, ou du moins l'on[ été lors de leurs premières manifestations. L'oedème angionelt1'otique de Q
et de radiologie il m'a paru intéressant de rappeler l'histoire des premiers efforts de l'é- lectrothérapie des deux célèbre
41 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dia- gnostic, et que je réussis à le mettre dedans (sic) comme le premier . Je lui lis observer ensuite que dans une de ses
on ancien pré- tendu délire de persécutions, il maintint toutes ses premières affirmations négatives à cet égard. En fuit il
travail, ce qui était évidemment exces- sif. On aurait pu croire au premier abord qu'il était faible d'esprit eu égard aux
personnel de ceux-ci, plusieurs de ceux qui l'avaient connu dans sa première séquestration, il les avait englobés dans la mê
ter à nouveau en décembre 1893, après le changement de résidence du premier médecin qui l'avait observé, se flattant ainsi
é d'effraction, ce qui devait rendre le tribunal incompétent. Cette première victoire rem- portée, il se flatta d'en gagner
fis état que pour démontrer l'erreur dans laquelle était tombé le premier expert, sur la foi d'un premier certificat. Je de
robinet d'eau de Marne : la salle à manger; la salle de réunion. Au premier étage, sur le palier, un poste de secours contre
; nous nous contenterons de 4, que nous reporterons dans les deux premiers quartiers de chaque section, où doivent se trouve
sensitifs accolés aux centres d'incita- tion motrice, encore qu'au premier abord elle paraisse le mieux s'accorder aux fai
vent, la paralysie générale, la pachyméningite doit être placée au premier rang, au même titre que les pseudo-paralysies gén
logie expérimentale appelée à les dissiper en est encore à ses tout premiers débuts. » En somme, le problème de la responsabi-
antagoniste destiné à le corriger, de telle sorte que l'ébauche du premier entraînât aussitôt la mise en oeuvre du second.
plus court. L'auteur rapporte ici trois cas appartenant à la toute première enfance ; il rappelle à cette occasion les symp
ce, on augmentera de deux gouttes par jour jusqu'à l'apparition des premiers symptômes d'iodisme. Le mer- cure est l'agent c
, encore en cours de traitement, a déjà été très amélioré; les deux premiers sont tout à fait guéris. Les enfants sont très
ns auxquelles il est arrivé : Au point de vue de la préco- cité. au premier rang se présenteraient les lymphatiques, et, loin
N'est-ce pas un résultat accidentel ? Les lymphatiques viennent au premier rang dans le délit de vaga- bondage. Pour les c
ore en 1879, les brigands Bykow et Tchaïkim ont été condamnés, le premier à 12.000, le second à 11.000 coups de cravache, à
hargée. Nous possédons des renseignements sur quatre générations. Première génération. La grand'mère paternelle est morte
c'est-à-dire avant l'âge où apparaît habituellement la chorée. Le premier sans enfants, le second a eu un enfant névropathe
'ont précédé et qui ont répété sans preuves à l'appui l'affirmation première de Lion- tington. Wollenberg se borne à dire qu
rés par un très mince pli de passage pa- riéto-occipital supérieur ( premier pli de passage de Gratiolet). Au devant du sill
ité. Nous avons suivi le plan de MM. Bail et Régis. A. Longévité. Première génération (grands-parents). Sur les 160 grands
environ cinq à dix mille roubles (12500 francs à 25 000 francs) de premier établissement ; 1 500 à 3 000 roubles (3 750 fr
s'exaspéraient par le moindre mouvement, par la pression des deux premières vertèbres cervicales, et diminuaient par la sta-
ar congestion probable). Une carie de la base de l'occipital et des première et deuxième vertèbres cervicales était indéniab
r dans tous les cas où le malade survit pendant les trois ou quatre premiers jours. 4° 11 résulte de l'observation des cas q
loroforme est donc un moyen sugges- 176 SOCIÉTÉS SAVANTES. tif de premier ordre et avec lui, semble-t-il, on arriverait à h
ura à subir des modifications aussi profondes qu'on se l'imagine au premier abord. C'est là un point qu'il me semble diffic
serrurier, il a ouvert. Rien n'était dérangé au rez-de-chaussée. Au premier étage on ne remarquait aucun désordre. Le magis
pprimées depuis huit mois, environ deux mois après l'apparition des premiers phénomènes anormaux de la miction. Il n'a cepen
l'un de ces trois groupes de troubles analogues. Il se distingue du premier par une hyperdiurèse peu abondante, coïncidant
s. C'est que nous connaissons aujour- d'hui le résultat éloigné des premières tentatives chirurgicales. L'ancienneté préhisto
e irrémédiable et laisser une cicatrice aussi nocive que la maladie première , au point de vue des accès convulsifs. Donc, opé-
idents d'une involution précoce de l'organisme. La pro- portion des premiers cas est de 39 p. 100; celle des seconds de 10,9
esure de son degré de dé- générescence, l'épilepsie doit figurer au premier rang avec l'idiotie et l'imbécillité. L'auteur
métrie, mais non d'anomalies ou de mons- trtcosités. Féré, dans ses premiers travaux, ne parait pas s'en préoccuper, et c'es
e primitive (Wahnsinn) et une forme secondaire (Verrùcktheit). La première est brusque dans son début, la seconde se dévelop
s formes classiques, et trop peu sur le caractère protéiforme des premiers indices de trouble mental, qui sont ordinairement
apparents pour la famille que pour le médecin. Assez souvent les premiers symptômes sont pendant assez longtemps ceux de la
our le diagnostic à ne pas admettre que la démence paralytique à sa première période est caractérisée par un ensemble bien d
la majorité des cas les réflexes profonds sont exagérés durant la première période; quant aux réflexes tendineux ils demande
tre soignés à domicile, à quelques rares exceptions près, les trois premiers , parce qu'ils nécessitent une surveillance et une
inaire. Il n'y aurait que des avantages à réunir ensemble les trois premiers , mais il ne faut pas songer un instant à mettre
l du parquet général et d'obtenir ainsi l'annulation du jugement de première instance. C'est là une procédure très simple et
le démon auteur des maladies, poursuit ainsi : VARIA. 269 « A ma première visite, je trouvai là un sauvage réellement pos-
ations. L'analogie existe seulement relativement à ce que dans le premier cas l'état moniliforme des prolongements protopla
cas l'état moniliforme, ressemblant à un cet tain degré à celui du premier cas, sert à démontrer un développement incomple
os trois sujets sont des prédisposés, des hérédi- taires ; les deux premiers sujets à des bouffées délirantes, le troisième
res, et appa- raît de l'anémie cérébrale déjà manifeste à la fin du premier stade de l'augmentation de la pression. L'anémi
ment en dehors, et la pu- pille se rétrécit notablement. La forme première de ce symptôme seule avait déjà été observée pa
la place normale, au milieu ; un se- cond, plus petit, à gauche du premier , affecte la même direction. Plus bas, les deux
aire. Elles constituent une lame de substance blanche, en dehors du premier segment du globus pallidus et vont à la partie
t à la capsule interne par la lame de substance blanche et par le premier segment du globus pallidus. Les fibres, dans la c
re et leur colora- tion les fait nettement distinguer des fibres du premier système. Les fibres du ruban de Reil sises entr
respiration composée de dix à douze mouvements respiratoires. Le premier est tout à fait superficiel, les suivants devienn
trois ans, quelque temps après un premier et pénible accouchement. Premiers symptômes : Faiblesse intermittente des muscles
tion tabétique ultérieure ; c'est le diagnostic avecles lésions des premières racines lombaires, avec les pseudo-méralgies ra
es, il figurait, non le territoire du fémoro-cutané, mais celui des première , deuxième et peut être troisième racines lom- b
n territoire sacro-femoral, rappelle de très près le territoire des premières racines lombaires et par conséquent celui du fé
ès satisfaisante, gràce surtout au grand nombre de pensionnaires de première et de deuxième classe dont les recettes ont été e
le, lois sur l'ivresse et les débits, etc. L'auteur préconise comme première mesure à appliquer en France, la limitation lég
phe de ce chapitre, « le combat pour la tempérance est la condition première de toute « amélioration matérielle ou morale de
struction solide qui dépassait les besoins du baccalauréat. Dès ses premières inscriptions de. médecine, il prit la bonne hab
pace de BOUCHEREAU. 365 tèmps un tiers de siècle il se montra, du premier jour jusqu'au dernier, médecin zélé et dévoué ;
ereau avec le service des aliénés commencent, à vrai dire, avec ses premières études médi- cales. C'est en 1859 qu'il fut reç
olonie de Dun qui a pris un développement inespéré. Associé à ces premières tentatives, le D1' Bouchereau fut aussi parmi l
ffisamment des conseils et du savant enseignement qui ont guidé mes premiers pas dans une carrière que vous venez de remplir
s inspecteurs généraux de l'assistance publique, Arrête : Article premier . Unconcours pour l'admissibilité aux emplois de
cours de l'alcoolisme aigu que les malades la manifestent. Dès la première heure de leur internement, et quelques jours de
on de Sainte-Anne, dans le service de M. Magnan. " Liepmann, un des premiers , observa cette hyperesthésie : Archives, 2' sér
n bien grand nombre de malades. Et il a fallu les examiner dès la première heure de leur internement, alors qu'ils n'avaient
l est impossible de fixer l'attention de ces malades. Et c'est la première condition que nous réclamions : alcooliques, oui,
e minute. On la reproduit de la même façon vingt minutes après la première expérience. En ce qui concerne les autres sens, o
e n'en- tends plus rien, c'est fini. » Quinze minutes après cette première tentative, on la renouvelle et le résultat est
phi- litique ne le menace que, si dans l'espace des dix ou quinze premières années, il ne répète ce traitement spécifique tou
donnera une quantité beaucoup plus grande de mer- cure que celle du premier . Certainement, la quantité de mer- cure introdu
ons mercurielles sous-cutanées dans le but du traitement des formes premières de la maladie, ainsi que des maladies post-syph
alibre qu'est assurée la circulation si importante de cet organe de premier ordre, c'est par un grand nombre de vaisseaux d
de vingt-six ans qui-mourut deux ans et demi après l'apparition des premiers symptômes. Ces symp- tômes furent : des céphalé
iégeait au niveau des deux dernières vertèbres dorsales et des deux premières lom- baires. La symptomatologie eut comme carac
ées obscènes. Parmi les causes de cette maladie, il faut citer en première ligne la dégénérescence psychique, dont tous le
tiques aliénés, mais aussi des épileptiques sains d'esprit; et la première question qui se pose est celle des aménagements à
que toute sensation a nécessairement une origine périphérique. Aux premiers tout au moins on peut répon- dre par l'argument
e de nos troubles nerveux, et que le surmenage oculaire figure au premier rang de ces irritations : c'est pourquoi il conse
Observation 1. - àlne A. IL ? âgée de cinquante-cinq ans, entrée au premier Hôpital municipal le 18 janvier 1899. Il y a de
respectivement de trente-deux et dix-huit ans. La particularité du premier cas consiste dans les phénomènes d'acromégalie
ont fini par être appliqués hors des limites de leur signification première ; de là une confusion préjudiciable à la clarté
tre de Lissauer et Hahn BIBLIOGRAPHIE. 453 constituent la matière première du travail de M. Nodet, qui a pu d'autre part t
les identifications secon- daires, supérieures. L'interruption des premières constitue les anesthésies corticales sensitivo-
il s'était montré très agité durant toute la journée ; le soir, aux premières ombres, il descendit dans la rue, armé d'un cou
quilibrés, naquirent trois fils. Pas de renseignements sur les deux premiers . Le troisième est notre malade. Antécédents per
omènes. Les cellules nerveuses de l'écorce ont résisté chez eux aux premiers effets HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLISM
ption, grossesse, accouchement, naissance, rien de particu- lier. - Premières convulsions à huit mois pendant quatre heures :
ù elle resta jusqu'à un an. C'est là qu'elle a eu, à huit mois, ses premières convulsions qui coïncidèrent, dit-on, avec l'appa
ières convulsions qui coïncidèrent, dit-on, avec l'appa- rition des premières dents. Ces convulsions survinrent la nuit, débu
té; crie beaucoup quand, aux repas, elle n'est pas servie l'une des premières : c'est sa seule manifestation intellectuelle.
ale, le mécanisme de l'inter- ruption par le corps genouillé est de première importance. Il y a homonymie entre les faisceau
générale du noyau du facial et de ses groupes parait différente, au premier examen, de celle du même noyau chez les animaux
ns. Anatomie pathologique : Les cordons postérieurs sont pris les premiers et plus fortement que le reste de la moelle. Ils
nte simple ; forme tuberculeuse ; la méningite séreuse. Si les deux premiers types de méningite sont bien connus, le troisiè
hosphates alcalins aux phosphates terreux est modifié au profit des premiers , ce qui s'explique par l'intensité, pendant l'a
cula- lations. etc. 2° Homme de vingt-neuf ans. Sans antécédents. Première crise d'épilepsie à quatre ans, à la suite d'un
s qui reçut les prénoms d'Armand-Aimé-Dieudonné. L'enfant passa ses premières années au village, fréquentant l'école, la viei
e partis. Le coeur est si plein d'espérance à vingt ans. Je pris ma première inscription avec la joie du jeune homme qui voi
s- pace de quatre années, que son baccalauréat ès-sciences et son premier examen de médecine, et souvent même, dénué de tou
ébranlée et de réunir quelques nouvelles ressources. Peu après son premier examen, il fut atteint d'une fièvre typhoïde gr
ulées sur le cerveau durci. r 111., sillon fronto-marginal ; - fi., premier sillon frontal; - f2., deuxième sillon frontal;
frontale; - p F ? pied de la première circonvolution fronlale; F ? première circonvolution frnntale; - p F2., pied de la deux
parié- tale de l'opercule ; - G s 111., gyrtis supra-marginal ; P ? première circonvolution pariétale; Pe., deuxième circonv
- j ? deuxième sillon intermédiaire; l' c., pli courbe; - 7r p o ? premier pli de passage pariéto-occipital de Gratiolet;
ipital anté- rieur de vVermike, i o., sillon intpr-oecipital; - 0'" première cir- convolution occipitale; 0 ? deuxième circo
onvolution descendante d'Kcker : 0 ? deuxième sillon occipital; T ? première circonvolution temporale; - T2.. deuxième circo
42 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
stence antérieure des phénomènes aigus, survenus géné- ralement aux premiers âges de la vie. Mais de tels faits doivent consti
OMIASE sentée par des diplégiques anciens, dont la maladie date des premières années de leur existence. Il s'agit donc ici, l
teinte depuis longtemps d'endocardite et de brightisme. Ftc. i. - Première observation. Destruction presque complète du pied
voisinage a souffert lors de l'épanchement sanguin au niveau de la première circonvolution frontale, et l'on sait le rôle trè
nd le malade la re- lève vers le côté sain. Cette parliculaiilé, au premier abord paradoxale, s'explique par la physiologie
ons présenter ici quatre cas de tu- meur médullaire, dont les trois premières ont été opérées à l'Hôpital Is- raélite à Czyst
mal jusqu'en août 1910. Les seuls symptômes morbides pendant les 12 premières se- maines ont été des douleurs lancinantes col
ive. 7 mars. Application de l'appareil d'extension. Dans les deux premiers jours absence de symptômes d'amélioration dans un
ations du coeur égales. Paralysie spasmodique. Réflexes très vifs ; première apparition des phénomènes de pronation et de supi
onvenablement le sens des mou- vements du pied. 40 ROTSTADT 12. Premiers symptômes des mouvements du pied gauche, il remue
sion de l'extrémité inférieure droite ; pouls rythmique, plein. 19. Premier symptôme de récupération du mouvement dans les pi
it l'idée d'un amas de nouvelles mas- ses néoformées à l'endroit du premier traitement. La nécessité d'une seconde opératio
IRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE 47 2-28 août. Le malade fait ses premiers pas avec aide. La sensibilité musculaire dans l
it déjà la paramyoclonie de Friedreich. 88 MONIZ Raymond, dans sa première leçon sur les myoclonies, demandait si on devai
. Ainsi dans la fig. 1 (obs. I) nous voyons que la malade, entre la première et la seconde photographie,a fait la flexion des
uve souvent la symétrie, mais elle manque souvent aussi. Chez notre première malade il y a symé- trie de certains groupes mu
e suivant les formes myocloniques. Il y a des cas (comme chez notre première malade) dans lesquels les contractions survienn
identifient par leurs tableaux symptoma- toloiques, représentent ce premier type de myoclonies essentielles. 2° Le para11¿
caractères spéciaux et les observations rares qui sont adjointes au premier cas de l'auteur, justifient son individualité m
oniques ne sont pas incommodés dans l'exécution de ces actes. Notre première malade peut t enfiler une aiguille et coudre co
d'idées fixes (Guinon). Ces derniers cas doivent être séparés des premiers . Ils ne présentent, généralement, ni le même po
de grosses cicatrices, et a eu la fièvre typhoïde pendant les trois premiers mois de l'année 1911 qu'elle passa à 1'llôtel-lii
rt. Plusieurs de ces fibres s'approchent de très près des fibres du premier réseau ainsi que des cylindraxes. Toutefois on ne
du tissu névroglique est la même dans le second cas que dans notre premier cas. Il en est de même des réseaux intra-médull
évroblidue embryonnaire avec celui des animaux adultes. Fig. 14 - Premier cas de paralysie agitante. Ecorce cérébrale. Mê
sa granulation apparaît très clairement dans la figure 20. FIO, 19. Premier cas de paralysie agitante. Ecorce cérébrale. St
selon Weigert n'a montré aucune altération particulière dans notre premier cas. , Fig. 20. Second cas de paralysie agitant
ir LEWY (Handbuch der Neurologie von Levandowsky, 1912). ' FIG. 21. Premier cas de paralysie agitante. Lobe frontal et précen
e. Immersion). « et 6 à divers niveaux. Fic. 22. La cellule « z3 du premier cas de paralysie agitante (LÜelschowsyy), ' » l
e son entourage, surtout d'un côté. Dans les capsules surrénales du premier cas, quelques tubercules dissé- minés. DU SYS
intramédullaire dans les nerfs périphé- riques, surtout dans notre premier cas de paralysie agitante. Dans les éléments ce
fonction de ces glandes, et spécialement de la thyroïde dans notre premier cas, influe sur LE tissu NEVUOGLIQUE du système N
jambe où le péroné, étant moins raccourci que le tibia, la tête du premier remonte de manière à s'articuler avec le condyle
eurant dans un cercle borné, j'ai rencontré trois individus qui, au premier coup d'oeil, se présentaient comme des achondro
est-il possible de faire rentrer dans le cadre de la microsomie sa première observation dans laquelle les difformités ne sont
plus longuement, l'histoire el l'examen clinique au complet de mon premier sujet. Observation 1 \ Mario Ventisei, âgé de
ut à fait normales. ' A l'examen radiographique du crâne on note au premier abord que le développement de la voûte surpasse
attendre d'un homme de sa condition sociale. Examen objectif. Au premier abord on note que, bien que de taille de beaucoup
séparer de celle que produit l'achondroplasie : en général dans le premier cas les os auraient une surface plus lisse, les i
et la grand'mère en ligne paternelle du sujet étudié. Enfin dans ma première observation, comme les différents signes de dys
re déjà des variétés. Ces formes d'achondroplasie partielle dont ma première observation représente une variété avec des car
le suffisamment typique de cette affection, je serais d'avis que la première pourrait être retirée. de la catégorie de la micr
tation que la thyroïde était normale à la palpation, et que dans ma première observation la selle turcique apparaissait plus p
l'incisive latérale de la prémolaire droite. Du côté gauche les deux premières molaires sont petites. Plusieurs molaires carié
Celle- de l'os de l'achondroplase : 4 cent. 5. Les dimensions des 4 premiers métacarpiens sont de 4 centimètres ; 4 cent. 5
rapprochées sur l'os achondroplase que sur le normal. La largeur du premier est de 21 centimètres à gauche, de 22 à droite.
erche la société des hommes. La malade sortit guérie. Nos trois premiers cas constituent, pensons-nous, des exemples indis
ement de lobe anté- rieur. Il semble logique de considérer les deux premiers comme répondant chacun à une insuffisance parti
Pulsations : 104 à la minute : la température varie entre 37°2 aux premières heures de l'après-midi et 36° aux premières heu
re varie entre 37°2 aux premières heures de l'après-midi et 36° aux premières heures du matin. La respiration est du type abd
nt exclue la pensée d'une méningite cérébrale, on devait penser, en premier lieu, que la cause du complexus symptomatolo51que
avec les néoformations de la fosse crânienne postérieure, les deux premiers jugements énoncés par Oppenheim pouvaient y aid
s parties périphériques des mem- bres, ni paresthésies ni douleurs, premiers symptômes ordinairement d'une polynévrite, laqu
ait eu,avant de venir il la Maternité, trois accès éclamptiques. Au premier examen, un s'est rendu compte qu'on avait affaire
lectrique est resté sans effet ; la paralysie, aussi complète qu'au premier jour, semble définitive. TROUBLES DE L'ÉCRITURE
serons d'abord brièvement l'histoire clinique de nos trois malades. Premier cas. M. N..., juif, âgé de 26 ans, entre dans le
tuliens a surtout fixé l'attention des auteurs. Wollenberg (3) a le premier trouvé dans un cas de gliosarcome cérébelleux la
ni dans ceux cités dans la littérature. Nous avons noté dans notre premier cas et à un moindre degré aussi dans le second
jamais le malade ne s'y adonna, fût-ce une seule fois. A 16 ans, premier coït. Il faut quelques manoeuvres pour amener l'é
ire à 24 ans. Antécédents personnels. Nourri au sein, il a fait ses premiers pas à 12 mois. Il n'a fait aucune maladie dans
hyroïdiens est probablement plus compliquée qu'elle ne le semble au premier abord. L'insuffisance thyroïdienne simple ne pe
a peau durcit à cet endroit, puis elle se déprime. L'apparition des premières plaques sclérodermiques aurait eu lieu vers l'àge
ésions pluriglandulaires dans deux cas de sclérodermie. Dans leur premier cas ils ont constaté une sclérose très prononcée
iés chez le même individu, n'ordonne pas expressément l'apparition, première dans le temps, de l'un des deux. Dans les cas d
iogrammes en position latérale ont été exécutés à l'époque de notre premier examen ; à un an de distance, c'est-à-dire en avr
'examen après l'emploi de méthodes histo- logiques bauales donne, à première vue, l'aspect d'un fibrome typique ancien, rich
son de ces différentes fibres nerveuses néoformées à la suite de la première amputation est particulièrement intéressante à ét
ité mousse, souvent renflée en une petite massue terminale. Dans ce premier névrome nous n'avons trouvé aucune des formatio
dénudation des cylindraxes inter- vient-elle, comme facteur de tout premier ordre, dans l'apparition des douleurs ? En te
agnent celte courte note (Pl. XLVIII). La fig. 1 montre l'aspect du premier névrome enlevé 23 ans après l'amputation initia
res a été une poule au fusil, dont la championne est une tireuse de premier ordre ». Elle lit : 0... bourg, une des plus dé
au fusil dans la cham... pique... je ne peux pas)... une tireuse de premier o-r.- (je ne peux pas). La lecture est extrêmemen
la plus grande partie du 2e seg- ment, et l'extrémité supérieure du premier . Du noyau caudé, il ne reste que la tête, parti
L'APHASIE DE BROCA 345 Ecriture spontanée. - Telle qu'elle était au premier examen ; au-dessous de son nom (Chassergue), et
arole spontanée. - Quand avez-vous été opérée ? - 9 ans... avril... premier . Où ? Cossin... matégnité. Combien de temps a
près équivalente. Les extrémités antérieure et postérieure des deux premières circonvolutions temporales sont modifiées dans le
es circonvolutions temporales ; mais la partie postérieure des deux premières temporales et le pli courbe,qui appar- tiennent
ce, principalement la zone sensorielle (partie postérieure des deux premières temporales et pli courbe) dans la récupération
un sujet jeune, même si la lésion est très vasle, comme chez noire première malade ; nul doute également que chez elle l'am
t ; il se mord alors le dessus des mains au niveau de la racine des premières phalanges (durillons très anciens). Les cris qu'i
des maladies nerveuses. Etat DE la malade LE 18 février 1905. - Au premier aspect, on est frappé par une asymétrie très ma
s deux côtés, existe, du côté gauche, un deuxième sillon parallèle au premier , surtout appréciable dans la partie inférieure
paralysé avec déviation des traits en sens inverse de la déviation première . Exami- née à ce moment, la malade présente :
mplètement ces secousses pen- dant toute sa durée. On pourrait, à première vue, prendre pour des tics les contractions de
l-paralytiques de la face, on peut dès à présent envisager les deux premières variétés de ces mouvements comme les ébau- ches
ante. Cette interprétation n'est pas une simple vue de l'esprit. En premier lieu, l'observation que nous venons de rapporte
constate des tiraille- ments musculaires dirigés respectivement au premier point directement en haut, au deuxième point la
traitée électriquement. L'exploration de ces muscles faite pour la première fois deux ans après le début de sa paralysie faci
té paralysé avec déviation des Irai en sens inverse de la déviation première . Examinée à ce moment, la malade présente : 1
ans ces dernières années. Dans une publication contemporaine de nos premières recherches sur ce point, Raymond et Egger (1) sig
longées et peu musclées, un peu grasses au niveau des paumes et des premières pha- langes digitales, tandis que l'extrémité d
telligence ni myxoedème. On serait donc tout naturellement tenté au premier abord de considérer notre malade comme un type
lmologistes eux aussi étudièrent la question. Michel (4) publia son premier travail en 1873.Hirschberg(16) accusa la méningit
lésions étaient manifes- tement de même nature que celles de notre premier malade. Parmi les 3 crânes de pagétiques que no
l présentait des déformations énormes, analogues il celles de notre premier cas (crâne 7) ; les 4 autres offraient des altéra
fragilité extrême de ces os s'est fait sentir notamment dans notre première autopsie où, malgré l'épaisseur énorme des os, le
Dans l'ensemble, les radiographies de bases du crâne apparaissent à première vue moins nettes, moins pures, plus floues, plu
ation est parfois extrêmement intense, comme par exemple dans notre premier cas et sur le crâne 7, qui sont précisément de
culièrement nette sur le crâne 7 (Pl. LXVI, fig. 2) : et dans notre première observation (PI. LXVIII, fig. 2), où l'écaille
que d'une part, le pied-bot tabétique d'autre part et dont nos deux premiers malades offrent des types très complets. UN CAS
ére ont observé la xantochromie et la coagulation massive, les deux premiers chez deux sujets atteints de méningite sarcomat
nt sous lui dans la station debout. Les douleurs, qui ont fait leur première apparition il y a 6 ans, tourmentaient aussi le m
e ascendante ou d'une réaction méningée généralisée. Chez nos deux- premiers malades, nous avons porté le diagnostic de méni
trezat el Roger). Les caractères des liquides obtenus chez nos deux premiers malades coïncident avec ceux observés par presq
ances albuminoï- des du sang clans le liquide céphalo-rachidien. En première ligne c'est l'in- flammation, c'est-à-dire le p
de Froin. Eu effet dans- ce complexus symptomatique, caractérisé en première ligne par la coa- gulation massive, Mestrezat a
L'exsudat qui passe par les séreuses enflammées est caractérisé en première ligne par l'abon- dance des substances albumino
e par Dieulafoy pour la patho- génie de l'appendicite, considère en première ligne comme élément patho- génique la stase du
43 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
aphie de la Salpêtrière entre dans sa dix- huitième année. Si ses premiers pas ont été rapides, elle n'a garde d'oublier q
articulièrement intéres- sante, la maladie de Friedreich, du nom du premier médecin qui l'a dé- crite et qui la considérait
cordons postérieurs de la moelle », et où sont rela- tées les trois premières autopsies. L'illustre médecin crut voir dans ce
es anatomiques et cliniques, une affection dont P. Marie a donné la première description : l'hérédo-ataxie cérébelleuse. Nou
dans la genèse. 2° Par sa longue incubation. Entre l'accident etles premiers symptômes médul- laires, s'écoule une période d
will. Voilà donc notre modeste opinion appuyée par des autorités de premier ordre. Outre les prescriptions sur lesquelles
gauche s'étendant en avant à la partie supérieure du pli courbe, au premier pli pariéto-temporal à la partie tout à fait po
n, les lunettes, un chapeau, un parapluie. Elle mon- tre bien les 3 premiers . Pour le parapluie elle dit : c'est un Arifi et
r un changement de forme de notre losange dorso-lombaire, évident à première vue. Il devient asymétrique ; ou mieux le quadr
celui qui correspond à la jambe suspendue, au moins dans les trois premiers quarts de son mouvement. C'est une nécessité po
ste en effet une sail- lie transversale formée par l'angle des deux premières pièces sternales qui se projette en avant. De c
jours beaucoup moins accusés ; ils correspondent aux cartilages des première et troisième paires de côtes (Voir PI. IX, A et C
volume de l'Ilisloire de la clairur- gie de Peyrelhe, dont les deux premiers volumes ont seuls paru, le 3° est un manus- NOU
Chirurgie^ reproduit ce qui concerne Paré. Remarquons que les deux premiers volu- mes de cette histoire ont seuls été publi
e relaté, il est singulièrement édifiant. aré demande à subir son premier examen le 18 août 1554. Il est examiné le 24 ao
ard, en1l668, que Félix, ayant acheté de Jean de Réty la 'charge de premier barbier et tous les droits qui en dépendent, le
evêque. Le fait suivant est plus démonstratif. Paré raconte dans sa première édition qu'on a voulu l'empoisonner parce que :
ême poste près de François II et de Charles IX. Ce dernier le nomma premier chirurgien en 1563 ; il conserva cette fonction p
hirurgien ordinaire étaient de deux cent qua- rante livres, ceux de premier chirurgien de 800 livres tournois. Un état de l
e à admettre. Et cependant les gens de mon âge, qui ont assisté aux premiers travaux de Pasteur, sa- vent qu'alors, des sava
mper, élu évêque de celle ville, il se rendit à Rome. Là il fil son premier miracle en guéris- sant un paralytique. Le pape
contre les méfaits des ans, conservera toujours la mémoire d'un des premiers protecteurs des « insensés ». Saint DIZIER fut
t être auparavant assuré qu'entre cette manifestation, distincte au premier abord et le type déjà décrit, il n'existe pas de
nt mieux que le malade a conscience du mal dont il est atteint. Les premiers symptômes ne firent que l'avertir de l'atteinte p
tation et pen- dant la marche ; parfois cependant, on a noté, comme premiers phéno- mènes, des douleurs fulgurantes ou non,
grosse scoliose caractéristique, à concavité droite, au niveau des premières vertèbres dorsales, sa tête était constam- ment
aison de la multiplicité des systèmes de fibres, moins apparentes à première vue. Bien entendu la méthode de Marclii n'est,
de ; dans la seconde, la maladie commence par le cervelet ; dans la première , elle débute par la moelle. Mieux encore faudra
de Genève. C'est notre maître M. de Monakow qui nous a donné l'idée première de ce travail. Nous nous proposons d'y décrire
tes vacuoles analogues à celles que nous avons' décrites dans notre premier cas, mais plus petites, non visibles à l'oeil nu.
mais pourtant moins avancée qu'on ne serait disposé à l'admettre au premier abord.Ecrit encore des lettres sensées bien que
ble. Plexus choroïdes. -L'examen des plexus choroïdes aurait pu, au premier abord, faire penser à un processus de même ordr
issent pas très supérieures à la normale pour une femme de 1 m. 70. Première phalange du gros orteil : longueur : 30 millimètr
d'ailleurs classique de- puis les travaux de Pierre Marie. Mais ce premier point admis, deux questions restent à résoudre
an si celle-ci n'était en défaut dans notre observation même où les premiers signes d'acromégalie n'ont apparu qu'à 66 ans. Qu
, leur insuf- fisance peut favoriser le développement de la maladie première . Ces faits d'acromégalie sans lésion pituitaire
tuellement, l'enfant est petit pour son âge, chétif, intelligent, est premier dans sa classe. La teinte cyanotique des tégu
me des signes d'hystérie, notre diagnostic n'est pas douteux. Notre première observation se pré- sente comme un cas de dothi
'il souffrait». B... rentre au régiment à la fin de janvier 1903. A première inspection, cet homme étant déshabillé, on est
e commence vers la 7e cervicale pour se ter- miner à la hauteur des premières lombaires, le maximum de courbure se trouvant v
demi plus tard. Son état était sensiblement le même que lors de son premier retour de convalescence. L'épaule est toujours
'octave avec le médius, pendant qu'elles s'élèvent sur la pointe du premier orteil chez les danseuses, etc. Dans les form
r est une écriture ataxique forme tré- mulante, comme l'écriture du premier comptable ; l'écriture du journalier est une éc
notre confrère de Berlin, M. le professeur Zabludowski, publia son premier mémoire dans le Langenhecks journal « sur le trai
muscles iiittros ? eux. situés profondément. Pour les opposants du premier et du cinquième doigts, nous faisons les effleura
emples de sco- liose alternante accompagnant la sciatique. L'un des premiers a été signalé par Remak (1), à propos d'un homm
un nouveau facteur, mais ne fait que préciser une des modalités du premier groupe de faits indiqués par M. Klippel. II V
eu de choses concernant son état de santé avant leur mariage. De sa première femme, il n'a pas eu d'enfants. Sa seconde femme
Léri (1). En résumé, de ces trois scléroses postérieures, les deux premières ré- pondent à la description classique, schémat
est entrée dans un service de médecine le 30 décembre 1904. A notre premier examen nous avons été d'abord frappé de l'aphasie
ent sur l'annulaire. L'attitude de l'index est plus singulière : sa première plalange est en ex- tension sur le métacarpe, t
cide à entrer à la Salpêtrière en août 1901. Si nous résumons cette première période, nous voyons une asthénie,à début assez
que le deuxième né du même patient souffrait-de la maladie dans ses premiers jours de sa vie. Dinkela- ker{8), Strubing (9),
dans la pneumonie franche déterminer les mêmes phénomènes. Notre première observation prouve que le b. tiphique peut aussi
étiologie, on dit que l'oe- dème surgit d'une façon idiopathique.La première de ces affirmations est d'une acceptation si gé
; il s'agit du trophoedème de Meige en un mot. Cet oedème dans ses premières périodes maintient un peu le godet du doigt [Me
me de ces phéno- mènes peut se produire d'une façon indépendante du premier . Et l'aug- mentation de la lymphe peut se produ
nstruite et très intelligente, ses qualités l'ont fait appeler à la première dignité de son ordre et elle a rempli ces fonctio
e, sa main est trop faible. Peut-être faut-il en chercher l'origine première dans la dépression, dans l'asthénie si grande q
hogénie d'ailleurs nous semble pouvoir être invoquée. Lorsque notre premier malade nous a dit qu'il avait exercé le métier
fants dont nous allons rapporter les observations et entre les deux premiers , une fausse couche de 3 mois. Actuellement c'es
rmales. ' L'aplasie des deux clavicules rend possible chez les deux premiers en- fants de nombreux mouvements anormaux qui s
e 2 à 3 ans ; depuis cette époque la santé a toujours été bonne. Sa première menstruation date de l'âge de 14 ans ; depuis r
rte de même le traumatisme intra-utérin ou obstétrical. Dans leur première communication,MM. Pierre Marie et Sainton avaient
ttHe. xviii 23 346 RABAUD phalie se placent, sans contredit, au premier rang. Se présentant avec une fréquence relative
equel ne s'opère pas à la région rachi- dienne la transformation du premier versement aqueux du liquide organique ; un être
ent aqueux du liquide organique ; un être qui conserve toujours ses premières conditions foetales en ce qui concerne un des p
articulier ; dans les deux cas, cependant, ce processus remonte aux premières phases de l'évolution embryonnaire. Dareste dit a
ons provisoires, se rappro- chant en somme de la vérité. CHAPITRE PREMIER La morphologie externe et la constitution du sq
xamen. Sans doute, ce caractère n'a pas une impor- tance extrême au premier abord; il est cependant intéressant à retenir, au
lein de liquide (PI. XLIV-C). Le second cas est assez comparable au premier , quant à son aspect super- ficiel. L'étendue de
première dorsale. Contrairement à ce que l'on pourrait supposer au premier abord, la tête ne suit pas nécessairement le mo
caractères observés sont ceux d'une méningite : Nous constatons en premier lieu l'épaississement de la pie-mère, la dilata
érences, d'ailleurs, sont beaucoup plus faibles qu'il n'y paTaît au premier abord, et tout porte à croire que l'envahisseme
) Structure. Sur une coupe morphologique de la tumeur cérébrale, le premier fait frappant, c'est la différence essentielle qu
pileux font généralement défaut. Peut-être serait-il difficile, au premier abord, de reconnaître avec certi- tude ces élém
es processus observés dans la moelle ne sont pas de même nature, au premier abord, que les processus que nous venons de déc
ropager à la moelle. Divers facteurs interviennent certainement, au premier rang desquels se placent des facteurs individue
eudencéphaliens sans acrânie, dont il est question dans le chapitre premier , chez lequel la voûte crâ- nienne existe, mais
sont les étages supérieurs qui sont les premiers atteints. Dans notre premier cas, nous n'avons relevé aucune trace évidente
tre que les segments supérieurs les moins dégénérés ont disparu les premiers parce que, à la dégénérescence est venu s'ajouter
tails. Il faut alors chercher le cylindraxe. Parfois il apparaît du premier coup. D'autres fois il faut le chercher au-dessou
de 11 ans, de dilatation cardiaque probablement. 4° Garcon, notre premier malade. 5° Garçon, bien portant. Uss . I. Geo
t le type classique de la démarche spasmo- dique. Ce qui domine à première vue chez notre malade, c'est l'aspect inerte, h
ive, plutôt médiocre, mais beaucoup moindre qu'on ne le croirait au premier abord. C'est la mémoire surtout qui a souffert ch
il, et provoquent une déformation spéciale de la figure qui, déjà à première vue, donne l'impression d'une perturbation indé
tuberculose chez les ascendants. Antécédents collatéraux. Les trois premiers frères sont morts, l'un à l'âge de deux ans et
si ce sont les membres supérieurs ou inférieurs qui ont faibli les premiers . La marche devenait toujours plus difficile, aprè
encore éprouvé des douleurs aux membres inférieurs pendant les deux premiers mois qu'il a passés à la maison chez ses parent
es phalanges des quatre derniers doigts sont un peu fléchies sur la première . La main est déviée sur le bord cubital de l'avan
e de l'omoplate est mieux conservée. A cause de l'atrophie des deux premières por- tions, on observe une dépression sous-clav
ne colère, une hallu- cination, une attaque convulsive; elle est au premier abord moindre si la difformité est consécutive
Quant à notre malade elle-même, nous paraissons être en face de sa première manifestation hysté- rique. Nous pensons à l'
haussée, s'avancer en n'appuyant que sur le talon, notre impression première fut en faveur d'une tuber- culose de l'avant-pi
ernel, dentition facile, a marché à 12 mois, aucune maladie dans sa première en- fance. A4 ans 1/2, fièvre typhoïde grave, s
ma- ternel jusqu'à 5 mois, puis l'allaitement eut lieu au biberon : première dent à 7 mois, il commença à marcher r1 16 mois
l a de l'écume aux lèvres. Ces crises ont été au nombre de deux, la première à l'âge de 6 ans sans cause apparente, la deuxièm
ut la première dent à 6 mois, commença à marcher à 11 mois. Dans sa première enfance elle ne fit aucune maladie, ce fut toujou
formité se corrige com- plètement par la suspension cervicale. Au premier abord, l'enfant ne paraît pas nerveuse. Elle rit
61 d'un côté, en avant de l'autre côté : or il sautait aux yeux, du premier coup, que le thorax était parfaitement symétriq
ion avec celle de la pathogénie. On discute, en effet, sur la cause première de ces scolioses hystériques, et il est bien pr
s se pliait de plus en plus à mesure qu'elle traversait la cour. Au premier abord, cette théorie semblerait donc convenir à n
été nourrie au sein maternel ; on ne peut avoir aucun détail sur sa première enfance. Elle a vécu à Londres jusqu'à l'âge de
occupe d'elle depuis cette époque, ne sait ab- solument rien de ses premières années. Durant tout ce temps, elle jouit d'une
très éveillée, les yeux vifs, les regards extrêmement mobiles. Aux premières questions qu'on lui pose, elle répond avec viva
organi- ques peuvent subsister alors que la contracture, leur cause première , a cessé. Charcot a insisté sur ce fait,que le
même âge, bergère comme elle et comme elle sur le point de faire sa première communion. Les deux enfants con- tinuant à se f
ngtemps, car pendant le mois de septembre et octobre-novembre de la première année il n'y eut plus de nouveaux cas, mais dès l
d'être désigné une seconde fois pour ramener l'ordre à Morzine. Son premier soin fut de faire interdire cette publication d
e des rachitiques. Dans le mémoire de Bonchacourt et Lévi, les deux premières radiographies se rapportent à des achondroplasiqu
asse des infections que nous serions tentés de chercher l'étiologie première de cette affection, et cette hypothèse nous par
t une affection essentiellement sclérosante, sera souvent la» cause première , mais la tuberculose, l'alcoolisme, et toute autr
e ces cellules ? s'agit-il d'un vice de développement remontant aux premières phases de la période embryon- naire ? Nous l'ig
bitude^ne^légère flexion de l'avant-bras et l'extension complète du premier de ces segments n'est=pas possible. Voici quelq
aractéristique de cette dystrophie. Ce symptôme n'a pas échappé aux premiers observa- teurs qui ont eu l'occasion de voir ce
eurs doigts est à peu près égale et les doigts rapprochés par leurs premières phalanges s'éloignent par les autres en formant
le professeur Obregia qui a vu avec l'un de nous le malade de notre première observation il y a un an. M. Obregia en comparant
rer cette dernière comme une dystrophie diamétralement opposée à la première . Et si l'on se donne la peine d'analyser un peu l
oigt présente seulement l'extrémité articulaire métacarpienne de la première phalange car il a été réséqué par le chirurgien.
ifs à des altérations du sys- tème nerveux. Je crois que les deux premières théories contiennent leur part de vé- rité. Je
rme est encore modifiable : cela est seulement possible pendant les premières périodes du développement lorsque les cellules so
lète des phénomènes observés nous sera facile,si nous remontons aux premières périodes du développement de l'embryon. Nous sa
elon Bnl'khardt, une consé- quence du défaut de développement de ce premier rayon. Mais l'obser- vation que le gros orteil
influence sur les déplacements des os qu'on ob- serve dans les deux premiers segments du membre et qui ont produit l'espèce
e postérieure, les interosseux sont tous atrophiés, surtout ceux du premier espace ; à la face palmaire l'atrophie est égalem
ans succès, et que moi-même j'ai traité d'une manière intensive mpn premier malade sans enrayer chez lui l'évolution de son
re les diverses particularités mor- phologiques relevées dans notre premier chapitre. L'étude des moelles où le processus e
r chapitre. L'étude des moelles où le processus en est encore à ses premières phases montre que l'inflammation, strictement l
aru. Ces variations tiennent à diverses causes. On serait tenté, au premier abord, de les attribuer à l'âge du foetus et de
nt à intervalles rapprochés, sans régularité. Laulaigne (1), qui le premier a mis ces faits en lumière, en tirait un élément
ce processus général. Les différences, parfois si considérables au premier abord, tiennent à l'état d'ossification de la v
us forme d'une lame plus ou moins large. Les cas qui paraissent à première vue les plus embarrassants sont ceux où toute l
st le cas du crâne que nous avons figuré et décrit dans le chapitre premier (fig. 6). Mais l'éclatement peut intéresser une
médecine, et il y réussit si bien sous la discipline d'Euphrosyne, premier médecin de l'empereur Maximien, que ce prince,
e le chirurgien. La malformation osseuse peut être observée dès ses premières phases d'évolution, aussi a-t-elle été minutieu
bien conformé, et qui a toujours joui d'une bonne santé. Dans sa première enfance, P... a été élevé au biberon jusqu'à l'âg
aut noter également la déformation des extrémités inférieu- res des premières phalanges, particulièrement sur la main gauche.
tte influence doit être plus fréquente qu'on ne peut le supposer au premier abord, car dans la plupart des cas relatés, les
es, que j'ai pu observer au cours de ma pratique médicale. Un des premiers à signaler l'affection en question fut, selon Pon
a seconde fois depuis 1897, il a de ce second mariage un enfant. Sa première femme cardiaque, est décédée en accouchant d'un e
sque le cours d'un fleuve est barré, c'est près de l'obstacle qu'en premier lieu il déborde. Dans notre observation c'est san
ine continuer à se différencier en l'absence du cerveau. Surcette première période du développement,l'étude des pseudencépha
pouvant laisser croire à l'existence d'une désintégration morbide. Ce premier ensemble de faits ne témoigne donc pas d'une pe
d'une action directe. Cependant quelques dispositions semblent, au premier abord, résulter d'une action trophique. - C'e
arrêt de croissance se produit nécessairement dès l'apparition des premiers phénomènes inflammatoires qui apportent un troubl
ons histologiques sont précises sur ces divers points. Ce qui, au premier abord, peut surprendre un esprit prévenu, c'est q
par ordre de dates, de ses compositions gravées, celle surtout des premiers tirages, avant retouches, où les demi-teintes son
44 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vergent de l'oeil gauche, qui est à peu près perdu. Cinq ans après, premiers signes de déran- gement mental, puis paralysie
qui a une soeur aliénée, a toujours été bizarre, peu intelligent : premier accès de manie vers l'âge de trente ans. L'accè
et de Maragliano, médecins du manicome de Reggio, publièrent leurs premières recherches expéri- mentales sur les centres psy
sur les centres de la vision et de l'audition. Les résultats de ces premières expériences s'accordaient en partie avec ceux d
ent : il va lentement, avec précaution, et se heurte du museau au premier obstacle. Enfin, en quoi consiste cette cé- cit
ce ? Quelle est la nature des centres visuels de l'écorce ? 1. Au premier abord, et si l'on considère comme faisant parti
uxième circonvolution externe du chien, mais aussi une partie de la première et de la troisième, comme le centre cortical de l
cien. Audition. Lorsque Luciani et Tamburini entre- prirent leurs premières recherches expérimentales sur le centre cortica
(et sans doute au delà de ces limites), et, chez le singe, sur les première et ' l'lie Funclions of the 73nain, 2* édit. 46
se ; mais elle permettrait de comprendre pourquoi Ferrier, dans ses premières expériences, fut conduit à admettre que l'actio
ntraire, puisqu'il en résulte que les tissus hypérémiés rouges au premier degré qui, selon M. Dubois, d'Amiens, n'est aut
La pression subsistante condense les couches placées au-dessous des premières , mais elle éprouve de leur part une nouvelle ré
rience I (10 juillet 1886). Chien pesant 11 kilogrammes. A 9 h. 24, première immersion; 29 brasses de profondeur, vingt- cin
ir. Un cinquième et grand infarctus hémorrhagique occupe les deux premières circonvolutions frontales gauches, auxquelles cor
Il (6 juillet 1886). Chien pesant 8 kil. 350. A 9 heures du matin, première immersion; 28 brasses de profon- deur ; une dem
xpérience III (8 juillet 1886). Chien pesant 9 kil. .00. A 10 h. 5, première immersion, 25 brasses de profondeur ; une heure
Expérience IV (6 juillet 1886). - Chien 7 kilogrammes. A 11 h. 30, première immersion, 23 brasses de profondeur, 1 h. 30 de
de même poids que celui de l'expérience IV, 7 kil. 50. A 10 heures, première immersion; 23 brasses de profondeur; une heure
juillet 1880). - Chien pesant 9 kilogrammes. A 10 heures du matin, première immersion; 32 brasses de profon- deur ; une dem
nel, qui le garda six semaines, là il eut de grandes crises pour la première fois, crises qu'un médecin aurait qualifiées d'ép
pour s'excuser, dit que c'est par crainte qu'il n'a pas dénoncé la première tentative, l'infirmier menaçant les enfants de le
e 25 centimètres environ. On fait une contre-ouverture au niveau du premier , mais on ne peut le faire pour le second, qu'on
ur ce point, MM. les prs Vergely et Picot (de Bordeaux) ont été des premiers à se servir de cette méthode. MM. Abadie, Darie
e doit être placée en dehors. Il est parfois nécessaire, lors des premières séances, chez les individus sensibles, trop gro
ête en place. Il reste encore à placer les pièces des aisselles; au premier abord, elles pourraient sembler de peu d'import
tiqué des sections longitudinales de même profondeur le long de la première circonvolution occipitale ou de la circonvolution
ur englobait les filets émanés de la queue de cheval, au-dessous du premier trou sacré, après l'émission des racines du ple
SOCIÉTÉS SAVANTES. 155 étendu de l'hémisphère cérébral droit qui, à première vue, portait sur les ascendants l'insula et la
s, et sur les moyens de lutter contre elle, par M. Dimitri Drill. - Première partie : La Psychologie de la cri- minalité, 25
Nous allons résumer rapidement les six chapitres qui composent ce premier volume.. ... BIBLIOGRAPHIE 161 Le premer chap
iculier avec les fonctions de la cellule nerveuse. Là finit cette première partie du travail entrepris par M. Drill sur le
ent grimper au moyen des colonnes, ou accéder par les fenêtres du premier élage, de là, gagner les murs d'enceinte et se la
liter la surveillance et éviter les rixes au moment des repas. Au premier étage, il existe sur le palier une chambre d'isol
eçoivent. (The. joitri ? . of. ment, se., janv. 1889.) Ouverture nu premier asile d'aliénés en Grèce. - Il n'y a pas encore
llèle à la surface des cironvolutions, le second perpendiculaire au premier . Dans le pre- mier plan, les couches sont étagé
blanche offre des lésions de désintégration. Sur le milieu de cette première frontale gauche, la substance blanche a le même
qui gagnent la substance blanche, comprennent en général les trois premières couches de l'écorce. On les trouve dans la plup
al qui laisse sur le front une profonde cicatrice; trois ans après, première attaque d'épilepsie. L'intelligence s'af- faibl
délire ; gravement malade pendant six semaines. Peu de temps après, première attaque d'épilepsie, puis démence. VI. Dans l
certains moments de lucidité elative, expliquent l'apparition des premiers accidents par une chute sur la tête, que cet offi
qui admettent une étiologie complexe où la profondeur est un des premiers éléments étiologiques ; nous citerons spécia- l
décompres- sion, le nombre des immersions (c'est à la suite de la première immersion que l'accident est survenu), le refro
tes dans l'espèce : Expérience VII (2 mars 1885). Pirée. - Chien. Première immer- sion à 8 heures, 18 brasses de profondeu
ion 40 secondes. Pas d'accident. Expérience VIII (2 mars). Chien. Première immersion à 8 h. 30 m., 18 brasses de profondeu
ssion 50 secondes. Aucun accident. EXPÉRIENCE IX (2 mars). - Chien. Première immersion, 9 heures, profondeur 20 brasses; séj
ression 1 minute. Aucun accident. Expérience X (2 mars). - Chienne. Première immersion 10 heu- res, profondeur 21 brasses; s
pression 1 minute. Pas d'accident. Expérience XI (2 mars). - Chien. Première immersion 10 h. 35 m., profondeur 23 brasses; d
ison complète. , EXPÉRIENCE XIII. - Chier : de l'expérience VIII. Première im- mersion à 1 I h. 45 m.; profondeur de 19 br
disparu à 2 h. 15 m.. · Expérience XIV. -Chien de l'expérience IX. Première immer- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDR
s d'hémorrhagie. Expérience XV (4 mars). Chienne de l'expérience X. Première immersion à 8 heures du matin, profondeur 21 br
es taches hémorrhagiques. Expérience XVI. Chien de l'expérience Xi. Première immer- sion il 11 heures. Profondeur de 23 bras
e cette observation étant descendu quatre fois avant l'immersion du premier accident et trois fois avant celle du second, l
e cause, le nombre des immersions successives. En effet, les deux premiers sont arrivés à la suite de la septième immer- s
t levé ayant la voix rauque et toussant. A dix heures, il fait sa première immersion dont il a été affecté. Accident de /'
ession étant égaux en durée et parce que c'était à la suite de la première immersion que l'accident était arrivé. Si l'on
ue ce n'est pas la seule cause. Il nous faut donc analyser les deux premiers acci- dents, qui ont été produits par l'action
t (après une année de travail sous-marin sans accident), il fait sa première immersion à la profondeur de 23 brasses, 12 min
il y a des cas ou l'altération de l'activité mentale, du moins le premier grade de cette attération, précède l'opération. M
uit cette communication, l'intervention d'un magistrat, M. Barbier, premier président de la Cour de cassation, qui regiette
s, qui aura lieu chaque année dans une ville différente, tiendra sa première session l'année prochaine ci Rouen. SOCIÉTÉS
barras ? Comment être surpris que les commissions fassent passer en première ligne leurs malades, que, par exemple, l'espace d
à tout le champ visuel. La crise a été moins longue que les deux premières , elle n'a duré qu'une quinzaine de minutes. Le
vec beaucoup de netteté, de sorte que nous avions pu penser, à un premier examen, qu'elle n'était atteinte que de mi- gra
e , mère nerveuse, quatre frères et soeurs mortes de convulsions. Premières convulsions à six mois, secondes à neuf; puis con
- Beno..., né le 3 mai 1873, mort le 12 février 1884. A quatre ans, premiers vertiges, accès d'épilepsie à cinq ans, gâtisme
ise est prise en nappe, toujours au même point, au niveau des trois premières couches et présente à ce niveau trois ordres de
ommé Maisonh., 1868-1885, hérédité alcoolique et nerveuse, a eu ses premières convulsions à deux ans. Elles étaient limitées
ons à deux ans. Elles étaient limitées au côté gauche. A douze ans, premières attaques d'épilepsie, elles avaient ce caractèr
tissu scléreux par plaques dans la même région ne sont que les deux premiers degrés de l'altération. Sur d'autres points, en
ans, épilepsie tardive. Coupes du para, central gauche. - Les trois premières couches de l'écorce sont partout envahies et mo
d'une des circonvolutions frontales du côté gauche. Les lésions des premières couches de l'écorce sont comparables, mais beau
rompant l'ordonnance des séries longitudinales et prenant les trois premières couches. Elles ne sont pas au contact les unes
cas suivant, il s'agit d'un enfant de trois ans, Porte ? atteint de premières convulsions à trois mois. Parole et démarche nu
nt rameux, anastomosés, et remanient complètement le plan des trois premières couches de l'écorce, qui ne sont plus reconnaissa
tervenir. Puisque Luciani et Tamburini se sont placés, dans ce premier mémoire, sur le terrain anatomique pour édifier
et du sens muscu- laire. Hitzig, on le sait, n'était pas arrivé du premier coup à cette dernière interprétation. Le profes
cris de un à cinq mois. Convulsions internes ci trois se- maines. - Premières dents à huit mois; marche à un an ; blésilé, fi
près un étourdissement et accom- pagnée d'hallucinations de la vue. Première attaque à quatorze ' ans et demi. Etourdissemen
rtes, de dix à quinze minutes au plus. Jamais d'autres convulsions. Première dent vers sept ou huit mois, puis elles ont pou
ité assez grande de tissu cellulaire sous-cutané. C'est pourquoi au premier coup d'oeil l'idée se présente qu'on se trouve
que je me permette de le décrire en détail. Relativement aux quatre premiers cas, je ferai remarquer seulement que chez le g
lade; sa mère était épileptique. Notre malade était fille unique du premier mariage de sa mère. Dans son enfance, la malade
cause une grave lésion cranio-cérébrale avec perte de substance. Ce premier cas se rattache donc de la façon la plus nette
ie survenir sous l'influence du poison saturnin, à l'occasion de sa première colique de plomb. Cette observation semble donc
63 centimètres carrés), à trois étages du torse thoraco-spinal, la première à une partie quelconque des vertèbres cervicales
dropisie de la gaine à l'extrémité du nerf optique a produit les premiers troubles de circulation générateurs des altératio
vait vue jus- qu'àlorsd'une couronne rayonnante, de la corned'Ammon( premiers linéaments), d'une voûte à trois piliers. Che
e tout momentané; la même opération dans un plan bien postérieur au premier déter- mine une brutale et impétueuse agilalion
tocotpuGililé de l'ivrognerie et de perte de la rai- son. L'article premier du paragraphe en question exempte de la respons
nt rameux, anastomosés, et remanient complètement le plan des tiois premières couches de l'écorce, qui ne sont plus reconnaissa
45 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
FELix ALCAN ÉDITEUR 108, Boulevard Saint-Germain, 108. 1897 PREMIÈRE PARTIE. Histoire du Service pendant l'année 189
I. Enfants idiots gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. - Ce premier groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
mise géné- reusement à notre disposition. Elle est aidée par une première infirmière, \I ? Cordonnier, qui a également la
nts lisent couramment, font des dictées, des exercices, et les deux premières opérations. VIIr Petite école complémentaire.
e École). - La population de cette école était de '21-'1 enfants au premier janvier. Tous, sauf 10 qui ne peuvent travaille
n de leur maître dévoué, M. Goy, à deux concours de gymnastique. Au premier de ces concours, orga- nisé par la ville de Vit
te- rendu. Améliorations diverses. Le traitement de M. Mesnard, premier instituteur chargé de la direction et de la sur
s et Bohain, surveillantes; - Zip", Beaumnnt, suppléante ; - deux premières infirmières : Mllos Iluguet et Pac- cluclct et
xigeant un lavage quotidien du parquet mal jointoyé, non hourdé, du premier étage, il en résulte des infiltrations d'eau to
que. grade le 1 ? mai. M"0 Raymond (Suzanne), si ans de services, première infirmière depuis 2 ans, a été nom- mée suppléa
ns-nous, du zèle et du dévouement du personnel. C'est à lui et en premier lieu à la surveillante, M"" Lanclet que nous de
s, avec des annexes analogues ; z en face l'escalier qui conduit au premier étage. La disposition de cet escalier n'est nul
qui donnent sur le vestibule du rez-de-chaussée et le palier clu premier étage. Mais les vitres des fenêtres sont démesu
a nais- sance, soit il des affections pathologiques surtout de la première enfance (le la naissance il 7 ans, moins souven
s enfants n'ont aucune conscience du danger, et comme les idiots du premier degré, ont des tics très variés, sont destructe
es imperfections intellectuelles. Les enfants atteints d'idiotie au premier et au second degré, les enfants affectés d'imbé
ans. « Le privilège singulièrement paradoxal, dont jouissent les premiers de ces médecins vis-a-vis des seconds ne laisse p
genou droit. - Brûlure de la main gauche à neuf ans et, peu après, premier panaris analgésique. - A qua- torze ans, second
ré- tend-on. C'est là qu'il a eu, il treize ans (janvier 1888), son premier panaris siégeant à l'index gauche. Voici d'aprè
rcices de lecture, mais ne sait pas lire couramment, fait les trois premières opérations, commence à faire la division, mais
e des impressions maternelles, nous devons rappeler que, dans les premiers mois de la grossesse, la mère a été vivement frap
ulsions, probablement symptomatiques d'une sclérose cérébrale, le premier groupe' d'accidents pathologiques observés chez B
aire du cordon. - Allaite- ment au biberon avec du lait de vache. - Première dent à 18 mois ; actuellement la dentition n'es
ion des apophyses épineuses des dernières vertè- bres cervicales et premières dorsales est très douloureuse et l'enfant pouss
En avant, on trouve sur les circonvolutions frontale ascendante et première fron- tale, des lésions de pachyménirtgite, qui
ont débuté le troisième jour de la vie. III. C'est à la fin delà première semaine qu'on aurait constaté la cécité absolue
ation : pouls petit, battements du coeur à 112 ; souffle intense au premier temps à la base; cyanose des lèvres, de la lang
2 ans. - Peurs à 3 ans. Hernie inguinale à la naissance disparue. Première dent à 7 mois ( ? ). Dentition complète à 4 ans
Fa. Ceci joint aux deux plis antérieurs avec F, lui fait perdre au premier abord son autonomie. Quant à SOI-1 tiers postér
- Plusieurs frères et soeurs, convulsions. Cyanose à la naissance. Premières convulsions sous formé d'état de mal à 5 ans au
e l'a nourri jusqu'à 15 mois ; c'est vers 13 mois qu'ont paru les premières dents. D... commencé à parler à 15 mois; 11 n'a
Membres inférieurs. Le membre droit, moins développé que l'autre à première vue, est très légèrement fléchi, le pied n'est
upart des vertiges doivent avoir échappé à l'observation. (2) Cette première partie de l'observation a été déjà publiée dans l
re inférieur. 10 i HÉMIPLÉGIE DROITE : SQUELETTE. W Pour les sept premières côtes, les mensurations ont été prises depuis l
ez espacées. Dents temporaires en voie de remplacement. Les quatres premières molaires permanentes existent. Poids et taill
de méningite. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 12 ans. Première dent à 7 mois, dentition complète et début de la
1 j ? . - Début de la marche à 18 mois, de la propreté à 8 mois. Premières convulsions a 11 mois : durée 29 heures. -Seconde
chute d'une pièce d'acier, alors que sa femme était déjà enceinte ( premier mois) de notre malade. - [Père, 70 ans, forgero
t deux mois, puis au bibe- ron (lait de vache) ; sevrage à 18 mois. Première dent à 7 mois, dentition complète à 2 ans et de
tout le corps. Il s'est produit deux états de mai convulsifs. Le premier a duré 24 heures, le second qui a eu lieu deux jo
face, douleurs de tête, vomissements bilieux, etc. Pendant les huit premiers mois du séjour de Pern... à la Fondation, il ne
e corps thyroïde d'origine anglaise; j'ai donné à divers enfants du premier tige, atteints de myxoedème congénital, un quar
atrième mois de la grossesse. - Apparence normale à la naissance. Première dent à 8 mois. Gâtisme. - Ne marche pas seule.
très lente. - Croûtes du cuir che- velu depuis l'âge de 10 mois. - Premiers symptômes de cachexie pachydermique à 8 mois.
a élevée au biberon avec du lait de vache. On croit qu'elle a eu sa première dent à 8 mois. La dentition est loin, encore, d
re prendre la tempéra- ture rectale de nos malades pendant les cinq premiers jours de leur entrée afin de nous assurer qu'el
ement de la croissance qui a offert la progres- sion suivante : ' Premier traitement. 160 Idiotie ITXORDI : IfATBUS1; : c
ïde, nanisme, etc. - Etat de la malade à la fin de décembre 189 ? Premier traitement par la médication thyroïdienne : 18
dormi beaucoup et n'a jamais eu de convulsions ni d'accès de cris. Première dent il 8 mois. Elle n'aurait eu aucune maladie
ses côtes. Voici les températures rectales de Kr... durant les 10 premiers jours de son admission : Médication thyroïdienn
ans le poids et la taille sont résumés dans le tableau ci-après : Premier traitement. MÉDICATION THYROÏDIENNE. 175 t76
solue et rela- tive, dans le sang des m5-xcedémateux et qu'un des premiers effets du traitement soit de le relever. Masoin
ait de chèvre), parce qu'elle n'avait pas assez de lait. Il a eu sa première dent à un an; on ne sait à quel âge la première
tte, son père refuse, il se sauve et va en louer une. En février, première crise nerveuse : l'enfant était en train de déj
st bien développée. On ne peut préciser la date de l'apparition des premières dents, maisonassurccladentition a été précoce (
P.A., pariétale ascendante. P.P.I., pli pariétal inférieur. T1, première temporale. L.O., lobe occipital. Fig. 2. - Fa
C.C., corps calleux. C.C.C., circonvolution du corps calleux. r, première circonvolution frontale. L.P., lobe paracentral
pariétale ascendante. P.I., pli pariétal inférieur. Tl, T2, T-1, première , seconde et troisième circonvolutions temporale
o-encéphalite. Face interne de l'hémisphère droit (p. l '26¡, Fi, premiers circonvolution frontal ? C.C.C., circonvolution
46 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
ion du lobule paracentral est de date assez récente. Les observations premières , par le fait de complications multiples, n'avaien
ux, t. II, p. 372, De l'épilepsie partielle d'origine syphilitique. premier rang comme fréquence. La tuberculose localisée ne
ez cette malade, à cause du petit accident qui avait interrompu notre première série d'expériences. Notre seconde malade, la n
e, que nous avons vu provoquer des hallucinations gaies chez nos deux premières femmes, produisait une vive terreur chez la trois
t pendant chaque attaque que par une mimique assez animée. Dans son premier récit, le champ de manœuvre couvert de gazon, au
t nous signalions à l'instant les points faibles ou défectueux. Nos premières investigations ont porté sur une jeune fille de v
nt par deux états que M. Azam a désignés sous les noms de « condition première » et « condition seconde ». Dans son état normal
remière » et « condition seconde ». Dans son état normal ou condition première , la malade est grave et travailleuse. Tout à coup
able, une sorte de torpeur la reprend, et elle revient à sa condition première . Dans cet état elle a oublié tout ce qui s'est pa
acha l'écharpe blanche qu'il portait au bras (il venait de faire sa première communion) et lui causa une vive frayeur. A parti
lissement des règles et sous l'influence d'une émotion qu'elle eut sa première attaque d'hystérie. Elle était rentrée un peu t
lie par Georges Guinon (Progrès Médical, 1890, n° 36). Observation du premier malade, le nommé B... aboutir l'ingérence du pu
e malade nous à fait voir ici et dont il sera parlé plus bas. Dans sa première crise, il voyait des voleurs, appelait au secours
ne grande crainte de tomber malade, comme sa sœur). (1) Toute cette première partie de l'observation de Sch...er nous a été ob
barres aux t.. On n'a alors qu'à faire coïncider exactement les deux premières feuilles avec la troisième, on voit qu'une barre
lettre non accentuée, à un t non barré sur l'une ou l'autre des deux premières . Cette épreuve est tout ce qu'on peut imaginer de
ux fig. 1 et 2 : un point à la fin du titre ; une virgule à la fin du premier vers ; point et virgule à la fin du 2e ; point â
e, comme avant le sommeil ; l'anesthésie est passée à gauche. Cette première expérience, pour n'avoir été ni bien longue ni bi
e, irrégulière. De plus, on y remarque quelques fautes ou erreurs. Au premier vers il est écrit: .... parmi les arbres ; l'm qu
différente, comme on le voit. De plus, les fautes n'existent plus. Au premier vers, il y a m arbres au lieu de arbres, à l'avan
malade prend la plume et, délibérément, sans hésitation, numérote sa première feuille : 13 et au haut de la page il écrit le de
tention sur ce sujet. Il prend la plume, numérote sans hésitation son premier feuillet: 21,en traçant comme toujours en haut le
ons eu si souvent l'occasion de citer au cours de ce travail. Chez sa première malade (1860), il note que « les déterminations e
re des somnambules hystériques-M. Mesnet l'avait déjà notée. Dans son premier mémoire, il écrit, à propos de sa malade, « que l
nt le milieu entre les deux précédentes. Mais, de même que les deux premières peuvent ou bien s'isoler complètement, comme il a
deuxième groupe de cas, alternance de deux personnalités, diffère du premier en ce que, après l'apparition de la deuxième pers
qui s'est maintenue pendant un temps plus ou moins long, la personne première , normale, reparaît, pour faire place plus tard à
occuperont ici. A vrai dire, la distinction qui les sépare de ceux du premier estun peu artificielle. A l'époque où la deuxième
différence commence seulement avec la réapparition de la personnalité première . Or, à un moment donné de l'évolution, avant cett
disparaître complètement. Nous retombons à ce moment dans les cas du premier type. Mais, revenons maintenant au somnambulism
seconde, état B) se substitue à l'état prime (état normal, condition première , état A), le sujet garde toujours quelques notion
; dans son état nouveau, ellene saitquece qu'elle a appris depuis son premier sommeil. Si une personne lui est présentée dans u
dant conscient et répond à toutes les questions qu'on lui pose. Cette première phase dure dix à quinze minutes et l'auteur a con
triques. Il se souvient très bien de ce qui s'est passé dans les deux premières phases,mais non dans la phase cataleptique... Il
e nerveuse. L'histoire de sa vie est assez caractéristique. Dans sa première enfance, à la suite d'une peur violente occasionn
e vigilambulisme ou dédoublement hystérique de la personnalité. Cette première attuquo dure trois mois consécutifs avec des reto
s fut incapable de boire ; un second accès l'a rendue à son existence première , mais, en même temps qu'il lui faisait perdre le
igé, de temps en temps, d'intervenir et de la ramener à son existence première ; celle-ci ne dure pas, en général, plus d'une he
t facilement provoquer les deux états. Il la place dans l'existence première par l'hypnotisme en lui (1) Verriest. — Gongr.
que la deuxième partie de son séjour à Bonneval (non paralysé) et son premier séjour à Bicêtre (1884). Tous ces états, et j'e
ndant il sait bien marcher et même monter à cheval et conduire. Cette première crise dure vingt jours. Puis tout cesse et l'enfa
est à l'émotion ressentie alors qu'elle attribue le développement des premiers accidents. Ce furent d'abord des attaques de ne
ffet aucune notion de la vie antérieure, autrement dit de la personne première . La malade connaît, on l'a vu, le nom de son père
gissements de notre pseudo-docteur, qui fut, inutile de le dire, à sa première apparition dans l'hôpital, mis à la porte avec to
normal), antérieure à 1884-1885. Suivant le plan adopté pour notre première malade, commençons par étudier l'état B. 1° Eta
es dimensions. On peut même transporter par ordre dans la condition première des suggestions faites dans le vigilambulisme, co
s ces dernières, l'état second à l'état prime. Dans cette condition première , elle ne sait plus ni lire, ni écrire, ni compter
nces existant dans les paroles de la malade qui, ramenée en condition première , dit tantôt être en 1884 et tantôt en 1885. Puis,
estes de l'autre. Peu importe que la seconde ait connaissance de la première ou non. M. Pitres (de Bordeaux), qui considère l'
igilambulisme. A côté de ces phénomènes grossiers et remarquables à première vue, il en est d'autres qu'il faut chercher et qu
du diabète avec le tabès, s'exprimait en ces termes : « A côté de ce premier groupe (glycosurie tabétique) il convient d'en pl
que, le malade a été soumis au régime et au traitement. Dans les deux premiers mois la glycosurie a diminué alors que les manife
hémorrhagies rétiniennes; 5° l'atrophie du nerf optique. Les quatre premiers n'existent pas chez notre malade. Quant à l'atrop
terminée, douloureuse, s Aux mains, l'engourdissement occupe les deux premières phalanges des doigts. Enfin il accuse une sensati
. I, p. 589). « Sans doute, dit-il, il est difficile d'admettre, au premier aspect, que beaucoup d'arrêts de développement, q
question serait résolue en faveur du pseudo-tabes. A côté de cette première catégorie de signes communs aux deux maladies dia
bles dans le tabès comme dans le diabète leur donne une importance de premier ordre. Appartiennent à l'ataxie locomotrice progr
èle que nous venons de tracer peut donc permettre de répondre à celte première question : Etant donné un diabétique chez lequel
de nous (Oppenheim. Reumont, Fischer). Ils ont donc une importance de premier ordre et ils doivent toujours être recherchés. Da
s symptômes, presque pathogno-moniques — nous voulons parler des deux premiers — sont absents, de fortes probabilités s'ensuiven
protubérance, que de sa face postéro-supérieure. On aperçoit, uni au premier nodule que nous venons de citer, un autre noyau q
qui nous ont semblé dignes d'être notées. On suivra aisément cette première partie de notre description sur les figures que n
pe faite au-dessus, ce seeond tubercule situé en avant et à droite du premier {Fig. 15) a un demi-centimètre de diamètre, ce de
doigts de chaque main. Ceux-ci sont volumineux, surtout au niveau des premières phalanges. Les masses musculaires sont très fer
le même état qu'en 1889. Quant aux jambes, on serait fort tenté au premier abord de croire qu'il y existe aussi de la pseudo
n considération, surtout dans les cas difficiles. Il est certain qu'à première vue, si le malade ne porte pas sur sa face le cac
çon indiscutable. Si, au contraire, on interroge des épileptiques, au premier abord, c'est le contraire qui paraît la règle : l
il droit, congénital. Début à 14 ans, au moment de l'apparition des premières règles. Accès caractéristique, de fréquence var
ible. Mère et une sœur mortes phthisiques. Début à 7 ans. Jusqu'aux premières règles (13 ans) accès nocturnes, précédés de gran
ents infligés par son père en état d'ivresse) suivie immédiatement du premier accès. Depuis lors, accès tous les mois ou tous l
stic quelquefois difficile néanmoins. Mais dans les cas insolubles au premier examen il reste toujours les preuves tirées de l'
Charlotte, 20 ans. Début à l'âge de 14 ans, après l'apparition des premières règles. Accès au début quotidiens, actuellement
ela arrive le plus souvent dans l'hystérie. En tous cas, dans cette première série, on ne rencontre aucun des autres phénomène
lades, qui l'ignorent rarement ou qui en rendent facilement compte au premier interrogatoire du médecin. Dans l'épilepsie, au c
un homme buveur et joueur qui la battait. Début à l'âge de 20 ans. Premier accès développé à l'occasion d'une attaque à main
1 » 1 Peur ? S » 1 I ¦ » 1 Émotion. § Vue de sa mère. 1 Première communion. I Vue d'un accès épilep. 1 » 1 i Contr
ne sont point en réalité comparables, bien qu'elles se ressemblent à première vue. Nous nous contenterons donc de mentionner le
cette liste prête et il choisit tout de suite, parmi les cas jugés à première vue les plus intéressants, un certain nombre de m
ique se rattachent in- timement divers services annexes qui sont de première nécessité au point de vue clinique et thérapeutiq
souvent sur eux, au point de vue du diagnostic, des renseignements de première importance. Les paralysies faciales, les surdités
a toux hystérique, d'ailleurs, représente un type fondamental dans ce premier groupe. Les autres bruits sont, au contraire, ins
soit hystériques, soit appartenant à la maladie des tics, figurent au premier rang parmi ceux qui le plus facilement se transme
omb, il y a un an environ, mais il en a été complètement guéri. Cette première attaque ne s'est d'ailleurs accompagnée d'aucun a
il survient du mutisme. Le malade dit ne pas avoir de souvenir de ces premières attaques, mais depuis il a eu fréquemment des att
47 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
peine le temps de se vêtir, pour descendre se livrer dans la rue au premier venu. Elle voit son complice, entend la voix de
. Elle a souffert la passion, dit-elle en parlant de ses obsessions premières ; elle fut « dolorosa », mais elle a été « sacr
ent le traitement correctif mais quasi-spécifique de l'ataxie. La première opinion dénote une connaissance par trop stiperfi
elle de la question, la seconde ne tient compte que des débuts, des premières tentatives de la rééducation, dont elle ignore
nçaise. Le professeur Raymond, en effet, après avoir constaté les premiers succès dus à cette méthode, comprit de bonne heur
ion spéciale. Cette notion de suppléance est donc, elle aussi, de première importance en matière de rééducation motrice. L
, se rapportant aux mouvements plus complexes ou à l'adaptation des premières à un but déterminé, ne sont obtenues que par l'
trepris par le professeur Leyden à une époque bien antérieure à ses premières publications. Dans les gym- nases suédois, les
ces vraiment conformes à la physiologie, enfin une erreur grave des premiers rééducateurs venait cer- tainement de l'uniform
e du corps humain au repos ou pendant la marche. Les exercices du premier genre consisteront en mouve- ments essentiellem
continue que par poussées successives. Or,' ces notions sont ici de première importance. Quand un tabès est en voie d'évolut
ances de succès que l'on peut entreprendrela rééducation : lors des premières applications de la méthode, ce n'était pas une
es derniers, s'ils sont incor- rects, compromettent le bénéfice des premiers et créent de mauvaises habitudes, autant, dans
s le premier cas, il y a rétrocession du processus pendant les deux premières années, ce qui parait une indication pronostiqu
e côté que du côté opposé. S'il existe du myosis, on peut croire au premier degré d'une lésion qui irrite celle des cellule
econd cas, un hématome nerveux en même temps que l'appari- tion des premiers troubles peut faire penser à des phénomènes de
gélatine à i p. 100. Une amélioration indéniable ayant suivi cette première injection, on en pratiqua autres à un ou deux j
mpression cérébrale subsistent. Dix-neuf jours après l'ouverture du premier abcès, une ponction pra- tiquée dans la cavité
trouble soit toujours nécessairement radiculaire, bien qu'un des premiers il ait signalé la fréquence de ce fait; « il ne f
M. Manouvrier, retournent à une conception physiologique. Avec le premier , la considération de la prédominance relative de
tologistes et les neurologistes. Il comprend trois parties. Dans la première , après un historique de la question, l'auteur met
ou non sorties de l'urne) au cours des épreuves écrites et orale. Première ÉPREUVE écrite : (Anatomie et physiologie du syst
n portant sur la médecine et la chirurgie en général). (5 séances). Première séance. Questions sorties : Point de côté; frac
familles de tempérants durant un laps de temps de douze ans. Les 10 premières familles produisirent ensemble 57 enfants. 25 d
folie communiquée, c'est l'aliénation des deux codélirants. Dans ce premier article, il croit en outre, que la folie à deux
randes conditions de la contagion morbide ; revient sur son opinion première d'après laquelle le délire de persé- cution seu
ts en présence, l'élément suggestif et l'élément suggestible ; du premier , car elle est le résultat de l'action des trois f
ants propres dépendant du terrain et qui viennent se surajouter aux premiers . Il y a donc deux éléments à considérer dans le
janvier 1900 à présenter des troubles men- taux.'Pendant les quatre premiers mois, elle cherche à la rassurer en tâchant de
. Séparée de sa fille dès le premier jour, elle présente après la première semaine une cédation assez marquée dans l'acuité
is son petit-fils et sa fille; C'est la police. » Elle conserve ses premières idées de persécution. Elle met toujours sa fille
actifs. Leur séparation fera disparaître très rapidement chez les premiers les phénomènes délirants qui ne sont que des phé-
nner des troubles hystériques. A l'âge de quatorze ans elle eut ses premières règles ; c'est à la suite de cet événement et à
s deux d'ailleurs fonction de la dégénérescence. Deux mois après sa première apparition, la menstruation s'arrêta, et de gra
elle. Cet accès dura environ six mois ; très fort pendant les trois premiers , beau- coup moins pendant les derniers, où elle
ion, idées liées aux sensations qu'elle avait éprouvées lors de son premier coit. La malade, par suite de l'onanisme répété
ombri qu'elle présentait dès son enfance même. En 1890, date de son premier épisode morbide, elle devint tout - d'un coup s
e fut prise d'une bouffée de troubles délirants tout différents des premiers ce qui causa son second internement. C'était un
tte- ment distincts, qui se sont montrés à des époques variables. Premier épisode : Des obsesions et impulsions morbides :
vaire. La présente observation est elle-même assez suggestive. Un premier accès de myasthénie guérit totalement en 6 mois,
ons d'intensité sont la règle lorsque le patient ne succombe pas au premier accès. Ces variations s'étendent à des années a
dix ans est rare (Observ. I et 111.) Souvent le malade succombe au premier accès (Observ. IV.) Pendant la rémission, la la
nts de nystagmus congénital des deux yeux sans autres lésions. La première a quarante-sept ans, la seconde sept ans. Pas d'a
diagnostic se fera par l'examen attentif du malade, cepen- dant au premier abord, on peut croire qu'il s'agit de dyspepsie
s singuliers de la tête, du tronc et des membres. Ces mouvements, à première vue, semblent indescrip- tibles et n'avoir aucu
à la Société médico-psychologique 1, )[. Charpentier réservait son premier groupe aux idées morbides pouvant aller jusqu'a
ar les considé- rations précédentes, il suffira, dans chaque cas du premier groupe, de rechercher l'existence du foyer infe
rend avec une intensité qu'il n'avait jamais eue auparavant. Dès sa première visite, en effet, la femme trouve son mari couc
alors que Bergonié n'annonçait qu'une action pallia- tive. ' Nos premières tentatives de traitement électrique visaient de
référence, ainsi que l'indique Bergonié, dans le dos, au niveau des premières vertèbres dorsales descendant jusqu'aux premièr
os, au niveau des premières vertèbres dorsales descendant jusqu'aux premières lombaires. On pourra toutefois, si la finesse d
assant pas 10 milli-ampères, vingt minutes ne suffisent plus. Nos premières applications furent faites pendant un quart d'h
aine, mais beaucoup plus souvent il faut attendre jusqu'à la fin du premier mois pour la voir survenir. Dans le type grave,
oir survenir. Dans le type grave, il y a même parfois au moment des premières séances une augmentation des douleurs, fait sur
on qui se montre presque toujours d'une façon nette après les trois premiers mois, il se produise une rechute au bout d'un t
ui ont obtenu une amélioration franche, il n'en est pas un, qui, au premier présage de réapparition de douleurs, ne soit re
érose diffuse. Particulière à l'enfance, elle porte sur le cerveau. Première espèce. Circonvolutions, lobes ou presque un hé
flexion du pied, à l'instant où ce dernier revient à sa posi- tion première , les orteils s'étendent, particulièrement le gros
lexe extrêmement marquée. Les réflexes précédents, surtout les deux premiers , peuvent, en certaines conditions, être provoqu
ples. Des quatre observations rapportées dans cet article, les deux premières se rapportent à deux femmes hystériques ayant p
ntrées. c Ce mouvement considérable, dit M. Charron, correspond aux premiers temps de mon administra- tion, pendant lesquels
ssance d'un processus morbide ou d'un défaut d'adju- vants dans ses premières années et qui conséquemment n'a pas atteint le
ulièrement dans leurs séances respectives les questions suivantes : Première Section : Enfants ET Adolescents. -'4°Patronage
caractère, - On lui attribuait un « grand génie 1 », « un esprit de premier ordre et un courage dont il y a peu d'exem- ple
Flécelles, et sa mère l'engageaient à signer. Mais ni les larmes du premier , ni les syncopes du second, ni les « menaces ef
mariée à l'âge de dix-huit ans ; a eu quelques migraines depuis ses premières règles. PARTICULARITÉS CLINIQUES DE L\ NÉVR-11,
ai, au moment des règles, les douleurs ont reparu avecleurintensité première . On fait une tentative avec des intensités de 1
élioration très marquée, mais celle-ci n'a pas persisté au delà des premiers jours de janvier et à partir du 10 janvier 1902
de avait pu reprendre de temps à autre le traitement l'amélioration première aurait per- sisté d'une façon beaucoup plus mar
, chez un malade atteint d'hérédoafaxie cérébelleuse. L'autopsie du premier malade a montré des lésions des cordons postéri
rés et à tirer partie du peu qu'ils ont de cérébralité. Toute cetle première partie constitue un résumé très clair et très c
aire ;IL un malade, atteint d'une maladie psychique aiguë pour la première fois, nous ne pouvons pas définir tant soit peu
rès net- tement que la manie se manifeste le plus souvent pour la première fois entre seize et vingt-cinq ans ; on observe l
e noter, entre autres, que parmi nos malades l'âge le plus jeune du premier accès de manie était treize ans et le plus vieu
01, un an environ après la mort de son mari, elle se sent prise des premières atteintes de son mal. Inquiétude vague et sans
e jour. En mai 1899, il va de Nice à Maçon en 4 étapes. Les trois premiers jours se passent bien, malgré une grande fatigue
mort et les jugements de Dieu. « Alliée à la plus grande partie des premières personnes de la ville » de Rouen, elle menait l
itre plus particulièrement à elle, elle ne se démentit jamais de sa première piété, mais marcha toujours d'un pas égal dans
rétablit complètement. En 1696 (soixante-deux ans) il présenta les premiers symptômes de la maladie dont il devait moutir. 1-
ne pneumonie. Quant à la paralysie, elle « suivit régulièrement son premier cours, et alla toujours en augmentant, suit pou
la cure de Magni, près Port-Royal-des-Champs, et demanda à dire sa première messe dans la chapelle de cette abbaye. Mais sa s
e continue. Des quatre dont nous connaissons l'âge de la mort, la première (Anne-Marie de Flècelles de Brégy) mourut à cin-
mation. A). Transformation des stigmates obstétricaux entre eux : Première génération. Grand'mère : présentations anormales.
Transformation des stigmates moraux en stigmates obsté- tricaux. Première génération. Troubles mentaux, épilepsie. etc., ma
21, 2 ? p. -il. 448 REVUE CRITIQUE. siqueet psychique. Marié, son premier né se présente, comme lui- même, par la face, a
ns qui marquent d'une façon saissisante cette influence du mâle : Première observation 1. Premier mari normal : présentation
çon saissisante cette influence du mâle : Première observation 1. Premier mari normal : présentations normales en OIGA.
me mari dégénéré : présentation de la face. Deuxième observation'2. Premier amant normal : deux présen- tations successives
aneux et du demi-tendineux. Un point reste pourtant debout de leurs premières recherches : c'est que les muscles pos- térieur
e du vaisseau. La formation de la lacune passe par deux degrés : au premier degré la lacune n'est pas constituée à propre-
qui suppri- mera l'abus des chambres d'isolement est une réforme de premier ordre qui prendra rang à côté de celles de Pine
Discussion : M. AIIDLLEIIASS, collaborateur de l'auteur dans son premier travail, confirme sur tous les points les opinion
'agit pas de fibres de régénération car tandis que pendant les deux premières années la sensibilité ne pouvait être rappelée
de la part de la périphérie se trouve interrompu déjà au niveau du premier neurone du faisceau sensitif, comme c'estle cas
ccès revien- nent à l'anniversaire de cette mort et à celui de leur première rencontre. Au sur et à mesure que ces crises se
ent assez significatif, de sorte que l'aspect du malade rappelle au premier coup d'oeil la paralysie agitante. Les mouvemen
enfants nés avant elle avaient succombé à des convulsions dans leur première année. Elle avait eu elle-même des convulsions
Peu de temps après son retour à la maison paternelle, elle eut ses premières règles qui lui causèrent une émotion très intense
cepter l'allaitement avec plaisir. Tout allait bien pendant les six premières semaines, lorsqu'un jour pendant qu'elle allaitai
ns le motif de ses aveux. Sa fille qui avait été convulsive dans sa première enfance n'a présenté d'autres troubles névropat
ur le personnel. Dans la moitié Est, deux chambres particulières du premier étage sont remplacées par une chambre à 3 lits.
n, à deux étages, possède 12 lits répartis au rez de chaussée et'au premier étage. fiez de chaussée. On accède d'abord dans
ec le patient; elles suppriment enfin d'une façon complète la cause première de bien des inconvénients et de bien des troubl
va une carie tuberculeuse sans pus, de la 7° cervicale et des trois premières dorsales avec affais- sement du corps de ces qu
cupéré des voies courtes, ce qui s'est produit chez sa malade. En premier lieu compression de la moelle, irritation des fai
segment moyen situé entre les champs n° 14 (nouveau), et 34. ' Du premier sillon temporal, se développe d'abord la partie q
e gradation dan" la démo- nomanie. Chez les théomanes également. Au premier échelon, les gens pieux; à un degré supérieur,
processus, à ce qu'il parait, acheva son développement. Ce cas, au premier abord, fait l'impression, ainsi que les cas de
extrais l'impression de l'éditeur : « C'est là un de ces livres de premier ordre que chacun devrait avoir, et surtout devr
ur très correct, en habit, qui avait pris place aux fau- teuils des premières , sortit pendant le premier acte en tenant des p
portière n'avait rien exagéré : à la fenêtre d'un logement situé au premier étage sur la cour, Juliette Teldat se tenait à
48 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
2 (l31cët·c et Fondation Vallée)' BOURNEVILLE, Dicêlre, 1902. * PREMIÈRE PARTIE Section 1 : Bieètre Histoire du Servic
I. Enfants idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. Ce premier groupe est subdivisé en deux catégories. La pre
des enfants ayant déféqué au siège après les repas, durant les 5 premiers jours de chaque mois. Voici ce relevé qui a por
a gymnastique des échelles et des ressorts, sauf ceux qui, venus du premier groupe, c'est-à-dire des INVALI- des, étant enc
gracieusement à notre disposition. Elle est aidée par M"10 Randier, première infirmière. Quarante enfants composent cette éc
s écrits; il litapeu près couramment ; il fait assez bien les trois premières opérations. Il est toujours très attentif, comp
ses détails l'école Estienne, Caisse d'épargne. Elle est confiée au premier de nos instituteurs, M. Mesnaud. Les recettes o
même que nous prenons la température à l'entrée, durant les cinq premiers jours (1) pour savoir si l'en- fant n'est pas s
croyons les renseignements que nous avons recueillis. Teigne. Au premier janvier 1902, il restait dans le service 17 tei
f plaisir à faire la gymnastique, exécute par- faitement les quatre premiers mouvements, sait de même lacer, boutonner, agra
ire, à faire quelques devoirs de grammaire, elle connaît les deux premières opérations de l'arithmétique et lit presque cou
la paille dans les matelas des gâteux ! Nomination de M"10 Quatre, première infir- mière au grade de suppléante. Teigne.
table et illettrée, les enfants, faute d'éducation et d'instruction premières , sont de vrais arriérés pédagogiques quoique pa
(1). En attendant que nous puissions faire une description des deux premières formes, nous allons rapporter un nouvel exemple
), vigoureux mais a eu des cuttmdstons assez fréquentes, durant sou premier mois ; 4° ga1'çon dont il est question plus hau
isait pas au- trefois. Son père s'est remarié avec la soeur de sa première femme. trois enfants : 1° fille, G ans, pas de
eur du lobe temporal. Il en est de même à la face interne, sur la première circonvolution du corps calleux, ainsi que sur le
ssait déjà anor- male. A un an, elle semblait n'avoir que 6 mois. Première dent à 14 mois : dentition anormale. Marche à 2
e bien nette. » La méningite a duré 8-10 jours; pas de paralysie. Première dent à 14 mois ; les grosses dents ont paru les
ralysie. Première dent à 14 mois ; les grosses dents ont paru les premières , les incisives, les dernières. (Son père a eu sa
provoquer chez elle une miction involontaire : c'est ainsi qu'à sa première douche, à ses premiers exercices de gymnastique
e miction involontaire : c'est ainsi qu'à sa première douche, à ses premiers exercices de gymnastique, et sous l'influence d
normale, rien à signaler. - Accouchement à terme, rien de spécial. Première dent à 10 mois ( ? ¡; dentition complète à 2 an
u'à 13 ans. A t3ans., frayeur vive, brûlure grave; 8 mois plus tard premier accès; succession régulière des accès toutes le
ix mois; à deux ans la denti- tion était complète. L'enfant fit ses premiers pas à 11 mois, et marcha définitivement vers 14
la cour, il enfonça la porte des ateliers. monta précipitamment au premier étage, ouvrit une fenêtre et se jeta dans le vi
ale se prend à son tour : l'enfant se suicide, deux ans après son premier accès. L'hérédité, dans ce cas est peu chargée.
de ce privilège. En le faisant, ils rendront au pays un service de premier ordre. Ainsi que nous l'avons dit souvent, le p
er, il est tombé dans une sorte de torpeur qui a duré 8 à 10 jours. Premières convulsions le 10^ jour, elles ont continué 3 j
extension et s'incline sur la gauche. . AU mois, à l'apparition des premières dents, l'enfant ne cesse de crier nuit et jour.
on sur le bassin, la jambe dans une légère flexion sur la cuisse. Première dent à 11 mois, dentition complète à 3 ans. Par
scoliose du rachis, les dernières vertèbres cervicales et les trois premières dorsales formant Scoliose myxoedémateuse. 77 7
anines de lait. Prémolaire permanente normale, pointes très aiguës. Première grosse molaire en cours d'évolution. Un tiers e
rgane un nouvel espace libre qui correspond à l'emplacement de la première grosse molaire permanente. La seule grosse molair
boratoire d'anthropologie de l'Ecole des Hautes Etudes. Tète. - A première vue deux particularités s'imposent. 1° Le grand
st légèrement saillant : il semble l'avoir été davan- tage lors des premiers examens de Deb... à son arrivée à Bicêtre. car
ois, leur disparition, puisque c'est un arrêt de développement. A première vue, il semblerait que la voûte palatine fut cons
eures, après qu'ils ont été remarqués, soit qu'ils aient échappé au premier examen d'ailleurs rapide, soit qu'ils aient app
mère à huit mois, il était tout à fait normal, époque où il a eu sa première dent : il regardait, gazouillait, jouait, se te
ment et sans s'adres- ser à sa mère. Il grimace beaucoup depuis ses premières convul- sions, bave, tette sa langue, crie par
exactement les cartons sur le tableau de couleur, à exécuter les premiers mouvements de gymnastique et saute les deux premi
à exécuter les premiers mouvements de gymnastique et saute les deux premiers degrés de l'escabeau. Caressant, gai, joueur. P
902). 'lâ2 Maladie DES tics; GUÉRISON. chement et à la naissance. Première dent ci sept mois; dentition complète à deux an
e manière exagérée, par comparaison avec les mouvements de ses deux premiers enfants. Accouchement à terme, naturel, sans ch
phyxie, ni circulaire du cordon. Elle a crié « énormément » les dix premiers jours, ne dormait pas, il fallait lui donner le
tion, 1'ien ? Grossesse, caféisme. Accouchement et naissance, rien. Première dent il. 6 mois, dentition complète à 2 ans ? .
nnu. Allaitement au sein maternel qu'il a bien pris, sevré à un an. Première dent à G mois; dentition complète à 2 ans. Paro
se porter en excès sur la périphérie de la partie déco- lorée ». Au premier abord, on pourrait croire que la ré- gion la pl
cep- tion était bon. Pendant la grossesse, la mère aurait été, le premier mois, obsédée par le souvenir des images de cire
anément ; ni cordon, ni asphyxie. Nourrie au sein jusqu'à 16 mois.- Première dent à 6 mois ; dentition complète à Histoire D
ublié. MÉLANCOLIE; IDÉES DE CULPABILITÉ. 195 Température des cinq premiers jours. ' 196 Mélancolie; mutisme. z yeux creu
particulier. Asphyxieà la naissance. - Ophtalmie des nouveaux-nés Première dent à cinq mois. Dentition complète à ? . Débu
ant 4 ou 5 jours, et sur lesquelles des détails précis font défaut. Première dent à 5 mois. Début de la marche à 20 mois, de
urri ensuite au lait de vache. A bien pris le sein; non criard. Première dent à un an.- Dentition complète à ? ? N'a j
biberon (lait de vache). Prise régulière du sein ; non criard. Première dent vers un an. Dentition complète il ? ? N'
le infan- tile. Tous deux étaient atteints d'idiotie complète. La première question qui se posait était de savoir s'il s'agi
us avions émis l'hypothèse que la lésion constatée il l'autopsie du premier malade serait aussi constatée il celle du deuxi
(Obs. de Merc..., p. 13). Face interne de l'hémisphère droit. Fi, Première circonvolution frontale interne. LP, Lobule par
(Obs. deJoha ? p. 63.) Face interne de l'hémisphère droit. h ? Première circonvolution frontale interne. LP, Lobule par
Obs. de Deba..., p. 110.) Face interne de l'hémisphère droit. FI, Première circonvolution frontale. LP, Lobule paracentral
169, XIV XII. 172, XV XIII. 175, XVI XIV. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Histoire du service pendant l'année 1902
49 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
térique; 2o Qu'il n'est qu'hystérique. Nous ne parlerons pas déjà première proposition, puisque, d'après les données du pr
assé de combinaisons hystériques essentiellement cu- rables. III. PREMIÈRE PARTIE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE
ns la rue, une deuxième attaque précédée des mêmes prodromes que la première . On l'a transporté à l'hôpital Bichat. Il était p
et se coucha. Cet accès d'automatisme ambulatoire ne semble pas le premier . Assez souvent, le jour ou la nuit, il est pris d
, exclusivement sur les cordons antéro-laléraux, comme dans le type premier , classique, de l'unité morbide décrite sous ce
UE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalomyélite) (Suite') t) Notre premier malade est un ancien peintre en voitures, âgé de
e impotent. La chute des paupières survint un an après le début des premiers accidents. Actuellement, le malade présente le fa
Aux avant-bras l'atrophie porte surtout sur les extenseurs. Mais au premier abord elle paraît se répartir à peu près égalem
ion avec le maximum du courant faradique, plus faible pour les deux premiers . Mêmes réactions pour le courant galva- nique,
duire textuellement à propos de l'oedème, ce qu'en ont dit les deux premiers auteurs que nous avons cités. C'est dans le s
ème hystérique, ce qui nous a permis de le diagnostiquer sûrement à première vue chez le malade dont voici l'observation.
gt ans, il a souvent soif devant ses fourneaux. l'as de syphilis. Première attaque d'oedème. En août 1888, L... a éprouvé da
nservé.. Description de la main malade (fig. 9). - Ce qui frappe au premier abord, c'est un oedème exagéré de la main droit
est remarquable que l'oedème de sa main ait été en quelque sorte la première manifestation de la névrose. En effet, on n'a con
relevé ceux qui ont étudié ce malade avant nous. Mais depuis cette première atteinte, la maladie a affirmé plus nettement sa
cette malade, à cause du petit accident qui avait interrompu notre première série d'expériences. Notre seconde malade, la
les unes sont congénitales, à n'en pas douter, bien que leur cause première échappe à nos investigations; d'autres sont rap
Fie. 10. - Cenenii de mÍt'l'(lcéphalc. DE LA CRANIECT0M1E. 91 aux premiers mois de la vie, mais il est bien difficile, en pa
e forme de tremblement se lever et se mettre en marche, on peut, au premier abord, se croire en présence d'un cas de scléro
térique. En quoi ce tremble- ment-ci différera-t-il cliniquement du premier ? Cela restera à déter- miner. » Nous nous as
ui existe si souvent chez les hystériques vulgaires à la veille des premiers symptômes significatifs; qu'au moment de l'accè
ieurs semaines. Le tremblement persistait toujours. Bref, depuis sa première attaque le malade n'a jamais cessé de trembler;
mitation des troubles de la sensibilité. etc., sont des éléments de premier ordre. Il serait toutefois nécessaire de connaî
e des paralysies hystériques de nombreuses leçons, il semblerait au premier abord que les erreurs sur lesquelles s'apitoye Br
e chacune des'deux affections coexistâmes. Quelle que soit sa cause première , la paralysie organique des membres inférieurs
6, 1890, et 1, 1891. 152 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. premier médecin qui vit ce malade et fit le diagnostic de
u'à présent toutes les quatre semaines. Elles existaient le jour du premier examen, le 16 janvier, et c'est à cela qu'il faut
s joyeux que de coustume, tout aussi-tost qu'il fut jour il fit son premier coup d'essay, et essaya de le guérir en le toucha
scrmone : Le Roy te touche et Dieu te guairist. » André Delaurens, premier médecin du roi, De mirabili slr2cmas sanandi vi s
ollo pestena posse crescere quanz nuda virgo restringat 5. Goeurot, premier médecin de François I", conseillait de les « ba
s après le début du mal. Ces documents qui présentent un intérêt de premier ordre permettent en outre, si on les compare à
au cou. ' , L'enfant ne se rappelle pas de maladies graves dans sa première enfance. Les seuls renseignements qu'on'obtienn
mparée de ce second docu- ment ne fait que confirmer les détails du premier et montre en outre l'élat de l'affection dix an
. Armandine S... esl née a Versailles, le 1er janvier 1870. Dans sa première enfance, elle n'aeu ni fièvre éruptive,ni autre
classe et s'y est montrée très intelligente, occupant toujours les premiers rangs. Elle était gaie, joueuse, aimant beaucoup
tant sur l'extré- mité céphalique; ce second fail, très analogue au premier , n'en diffère que par la généralisation du trem
es différentes raisons qui lui firent abandonner par la suite cette première interpréta- tion. Frappé surtout par l'origine
on lui a donnée, ou plutôt elle reprend assez lentement sa position première , absolu- ment comme la peau du cadavre. Lorsqu'
sque dans les premiers jours de novembre il eut ce qu'il appelle sa première attaque de nerfs. » Un jour, vers G heures du soi
« lorsqu'elle sent qu'elle va avoir sa crise ». Au sortir de cette première attaque, Claw... remarque que sa jambe et son b
De- puis lors tous les troubles que présentait le malade lors de sa première attaque ont persisté sans se modifier le moins
arthritique. Antécédents personnels. Son affection actuelle est sa première ma- ladie ; auparavant sa santé avait toujours
isinière), vers une heure ou deux dit matin, elle fut prise pour la première fois de violentes douleurs dans la tête. Ces doul
gressivement pendant quatre ou cinq jours. Pendant la durée de ce premier accès elle n'éprouva, non plus durant les accès
ondément (il devint triste, pleurait souvent sans motif), il eut sa première attaque d'hystéro-épilepsie. Cette attaque, com
G par seconde. - · Nous avons suffisamment insisté dans le chapitre premier de ce travail sur la grande analogie qui existe
intenant décrire est resté exaclement tel qu'il était lors de notre premier examen, sans se modifier le moins du monde. Voi
s dans l'oreille droite; ces deux accès furent de courte durée : le premier de deux heures après midi jusqu'au lendemain, et
de par l'examen de la tête, qui est celui qui a toujours été mis en première ligne. Sans doute nous ne croyons plus aujourd'
lite chronique, les autres à la polioencéphalomyélite subaiguë. Les premiers , jusqu'ici les plus nombreux, comprennent les cas
an. Début par l'amyotrophie. Parfois l'atrophie musculaire est le premier phénomène en date et précède les symptômes oculai
sso-labio-laryngée entraîna la mort six mois après l'apparition des premiers accidents. N'allait-il pas en être de même chez
x, le traitement antisyphilitique fut appliqué dès l'apparition des premiers accidents et l'affection n'en poursuivit pas mo
ie musculaire progressive. Il s'appuie notamment sur ce que chez la première de ses malades il y avait une atrophie des sterno
amètre horizontal. Ces deux amas étaient nettement circonscrits. Du premier de ces deux amas partaient latéralement des fib
été suivie depuis l'origine apparente du nerf jusqu'à la hauteur du premier nerf cervical, a élé trouvée dégénérée. L'auteu
s présentéd'altération. Wernicke a publié dans son Traité les trois premiers faits de polioen- céphalite aiguë hémorrhagique
ne prit pas garde que la crudité du l'ait, ici, était une beauté de premier ordre, une inconvenance héroïque. Dans l'esquis
ion musculaire succédant à la contracture spasmodique. Dans cette première publication inspirée par M. le professeur Char-
, j'ai pu étudier deux nouveaux faits qui viennent à l'appui de mon premier travail. Dans le premier cas, il s'agit d'une d
FIG. 51. - Aspects divers de la jambe gauclie : 1° après la pose du premier appareil; 2" après la pose du second; 3° à l'ét
s mouvements en sont aussi très limités. A la face interne des deux premières phalanges, une cicatrice marque la trace de l'a
s répondent d'une façon assez inégale à l'électricité induite : le' premier et le second réagissent bien, le troisième se con
des traces perma- nentes du thermomètre, sous forme de brûlures au premier degré, à gauche (rien d'analogue ne se montre d
lent, dur, aurait autrefois, dit le malade, précédé l'apparition du premier panaris; d'abord localisé au dos de la main, il
aires. Rappelons en passant que Uhthoff paraît avoir publié une des premières observations, sinon la première, d'ophthalmoplé
dère la face externe du pavillon de l'oreille, ce qui nous frappe à première vue, c'est le nombre de saillies et de dépressi
ives; elles sont dites alors surnuméraires. Souvent des dents de la première dentition persistent avec celles de la première d
ous fournir des renseignements préliminaires sérieux, constatations premières et absolument nécessaires avant de conclure à l
sérieux. Au lieu de noter à la légère tel ou tel fait qui frappe à première vue, il faut pratiquer un examen d'ensemble qui
s. En mai 1890, le membre inférieur droit est frappé comme les deux premières fois. Une semaine plus tard, la même chose arri
tombe accidentel- lement dans une rivière. Le lendemain, elle a son premier accès de suffoca- tion, qui, d'après ce qu'elle
he est devenue difficile. Cette difficulté a augmenté peu à peu. Ce premier accès a eu lieu le 12 janvier 1884. Depuis lo
haut mal », dit la malade. Antécédents personnels. Dans les deux premières années de sa vie, elle 3M NOUVELLE ICONOGRAPHIE
e Beaune) qui avait dès le début donné ses soins au malade. Dans sa première enfance, Denis n'a eu d'autre maladie que la roug
lles se laissent difficilement écarter pour reprendre leur position première dès qu'on les abandonne (PI. XIV). Tous les mou
ande vérité et la plus scrupuleuse exactitude. On reconnais- sait à première vue les signes caractéristiques de cette terrible
en entonnoir n'a rien de commun, comme on est tenté de le croire au premier 1. Dictionnaire encyclop. d. se. médic., art. S
essions répétées sur le sternum, à produire la disjonction des deux premières pièces et à déprimer la seconde. Malgaigne rapp
dont l'état mental est lui-même rarement indemne. Relativement au premier point, nous voyons la poitrine en enton- noir ê
variété de diathèse de contracture dans laquelle les procédés de la première catégorie seraient seuls efficaces pourrait s'app
t sans cause connue que dans sa quarante et unième année il a eu sa première attaque d'épilepsie, qui a été caractérisée par u
des orteils est beaucoup plus prononcée que d'ordinaire, surtout au premier et au cinquième orteils, qui ont une teinte viola
le P... a été élevée dans un orphelinat, jusqu'à vingt ans. Dans sa première enfance, elle a toujours été chétive et malade;
-sept ans, fièvres intermit- tentes durant trois mois. A vingt ans, première menstruation. Elle se marie un an après (quatre
; la malade est gaie, d'aspect assez vigoureux et rien ne trahit au premier abord l'impotence mo- trice dont elle souffre.
otre ami M. Poulalion. État actuel (26 août 1890). Ce qui frappe, à première vue, chez ce .malade, c'est son incoordination
core deux zones analogues sur la colonne rachidienne, au niveau des premières et des dernières vertèbres dorsales. Les orga
la seconde maladie. On risquera fort de les attribuer à l'affection première qui semble seule et qui en réalité n'est que pré-
es cas, l'étude d'un syndrome morbide est simple- ment esquissée du premier coup. Bientôt, les faits se multipliant, les rè
d'alors, s'attacha à l'étude de cette question et en fit l'objet du premier travail original paru sur la matière. Le 27 nov
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Dans ses leçons cliniques du premier semestre de l'année 1889-1 890, M. le professeu
ive mais n'a jamais fait de maladie sérieuse. A quinze ans et demi, première apparition des règles qui sont depuis venues to
ce; dès qu'il abandonnait les doigts, ils reprenaient leur position première . Les poings étaient entièrement fermés, les poign
ns une maison de santé en Algérie). Antécédents personnels. Dans sa première enfance, elle a eu, vers l'âge de trois ans, un
esquelles elle fut soignée à l'hôpital Saiute-Lugénic. A douze ans, première menstruation ; depuis, règles assez irrégulière
in de 1884, elle a un second accès convulsif absolument analogue au premier . Le 27 juin 1885, la malade éprouve une violent
d'une association d'atrophie cérébrale partielle et d'hystérie. La première , la plus ancienne en date, a déterminé sinon l'ap
is le malade a eu chez lui une troisième attaque semblable aux deux premières , qui a duré deux heures. A la suite de cette alla
us récent article de la Médecine moderne ', cet auteur complète ses premières recherches. Sur sept malades qu'il a eu occasio
chaude qui lui brûla le pied gauche. Immédiatement après, il eut sa première attaque convulsive ou plutôt sa première série d'
diatement après, il eut sa première attaque convulsive ou plutôt sa première série d'attaques, car les convulsions auraient
raissent, et le huitième jour on recommence la suspension. Les deux premières séances se passent sans incident, mais après la
ombeau de Court de Gébelin, celui de la marquise de Fleury, une des premières et des plus ferventes adeptes du magné- tisme.
50 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
' '7 7 Nous donnons quelques explications sur ce tracé; les deux premières lignes verticales qui sont rappro- chées indiqu
t autre mouvement. Ainsi, il commence à crier pendant les vingt premières minutes ; ensuite, il gémit en se léchant et
te; à la main gauche elle est dans l'état antérieur; seul le muscle premier interosseux fonc- tionne mieux qu'auparavant.
lo-. (tandis qu'à droite elle est égale à 65). La flexion des trois premiers doigts est plus faible que celle des deux dernier
la main droite, mais à un faible degré. Il y a atrophie marquée du premier in- terosseux de la main gauche et un certain a
L'aphémie surtout (type Bouillaud-Dax-Broca), alalie (de Lordat), première variété d'aphasie, amnésie verbale motrice, d'a
he (centre de Exner) 2. Il y est déter- miné d'après les recherches premières de Marcé(l8o6, Société de 131ologie) et de Ole
qua- trième forme d'aphasie, au niveau de la partie moyenne de la première circonvolution temporale 10. Sauf pour le centr
r la pensée par l'écriture», centre siégeant exactement en avant du premier , au tiers postérieur de la deuxième frontale.
evor de Londres6, l'époque d'ap- parition des publications des deux premiers auteurs est la date des premières recherches su
parition des publications des deux premiers auteurs est la date des premières recherches sur les fonctions motrices du cervea
constatons au niveau de l'articulation mélatarso-phalan- gienne du premier orteil, une ulcération à forme ovalaire, large
euse : elle fut soignée alors comme anémique. A l'âge de vingt ans, première attaque convul- sive de caractère hystérique, p
ant que tous les phénomènes qui caractérisent la maladie et qui, au premier abord, paraissent si différents, sont de la mêm
spection lui dénoterait une tête dolichocéphale ? L'examen même des premières photographies, ainsi que d'une nouvelle où la t
transverse maximum oscille entre 132 et 133. Mais je prendrai le premier chiffre, d'autant plus qu'il m'est défavorable. E
'adultes, chez lesquels des atrophies, congénitales ou datant de la première enfance, sur certains lobes du cerveau et du cerv
ar de petits foyers plus ou moins exclusivement limités à l'écorce. Premier cas : un petit foyer de ramollissement ayant ex
par une série d'inler- rogatoires faits pendant les trois ou quatre premiers mois que l'on peut arriver à constater le vérit
paragraphe 3 pour que vous développiez votre amendement. (Les deux premiers para- graphes sont adoptés.) M. le Président.
e faveur. Si nous n'avons pas reculé devant la perspective de cette première impression, c'est que nous avons la conscience
rapport pour constater son état. C'est. consécutivement à ces deux premiers rapports, à ces deux premiers jugements, que le
at. C'est. consécutivement à ces deux premiers rapports, à ces deux premiers jugements, que le médecin inspecteur se prononc
loi de 1838, l'administration avait le droit, sur le certificat du premier médecin venu, d'ordinaire et souvent'le médecin
ses psychiques et causes somatiques. Parmi les 132 BIBLIOGRAPHIE. premiers , on trouve comme plus influents, les chagrins, le
nale latérale. A. FORME CENTRALE SPINALE LATÉRALE. Observation I. Premier accident le 18 octobre 1875. Descente à 32 bras
autres organes. Observation XIII. Accident provoqué le 25 mai 1886, première immersion, déjeuner avant l'éclzesemerzt, profo
lonne vertébrale, faite tous les huit jours ; c) prendre les quatre premiers jours de la semaine, deux fois par jour, avant le
t préparée; d) s'abstenir complètement de toute sorte d'excès et au premier chef des excès d'alcool; e) éviter la fatigue.
très insignifiante du sens de lieu, comme, par exemple, dans notre premier cas et surtout chez le malade d'Oppenheim, chez
BS. II, III, IV, VI, VIII, IX, X). Plus tard, comme le prouve notre premier cas, l'atrophie des muscles et les troubles mot
er était folle d'agitation; la plupart des soldats allaient pour la première fois en met'; cependant ils passaient le temps à
s cérébraux qui ont duré deux mois, sans convulsions, ni paralysie. Première dent à huit mois. Il a parie a un an, n a mar-
issure parallèle presque complète, se prolongejusque dans le lit du premier sillon occipital et envoie deux rameaux descend
ise en bas le pied de la troisième circonvo- lution frontale. La. première frontale, peu développée, envoie trois plis de pa
es traces de méningo- encéphalite, mais moins prononcée que sur les première et deuxième frontales. La frontale ascendante e
ite disséminée; un pli de passage à niveau relie le pli courbe à la première circonvolution occipitale. Le lobe occipital est
tit; la méningo-encéphalite y est peu accentuée. Lobe temporal. Les première et deuxième temporales présen- tent des lésions
rophiés, à la troisième frontale; sur les parties anté- rieures des première et deuxième frontales, l'atrophie est beaucoup
ème deux plis de passage à niveau; sur la moitié antérieure de la première et sur toute la deuxième, on constate de la ménin
ssu scléreux par pla- ques dans la même région ne sont que les deux premiers degrés de l'altération. Sur d'autres points, en
paraissait un peu plus petit. C'est aussi lors de l'apparition des premiers phéno- mènes procursifs que l'on nota la diminu
les circonvolutions antérieures ou d'une manière plus précise, la première circonvolution frontale, les deux tiers antérieur
d'étude des dégénérescences secondaires. Chaque fois que la lésion première à l'écorce cérébrale, ou au centre ovale ou àla
elle (faisceau de Turk)3. ' Fr.-Franck. Fonctions motrices, 1887. Première partie de la leçon XVIII. : Voir pour l'étude d
urs et sensitifs sont à peu près complètement décrits, surtout le premier , dans leur trajet de l'écorce cérébrale à la moel
inférieur ou du pli courbe. Pl. c. ; pli courbe. T. 1, T. 2, T. 3 ; première , deuxième et troisième cire, temporales. 0. 1,
première, deuxième et troisième cire, temporales. 0. 1, 0. 2, 0. 3; première , deuxième et troisième cire, occipitales. R. R.
hes I et IL) . rlc. 2. Coupe préfronlale gauche (Pitres). 1, 2, 3 ; première deuxième et troisième cire, frontales. 4 ; cire
ontaux du centre ovale. rlc. 3. Coupe pédiculo frontale. 1, 2, 3; première , deuxième et troisième cire frontales. 4 ; extr
e- loppement de l'accès, et cela dans les cas où l'on pourrait au premier abord supposer l'absence complète de motifs; d'au
ues généraux dont la maladie reconnaîtrait comme causes : pour le premier , la peur occasionnée par la foudre dont il aurait
gré et à son insu. 111. Lan n'a pas eu la prétention de modifier du premier jet une loi centenaire. Il est convaincu que da
ne un érythème noueux chez une femme de trente-quatre ans; les deux premières atteintes sur- vinrent brusquement sans prodrom
par des gens qui ne sont pas médecins. Présidence de M. MENDEL. Première question. ii-l-C)t y2l établir ci coup sûr qu'il
itz, acceptée par 11AI. EDEL, FALK, 1LI, la rédaction du paragraphe premier est adoptée telle qu'elle a été proposée par M.
lle est devenue aliénée quatorze jours après avoir mis au monde son premier enfant. Il y a six ans, sa soeur a été aliénée co
et doit donner à réfléchir invariablement. Mais, on peut dès les premiers jours de l'inanition rencontrer de la diacéturie
n présence de la même accusation. Le soupçon qui s'est attaché au premier médecin qui a fait le certificat et au second m
tre de l'instruction publique et des beaux-arts; Arrête : Article premier . Il est constitué un concours pour l'admissi- b
é par Régis, pour désigner un cas un peu différent. Voilà pour la première catégorie. La seconde comprend des malades dont
ençables, subissent tous les entraînements; ils sont la proie des premiers ; ils comprennent les timorés, les faibles d'esp
ndérés, ils assistent à Y emballement des der- niers à la suite des premiers , et ne prennent de déter- mination qu'à bon esc
ont subis, et ne sont que le reflet, l'écho plus ou moins fidèle du premier . La meilleure preuve à fournir en faveur de cet
l'esprit l'a poussée, malgré elle, à la recherche d'un homme, le premier venu, pour se livrer à lui. Elle ne l'a pas fait
ncés, mal- léables par excellence, et de même qu'ils ont subi une première influence qui a été funeste, ils peuvent subir
de paralysie plus ou moins complète au moment de l'invasion et aux premiers temps de la maladie, deviennent moins constants
chez le malade de l'OBSERVATION VII, le 15 mai 1884, jour de notre premier examen, y avait une abolition notable des fonct
x tiers inférieurs de la colonne vertébrale; 3° prendre, les quatre premiers jours de la semaine, un paquet de seigle ergoté
de grandes modifica- tions, étant presque aussi exaltés qu'à notre premier examen. Il en est de même pour l'épilepsie spin
S ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 377 Î A 4 heures du soir, première perte de connaissance ; à 5 heures, il revient;
troubles urinaires et rectaux. Contractures passagères. Le 25 mars première crise de douleurs fulgurantes. Le 15 mai, il a
tention d'urines et de selles suivie d'incon- tirzence. Le 10 juin, première crise de douleurs fulgurantes. - Le 3 juillet e
s. L'amélioration ayant continué ses progrès, il a pu marcher les premiers jours de janvier 1881 avec un appui. Au mois de
côté des autres organes. Observation XIX. Accidents du 5 mars 1873, première inznacn- sion, vingt-deux ci vingt-trois brasse
l'extension du processus mor- bide trois ans après l'apparition des premiers symp- tômes. Mais généralement la mort par prog
intermittentes et d'au- tres influences nocives, ayant procédé aux premières manifestations de la maladie aperçues par les m
ut réel du processus pathologique pré- cède de plusieurs années ses premières manifestations cliniques. On peut supposer que
premières manifestations cliniques. On peut supposer que ces causes premières siègent dans les conditions altérées du dévelop
parti- culièrement important de diagnostiquer la maladie dans ses premières périodes et d'examiner avec pré- cision le cara
Jackson, 1'ilrclc, Bouchard, Charcot, Flechsig ont tranché les deux premières questions. Les troubles moteurs posl-béiiiiplég
e ne sont pas aussi défavorables qu'elles le pourraient paraître au premier abord, par un simple rapprochement des chiffres
es notes sur l'état du malade, quotidiennement pendant les quatorze premiers jours qui succèdent à l'admission, puis toutes
de dire qu'on peut diviser les aliénés en deux grandes clauses : la première comprend ceux qui ont un trouble dans leurs idées
vous tous, messieurs, comme les magistrats, peuvent la constater du premier coup d'oeil. Mais il y a la « folie affective »
ui a des conséquences très graves, puisque ce traitement aura cette première conséquence de priver le malade de sa liberté i
e près le tribunal civil de la Seine et le président du tribunal de première instance, M. Aubépin. Nous les avons entendus s
lente au fond et eu elle-même. L'honorable président du tribunal de première ins- tance en particulier a employé ces express
s de Neurologie Tome XVI Pl I -' EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE Fin. I. Face externe de ? CMt/tet'eaMee. F. 1,
inférieur ou du pli courbe. PI. c. ; pli courbe T. 1, T. 2, T. 3 ; première , deuxième et troisième cire, temporales. 0. 1,
première, deuxième et troisième cire, temporales. 0. 1, 0. 2, 0. 3; première , deuxième et troisième cire, occipitales. R. R.
: ) I et II.) Fiv. 2. Coupe préfrontale gauche (Pitres). 1, 2, 3 ; première deuxième et troisième cire, frontales. 4 ; cire
ontaux du centre ovale. Fis. 3. Coupe pédiculo frontale. 1, 2, 3; première , deuxième et troisième cire, frontales. 4 ; ext
51 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r il y a des paraplégies par mal de Pott qui sont spasmodiques du premier au dernier jour, et cela durant des années. Il
gie spasmo- dique sans troubles de la sensibilité, nous sommes au premier degré de la classification de M. Van Gehuchten.
ou moins soudées entre elles sont très amincies et s'effondrent au premier coup de marteau. Le canal rachidien apparaît al
lle. Après cinq ans de ma- ladie on notait la proéminence des trois premières vertèbres thoraciques, l'atrophie des jambes av
ne influence très curative sur quelques manifestations du tabes, en première ligne sur les douleurs fulgurantes, sur les tro
n retour à Charcot. Ce dernier chargea M. Gilles de la Tourette des premiers essais, et le 19 janvier 1889, le grand neurolo
depuis quatre ans, la pendaison, qu'elle faisait pendant les huit premiers mois trois fois par semaine et trois secondes c
commençons la suspension toujours par l'angle de 30°. La durée des premières séances est de dix minutes. Après, nous varions
ession unilatérale de la moelle par une gomme siégeant au niveau du premier nerf lombaire. G. DENI'. III. Les maladies ne
à l'embolie. Ce foyer doit aller du cinquième segment cervical au premier segment dorsal inclusivement, étant donné les mus
ements sont souillés prennent un bain et changent d'habits ; 8° aux premiers symptômes de l'empoi- sonnement on mettra, avan
ésulte de l'atteinte des segments cervicaux 5 à 8, et, peut-être du premier segment dorsal; l'altération des réflexes patel
lysie du péronier, la faiblesse sphinctérienne, indiquent celle des premier à qua- trième segments lombaires gauches, du ci
trième segments lombaires gauches, du cinquième lombaire avec les premier et deuxième sacrés droits (paralysie du péronier)
oro-cutané n'est pas périphérique, elle se rattache à la lésion des premier à troisième segments lombaires du côté gauche m
VEUSE. 69 antisyphilitique a donné des résultats divers. Dans les 8 premières , une amélioration s'est fait sentir. Dans les o
Une. telle question qui se rattache à la vie et ù la liberté est de première importance. Il faut faire examiner l'état mental
té mentale de leurs voisins d'Albion. Et voici l'évidence, prise de première main, du cinquante-cinquième rapport des « Comm
ements traumatiques. Leur diagnostic s'imposait, pour ainsi dire, à première vue. Les six autres se présentèrent avec des al
visuel rétréci concentriquement des deux côtés. Le 12 mars 1900, première séance de faradisation durant dix minutes. Pas
la deuxième paire radiculaire dorsale avec maximum à la hauteur des premières paires lom- baires... Dans le sens antéro-posté
ère : au sommet de la tête, à l'épaule et aux deux talons. Les deux premiers points de repère sont marqués au moyen d'un..mo
e influence très salutaire sur quelques manifestations du tabes, en première ligne sur les douleurs fulgurantes, sur les tro
tres années; de la pendaison deux fois par semaine pendant les deux premières années, de trois, quatre et cinq minutes, et un
ment par l'amélioration des troubles moteurs des tabétiques. Des 14 premières observations publiées dans la leçon de Charcot,
debout les yeux fermés une et deux minutes. Chez le malade de la première observation citée plus haut, le signe de Romberg
irant ce travail était de trouver un signe aidant à la diagnose des premières périodes de la paralysie générale. L'auteur pro
t supérieure de la cuisse déterminait, d'abord la flexion des trois premiers orteils vers la plante du pied, puis la flexion
servations offrent cette particularité que la flexion plantaire des premiers orteils est le phénomène le plus constant en l'
ais le réflexe fémoral sous la forme de flexion plantaire des trois premiers orteils subsiste, tandis que ses autres modalit
nié psichiatrii. V. 1900) : Expérience sur les chiens. A. - Les 4 premières montrent nettement que l'excitation élec- triqu
et ayant contracté la syphilis 38 ans auparavant. Pendant les trois premiers mois de la maladie, état de lourdeur et de raid
la sensibilité accompagnant les troubles moteurs. A la fin de la première année, amélioration passagère sous l'influence d'
subi la forcipressure de l'aorte, il y a eu, dès les deux ou trois premières minutes, paralysie complète des extrémités postér
totale ou paltielle de la moitié droite de la moelle, au niveau des premier , second, troisième seg- ments cervicaux, douziè
Marchand, d'autre part par M. IIarten- berg. Les expériences des premiers auteurs, dans lesquelles ils ont étudié à la fo
l'influence elle-même, nous signalions déjà, on l'a vu, dans notre premier . travail, que l'intensité de l'obsession variai
n apparition. Autant que ma mémoire est exacte, elle remonte à ma première année d'internat du lycée (année scolaire 81-8b).
s cardiaques. Je ne crois pas que ces palpitations aient pour cause première l'éreuthophobie. Elles existeraient sans elle.
là un paralytique chez lequel la réaction complètement nulle à la première période a reparu affaiblie à la seconde et une au
ayer à partir du len- demain. Retour d'Afrique à neuf ans. A douze, première commu- nion de Louis qui, le dimanche après, s'
taire, attiré par les aboiements d'un chien. Quelques jours après, première crise d'hystérie avec perte de connaissance ; les
- C'est mercredi + Je ne sais pas où je suis + Je me souviens de ma première communion, on m'a tiré les oreilles, on m'a fra
Louis, qui est ectopique testiculaire gauche, se plaignit pour la première fois d'une zone d'hyperesthésie au niveau de son
don- ner un entraînement manuel plutôt que des leçons pendant ses premières années et jusqu'à son adolescence; 3° lui interdi
ri- tuelle, qui dansait agréablement en costume d'homme. Dans les premiers temps il usa d'elle comme d'un batscha, mais peu
l'aspect et la mentalité d'une enfant de sept ans. Le sujet a eu sa première dent à deux ans, a marché à trois ans et, jusqu
du simple au composé ; et après avoir décrit l'irritabilité, cette première réaction de la vie végétale et animale, cette p
ilité, cette première réaction de la vie végétale et animale, cette première manifestation de toute activité vitale, il en m
attachée à l'expression émotive n'est qu'une conséquence de cet le première hypothèse. Mais, pour justifier la théorie, il
ons faibles; chez d'autres, il n'apparait que longtemps après les premières obsessions; dans tous les cas, il n'est jamais qu
e douter si ma maladie était physique ou psychique. C'est pour la première fois que je note d'une façon si suivie la marche
diarrhée. -Troubles cardiaques : bruit de souffle assez prononcé au premier temps, à la base ; l'enfant se plaint du reste
ent le placer dans le même établissement que lui. Nous souvenant du premier mensonge, nous nous tenons sur nos gardes; comm
urs jours. Il boude même sa grand'mère à sa 294 RECUEIL DE FAITS. première visite. En même temps s'était produit un embarras
à la psychopathologie pour les mettre à même de relever, dès leurs premières manifestations, les symp- tômes qui font presse
négatifs, mais ils ne prouvent rien, dit M. Lannois, contre l'idée première : que l'intoxication du sujet, dans les maladie
les frais d'une légère inflammation, autrement dit d'une brûlure du premier degré. En revanche, Kozlawsky a obtenu de bons
uble disparait quand on fait répéter la phrase vicieuse. - Les deux premières espèces s'observent chez des enfants de quatre
HOLOGIQUES. - L'abolition des réflexes pupillaires est il placer en première ligne - au point de vue de la fréquence et de l
t aussi pour le personnel de surveillance pendant les deux ou trois premiers jours de suppression. - M. TI ! IVET voudrait
ses mains une administration plus complexe qu'elle ne le parait au premier abord et dirige, avec tant d'autorité, les 326
s à base d'interprétations ; beaucoup font illusion et paraissent à première vue moins « délirants » que les persécutés ordi
uffre quelques exceptions, ainsi que je l'ai fait observer dans mes premières communications sur ce sujet. Vitiligo et Tubes.
n présente, à l'appui de ces observations, une malade qui, lors des premières séances d'hypnotisation, présentait les phé- no
té tactile est peu modifiée. Pas de douleurs. Atrophie manifeste du premier espace interosseux et de l'éminence thénar SOCI
ue des psychoses pures. Ce caractère négatif présente un intérêt de premier ordre pour le diagnostic entre les psychoses pu
s cessèrent et, au bout de trois semaines, les périodes firent leur première apparition, pour revenir depuis d'une façon régul
visager toute la gravité de ses accidents con- vulsifs. Lors de son premier séjour à l'hôpital (donc peu de temps après), l
es périphériques en trois ans, mais complètement différentes : la première , du côté droit, légère, en septembre 1898; la sec
auche, et survenu aussi subitement, et sans troubles cérébraux. A première vue, la nouvelle paralysie était exactement la mê
installée. Le plus souvent les symptômes otiques appa- raissent du premier au troisième jour, parfois le sixième et le sep-
ng du long supinateur inerte, on perçoit la contraction évidente du premier radial externe. Il n'est 378 REVUE DE PATHOLOGI
ophie typique du cerveau et principalement à gauche, et surtout des première et seconde tem- porale gauches (figures). A l'a
ans le deuxième groupe par un trouble général de la nutrition. Au premier groupe se rattachent les nanismes rachitique et
us dystrophique et toxique dans les manifestations pathologiques du premier groupe, permettent de reconnaître un lien de pa
ncontestablement à l'hystérie : aussi la sug- gestion vient-elle en première ligne comme traitement E. B. XCV. Contribution
persécution. En même temps, engourdissement des membres. Lors du premier examen de la malade on trouve des réflexes lents,
idor voisin pendant que M. Wiglesworth s'occupait de la blessée. Au premier abord, la tête semblait avoir été à moitié sépa
tique sans attaques caractéristiques. On n'a pas à s'occuper ici du premier groupe. Le second est plus intéressant : les tr
ne désespère pas d'entraîner l'unanimité. Il rappelle que dans son premier travail il soutenait - qu'un aliéné ne doit pas
brusquement des symp- tômes de déficit (surdité verbale). Les deux premiers accès furent caractérisés par une surdité corti
lombaires ont été pratiquées il quelques semaines d'intervalle, la première a permis de diagnostiquer la seconde de ces affec
est difficile. Il reste en suspens pour le SOCIÉTÉS SAVANTES. 421 premier malade. Le second, dont les mouvements sont plus
limitée à un segment polygonal, quadrangulaire, du champ visuel. Premier exemple CLINIQUE. - Cela dit, je vais vous présen
égie; il a succombé à la dernière. Elle a été mariée deux fois, son premier mari lui a communiqué la syphilis, elle avait a
'épiphéno- mène de la syphilis cérébrale. Or, tandis que les deux premières catégories de manifes- tations - accidents épil
s-corticales, nous sommes donc en droit de conclure que, chez cette première malade, l'hémi- anopsie doit être mise sur le c
e je viens de vous en'dire, et je conclus à l'existence, chez notre première malade, de lésions diffuses, corticales ou sous
pondérante au niveau du lobe occipital. Nous avons fait, chez cette première malade, un essai de traitement iodo-mercuriel;
' la malade n'aille en progressant. Deuxième exemple clinique. Ce premier cas est à mettre SUR trois cas d'hémianopsie. 4
tembre dernier, elle a eu une troisième attaque, semblable aux deux premières , mais qui n'a pas duré moins de trois jours con
mp visuel des deux yeux, à l'instar de ce qui avait lieu chez notre première malade. J'ai dit que c'était là un nouvel argum
visuelles venues de la péri- phérie. Au contraire, les fibres du premier groupe, celles qui vont aboutir aux amas gris c
homonyme bilaté- rale ; vous en avez eu des exemples chez nos deux premiers malades. Il en sera encore ainsi, chez le trois
'aphémie, on peut mettre en évidence une légère surdité verbale. Au premier abord, il semble que le malade comprenne tout c
u lobe temporal gauche; principalement de la partie postérieure des première et deuxième circonvo- lutions temporales de ce
- sion de l'apport sanguin dans la zone rolandique, dans les deux premières circonvolutions temporales, dans le pli courbe,
le ascendantes, la troisième frontale tout entière, puis les deux premières temporales, le pli courbe, la partie antérieure d
s diffuses, comme c'était le cas chez les deux malades présentés en premier Archives, 2' série, t. XIII. 30 466 CLINIQUE
constances, une importance indiscutée. C'est ainsi que dans notre première observation par exem- ple, le mari infecté au r
ne semble le résultat d'une simple coïncidence. Si dans les deux premiers cas, où la syphilis conjugale paraît enjeu, le
fortement rétrécie et ne revient que fort lentement à sa dilatation première . La fer- meture des paupières maintenues par l'
diminue peu à la fermeture de l'oeil et recouvre vite sa dilatation première . La pupille gauche, insensible, diminue' très for
des reçoivent une nourriture suffisante (257 grammes de viande de première qualité tous les jours gras), à ce qu'ils soient
e en revue. Les troubles de l'at- tention frappent l'observateur au premier examen ; ils sont cons- BIBLIOGRAPHIE. ë2'l t
'a traité d'une façon fort intéressante. 11 passe en revue dans son premier chapitre les causes historiques qui expliquent
recherches ont fourni des résultats souvent surprenants. Les mille premiers cas se répartissent ainsi : · 530 VARIA. tr
depuis plusieurs années, d'inscrire, pour chaque malade, après le premier examen, le diagnostic et le pronostic, afin que l
52 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vation est classique sur plusieurs points; aussi, semble-t-il, au premier abord, qu'elle ne mérite pas que j'en fasse l'obj
ouvé de syphilis; cette constatation est importante. J'ai été des premiers , comme vous pouvez en juger par la citation sui
re ses yeux et ses pieds ; il a parfaitement con- servé sa position première . Je lui ai commandé d'avancer, et la marche a e
la maladie et des principales formes qu'elle peut revêtir. Les deux premiers se rapportent à des tics localisés; le troisièm
main par sa face dorsale, répondant au pre- mier métacarpien et au premier espace interosseux, frappe succes- sivement la
de la main droite, l'instrument contondant, qui offre, au niveau du premier métacarpien, une coloration rouge foncée. Le ca
st émotionnée, on compte dans une minute six à sept mouvements du premier type et deux à trois du second. Il en est de même
ontraction accomplie, le membre, aussitôt, est ramené à sa position première , en vertu de la détente mus- culaire par les se
concilie guère avec la théorie d'un organe ramené à sa posi- tion première , en vertu de la détente musculaire, mais, en ou
dans les diverses positions prises par la malade, à l'exclusion des premiers dont la seule particularité est d'être localisés.
. De ces caractères, celui qui sans contredit offre un intérêt de premier ordre, c'est l'uniformité, la cadence avec laquel
plus sou- vent, elle s'éternise, si on peut dire, et ne reprend ce premier caractère que lorsqu'elle touche à sa fin, ou b
une et l'autre affection les émotions psychiques ne tiennent pas le premier rang dans les commémoratifs des malades ? Que si
rénérallté des faits; c'est elle qui est représentée dans les trois premières observations; si pour cette autre malade les mo
351. DE LA MALADIE DES TICS. 39 compris, ce signe a une valeur de premier ordre, et sa présence chez la malade confirme l
r le mécanisme avec lequel l'attaque a été constituée dans les deux premiers cas, et nous en avons tiré parti pour le diagno
mélioration et la disparition de quelques- - uns d'eux (observation première ), leur caractère transitoire et intermittent (o
ig- mates hystériques présents dans tous les cas : la paraplégie ( premier cas), la paralysie crurale avec démarche de Todd,
ttaque et dans les intervalles. Ils comprennent les pares- thésies ( premier cas), la parésie, le tremblement du bras, la cé
rsonnels Bo... n'a jamais eu de maladies dignes de remarque dans sa première jeunesse. Dès l'âge de six ans, il com- mença l
tant très utile de discuter sur quels signes elle était basée. En première ligne, il manquait une étiologie satisfaisante
expli- quer pourquoi la paralysie prit la forme hémiplégique. En premier lieu, nous devons rappeler que, à l'occasion du t
ix-huit mois que B... avait dû passer à l'hôpital à la suite de son premier traumatisme, il est presque certain que les mé-
attitude du malade, l'on pourrait se croire autorisé à l'établir au premier coup d'oeil. Arrivés à la fin de notre travail,
myosis pendant toute la durée de l'injection. L'animal est calme. Premier arrêt de quelques minutes dans l'injection à 180
François d'Assise, sainte Thérèse, dont les sanctuaires viennent au premier rang parmi ceux où se produisent des miracles,
a hanche se remplit et disparait; elle essaye si elle pourra dès ce premier jour se servir de ces membres nouvelle- ment ra
Il faut, tout en cherchant toujours, savoir attendre. Je suis le premier à reconnaitre qu'aujourd'hui : The1'e a¡'e more t
uvons considérer trois temps dans l'application de cette méthode. Premier temps. Le malade est couché sur un plan ho - zo
re alors brusquement et avec force la tête du malade en arrière. Ce premier mouve- ment exécuté, l'opérateur laisse un inst
Au cours de ces accès elle fit deux tentatives de suicide. A cette première période de l'affection en a succédé une seconde,
a- tion du malade. Il y eut en tout cinq attaques de sommeil : la première dura quatre jours ; douze jours après survint une
condaire au point de vue du degré de toxicité de l'urine, l'élément premier dépendant de l'intensité de la maladie : chez t
ntôt supérieur en volume au noyau interne. Plus haut, au-dessus des premiers trousseaux de la racine interne du pédoncule cé
fibres de la racine ascendante prennent t probablement leur origine première dans les parties les plus inférieures de la moe
rescence de celle-ci à la suite de l'ablation expérimentale de la première ). M. Zagari a voulu contrôler cette assertion à l
sont interprétés d'une façon spéciale. 122 SOCIÉTÉS SAVANTES. Au premier abord, on croit avoir affaire à des idées de pers
niers (réaction dégénérative). L'examen anato- mique des muscles du premier malade a permis de découvrir, en outre, des alt
epsie, et traités par la méthode chirurgicale de 31. Burckhardt. La première observation a trait à un homme de dix-neuf ans, q
oduit ultérieurement qu'un prolapsus cérébral passager; réunion par première intention sans fièvre Guérison complète et défini
s gauches du champ visuel. Rien à l'ophtalmoscope. L'amaurose des premiers temps tenait évidemment à une hé- miopie bilaté
es du bout central et des cellules dont ils proviennent. Expérience première : le nerf facial d'un cobaye adulte est arraché
importance revient aux antécédents héréditaires (56 p. 100) et aux premières couches (45 p. 100). Quant aux causes détermina
e du côté lésé a lieu : 1° dans les fibres arquées d'association du premier ou du deuxième ordre; 2° dans un système de fib
rté avec les cas que M. Huchard a proposé de nommer du nom de leurs premiers observateurs, maladie d'Adams- Stokes. AI11.
). L'exécution des planches est en tous points remarquable, et ce premier fascicule permet de préjuger de ce que sera la pu
dix malades de chaque sexe avant leur admission proprement dite. Au premier , habitation du directeur et des soeurs auxquell
t ,est; réservé,' pour le rez-de-chaussée, à. des ateliers, pour le premier étage à deux appartements de médecins. Tout près
aires, soit 320 indigents et 100 pensionnaires (20 pensionnaires de première classe, 80 de seconde classe)..... . . 5" Le
bserve parfois chez les hysté- riques sont autant de traits qui, au premier abord, pour- raient en imposer et faire croire
res, sortes de terreurs nocturnes qui s'emparaient de lui pendantle premier sommeil, le faisaient sortir du lit, se précipite
et fesse), cette atrophie est très prononcée. Contraste choquant au premier coup d'oeil avec le membre du côté droit. DU
ou qu'on place au-dessous du menton un écran ; tandis que dans le premier cas, elle s'effondre, dans le second, elle contin
uscu- laire parfaitement normale. Léonie est née à terme. Dans sa première enfance, elle était superbe. A l'âge de dix-hui
ent, envahissant ensuite des départements musculaires, qui lors des premiers examens avaient paru presque indemnes. A la f
t dans leur intérieur des corps chromatiques, qu'on prendrait, au premier abord pour des noyaux, mais qui rappellent aussi
ence sur le nerf radial, donnaient à celui-ci une apparence qu'au premier abord on aurait pu prendre pour pathologique. C
elle n'est plus soutenable; du reste M. Metchnikoff revient sur ses premières assertions dans un travail récemment publié dan
culaire, désordre transmis par hérédité : en cela réside la cause première de l'altération. Son apparition dans l'enfance
habituel sur le sien. Sueurs faciles, souffle ronflant, vibrant au premier temps, pâleur très accusée des muqueuses buccal
e d'un côté. Depuis, il n'a pas eu d'autres accidents convulsifs. - Première dent à cinq mois. Den- 7 ? 2 î. idiotie congé
nstruction : « Il faudrait désormais moins de cérémonies de pose de premières pierres, mais plus d'emploi courant de la briqu
yphilis sur l'évolution et les accidents cliniques, l'apparition du premier ictus à l'âge de trente ans, l'intégrité du coe
convulsions cloniques et toniques; 3° la localisation centrale des premières ; 4° la disparition de ces convulsions, dès la pha
ième et au quatrième stade de déve- loppement, tandis que celles du premier et du deuxième stade demeurent intactes. Le cor
troisième stades de développement; intégrité de celles relevant du premier stade; dégénérescence moyenne du segment postér
n- tracture psychique serait moins marquée et plus modifiable. La première ne disparaît pas pendant le sommeil, tandis que l
la Société médicale de Londres; elles sont au nombre de trois. La première est consacrée à la pathologie de la syphilis ; l'
, dit le Médical Record du 28 mai 1892 (p. 610), que le D1' GARDES, premier aide à l'institut pathologique de l'université
te vérité sera encore confirmée cette année, puisque dans les douze premiers jours de janvier il n'y a pas moins de sept méd
opa- thique. Antécédents personnels. - Sa maladie actuelle est sa première maladie. Il avait toujours eu une santé parfait
r les cas où elle est à peine dessinée. Cette scoliose se montre au premier coup d'oeil est accompagnée des autres dé- ' Dé
qui ne sont que l'exa- gération de l'instabilité psycho-motrice. En première ligne, se ren- contrent les obsessions conscien
té, action sur toute l'écorce cérébrale d'une poliencéphalite de la première enfance. Question presque insoluble dans le cas a
érédité inconnue; début il y a cinq ans, à l'âge de trente-six ans; première période inconnue; délire de persécution systéma
aire dans chaque cas. Comme on le voit, l'auteur en est resté aux premières idées de M. Gérente et ne s'est pas assimilé pa
plus vagues, mais analogues, et participant probable- ment des deux premières variétés. A ces trois groupes, il faut ajouter
e M. RICH.1RZ, fonder la Société psychiatrique en question. A cette première séance assistaient MM. Besser, Brosuis. Dichl,
blissement. Ce fut seulement le 16 novembre 1879 que M. Ball fit sa première leçon ', c'est-à-dire plus de deux ans et demi
sidérait comme plus scientifique de ne pas donner, au moins dans ce premier volume, une définition générale de la maladie.
ant autour d'un phénomène « dominateur , c'est-à-dire en mettant au premier rang un caractère déclaré par hypothèse le plus
ces périodes de seconde exis- tence dont M. Azam a montré l'un des premiers et des plus curieux exemples et qui ont été dep
ité. Cet état est provoqué de diverses manières : quelquefois, la première personnalité, le premier groupement des phénomène
lles. Cette seconde pensée existant au-dessous et en dehors de la première n'est pas pour nous un phénomène nouveau. Il est
tait alors très peu comprise. « L'état incomplet de la personnalité première , dit-il, cons- litue les tares hystériques, il
isant une personne bien portante, en général on obtiendra l'une des premières phases du petit hypno- tisme de Nancy. Il est p
onscient pendant la vie, totalement oublié au réveil. Si le rêve, à première vue, diffère des opérations de l'esprit à l'état
'arthrite ou le phlegmon, mais, dans tous les cas, la névrite à son premier stade de développement. En faveur de cette théo
essément un petit groupe, celui de la folie systématique primitive ( premier Ver1'ucktheit), Au contraire, MEYNERT et ses él
t bien, pour être compris d'un plus grand cercle de lecteurs. Cette première partie a été l'objet d'éloges unanimes et mérit
la neuropathologie russe et fondateur de cette société .savante. Ce premier fascicule est rempli de travaux originaux très
vieil argent. Continuant sa promenade, elle se rendit à un rayon du premier étage, à peu près désert à cette heure-là, et s'e
53 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de matité précordiale, un assourdissement et une prolongation du premier bruit. Les artères sont nettement athéromaleuse
misphère droit est recouvert d'un épanchement hémorrhagique, qui, à première vue, parait infiltré dans la méninge molle et don
rtains cas. M. Voisin ajoute que cette excitation s'accentue à la première période et l'attribue à l'hypércsthëaie, l'excita
ésie. De tous les états d'excitation, nous apprend M. Sollier, la première période de la paralysie générale est celui où l'é
des excès sexuels coïncident quelquefois avec le développement des premiers germes de la maladie et quand ils semblent être
ardée, et l'impuissance totale; 2° aux seules périodes prodromique, première et deuxième : l'affaiblissement, l'impuissance
d du lobule de l'insula qui, lui, a'trois digitations dont les deux premières sont bifurquée's. Face interne. Aucun îlot sclé
erse de celui de la famille syphilitique, c'est-à-dire que, dans la première , ce sont les premiers enfants qui sont normaux, p
au delà de la première enfance, puis d'autres qui meurent dans la première enfance, puis des mort-nés, et enfin il n'y a plu
bserve par exemple lorsque la mort des premiers-nés dans leur toute première enfance estle résultat d'une conception qui s'e
rveiller, en les intéressant par les leçons de choses. Telle est la première partie. La seconde partie, toute à la clinique,
dats suivants, tous reconnus admissibles par le jury, savoir : En première ligne, ex-sequo : MM. Manheimer et Truelle (84 po
n de Lille, brillant aussi, s'est terminé par la nomination de : en première ligne, M. Raviart ; en deuxième ligne, M. Brune
her et qu'ils ont perdu le dernier vestige de leur énergie dès le premier effort, infructueux et désespéré de se remettre
9 initiaux (main et bras gauches) furent aisément déterminés. Une première couronne de trépan est appliquée à un demi-centi-
sont restés stériles. La plaie est refermée, la réunion se fait par première intension. Dès le premier jour le nombre des ac
maladie et les lésions trouvées à l'autopsie rapprochent ce fait du premier cas de Cullins cité plus haut. Est-ce à dire
cines créée par la méningo-myélite syphilitique. Il semble bien, au premier abord, que nos malades sont des exemples de cet
uerelles de ménage, coups. Vomissements abondants pendant les trois premiers mois. - Première dent à dix mois; ci cette époq
e, coups. Vomissements abondants pendant les trois premiers mois. - Première dent à dix mois; ci cette époque, convulsions.
nce. FOLIE DE L'ADOLESCENCE. 113 affaiblissement de la mémoire. - Premiers troubles intellectuels, hallucinations visuelle
ITS. cet évanouissement. Vomissements fréquents pendant les trois premiers mois ; elle n'a pas eu d'attaques d'hystérie dura
particulier. - La mère l'a élevée au sein pendant quatorze mois. Première dent à dix mois, on ignore à quelle époque la den
ontinence nocturne d'urine. Elle aurait eu des convulsions après sa première dent, trois dans la même journée. localisées à
i nous apparaît sous la forme scrofuleuse dont le goitre est un des premiers symp- tômes et la dégradation intellectuelle un
a périphérie sans s'y étendre ; cette disposition continue jusqu'au premier segment sacré ; mais le cornu commissural attei
autrement que les fibrilles nues, cela provient de la structure des premières et de la çoparticipation d'éléments névroglique
ides en traitement en septembre 1897. 142 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. premiers temps; une fois que le régime est commencé, il n'
. XX, p. 290.) L'auteur donne ce nom aux mouvements inconscients du premier âge, auxquels il attribue une origine ancestral
pendantes du cerveau et de l'oeil; elles se sont produites dans les premières semaines du développement foetal à l'époque du st
E PATHOLOGIE NERVEUSE. 157 droite, ramollissement cortical des deux premières frontales. s'étendant dans la couche blanche à
urée depuis dix ans à un degré modéré de développement, bien queles premiers éléments en soient apparus de très bonne heure
Je n'ai trouvé au contraire dans la littérature aucune mention du premier symptôme. J'ai recherché ces deux phénomènes ch
ux (sphère visuelle). Mes expériences ne portent que sur les deux premiers centres. Leurs résultats peuvent être résumés e
heures : 1° Nomina- tion du bureau ; 2° Discours du président ; 3° Première question, Pathologie mentale. Psychoses de la p
ergues (Vaucluse), en remplacement du Dr Lent; M. le Dr IAVIAI1T, premier du concours de Lille, nommé médecin-adjoint à l'a
Dury (Somme), en remplacement du Dr BUBEG, décédé; M. le Dr BicuE, premier du concours de Montpellier, nommé médecin-adjoi
extraordinaires; 40 privat-docenten ; 998 étudiants 1.) . Une -des premières en Allemagne, l'Université bavaroise de Wùrzbou
autres pavillons, symé- triquement disposés à droite et à gauche du premier , comprennent chacun trente malades de chaque se
r plus à-y y revenir, de l'affectation des locaux du sous-sol et du premier étage. Le sous-sol des trois pavillons composan
à la buanderie, à la cuisine, aux magasins, etc.. ; ? - . Pas de premier étage, sinon au-dessus de la partie antérieure de
nce (2° et 3° pavillons) sont des bâtiments à rez-de-chaussée. Au premier étage du pavillon central se trouvent de vastes
oratoires de chimie, de physiologie. Les pavillons latéraux ont, au premier étage, les logements des médecins et quelques cha
mmuniquant avec une salle de bains, enfin un autre vestibule. Cette première section destinée aux malades paisibles comprend
atifs, la policlinique (consultation externe), la bibliothèque ; au premier étage : les laboratoires de chimie, d'histologi
le musée, la salle d'autopsie, la salle des cours. Les logements du premier et du deuxième assistants, chargés l'un de la d
l'autre de celle des femmes, sont situés au rez-de-chaussée et au premier étage et disposés de façon à permettre aux assist
ons pathologiques et les paralysies, à poser les lois suivantes : Première loi. Chaque variété de secousses et de para- ly
vue de l'évolution, en six groupes : .' 1° Morts dans le cours du premier accès, 3 cas ; 2° Démences pré- coces, 33 cas.
coces, 33 cas. La démence précoce s'est produite chez 18, dès le premier accès ; chez 9, dès le second ; chez 2 à la suite
perdus de vue après le premier accès, 30 cas. L'aspect clinique du premier cas observé permet de les confondre, au point d
Elle peut donner lieu à des troubles morbides de trois degrés. Au premier degré, c'est une simple exagération du phénomène
me que dans le tabes, la lracture sponta- née a pu se montrer comme premier symptôme à la période pré- tabétique, de même e
étique, de même elle peut exister à la période préparalytique comme première et unique manifestation de la paralysie générale.
motilité volontaire. Dès maintenant, nous serions en possession des premiers matériaux à l'aide desquels nous espérons recon
la dégénérescence, congé- nitale ou acquise, un rôle étiologique de premier ordre. Dans le développement des maladies menta
ne. En effet, il peut y avoir des abus avec le régime au lit. -Le premier que je voudrais signaler c'est que ce système pré
it; d'un autre côté la diminution d'usage des cellules est un des premiers bienfaits de ce régime. 3. La régularisation ex
teur, qui n'eu), pas de suite. Le 3 février 1897, il avait fait une première entrée à l'hôpital Desgenettes, où il avait été s
exophtalmique, comme on le croyait autrefois, mais un rôle de tout premier ordre. L'infection se localise pendant la pério
dirai rien; je me bornerai à faire certaines remarques à propos du premier . J'ai en ell'et soutenu moi-même une théorie se
er de meilleurs termes de comparaison pour établir le mécanisme des premiers que de m'adresser aux derniers, d'au- tant plus
mieux compte encore du méca- nisme de la mémoire au moins dans ses premières phases. De même pour l'analogie entre l'élément
les déformations). Jugeant par ce que nous savons de l'histoire des premiers habitants du Mexique, qui pratiquaient une défo
ent dans le traitement de la folie ou clictolhércclfie. L'auteur du premier rapport, M. le professeur Korsakow est mort peu a
Le malade sera mis au lit dès son arrivée, ou plutôt après le bain, première application thérapeutique. Comme il est indispen-
ions, après la destruction ou l'affai- blissement de la fonction du premier , se déchaînent au moins pour quelque temps libr
c.) Nous devons mentionner une variété particulière d'aphasie de ce premier 330 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. groupe
t vrai surtout pour la mélancolie qui survient de cinquante ans aux premières années de la soixantaine : dans cette période,
l'art de natter les crinières, travail qui n'est pas à la portée du premier venu. Ce n'était pas seulement Montjarret, mais
fé- rents bancs, jusqu'à ce qu'il arrive à mettre son pied sur la première marche de la plate-forme (fig. 7), qui lui servir
iale et conformément aux indications formulées par Griesinger (la première est celle de Ileidelberj). C'est le professeur Fl
al : les sujets affaiblis au rez-de-chaussée ; les pensionnaires de première classe au 1er étage, ceux de deuxième classe au
al : le premier groupe (agités), au rez-de-chaussée, le second au premier étage. La population des différents quartiers v
lle spécialement affectée aux repas, sauf pour les pensionnaires de première classe (dames). La surface et la capacité des l
t de pierre. Le chiffre normal de la population est de'1 aliénés de première classe, 6 de deuxième classe, 73 de troisième c
-closets et les bureaux de l'économe. Un escalier double conduit au premier étage. Premier étage (hauteur 4 m. 50). Les loc
ureaux de l'économe. Un escalier double conduit au premier étage. Premier étage (hauteur 4 m. 50). Les locaux sont distribu
de laboratoires et de musée; par la bibliothèque et le logement du premier assistant. A l'étage supérieur, mansardes et lo
iers. C. Les villas possèdent un sous-sol, un rez-de-chaussée, un premier étage et un grenier. Ce sont les seuls pavillons
à l'aide de vitres placées à la partie supérieure des portes. Au premier étage (4 m. 05 c. de hauteur), même disposition d
bâtiment postérieur (i m. 50 c. de hauteur) renferme la cuisine. Au premier étage des deux bâtiments : logements du personn
s en trois catégories, suivant le taux de la journée d'entretien. Première classe : 1° Par jour : 37j gr. de pain ; 50 gr. d
avec salade, fruits, etc. Les médecins ont le menu des malades de première classe, mais en outre ils font un second déjeun
motrice (hallucinations combinées). Tous les phénomènes de cette première catégorie peuvent être considérés comme de véri
nstant suffisant pour provoquer une contraction complète. Les six premières expériences démontrent que avec la cathode galv
essivement établi puis supprimé confirment les résultats des quatre premières . Les six expériences suivantes destinées à cont
ort instantanée s'est produite sans,cris et sans.- plaintes. Dès le premier moment la respiration est arrêtée, et les batteme
as que j'ai observé la réaction de Jolly qui manquait dans les huit premiers jours n'a pas tardé à apparaître et la maladie
e, de deux à douze minutes suivant la tolérance de la peau. Cette première partie du traitement a un' double but et un dou
de basée sur la myélinisalion, quelque brillants qu'apparaissent au premier abord ses résultats, est bien loin d'être suffi
ick, également d'origine orga- nique. Il s'agissait d'une lésion du premier lobe temporal gauche, dans le gyrus supramargin
mposant ci. l'esprit d'une façon paroxystique, et sous l'incitation première et essentielle de l'émotivité, une idée, un mot
ela même qu'il doit se résoudre en une fonction complexe ayant pour première condition de rapprocher, d'unir étroitement deu
dans celle cond tion à la fois nécessaire el suffi- sante. B. Au premier abord, rien ne semble plus en contradiction que
rendre toute la portée et l'intérêt. r Relevons encore dans cette première partie les statistiques rela- tives à J'état du
rier ou se laissent gronder, mais une fois qu'ils ont surmonté leur première répugnance, animés par l'exemple des autres et
Paris, m'a offert le secours de son expérience, et, témoin de nos premiers essais, il a conçu un projet d'éducation musicale
ois types les cas de paralysie générale qui peuvent'se présenter. Premier type. 7'a&eMe.'réflexes rotuliens manquent ;
ce pour atteindre ce but. Le département de la Seine, toujours au premier rang lorsqu'il s'agit d'oeuvres d'assistance et
e 1889 nous avions fait adopter un article ainsi conçu : AtITtCLE premier . Les établissements destinés au traitement el à
supérieur de l'Assislance publique, un arlicle analogue : Article premier . Les établissements destinés au traitement el c
sse intellectuelle. Le moins violent était hémiplé- gique depuis sa première enfance. - L'idiotie morale est produite par de
mort. Au point de vue anatomo-pathologique, il s'agissait dans la première observation, d'une congestion méningée, sans aucu
t qu'il en existe des variétés, des formes nombreuses. Si sur cette première question je me trouve en désaccord avec M. Mari
ionnés par un fou furieux qui était monté dans un compartiment de première . Après avoir quitté la station de Pontoise le c
te d'alarme. Il fit stopper le train et courut à un compartiment de première classe, où un individu, la tête à la portière,
Asiles D'ALIÉNÉS. - Nominations et promotions : M. le Dr Jacquin, premier du concours de Lyon, nommé médecin adjoint à St-Y
54 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
ard, et il a tou- jours marché lourdement, les jambes écartées. Ses premiers mouvements ont toujours été difficiles, raides.
sion, un sillon profond sous l'électrode excitatrice, au moment des premières contractions du muscle, puis le spasme myotoniq
hariot- de Tripier avec interrupteur à balancier de Gaiffe. Notre première planche de-tracés reproduit l'inscription de troi
165 fois à la minute (2 interruptions 2/3 par seconde). Pendant la première seconde, il se produit dans le muscle, à chaque i
En raison de l'instrumenta- tion, dont nous disposions, les 2 ou 3 premières intermittences de l'inter- rupteur se trouvent
s pour les fibres des différents systèmes. Ceci paraît improbable à première vue. Il paraîtrait que la lésion étant la même, l
côté droit est beau- coup plus marqué que celui du côté gauche. Au premier abord, on croirait à une hémiplégie faciale du
alade ayant été complète- ment sourde de l'oreille droite depuis sa première jeunesse à cause d'une otorrliée de ce côté, il
mouvements respiratoires étaient si lents et si superficiels qu'au premier coup d'oeil on n'au- rait pas soupçonné 40° de
traitant. La disparition momen- tanée à la suite des deux ou trois premières séances devint dans la suite durable et la mala
s la position, quelle qu'elle soil, où on cherche à les fixer. Au premier abord les mouvements paraissent très compliqués,
oins prononcés à la troisième articulation phalangienne qu'aux deux premières . Quant à l'abduction, elle répond habituellemen
Observation II. (Personnelle. Inédite). Athélose double, datant delà première enfance, occupant la face el les quatre extrémi
emuer ses membres, manger ou même s'as- seoir. A deux ans et demi première attaque de convulsions ; durée de neuf heures d
niers. Peu de temps après, en faisant un pont de bateaux, il eut sa première attaque, et tomba il l'eau. Il serait resté san
la langue. En général il tombe sur le côté droit. Pendant les 10 premiers mois de son séjour à l'hospice, il n'a eu que deu
ment. État physique. - G., quoique maigre, parait bien constitué au premier abord. Taille 1.77, envergure 1.77, poids 64 ki
t son maximum el disparaît ensuite graduellement. A la fin de celte première excitation, qui n'a été prolongée que pendant 3
iqué sur le tracé non seulement par l'espace qui sépare chacune des premières contractions, mais encore par le niveau occupé pa
uscle se décontracté d'abord assez rapidement (f à u) pendant les 4 premières secondes ; à ce moment la décontraction devient
c- tion, sur ce tracé comme sur beaucoup d'antres (1). - Les deux premières lignes de celle figure ont été inscrites dans les
flement secondaire du muscle sont encore des plus nets sur les deux premières lignes, A et B de la figure 1(i qui repré- sent
tains cas (notamment sur les tracés de la figure 15 et sur les deux premières lignes de la figure 16, etc.), au moment où ces
lesquelles se produisent les mouvements ondulatoires. Pour les deux premières lignes A et B, qui représentent le début de l'exp
spinale existe. Le mot prodromique caractérise donc bien mal cette première période ; c'est pourquoi j'ai pro- posé, y a vi
r en s'aidant de béquilles comme il fait aujourd'hui. J'avoue qu'au premier abord, lorsque le malade nous arriva ici, je n'
condition de rejeter le haut du corps en arrière, nous constatons à première vue un élargissement très marqué des hanches, e
t venir en aide il de nouvelles recherches et y inciter. CHAPITRE PREMIER MALADIES DE LA MOELLE. Nous n'avons pas il no
abitude, manifestés les premiers symptômes. Généralement, ]e côté premier atteint continue à présenter, pendant toute la
histoire d'un malade qui présente au contraire une scoliose légère, premier stade d'une déformation qui pourra par la suite,
ut précéder les autres symptômes, et dans un cas de Friedreich, les premiers troubles ataxiques apparurent à l'âge de 17 ans,
eich, et dépendant peut-être d'un processus anatomique différent du premier . ' I. Al'tll1'opathies et fractures de la colon
E LA SALPÊTRIÈRE. ligne verticale que condiment les apophyses des 5 premières vertèbres dorsales. Au-dessous de la 5e vertèbr
me un angle sail- tant en arrière et ;i gauche. C'est au niveau des première el deuxième ver- '158 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
utres vertèbres lombaires sont beaucoup moins altérées que les deux premières . Leur corps est cependant recouvert de petites sa
uosités de la courbe cle la décontraclion lente. Pour la ligne D la première excitation, faite après un intervalle de repos d'
t ; la bobine induite était écartée de 10 centimètres pour les deux premières lignes, et de 11 centimètres pour la troisième, m
mouvements ondulatoires à un haut degré de développement. Les trois premières lignes représentent l'ins- cription recueillie
assez peu fréquentes, 2 à 15 par seconde, produisent au début de la première excitation, lorsque les muscles ont été laissés a
mptôme différent qui est, au même titre qu'eux, l'effet de la cause première qui les a produits. Les caractères des mouvemen
mouvements athétosiques augmentent beaucoup, principalement dans la première moitié du temps nécessaire à l'accomplissement de
mp- tômes pourrait, dans quelques cas, faire légèrement hésiter, au premier abord, le clinicien. Maladie de Parkinson. La
use. De ce que la déviation a sur- vécu quelque temps à l'affection première , on ne saurait conclure qu'elle (1) Voy. len»3,
ronc s'incline du côté malade. Celle variété a été signalée pour la première fois par M. Brissaud. Nous en avons nous-mème obs
chis lombaire, elle peut néanmoins permettre souvent de découvrir à première vue l'exis- tence et le siège d'une sciatique.
que et la sciatique spasmodique avec scoliose homologue, lorsque la première s'accompagne de douleur sciatique. L'attitude est
ormités fréquentes, au moins des difformités graves et manifestes à première vue. Nous avons exa- miné, superficiellement il
nante du côté relativement respecté, et la concavité de la courbure première a-t-elle tendance à se tourner de ce côté. Les au
hie viscérale. Deux autres ont succombé à des convulsions dans leur première année. Quatre sont vivants, bien portants, bien
par M. Dutil en 1889. Quant au troisième malade, Rab., il simule au premier abord, une con- tracture post-hémiplégique, dan
ire de la maladie. Mme Ot. raconte que sa maladie a débuté dans les premiers mois de 1890 à la suite d'une grande frayeur ; ma
S DE LA MALADIE DE PARKINSON. 227 resté longtemps hésitant lors des premiers examens ; aujourd'hui, le doute est peut-être e
e. A l'heure actuelle, quand on voit marcher le malade, on aurait à première vue tendance à le croire atteint d'hémiplégie d
emière planche de ces tracés, figure 22, se divise en 2 parties. La première ? à 5°, représente l'inscription des secousses pr
lie sur un autre malade de la clinique (homme hystérique). Les deux premières lignes représentent les secousses produites par
ne se produit pas de secousses à l'ouverture du courant, pour les 2 premières excitations, mais ensuite nous voyons apparaîtr
modérée de courant, d'a- bord quelques secousses correspondant aux premières interruptions,, puis apparaissait un spasme myo
ntion suffisamment prolongée de toute excitation, les modifications premières de la contractilité se reproduisent bientôt. De
ceux des mouvements athétosiques que nous avons étudiés dans notre premier chapitre, moins violents, très affaiblis et que
eux des mou- vements athétosiques que nous avons étudiés dans notre premier chapitre, moins violents, très affaiblis et que
C'est habituellement dès la première enfance que se manifestent ces premiers indices de l'athétose double ; on peut même dire
et Audry, qu'elle doit très fréquemment se développer dans les deux premières années de la vie. C'est d'ailleurs à cette époque
ncursion dans le domaine de l'art moderne et de reproduire une. des premières oeuvres du sculpteur Alfred Boucher : Tobie ren
ue des oeuvres anciennes ayant trait aux choses de la médecine. La. première tient à la beauté de la composition et à l'exac
ades et citées par les auteurs comme ayant précédé l'apparition des premières manifestations de la maladie. Parmi elles il nous
hyxie, a crié de suite. Elevé au sein par la mère, sevré Ù 2 ans. Première dent à 6 mois. Il était précoce pour ses dents ma
eure gauche présente une coloration grise très nette. Pendant cette première partie de l'examen et lorsqu'on y sépare les deux
is. 1882). Delpech. De l'orthomorphie, 1828. - Déjerine et Sollier. Premier cas d'autopsie d'athétose double datant de la pre
e la fourchette slcrnale à la jonction des clavicules ». Les deux premières égalités se retrouvent sur notre canon avec cette
ent an n° 6 de la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière. Les cinq premières années de la nouvelle Iconographie de SUPPLÉMEN
par livraisons de 3 fr. Table des matières contenues dans les douze premières années (1876-1887), 3 fr. La Revue philosophiqu
n Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie. Il ressort de son premier chapitre que seuls, les noms de Ch. Lepois, de
évrose. Cette pauvreté d'observations utilisables s'explique par ce premier fait que l'hystérie était mal connue autrefois,
sommes de la sûreté des méthodes qui sont entre nos mains (1) ». PREMIÈRE PARTIE HYSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANI
MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 315 CHAPITRE PREMIER SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE L'HÉMIPLÉG
Les crises convulsives ne se sont pas renouvelées. Le malade qu'au premier abord on est tenté de considérer comme atteint
la région cervicale inférieure, au-dessus de la clavicule. Dans le premier cas c'est le ganglion inférieur du grand sympathi
es sur la faradisation vaso-constrictrice thérapeutique en 1876. Ma première observation porte sur une jeune dame qui se pla
lle moyenne qui était quelquefois visible grâce à la perforation du premier . La rougeur inflammatoire pâlissait graduelleme
de M. le professeur Slaviansky. LA FARADISATION THÉRAPEUTIQUE 381 première catégorie la perte des mouvements et delasensibil
hrodite en bronze de Polyclès fils de Timarcilide, artiste grec des premiers temps cle la période gréco-romaine et qu'il ne
55 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du sympathique. Trajet récurrent ou incidence oblique : voilà un premier caractère; ce n'est pas tout. Une artériole ne
hes sont communes aux deux nerfs, elles se divisent à la surface du premier d'entre eux, puis se prolongent jusqu'au second
. Arrivons aux nerfs des plexus. Ici, la complexité est grande, à première vue. Le plexus brachial constitue un bon sujet
b). IDÉES DE grandeur alternant avec LES IDÉES DE PERSE- CUTION. A première vue, les malades de cette catégorie ne diffèren
es, non FORMULÉES. -Dans les observations qui précèdent, les quinze premières sont certainement des exemples de délire chroni
années, sont restés néan- moins sans aucune velléité ambitieuse. En première ligne, j'en citerai un, qui rentre dans la caté
e, le malade a été soumis au régime et au traitement. Dans les deux premiers mois la glycosurie a diminué alors que les mani
morrhagies rétiniennes; 5° l'atrophie du nerf optique. Les quatre premiers n'existent pas chez notre malade. Quant à l'atr
minée douloureuse. » Aux mains, l'engourdissement occupe les deux premières phalanges des doigts. Enfin il accuse une sensa-
veux, l'atté- nuation, l'arrêt ou la disparition de la maladie la première en date, lorsque survient la seconde, n'est pas
I, p. 589). « Sans doute, dit-il, il est difficile d'admettre, au premier aspect, que beaucoup d'arrêts de développement,
oux hystérique d'ailleurs, représente un type fonda- mental dans ce premier groupe. Les autres bruits sont au contraire ins
et guérira très certainement; je n'oserais pas en dire autant de 11 première . Le diagnostic serait plus facile s'il s'agissa
r plus long trajet dans les cordons postérieurs. - 2. Les fibres du premier sys- tème de la zone radiculaire moyenne émanen
oupes organisés dont nous venons de parler. Sont atteintes : '. des premières : les zones radiculaires moyennes - les zones,
s cornes postérieures (le réseau des colonnes de Clarke est pris le première , les fibres les plus fines sont finalement attein
tion frontale gauche. Si la lésion est très exactement limitée à ce premier faisceau, l'aphasie est le seul symptôme apprécia
on cérébrale, la troisième paraissait être une combinaison des deux premières . Mais l'anatomie pathologique et l'étude micros
.GAL j par J. PIEUM.\NN. (Alla. Zeitsch. f. Psych., XLVII, 3, 4.) Premier cas. On relève : hérédité, tendance à poussées cé
ie en deux parties, qui font l'objet de deux volumes. C'est le tome premier qui vient de paraitre, traitant^de l'hystérie n
'auteur donne la clef de la plupart des phénomènes hystériques Ce premier volume, illustré de figures dues à M. Paul Richer
vient au système nerveux ou au trouble de la nutrition, comme cause première ; mais que pourtant, ils ont une grande tendance
veillantes eussent eu le temps de s'en apercevoir. A la suite de ce premier enlèvement, le directeur de l'asile prévint les
iénés. Ainsi que nous l'avons déjà fait remarquer, le coucours pour premier résultat d'éliminer les candidats, qui, n'ayant
tretien s'élèveront à 61,000 fr. par an d'entretien et les frais de premier établissement à 15,000 fr. » (L'Eclair.) Le dép
s que des journalistes, un peu compétents, puissent assister à la première scène et à l'embarquement des aliénés. Leurs arti
r. d'amende pour exercice illégal de la médecine. Ce n'est pas la première fois que le directeur de l'Institut dynamodermiqu
genre feront doublement regretter sa perte. Malgré la rapidité des premiers secours et l'arrivée successive des pompiers d'
il alla, en pleurant, se constituer prisonnier entre les mains des premiers agents qu'il rencontra. L'élat do 1111° Gervais
fection actuelle. Il n'a pas eu de convulsions dans le cours de ses premières an- nées. Il a marché et parlé de bonne heure ;
e pas d'hallucinations. NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. IS9 C'est du premier , du délire de persécution de La- sègue qu'il s'
s semblables, mais qui n'eurent pas les terri- bles conséquences du premier , se reproduisirent à des intervalles irrégulier
estions les plus simples et il est incapable de compter au delà des premiers - nombres. Mais il a le caractère'gai, il joue
'a' 1 pas. On ! se contentera d'établir 'qu'il est' nuisible au ! premier chef, et on s'efforcera de le mettre dans ¡'im-)
du pseudo-tabes. ' ,. 184 PATHOLOGIE NERVEUSE. A côté de cette première catégorie de signes com- muns aux deux maladies
s le. tabes comme dans le diabète leur donne une impor-. tance de premier ordre. Appartiennent à l'ataxie loco- motrice p
e que nous venons de tracer peut donc permettre de répondre à cette première question : Etant donné un diabétique chez leque
ous (Oppenheim, Reumont, Fischer). Ils ont donc une importance de premier ordre et ils doivent toujours être recherchés.
ymptômes, presque pathogno- moniques - nous voulons parler des deux premiers sont absents, de fortes probabilités s'ensuiven
u des hal- lucinations de la vue. Mais voici le fait. Lors de son premier accès, elle se lève un matin à S heures, se cro
la malade a eu la z syphilis, et cela au moment de l'apparition des premiers troubles intellectuels. Au point de vue de l'
huit mois, elle éprouve dès les premiers mois de cette grossesse sa première attaque de sommeil qui depuis s'est renouvelée pl
des mouvements d'ensemble. En un mot, ses carac- tères sont ceux du premier cas. La malade raconte que l'attaque de sommeil
Plus tard encore il se produisit de l'hémianopsie, absente dans la première année qui suivit l'attaque. Autopsie : Examen att
M. LE Président. Ma foi, les infirmières se sont défendues. .' .Le premier témoin entendu est Mm0 Dourches, la mère de Louis
tte malade dont l'étude me semblait devoir être d'une importance de premier ordre dans la question si controversée des névr
co-scrofuleuse, décolorée, anémiée, toujours souffrante ; - dans sa première jeunesse, elle a eu une coxalgie, suivie de luxa-
- chaque après-midi, deux crises régulières de somnambulisme, la première à 1 heure, la deuxième à 8 heures, toutes crises
r, et mangea une partie des ali- ments qu'on lui avait servis. Sa première grande 'crise du matin vint comme d'habitude, p
, ses règles ayant paru quelques heures avant. ' Encouragé par ce premier résultat, conforme à mes espérances, je pris à
ce à haute voix et se sent soulagée. Le centre auditif de l'écorce ( première temporale) est dans un tel état d'éréthisme, qu
isant en spino-cérébrale postérieure, elle se donne, sans choix, au premier venu. Puis elle est prise d'une vive affection
C'est donc l'anes- thésie hystérique qui doit être l'objet de notre première étude psychologique. Je dis étude de psychologi
ent ce symptôme particulier du tabes, que M. Charcot a été l'un des premiers à décrire, et qu'il a appelé le masque tabétiqu
s et j'électrisais en réalité avec de simples morceaux de bois. Mon premier mou- vement fut de m'écrier et de rattacher les
mois d'octobre dernier, un jeune homme de seize ans qui avait eu sa première attaque d'hystérie à la suite d'une forte fraye
Je sens, je vois 2. » Cette seconde définition, loin d'éclaircir la première , nous semble en complète contradiction avec elle.
rsonnelle même avec des sensations musculaires.M. Par exemple, au premier moment, il regardera et écoutera une personne qui
mon- trons à son oeil gauche, aveugle, des laines de couleur. Aux premières laines elle ne dit rien, sinon qu'elle est dans l
s 3 dernières. 42 ans, Duj...,1 accès : -. Nuage épais dans les 2 premières ; Albumine moyenne dans la 3e; Traces dans les
s 2 dernières. 49 ans, Roi..., 1 accès : - Nuage épais dans les 2 premières ; Traces dans les 3 dernières. 16 ans, Fol...,
rnières. ' 28 ans, Saul..., 1 accès : Albumine intense dans les 2 premières ; Traces dans la 3e; Pas d'albumine dans les 2
ant l'accès. 26 ans, Deman..., 1 accès d'épilepsie : Dans les 3 premières urines, nuage moyen d'albumine; Traces dans les
36 ans, Leco..., 1 accès, 5 urines : Albuminurie moyenne dans les 3 premières urines; Traces dans les 2 dernières. 17 ans,
ant qu'on recueillait les urines : 1 Traces d'albumine dans les 2 premières urines; Rien dans les 3 dernières. 51 ans, Bo
51 ans, Boul..., 1 accès, 5 urines : Traces d'albumine dans les 3 premières urines; Pas d'albumine dans les 2 dernières.
i le cas le plus frappant que nous ayons observé à l'appui de notre première hypothèse. Dem... présente à la suite de ses gr
5 accès. La veilleuse a recueilli l'urine après chaque accès. Les 2 premières urines ne renferment rien d'anormal. La 38 urin
ervalle. 5 urines sont recueillies : albuminurie intense dans les 2 premières ; albuminurie légère dans les 2 suivantes; rien
à la longue une congestion des reins qui peut être insuffisante aux premiers accès pour laisser filtrer l'albumine'mais qui
et très variable en quantité. Elle se montre surtout dans les deux premières heures qui suivent l'accès convulsif et elle pa
n, la mère et le fils, une autre femme accourue au secours des deux premières victimes, et un vieillard enfin qu'il trouve sur
it de faire comme cela ». ' Il parait aussi qu'après avoir tué sa première victime, il voulut que le petit garçon de celle
elle se réveillerait il la première occasion, aussi intense que la première fois. Et de fait, il lui arrive assez souvent de
ible notamment chez les mélancoliques anxieux. En effet, dans notre première observation de mélancolie anxieuse, nous voyons
la lésion de certaines régions de l'écorce du lobe occipital (coin première occipale) ou l'interruption des fibres blanches
tre de la vue et celui de la parole, entre le lobe occipital et les première et deuxième temporales; suppression du mélange
tante; mais comme elle repose sur les données fournies par les deux premières sections, nous sommes forcés de nous excuser d'
i produisent les mouvements visibles. Ce renforcement s'observe aux premières périodes de l'existence tandis que la cérébrati
vont graduellement en augmentant de gravité. Leurs certi- ficats de première séquestration mentionnent rarement le délit; pr
fréquentes entrées, il n'a trouvé l'épilepsie signalée que dans les premiers certificats, et encore ceux-ci ne donnaient-ils l
fallu que le même observateur ait pu suivre les malades depuis leur première jusqu'à leur der- nière entrée et en prendre l'
nts, car, en dépit des imperfections inhé- rentes à nos expériences premières , nous n'avons eu d'autres mal- heurs à déplorer
leur vienne pas en aide. Tous ceux surtout qui sont en proie aux premiers accès d'un mal que l'on peut dissiper, doivent êt
n- séquences, comme on peut le croire, de la chute qu'elle fit du premier élage... Hier, elle pensait renouveler l'expéri
, bien dé- fendu qu'il a été d'ailleurs par M. Weyl. Comme les deux premières fois, il a eu une terrible attaque qui a nécess
56 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la base de l'orbite, il est toujours parfaitement net et arrête du premier coup le doigt qui le recherche. Fixant l'index
sensibilité sous tous les modes, surtout au mem- bre inférieur. A première vue, la face ne présente rien d'anormal; mais q
on VIII. B..., femme Q..., soixante-cinq ans. Hémi- plégie droite : première attaque il y a dix-neuf ans. Deux ans après, no
la plupart des caa. Parfois cet abaissement est tel qu'il frappe au premier abord; L'ETAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 17 d'aut
e en lumière un affaissement du sourcil qui n'apparaissait pas au premier examen. Cet abaissement du sourcil est un des s
En arrière le foyer s'arrêtait nettement à la branche ascendante du premier sillon temporal dont la lèvre posté- rieure éta
cette coupe encore le pli courbe est intact, la lésion s'arrête au premier sillon temporal. En faveur de la localisation à
Dans un certain nombre de cas, plus fréquent qu'il ne semblerait au premier abord, le releveur de la paupière supérieure, i
re, c'est la diminution de la fente palpébrale du côté paralysé. Au premier abord, il y a là un paradoxe. Dans la paralysie
èse de M. Brissaud. malgré son analogie apparente, si séduisante au premier abord, n'est pas admissible et ne résiste pas à
pu observer quatre nouveaux faits, qui confirment tout à l'ait nos premières recherches et que nous avons com- muniquées au
résentent des troubles du .sommeil, ce qui constitue parfois un des premiers symptômes; le sommeil est douloureux, pénible,
oxalgie, méningite terminale. Conception : graves ennuis du père. Premières convulsions ci quatre, ans. Diminution de l'int
e particulier jusqu'à l'âge de quatre ans. Vers quatre ou cinq ans, premières convulsions, consécutivement diminution de l'in
uche sans rien dire. La nuit a été bonne. 17. René ne mange rien au premier déjeuner ; à midi et le soir, ne prend qu'un pe
se soit encore plaint de douleurs dans l'épigastre. Ne mange pas au premier déjeuner; mange très pou à midi. Première douche
épigastre. Ne mange pas au premier déjeuner; mange très pou à midi. Première douche : il faut le déshabiller malgré lui, il
même scène que la veille. A bien dormi la nuit. 20. Ne mange pas au premier déjeuner, veut écrire à son père à qui il adres
ent, on a opéré l'oeil gauche du second malade, puis le même mil du premier . L'opération fut pratiquée en détachant le bout
e ans, toujours nerveuse ; crise de manie après la naissance de son premier enfant ; à vingt-trois ans, une crise de chorée
nt clinique à la Salpêtrièrs, et M. le professeur Cornil, un de ses premiers élèves et collaborateure, son second interne à
ées pendant l'année scolaire 1897-1898. Les BIBLIOGRAPHIE. 77 f premières leçons sont consacrées à l'étude des tumeurs de l
ment des opinions, résultats d'obser- vations toute personnelles. Première leçon. Diagnostic et pronostic de Vhémorrhagie cé
tion principale se fait sur le système nerveux central. Parmi les premiers , les néoplasmes intra-craniens où la marche de la
des particularités et notamment, au début, avant l'ap- paiition du premier accès, les crises de colère fréquentes, les abs
celle période pour user moins de la morphine ajoute souvent à cette première intoxication celle produite par la cocaïne, la
'épilepsie. Pas de paralysie, mais idiotie complète. Durant les six premiers mois de 1897, elle a 42 accès et 30 vertiges, s
s qui le suivaient en le sifflant, et avait blessé un passant. Ce premier drame vient de se compliquer d'un second non mo
action motrice, dans les muscles desservis parle nerf : flexion des premières phalanges et extension des der- nières, mouveme
façon précise le point piqué. Au coeur, on constate un souffle au premier temps avec maxi- mum à la pointe. L'hypochondre
ternes et nos médecins-adjoints. Ils doivent être, à l'exception du premier assistant, célibataires ; c'est le pre- mier as
re collègue de Ville-Evrard s'est fait le porte- drapeau, a eu pour premier résultat d'amener récemment la sépa- ration des
ec les mouvements de la tête sont toutes les cervicales et les deux premières (quelquefois les quatre premières) thoraciques.
toutes les cervicales et les deux premières (quelquefois les quatre premières ) thoraciques. Les premières commandent les mouv
atre mois et demi plus tard que dans les territoires primor- diaux. Première et deuxième frontale ; circonvolution pariétale
langue déviée sur la droite. Pupilles égales, névrite optique à la première période. Réflexe rotulien exagéré. La sensibilité
qui ne-sont que des idiots simples et des arriérés. A l'adresse des premiers , nous regrettons que le D1' Ley soit d'avis qu'
dérations sur ces expériences nous semblent nécessaires. Les deux premières (XII et XIII) sur les souris ne prouvent qu'une
la personnalité physique et 174 altérations dépressives ; or, des premières 364 existaient et des secondes 162 avec un état
de ces troubles avec le développement de la maladie. Mais aux deux premières périodes de la paralysie générale, à la premièr
. Mais aux deux premières périodes de la paralysie générale, à la première surtout il existe une grande différence entre l'é
core en raison directe de la moti- lité, si on trouve pour les deux premières périodes le paral- lélisme constaté dans l'ense
rqués et excessifs; mais il n'est pas moins certain qu'à ces deux premières phases les altérations du sens tactile se sont re
t nettement, je crois, que les altérations du sens tactile aux deux premières périodes de la paralysie générale sont l'apanag
disposés à croire que les troubles du tact chez les paralytiques Première période. 196 PATHOLOGIE MENTALE. LE SKKS
urions trouvée : le maximum des altérations se rencontrerait à la première période et le minimum à la phase dernière de la
s et les altérations en moins aux alcooliques. En effet, chez les premiers nous n'avons jamais relevé d'abolition et seuleme
s inverse aux diverses périodes de la paralysie générale ; les deux premiers , avec leur maxi- mum de fréquence à-la première
ci les incommodaient. XVI. Les altérations du sens tactile aux deux premières périodes de la maladie ont été constatées de be
es syphilitiques; en outre, celles en moins sont plus spéciales aux premiers et celles en plus aux seconds, tandis que l'éta
, 1883, ont fait paraître une série d'articles sur le môme sujet. PREMIÈRE PARTIE A. Longévité. Première génération (gaacl
série d'articles sur le môme sujet. PREMIÈRE PARTIE A. Longévité. Première génération (gaacls-pa·eals). Sur les 160 grands
dépression mélancolique légère et de courte durée surve- nant comme premier désordre psychique chez un adolescent, est part
antérieurs publiés dans le même sens par M. Klippel l'ont placé au premier rang des chercheurs originaux sur ces questions
ile. Le plus souvent le médecin de la famille appelé à donner les premiers soins emploie le bromure de potassium avec plus o
mastoïdien, du splenius et du trapèze la plaçait dans la position première . Le sterno-mastoïdien droit était flasque et ne p
ans. La seconde observation a beaucoup de points communs avec la première ; même analogie, même difformité, mêmes essais in
naitre des objets ou des scènes que certainement elle voit pour la première fois. Ce sont surtout les impressions brusques su
nts ; cela dura néanmoins jusqu'en 1842. L'asile d'Illenau fut le premier asile construit et ouvert exprès pour les aliénés
x et a trouvé 18 fois des tares vésaniques ou névropathiques. Une première conclusion se dégage donc des faits, abstraction
e, car ils ne sont pas de lui : l'impuissance est en effet l'un des premiers symptômes de la terrible démence. HIARCEL l3nr :
un abcès de l'oreille moyenne, parle même. - Comme on le voit, ce premier fascicule est intéressant. Nous donnerons le somm
, surtout aux états mélan- coliques décrit les délires religieux du premier groupe'. Witkowski insiste- sur les formes seco
t la traduction délirante des ten- dances particulières, natives et premières de l'individu. On pourrait distinguer encore pa
ion d'un dynamisme réalisant une force supérieure à l'individualité première . Aussi comprend-on qu'on observe cliniquement l
ssibles (dédoublement tardif ou objectif de la personnalité). Notre premier groupe comprend les formes complètes des délire
malade de ce genre que nous avons cité avec M. Vallon a présenté un première bouffée délirante en 1882 à l'âge de vingt-six
s, passait au second plan, la clinique, elle, s'élevait d'emblée au premier en raison des résultats immédiats et inattendus
bsolument le même tableau clinique. Nous arrivons donc déjà à cette première conclusion que les délires d'intoxication inter
idée de faire du délire des intoxications un délire de rêve, qui au premier abord peut paraître étrange, n'a rien au fond q
rsqu'on s'éveille en voyage dans un lieu où l'on a couché pour la première fois : on est alors un instant à se reconnaître,
us difficiles, ramène peu à peu toutes les facultés à leur activité première ; c'est comme un enfant dont l'intelligence se
indication dominante consiste, nécessairement, à combattre la cause première , c'est-à-dire l'auto-intoxication ou l'infec- t
eignements manquent, une autre fois il n'y avait érection, les deux premiers mois et demi de l'affection que quand on sondait
l'opinon de P. Marie concernant l'origine infectieuse fréquente des premiers . Les névrites périphériques et myélites systéma
.tait pas d'atrophie. La mort survint dix jours après le début des premiers accidents. ' L'étude histologique du système ne
ments sont si rétractés qu'une partie du corps cellulaire parait au premier abord faire partie du prolongement. Le corps cell
e l'em- poisonnement par le carbamate d'ammonium est identique au premier degré de l'intoxication par le carbonate d'ammoni
répartissent ainsi : un père et son fils, une mère et sa fille; les premiers n'ayant, d'ailleurs, avec les secondes aucun lien
ne façon régulière entre 3T" et 3-il 5. Le poids qui, dans les huit premiers jours, avait baissé de trois livres, s'est rele
et des phénomènes mentaux ; le fond essentiel de ceux- ci, résultat premier de l'état somatiquc, est constitué par une form
st, d'ailleurs, à sa troisième attaque de délire subaigu : les deux premières n'ont duré que fort peu et ont été suivies d'un
ticulation coxo-fémorale jusqu'à l'extrémité des doigts ; durant la première semaine se produisit le phénomène de l'allochirie
els ont été les symptômes qu'a présentés cette malade dans les deux premières semaines qui ont suivi l'accident, mais avant de
dévier l'arme de sa direction primitive, celle-ci a dû blesser, en premier lieu, la moitié droite de la moelle, et avec la
E-,)I : D6utriîbente. La deuxième séance a eu lieu à 2 heures et sa première partie a été occupée par là formation du bureau
le trional en temps voulu. Dans la première obser- vation, type du premier groupe, les attaques précédées d'aura motrice s
ondaires. A votre santé, cher monsieur Anglade, et à celle de votre premier maître en médecine mentale, le docteur Régis de
er un grand nombre de troubles psychiques, il est des psychopathies premières , qui relè- vent de la seule psychologie. Telle
doit être identifiée à l'instabilité mentale. On pourrait croire à première vue que certaines psychopathies, telles que la
de cas, dit-il, dans nos asiles et à tort, car il est d'importance première dans les psychoses... Ainsi on guérit le buveur a
me un cas d'exemption du service militaire. On peut être surpris au premier abord, que cette affection ait paru assez grave
de l'organisme. Sa physionomie, son attitude ne nous révèlent au premier abord rien de bien particulier. Il nous apparaît
des anamnestiques nous fournira à ce propos des ren- seignements de première importance. Notons d'abord que le père de ce je
menlées. - A trente-deux ans : syphilis. - A quarante-deux ans : première manifestation hystérique sous forme d'un accès de
lité d'une amaurose hystérique. Des trois accès de mutisme les deux premiers ont éclaté brusquement, le troisième a été préc
inférieure du 3" segment sacré et. un second noyau, posté- rieur au premier , allant de la partie supérieure du 2° segment s
mentales permettant aux médecins de remplir auprès des tribunaux de première instance l'office d'experts suffisamment aptes
s commis par des militaires entrant dans l'aliénation sont jugés en premier ressort exclusivement par les officiers. De ces
Cette disposition craintive augmente chaque jour, et dès la fin du premier mois, des illusions et des hallucinations venant
uré vingt-quatre heures. Il existait une présentation de la face en première position. Naissance asphyxique avec cyanose et
n terminant, quelques renseignements sur le Dr Pontier, créateur et premier directeur de l'asile d'aliénés du Mont-Perrin.
57 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
es enfanta appartenant a des classes sociales très dilféreutcs. Nos premières recherches ont été faites dans une école communal
nt secondaire. Jusque-la. il ne s'était jamais rongé les ongles: à sa première sortie, au bout d'un mois, on s'aperçut qu'il ava
PAR LA SUGGESTION HYPNOTIQUE. L'observation suivante est une des premières que nous ayons publiées : elle présente un grand
l un terrain favorable au développement de toutes les habitudes. l.:i première indication consiste donc, puisqu'on se trouve en
obstacles à l'avènement de la vraie science, ce grand homme range en première ligne : derisio vêtent M. Quelle confiance, en ef
ar suite du décès de M. le professeur Bail. Voici cette liste : Fit première ligne M. Joflroy ; en seconde ligne M. Gilbert Ba
e son esprit et à son immense valeur scienliliciite. Il avait été 1ss premier prèsi, dent d'honneur acclamé par le Congrès inte
1889. et la Société d'hypiiologie et de psychologie l'avait placé au premier rang des hommes dont elle reclamait le patronage.
De chez M. llenrijean. je me rendis chez M. Von Winiwartcr, Voici sa première parole : » Ah ! drôle «te fille celle à laquelle
s en rapport avec leur entourage. Je n'envisagerai les rêves de celte première classe que par quelques-uns de leurs caractères l
a malade allait ouvrir la portière pour sauter sur la voie. Ce fut sa première crise de claustrophobie. I n séjour assez prolong
tère facile, réservé. Louis,- S.... bien portante jusque-là. a eu son premier accès d hystérie avec étouffements. perte à peu p
st de marquer notre reconnaissance au docteur Charroi d'avoir, un des premiers parmi les savants orthodoxes, osé franchir le seu
t aussitôt, tant ils sont suggcstibles. Des qu'on les a endormis un»! première fois, ils entrent ensuite dans le sommeil à quell
elles des sens et de la mémoire. Chez eux. de ce second côté comme du premier , le pouvoir de faire effort el de vouloir et cons
la bouche ou des besoins mal satisfaits ont précédé ou accompagné mes premiers rêves, et sont entrés pour une bonne part dans le
. Place dans un collège secondaire, il travaille beaucoup, esl un des premiers de sa classe, mais il ne s'amuse pas avec ses cam
28 ans ; 12 fois, il y a 57 ans. où je suis né el où j'ai vécu les 12 premières années de ma vie ; "J fois, il y a déjà 49 ans. d
'époque présente et s'v rattachant. En tenant compte des 12 ans de ma première jeunesse dont on en peut au moins retrancher les
ans de ma première jeunesse dont on en peut au moins retrancher les 5 premiers , il y a de cela 57 ans. et en tenant compte aussi
t (es Hêves 1 que la mémoire tient plutôt à l'énergie de l'impression première sur elle, qu'au temps écoulé et qu'à la faculté s
ui ne pouvait être qu'un ctl'el de la pensée. Ce sont les rêves des premiers sommeils de la nuit qui se sont effacés le plus s
e que les rêves du second sommeil, presque aussi nombreux que ceux du premier , ont été au moins du double plus i-ouscicnlicls.
ont à leur base, s'y sont implantées au moment même de leur formation première , en proportion de leur amplitude émotive. Ils s'y
e, mais semblables à celles que j'ai éprouvées lors de leur formation première , reparussent de temps en temps dans mon esprit, p
honneur, dans sa conséquence finale, ne l'est pas comme détermination première . Si j'eusse eu ma liberlé d'examen, comme lorsque
, je ne redoute pas d'en parler. Honni soit qui mal y pense. Dans mou premier sommeil, après m'ètre couché avant que la digesti
Dr Brasseur. médecin de l'hôpital de Schaerbeeh. Elle est intitulée : Première autorisation officielle île pratiquer l'hypnotism
ir l'autorisation de pratiquer l'hypnotisme. « Arrête : « Article premier — Le sinir Astère Denis est autorisé aux fins de s
ramener le mouvement. Et effectivement au bout d'une demi-heure l'une première séance la malade pouvait remuer les doigts de pie
essant, d'exécuter une opération à l'impro-viste en requérant l'aides premiers venus qui l'entourent, est souvent spectateur de
menstruel puisse la déterminer; beaucoup de jeunes filles lors de sa première apparition sont plutôt honteuses qu'épouvantées,
sé par la mort de son second enfant, et huit jours après survenait sa première fausse couche. Jusqu'à ce moment la malade ne sen
en a! fait d'autres: J'ai pris nue sonnette et j'ai dit au sujet : Au premier coup de sonnette vous sentirez une espèce de flui
malade l'a fait sans hésitation. Une autre fois je lui ai dit qu'au premier coup de sonnette il lèverait les bras et prendrai
eim et aussi sur beaucoup de résultats obtenus personnellement. I.e premier malade traité avec succès amena un autre malade q
la psychothérapie sont également assistants à la clinique. Parmi mes premiers élèves se trouve M. le Df Vermeren qui vient de f
n de médecine et de chirurgie, en rem pincement de M. Charcot. Au premier tour de scrutin. M. Potain a été élu par 43 voix
compatible avec la santé, survenant fréquemment chez les enfants, au premier Age de l'adolescence, auquel on a «loiiné le nom
sée le commandement d'un seul coup et puis de s'en détacher l'esprit. Première condition qui impose à l'opérateur plus d'attenti
e fourmillement et de pesanteur bien accusée. Quand on a obtenu cette première sensation en laissant pendant quelques secondes l
e le sujet est sensible et que javais trouvée, dans la moyenne de mes premières expériences, d'une dizaine de centimètres, puisse
s ou quatre lignes il hésite dix fois el il répète plusieurs fois le» premières lettres d'un mot avant de pouvoir prononcer le mo
e. La malade consulta de nombreux spécialistes et tous les movens (en première ligne l'électricité) furent employés mais sans ré
i par le Dr lleermann vint le 11 juillet de cette année. Elle est à première vue saine., d'une stature forte, robuste douée d'
arable des mots de suggestion et d'hypnotisme, celui de M. Liébcaull. premier fondateur de l'Ecole de Nancv, dont la science ég
tique peuvent être classées dans les cinq groupes suivants : 1° l-e premier comprend les cas dans lesquels les vertèbres sont
nt sa société absolument insupportable ». le malheureux enfant a pour première leçon d'appreudre à se dominer soi-même et à effa
soit chimique. — La nécessité des jeux en plein air saute aux yeux du premier coup. — De même que les autres personnes qui sont
entre les deux passages reproduits ci-dessus, une dill'érence qui. an premier abord, semblerait constituer une contradiction. D
la production de ces derniers qui font défaut dans la production des premiers : qu'il s'ensuit entre eux nécessairement une diff
processus nerveux qu'elle accompagne. Cette séparation semble être au premier abord une analyse, mais ce n'est qu'une abstracti
d'introduire le fil dans léchas de l'aiguille. Et quand elle eut. -lu premier coup, fait ce dont il l'avait défiée, il se tira
meil redevint paisible, sans nouvelles visions terri-liantes. Cette première expérience prouve que notre sujet qui a accompli,
ne distance plus grande, elle ne ressentait rîen. Ayant constaté ce premier point, nous avons voulu essaver de charger une st
irs sexuels. Ayant passé avec succès ses baccalauréats, il prit ses premières inscriptions à la Faculté de médecine. Quand il e
cune incorrection. Lorsqu'il fut appelé à faire comme réserviste sa première période de vingt-huit jours d'exercices militaire
ggérait pour arriver à rester seul en possession d'un compartiment de première classe, l'a jour, tous les compartiments étant bo
de vomissements répétés. J'interrogeai sur ses antécédents : 25 ans : premières règles. 18 ans ; enceinte de 4 mois ; pas de mala
nus poids dans l'autre plateau aurait une volonté, vive de pencher du premier côté. On dît de certains hommes qu'ils ont une vo
et, il peut en influencer un autre qui se trouve â peu de distance du premier et auquel l'opérateur ne songe même pas. Cette su
e série d'actes assez coinpliqilés et je lui dis : • Mademoiselle, au premier coup de sonnette que vous entendrez, vous lèverez
as par erreur que le second sujet accomplissait les actes suggères au premier . Je l'influençais indirectement. Tombée dans l'ét
s ordres. Je constatai malgré cela, après l'entraînement créé par 1rs premières expériences que les sujet sensibles â la suggesti
vent à celui qui. y croyant, se refuse à lâcher pied. Wolseley un des premiers a dit (Temps. 1888) que « la suprème qualité d'un
t d'autans, moins déserter ces grandes assises qu'ils en ont pris los premiers l'initiative (Congrès ile l'aris. 1367). Le bui d
z l'éditeur Félix Alcan. Ce: volume n'est pas inférieur en intérêt au premier . L'auteur y complète- l'étude des mystiques p
suggestion a la prétention d'être infaillible? Croit-il qu'on peut au premier sujet endormi laire une opération douloureuse san
plus, à maîtriser cette émotivité hys-térogène, et j'ajoute, quand ce premier résultat est obtenu, on arrive toujours à supprim
e l'idée, cette suggestion, nous l'avons déjà dit. ne s'impose pas au premier venu. L'incube et le succube, le sug-gestionneur
ccube, présente lui aussi un état d'à me particulier. Ce n'est pas au premier venu qu'on persuadera, par un moyen quelconque, q
relle. Georges Pouchel s'élall. par ses travaux biologiques, placé an premier rang des savants français et sa mort sera vivemen
ois l'élève du professeur Pouchel. an Muséum d'histoire naturelle. Au premier .ibord il paraissait doué d'un caractère assez. d
l y a un intérêt réel à porter notre attention. L'liypnolisée de ma première observation, sa mère, sa sœur, ainsi que Mme G...
question de l'hypnotisme, ne voyons-nous pas Brown-Séquard, l'un des premiers , encourager les éludes expérimentales qui devaien
insi mesurer la cause immédiate d'un acte, mais le mobile de l'action première . Si In volonté est toujours libre, et c'est là so
s actifs). C'est toujours la même histoire : le nouveau remède est de premier ordre, d'une valeur thérapeutique hors ligne, au
mois. Au momcnl de sa maladie il a confié sa maison de commerce â son premier employé qui un beau jour lui a volé 250 000 franc
commencement d'incendie se déclarait dans son logement personnel, au premier étage. L'enquête du commissaire de police du qu
pas montrée au même moment par rapport à la piqûre. A la suite des premières injections, la salive apparaissait après un temps
58 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
de la complication qui pouvait en rendre le diagnostic difficile au premier abord. Voici l'histoire de ce malade : Ous. I
e passait après l'évolution et la guérison des panaris. Pendant son premier séjour on l'électrise, on lui donne quelques po
n ne trouve plus trace aujourd'hui. Etat actuel. Ce qui frappe au premier abord en voyant marcher le malade, c'est la pos
ud par exemple. Ces déformations, sans être tout à fait spéciales à première vue, ainsi qu'on peut le constater dans les pla
essent subitement comme elles ont commencé. Depuis l'époque de leur première apparition, c'est-u'dire depuis l'année 1875, ces
ent jusque dans certains traits qui peuvent paraître accessoires au premier abord, mais qui ont cependant leur importance,
les unes des autres les différents types d'attitudes vicieuses, le premier principalement, décrits par M. le professeur Char
moins, le retard qu'elles présentent dans cette dernière 1. L'idée première de ce travail appartient a notre maître, M. le pr
ent significatif vient révéler la névrose dont il était l'unique et première manifestation. Tels sont les divers modes de dé
e, il se mettait à trembler violemment des quatre membres. Lors des premières crises, le tremblement ne dura que quelques jou
onnels. - Lui-même n'avait jamais été malade avant l'apparition des premiers troubles nerveux qui marquèrent le début de son
se faisant par le tégument externe, on ne trouve des ecchymoses, premier degré de l'hémorragie. On consultera à ce sujet,
tiques, il y a des vomissements de sang. Magnus IIÜss, clinicien de premier ordre, auquel il est donné d'observer la malade
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. II , Certes, nous n'arrivons pas des premiers dans cette question et il semble, à voir le nom
les observations sur lesquelles il a été établi étaient et sont de premier ordre, mais, à notre avis, un grand nombre de c
aladie mouraient à la ménopause. Vingt ans plus tard, au moment des premières manifestations de l'âge critique, elle se prépa
hystériques 1 - . V L'état mental de l'hystérique homme parait au premier abord différer de l'état mental de l'hystérique
cependant quelquefois et M. Charcot, après Cazalis, a été l'un des premiers à attirer l'attention sur les phénomènes qui la
l'élément douloureux. A l'inverse de ce que l'on pourrait penser au premier abord, ce n'est pas la para- plégie qui constit
la taille de 1 mGL On peut donc évaluer approximativement la taille première de noire malade à 'il62. Aujourd'hui elle ne me
i, deux ou trois jours après une peur, il eut pen- dant le repas sa première crise qui parait avoir été une crise verti- gin
idée-1 : ') en tête ». Tel était l'état du malade lorsqu'il eut sa première attaque dans les cir- constances que voici :
naire. 2° Le tremblement est apparu chez cet homme à la suite de sa première attaque, c'est-à-dire le 26 février 1889. Il a
prouva un violent chagrin; et ce fut là, semble-t-il, l'origine des premiers accidents nerveux bien caractérisés qu'il a épr
aux audi- teurs de la Clinique la malade qui fait l'objet de notre première observation i. 1 Avant cette date, les recher
ne idée par la lecture des quatre cas suivants, particulièrement du premier et du troisième qui furent pendant longtemps l'
a été inscrit pendant quatre minutes consécutives. Pendant les deux premières minutes, représen- tées par les deux lignes inf
ces bâillements pro- duits par imitation représentent assez bien, à première vue, les bâil- lements de la malade, le tracé y
une grande crise de nerfs pendant laquelle se manifestèrent pour la première fois des bâillements incoercibles tels qu'on les
OGRAPHIE DE LA SAL1'1 : 1'Itll : r.l;. ' aujourd'hui. Pendant cette première attaque, il y eut une courte période de convuls
ait toujours été chétif il n'a cependant jamais été malade dans sa première enfance. Mis en classe de six à douze ans, il s
taques, le rhythme et la cadence sont des éléments différentiels de premier ordre qui ne paraissent pas exister dans les bâ
aux attaques de la malade dont l'histoire est rapportée dans notre première observation. ATTAQUE DE BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES
épétant le dernier mot qu'il vient d'entendre. Lorsqu'on lui dit le premier mot d'un commandement militaire, il termine le co
à mettre à l'actif du traitement par la suspension. Dans les deux premières catégories, les résultats obtenus sont durables
seur Charcot. Cet appareil, que produit la figure 44, ressemble, au premier abord, il l'appareil primitif de Sayre. Il en d
it sous la forme d'un petit génie ailé suivant la tradition que les premiers artistes chrétiens avaient emprunté à l'Antiquité
e Prev.... est une jeune fille de dix-huit ans et demi qui paraît à première vue bien plus âgée, vingt-cinq ans au moins. Lo
enfant de quatorze ans prend froid au moment de l'apparition des premières règles; celles-ci sont supprimées brusquement et,
Etat actuel (avril 1890).' Extrémité céphalique. Il n'existe pas, à première vue, de grandes modifications du côté du crâne. L
du bassin, dont il n'existe pas de déformations bien appréciables à première vue. 11 est certain cependant qu'il doit présen
gré de déformation probablement d'origine rachitique. L'histoire du premier accouche- ment de la malade, qu'on a lue plus h
existe un certain degré d'asymétrie faciale, mais non crânienne, à première vue. Il est d'ailleurs remarquable que cette asym
ettant cette succession des noyaux, comment il se fait que les deux premiers noyaux soient libres, le troisième et le quatri
, mais le bras gauche ne remue presque pas. (L'observation de cette première atteinten'ayantpas été recueillie ne peut être
e des interosseux. Très légère flexion du poignet sur l'avant-bras; première phalange très étendue sur le métacarpien; deuxi
facilité, mais les doigts présentent une déformation spéciale. La première phalange est dans l'extension et ne peut plus se
, épaissie, dépourvue de sillons, peu mobile. La face dorsale de la première phalange du petit doigt présente une petite croût
ajouter que d'ordinaire la sensibilité à la douleur est atteinte en première ligne ainsi que le sens du tact, que la sensibi
f basé sur la connaissance des troubles dont elle est atteinte ? Au premier abord on est assez aisément dérouté. Il paraît
Le 5 septembre 188G, M. le professeur Charcot remarquait pour la première fois une déviation spéciale du corps dans la scia
en 1886 était restée absolument ignorée de M. Charcot, lors de sa première observation sur ce sujet, laquelle date, ainsi qu
onais une communication sur la scoliose neuropathique. ' Depuis ses premières observations, M. le professeur Charcot a mainte
ès intéressante mono- graphie2, apportait également un correctif au premier terme de cette formule et citait trois cas de s
uérison. Dans le second, l'explication est aisée. La douleur, cause première de l'attitude vicieuse, s'atténue ou disparaît. L
tte affection a été décrite mais n'a pas été différenciée, jusqu'au premier travail publié par cet auteur dans le journal de
analogues à celles du côté opposé. État actuel. - Ce qui frappe au premier abord chez notre malade, NOUVELLE ICONOGRAPHIE
son évolution et de ses carac- tères cliniques. Il y a vingt ans, premier accès éléphantiasique avec localisation oedémat
petite ville du bassin de la Loire la pro- fession de forgeron. Au premier aspect, à cette attitude décrite si soigneuse-
aucune raison de douter de sa véracité. Je conseillai dans cette première entrevue un traitement légèrement anti- phlogis
e affection du système nerveux, poliomyélite, tabes, etc. Dans Ta première observation, la diplopie, le strabisme divergent
e fut moins lente et entraîna la mort quatre ans après le début des premiers symptômes oculaires. Ons. XIX. Ophthalmoplégie
Pas de douleurs fulgurantes. Pas de vomissements. Le 4 novembre, première consultation de M. Charcot. On note la paralysie
132. Faiblesse extrême. Rien dans la poitrine. Enorme souffle au premier temps du coeur, remplis- sant tout le devant de
59 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
MPÊCHENT COMPLÈTEMENT l’efficacité DU MAGNÉTISME. Il faut placer en première ligne l’opium et tous les narcotiques, l’onanisme
bserver les faits inexpliqués jusqu’ici. L’origine des forces, causes premières de la vitalité humaine, est encore inconnue. Sont
les uns parles autres, prouver l’existence des seconds par celle des premiers , et en faire ressortir une doctrine réelle, fondé
; mais peu à peu la voix devint plus claire, et à la monotonie fies premiers sons succède un chant vibrant et sonore. L’opér
agnétisme, mais en exagère les dangers; voici sa conclusion : • t.e premier qui -voulut diriger la foudre Tut consumé; mainte
tranchés peuvent être rangés en quatre groupes principaux, savoir : Premier groupe. — Chaleur ou froid des membres, accélérat
méro.) CLINIQUE MAGNÉTIQUE. AFFECTIONS DES VISCÈRES ABDOMINAUX. Première observation.— M. Zanety, plâtrier,Italien, demeur
n-« dant cinq jours; 6 décigrammes de rhubarbe : en « prendre dans sa première cuillerée de soupe, pen-« dant huit jours. Guér
e magnétisme dont le programme nous «st inconnu. Il s’est, dans cette première leçon, attaché à établir l’existence et la filiat
r et te conduire ; qu’en as-tu fait? Réponds. Tu l’as éteinte dès tes premiers pas, voulant marcher dans l’ombre, et c’est en te
a à avoir des extase* dont je me réserve de raconter un jour les deux premières . Je m'abstiens de toute hypothèse sur l’état du
le continue à présenter les phénomènes que je vous ai relatés dans ma première lettre, et qui, au besoin, pourraient être attest
effets partiels de décomposition, après les vieilles expériences des premiers inventeurs. Depuis Franklin, Voltaj puis Davy, pu
O ' SOMNAMBULISME MAGNÉTIQUE. (Suite.) § VI. — SOMNAMBULISME. Première observation. Une jeune fille de dix-sept ans, o
le faire jaser, le dénonce. Les juges écoutent la déposition de son premier maître; celui-ci raconte les faits de vols', les
IRES DO SOMNAMBULISME MAGNÉTIQUE. (Suite.) § VIII. — MAGIE. Première observation. « Une des circonstances les plus s
nu prochain numiroJ}- CLINIQUE MAGNÉTIQUE** Névralgie scuyiqce. — Première observation.— Le 23 juin 1S45, M. B"**, pharmacie
e. Le 10 juin 1845 un léger engourdissement fut le résultat do ma première magnétisation ; le 18, plus de mal de léte, batte
duite, vient confirmer la règle pratique: tous éprouvent la série des premiers effets qui naissent de toute mesmérisation réguli
OIRES DU SOMNAMBULISME MAGNÉTIQUE (Suite.) § VIII. — MAGIE. Première observation. (Suiie.) « Nous réglâmes nos con
ies égales d’opium brut, de myrrhe, d’encens et de benjoin. « Comme premier exercice, Prudence joue une par- lie d’écarté a
ses de la partie. Dans une des dernières séances, on fit, après cette première expérience, passer entre les mains de Prudence di
eut voir en aucune manière, d’après certaines précautions prises à lu première séance par deux de nos confrères, qui placèrent e
anchement de sérosité dans le canal « rachidien. Cette maladie a pour première cause la « boisson d’eau froide qui a produit une
ter l'anniversaire de lu naissance de Mesmer. Rien n’a manqué à cette première fôte. Animé par une sympathie véritable, pur une
les traits de Mesmer pour tjjie médaille qui porterait La date de ce premier banquet, de cette première l'ôte, afin que chaque
tjjie médaille qui porterait La date de ce premier banquet, de cette première l'ôte, afin que chaque membre de cette réunion en
nte petite fille recueillit les dons de chacun. C’est ainsi que cette première fête se termina. Le plaisir n’avait pas cessé d
par suite, la parole, à une jeune fille devenue sourde-muette dès ses premiers ans, à la suite d’une grave maladie. Tous les méd
ce document scandaleux ; de l’autre, on doute de son existence. Aux premières , nous répondons que nous sommes d’avis qu’on ne d
de condamner, a'priori, tout ce que la raison humaine ne peut pas, du premier coup d’œil, embrassér dans ses résultats, ce qui
dont la plus grosse est de la forme et du volume d’un œuf. « Cette première dissection n’a pas duré moins de dix minutes, mal
eures trente et une minutes on commence le pansement. Les bords de lu première plaie sont réunis à l’aide de cinq épingles trave
s vagues. ' CENT DOUZIÈME ANNIVERSAIRE DE LA NAISSANCE DE MESMER. Première célébration, 23 mai. Conformément à un paragrap
, avant toutes choses, je dois me rappeler qu’elle « me blâme, et mon premier soin doit être de faire « parler ma respectueuse
nous tendirent une main secourable dans les ténèbres et guidèrent nos premiers pas dans le champ de la réalité, éblouissante pou
autres nations, comme de la liberté, lui fussent re-« devablcs de ce premier bienfait, de l’art infaillible « de se guérir et
in, pour surveiller l’exécution de la médaille commémorative de cette première réunion. * Revue des journaux. — Le Passe-Tem
erse, s’appelaient plus particulièrement prêtres. Ils différaient des premiers en ce qu’ils initiaient des étrangers à leurs mys
avec étonnement, le vase se renverser et le malude être guéri. » Ln première partie de ce curieux récit s’obtient aujourd’hui
es. Nous y trouvons relatée la guérison de : 1° Trois brûlures de premier et de troisième degré ; 2° Trois contusions gra
omédie : il s’en joue tant de semblables sans qu’on s’en fatigue. Ton premier médecin, qui n’a pu réussir, sera approuvé, recom
s nous ont laissés dans une ignorance complète sur son origine et ses premiers ans. En recherchant le jour de sa naissance nous
est si méchant, et vous si innocents de ce dont on vous accuse!... Première observation. On trouve dans la chronique manusc
r dans les manuscrits do Mesmer les idées que fit naître en lui notre première révolution. Doué d’un puissant génie, cet homme e
chaque individu, une base qu’on peut dire fondamentale ou un ressort premier et général qui dirige les actions les plus variée
lle la nature 1 avait placé des lois particulières à son espèce. Sa première existence, ainsi que le développement de ses facu
s races de certains animaux en perfectionnant leur génération et leur première éducation ; pourquoi ne mettrait-on pas autant d’
bservation que rien ne peut remplacer; 4° Que l’enfant reçoive pour première nourriture le lait maternel au premier moment de
4° Que l’enfant reçoive pour première nourriture le lait maternel au premier moment de sa naissance; 5” Que la mère n’ait d’
par un grand nombre d’expériences dont ils citent les suivantes : « Première expérience.— Si, l'aiguille du galvanomètre étant
u et mesuré les courants du fluide qui entoure les corps vivants. « Première série d'expériences. — Io Soit un barreau de 1er
pe allumée, un tuyau de calorifère, etc ; alors vous pouvez opérer. Première expérience. « Les choses étant disposées comme
ion jusqu’à ce que vous retiriez le bras; dès ce moment il reprend sa première position et la garde. Seconde expérience. «Si
cée dans les replis d’une couleuvre, qui se disposait à l’avaler. Son premier mouvement fut de les jeter tous deux dans l’eau,
, Bernardin de Saint-Pierre ouvrit un cours de morale à Paris; dès sa première leçon, ¡1 lui arrive de prononcer dans une phrase
ivement et avec bruit. Le second mouvement est tellement rapproché du premier qu’il est impossible qu’il n’y ait point attracti
meil magnétique et les phénomènes du somnambulisme. « Ce fut là mon premier essai et mon premier pas dans la route du magnéti
s phénomènes du somnambulisme. « Ce fut là mon premier essai et mon premier pas dans la route du magnétisme ; dès lors je com
ns français et étrangers; et quelque absurde qu’elles me parussent au premier abord, mon scepticisme indifférent fut grandement
tiques, ils ont une immonse portée. » i i i Je revins donc de cette première leçon avec la résolution calme, mais ferme, mais
la marine. — Saffrey, lieutenant de vaisseau. — Le Goupil, commis de première classe de la marine. — Naudet, greffier des tribu
Mais nous nous écartons un peu de notre sujet. Reprenons donc notre première proposition. L’état de santé du corps humain dé
s à cet égard. Je ne cite pas d’autres observations à l’appui de ce premier principe ou aphorisme, quoique je puisse en rappo
que sa démonstration est une conséquence rigoureuse de celle des deux premières propositions; en effet, si en diminuant ou renfor
qui dit que dans les maladies nerveuses le magnétisme doit passer en première ligne, ont attesté sa puissance curative. Mais la
'assure que ma main ne s’y appuie réellement pas. A la fin de cette première séance, qui a duré en tout 40 minutes, j’essaie l
la dissout définitivement. Annonce des règles pour le 28. 27mai.— Première crise. Je la soutiens au lieu de chercher à la ca
elque lemps était bien remise, est redescendue plus que jamais* Mon premier soin est de la replacer. Pour cela, la main posée
re « pleinement. Tout m’est découvert. Ecoutez. «Ma maladie date du premier jour de ma nais-o sance ; ma nourrice avait eu la
é de lui donner une vertu purgative, deux heures après l’ingestion du premier verre, le cours de ventre reprenait comme précéde
tes. La catalepsie, la rigidité tétanique des membres, pro duitesen premier lieu,surprirent étrangement,ébranlèrent tous les
ir : C’est bien, très-bien, d’avoir décidé qu’une médaille de cette première féfe en l’honneur de Mesmer serait frappée et pos
essive de 1 tLa santé, la sûreté et la propriété sont les moyens du premier , et l’éducation du second. L’éducation de l’hom
is il ne vient absolument rien (1). Un autre magnétiseur, aussi (le première farce, M. de Geslin, convoque la même commission,
site point à conclure que l’éthcr, fond commun des êtres, est l’unité première dans laquelle tout sc résume, nous ne pouvons pas
traitement ordonné par la somnambule : 8 septembre.—Durant les six premiers jours, manger le matin, à jeun, et le soir, une h
es de bouillon de veau. Le soir, do 8 à 11 heures, pendant les deux premiers jours, boire un litre de décoction de houblon. Le
lle société du magnétisme, ont déjà donné leur adhésion écrite. Cette première liste ayant été spontanément couverte de signatur
de l'expérience. Le sommeil lucide est presque toujours produit de premier jet et par des personnes étrangères à toutes conn
donc pas étonnés de le voir descendre de la chaire, lancé par un des premiers orateurs chrétiens. Dimanche, 6, les voûtes de la
té, malgré leurs vives réclamations, exclus immédiatement. Les deux premiers paragraphes sont restés sans application. La comm
resse répandent dans le monde ces paroles mâles, éloquentes, d’un des premiers orateurs chrétiens, paroles quo nous avons transc
rrogation, et chacun lui donne un remède. U cscrit leur nom, comme du premier . Et ainsi, poursuivant son chemin tout bellement,
i les rendissent supérieurs aux autres hom- (l) Erreurs populaire/, première paille, Ht. I, clinp. ix. mes. Ils n'ont donc f
60 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
res de la famille. Antécédents personnels. Il a souffert pendant sa première enfance de divers accidents strumeux sans gravi
ncters, ni gène de la marche, etc. Étal actuel (décembre 1887). - A première vue, on est frappé de l'ap- parence tout à fait
d'adduction des doigts ne s'exécutent plus, de même la flexion des premières phalanges, et l'extension des deuxièmes et troi
hypothénar. A la main gauche on observe une cicatrice au niveau du premier espace interosseux. Il serait survenu la, sans
ieusement, sans cause apparente, et occuper aussi la main droite en premier lieu. Les lésions sont moins avancées, elles ne d
8 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTHIÈRE. à droite, mais les trois premiers doigts des deux côtés en étaient exempts. Tous
iffe carac- téristique, atrophie des interosseux, en particulier du premier , parésie du cubital antérieur. Il existait de p
selon la réserve exprimée par cet observa- teur, de manifestations premières d'altérations de la moelle et de ses racines ?
joints (pl. III et IV) en disent plus qu'une longue description. Au premier abord rien ne ressemblait plus au gonflement du c
s extenseurs du cou et de la tête. Il n'en est pas moins vrai qu'au premier abord, c'est ce changement de volume du cou qui
doigts, étendus, sont déjetés vers le bord cubital; la flexion des premières phalanges se fait normalement, mais celle des deu
ment fléchie et portée en adduction et rotation en dedans, les deux premiers orteils gauches reposant sur la face dorsale du
peut-être, en présence des accidents nerveux si intenses des quatre premiers mois, porté à assombrir ce pronostic plus qu'il
it (la fracture siégeait au niveau des douzième vertèbre dorsale et première lombaire). Dans deux autres cas il existait des
entraîne pour ces fractures, même après que la malade a échappé aux premiers acci- dents, un pronostic assez sévère. Ils cré
fait tenir à la main, le membre supérieur étant étendu. Les deux premières figures représentent les courbes dynamogra- phi
némique, se trouve dans un état de nutrition satisfaisant. Dès le premier coup d'oeil, on est surpris par la gros- seur e
ait toujours dissidente, niais l'un de ses docteurs-régents Deslon, premier médecin du comte d'Artois, l'un des frères' du ro
lit ou au milieu de la cour et se cramponne de toutes ses forces au premier objet qu'elle trouve et on peut à peine vaincre l
ogues et nous en avons de notre côté publié un semblable dans notre premier travail sur la catatonie2. Mais si l'attention
sur le sujet sain (et dont la figure 2G reproduit une fraction des premières minutes), on voit que les lignes sont absolumen
êmes conditions que le tracé de la figure : ! 5, mai' pendant les 7 premières minutes. Go tz 0 CI - . ! i n L-
a série tabétique avaient presque atteint leur apogée. Pendant le premier mois il y eut une amélioration marquée portant su
, il a présenté à nouveau les ataxiques qui ont servi de thème à sa première leçon; l'amélioration non seulement se maintenait
ons du collier en plaçant la boucle supérieure de la- pièce dans le premier , le deuxième ou le troisième des crans ou encoche
oit être placée en dehors. ' : Il est parfois, nécessaire, lors des premières séances/chez les indivi- dus sensibles, trop gr
nsi dire. Reste maintenant il placer les 'pièces' des aisselles. Au premier . abord, elles semblent de peu d'importance, et
nfants, l'autre en a eu trois qui sont morts dans les deux ou trois premiers mois. - La mère a 44 ans; se porte bien, mais trè
ls; impossible de rien savoir sur ce point, pour ce qui a trait aux premiers temps de son mariage. Alors « la chair » aux ma
blépharospasme persistait encore avec tous ses caractères dans les premiers jours du mois de février : on le faisait disparaî
r être un peu moins fréquente, n'en est pas moins un phéno- mène de premier ordre comme accompagnement des manifestations h
portant, ne présentait pas de cyanose, pas d'asphyxie. Il passa sa première enfance à la campagne, élevé au sein, par une nou
il était propre. La dentition se fil il un an, et l'apparition des premières dents ne fut accom- pagnée d'aucun trouble ; ma
ué d'une excellente mémoire. C'est à cet époque qu'apparaissent les premiers accès. A 4 ans il eut la variole, à 5 ans la roug
lle est par conséquent moins bénigne qu'on ne pourrait le croire au premier abord. G11. Féré, E.-V. PERRUCHET, Médecin de
ns nous dispenser néanmoins de citer les uns comme les autres. Au premier rang, voici plusieurs scènes d'hôpital. Une fre
a toujours été d'une santé irrépro- chable jusqu'à l'apparition des premiers troubles qui marquèrent le début de la maladie
s jours de l'année 1888, cinq mois, environ, après l'apparition des premiers symptômes, elle dut renoncer à son métier de pl
ni). il- Il Les phénomènes constatés, particulièrement chez notre première malade d'une part, les expériences concordantes
ralement ' - 1 Sans chercher le pourquoi des limiles'bizarres au premier abord de cette distribution de l'insensibilité,
int de vue clinique, pour le diagnostic différentiel, un intérêt de premier ordre. Ces observations ont trait à la contra
eux qui, ayant présentes il la pensée les formes des squelettes des premiers spécimens du grand arbre généalogique, jetterai
n se jouant encore qu'il en reculait les limites et s'y montrait au premier rang. Géomètre, physicien, philosophe, il ne se l
parce qu'il cessa d'y marcher. Écrivain, à peine avait-il publié sa première Provinciale, qu'il fut un auteur sans rival et
Rien de particulier à noter durant le reste de son enfance et les premières années de son adolescence, si ce n'est une précoc
e voir l'oeuvre d'un esprit aussi jeune... C'est ainsi que, dès ses premiers pas dans la vie, emporté par l'irrésistible ins
Pour déterminer exactement les singularités que présente, dès le premier aspect, le masque de Pascal, nous ne pouvions mie
ion particulière, fin septembre 1884, au.moment de l'apparition des premières règles. (i J'ai pu constater, dit-il, que sa dé
ze ans à la suite d'une vive émotion. Trois semaines après il a son premier accès. En 1878 (seize ans) premier séjour à Bic
Trois semaines après il a son premier accès. En 1878 (seize ans) premier séjour à Bicêtre : il avait alors un ou deux ac
'accroissement de leur volume et le rehaussement des bords des deux premières phalanges à la face palmaire. Le pelvis est b
Mais huit jours après, revenant de l'Hôtel-Dieu où elle avait eu sa première attaque, et passant sous le petit Châtelet, elle
oprement parler l'atrophie musculaire. Dans ses Leçons cliniques du premier semestre de l'année 1. G'atroa musculare nelle
modifia profondément (tristesse, crises de larmes, etc.) il eut sa première attaque d'hystéro- épilepsie. Depuis lors, il
En 1887, deuxième attaque de contracture généralisée semblable à la première mais qui ne dura que huit jours. En juin 1888,
as les muscles de l'épaule qu'elle n'atteint pas. Pendant les six premiers mois qui suivirent l'accident, B... nepouvaitaval
ANS L'HYSTÉRIE. 269 jours, il recouvra l'usage de sa main. Les deux premières fois, quand sa main était anesthésique dans tou
sie s'est atténuée. L'oedème est moins marqué. Le pouce et les deux premiers doigts sont animésd'un tremblement léger secous
remue les doigts; au bout de six autres semaines guérison complète. Première grossesse très bonne; deuxième grossesse très m
s de la peau, avec rougeur et saillies oedémateuses, ressemblant au premier abord à distance à des verge- tures, des cicatr
partie sur la région anesthésiée, devient saillante d'abord dans la première portion seulement - puis la seconde s'élève à son
montré M. Charcot dans sa Leçon du 5 février, d'occuper un rang de première importance en clinique, n'est pas le simple fait
i donne un tracé bien diffé- rent, à peu près rectiligne pendant le premiers jours, s'abaissant jus- qu'à la mort, où se rel
filets sympathiques dont l'origine serait le rameau communicant du premier nerf dorsal. Ces notions sont intéressantes au
ion exacte du processus gliomateux (origine médullaire ou réelle du premier nerf dorsal), si la théorie de l'innervation de
il rentra à la caserne, et ce fut immédiatement après qu'il eut sa première attaque. Yoici quelétaitsonétatle 4 mars-1888,j
e vertical, quoiqu'un peu dévié en bas et à droite; celui des trois premières dorsales est fortement oblique en bas et à gauc
ne hauteur manifestement diminuée en avant (15 mill. pour les trois premières ; 11 mill. pour la partie droite de la 5). Out
sur le cinquième. Epiphyses volumineuses. Extrémité postérieure du premier métacarpien : haute de 35 mill., large de 20 mi
61 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mois à l'asile (1882). Rentrée chez elle, elle reprit ses habitudes premières , tenant bien son ménage, mais exagérant toujour
hon, diable r, et parfois le mot « Dieu » qui surgissait à côté des premiers ; c'était, dit-elle, comme un blasphème. De même
our décrire les amnésies hystériques il faut, à mon avis, mettre en première ligne un caractère qui vous sur- prendra peut-ê
our, à savoir démêler ce qui est véridique et à ne pas condamner du premier coup, sans examen plus approfondi i. Ce, que- M
nt être systématisées, localisées, géné- rales ou continues. .Les premières sont peut-être les plus communes : les ma- lade
ux, celui du Dr Despine (d'Aix). Il contient, à mon avis, l'une des premières et l'une des plus remarquables descriptions de
ns trouver l'ex- plication de l'amnésie hystérique ? Cela semble au premier abord très vraisemblable : lI"'e D..., par exem
somnambulisme réciproques certains états tels que le sou- venir du premier se retrouve dans le second et le souvenir du se
aie guérit très rapide- ment, mais trois mois après Ser... avait sa première attaque d'épilepsie. Voici son histoire à par
erhémisphérique. Mais la compression porte particulièrement sur les première et deuxième frontale. On peut résumer ainsi tou
a' cicatrice osseuse que nous avons décrite doit comprimer les deux premières circonvolu- tions frontales droites ainsi qu'un
Il s'est encore mis à pleurer en disant : « Voilà, c'est comme la première fois. » , , Cette fugue avait duré vingt-huit h
H. ROT- TENDILLER. (Cent1'alblaU. f. Nervenheilk. NF.,II, 1891.) Première étude : manie avec idées de grandeur bizarres et
e accumulateur dans lequel se développe un second courant opposé au premier (expé- riences démonstratives au moyen du galva
ns les petites localités, elles abou- tissent à la publicité. Cette première déclaration n'est pas, d'ailleurs, la seule act
seignement ni l'éducation en commun; il vaudrait mieux réserver aux premiers des établissements séparés comme cela s'est lai
in de l'opération étaient pleins de sang. La plaie se cicatrisa par première intention, mais le liquide continuait à fil-' t
l'étaient à un égal de- gré. Il contient, en effet, des mémoires de premier ordre qui ont consacré à jamais la grande réput
s'agissait de la première édition. Ce sont cette fois les.vingt-six premières leçons qui paraissent en seconde édition. Comme
e question au Conseil su- périeur de l'Assistance publique. Titre premier . - l3ut de la Société. ART. 1. - La Société de
s. Le tirage au sort désigne ,les membres sortants pendant les deux premières années. Après la troisième année, les membres é
l de Ville dans la salle des délibérations du Conseil municipal, au premier étage, où sera le siège du congrès depuis la ve
spère trouver le moyen de détruire quelques-unes de ces racines aux premiers temps du développement. C'est un objet louable
e au douzième mot, tantôt, quand elle est parvenue à franchir cette première diffi- culté, elle se trouve très perplexe à la
à se laver les mains plusieurs fois. Très exaltée au moment de sa première communion ; elle s'ima- ginait toujours s'être
uefois celui-ci s'installe brusquement dans sa pensée et restant au premier plan, efface tous les autres souvenirs et devie
ar la façon dont M. Féré calcule ses coefficients urotoxiques (voir première note). Depuis ces diverses communications, au
nos expériences sur les cobayes). Nous rapportons tout de même ces premières expériences parce que dans plu- sieurs de nos e
es et enfin le temps relativement assez long qui a amené la mort du premier animal, la toxicité des urines de Sep ? proe ou
njection.) Le 10 octobre, une attaque de jour. Le 11 2 de nuit. Première injection. L'urine recueillie le 29 est claire, e
lles punc- tiformes. Respiration précipitée et superficielle; à 50, première attaque de secousses. Ce sont des convulsions t
L'urine a été recueillie du 30 avril, 9 heures du matin, après la première attaque au leur (même heure). La surveillante m'a
ons abondantes d'urines claires pendant l'injection des trois cents premiers centi- mètres cubes. Autopsie. Congestion rén
tre heures. Urines pendant le délire. Le 11 avril, l'excitation des premiers jours commence à tomber. Hug... a son délire ha
grammes. Injection en quarante minutes de 272 c. c. Pendant les 100 premiers c. c., pas de myosis, au con- traire, dès le dé
et la ligne de démarcation passait par le point de fixation. La · première attaque dura 10 à 12 minutes, et la seconde, surv
je savais que c'était le prélude de la fin de l'attaque. En 1871, première attaque d'épilepsie complète (chute avec perte
nsultation externe de la Salpê- trière, 6 avril 1886). ' En 1878, premières attaques d'épilepsie partielle, qui se renouve-
eures du matin). Peu de temps après (vers le mois de juillet 1878), première attaque d'épilepsie partielle au bras, droit, q
erne de la Salpêtrière; 4 janvier 1881.) Rien durant son enfance. Première attaque d'épilepsie partielle à la seconde époq
temps, les accès sont revenus depuis deux mois avec leur intensité première . Les attaques sur- viennent à peu près deux foi
1891 (trois mois avant qu'il ne vint à la consultation), il eut sa première attaque d'épilepsie partielle. Il se trouvait u
e et la régularité qui président à l'agencement des parties qui, au premier abord, ne présentent que contusion. Ces choses
eurs sensations. . Bien que nous soyons peu renseignés sur la cause première delà prédominance du côté droit et de l'habitud
ileptique, nous ne voulons point dire que ce soit toujours la cause première de l'affection. Les recherches cliniques ont en
à un si haut point en chirurgie cérébrale. C'était là, je crois sa première opération et le fait est d'un assez haut intérê
fection en foyer. Par conséquent, il est douteux que, dans les deux premières observa- tions, le trouble de la motilité doive
toidien, du trapèze et du splénius du côté gauche, originaire des premiers mois de la vie, a abaissé le rocher, tiré sur la
rticle serait la forme atténuée (ni paralysie, ni contractures). La première aurait pour facteur la propagation des lésions co
faciale périphérique tout au début de la syphilis, à la période du premier exanthème, alors qu'il ne saurait être question
nateur. Séance du lundi lor août. - Présidence de M. Tu. ROUSSEL, Première question : Du délire des négations ; sa valeur
ariétés a fait disparaître les contradictions et les lacunes de son premier travail. Il importe donc d'établir un groupemen
lles sont en rapport avec des modi- fications de la base organique, première , de la personnalité. Le délire des négations, d
moins du délire typique de Colard. Mais ces cas n'infirment pas les premiers ; ils doivent être considérés comme des cas moins
Charpentier. 11 faut désencombrer les asiles : voilà la ques- tion première qui s'impose. Que cet encombrement résulte de la
ont fourni le prétexte de la persécution et qu'à eux reviennent les premiers torts; ce sont des victimes, mais coupables, et n
à tous les persécutés, s'en distingue cependant par un caractère de premier ordre. C'est à peine s'il en veut à ses per- sé
usceptible de rémissions, plus tenaces quand la conviction maladive première est elle-même plus durable. M. RITTI (de Pari
e rémission complète de la paralysie générale. A s'en tenir à cette première partie de l'histoire du malade on se trouverait
a craniectomie a été préconisé par M. le professeur Lannelongue. Sa première opération a été faite le 9 mai 1890, chez une p
qué le 30 juin 1890 à l'Académie des sciences une note résumant ses premiers résultats 1, Suivant lui, il y a trois théories
juin 1890, p. 1382.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 317 maintient son opinion première sur « l'ossification anticipée des sutures » ch
ibi que les photographies de leur cerveau. Par opposition à cette première série de cas, M. Bourneville fait voir les phot
57.) L'opération que je me propose de faire prochainement, est la première de son espèce qui, autant que je sache, ait été a
r 1890, travail normal, sans diffor- mité, pesant environ 6 livres. Premier enfant de parents âgés d'à peu près vingt-cinq
dixième jour, on renouvela le pansement, et la plaie se referma par première intention sans aucune suppuration. Le malade
ration. 1891. 17 février. Une opération absolument semblable à la première fut faite sur cette malade à l'hôpital Jefferson.
ait fait plus de progrès depuis la seconde opération qu'après la première . (Il s'agit de l'enfant dont il est parlé plus ha
e cinquième jour. La marche de la guérison est identique à celle du premier cas. 3° CAS : - J.-L. H., garçon âgé de seize m
.) A. F..., fille âgée de quatre ans et demi ; accouchement normal; premier enfant ; commença à mar- cher à deux ans et à t
loppemment corporel normal, et le teint vermeil. On voit de suite à première vue la dimension relativement petite de la tête
e qu'on la lui doit ' toute, elle n'en est pas moins séduisante, au premier abord, par son originalité, et, après la lectur
mais elle ne comprend rien au calcul et tandis qu'elle est une des premières pour l'orthographe, l'histoire, la géographie,
le lance le mot pré- servateur pour conjurer l'influence funeste du premier . Observation XXVII. Dégénérescence mentale. Ono
re lequel il invoque un autre mot, vérité qui combat l'influence du premier . Souvent il ajoute treize' au mot dont la signi
a des accès à forme d'épilepsie sensitive. Ils ont le caractère du premier accès qui lui prit en 1889. Cepen- dant il est
voir classer des accès d'aphasie motrice, que G... présenta dans sa première ' L'amnésie hystérique est à présent l'objet da
presque contem- porainement, nous porte tout de suite à discuter en première ligne l'hypothèse d'une : a. - Syphilis céréb
l'épilepsie Jaclisonienne. (Arch. sur Psichialrie, XXI. Observation première .) ' V. Charcot. Epilepsie partielle crurale et
ADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 405 dont Cha... est victime, parait au premier abord presque banale; en effet, la parésie, le
e soutire de maladies nerveuses. Antécédents personnels. - Dès sa première enfance B..., a exercé le métier de saltimbanqu
L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 411 an après son premier accident sa maladie actuelle se manifesta de la
. Le fait d'avoir perdu connaissance, ce qui lui arrivait pour la première fois depuis l'accident de la foudre, effraya beau
éveloppés des deux côtés. B... est resté à la Salpêtrière jusqu'aux premiers jours de juillet. Dans cette période il a prése
du lobule parencentral. Et tel en effet fut le diagnostic porté du premier coup, main- tenu pendant longtemps. Cependant,
F... présente un bredouillement et un bégaiemennt qui datent de sa première crise. Ils sont parfois tellement intenses que
dans l'hys- rérie. Serait-il nécessaire de démontrer que les trois premières de ces affections doivent être éliminées ici ?
es rudimentaires, la migraine et l'amblyopie transitoire, dont la première est beaucoup plus fréquente et pour ainsi dire pl
pie transitoire. En effet, pendant la période des prodromes et le premier temps de la douleur, on remarque tous les signes
chercher ce phénomène maladif. Les hystériques se présentent, au premier abord, sous deux aspects différents, les unes son
glas l'a constaté aussi de son côté, spontanément sans connaître ma première communication, chez une malade du service de M.
e de AI. le professeur Gros, 1 Les autres études qui complètent ces premières conférences seront publiés dans un ouvrage qui
uelques mots très courts, et encore reste-t-il le plus souvent à la première syllabe qu'il répète plusieurs fois. Le il avri
et pourtant les acci- dents qui ont suivi n'ont guère dffféré des- premiers , ce qui prouverait une fois de plus, s'il en ét
rme aux intérêts de l'aliéné et à ceux de la société. Considérée au premier point de vue, elle soustrait le malade à des ch
u, l'élément provocateur (halluci- nations de la vue et de l'ouïe). Première opération, 29 décembre 1888. A la curette tranc
ation le 8 mars. Résection de l'écorce de la partie postérieure des première et deuxième temporales, soit 2 gr. 50 de cervea
ctes de défense. Hallucinations de l'ouïe. Excision de l'écorce des première et deuxième frontales gauches; on trouve en cet
hronique. Hallucinations de l'ouïe, de la vue, du toucher. Démence. Première opération : excision de l'écorce du champ verba
eud de pro- cessus pathologiques. Mais il faut être un opérateur de premier ordre, un strict observateur de l'anatomie topo
ans qu'existe la Sociélé. C'est le 6 juillet 1867 qu'elle a tenu sa première séance. La séance 1 Voy. Archives de Neurologie
avec multiplication très accusée des cellules araignées, dans les première et troisième frontales, gyrus rectus, frontales a
ière et troisième frontales, gyrus rectus, frontales ascen- dantes, première et deuxième temporales, du côté droit comme du
n était frappé de la disparition des cellules nerveuses au sein des première et deuxième couches de Meynert,. Le président
lo-moteur ccmmun, ce dernier n'est point du tout la continuation du premier . Le noyau de l'oculo-moteur commun commence, au
astrique, hypoglosse, étaient lésés. La mort était survenue dans la première semaine au moment où la maladie avait atteint sa
62 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ise au niveau du bulbe avec celui du côté opposé. A côté de cette première forme purement motrice on peut placer une forme
; elle est gauche si c'est le lobe occipital droit, de sorte qu'au premier abord il sem- ble qu'ici, comme dans les cas pr
core plus rigoureuse que celle à laquelle nous avaient conduits nos premières recherches. C'est ainsi que l'élongation doit êtr
ation et les bénéfices qu'on est en droit d'en attendre. Dans notre première com- munication nous disions que certains malad
anesthésies ne répond pas à celle des paralysies, et la marche des premières n'est pas nécessairement suivie, du même pas, p
rocher de lui et reste écarté latéralement. (PI. m.) " Les quatre premiers métacarpiens et le squelette des doigts normaux
dirigeant obliquement vers le bord cubital de la main ; chez notre premier sujet, c'est l'inverse que l'on pouvait noter, la
le doigt surnuméraire où nous remarquons encore la soudure des deux premiers segments osseux, phalange et pha- langine. Le
oppement de la face et des extrémités. Nous n'insistons pas sur les premières dont la photographie reproduite Pl. VII peut donn
ur le bord radial s'articule une courte pièce osseuse, ébauche d'un premier métacarpien qui se prolonge par une seconde pièce
mais notre malade exerce surtout sa main droite. La sensibilité au premier abord ne paraît pas troublée davantage, le tact e
de variole. Cette photographie a été prise sur la rive gauche dela première cataracte : l'individu qui se trouve sur le mêm
bre 1712, et mourut à Dresde, le 23 ou 24 avril 1 1774. Il eut pour premiers maîtres : son père Johann Georg Dietrich et le
es infantiles appartient incontestablement au type myxoedémateux. A première vue, il a toutes les apparences d'un enfant de
trois morts de mé- ningite, enfin qu'il se serait trouvé pendant sa première enfance dans de mauvaises conditions de nourrit
linger, n'admettait qu'avec certai- nes réserves les conclusions du premier ; il faisait ressortir les nombreu- ses analogi
es remarques dont il le fait accompagner, il se demande si la cause première de cette affection ne serait pas tout autre que c
e clairement qu'elles sont venues secondairement s'y ajouter. 11a première catégorie des tumeurs, appartiennent celles qui s
voit d'abord aug- menter lentement de volume dans les deux ou trois premiers jours, en même .temps que les douleurs s'exaspè
colonne vertébrale en se penchant. » , On croirait, en lisant cette première partie de l'observation, que les tumeurs de la
la fois. Dans le cas d'Henry, l'avant-bras droit a été le siège des premières manifestations morbides ; dans celui de Fuerstn
donald signale le bord postérieur du sterno-mastoïdien gauche comme première atteinte du mal. ' Dans quelques cas la tumeu
SCLÉRODERMIE LARDACÉE EN COUP DE SABRE DE LA RÉGION' FRONTALE 145 premier mois de séjour de ce malade à l'hôpital, son état
, nous relevons les anomalies suivantes : L'extrémité antérieure du premier métatarsien est hypertrophiée et dé- jetée un p
enfel a constaté sur le squelette la synostose des articulations du premier orteil. Partsch et Habeck parlent de l'ankylose
premières traces morbides remontent à la première enfance, aux deux premières années de la vie. Sur ce nombre, 12 fois la mal
t à 26 ans, et l'observation de Braum, publiée par Hawkins, dont la première atteinte est survenue ci 22 ans. L'affection se
s que chez les hommes, nous trouvons 19, 22, 20 et 35 ans, lors des premières attaques. Nous enregistrons ce fait sans y atta
'apophyse épineuse de l'axis, ou, sur les apophyses transverses des premières vertèbres cervicales, l'absence de déformation
x infantile, bien décrit par le J)r DiamanLberger, se dis- lingue à première vue de la maladie qui nous occupe. Dans la premiè
oute altération, les extrémités sont envahies en dernier lieu elles premières manifestations se mollirent au tronc, au dos ou à
e époque, en avril, et chacune d'elle a duré trois mois, les quatre premières ont envahi le côté droit, les deux dernières, au
BONNUS Ancien interne des hôpitaux. L'époque de l'apparition des premiers phénomènes de la Maladie de Friedreich est suje
nts à l'àge de cinq et huit ans, d'autres, au contraire, voient les premiers phénomènes cliniques se manifester il )'age de qu
gnements que nous avons pu recueil- lir, ce qu'a été au jusle celle première atteinte. Incidemment, je crois devoir vous rap
e, phénomènes de compression locale. La céphalée figure en tête des premiers . Elle a été d'une violence et d'une ténacité exce
ce siège; ce sont eux que j'ai qualifiés de symptômes cardinaux. Le premier en date est la titubation. Ce désordre de la marc
gmates apparents sur la mère. La mère a eu trois grossesses : . Première grossesse : fausse couche. Deuxième grossesse :
mois présenter un crâne d'une petitesse si dispropor- tionnée qu'au premier aspect on avait pu croire il une anencéphalie.
e disproportionnée ; le crâne a un développement si restreint qu'au premier aspect on croirait à une anencéphalie ; la voûte
ré en 1881. Femme restant indemne, assure-t-on. Trois grossesses. Première grossesse suivant immédiatement le mariage. Enfan
ofesseur A. Fournier) (inédite). - Père syphilitique et mère saine. Premier enfant hydrocéphale. - Second enfant affecté d'ép
8 (1). Marié en 1850. Mère restée saine. Quatre enfants. Les deux premiers ont été hydrocéphales in utero et n'ont pu être e
urielles, de six semaines chacune, avec le protoindure pour les six premières , et le sirop de Gibert pour la dernière : quatr
a été surveillée par l'un de mes collègues au point de vue spécial. Première grossesse, donnant naissance en 1876 il un enfa
is. Pas d'accidents secondaires remarqués. Mariage à vingt-six ans. Première grossesse donnant naissance à un enfant chétif, m
e grossesses qui se sont terminées de la façon suivante : les trois premières par des fausses couches et la dernière par la n
médecin pour « des taches roses à la peau ». Trois grossesses : Première grossesse : enfant mort en naissant. LES MALFOR
taminée par son mari à l'âge de vingt ans. A eu trois grossesses. Première grossesse : avortement à trois mois. Deuxième g
senté des accidents cutanés. Mère indemne ; a eu deux grossesses. Première grossesse : fille venue à terme, bien portante.
sèche du corps de l'ongle, survenue pendant le septième mois de sa première grossesse et sur la nature de laquelle il est i
de laquelle il est impossible de se prononcer. Deux gros- sesses. Première grossesse. Enfant venu à terme, bien constitué, a
que ; ayant contaminé sa femme six mois environ avant le début delà première grossesse. La mère" a eu un chancre des parties g
Nous pouvons à ce point de vue rappeler deux cas personnels. .Le premier se rapporte à une paralysie infantile développée
ure, légère- ment douloureuse à la pression ; elle couvre les trois premières côtes et va jusqu'au milieu du dos ; elle sembl
la plupart des tumeurs existantes à l'épaule gauche au moment de sa première admission, et, au milieu, une petite masse osse
t une partie se trouve dans le grand dentelé (elle existait déjà à sa première admission) et sur une côte à laquelle elle est
avec le vésica- toire ; le froid a une action sur les tumeurs. A sa première admission, il prend du colchique, du 19 au 30,
, 1878, nO' 20-2. Léopoldine Beck, 7 ans, a présenté à la fin de sa première année une diffi- culté dans les mouvements du c
est libre. Léger épaississement de la crête iliaque Anomalie de la première phalange du gros orteil. - Membre inférieur dro
bras étaient fixés dans la position qu'ils occupent actuellement. Première apparition des règles en 1882 ; maux de tête depu
ace. Une seule fois,on constata, huit mois après l'ap- parition des premières douleurs, un noyau osseux à la partie supérieure
t quel- quefois de craquements. La flexion des genoux, qui semble à première vue entièrement conservée, est cependant un peu
de la nuque qui ne cessaient même pas dans le repos au lit. A ma première visite, même dans le décubitus dorsal, la tête ét
tions de la tête avec la colonne qui sont prises les dernières : le premier malade de M. P. Marie, plus ankylose que le nôtre
ire. z Voici la relation succincte des faits qui appartiennent à ce premier groupe : (lus. Il (BoECK Med. Annalen voz Puc
nité. La mère, dont la voûte palatine est un peu creuse, a eu comme premier enfant une fille parfai- tement conformée, âgée
sse frontale droite est très mar- quée ; il ne semble pas exister à première vue d'asymétrie crânienne, mais si on prend des
nt d'hypertrophie. Du côté des épaules rien à noter. Il semble, à première vue, que la région du coude et de l'avant-bras so
mâchoire supérieure, que t dents : deux incisives, une canine, une première prémolaire. Il n'y a rien d'anormal dans l'aspe
la face est déformé et légèrement dévié. Cette déformation, dont le premier signe appréciable aurait été une augmentation de
nerveux central chez nos monstres. Commençons par l'examen des deux premiers cas. 1° Enfant-âgé de 2 ans environ, chez leq
a vie intra-ulérine. Dans tous les cas précédents, à l'exception du premier , les cellules de la corne antérieure examinées
ée dans toute son étendue, la convexité dirigée vers la nuque. A sa première moitié il existe une masse irrégulière, osseuse
er du nom de Charcot de faire connaître les qualités artistiques de premier ordre qui embellissent encore l'auréole du sava
llectuel de la France, le professeur Charcot mérite d'être placé au premier rang. Il a révélé aux médecins du monde entier la
e ; ils les façonnent pour la grandeur de la France. Charcot fut au premier rang parmi ces grands éducateurs. Aujourd'hui,
oins durable ! Retracer cette oeuvre dans ses grandes lignes fut ma première préoccupation, lorsque m'échut la lourde tâche
ent d'un devoir de piété filiale envers l'homme qui avait guidé mes premiers pas dans la carrière médicale. Il me serait imp
ons violentes; les accidents, toutes sortes d'empoisonnement et, en première ligne, l'alcoolisme. Pour déraciner le mal, il
que notre volonté intervienne autrement que pour donner l'impulsion première à des muscles habitués 1 se contracter d'une cert
nouveauté, de la thermométrie, de la physiologie, il était l'un des premiers à les appliquer à la clinique. Il était mû par
r, Messieurs, par ce court exposé, que Charcot était un maî- tre de premier ordre en anatomie pathologique et que son oeuvre
able, et que Lewinski lui-même est revenu sur l'ab- solutisme de sa première opinion (3). Il est du reste difficile de faire
artiennent en propre à cette paralysie associée et la distinguent à première vue, avant tout examen électrique, 'de la paral
ment que la gouttière scapulo-thoracique sera plus profonde dans le premier cas. D'autre part, dans l'élévation du bras en de
r elle est très comparable, moins l'intensité de la lésion, à notre premier sujet. Voici son histoire résumée : Virginie G.
d'être relevées. Au point de vue de l'étiologie nous voyons que la première manifestation est provoquée par une irritation lo
que nous eûmes bien soin de l'épuiser entièrement. Pendant les deux premiers jours qui suivirent la ponction la malade se trou
lutiond es signes physiques. Le jour où nous avons constaté pour la première fois l'épanchement, la malade était très calme. M
yens thérapeutiques mis en oeuvre et les résultats obtenus. Dans'la première attaque trois ou quatre ventouses scarifiées fo
ection pulmonaire, ne s'expliquerait- elle pas par l'hystérie ? A première vue l'idée est séduisante. En effet, lors de sa p
stérie ? A première vue l'idée est séduisante. En effet, lors de sa première atta- que nous avons été frappés de l'insistanc
R UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE 471 ment suggestive. Sa première phase est une attaque d'hystéro-épilepsie ; la
eil. Les phalanges semblent petites et mal développées. La tête des premiers métatarsiens est grosse. O¡;\'. Iconographie Dr
on de la main, sans limites précises, dans la portion tendineuse du premier radial. L'anconé est transformé en une pointe o
es poussées, de même qu'ils déterminent parfois la localisation des premiers phénomènes de la maladie ; DE LA MYOSITE OSSIFI
réfères, lu termineras les études, et tu seras médecin. » Les trois premiers enfants n'eurent qu'à s'incliner devant la décisi
usieurs Ibis en tête de ses lettres, pour indiquer l'adresse de son premier appartement. Un y voit un coq qui vient de pond
ne série de types nationaux dessinés par Char- ('11l IUI', de son premier voyage en fiu.ssic. )ja('('ttccti)t0)t est me
âtre un opéra de Wagner, il en sai- sit l'ampleur cl revint sur son premier jugement. Une vue d'ensemble lui avait permis d
itique était, aiguisé. En cela, son aptitude supérieure à saisir du premier coup d'oeil les caractères saillants ct il les
l. Son goût pour la satirc en images se révéla précocement. Ses premières tentatives ne sont pas les moins intéressantes;
le\'clll et l1al'llll. allcn- ti ! ' Ü SOli lahem, l'Ill 1111 des premiers collaborateurs du Maître : mieux qu'un élève, un
dessins de Charcot en sont remplis. , Que conclure, sinon que, du premier coup d'oeil, il était apte à recon- naître tell
63 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
elques jours après, les chants et les-cris avaient repris avec leur première intensité. Observation III. - M. A... (Joseph
e trouve de ce seul fait écartée, ainsi que je l'ai établi dans mon premier travail. Il importe donc de commencer l'étude d
que le pyromane n'est, pour ainsi dire, jamais découvert après son premier crime. Ce que j'ai observé et les recherches qu
. Il y en a même parmi eux qui n'opèrent qu'à ce moment; nos deux premiers malades étaient dans ce cas. Sous l'influence d
sant par Courcelles pour rentrer chez lui, il avait mis le feu une première fois; à deux kilomètres de ce village, il rencont
révenu réputé non aliéné; empressement à porter secours. Les deux premiers dimanches d'août 1881, deux meules de fourrage
toute résistance fut impossible ; et il commit immé- diatement son premier crime. Il est très affirmatif sur le mobile psy
eau. Le nommé Bard... (Alcide), né le 13 août 4830, est entré une première fois à l'asile de la Roche-sur-Yon, le 7 juillet
s, presque sans trace de sillons, dont l'un répond au pied des deux premières frontales et l'autre à la troisième. La circonv
parant ces états de la démence, à l'inverse de Griesinger. Ses deux premières classes d'aliéna- tions héréditaires comprennen
me originaire de Sander, en la divisant en deux sous-variétés. La première , hallucinatoire dépressive, après une période d'i
pathologiquement à transformer en fausses perceptions l'excitation première . Aussi le délire hal- lucinatoire se développe-
raison mystérieuse, celui-ci, procédant tout à fait à l'inverse du premier , progressera-t-il selon un mode uniforme et con
1876, sur 2,029 individus qui se trouvaient à Illenau dès les trois premières années de son exis- tence, 15 seulement sont re
cas irréfutables où il faut agir. Enfin les autres interviennent du premier coup et forcent l'ingestion ali- mentaire, soit
que l'écorce est uniforme dans ses fonctions. Munk est le chef des premiers , Goltz des seconds, mais, même painu les dé- fe
upe de 60 albuminuriques, ne constatait, quelques jours après son premier examen, que six à sept cas d'albuminurie. Il s'ag
ystérie infantile. Les troubles des facultés affectives sont un des premiers symptômes delà maladie. La symptomatologie est
ysicien ordinaire do l'illustre et puissante République de Berne. PREMIÈRE NARRATION Il existe dans le district d'Erlach,
jeune malade, ils exposèrent le motif de leur visite et l'ordre du premier magistrat, et demandèrent la permis- sion d'exa
ne durerait pas longtemps et qu'elle recouvrerait bientôt sa santé première , ou serait appelée au ciel pour partager les cé
s qu'elle faisait au mé- decin et au chirurgien qui, par l'ordre du premier magistrat, avaient été envoyés vers elle, et qu
la mission retournèrent chez eux et remirent le cas tout entier au premier magistrat. Ce dernier, pour plus de prudence, e
t la réputation de cette femme, et ordre leur fut donné de venir au premier jour à la ville pour rendre compte de leur enqu
ependant, l'innocence de la mère ayant été reconnue, par l'ordre du premier des magistrats, après huit jours d'interne- men
au mois de mars de l'an 1602, avait dix-huit ans"; toutefois, ses premiers jeûnes ne 'durèrent qu'un mois. Ses moeurs avai
doute, d'après nous, que la mort devait bientôt en résulter. Notre premier soin fut de demander au Sénat des lettres pour
te sortait de sa bouche. Nous trouvâmes également que, depuis notre première visite, ses cheveux étaient revenus à leur long
; qu'elledoit, en outre, donner satisfaction à un intérêt social de premier ordre et aux piéoccupations légitimes et sans c
u'elles doivent inspirer. L'énoncé du problème fut l'objet de nos premières préoccupa- tions. En le posant, le gouvernement
portance et vous dire qu'à côté de l'action médicale reconnue de première nécessité, le Gouvernement a proposé, et la commi
éditations profondes, de ses études attentives et soutenues. Si, au premier abord , elles vous surprennent, veuillez y réfl
suite au rapport ,contient les changements apportés à la rédaction première , et, SÉNAT. 155 quand ce texte a paru, la mêm
ications qu'elle avait elle-même consenti à apporter à sa rédaction première . Elle s'est convaincue qu'en revenant purement
tion la fonction d'assistant des cliniques médicales du collège, de premier assistant de la clinique du DT Séguin, de profe
questions ultérieures que nous lui adressons, elle suit son idée première et nous fait des réponses qui n'ont aucun rappo
maintenant de fixer avec une certitude suf- fisante pour fournir du premier coup au jugement et à l'instruc- tion du médeci
oportionnelle à leur nombre. Nous allons démontrer que sur les deux premiers points les opinions de l'auteur sont erronées e
I. DE LA TEMPÉRATURE DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'ÉPILEPSIE. Dans nos premiers travaux sur la température des épilep- tiques (
n actif. La seconde forme serait le délire des grandeurs associé au premier ou existant seul, le plus souvent de couleur ér
nsion (surtout à droite) des émi- nences thénar et hypothénar et du premier espace interosseux) ; ainsi, à droite, les exte
fet contient d'assez nombreux détails, dont quel- ques-uns même, au premier aspect, peuvent sembler étrangers à la loi sur
le, de la commission, le Gouvernement ne peut accepter que les deux premiers . Sur le premier, il n'y a pas de dissentiment p
. On satisferait ainsi au désir exprimé par la commission dans le premier paragraphe de l'article 4er, sans soulever la gro
ns la loi. Tout en donnant l'assenti- ment du Gouvernement aux deux premiers paragraphes de l'ar- ticle 4 ? je dois faire co
que dans les asiles privés qu'on peut l'appliquer aujourd'hui. Le premier des traitements est le traitement religieux. (Exc
e du Gouverne- ment. Je suis étonné qu'après avoir admis les deux premiers para- graphes de l'article 1 ? il se refuse, au
sa place n'est pas dans la loi. (Très bien ! très bien ! ) Voilà ma première objection contre le paragraphe ! 3 de l'article I
oir les aliénés sont de deux sortes : publics ou privés... » (Cette première partie du paragraphe, mise aux voix, est adopté
ix, est adoptée.) M. le PRÉSIDENT. Je mets aux voix l'ensemble du premier para- graphe. (Le premier paragraphe est adopté
le PRÉSIDENT. Quelqu'un demande-t-il la parole sur l'un des quatre premiers paragraphes de l'article 4 ? ... Je les mets aux
paragraphes de l'article 4 ? ... Je les mets aux voix. (Les quatre premiers paragraphes de l'article 1, mis aux voix, sont
ne maison de santé, et mem e dans un hospice. » C'estévidemmentau premier de ces trois cas, celui où le conseil de famill
le conseil de famille à se charger du traitement ». Voilà pour le premier point. Je passe au second. A l'énumération qui
ile de cette personne ». Il est donc inutile de rien ajouter sur ce premier point. Mais, dans la rédaction que je propose,
ication du paragraphe 3, qm évidemment s'applique à la 296 SÉNAT. première partie de l'article et non pas aux parents qui so
iale de l'homme. Nous avons déjà annoncé à leur apparition les deux premiers volumes de la Bibliothèque anthropologique. 1°
cot. L'école qu'il a fondée, les ouvrages qu'il a publiés, les deux premiers volumes de ses Leçons qui constituent des chefs
es recherches et de ses doctrines, l'éminent maître a imposée (voy. Première Leçon). Notre rôle se bornera à indiquer les ti
aire,- guérison soudaine d'une hémiplégie hystérique, etc. Les deux premiers volumes des Leçons de M. Charcot sont arrivés à
agonie et par la mort, l'étude des empoisonnements, terminent cette première partie qui est écrite avec toute la verve du mé
les cérémonies du sabbat et de l'exorcisme sont résumées dans ce premier chapitre. Le récit des miracles de saint Médard n
de traumatisme, pas d'alcoolisme (lors de la première grossesse du premier lit, elle avait sou- vent envie de boire du cog
0. Julep avec 0 gr. O'4 centigr. de nitrate de pilocarpine. ' Cette première partie de l'observation a déjà paru sous le titre
cêtre. Le 4 octobre suivant, c'est-à-dire plus d'un mois après la première lettre à M. Demôle, et huit jours après une nouve
frère, convulsions et affaiblissement paralytique du côté droit. Premières convulsions à dix mois. Convulsions à chaque po
s à chaque poussée dentaire jusqu'à quatre ans. Peur à onze ans ; premiers accès huit jours plus tard; convulsions limitées
était enceinte de quatre mois et demi) : « il a tété sur l'autre ». Première dent à quatre mois, il en avait trois à huit mo
mois il était comme les autres enfants ; c'est alors qu'il eut ses premières convulsions internes, dit-on, lors de l'éruption
rs peureux, sans éprouver aucun phénomène nerveux pré- curseur du premier accès. Celui-ci eut lieu trois semaines après,
se remit à parler après quelques instants. Trois jours après cette première course, se trouvant à la barrière de Montreuil,
met à courir jusqu'au coin de la grille, puis entre celle-ci et la première rangée d'arbres (30 mètres environ) ; arrivé au c
nviron) ; arrivé au cin- quième arbre, il se retourne et revient au premier en cou- rant ; là il est saisi et maintenu par
re avec tapotement du talon gauche. Réflexions. Va))... a eu son. premier accès trois semaines après une émotion vive occ
pied gauche a eu une influence sur le nombre des accès , quoique à première vue ceux-ci aient été moins fréquents en novemb
et moins vascularisées. - Le cerveau une fois décortiqué, il y a, à première vue, une dif- férence très appréciable en étend
nous montre que cet individu apprécia parfai- tement le danger. Son premier mot est celui de la ter- reur, et lesecond est
vit apparaître de toutes parts des travaux dont plusieurs sont de première importance. Nous nous abstiendrons de donner ic
-moteurs sur lesquels M. Lancereaux a insisté. Finissons-en avec ce premier paragraphe en disant que l'auteur américain a b
rations médullaires soient parfaitement nettes'. Il semble donc au premier abord que la lésion du faisceau pyramidal siège
délie frenopntie. Il Pisani, 1885. Cette distinction très simple au premier abord l'est beaucoup moins si l'on consulte la
rudi- mentaire impulsive. Nous avons vu que c'est Arndt, qui, le premier , a décrit cette forme de Paranoïa. Cette Parano
ion, de l'appréciation des choses extérieures, lésions limitées aux première et deuxième couches corticales, et n'affectant
infirmes ou dans des succursales du même établissement. Question première . Les malades en conflit avec la Loi ont-ils jeté
e à la rédaction de la commis- sion. à savoir qu'il faut ajouter au premier paragraphe : « Est assimilée, sous le rapport d
cations très sérieuses de cette disposition du projet qu'on peut au premier abord consi- dérer comme une mesure exorbitante
érêt de l'aliéné et de la société. Je puis tout d'abord signaler ce premier résultat de l'expé- rience, à savoir que, tandi
sitions de coeur et d'esprit finissent par remplacer la ten- dresse première . Les calculs intéressés s'y mêlent trop souvent,
xion tardive ? : ' tous les membres de la commission ayant signé Je premier rap- port. La question a été mûrement étudiée,
64 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
inverse. La flexion du tronc sur le bassin est notée dans les trois premières observa- tions. Il est impossible de voir sur l
devons encore l'étudier à d'autres points de vue. Dans les trois premières observations il est noté qu'il est impossible d
onc qui ressemble un peu à celle de la sciatique et qui pourrait, à première vue, prêter à la confusion (voir Planche V, fig
endant, nous trouvons, ainsi que M. Charcot l'a fait remarquer, la. première indication du syndrome qui nous occupe, dans un
la fonction de la station et de la marche. Ainsi, dans les quatre premières observations, la fonction est complètement abso
Antécédents personnels. Goh... n'a jamais été malade pen- dant sa première enfance. A l'âge de cinq ans, il a eu la rougeole
le 51 1 CLINIQUE NERVEUSE. diagnostic de la lésion qui chez notre premier malade a pu produire les symptômes relatés. N
ntact. Aux doigts et sur- tout à partir de la moitié inférieure des premières phalanges, le malade ne perçoit plus du tout la
le grand sympathique dans sa portion cervicale ou au niveau de son premier gan- glion thoracique. C'est ainsi que l'éphidr
'éphidrose latérale droite de la face, suivant le tra- jet des deux premières branches du trijumeau. La suda- tion survenait
inité. Neuf enfants. De son mari, une fille. De son amant les six premiers enfants sont morts jeunes à la suite de con- vu
rs, basées sur la différence des termes, qui sont si fréquentes aux premières périodes de la description raisonnée d'une mala
le pour le nosographe. A ce propos, nous ne pouvons que placer au premier rang dans le sujet spécial qui nous occupe l'ou
précédées de phénomènesconvulsifs pouvant être rapportés aux deux premières périodes de la grande attaque. » Néanmoins, com
omènes convulsifs toniques et cloniques ne constituent que les deux premières périodes de la grande attaque. Or il est assez
ville et Regnard est certainement vraie, mais les conclusions du premier de ces auteurs sont peut-êtreun peu trop absolues
as; il estime qu'ils peuvent se diviser en dix groupes principaux : Premier groupe : Idées de persécutions traumatiques ou
ourdonnements d'oreilles. Ce cas fait observer M. Ballet, semble au premier abord donner raison aux auteurs qui subordonnen
3,800 coûtent près d'un million et demi de marks (1,875,000 fr.). Première séance. M. l'instituteur en chef municipal, le Dr
s de nos établissements. La question de la nourriture occupe un des premiers rangs parmi les desiderata de l'assistance des
lternée dont on essaiera de produire à l'établissement les matières premières (c'est la meilleure façon de s'assurer de l'exc
é- vroglie. Cependant, dans la substance blanche de la moelle, le premier résultat peut être, même par une lésion mécanique
e des affaires, mériter la confiance du ministre de l'intérieur. En première ligne, il y placera les anciens notaires et les
uation, il me semble téméraire de voter l'article 12, même dans ses premiers paragraphes; nous ne pouvons le faire en connai
Président. Je donne au Sénat une nouvelle lecture, non pas des deux premiers paragraphes de l'article 13, sur lesquels on es
s admettiez le principe, je crois qu'il faudrait s'arrêter aux deux premiers paragraphes de l'arlicle 14 et supprimer tout l
ment réunis entre eux. Sur les mains on n'observe que l'atrophie du premier espace interosseux et un léger amai- grissement
symptômes qui s'associent à ceux-là avaient été remarqués dans le premier cas' et en partie observés par divers auteurs :
Le membre inférieur droit est dans le même état qu'il présentait au premier examen. Mais sur le thorax, l'anesthésie thermi
vingt-un ans et devint père de six enfants, qui moururent dans la première enfance, à la suite de diarrhées; une seule fille
dos de la troisième phalange, 6 ; de la première, 10. Main gauche, première phalange, face palmaire, 4-5 ; de la deuxième e
itié radiale de la main droite (fig. 7 et 8). Il occupe les trois premiers doigts et la ra- diale du quatrième; sa limite
out dans la partie inféro-externe, et un commencement d'atrophie du premier muscle interosseux ; tous les mouvements du pou
les du tissu cellulaire, aussi bizarre que cela puisse sembler de premier abord, leur liaison avec les symptômes fondamen
ystérique se présente sous deux formes cliniques typiques qui, au premier abord, semblent séparées, mais qui, en réa- lit
trop facile à distinguer pour que l'erreur soit possible. Dans le premier cas, il s'agit d'une diminution réelle ou d'une
développement égal à celui du cochon d'Inde, il marcherait dès le premier jour. » La question de mécanisme présente, du r
. La question est toutefois plus complexe qu'elle ne le paraît au premier abord. En effet, outre que, comme nous l'avons
grand sympathique cervical, les symptômes que nous présentait notre premier malade et qui sont ana- logues à ceux qui sont
les fibres irido-dilatatrices, après s'être réu- nies au niveau du premier ganglion thoracique aux 1 Fr. Flanck. - Dict. e
excité le ganglion cervical su- LI CLINIQUE NERVEUSE. périeur et premier thoracique, l'électrisation du bout supérieur d
r l'attention sur deux ordres de faits que l'on trouve dans notre première observation, comme d'ailleurs dans plusieurs de
e paternelle morte d'apoplexie. Grand-père ma- ternel alcoolique. - Premier accès à onze ans précédé de vomissements alimen
Le second accès est venu un mois après le premier. Durant les six premiers mois, il a eu un accès mensuel et chaque fois l
cès de deux en deux mois ; il suivait alors le catéchisme pour sa première communion, ce qui fait que sa mère attribue cette
232 CLINIQUE NERVEUSE. gées ; manquent : deux petites molaires et premières molaires arrachées pour carie. Trois dents cari
rois dents cariées. -Mâchoire injë1'ieure : douze dents; manquent : premières molaires droite et gauche arrachées pour carie.
rie, il avait eu 3 accès et était sans connaissance. Il a eu son premier accès à l'infirmerie à 10 heures; à partir de là,
scissure interhémisphérique. - La DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 239 première circonvolution frontale très sinueuse, fortement
ption par viol. - Grande différence d'âge entre les père et mère. - Premières convulsions Ii six mois. - De quinze mois ri qu
onvulsions Ii six mois. - De quinze mois ri quatre ans, vertiges. - Premier accès à sept ans. - Débilité mentale. - Idées m
ère, une 1>(1HlI', une cousine geimaine, morts de convulsions. Premières convulsions à six semaines portant exclusivement
et prédominant au bras. - Vertiges (deux ans et demi à six ans). - Premiers accès à six ans. - Ült(L7ttS))ie. - Hémiplégie
ernelle phthisique. Soeur, morte de convulsions. - Gémellarité. , Premières convulsions a treize mois. Début des accès à ving
phthisique.- Cousin germain idiot. Frères, morts de con- vulsions. Premiers accès à douze ans. - Aura nasale. Au- tomatisme
oncle paternel. Un petit-cousin paternel, imbécile. - Alcoolisme. - Premier accès à vingt-neuf uns. - Vertiges. - Aura médi
convulsions. - Autre frère, convulsions et tumeurs blttliches. - Première dent « sept mois; parole Ii un an, marche 11.lJui
Rougeole ci quatre Accitieizis cérébraux deux aux. - . Scw'latine, premier accès ci dix ans. - Accès surtout noc- turnes.
nt très dilatées, les pupilles sont nor- males. Le malade eut son premier accès, il y a cinq ans, sans cause connue. Sans
iquant les descriptions et les conclusions de l'auteur. Ce sont des premiers que nous nous occuperons tout d'abord. IIeclc
toutes les actions animales et organiques de cette illuminée. La première fois qu'elle fut prise de cet etonnaut sommeil, o
t. XV. 18 8 '274 4 REVUE CRITIQUE. ANALYSE D'URINE DE CHAUFFAT Première analyse (lor avril, septième jour de sommeil).
érite encore de rester classique, il n'en est pas moins vrai que sa première proposition doit être rejetée, car la face et l
, 1886, p. 2 Î.- ' - DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 295 Ea premier lieu, nous devons parler d'une affection, d'un
, et qu'on ne saurait assez préciser en raison de leur intérêt de premier ordre. Aussi convient-il de féliciter M. Vétault
ions nouvelles que nous avons pu recueil- lir ; loin d'infirmer nos premières conclusions, ces faits nouveaux viennent, au co
lconque, etc. Et alors cette paralysie faciale qui apparaissait, au premier abord, comme un accident imputable au froid, à
auxquelles nous avait conduit l'étude des faits relatés dans notre premier mémoire, tels sont aussi -les enseignements qui
cité quelques-uns. Nous en avons mentionné deux exemples dans notre premier travail : il s'agis- sait dans l'un des cas d'u
ive orthodoxe. Fièvre typhoïde à l'âge de dix ans. Il y a huit ans, première pa- 2-alysie de la face du côté gauche dont il
réactions électriques normales. Nous avons déjà indiqué dans notre premier travail que la paralysie faciale (c'est là enco
épondre à une critique qui nous a été adressée, au sujet de notre premier mémoire, par un auteur allemand, M. Edinger. «
être rattachée à une altération du nerf ou que parfois son origine première doive être cherchée dans l'encéphale, la cause
e qui est bien conformée. Face interne. Lobe temporo-occipital. Les première et deuxième circonvolutions tenaporo-occipitale
ssure temporo-occipitale. Face interne. Lobe temporo-occipital. Les première et deuxième circonvolutions lemporo-occipitales
des pre- .' Nous ferons remarquer que Duch... a eu pendant les deux premières années de sa maladie des vertiges sans phénomèn
1887, à 4 heures du soir, nous avons soumis un petit chien à notre première expérience. Nous l'avons attaché avec sa laisse
t normal, elles mettent plus de deux minutes, tandis que dans les premières expériences elles mettaient environ une demi-minu
en, du quartier de la Villette, a été introduit dans une barque. Au premier tour, il 398 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. aboyai
ia. (l21v. sp. di fren, 1886,) - D'après Hammond (loc. cit.) un des premiers cas de catatonie se trouve dans les croquis de
les caractères donnés comme pathognomoniques nous voyons figurer au premier rang les phénomènes catato- \ niques d'aspects
ns l'athétose double. Les troubles de la parole se ressemblent au premier abord. Toutefois, un examen attentif fait bient
tituent, dans presque tous les cas, des facteurs pathogénétiques de premier ordre, ets'ac- compagnentaussi presque toujours
tions d'épilepsie compliquée de folie systéma- tique. Dans les deux premières , les accès d'épilepsie ne se sont plus reprodui
enfin, des cas dans lesquels le délire des grandeurs se montre le premier et est suivi de délire de persécution. Si bien qu
oville étage la mégalomanie sur douze observations; dans les quatre premières , il s'agit manifestement d'héréditaires dégéné-
la paralysie et l'atrophie des muscles de l'éminence thénar et du premier interosseux, mais il ne faut pas croire que chez
es extenseurs de concert avec l'atteinte de l'éminence thénar et du premier interosseux et même de plusieurs interosseux. S
ogie T.XV. PI,.I Fig. 1 Fi¿- 2 EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE DÉFORMATIONS PATiTICULIliItES DU TRONC CAUSÉES
65 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
le médius et l'annulaire. Il y a un certain degré d'adduc- tion du premier métacarpien, qui est sur le même plan que les C
la paume de la main, les muscles qui s'attachent au bord interne du premier métacarpien, et tout à fait contre ce bord semb
jambes remontant jusqu'aux cuisses. Sur les extrémités de chaque premier métatarsien au niveau de l'articulation mé- tat
ndants et se voient avec la plus grande netteté, pour ainsi dire du premier coup d'oeil. Ils sont situés à la partie moyenn
nce en deux parties égales. Moelle. Les racines antérieures des 4 premières paires de la région cervicale sont manifestemen
fut faite, d'après son désir. Du côté gauche, la plaie se ferma par première intention. Du côté droit, il y eut suppuration.
ne lèse la veine saphène. Presque tou- jours la plaie se ferme par première intention. Pour ce qui est de la puissance des
s, nous divisons toutes nos expériences en quatre groupes. Groupe premier . - Tractions faites à la main, au moyen d'un cr
s rattacher cette augmentation qu'au système nerveux lui-même. Ce premier point résolu, se pose la même question que nous
particulières de la méthode de Rosenihal (électrothérapie, 1873). Premier procédé. On essaie, à l'aide d'un courant fara-
de M. Vogt (thèse de Felicki, Greisswald, 1881), il adopte pour son premier fait l'idée d'une contracture de l'aponévrose p
du mari - avor- tements = syphilis de la femme), forment le fond du premier mémoire. Après avoir procédé à la Revue critiqu
comportent, il les a conden- sés sous forme de proposition dans ce premier mémoire. Les voici : REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
à la viande pourraient en dissimuler; il m'a été impossible à une première entrevue de faire surgir cette explication qu'ell
e qu'ils contiennent d'essentiel étudie successivement : Chapitre PREMIER . Historique. C'est en 1796 que William Eucke ou
croire aux prétendues facultés pro phétiques des somnambules. Cette première partie se termine par quelques considérations s
la para- lysie spasmodique, la poliomyélite, etc., font briller au premier rang les Charcot, Vulpian, Duchenne, Aran, Prév
lace que chacune des notes occupe sur le clavier du piano. 1.' Au premier moment 4 et 5 paraissent d'une diffi- culté inc
tant le succès, c'est qu'il ne devine ordi- nairement que les trois premières notes, et, d'après elles, il en conclut à l'air
, comme, par exemple, on devine le nom de Pierre d'après les deux premières lettres pi, si l'on sait d'avance qu'il s'agit
le lecteur, ne connaissant pas le but, fasse un 150 PHYSIOLOGIE. premier mouvement à droite, c'est-à-dire dans la direc-
uoi je fis un mouvement rapide, qui formait la diago- nale des deux premiers mouvements d'essai, et alors il devint facile d
d'une tension musculaire dans une direction perpendiculaire à la première ligne. Si l'obstacle rencontré se manifeste à u
immédiatement soulagé; se calmait, se tranquillisait. ' Lorsque ces premiers efforts n'étaient pas couronnés de succès, on a
ILLES D'IDIOTS. 193 Observation 1. - Idiotie; épilepsie nocturne. Premières convulsions à sept mois; - peur à dix ans : premi
sie nocturne. Premières convulsions à sept mois; - peur à dix ans : premier accès d'épilepsie. Caractère et marche des accè
arché à dix-sept mois, a été propre à deux ans, a parlé vers un an. Premières convulsions internes ( ? ) à sept mois : pendan
heval emporté qui courait vers lui et trois jours après, il eut son premier accès, puis un second huit jours plus tard. Dep
oyens, mais l'orthographe est encore défectueuse, il sait les trois premières opérations d'arith métique. La mémoire est to
d'un oeuf de pigeon. , Observation II. - Imbécillité ; ÉPILEPSIE. Premier accès à six mois. - Marche des accès. Description
ois. Jamais de convulsions. A six' mois a au germe de ses idents », premier accès; deuxième accès à deux ans; troisième acc
ise; tache pigmen- taire de la largeur d'une lentille au niveau des premières vertèbres dorsales. ,, T ? , % . . 1'\ . " ;'
... veut monter un escalier, il a beaucoup de peine à franchir la première marche, il s'élève moins péniblement sur la deu
ez facile de s'assurer que ce ne sont pas à proprement parler les premières contractions musculaires qui sont difficiles et
e pour constater l'accélération progressive des contractions : la première dure huit secondes, la deuxième quatre, la septiè
musculaire dont se plaint M. M... Parmi elles, il faut signaler, en première ligne le froid. Son influence est des plus mani
ns, arc de cercle. Cl'ucificmcnt, Point de délire à la fin de cette première attaque. Sommeil. Hyperexcila- bilité neuro-mus
i la vipère, dont le contact lui avait occasionné à Saint-Urbain sa première attaque. Il pousse des cris aigus; il déchire s
ait reporté avant le moment où il tomba malade, et où il prit cette première attaque d'hystérie épileptoïde qui marqua le dé
soit tout à fait au début de la maladie, soit dans le cours de la première période du tabes. Cette paralysie guérit habituel
ignore la cause, car la notion d'hérédité n'en révèle pas l'origine première . Tel est l'esprit du mémoire. P. K. XXXVI. UN c
lé employé dans le' traitement de l'hystérie. Mais Mitchell est lei premier qui les ait réunis en un seul système complexe
y a anémie. A elles la diète lactée pure durant les trois à quatre premières semâmes, (nais en si faibles quantités qu'on le
ples. Au degré le plus inférieur, l'idiot ressemble à un enfant des premières semaines 'de la vie, c'est un, , ! l¡tom1l : le
syllabes et- des,nroLsse présentent sous 'deux aspecLs : ,Voici, en, premier ;;lieu,,le,lylb«tieinerit t.rèsâécen- ttié penda
s hémiplégie' droite et) contracture mo- dérée ; le balbutiement du premier malader : était,,évideurnrept d'ùéigïtii,luillï
à'l'afiile' en''octobre 1 S70; débile dès sa naissance'; depuis sa première année, convulsions du côté gauche avec perte co
ndant les périodes d'accal- mie, voire au sein de leur famille ; au premier signal on les inter- nerait sans bruit. Discu
e tableau de l'épilepsie. Le second jour de son arrivée il avait sa première attaque. ' M. RIEGER a observé chez un épilepti
, ,, , >ti t ,"»V * ' t' l'I -" ' * ' i En' ce 'gui concerne la' première question, ,1e président rappelle, que W ? SANDM
dans l'insula gauche expliqué l'hémiplégie droite et l'aphasie des premiers temps. Un foyer de ramollissement dans les circ
endel. Peut-êlre cette différence tient-elle à la 'méthode ' ? ' Au premier stade, c'est principalement le noyau qu'il faut
néreux et des convictions ardentes qui ont honoré notre pays, notre première République, et qui transmettront aux génération
énés de leurs chaîne-. Ce fut, en eilet, partout où il a passé, son premier acte et il était signifi- catif. En cessant de
« Ce fut encore la Convention nationale qui l'appela à l'une des premières chaires delà Faculté de médecine réorganisée et q
r rendre VARIA. 283 justice à l'Assemblée qui l'a choisi l'un des premiers pour contri- buer à la reconstitution morale de
, l'honneur de présenter aux mandataires de la ville de Paris et au premier magistral du département de la Seine ce bronze
ns. N'est-ce pas lui qui nous a ouvert la voie ? N'est-il pas notre premier maître en aliénation mentale ? Semblable au Vir
eur Dr.A. FOREL; médecin en second, D Lauffer; médecin assistant en premier , X... ? médecin assistant en second, X... ? Ces
vaise foi. Merzig. On a, l'hiver dernier, enlevé le pensionnat de première et deuxième classes pour faire de la place aux
elles il avait été traité pendant des années, fait corroboré par sa première femme dont il était di- vorcé, le jury l'a décl
IÈRE. 311 Dans la région de l'origine apparente des racines de la première et de la seconde paires dorsales, on remarque la
ssements. Dans la région de l'origine apparente des racines de la première paire dorsale, quelques cellules nerveuses des co
'irritabilité émotive ou l'affaiblissement in- tellectuel. Les deux premières affections mentales étaient exclues aussi bien
'aurait jamais soupçonné. D'après ses aveux, Berger, par les deux premiers incendies, avait voulu brûler une maison, sa prop
hasard pour avoir des occasions de boire, ayant remarqué, lors des premiers sinistres, la libéralité de la municipalité.
prenait une large part. Enfin, à diverses reprises, après les deux premiers sinistres, on avait entendu le prévenu dire : «
ite, il a sans doute essayé d'utiliser nos questions, mais seul son premier récit est sincère. On a donc la' confirmation d
n DES instincts. Antécédents personnels. - Arrêt de développement ; premières con- vulsions dans la première année; secondes
t demi; parole à trois ans. Mauvais instincts. - Accès de colère. - Premier placement à Bicétre, en 1870; transfert Li l'as
continence noc- turne d'urine. Les notes prises sur lui pendant son premier séjour ne donnent que des renseignements très i
Observation VI. IDIOTIE complète. Athrepsie de la première enfance; premières convulsions à huit mois; secondes convulsions à
En mars et avril 1882, il est plus docile et plus assidu; après un premier séjour à l'infirmerie (15 mai-27 juillet), il tra
ur de l'asile de Maréville, de nombreux renseignements sur ces deux premiers malades : nous n'indiquerons ici que les traits
oids, 18 kil. 500; taille, lm,l2. - - Il septembre. Etat actuel. Au premier abord, on est frappé de l'aspect malingre et ch
te de chaîne ininterrompue, et les lésions étendues et profondes du premier groupe ne sont-elles que l'expression dernière
minutieuse, conçu et exécuté de la façon suivante. Dans le chapitre premier inti- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 409 tulé
é et le seul survivant .des huit en- fants qu'elle avait eus de son premier mari : voici le sort des sept autres : le premi
ement. Interrogée, celle femme déclare qu'après la naissance de son premier enfant, elle a perdu ses cheveux, que deux ans
e, une dégénérescence hyaline (colloïde) des cellules ner- veuses ; premier stade : tuméfaction, trouble; hypertrophie, gon
ES détenus ; par de KRAFFT- . EBING (Jah7'büch. f. Psych., V, 3). PREMIER cas. Condamnation à la prison perpétuelle pour
provisoire (voy. paragraphe final). L'in- troduction, les chapitres premier (mode d'action dissemblable des deux sortes de
triques dans l'électrisation de la peau) se résument comme il suit. Premier exemple : Une femme atteinte de dilatation vasc
toute la vie de V..., états que nous devons décrire en détail. - PREMIER état. Hémiplégie et hémianesthésie sensitivo-sens
à, des excitations inégales de la substance nerveuse. Dans les deux premiers cas, des trous décrits ou plutôt du diploë mis
isme grâce aux sondes molles anglaises passées par le nez. Les deux premières observations concernant des dames de qua- rante
alimentation à la sonde de quatre mois et demi pendant les quatorze premières semaines, il diminuait de poids de 27 p. 100, p
ski, 234, 248, 207, 260, 261. EXPLICATION DES PLANCHES [PLANCHE PREMIÈRE Fig. 1. Coupe transversale de la moelle épinièr
66 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nité. Inégalité d'âge de cinq ans (père plus âgé). Notre malade : première dent à sept mois. Propre à dix mois. Premières
gé). Notre malade : première dent à sept mois. Propre à dix mois. Premières convulsions à sept mois. Tics convulsifs de l'épa
sa mère jusqu'à dix-sept mois. Prise du sein normale, pas de cris. Première dent à sept mois. Dentition complète à dix- hui
mois, a été propre à dix mois. Ni bave, ni succion, ni onanisme. Premières convulsions à sept mois, avec la première dent, p
mières convulsions n'ont pas modifié l'intelligence. A la suite des premières convulsions, à sept mois, l'enfant, au dire de sa
DE CAMPHRE. 5 39. - R ? dont les vertiges sont très nombreux, a son premier accès aujourd'hui, précédé d'une série de [vert
3, 4, 9 dans les trois derniers mois au lieu de 300 à 400 dans les premiers mois de son séjour, nous lui accordons, sur la de
adie de son mari. Accouchement un peu long. Cyanose à la naissance. Première dent à six mois. Dentition complète à ? Début d
d'éludés à douze ans. Ennuis et tristesse dans la douzième année. Première crise à treize ans (février 1898). Ensuite quelqu
a été nourrie simultanément au sein et au biberon (lait de vache). Première dent à six mois. A quatre mois, on la met- tait
reaux. Deux fois elle est montée sur le barreau de la fenêtre- du premier étage comme si elle voulait se jeter dans la rue.
en mise en relief par le tableau' de la température durant les cinq premiers jours de l'ad= mission. - ' Juin. Les vertige
issements. Rien de particulier à l'accouchement et et la naissance. Première dent ci six mois. Début de la parole , et de la
eux résultat. .·4H t. Réflexions sur la puberté à propos des deux premières i, observations, par Bourneville. Nous avons
port, la question de doses mise à part, un argument en faveur du premier principe de l'Organon : similia siiiiilibzls cz
ique. 11 donne trois observations avec figures des coupes. Les deux premières concernent la démence paralytique sans tabes. L
tale la plus proche; 6) du coin; c,) de la première temporale et du premier pli de passage tem- * poral profond ; d) du sys
lysie n générale sont celles qui, chez le foetus, se myélinisentles premières : or celles-ci correspondent presque exclusivem
foyer. La faiblesse marquée des muscles du tronc et de la nuque des premières semaines disparut égale- ment, ce qui prouve qu
on du doigt ap- puyé sur le déclic. Un autre ressort antagoniste du premier et plus faible, relève le marteau aussitôt sa c
pecteurs généraux en date du 10 décembre 1901, arrête : ' Article premier . Un concours pour l'admission aux emplois de mé
du jury, il serait fait appel au juré suppléant pour remplacer le premier juré absent et les épreuves continueraient, de pl
r, entre 8 heures et demie et 9 heures, au sujet de la locataire du premier étage, Emma M..., âgée de trente ans, qui se tord
différent de celui de l'épi- thélium intestinal auquel ressemble à première vue notre tumeur (fig- 9), Si donc on peut ad
isés de cette dernière affection, le nystagmus est apparu dès les premiers jours de la vie, et qu'en outre il manque à cette
L'enfant s'est bien élevé, est venu au monde facilement, a fait ses premières deuts à sept ou huit mois. Il n'a parlé franche
âge de vingt-trois ans que notre sujet semble avoir été pris de ses premières manifestations comitiales : il habitait alors a
, sous sa lueur factice, un grand éclat religieux, il faut citer en première ligne sainte Thérèse : c'est elle la plus illus
, L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 131 I A ces écrits dont les quatre premiers parurent de son vivant, il faut ajouter ses let
sse de constitution. qui devait être grande, lorsqu'éclata la crise première , début de la maladie. DE la PÉRIODE aiguë. L'hy
ontre les autres, posez le diapason en marche sur le pariétal de la première , vous trouverez la transmission du son abrégée de
auteur entre ici dans des considérations intéressantes sur les deux premières races mentionnées, leur rôle dans l'histoire, l
la même vie politique, ! religieuse, sociale et économique, leur « première nature ». C'est de la même manière que ceux qui
e et sur les cuisses. Cette anesthésie . occupe les territoires des première , deuxième et troisième racines postérieures lom
stituer la Société médico. psychologique. Il adresse un hommage aux premiers médecins qui en firent partie, parmi lesquels p
l. Le prix est décerné ex-sequo à MM. Bernard-Leroy et Castin. Un première mention avec 400 fr. est accordée à âl. Coliolan.
ris, et le 2foi avril 1852 la Société médico- psychologique tint sa première séance. Parmi les adhérents de la première heur
psychologique tint sa première séance. Parmi les adhérents de la première heure, on relève les noms de : Ferrus, qui fut no
d'un sens clinique très sûr, d'une observation très approfondie, ce premier travail est une oeuvre vraiment remarquable ; i
58), soit à la Société 9 ? iédico-psycho log iq ite (1858), soit au premier Congrès international de médecine mentale (1878
onne qui aura compris les éléments scientifiques exposés dans cette première partie et qui se les sera assimilés, sera en ét
? mars) : D'un jugement rendu par défaut par le tri- bunal civil de première instance de Poitiers, il résulte que XI110 Blan
e de malades revient au second de ces groupes et chez les femmes au premier . De plus, on voit encore que le nombre de femme
l, du succès de notre réunion qui, pour la 244 SOCIÉTÉS SAVANTES. première fois, a atteint et même dépassé le chiffre imposa
s le chaos de l'ancienne métaphysique. Aussi bien n'est-ce pas la première fois que le médecin devient, par la force des cho
ution, le vertige de locomotion. Les troubles circulatoires sont au premier rang des symptômes de l'anxiété; il y a des spa
ychose d'angoisse à l'âge mûr. 7/e') ? <e : Joue un rôle de tout premier ordre. Pathogénie : Le rôle parti- culièrement
spasmes, en se fondant uniquement sur l'ori- gine fonctionnelle des premiers et organique des seconds. Ces réserves faites,
bruits qui l'avaient fait qualifier du nom imagé de pélomane. La première audition ne provoqua que le dégoût de Mmo X...
minué sur certains points et augmenté sur d'autres au détriment des premiers , sans qu'il y ait en réalité augmentation ni di
s à un examen plus approfondi. Cette nouvellle session aura lieu du premier au sept septembre prochain, à Anvers. Elle sera
les, traitez-les, faites qu'ils ne se voient ni se s'écrivent, le premier fera tous les jours un pas vers l'incurabilité, l
s bouffées hallucinatoires, G... est calme, d'appa- rence lucide au premier abord, il se conduit correctement, recon- naît
e les créatures n'auraient pu jamais me procurer. Maintenant, aux premières approches que j'en ressens, Notre-Seigneur enlève
n état d'hystérie, plus on est en état de sainteté. Dans les deux premières oraisons, il n'y a pas encore maladie, il y a s
din où pousseront les symptômes nerveux. Laissons décote ces deux premières oraisons, et arrivons aux trois der- nières.
plusieurs années ne se soient pas écoulées depuis l'apparition des premiers accès. Quant à l'icliolie, on sait que son tr
autre malade dont l'état reste stationnaire depuis treize ans, une première ponclion fut négative, mais une deuxième, faite s
sence d'une personne inquiète et surtout étonnée, qui manifeste la première sa stupéfaction d'avoir commis un tel acte de vio
craintif; il a peur de rencontrer les personnes qui ont assisté aux premières mani- festations de son affection mentale ; le
et traiter de même les. délinquants alcooliques récidivistes à leur première récidive ; 5° développer les sociétés de tempér
t. Il est probable que d'autres accès surgiront semblables aux deux premiers et que la même auto-accusation réapparaîtra cha
aspect tout à fait particulier qui permet de les distinguer déjà à première vue de toutes les autres tumeurs. Ils sont touj
n du pouce pendant trois secondes sur la peau de la face dorsale du premier espace interosseux de la main est beaucoup plus
nécessaire, d'un certain degré d'automatisme psychologique, origine première des idées délirantes' 1 ». C'est en vertu de so
femmes chantent. C'est le bonheur. A côté de cette planète, planète première , il y a les planètes secon- daires où l'homme e
e de douze ans, elle mâchait sans avaler, rumination (` ? ). Dès sa première enfance, aucun jouet ne l'intéressait, elle pas
tion, jusque-là très bien portante, raconte qu'il y a huit mois, sa première molaire inférieure droite a mordu sur un grain
- teur à la Société de Neurologie, d'une fracture indirecte de la première vertèbre lombaire avec luxation probable, causée
ation sous la' dénomination d'asynergie cérébelleuse. L'attitude du premier malade observé, quand il cherche à mar- cher, a
a bouche fermée, et que l'inspiration pulmonaire le contrarie. Un premier essai fait sous la surveillance et la direction d
a confiance chancelante du malade, à la suite de la réussite de ses premiers essais. L'état affectif du sujet marqué d'abord p
le bonheur dans sa carrière d'avoir des relations scientifiques de premier ordre : Ferrns, Reiiaudin, Morel, Lasègue, Jane
bréviaire à tous ceux qui à l'étranger parlaient notre langue. Son premier commenta- teur, le De Rousseau, a dit de ce liv
eur, le De Rousseau, a dit de ce livre : « Cet ouvrage constitue le premier inventaire de la science psychiatrique, dont il c
'aliénés. Contrairement à l'assertion du Journal, ce n'est pas la première fois qu'on organise des distractions pour les ali
femmes dans les cabinets d'aisances. Si on l'avait envoyé, après sa première FAITS DIVERS. , 463 '11) arrestation, à l'asi
moindre occasion, événements qui rappellent les circon- stances du premier choc moral. Ces circonstances sont suffi- sante
re avec intensité pendant les paroxysmes angois- sants la sensation première , reproduction qui se reconstitue intégralement
la fenêtre, c'est elle mainte- nant qui semble plus étroite que'la première , actuellement la plus éloignée de la baie. Cett
stérieures et des cordons postérieurs : c'est une dégénérescence du premier neurone centripète. La lésion des racines est seg
oration, on constate que le réflexe patellaire ne se produit qu'aux premiers coups de marteau frappés sur le tendou, il s'af
sse-t-on reposer le malade, on peut à nouveau le provoquer, dans sa première vigueur, mais une nouvelle investi- gation- rép
résume la suite de ses recherches sur la cellule nerveuse. Les deux premiers élé- ments qui apparaissent dans toute cellule
lé- ments qui apparaissent dans toute cellule nerveuse depuis ses premières origines sont : 1° la charpente librillaire, et 2
En effet, cette classe comporte des enfants névropathes, qui, au premier abord, paraissent lui appartenir soit par leurs a
ou imbéciles, alors même qu'ils ont reçu une éducation spéciale de premier ordre, continuent à manquer de jugement et de b
oive rapporter à cette cause la pathogénie du délire. 3" Si cette première conclusion est vraie, il est probable que la fa
nes gens voués à la démence précoce sont parmi ceux qui, dans leurs premières années, n'ont jamais présenté un signe quelconq
érer le philosophe allemand comme un cas de pathologie mentale. Son premier ouvrage sur l'origine de la tragédie passa inap
s inutiles et nuisant à la plasticité de l'intelligence. Dans ses premiers essais, on voit apparaître deux conceptions qui
tendance héréditaire à un fonctionnement mental anormal ; dans sa première enfance, il était arriéré; dans son enfance, il a
es moteurs ont été observés chez 108 sujets paraly- tiques aux deux premières périodes de la maladie. De ces divers cas, l'au
fait inverse n'a pas été observé pour la première période. A cette première période, les rémissions dans les troubes moteur
c- tement au schéma donné par Rocher pour le territoire des trois premières racines lombaires. Fait également intéressant, il
ue je'présente, la maladie a été en quelque sorte schématisée. Un premier ictus, avec hémiplégie droite, survenue à sept he
'être consi- dérée comme une entité spéciale, et d'autre part qu'au premier stade de la maladie, les états émotionnels path
Zona. Un cas de topographique radiculaire rigoureuse des trois premières lombaires, avec trouble de la sensibilité dans
67 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Sans insister sur ce troisième groupe nous étudierons des faits du premier et du second groupe. Nous dirons que l'in- suff
q jours un même infirmier n'est en contact avec les malades que les premier , troisième et cin- quième jours. Le deuxième jo
hiques. II. Admission des malades. § 2. La clinique est destinée en premier lieu à recevoir les Hessois, et, parmi les non-
mère à huit mois, il était tout à fait normal, époque où il a eu sa première dent : il regardait, gazouillait, jouait, se te
ment et sans s'adres- ser à sa mère. Il grimace beaucoup depuis ses premières convul- sions, bave, tette sa langue, crie par
exactement les cartons sur le tableau de couleur, à exécuter les premiers mouvements de gymnastique et saute les deux premi
à exécuter les premiers mouvements de gymnastique et saute les deux premiers degrés de l'escabeau. Caressant, gai, joueur. P
ition qu'il a-est absurde, vous dis- trayez son attention de l'idée première , l'innervation du bras cata- leptique ne s'effe
que pour obtenir une coupe de l'épaisseur voulue par rapport à la première section et ainsi de suite. Tandis qu'on procède à
ymptômes que l'on rencontre ordinairement, il convient de mettre en première ligne les troubles visuels dus, soit à l'hypéré
u'ils n'étaient pas d'origine syphilitique bien que l'apparition du premier accès quelque temps après le début de l'infecti
re-mère qui REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 73 constituent la cause première de la compression ; 4° Le mécanisme par lequel
ome angiolithique. On peut se demander si les crises convulsives du premier malade ne sont pas symptomatiques de production
boratoire d'anthropologie de l'Ecole des Hautes Etudes. Tète. - A première vue deux particularités s'imposent. 1° Le grand
st légèrement saillant : il semble l'avoir été davan- tage lors des premiers examens de Deb... à son arrivée à Bicêtre, car
ois, leur disparition, puisque c'est un au'et de développement. A première vue, il semblerait que la voûte palatine fut cons
eures, après qu'ils ont été remarqués, so t qu ils aient échappé au premier examen d'ailleurs rapide, soit qu'ils aient app
évrogliques ainsi qu'on peut s'en rendre compte à l'examen de notre première ligure; les espaces in terfascicu 1 aires (1 jS
alytiques généraux : nous les avons étu- diées en détail dans notre premier travail, aussi comprendra-t-on que nous n'insis
égénérescence. Les reins sont très altérés. La lésion qui frappe au premier abord est l'épaississement énorme des parois ar
pérer son équi- libre, voici ce que l'on obtient. Qu'il s'agisse du premier ou du second mode d'opérer, les résultats sont
thique ne se manifeste que vers l'âge de cinq ou six ans, et son premier signe est souvent fourni par une discordance entr
rapproche la mort fréquente des enfants en Las-âge appartenant aux premières , on a de la tendance à accuser la syphilis. La
es sont probablement identiques et ne diffèrent que parle degré, le première étant plus violente et raccom- pagnant de troub
de la voir apparaître plus tard. Un malade de M. Uejerinett'a en sa première aitaqiieépileptifoi-me qu'à l'âge de six ans. Il
tacte, mais au-dessous de cette écorce à la partie moyenne de cette première temporale il y avait sociétés savantes. 177 u
'une sclérose en plaques mais ne peuvent se prononcer sur l'origine première de ces lésions, tout à fait excepi ioiinelles.
ité fonc- tionnelle qu'il est sur de présenter, au moins pendantles premiers jours. Réfractaire â l'hypuoptisme proprement d
s, ainsi qu'il le déclarait en propres termes dans la préface de ce premier volume. L'année suivante, dans la préface du vo
doute, les leçons de clinique du professeur Raymond s'adressent en première ligne à ceux qui s'adonnent spécialement à l'ét
on du coeur permet de constater un bruit de galop a dédoublement du premier temps. Le pouls est 206 CLINIQUE NERVEUSE. te
ci cinq mois. Rien d'anormal à l'accou- cheinent et à la naissance. Première dent ci sept mois; dentition complète à deux an
e manière exagérée, par comparaison avec les mouvements de ses deux premiers enfants. Accouchement à terme, naturel, sans ch
phyxie, ni circulaire du cordon. Elle a crié « énormément » les dix premiers jours, ne dormait pas, il fallait lui donner le
et le sommeil était bon. Allaitement maternel, sevrage à deux ans. Première dent à sept mois, dentition complète à deux ans
ndait, et qu'il était devenu par la suite un délirant paranoïde. Ce premier résultat acquis, je ne tardai pas à découvrir d'a
n locale de la Colonie. Ce comité se-compose du bourgmestre et du premier échevin de Gheel, de trois membres désignés par l
e si le microscope nous montre, chez les paralytiques géné- raux du premier groupe de M. Klippel, de l'hyperhémie, de la di
e une petite dictée, écrit elle-même une lettre et connaît les deux premières opérations de l'arithmé- tique. Comme caractè
la naissance. Les enfants avaient montré un esprit éveillé dans les premiers mois de leur vie et ce n'est que vers l'âge d'un
les sont un peu gonflés. 2° Weiss... (Suzanne), neuf ans et demi. A première vue, on pourrait ne pas croire que cette enfant
SAVANTES. 257 Cas V. Le Br... (Sainte-Marie), douze ans (fig. 20). Premier traitement (1er janvier-24 avril 1902), 0 gr. 5
peut dire que, dans 60 p. 100 des cas, le tabes s'arrête dans les premiers symptômes, ou évolue avec une telle lenteur que l
ne peut guère être conduite et appliquée que par le médecin. Cette première période de mobilisation est suivie d'une deuxiè
ar conséquent le bulbe joue, croyons-nous, un rôle physiologique de premier ordre dans l'évolution biologique des anencépha
nt que des critiques insignifiantes en comparaison des documents de premier ordre amassés dans ces 350 pages, où sont succe
ibios, Castor, etc.) et de leur signification précise termine cette première partie. Dans la seconde partie se trouvent ex
intitule régisseur de la famille de L... C'est de là que datent ses premiers démêlés avec la justice. Quelques jours après s
, juge d'instruction : « Au nom de votre bonne mère qui dirigea vos premiers pas, que « vous avez bien aimée, ayez pitié d'u
'esprit. En ce qui concerne les malades de la première classe, la première mesure prise pour améliorer leur condition fut de
issage. En 1894, une colonie pour épileptiques sains d'esprit, la première de ce genre en Angleterre, fut ouverte à Chalfont
qu'au réveil. Michelson fait ici une remarque qui nous intéresse au premier chef : la première courbe est, avons-nous dit,
it sans pouvoir retrouver le sommeil ; 2° ceux qui n'ont pas « leur premier sommeil » naturel, qui tar- dent indéfiniment à
- sion mentale. Ces observations de Janet sont, croyons-nous, les premières où l'insomnie des hystériques soit rationnellemen
hystériques et des épileptiques (B.). 318 SOCIÉTÉS SAVANTES. ses premiers travaux, l'anémie cérébrale dans le sommeil et la
taire lacto-végétarien et l'u- sage des laxatifs répondent aux deux premières indications. La troisième indication est rempli
sortent de la face latérale de la moelle cervicale le long des cinq premiers segments médul- laires. Si on poursuit leur tra
blent en rapport avec la syringomyélie. Schlesinger et Kienbock des premiers , ont été frappés par l'état mental spécial prés
traitement hypnotique, il s'en occupe depuis 1886. Il a publié ses premières observations relatives à la psychothérapie en 1
s peuvent ne pas être dépourvus d'une certaine intelligence et le premier cas que je vous fais passer en est un exemple. En
n opérée engageaient l'un de nous à enlever les fils appartenant au premier des trois plans de suture pratiqués sur la paro
eurement, car il semble bien de règle qu'elles constituent la toute première manifestation de la maladie, comme elles' sont
. Nous connaissions trop la «Leçon d'Anatomie» pour être étonnés au premier moment, mais à mesure que le tableau, longuemen
ppli- quer de la glace sur la tête. Jusqu'alors il avait été un des premiers élèves, et l'étude lui était très facile. Dès l
tuberculeux alités ; à gauche de ce couloir un vaste réfectoire. Au premier étage, existent deux dortoirs de seize lits, de
ant une phase d'une variété d'aliénation mentale dégénérative. La première phase, mélancolie, parfois délire paranoïaque, de
era la cause de la perte du monde, parce qu'elle n'a pas répondu au premier appel »... « elle aurait du mendier »... « elle
mois. Elle arrive à Marévilte quatre mois après l'appa- rition des premiers troubles intellectuels; nous constatons aloi, d
s t'age de trente- cinq ans elle eut, nous dit-elle aujourd'hui, sa première maladie, et fit un séjour de quelques semaines
. En 1899 seulement réapparaissent les troubles qui ont motivé la première hospitalisation : altération de la santé physique
né avec soin, et le résultat de ce nouvel examen comparé à celui du premier . Nous avons alor, pu constater que d'une façon
malade B... paralytique à la seconde période ne présentait lors du premier examen aucune lésion du fond de t'oeit ; sorti en
illaire, de valeur diagnostique. C'est tout au plus si le retour du premier indiquerait l'amélioration de la paralysie faci
ns autop- sie, les symptômes ont été tellement semblables à ceux du premier cas qu'on peut logiquement les attribuer à une
ibuer à une cause identique, et si l'on remarque que dans les trois premiers cas, l'existence de la syphilis était avérée, e
ont en ce qui touche la moelle, une découverte récente, et l'un des premiers travaux sur cette question est celui de Nonne,
a le nom d'Avenue Charcot à la voie principale de la station. Cette première et instinctive ma- nifestation de reconnaissanc
9 naturelle des recherches qui ont, en grande partie, absorbé la première période de sa carrière : confiné dans le domaine
is d'un innovateur. Or, il ne s'agit pas là d'un lait isolé. Un des premiers , Charcot pré- conisa et vulgarisa le traitement
ontre l'inefficacité des bromures em- mployés pour venir à bout des premières . Il a réhabilité et ins- tauré, sur des bases s
constata- tion à Charcot. L'année suivante, ce dernier y envoya ses premiers malades, ils y obtinrent des résultats très fav
active au rapprochement et au bonheur des peuples, car ils sont au premier rang des apôtres de la fraternité hnmaine et pa
troubles vésico-rectaux très accusés ? ; ' Nous avons prélevé uu premier morceau comprenant toute l'épaisseur du foyer p
e. Il y a eu dans son développement deux périodes distinctes : la première , qui, très vraisemblablement, a succédé au trauma
jonrneltement. J'ai passé la visite. - Vous êtes malade, ici là en première catégorie, vous ausculte;, entrez sans frapper;
nd se rencontre dans les états chroniques, qui, contrai- rement aux premiers , sont généralement incurables. Citons aussi le
aute d'em- blée. Il est décousu d'emblée. En un mot il est tel le premier jour qu'il le sera le dernier. Le monologue du ma
légie spasmo- dique. Le t'ai' rapporté par les auteurs semble, au premier abord, lui donner tort; en effet, cinq mois se
ne autre qui repose dans une chambre assez voisine pour répondre au premier appel Jusqu'à une époque récente, la population
s. Discussion : M. Midlleuass, collaborateur de l'auteur dans son premier travail, confirme sur tous les points les opinion
ntenant six lits. Les hommes sont au rez-de-chaussée, les femmes au premier . Les malades bruyants sont à l'extrémité de cha
onfection des lois sur l'ivre-se, la santé publique, les enfants du premier à ? e et les enfants moralement abandonnés. Par
de l'effort intellectuel. La polarisation se fait surtout autour du premier effort, autour de la première adaptation réali-
ent et il rend à cause de ce fait de plus en plus obsédante l'image première . La fatigue augmente cette obsession et finit p
miné l'état de la musculature oculaire de trois tabétiques. Leur premier malade, quarante-neuf ans, tabétique avec ataxie
uccessivement nous nous sommes butés à une série de difficultés. En premier lieu, les chiens éthyroïdés succombent rapideme
e mentale, il y a chez lui une insuffisance psychique (idiotisme du premier degré). Un troisième, âgé de 9 ans, danse, pa
s toute sa hauteur, depuis le troisième segment lom- baire jusqu'au premier segment dorsal et au bulbe par le noyau in- ter
ale motrice, depuis le deuxième ou troisième segment sacré jusqu'au premier segment lombaire, puis, dans la moelle cervical
vant avec quelques petites interruptions jusqu'au bord supérieur du premier sacré, disparaissant dans le cinquième segment lo
e. SK) NÉCROLOGIE. Élève d'un homme que je considère comme un des premiers anatomo-pathologistes de ce temps, de mon collè
uelques mots l'oeuvre scien- tifique de notre ami. Philippe fit ses premières études médicales à Lyon, où il devint rapidemen
b,erv. de Deba..., p. 104. Face interne de l'hémisphère droit F', Première circonvolution frontale. LP, Lobule paracentral
68 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
SYSTÈME NERVEUX RECUEILLIES ET PUBLIÉES par BOURNEVILLE |TOME PREMIER avec 35 figures dans le texte et 14 planches
Tous droits réservés, AVIS DE L'ÉDITEUR. Cette réimpression du premier volume des Œuvres complè-tes de M. Gharcot ne dif
is encore à la Science française. BoURNEVILLE. 14 Juillet 1892. PREMIÈRE PARTIE Des troubles trophiques consécutifs aux
iques consécutifs aux maladies du cerveau et de la moelle épinière. PREMIÈRE LEÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésio
im-médiate, sur la nutrition des parties périphériques. 1° Une des premières est relative à la section du nerf scia-tique chez
f scia-tique chez les mammifères. Schrœder van der Kolk^qui, un dés premiers , l'a instituée, attribuait les troubles de la nut
et ilnous amènera à comprendre, je l'espère, pourquoi des lésions, au premier abord semblables et portant sur les mômes points
à la suite des lésions traumatiques des nerfs. Paget qui, l'un des premiers , a appelé l'attention sur quel-ques-uns dcces acc
dian. En conséquence il s'étaitformé sur la peau du pouce et des deux premiers doigts de la main, des ulcères qui résistaient à
opsie, que les corps des six dernières vertèbres dorsales et des deux premières lombaires étaient cariés. La dure-mère, dans les
s ne l'ignorez pas, qu'en pareille cir-constance, dès avant la fin du premier septénaire, la contrac-tilité électrique des musc
sont mises en parallèle avec les faits pathologiques, me parurent, au premier abord, devoir ruiner tout l'édifice. En effet, à
d'une façon complète sur le bout péri-phérique. Vous voyez que ces premiers résultats ne s'éloignent pas sen-siblement de ceu
faiblis-sent ensemble et ensemble se reproduisent avec leur intensité première , lors de la restauration du nerf qui, à la vérité
2. Voir Charcot et Joffroy, loc. cil. après la brusque invasion des premiers symptômes. L'émacia-tion des masses musculaires m
une influence directe sur la nutrition des muscles. Relativement au premier point, on ne pourrait qu'imaginer des hypothèses
ffets de l'irritation des nerfs, il pourra sembler contradictoire, au premier abord, que la nutrition des muscles ne soit pas a
la première période de l'ataxie 1. Kolliker. — Histologie humaine, première partie, p. 345, 340. locomotrice progressive (1
épart de véritables eschares; mais ce dernier se sépare nettement des premières par des caractères importants qui sont: en premie
lospital, par le docteur Woodman, le thermomètre placé entre les deux premiers orteils donne, en moyenne, 27°, 5. le maximum éta
ée était déjà prononcée quatre jours seulement après l'apparition des premiers symptômes (2). On peut voir survenir encore la
oppent la jointure. 1. Charcot, — Sur quelques arthropalhies, etc., première partie ( Arch. de physiologie, t, I, 1878.) Ell
genre, il est fréquent de constater, peu de temps après le début des premiers accidents paralytiques,une modification plus ou m
volume de la salive rendue dépasse de beaucoup celui de la glande. Ce premier l'ait démontre qu'il ne s'agit pas ici. tout simp
ng et de Henle, dominantes à l'épo-que où Ludwig a fait connaître ses premières recherches, on pouvait être tenté d'expliquer le
ette hypérémie, cette stase par irritation des tissus se présente, au premier abord, avec je ne sais quel dehors d'une concepti
l'observation des cas isolés ne permet pas de saisir facilement. Au premier abord, vous avez pu penser qu'un spectacle mo-not
reprend bientôt toute son intensité. Ane tenir compte que de cette première distinction, établie d'après l'influence du repos
n-sidération que les deux affections qui doivent faire l'objet de nos premières études cliniques, la paralysie agitante et la scl
lque chose de spécial. Quand l'affection est au début, l'écriture, au premier abord, semble normale ; mais si on l'examine à la
nd la malade parle, elle a du tremblement des lèvres et rémission des premières syllabes se l'ait assez péniblement ; la parole e
à la vérité, dans lesquels la rigidité musculaire est un symptôme des premiers temps de la maladie, et réellement prédominant. J
ent à la substance blanche de la moelle vousparai-sent sans doute, au premier abord, presque entièrement com-posées de petits c
1876 — Hayem. — Etudes sur les diverses formes d'encéphalite, 1868. premier cas, elles simulent de minces cloisons homogènes,
t pas l'opinion de quelques auteurs, parmi lesquels il faut citer, au premier rang, des maîtres tels que Henle et Ch. Robin (1)
sclérose proprement dite, lorsque l'altération n'a pas encore dépassé premières les phases dé son évolution. De tout cela, on a
es membres inférieurs affaiblis reprendre pour un temps, leur énergie première . Ces rémissions peuvent même se reproduire parfoi
nt de vue du diagnostic. Des périodes dans la sclérose en plaques. — Première , seconde et troisième périodes. — Symptômes de pa
ielles du cerveau et la paralysie géné-rale progressive, il semble au premier abord qu'il n'existe aucun point de contact. Voic
congestives, la tem-pérature s'élève au contraire, dès l'invasion des premiers symp-tômes, au-dessus du chiffre physiologique et
iers temps de la maladie et précipitent la terminaison fatale. 1. Première période.— Le mode d'invasion et d'enchaînement de
plus souvent, que deux, quatre, six ans même après l'appari-tion des premiers accidents de la sclérose multiloculaire. III.
ue chez les hommes. Ainsi, parmi les cas que j'ai rassemblés dans mes premières études, trois ou quatre seulement concernent de
oelle — et principalement la moelle allongée — la sclérose occupe, en première ligne, les cordons postérieurs, puis les cor-dons
il en est un digne d'attention entre tous, qui fera l'objet de notre première entrevue: c'est, —si je ne m'a-buse, — un exemple
igatoire, un autre phénomène qui est pour ainsi dire le complément du premier : je veux parler de vomissements se répétant tous
suffisent, je crois, pour vous convaincre, Messieurs, que, dans cette première période, la simulation a été impossible. Mes amis
hystériques, de l'autre est aussi absolue qu'elle semble l'être au premier abord. Dans le premier groupe de faits, la mort
jours pleins, les urines sont complètement supprimées durant les six premiers jours et leur quantité est très faible pendant le
a moitié ou aux trois quarts des liqui-des ingérés pendant les quatre premiers jours, puis sensiblement égale à la quantité de l
ngérés : or, pendant ce temps, il y a eu un peu d'urine dans les deux premiers jours (15 gr. et 250 gr.), mais leur émission est
pas de nom dans la nomenclature française, n'est pas une position de première importance. Faisant appela la nomenclature en u
de l'hyperesthésie ovarienne. — Son siège exact. — Aura hysté-rique ; premier nœud : — globe hystérique ou second nœud ; — phén
est convenu que ces dernières comptent parmi les plus communes. Au premier abord, il semble donc qu'il n'y ait qu'un désacco
nt lâches, peuvent être pinces et soulevés sans douleurs ; — c) cette première explora-tion montre que le siège de la douleur n'
, nous avons provoqué des irradiations douloureuses vers l'épigastre ( premier nœud de l'aura,,dans le langage de M. Piorry) com
pas nécessaire d'user de toutes ses forces et l'application des deux premiers doigts de la main sur le siège présumé de l'ovair
trouvons signalée une pratique fort curieuse à étudier, et dont Pidée première , selon toute vraisem-blance, aura dû être suggéré
ession du ventre. 11 est, en effet, des hystériques qui, en proie aux premiers tourments de l'aura, mettent instinctivement d'el
qu'il ne s'agissait pas chez elles d'attaques vulgaires, rentrant du premier coup, sans discussion, dans le type classique. Ce
ti-forme, employé, si je ne me trompe, par Louyer-Villermay, l'un des premiers , conviendrait à désigner ces attaques mixtes. La
nt ses allures et le pronostic qui lui est propre. A l'égard de cette première forme de l'hystéro-épilepsie, tout le monde est d
rme. Je rappelerai à votre souvenir la malade Etchev... qui, dans son premier accès, est tombée dans le feu et s'estabîmé la fi
ore; de la malade dont il est question Leçon IX, p. 275. d) A cette première phase sur laquelle, je le répète, porte principal
es d'un côté du corps, ceux du côté droit, sont sans cesse agités. Au premier aperçu, ces mouvements paraissent désordonnés ; i
même ordre. J'ajouterai enfin, —c'est là un caractère, à mon sens, de premier ordre, que la compression méthodique de la région
i (Bjuillet 1874). Le tremblement aurait envahi les mem-bres dans tes premiers mois de 1873 et aurait frappé d'abord le membre s
de grandeur {Fig. 30 et 31) et parfois paraît normale au Fig. 30. premier abord. Mais, si, comme le recommande M. Charcot,
d et Richeront donné à l'aide dumyographe de Marey, le tracé de cette première période de l'attaque (1). 1. Études graphiques
angue rendent la physiono-mie effrayante; beaucoup étendent les trois premiers doigts de lamain, de maniôreà simuler le geste de
net (Archives générales de médecine, 1860), et celle de M. Moissenet ( Premier fascicule des Actes delà Société médicale des hôp
onne-t-on ces parties à elles-mêmes qu'elles reprennent leur attitude première . Tous ces accidents, douleur et contracture, av
cement du mois d'août, sans modification quel-conque, lorsque, un des premiers jours de ce mois, sans cause appréciable, la cont
nse de Saint-Guy (2), en quelque sorte atténuée; mais il est facile à première vue, d'y reconnaître que l'hystérie et l'hystéro-
20 ~ Landolt del. Imp. Lemercier Cie Paris TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE LEÇON troubles trophiques consécutifs aux lésio
nt de vue du diagnostic. Des périodes dans la sclérose en plaques. — Première , seconde et troisième périodes. — Symptômes de
de l'hyperesthésie ovarienne. — Son siège exact. — Aura hysté-rique ; premier nœud ; — globe hystérique ou second nœud ; — phén
69 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
ion. Etant donné cet insuccès du traitement faut-il penser que leur première opinion était la bonne ? Nous le ne croyons pas
rétention ; rarement incontinence; un peu de constipation. Cette première période peut durer des mois entiers sinon des ann
es malades qui s'observent peu ne viennent consulter qu'après cette première période toujours insidieuse, comme nous l'avons
s insidieuse, comme nous l'avons dit : et il est possible que cette première période ait passé totale- ment inaperçue chez n
nifestation médullaire. Peut-être aussi est-ce bien parce que cette première période est méconnue par les médecins consultés,
fulgurantes res- semblant à s'y méprendre à celles du tabes vrai. A premier interrogatoire du malade on pense à l'ataxie lo
es do peptonate d'hydrargyre. Sirop d'iodure de fer. A partir des premiers jours de décembre l'état général s'améliore et la
le même état qu'en 1889. Quant aux jambes, on serait fort tenté au premier abord de croire qu'il y existe aussi de la pseu
ce d' « accidents hystériques simulant l'épilepsie partielle ». Son premier mémoire sur cette question coïncida avec une obse
ères trop abso- lus qu'il avait d'abord attribués à ce type dans sa première description (2). Il reconnaît qu'à côté du muti
provoque en général dans la forme stationnaire comme dans les deux premières périodes de la forme progressive un amendement
par exemple. Dans les premières phases de la maladie l'effet de la première séance est en général plus considérable que l'eff
efficace et je ne crois pas qu'elle soit rationnelle dans les deux premières périodes du tabes. Elle ne peut agir à mon avis
ennent au moins en partie de cette méninge. J'en attendais avant ma première ten- tative un effet évident d'autant plus que
a pensée que là peut-être le secours divin lui serait accordé. Au premier abord, nous constatâmes chez cet enfant les étran
é pour n'offrir aucune occasion il la curiosité publique dans cette première tenta- tive, de l'autre pour n'avoir pas il rou
rents. Dans les trois 64 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. premiers jours qui suivirent l'expulsion du démon, il se p
ns le poignet. C'est au point qu'il ne put dormir pendant les douze premières nuits, et cela malgré l'immobilisation dans un
ulcérations analogues à celles quenous avions constatées sur notre premier malade. Ce jeune homme était tombé, le 26 févri
par blessure des nerfs et le mal perforant classi- que : chez notre premier malade, l'aspect des ulcérations rappelait, en
triciel à exciser : c'est l'élongation que j'ai pratiquée sur notre premier malade et vous savez quel succès nous a donné cet
r notre premier malade et vous savez quel succès nous a donné cette première opé- ration. Mais chez notre blessé d'aujourd'h
rf viennent au contact, et on le noue sur le côté. L'ensemble de ce premier point (fil d'appui) forme un véritable cadre qu
mplètement, et l'événement a justifié mes prévisions. Le 22 juin, premier pansement, nous retirons le drain. Depuis ce temp
te de cellules épithé- lioïdes. FIG. 6. CYLINDRES d'axe dans LEUR PREMIER stade DE DESTRUCTION (Hypertrophie) tels qu'on
'élévation du sourcil droit. L'analgésie est toujours la même qu'au premier et au second examen. DEUXIÈME PARTIE HYSTÉRIE
ningite aiguë, en second lieu pour la méningite chronique. CHAPITRE PREMIER . SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE LA MÉNING
fièvre conservent donc malgré tout une importance séméiologique de premier ordre. Si l'on ajoute à cela que la pseudo-méni
l des crises nerveuses ( ? ) Bonne santé habituelle. Réglée pour la première fois il y a 8 jours et il cette occasion, malaise
l qui persiste encore. État actuel. Jeune fille bien constituée. Au premier abord, il semble qu'elle ait un ptosis double e
osyllabes aux questions qu'on lui pose ; son intelligence paraît au premier abord assez obtuse. Elle se plaint pourtant d'une
n'ajoute aucun renseignement à ce que l'on sait de l'apparition des premières règles depuis 8 jours. En présence de ces phéno
ers 16 mois, n'aurait parlé que vers l'âge de 3 ans. Au cours de sa première dentition, acci- dents convulsifs assez fréquen
la céphalée et des vomissements dût être ré- formé après les trois premiers jours et en présence du hoquet, de l'anurie, on
s d'une façon irrégulière sur les deux hémisphères cérébraux. Celle première distinction a son importance ; elle est bien mise
III. On observe chez les enfants des syndromes hystériques de la première catégorie qui simulent l'hémiplégie spasmodique i
es sensitifs et des réactions électriques. La tête ne présente, à première vue, rien d'anormal. Pas de calvitie; pas de sé
ré par des cercles concen- triques d'épiderme corné. Les muscles du premier espace interosseux pa- raissent atrophiés. Le p
space interosseux pa- raissent atrophiés. Le pouce, infléchi par sa première phalange, n'est point raccourci ; sur la pulpe,
grandes difficultés d'interprétation relatives au siège des lésions premières qui tenaient sous leur dépendance les troubles tr
a marché à 18 mois, n'a pas eu de convulsions. Variole et rougeole. Premier accès d'épilepsie à la suite d'une frayeur à t'
Sa mère était fille unique. Son père avait 3 soeurs et 1 frère du premier lit ; 2 frères et 5 soeurs du dernier lit. Plus
es 2 ou 3 mois. Ces troubles de la voix ont disparu en 1889 depuis sa première saison de la Bourboule. Toux nerveuse surtout l
ne fait découvrir rien autre chose que des tubes nerveux dans leur premier stade de destruc- tion : d'énormes cylindre-axe
s coupes en plus ou moins grand nombre dans la hau- teur des 4 ou 5 premières racines dorsales surtout clans le cordon latéral
s lésions des vaisseaux qui cheminent à la surface de la moelle. Le premier , il décrit les altérations des veines dans les lé
e Bd. XXII IIeft 1). 162 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. premières en date occupent les méninges et les vaisseaux et
dans le cordon autéro-latérrll druit : on peut voir la lésion au premier degré, pour ainsi dire, dans celte région, La n
e cérébrale. Bien que ces altérations rachidiennes aient attiré les premières l'attention des observateurs, on peut dire aujour
mblance, à une lésion de vieille date, dont l'ori- gine remonte aux premiers accidents cérébro-spinaux éprouvés par le ma- l
tous les auteurs, et que l'on est autorisé à rapporter aux lésions premières en date : soit qu'il s'agisse de phéno- mènes d
oncerne les prodromes de l'affection médullaire. Seulement ici, les premiers accidents syphilitiques, au lieu d'être récents,
aire marcher. Plus tard ( à de 30 ans), il perdit une soeur (née du premier mariage de son père) qu'il aimait beaucoup. Il
: dans la main droite au contraire elles prédominaient dans les trois premiers . A ces symptômes douloureux est venue ensuite s
s la jambe et dans le pied gauches (fait qui n'existait pas lors du premier examen). La piqûre légère est sentie, même dans c
a au public étonné comme un guérisseur admirable, un hypnotiseur de première force. Ce qui n'était pas bien difficile, les m
ait de toutes les découvertes de la science moderne : il fut un des premiers à se servir des projections électri- ques dans
et qu'il s'aide de sa canne, rien d'anormal n'attire l'attention il première vue. Mais vient-il il hâter le pas, la marche e
matin, la tonicité musculaire est beaucoup plus modérée que lors du premier examen. La percussion du tendon rotulien amène
s observés se sont produits dans la première année, dans les 15, 16 premiers mois qui ont suivi l'ap- parition du chancre in
ues montrent que, dans la majorité des cas, elles appartiennent aux premières années de l'infection syphilitique. Erb sur 22
circonscrite parce qu'elle se développe à une période éloignée des premiers accidents infectieux, admettre due la gomme sol
issance de nouveau à des désordres anatomiques analogues à ceux des premières périodes de l'infection.. Nous n'avons pas à ab
à tel point qu'on serait presque autorisé, faisant abstraction des premières , à décrire à part l'arté- rite syphilitique de
ALPÊTRIÈRE. pédestre qui n'a pas duré moins de cinq jours. Les deux premiers jours, il dut marcher sous une pluie battante,
suivant le type d'extension cubital. Ces déformations remontent aux premiers jours qui ont suivi la journée du 2 août 88. An
concerts en tous les points du monde. Il était très recherché comme premier violon solo. En 1872, il vint à Paris où il par
te sur le pied droit, c'est une flexion plantaire, qui survenait la première ; puis le membre inférieur se contractait, bientôt
espéré à la fois. Les accidents neurasthéniques déjà signalés à son premier voyage n'ont fait que s'accroître depuis. La
rouve une légère amélioration sur l'état de ces membres lors de son premier voyage. L'anesthésie cutanée est nettement limi
, une idée malencontreuse qui vienne gâter tous les bienfaits de sa première cure. Elle repartira alors vers de nouvelles cl
oit une analogie singulière entre la parabole hébraïque de Caïn, le premier meurtrier auquel Dieu commanda : « Tu seras agité
leusement équilibrés, des aptitudes artistiques et scientifiques de premier ordre. Plus que les autres, ils sont soumis à c
rasoir peut le faire disparaître. C'est le cas de S. qui lors de sa première visite possédait une barbe opulente et qui, la
étranges ? Assurément. Et il faut savoir faire le Diagnostic. - En première ligne, il faut citer l'affection que M. Charcot
- cin et le malade. Là naquit un véritable mont-de-piété et notre premier hôtel des ventes. Mais Renaudot, dédaignant les
lades. » Ce livre, écrit en entier de la main de Renaudot est notre premier traité de diagnostic clinique, débarassé des préj
70 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
développement des organes peut être troublé, surtout pendant les premières périodes de la vie embryonnaire; on peut donc c
formes semblent plus particulièrement se transmettre en nature; au premier rang, il faut citer la folie suicide. Esquiro
rveux; mais les affections mentales occupent incontestablement le premier rang. Nous ne ferons que citer quelques faits q
quatorze ans; mi- graine ophlhalmique depuis l'âge de dix-sept ans; premiers phénomènes de l'ataxie (incontinence d'urine) à
latérale amyotrophique proprement dite, mais de la coïncidence des premières de ces altérations avec une dégénérescence du s
ment la description qui va suivre. Ce qui frappe tout d'abord, au premier coup d'oeil jeté sur ces figures, c'est l'exist
eule topographie un argument décisif con- tre la systématisation. A première vue, on a bien affaire ici à la même dispositio
le système centrifuge ou du faisceau pyramidal, situé en dedans du premier . Ces 56 PATHOLOGIE NERVEUSE. deux systèmes, p
e de la région dorsale et dans le cordon latéral. Ce qui frappe, au premier abord, c'est l'épaississement très marqué de la
e con- FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 67 vient sur ce premier argument, car, nous l'avons vu, quelques auteur
es. Nous croyons donc pouvoir ad- mettre que cette irritation a été première en date, et qu'il s'est agi dans notre cas d'un
é des éléments qui ne jouaient aucun rôle lors de son développement premier . Toute sclérose péri- vasculaire devient en eff
a en face de symptômes qui relèveront à la fois de l'altération des premiers et de celle des seconds. Or, les lésions isolée
ifestations cliniques prédo- minantes, celles qui ressortissent aux premiers ou aux derniers de ces cordons ? Les faits vont
firme la ressemblance symptomatologique que nous avons été l'un des premiers à établir, entre l'hystérie de la femme et cell
88 RECUEIL DE FAITS. ordinaire dans l'intervalle, il fut pris de sa première attaque pendant son travail habituel, dans une
PSIE. 8 ! ) anormale. On ne sent au palper de l'orteil qu'une seule première phalange; on ne peut se rendre compte s'il en e
e rougeur à la face et de quelques convulsions clomques. Après un premier répit de courte durée, apparaissent de grands mou
e par l'exposé qui suit de quelques-unes de nos expérimentations. Première expérience (21 avril 1881). - L'un de nous s'assi
t un peu mou, tremblotant, d'aspect gélatiniforme. Pas de lésions à première vue : pas d'atrophie de la corne d'Ammon. Les v
ayons le passage qui nous intéresse : Observation IXaIV.- Idiotie : premiers indices de l'absence d'in- telligence. Ruminati
que c'est bien dans le système nerveux qu'il faut chercher la cause première du mérycisme. Diagnostic. Dans un des premiers
ut chercher la cause première du mérycisme. Diagnostic. Dans un des premiers chapitres de ce mé- moire, nous avons dit en dé
ycisme, qu'il devait être distingué du vomissement. En effet, si, à première vue, ces deux phénomènes offrent quelque analog
de la précé- dente, appartient au centre auditif de Munk. Ces deux premières 126 REVUE D'.\N.1TUIlE et de PHYSIOLOGIE. rég
nneur de vous entretenir un instant d'une jeune fille paraissant au premier abord beaucoup plus hystérique qu'épileptique,
r 1883, commença la série de 8,0U0 attaques dont j'ai parlé dans ma première communication. Ces accès res- semblaient à ceux
'apparition de l'hé- mianesthésie droite, lui firent abandonner son premier diagnostic, et le portèrent il penser qu'il s'a
x F.II1'o DIVERS. 13 ) 1 contre une, avait plat·.é 11. Clmrcut en première ligne. L'Académie a ratifié le choix de la comm
émité postérieure des frontales moyenne et inférieure. Les quatre premiers faits sont des exemples très nets de phénomènes
les coupes pédiculo-frontale et frontale de Pitres. Les lésions du premier donnent lieu à l'apha- sie, tout comme les lési
supérieure des trois plis postérieurs de l'insula. Destruction delà première circonvolution temporo- sphénoïdale. Sur la c
? \ \" ? \'' *'\' » ? \' v Itr W"1 11 ·w 1 .' Il semble étrange, au premier abord, qu'une lésion I,f 1110" hl 'II Jl.. l, l
uel les lésions intéressent les faisceaux blancs sous-jacents. Au premier groupe appartiennent les cas de Barlow, de Magn
ième portion ,1 d noyau lenticulaire.' ? , , , 1 /' "\1 A gauche, premier foyer symétrique, de deux cen- 168 . PATHOLOGIE
res ; mi- graineux, atteint plusieurs fois de sciatique), a eu un premier accès de goutte à l'âge de trente-trois ans. Les
aient échappé au génie d'observation de Duchenne; il a été l'un des premiers à mettre en relief leur fré- quence relative et
noyau originel de l'hypoglosse et ceux des moteurs oculaires. Au premier abord, on serait tenté d'invoquer l'appa- ritio
identiques; il est dès lors naturel de penser que la pathogénie des premières doit être la même que celle des secondes et que
alades' souffrit de difficultés à uriner huit ans avant d'avoir ses premières dou- leurs fulgurantes ; quelquefois ces troubl
but brusque développées au cours de l'ataxie. Souvent dans les deux premières périodes, ces troubles sont t transitoires au m
ution; la fille s'y oppo- sant, il y eut procès. La fille perdit en première instance, mais gagna en appel; le jugement, tou
ire. M. \Iuxxex. En serait-il de même à la suite d'un jugement de première instance ? M. Labitte. Je ne crois pas; le méde
açon, le même malade qui /prétendait alors être «un lmmensitaire de premier ordre, le Grand Commandeur des Elé- ments, le C
à la suite d'une sortie d'essai, ayant ainsi perdu le bénéfice des premiers temps du traitement et se trouvant dès lors dan
ui résultent des évasions sont supportées pour les pensionnaires de première classe, par la bourse de ces derniers, et par l
te et à gauche, des chambres de pensionnaires, hommes et femmes, de première et deuxième classe. Les corps de logis destinés
spivestner) et de dortoirs (soverum) tant au rez-de-chaussée qu'au premier étage. Tous les lits sont en bois, le fond de c
dix malades sans parler'des gardiens attachés aux pensionnaires dé première classe, qui touchent vingt-cinq à trente couronne
chambres à coucher sont, comme les chambres de malades, situées au premier étage; mais on y rencontre aussi quelques, cham
y rencontre aussi quelques, chambres séparées pour malades de la première classe ainsi que des salles de jour et de travail
baignoires et les accessoires nécessaires pour, malades calmes de 1 première , di uxième et en partie de, troisième, classe; on
DIVERS. Société d'anthropologie DE Bordeaux et du SUD-OUEST. - La première séance de cette Société a eu lieu le samedi 19 ja
s phénomènes après tous les repas, surtout après le café au lait du premier repas du matin. Le patient s'habitua peu à peu
la pression au niveau de la septième, vertèbre cervicale et de la première dorsale. L'autopsie décèle de la carie de la prem
battement, phéno- mènes fébriles, douleurs, on relève dans les deux premiers accès des attaques parétiques de toutes formes,
vie de celle de la moelle. Nous connaissons déjà les erre- ments du premier procédé'. Quant à la moelle, on la galvanise de
onscrit dont la nature histologique est mal définie à la hauteur du premier nerf cervical au centre de la corne antérieure
Nous avons classé les professions en quatre groupes princi- paux. Premier groupe. Nous avons d'abord réuni en un groupe (
us à la nitro-henzine. Deuxième groupe. Si nous avons pu établir ce premier groupe sur des faits authentiques, nous avons l
Troisième groupe. Notre troisième groupe, alors même que les deux premiers groupes eussent été mieux étudiés, ne pouvait l
dent, mais où l'influence de la profession ne saute pas à l'oeil du premier coup, où son influence paraît moins manifeste q
et la folie se trouvent des maladies intermédiaires qui masquent à première vue la relation avec la cause initiale : SOCIÉT
e la plus grande violence et encore retournent, ils à leur position première dès que l'effort ce ,se. M. BALLET critique le
tet. Lorsque, l'année dernière, je suis venu prendre place ici, mes premières paroles vous ont exprimé ma reconnaissance pour
ntourent la scissure de Sylvius (frontale et pariétale ascendantes, première temporale) constituent les régions qui recèlent c
rvira de terme de comparaison. Elle présente deux stades. Dans le premier , les cellules des cornes de la moelle sont milles
ement fonctionnel de l'activité du travail psychique est le facteur premier des symptômes ; c'est donc sur les couches cort
uffreut simplement d'une pertur- bation locale de la nutrition. Aux premiers , s'adresse particuliè- rement un traitement gén
rps entier. La manière de vivre est réglementée comme il suit : les première et seconde collations se prennent au lit. Entre
gine externe, tous les efforts de conception ou de volition. Un des premiers signes de la réussite de la cure, c'est un ennu
outons pas que ce conseil, dans l'ordre de ses travaux, ne mette au premier rang la question du concours et ne s'em- presse
e et à gauche cinq cellules d'hommes; la disposition est la même au premier étage (cellules de femmes). Le sous-sol en cont
mise par M. Herold. Dans sa pensée, les con- ditions du concours du premier degré sont suffisantes pour que les médecins ad
des prisons, a résolu de mettre au concours les sujets suivants : Première thèse. [Prix : 2,000 francs). - « Exposer les pro
de 160 pages chacun. Prix de chaque fascicule : 3 fr. 50. Les deux premiers fascicules sont en vente. Kocuen (A.). De la
rchives de Neurologie T VII PL I EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE Fig. 1. -.Coupe de la moelle au niveau de la pa
71 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tégorie peuvent se placer le malade de MM. Ballet et Dheur et notre première malade. 2° Le délire médianimique n'est que l
pidement parcourue dans la suite de la désagrégation mentale. Notre première malade n'avait ja- mais pris part à aucune prat
comprenant la période antérieure à son entrée en traitement et son premier séjour au sanatorium de Boulogne; l'autre corre
ée de trente-six ans, son intelligence générale paraît brillante au premier abord quoique plutôt médiocre en réalité. Sa fami
le songea à la religion qu'elle connaissait mal et essaya de prier. Premières hallucinations. Audition d'esprits. - Ainsi confi
endresse exigée, la seule vue de l'écriture de M. Schtein comme ses premières visites suffisent à ramener tous les malaises m
veut même améliorer le christianisme. Elle jette sur le papier les premières bases de la religion de la bonté, elle en compose
oqué en cachette sa belle-mère et Rarahu. En somme, pendant cette première phase, elle avait sans influence ' extérieure s
extérieure spéciale évolué vers une religiosité extrême et fait ses premiers pas sans initiation véritable dans le spiritisme
racontent ses hallucinations. Nous avons pu, d'ailleurs, pendant ce premier séjour constater l'acquisition de notions que p
b-consciente des lectures que nous lui avons vu faire pen- dant son premier séjour au sanatorium. On y retrouve des rémi- n
incomparable qu'elle inspire à son protecteur céleste. Fig. 1. - Premier dessin médianimique exécuté les yeux fermés par
triomphe, car, dit-elle, elle l'ignorait absolument, la vérite du premier fait doit entraîner celle du second. Elle oublie
ond. Elle oublie que nous lui avons parlé de. ce comité lors de son premier séjour; notre incrédulité la déconcerte et semb
microcéphalie en sont la démonstration. Quelle que soit la causé première de l'arrêt de développe- ment des centres nerve
ques des racines du plexus brachial (dernières paires cervicales et première dorsale.) Le sympathique a une action trophique
côte des méninges, les causes occasionnelles sont l'apparition des premières règles et une émotion morale intense, toutes ca
psychique rece- vant des impressions inusitées, ne parvient pas au premier mo- ment à les corriger et, par suite, se tromp
due; 4° Le myosis et la suppression de la salive peuvent être les premiers symptômes d'une méningite ou d'une myélite; 5°
médiats : le second (83 cas) donne les résultats plus permanents. Premier groupe de 111 opérations : 19 morts (17 p. 100) p
nter sous des dehors tels qu'il serait possible de la confondre, au premier abord, avec des maladies communes du système ne
tout à fait impossibles, l'ab- duction, impossible pour les quatre premiers doigta est vaguement esquissée par l'auriculair
frent la dimension d'une plume d'oie et une consistance telle qu'au premier abord on pour- rait hésiter à reconnaître des f
e et leurs loca- lisations sont autant d'éléments qui pourraient au premier abord faire admettre le diagnostic de syringomy
rs quelqu'un qu'elle désire ou dont elle attend le secours. Une des premières visites de sa fille l'a laissée très énervée; l
vaient paru s'effacer pendant l'intervalle relativement sain de son premier séjour au Sanatorium, duraut lequel elle n'avait,
homo- trice dont elle ignorait au début l'idendité a constitué le premier fait de celte médiumnité spontanée à la suite de
ssi ignorante en matière religieuse qu'en matière spirite quand ses premières tendances se sont organisées en hallucinations
ALTER déduit que certaines maladies du système nerveux central, au premier rang la paralysie générale et l'épilepsie, tien
re une précédente com- munication de mye Déjerine leurs conclusions premières sur les dégénérations du cordon antérieur. Cons
s- sement de mémoire très accentué et une certaine agitation; les premiers jours il avait des hallucinations auditives; une
t offre une certaine valeur. Les signes vasomoteurs sont à citer en première ligne : ce sont le dermogra- phisme, le pseudo-
onner. Voici au surplus les conclusions du rapport. I. Il faut en première ligne prévenir les crimes et délits des aliénés
extension dans le plaisir. La pre- mière pensée de l'enfant est son premier mouvement : 9° L'art de tous les pays et de tou
'asseoir sous peine de tomber accroupi. Il a de la raideur pour les premiers mouvements de mastication, de la'gêne pour la pre
tée aux précédentes, c'est celle de ces individus qui, placés une première fois à l'asile en dehors de tout démêlé avec la j
sont en rapport avec les muscles de la jambe et du .pied. Dans les premier et deuxième segments sacrés les deux groupement
e grêle, du jambier postérieur et des fléchisseurs. Les centres des premiers sont placés plus bas que ceux du jambier antéri
gment lombaire, celui du couturier, le groupement antéro-externe du premier de ces segments. Le centre du grand adducteur o
la partie centrale du troi- sième se trouvent les centres des deux premiers adducteurs et du SOCIÉTÉS SAVANTES. 281 droit
le demi-membraneux et probablement le demi-tendineux. Dans les deux premiers segments sacrés, il est en rapport avec le bice
it des progrès de la science moderne. Après avoir rendu hommage aux premiers créateurs de la méthode médico-pédagogique, aux
père avait 292 CLINIQUE mentale. défendu de les lui appliquer. Au premier camarade fouetté en sa présence, il éprouva un
ui passer les bras autour de la taille et se pâmer. Il avait eu son premier spasme voluptueux. Peu après, X... fut changé d
La mort mystérieuse de son père lui revint en mémoire et pour la première fois, il se sentit attiré vers le suicide. La nui
ci s'accentuait, il prenait un plaisir plus vif à ce spectacle; ses premières vagues aspirations sexuelles s'y associèrent ;
pler ceux-ci. Il avait quinze ans depuis un mois, lorsqu'il fit ses premières armes avec la femme de chambre de sa famille ;
les pieds de sa maîtresse. A noter que l'éjaculation spon- tanée du premier soir ne se reproduisit plus. Mais la maîtresse
iosité scientifique. Il y a là une indication thérapeutique de tout premier ordre. J'estime, en effet, que la connaissance
e perceptions nettes des fonctions qui s'ac- complissent. Ce qui, à première vue, peut tromper c'est que, lorsqu'elle* a les
n, les phénomènes nocturnes que l'on observe peuvent en imposer, au premier abord, pour du somnambu- lisme spontané : mais
un ouvrage compliqué, mais pour récupérer ensuite leur inten- sité première . L'émotion les exagère toujours ; ils s'affaiblis
ents des mouvements volontaires pour reparaître avec leur intensité première quand cessent les mouvements volon- taires. - P
s. II. Lésions bilatérales. Ces chiens ont préalablement subi une première expérience unilatérale; ce n'est que lorsque le t
t. C'est une hypothèse à laquelle Cassirer a essayé d'apporter la première preuve clinique. Son observasion de parésie des n
existe déjà chez le chien nouveau- né, mais dans le cours des deux premières semaines de la vie il ne jouit pas de l'excitab
orticale propres au mouvement suivant ne se substituent à temps aux premiers . Mais pourquoi cette persévérance du mécanisme
procédés : REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 341 Premier procédé. Fixer préalablement les pièces dans une
tupeur et cata- tonie, une paralysie faciale périphérique. Les deux premières sont évidemment, dit l'auteur, des psychoses sy
ires. A l'âge de seize ans, sous l'influence du surmenage, il a son premier accès de migraine ophlhalrnique; celui-ci se co
malade parle. L'auteur croit devoir rattacher ces accidents à la première menstruation, la jeune personne ne paraissant avo
près le choc qu'il venait de supporter. - Je suis tombé une fois du premier étage sur la tête, ajouta-t-il, et je n'ai abso
pour se débarrasser de l'enfant que le passementier avait eu de son premier mariage. Les dires de Pierre Prat, paraissaient
des meil- leures dispositions. - VARIA. 365 Pendant les quinze premiers jours que le passementier passa dans sa famille
pédagogiques ? Adresser toute correspondance à M. Tobie Jockheere, premier secrétaire adjoint de la Société Protectrice de
eront astreints. Les avantages consistent en : nourriture (table de première classe du régime des Asiles) logement, éclairag
cendent d'ivrognes ou d'alcooliques, comme beaucoup d'aïeules des premières , du reste. Cela connu, il semble que l'on devrait
constitue chez l'adulte le caractère épileptique, en quelque sorte première manifestation bruyante de l'épilepsie (que l'on
oment des règles chez les épileptiques, et l'on sait aussi que la première attaque d'épilepsie éclate presque toujours à une
nnelle du corps thyroïde et des glandes génitales», elle paraît, au premier abord, assez difficile à remplir; comment, en e
malades, il comptait 14 mérycoles dont 11 étaient des idiots. Notre première observation est celle d'un adulte; la seconde,
Les aliments ainsi ruminés revenaient secs et avec leur appa- rence première ; elle ruminait surtout la viande qu'elle préféra
es au maximum pour les filles. Il atteint un peu plus lentement son premier tiers que ne le fait l'encéphale entier. Par su
xclusivisme de ranger, d'après ces troubles, des intelli- gences de premier ordre avec de simples dégénérés. Pour le moment
tte lenteur de l'iris à revenir à son état normal constitue une des premières manifestations de l'état morbide du système ner-
as de ce qui l'entoure, le maniaque aperçoit tout et vivement. Le premier est d'une humeur indifférente, niaise ou puérile;
ause déterminante et directe de la maladie. - Parmi les sujets du premier groupe, on trouve seulement des épileptiques (3
pagnée du juge de paix, du greffier et de M. le D1' Edouard. Des premières constatations il résulte que la femme Pollet a no
uelle de la Revue de philosophie, dirigée par 111. E. I'I;7LLAL13E. Premier volume iii-8- de 350 pages, prix : 10 francs, C
furent exceptionnellement longues, durant jus- qu'au 2 mai, date du premier incendie. ' . Le 29 avril, c'est-à-dire cinq jo
nc- tion clinique en aliénés présumés curables et incurables. Aux premiers , l'asile avec ses moyens d'isolement peut suf-
tion, grossesse, accouchement, naissance, rien de particu- lier . Première dent à huit mois; dentition complète à deux ans e
L'enfant semblait bien portant et pesait cinq livres et demie; ses premiers cris ont été naturels. Allaitement au sein par
été naturels. Allaitement au sein par la mère; sevrage à deux ans. Première dent à huit mois. Dentition complète à deux ans
è- dent, à intervalle de dix minutes ou un quart d'heure. Lors du premier , la température est de 37°,G au moment du ronflem
rence physique aurait réjoui le coeur d'un évolution- niste, car au premier aspect il était un spécimen parfait du type sim
imentaire. D'où, en décrivant son aspect on énonçait qu'il était au premier abord du type simien, mais son intelligence éta
l le sache, aucune section de cuirs chevelus anormaux. Le crâne à première vue ne présentait pas d'autre anomalie marquée
veau et le cervelet, le dernier étant gros à l'excès par rapport au premier . Enlevé, l'organe pesait seulement 20 onces.
- niques et intermittents. les autres toniques et permanents. Les premiers , dont ils rapportent cinq observations sont pour
es différencient nettement l'hémispasme du tic. A ces caractères de première importance, s'en ajoutent quel- ques autres sec
qui consistaient en un ramollissement du lobe tem- poral droit, des premières et deuxièmes frontales, ainsi que de la face in
trophiques- 496 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. conjonctifs, cause première du trophoedéme. Il ajoute que si l'on songe que
ent. 11 existe encore un peu de tachycardie : 100, et un souffle au premier temps à la pointe. Il n'y a plus de tremblement
en. M. Paul FAREZ. - M. X..., élève du Conservatoire, a obtenu un premier accessit au concours de 1902. A l'approche du con
le premier des seconds prix. Le voilà tout désigné pour un brillant premier prix en 1905; il ne manquera pas de recourir en
e coude de montagnard, il parvint à se faire jour et à se porter au premier rang, juste à côté de la voi- ture. La voiture
72 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
'occuperai immédiatement d'un autre infantilisme, tout différent du premier , et celui-là authentique, digne du nom qu'il po
hiques,-disons : demyxoedè- me à divers degrés.Ceux-)à mettaient en première ligne et en première date l'abolition ou l'insu
xoedè- me à divers degrés.Ceux-)à mettaient en première ligne et en première date l'abolition ou l'insuffisance des fonction
progrès qu'il dut sa repoussante laideur. S'il était resté tel qu'au premier jour, il n'aurait été ni plus ni moins affreux
42 de taille, c'est-à-dire qu'il n'a presque plus grandi depuis sa première puberté ; et quoiqu'il n'ait jamais eu la seconde
malade sujette à des accès fébriles passagers, présente bientôt les premiers symptômes d'une péritonite tubercuieuse à évoluti
ion de cette malade, ce qui nous intéresse actuellement : dès notre premier examen, l'aspect infantile du visage et du corps
d'autres encore : il y a des gens,par exemple,qui conservent leurs premières dents jusqu'à un âge avancé ; certains hommes d
partielle peut donc donner lieu à des anomalies déconcer- tantes au premier abord. A l'étude de l'infantilisme on a récemment
ète, elle comporte un certain nombre de symptômes plus spéciaux, au premier rang desquels se placent les manifestations de né
38 ans. Syphilis; tabes antérieur, puis paralysie générale dont les premiers symptômes remontent à 4 ans à peu près,avec troub
res, ni rétrac- tions. Nous avons vu tout à l'heure chez nos deux premiers malades des symp- tômes nombreux de négativisme
s blanches, pas de grossesse. C'est au moment de l'apparition des premières règles, à l'âge de 18 ans, que débute l'affecti
des globes oculaires ; mais tous ces phénomènes, très marqués lors du premier examen, ne se sont pas montrés lors des examens
. Cliniquement, ce qui permettrait presque de faire le diagnostic à première vue, c'est l'habitus très particulier des malad
it caractéristique : il est constitué par quatre segments, les deux premiers : tête, cou et tronc, forment un angle ouvert e
suivante : les infections que notre malade a subies au cours de ses premières années ont déterminé des lésions pro- fondes de
des cornes antérieures) semblent à cet auteur devoir être mises au premier rang et démontrer l'origine spinale de celle form
l'évolution de l'affection. 1 Observation I. - Il s'agit dans ce premier cas d'un nommé Ch ? buandier, âgé de 72 ans, da
ARTIER ET DESCOMPS. - OSTÉITE syphilitique déformante type PAGET 85 premiers symptômes de sa maladie sont apparus. Ce furent d
ènes ostéo--arliculaires que présente la malade. Ce qui frappe an premier abord, c'est une déformation très accentuée de la
droit. - 1° Le tibia présente le maximum de déformations. C'est en premier lieu une double courbure, l'une fortement convexe
on n'y ressent pas de craquements. 5° Depuis quelques mois les deux premiers orteils sont immobiles et présen- tent une défo
e vue clinique, ces déformations ostéo-articulaires, font penser au premier abord (il suffit d'examiner les photographies ci-
ont que l'expression d'un seul et même trouble qui commence dans le premier cas avant la cessation de la croissance en longue
ment, sont appelés à interpréter la forme humaine, et parmi eux, en première ligne, les cli- niciens, on peut même dire tous
s notions que fournit le cadavre, mais elle anime, elle vivifie ces premières connaissances à l'aide desquel- les elle recons
ffre l'aspect « pleurard » de la paralysie glosso- labio-laryngée à première vue, surtout lorsque la bouche reste entr'ouverte
ne se sont jamais répétées ultérieurement. Le malade, même dans sa première enfance, n'a jamais souffert d'aucune autre aff
et en adduction légère, avec légère flexion dorsale permanente des premières pha- langes des orteils (PI. XXV). Il existe
noter très aisément que les racines antérieures gauches, partir du premier segment lombaire au troisième segment sacré inc
re, et s'étant présentée comme telle d'emblée. Le malade, depuis sa première enfance, a bien pu se servir de ses extrémités
ux affections,en effet, frappent de préférence des enfants,dans les premières années de leur vie, au milieu d'une bonne santé.
tombés malades brusquement dans l'intervalle de 10 jours. Les deux premiers enfants pré- sentèrent des phénomènes généraux
c une mauvaise serpette. Si j'insiste sur cette cause traumatique,à première vue de médiocre intensi- té,c'est que je la ret
de trophoedème, acquis, d'origine traumatique, se plaçant à côté du premier groupe de trophoedèmes héréditaires ou familiau
ou très tardivement, un an après le traumatisme initial dans notre première observation. Puis l'oedème devient envahissant, p
triques emboîtées les unes dans les autres ; puis, au delà de cette première gaine lamelleuse commence une zone de tissu con
out depuis les travaux de Henry Meige (1) et de Debove et auquel le premier a donné le nom de trophoedème chronique sous lequ
uche, la variole et la rou- geole. Menstruée à 14 ans 1/2. Les deux premières années les époques cataméniales ont continué ré
dans la manière dont l'oedème s'est installé. `. Pendant les deux premières années l'aecième n'a intéressé'que la cuisse* S
xactitude anatomique de ces oeuvres d'art ou enseignement. Dès sa première leçon d'ouverture, à l'Ecole des Beaux-Arts, M. P
s-uns de ses élèves avaient introduite dans son atelier. Dans son premier cours de l'année 1906-1907, M. Paul Richer a tenu
onyme avec réaction pupillaire hémiopique. En peu de temps les deux premiers * symptômes disparurent complètement et l'hémia
re cérébrale postérieure. On sait en effet que cette artère dans sa première portion directe ou ascendante- comprise entre l
re ou de ses branches ». Mais si la thrombose ne se limite pas à la première portion de la cérébrale postérieure et qu'elle s'
artères embolisées. Le siège de prédi- lection des nécroses est, en première ligne, les cordons postérieurs et puis les cord
taté les foyers d'hémorragie. Dans un de ces cas, - représentant le premier stade de la maladie, car le malade mourut' le cin
le malade mourut' le cinquième jour, - j'ai constaté, en dehors des premières lésions de la myélite (congestion, diapédèse le
épaissies. J'ai trouvé ces lésions chez des malades guéris de leur première attaque (ayant eu lieu plusieurs années auparavan
ente ; il n'a eu aucune maladie digne d'être men- tionnée jusqu'aux premiers jours de juin 1906, où il fut atteint d'un malais
a vis pour la seconde fois. L'examen donna un résultat semblable au premier ; on observait seulement plus d'inclinaison du t
ui fut continué pendant quarante jours : les douleurs diparurent au premier mois ; les mouvements actifs réapparurent lente
juvénile d'Erb. En effet, cet auteur a signalé dans la description première de son type la possibilité d'une pseudo-hypertrop
la dentition. Quoique âgée de 16 ans elle n'a que 13 dents : 9 de première dentition à la mâchoire supérieure, 4 à la mâch
nant à l'étude des cas publiés en France, nous voyons que dès leurs premières communications Marie et Sainton avaient observé d
de beaucoup la,plus altérée et il est donc possible d'incriminer en première NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. X
n est de courte durée et l'iris reprend progressivement sa position première , la mydriase est redevenue maximale au bout d'
s qu'avec l'eau pure et l'iris ne tarde pas à reprendre sa position première . Au bout de 6 minutes la pupille commence à se ré
ats que pour l'eau pure ; l'iris ne tarde pas à reprendre sa position première et la mydriase n'est pas inllueucée. Anesthésie
phénomènes que pour l'eau pure ; quand l'iris a repris sa position première la mydriase n'est pas plus prononcée ; paralysi
joint permet de s'en rendre compte aisément. Quoiqu'ils affectent à première vue le type d'une hémianesthésie droite, on voit
INGOMYÉLIE AVEC PHÉNOMÈNES BULBA11;LS 271 1 Il y a une objection de première valeur à faire cette hypothèse ; dans le cas qu
it des yeux. Rxitus le 4 avril 1904. DATES. - 30 septembre 1903 : premiers symptômes de maladie, sous forme d'attaque conv
hidien est DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 289 la cause première de toutes ces altérations pathologiques. Il peut
ôpital Tenon. Ancien prosecteur provisoire à la Faculté. CHAPITRE PREMIER L'histoire clinique du sujet hémimèle dont nous
comme disposition et insertions, sans qu'on puisse les rattacher au premier abord à des muscles normaux. Aussi le corps et
rfois possible de fixer la date originelle, sinon toujours la cause première . L'argument de Mathias-Duval, à savoir que « l'
lange sur la tête métacarpienne ; de même au bord cubital. Ces deux premières phalanges se terminent par des portions osseuse
angulaire, il répond, en haut, au ligament triangulaire, en bas, au premier os de la bran- che interne. La face dorsale d
ux os seulement. : leur et 5e métacarpiens. Le leur s'unit aux deux premiers os du carpe ; le 5° s'unit seulement au grand os
rs les sealènes, elle se divise en cinq petites branches : les deux premières vont se perdre sur les parties molles qui tapis
solé des précédents. Ces différents os paraissent être l'ébauche du premier cunéiforme, du scaphoïde, de l'astragale, du ca
férieure et externe du radius au voisinage de l'apophyse styloide. Premier et deuxième radial externe. Leur tendon contourne
scaphoïde et au tra- pèze. Le métacarpien semble correspondre au premier , bien qu'il soit un peu plus long ; un seul sés
on observe deux plis cutanés de flexion, l'un un peu postérieur au premier . C'est au niveau de ces plis et particulièremen
ayant en outre, à gauche une main bifide avec syndactylie des deux premiers doigts et des trois derniers, et un bec-de-lièv
ment, est remontée de droile à gauche tout le long du cul-de-sac du premier diverticule et après est descendue dans la dila-
ype sacciforme décrit par Leichtemtern (1). Pour l'expli- cation du premier gonflement nous sommes encore plus embarrassés;
rd éteint ; ils sont silencieux et recherchent la solitude. Dans le premier cas nous constatons une abondance d'illusions, d'
emarquer par sa vaillance dans les combats, se trouvant toujours au premier rang, devenait soudain lâche. Ce siège prolongé
et convulsions épileptiformes ou leurs équivalents psychi- ques. Au premier rang de ces derniers il faut citer les automatism
ue que jamais il n'a éprouvé la moindre difficulté de reconnaître à première vue la cheiromégalie de l'hypertrophie acroméga
distincts les uns des autres, sont élargis en battant de cloche, le premier en retrait sur les autres, le cinquième presque a
rare que l'absence du radius. Kümmel n'en a pu réunir que 13 de la première , contre 67 de la seconde ; on peut y ajouter le c
époque assez avancée de celle-ci correspondant à la formation et au premier développement des membres. Le mécanisme de leur p
ent les mouvements du membre supérieur, n'apparais- sent point à ce premier examen comme offrant des différences bien appré-
nq métacarpiens sont présents ; le 1 er est le plus court. Les deux premières rangées de phalanges sont présentes. Muscles :
ni- veau de leurs tendons qui se fusionnent avec le périchondre du premier doigt. - Tous les muscles de l'adulte sont pr
TROPHIE MAMMAIRE 423 de 6 kilogrammes et demi qu'elle avait lors du premier examen, au mois d'octobre, elle en était venue
Intelligent il répond avec précision aux questions. Ce qui frappe à première vue en dehors de la petite taille du sujet, c'est
rosse tête et l'exiguïté de ses bras, le rapprochement s'imposait à première vue. Bien que très dissemblables, les deux affe
ns l'anamnèse ; et parce que la cure anti- luétique, entreprise aux premiers symptômes du mal, n'en a pas empêché l'évolutio
re manière ; car, je ne dis pas : il a guéri ; mais il s'est guéri. PREMIÈRE PARTIE. OBSERVATION 1S décembre 1902. Taurone à
ssation de ce traitement. 16 décembre 1902. - Examen clinique. Au premier coup d'oeil le sterno-masloïdien droit apparaît n
Les yeux doivent rester fixés sur le point d'intersection des deux premières lignes. Grâce a ce dispositif, le moindre dépla
a différence qui existait entre les deux sterno-mastoïdiens lors du premier examen a disparu. ' 23 janvier 1903. -- Les pro
ental dé Taurone. 21 juin 1903. -'Vous m'avez demandé lors de mes premières visites de : 486 HENRY MEIGE consentir un pac
Pour la première fois un affaissement marqué s'est produit les deux premiers jours, deux heures environ après l'absorption de
vé ce trouble, mais un ins- tant seulement, en me rasant. Depuis sa première apparition, j'en étais atteint à intervalles él
: A 6 heures 1/2, lever, toilette et petit déjeuner. A 7 heures, premier exercice devant miroir pour me fixer un peu (rédu
est intéressant de constater que les actes automatiques ont été les premiers à s'exécuter correctement ; les mouvements volont
73 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
’avoir en horreur, et detestation tels meschans pes-chez condamnez en premier de Dieu, et après des hommes, procédant seulement
nt qu’il chante, cette pâle statue que la mort a faite, se colore des premières nuances de la vie, ses lèvres blanches commencent
tant il est difficile d'interrompre une âme fatiguée qui dort de son premier sommeil ! Toutefois le visage de la mort n’a pa
feu vulgaire.Tout les convie cependant à s’emparer du magnétisme, ce premier anneau de la chaîne mystérieuse qui n’emprunte dé
de puissance bienfaisante que Dieu a déposé en nous. Dès les quelques premières magnétisations, la fièvre continuelle qui minait
nt quelques personnes de sa connaissance auxquelles elle racontait sa première aventure et son rêve. Une de ces personnes, for
au dehors; l'habitude de l’ordre s’est intronisée parmi nous, et son premier fruit a été de bannir l’acrimonie de nos discussi
l sur le chemin des honneurs et de la fortune, aurait pu parvenir aux premières dignités; mais il sacrifia tout au bonheur plus p
monies, Nous enseignent à vous prier. X Comme au temps de l'ùre première , Où Moïse reçut la loi. Qu’ils nous inondent
ce, lisez : marquera sa place, etc. ( I ) Ces paroles existaient de premier jet, mais elles n'ont pas été prononcée«, et lors
on. Sous le lit on voit quatre cnnopes rangés l'un après l’autre. I.e premier est le signe de la Vierge, le deuxième est termin
ts de toute l’en ceinte des parois du salon. Mon appartement était au premier étage d’une maison alors isolée, à l’angle de la
à ce que la pomme tombe d’elle-même, et que les mains reprennent leur premier état. Cette femme Connaissait parfaitement, on le
sses choses, ce qu’il y a de Uni* -‘e’ ce îu' toml)C sous ics sens du premier venu; 'j"s a 1 a tenu aucun compte de ce qui ne p
ments oraux, ont besoin de l’expérieuce des autres pour diriger leurs premiers pas. C’est donc à la condition qu’aucun détail ne
el langage. L’abbé de Lamennais s'est fait grand avec l'idée de son premier livre de l’Indifférence en matière de religion, s
néanmoins l’action délétère! Nous voici devant la prévention. Ma première faute, ce serait, dans la relation de l’état cata
(tyxii); mais un élément (elementum, — quasi alimentum, une espèce de première alimentation; oto.X£îov, une suite naturelle). C'
n, quelque hazardéc que l’opinion qu’elle comporte puisse paraître au premier abord, il est à présumer qu’elle sera prise en co
ui prend sa place et parle par la bouche de ce corps, pendant que son premier locataire se promène; ou bien, si ce premier loca
e corps, pendant que son premier locataire se promène; ou bien, si ce premier locataire ne s'est pas retiré, niais qu’il ait
iste en cinq opérations successives, ou 6e décompose en cinq temps. Premier temps : abaissement du boni de la table sur les g
’opinion publique, cet autre tribunal qui casse souvent les arrêts du premier et exerce une justice souveraine : c’est par ses
u globe. « L’atmosphère nous apparaît comme renfermant les matières première « de toute l'organisation. (•) Voir le n* 93, 2*
n réalité qu'une locution vide de sens. « Jercndraiaumot matière sa première acception, en l’employant seulement pour désigner
e est insaisissable : cette cause, désignée sous le nom de mouvements premiers , n’est rien autre que la subitance lumineuse. »
oviser, n’importe quoi d’un quart d’heure, quitte à tourner court aux premiers symptômes, non pas d’irritation, mais d’inattenti
« Le jenne homme les emportait dans le pan de sa blouse, lorsqu aux premiers gémissements qu’ils firemt entendre, la mère acco
xe en devenant partie d'eux-mêmes; mais dégagé ensuite, il reprend sa première nature pour aller se fixer en d’autres corps. C’e
a un premier tour, ets’arrêta, content de son œuvre; ce tour fait, ce premier cercle tracé, il se laissa encore pendre sur le s
fixe, verte et glacée comme une émeraude, une émeraude vivante. Ce premier geste n’opéra aucun résultat appréciable, le serp
(La Phrénoloqie, etc.). « L’ignorance et le découragement sont nos premiers ennemis. « Toute chose intelligible (2) est une
e doctrine. » Le docteur Gama , ancien Chirurgien en chef d'armée, ex Premier Professeur du Val-dc-Grâce. La conclusion , c’e
propriétés et letfonctiom du système nerveux. allongée, de l'organe premier molcur du mécanisme respiratoire, el point vital
être placé dessous; ri inoxet/isv$v, le dessous; vivj npSnr,, la base première ; -i oùdu., l’essence), est l'ètre en soi, dans sa
e : en un mot, c’est Vesprit, c'est la force dans son individuelle et première manifestation, tant dans la vie d’ensemble planét
, n'en est pas moins quelque chose. * L'opinion des anciens, sur \e premier principe rte toute* choses, est (Electro-dynami
rcasse, » disait Turcnnc aux réactions de son corps en assistant à sa première bataille; « si tu savais où je dois te conduire e
au B***, s’enTlormit-elle? — Plus d’une (1) Elle fa il partie de ma première lettre au I)1 Charpignon; lettre ayant nn motif p
r les guérisons opérées depuis le 20 juin 1821 à IVurtzbourg). Dès ce premier essai, l’abbé de Hohenlolie opéra seul et par l’a
ns un petit bal par souscription, chez Jacquemart, que je vis pour ja première fois Angèle Bobin. J'arrivais à la Charité, accom
t avoir des renseignement nécessaires. Les deux visiteuses montent au premier étage, dans un magasin. A peine entrée, Elise arr
ez : Abercombec, au lieu de Abercom-bec!;. ÉTUDE HISTORIQUE. I ES PREMIERS ÉTABLISSEMENTS DU MAGNÉTISME A PARIS. Tel est l
uquel M. Fassy est arrivé ne laisse rien a désirer, car YHistoire des premiers Etablissements de magnétisme à Paris est une œuvr
e. Faire connaître les oppositions que rencontra Mesmer pendant son premier séjour en France, les difficultés constantes qui
son intéressant et précieux travail. T. Vuiu.erme-Dunand. T.ES PREMIERS ÉTABLISSEMENTS DU MAGNÉTISME A PARIS. (Étude
s assertions à l’Académie des sciences et à la Faculté de médecine. — Premier établissement de traitement magnétique en France.
de Mesmer & M......— Réfutation de la Faculté de médecine. IV. Premières relations avec le Dr Desion. — Publication du Mém
e l’Harmonie universelle et de l’Harmonie de France. — Liste des cent premiers souscripteurs. XVI. Quelles maladies on traitai
slon. — Sa prédiction par une somnambule. XXIV. Conclusion de cette première partie de Y Étude historique des premiers Établis
XXIV. Conclusion de cette première partie de Y Étude historique des premiers Établissements de Magnétisme en France.—Dispersio
nécessaires et qu’il agissait seulement par le Magnétisme animal. Ses premiers essais ne furent pas heureux. Critiqué par les mé
houz de « charlatan et de jongleur (1), » il vit le baron de Stoërck, premier médecin de l’impératrice Marie-Thérèse, qui jusqu
son système aux Académies de Paris, de Londres et de Berlin. Les deux premières gardèrent le silence. La dernière seule répondit
it^r^ A la maii] fermée d’un prélat, M, ftlenj^qd, évêque s3b'-Nancy, premier aumônier de l’Euipeceur, qi)i s’ôt(ii/.jir^g sent
es, on doit en conclure que la connaissance du magnétisme remonte aux premiers âges de l’humanité. Quelle merveilleuse histoir
uelle merveilleuse histoire que celle du magnétisme, qui commence aux premiers efforts de l’esprit et nous conduit par la série
s hommes ; niâis les peuples soumis à leur direction furent aUSsi lës premiers d'entt-e les peuples. celui qüi parmi nous Comp
-lmit lignes gravées en beaux caractères hiéroglyphiques. » Les six premiers versets du texte ne comprennent que la série des
le chef de Bachtan 0 Ol apporter ses présents , ¡1 mit sa fille au premier rang pour implorer n Sa Majesté et solliciter aup
lle plut au roi par-dessus toute chose; « il lui donna, en qualité de première épouse royale, le nom de Neferou-u Ra (beautés du
attestation de ces cures nombreuses. « Pendant les trois ou quatre premiers mois de mes investigations, » dit un des plus res
st duc à ce que les disciples de Mesmer appellent magnétisme. Cette première proposition, ainsi tranchée, se fond dès lors ave
ance de la cause étant en raison de la grandeur de l’effet ; la cause première du magnétisme universel est un principe incrié: D
ourrait être publié. Baron Du l’OTET, propricluirc-ycrant. I.SP PREMIERS ÉTABLISSEMENTS DU MAGNÉTISME A PARIS. Étude h
u mois de septembre du I)r d'Ëslon, membre de la Faculté de médecine, premier médecin ordinaire de Mgr le comte d’Artois, frère
la figure qui devait y être représentée. Ce miroir se reconnaît au premier coup d’œil pour un miroir magique; la forme des c
’il existe des procédés réellement magiques. L’enfant à double vue du premier , qui, les yeux bandés, devine les plus plus petit
ès ces explications que je donne telles qu'elles m'ont ôté fournies à première demande, je me suis rappelé que, toutes les fois
s, astrologues, etc., 217. Établissements magnétiques. Histoire des premiers établissements du magnétisme à Paris , par M. Pau
chirurgicales, par le Dr A. Tripler. Extrait et appréciation, 418. Premiers (les) établissements du magnétisme à Paris. Etude
74 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
jette le désordre dans ses facultés. Mais quel est le caractère des premiers troubles ? S'agit-il d'une mo- nomanie ? Justin
une marche ascensionnelle. Chez Justine, on ne voit aucune trace du premier état. Les hallucinations signa- lées par le D'
au moins une résistance anormale aux incitations volontaires. Les premiers sont faibles, les seconds seuls sont frappés de
onde séquestration du malade à l'asile de Clermont ; comme après sa première entrée, les accidents aigus, les lamentations,
airer cet intéressant sujet. Toutefois, avant d'aborder l'exposé du premier cas que nous avons observé, il nous semble util
ur (voleur caché dans la chambre à farine de son père), il eut sa première crise : il tomba privé de connaissance, et se déb
ernièrement. En 1872, il disait a M. J. Falret, qu'à la suite de ce premier accès il s'en serait reproduit d'autres tous le
une sorte d'intermittence. A nous, au contraire, il déclare que son premier accès a été unique, et que ce n'est qu'a l'âge
banc et se meurtrir les jambes. Ce deuxième accès fut semblable au premier , et suivi d'un délire de deux jours. Le troisième
Le troisième accès urvint en 1872 alors qu'il retravaillait de son premier état, et fut suivi d'un 4c quelques heures aprè
rrière, sonorité normale.CM'cttMtOH : peut-être un léger souffle au premier temps et à la pointe; batte- ments du coeur rég
d'adénite, ni de syphilis, de scrofule ou d'eczéma. Intelligence. A première vue, Cliér... parait assez intelligent; ses yeu
elca peu plissé; troisième circon- volution frontale bien dessinée; première et seconde circonvolutions frontales très court
; ? ., corps calleux. C. c., circonvolution du corps calleux. N1, première circonvolution frontale. ? circonvolution de l'hi
r du matériel dans une compagnie de chemins de fer ; mais depuis sa première attaque cette émotivité a subi quelques alterna
he maladroitement appliquée pendant le cours du traitement de notre premier malade. D'ailleurs, le développement de ces phé
ale. Rappelons en deux mots néanmoins quel est ce trajet, dans sa première partie. Les impressions recueillies à la périph
des corps genouillés et de la couche optique côtoieraient celles du premier faisceau, en dedans et au-dessous desquelles elle
ce grise des noyaux centraux ou des circonvolutions, si bien que au premier aspect, on pourrait penser qu'on a affaire à de
li- que, la coupe de Flechsig, et sur trois coupes verticales. La première nous a permis d'envisager le faisceau suivant sa
ui gagnent verticalement ou latéralement les circonvolutions. Les premières seront gris brun, les autres légèrement teintées
réfléchit aux conditions qui sont nécessaires à la réa- lisation du premier , on comprendra qu'il se puisse produire exclusi
qui contiennent les nerfs spéciaux seraient situées en dedans des premières . Cette hypothèse nous a paru d'autant plus plau
acture de la clavicule et une fracture complète de jambe. Dans le premier cas, malgré l'absence de déplacement, douleurs lo
s et leurnon moinsprompte disparition. De plus greffées sur le fond premier d'obnubilation, ces psychoses sont loin de se m
ALE. fraîchement exprimé, ou du « fluid méat», dans le potage. Le premier jour de ce traitement, le malade est abattu; il a
terviennent déjà dans l'étio- logie. Ce sont, ou bien les formes du premier groupe, mais aux derniers jours delà pneumonie,
La division comporte les manifestations du stade prodromique et des premiers jours rassemblées sous le nom de délires initia
i étant de 62, 5 p. 100 (infection intense), celle des délires delà première sema"te n'atteint que 41 p. 100, tandis qu'il n
n des perturbations mentales : quelques jours après l'évolution des premières manifestations somatiques se développe soudain
icités et présentaient des désordres du système nerveux. , Dès sa première enfance, on remarqua chez X... des signes non é
lité ? La paralysie générale, qui par sa fréquence se présentait en première ligne à l'esprit, a été écartée parce que le co
rébrales, pense qu'une série de poussées exsudatives ont succédé au premier épanchement sanguin jetant le désarroi dans la
si- dence à M. de Rinecker. Celui-ci est élu par acclamation. Son premier soin est de consacrer à la mémoire du Dr Fischer,
ie. La patiente, qui avait complètement guéri de la totalité de ses premiers accidents, a d'ailleurs été reprise de troubles m
une relation étiologique entre la vérole et le tabes dorsal. Cette première tentative fut. froidement accueillie en France :
course, en des temps inégaux; elle se déplace rapidement chez le premier sujet, avec moins de vitesse chez le second. .
table hémianesthésie que nous avions à faire. En résumé, nos deux premières hystériques n'ont pu être examinées qu'une fois
soulagement quelconque dans leur état de souffrance; c'est une des premières négations de ces malades dont quelques-uns iron
squ'à douze), quarante-deux sur quatre- vingt-huit malades des deux premiers groupes, ont des lésions de l'appareil générate
ychiques de la paralysie générale progressive à forme expansive, au premier degré. Durant six mois la maladie évolue sans l
aitement. Si bizarre et si peu physiologique que puisse paraître au premier abord une pareille idée, M. Mortimer Granville
'il se sent en danger imminent de tomber. Pendant les deux ou trois premières semaines, on n'obtiendra que des résultats très
reviennent, on enlève les points de suture ; la réunion se fait par première intention. Le dixième jour, l'écoulement cesse,
sion égale sur les deux côtés du cerveau. Le strabisme parait rare ( premier cas) et passager. Dans deux cas, déviation de l
plusieurs points adhérents, notamment à l'extrémité postérieure des première et deuxième frontales. M. Schwaah en conclut qu
résoudre les questions suivantes qui faciliteront votre travail. Première question. A quelle catégorie d'aliénés cet asile
diagnostic suivant : Processus encéphalitique survenu au début delà première enfance ou dans le cours de la vie intra-utérin
bilan psychiatrique et psychopathique des pays qu'il a étudiés. Une première question s'impose : La civilisation < : t-<
tuer. En dépit de toutes les apparences de la mélancolie notées au premier abord, un examen approfondi ne permettait de co
s de la neuropathologie une place trop restreinte. Pour échapper au premier , M. H. Huchard a pris le parti de conserver au
ffecté aux divers services de jour. Les dortoirs seront toujours au premier , ils offriront une capacité moyenne de 32 mètres
aux de dégagement. L'infirmerie sera située, comme les dortoirs, au premier étage ; les précautions hygiéniques y seront mu
visée du Conseil Général. Les auteurs des trois projets classés les premiers recevront chacun une prime, savoir : 270 FAITS
n entre le délire de culpa- bilité et le délire des persécutions. Première ' catégorie. Observation I. NI ? E..., âgée de
ts per- vers innés. Les deux filles aimaient également, dès leurs premières années, les jeux des garçons; elles dési- raien
presque permanent de surexcitation nerveuse et mentale. * Dans sa première enfance, M. X... a eu des convulsions très viol
x et avait le projet de se marier ; et plus tard, pendant les trois premiers mois de son mariage, et c'était aussi pour lui
dont l'aîné est : li;yçIwizq,lys.,C'est"Ini qui a été l'objet de ses premiers désirs, sa vue, . lailt lait ( 1 Il,), état d'e
, n ... - ,j ? j ,p ,j ` 336 REVUE CRITIQUE. PLANCHE V Les cinq premières figures représentent des coupes successives (de h
rines. C'est dans l'ouvrage célèbre de Rollo 1 que l'on trouve la première mention des troubles oculaires chez les diabétiqu
e observations. C'est l'opinion professée par M. Lécorclié, dès son premier mémoire. C. Les facultés intellectuelles se dér
exci- fables faradiquement, mais avec prédominance de l'anode. Le premier , interosseux dorsal de la main gauche donne les m
lle à établir, s'occupe de leur étude à la surface de la moelle'. Première partie. -Les injections ont été faites à l'aide d
orte de reconnaître l'épilepsie le plus tôt possible. Dans les deux premières années, l'axe spinal est excessivement irritabl
nes à leur émergence, indiquerait une méningite primitive dont le premier foyer serait, vu l'âge et l'allure des altération
opé- ratoires guérissent souvent simplement, quelquefois même par première intention. Cu. F. Des maladies mentales et nerv
olfT (Y.), 383. Wuillamié, 52. EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE Face convexe de l'hémisphère gauche. Fi, F',
PLANCHE PREMIÈRE Face convexe de l'hémisphère gauche. Fi, F', F3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
C. c., corps calleux. C. c., circonvolution du corps calleux. F1, première circonvolution frontale. ? circonvolution de l'hi
s successives. EXPLICATION DES PLANCHES. 415 PLANCHE V Les cinq premières figures représentent des coupes successives (de h
75 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
reconnaîtrons dans notre description l'existence de deux périodes. Première période. 1° Le mode d'invasion de la paralysie in
ont), n'avait pas fait, dit-il. de maladies graves depuis celle de sa première en-fance, que ses parents lui ont racontée et qui
tée par des râles sous-crépitants nom-breux et la dyspnée. Lorsque ce premier stade était pris à temps et que les mucosités éta
ore l'hyperémie pulmo-naire ; nous la retrouvons, non-seulement comme premier degré de la maladie dans les points qui doivent a
ermée, mais il est resté au milieu une ouverture qui, à l'époque delà première admission de la malade, mesurait près de 2 centi-
-velles études. A. Première période. C'est surtout relativement aux premières phases de la maladie que les données positives co
n sait, la majeure partie des faisceaux primitifs subirait dans celte première période, l'atrophie simple, sans dégénération gra
s observations de MM. Volk-mann et Steudener portent à le penser, aux premières phases de la maladie. Mais, c'estlàun point qui r
plus particulièrement la paralysie infantile. Relativement à notre première conclusion, il suffira de faire re-marquer qu'ell
vomissements. Si la dose du médi-cament n'est pas considérable, à ces premiers symptômes succède un sentiment de faim très-marqu
ur la circula-tion de la membrane interdigitale de la grenouille. Nos premières expériences, faites avec le concours de notre exc
ui nous ont donné le spectacle d'une véritable attaque d'hystérie. Au premier abord, voyant le nombre des inspirations doubler
, du nerf médian du môme côté. 11 s'a-gissait, d'après M. Charcot, du premier degré d'une névrite ascen-dante. Au niveau du r
tait une névrite très-accusée au niveau du renflement; une névrite au premier degré, au-dessus du renflement; au-dessous, beauc
uvres chirurgicales du calhélérisme curviligne exigent cinq temps : Premier temps. Introduire la sonde dans l'urèthre, la cou
quatre temps suivants néces-saires à l'introduction de cette sonde. Premier temps. La verge légèrement ramenée vers le pubis,
suivi du frisson et de l'accès de fièvre ; 4° Toutes les fois qu'au premier examen on juge la dilatation tem-poraire ou impos
la pubücalion du D1' Fano dans le compte rendu que nous avons fait du premier volume de ce traité de chirurgie. (Voy. Revue pho
us n'avons plus qu'à teñirnos lecteurs au courant du contenu des deux premières parties du tome second du môme ou-vrage, la trois
au-dessous de l'angle supérieur de l'occipital descendait jus-qu'aux premières vertèbres sacrées, jusqu'au niveau du bord supéri
à h partie moyenne qui comprend les vertèbres cervicales et les trois premières vertèbres dorsales, elle n'établit que peu de sép
ervicales et dorsales. Toutes les vertèbres cervicales et les trois premières vertèbres dorsales sont soudées les unes aux autr
qu'il fait en avant dans sa moitié supérieure. De chaque côté des six premières vertèbres dorsales qui concourent à former le spi
à former le spina bifida, partent comme dans l'état normal, les six premières côtes. Mais, au lieu de se diriger presque horizo
ent. L'ouverture supérieure du thorax, formée par la réunion des deux premières côtes au sternum, est donc très-oblique de haut e
e continuait avec un spina bifida des vertèbres cervicales et des six premières vertèbres dorsa-les. 11 paraît donc y avoir une a
auteur, est indiquée et résumée dans les trois périodes suivantes : Première période : Digitaline ci doses thérapeutiques. — E
ses toxiques. On observe deux temps suc-cessifs et bien distincts. Au premier temps : Exagération de tous les phénomènes de la
s d'avril 1871, c'est-à-dire environ deux ans après l'appa-rition des premiers symptômes, les deux tumeurs que nous venons de si
il en est un, digne d'attention entre tous, qui fera l'objet de notre première entrevue : c'est — si je ne m'abuse — un exemple
gatoire, un autre phéno-mène qui est pour ainsi dire le complément du premier : je veux parler de vomissements se répétant tous
suffisent, je crois, pour vous convaincre, messieurs, que, dans cette première période, la simulation a été impossible. Mes amis
des hystériques de l'autre est aussi absolue qu'elle semble l'être au premier abord. Dans le premier groupe de faits, la mort
ar Scanzoni. — Avec lui nous distinguerons les variétés suivantes : Première variété. Le col hypertrophié et surtout épaissi e
ge-femme appelée n'arriva que bien des heures après l'appa-rition des premières douleurs ; elle annonça que les choses allaient à
versés une autre série de phénomènes, que nous avons observés dès nos premières recherches. Dès que le courant cesse, on con-stat
Des incisions limitent de tous côtés les parties saines ; après ce premier temps de l'opération, les corps caverneux et spon
, 1861.) Madame X., âgée de 50 ans, fait remonter à l'époque de son premier ac-couchement ce qu'elle appelle sa descente de m
qu'il ne s'agissait pas chez elles d'attaques vulgaires, rentrant du premier coup, sans discus-sion, dans le type classique. C
ptiforme, employé, si je ne me trompe, par Louyer-Villermay, l'un des premiers , convien-drait à désigner ces attaques mixtes. La
t ses allures et le rro-nostic qui lui est propre. A l'égard de cette première forme de l'hystéro-épilepsie, tout le monde est d
me. Je rappellerai à votre souvenir la malade Etchevery qui, dans son premier accès, est tombée dans le feu et s'est abîmé la f
ou une respiration stertoreuse plus ou moins pro-longée. d) A cette première phase sur laquelle, je le répète, porte prin- 1
lorsqu'ils se contractent très-facilement. Ce fait paraît étrange au premier abord, et je me hâte d'ajouter qu'il ne se rapp
aire et farado-muscu-laire. Ce seul fait nous porta à rejeter notre premier diagnostic, et nous fûmes forcé d'admettre une lé
ire, moteur oculaire externe. Cette parésie était difficile à juger à première vue, car les yeux avaient conservé une mobilité a
érissant très-rapidement. De plus, nous avons également modifié notre premier pronostic, car il est bien différent et plus grav
u'artérielle, dont la source est surtout dans la tumeur elle-même. Ce premier temps de l'opé-ration terminé,. la masse tient en
rande simplicité ; re-nouvelé trois fois en 24 heures pendant les six premiers jours, il a consisté en pulvérisations d'eau phén
érature rectale. — 1'. SISte; puis, SatlS Cause appre- Pouls. - I.a première température a été ciable, apparaît une complica
nomènes morbides, cher-chant à en pénétrer les causes, non les causes premières , car cel-les-ci sont en dehors de notre portée, m
avec une dilatation vasculaire : nerfs dilatateurs. » L'existence des premiers est parfaitement démontrée par la section du gran
honneur, ont été 1 Rapport sur la répression de l'alcoolisme. des premiers à signaler. Le mal est reconnu de tous aujourd'hu
à bout en établissant une com-pression avec de l'amadou. 15 avril. Première injection de 5 gouttes de perchlorure de fer dans
tes dans le lobule anté-rieur, où l'on avait tenté infructueusement b première injection. Vive douleur au moment où le perchloru
sculaire progres-sive, le résultat ne paraît pas bien satisfaisant au premier abord, mais néanmoins il est digne d'être noté. C
on retrancha la plus grande partie de la langue : la plaie guérit par première in-tention. La portion enlevée mesure 5 centimètr
production de l'arthropathie. » Nous avons essayé de résumer cette première partie du mémoire qui est la partie clinique ; no
ont nés à Paris et ils habitent, avenue de Choisy, un appar-tement au premier étage, bien aéré, exposé au midi ; ils ont eu 7 a
lâche, comme œdé-matiée. Il existe une légère voussure au niveau des premières dor-sales. La peau du dos est couverte de poils r
lèvres pendant les efforts. Le vagin est peu renversé, en sorte qu'au premier abord on pourrait prendre cette lésion pour un ab
ui avait eu des mélrorrha-gies considérables après chacun de ses deux premiers accouche-ments. L'avenir nous dira sans doute a
alade meurt guéri de sa paraplégie, la lésion de la moelle semble, au premier abord, n'avoir subi aucune modification ; mais un
être sévères, n'en sont pas moins parfaitement fondées. Le chapitre premier consacre 21 pages à étudier l'urine physio-logiqu
f donnent des cicatrices molles et peu ou pas rétractiles. Ces deux premiers chapitres ne sont donc pas à leur place dans ce l
tères que nous présentent les li-pomes en pareil cas. Lors de notre premier examen, la tumeur, de forme ovoïde, avait à peu p
out de dix jours. Le monstre, considéré dans son ensemble, paraît à première vue formé d'une partie sous-ombilicale normale,
dont les deux derniers accolés et un bourgeon intermédiaire aux deux premiers dans la REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX A
vi-cules tiennent à un sternum cartilagineux unique seulement dans sa première pièce. Le membre supérieur droit n'est relié à
au moyen de liga-ments. A gauche, il n'y a que sept côtes. Les quatre premières ont une portion commune en arrière, à quatre tête
ns de se croire enceinte à partir de ce jour ; soit, au jour de notre premier examen, huit mois et une semaine de grossesse.
premier examen, huit mois et une semaine de grossesse. Victoire, au premier aspect, présente les apparences les plus complète
nure, de la longueur des membres supérieurs. Impossible de voir, au premier examen, les membres inférieurs. Le fond de l'utér
composée de cinq vertèbres, les deux dernières lombaires et les trois premières sacrées ; c'est une véritable gibbosité : aussi c
cent quatre-vingt-cinq pages, dont la couverture est bleu tendre. —Au premier aspect, cet ouvrage ressemble, à s'y méprendre, à
e ce travail se trouve une carte de la localité. — Les cinquante-deux premières pages sont consacrées à l'historique de cette sta
76 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
elques-unes de es lignes inspirées par la vérité. Baron DU POTET. PREMIÈRE CAUSERIE MAGNÉTIQUE. Patience et persévérance.
au milieu de sensations nouvelles et qu’il la conduit à reprendre ses premières aspirations, ses plus nobles élans, toute sa foi.
n qui la rend plus belle , plus pure dès u’elle se ressouvient de ses premiers rêves, de ses douces qxtases, du baiser d’adieu d
élire ; par cette douce et bienfaisante influence, la sympathie, — ce premier talent du médecin, — s’établirait plus facilement
ciennes religions; des contrées où la civilisation a fait à peine ses premiers pas, telles que le. Texas et la Californie, compt
e suffisant de séances. Mais beaucoup de personnes se rebutent si, du premier coup, le magnétisme ne leur présente pas tous les
à merveille, puis une fera défaut : ils ne tiendront aucun compte des premières et ne cesseront d’objecter l’insuccès unique, en
posable que l’esprit de Newton ou de Daily se mît à la disposition du premier venu qui voudrait l’appeler. Ou a répondu que les
t un son donné, et qui, à l’état malade , rendent un son différent du premier . Il s’assure par là de l’existence des désordres;
par la seule volonté, sans s occuper du crâne du somnambule. Un des premiers magnétistes de l'Italie, M. Eugène Allix , a cher
s les exagérer. D’ailleurs, ce sang épanché, qui constitue l’accident premier pathologique, si l’on ne trouve pas moyen de le r
qu’il avoue dans son enseignement sur ses bases fondamentales et ses premiers principes. » Si l’orateur est dans le vrai, auc
soutenu examens et thèses , et d’être muni d’un diplôme, ü suffira du premier venu, pour peu qu’il connaisse passablement sa la
ersonnes en question. Elle les examina successivement. Quant aux deux premiers , elle me dit que ça venait de deux personnes qui
ffrit pas la moindre difficulté. A peu près une semaine après cette première visite., elle revint che* le docteur. Le docteur
, de la susceptibilité timide, et, de plus, la peau présente aussi au premier contact un frémissement qui est pour nous la preu
r contact un frémissement qui est pour nous la preuve qu’il éprouve à première vue , pour ceux qui l’approchent, un sentiment vi
ne navire européen a abordé une des îles océaniennes, il développe au premier contact des maladies à caractère endémique et sur
écédents dans la jurisprudence. La solution donnée par le tribunal de première instance aux questions posées avait été contraire
s sur le travail, sans trouble dans les intérêts. Les antagonistes du premier jour sont morts sans que leur opposition ait rien
r terre; le lendemain elle tomba deux fois ; un médecin fut appelé du premier moment ; malgré les soins et l’emploi de tous les
e , tantôt dans un autre, selon que l’esprit peut remonter à la cause première , et plus ou moins bien la comprendre ! Evidemment
monde est naturel , quel qu’il soit, et s’il ne lui paraît pas tel au premier abord, c’est que son défaut de lumière lui en dér
savants, ce sont les faits si communs en Amérique, et qu’un médium de premier ordre, M. Hume , vient de reproduire à Paris, dan
un démon qu’un ange, d’après la manière dont il.se manifeste. — Cette première preuve n’est doue qu’une fausse présomption ; ell
tres le Spiritualiste de la Nouvelle-Orléans, qui vient de lancer son premier numér«, avec cette épigraphe : « Ils ne sont
pour ainsi dire goutte à goutte dans le cœur de l’homme matériel des premiers temps ; elles ne sauraient donc condamner en quoi
on autorité personnelle. Mais nous reconnaissons, avec les juges de première instance, qu’il y a lieu de décider tout autremen
ne se font point sans elles. Toutes les maladies ne cèdent point aux premiers efforts. Le magnétisme est déjà un grand art ; ce
, lisez : je suis croyant du... A la suite de la première partie du premier couplet d«Terre et Cieux, mettez deux points, et
aux bras d’une espèce de cornac chargé de recevoir les illuminés aux premiers tressaillements de l’esprit divin... L’illuminé,
ts, consent à se transporter partout où l’on voudra et à se servir du premier appareil qui sera mis à sa disposition. Comme il
certaines crisiaques, et qu’on nommait te /laide magnétique. L’un des premiers , j'ai combattu , sinon l’existence, du moins le m
quel cœur. GUn.uto, Cent-Garde de S. M. Le 25 mai 1857. Cette première partie de la soirée s’est terminée au milieu d’un
bligent à scinder ce mémoire , d’autant que, n’ayant plus sa destinée première , celle d’une allocution au sein d’une brève réuni
ut homme complètement orga-« nisé a le sentiment d’une cause ou force première qui « lie tout et enchaine tout, mais je ne puis
e sa composition, savoir : le subtil et Y épais ; l'un , la substance première , l’intelligence, la force expansive, imprimant la
ervations particulières, très-souvent ce ralentissement serait un des premiers effets du commencement de chaque magnétisation ,
s de la Société du Mesmérisme le récit de deux faits intéressants : Premier fait. Somnambule guérie à l'aide de sa propre luc
pour mon acte de contrition, je leur livre l’extrait que voici de ma première séance d’expérimentation particulière sur la clai
s expériences diverses auxquelles il s’est livré avant d’arriver à de premiers résultats et sur ces premiers résultats même. t-
les il s’est livré avant d’arriver à de premiers résultats et sur ces premiers résultats même. t- piébart. A M. te Rédacteur
mées. Rue Volie-Méricourl, 61, Paris. MÉMOIRE D’UNE PLANCHETTB. Premier article. L’histoire de Jullie, ou plutôt des vi
épète, les savants qui avaient montré une certaine sympathie pour nos premiers essais, lâchèrent pied dès que nous voulûmes les
utes les espérances. Je n’oublierai jamais la vive impression que nos premiers succès, sous ce nouveau mode, nous firent éprouve
et j’en reviens à notre Jullie. Aussi bien, c’est elle qui fut notre première visiteuse à la planchette, et en m’occupant d’ell
u’elle était née sur la paroisse Notre-Dame, et qu’elle avait fait sa première communion le 12 mai 1790, au Bon-Pasteur (1). Voi
s ses ferveurs secrètes... Il y avait une dizaine de vers, et cette première production nous mit singulièrement en goût. Nous
ns (1) convaincantes. J’en inscris ici deux nouvelles observations. Première observation. Le 10 décembre dernier, je venais d’
., somnambule d’uneimpressionnabilité très-sensitive, était assise au premier rang de l’auditoire. Elle me tournait le dos. Ell
Le rayonnement naturel Ct une merveille de ce genre, lors de notre première époque impériale. Un homme, admis devant l’empe
nt heureux de la confiance qui nous est inspirée par son caractère. PREMIÈRE LETTRE. A Monsieur le baron du Polel, directeur
des neuf jours, la grappe n'était plus qu’une ombre de son apparence première : le reste s’effaça jusqu'au dernier vestige. A
èrement c«fait; il s'ensuit donc que, si l'électricité « est la cause première d«l’affinité et delà médicalitè, il doit exister,
l’his-« toire des œuvres de la nature, ne peut mener qu’à la u cause première de tous les êtres. Loin donc qu’elle con-« duise
le dehors. Disons tout de suite que, dans bien des cas, les nerfs du premier système peuvent suppléer ceux du second, envers l
plus foncée, quelquefois plus claire que la feuill«elle-même. « Notre première pensée fut de soupçonner la supercherie des Lamas
ui déjà Home ressemble par tant de points. On sait que le jour delà première entrevue du Snedemborg avec Dieu, laquelle eut li
ces derniers étaient loin d’avoir atteint le degré de perfection des premiers . La lecture de l’article bibliographique de not
je te dis que ce n’était rien : eu montant l’escalier pour arriver au premier étage, j'avais mis le pied sur le bord de ma robe
on commune. Je te répétai alors leur signalement, en tout conforme au premier , et, comme ils furent mis en liberté faute de pre
ogé sur l’utilité de ces développements, répondit que, quant aux deux premiers , je pouvais en tirer parti dans l’intérét de sa s
tes leurs assertions seront sujettes à vérification r comme celles du premier venu ; s’il s’agit d'un fait, il ne suffira pas,
ils tiennent du prodige et sortent des opinions reçues? Du nombre des premiers est M. Viennet, membre de l’Académie française ;
rogrès des révolutions, F.t prend au sérieux les visions cornues Du premier charlatan qui lui tombe des nues ! J'ai vu mill
st le docteur Hare, professeur à l’université de Philadelphie, un des premiers chimistes et physiciens de ce siècle, dont le nom
IVorking-Farmer, ingénieur et chimiste de distinction et agronome de premier mérite que ses innovations et ses succès en agric
ophie matérialiste ; c’est le docteur Wilkinson, regardé comme un des premiers écrivains de l'Angleterre ; ce sont des médecins,
rmanence, et s’offrant aux investigations directes et quotidiennes du premier curieux venu, sont reconnus, après un examen auqu
apparente, c’est-à-dire dans ceux de leurs effets qui nous frappent à première vue, et sans avoir égard à la cause problématique
ois ordres, psychique, physiologique et physique. Celles des deux premières catégories méritent certainement de nous intéress
ire, la prescription n’aura pas plus de valeur que si elle émanait du premier venu n’ayant ni lucidité, ni connaissance aucune
econnaître son erreur. Nous allons résumer ici un court passage de sa première lettre au Spiritual Telegraph, de New-York ; nous
rs que le magnétisme est encore a la mamelle, ET qu’il MET a PEINE SA PREMIÈRE OENT. « Je n’ai cité aucun fait de prévision à
je me suis plus souvent servi du second. Mais d’abord, au sujet du premier mode, je dois ajouter quelques explications pour
i peuvent être attachés à ces opérations. Il y en a bien d’autres, au premier rang desquels nous devons placer l’incertitude de
t un diplôme d’allopathes. Ceci nous fait l’effet d’une assemblée des premiers chrétiens où l’on n’aurait pu pénétrer qu’avec un
Du Potet. BIBLIOGRAPHIE. —e^P-DO-vî/»— DÉCOUVERTE DES CAUSES PREMIÈRES ET FINALES comprenant la circulation de l'électro
sités par sa pensée ; il éprouvera les mêmes impressions que lors des premières pérégrinations ; il n’hésitera pas à. les déclare
mblait accablé sous le poids d’une grande fatigue. Ainsi se fit cette première séance, au grand étonnement des témoins dont les
ésenter à l’Académie, la commission nommée par elle ne voulut plus du premier appareil. Elle en imagina un autre. M. Pigeaire p
s plus grands hommes de l’antiquité étaient constamment aux ordres du premier tourneur de tables venu, et du haut des sphères s
que l’engourdissement, et les doigts reprirent toute leur élasticité première . Pour venir à l’appui de la bonté des procédés
uisent par de là l’Atlantique et même chez nous, et qui paraissent au premier coup d’œil devoir être rangés parmi ceux du spiri
TISME RECÈLE ET QUI LE TAISENT SONT BIEN COUPABLES. Oui, COUPABLES AU PREMIER CHEF, CAR ILS TUENT, CAR ILS LAISSENT TUER. » (Pa
la raison. Tout accueillir sans contrôle, ou rejeter tout ce qui, au premier abord, semble invraisemblable et par cela seul qu
exemple, prit goût au magnétisme, et, devant nous. se mit à faire ses premières armes. Il endormit une jeune personne : en magnét
le fer, il détermine de véritables attractions et des répulsions. Ces premiers effets sont susceptibles d’une étude rationnelle;
ent l’assurance de mon dévouement sans bornes, l!É(iUÉ, M. M. » Première observation. — Madame Pauline Candel, vingt-neuf
nute ; elle devait en avoir quatre pour obtenir sa guérison. Les deux premières avaient complètement réussi, et j’étais près d’ob
un docteur, qui, ayant su quelle avait élé magnétisée , la condamna à première vue. En effet, grâce à une médication bien ente
r une pensée qui n’était point la sienne , et qu’il ignorait jusqu’au premier mot des belles choses qui venaient d’être dites p
te pièce mémorable ; la teneur en est en substance celle-ci: «Article premier . Attendu que M. Willis a été accusé de se livrer
ion favorable d’un grand nombre d’écrivains éminents et de savants de premier ordre, parmi lesquels nous sommes heureux de comp
par M. E. Allix. Annonce de cet ouvrage, 560. Découverte des causes premières et finales, comprenant la circulation de l'élec
77 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
is a fait des progrès depuis son entrée ". Effectivement, les trois premiers jours qui suivirent son admission, Céline..., p
oncierge ». Elle sait écrire son nom, connaît l'addition des 3 ou 4 premiers chiffres, coud un peu. Mais sa grande occupation
est aujourd'hui aussi vivante que jamais : M. Bonne qui dans son premier article la déclarait abandonnée, cite lui-même le
e à l'esprit, même à celui de M. Bonne qui nous apprend que cette première division méridienne entre les deux premiers blast
nous apprend que cette première division méridienne entre les deux premiers blastomères « indique le plan de la future symé
ant précis où elle se termine, les deux globes vitellins, (les deux premiers blastomères) ont la arme d'ovoïdes simplement L
dirigée du côté où est apparu le sillon de segmenta- tion Ces deux premiers globes vitellins demeurent à peine quel- ques i
er,il faudrait admettre que.chez les Ar- tiozoaires dont les quatre premiers blastomères sont encore a toti- potents », chez
devant l'autre. Chez les Phytozoaires quintiradiés,dont les quatre premiers blas- tomères présentent la même totipotence, o
peut en conclure à une participation nécessairement égale des deux premiers blastomères à la formation des ébauches médianes.
u organes qui dérivent de chaque substance. On sait encore que la première segmentation est suivie chez des Phytozoaires qui
nne (p. 197). Chez les Poissons osseux, les Urodèles etc., les deux premiers blasto- mères sont souvent très inégaux, sans q
vers, sans toutefoisque le dernier soit l jamais perpendiculaire au premier , ainsi que le croyaient les pre- miers expérime
s capable d'impressionnner », s'est efforcé de donner un sens à ses premiers raisonnements : « Double l'homme : double le pou-
toute son ampleur Pourquoi donc l'A. n'a-t-il pas persisté dans sa première explication : le tube ner- veux est double puis
signée le z9 septembre de la même année. A noter qu'au cours de ce premier internement le sujet avait présenté des trouble
onnées. Pourtant, après section des dernières cer- vicales et des 5 premières dorsales, la dégénération n'atteint pas la moel
ers 22 en- viron sont internés par la première fois, 14 ont eu leur premier ac- cès à la puberté ; il reste 20 malades qui
e transformer, de recourir à des procédés médico-pé- dagogiques, au premier rang desquels il faut placer la suggestion hypn
ce qu'on est convenu d'appeler une femme incomprise. Dans les sept premières années de son mariage, elle lit cinq grossesses
otable. Les accidents mentaux qui se déroulent pendant les quatre premières semaines consistent : 1° en petits accès d'excita
produisent encore de temps en temps la nuit, surtouL au moment du premier sommeil. Les mois suivants, l'amélioration s'ac
eau rend l'hommage à la mé- moire duD° Christian, un des anciens et premiers pré- sidents du congrès de psychiatrie, que la
evées (au-dessus de 600 volts , fait qui peut paraître paradoxal au premier abord. Les crises cloniques sont dues à l'exc
G. GARRIsoN du Tribunal suprême de New- Jersey et JOHN W. POVEILL, premier juge (chief de justice) de la Cour Suprême de V
istant entre la maladie du coeur et l'état psychique. Chez nos deux premiers malades, des accidents de dépression caractéris
ts dont j'ai été depuis le témoin n'ont pu que me confirmer dans ma première ap- préciation. La suggestion, la persuasion
et l'accès d'il y a deux mois. Voilà trois mois consécutifs, qu'au premier quartier, ma on..., à la fièvre, pendant deux o
t je formulerai la médication qui la guérira. » Le mois suivant, au premier quartier de la lune,je retourne près de la mala
les mois, pendant quatre mois consécutifs, et toujours au moment du premier quartier ? 14 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES E
nature grippale, mais par une simple coïncidence, il avait lieu au premier quar- tier de la lune ; il n'en fallut pas dava
tres) constituent, un deuxième groupe qu'il y a lieu d'opposer au premier groupe, Celui des phénomènes pithiatiques. CONG
RÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 151 Les phénomènes du premier groupe sont-ils indépendants des phénomènes du
trouver là un caractère de délimitation. En résumé, les troubles du premier groupe, que j'appelle pithiatiques, se distingu
ement à l'objet qu'il désigne, il doit s'appliquer exclusivement au premier groupe. Je crois donc pouvoir dire que la défin
op bon observateur de lui-même pour s'y tromper, et il a noté les premiers signes de sa décadence intellectuelle en termes
Obs. : Développement intellectuel tardif. Caractère or- gueilleux. Premier internement en 1884, à l'âge de 35 ans; deuxièm
aractère des fibres embryonnaires. Ceci tend à prouver que la cause première de la dégénéres- cence 1 abétiquc consiste dans
, des variations régionales et des fibres myélini- ques.Le chapitre premier (développement) est divisé en deux arti- cles,
fa- veurde cette conclusion. Enfin, dans la dornière partie de ce premier article, l'auteur se contente d'énumérer les pr
histogé- nétique prédominant : 1° Période de préparation (les deux premiers mois, avant la migration centrifuge des neurobl
me ; 3° Période de stratification (2e moitié de la vie foetale et 2 premiers mois de la vie extra-utérine) ; les cellules du
à ses pratiques et c'est cette contrainte qui serait l'occasion des premières crises. ' L'aura qui précède la crise est con
llègue de l'Intérieur, qu'il serait fait une masse de la retenue du premier douzième et des retenues de 5 % dues par les co
missaires de police communaux pour les cinq 198 asiles d'aliénés. premiers mois de ! 895, et que, à partir du mois de juin i
raitement, et pré- sentant la distinction des retenues relatives au premier dou- zièmeet des retenues de 5 ^ia . Des inst
dernier acte du Congrès et l'on peut dire que cet acte est de toute première impor- tance. En somme, les aliénistes français
. Dans le cas où le nombre des candidats ayant pris part aux deux premières épreuves est supérieur au quadruple du nombre des
preuves est supérieur au quadruple du nombre des pla- ces, ces deux premières épreuves peuvent être considérées comme élimina
r très différente. En second lieu, cette malade n'en était pas à sa première 212 CONGRÈS DES MEDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOG
e congrès. Le Département à la tête duquel il est placé sera un des premiers à profiter, tant en ce qui concerne son travail
t temps ont caractérisé l'hystérie. A ce point de vue je mettrai au premier rang un fait à la fois banal et célèbre ,ce délir
ant depuis des siècles dans le pays les plus divers. En résumé ce premier grand symptôme de l'hystérie pourrait se caract
nué sur certains points et augmenté sur d'autres, au détriment des premiers , sans qu'il, ait, en réalité,augmentation ni dimi
ma. La fièvre ne fut, jamais bien élevée, mais les températures des premiers jours n'ont pas été connues. Coïnci- dence avec
leur calvaire, vous avez vu souvent que ce qui pouvait paraître au premier abord de la mauvaise vo- lonté, le dédain du pa
qu'a été édictée la loi du 28 juin 1904. Aux termes de l'arti- cle premier : «Les pupilles de l'Assistance publique, qui à r
tat. Membres. MM. Albanel, juge d'instruction près le tribunal de première instance de la Seine. Le docteur Bourneville, mem
iène publiques est chargé de l'exécution du présent arrêté. Cette première tentative pour l'application de la loi de 1\J04 a
ence est de rigueur. Aussi considé- rons-nous comme un succès celle première manifestation et fai- sons-nous des voeux pour
es rapports et des démonstra- tions doivent être adressées jusqu'au premier juillet 1908 au 250 valti v secrétaire généra
rtout si elle se trouve à la campagne ; mais après, tout revient au premier état ; la malade va dans une grande ville et y
du sens génésique, est aussi, bien entendu, très naturel.Dans notre première observa- tion, chez Mme X., c'étaient aussi les
tichiste assez banal du pied et surtout des botti- nes de femme. Au premier aspect le fétichisme, des botti- nes et le sadi
. Mais l'intérêt des malades n'est pas aussi simple qu'il paraît au premier abord. Seules, des personnes ne sachant rien de
de six à seize ou dix-sept ans. Or, en ce qui concerne les frais de première installation, la loi de 1885 ne permettrait pas
comme d'ordinaire, à la charge des communes. Pour les dépenses de première installation (bâtiments, mobilier, etc.), elles
'en exposer les motifs et d'en soutenir la discus- sion : Article premier . Sur la demande des communes et des département
Art. 4. La subvention accordée par l'Etat pour les dé- penses de première installation, d'appropriation, et d'agran- diss
ture interne de l'oeil. De nouvelles expériences confirmèrent ses premières recherches, lapin : arrachement d'un long segme
ement les articles suivants des statuts de l'association. Article premier . Les médecins des établissements publics d'alié
, leur composition, leur nature. Le délire de MUle Granet semble au premier abord répondre au concept de la paranoïa persec
e notre malade réservait des surprises. Ses talons présentaient, au premier aspect, des ampoules sous lesquel- les il était
des récits faits à quelques semaines d'intervalle. Lors de notre premier entretien, il était admis que le Comte de 344 C
evait se venger ou se tuer parce qu'elle n'a plus rien à espérer.Le premier état émotif semble être, d'une ma- nière généra
tude et du classement des produits de désintégration : certains,des premiers connus, ceux que met en évidence la méthode de
tés : l'hystérie serait en cause pour le deuxième groupe ; quant au premier , s'élimine la neurasthénie acquise qui n'appara
son mari dormait encore, elle s'approcha du lit qu'il occupait au premier étage delà maison et y mit le feu, après l'avoir
uvements passifs, bien déter- minés des doigts. Vraiment, lors du premier examen, le malade ne per- cevait pas la flexion
streinte et plus spéciale sur les nerfs de la main et du pied. La première forme d'affection des nerfs périphériques ca- r
de particulier. Accès de cris nuit et jour pendant trois semaines.- Première dent à dix mois ; denti- tion complète rl 2 ans
emaines.- Première dent à dix mois ; denti- tion complète rl 2 ans. Premières convulsions ci 16 mois, durée 2 jours ; avec pr
vortement. Quelques vomissements assez fréquents pen- dant les deux premiers mois. Pas de maladies infectieuses. Mouvements
sait 4 kilogr., pas d'as- phyxie, ni de circulaires. Pendant les 25 premiers jours, il a eu des accès de cris nuit et jour.
es jambes. N'a jamais été propre.' Antécédents morbides. A 16 mois, premières convul- sions ; elles ont duré deux jours, sans
s. L'enfant fut alitée consécutivement pendant 8 jours. Avant cette première crise l'enfant se servait de préférence de sa m
uchemars qui la font tressauter. Déjà très agitée la nuit avant ses premières convulsions, on remar- que que l'agitation augm
'un élalcongénilal, dénoté par les accès de cris, durant les quatre premières semaines ; de là un retard de la marche, de la
observation renferme, comme toujours, la température pendant les G premiers jours de l'ad- mission, les tableaux des accès,
te la marche des accès et la marche de la température. Durant les 6 premières heures le malade a eu 139 accès ; sa températur
e de tous ces symptô- .mes corrige ce que ce rapprochement offre au premier coup d'oeil d'un peu forcé et se termine par de
t les salles de conversation, réfectoires, infirmeries, bains; au premier sont les chambres il coucher et cabinets de toi
édité, les maladies du foetus et de la première enfance figurent au premier rang des causes;même l'hérédité simi- laire qui
30. Dans le cas où le nombre des candidats ayant pris part aux deux premières épreuves est supérieur au qua- druple du nombre
preuves est supérieur au qua- druple du nombre des places, ces deux premières épreuves peu- vent être considérées comme élimi
78 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857. Déviations de la colonne vertébrale. Atlas de XX planches
IATIONS DE LA COLONNE VERTÉBRALE. EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE PREMIÈRE . Fig. 1. — Colonne vertébrale de Séraphin. — Pi
sparu en totalité ou en partie que dans la région cervicale, dans les premier , deuxième, troisième et huitième espaces interver
bure s'étend de la quatrième vertèbre dorsale à la neuvième. Les cinq premières dorsales décrivent une courbe inverse à peine mar
uteur. Ces deux vertèbres sont soudées dans ce même sens. Les trois premières dorsales décrivent une courbe légère, à convexité
à droite. La courbure dorsale reste toutefois prédominante. Les trois premières dorsales forment une petite courbure en retour, c
tes dans le même sens, ici à gauche de la ligne médiane. Les quatre premières lombaires, les quatre premières dorsales, décrive
che de la ligne médiane. Les quatre premières lombaires, les quatre premières dorsales, décrivent des courbures accessoires ou
e demi-circonférence constituée par la douzième vertèbre dorsale, les première , deuxième et troisième lombaires. La flèche de ce
III, la courbure supérieure est assez longue; elle comprend les cinq premières dorsales, et la - : deuxième courbure, quoique pr
elle de la figure 1 ; seulement elle descend plus bas et comprend les première et deuxième lombaires. Là courbure supérieure,
iose anguleuse ; homme adulte. — Ma collection. —Pages 388, 401. Au premier coup d'oeil, on croirait qu'il y a eu ici mal ver
re : 10 parce qu'une déformation aussi considérable doit remonter aux premières années de la vie ; 2" parce que le rachitisme est
égion postérieure du tronc. La supérieure, formée par les cinq ou six premières côtes gauches, est la plus saillante. Pl. IV.
secondaire supérieure, formée par la septième cervicale et les trois premières dorsales, a, en avant et en arrière, 6 millimètre
centimètres entre ce fil et le milieu de la courbure représenté parla première vertèbre lombaire. La ligure 3 fait voir la gra
e ; mais les troisième et quatrième dorsales, la douzième et les deux premières lombaires, qui appartiennent aux deux courbures s
droit, répondant à la convexité de la première courbure. Fig. 2. — Première vertèbre dorsale, vue également par la partie pos
influence explique également la direction des apophyses épineuses des première et deuxième dorsales. Fig. 5, a et h. — Quatriè
voir l'inclinaison de Yarc par rapport au corps. Fig. 14, a et b. — Première lombaire, vue parles faces supérieure et postérie
E DORSALE DROITE PRINCIPALE ENORME. Ma collection. Page 399. 1. Première côte. Droite. Abaissée à l'extrémité postérie
sseuse semblable, encore plus volumineuse, réunit, du côté droit, les première et deuxième lombaires. Ces ostéides assuraient le
ses progrès, lents d'abord, augmentèrent aux approches de la puberté. Première menstruation à quatorze ans et trois mois. Le tra
aisant ressortir l'angle inférieur de l'omoplate gauche; élévation du premier de ces os, abaissement et obliquité du second ; l
donc du avoir la plus grande part dans l'accroissement en hauteur des premiers mois, et la lenteur de cet accroissement dans les
Comme dans le cas précédent, la croissance ne fut rapide que les cinq premiers mois, (lui donnèrent 25 millimètres, c'est-à-dire
79 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
I. I il H A I H F S - F D IT K U R S Place de TRcoia-da-Méderine PREMIÈRE PARTIE Anomalies de l'ataxie locomotrice PREM
a-da-Méderine PREMIÈRE PARTIE Anomalies de l'ataxie locomotrice PREMIÈRE LEÇON Prodrome anatomique. Sommaire. — La tâc
eurs; sa signification. — Examen à l'œil nu; notions qu'il fournit. — Premiers faits de sclérose des cordons postérieurs. Exam
ent à établir deux catégories : Io Douleurs terebrantes. Dans cette première variété, les douleurs sont comparées par les mala
nte à l'observateur, laissez-moi rapporter brièvement quelques cas. Premier cas. — M. B... a eu, en 1860, des accès de dou-le
luxation de la jointure. Il con-vient d'opposer cet exemple aux trois premiers cas qui, eux, je le répète, appartiennent à la fo
er passer en revue, sont des plus vulgaires, et, par conséquent, au premier rang dans la clinique usuelle. La carie vertébral
parce que, en somme, elles sont plutôt rares. a) Le gliôme vient en première ligne, non en raison de sa fréquence, car c'est u
ent le nom de symp-tômes intrinsèques. Occupons-nous tout d'abord des premiers . Afin de faciliter la connaissance de ces sympt
ne mesure, aux autres formes, les résultats que va nous fournir cette première étude. Le principe, d'ailleurs, est toujours le
Lépine 3, ont complété, en y ajoutant quelques traits importants, mes premières observations, lesquels datent de 1865 4. Mais nou
ou ne portent que sur une des moitiés latérales du cordon nerveux. Premier cas: Succession des symptômes. — Prédominance, an
, n'est pas sans quelque intérêt. En effet, l'existence, à titre de premier symptôme, de four-millements, de picotements, de
elle. Arrêtons-nous un instant aux troubles de la motilité. A. Au premier degré, il s'agit d'une simple parésie, mais celle
dans une certaine mesure, de se rendre compte de cette différence, au premier abord singulière, si l'on se reporte à la théorie
tait étendue au membre supérieur gauche. Deux mois après le début des premiers symptômes, les membres paralysés, profondément am
alade, paraissait occuper la dernière vertèbre cervicale et les trois premières dorsales. Un fait recueilli par M. E. Rollet, à l
ion sacrée le malade succomba, quatre mois environ après le début des premiers accidents. La moelle épinière, à l'autopsie, fut
ivent figurer aussi parmi les phénomènes qui se lient quelquefois aux premiers effets de la compression spinale cervicale. Ce sy
recon-naîtrons dans notre description l'existence de deux périodes. Première période. 1° Le mode d'invasion de la paralysie in
, p. J . 1° Invasion brusque de la paralysie motrice qui atteint du premier coup son summum d'intensité, à la suite d'un état
sait, la majeure partie des faisceaux primitifs subirait, dans cette première période, l'atrophie simple sans 1 Voir Heine et
s observations de MM. Volkmann et Steudener portent à le pen-ser, aux premières phases de la maladie. Mais, c'est là un point qui
plus particulièrement la paralysie infantile. Relativement à notre première conclusion, il suffira de faire remarquer qu'elle
1er novembre 1873, c'est-à-dire deux mois et demi après le début des premiers accidents. Je constatai alors ce qui suit: des de
lnsieurs travaux qui ont paru sur ce sujet, depuis la publication des premières recherches entreprises à la Salpêtrière. Ces pr
lication des premières recherches entreprises à la Salpêtrière. Ces premières études concernant des pensionnaires de l'hos-pice
peut faire défaut (fig. 9) et ne saurait, par conséquent, figurer au premier rang dans la caractéristique de la lésion spinale
es mêmes observations de MM. Roger et Damaschino, c'est que, dans ses premières phases, l'altération des cellules nerveuses est m
phie véritable, dont M. L. Clarke a bien décrit toutes les phases; au premier degré de cette altération, la cellule dimi-nue de
uvent avec une rapidité singulière, 4, 6, 10 jours après le début des premiers accidents et qu'elles contribuent puissamment à d
alors que les muscles voisins ont conservé leur relief nor-mal. Ce premier trait est, en quelque sorte, caractéristique; c'e
grise. A chacune de ces parties est venue s'adjoindre, vers la tin du premier mois, une zone de substance blanche, laquelle est
rfs spinaux ; — 4° enfin des lésions trophiques des muscles. Sur ce premier point, je serai bref, parce que je suppose connue
l'hypoglosse, du spinal et même du facial. Or, pour ne parler que du premier , les gran-des cellules multipolaires qui le compo
la rapidité relative de son évolution, considérée depuis le début des premiers accidents jusqu'à la terminaison fatale. Celle-ci
on, une chute qu'il a faite deux ou trois mois avant l'apparition des premiers symptômes, chute qui a eu pour résultat immédiat
ment avec l'état des membres supé-rieurs. Cette paraplégie offre ce premier trait particulier qu'elle ne se complique pas de
ion du grand sympathique ou des nerfs périphéri-ques. Relativement au premier point, je ne puis donner aucun renseigne-ment, le
Duchenne (de Boulogne), ne devrait rigoureusement s'appliquer qu'aux premières périodes de la maladie, tandis que celles atrophi
ier lieu, par quelques mots, la dénomination, singulière peut-être au premier abord, que je vous proposais tout à l'heure d'acc
épond au type classique créé par Duchenne (de Boulogne). — Ce sont au premier rang, vous ne l'avez pas oublié, et bien longtemp
. (J.-M. C.) troubles de la sensibilité, déjà si accentués lors des premières phases, persistent ou s'aggravent. On peut en dir
eurs peuvent encore se tenir debout et marcher tant bien que mal, ses premiers débuts remontent à 8, 10, 13 ans. Il n'est pas ra
e, par propagation de proche en proche du travail morbide. Les deux premiers groupes nous occuperont surtout ; quant au troisi
s, pendant toute la durée du mois de mai et du mois de juin et les 20 premiers jours de juillet. Vers le commencement de juin,
raît devoir être rattaché à l'action de la quinine. Encouragé par ces premiers résultats, j'engageai G... à se lever et à essaye
se terminait souvent par des nausées ou même des vomisse-ments. Ces premiers renseignements une fois obtenus, j'explorai somma
t reproduire de tout point la description présentée à propos de notre première malade. Je ferai ressor-tir seulement que, à l'in
dant la traversée, un nouvel accès se produisit, en tout semblable au premier ; puis, quelques jours après un autre encore, mai
jours, et quelquefois même plusieurs foisparjour. Pendant les trois premiers mois, à part la céphalalgie à peu près toujours p
du membre inférieur. Si enfin, comme cela se présentait dans les deux premières observations que j'ai rapportées, les convul-sion
exactement conforme à la théorie. Vous avez vu, en effet, dans notre première ob-servation, la douleur de tête prémonitoire et
eux n'avaient plus reparu. Malheureusement, durant le cours des six premiers mois de l'année 187S, la diarrhée contractée en C
et le malade pouvait assister, en quelque sorte, au développement des premières phases de l'attaque. La perte de connaissance s
r gauche, s'était manifestée. Le huitième jour, à partir du début des premiers accidents, la mort survint inopinément à la suite
es (diam. transv.), et qui s'étend, en hauteur, depuis le niveau delà première paire cervicale envi-ron, jusqu'au niveau de la s
de la plupart des cylindres axiles tuméfiés, déjà noté dans les deux premières observations. Mais un fait propre au troisième ca
e la névroglie et des vaisseaux capillaires. Sous ce rapport, notre première observation surtout est très instructive. Elle mo
et d'une manière per-manente, surtout au niveau des articulations des premières pha-langes ; de telle sorte que l'on a sous les y
t rare, accidentel et, dans le psoas, où l'altération se montre à son premier degré, on n'en observe pas tra-ces. En somme, l
ées considérablement épaissies du perimysium internum, paraissent, au premier abord, avoir conservé à peu près toutes les dimen
tement défaut, ou bien elle joue un rôle évidemment accessoire. Cette première phase paraît répondre à la première période clini
Du-chenne (de Boulogne) ne devrait rigoureusement s'appliquer qu'aux premières périodes de la maladie, tandis que celles d'atrop
sion du grand sympathique ou des nerfs périphériques. Relativement au premier point, je ne puis donner aucun ren-seignement, le
ntôt ils s'étendent. L'attitude habituelle sem-ble être pour les deux premiers doigts, l'extension forcée. Quand on demande à la
thropathies des femurs. imp becçue ã paris . TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE LEÇON prodrome anatomique. Sommaire. — La tâc
eurs, sa signification. — Examen à l'œil nu; notions qu'il fournit. — Premiers faits de sclérose des cordons postérieurs. Exam
ou ne portent que sur une des moitiés latérales du cordon nerveux. Premier cas : Succession des symptômes. — Prédominance, a
80 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re, environ, sans aucun accident consécutif particulier. L'un des premiers symptômes a été une céphalalgie tenace, très in
- dire, l'incapacité de se souvenir des faits présents ressort au premier rang. De quelle manière pouvons-nous expliquer ce
ain nombre d'observations à l'appui de ses affirmations. Les neuf premières qu'il rapporte sont relatives au mutisme temporai
aisis avec facilité. Il n'est pas question, bien en- tendu, dans ce premier enseignement tout intituitif, de conjugai- sons
tion était indiquée. On trouva une tumeur, née du périoste des deux premières vertèbres lom- baires, comprimant la fece pesté
e, fiasque avec atrophie musculaire à ces formes spasmodiques; la première devait être d'origine spinale, les autres et c'es
dévoué». Mais après Jofré, au cours des siècles, il dévia de cette première impulsion, à la liberté, à la douceur, aux soin
es des asiles de la Seine, qui sont cependant des établissements de premier ordre et qui peuvent parfaitement, ainsi que l'
s intervalles entre les accès épileptiformes chez des paralytiques. Premier cas, hémi- plégie et aphasie, accès épileptifor
é. La lésion intéresse donc toutes les racines du plexus : les deux premières , cinquième et sixième cervicales, dans une mesu
complète, les trois dernières, septième et huitième cervicales, et première dorsale dans une moindre mesure, d'une façon in
thiques de la miction sont plus fréquents qu'il ne semblerait au premier abord. Dans le cas actuel, il s'agit d'une forme
r le même segment. La gliose dans sa marche ascendante atteint en premier lieu les fléchisseurs, et c'est grâce à l'immunit
cès alcooliques. Voilà bien la multiplicité des causes sclérogènes, premier caractère de la maladie, caractère qui empêche
, un léger éclat diastolique aor- tique, parfois un dédoublement du premier bruit, qui rap- pelle d'une façon fort intéress
ultiple disséminée est peut-être plus complet encore que chez notre premier malade; en de- hors de la moelle vous avez cinq
ordons postérieurs, racines postérieures, ganglions spinaux). Cette première lésion même la plus étroitement locale est le p
du trimestre dernier, qui justifient celles-ci en complétant les premières . Il ne me reste qu'un mot à ajouter pour montre
mort, et elle paraît également être restée stationnaire les quatre premières années. Pendant seize ans nous l'avons examiné
gmate d'hystérie. Et si chez Mme X... nous avions réussi dans notre première manoeuvre abortive, nous n'aurions pas eu le pl
plasti- 138 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cité des cellules est de première importance, ou, en d'autres termes, leur access
aire conservé. Proéminence des dernières épines cer- vicales et des premières dorsales. Décès après deux ans de maladie, à l'
l'enfance, bonne santé habituelle jusqu'à dix-neuf ans. A ce moment première crise, sensation de secousse électrique dans l'in
l'asile (formalités d'admission ; comment on procède à l'admission; première observation du malade). Procédés à l'internemen
isme outré. Jeudi elle était rentrée dans son appartement, situé au premier étage, vers huit heures, lorsque à deux heures
le topogra- '180 . PATHOLOGIE NERVEUSE. phique ne répond qu'à la. première partie du problème ana- tomo-pathologique. Ce p
ique du tabes s'accorde avec notre formule ana- tomique générale. Première partie. - Topographie DES LÉSIONS médullaires du
stinées à montrer la topographie des lésions dans le tabès initial ( première étape anatomique de la mala- die). Coupes tra
A) sont malades (fibres fines, fibres déco- lorées). Frg. 12, 13 ( première racine sacrée, première racine lombaire). Le quad
fines, fibres déco- lorées). Frg. 12, 13 (première racine sacrée, première racine lombaire). Le quadrilatère tabétique gag
ensitivo-réflexes (Koelliker). Ce groupe est spécialement chargé du premier temps de tout acte réflexe, c'est-à-dire de l'a
ompliquées et difficiles, il se trouvera peut-être le subordonné du premier médicastre venu, fruit sec de la clien- tèle, q
savant ami en soit convaincu,1 malgré sa précaution de remettre au premier toute l'autorité; et ce seront les malheu- reux
de médecins n'hési- teraient pas à se présenter. Le concours a pour premier résultat d'éliminer les candidats qui ne sont p
prenne ce qu'il a écrit. De l'alphabet il écrira correctement les 5 premières lettres et mal les suivantes, mettra 7 minutes
science d'acquisitions nombreuses et capitales, qu'ils portèrent du premier coup à un rare degré de perfection. « Est-il né
culté de médecine de Toulouse; Faire[, médecin de la Salpêtrière. Première QUESTION : - Paralysie générale. Après la lectu
laçait dans l'utérus le siège de la. 250 SOCIÉTÉS SAVANTES. cause première de la névrose. Les travaux les plus importants su
t, soit surtout dans l'appendice placé à la fin, qui rapporte comme première observation en date celle d'une fille de douze
s considérations sur ce qui touche particulièrement l'enfance. En première ligne, il faut inscrire la tare héréditaire. L'hé
ce qui peut être utile au second deviendrait-il dangereux pour le premier . Ne s'agit-il pas là, comme pour toutes les médic
t injuste de faire retomber sur le second les méfaits imputables au premier . Une objection tirée de ce fait qu'un certain nom
apté aux propositions ci-dessus énoncées, sans oublier de placer au premier rang le ser- vice médical relégué actuellement
songé plus tôt à quelque chose d'aussi simple quoique paradoxal au premier abord. Mais alorsje me demande ce que viennent fa
L'auteur a observé ces dernières années les trois cas suivants : Premier cas. - Chez un garçon de dix-huit ans se manifest
la volonté. L'auteur laisse décote les falsi- fications mimiqnes du premier ordre. Lorsque la volonté intervient pour modif
rmes cliniques il reproduit le récit d'un obsédé, qui est l'une des premières et des meilleures descriptions qui exis- tent d
guaient avant la période paralytiforme par leur symptoma- tologie première , par leur évolution symptomatique. Il me ' Arch
serait utile, indispensable, de chercher les causes et l'évolution première des affections dites paralysies géné- rales, et
rie de l'enfance que j'avais, à dessein, laissée de côté lors de ma première publication, m'étant réservé d'en faire l'objet
nt d'appliquer des sangsues aux oreilles. « Çà l'avait guérie de sa première et de sa seconde méningite, » disent-ils. Je dé
laboratoire agricole départe- mental, nous le fait connaître. Cette première analyse pourtant est assez incomplète. 6 déce
ant qui n'avait plus l'aspect chétif qu'il présentait dans les deux premières années de son affection, il était très bien dév
e émotion il est, en 1885, brusquement pris d'étouffe- ments. Cette première crise qui l'effraya, dura vingt secondes envi.
déterminantes là, causés occasionnelles ici ; 3° Les facteurs du premier groupe, ceux qu'on retrouve seuls dans l'étiolo
on temporale, en avant elle avance sur 342 SOCIÉTÉS SAVANTES. les première et deuxième frontales; suites simples. La malade,
'Association des aliénistes et neurologistes russes. Le succès du premier congrès des aliénistes russes, qui a eu lieu à
s d'épilepsie corticale observés par lui dans ces derniers temps. Premier cas. Il s'agit d'une jeune fille de vingt-trois a
le plus souvent. Telle est, très résumée, la théorie qui forme la première partie. Elle est d'une psychologie très contenue,
e diarrhée ; l'enfant est nourri aux seins. A l'âge d'un an il a sa première crise : les membres se raidissent, les yeux son
tuer son maître. Antécédents pel'SOl1l1els. - Rien à noter dans sa première enfance. A dix ans elle est atteinte de diphtér
dra difficilement qu'un enfant, ayant eu un accès convulsif dans sa première enfance (si cet accès était de nature hystériqu
Pris d'un doute sérieux au sujet de la nature de la coxalgie de ma première malade, je l'examine alors plus attentivement.
; aussi l'erreur est-elle facile. On a vu (observation 7) que le premier accès de méningisme avait été pris par le médecin
aiment anormal des névroses dans ce pays. 9° Traitement. Dans mon premier travail sur l'hystérie en Vendée,je disais : «L
obtenir; serait-il possible, que je ne le conseillerais pas à cette première période de la vie. Pour mon compte, je ne l'ai
t l'importance éclatera aux yeux, si l'on considère qu'il s'agit du premier fait bien établi "(1' line terminaison des cylind
n'intervint pas. Une demi-heure après cette chute, il a présenté sa première crise de convulsions. Les crises convulsives se
elle provoquées par l'anémie temporaire de cet organe. Depuis notre premier travail, nous avons reproduit sur un plus grand
avons reproduit sur un plus grand nombre d'animaux nos expériences premières ; nous avons cherché à déterminer non seu- lemen
ats pathologiques. La grande -découverte qui a été faite dans cette première période est due à Nissl, qui a montré Archives,
ci d'ailleurs l'état de notre malade le 7 avril 1897, jour de notre premier examen. Amaigrie par une continuelle déplétion,
le traitement spécifique chez un tabétique que l'on voit pour la première fois ou plutôt dont on est le premier médecin.
mmes ou même 8 grammes par la bouche ou en lave- ment. - Après ce premier traitement, la conduite variera suivant les eff
ar exemple, combiner un traitement de la manière suivante : les dix premiers jours de chaque mois, 50 centigrammes d'iodure
itement général des scléroses, le régime joue un rôle absolument de premier ordre. C'est également vrai pour les cas où la
i la sclérose a envahi, en même temps que la moelle, des organes de première importance pour la destruction ou l'éli- minati
s importante qu'on ne le croit et qu'on ne le dit généralement. .Le premier et le principal moyen pour combattre ces symptôme
t déjà fait ces diagnostics délicats, et les observations, dont les premières remontent à quelques années à peine, se multiplie
lques années à peine, se multiplient rapidement.- Aussi, dans cette première monographie de l'encé- phalite hémorragique, on
( ? ) iL douze ans. Pre- mière attaque à seize ans à l'occasion des premières règles. Signes physiques de dégénérescence. Obn
e so- lution, 90 grammes de sels. Réaction fébrile à la suite des premières injections seulement. Un peu d'amaigrissement.
e solution et 92 grammes de sels. Réaction fébrile à la suite des premières injections. Aucune modification dans l'état phy
solution et 64 grammes de sels. Réactions fébriles à la suite des premières injections. Pas de modification de l'état phy-
. R..., vingt ans (épilepsie). Enfant natu- relle. Mère alcoolique. Première attaque à l'âge de douze ans. Attaques quotidie
n alcaline et 92 grammes de sels. Réactions fébriles à la suite des premières injections seulement. Aucune modi- fication imp
issait progressi- vement, avaient complètement disparu après les 10 premières injections. Dans tous les cas : amaigrissement
vésaniques qui empruntent leur forme et leur ori- gine à la maladie première . D'autres auteurs nient au con- . traire tout r
es : goitre, tachy- cardie, tremblement, ont été mal interprétés au premier abord et nous avons appliqué le traitement de l
r toute idée d'ophtalmoplégie corti- cale, qui avait été suggérée à première vue. P. l3GLt.11'. \\1VII. U,r cas d'amnésie; p
modifications vasculaires, qui se développent quelquefois dans la première jeunesse, semblent jouer un rôle important. On
nd pas sur les noyaux, ni sur les tractus intrabulbaires des quatre premières paires nerveuses céré- brales et de la petite p
t le nerf vertébral qui en part. Du reste, Jaboulay, à propos de sa première intervention par la simple section du sympathiq
nte-Anne la cli- nique des maladies mentales ; Arrête : . Article premier . Le professeur titulaire de la chaire de la cli
femmes). Pensionnats pour 152 pensionnaires de deux classes (24 de première et 128 de seconde), répartis en 6 pavillons ave
» Notre pays aurait pu être, sinon le premier, au moins l'un des premiers à accomplir cette réforme d'assistance et d'éduca
s l'un l'autre. » Il se couche; mais il ne fut guère avant en son premier somme, qu'il ne se levât de plein saut et commenç
92, Villac... passa dans l'une des sections d'adultes. Pendant le premier mois, il continua à donner des gifles. Un jour, u
81 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
nts les plus précieux quelle a reçus, nous sommes heureux de citer au premier rang ceux de MM. Dumontpallier, Charles Ptichet,
ur moi une nerveuse, et son nervosismo, quelle qu'eut été son origine première , peut-être de grandes émotions et grands chagrins
es dernières régies étaient venues le 30 avril et que j'avais fait ma première visite suggestive le 13 mai, en présence du mari.
ue l'utérus n'avait plus la mobilité que javais constatée lors do mes premières visites, l'utérus avait en apparence la grosseur
x, de l'état général et de l'état local, me permit d'affirmer, dès ma première visite, que Mme X.- n'était nullement malade et q
re séance, j'essayai l'hypnose. Je n'obtins qu'un som-. meil léger au premier degré. Je suggérai à la malade de no plus grimace
e 3 sans difficulté, simplement un peu essoufflée à la suite de cette première promenade, après quatre mois de repos au lit. É
e de l'hypnotisme ; mais ce ne fut pas moins de quarante ans après sa première publication que Neurologie parvint jusqu'à elle p
alée était l'hypnose fortuite à laquelle il était sujet, l'indication première était donc de le délivrer de celle sensibilité. C
our voir ce qu'il allait faire. Il descendit ainsi lentement jusqu'au premier , puis, tout à coup, il prit son élan, descendit d
t jusqu'au premier, puis, tout à coup, il prit son élan, descendit du premier aurez-de-chaussée, traversa les couloirs et s'éch
femme a 24 ans. Elle a eu deux enfants dont l'un est mort. Pendant sa première grossese elle fut traitée à Paris dans le service
a pratique du mesmérisme : il était demeure inconnu à Mesmer et à ses premiers disciples, et les phénomènes auxquels il donna li
ent injuste de faire retomber sur le second les méfaits imputables au premier . Une objection tirée de ce fait qu'un certain nom
ditaires L'érytropnoble (1). Par M. le D1 BotrcBEn.dc Rouen. Au premier Congrès Français annuel de médecine mentale tenu
tout ; la dernière le 15 août. Le 27 août, à 2 h. de l'après-midi, premières contractions sans douleurs. A 5 h., les contracti
ement doit avoir lieu le 18 février 1897. Au commencement de janvier, première séance : cette femme parait difficilement hypnoti
elles parlent au nom de ce besoin nouveau. Si le peuple anglais, au premier tiers de ce siècle buvait sec, sacrait, paillarda
, puis de consentir à l'épouser, après qu'il aurait divorcé d'avec sa première femme. Le rapporteur entre dans des détails de na
ent lieu à 8 heures et demie du soir dans une grande salle, située au premier étage et éclairée au gaz. J'indiquerai du reste p
e les conditions particulières dans lesquelles nous nous trouvions. Première séance, le 7 mai à 8 heures et demie du soir. Éta
suggestion mentale analogue, je fais revenir les bras à leur position première et ils retombent ensemble lentement, toujours ave
ien entendu, en pleine lumière et dans le plus grand silence. Cetto première expérience terminée, je m'approche du sujet et je
a jambe se porte en avant. Remarques sur ces deux expériences : Ces premières expériences, très simples en apparence, emprunten
ser, par conséquent, il n'y avait pas d'auto-suggestion possible. Ces premières suggestions ont pourtant réussi de la façon la pl
suffisante;— 3° ¿a détention en elle-même. Pour co qui est des deux premières causes, j'en appelle ici au témoignage de ceux qu
aire ses maîtres par son travail et il occupe régulièrement l'une des premières places dans les diverses compositions. Or, vers l
il convient de la redresser, de lui rendre la fixité et la régularité premières , en un mot, d'en faire la rééducation. Or, cela s
concerne personnellement, je commençai à hypnotiser en mai 1889. Mon premier malade fut un homme de bonne éducation qui souffr
ypnotisme. La susceptibilité individuelle varie beaucoup. Parmi mes premiers malades, j'eus peu de cas de maladies nerveuses g
j'eus peu de cas de maladies nerveuses graves ; et je réussis dans ma première centaine de cas dont 48 passèrent dans la pha
G..., 50 ans, somnambule dans sa jeunesse. Après la naissance de son premier enfant, elle craignit de lui faire mal en marchan
» Je n'ai pas soutenu cette doctrine, à aucune époque ; depuis mes premiers écrits sur la question en 1883, jusqu'à mon derni
tion thérapeutique. Ce n'est qu'en 1884, depuis le jour où parut ma première publication : De la suggestion dans l'état hypnot
ons névropathiques ou splanchni-ques constatées, venant s'agréger aux premiers , fournissent les éléments du diagnostic. Et, quan
e comporte chez eux le système musculaire ? L'insomnie est l'un des premiers symptômes de la folie; chez les aliénés chronique
des. Le II août, muni de cet appareil, le malade quitta l'hôpital-Les premiers jours les mouvements spasmodiques semblaient dimi
proposition. Ils n'avaient rien négligé pour nous décourager dans nos premiers efforts pour appeler l'attention des éducateurs s
C'est pourquoi nous jugeâmes prudent de de nous cantonner, dans cette première communication, sur un terrain inattaquable, celui
les éléments d'une véritable pédagogie expérimentale. Lors de noire première communication, un des auditeurs, prévoyant tout l
vie entière fut consacrée à l'étude de la médecine, et qui fut un des premiers par ses recherches, son enseignement et ses publi
e (de Lille). Il y a une quinzaine d'années, lorsque je faisais mes premières expériences d'hypnotisme, j'avais observé à plusi
e fourmillement et de pesanteur bien accusée. Quand on a obtenu cette première sensation en laissant, pendant quelques secondes,
s ; « Il n'y a pas d'hypnotisme. » La thèse, un peu paradoxale au premier abord, n'a pas été comprise par la majorité des l
e légère variante, le décret célèbre rédigé par Rochcforl : « Article premier : Il n'y a plus rien. — Article 2 : M. Hartenberg
nement à l'asile de Ville-Evrard, il avait été mis en liberté, et son premier soin avait été de tuer sa femme dans un accès de
que nous ayons jamais vues. Mesnet donna sans réserve son adhésion au premier Congrès international de l'hypnotisme expérimenta
e fois par une action électrique notablement plus faible que celle du premier départ (par exemple par une étincelle à distance
çois de Sales à Naples, de Brescia, de Bergame, d'Imola. répondent au premier type, tandis que le second est représenté par ceu
pansement et on enlevait les sutures; la blessure s'était fermée par première intention, et nous permîmes que le malade se levâ
le travail cérébral. La chose n'est pas si simple qu'elle parait au premier abord. Un même acte déterminé par une sensation p
t et à l'alimentation que l'on prend. La connaissance de ces causes premières nous permettra non seulement de modifier les acte
é ne pourra-t-il pas être supprimé par un nouveau rêve antagoniste du premier ? Cela, certes, l'hypnotisme est très capable de l
la croyance aux constatations sensorielles, encore que l'évidence des premières , étant médiate, est moins frappante. III. — LE
ance, que l'expérience devait échouer, et ne la voyant pas réussir du premier coup, l'on y a renoncé trop vite. D'ailleurs, à
ans une note manuscrite qu'a bien voulu me remettre, à Paris, lors du premier Congrès de l'Hypnotisme, en 1889, M. le D' Forel,
e et de la déterminer à l'épouser, après qu'il aura divorcé d'avec sa première femme. Le temps me manque pour entrer dans tous l
était un travailleur consciencieux, un observateur sagace qui, un des premiers , se livra avec grand succès à l'étude des maladie
conscience, 3° l'intensité de l'énergie psychique du sujet. Les deux premiers sont ici, grâce à la suggestion, presque totaleme
ainsi que le prouvent les considérai ions suivantes : i" Lors de ma première intervention, je n'avais pas, comme bien on pense
ouveau. Or, une amélioration s'est manifestée quelques jours après ma première intervention ; elle s'est accentuée de plus en pl
effets précédemment obtenus se sont mis à rétrocéder comme lors de ma première absence ; éloigné de celte malade, je n'ai pas pu
NS LA FAMILLE PASCAL Par M. le Dr Charles Binet-Sanglé (1) CHAPITRE PREMIER La RELIGION en france, EN auvergne ET a ClERMON
démonstration du crime, dit-il, n'est pas encore faite, je suis le « premier â le reconnaître. Il n'existe pas encore, dans le
grand nombre de circonstances, peut-être comprendra-t-on l'intérêt de premier ordre qui s'attache aux questions que nous nous e
eu des convulsions à l'âge de 10 mois, au moment do l'apparition des premières dénis. Son sommeil est troublé par des terreurs n
vienne à lui-même son propre maître; sans doute, il n'arrivera pas du premier coup à posséder pleinement cette méthode, mais, a
ent des convertis de Guillebcrt. ¦ S'insinuer dans leur amitié fut sa première attention; et, s'étant acquis quelque crédit sur
trer au malade sa main : il lu, répète tous les heureux pronostics du premier sorcier; il en ajoute d'autres ; enfin il en vien
avili sa profession par un rôle indécent et malhonnête; comme si leur première science n'était pa^ de gérir! comme si le plus ha
e 7/9 mars 1652, s'est servi de vous pour me procurer les progrès des premiers mouvements de sa grâce. » Pour l'aider à entrer
e mai. M Lépinay présente un livre de M. Ad. Guénon, vétérinaire en premier au 15* chasseurs ; il fait l'analyse de cet ouvra
thologic viscérale ». Co travail comporte six chapitres dont les cinq premiers sont consacres à la neuropalhologie des divers ap
82 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
m, sillon calloso-marginal. - Cil, couronne rayonnante. - Fui, Po, p" première , deuxième et troisième circonvolutions frontale
remière, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f,, /2, premier et deuxième sillons frontaux. - Pli, faisceau l
Ia,Ip, circonvolutions antérieure et postérieure de l'insula. - Li, première circonvolution Iimhique, - le, lame cornée. - Lme
al, - OF', partie du faisceau occipito-frontal, s'irradiant dans la première circonvolution frontale. - Ope, opercule frontal.
-épendymaire. - Si, septum lucidum. so, sillon sus-orbitaire. - T,, première circonvolution temporale. - Th, couche optique.
sillon calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante. - F,, F2, h'3, première , deuxième et troisième circonvolutions frontales.
ère, deuxième et troisième circonvolutions frontales. - f" /2, fla, premier , deuxième et troisième sillons frontaux. - f4, qu
sillon olfactif. - f'2, incisure du deuxième sillon frontal. - Zi, première circonvolution lim- bique. - mF,, face interne
e fusiforme. V7, circonvolution de l'hippocampe. - I, insula. - L,, première circonvolu- tion limbique. lc, lame cornée et f
première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - tl, lo, premier et deuxième sillons temporaux. - Tap, tapetum.
obe occipital (cuneus (C), lobules lingual (Lg) et fusiforme (Fus), première (0,), deuxième (0,) et troisième (03) circonvo-
v, faisceau occipital vertical.-ou, orifices vasculaires.- Pi, l'a. première et deuxième circonvolutions pariétales. - Pc, p
1'" Z'3, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - li, h, premier et troisième sil- lons temporaux. - Tap, tapetu
circonvolution de l'hip- pocampe. - ip, sillon interpariétal. - Li, première circonvolution limbique. Lms, lame médullaire s
campe ? G', queue du noyau caudé. ol, sillon collatéral. - P,, l'z, première et deuxième circonvolutions pariétales. - PrC, pr
us. - RTh, radiations thalamiques. sp, sillon sous-pariétal. - T,, T2 première et deuxième circonvolutions temporales. - 12, l
de l'insula. - ig, indusium briseur.- K, scissure calcarine. - LI, première circonvolution limbique. - le, lame cornée et fib
2, VL3, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - 01, première circonvolution occipitale. - l'lchl, plexus cho
uche optique. sl),z, stratum zonale de la couche optique. - 1 ? 7 ? première et deuxième circonvolutions temporales. - t, sill
substance grise sou-ependyma.irc. Sll, stratum iacunosuui. 1'1, Ti. première et deuxième circonvo- lutions temporales. - t,
s du segment posté- rieur de la couronne rayon- nante- p" l ? T3, première , deuxième, troisième circon- volutions fronta
s de l'insula. - Il), circonvolution postérieure de l'insuln. - ? première circonvolution ]imbi(jue. 1)1 /0'" face inter
; Ni sa queue. L3 troisième seg- ment du noyau lenticulaire. O, première circonvolution occipitale.- OF, faisceau oc-
x couches sagittales de son segment antérieur ou lrontal.-1 ? Fa, première , deuxième circonvolution.- frontales. - f,, p
tal.-1 ? Fa, première, deuxième circonvolution.- frontales. - f,, premier sillon frontal. fla, fais- l'eau longitudinal
r - ip, si 1lonintei,l)ariétil. - Il, scissure calcarine. - Li, première circonvolution limbique. ? n ! e,)amemM- dull
L3, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - 0,. première circonvolution oc- cipitale. - ouf, faisceau oc
rieur de la couronne rayon- nante. SI, septum luci- dum. - 1\, première ci ? convoliition temporale. 4'il ton tempora
cis- sure calloso-marginale. - coa, commissure antérieure - F,, première circonvolu- tion frontale; 111F" sa l'ace int
lutions antérieures de nn- sula. - K, scissure calca- rine. , La, première , deuxième circonvolutions limbiques. - AC, no
ts du noyau lenticulaire. - NM, centre médian de Luys. - 0,, 0" première , deuxième circon- volutions occipitales. - oa,
cule inférieur du noyau caudé. - coa, commissure antérieure. - F" première circonvolutionfrontate ;)nF, sa face interne.
. - A', scissure cal- carine. . ? , lobule lingual. - NL,, i\'L3. premier , troi- sième segments du noyau lenticulaire.
sième segments du noyau lenticulaire. - VR noyau rouge. - 0,, 02 première , deuxième circonvolutions occipitales. - oa.
l. - coa, commissure antérieure. CH, couronne rayonnante. - F,, Fa, première et deuxième circonvolutious frontales. fI, prem
ante. - F,, Fa, première et deuxième circonvolutious frontales. fI, premier sillon frontal. Fa, circonvolution frontale ascen
cinatus. - Fies, lobule fusiforme. - fl, fibres tangentielles de la première circonvolution limbique, L,. - l, insula. - lme,
Sli, substance innommée sous-lenticulaire de lteichert. Ti, Ts, T3, première , deuxième et troisième circonvolutions temporales
l, septum lucidum. - slm, stratum zonale. - Th, couche optique. - T,, première circonvolution temporale. - premier sillon temp
e. - Th, couche optique. - T,, première circonvolution temporale. - premier sillon temporal (sillon parallèle). - Tap, tapetu
antérieure. - fi, épendyme ventriculaire de la corne frontale. - L,, première circonvolution limbique. Zone, lame médullaire
ginal. coa, commissure antérieure. - CR, couronne rayonnante. - Fi, première circonvolution fron- tale. fi, premier sillon f
couronne rayonnante. - Fi, première circonvolution fron- tale. fi, premier sillon frontal. - Fa, circonvolution frontale asc
- Fu, faisceau uncinatus. - Fus, lobule fusiforme. - I, insula. L\, première circonvolution limbique. - lme, lame médullaire
mygdalien. - NC, noyau caudé. - Nul3, YI2, NL" troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau
térieure de la scissure de 5ylvius.-sir, stratum zonale. - 1',T,Ta, première , deuxième et troisième circonvolu- tions tempor
e, deuxième et troisième circonvolu- tions temporales.- t,, t2, la, premier , 'deuxième et troisième sillons temporaux. - l'e,
, queue du noyau caudé. - NL3, NL2, Nui, ? troi- siège, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire, le segment intern
11, circonvolution de l'hippocampe. - ip, sillon interpariétal. - 7, première cir- convolution limbique. - Lme, lame médullai
mus. - 1'"1 ? T,, les trois circonvolutions tempo- rales. - li, 13, premier et troisième sillons temporaux.- Tap, tapetum. -
2, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - NG,(Al), premier segment du noyau lenticulaire et anse du noyau le
us. - SR. Formation réticulée de la calotte. - T, + Ip, union de la première circonvolution temporale avec l'insula postérieur
Ni, noyau interne du thalamus. - A'i3, NL" XL" troisième, deuxième et premier seg- ments du noyau lenticulaire. - Nm, noyau m
che optique. - si, sillon opto-strié. - strz, stratum zonale. - T,, première circonvolution temporale. - SI, septum lucidum.
volution temporale. - SI, septum lucidum. - t,, sillon parallèle ou premier sillon temporal. - Tap, tapetum. - pilier antérie
noyau interne du thalamus. - \'L3, NL2, NL,, troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. - noyau médian
llon opto-strié. - SI, septum lucidum. - slr, stratum zonale. - 7 ? première circonvolution temporale. Tga, pilier antérieur d
innominée sous-lenticulaire de Reichert. strz, stratum zonale. T,, première circonvolution temporale. - Te, tuber cinereum. T
appeler qu'il s'agit ici d'une malformation cérébrale remontant aux premiers mois de la vie embryonnaire, avant la soudure du
ires. L'origine corticale du faisceau de Tiirck fut établie pour la première fois par l'un de nous, en 1893, dans des recherch
u côté opposé de la moelle. admit, en outre, que la destruction des premier et deuxième segments du noyau lenticulaire, sur
ait reliée aux ganglions de la base par le système de projection de premier ordre dont les fibres abordaient cha- cun des g
des vaiialions que présente la décussation des pyramides. Dans ses premiers travaux, il admet encore, avec Meynert, l'origine
ieure du pli marginal supérieur (Gsm) l'extrémité postérieure de la première circonvolution temporale. Cette lésion a détruit,
circonvolution pariétale ascendante, de la partie postérieure des première et deuxième circonvolutions temporales, des cir
gert. 2/1 grandeur nature. La substance blanche des circonvolutions première temporale (Ti) et postérieure de l'insula (Ip)
anche non différenciée des circon- volutions frontale ascendante et première et deuxième frontales. Dégénérescence de la'cap
llon,Fig. 129 à 133), ce sont le gyrus supra- marginalis (Gsm), les première et deuxième circonvolutions temporales (Ti, 1'=)e
indre degré lorsque les lésions du lobe pariétal s'étendent sur les première et deuxième circonvo- lutions temporales, s'obs
ceau (Bicêtre, 189). Ramollissement de l'extrémité anté- rieure des première et deuxième circonvolutions frontales droites. Pl
u. Hémisphère droit. Ramollissement de l'extrémité anté- rieure des première et deuxième circonvolutions frontales droites. Dé
la pointe frontale et en particulier l'extrémité anté- rieure des première et deuxième ei,co21vollitio ? Sfi-012tales(Fi e
a région supérieure de la moelle au niveau de l'émergence de la première paire de ra- cines cervicales. La par- tie no
pyramidal, au niveau du pied de la couronne rayonnante, pendant les premiers 12 à 18 mois de la vie extra-utérine, a donc comp
rojection corticale, conséquence directe de la lésion des neurones de premier ordre; .-3° les atrophies indirectes, secondair
parallèles, et forment presque une couche con- tinue (Fig. 161). A première vue le segment postérieur de la capsule interne p
'agénésie par malformations des hémisphères cérébraux remontant aux premiers mois de la vie intra-utérine, cette disparition e
iées antérieures, co- lorées en rose) irrigue la face orbitaire des première et troisième circonvolutions frontales, la part
d'évolution du manteau cérébral est bilatérale, qu'elle remonte aux premiers âges de la vie em- bryonnaire, avant la soudure
deux hémisphères (à l'exception des trois quarts postérieurs de la première circonvolution limbique gauche et de la moitié in
phale (circonvolution de l'hip- pocampe, partie postérieure de la première circonvolution limbique, corne d'Ammon, circonv
le manteau cérébral nous indique que cette malformation remonte aux premiers stades de la vie embryonnaire avant la soudure
l lout le contingent des libres corticales fait défaut, est donc de première importance pour étudier le système de fibres qu
eau de fibres de projection. - OF, faisceau occipito-frontal. - Ll, première circonvolution lim- bique. Bibliothèque des I
étroit dans la ré- gion thalamique où ses fibres sont adossées au premier et au deuxième segments du noyau lenticulaire e
riétal et comprend, en avant, les pieds d'insertion des deuxième et première circonvo- lutions frontales. Le centre du membr
tal et le centre de l'Ppnule sur la frontale ascendante au-dessous du premier sillon frontal. Ils ont montré, en outre, qu'il
de l'épaule, c'est-à-dire immédiatement en arrière et au-dessus du premier sillon frontal, ont obtenu l'abduction de la cu
yeux occupent chez le macaque (Fig. 241) la partie postérieure des première et deuxième circonvolutions frontales, en particu
latente de ce dernier a une durée beaucoup plus longue que celle du premier . Il résulte, en outre, des expériences de Pick,
érieures et posté- rieures de l'insula. - l, scissure calcarine. -G première circonvolution limbique, - ni, 24'r ANATOMIE DE
lr. noyau caudé, \-C' Queue du noyau caudé. - NR, noyau rouge. - 0, première circon- volution occipitale. - ofi, face orbita
, substance per- forée antérieure. - Ti, T'i, centre de Wernicke et première circonvolution temporale droite. - 7(/p, pilier
, par lésion bilatérale ou unilatérale de la partie postérieure des premières circonvolutions temporales, sont rares. Wernick
et Friedlander, Kussmaul et Kaufmann) le malade présente, après une première attaque d'apoplexie, une hémiplégie droite totale
akow croit que la surdité tonale relève d'une lésion bilatérale des premières circonvolutions temporales; il émet en outre l'hy
st intime, précoce, et l'union de ces deux images constitue la base première , tou- jours présente du langage intérieur. Ce n
gittales du segment postérieur de la cou- ronne rayonnante. l', 7 ? première circonvolution frontale gauche et droite. 3. cir-
ution temporale du côté opposé et passant par le corps calleux. - tu, première circon- volution temporale. - tel, fibres calle
trajet des fibres qui, provenant de la zone motrice, - neurones de premier ordre, - vont actionner les noyaux des nerfs mote
ampe. - 11(i), isthme de la cir- convolution de l'hippocampe. - Li, première circonvolution limbique. Na, noyau anté- rieur
a, commissure antérieure. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - 7 ? première circonvo- lution limbique. - Lmi, lame médullai
ormations cérébrales, certaines vastes hydrocéphalies remontant aux premiers âges de la vie embryonnaire et s'accompagnant d'u
ntérieurs du septum lucidum. - fTc, faisceau du tuber cinereum. - LI, première circon- volution limbique,. - NR, noyau rouge.
ant, mais plus ou moins saillant suivant les sujets. Dans le Tome premier de cet ouvrage, nous avons décrit ce petit amas
Une dégénérescence très fine, mais très manifeste du globus pallidus ( premier et deuxième segments du noyau lenticulaire NL2,
oppement plus ou moins complet du man- teau cérébral, remontant aux premiers alges de la vie embryonnaire et présentant comme
à la scissure calcarine et à la scissure pariéto-occipitale. - L,, première circonvolution limbique. - Lmi, lame médullaire
hydrocéphalie congénitale avec malformation cérébrale remontant aux premiers stades de la vie embryonnaire (cas Richard et cas
semi-lunaire de Flech- sig. - \'L3, cVL, Xi, troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire ; les premier et
troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire ; les premier et deuxième segments (NL,, '\IL2) sont subdivisés
e grise centrale du troisième ventricule. - SI, septum lucidum. - T,, première circonvolution temporale. - Tap, tapetum. - Tga
ariétal. - Lms, lame médullaire super- ficielle du subiculum. - L,, première circonvolution limbique ou circonvolution du corp
ert à la partie interne du pied du pédoncule cérébral. Or, les deux premiers cas montrent simplement que la commissure de Me
onnets) et les cellules bipolaires de la rétine. NERF OLFACTIF. - PREMIÈRE PAIRE (I) 1. VOIE OLFACTIVE périphérique. Le ne
rfs olfactifs. Elles forment le neurone olfactif périphérique ou de premier ordre, sont assimi- lables aux racines postérie
iples et complexes. Elles présentent trois relais ganglionnaires de première importance : le bulbe oliactif, les centres olf
mpe. - II(i), isthme de la cir- convolution de l'hippocampe. -L(1), première circonvolution limbique. Na, noyau anté- rieur
RFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 421 l'insula. -IC, scissure calcarine. -D" première circonvolution limbique. NC, noyau caudt Ne', q
noyau caudt Ne', queue du noyau caudé. - 11'li, noyau rouge. - Oi, première circonvolution occipitale - 0F1 face orbitaire
pa, substance perforée anté rieure. - T,, T,' centre de Wernicke et première circonvolution temporale. - Tgp, pilie postérie
rties consti- tuantes. Leurs rapports ré- ciproques. CHAPITRE PREMIER MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE Situation. Ra
ôté du vermis. Le deuxième lobule (2, 2) compense l'insuffisance du premier . Il présente un segment hémisphérique droit de
rlconzboidens 221edzillx oblongatæ, ventricule du cervelet de Galien, premier ventricule de Tiedcmazz, parce qu'il se dévelop
cus superficiel et les fibres aberrantes postéro-externes. Les deux premiers faisceaux s'adossent au ruban de Reil médian. L
.-T ? quatrième ventricule. VI. nerf moteur oculaire externe. - VII premier segment du nerf facial. - lllg, genou du facial.
ce blanche centrale, deux sont supérieures et deux inférieures. Les premières se portent dans le lobe central et dans la lingul
on transverse antérieur (sta) diminue, et ne se distingue guère des premiers par sa pro- fondeur dans la région des hémisphè
son bord externe. Sur la coupe S7, (Fig. 415), elle fait place aux premières lamelles du flocculus (Floc). Les coupes S 6 et
diculaires du nerf moteur oculaire externe. Nl'II, noyau d'origine, premier segment genou et quatrième segment ( VIL), du n
en avant, dans un plan oblique sensiblement paral- lèle à celui du premier segment, pour émerger finalement dans la fossette
cielles du bulbe et le système des fibres cc·réGello-olivaires. Les premières fibres arciformes (fpt) qui se détachent du corps
fortement colorées par la laque hématoxylinique. Ce faisceau qui, à première vue, semble n'être que la prolon- gation du péd
péricellulaire ; puis, elles se prolongent sur les ramifications de premier et deuxième ordre des dendrites des cellules de P
réfléchit au- dessous du noyau du toit, puis recouvre l'écorce des premières lamelles du nodule avant de se continuer avec l
TABLE DES MATIÈRES. TROISIÈME PARTIE RHOMBENCÉPHALE CHAPITRE PREMIER MORPHOLOGIE DU II 0 M JI E il C J P JI ALE TA
83 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
s des segments métamériques du corps. Ils ont en effet pour ébauche première un bourrelet longitudinal de la somatopleure, la
entait une atrophie complète des muscles de l'éminence thénar et du premier interosseux de la main droite. Cette atrophie é
ine cervicale correspondant à l'atrophie de l'éminence thénar et du premier interosseux. Ne peut-on dès lors croire que si
llaire cervical, mais à l'intégrité du groupe cellulaire externe du premier segment dorsal, conséquence importante qui perm
l'avait déjà remarqué. La santé de l'enfant reste parfaite dans les premières années. Mais, à l'âge de 5 ans, un samedi soir, H
ésentent dans leur situation habituelle avec une légère flexion des premières phalanges sur les métacarpiens, une flexion plu
arpiens, une flexion plus accentuée des deuxièmes phalanges sur les premières , et une légère flexion des troisièmes sur les deu
ascendants ou les collatéraux. La mère de la malade, avait eu d'un premier mariage, deux enfants, puis de son second mariage
bonne. En marchant, le malade se tient droit, regarde en avant. Aux premiers pas les jambes fonctionnent dif- ficilement, ma
inairement d'une forte contrac- tion tonique, prononcée surtout aux premiers mouvements de flexion et dispa- raissant gradue
rticularités fondamentales génériques contient encore en qualité de premier ordre une atrophie musculaire très originale, m
é décoré de fresques par Giotto. . Ces peintures, qui remontent aux premières années du XI\7' siècle, sont parmi les plus imp
Diagnostic. Messieurs, je vous ai déjà dit qu'en examinant pour la première fois le malade, j'avais diagnostiqué, chez lui, u
tée de la façon suivante : Le plexus lombaire, émanation des quatre premières paires lombaires, anime les muscles adducteurs,
crural, ses branches terminales. Le plexus sacré, émanation des 4. premières sacrées et de la cinquième paire lombaire, anim
gie des affections de la queue de cheval, telle que j'ai été un des premiers à la faire con- naître dans des leçons didactiq
réflexe im- plique l'intégrité du cinquième segment lombaire et du premier segment sacré de la moelle, ainsi que du nerf s
ou la partie la plus inférieure du névraxe, comprise au-dessous du premier segment sacré, sont touchées. Le réflexe achill
niveau des apophyses épineuses de la douzième vertèbre dorsale, des première et deuxième vertèbres lom- baires, réveillée ou
de compléter l'examen en faisant d'autres coupes parallèles à cette première , mais toujours à quelques milli- mètres à peine
nce avec laquelle la capsule interne est frappée : il semblerait au premier abord qu'il dût en résulter une sympto- matolog
ux. Nous verrons plus tard dans quel état on les aper- çoit. Mais à première vue la cavité paraît remplie d'une substance plus
l y a plusieurs lacunes : on en voit parmi elles qui sont encore au premier degré d'altération. Sur une préparation colorée
ce tissu subit des modifications très importantes. Ce qui frappe au premier abord sur une coupe colorée à l'hématoxyline-éosi
ons vont en s'atténuant à mesure qu'on s'éloigne de la lacune. Le première zone et la plus atteinte est constituée par le bo
ns anomalies ; elle fut nourrie par sa mère. Pas de convulsions : premières dents à 2 ans, canines à 3 ans. L'enfant n'a ma
ontractions dans les divers fais- ceaux costaux sur les cinq ou six premières côtes, mais les faisceaux claviculaires paraiss
au Collège noyai, conseitterdu roy, parle dans son Orthopédie (tome premier , 1741) des « pieds dont le talon ne touche pas
a partie intéressée par rapport aux autres et nous permet ainsi une première localisation dans le champ sensoriel. Mais il nou
a propriété la plus fonda- mentale d'une chose réelle, la condition première de son existence, la dernière qu'on puisse lui
s éditeurs. N. D. L. B. 186 PAUL RICHER que, Gilles de Corbeil, premier médecin de Philippe-Auguste, avait écrit sur la
semble attendre l'arrêt qui va sor- tir de ses lèvres savantes. Au premier abord, on pourrait la prendre pour une mendiant
mortelle-même ne pouvait trouver d'auxiliaire plus utile ? Dans la première moitié du XVIe siècle un peintre flamand, B. Van
ne blennorrhagie, mais il nie formellement avoir eu la syphilis. Sa première femme mourut en couches ; l'enfant, bien conformé
le; le traitement bromure, institué deux ans après l'apparition des premières crises, les fil cesser complètement, ce qui par
ersistait. Quant à la céphalée, elle persistait elle aussi comme au premier jour, et depuis elle n'a pas rétro- cédé jusqu'
ale. Ce phénomène s'est répété assez régulièrement pendant les deux premiers mois qui ont suivi la sortie, puis les accès se
, fig. B et C). Elle est, dans son ensemble ab- solument informe. A première vue elle paraît constituée par une masse de cha
. ' En somme, si nous nous reportons à l'évolution embryologique du premier arc branchial pair, arc mandibulaire ou facial,
ance. Le sillon prérolandiqu e sépare la frontale ascendante Fa des premières frontales Fb, Fc, Fd, les sil- lons frontaux su
CIIIDE ET vurpas quement les images mentales jouent un rôle de tout premier ordre dans les sensations ou l'accomplissement
non sans peine sur le xiphopage, études qui ont été faites pour la première fois, offrent des considérations extrêmement curi
cette intervention. La petite fille se développa bien, elle eut ses premières dents à 8 mois, commença à parler à 11 ; à deux
parence radiographique qui se modifierait sur une autre épreuve. Ce premier métatarse a deux épiphyses très dilatées, réu-
troit, sur la face externe du segment distal du membre, pendant les premiers mois de la grossesse. (1) FIIIEBEN, Ueber /cong
être séparée qu'avec une grande difficulté (Pl. XXXIII, fig.B). A première vue il est indubitable que c'est l'oblitération d
uellement et les hallucinations de l'ouïe reprenaient leur activité première . A l'autop- sie, des lésions de méningo-encépha
sécutivement à une ou plusieurs attaques épileptifor- mes. Les deux premiers accès furent caractérisés par une surdité cortica
fréquemment, et quelques auteurs lui ont accordé une importance de premier ordre (Sachs, Obersteiner et Redlich, Nageotte) :
gorgés de sang. Les racines antérieures sont saines. L'examen du premier ganglion dorsal coupé perpendiculairement et en
.. 41 ans. Réglée à 13 ans 1/2, elle a été déflorée à cette époque. Premières douleurs fulgurantes à l'âge de 16 ans ; depuis
t et de Pal, l'éosine et l'hématoxyline, le picro-car- miu, etc.. Premier ganglion lombaire gauche, coupé longitudinalement
rome catatonique font encore partie des phénomènes qui sem- blent à première vue la contre-partie du négativisme : la cataleps
it clinique désormais acquis. Nous y avons déjà insisté, dans notre premier travail avec M. Chaslin; nous n'y reviendrons p
rement, dénote combien les idées sont désordonnées : « La syphilis, première cause que j'ai été enfermé, Pillou, voleurs de
rçoit qu'on ne le regarde plus, il reprend brusquement son attitude première . Il suffit cependant de constater ce fait à haute
t suivie d'une nouvelle période de dépression plus accentuée que la première , arrivant presque jusqu'à la stupeur avec refus d
s d'automatisme ne peuvent être que des co- rollaires. La condition première qui en constitue le substratum, c'est l'insuffi
d'activilé volontaire, c'est l'aboulie. Il peut sembler étrange, au premier abord, que l'opposition, la résis- tance puisse
comme des phénomènes élémentaires. Si opposés qu'ils semblent au premier abord, ils ne supposent pas moins également, « un
amp; Cie, Éditeurs EXOSTOSES MULTIPLES A TENDANCE SUPPURATIVE 353 première a le volume d'une noisette, la seconde celui d'un
e pas lents et d'attitudes hiératiques » et aux deagalrvu (fête des premiers riz). Au VI° siècle interviennent des influence
de cette rénovation et kabouki-shibcrï le théâtre populaire dont le premier s'organisa à Kyoto. Le théâtre eut son Shakespe
elui qui se donne la mort est rarement un fou. D'ailleurs, la cause première est identique dans les deux cas : hérédité et inf
z tous les deux, une cyphose dorsale supérieure, très nette chez la première malade, moins accentuée chez le second, avec peut
ns de la colonne verté- brale. Parmi les 12 observations de notre premier tableau, la huitième (Bel, 54 ans) nous semble
cienneté de la maladie n'est pas davantage une cause ; la malade de PREMIER TABLEAU. Parkinsoniens avec déviations de la colo
ement est beaucoup plus intense que chez plusieurs malades de notre première série (parkinsoniens avec déviation). Au contra
e retrouver, dans ce second cas, une symptoma- tologie identique au premier , quoiqu'un peu plus complexe, et une même évolu
du sterno-mastoïdien du même côté, avec prédominance d'action des premiers muscles. La tête est fléchie à droite et en arr
d-bot analogue au pied-bot de Friedreich : équinisme, extension des premières phalanges, flexion des autres, saillie des tend
pas de douleur. IV Nous avons suffisamment insisté, à propos du premier cas, sur l'analo- gie qui, d'après nous, existe
eils et, au contraire, ils sont tous abolis chez Vig. Il y a là, au premier abord, une différence fondamentale qui semble n
rès faiblement, les autres réflexes sont toujours nuls. Lors de nos premiers examens, nous avions toujours trouvé les réflexes
agonisme entre les réflexes tendineux et cutanés, l'exagération des premiers coïncidant avec l'abolition des seconds et vice
nergie musculaire (1). Cette particularité existe encore chez notre première malade, mais chez elle l'exploration électrique
XI). L'apparence homogène, quasi-amorphe de ce tissu fait penser ;i première vue à un exsudât coagulé. Il n'en est rien cepend
ffer (1), Juliusberger et Meyer (2), Marinesco (3) ; tandis que les premiers auteurs n'ont pu ainsi déceler aucune modificatio
mmonium. 464 FÉRÉ ACTION PHYSIOLOGIQUE DE QUELQUES BROMURES 465 première série comme avec la même dose de bromure de potas
étant pris dans l'acception restreinte que je viens de spécifier. Premier exemple CLINIQUE. La malade en question, une nomm
re de la cuisse et de la jambe tirent leur innervation sensitive du premier segment sacral, tes téguments du périnée et ceu
du névraxe à des niveaux différents : les points de pénétration des premières sont situés à un niveau manifestement plus élevé
à gauche. Déplus, ils sont frappés d'une atrophie qui se remarque à première vue. La mensuration, pratiquée à la partie moye
e, dont le cas est à mettre en parallèle avec celui du précédent. A première vue il peut sembler que dans les deux cas la mê
ous semblent intéressants. Cette étude est un complément de notre premier travail ; elle est particulièrement consacrée à
la méningite, est extrêmement précoce, qu'elle accompagne les tout premiers symptômes de la syphilis nerveuse, qu'elle peut m
a lésion caractéristique sur laquelle nous avons insisté dans notre premier cas et que nous allons retrouver dans le troisièm
vieilli qui présente une hémiplégie droite remon- tant au début des premières crises, c'est-à-dire à l'âge de 15 mois. Elle b
re ; et elles dépen- dent aussi des excitations réflexes du côté du premier neurone sensitif. Des prolongements protoplasmi
les de l'évolution assez disparates, pour qu'il semble téméraire au premier abord de les rappro- cher dans une description
n'offrent peut-être pas des garanties irrécusables, en revanche ce premier chiffre est officiellement confirmé par l'observa
lle gigan- tesque : il mesure 1 m. 98 et pèse 114 kilogrammes. Au premier abord on remarque que le corps est augmenté dans
ssies, leurs ongles conformés normalement. Seul le petit doigt a sa première phalange fléchie, et ses mouvements d'extension,
et le problème est plus complexe qu'on ne pourrait le sup- poser au premier abord. Pour justifier celte assertion, il nous su
le tromper, ils prennent la voix d'un parent, d'un ami, et. si, au premier appel, l'homme ou la femme demande ce qu'on lui
igantisme pour se para- chever par l'acromégalie, peut s'arrêter au premier stade, sans jamais atteindre le second. On conn
ttre au service de l'homme le plus puissant qu'il rencontrerait Son premier maître ayant eu peur de Satan, il se mit au ser
84 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
étrie et une voussure assez pronon- cée par suite de la saillie des première et deuxième côtes dont la courbure est plus mar
elisant les lettres qu'elle écrivait. Pour l'écriture, dans une des premières séances, nous dîmes à la malade d'écrire alors
te de* discussions avec lui, et trouve une enfant malade. Les trois premiers jours elle continue à uriner 2,000 grammes, 1,5
st capitale, car elle explique le mécanisme des crises. L'émotion première a amené les premiers phénomènes. Cette émotion
ntécédents héréditaires. Intégrité de l'état mental jusqu'à 39 ans. Première période dure 3 ans, deuxième période 12 ans ; h
1 ? juillet 1841, jour de l'inau- guration, près d'Helsingfors, du premier asile d'aliénés de la région, l'asile de Lapwik
et on demande des asiles spéciaux. A-t-on réfléchi aux questions de première importance qui doivent être résolues avant d'ou
' M. Wernicke présente quatorze malades de sa clinique; les deux premiers constituent des exemples d'idées présomptueuses o
jeunes savants sont enlevés avant d'avoir produit tout ce que leurs premières oeuvres pouvaient faire espérer d'eux, on constat
rme et Dechambre : Des maladies intercurrentes des aliénés, t. III, première partie, p. 163 à 188. A. 1865. On peut juger
niâtre qu'il se décide à livrer son oeuvre à la publi- cité. Un des premiers , il a utilisé le microscope dans ses recherches,
s se réservent le droit de revision et de dénonciation du traité au premier janvier de chaque année. L'application du traité
ocureur général ; le tribunal suprême se rallie aux conclusions des premiers juges à raison des conclusions des pre- miers s
atification annuelle. Avantages en nature : logement, nourriture de première classe, chauffage, éclairage, blanchis- sage, e
braires associés éditeurs. Narich (B.). Élude sur la fièvre dengue. Première épidémie de Smyrne (Turquie d'Asie) en été 1889
genèse. Meynert et Fritsch, ainsi que nous l'avons vu dans leurs premiers mémoires sur l'incohérence hallucinatoire (halluc
nclusion. La première, qui entre autres mérites a celui d'être la première observation que nous ayons trouvée dans nos reche
mains étaient cyanosées. Elles étaient froides, insensibles. Les premières phalanges étaient pâles, insensibles à la piqûre,
ques. 1 Les hystériques ont des émotions faciles et persistantes, premier point. Et du fait de l'hystérie, la grande exagér
rveillés et inspectés, il existe des placements autres qui sont aux premiers ce que sont chez nous aux asiles certains établis
à la troisième paire dorsale au niveau des apophyses épineuses des première et deuxième vertèbres dorsales. A partir du 1 V
10 146 SOCIÉTÉS SAVANTES. pression du lobe frontal gauche et des première et deuxième fron- tales droites. Les ascendante
votants, est né à La Flèche (Sarthe) en 1832. Il a fait ses deux premières années d'étude (1851-1852) à l'école de médecin
Pitié. L'année suivante il concourut pour l'internat et fut reçu premier interne provisoire. Au cours de'l'année 1855, l
ivaguer comme les jours précédents. Devant nous, Maumy, dès notre première visite, a joué la comédie de la folie ; pendant
Quant à l'état physique de l'inculpé, il est satisfaisant. Dans les premiers temps de son séjour à Mazas, Maumy était un peu p
s, des crises de sommeil. Le malade éprouva un soulagement dès la première séance, et après 7 séances tous les phénomènes
même savant à la monomanied'Esquirol; il met en relief que les deux premières classes de dégénérés de Morel compren- nent pre
condaire ce sont des psychonévroses tout à fait distinctes des deux premières , qui sévissent sur un cerveau ayant bénéficié d
voir. ' Kours psichiatrii. Moscou, 1893. 196 CLINIQUE MENTALE. PREMIÈRE CLASSE. DÉSORDRES PSYCHIQUES, SYMPTOMATIQUES ET
sychose polynévritique; en conséquence, quand il débute, dans les premiers jours d'une confusion mentale asthénique, il est
bien qu'il avait voulu se pendre, il demeura comme stupéfait. Ma première pensée fut qu'il dissimulait. Avec les aliénés, e
es, soit par en haut, jusqu'aux REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 205 premières racines dorsales. A partir du maximum supérieur,
ent en haut vers les premières racines cervicales et en bas vers.la première dorsale. La lésion porte surtout sur le faiscea
typique et s'accompagna de'diverses idées délirantes; c'étaient, en premier lieu, des idées de ruine avec des idées de culpab
4.) Il s'agit de deux cas de mélancolie et d'un cas de manie : le premier cas de mélancolie est sorti guéri de l'asile aprè
F. V., 1894.) Les hallucinations de l'ouïe ont parfois pour origine première des pulsations auriculaires tenant à une lésion
nouveaux crimes, les magistrats se calmeront dans leur beau zèle du premier moment. Un autre avantage sera de leur laisser
ropos incohérents, confusion complète des idées qui rapproche cette première forme de la seconde. La seconde forme, en effet
f et Cie, éditeurs. L'ouvrage doit comprendre trois parties dont ce premier volume ne nous donne que les deux premières, sa
dre trois parties dont ce premier volume ne nous donne que les deux premières , savoir : l'embryologie, l'histogenèse et l'his
ernier déborde le noyau lenticulaire en arrière, et se distingue du premier par la direction de ses fibres qui, au lieu d'ê
la mélancolie où, rendant hommage à celui qui l'a décrit pour la première fois, il lui donne le nom de syndrome de Cotard.
moyen de lutter plus efficacement encore contre l'al- coolisme. En première ligne, il faut encourager et soutenir le mouvem
I pavillons pour les tranquilles, un pavillon pour les malades de première classe, un autre pour les malades de deuxième cla
ans le bâtiment principal de l'asile et placés sous la direction du premier médecin de l'établissement, tandis que les cas mo
de n'a pu encore être faite par nous jusqu'à ce jour. Il parait à première vue évident que cet état gastrique doit suivre
et très variable en quantité. Elle se montre surtout dans les- deux premières heures qui suivent l'accès convulsif et elle pa
Les attaques convulsives furent assez fréquentes pendant les huit premiers jours de la maladie; après ce temps elle semble a
du cerveau du singe correspond, d'après MM. Beevor et Horsley1, au premier sillon frontal de l'homme. Le siège de la lésio
lement détruite au' niveau de la huitième paire cervicale et de la première dorsale; il y avait dégénérescence descendante et
cinquième paire avec troubles passagers de l'activité cérébrale. Le premier cas concerne un homme de cinquante-quatre ans ind
Les mêmes mots se répètent jusqu'à'dix-neuf fois sur 100 chez les premiers , tandis que la répétition n'est que de six fois à
le lisait un vers, elle prononçait très nettement les deux ou trois premières lignes, puis la parole devenait lente, elle bre
nt une altération rêgressivequi, dans les 330 sociétés' savantes. premières semaines, ne va pas au delà du centre voisin. Peu
elles gravures, qui ornent ce volume et reproduisent les traits des premiers aliénistes, on aurait voulu trouver un fac-simi
egardé un objet A et qu'elle passera un autre objet B '' l'image du premier A persiste et empêche de voir le second ; il fa
uences, les attaques, les sôinnâmbulismes; les suggestions, etc. Ce premier caractère de' là'mobilité n'a' pu être' vérifié
aisons.;Pansement iodoformé,laisséseptr,jours en·place;iréunion par, première ,intention : uof 9dmB(, ernfei si ub9vikhi ob s·tu
onnels.- Rien jusqu'à douze ans, pas de convul- sions de l'enfance. Première crise épileptique à douze ans après, avoir eu p
vec des positions bizarres. La position de la malade fait penser au premier abord aux athétoses doubles. Les muscles du tro
durée de façon à devenir permanente trois ou quatre jours après sa première apparition. Notons que déjà M. le Dr Guy avait pu
obligée de l'attacher avec une camisole de force. Le 9 novembre, premier bain statique de trente minutes. La malade est
uffeur de che- min de fer et être garçon de ferme, ce qui était son premier métier. Il avait perdu tout souvenir de l'accid
plus importants de sa vie. Il a aussi perdu tout souvenir des deux premiers mois passés à l'hôpital, on ne saurait retracer
dont l'évolution se poursuit longtemps encore après l'époque de sa première apparition. (Revue neurologique, juin 1893,) E.
social est un besoin d'association et l'horreur de l'isolement. Du premier provient pathologiquement l'amour fétiche (cult
e, la température moyenne est en général un peu plus basse dans l'a première que dans la dernière. La forme incohérente est
du méde- cin, la victoire restant toujours, en dernière analyse, au premier . M. Friand. Il serait intéressant de faire ici
) P. KERAVAL. SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE DU NORD-EST DE L'ALLEMAGNE. PREMIÈRE SESSION DE ZOPPOT. Séance du 30 juillet 1894.
qu'ils ont été par des*- architectes qui semblent avoir ignoré les premiers besoins de ces malades. Aussi ne saurait-on trop
sile d'aliénés dans le département de la Seine. In-4" de 101 pages; première partie. Les sujets traités sont : population; c
s diverses catégories de sujets. Ce mémoire ne sera consacré qu'aux premiers , les seconds seront l'objet d'un autre travail.
es femmes dont les occupations sont intérieures. Nous arrivons au premier étage qui renferme au milieu un vestibule avec
re à leurs lits en chaussettes. Cette mesure est anti-hygiénique au premier chef et dans les services que j'ai dirigés je l
sile de Ville-Evrard, on n'a prévu de cabinets que pour la journée, première erreur; on les a dis- posés de telle sorte que
u mal comitial. Diverses conditions défectueuses dans l'hygiène des premières semaines, comme le décubitus habituel sur le mê
lation, etc. Il est évident que parmi ces causes, il faut placer au premier rang celles qui sont capables d'établir une pré
cette malade a eu des convulsions ; réglée à seize ans, elle eut sa première attaque à la suite d'une frayeur, à dix-sept an
urants induits très faibles qu'on augmente progressivement jusqu'au premier mouvement de l'animal. Chaque mouvement isolé e
enlève de nouveau les centres corticaux néoformés à la suite d'une première ablation ils peuvent reparaître une deuxième fois
momentanément la résistance, puis celle-ci se relève et atteint son premier niveau, qu'elle dépasse même un peu. 456 REVUE
tiel et pendant l'application du cou- rant surtout pendant les deux premières minutes. Sur le cadavre la résistance reste plu
mblement et la diminution du goitre surtout marquée dans les quinze premières séances, après quoi la tumeur demeure stationna
issant un pôle du générateur d'électricité à l'embout métallique du premier appareil à douches ; 2° par le jet d'eau sortan
tes deux aussi l'amélioration mentale fut manifeste avant la fin du premier mois. Après quatre mois de traitement, l'une de
lles siègent aux régions inférieures, et les lésions des racines. Première observation. Homme de vingt-deux ans, chute d'un
certains cloîtres qui étaient obligés de recevoir des aliénés. « La première transformation importante et réellement fondament
fut élevé dans les traditions de la famille. Quand son éducation première fut terminée, pensant qu'il avait un esprit jur
les de Hollande, d'Allemagne et de France. En 185-li, il publia son premier ouvrage, ayant trait à ses visites. Il fut alors
ais une meilleure nourriture, une meilleure hygiène personnelle. Au premier rang parmi ces méthodes modernes de traitement
vures de saint Ignace de Loyola, composée d'après les récits de ses premiers disciples. Ce sont les dessins de ce livre que
85 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
symptomatique d'une véritable névrose vaso-motrice de la peau. La première de ces affections est connue des dermato- logis
doit le remonter immédiatement. Or, notre malade n'entendit ni le premier ni le second signal, et par conséquent, il est re
laires. » Observation XXI. Accident provoqué le 13 mars 1886 à la première immersion : séjour une demi-heure, décompression
malade de vue. Observation XXII. Accident survenu le 13 juin 1883. Première immersion, 1 1 heures du matin, ',)0 brasses de
la paraplégie était survenue brusquement et elle était complète aux premiers mo- ments de son invasion. Chez le malade de
êtu la même forme que ceux de la vessie, à savoir : chez les deux premiers malades, incontinence de matières fécales; chez
res inférieurs, occasionnée peut- être par la fatigue chez les deux premiers malades et par le refroidissement chez le trois
illé jusqu'au z juillet, sans accident, quand ce jour-là il fait sa première immersion à une profondeur de 18 brasses et res
mois sans accident. Le 20 août 1883, à 9 heures du matin, il faitsa première immer- sion à la profondeur de 21 brasses, conc
est difficile à diagnostiquer que quand il y a mutisme obstiné. Les premier , second et qua- trième groupes sont faciles à p
marquées par l'apparition de cette maladie. Pendant les dix-huit premières années, ce furent plutôt des cas isolés, sévissan
tique fondamentale, propre aux buveurs aliénés ; elle constitue une première étape dans le délire des persécutions; le délire
'état mental de chaque malade, au moins chaque semaine pendant le premier mois de séjour, au moins chaque mois pendant le r
de rappeler que les dispo- sitions proposées relativement aux deux premières catégories d'individus constituent une des prin
de l'accusé ne soit pas isolé. Le défenseur peut soutenir, dans un premier système, que le fait n'est pas vrai, qu'il ne peu
à titre subsidiaire en quelque sorte et pour venir à l'appui de sa première argumenta- tion, que, d'ailleurs, cet homme n'e
la famille du patient et du patient lui-même. Tel est l'objet de la première partie (A) du volume en question, dans laquelle l
plaques, paralysie générale, méningite). Voilà la matière des deux premiers chapitres, matière qu'a tout d'abord à traiter
médecins adjoints des Asiles publics d'aliénés, arrête : Article premier . Les docteurs en médecine .nommés par la voie d
condition d'âge n'était exigée, arrête : , VARIA. 171 1 Article premier . Pourront, à titre transitoire et purement exce
nsitoire et purement exceptionnel, être autorisés à prendre part au premier concours d'admissibilité aux emplois de médecin
ier, ce qui explique d'ailleurs l'insuffisance du délai accordé, ce premier essai de concours a donné de bons résultats. Ce
mple, le cas remarquable du D1' Osborne, si souvent cité', peut à première vue paraître de la cécité verbale ? r Quand on
dans les plis courbes, à l'exclusion des lobes occipitaux. Dans ses premières expériences, il négligea l'antisepsie, et delà
sant, pas de frisson ni de fièvre. A 40 heu- res, il fait à jeun sa première immersion à 24 brasses de profon- deur et après
availlé à peu près une année sans accident. Le la mai, il fait sa première immersion de la journée, à 8 heures du matin, à
let, à son retour à Erine, ayant fait sur les côtes de cette lle sa première immersion, à la profondeur de z brasses, il com
de bien-être entre la décompression et l'in- vasion de l'accident. Première aphasie motrice trois à quatre minutes de durée
Observation XXXV. Accident survenu le 3 avril, il la suite de la première immersion faite à une profondeur de 20 brasses, d
observé de visu. Observation XXXVI. Accident survenu le 10 Octobre. Première immersion, profondeur de 16 brasses, séjour d'u
e année et quelques mois sans accident. Le 10 octobre, il fait sa première immersion près du Pirée à une profondeur de 16
llé pen- dant trois ans, sans accident. Le 13 août 1883, il fait sa première immersion de la journée à une profondeur de vin
, au bout desquelles il s'est fait brusquement remonter. C'était sa première immer- sion. Il n'y avait pas de courant de mer
illé pendant un mois environ sans accident. Le 1er juin, il fait sa première immersion de la jonr- née à une profondeur de d
n indisposition, il se décide à travailler. Il fait étant à jeun sa première immersion à la pro- fondeur de 23 brasses et ap
Le 3 août 1884, de retour de la grande campagne d'été, il fait sa première immersion près des côtes d'Egine, à une profondeu
lla pendant une année sans accident. Le 13 juillet 1886, il fait sa première immersion à la profondeur de 23 brasses, treize
excitation périphérique, il resterait à démontrer que la réalité du premier procédé exclut celle du second. C'est ici, il fau
es causes psychiques, soit par des causes physiques; la réalité des premières causes n'exclut pas celle des autres. Pour cite
r. » M. Vizzioli, au mois d'octobre 1888, a montré à la séance du premier congrès des médecins italiens, une malade, Mlle
bran- che, puis empiétait sur la face interne de l'hémisphère. Le premier sujet, homme instruit et très intelligent, mort à
ieure du côté opposé. Toutes ces fibres forment trois faisceaux. Lé premier contient trois systèmes de fibres : 10 des fibr
ale, sortent de la moelle avec la huitième ' paire cervicale et les première et deuxième paires dorsales ; des rameaux commu
pulsif qu'il a commis. M. CW1USLT. - Aton malade a été frappé de sa première attaque épileptiforme quelques jours après son
ne put pendant une année complète apprendre à l'école que les trois premières lettres de l'alphabet ; opéré de ses tumeurs ad
cas d'affaiblissement de la mémoire chez les alcooliques. Les deux premiers concernent des épileptiques alcooliques qui, à
e solution présentaient absolument les mêmes inconvénients que la première . En conséquence nous l'avons écartée. Alors, comm
votre disposition, et je comprends qu'il peut y avoir un intérêt de premier ordre à empêcher que cet individu acquitté, qui
x et s'il doit être interné dans un établissement d'aliénés. Sur ce premier point, il ne peut pas exister de difficulté. Il
M. DELSOL. Nous croyons que la justice a le droit, car elle est la première gardienne de l'ordre public, et nous vous proposo
'excitable », écrivaient Luciani et Tamburini, en 1878, dans leur premier mémoire '. Mais, si ce problème est ici posé da
à-dire à la fréquence de ces maladies chez les Juifs, il semble à première vue que la statistique de M. le Dr Korsakoff pa
relativement assez élevé. Mais cette donnée perd son importance, en premier lieu, parce que la comparaison des résultats ob
et la volonté du malade jouent un grand rôle; maint malade qui, au premier interrogatoire, avait déclaré que toute sa pare
Moscou, six mois avant son admission à l'hôpital. Pendant les huit premières années de son travail, le malade se porta toujo
année après, il fut de nouveau atteint de constipation et pour la première fois apparurent dans la région de la hanche et du
tement des gens empoi- sonnés par un poison quelconque (l'alcool au premier plan, le plomb, le sulfure de carbone, etc.) ou
rvation L1R. Accident provoqué le 25 juillet ci 10 heures du malin. Première immersion, 28 brasses de profondeur, cinq minutes
ouleurs articulaires insignifiantes. Le 25 juillet 188t, il fait sa première immersion près de Salamis, à une profondeur de
rès beau type de manie transitoire; 2° que nous apprenons pour la première fois l'existence de manie transitoire occa- sio
casque, il a été bientôt pris d'une sensation pareille à celle du premier accident, c'est-à-dire que sa chaise s'enfonçait
HMPLOI DES SCAPHANDRES. 39, ciforts qu'il était obligé de gagner sa première position et de prier ceux qui l'entouraient de
, suivies de vomissements si forts, qu'il est forcé de reprendre sa première position et de prier son entourage de ne pas le
l'air comprimé, dès 1874. Vers le commencement de 1874, il a eu son premier accident ; le malade ne peut en fixer exactemen
r, c'est-à-dire pendant la compression, les petits symptômes de son premier accident. Trois minutes après la décompression
ur de tête. Le 5 août 1880, c'est-à-dire vingt-cinq mois depuis son premier accident, il descend à une profondeur de 40 mèt
ent. Hémiplégie gauche, trois jours de durée. Le 20 juillet 1879, première immersion, 20 brasses de profondeur, vingt-cinq m
inférieur droit une heure et demie de durée. Le 15 septembre 1880, première immersion, 22 brasses de profondeur, une demi-h
llé un mois sans acci- dents. Le 10 juin de cette année, il fait sa première immersion à une profondeur de 23 brasses et apr
ue aussi bien qu'avant l'accident. Le 15 septembre 1880, il fait sa première immersion de la journée, à une profondeur de 22
ibles à déterminer, hémiplégie droite fugitive. Le 20 juillet 1882, première immersion, 26 brasses de profondeur, vingt-cinq
qué, a eu au cours de son travail quatre accidents différents. Le premier est un accident cérébral complexe. La perte de
t le malade meurt. A preuve par exemple deux observations dont la première est due à l'excellente thèse de M. Alphonse Gai
Des études ont été faites sur ce sujet par il. Kouznetzoff. A la première période de l'hyperémie, une grande quantité de ce
s, ont des symptômes complexes tout à fait différents de ceux des premières . Lésions des nerfs périphériques dans la phtisi
mbe gauche. Sceur hémiplégique. Rien de particulier à la naissance. Premiers signes de cachexie pachydermique. Etat intellec
avec l'effet, le stade congestif, modification anatomique, étant la première étape du processus morbide. Au surplus, la premiè
osées avec cette certitude qui vous impressionne toujours. Mais, ce premier élan passé, on éprouve la'nécessité de faire qu
des deux éléments de tout acte volontaire, le 496 BIBLIOGRAPHIE. premier , l'état de conscience, n'a aucuile efficacité, ta
transformation des excitations en mouvements. Plus tard, le désir, première esquisse du caractère individuel, marquent le p
extérieure, c'est-à-dire en une forme parti- culière de mouvement ( Première partie : notion de l'activité psychique). Aussi
Hystéro-épilepsie chez les garçons, par Lauffnauer, 290. Idiots ( premier asile d' - en Italie), 335; asile d' en Allemag
86 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
sœurs à rentrer dans l'état d’innocence parfaite à l imitation de nos premiers parents qui n'avaient aucune honte do leur nudité
e résultat. D'égales peines seraient sans doute infligées à David, ce premier directeur du couvent de Saint-Louis, à ce prêtre
’université, l'irréprochable et malheureux jeune homme reçut d’un des premiers citoyens de Boston et l’un des plus riches négoci
frappés sur un bout de la table, à la barbe d’un de nos médecins. Son premier mouvement fut d’explorer le dessous de la table:
teur Neidhard, de Philadelphie, m'a dit tenir du docteur Grev, un des premiers praticiens de New-York, que ce dernier étant un j
la nia-ilecine et la philosophie... Et quand les principes qu’un des premiers j’ai formulés relativement à ces forces dynamique
ation sont sensiblement modifiées dans certains moments. Les quatre premières magnétisations donnèrent un calme général et fire
Nous trouvons dans son récit un fait qui mérite d’être noté. Un des premiers esprits qui se présentèrent à lui à l’aide de l’é
ffronter ses ennemis, au lieu de chercher à les calmer. A cette cause première et principale vint se joindre la haine du cardina
cembre 1(53A, c’est-à-dire quatre mois après la mort de Grandier. Ses premiers soins furent employés à calmer l’état d'agitation
levant les yeux , il aperçut un corps attaché par le cou à l’une des premières branches. On coupa lac orde. — C’est bien lui!
Marie-Antoinette, etc. M. le comte d’Ourches, qui avait assisté aux premières expériences, a fini par opérer seul, et a obtenu
ysiologique, la force musculaire, constitutive, matérielle, semble au premier abord devoir être le plus puissant auxiliaire pou
sont communiquées par ses semblables, et ajouter une foi aveugle aux premières balivernes que lui débite son guéridon, je n’ai p
rin ; sans nul cloute, ce dernier fera ressortir une inconséquence de première force que commet cet auteur, inconséquence qui co
rces immenses qui sont partout et qui agissent partout, dont la cause première est inconnue et dont, les physiciens, aussi bien
tants ; mais après ce fait il est inutile de les rapporter. Une des premières réflexions qui se présentent est celle-ci : lors
es prescriptions qui vont être formulées. — Mercredi 17 décembre. — Première consultation. — Diète, privation totale de vin, d
our la vie du voisinage assassinant de ces trop loquaces 'animaux. Ce premier mot est grrrratte qu’ils disent en courbant le co
ET, propriétaire-gérant■ CONTROVERSE. i HUOf 11 ('pou se à la premier e pur tic de la lettre de M. H F)' Charpi-gnon, i
us de laut de misères morales et physiques et saisir enfin lus causes premières et finales de ses amères contradictions!... Que
t avec la civilisation progressive de l’humanité. Les dépositaires du premier Livre étaient dispersés, il en fallait d’autres j
ributs. Peut-être même n’en saurons-nous jamais plus sur les causes premières ; l’harmonie pourrait bien être dans les contraste
ar l’initiation de quelques-uns par Mesmer, puis la propagande de ces premiers disciples amenant la diffusion de cette nouvelle
on de lumière Ravive tant d’obscurités; Dieu veut, dans leur gloire première , Que sesenfants soient rachetés. L'œuvre imme
tant, Il attire Fidclc aux confins du village, Et, s'adressant au premier paysan Qu’il aperçoit sur son passage, Il lui d
tat se transmue, jusqu’à l'intégrité de son retour à la perfection du premier type, dans les félicités régionales de l’absolu.
ns de U> (trie. et les instruments, lis lurent le privilège du premier homme, c’est-à-dire du proto-type de la race homi
comme une terre sublime, ou plutôt la substance ¡¡indique à l’état du premier milieu de la création. Cette terre touche la mais
ce précédente. En terminant, il m'1 dit : Je me nomme Bock, je suis premier médecin du roi de Danemark et je viens d'adresser
oms placés désormais, et sous bien des rapports avec juste raison, an premier rang de la science. 11 faut que la vérité,-ou ce
re de ces deux passages doit, ce nous semble, avoir fait naître cette première réflexion dans l’esprit du lecteur. Quoi ! messie
ous arrêtons pas, comme pourrait bien l’avoir faitM. Baudrillart, aux premières pages. Une pensée générale domine cet ouvrage , l
l’autre la Magie magnétique. Si nous sommes arrêté par la volonté du premier et par les lois de discrétion pour parler de son
genre; il sa borne à ce que nous pourrions appeler les évocations de premier degré, bien préférables en cequ’elles sont généra
bbat, et il en donne pour raison que le démon, l’esprit du mal, cause première du sabbat, était, dans ces religions, placé sur l
ourchu ; le branle infernal ^commence, et se prolonge ainsi jusqu'aux premiers chants de 1 oiseau matinal, dont la voix a le pou
culte établi. Parmi les circonstances propres au sabbat figurent en première ligne les voyages aériens que confessaient avoir
n résulie que les plus célèbres et les plus savants ignorent jusqu’au premier mot des causes et des remèdes de cette épidémie,
aladie. — Cela acommencé dans le dos. — Mais, la cause? C’est lacause première que ces messieurs voudraient connaître. — Je ne v
eur le baron, J'ai considéré le bon accueil que vous avez fait à ma première communication comme un encouragement à vous en ad
ne totale, car avant tout il faut vivre... En arrivant à Toronto, mon premier soin fut de m’informer s’il s’y trouvait quelque
acile de vous imaginer qu’à moi de décrire mes sensations après cette première séance. L’effet quelle eut sur moi fut d’adresser
i même en approcher. M. Burdin, modifiant loyalement ses conditions premières , consentait à ce que le prix fût réputé gagné dès
vous ayez touchéà la moelle. Conclusion : de la moëllc au membre, première moitié du cercle ; du membre à la moelle, deuxièm
dé par l’étude, le plus souvent par le hasard, découvre ce fait ; son premier soin est de le constater, d'en étudier toutes
ntre la joue et le bâton frotté. Je renvoie, pour plus de détails, au premier volume du Cours de Physique de M. Jamin, professe
reprochée , des procédés et des formes académiques, n’ôte rien à mon premier motif, surtout quand je parcours la liste des nom
. Jules Favre, le général Lafayette, cité par Arago, etc. Voilà mon premier motif : il est de l’ordre moral. Je tire le sec
nt changé ce bloc dans les monnaies primitives, toutes rendues à leur premier état. Beaucoup d’autres manifestations extraord
i l’on n’y faisait point participer le principe spirituel comme cause première ; car, même avec cette puissante coopération, cer
magnétique de Paris, décédé le 24 avril dernier. C’était un savant de premier ordre et un des défenseurs les plus éclairés et l
assez confortablement établi pour mon quartier-général, j’allumai mon premier cigare..,. ; j’avais! près de moi mes pistolets,
ches, sur lesquelles l'oiseau cherchait à se fixer pour commencer ses premiers chants ; un vague et harmonieux murmure s’échappa
pied du château, et les parfums des fleurs ouvrant leurs calices aux premiers rayons du soleil achevaient de calmer l’agitation
s faire sentir leur mauvaise influence, ceux surtout venus avec notre premier sang, avec le rudiment de vie que nous transmiren
le somnambulisme artificiel, dit encore lucidité électrique. Lea deux premiers constituent ce que nous appelons électrisation hu
sation humaine, le troisième porte le nom de somnambulisme ; les deux premiers sont purement physiques, le troisième appartient
er. Le dernier état suppose sans doute les deux autres, mais lés deux premiers existent indépendamment du dernier. (i) Prate
ant les nuits en prières dans l’église, ne dormant que fort peu et au premier coin venu du couvent. Il passait le reste du temp
itude deseser-vir lui-même; il quitta un moment ses hôtes et monta au premier étage de sa maison, où se trouvait sa chambre à c
ion humaine, c’est-à-dire tous ceux que nous comprenons dans les deux premiers groupes, ainsi que ceux que présente l’état physi
isme minéral. Voici quelques faits qui viennent à l’appui de ces deux premières assertions : 1° La pile de Volta, ou le galvani
ucoup de temps pour arriver à replacer le magnétisé dans sa situation première , et l’effroi que l’on éprouve Ote l’envie d’aller
rs consciencieux de la vérité, Ce sujet a singulièrement facilité mes premiers pas dans la science ; c’est sur lui, endormi ou é
sensible au poignet. Bientôt l’enfant parla, disant : « Boire ! » première parole échappée de ses lèvres depuis trente-quatr
endant une amélioration assez prononcée résulterait pour lui de cette première expérimentation. Le lendemain (Jeudi) nous no
MENTALE, par Battu de Bounonr, L’essence du moral c’est l’âme. La» première fois que je fus admis dans une de ces retraites,
catholicisme de mademoiselle Marguerite Fox, célèbre médium, une des premières qui ait présenté la faculté de produire des coups
ces ; trois fois le sujet est tombé en défaillance en s’approchant du premier chêne, et, en ce moment, son magnétiseur se senta
e temps trois fois par semaine, le laissant à lui-même pendant chaque première demi-heure. On a suivi ses ordres, et, en effet,
tempérament lymphatique, est une des plus célèbres danseuses d'un des premiers théâtres italiens. Elle a été atteinte d’une scia
son séjour à la campagne, en se livrant à des expériences. Il fit ses premiers essais sur une jeune fille très-impressionnable,
comte de Treurenberg et le baron de Greenwalder, tous deux médiums de première force et même supérieurs à Home. — Tout cela est
il y en a qui ressemblent exactement à celles que l’on présentait aux premiers chrétiens. On regarde donc aujourd’hui comme inno
teur, semblables à ces mauvais cabotins qui se posent en virtuoses de premier ordre et qui sont toujours enrhumés ¡quand il s’a
r s’il avait eu l’intention de transporter les symptômes de chorée au premier sujet. Le docteur répondit qu’il n’avait point eu
t pressentir la réponse, interrogea le jeune homme. Les deux ou trois premières réponses n’ayant pas été satisfaisantes, il revin
doutait pas que les portes avaient été ouvertes et fermées. Depuis ce premier essai, M. Gregerson l’a plusieurs fois endormi d’
du spiritualisme, et des religions naturelle et révélées. Dans cette première publication, l’auteur se livre à des considératio
en répandre la connaissance dans le public. M. Vshburner, dans son premier essai, n’aborde pas la question du spiritualisme;
her d’où il est parti et se perche au sommet. Alors, il revient à son premier état, mais une vache ou un veau se trouve placé e
s corps inorganiques. Mais voici qui les rapproche singulièrement des premières idées de Mesmer. Ces pôles, que nous voyons se ma
agnétisation sullit pour la débarrasser de ses violentes douleurs. Ce premier fait avait lieu le 8 septembre dernier, vers dix
uel accident avait pu troubler ainsi le résultat si bienfaisant de ma première naa-gnétisation ? ù O savants ! venez et approc
ure quelle serait encore la durée de ma captivité, m’en rapportant au premier passage qui me tomberait sous les yeux. J’ouvre,
er dans la voie expérimentale. Le succès le plus complet couronna mes premiers essais, et dès ce moment je devins un fervent ade
la science ? Je viens, monsieur le barou, vous rendre compte de mes premiers pas dans cette belle science dont vous ôtes le pl
, la chimie, la minéralogie, la médecine, etc., etc., ont puisé leurs premiers principes à l’école de l'observation. 11 en est d
pourtant, personne ne le conteste, à la tète de tous les peuples. Au premier abord, il semble qu’il y ait contradiction dans c
ns de M. du Potet, 375. Métaphysique. De l'essence unique, ou cause première de la vie à tous scs degrés, dans l'ordre physiqu
87 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
OSNIER ET BABÉ LIBRAIRES-ÉDITEURS Place de l'Ecole-de-Médecine. PREMIÈRE LEGON S Leçon d'ouverture. Sommaire. — Créa
e l'avoue, la chaire de clinique des maladies du système nerveux, mes premières paroles seront l'expression de ma gratitude enver
sieurs, veuillez le remarquer, constituent nécessairement les assises premières de toute construction scientifique en pathologie,
et qu'ensuite on l'abandonne à lui-même, il revient dans sa position première , comme par un mouvement de ressort. En outre, ce
s du même genre, dont quelques-uns sont rapportés dans l'appendice du premier volume de mes leçons faites à la Salpêtrière. Dan
s sont ornées, offrent un contraste frappant avec l'attitude de notre première malade, dont la physionomie trahit un état intell
sse droite, qui est très remarquable. Non seulement la fesse paraît à première vue très amaigrie, mais par la palpation on la se
les caractères de deux grands types dont j'ai donné la description. — Premier type ou type d'extension. En considérant d'abord
e la main, on voit se prcùiuirTrïnre déformation qui rappelle notre premier type, le type d'extension (Fig. 8). On peut fai
nc pas, vous le voyez, contrairement à ce qu'on pouvait s'imaginer au premier abord, opposition, ni surtout contradiction entre
. Après ce préambule, j'entre immédiatement en matière par l'étude du premier de ces cas. Il s'agit, vous le voyez, d'une jeu
en relief, parce que l'hérédité njvro£§th|ajK3^|u^, vous le savez, au premier , mng^dans^ i'étiologie,,ç].el'hystérie. Cette c
ion du pouce est déterminée par l'adducteur, véritable interosseux du premier espace, qui est animé par le cubital ; mais l'aut
sseuse, vous nous voyez reproduire exactement la déformation de notre première malade, en excitant le muscle opposant dans la pa
stérique et purement hystérique. Et vous voyez qu'en somme ce qui, au premier abord, paraissait irrégulier, bizarre, rentre par
près l'expérience, le pouce est revenu immédiatement dans sa position première , sans apparence de fatigue, aussi fortement appli
ation s'est un peu améliorée depuis, mais, cependant, l'extension des premières phalanges est encore incomplète, ce qui semble dû
e bonne heure (au bout de 14 jours, dans un cas) après le début des premières douleurs et dans les cas même où le membre n'a ja
fessier, innervés par le fessier supérieur qui vient directement des premières paires sacrées. Quoi qu'il en soit, l'observati
nnervés par le nerf fessier supérieur qui, lui, émane directement des premières branches du plexus sacré, que ces muscles, dis-je
alysé des deux membres du côté droit. Mais, dans le domaine des trois premières branches, la circulation s'est rétablie, et c'est
était surtout une mémoire visuelle. La vision mentale lui donnait, au premier appel, la représentation des traits des personnes
lettres et il récitait en lisant mentalement le passage voulu qui, au premier appel, se présentait à lui avec une grande nettet
rriver à l'endroit cherché. 11 ne se souvient plus que des quelques premiers vers de l'Iliade et la lecture d'Homère, de Virgi
fait unique ou tout au moins le fait primitif, fondamental. Dans ce premier groupe des amyotrophies deutéropathiques, nous ét
à l'esprit d'admettre que l'altération des fibres musculaires, cause première de la faiblesse, puisse se produire sans modifica
le tremblement de la paralysie agitante. On voit tout de suite, au premier coup d'œil, combien les deux tracés diffèrent dan
ar seconde, et c'est la seule différence apparente qui les sépare des premiers . Nous comprendrons parmi eux : 1° Le tremblement
de Basedow. Et une distinction peut être encore faite entre les trois premiers et le dernier en se fondant sur ce fait que, dans
t de la sclérose en plaques. Ainsi sont formés, Messieurs, les deux premiers groupes de tremblements ou mouvements involontair
t sur le bras, soit en percutant le tendon rotulien, comme chez notre première malade. Mais avant de faire naître une de ces a
dire, revenant par accès spontanés ou provoqués, comme dans nos deux premiers cas, mais ici toujours entremêlés avec des phénom
ue de l'affection est encore plus nettement accusée que chez les deux premières malades. La maladie rhythmée ne s'est pas détaché
pour un rien. En 1883, elle a été réglée pour la première fois : ces premières menstrues, qui étaient accompagnées de violentes
ais on ne saurait certainement pas voir là un caractère distinctif de premier ordre, — ces caprices, ces changements de caractè
il, lorque 10 jours après l'accident, au milieu de la nuit, il eut sa première attaque d'hystêro-épilepsie. Depuis celte époque,
ois et souvent, dans l'intervalle, pendant la nuit, soit au moment du premier sommeil, soit au réveil, il était profondément
forte, exercée sur ce dernier point, détermina immédiatement lors du premier examen, une attaque que nous pûmes étudier dans t
s un cas où la paralysie datait de 10 mois, devait faire repousser du premier coup l'hypothèse d'une lésion du plexus brachial
de se passer. Il est à remarquer que pendant toute la durée de celte première attaque, le membre supérieur gauche ri a pas p?*i
ertain nombre des phénomènes observés chez notre malade paraissent, à première vue, pouvoir s'expliquer tout naturellement dans
ur lui l'attention, dans ces dernières années. Après avoir obtenu ces premiers résultats, nous nous attendions tout naturellemen
particulier dont je vous ai entretenus si souvent déjà. Mais lors du premier examen nous avons été déçus dans nos prévisions;
de réparation et de limitation de celle-ci, lequel semble bizarre, au premier abord, sans doute parce qu'il n'a pas encore été
lement bien établie, on doit reconnaître qu'elle ne s'imposait pas au premier abord et qu'il a fallu, pour la mettre en évidenc
e l'épaule qui, dans la chute, a étéfappée. Le 11 mars, lors de notre premier examen, la paralysie était com- Fig. 58]et 59 —
ccent d'autorité, je répète un certain nombre de fois mon affirmation première . Vous voyez qu'après quelques minutes de discussi
qui concerne les troubles du mouvement, ce qu'elle était dans notre première expérience, c'est-à-dire exactement assimilable
t. Il y a cependant à relever, sur un point, une différence qui, au premier abord, paraît bien profonde. Elle est relative, v
ll, Bain. Sens et intelligence, p. 411, Spencer. Psychology, t. I, et Premiers principes, p. 216, p. 497. II. Jakson. Clinical a
ne. En résumé, vous le voyez, Messieurs, nous ne trouvons dans ce premier examen rien qui soit contraire à l'idée d'une aff
au bout de deux jours, et la main, abandonnée à elle-même, reprit sa première attitude. Depuis cette époque, un grand nombre
contracture signalée par M. Yolkmann, il faut placer, d'après lui, au premier rang, l'existence de modifications profondes surv
langage articulé ; de plus, tous les deux sont aphones. L'aphonie du premier est absolue : à peine lui est-il possible d'émett
ns de les faire ressortir ultérieurement. Je m'occuperai d'abord du premier malade, celui qui doit être l'objet principal de
met presque de reconnaître le mutisme hystérique, pour ainsi dire, du premier coup, et sans plus long examen. Je raconte souv
mis à l'hypno-tisalion et que, d'un autre côté, on n'aperçoit pas, au premier abord du moins, dans l'observation, les condition
rveux. On remarquera que la paralysie motrice n'a pas été complète du premier coup et que, dans ce cas par conséquent, comme da
cette fonction, qui précède leur excitation actuelle. » Et ailleurs ( Premiers principes, p. 216) : « La volition est une déchar
hercher à expliquer le mécanisme de cette lésion. Il semblerait, au premier abord, assez naturel de l'attribuer à l'impotence
ctéristique qui permet, pour ainsi dire, de diagnostiquer sa nature à première vue et de la distinguer des diverses formes d'aph
application de sangsues, crise nerveuse encore plus terrible que la première , mais la fièvre et le délire disparaissaient au b
e, c'est qu'il a eu, en 1884, cinq crises nerveuses ressemblant aux premières (en 18G9) en un mois et demi de temps, mais incom
des mouvements des lèvres et de la langue, l'absolue indépendance du premier organe dans la production des consonnes et même d
du diagnostic désaffections nerveuses, préciser aussi nettement et du premier coup d'œil, tous les cas d'origine hystérique ; m
rniers ne sont mis en fonction que par une sorte de réflexe parti des premiers . Cette théorie, M. le professeur Charcot la rejet
ot, une forme d'aphasie parfaitement autonome. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE LEÇON. leçon d'ouverture. Sommaire. — Créatio
88 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
ent produit sou effet. Le candidat fumeur a expié douloureusement son premier péché et s'est bien promis de ne pas recommencer.
'il n'a qu'a le vouloir sérieusement. 11 est bien rare qu'après celte première séance, il ne reprenne pas courage et qu'il ne di
1873, l'un d'eux s'échappe; le 3 juin, il arrive au colombier de son premier maître. Cet oiseau n'avait jamais été entraîné
aux effets de cette drogue orientale. Voici le fait : Lors de mon premier séjour en Egypte, en 1866-67, après la fameuse ép
ouvement de compression brusque. Je ressentis un tel soulagement au premier bruit imitatif qui se produisit, que je priai mon
hacune, ensemble 133 francs; « Le condamne. eu outre, aux dépens de première instance d'appel; « Fixe au minimum la durée de
entretenir une correspondance, de sorte qu'on soit toujours prêt, au premier signal de détresse ou de découragement du malade
CONGRÈS DE PSYCHOLOGIE EXPÉRIMENTALE En se séparant, les membres du premier Congrès international de psychologie, tenu à Pari
ous pouvons affirmer que l'intérêt du second Congrès a égalé celai du premier . L'organisation du Congrès de Londres fait le p
u et que la suggestion resterait sans influence. En effet, les huit premières séances n'ont amené qu'un très léger engourdissem
le monde extérieur, amnésie au réveil, etc.). Le résultat de cette première séance fui la disparition de la céphalalgie et de
n concours, etc. Il va sans dire que, pour assurer et compléter ces premiers résultats, il fallait continuer l'action psychoth
ous supérieurs harmoniques : ils ne font que donner plus de force aux premiers . Mais ceux-ci éveillent des sentiments, des senti
ournil la nature elle-même dans chaque son, correspondent aux nombres premiers , 11, 13, 17, 19, etc. Les nombres premiers al leu
correspondent aux nombres premiers, 11, 13, 17, 19, etc. Les nombres premiers al leurs produits sont donc des nombres complémen
fois. 11 est Juste de dire qu'elle avait versé d'avance le montant du premier mois de traitement. Cela a certainement eu beauco
ressentie par lui puisse être représentée par le chiffre 10 et qu'aux premières paroles, au premier éclat de son éloquence, il en
se être représentée par le chiffre 10 et qu'aux premières paroles, au premier éclat de son éloquence, il en communique au moins
'est ce qui fait que tant d'orateurs mal aguerris sont arrêtés à leur premier élan, précisément par le succès de leur parole :
nous parle, mieux nous nous prêterons à ses moindres intentions Notre premier mouvement sera de tenir pour vrai tout ce qu'elle
ce: s'il a quelque réputation et quelque commerce avec les esprits de premier ordre: enfin t'il est assez heureux pour plaire e
condition, que la crise seconde, ou imitation, présente avec la crise première , ou imitée, certaine ressemblance, certains trait
La police dut intervenir, et les magistrats leur firent savoir qu'au premier miaulement, des soldats entreraient dans le couve
uges à un point désigné du bras pour produire une profonde brûlure au premier moment de l'accès. L'effroi et la mise eu scène p
ce qui est le contraire de la vérité; car il oublie d'ajouter que ma première communication sur ce sujet a été faite en 1886 à
ciaire ». (Bull, de la Société de méd. légale de Freinte, tome XII. première partie, Paris, 1892) Guinon — « Du dédoublement d
mpression très fugitive d'être teints en beau vert clair. C'était aux premières lueurs du matin. Quoique frappé par cette sorte d
chée, la voilà ! Les objets blancs ou gris clair m'ont paru verts, au premier moment du réveil, parce qu'à ce moment les centre
ua non de la manifestation du phénomène de l'illumination en vert, au premier moment de l'irruption de la lumière blanche au fo
ui disait alors n'avoir pas eu de selles depuis quatorze jours. Mon premier essai fut suivi d'un sommeil rapidement obtenu. P
ssis à lui faire faire cinq pas. la longueur de la chambre. « Cette première séance est renouvelée tous les jours suivants et
f de clinique des Quinze-Vingts. M. le D- de Bourgon a été l'un des premiers adhérents au Congres international de l'hypnotism
tement sons la mais l'une des jeunes filles qui m'avaient servi à mes premières expériences. Devant lui. je traverse ses bras d'u
là l'hypnotisme vulgaire. Voici ce qu'il m'écrivait le mardi : - Ma première cigarette, hier, après déjeuner, m'a semblé d'un
os enfants, ainsi que toutes celles qu'elles a eues pendant les douze premières années de notre mariage, a savoir, maux de seins
e l'aie déjà fait — et, dans tous les cas. qu'il serait impossible au premier venu d'hypnotiser en suivant un formulaire. A q
ce. Depuis 1881, idées noires qui ont augmenté d'intensité lors de ma première visite en 1888. Elle avait fait une tentative de
à La troisième séance au moyen du prisme et de la suggestion. Dès te premier sommeil provoqué, je lui ai suggéré de ne plus av
accouru précisément pour s'opposer au meurtre d'un innocent, est des premiers saisis par la contagion homicide, et qui plus est
tion, la période de dépression désirée se montra rapidement dès cette première tentative. Nous donnâmes la suggestion : « Vous d
estre animée par le bouffie divin ! Depuis l'origine mystérieuse du premier homme, les autres procèdent d'un œuf fécondé qui
ation dont la science a étudié toutes les phases, elle donne lieu aux premiers linéaments de l'être humain. D'abord greffé sur l
ai vu souvent depuis, un fait qui a échappé à Darwin, c'est qu'un des premiers phénomènes d'une émotion pénible chez le chien es
-cinq minutes, avec amnésie totale après la crise. Le 15 septembre, premier essai de traitement par l'hypnose. La méthode hab
de M. Dumontpallier. La corretpondance imprimée comprend les quatre premiers fascicules de la Revue de l'hypnotisme allemande
surpris de le trouver réfractaire au sommeil. Si je m'étais borné aux premières tentatives d'hypnotisation j'aurais pu formuler,
bout de quinze jours elle reprend ses études et les continue jusqu'au premier de l'an, puis rerient dans sa famille, fatiguée d
où elle sautait sur son lit et se frottait vivement la tète comme au premier jour de son arrivée. Si on lui parlait alors, la
Forel, le sommeil hypnotique en général, seulement en trois degrés : premier degré, somnolence ; second degré, léger sommeil (
s suggestions sont déjà plus facilement exécutées, mais dans les deux premiers , l'amnésie n'exisle pas. Dans le somnambulisme, p
deux observations suivantes viennent confirmer leurs conclusions : Première observation. — B. B.. , soixante ans, issu d'une
un moyen ne pouvait le détourner du besoin de boire de l'alcool. Au premier jour d'un tel accès j'entrepris le traitement, et
a pour le second cas peut donc, en tout élat de cause, s'appliquer au premier . L'antiquité et le moyen-àge fourmillent d'exem
eu à peu. Le 21 août, elle put sortir, et le 3 septembre, elle fit sa première promenade en voiture. Je confesse, dit à ce pro
sommeil ordinaire est très léger; E.. s'éveille an moindre bruit, au premier appel ; mais endormi, il parle souvent et à plusi
ngt-« quatre heures. » 3° Antécédents personnels. —E.. . pendant sa première et sa seconde enfance, a eu la rougeole et la var
nuit, même depuis son mariage, quelquefois même auprès de sa femme. Première tentative de suicide. — Quelques Jours après sa m
ter à toute impulsion subite, et de réfléchir avant d'agir. Dès le» première * séances le tremblement diminua et le sommeil rep
e* séances le tremblement diminua et le sommeil reparut. Forts de ces premiers résultats, nous attaquâmes la masturbation- Don
s de lutte à soutenir contre lui-même ; le tremblement avait cédé aux premières suggestions et le sommeil de la nuit était devenu
estions les plus énergiques sur la nécessité de ne jamais céder a son premier mouvement et de toujours réfléchir avant de parle
is la facilité avec laquelle E... cède aux suggestions et s'endort au premier ordre, nous semblant incompatible avec le service
e veut qu'elle se fasse le jour même de sa naissance, après les trois premières heures canoniques qui la suivent. Point n'est bes
é par une obéissance automatique plus ou moins grande. Dans ces six premiers degrés, il n'y a pas amnésie au réveil, le malade
étiseur. Certains adeptes de l'École de Charcot ont modifié ces idées premières . Ainsi, tandis que cet auteur considère les trois
e peut se produire les yeux ouverts où les yeux fermés, d'où les deux premières variétés mentionnées dans le tableau de Pitres.
somnambuloïdes sont ceux que nous ont présentés les malades des sept premières observations ; ils sont caractérisés par la conse
éthargie et de catalepsie décrites par l'école de Paris et les trente premiers sujets que nous avons hypnotisés ne nous ont prés
evons-nous, avec Luys, l'envisager comme le premier ? Dans nos onze premières observations, nous avons eu des sujets de plusieu
rs de nature rhumatismale? Quelle que doive être la réponse à cette première question de thérapeutique psychique, c'est-à-dire
ne distance plus grande, elle ne ressentait rien. Ayant constaté ce premier point, nous avons voulu essayer de charger une st
résenter quelque trace. Nous pourrions dans ce classement mettre en première ligne les symptômes d'ordre sensitif : douleurs,
de prise sur celle aberration mentale. On peut donc dire, ce qui au premier abord peut sembler paradoxal, que l'hystérique, d
le mot Marie el trace avec son crayon les lettres marie. Toute celle première partie de l'expérience n'est qu'une preuve destin
du système neuro-musculaire ne s'improvisent pas. Or, supposer que lu premier venu soit capable, par une mimique aussi savante
et tris écouté; il fonde un établissement de consultations gratuites, premier essai d assistance publique à domicile; il essaie
89 (1934) Oeuvre scientifique
e, substances colorantes) fournissent au diagnostic des éléments de premier ordre. Mais je puis dire de ces caractères ce que
ntenant que les réflexes cutanés ont une importance sémiologique de premier ordre; j'ai montré en effet, et mon opinion est
dans la mise en jeu duquel la volonté peut avoir sa part... Comme premier exemple de signe subjectif, prenons la céphalée.
atteint d'une névrite périphérique, le deuxième de tabes et que le premier soit un simple névropathe. Je vous ferai remarque
s deux ou trois derniers orteils, c'est dans le premier ou les deux premiers orteils que l'extension est ordinairement le plus
ed ne provoque d'extension que dans le gros orteil ou dans les deux premiers orteils et donne lieu en même temps à une flexi
tension des orteils ; dans ce dernier cas, ce sont généralement les premières excitations qui donnent lieu à de la flexion. C
gauche, il détermine une extension qui est plus forte dans les deux premiers que dans les trois derniers orteils. Le secon
uparavant, l'excitation de la plante du pied provoquait ainsi qu'au premier jour, l'extension des orteils. Le phénomène des
j'ai émis une opinion contraire et, environ trois semaines après ma première consultation, un deuxième examen me permettait
hode ne constitue donc pas une minutie ; telle particularité qui, à première vue, semble un détail sans importance acquiert
xe. Outre que la forme de ce dernier n'est pas identique à celle du premier , ce qui, à la vérité, est d'une appréciation dé
inférieurs. En résumé, il est assez facile de se mettre à l'abri du premier genre d'erreur. L'erreur du deuxième genre es
dans lesquelles on observe de l'irréflectivité en deux groupes. Au premier appartiennent trois grandes affections pour le
lles l'absence des réflexes osso-tendineux constitue un symptôme de première importance. Ce sont le tabès, les névrites et l
transverses, les compressions médullaires, la syringomyélie, etc. PREMIER GROUPE. Tabès. Occupons-nous d'abord de la mala
jusqu'à huit minutes après l'exécution. » . Cette observation, à première vue, semble décisive. Cependant on pour- rait o
on des réflexes de défense saute aux yeux, il en est d'autres où, à première inspection, elle est douteuse, car la ligne de
défense. Mais dans quelle mesure les deux derniers sont-ils liés au premier ? C'est ce que nous allons chercher à déterminer,
ns une opinion diamétralement opposée depuis près de vingt ans, mon premier travail relatif à cette question datant de t83(2)
ané plantaire fournit au diagnostic différentiel des indications de premier ordre, si, au lieu de se contenter, comme on l'
un signe tout à fait caractéristique. J'ai décrit ce signe pour la première fois dans mon travail que je vous ai déjà mention
rs défaut dans l'hémiplégie orga- nique, présente une importance de premier ordre, au point de vue du diagnostic. Vous po
ier moi-même, concorderaient avec ceux que j'ai notés déjà dans mon premier travail sur la paraplégie en flexion et sur lesqu
sociation la longueur sur laquelle la moelle est comprimée. A cette première règle nous avons pu ajouter la suivante : Dans
ir dans le fond une opinion analogue à la mienne puisque, dans leur premier article sur le retrait réflexe du membre inféri
ue Neurologique, t. XX, p. 121), Pierre Marie et Foix publient leur premier travail sur ce sujet. Il est intitulé : « Sur le
longé, la persistance relative de l'attitude en flexion. Dans cette première phase, la zone réflexogène serait limitée, comm
ur la neurologie française, que revient l'honneur d'avoir étudié en premier les contractures en flexion ; mais c'est M. Bab
uelques concessions tout en conservant en grande partie son opinion première . « Il est possible, dit-il, que l'automatisme de
demment. Ce fait que les réflexes de défense m'avaient paru dès mes premières observations particulièrement intenses dans les
hologiques ou physiologiques. Il résulte de ce que j'ai dit que les premières peuvent être considérées comme l'exagération des
ération des secondes, ou plutôt les secondes comme la réduction des premières : de part et d'autre, en effet, on observe le p
ans l'exemple choisi, le mouvement conjugué de flexion a pour cause première la tension d'un muscle appartenant au groupe de
ans l'observation I. ces derniers existent parfois en l'absence des premiers , il n'en est pas moins vrai que ces deux espèces
la pupille droite est plus petite que la gauche, et on est porté au premier abord à faire dépendre ce trouble de la compres
s observations que nous avons faites depuis la publication de notre premier travail ont encore fortifié notre manière de voir
parole est scandée, ils ont du nystag- (') J. Babinski (Extrait du premier travail : Sur le rôle du cervelet dans les actes
t de rap- procher les résultats de ces deux ordres de recherches. PREMIÈRE PARTIE (') La constatation des analogies entre
a trajectoire du mouvement un point en deçà du but. Mais dans leurs premiers essais ils commettent des erreurs d'évalua- tio
mer de mouvements, il est invité à se mettre en marche. Or, dès son premier pas il est arrêté. La cuisse est fléchie, elle
quement et avec bruit sur le sol sa jambe oscillante, a terminé son premier pas, il ne peut aller plus loin ; il est en dange
rappante par son amplitude et sa constance. Nous avons, dès notre première communication, rapproché ce phé- nomène du mouv
ébelleux offre des ressemblances avec celui d'un tabétique et qu'au premier abord la confusion est possible. Il en est ains
rie de raisons : il par la localisation de l'ataxie : elle porte en première ligne sur le tronc, et l'on examine la sensibil
ôle positif. C'est là le vertige voltaïque. . En igoi date de mon premier travail sur ce sujet l'accord n'était pas fait
mal qui m'a paru réunir les conditions les plus favorables dans mes premières recherches est le pigeon, dont s'est servi Floure
sion artérielle ou de méningo-encé- phalite diffuse. Or, dans cette première période, on dispose largement du temps nécessai
-mère n'est pas intéressée ; il est donc rationnel de s'en tenir au premier temps si la stase papillaire vient à céder après
guer l'un plus que l'autre. , P. A... exerce son métier depuis sa première jeunesse, c'est-à-dire depuis plus de quarante
ts et surtout la marche ont encore plus d'action peut-être. Dès les premiers pas, la tète se renverse fortement en arrière et
ié par une exostose. A part cette légère claudication, il semble au premier abord que le membre inférieur ne soit pas atteint
t maintenue depuis, comme on peut le constater aujourd'hui. Dans ma première communication sur la section du spinal, j'ai dé
on, le défaut d'activité n'est pas aussi complet qu'il le semble au premier abord. Quand on l'y invite, elle est en mesure
voici le point sur lequel nous désirons attirer l'attention : notre première malade, nous n'avons pas encore étudié à cet égar
à son secours ; ce fait, contrairement à ce qu'on pourrait croire à première vue, n'est pas en contradiction avec ce que je
tre foyers primitifs, dont l'un, le plus grand, est tout récent. Ce premier foyer s'étend sur toute la moitié supérieure du
i paraissent semblables à ceux qui résultent de la section des deux premières paires dorsales ; 1,° Une lésion unilatérale du
s de spasmes qui ramènent immédiatement les membres à leur attitude première . Les réflexes rotuliens ainsi que les réflexes de
férieur. Je le trouve abattu, s'exprimant plus difficilement que la première fois où je l'avais vu; la marche est possible, ma
du 24 mars 189g. . 328 . PARl'lPLÉÇ1ES -. AFFECTIONS DE LA MOELLE première crise, une cure hydrargyrique, nous proposant de
exemple, chez la malade qui fait le sujet de l'observation I de mon premier travail, précédemment cité ; elle avait été exa
ent cité ; elle avait été examinée, à maintes reprises, à partir du premier jour de son entrée à l'hôpital, époque où elle
abolis. Mais cela n'est pas constant; dans l'obser- vation I de mon premier travail, où les réflexes tendineux n'ont jamais
uer ou être très légères, ainsi que je l'ai fait ressortir dans mon premier tra- vail. C'est même ce que j'ai toujours cons
sont abolis. Il en résulte un ensemble symptomatique qui parait, à premier examen, dépendre du tabes, qui doit être pourta
ningite; remariée ensuite, elle a eu plusieurs fausses couches. Son premier mari est mort d'une maladie de la moelle qui l'a,
HIE RADICULAIRE DANS LES PARAPLÉGIES MÉDULLAIRES AVEC ANESTHÉSIE ( Première note.) IDIM..T. Babinski, A. BARBÉ ET J. JARKOW
ttiré l'attention. Voici l'exposé de ces nouvelles observations : Premier malade (quatrième cas). - NI. E..., négociant, se
son extrémité inférieure. Or, de cette dernière notion jointe à la première il serait évidemment facile de déduire la longueu
périeure du territoire des réflexes de défense. Voici un exemple du premier genre d'erreur : une excitation de la peau au-d
tte manière, en prenant les précautions déjà indi- quées dans notre premier travail, en rapprochant les résultats obtenus à
ne dépassa pas 3 ? 8 et le pouls 84. La plaie opératoire guérit par première intention. Le soir même de l'opération, la mala
connaître avec certitude les compressions de ce genre, et voilà une première question qu'il faut tâcher de résoudre. C'est b
nnel. Quant à l'anesthésie, elle présente les mêmes limites qu'au premier examen, mais d'absolument fixe qu'elle était au
ration. L'ensemble des symptômes que nous avons constatés dès notre premier examen et l'évolution de l'affection conduisire
rculeuses manifestes des corps vertébraux. Plus d'un an après notre premier examen, l'état de la malade n'ayant subi aucune
mérienne. Nos prévi- sions, exprimées avant l'opération, dans notre première communication du 6 mars('), ont été, comme on l
n toute vraisemblance, était le fait d'adhérences consécutives à la première injection. Si notre interprétation se confirme pa
-elle, ne subit pas de modification appréciable. 9 décembre 1911. Premier examen. La malade présente une paraplégie spasmod
'est-à-dire trois semaines après l'opération, la malade est pour la première fois en état d'esquisser, sous l'action du couran
a tumeur a subi une importante dégénérescence fibreuse. Dès notre premier examen, l'hypothèse d'une compression de la moell
eignaient approximative- ment le même niveau qu'à l'époque de notre premier examen. C'est, du moins, ce que nous avait dit
épreuve du lipiodol ; mais l'image qui avait été obtenue dans cette première radiographie n'avait rien de caractéristique. D
bille arrêtée à la 3e vertèbre dorsale présentait une forme, qui, à première vue, pouvait surprendre. En effet, dans des obs
ns cet état que la malade entre à l'hôpital le 9 février 1925. Au premier examen (9 février ig25), la malade'se plaint uniq
e, sans être, croyons-nous, inextricable. Deux questions se posent. Première question : Pourquoi, malgré l'existence incontest
hors, ses côtés correspondent au bord externe de l'avant-bras et au premier méta- carpien ; l'angle inférieur est ouvert en
il, et provoquent une déformation spéciale de la figure qui, déjà à première vue, donne l'impression d'une perturbation indé
s énergiquement que les autres et, parmi ceux-ci, il faut placer au premier rang les fléchisseurs des doigts. Les membres i
hésie générale ou d'hémianesthésie, quelque complète qu'elle soit à première inspection, chez qui l'expérience habituelle cons
Publié dans la Semaine Médicale, 6 janvier I[JOr;. Ayant fait mes premiers pas, dans la carrière neurologique, à l'École /
groupe (émotifs), soit du troisième (réflexes), associés à ceux du premier (pithiatiques), en particulier à l'hémi- anesth
onne dans la salle et qu'il doit aller s'asseoir confortablement au premier rang. On le voit se mettre sur les genoux de la
faut-il pas y voir, comme quelques- uns de ceux qui assistèrent aux premières expériences, une simple fiction ? On peut, en e
noncées pendant le prétendu sommeil hypnotique. Charcot, dès ses premières investigations sur les états dits hypnotiques,
s dans la Catalepsie vraie, ils constituent une des illu- sions des premiers expérimentateurs, trompés sans doute par des idée
esté. Ajoutons encore que l'un de nous fit partie, pendant les huit premiers mois de la campagne, d'une ambulance divisionna
e recul, qu'au moment de l'exode de la population qui, effrayée des premiers effets du bombardement de Saint-Dié, s'éloignait
s dès qu'on s'éloigne de la ligne de feu. A 15 ou 20 kilomètres des premières lignes, dans les formations sanitaires de la zo
are, du reste qu'un sujet qui a réagi à la première ou aux quelques premières excitations cutanées ne présente plus de réaction
fluence d'une contraction volontaire des muscles. Or, chez les deux premiers malades de M. Déjerine, cette condition fondame
que celles qui s'adressent directement aux muscles eux-mêmes. » Ces premières constatations furent (') John Hunter, OEuvres c
firmer que vous avez affaire à une affection organique. » Dès nos premières communications sur les contractures et les paraly
T ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. LENTEUR DE LA secousse musculaire. Un des premiers caractères qui nous a frappés au cours de nos i
us l'influence de la réfri- gération et de l'anémie. Il semble, à première vue, y avoir une certaine contradiction entre les
rande amplitude. En réalité, le muscle se comporte alors comme au premier stade de l'intoxication par la vératrine, l'un
mènes vaso-moteurs sympathiques, eux-mêmes d'origine réflexe. Au premier mécanisme répondent, sans doute, les contractures
ammes par injection et d'une injection par semaine. Pendant les dix premiers jours les troubles oculaires continuent à s'acc
e le niveau qu'elles occupent. Je ne m'occuperai pas ici de cette première question. Je me contenterai de faire remarquer
rs n'avait fait qu'empirer, a commencé à s'améliorer après les deux premières radiographies, et que cette amélioration a été in
bles de motilité ont été exclusive- ment localisés pendant les deux premiers mois de la maladie, il y a une lésion destructi
logie, 5 juin ig3o). TABLE DES MATIÈRES Pages. Introduction v PREMIÈRE PARTIE LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE I. Introducti
90 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
. Œuvres complètes, t. v., Poumons. 1 (FACULTÉ DE MÉDECINE, 1877) PREMIÈRE LEÇON tudes qui intéressent au plus haut degré
ogie la plus usuelle, la plus vulgaire et il pourrait vous sembler au premier abord que, dans ce domaine tant de fois exploré p
os horizons, semer parmi vous l'inquiétude, le découra-gement dès nos premiers pas et j'ai hâte, en manière de cor-rectif, d'aff
nfluence toute-puissante de quelques chefs d'école, per-sonnalités de premier ordre, exceptionnelles, et qu'il ne sera peut-êtr
s qui entrent dans leur composition. Nous nous attacherons d'abord au premier point. Nous abordons là, Messieurs, une questio
deux culs-de-sac : d'où il suit que nous aurons trois culs-de-sac de premier ordre, terminés par deux ampoules secondaires.
ci sont greffés de distance en distance sur les canaux alvéolaires de premier ou de second ordre et communiquent avec eux par u
moment, les régions supérieures des canaux aériens (larynx, trachée, premières divisions bron-chiques), nous considérerons seule
z, un des élèves de Eberth1. C'est à ces deux auteurs qu'est, due h première démonstration régulière, indiscutable, de l'épith
cherches. — Lorsque l'animal succombe avant l'accomplissement des six premières heures qui suivent l'opération, on trouve dans le
n glomérule, tantôt près d'une artère. Tubes contournés (A, A.). — Au premier abord, quelques-uns paraissenl Fig. 26. — Rein
à faire prévaloir — distinctions subtiles en apparence, peut-être, au premier abord, — ne peut manquer de ressortir à vos yeux,
est redevable de cette œuvre de débrouillement. Il faut citer ici en première ligne le nom de Gillette qui, dans un article trè
rches chez les auteurs étrangers ont été peu fruc-tueuses. CHAPITRE PREMIER . DE LA PNEUMONIE CHRONIQUE SIMPLE. I. Anato
dus qui avaient succombé de un mois à six semaines après le début des premiers accidents thoraciques. C. Induration grise, ard
complètes, x. v, Poumons. 9 semble devoir appartenir seulement aux premiers degrés de la maladie, car dans la plupart des obs
plus ou moins considérable d'un lobe, ou même d'un poumon. Dans notre première observation, un poumon tout entier était induré;
30. trouve signalée dans des observations où l'on a pu assister aux premiers débuts de l'affection, mais ce ne serait point là
hénomènes qui accompagnent l'induration. — Voyez les détails de notre première obser-vation). sans dilatation bronchique, cave
sujet de recherches. Diagnostic. — A moins qu'on n'ait assisté aux premiers dé-veloppements de la maladie, et qu'on n'ait pu
ura été plus étudiée, et qu'on sera parvenu à la reconnaître dans ses premiers développements, il sera possible d'enrayer sa mar
s, un an après le début des accidents pulmonaires. La lésion était au premier degré dans le lobe supérieur, avec des nodules pé
ure, obser-vées chez l'homme, et sur lesquelles M. Moxon 1 a l'un des premiers appelé l'attention, s'accompagnent d'une angioleu
iaque. Intestin conges-tionné. Le deuxième cas est fort analogue au premier . Pleurésie datant de quinze mois ; affaissement d
deur de cet organe. Cette vue se trouve exprimée déjà par l'auteur du premier traité dogmatique qui ait été écrit sur les malad
de tubercules miliaires ni d'infarctus caséeux. Il était évident à première vue qu'il ne s'agissait pas là d'un t Zenker. —
organe d'hématose. En effet, elle se divise elle-même enramuscules de premier , deuxième, troi-sième ordre, etc.; mais elle port
n n'existe pas encore, où le tuber-cule tout entier en est encore aux premières phases de son développement. Il n'y a encore qu
pulmonaires réunies, jusqu'au point où ces dernières se séparent des premières pour occuper les espaces interlobulaires. Les pet
l'on compare le tubercule de guérison à une granulation miliaire, au premier abord, il y a identité. En quoi donc ce tubercule
les erratiques). Ces données tendraient donc à confirmer l'impression première suscitée par l'examen à l'œil nu, qu'il s'agit là
leurs carac-tères des cellules plates du tissu conjonctif. A cette première distinction, une seconde vient s'ajouter: dans
d'un malade, sort brus-quement de la salle et se précipite du haut du premier étage de l'escalier. On le relève dans l'état le
contre dans le sang à l'état normal, c'est l'existence, au centre des premiers , d'un noyau qui manque dans les globules normaux
a profond, et le malade succombe de un à six jours après le début des premiers accidents, ou bien il tombe comme frappé d'apople
ocythémie a été poursuivie avec ardeur de-puis l'année 1845, date des premières publications de II. Ben-nett et de Virchow sur ce
des amas comme cendrés et plus ou moins larges. Cristaux. — Lors du premier examen qui a été fait le jour de l'autopsie, on n
èrement colorés par le reflet des globules rouges; ils paraissent, au premier coup d'œil, être constitués par des tables losang
. dans tous les cas de leucocythémie, ils devront prendre place aux premiers rangs parmi les altérations caractéristiques de c
. Souffle à double courant dans les vaisseaux du cou. Souffle doux au premier temps du cœur ayant son maximum a la base. — OL
certain point de vue, les di-viser en deux catégories principales. Première catégorie. Obs. I. — Chez une malade morle d'an
robable que la tumeur, d'abord solide dans toute son étendue lors des premiers temps de sa formation, s'est ramollie par la su
rieur du poumon gauche, mais y restant pendant plu-sieurs jours à son premier degré; abandonnant ensuite la par-tie primitiveme
e cet orifice pouvait être considérable, bien que le souffle perçu au premier temps et à la base fût très faible; car, d'un côt
de 2 cenlimètres de long sur 2 millimètres de large ; le souffle, au premier temps et à la base, observé peu -dantla vie, étai
aque un bruit de souffle ayant son maximum vers la base du cœur et au premier temps ; ce bruit de souffle est assez fort. L'uri
inct, un peu rude, au second temps, et bruit de souffle plus léger au premier temps. Le maximum de ces bruits est plutôt à la b
x encore sur le trajet de l'aorte, on n'entend plus que le souffle du premier temps, et encore est-il moins bien distinct qu'au
beaucoup plus faible que le bruit entendu au niveau du cœur à ce même premier temps. Ce bruit diastolique vasculaire était sans
s of the Pulmonary Arteries (London Medico-Chi-rurgical Transactions, premier mémoire, 1844 ; deuxième mémoire, 1845). Willis (
uoi qu'il en soit, — et ceci est la princi-cipale conclusion de cette première partie de notre travail, — celles que nous avons
ant, le 4 juillet 1853. L'é'at fut très satisfaisant pendant les huit premiers jours qui suivirent. Dans l'après-midi du huitièm
tères malades fut signalé par Bizot qui le considérait comme l'un des premiers indices d'un travail in-flammatoire. Cette observ
ignes de l'infection purulente, surve-nant brusquement après les deux premières périodes de la maladie, sont, en réalité, les s
que; 4° artère splénique; S0 aorte abdominale, etc. Rokitansky met en première ligne l'aorte ascendante; viennent ensuite la cro
ré (Bamberger). L'auscultation fait entendre un bruit de souffle au premier temps, sur le trajet de l'aorte, quand les rugo
n fait à l'appui de ses opinions. Nous devons à Yésale la relation du premier cas où cette lésion ait été anatomique-ment const
lusieurs tumeurs anévris-males de l'aorte chez le même sujet. Dans sa première statis-tique, Lebert a rassemblé 14 cas de ce gen
emps : avec une impul-sion systolique ; 5° Bruit de souffle rude au premier temps ; faible et voilé au second temps ; 6° Br
mier temps ; faible et voilé au second temps ; 6° Bruit ronflant au premier temps, beaucoup plus fort qu'à la base du cœur ;
mps ; 7° Bruit rude aux deux temps, plus rude au second temps qu'au premier ; 8° Mêmes conditions, avec rudesse excessive a
ns, avec rudesse excessive au second temps , 9° Battement simple au premier temps, souffle au second (très rare) ; 10° Au p
ent simple au premier temps, souffle au second (très rare) ; 10° Au premier temps, il existe un battement et un souffle, qu
u dire de Lebert. D'après cet auteur, les maux de reins sont l'un des premiers signes des anévrismes de l'aorte sous-diapliragma
t sans doute en accélérer les progrès. Il semblerait impossible, au premier abord, qu'un ané-vrysme de l'aorte fût occasionné
aortique. Il en est de même de la dysphagie, ce qui paraît étrange au premier abord ; mais il faut tenir compte de la compressi
ut varier de quelques mois à quelques années : il semblerait donc, au premier abord, que les moyens thérapeutiques ne peuvent a
du malade pendant treize jours. Quoique cette opération paraisse, au premier abord, assez conlraire à la logique, il ne faut p
la moyenne à ce niveau (Rokitansky.) Il est probable que dans cette première variété d'anévrisme disséquant, l'enveloppe extér
ète. On peut établir à cet égard trois catégories, d'après Peacock: Premier degré. — Déchirure plus ou moins étendue de la tu
e au péricarde, tan-tôt comprise dans sa cavité elle peut répondre au premier , deuxième ou troisième espace intercostal. Lors
ge immédiat; 2° le froncement des parois de l'ar-tère, qui semble, au premier abord, résulter d'une ligature ; 3° l'absence de
ongénital de l'aorte avait été admise, il existait un souille rude au premier temps, ayant son maximum à la base du cœur. Nous
rité. Le pronostic est moins grave qu'on ne pourrait le supposer au premier abord. Chez plusieurs individus, la vie s'est pro
re et comme cireuse de la peau, souffle intense à la base du cœur, au premier temps ; souffle continu à double cou-rant dans le
quant la persistance d'une lésion cardiaque. Pendant les dix ou douze premiers jours de son séjour à l'hôpital, rien de remarqua
nt, s'est développée ensuite. Nous ignorons quelle a pu être la cause première de cette coagulation spontanée du sang dans les a
e et des granulations pigmentai-res. Ces altérations correspondent au premier degré de la gan-grène. La nécrose des tissus qui
essins appartenant à la collection de l'auteur TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Maladies des Poumons PREMIÈRE LEÇON le
'auteur TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Maladies des Poumons PREMIÈRE LEÇON les instituts pathologiques et la cliniqu
91 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lassiques. On connaît les deux cas qu'il avait observés : chez le premier malade, au déclin des oreillons, anxiété inex-
très affaiblie il est vrai, plusieurs mois après la disparition des premiers symptômes. Un autre caractère des plus singulie
ffection : l'un de Suell chez une fille de huit ans qui avait eu sa première attaque à l'âge de dix-huit mois. L'autre de E.
pouvons affirmer qu'il appartienne au même ordre de faits, ce qui à première vue nous semble peu probable étant donné l'âge
ur, sans spécifier aucunement la nature de celle-ci. L'idée, qui au premier abord est la plus ration- nelle, est évidemment
térêt réel, n'a pas une signification absolue. En terminant cette première partie, faisons remarquer, pour simple mémoire,
mais si les lésions n'ont pu être constatées à l'oeil nu dans la première observation, nous avons été plus heureux dans la
RALES MOTRICES. il sont appréciables qu'au microscope si la maladie première est récente. Cliniquement, la lésion descendant
té débauché, délaissant le foyer con- jugal, pour vivre entouré des premières filles venues. La grand'- mère du grand-père ma
enferma à l'asile de Bétel, et ce n'est qu'un an après qu'il eut sa première attaque d'épilepsie. Jusque-là, d'après les ren
auteurs dans la .conception de leurs théories. 52 REVUE CRITIQUE. Premier groupe. Lésions matérielles. Il est bien évi- d
adies à manifestations cérébrales ; ils sont les effets de la cause première qui provoque la perturbation générale terminée
er satisfaisante et applicable à tous les cas. Les faits de notre premier groupe peuvent s'appliquer par l'hyperglycémie,
ue nous paraissent dominer la situation. On pourrait désigner cette première catégorie sous le nom de coma diabétique simple
er les accidents de tout autre nature dont nous avons formé notre première catégorie. II. FORMES CLINIQUES DU COMA DIABÉTI
'af- faissement général du sujet. Cet anéantissement qui, dès les premiers moments, révèle la gravité fatale des accidents,
empoisonnement; ce sont des symptômes d'excitation qui résultent du premier contact de la substance toxique avec la matière
us avons noté sept fois le coma acétonémique. Si la cause intime, première , qui détermine la fermentation acétonique nous
pe facio-scapulo-huméral, scapulo-huméral, fémoro-tibial. Dans le premier cas, quand les muscles de la face sont atteints,
sous-sol renferme les bains et, pour les pensionnaires-hommes de première et deuxième classes, un bassin natatoire, dont l'
ils de chauf- fage, la tisanene. Les pavillons des pensionnaires de première et deuxième classe sont ainsi divisés : au rez-
, une chambre de bains, un cabinet de toilette. Même disposition au premier étage, avec cette dilfé- rence que les quatre c
n de jour au rez-de-chaussée pour lotis les malades, et chambres au premier étage. Au rez-de-chaussée, sont : la salle a ma
chaque côté, une chambre à dew lits destinée aux indispositions. Au premier , douze malades dorment au-dessus du réfectoire,
avec le bras gauche paralysé ; le lendemain, elle est prise pour la première fois de vomissements qui persistent pendant plusi
aient l'un à l'autre SOCIÉTÉS SAVANTES. 95 sur toute l'étendue du premier tiers de la scissure longitudinale. Plaque gang
e dépressive) ; le mécanisme est le même pour les psychopathies des premiers jours qui suivent la délivrance. Dans ces cas,
ette pression augmente, les capillaires cérébraux sont comprimés en première ligne. Cette assertion est inexacte; car, bien
'Uni- versité de Louvain, a été chargé de faire un rapport sur la première , et M. le Dr Semai, médecin directeur de l'asile
es. Au contraire, dans son état physiologique régulier ou condition première , la malade est plus triste, plus abattue ; elle
tat, elle n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant son état premier . M. Verriest a, tour à tour, provoqué l'apparit
at pour boire avide- ment plusieurs verres d'eau. Cette existence première ne se maintient que pendant une heure environ,
, les mesures qui remplissent ses nombreuses pages nous donnent, au premier FAITS DIVERS. - 125 coup d'oeil, l'idée d'un
se faire internationaler. » C'est qu'en effet l'érudition tient la première place dans ce travail ; les matériaax y sont accu
le, souvent désignée sous le nom d'hémianopsie homonyme. Les deux premières variétés sont exclusivement causées, d'après l'
l. - z L, 0., lobes optiques (tubercules qundriumenuxJ. - P. 0. C., premiers centres optiques, comprenant le lobe optique, l
de la base, est due à l'altération d'une bandelette optique ou des premiers centres visuels d'un côté. Ce diagnostic peut
uit et dix ans, ne cessèrent qu'à l'âge de treize ans, époque de sa première menstruation; l'inter- valle qui les séparait é
ommencement de ce second retard (septembre 1869), elle présenta ses premiers phénomènes épilepliques, survenus la nuit, pend
février suivant. A la fin de ce der- nier mois (âge, dix-sept ans), première attaque de rhumatisme ( ? ) survenant deux ans
où le mal comitial était constitué déjà depuis deux ans. Or, cette première attaque, de même que les deux sui- vantes, la m
reste pendant pres- qu'un mois et n'est sensiblement diminué qu'aux premiers jours d'avril. Pendant sa maladie, MUe Witt..
st le complément, par des études microscopiques, des expériences du premier mémoire sur des chats et lapins nouveau-nés (ab
ait pu guérir; d'ailleurs, abstraction faite de l'âge, cet homme, à première vue, aurait plutôt l'air d'un délirant chroniqu
nt en question serait venu au monde bien portant; vers la fin de sa première année, on aurait constaté un marasme qui se pro
fournies par l'urine, qui se montrent dès le début de l'abstinence ( premier jour), se continuent pendant sa durée, ou s'il
ment cette dernière assertion, elles montrent en outre que dès le premier jour de l'abstinence, et sur le seuil de l'inanit
obiles. Le siège de la cicatrice frontale, qui occupe le tiiveaudes première et deuxième frontales gauches, suscite l'hypothès
. Du 1 1 août à fin septembre, bains à Nenndorf. Pendant les quatre premières semaines, vingt-huit bains, auxquels un ajoute
un ajoute tantôt du sel, tantôt du soufre; on le galvanise pour la première fois. Amélioration à tous égards. A ce moment, dy
pécifiée à l'aide de l'expression de sénilité précoce appliquée aux premiers ; dans la paralysie générale, la lésion, qui porte
ration horizontale de ? locaux d'ha- bitation et des dortoirs ; aux premiers sont adjoints des jardins dont l'accès est très
lle réunira 200 malades qui y prendront leurs repas VARIA. 323 Au premier étage, deux grands dortoirs de 50 malades chacun
isolement. Lequar- tier du lazareth comprendra : à l'entresol et au premier , quatre ailes en forme de pavillons de chacun 1
ade de lre classe, mais en relation avec salon de conversation ; au premier étage, chambres à deux lits. Les malades de 30
e centre, dans sa conscience troublée par le morphium, prenait au premier moment cette irritation faible comme relâche, m
dérés aussi par MM. Charcot et Richer' comme réflexes spinaux. En premier lieu, ils traitent des réflexes tendineux, ils le
mer phénomènes de suggestion. La différence entre les réflexes du premier ordre (spinaux) et ceux du deuxième ordre (cort
et de là dans les racines anté- rieures : c'est l'arc de réflexe du premier ordre; ou bien, passant par la substance blanch
lui seul, ou bien tous les deux arcs ; l'interruption de l'axe du premier ordre seul doit être très rare. Ces conditions
mple loi physique, elle produira un effet plus fort dans celui du premier ordre. Donc, plus la voie du réflexe du cerveau
ils sont accablés très vite de sommeil. L'exagération du réflexe du premier ordre produit les phénomènes dont la loi de Pfl
es antagonistes se contractent et que la raison de ces derniers aux premiers détermine la sûreté, la direction et la grandeu
ulpée de vol, avait été jugée par l'une des chambres du tribunal de première instance, et condamnée à trois mois de prison.
sentiment de vive émotion; elle a peur, et, après avoir 'épondu aux premières questions, elle est prise d'un état synco- pal,
elle les acci- dents nerveux peuvent reparaitre avec leur intensité première . Dans ces conditions, le vol pour lequel elle e
ce fut pendant sa convalescence que, sans cause connue, éclate la première crise. A ce moment, se manifeste une légère surdi
Réflexions. En résumé, voici deux nouveaux faits qui, joints à nos premières observations, nous démontrent à n'en pas douter
tions internes, on réussit dans le cin- quième des cas relatifs aux premières , et quatorze fois sur les autres. Les faits pos
sur des considérations a priori : l'expérience n'a pas confirmé les premières ; la marche de la science a renversé la base sur l
ont un attribut donné, un individu ou des individus ressemblent aux premiers par certains autres attributs, donc ils leur re
recours à l'hypnotisme. Et il faut les féliciter d'être entrés les premiers dans cette voie expérimentale. Les résultats déjà
, au moyen d'un état de cons- cience intermédiaire qui ressemble au premier état, qui est associé au second, et qui, en se
service des aliénés et de créer un établissement spécial pour leur première admission. Cet éta- blissement contiendrait cen
. Zeiiker, 286. Zohrab, 405. EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE FOYER DL RAMOLLISSEMENT AYANT DÉTRUIT LA MOITIE
92 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
é atteinte de mal de Pott. Mlle D... a eu des convulsions dans sa première enfance. Elle jouit d'ailleurs d'une bonne sant
.de vue de l'hérédité. Antécédents personnels : Convulsions dans Ja première enfance; à l'âge de dix ans, tic convulsif du m
attribuait rétrospectivement l'analgésie hystérique, il citait au premier rang MusciusScévola. Il estimait, avec toute ap
mple de les nier que de les interpréter. N'oubliant rien des leçons premières que j'avais re- çues au début de mon éducation
la tête une sorte de déplacement latéral qui se marie très bien au premier mouvement rythmique. Ces mouvements ayant duré
tion de la cons- cience. - Cette conservation de la conscience au premier abord paraît complète puisque ledanseur s'in- t
ne sai- gnée. Le malade succomba cinq heures après l'invasion des premiers accidents, et ne fut pas observé pendant les deux
ne. Nous cite- rons encore, parmi les observations parues dans la première moitié de notre siècle, c'est-à-dire durant une
tre part le corps résistant ou pressant ». De ces sensations, les premières c'est-à-dire les sentiments liés aux états de ten
vements bilatéraux parfaitement coordonnés. G.-H. Lewes, dans son premier ouvrage (Physiology of Common Life, 1860) admet
h. Bastian qui s'est montré le défenseur de cette opinion. Dans son premier mémoire sur le sens muscu- laire (Brit. Med. Jo
ril, je fus appelé auprès d'une femme de trente et un ans, pour son premier accouchement. A l'examen, je trouvai les diamèt
normal que doit con- sister une des tâches les plus importantes du premier congrès des aliénistes russes. Les debats qu'a
dispositions des articles 7, 8, 16, » etc. Il me suffit de lire ces premiers mots où l'article 7 est visé pour faire comprendr
aitement, et je n'ignore pas que, lorsque, dans les trois ou quatre premiers mois, l'aliéné ne peut pas être ramené à la rai
accepté celte seconde paitie de l'amen- dement ; elle maintient sa première rédaction, qui n'excepte que les ascendants, le
endants, le conjoint, le frère ou la soeur. Elle s'en lient à cette première rédaction et je crois qu'il est inu- tile que l
n est celle même que le Gouvernement vous avait proposée dans son premier projet; nous nous y sommes ralliés et nous la con
idi. Au bout de quatre semaines, la jeune fille recouvra sa santé première . L'usage des pieds et des mains qu'elle avait aup
cause, je n'ai.pas la prétention d'approfondir le fait. Je mets en première ligne ce que j'ai avancé, laissant à chacun la
èlement ce qu'ils ont avancé. Nous' com- mençons donc par mettre en première ligne la savante lettre écrite sur cette même j
A 1 Hôtel-Dieu de Cbâleau-Tbierry, les deux cabanons sont situés au premier étage de l'ancien bâtiment de la boulangerie, a
et qui, bien que liées intimement à l'hystérie, pourraient être au premier abord facilement méconnues, tantla névrose qui
faiblesse qui lui semblait étrange. Voici ce que je constatai : A première vue, l'avant-bras et la main du côté droit, pa-
urs sans laisser de trace, alors que les désordres sensitifs, cause première du mal, persistent sans modification. Au nom
ralysies généralisées, décrites pour la 222 2 PATHOLOGIE MENTALE. première fois par Gubler, n'ont absolument rien de commu
ultat un strabisme diver- gent de l'oeil du côté blessé. Vers 1882, premiers signes de la paralysie générale à laquelle il s
pas une prédisposition à la paralysie générale. Or, à cet'égard uu premier point me paraît à noter : lorsque l'on étudie l
t mois; - parole et marche tardives ; - rougeole; - ophthalmie. - Premier accès à dix-sept ans; vertiges ; aura procur- s
ssance. - Elevé en nourrice au sein et au biberon (lait de chèvre). Première dent à cinq mois. A dix-huit mois, étant encore
et oncle maternels morts de phthisie. Chute pendant la grossesse. - Première crise procursive à trois ans. Pleurésie. - Mort
ait; il n'a jamais été intelligent. C'est à trois ans qu'il eut son premier accès convulsif : tout d'un coup il quitta la m
moins long et que fréquemment l'aura n'est signalée que lors des premiers accès. III. Épilepsie POST-PROCUItSIVE. Les p
l'époque de sa sortie du chemin de fer (dix-huit ans), il a eu ses premiers accès, il tombait comme une masse, était roide,
le maternel, imbé- cile. Vertiges procursifs à trois ans et demi. Premier accès à huit ans. Accès suivis de course. Carac
d'un idiot qui, fils et petit-fils de maîtres-tambours, exécuta du premier coup un roulement lorsqu'on lui présenta un tam-
les touches. Dans ces mouvements, les extenseurs du poignet et des premières phalanges sont à l'état de tension (extenseur c
es écrivains; l'auteur attribue cette différence à ce que dans la première , les muscles intéressés sont plus volumineux, plu
vie future pour être le vrai Messie attendu et annoncé depuis la première faute de l'homme créé à son image. Gloria, Gloria
c tant de dévouement, n'ait pas eu la satisfaction de proposer le premier la sortie du malade à l'autorité administrative.
s par des lésions cérébrales ; les sujets frappés n'offrent point à première vue les signes de l'hystérie et le diagnostic d
troisième assistant à l'asile d'Utica, puis deuxième en 1852, enfin premier en 1853. Il avait alors 38 ans. La même année i
emmes; le nombre total des heures de réclusion a été de 204 pourles premières , et de 326 pour les secondes. Depuis plu- sieur
divers incidents de son existence. Réglée à onze ans, le jour de sa première communion, ses règles ont été toujours régulières
Il semble que ce soit sous cette influence que s'est produite la première attaque de sommeil, le 22 novembre 1883. F... se
et scapu- laire droites ainsi que les apophyses épineuses des trois premières vertèbres dorsales. Le réveil se produit, d'ail
r dans le cabinet de M. Grasset, ne se rend pas même bien compte au premier abord de l'en- droit où elle se trouve ; quand
uivant l'or- dre reçu, dire bonjour à M. Grasset, qui se trouve aux premiers lits de la salle des femmes. Elle tombe immédia
bras en croix et l'abolition de la parole. On la ramène en crise du premier type par la compression du poignet. 22. L'aya
re. En dehors de ces attaques, que nous appellerons « attaques du premier type », F... en présente d'autres un peu différ
l'intelligence. Tandis qu'elle entend et parle dans l'at- taque du premier type, elle n'entend ni ne parle dans l'attaque
de cercle. Cela parait donc plutôt être une attaque réduite à sa première période, à la phase tonique de la période épile
tout le corps. A côté de ces caractères communs, dans l'attaque du premier type, l'ouïe et la parole sont conservées, tand
UE NERVEUSE. magistralement étudié et décrit à la Salpêtrière. Un premier caractère capital, qui différencie absolument n
ur HISTOIRE D'UNE HYSTÉRIQUE HYPNOTISABLE. 349 la faire passer du premier au second type de l'attaque spontanée, du premi
a faire passer du premier au second type de l'attaque spontanée, du premier au second degré de son som- meil pathologique.
ue. On peut déterminer le passage in- verse et revenir du second au premier degré en com- primant une des zones hypnogènes,
s avions obtenu par la compression du facial : elle est passée du premier au second type, du premier au se- cond degré.
mpression du facial : elle est passée du premier au second type, du premier au se- cond degré. Les différences avec l'éta
tion. Les uns et les autres existent. Notre malade fait partie du premier groupe : c'est une hypnotisée à caractères soma
ué est entière- ment dominé par la suggestion. F... appartient au premier groupe : c'est une hysté- rique antérieure, une
encore classique, c'est que, ne considérant que les hypnotisés du premier groupe, c'est-à-dire les hystériques hypno- tis
pposé, puis la cuisse et le front du côté gauche. La localisation première des troubles du mouve- ment et de la sensibilit
et tremblement consécutif. Parésie et tremblement du malade dès sa première enfance. Placé en hospice à huit ans. - Difficu
ré. Deux soeurs mortes de méningite. Conception durant l'ivresse. Premières convulsions prolongées à trois mois, secondes c
on, dix-sept ans, cordonnier; a eu des convulsions internes dans la première enfance; puis, de trois à quatorze ans, des doule
au sein par sa mèrejusqu'à dix-huit mois. A trois. ou quatre mois, premières convulsions; jusque-là il était fort et paraiss
âchoire inférieure, treize dents; manquent une molaire droite, deux premières molaires gauches, une molaire droite cariée. Ar
maman, merde, salope, couillon. » Il répète devant nous, les trois premiers mots; nous voulons lui faire répéter les autres
sont très peu prononcés tandis qu'ils l'étaient notablement dans la première phase. La préhension de la cuillère exige les m
sigmoïde (en arrière du sillon crucial), du segment postérieur des première et deuxième circonvolutions primitives, de la p
ent de M. Bardoux, qui préjuge dans les deux der- nières phrases du premier alinéa la solution de la question con- tenue da
titulé : Comment doit-on soigner les aliénés ? par le Dl Gran- ger, premier médecin adjoint de l'asile de Buffalo'; l'autre :
s du dehors. Plusieurs d'entre vous n'ayant reçu aucune instruction première avant leur admission à l'asile, se sont abstenu
Archives de Neurologie T.XIV. PU EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE ATIIÉTIIOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ OBSERVATI
93 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
Il se laissait influencer par ses familiers et par ses affranchis. Sa première femme, Messaline, exerça longtemps sur lui l'asce
forces. Figurez-vous, que pour monter votre escalier [car j'habite au premier ) j'ai été obligé de me reposer trois fois. L'admi
, chaude ; d'autres ont une voix plate, qui ne porte pas, froide. Aux premiers l'émotion; les seconds distillent l'ennui. -Te
M. de Coynart ; M. le D' Roulin ; M. le Dr Bosy, médecin major de première classe ; M. le Dr Hahn ; M. le Dr Gascard ;
cevoir de M. le professeur Edmond Perrier, qui fut, au Muséum, un des premiers maîtres du Dr Bérillon. Paris le ¡8 Juin igo6.
ifs applaudissements.) Et pourquoi Dumontpallier avait-il jugé du premier coup que nous étions faits pour tirer la charrue
ntéressants et si variés ont été couronnés par le succès. Un de vos premiers ouvrages a pour titre : L'œuvre scientifique de P
4 cas ils n'ont eu lieu qu'à la première séance, et une fois aux deux premières ; donc G hypnoses sur plus de 50.000 ont présenté
rre lasse, je finissais par me coucher. Or presque régulièrement, mon premier sommeil était occupé par un rève, ayant pour suje
préoccupation marquée ; je résolvais mon théorème en rêve pendant mon premier sommeil, avant tout repos appréciable. Ne bénéfic
r une culture générale digne de ce nom, en contact avec la science de première main, la seule qui soit attrayante et féconde, la
ous. Un banquet, sous la présidence de M. le professeur Beauvisage, premier adjoint au Maire de Lyon, a réuni les membres de
borieuse et brillante carrière, et je suis heureux d'avoir été un des premiers à discerner ses mérites. Mais avant de vous en en
er sous silence sa franchise et l'indépendance de son esprit. Dès nos premiers entretiens, je le voyais avec plaisir, en enfant
Société d'hypnologie, dont la fondation avait été décidée à la fin du premier Congrès international de l'hypnotisme, il assumai
de Troisième. Après chaque composition, il dit à sa famille qu'il est premier , second ou troisième. Chacun est fier de lui; on
, spontanément, les mots suivants lui tombent des lèvres : « J'ai été premier ! » Il n'est même pas stupéfait de l'énormité d
maine, il annonce régulièrement qu'il a eu l'une ou l'autre des trois premières places. Il n'est nullement préoccupé de l'immoral
plus évidente, à savoir que la suggestion hypnotique est un agent de premier ordre dans les cures d'orthopédie mentale et mora
ts et autres phénomènes du même ordre, même lorsqu'on leur attache, à première vue, peu d'importance. Il faut leur donner une da
ommencement du mois d'octobre 1877, j'arrivai à Paris pour prendre ma première inscription de médecine, j'étais dans une situati
sant.. Sans s'être jamais écartée du programme inscrit en tête de son premier numéro, elle entre dans la vingt-et-unième année
services que la .Revue de l'Hypnotisme a rendus, il faut inscrire en première ligne l'organisation des deux premiers Congrès do
a rendus, il faut inscrire en première ligne l'organisation des deux premiers Congrès do l'hypnotisme. Ce fut d'une façon fort
é des suffrages. (Applaudissements.) Un des principaux résultats du premier Congrès de l'hypnotisme fut de donner naissance à
un seul instant de sa présence. Le jour de ma leçon, il arriva un des premiers . L'allocution qu'il prononça fit profondément vib
r, membre dévoué de la Société d'hypnologie, qu'on trouve toujours au premier rang lorsqu'il s'agit de soutenir des causes just
ici plusieurs de ses représentants les plus éminents. Je saluerai en première ligne le Dr Go-don, fondateur et directeur de l'E
t dans tous leurs membres. » (S. L., p. 152.) « Les époptes dans leur premier sommeil dorment ordinairement avec une sorte d'in
us important et le dernier de Braid. « Depuis la publication de mon premier livre, dit Braid, j'ai poursuivi mes études sur l
réel c'est ce qui se présente pour les états les plus superficiels du premier degré du somnambulisme. Dans la circonstance qui
ent, l'état d'hypnose est facilement produit comme une suite de cette première suggestion directe. Le second cas présente un p
rent, comme s'il cherchait à regarder à son centre. Pendant les dix premières minutes, le sujet tiendra les regards fixés sur l
trois séries de trois suggestions. Le malade devait lire les trois premières pendant la première semaine, la seconde série de
ues. Ce ne sont pourtant là que les angles de la Base. Tétralogique à première vue, la grande Pyramide est quinaire par son somm
aissés par leurs parents, moralement abandonnés, peuvent être pris au premier abord pour des enfants anormaux. Un interrogatoir
alisée. Ma cliente m'écrit de Durban qu'elle a pleinement joui de son premier voyage sur mer. Elle a passé trois semaines consé
meil léger. Arrivé à Batavia, il me décrit son voyage, me donne ses premières impressions. Non seulement, me dit-il, je suis re
mi les manifestations objectives de l'intimidation, il faut placer au premier rang l'apparition de la rougeur ou de la pâleur.
egrés successifs, ils en arrivent à éprouver de véritables pho6ies,au premier rang desquelles il fautplacer Véreutophobie. Que
-pectant attention, la désignation importe peu, qu'ils reçoivent leur première éducation sexuelle. Il n'y a donc rien d'étonnant
me, à un sujet très hypnotisable. De là, la ténacité et la fixité des premières impressions normales ou anormales de la vie sexue
econd perfectionnement de ses aptitudes physiques? Il semble être, au premier abord, une conséquence du premier. On serait asse
tudes physiques? Il semble être, au premier abord, une conséquence du premier . On serait assez disposé à admettre qu'ayant à sa
, la pratique habituelle de l'exercice corporel. Elles pourraient, au premier abord, sembler suffisantes pour expliquer le perf
s, le cas de l'enfant T... est beaucoup moins grave qu'il apparaît au premier aspect. Il s'agit là d'une enfant mal élevée, che
que de préciser la nature de ces accidents ; on serait même tenté, au premier abord, de penser à une attaque d'épilepsie, affec
avoir : « le concours de l'agrégation est supprimé. » Mais à peine ce premier article était-il voté, qu'effrayés de leur propre
par des emportements. Avare dans l'espoir de rendre à sa famille son premier éclat, hautain aux Etats de Bretagne avec les gen
d'enfants intimidés qui ont gardé toute leur vie l'empreinte de cette première éducation. Quelquefois les enfants sont livrés
toutes les classes de l'école; dans chaque classe, il a toujours été premier ; il est la gloire de l'école, aime à répé- te
le Traité des névroses, rédigé en collaboration avec Axenfeld. Un des premiers , le D' Huchard a fait connaître en France l'impor
rd a fait connaître en France l'importance de la neurasthénie; un des premiers , il a démontré le rôle des troubles psychologique
nt abordé la clientèle sans avoir la moindre notion d'obstétrique. Au premier rang de ces professeurs brillait un remarquable p
ans une sorte de provisoire, de situation d'attente. Cependant, à première vue, rien n'aurait été négligé dans les combinais
s par les lignes, les volumes, les couleurs elles mouvements. • Aux premières époques guerrières, les hommes se préparant à com
. Craignant de révéler son émotion à ses parents, elle s'arrêtait aux premiers vers et feignait d'avoir oublié le reste. Connais
ister à leurs efforts et à leurs succès. Les timides qui arrivent aux premières places à la suite d'une série de victoires rempor
remèdes qui lui ont été prescrits auront toute action efficace; cette première forme de suggestion, celle que subit le malade de
cultés mentales chez l'adénoidien. « Major qui, en 1885, fut un des premiers à noter la coexistence de la respiration buccale
s praticiens de France. Après ces votes de principes, l'œuvre de ce premier congrès pouvait être considérée comme terminée. E
s, correspondent exactement à celles que j'avais formulées. Une des premières personnalités auxquelles j'avais cru devoir offri
is à visière arrondie, (forme non angulaire nécessitée par la matière première employée), mais les « casseurs d'assiette » s'emp
n tricorne chez le successeur du roi du grand siècle. Les shakos du premier empire, avec leur évasement orienté vers le ciel,
iquer à la Société deux qui présentent un intérêt tout particulier. Premier cas. — II s'agit d'un jeune homme de dix-huit ans
ysiologique, manque de la régénération qui est la caractéristique des premiers âges de la vie... La sénilité est un ensemble ext
». La dissolution suit en un mot un ordre inverse de l'évolution des premiers âges. Preyer écrit de l'enfant : « L'évolution
la réalité, cette fois, du manquement aux statuts du concours, et aux premières règles de l'équité, il n'eût point ratifié ces no
de Sylvabella (Var), ainsi que de MM. Barthe, médecin vétérinaire en premier , et A. Vogel, homme de lettres. Ces candidatures
Paris, 1907. Antoine Dupin : Le dogme de la Trinité dans les trois premiers siècles, in-12, 77 pages Librairie critique, Em
94 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
agent physique,' doit d’abord être étudié. 11 est la base et la cause première de tous les phénomènes que nous aurons à examiner
l'existence de l’agent qu’on appelle communément magnétisme animal. Première expérience. Me prenant moi-même pour une machin
CTIONS CHRONIQUES ANCIENNES, SYSTÈME NERVEUX PEU 1MPRESSIOSNABLE. Premiers effets : Légère chaleur, respiration plus marqu
se continue pas; vous ne pouvez plus même reproduire lo sentiment des premiers effets. Si la nature refuse de vous suivre et d
s celles d’un homme en délire ! La porte, fermée à clef, céda à ses premiers efforts, tant ils étaient violents. Une seconde p
e votre silence, cher et respectable ami ; je vous ai envoyé les deux premières feuilles de mon mémoire pour servir d’introductio
e les autres nations, comme de la liberté, en soient redevables de ce premier bienfait de l’art infaillible de se préserver et
ments pour le nourrir. De même, comme la maladie considérée dans sa première cause n’est qu’//z?, ce moyen de. la nature n’est
ociétés philanthropiques qui se sont formées pour cet effet depuis ma première apparition en France; pour qu’on puisse se dispen
ra servir à la construction du nouvel édifice des sciences. Dès nos premiers pas dans la carrière que nous poursuivons, nous a
mblait ne pas devoir tarder; la famille du reste s’y attendait à la première syncope. Qu’aurais-je tenté après les mille moyen
t la faire descendre. Pour ceux de nos abonnés qui ont souscrit aux premières conditions, les 5 fr. qu’ils se trouvent, par sui
onnées à l’impulsion et au magnétisme qu’elle n reçus, ret rouvera sa première direct ion et s’y fixera. C’esl ainsi que l’har
ps organisés, une fois troublée, doit éprouver les incertitudes de ma première supposition , si elle n’est appelée et déterminée
n rie peut être pour quelque chose dans les résultats. PARALYSIE. Première observation. E. Bnrret, Agé de vingt-quatre ans
qui cessent d’être purement physiques. § I. — EFFETS DU HACHISCH. Première observation. De tout temps, les Orientaux, à qu
t odieux témoin qui vous accompagne partout, que j'ai compris pour ¡a première fois quelle pouvait être l'existence des esprits
la nature à revenir sur scs desseins et à reprendre en sous-œuvre son premier ouvrage. Cela ne se peut faire sans une connaissa
ombinaisons, si je puis dire. Vous avancez ou retardez l’invasion. Ce premier pas fait, vous ôtes bientôt maître du mal. Dans
nt parvenus à reconnoitre son existence, mais à peine ont-ils fait ce premier pas qu’entrainé au delà du vrai ils ont prétendu
erfections des humeurs, qu’on doit regarder comme des effets de cette première eause. Il s’en suit, comme on verra encore, qu’
te ce qui nous esl parvenu de cet important mémoire. Ce soni le» deui premières Feuilles doni Mesmer annonce l'envoi dans sa letl
ce fait ne persista point. La musique qui était exécutée par M. C..., premier prix du Conservatoire, n’a point paru agir d’une
celte vision et ne s’occupait point de loterie. Je l’endormis, et sa première parole fut celle-ci: « Eh bienj le 72° 26 est sor
numéros?— Certainement. — Alors dites-nous ceux qui doivent sortir au premier tirage. » Elfe en donna quatre, en disant : a Je
iesse de hasarder quelque chose du leur. C’est tout autre chose des premiers . Ils s’embarquent hardiment sur le vaste océan du
profanes cette sainte union! Le somnambulisme est contemporain des premiers hommes. Au commencement du monde, il a dû être pe
L’INTELLIGENCE, HALLUCINATIONS. (Suite.) § H.— Effets de l’opium. Première observation. Dans un ouvrage étranger, l’Anglai
tances les' plus minutieuses de l’enfance, les scènes oubliées de mes premières années revivaient souvent dans mes songes; je n’a
er de jeter un dernier regard sur cette ville qui a été témoin de mes premiers efforts pour établir une vérité sublime. Hôtel-Di
it? moi, je me rappellerai toujours le lieu de mon triomphe et de mes premiers succès. Fuyez donc, triste et douloureux souven
vient de faire quelques excursions dans les environs de Lyon, et scs premières indications ont été couronnées de succès. Il a dé
is signaler est une dame. « Les deux autres faits sont analogues au premier ; et si j’ai attendu une circonstance pour les pub
céder devant des considérations d’un ordre majeur. J’ai publié ces premiers faits dans mon premier écrit : Expériences de l’H
érations d’un ordre majeur. J’ai publié ces premiers faits dans mon premier écrit : Expériences de l’Hôtel-Dieu, et j’ai, dan
fut rien dit à Marie du fait sur lequel elle était consultée, et son premier mol fut pour rassurer M"* Balicle sur l’existence
approche de l’autre, celle que je viens de quitter retomberiiiiis son premier état; il nie faut y revenir. Les crises que je fa
dant me rendit si heureux que je me promis bien de l’aller voir à mon premier vovage en France, et vous me voyez, mon jeune ami
e que vous m’avez presque converti : aussi, à mon arrivée à Paris, ma première visite sera-t-elle réservée à M. Marcülct. .Mon
eur, lui dis-je, pourriez-vous deviner qui je suis?____ » Voici ses premières paroles : « Vous ôtes un ami du colonel Curwood
e est la signature d’un arliele publié dans /• Courrier- français des premiers jours de mai et reproduit dans différents journau
la moindre douleur, arracher le moindre, gémissement. « La levée du premier appareil eut aussi lieu dans l’état magnétique, e
H. WlART. Cambrai, 12 juin 1815. Nous avons sous les yeux les six premières livraisons des Archives de la Société miujtiétiqu
tellement abondantes, que la malade n’eu pouvait croire ses yeux. Ces premières déjections la soulagèrent; la langue fut moins pâ
’une manière précise les sources qu’il n’avait fait qu’indiquer à son premier passage à Pontarlier. Il a trouvé trois sources s
ations. Alors M. Talbot, dentiste, procéda à l’extraction de la dent, première molaire gauche de la mâchoire inférieure. Comme e
IE MAGNÉTIQUE. (Suilc.) § III. I.c corps perd, l’ûmn regagne Sa première liberté; Le savoir qui raccompagne, Plus parf
us étonnants phénomènes, et (pii par sa nature rentre dans les causes premières , comme celui de la lumière, de la chaleur, du mou
comme de l'individu ? Peut-être sa raison parcourt-elle lentement ses premières phases avant d’arriver à sa virilité, el peut-êlr
rend de lui-même, monte l’escalier qui conduit nu rez-de-chaussée, au premier étage, entre dans le salon, s’assied sur une chai
le ne le connaît point encore, tandis que vous, au contraire, dès vos premiers pas, vous produirez des faits que votre esprit co
ou guérir; il n’appartient qu’à l’étude de pouvoir les distinguer du premier coup d’œil. Jamais un livre, quel qu’il soit, ne
uelle on apprit la mort du marquis de Rambouillet, fut arrivée. Cette première circonstance s’étant trouvée véritable et de la m
ment, avoir recours à un intermédiaire, M. Possin place le cristal en première ligne. M. Dclacour dil, au contraire, qu’ayant fa
à 10 centimètres, et les boutons étaient loin de paraître. Enfin, 1e premier fleurit le 20 mai, et donna successivement dix be
rd différente, el, le nouveau magnétiseur ne suivant pas la marche du premier , le travail critique qui s’opérait dans les organ
leurs maladies, et de ce qui s’est passé dans lo cours des séances. PREMIER FAIT. M"e T..., âgée do vingt-trois ans, demeur
TOIRES DU SOMNAMBULISME MAGNÉTIQUE. (Suite.) § IV. — RÊVES. Première observation. « Mlle c....., clouée d’un excelle
mièrement sur cette terre matérielle à l’état d’enfance, de noviciat, premier degré préparatoire â la progression éternelle, l’
ile lorsque les conditions de succès se trouvent réunies. Je place en première ligne le silence de l’assemblée, le recueillement
où doivent êlre déposées les pièces du grand procès qui s’instruit. Première observation. Treize ans avant la Révplution fra
nous allons faire des Archives de la Société magnétique de Cambrai. PREMIER SEMESTRE. NÉVROSES. 1“ Madame B...., affectée
gré l’imminence de la mort, M. Sauvil-lez la magnétisa et obtint pour premier résultat le sommeil, dont la moribonde était priv
Au bout d’une quinzaine, les douleurs avaient recouvré leur intensité première ; nouvelles magnétisations, et guérison complète a
utes, et Dieu nous absoudra, car nous étions «dans l'ignorance. Notre premier tribut de reconnaissance « est pour Mesmer, le bi
95 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Ja- net sont des plus intéressantes nous voyons se présenter en première ligne toutes les formes, précises ou vagues, du
rêves agités, de vrais cauchemars qui se produisent dans la toute première période du sommeil et qui ont le caractère péni
nt souvent des syndrômes hystériques en rapport avec leur infirmité première . 1 On a constaté que les hystériques atteints d
loyant, on doit même, dirions-nous, réussir 't2 THÉRAPEUTIQUE. du premier coup. Sans doute un homme versé dans l'hypno- l
par semaine. Enfant peu développée pour son âge. 16 février 1893. Première hypnose suivie de la suggestion appropriée. Pas
u'il s'agit d'un enfant paresseux à se lever, n'obéissant pas aux premiers avertissements de sa vessie. La suite de l'observ
s pisser au lit, sentir le besoin et se réveiller. 45. Les quatre premiers jours de la semaine, maux de tête, épistaxis, v
circonstance aggravante qu'il a eu des accidents convulsifs dans sa première enfance. Malgré cela la guérison est prompte et
éjà arrivé à dix heures du soir. Jamais de maladies graves; dans sa première enfance, bronchites dont il ne se sent plus. Il
t. C'est venu sans cause connue. Elle urine une 28 THÉRAPEUTIQUE. première fois presque aussitôt couchée, et deux ou trois f
aura besoin, il le sentira et se réveillera aussitôt. » 18 Les cinq premières nuits sèches; les deux dernières mouillées. 2
t, on trouve de chaque côté deux zones d'anesthésie complète. Une première zone, zone cruro-fessière, qui comprend la partie
rmation postérieure du thorax ; 3° l'horizontalité des épaules. Les premier et troisième points sont simples et ne demanden
symptomatique, la névrasthénie propre et la névrose d'angoisse. Ce premier point établi, il range les influences étiologiq
té primigènes, autonomes, causes réelles de l'irritation spinale et premiers éléments d'un tabes par exemple. En tout cas, i
2 p. 100 de morphine); la première semaine, 0,20 par jour Jes trois premiers jours et 0,30 les quatre autres; la deuxième se
la région de Lyon, qui a été exceptionnellement brillant (les deux premiers candidats ayant obtenu 85 et 84 points sur 90),
'administration supérieure se montre absolument équitable, place au premier rang les services rendus ; à la condition aussi
patronage. FAITS DIVERS. Journalistique. Nous avons reçu les cinq premiers numéros de Archivio delle psicopatie sexuali, r
droit. Elles s'atténuent en remon- tant, laissant intactes les deux premières lombaires. Les racines sacrées présentent des a
one appelée communément, cornu- commissurale, qui répondent à notre premier système de fibres endogènes groupe antérieur ou
endogènes groupe antérieur ou à court trajet. L'établissement de ce premier groupe et sa nature endogène sont des mieux éta
la troisième racine lombaire, et dans leur cas à la hauteur de la première paire lombaire la zone cornu-commissurale est dég
pouvons que nous ranger à l'avis de ces auteurs. En résumé notre premier système représente un trajet com- missural cour
os. Les sinus sont gorgés de sang noir. La dure-mère présente au premier abord un aspect tendu et une coloration ardoisé
rougeâtre; elle n'adhère nulle part aux parties sous-jacentes. La première fortement injectée, rouge foncé, ecchymotique en
endemain, comme il était plus calme, on lui amputa le bras. Les dix premiers jours qui suivirent l'opération, il demeura dan
endant ces neuf mois, développement du corps régulier. A trois mois première crise épi- leptiforme, attaques très fréquentes
ne présentent point de signes de débilité mentale et dont la cause première de l'affection tient plutôt à un sentiment très i
leçons, résumant une année d'enseignement à la Salpêtrière. Cette première série de leçons est divisée en deux parties dis-
une galerie de la salle Poirel, rue Victor-Poirel. Soir, 2 heures : Première question du programme. Pathogénie et physiologi
istration de l'asile. Lundi 3 août. Matin, 9 heures : Discussion du premier rapport (suite). Soir, 2 heures : Deuxième ques
s autres, et assez bons pour les deux derniers. L'un des enfants du premier groupe a été transformé tant au point de vue ph
s utile de s'entendre sur la dénomination de la méthode. Dans notre premier travail nous l'avons appelée : gymnastique rais
chez les tabétiques par cette mé- thode de traitement. Dans notre premier travail sur le même sujet nous avons insisté su
pendant six ans 1 Dans l'OBSERVATION III, quoique moins brillante à première vue, l'àmélioration est pourtant encore plus re
abes qui défendent le traite- ment de Frenkel nous devons placer en première ligne les lé- sions articulaires. Nous avons pu
ations, avec dermographisme. * L'oedème, qui fait le sujet de notre première observation, est cet oedème bleu de Charcot qui
ordi- nairement, une sensation de chaleur qu'on retrouve dans le premier cas, et de froid dans le second. . Voici d'aill
nt au niveau de l'angle de la mâchoire, si bien qu'il semblerait, à première vue, qu'il y a une double adénopathie sous-maxi
« suffit d'avoir lu la description de Charcot pour le reconnaître à première vue et à distance », il n'en est pas de même de
ons qui favorisent les progrès et la science, ses fondateurs et ses premiers adhérents ont' décidé d'en ouvrir l'accès à ceu
de la périphérie de l'appareil sensoriel correspondant. La cause première de cette excitation peut résider dans l'appareil
bleu de Charcot. Raynaud, dans sa thèse inaugurale, en 1862, a le premier décrit une série de troubles circulatoires abouti
gangrène symétrique. L'asphyxie locale est, d'après l'auteur, le premier degré de la gangrène quoiqu'elle puisse également
semblent bien appar- tenir à la catégorie de .ceux ayant pour cause première un trau- matisme initial, mais avec cette circo
esure si douloureuse pour les familles. Nous voterons donc les deux premières conclusions du rapport. La loi distingue deux s
ivant la mère), une petite grosseur qui s'est développée peu à peu. Premières crises d'épilepsie à quinze ans, c'est-à-dire six
petit pécule qui lui permit de gagner la France et de subvenir aux premiers frais. Arrivé à Paris, il se fait conduire immé
accusés, et c'est surtout l'ensemble de la physionomie qui donne à première vue, sans qu'on puisse l'analyser nettement, l'
sur les phénomènes moteurs que nous venons de décrire, figurent en première ligne les in- fluences morales : la vue d'un in
es différencier de l'affection présentée par K... sont nombreux. En première ligne le début par les membres inférieurs et l'
pes musculaires qui y prennent part, ce sont là autant de signes de première impor- tance qui permettent, malgré certaines a
la sep- tième partie est une sorte d'annuaire des asiles. - ) . Première partie. Système d'Etat. Le gouvernement tend à
antageux, à tous les points de vue, de n'acheter que des denrées de première qualité. Constructions, réparations, etc. - Les
Constructions, réparations, etc. - Les hôpitaux d'Etat datent : le premier , de 1836; le deuxième, de 1857; le troisième, de
aux 60 ques- tions précédentes. Nous laisserons de côté les trois premières qui n'offrent pas d'in- térêt pour nous. 4. L
s aurions bien des remarques à faire sur différents points de cette première partie de l'analyse si intéressante de M. le D'
hystérique a été depuis longtemps observé et décrit. C'est Wilis le premier qui, en 1678, en a tracé un tableau clinique exac
c- tion non déterminée, mais de nature non syphilitique certaine. Première observation . - Femme, trente et un ans, non syph
ellement caractéristiques, qu'on fait ordinairement le diagnostic à première REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 299 vue et qu'o
ois cas DE HOQUET hystérique; clinique du Dr de Renzi, de Naples. Premier cas. Femme, vingt-neuf ans, mariée, tare nerveuse
de faire un long voyage pour se rendre dans cette ville. Le soir du premier jour de son entrée dans le service du Dr de Renzi
la pression le long de la colonne vertébrale, à la hauteur des cinq premières vertèbres spi- nales. Paresthésies. Fourmille
nt de sommeil. Ces accidents cessent brusquement. En février 1893 premiers symptômes d'ataxie. Troubles de la marche début
t des nuits entières sa femme était forcée de le consoler. En 1888, premières douleurs fulgurantes dans la peau des cuisses e
cts à ce point de vue les cas de paralysie générale des aliénés : Premier groupe. Caractérisé par la mydriase paralytique a
baires, pseudo-bulbaires, de la sclérose en plaques, est facile. Au premier abord un aphasique sensoriel peut passer pour u
, centre des images motrices d'articulation; partie postérieure des première et deuxième temporales centre des images auditi
connaissance, et quoiqu'il n'eût pas les violentes agita- tions des premières crises, il se roidissait et écumait. Je fis venir
ans demeurée arriérée par suite d'une méningite survenue dans la première enfance, et ayant en outre un bras et une jambe f
it mâché de grains d'avoine. Lejeune prévenu, qui n'en et pas à son premier vol, reconnaît en souriant avec fierté les fait
c, le moi, en se dédoublant tardivement ici, laisse l'individualité première non amoindrie, au contraire, la personnalité su
de ces observations empruntée à Morel en imposerait faci- lement à première vue, pour un délire religieux à systématisa- ti
traverse. DE L'HOSPITALISATION DANS LE LOIR-ET-CHER. 437 I Un des premiers soucis des administrations locales de la Révo-
r comte de Blois, etc. Deux points sont encore à signaler dans ce premier essai d'assis- tance aux aliénés. Malgré les se
a liberté » du soi-disant comte Thibaut. Telle est l'histoire de ce premier asile de Blois ; avant de s'arrê- ter sur le pl
t que ces améliorations devaient t être comprises dans les frais de premier établissement et à la charge du département, sa
ment construit dans les jardins du bureau de bienfaisance. Article premier . Les individus admis jusqu'à ce jour, à titre d
curité, grâce à la négligence des faiseurs de tables, six études de première importance d'ailleurs mal divisées. 1° Pathol
du tambour, à la première apparition des phénomènes de névrite, aux premières douleurs musculaires. Il donne aussi une nouvel
s'est effectué des embolies daus la sylvienne gauche dont les trois premières branches corticales, et peut-être aussi celles
s dans le texte. Saint-Pétersbourg, chezRicker, 1896.) Dans cette première partie de son ouvrage M. Bechtereff étudie les
surveillance du dortoir du rez-de-chaussée et des deux dortoirs du premier ; si elle est retenue auprès d'une malade, elle ne
Le couloir des cellules du rez-de-chaussée et celui des cellules du premier étage étaient garnis sur presque toute leur étend
ender leur folie s'aggrave. « Dans le dortoir des agitées, situé au premier étage, nous avons retrouvé le même spectacle qu
9 heures du matin ci 10 heures du soir. 11, rue de Bavière, 11, au premier . Liège (Outre-Meuse).] Les charlatans et les so
96 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ue du Mardi 23 Octobre 1888 COURS DE M. CHARCOT ANNÉE IS88-18S9 PREMIÈRE LEÇON . OBJET : 1° et 2° Bâillement hystériqu
essants et dont vous n'auriez sans doute pas soupçonné l'existence au premier abord. C'est ce dont vous deviendrez convaincus,
D..u! » — Une jeune fille âgée de quinze ans, appartenant à l'une des premières familles de la ville deX..., jeune fille fort bie
psychiques quelquefois bien effacées, des qualités intellectuelles de premier ordre. M. Ciiarcoï (au malade) : Voulez-vous no
liée en 1886 était restée absolument ignorée de M. Gharcot lors de sa première observation sur ce sujet, laquelle date de septem
a sciatique, in Archiv. générales de Médecine, p. 585, 1864, t. II. premier chef, et bienfaisante en proclamant une fois de p
son nom. Nous voilà conduits bien loin de notre point de départ; au premier abord, notre homme nous paraissait placé uniqueme
ici de l'hémiplégie vulgaire de cause organique qu'il s'agit et cette première impression se trouvera confirmée par tout ce qui
de recueillir de la bouche du malade des renseignements relatifs aux premiers effets de la blessure ; il nous apprend qu'il est
qui se produisent en conséquence du choc local ne se réalisent pas du premier coup, en général. Elles n'apparaissent qu'à la su
urée, n'est pas aussi considérable qu'on serait tenté de le croire au premier abord. Sur ce sujet vous consulterez peut-être av
us avons actuellement sous les yeux, le diagnostic se pourra faire du premier coup, car la résolution complète, absolue des mem
et à la suite d'un interrogatoire même très sommaire, il devient, du premier coup, éminemment vraisemblable que la cause à inv
nts de notre malade. C'est un garçon d'environ 27 ans, né à Paris, au premier abord d'assez chétive apparence ; mais il affirme
rs, nous croyons pouvoir affirmer, en nous fondant sur l'histoire des premières périodes de la vie de notre malade qu'il a été fr
ngtemps sous vos yeux. Je vous l'ai annoncé comme un choréique ; au premier abord vous pourriez ne m'en pas croire tant sont
tuellement par un souffle assez rude siégeant à la pointe du cœur, au premier temps. Les grands mouvements choréiques se sont
t du Siège » et qu'il est le dernier de quatre enfants dont les trois premiers sont morts en bas âge. Avec une telle hérédité,
ce genre. Il ne représente pas, sans doute, dans l'espèce, un fait de première gravité; les accidents nerveux dont souffre notre
,que jamais je ne pourrai rentrer dans la compagnie puisque, comme au premier jour, je suis émotif, vertigineux, sans volonté e
plus haut, presque tous les muscles qui ont été frappés, l'ont été du premier coup, au plus haut degré, de telle sorte que l'on
de sa maladie. A la malade : Veuillez nous parler, je vous prie des premières douleurs que vous avez éprouvées. La malade : V
de fixer le diagnostic à une époque où la maladie en est encore à ses premiers commencements. Il y a bien longtemps, messieurs,
je me suis efforcé d'appeler l'attention sur cet ordre de faits ; mes premières études à cet égard remontent en effet à l'année 1
l pendant fort longtemps encore alors que déjà la perception des deux premières couleurs a cessé d'exister. D'après les nombreuse
r la sclérose en plaques. Seulement ici, c'est l'hystérie quiparaîtau premier abord dominer la situation et masquer l'autre élé
es autres couleurs est complètement effacée; tandis que dans les deux premiers cas c'est nécessairement la notion du rouge et ce
cts. 2. Voir Leçons du mardi 1888-89. Leçon d.u 11 décembre 1888, première , tantôt la seconde qui ouvre la marche. Bien souv
u point que la marche lui était devenue très difficile. J'avoue qu'au premier abord, à entendre ce récit, notre impression avai
it même craindre que les membres supérieurs, épargnés dans la maladie première , ne participassent cette fois dans une certaine m
écède, que le pronostic est moins grave qu'il ne paraissait l'être au premier abord, car, en somme, ainsi que je l'ai déjà proc
une grande échelle par la voie nautique. Ces préliminaires qui, au premier abord, paraissent étrangers à la cause, sont dest
ngue (1), de la mobilité des vertèbres peut donner des indications de premier ordre. On sait qu'à l'état normal lorsque le tr
conseils éclairés par une compétence spéciale en la matière, dans nos premiers essais. Avant de procéder à l'exposé des résult
maintenant, parfois à peine perceptibles. Le traitement, après ces premiers résultats encourageants, a été continué et le nom
cle doit être placée en dehors. Il est parfois nécessaire, lors des premières séances, chez les individus sensibles, trop gros
tête en place. 11 reste encore à placer les pièces des aisselles ; au premier abord elles pourraient sembler de peu d'importanc
connaître, dans un court exposé, ce qui est advenu chez les autres. Premier malade.— Voici d'abord un homme vigoureux, âgé de
au gros orteil du côté gauche que la douleur s'est localisée, lors du premier accès, puis ça a été le tour de l'articulation mé
celle qui s'était produite il y a deux ans, lors de l'apparition des premiers sifflements d'oreille et des premiers symptômes d
x ans, lors de l'apparition des premiers sifflements d'oreille et des premiers symptômes d'obnubilation auditive. Cette fois enc
u dès l'origine ; sans quoi, il ne manquerait pas de se soustraire du premier coup à toute discipline. Prévenez-le, avec autori
discipline. Prévenez-le, avec autorité, qu'il ne doit pas céder à ses premières impressions, et qu'il lui faudra passer outre ; e
ncé. Il ne s'était produit aucune amélioration sensible pendant cette première période. On recommença l'emploi du sulfate de q
genre, autant cela est difficile, au contraire, lorsqu'il s'agit des premiers . Ainsi, chez notre malade, si j'en juge par une e
us, et dont la maigreur extrême n'a pas manqué de frapper vos yeux du premier coup. Cette maigreur, jointe aux quelques autres
pulmonaire à évolution rapide. Nous verrons dans un instant si cette première impres sion sera justifiée par l'étude du cas.
des- membres inférieurs que nous avons rencontrée déjà chez nos deux premiers sujets à des degrés divers, et que nous retrouver
ussitôt elle est devenue raide, comme les autres fois. A partir des premières tentatives d'hynoptisation,P... était devenue tri
i l'occasion de revenir : j'en viens actuellement à l'examen de notre premier malade. Il offre, vous disais-je, un exemple de n
rte, procédé du même pas. Cependant la céphalée remonte peut-être aux premiers jours qui ont suivi l'accident, seulement elle s'
ue des douleurs fulgurantes tabétiques. Procédons, et voyons si cette première impression se trouve justifiée par le concours d'
re pour combattre la contracture, et remettre les choses dans l'ordre premier ? Certes, les moyens proposés ne manquent pas: ai
ait pendant la nuit 1. "Voir pour plus de détails, relativement aux premières crises, la Leçon du 31 janvier 1888, p-156 et sui
. Ciiarcot : Ah oui, c'est juste : vous avez dû remarquer que dans sa première crise, il lui a semblé que pendant sa fugue, il a
abord, puis plus tard tous les trois ou quatre mois. Durant les trois premières années, les médecins consultés se sont invariable
ers (2). Là, dans ma description, les crises gastriques figurent au premier rang àcôté d'autres troubles viscéraux du même or
ise gastrique ne constituée i, jamais un épisode unique; l'apparition première d'une de ces ^crises II doit toujours faire prévo
suis aperçu, monsieur, que j'avais la voix rauque et basse lors de ma première crise, c'est-à-dire à la fin de 1883. M. Charco
régions... S'adressant au malade : A quelle époque avez-vous eu la' première de ces grandes crises de larynx qui quelquefois v
ans ce voyage pédestre qui n'a pas duré moins de cinq jours. Les deux premiers jours il a dû marcher sous une pluie battante, à
ontracture spasmodique du membre supérieur droit date, paraît-il, des premiers jours qui ont suivi la journée du 2 août. A cette
e la sensibilité de ce genre aussi accentués et ainsi disposés. Cette première impression sera confirmée d'ailleurs par tout ce
xistence d'un travail inflammatoire. On sait que la boiterie date des premiers jours de la maladie ; dans ce temps-là les douleu
. Après cela, il importe, en manière de contraste, défaire figurer au premier rang, dans la caractéristique du syndrome, la con
che qui, soutenu par sa nourrice, s'exerce gauchement à esquisser ses premiers pas. Ces faits-là constitueront ce que j'appeller
ervée dans notre cas? C'est ce qu'il nous faut examiner maintenant. A première vue et sans y regarder de plus près, la localisat
ses chèvres ; ce sont donc les muscles de la face qui ont été pris en premier . Aujourd'hui, l'atrophie porte sur les muscles de
considérablement prostré, affaibli; si on ne lui donnait pas alors sa première injection, il serait incapable de se lever. A 1
eux, en général bénins et de courte durée, parmi lesquels figurent au premier rang les paralysies. Mais quels sont exactement l
soin d'émettre cette hypothèse : elle sera naturellement repoussée du premier coup. » A l'heure qu'il est, on ne saurait plus a
3° Même forme chez un vieillard de 75 ans. Messieurs, Dans notre première leçon du mardi de la présente année scolaire (1),
eune, ce sont des mouvements brusques, saccadés que l'on observe : au premier abord, cela ne saute pas aux yeux, il faut è*,re
t fait à 33 ans seulement, tandis que les tics, en général, font leur première apparition dans l'enfance ; que notre malade comp
us permettre de reconnaître que les ressemblances qui paraissaient au premier abord les rapprocher étroitement, sont tout extér
he, qui, soutenu par sa nourrice, s'exerce gauchement à esquisser ses premiers pas ». Je vous ai proposé, vous ne l'avez peut-êt
il est parfaitement établi par le récit du malade que, lors de cette première atteinte, les membres inférieurs, qui, lorsqu'il
ir du lit, mais l'astasie s'était reproduite dans toute son intensité première et, aujourd'hui, nous retrouvons, après huit mois
fonctions vésicales. Le malade se tient debout parfaitement, et, au premier abord, dans cette attitude rien d'anormal ne s'ob
à la formation d'une cavité dans la substance grise spinale. 1° En premier il y a lieu de signaler, dès à présent, comme con
ultze »,ditM. Kahler son émule dans la poursuite de ces études, « aie premier appelé l'attention sur la combinaison de l'atroph
sions thermiques. Ainsi,déjà en 1886, deux ans après l'apparition des premiers symptômes amyotrophiques, un jour qu'il se chauff
eminée, il laissa se produire sur l'une de ses jambes, une brûlure au premier degré. Plus tard, alors qu'il était placé dans le
rsque dans les premiers jours de novembre, il eut ce qu'il appelle sa première « attaque de nerfs ». Un jour, vers 6 heures du
rise »,appelle auprès d'elle la femme du malade. Au sortir de cette première attaque, Glaw... remarqua que sa jambe et son bra
es. Depuis lors tous les troubles que présentait le malade lors de sa première attaque ont persisté sans se modifier le moins du
provoquée par la foudre (Sensibilité).. . 546 TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE LEÇON Pages 1° et 2°. Bâillement hystérique (
97 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
re, et fis connaître à Mme B..., qui ne s'en souvenait aucunement, ma première visite et la provocation du sommeil hypnotique.
quand vers la fin de 1885 éclata une forte crise de delirium. A cette première crise qui céda aux moyens ordinaires succéda, en
t dans sa guérison, je pus constater qu'il n'avait aucun souvenir des premiers moments de notre entrevue. Après quelques minutes
éty désigne sous le nom de Force neurique rayonnante. Il semble, au premier abord, que tienne soit plus facile que de tranche
ative qui menace l'avenir de l'enfant. Un jeune homme, sorti l'un des premiers d'une école du gouvernement, m'a fait à cet égard
nerveux plus ou moins dans la voie de l'hystérie. Elle-même, dès sa première jeunesse, a présenté des convulsions qui, a l'épo
ntégrité de ses facultés intellectuelles, à qui la jugerait sur cette première impression. Mais poursuivez l'examen, mettez en
ication : 1° Une jeune femme de 22 ans, très hypnotisable depuis sa première jeunesse, accouche pour la première fois. Aband
période de la dilatation du col. elle supporte très impatiemment ses premières douleurs, avec les exagérations propres à sa cons
bregmatique et je produisis de la somno-lence. Il résulta de cette première séance une douleur vive dans la région breg-manqu
t du temps, qu'une manifestation de la suggestion des milieux ?. Au premier examen, la question semble paradoxale. Mais, si,
ce. A peine au lendemain de sa naissance, avant même l'apparition des premières lueurs intellectuelles, il est l'objet des sugges
C'est la raison du plus fort exercée sans entrave, c'est le droit des premiers occupants appliqué sans correctif possible et l'o
'état de veille, comme à l'état de sommeil dans nos rêves, un rôle de premier ordre, et qui constitue par conséquent un des cha
ses yeux une hypothèse simple, presque enfantine, et qui satisfait au premier abord par son extrême simplicité. Le chapitre c
t justice de cette hypothèse par cette seule observation que c'est du premier coup que nos sujets atteignent leur maximum de se
cendie. Il y a lieu de modifier la loi, de placer les distilleries en première catégorie et d'obliger les propriétaires à désinf
rd une lettre de sa femme, qui écrivait : « J'ai été bien effrayée au premier moment de l'arrivée inopinée de mon mari, mais il
sse éner-giquement toute autre boisson que l'eau. » Quant aux trois premiers , ils furent bientôt libérés et quittèrent l'asile
possibles, les plus indignes, pour me faire offrir un verre, etc. » Première séance d'hypnotisme, le 28 mars 1887. — Je fais f
éance d'hypnotisme du jour précédent. Cinquième séance, 14 avril. — Premiers phénomènes de catalepsie suggestive des membres,
ister, elle a des règles trop copieuses et trop fréquentes. Avant son premier accouchement, elle était réglée tous les vingt et
le caractère s'est considérablement modifié, elle obéit maintenant du premier coup et sait se dominer pour faire ce qu'elle veu
crime ou un délit. Ce que l'on peut surtout redouter en laissant au premier venu le droit de se livrer i des pratiques d'hypn
e lois question de taire enfermer Mme N... dans un asile d'aliénés. Première séance d'hypnotisme, le 20 juin. — La malade mani
actuellement dans la ménopause et offre quelques troubles utérins. Première séance d'hypnotisme, le 20 juillet. — Nul effet.
juin et juillet 1887). Somnambulisme provoque, parue depuis notre première communication, il déclare que, pour sa part, il e
contraction des muscles sous-jacents. Peu après la publication des premières recherches de Charcot, la question de l'hypnotism
tant par des vertiges avec démence ou affaiblissement intellectuel au premier degré et perversion des instincts. 2° C'est sou
connaissant la substance en question, il en est qui, frappés par ces premières manifestations, trahissent leurs sentiments par l
a tirer de son immobilité. Une fois revenue à elle, Berthe répond aux premières questions du commissaire en déclarant qu'elle ne
ncien ami de M. Laurenty. savant connu, voyageur infatigable, qui. au premier appel, accourt du fond du Pérou. Grâce à son appu
tement le docteur Barillot, directeur du Journal de l'Hypnotisme. A première vue, le docteur déclare qu'il n'y a rien de grave
rait comme maniaque et où il aurait le loisir de la voir. Une fois ce premier résultat acquis, et ce devait être facile, grâce
soude. Les phénomènes annoncés se produisent. Deux mois après cette première expérience, M. Voisin endort de nouveau sa malade
use. J'ai recueilli jusqu'à ce jour i3i cas de pelade : 100 avant mon premier mémoire et 31 depuis. L'investigation faite par t
ésultat positif. Je ne serais pas revenu sur les conclusions de mon premier travail, si je n'avais pas constaté encore tout d
uer ce qui se rapporte à cette question unique (1). Dans ces treize premières expériences, j'avais seulement cherché à donner à
des de Mme B... depuis le 26 décembre jusqu'au 12 janvier (date de ma première expérience). Elle demeurait dans une soupente et,
à 9 heures, descendait dans l'appartement de M. X... pour prendre son premier déjeuner. De 9h. 15 à midi 15 environ, dans une p
lle dînait et, quelque temps après son dîner, remontait se coucher. Première expérience. — Je sors de chez moi le mercredi 12
alors m'a parle et je ne sais pas ce que je lui ai répondu. » Cette première expérience était donc un insuccès, puisque l'état
ure pour aller faire quelques emplettes. Elle arrive à 3 h. 51 et son premier mot à C..., qui lui ouvre, avant qu'elle sache qu
à terme. Antécédents personnels. — Parle à un an, marche à 15 mois. Première dent à 10 mois. A 2 ans, elle commence à avoir de
e au jardin pendant cinq ou six jours et y fasse quelques pas. A ma première visite, fin septembre 1887, je trouve une personn
es correspondent, à peu près, à ce que peut faire un de nos élèves en première , troisième, cinquième et septième années. Le dern
a Société médico-psychologique, le lundi 3o janvier 1888. Dans sa première enfance, elle éprouva une grande frayeur à la vue
a deux jours et deux nuits sans qu'on parvînt à l'éveiller. Ce fut sa première attaque de sommeil Elle rentra à Genève et, dès
ble aux étincelles sur le bras et la jambe gauches. Elle se récria au premier abord, mais j'insistai, en répétant de plus en pl
ours le même ; ses nuits très mauvaises. Je l'hypnotise facilement du premier coup en lui fermant les yeux avec deux doigts et
, la mouette, l'oie, le cygne, la perdrix blanche, le ptarmigan. En première ligne des quadrupèdes qui foulent ces terres déso
e, de — o°) sur le développement et sur l'équilibre de l'organisme? Première remarque : l'évolution de l'animal, — de même que
cord sur ce point, c'est que l'ingestion de neige et de glace qui, au premier abord, sembleraient là comme à point pour l'assou
de mes lecteurs qui lisent la Revue philosophique savent que j'ai, ie premier , fait connaître une méthode infaillible (elle l'a
Mademoiselle rentrera dans deux ou trois heures, vous irez ouvrir au premier coup de sonnette. » Sans bouger, elle murmura un
leurs sujets un sommeil qui les fatigue, c'est bien leur faute. Leur premier sujet les aura entraînés dans cette mauvaise voie
t dans l'état second ne se rappellent plus leurs douleurs dans l'état premier : on peut conclure à tort de cette absence de mém
ent presque immédiatement après l'application des tubes. Dans cette première séance, la commission vit se reproduire sous ses
Sur les chagrins d'amour, que beaucoup ont jugé à propos de mettre en première ligne,, le sceptique Bernuts fait ses réserves. «
aste par son insouciance avec l'artificielle suractivité de celui des premières . » « Je tiens d'un médecin de Wilna, écrit po
e le 31 janvier 1880. Elle est endormie rapidement et en léthargie. Première suggestion: Me dire le lendemain le nom de la boi
sionomie un nouveau cachet. Le caractère s'est modifié; elle obéît du premier coup et ne fait plus de résistance opiniâtre. La
nd la stupéfaction des assistants ; aussi, quand le Cheikh réclama sa première victime, quelques hésitations se produisirent-ell
3 h. 1/2), mille fois au mar'reb coucher du soleil) et mille fois au premier a'cha (8 h. 1/2). A la hadhra. séance, ce ne so
e la pratique de l'hypnotisme ne soit plus laissée entre les mains du premier venu. La section d'hygiène et de médecine publi
. Et c'est ici que les habitudes d'esprit de chacun jouent un rôle de premier ordre dans la décision qui intervient. I.a sévéri
ratique de l'hypnotisme ne devait pas être laissée entre les mains du premier venu. Un ou deux orateurs ont tenté de défendre
va-t-on nous dire. Nous n'en disconvenons pas. C'est la suggestion au premier degré, celle que tout boa maître emploie, comme
stives sont normales. Au cœur, nous avons trouvé un souffle doux au premier temps avec maximum à la base. Quelquefois, l'enfa
étudier, par une observation continue, le développement psychique des premières années de l'enfant. Mais la méthode d'observation
, en quelque sorte, succombé à la peine: quelques-uns avaient eu leur première attaque au moment où ils venaient d'être maltrait
erveuse de tous les instants. Les professions dites libérales sont au premier rang, parmi celles-là. « La suractivité mentale s
lusieurs mois et ne se réveillent qu'au printemps, à l'apparition des premiers chauds rayons du soleil. M. le professeur Charc
98 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
re, et fis connaître à Mme B..., qui ne s'en souvenait aucunement, ma première visite et la provocation du sommeil hypnotique.
quand vers la fin de 1885 éclata une forte crise de delirium. A cette première crise qui céda aux moyens ordinaires succéda, en
t dans sa guérison, je pus constater qu'il n'avait aucun souvenir des premiers moments de notre entrevue. Après quelques minutes
éty désigne sous le nom de Force neurique rayonnante. Il semble, au premier abord, que tienne soit plus facile que de tranche
ative qui menace l'avenir de l'enfant. Un jeune homme, sorti l'un des premiers d'une école du gouvernement, m'a fait à cet égard
nerveux plus ou moins dans la voie de l'hystérie. Elle-même, dès sa première jeunesse, a présenté des convulsions qui, a l'épo
ntégrité de ses facultés intellectuelles, à qui la jugerait sur cette première impression. Mais poursuivez l'examen, mettez en
ication : 1° Une jeune femme de 22 ans, très hypnotisable depuis sa première jeunesse, accouche pour la première fois. Aband
période de la dilatation du col. elle supporte très impatiemment ses premières douleurs, avec les exagérations propres à sa cons
bregmatique et je produisis de la somno-lence. Il résulta de cette première séance une douleur vive dans la région breg-manqu
t du temps, qu'une manifestation de la suggestion des milieux ?. Au premier examen, la question semble paradoxale. Mais, si,
ce. A peine au lendemain de sa naissance, avant même l'apparition des premières lueurs intellectuelles, il est l'objet des sugges
C'est la raison du plus fort exercée sans entrave, c'est le droit des premiers occupants appliqué sans correctif possible et l'o
'état de veille, comme à l'état de sommeil dans nos rêves, un rôle de premier ordre, et qui constitue par conséquent un des cha
ses yeux une hypothèse simple, presque enfantine, et qui satisfait au premier abord par son extrême simplicité. Le chapitre c
t justice de cette hypothèse par cette seule observation que c'est du premier coup que nos sujets atteignent leur maximum de se
cendie. Il y a lieu de modifier la loi, de placer les distilleries en première catégorie et d'obliger les propriétaires à désinf
rd une lettre de sa femme, qui écrivait : « J'ai été bien effrayée au premier moment de l'arrivée inopinée de mon mari, mais il
sse éner-giquement toute autre boisson que l'eau. » Quant aux trois premiers , ils furent bientôt libérés et quittèrent l'asile
possibles, les plus indignes, pour me faire offrir un verre, etc. » Première séance d'hypnotisme, le 28 mars 1887. — Je fais f
éance d'hypnotisme du jour précédent. Cinquième séance, 14 avril. — Premiers phénomènes de catalepsie suggestive des membres,
ister, elle a des règles trop copieuses et trop fréquentes. Avant son premier accouchement, elle était réglée tous les vingt et
le caractère s'est considérablement modifié, elle obéit maintenant du premier coup et sait se dominer pour faire ce qu'elle veu
crime ou un délit. Ce que l'on peut surtout redouter en laissant au premier venu le droit de se livrer i des pratiques d'hypn
e lois question de taire enfermer Mme N... dans un asile d'aliénés. Première séance d'hypnotisme, le 20 juin. — La malade mani
actuellement dans la ménopause et offre quelques troubles utérins. Première séance d'hypnotisme, le 20 juillet. — Nul effet.
juin et juillet 1887). Somnambulisme provoque, parue depuis notre première communication, il déclare que, pour sa part, il e
contraction des muscles sous-jacents. Peu après la publication des premières recherches de Charcot, la question de l'hypnotism
tant par des vertiges avec démence ou affaiblissement intellectuel au premier degré et perversion des instincts. 2° C'est sou
connaissant la substance en question, il en est qui, frappés par ces premières manifestations, trahissent leurs sentiments par l
a tirer de son immobilité. Une fois revenue à elle, Berthe répond aux premières questions du commissaire en déclarant qu'elle ne
ncien ami de M. Laurenty. savant connu, voyageur infatigable, qui. au premier appel, accourt du fond du Pérou. Grâce à son appu
tement le docteur Barillot, directeur du Journal de l'Hypnotisme. A première vue, le docteur déclare qu'il n'y a rien de grave
rait comme maniaque et où il aurait le loisir de la voir. Une fois ce premier résultat acquis, et ce devait être facile, grâce
soude. Les phénomènes annoncés se produisent. Deux mois après cette première expérience, M. Voisin endort de nouveau sa malade
use. J'ai recueilli jusqu'à ce jour i3i cas de pelade : 100 avant mon premier mémoire et 31 depuis. L'investigation faite par t
ésultat positif. Je ne serais pas revenu sur les conclusions de mon premier travail, si je n'avais pas constaté encore tout d
uer ce qui se rapporte à cette question unique (1). Dans ces treize premières expériences, j'avais seulement cherché à donner à
des de Mme B... depuis le 26 décembre jusqu'au 12 janvier (date de ma première expérience). Elle demeurait dans une soupente et,
à 9 heures, descendait dans l'appartement de M. X... pour prendre son premier déjeuner. De 9h. 15 à midi 15 environ, dans une p
lle dînait et, quelque temps après son dîner, remontait se coucher. Première expérience. — Je sors de chez moi le mercredi 12
alors m'a parle et je ne sais pas ce que je lui ai répondu. » Cette première expérience était donc un insuccès, puisque l'état
ure pour aller faire quelques emplettes. Elle arrive à 3 h. 51 et son premier mot à C..., qui lui ouvre, avant qu'elle sache qu
à terme. Antécédents personnels. — Parle à un an, marche à 15 mois. Première dent à 10 mois. A 2 ans, elle commence à avoir de
e au jardin pendant cinq ou six jours et y fasse quelques pas. A ma première visite, fin septembre 1887, je trouve une personn
es correspondent, à peu près, à ce que peut faire un de nos élèves en première , troisième, cinquième et septième années. Le dern
a Société médico-psychologique, le lundi 3o janvier 1888. Dans sa première enfance, elle éprouva une grande frayeur à la vue
a deux jours et deux nuits sans qu'on parvînt à l'éveiller. Ce fut sa première attaque de sommeil Elle rentra à Genève et, dès
ble aux étincelles sur le bras et la jambe gauches. Elle se récria au premier abord, mais j'insistai, en répétant de plus en pl
ours le même ; ses nuits très mauvaises. Je l'hypnotise facilement du premier coup en lui fermant les yeux avec deux doigts et
, la mouette, l'oie, le cygne, la perdrix blanche, le ptarmigan. En première ligne des quadrupèdes qui foulent ces terres déso
e, de — o°) sur le développement et sur l'équilibre de l'organisme? Première remarque : l'évolution de l'animal, — de même que
cord sur ce point, c'est que l'ingestion de neige et de glace qui, au premier abord, sembleraient là comme à point pour l'assou
de mes lecteurs qui lisent la Revue philosophique savent que j'ai, ie premier , fait connaître une méthode infaillible (elle l'a
Mademoiselle rentrera dans deux ou trois heures, vous irez ouvrir au premier coup de sonnette. » Sans bouger, elle murmura un
leurs sujets un sommeil qui les fatigue, c'est bien leur faute. Leur premier sujet les aura entraînés dans cette mauvaise voie
t dans l'état second ne se rappellent plus leurs douleurs dans l'état premier : on peut conclure à tort de cette absence de mém
ent presque immédiatement après l'application des tubes. Dans cette première séance, la commission vit se reproduire sous ses
Sur les chagrins d'amour, que beaucoup ont jugé à propos de mettre en première ligne,, le sceptique Bernuts fait ses réserves. «
aste par son insouciance avec l'artificielle suractivité de celui des premières . » « Je tiens d'un médecin de Wilna, écrit po
e le 31 janvier 1880. Elle est endormie rapidement et en léthargie. Première suggestion: Me dire le lendemain le nom de la boi
sionomie un nouveau cachet. Le caractère s'est modifié; elle obéît du premier coup et ne fait plus de résistance opiniâtre. La
nd la stupéfaction des assistants ; aussi, quand le Cheikh réclama sa première victime, quelques hésitations se produisirent-ell
3 h. 1/2), mille fois au mar'reb coucher du soleil) et mille fois au premier a'cha (8 h. 1/2). A la hadhra. séance, ce ne so
e la pratique de l'hypnotisme ne soit plus laissée entre les mains du premier venu. La section d'hygiène et de médecine publi
. Et c'est ici que les habitudes d'esprit de chacun jouent un rôle de premier ordre dans la décision qui intervient. I.a sévéri
ratique de l'hypnotisme ne devait pas être laissée entre les mains du premier venu. Un ou deux orateurs ont tenté de défendre
va-t-on nous dire. Nous n'en disconvenons pas. C'est la suggestion au premier degré, celle que tout boa maître emploie, comme
stives sont normales. Au cœur, nous avons trouvé un souffle doux au premier temps avec maximum à la base. Quelquefois, l'enfa
étudier, par une observation continue, le développement psychique des premières années de l'enfant. Mais la méthode d'observation
, en quelque sorte, succombé à la peine: quelques-uns avaient eu leur première attaque au moment où ils venaient d'être maltrait
erveuse de tous les instants. Les professions dites libérales sont au premier rang, parmi celles-là. « La suractivité mentale s
lusieurs mois et ne se réveillent qu'au printemps, à l'apparition des premiers chauds rayons du soleil. M. le professeur Charc
99 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
e balancent paisiblement dans le ciel, et qui, sans doute, abrita nos premiers parents. C’est avec hésitation que nous avons ren
t de la science divine comme de l’universitaire : celle-ci se vend au premier venu, l’autre, plus pure, s’accorde à l’esprit si
er dans cette route ouverte. Mon Essai philosophique est sorti de mes premiers aperçus ; il eût fallu poursuivre. Quoi qu’il en
it-ce que pendant un moment. Peut-il transmettre ces connaissances au premier venu? Non, il ne serait point compris : il parle
a publicité. Le nom des nouveaux actionnaires sera, comme celui des premiers , inscrit sur la liste générale publiée dans le Jo
uvre, en feront la demande. 2° A partir de ce jour, le prix des six premiers volumes de la collection est réduit de moitié en
as que j'ai opérés, cl il n’y en a pas eu moins d’une douzaine, cette première douleur n'a jamais été sentie. Les malades ne s
on. Je n'ai pas réussi dans une douzaine de cas successifs depuis mes premières et heureuses expériences avec l’éther, et certes
eau. Aucun tremblement ne fut perceptible dans le corps du malade, du premier au dernier moment. Après qu'on l’eut bien lavé,
ffre depuis cinq ans d’un rhumatisme, qui, dans les trois ou quatre premiers mois, était accompagné d’une fièvre quotidienne q
nt etgénéralement une heure par jour, il n’a rien ressenti les quatre premiers jours durant la magnétisation ; mais les articula
ci à quelques mois la propagation magnétique aura repris son activité première . Le bureau, élu en séance annuelle, se compose,
ies de l’Électricilé, tome 11, p. 500. autres chiens succédèrent au premier , et éprouvèrent le même sort : la guérison était
avec chacune d’elles, il éprouva tous les symptômes d’une phlhisie au premier dé-gré : ce ne fut probablement qu’à sa forte con
s le décès de chacune de ces deux malades, il recouvra promptement sa première santé. Presque toutes les inflammations des mem
semble les abandonner que par caprice, et tantôt les foudroie dès ses premières atteintes , tantôt les enlève après de longues et
ce moment, n’importe d’ailleurs quelle que soit leur nature. Un des premiers et des plus grands symptômes du choléra est dans
oup ; elle a scs mystères, ses difficultés, et lorsque nous vîmes nos premiers essais parodiés dans leur reproduction, nous savi
us attendons des détails directs et plus complets. BIBLIOGRAPHIE. PREMIERS PRINCIPES DE MÉDECINE, par le Dr À. IîiLi.mr.; tr
emande alors la baguette de cristal dont il se sert d’habitude, comme premier rapporteur, pour introduire avec succès le fluide
epôt le traitement simultané des deux malades. 1° Anne Chaigneau. Première séance. — Après deux heures et deihie de magnétis
a catalepsie cessa comme les jours précédents. 2° Marie Rivierre. Première séance. — M. Gravé, après la magnétisation ci-des
matin relève doucement la tige penchée, et qui ouvrant son calice aux premiers rayons du soleil, s’épanouit lentement aux regard
t. — On vient de trouver à Paris un manuscrit du Dr Wurtz, l’un des premiers élèves de Mesmer, traitant du magnétisme. Il est
ngliohaire, et certes le magnétisme revendique ;t juste titre une des premières places. Des faits sortis de nos mains sont là d’a
connu ne possède la propriété. C’est dono ici que s’arrête l’analogie première , et qu’on doit reconnaître dans le fluide magné
ns fortement intéressé, soit spontanément, soit par suite d’une cause première inhérente aux organes. « 2" Que son action, com
e les organes principaux de la vie, ceux qu’on désigne sous le nom de premières voies, ne sauraient être affectés par le magnétis
urelle du sujet. L’organisme de celui-ci se montre-t-il rebelle aux premiers essais, l’action magnétique est alors soutenue pe
i vive, cette ardente charité, cette religieuse espérance, conditions premières de succès, dont leur sacré caractère et le dégage
s de l’âme humaine, ces perceptions presque divines que Puységur le premier nous révéla. « Toutes ces prétendues connaissan
cas de chirurgie, puis ceux de médecine. § 1. — CAS DE CH1HUHGIX. Première Observation. Muneeroodeen, âgé de trente ans, e
re expérience , quoique très-extraordinaire, ne pourrait pas être, au premier coup d’œil, considérée comme impossible par les i
Il ne s’agit pas ici d'ün écrivain plus ou moins obscur; b’est un des premiers physiologistes, le professeur de l’Université de
qu’elle veut lui imposer; bien plus, qu’elle lui rend personnelles. Première expérience. Dans une séance récente, M. du Pote
re, il fut indifférent à toutes les épreuves d’insensibilité, sauf au premier contact d’un charbon ardent, qu’il ne sentit poin
miens), Histoire académique du. Magnétisme animal, pag. S et G. (2) Premier Mémoire de Mesmer, proposition 1, p. 12 des Mémoi
ima ntés (5). « Ainsi, théorie ou pratique, tout dans le mes- (1) Premier Mémoire de Mesmer, p. 113, aphorisme 80. (2) Jt
le docteur étranger eut en lui un impétueux et utile auxiliaire, l u premier mémoire apprit au public les cures merveilleuses
apport et discussions sur le Magnétisme animal, note 1, p. 220. (2) Premier Mémoire de Mesmer, p. 53. concilier à Mesmer l'
êt, qui ne laisseraient aucun doute sur la localisation du cerveau. Premier cas. J’ai signalé, dans un article précédent (i
gt;eau. Remue cette poussière, Tu n’y trouveras rien De ma beauté première . 455 llegante Ilion : Dans cc mominicnl,
c’est le troisième cas qu’il traite par le magnétisme. Dans les deux premier », il avait magnétisé seul, et avait obtenu la ces
trésorier. Les cihq autres membres conservent leurs attri-btitiôns premières . Le comité et le conseil d’administration ainsi
édique de /louillnn , n" de février et de mai 1784, p. 127 et 12!) du premier , 10!* du second, des expériences faites à l’aide
ur le disque mobile : et aussitôt c.elui-ci s’écartait brusquement du premier , je le maintenais éloigné, el quelquefois même à
iques, astronomiques, physiques el chimiques, rédigé par M. Saigcy. — Première section du Bulletin universel des sciences et de
les caprices ou la loi du principe spirituel qui nous anime. Dès nos premiers pas nous cherchâmes également. Lorsque nous vîmes
e. Les esprits avides du merveilleux s’emparent avec enthousiasme des premiers faits, ils les commentent, les exaltent; mais le
vait les rendre malades ou les guérir. Corneille Agrippa est un des premiers philosophes hermétiques qui ait fait jouer un rôl
: la poudre sympathique et l’onguent armaire. Paracelse est un des premiers inventeurs de la poudre de sympathie. Cette subst
MAGNÉTIQUES. Jury magnétique d’ehcodragembnt et de récohpehse. Première séance annuelle. A ceux qui doutent de l’existe
es du génie humain. La science, dans l’ordre moral, en est restée aux premiers âges de notre histoire; lorsque tout marche autou
L’usage du saint-chrême, ou onction huileuse, remonte sans doute aux premières pratiques de l’exorcisme; car on s’en est toujour
et la plupart des ouvrages cités plus haut. guérissait rarement au premier exorcisme ; il y consacrait souvent plusieurs séa
17. INSTITUTIONS MAGNÉTIQUES. d’encocragement et de récompensé Première séance annuelle. Jlary magnétique (Suile.)
t dominée par les dangers de l’avenir, nous n’avons pu donner à cette première solennité toute la splendeur qu’elle comportait.
chainement.) Jlury magnétique d’encouragement et de récompense. Première séance annuelle. (Suite.) En publiant ses Sta
poser à la maladie. Ces moyens, comme ceux que j’ai détaillés dans ma première lettre, n’ont produit aucun résultat. Quand, le
ES. .ïury mngnC'tiqnc n’ENCOl'RAf.ESIBNT HT DE RÉ COM I* ENS E. Première assemblée générale imnueHe. (Suite.) Extrait
ivantes : Requérons qu’il plaise à la Cour confirmer l’ordonnance des premiers juges. TOME Vin. — M“ 105. —10 L'MIÎRE 1849- 21
, je voulus essayer de magnétiser. Le hasard me favorisa , car, à mon premier essai, je réussis parfaitement, puisque je tombai
ceux qui ignoreraient la possibilité de rétablir les choses dans leur premier étal. Flux et reflux! Le flot baisse, il se reièv
osition de l’expérimenté, nous le soutenons sur un signe différent du premier . Petit à petit, il revient à la vie, et je renonc
intelligences où vous moissonnez si largement, parce que, l’un clos premiers , vous en avez découvert toutes les richesses. Ce
de m’y égarer , d’être trop psychiste et pas assez /luidiste. Dès mes premiers pas dans la science, j’ai compris toute l'action
ts naturels du mesmérisme et leurs résultats ; entre la certitude des premiers et l’incertitude des derniers. De ce que les phén
venu à son état normal; et cependant, aussitôt qu’il est réveillé, sa première 'parole est pour annoncer son voyage ! Bien plus,
titre pompeux de Révélation. Dans l’ordre du temps, elle doit être sa première . « Avant que j’eusse des entretiens avec les es
connaître l’esprit général. Voici comment il commençait : « Dans ma première lettre sur le magnétisme naturel , il y a deux an
he est assise à côté de l’abbé Joly. Elle est comprise dans les trois premiers chefs d’accusation que nous venons d’énumérer.
causes, 404. — Assemblée du Jury, élection des fonctionnaires, 461 .— Première séance annuelle. Compte-rendu. Discours de M. du
par G. Bush. Analyse et examen critique par M. Chocarne, 657, 681. Premiers principes de Médecine, par le Dr Billing, traduit
100 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'occasion de la parole, mais aussi pendant la mastication et le premier temps de la déglutition qui est devenue difficile
. Les troubles de la parole qui s'étaient déjà montrés lors de la première attaque soin actuellement beaucoup plus accusés.
ades et s'affirme par ses stigmates les plus caractéristiques. Ce premier point établi, il reste à démontrer que chez nos
poitrine, « puis il esquisse avec difficulté et incorrection la « première syllabe du mot et enfin projette ce mot « d'un-
ent d'élévation de l'épaule ne se combine jamais avec l'un des deux premiers ; ils se produi- sent toujours isolément. Leur
ne attaque épileptifurllle. L'autopsie révèle : une encéphalite des première et deuxième temporales gauches, avec ramollisse
reils de la motilité sont nuls ou incomplets; ils sont pendant leur première enfance sourds, aveugles, impotents. Le microsc
eloppement du jeune acte, mais font absolument défaut dans la toute première enfance et l'âge de l'adolescence et de parfait
rieure ou bien consécutive à la plus fu- tile contrariété. Les deux premiers cas peuvent se i encontrer dans d'autres formes
e dernier fait; il connait huit exemples d'épilepsie consécutive au premier coït. 11 n'est donc pas étonnant que la pervers
ette passion qui seule le satisfait, date, comme l'épilepsie, de la première enfance. Concomitance de délire religieux (extati
e l'écorce des frontales supérieurs, toutes parié- taux supérieurs, premières temporales des deux cota, delà parié- tale asce
gaines de myéline ont diminué de volume; on croirait assister aux premières périodes de développement des fibres cérébelleuse
tes chez diverses espèces normales et pathologiques. Il arrive à ce premier résultat que l'encéphale des aliénés pèse moins
dont voici les principales dispositions : Aux termes de l'article premier , quiconque aura donné en spec- tacle au public
ux mots que le scia- tique poplité externe, après avoir fourni deux premiers rameaux, la branche cutanée péronière et l'acce
férieur droit. (LErrnvnu. Thèse citée.) Femme de vingt et un ans. Premier accouchement ayant duré deux jours et deux nuit
ncements violents. Point doulou- reux péronier, au cou de pied, aux premier et deuxième orteils. Refroidissement notable du
e M. Dorion' est -peut-être plus ingé- nieuse et plus séduisante au premier abord. Mais elle demanderait à être vérifiée pa
l'été et le malade ne se rappelle pas avoir été exposé avant cette première atteinte à aucune fatigue, ni au froid, ni à l'
leurs continues, sourdes, sans élancements, du moins dans les trois premières alleintes, exaspérées par la pres- sion au nive
issements de toute la région antéro-externe de la jambe gauche. A première vue, il semble qu'il existe un certain degré d'at
donc pu penser- qu'il s'agissait là d'un cas à ranger parmi ceux du premier groupe. Mais nous avons pu nous convaincre qu'i
t. C'est seulement y a trois ans que la malade a constaté pour la première fois les mouvements qui motivent son entrée. Ces
ssivement les caractères que nous constatons aujourd'hui. Lors du premier examen (et l'aspect n'a malheureusement pas cha
plitude très réduite. Les grandes salutations comme celles de notre première malade, les mouvements de pédale et de saut, cl
ante est l'existence d'un tremblement se produisant au repos. Or, à première vue, le tremblement de la malade semble bien se
T TREMBLEMENT. 201 thésie pharyngée, au contraire, est complète. Au premier abord, je n'ai pas attaché à ce signe une grand
hémiplégie droite (France : )Id., 1SS3). 216 6 CLINIQUE NERVEUSE. premières observations sont dues à Bourdon qui en a empru
étudié d'abord en Angleterre, puis en Allemagne. 0. Berger, un des premiers , fit remarquer la perte de la sensibilité consé
ofondément, paraît-il, à la face dorsale de la main, au ni- veau du premier espace interosseux. Il n'y a qu'un écoulement d
palmaire de la main, au tiers supérieur de la phalange des quatre premiers doigts et au cinquième doigt en son entier; il a
ribution à la pathologie des paralysies faciales périphé- riques. - Première observation. - Paralysie, probablement par cont
le Maire de Rouen d'avoir bien voulu honorer de leur présence cette première séance du Congrès. Puis, il invite les membres
it rien moins 278 8 SOCIÉTÉS SAVANTES. que douteuse chez les deux premières . Quant à la troisième, elle était certainement
t on hérite simplement d'une prédisposition. En tout cas, il est de première importance de recueillir des chiffres exacts re
ils ont pu disposer, leur ont permis d'asseoir la formule de cette première affirmation. Le lobe frontal est, dans l'espèce
.. Seul, l'examen électrique a donné un symptôme à l'appui des deux premiers , la diminution de la résistance électrique dont
Les points pour cette épreuve devront être donnés au début de la première séance de lecture des compositions écrites 1. C
ut paraître difficile à soutenir. Toutefois, si on se reporte aux premières observations, si on se rappelle que le facies s
is il n'a plus éprouvé aucun trouble. Les signes constatés, lors du premier examen, hémianesthésie, etc., ont presque compl
diminuent par la pression exercée sur la région affectée. - Cette première période dure dix jours. Aux accès de cépha- lal
et des pratiques hydrothérapiques. Elle revient deux mois après sa première visite. Son état est très amélioré. Les accès n
uer plusieurs des arguments que nous avons rangés dans - les deux premiers groupes. En effet l'évolution de la migraine a
LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 331 tenus aussi dans les deux premiers groupes. 1° Les accès de migraine sont accompag
avoir démontré^ avec toute la rigueur possible, 'que dans les deux premières obser- vations l'hystérie tient la migraine oph
elié au seg- ment médullaire dont il émane : arc rachidien : A ce premier arc rachidien s'en ajoute un second, dont une b
s les deux tiers internes, ce sont des filets plus minces que les premiers placés aussi parallèlement les uns auprès des a
ableaux. Ce fait dépend de deux causes : 1° en opérant d'après la première de ces méthodes nous avons - pour donner aux ex
ux numéros les plus élevés de la série, les seconds sont arrêtés du premier coup par les caractères d'un ton grisâtre encor
d'attirer l'attention sur certains cas d'amnésie qui revêtent au premier abord l'aspect de la démence dont ils diffèrent c
- vent elle passait des nuits à travailler. Elle s'est mariée une première fois à vingt-sept ans. Son mari est mort au bout
bles. A cette époque il était marié, mais pas avec notre malade. Sa première femme, très frappée par les expériences de ce g
la chaise sur laquelle elle est assise. Examen intellectuel. -Au premier abord on constate que, d'une façon générale, la
onfirmation. Elle ne paraît pas d'une intelli- gence élevée, et, au premier abord, on pourrait la prendre pour une imbécile
lons, elle dit se les représenter très bien. Après la mort de son premier mari, elle reprit son métier de : J96 . CLINIQU
elle se souvient qu'il était en pension et qu'il avait déjà fait sa première communion lorsqu'elle s'est remariée. Après ins
res inférieurs ne peuvent-elles pas être considérées comme la cause première de son amnésie relative aux mouvements de la st
, loin d'avoir affaire à une démente, comme on pouvait le croire au premier abord, nous sommes en face d'une affection de p
et rectifie même certains détails qu'elle avait donnés lors de ses premiers interrogatoires. De même pour les faits actuels
quare. Notre ami, le Dr Ferrier, dont le Progrès médical a été le premier à faire connaître en France les belles recherches
ancet qui a eu la gracieuseté de nous communiquer les clichés. B. première leçon : introduction M. le Président et Messieu
verser son équilibre et si on y parvient, il reprend son attitude première . Si on pince son pied ou sa queue, l'animal bondi
jours réussi à obtenir l'action des muscles du cou en excitant le premier point mentionné. Nous avons obtenu assez souvent
- llip, coude. - An/de, poignet. du Fingers, doigt. genou. - liallux, premier tronc. Wp, hanche. Anlde, cheville du pied , Kn
r tronc. Wp, hanche. Anlde, cheville du pied , Knee, genou. Hallux, premier orteil. - Toes, orteils. 424 PHYSIOLOGIE PATH
cent aux circonvolutions pariétales inférieures et supérieures, aux première et deuxième temporale. Atrophie des circonvolut
e transitoire. En réalité M. Pick présente trois malades. Chez le premier , il a constaté, à la suite du sondage de l'urèthr
accidents de syphilis héréditaires revètent-elles une importance de premier ordre en ce qui concerne le rôle de la syphi- l
térieure; par J. DIN1'Elt. (Centralbl. f. NCl'vel1heilk, 1889.) La' première observation est une observation deguérison. Chez
té publié il y a vingt ans et bien connu de nos lecteurs. Les trois premiers chapitres contiennent principalement l'historique
de guérir et escroquerie; il fut con- damné à 60 francs d'amende du premier chef et acquitté du se- cond. Pour se mettre à
a peine de la détention perpétuelle. . Cette condamnation étonne au premier abord. Après réflexion, on est moins surpris. N
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