1866-1867 Réserve de tous droit! OPÉRATIONS SPÉCIALES QUI SE PRATIQUENT SUR DES ORGANES COMPLEXES OU SPÉCIAUX. CHIRUR

d'après cette méthode que nous comptons procéder. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'OEIL. L'œil, le plus complexe des organes

de vingt exemples d'extirpation de la glande lacrymale chez l'homme, pratiquées par MM. Mackensie, Mid-dlemore, Todd, O'Beirne, T

émoignages certains de la méthode ancienne, dont il a hérité, qu'il a pratiquée lui-même et transmise à Archigènes, et que l'on r

lle offre un obstacle que l'on a recours à l'autre. cathétérisme. Pratiqué sans incision préalable, il a pour objet de désob

rbure convenable et le sujet bien con-formé , le cathétérisme doit se pratiquer du premier coup en sui-vant avec précision la man

eur ou l'os unguis. La sonde introduite, Laforest s'en servait pour pratiquer les injections , et la fixait en position par un

t filiforme, percé à son extrémité d'un œillet garni d'un fil, Méjean pratiquait , comme Anel, le cathétérisme par le point lacry-m

s haut, au lieu que pour la désob-struction Laforest se contentait de pratiquer des injections avec la sonde d'argent; pour la di

sé dans l'anneau de son pa- 9. villon, et dont il se servait pour pratiquer les injections. C'est le mode de traitement usité

larmes passant immédiatement par la cavité de la canule, et la plaie, pratiquée seulement pour faire la ponction et introduire le

ouri à lame effilée ( fig. 16 ). La ponction avec le bistouri étant pratiquée comme il a été dit plus haut, et la lame de l'ins

els la canule est introduite et la plaie refermée. cautérisation. Pratiquée par les anciens et par les Arabes, seulement comm

est restée dans les temps modernes comme une ressource dernière pour pratiquer un canal artificiel dans l'absence du canal natur

litéré par une exostose. Trois sous-méthodes ont été imaginées pour pratiquer une route artificielle : i0 par l'os unguis ; c'e

: 2° par le sinus maxillaire; moyen déjà usité et surtout fréquemment pratiqué par accident, quand l'opérateur fait fausse route

le de l'os unguis, déjà longuement éprouvée dans ses effets, facile à pratiquer métho-diquement et sans fracture, surtout par l'i

nasal. Un foret, introduit à travers l'incision cutanée, lui servit à pratiquer l'opération. Le canal obtenu, il y introduisit, c

n'est survenu. — Pour un cas qui lui a paru semblable, M. Malgaigne a pratiqué la perforation avec le mandrin porte-canule et, r

ticiens ont proposé, si l'on ne retrouve pas le trajet du conduit, de pratiquer un canal artificiel du bord palpébral au sac lacr

talité, les autres sont bornées à la conjonctive. opérations qui se pratiquent sur les paupières. Les maladies des paupières q

ueur des côtés ayant de dix à douze millimètres. Il est préférable de pratiquer ce lambeau en dehors, à un demi-centimètre enviro

; ou mieux, à chaque fois, d'un seul coup avec des ciseaux, comme l'a pratiqué M. Velpeau. Ce procédé a donné de bons résultats

ster. lie sourcil rasé, avec le bistouri tenu en troisième position pratiquer , en regard de l'arcade sourcilière, une incision

rtir du bord palpébral, dans une longueur de dix à douze millimètres. Pratiquer ensuite une pareille incision vers l'angle intern

oversion du bord palpébral et, dans le cas où ce phéno-mène persiste, pratiquer une excision transversale intéressant la peau et

pières étant saisies et soulevées, pour les isoler du globe de l'œil, pratiquer une ponction dans l'angle qui doit former la comm

ion par la peau (pl. 6, fig. 9). Armé d'un bistouri convexe très fin, pratiquer une incision transversale plus longue d'un tiers

résolution : les em-plâtres fondans, [acupuncture (Demours), le séton pratiqué avec une aiguille qui traverse de part en part la

ns si une première cautérisation avait été incom-plète, on devrait en pratiquer une seconde. Tumeurs cancéreuses. On ne peut co

n double seront réunis par la suture entortillée. opérations qui se pratiquent sur la conjonctive. Les maladies de la conjonct

lus simples : il con-siste à saisir la tumeur avec des pinces et à en pratiquer soit l'ex-cision avec des ciseaux droits ou courb

vaisseaux nouveaux venus de la profondeur de la cornée, conseille de pratiquer l'ex-cision à la surface même de cette membrane,

ur la conjonctive scléroticalc. GLOBE OCULAIRE. opérations qui se pratiquent sur les milieux réfr1ngens. Opérations qui ont

t le tissu d'où pro-vienne la suppuration. La ponction ne doit être pratiquée qu'autant que les accidens inflammatoires ont dim

e en conseillant d'atten-dre, d'après ce précepte général de ne point pratiquer une opération qui n'est pas actuellement nécessai

ifiée : il n'y a plus lieu de songer à la dépression; c'est le cas de pratiquer le broiement en dispersant les fragmens de la cat

'iris et la cornée ; ou, ce qui est préférable , inciser la cornée et pratiquer l'extraction du cristallin; 3° enfin si le touche

psule n'est jamais le siège de l'opacité, Petit le médecin imagina de pratiquer l'abaissement de la lentille cris-talline revêtue

elui de M. Bowen le nom de hyalonyxis. 3° M. Gensoul s'est proposé de pratiquer l'abaissement au travers d'une section de la sclé

bientôt abandonné de l'un et de l'autre pour ses mauvais résultats. Pratiquer une petite incision derrière l'iris à l'union de

ille modifiant néces-sairement les manœuvres ultérieures. La ponction pratiquée , ces manœuvres sont les mêmes que pour la sclérat

de la capsule cristalline, la manœuvre diffère suivant que l'on doit pratiquer le broiement ou la dépression. i° Broiement. li

le cristallin est trouvé trop dur pour être di-visé, c'est le cas de pratiquer l'abaissement. L'aiguille étant re-tournée, par u

; enfin Pourfour du Petit, en 1707, et, dans la même année Saint-Yves pratiquent décidémentla cataracte par incision de la cornée.

couteau arrivée dans la chambre antérieure. Cette manœuvre, facile à pratiquer sur le cadavre, est inutilement dangereuse sur le

un peu plus forte de l'indicateur vers l'angle interne, et tâcher de pratiquer rapidement, par surprise, la seconde ponction de

térieur de la capsule cristalline. Morenheim et Beer conseillent d'en pratiquer la déchirure et l'extraction avec l'érigne fine :

devant et au-dessous de la pointe. Quoi qu'il en soit, cette division pratiquée , continuer à faire glisser l'instrument,faire sor

omie supérieure est la section du demi-cercle supérieur de la cornée. Pratiquée pour la première fois par Santarelli en 1785,puis

t de son couteau spécial ( pl. 2, fig. 4o). Cette kératomie peut être pratiquée dans la po-sition ordinaire, l'opérateur placé vi

ance soit arrivée au niveau du centre de la pupille. Alors l'incision pratiquée sur la cornée par la grande lance est assez étend

partie de sa surface, c'est sur la partie opaque elle-même qu'il faut pratiquer la section; la cicatrisation y étant aussi prompt

cité. Pour l'iris , c'est le contraire: il faut, autant que possible, pratiquer l'ouver-ture pupillaire sur un point de cette mem

n; Mauchart, avant lui, l'avait indiquée : Ileuerma, qui l'adopta, la pratiquait avec une lancette ordinaire. Quoi qu'il en soit,

a prenant pour point de départ d'une double incision divergente qu'il pratiquait sur la partie inférieure de l'iris jusqu'au ligam

é de Guérin (pl. 1 1, fig. 7). D'après quelques auteurs Guérin aurait pratiqué son procédé antérieurement à Wenzel, auquel cas c

. La cornée étant incisée comme à l'ordinaire, à l'aide du kératotome pratiquer deux sections sur l'iris, lune verticale, l'autre

était connue avant Scarpa; au rapport d'Assa-lini, Buzzi de Milan la pratiquait en 1788. Néanmoins c'est aux travaux ticScarpa

six millimètres. Par le procédé de Scarpa, il est très difficile de pratiquer le décollement de l'iris vers l'angle externe de

iquant la cornée; alors, suivant eux, il devient tout aussi facile de pratiquer la nouvelle pupille en dehors qu'en dedans, et en

tomie. Premier temps : avec une aiguille tranchante sur sa concavité, pratiquer le décollement à la ma-nière de Scarpa. Second te

ision de l'iris décollé soit elle-même, dans tous les cas, facilement pratiquée sans que la pression nécessaire augmente la déchi

a pression nécessaire augmente la déchirure. 3° Procédé d'Assalini. Pratiquer une incision à l'angle externe de la cornée; intr

d'une lymphe plastique qui tend à oblitérer l'ouverture artificielle pratiquée à l'iris (Weller). De tous les procédés, celui de

nt gonflé et que les tentatives pour l'extraire ont. été sans succès, pratiquer derrière la conque une incision semi-lunaire afin

per la canule de plomb au niveau du méal auditif, et même, au besoin, pratiquer la section de la portion proéminente du polype ,

on. Le polype étant accroché avec une érigne, l'atti-rer au dehors et pratiquer la section de son pédicule; le plus loin possible

t circulaire de deux millimètres de diamètre. Cette opération ainsi pratiquée offre une supériorité incon-testable sur toutes l

-torze ou dix-huit millimètres de son sommet. L'opération con-siste à pratiquer en ce point une incision cruciale ou en T, mettre

rement ou oblitéra-tion de la fosse nasale, il faut, comme M. Delcau, pratiquer le ca-thétérisme par la narine opposée; mais alor

net-tement sur une très petite surlace, si, par exception, l'orifice pratiqué venait à se refermer, on peut toujours en former

nsidérablement aplati, il convient, à l'exemple de M. Dieffenbach, de pratiquer sur ses parties latérales deux inci-sions vertica

égumens qu'en haut et en bas. Alors une troisième incision verticale, pratiquée sur la ligne moyenne, divise en deux cette portio

précaution les deux cartilages nasaux pour arriver sur la cloison et pratiquer l'énucléation du reste de la tumeur. occlusion

t de les combiner entre elles. Pour les cas de simple resserrement, pratiquer , à l'aide du bistouri, plusieurs petites incision

agule et s'oppose ainsi à une nouvelle' (''mission du liquide. Pour pratiquer ce tamponnement, on passe par la narine d'où vien

l'autre. Si, ce qui est rare, le sang venait par les deux narines, on pratiquerait le tamponnement douhle. Enfin, dans les cas où, l

nchant. Si l'opération se fait par l'une des narines, c'est le cas de pratiquer l'excision avec un bistouri boutonné à lame étroi

le tranchant engaîné jusque sur le pédicule de la tumeur, dont il put pratiquer l'excision en plusieurs fois. Torsion. Cette ma

ne des plus anciennes. Les fils d'Hippocrate, Thessalus et Dracou, le pratiquaient a l'aide I I d'un lien préalablement fixé sur

icule mince et d'un volume qui n'excède pas celui d'une noix. Pour le pratiquer , introduire le doigt indicateur de chaque main ,

luette, où les artères ont le moindre volume. Cette section facile à pratiquer , soit avec des ciseaux courbes, soit avec le bist

la fosse nasale, on peut, à l'exemple de Dupuytren, auquel je l'ai vu pratiquer une fois, enlever préalablement par excision la p

e de l'excision et de l'arrachement. A la renaissance, G. Fal-lope la pratiquait avec un fil de fer dont il portait, autour de la

nt particulier et qu'on peut trouver par-tout les objets propres à le pratiquer , il est bon de le connaître en détail. Un gros

ù le sinus ne communique plus avec les narines, qu'il convient d'en pratiquer la perforation à l'aide d'une petite couronne de

umulation de liquide; c'est pour un fait de ce genre que Jourdain l'a pratiquée sur une femme chez laquelle avaient échoué plusie

ties. 11 est alors beaucoup plus simple et sans aucun inconvénient de pratiquer artificiellement une ouverture en poussant avec f

e pour la première. La méthode de Meïbomi us, offrant l'avantage de pratiquer l'ouverture sur la paroi la plus déclive du sinus

conservé ses rapports normaux. Il suffit, à l'aide d'un bistouri, de pratiquer une ouverture dans le point le plus saillant de l

tulcuse qui communiquât avec le sinus maxillaire. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES ORGANES DE LA GUSTATION. L'appareil c

ion de la lèvre supé-rieure, imaginée en 1826 par M. Paillard qui l'a pratiquée trois fois avec succès, a réussi également à MM.

et à divers chirurgiens. Procède opératoire. "L'excision peut être pratiquée avec clés positions relatives différentes du mala

incisions faites carrément, de l'un et de l'autre côté de l'orifice, pratiquer une fente buccale d'une longueur convenable. Dans

trouve compris entre les mors de l'instrument. Cette première section pratiquée , en opérer par-allèlement une seconde, un peu au-

elle commissure. Dès que ce premier temps est effectué du côté droit, pratiquer éga-lement une double section avec enlèvement de

du seizième siècle la cautérisa tion et l'excision continuent d'être pratiquées . Différens caus-tiques ont été employés pour aviv

it que Celse cousait la plaie; mais on ignore comment la suture était pratiquée . Les Arabes paraissent avoir employé celle du pel

haque côté le bord des deux demi-lèvres. 3° Les quatre sections étant pratiquées avec l'attention de n'enlever de chairs que ce qu

-stance qui se rencontre avec la scissure latérale, on se contente de pratiquer l'opération sur les parties molles, l'expérience

illaires. L'avivcmcnt et la réunion des parties molles furent ensuite pratiqués . Le même procédé a été employé plusieurs fois ave

les deux tubercules, et, avec des pinces incisives bien tranchantes., pratiquer l'excision de la portion osseuse; rafraîchir avec

ire, abaissa de la même manière la dent canine droitedéviée en avant, pratiqua l'opération sur les parties molles comme à l'ordi

l. Le tracé des incisions étant préalable-ment effectué à l'encre: i° pratiquer d'abord dans toute l'épais-seur de la joue une do

nous proposons, après les deux incisions de M. Roux de Saint-Maximin pratiquées , de diviser verticalement le lambeau inférieur po

gent pour déprimer les fongosités exubé-rantes , comme M. Gensoul l'a pratiqué une fois avec un plein succès. APPAREIL SALIVAI

ours d'une opération sur la région paroti-dienne, la suture doit être pratiquée immédiatement comme l'ont opérée, avec succès dan

e, les bords de l'orifice doivent être avivés : la suture est ensuite pratiquée avec une seule aiguille dirigée verticalement plu

omme elle a réussi à Percy, MM. Flajani et Zang. (b) Cautérisation. Pratiquée avec le fer rouge ou les caustiques la cautérisat

l naturel est oblitérée. De nombreux procédés ont été imaginés pour pratiquer le canal artificiel et pour l'empêcher de se cica

ure sur le con-duit de Sténon, entre la fistule et la glande. Pour la pratiquer , il indique de faire sur le trajet du canal une i

critique, on la retrouve dans le rnoyen-âge usitée chez les Arabes et pratiquée sous diverses formes à la re-naissance par Franco

auteurs on est surpris du nombre d'opérations de ce genre qui ont été pratiquées avec des résultats variés, ainsi que du vo-lume e

faits se sont singulièrement multipliés. En 1818 cette opération est pratiquée avec succès par M. Carmichael, puis successivemen

Heyfelder et Fonthein. Procédé opératoire. Peut-être, comme l'ont pratiqué plusieurs chirurgiens, la pre-mière précaution à

au rétracté ne put être lié et mit le chirurgien dans la nécessité de pratiquer un fort tamponnement. Les artères qui, à part l

n de plus simple que son extirpation partielle. Procédé opératoire. Pratiquer le long du bord delà mâchoire une première incisi

e méthode est très ancienne. On sait que dans l'antiquité, elle était pratiquée par Celse; à la renaissance, Mercurialis prescrit

iation, est connue sous le nom dejï/et; la section du filet doit être pratiquée , mais sans pénétrer trop profondément, pour ne pa

ablation a été convertie en une opération régulière. Déjà Lange avait pratiqué plusieurs fois avec succès cette opération , que

oyé, et par le siège de la maladie, que se distinguent les opérations pratiquées par divers chirurgiens, qui ne sont que des cas s

irigne de Museux , et la langue attirée au-dehors de la bouche, Louis pratiquait d'un seul coup, avec un grand bistouri, la sectio

r au-dessous, si l'on tient le bord gauche, afin de pou-voir toujours pratiquer la section de la main droite : par une première s

toute l'étendue de la langue , l'opéra-tion, si on croyait devoir la pratiquer , serait des plus graves. Si on pouvait se permett

d'établir des préceptes pour un cas sem-blable, une première incision pratiquée en dessous de la langue, au travers des génio-glo

ture. La ligature pour isoler une portion malade de la langue a été pratiquée dans deux intentions qui correspondent à des alté

t du degré auquel on a porté la striction, et non de la manière de la pratiquer . Procédé de M. Major. Il n'est que l'applicatio

ligature. Pour détruire une moitié latérale de la langue , M. Cloquet pratiqua une petite incision au-dessus de l'os hyoïde, et

termina la striction longitudinale. Procédé de M. Mirault d'Angers. Pratiquer préalablement sur la ligne médiane une incision é

-hyoïdienne , où les deux chefs sont serrés à l'aide d'un serre-nœud. Pratiqué de cette manière, en ne for-mant qu'une anse post

é par M. Maingault, et qui nous paraît fort rationnel. Pour éviter de pratiquer une plaie ex-térieure, l'auteur indique de passer

ts incisives, et, pour réunir les deux bords de la fente, il y aurait pratiqué plusieurs points de suture, et les aurait rafraîc

rfaiteguérison qui s'en était suivie. Depuis, la staphyloraphie a été pratiquée , avec un égal succès, par un grand nombre de chir

ée. L'excision, qui lui est bien préférable, a prévalu. La manière de pratiquer l'excision varie beaucoup dans les divers procédé

11 bis); quelques instrumens, en particulier celui de M. de Pierris, pratiquent la perforation d'un seul coup. Enfin , M. Leroy d

nisme. 3" Ligature. L'action de serrer le nœud dans la ligature est pratiquée tout simplement avec les doigts par plusieurs chi

cond nœud soit formé. La ligature antérieure, puis la médiane, sont pratiquées de la même manière, en ayant soin, pour les trois

on , il est difficile de tendre régulièrement la lèvre mobile et d'en pratiquer , aussi près du bord, la section nette dans toute

e point sur lequel il présente la pointe de l'aiguille; l'avivement pratiqué avec le bistouri doit s'opérer d'avant en arrière

ont la concavité regarde le bord libre de la division. La perforation pratiquée , avec la pince qui fixait le bord membra-neux, il

isinage de la première, de sorte que, quand cette seconde section est pratiquée , les deux petites cordelettes charnues qui consti

bien avec les doigts, nous trouvons plus expé-ditif et plus sûr de la pratiquer avec l'un des serre-nœuds donl nous avons parlé p

dent de cautériser les racines avec le fer chaud. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LA LUETTE. L'accroissement de volume de la

tée à la renaissance et pendan-le dix-septième siècle, la ligature se pratiquait avec un fil métal-lique, à l'aide de divers instr

onvexité en haut, l'exciser d'un seul coup en élevant le poignet pour pratiquer une section régulière, en prenant garde d'entamer

l'expérience journa-lière dément ces assertions. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES AMYGDALES. Deux genres d'opérations se

NS QUI SE PRATIQUENT SUR LES AMYGDALES. Deux genres d'opérations se pratiquent sur les amygdales : l'in-cision pour les abcès, e

ns l'emploi des chefs en liant. Depuis, la ligature a continué d'être pratiquée . B. Bell employait une canule introduite par la f

t bien l'indication. La diffi-culté, ici, n'est pas de savoir comment pratiquer la ligature qui se fait, au contraire, assez aisé

. Historique, appareil instrumental. L'excision par-tielle était déjà pratiquée par les anciens. Aétius établit en pré-cepte de n

éminente, et blâme l'extir-pation totale, qui pourtant avait déjà été pratiquée avant lui. Rhasès et les autres chirurgiens arabe

édé, se servait d'une airigne double et d'un bistouri courbe. Wiseman pratiquait d'abord une ligature, et se servait du fil pour a

d'hui, après une longue expérience acquise, les instru-mens propres à pratiquer l'excision des amygdales sont encore en si grand

es doigts, en tant qu'on le pourrait sans causer la suffocation, et à pratiquer immédiatement la ligature de la carotide primitiv

paroi pour-rait empêcher la section de s'achever OPÉRATIONS OUI SE PRATIQUENT SUR LE COU. Les maladies chirurgicales situées

, n'éprouva aucune amél ioration. Dans les deux cas la ligature fut pratiquée , d'après la formule générali-sée, depuis, par M.

on se trouve arrêté, et qu'il n'est plus possible de con-tinuer sans pratiquer une extirpation, c'est le moment de poser les lig

tenir les divers objets propres à l'hémostatique. Tout étant disposé, pratiquer à travers l'épaisseur de la peau et des muscles s

ies aériennes (Pl. ll\ , fig. l). L'objet de cette opération est de pratiquer l'insufflation ou la respiration artificielle, à

ication le plus ordinaire et celui pour lequel on a, le plus souvent, pratiqué la bronchotomie. Les corps étrangers sont de natu

'extraction d'une sangsue (Lacretelle). Dans ces derniers temps, on a pratiqué la broncliotomie pour des excisions de diverses p

ix-septième siècle où M. A. Se-verin et G. Bartholin assurent l'avoir pratiquée avec succès. De-puis, quelques chirurgiens, à de

ait-on en dire du gonflement du voile du palais, où l'opération a été pratiquée par M. Burgess dans un cas de brûlure. Vangine

, et porter sur le lieu affecté divers topiques ou même, au besoin, y pratiquer des excisions jugées nécessaires. C'est ainsi que

Vœsophage. Cette cause de suffocation n'est pas très rare. Habicot a pratiqué une fois la bronchotomie avec succès chez un jeun

stouri droit ou convexe, tenu de la main droite en première position, pratiquer sur la ligne médiane une incision étendue de-puis

ble, pour empêcher la tension et l'en-trebâillement de la trachée, de pratiquer , comme le font les vé-térinaires , un orifice ave

iE ou Crico-trachèotomie. Imaginée par Boyer, cette opération a été pratiquée avec succès par son auteur et par M. Duchâteau. S

s dispositions préparatoires étant prises comme pour la trachéotomie, pratiquer une incision à plat depuis la saillie de l'os hyo

n, proposée par MM. Malgaigne et Vidal, mais qui n'a point encore été pratiquée sur le vivant, il s'agit de pénétrer dans le lary

é opé-ratoire d'après M. Malgaigne qui l'a essayé sur des animaux : Pratiquer une incision cutanée transversale de quatre à six

ut être jugée. Sans doute l'opération en elle-même est aussi facile à pratiquer que l'annonce son auteur; mais, quant aux suites,

é au bonnet du malade. Cette modification très simple, cpii permet de pratiquer le cathété-risme par la bouche et de laisser la s

mple et inoffensif, s'il est exercé avec les précautions convenables. Pratiqué d'abord, en 1797, par Boyer, qui n'en obtint aucu

D'après le bon sens d'accord avec le témoignage des auteurs qui l'ont pratiquée , lorsque le rétrécissement a pour cause une sim-p

'œsophage, B. Bell et après lui, Richerand et Boyer prescrivent de la pratiquer sur la saillie du corps étranger , précepte très

ncipal lui faisant face de l'autre côté : armé d'un bistouri convexe, pratiquer parallèlement à la trachée, en regard du sillon i

ui peut survenir dans les premiers instans. La réunion définitive est pratiquée le lendemain ou le jour d'après quand il ne survi

ns que les chirurgiens arabes, si ti-mides dans des cas moins graves, pratiquaient volontiers cette opération. A la renaissance, et

s il n'y a rien là de suffisant pour proscrire l'opé-ration. Facile à pratiquer , très prompte et par conséquent peu douloureuse,

ent verticale; mais aujourd'hui tous les chirurgiens s'accordent à la pratiquer , suivant le conseil de Pim-pernelle, oblique de h

ement, une inclinaison convenable pour la sortie des liquides. Pour pratiquer la section cutanée, tout étant disposé , le chi-r

par une section nette et sans queue. Cette double incision doit être pratiquée au-delà des limites de la maladie, sur de la peau

te, et faisait ressortir au-dessus, par une autre plaie préalablement pratiquée . Beich, au lieu dénouer les fils au de-hors, en p

de l'accident, rien de mieux à faire, à ce qu'il nous semble, que de pratiquer la ligature. Voilà déjà pour un cas. Si la plaie

me méthode générale, et au besoin l'élargissement de la plaie pour la pratiquer , il n'y a qu'un pas. Pourquoi hésiterait-on aie f

urellement ont dû faire usage les chirurgiens en petit nombre qui ont pratiqué cette opération. Nous insistons sur cette liga-tu

les premiers temps, suivant Galien, la perforation de la poitrine se pratiquait avec un fer rouge ; mais déjà , vers l'époque d'H

-sité, quand l'épanchement circonscrit, limite l'étendue où l'on peut pratiquer la ponction. Variétés d'épanchement. i° Épanche

ante. Dans les quatre cas de guérison qu'il rapporle, la ponction fut pratiquée à des époques différentes : le jour même (Delamot

sérosité. C'est le plus commun , celui pour lequel l'opération a été pratiquée , le plus grand nombre de fois, et qui cependant l

dire à ce sujet de plus rationnel, c'est que la ponction ne doit être pratiquée ni trop tôt dans les pblegmasies aiguës, sous le

verticale, c'est vers le bas de la poitrine qu'il faut de préférence pratiquer l'ouverture. Pour éviter de blesser le dia-phragm

dans ce cas, d'autre observation à faire, pour la ponction, que de la pratiquer plutôt vers le centre que vers le contour, dans l

es surfaces sur une large étendue, il faut refermer la plaie, puis en pratiquer une autre en s'assurant, par une auscultation trè

ons, conseiller l'emploi de ce procédé, quoique l'auteur dise l'avoir pratiqué cinq fois et M. Caf-ford plusieurs fois à son exe

tant reconnu dansle lieu d'élection ou de nécessité où il convient de pratiquer la ponction, le chirurgien tendant les tégumens a

le ferait une canule droite. L'auteur assure que plusieurs ponctions pratiquées dans le onzième espace lui ont permis d'é-vacuer

la totalité du pus, ou si l'on adopte les ponctions successives, les pratiquer à de courts intervalles , et, en tout cas, faire

ou des poumons, la ponction n'est qu'un moyen palliatif, et peut être pratiquée avec le trocart. Si elle se reproduit avec rapidi

avait pensé que l'on pouvait ponctionner le péricarde par un orifice pratiqué au sternum, à un ponce au-dessus de l'appendice x

servations récentes de M. Romero. Le même doute plane sur l'opération pratiquée par M Jowet ( 1827) ; enfin M. Velpeau ne fait ex

urgiens qui tous l'admettent en théorie, quoique aucun d'eux ne l'ait pratiquée . Cette dernière observation mène à une conclusion

lus haut pour l'em-pyème, les cas dans lesquels l'opération doit être pratiquée . Au-jourd'hui, avec la perfection où l'on a pórte

rieur. %" Perforation cTun espace intercostal. Sénac conseillait de pratiquer la ponction avec un trocart, dans le cinquième es

de plusieurs dimensions , suivant l'espèce de ponction que l'on veut pratiquer . C'est ainsi cpie l'on distingue le trocart à par

cite ou paracentèse. Procédé ordinaire. Les objets nécessaires pour pratiquer la paracentèse sont : i° un trocart; 20 deux vase

l'aide d'un bouchon que l'on enlève ou que l'on replace à volonté, de pratiquer plusieurs évacuations de manière à faciliter le r

la syn-cope cpii survient fréquemment lorsque l'évacuation totale est pratiquée brusquement et d'une seule fois. Cet avantage du

is. En imitation de ce résultat accidentel, M. Baudens a imaginé de pratiquer la ponction avec une canule qu'on laisserait à de

e retrait des parois abdo-minales par une série de ponctions graduées pratiquées à divers temps, au fur et à mesure cpie la collec

sortir la pointe à l'ex-térieur par une nouvelle ponction de la paroi pratiquée de dedans en dehors. Lâchant alors le pli dermo-m

f-focation. Il y avait neuf jours que la première opération avait été pratiquée . Non-seulement le ventre était souple et indolent

ité. Mais jusqu'à présent aucune opération de ce genre n'a encore été pratiquée . Enfin, c'est parles mêmes moyens qu'il convien

récepte d'attendre. Pour-tant c'est dans les cas de ce genre qu'a été pratiquée la gastroto-mie. Sans parler des faits anciens ra

telle sorte que le lieu de son gisement soit ignoré, c'est le cas de pratiquer l'opération sur le lieu d'élection, c'est-à-dire

nous paraît même pas raisonnable. Les cas où il est indispensable de pratiquer la gastrotomie sont heureusement très rares, si m

n voilà du reste bien assez sur une opération qui , bien qu'ayant été pratiquée , ne figure en réalité dans les livres d'enseignem

o-péritonite, la conduite du chirurgien serait à peine justifiable de pratiquer une opération si grave pour l'extraction d'un cor

u contraire il existe une gastro-péri-tonite, personne ne songerait à pratiquer une semblable opéra-tion clans des circonstances

brider pour opérer la réduction. Saba-tier, dans ce cas, conseille de pratiquer le débridement de préfé-rence vers l'angle inféri

torsion des artères , il semble qu'on pourrait, sans trop de danger, pratiquer cette opération. Toutefois, nous n'oserions pas c

a réduction de l'in-testin par débridement de l'épiploon devrait être pratiquée avant d'opérer la réduction en masse. Etranglem

s expéditif de n'avoir qu'une aiguille avec un long fil, de manière à pratiquer à la suite l'une de l'autre toutes les sutures, e

t l'intestin et fermer immédiatement la plaie extérieure, après avoir pratiqué la suture. C'est comme nous l'a-vons vu , l'une d

qu'elle, en maintint le calibre, et à l'aide des aiguilles courbes il pratiqua , de dedans en dehors, trois anses de suture entre

ir de cette époque, l'opération de Rhamdor, vantée par Louis, n'a été pratiquée qu'un petit nombre de fois avec des succès divers

n inci-sant le mésentère dans une étendue suffisante, comme Louis l'a pratiqué le premier. D'autre part il estasse/, ordinaire q

procédé comme acquis à la chirurgie, puisqu'il n'a point en-core été pratiqué sur l'homme. La prudence à cet égard doit être d'

que J.-L. Petit, homme si sage pourtant, se laissa aller deux fois à pratiquer l'ex-cision du sac et du testicule, pour obtenir

bles her-nies ; mais, néanmoins, comme on eut fréquemment occasion de pratiquer l'opération de l'étranglement, et que d'ailleurs

as il fallait opérer pour remédier aux accidens, et comment on devait pratiquer le débridement de la hernie. Les traités de Richt

aussi très bien maintenir le malade debout, ce qui n'empêche point de pratiquer letaxis et de poser la pelote régulièrement. Il f

la hernie étranglée ne peut pas être réduite sans opération, il faut pratiquer l'opération de l'étranglement : tout le monde avo

u'une hernie est étranglée tout récemment, le chirurgien doit d'abord pratiquer le taxis simple; puis, s'il échoue, recourir à un

s sur les manœuvres de réduction, et même jusqu'à un certain point de pratiquer ce que l'on appelle au-jourd'hui le taxis forcé.

dé-couverte, soit que déjà l'opération de la hernie étranglée eût été pratiquée par d'autres chirurgiens de son temps, il conserv

que celle attri-buée beaucoup plus tarda Cheselden. Covillard (1640) pratiqua l'opération de Franco dans un cas de hernie étran

le incision ne suffisant pas pour mettre la tumeur à découvert, on en pratiquera une seconde, de manière à avoir un T, ou même une

ont la lésion est capable de causer une hémorrhagie, oblige parfois à pratiquer plusieurs incisions peu étendues en différens poi

al en avant, dans toute son étendue. Mais cette manœuvre ne doit être pratiquée qu'avec une extrême précaution, en portant le bis

et étroite. Supposons que, dans cette circonstance, on soit obligé de pratiquer l'opération du débridement, le chirurgien, après

endre à un anus contre nature. On laissera les parties au dehors sans pratiquer la réduction, à moins qu'on ne préfère employer u

artisans de cette manière d'o-pérer. Pour agir ainsi, il suffirait de pratiquer une incision longue de 3 à 6 centimètres (i pouce

st obligé, à cause du volume et de la forme arrondie de la tumeur, de pratiquer une incision en T ou en -j-. Il y a avantage auss

r le ligament de Gimbernat, soit que l'on débride en dehors, comme le pratiquait Dupuytren, soit que l'on coupe le ligament de Fal

vant la conduite d'A. Cooper, il faut toujours avoir grand soin de ne pratiquer qu'une médiocre inci-sion. C'est ici qu'il est su

résultat de cinq essais faits par M. Belmas sur l'homme. Le premier, pratiqué sur un homme de 74 ans, pour une hernie inguinale

s où doit passer l'aiguille. L'opération de M. Gerdy paraît avoir été pratiquée déjà une soixantaine de fois; M. Thierry a donné

hez plusieurs la guérison ne s'étant pas maintenue on a été obligé de pratiquer deux fois l'opération ; enfin chez un assez bon n

s avons décrit la manœuvre nécessaire pour en obtenir la réduction et pratiquer le débridement si l'étroitesse de l'ori-fice y ob

tel. Le succès fut rapide et complet. Depuis, la même opération a été pratiquée par plusieurs chirur-giens avec des résultats var

e et faciliter la continuité rectiligne de l'intestin, es-saieront de pratiquer circulairement, avec une pince appropriée, la sec

t de cet article que nous enleixlions par anus artificiel, un orifice pratiqué aux parois adjacentes de l'abdomen et de l'intest

d'Angers; Martland, Bizet, Dupuytren, Roux et Velpeau, ont également pratiqué une ou plusieurs fois l'opération de l'anus artif

souventcela est impossible, parce qu'on attend au dernier moment pour pratiquer l'opération. Enfin on a proposé de décoller le

e procédé. Depuis cette époque, ce même chirurgien a eu l'occasion de pratiquer plusieurs fois la méthode de Callisen sur des enf

int de suture entrecoupée. Dans un cas d'opération de cette nature, pratiquée par M. Malgaigne, ce chirurgien n'a pas trouvé qu

moins dange-reuse? N'ouvre-t-on pas le péritoine et l'utérus pour la pratiquer ? On n'hésite pourtant pas lorsque l'indication es

'estpas aussi urgente que celle de l'entérotomie. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE RECTUM ET L'ANUS. Un nombre considérable

ENT SUR LE RECTUM ET L'ANUS. Un nombre considérable d'opérations se pratiquent sur l'anus et le rectum dans les deux sexes. Mais

de cette opération , qui ne donne que des limites incertaines, étant pratiquée par la circonférence, on pré-fère aujourd'hui, av

etit, l'un des premiers qui en aient formulé les préceptes elle a été pratiquée avec succès par Pistor ( 1764), Moncelot, Lo\ sea

û offrir. Si au contraire le rectum manque en entier, c'est le cas de pratiquer un anus artificiel sur quelque point des parois a

alors le chirurgien, perdu dans le vague, ne sait plus même s'il doit pratiquer un anus accidentel, rien ne prouvant que l'imperf

te fille. Avec un bistouri convexe, à lame très courte, le chirurgien pratiqua en arrière de l'orifice vaginal une incision hori

ut être descendu jusqu'au niveau de la peau. Une inci-sion cruciale , pratiquée entre l'anse de fil et l'érigne , permit d'évacue

on qui rendrait le nouveau-né non viable , puisqu'il y a nécessité de pratiquer une opération toujours très grave à quelque métho

sans que les bords puissent fuir et s'enfoncer après cette opération pratiquée . La manoeuvre d'introduction est facile: la mèche

er la cautérisation à la dilatation comme Béclard et M. Velpeau l'ont pratiqué avec succès dans la plupart des cas. Cautérisat

hincter, l'autre moitié reste tendue comme une corde , on prescrit de pratiquer également la section de ce côté. L'opération te

eux incisions. Galien employait en pommades des caustiques variés, et pratiquait l'incision avec le bistouri en faucille qui a gar

antes dont il a été l'objet. Huermann était revenu à Y excision qu'il pratiquait avec des ciseaux courbes. Boyer en a fait un pro-

ns le tissu cellu-laire des organes du bassin. Ligature. On peut la pratiquer également avec un cordonnet de chanvre ou de soie

faisant trop attendre, le chi-rurgien, pour en finir, est obligé d'en pratiquer la section avec le bistouri , ou s'il est survenu

e vers la profondeur. Enfin, reste encore, pour assurer laguérison, à pratiquer l'avivement des clapiers et des embranchemens fis

existe des fongosités sur les parois des foyers purulens, on doit en pratiquer l'excision avec le bistouri ou les ciseaux courbe

oignées ne peuvent être confondues en une seule plaie, il y a lieu de pratiquer deux opérations. Enfin une dernière observation

ncave étant introduit 4« dans la cannelure de la sonde, permet de pratiquer la section dans l'étendue que l'on juge convenabl

de la plaie par l'interposi-tion d'une toile de charpie, comme on l'a pratiqué depuis après l'opération de la fissure à l'anus.

où il idrait d'enlever quelque petite excroissance; une fois l'opé-i pratiquée , pour empêcher la coarctation de se reproduire, i

généraux et locaux pour s'assurer qu'il ne vient plus de sang. Ainsi pratiquée , la cautérisation offre des avantages réels. Si l

é celle de la plu-part des chirurgiens français. Desault et A. Dubois pratiquaient la ligature, mais lui préféraient l'excision. Boy

titution et le climat des deux peuples ; en effet, il suffit d'a-voir pratiqué la chirurgie dans des provinces différentes de la

vées ; mais alors il serait bon, pour y atteindre plus facilement, de pratiquer préalablement l'incision du sphincter, comme il s

roit boutonné, porté sur le doigt indicateur. Cette première incision pratiquée , le chirurgien, libre d'agir au travers d'un larg

a même la plus grave. Nous renvoyons pour les différentes manières de pratiquer le tamponnement, à ce qui a été dit plus haut. Qu

s'offrir à l'opé-rateur , ce qui arrive souvent, ce serait le cas de pratiquer , si déjà on ne l'avait fait, l'incision de M. Cha

la tumeur se gonfle et paraît disposée à s'enflammer, c'est le cas de pratiquer le débridement. Les principes généraux en chirurg

t convenable, pour les suites, de préférer la section ano-coccygienne pratiquée par M. Chaumet. Le débridement pour la réductio

iller l'emploi. Il est fâcheux qu'elle n'ait pas été plus fréquemment pratiquée , puisque l'on n'en cite encore qu'un petit nombre

atrisation pourrait resserrer l'orifice anal trop dilaté. L'opération pratiquée en 1789 eut un plein succès, et le même chirurgie

ssin et dans son voisinage. Excision du sphincter anal. M. Robert a pratiqué dans un cas cette opération avec succès. Son mala

force et du développement. Chez eux il ne faut donc pas se presser de pratiquer une opération sanglante. Chez les personnes âgées

es de l'anus, une cautérisation légère de la surface mu-queuse, qu'on pratiquera après la réduction et lorsque l'orifice anal aura

comme cela arrive quelquefois. Ligature. (Pl. 45, fig. i). Avant de pratiquer cette opération, on donne un quart de lavement au

res moyens, que personne ne s'en sert. Excision. Si l'on voulait la pratiquer on pourrait faire sortir le polype par des effort

r les matières fécales lorsqu'elles sont moulées. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES ORGANES GÉtVITO - URINAIRES DE L'HOMME.

SUR LES ORGANES GÉtVITO - URINAIRES DE L'HOMME. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE SCROTUM. HYDROCÈLE. Le nom d'hydrocèle

e a acquis un certain volume; nous décrirons plus loin, la manière de pratiquer cette ponc-tion. Traitement curatif. Plusieurs

et on Angleterre , est aujourd'hui com-plètement mise de côté. On la pratiquait à l'aide d'escharotiques, placés soit à la partie

faire qu'une excision partielle. Une incision de quelques lignes est pratiquée sur le scrotum, avec une lancette ou un bistouri

impatronisée en France (|ue depuis le mémoire de Sabatier. Pour la pratiquer , on s'est servi à certaines époques de di-vers in

même cas que l'excision, seulement elle exige moins de temps pour la pratiquer ; mais le traitement consécutif a les mêmes inconv

s delà pince, si le malade faisait quelques mouvemens. Il a donc fait pratiquer une ouver-ture à chacune des extrémités des deux

peau des deux côtés à une distance égale à celle qui sépare les trous pratiqués sur l'un et l'autre mors de la pince. Il place en

l surviendrait nécessairement une récidive, et l'opération aurait été pratiquée en pure perte. Toutefois , comme il est possible

tranchant de l'instrument vers les parties profondes afin d'éviter de pratiquer des boutonnières à la peau , et d'inté-resser l'u

les. Modifications au procédé de section du cordon. Anciennement on pratiquait , et de nos jours encore un grand nombre de chi-ru

on pratiquait, et de nos jours encore un grand nombre de chi-rurgiens pratiquent la ligature du cordon en masse avant d'en opérer

ement de la ligature n'a jamais été observée. M. Velpeau dit avoir vu pratiquer la ligature en masse plus de vingt fois par M. Go

rand nombre de fois par Richerand , MM. Cloquet et Bougon, et l'avoir pratiquée plus de trente fois lui-même, sansavoir jamais vu

r. Nous en pourrions dire autant d'un nombre considérable de sections pratiquées par Ant. Dubois et Dupuytren , qui n'ont jamais o

la plaie, et par conséquent la réunion par première intention, qui se pratiquait ancienne-ment ; mais ils n'ont pu réussir à faire

le réussit bien et expose peu la vie des malades. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE PÉNIS. Les maladies de la verge qui néce

ant le gland afin de n'y laisser aucune aspérité. On pourrait aussi pratiquer cette petite opération avec des ci-seaux , niais

e. Cette opération , qui est inusitée parmi nous, était assez souvent pratiquée à Borne sur des Juifs qui se sou-mettaient pour s

mosis à la réunion complète. J. L. Petit et Fab. d'Aquapendente ont pratiqué cette opéra-tion; Boyer pense avec raison que si

eux enlever de chaque côté un lambeau trian-gulaire du prépuce que de pratiquer l'opération de J. L. Petit. calculs situés entr

x se cicatriser isolément. Lorsque la cicatrisation sera complète, on pratiquera l'extirpation du lambeau médian, qui pourra être

atement au-dessus de la tumeur. Extirpation de la verge. On peut la pratiquer au moyen de la ligature ou de l'instrument tranch

loin , comme dans l'état ordinaire ; mais lorsque l'amputation a été pratiquée près du pubis, l'opéré est obligé de s'accroupir

-grin ou terminent leur existence par le suicide. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'URÈTRE ET LA VESSIE. Avant d'entrer dans

résumé, cequ'il est très important de connaître, dans l'urètre, pour pratiquer le cathétérisme avec succès et avec sécurité, ce

natomique il résulte qu'en général le cathé-térisme est plus facile à pratiquer chez l'enfant que chez l'adulte, et chez l'adulte

il n'existe point d'orifice anormal et il y a lieu immédiatement à en pratiquer un suivant le trajet normal pour donner issue à l

ige pour arriver droit dans le canal. On place ensuite dans le trajet pratiqué une bou-gie à demeure dont on augmente, au besoin

canal dans l'épaisseur du pénis. Bublach , Dupuy-tren et M. Bégin ont pratiqué cette opération , et ont également réussi. Proc

l'urine, pour explo-rer la cavité de ce viscère, et pour aider soit à pratiquer , soit à mener à bonne fin certaines opérations.

evoir les cordons nécessaires pour la fixer; au voisinage du bec sont pratiquées deux ouvertures elliptiques , une de chaque côté,

de leur extrémité. Les sondes droites sont souvent très utiles pour pratiquer le cathétérisme urétral ; en les faisant rouler s

'avaient pas la solidité convenable, surtout dans le point où étaient pratiqués les veux, qu'on perçait après leur confection ave

à 3i centimètres de longueur; il est cependant certain (pie M. Roux a pratiqué une fois la taille pour un fait semblable. Les

, irritées et quelquefois ulcérées par son contact, a proposé de n'en pratiquer qu'un seul très près du bec. Dans d'autres cas la

oire ordinaire avec les sondes courbes (Pl. 56, fig. 1,2, 3, 4). Pour pratiquer le cathétérisme avec aisance, il convient de fair

ours de la gastro-entérite, la rétention « d'urine et la nécessité de pratiquer le cathétérisme, ne sont pas « très rares. Dans q

nduit par le mandrin. Quel que soit le procédé qu'on ait suivi pour pratiquer le ca-thétérisme évacuatif avec une sonde flexibl

bien un suspensoir, puis à attacher les quatre cordons à des œil-lets pratiqués de chaque côté de l'ouverture qui donne passage a

rains à les adopter. Procédé de M. Amussat. L'auteur pense qu'on le pratiquera avec plus de facilité, en donnant au malade une p

qui aura une con-naissance parfaite de l'anatomie de l'urètre pourra pratiquer le cathétérisme avec une égale facilité, soit qu'

ntroduire cette sonde, on fait placer le malade comme si l'on voulait pratiquer le cathé-térisme rectiligne, debout ou assis, sur

it subir dans ces derniers temps, en France, aux instrumens propres à pratiquer la cautérisation de l'urètre, il n'en est pas moi

a cure par la dilatation. Si au con-traire il ne pouvait pénétrer, il pratiquait une troisième cauté-risation, après laquelle il p

é-rise l'obstacle; après cette cautérisation on peut immédiatement en pratiquer une seconde avec la sonde n. 3 ou 4 sur le premie

tes, aux dé-chirures de l'urètre, etc., pour oser la conseiller ou la pratiquer , attendu qu'il y a d'autres moyens plus doux et p

SCARIFICATION. On donne le nom de scarifications à des incisions pratiquées dans l'urètre avec des instrumens auxquels leur d

son extrémité antérieure d'un petit bouton d'argent, et à l'autre est pratiqué un pas de vis sur lequel s'ajuste la seconde pièc

as, comme cela arrive quelquefois chez les vieillards, il faudrait en pratiquer une seconde et même une troisième. Si, lorsque le

nsiste à ouvrir l'urètre de l'extérieur à l'intérieur, était beaucoup pratiquée autrefois; on poussait même la hardiesse, dans qu

re la cicatrisation qui ne tarde pas à se faire, bien qu'on n'ait pas pratiqué de point de suture. M. Lefèvre de Joinville a o

suite d'une gangrène, et chez lequel l'usage des sondes et la su-ture pratiquée antérieurement n'avaient produit aucun effet avan

irement à l'état de fistule une portion de la perte de substance ou à pratiquer au besoin, au périnée, l'opération de la bouton-n

i° lorsque l'urètre est oblitéré; a" lorsqu'il n'est pas possible de pratiquer le cathé-térisme; 3° enfin, lorsqu'on aura eu rec

s'échapper. Dans l'un et l'autre cas, l'extraction, par une incision pratiquée au périnée, est le seul moyen à employer, seuleme

al, jusque sur le calcul , un cathéter cannelé qui sert de guide pour pratiquer une incision longitudinale dans la partie muscule

re. Ce procédé, mis à exécution, réussit parfaitement. M. Gensoul a pratiqué la même opération chez une femme. Les bords de la

nction de la vessie. Dans un cas de cette espèce cité par Sabatier,on pratiqua la ponction sus-pubienne au malade, qui porta la

ssé en place jusqu'à ce que la tumeur soit détachée. Lorsqu'on veut pratiquer la ligature du lobe hypertrophié, il faut introdu

e seul moyen de sauver le ma-lade. La ponction de la vessie peut se pratiquer de quatre manières différentes, par le périnée, p

néale, recommandée par Riolan et Thévenin et décrite par Dionis,a été pratiquée par Tolleten 1701. Dionis con-seille de faire une

émoires de l'Académie des sciences, est l'un des premiers qui l'aient pratiquée . Morand etTollet l'ont aussi exécutée vers la mêm

de s'étonner que la ponction sus-pubienne de la vessie n'ait pas été pratiquée plus tôt, car la taille hypogastrique, qui se fai

c la face antérieure de la vessie. Dans sa première opération, Méry pratiqua sa ponction sur le bord externe et à l'extrémité

Cette opération n'est guère proposable, et en devrait presque être pratiquée que dans les cas où un gonflement chronique de la

. Procédé de. Lafaye. Ce chirurgien se servit, dans le cas où il le pratiqua , d'une algalie légèrement courbe, ouverte à ses d

est une opération qu'on doit être très rarement dans l'obligation de pratiquer . Dans tous les cas, si l'on se trouvait obligé d'

'issue funeste du traitement. En réalité, la ponction de la vessie, pratiquée en temps conve-nable, fait d'abord cesser les acc

z sur tous les autres , le choix dépend bien moins, chez ceux qui les pratiquent , de la certitude, par eux acquise, de la supérior

ent en faveur du précepte général qui domine toute la chirurgie de ne pratiquer aucune opération qu'autant que l'existence, ou du

de détritus lithiques, mais chez lesquels le cathétérisme n'ayant été pratiqué ni avant ni après le traitement, la preuve n'est

estruction d'un calcul; 3° ceux chez lesquels le cathétérisme n'a été pratiqué qu'avant le traite-ment. Depuis huit années ( 183

emps à autre, des boissons alcalines ; 4° enfin les malades où l'on a pratiqué le cathétérisme à plusieurs reprises avant et pen

d'abord a donné passage au liquide épanché, quelques chirurgiens sans pratiquer de plaie (nouvelle) brisent, au dedans , la pierr

maginés et les avoir fait exécuter, et enfin le troisième comme ayant pratiqué le premier, avec succès, quelques opérations de l

reste plus de traces, ce dont on s'assure par le cathétérisme simple, pratiqué à quelques jours de l'époque où l'on a cessé de r

es fragmens de pierre avec le litholabe. Procédé de M. Pravaz. Pour pratiquer les perforations suc-cessives, M. Pravaz a imagin

succès. Le grave inconvénient de cette méthode est de ne permettre de pratiquer qu'un trou de 7 à 8 millimètres de diamètre, et d

emps nécessaire à la destruction du calcul. Nul doute que l'evidement pratiqué , soit avec la fraise élastique de M. Leroy, soit

orer le calcul, puis au moyen d'ailes qui sortaient par deux fenêtres pratiquées sur la tête du foret, il s'efforçait de le fixer;

le nom de magasin. A 2 centhnèt. 1/2 environ de cette extrémité, sont pratiquées deux larges ouver-tures situées vis-à-vis l'une d

'emploi des instrumens lithotriteurs. La plu-part des chirurgiens qui pratiquent la lithotritie pensent que cet examen, par la son

it aucune lumière, car l'une et l'autre opéra-tions ne sauraient être pratiquées indifféremment dans les mêmes conditions, attendu

avec de la persistance, à vaincre les contractions de l'organe, et à pratiquer le broiement de calculs petits et friables; mais

pprimé. D'après ce qui précède, nous voyons que si l'on se décidait à pratiquer la lithotritie en pareille circonstance, il faudr

s précisément d'accord pour savoir si, avec leur coexistence, on peut pratiquer cette opération, ou si l'on doit s'en abstenir. A

la libre sortie de l'urine. Dans ces cas la lithotritie ne peut être pratiquée avec des instrumens droits ; elle est encore très

ourt et dilatable, il vaut mieux, quand une opération est nécessaire, pratiquer la taille vaginale qui est facile et peu dangereu

ire connaître. C'est pour le pra-ticien un avertissement, qu'avant de pratiquer cette opération il a dû s'être beaucoup exercé au

u plus ou moins de soin et d'habileté avec lesquels l'opération a été pratiquée , sont en grand nombre. i° Urétrite. Elle se dév

la ma-noeuvre instrumentale; soit que de nouvelles manoeuvres soient pratiquées en temps inopportun, ou qu'on ne mette pas en usa

de la rétention de l'urine. M. Ci-viale conseille, en pareil cas, de pratiquer une pression douce et graduée sur le point du can

à d'autres tenta-« tives , après qu'on eut reconnu l'impossibilité de pratiquer le « broiement. Les renseignemens (manoeuvres) in

ort dangereuse, puis-qu'il faisait jurer à ses élèves de ne jamais la pratiquer . Peut-être aussi la regardait-il comme indigne de

des chirurgiens qui se res-pectaient, vu qu'à son époque elle n'était pratiquée que par des opérateurs ambulans. La lithotomie fu

née, l'hypogastre et le rectum. De là, trois manières principales, de pratiquer la taille, qui ont tiré leur nom des parties qu'o

iers jours qui précèdent l'opération , et quelques heures avant de la pratiquer , on doit avoir soin de faire évacuer le rectum pa

t. Mais il faut remarquer que dans la taille bilatérale, telle que la pratiquait Dupuytren, l'in-cision était courbée en demi-lune

orment souvent des plexus considérables qui, à la suite des incisions pratiquées au travers, laissent écouler en nappe du sang qu'

i et une curette. manuel opératoire. Cette opération ne devant se pratiquer que sur des enfans de 65 neuf à quatorze ans,

vait redoutées le démonstrateur du grand appareil, car personne n'osa pratiquer cette opération, et Maria-no, qui en demeura seul

nel situé près de Troyes en Champagne, qui passait pour très habile à pratiquer les opé-rations de chirurgie les plus difficiles

z large pour lui donner passage. Appréciation de la taille médiane. Pratiquée en suivant à la lettre le procédé de Mariano Sa

la dilatation et la déchirure con-sécutive des parties. Au contraire, pratiquée par les procédés de Maréchal ou de Vacca, non-seu

rurgiens. M. Clot, entre autres, annonçait, dès l'année 183a, l'avoir pratiquée i3 fois avec succès ; toutefois on lui préfère gé

ns en dehors du côté de l'ischion. Franco, à la vérité, recommande de pratiquer l'incision à droite; mais ainsi que le fait remar

ix ans un empirique nommé Pau-loni qui parcourait les campagnes où il pratiquait la taille. A la fin, n'ayant pas voulu accompagne

re aux médecins de l'Hôtel-Dieu d'examiner sa capacité. Frère Jacques pratiqua sa première opération sur un cadavre dans la vess

ne pierre. Voici, au rapport de M. Méry, le procédé suivant lequel il pratiqua cette opération. Premier procède du Frère Jacqu

ibuer à Hunault l'in-vention du procédé de la taille latéralisée, que pratiquait Frère Jacques, et d'en déposséder ce dernier; mai

n 1731 dans les mémoires de ce corps savant. Le chirurgien anglais ne pratiquait pas toujours l'opération dont il s'agit suivant l

ran. Ce procédé, qui n'ajoute rien de bon à la taille latéralisée, se pratiquait à l'aide d'un bistouri en rondache, de 14 millimè

que Lecat fut devenu chirurgien en chef de l'Hôtel-Dieu de Rouen , il pratiqua d'abord la taille la-téralisée par le procédé de

ue je me suis trompé « dans l'appréciation du volume du calcul que de pratiquer d'a-ce bord une grande incision dans laquelle je

exécutent comme dans les autres procédés. Avec cet instrument on peut pratiquer la taille latéra-lisée ou la taille médiane. Ca

autre cadavre, distendue par de l'eau, et réussit à la vider. Pour pratiquer son opération , il se servait d'un trocart dont l

des chirurgiens. Comme nous l'avons dit, c'est la taille latérale que pratiquait Frère Jacques, avant d'avoir cannelé son cathéter

la cannelure du cathéter comme guide. Mais encore cette méthode ainsi pratiquée , non seulement ne ga-rantirait pas suffisamment,

s au tond de la plaie semi-lunaire (Pl. 64, fig. 1). Cette manière de pratiquer la taille, long-temps confondue avec le petit app

texte de Celse qui donnèrent au chirurgien de l'Hôtel-Dieu l'idée de pratiquer l'incision dans le sens de l'opi-nion de Chaussie

pl. 64 fig- 2 ). « Avec le « double cystotome, dit Dupuytren, on peut pratiquer aisément « et d'un seul coup, sur les côtés du co

up plus facile de pré-ciser les limites. La taille bilatérale a été pratiquée soixante-dix fois par Du-puytren. Il y eut à l'Hô

olumineux que dans les autres pro-cédés. Ainsi donc , il commence par pratiquer la taille latéralisée suivant l'un des procédés p

ion membraneuse et un peu de la portion prostatique de l'urètre étant pratiquée , il s'agitde faire I'incision intérieure, celle d

celle de la prostate et du col de la vessie. Nous avons vu qu'elle se pratiquait avec trois sortes d'instrumens, le lithotome cach

as simples, la taille latéralisée, comme maintes lois je la lui ai vu pratiquer , ne se composait pour lui cpie de trois incisions

. Dans ce cas il y aurait plusieurs partis à prendre. Si l'on n'avait pratiqué que la taille latéralisée, il serait sage de fair

par le périnée, quelle (pie soit l'étendue des incisions qu'on y ait pratiquée . En se tenant dans les limites de la prostate, Bo

it mieux, ainsi que le fit Franco avec succès, pour la première fois, pratiquer la taille hypogastrique, que de vouloir à tout pr

ture. Si l'on redoute le séjour de l'urine dans la vessie, on préfère pratiquer le cathé-térisme toutes les fois que le besoin d'

sseau ouvert dans la plaie, il était trop difficile de le lier, on en pratiquerait la torsion, et dans le cas où celle-ci ne pourrai

re fabriqué partout et à l'impro-viste. Lorsque le tamponnement est pratiqué , il faut faire placer le malade dans son lit et l

la première fois; s'il ne pouvait prévenir l'épanchement interne, on pratiquerait la ligature de l'artère honteuse par l'un des pro

es craintes qu'elle avait fait naître ; aussi maintenant a-t-elle été pratiquée par un grand nom-bre de chirurgiens : Sanson, son

omme on le voit, c'est par des Italiens qu'elle a été le plus souvent pratiquée . Sur une centaine environ d'opérations de cette n

ron d'opérations de cette nature, il ne paraît pas qu'il y en ait été pratiqué plus d'une trentaine en France jus-qu'en 1824, ai

'il a 8 à g centimètres. C'est le long « de cette ligne que doit être pratiquée la taille recto-vésicale. » (Dict. de Méd. et Chi

faciliter la sortie des fragmens brisés, et enfin de mettre à même de pratiquer immé-diatement et avec sûreté les débridemens que

. Celui que retira M. Barbantini, de Lucques, la pre-mière fois qu'il pratiqua la taille recto-vésicale, pesait un peu plus de 2

anco , encore fût-ce le hasard qui conduisit ce grand chirurgien à la pratiquer , comme il le dit lui-même dans son traité des her

ucoup vantée, il paraît néanmoins qu'il n'eut jamais l'occasion de la pratiquer sur le vivant. En i635, Nicolas Piètre revint sur

. Suivant le rapport de Collot, qui écrivait en 1681, Bonnet l'aurait pratiquée à l'Hôtel-Dieu avec un succès complet; T. Proby d

, il faut arriver jusqu'en 1718, époque à laquelle Jacques Douglas la pratiqua avec succès pour la première fois, en Angleterre.

acgill 1 sur 4; ce qui fait en tout 5 morts pour 3i opérés. Morand la pratiqua , à Paris, aux Invalides, en 1827 ; mais son malad

t fait beaucoup négliger, encore necessa-t-ellepas entièrement d'être pratiquée . Toutefois, il faut signaler, à cet égard, comme

i, son neveu M. Souberbielle, l'adopta comme méthode générale, et. la pratiqua exclusivement comme il le fait encore. En même te

Pl. 5i et 5a). Ce dont il est important de se rappeler lorsqu'on veut pratiquer la taille hypogastrique, C'est la disposition du

, en 1811, Dupuytren démontra que cette incision, alors gé-néralement pratiquée , était une complication inutile, exposait à des d

ar beaucoup de chirurgiens, est aujourd'hui la règle en vigueur. Pour pratiquer cette incision, on place le doigt indi-cateur dan

cation n'est même pas proposable. Procédé de M. Baudens. Au lieu de pratiquer son incision directement sur la ligne blanche, M.

ntestable, il ne faudrait pas croire que cette opération fût facile à pratiquer . Au contraire, elle présenterait, dans son exécut

e urinaire un épanchement de sang assez considérable, pour l'obligera pratiquer la taille hypogastrique afin de pouvoir retirer l

ns y déterminer des contusions et des déchirures, ou sans obliger à y pratiquer des incisions plus étendues que les règles établi

hotritie chez la femme, aurait dû être renvoyée aux opérations qui se pratiquent sur les organes génito-urinaires. Néanmoins comme

et en usage chez l'homme ; mais il n'en est plus ainsi lorsqu'on veut pratiquer la taille par dessous les pubis. Outre l'hypoga

lus grande étendue par l'ex-tension des tissus dans lesquels elle est pratiquée (Pl. 67, fig. 1, et fig. 2 pour l'extraction du c

, et la base en arrière. Historique. Rousset est le premier qui ait pratiqué la taille vésico-vaginale. La malade, âgée de soi

par le même moyen 42 calculs delà vessie d'une femme. En 1740, Gooch pratiqua l'opération pour un cas analogue à ceux de F. de

rs autres praticiens, qu'il serait trop long de nommer, ont également pratiqué avec succès cette opération, dans des cas moins g

ventre, les cuisses et les jambes fléchies, il serait plus facile de pratiquer les incisions convenables. Quoi qu'il en soit, le

cas des fistules ordinaires. Appréciation des méthodes usitées pour pratiquer la taille chez la femme. Des trois méthodes dont

irmité dégoûtante qui, à elle seule , suffirait pour dé-tourner de la pratiquer . Toutefois, l'existence de cette fistule que M. V

ut appareil. résultats statistiques des diverses especes de tailles pratiquées chez l'homme. La plupart des praticiens cpù ont

us-pubienne, il y a eu 5 morts, ce qui donne i sur 6. F. Corne, qui a pratiqué une centaine de fois la même opération dans l'esp

tenant les résultats de toutes les tailles prises in-distinctement et pratiquées à divers temps par des chirurgiens de pays différ

tre faite du même côté de la grande lèvre; M. Velpeau , qui dit avoir pratiqué cette opération quinze fois avec succès, choisit

ration peut être nécessitée par des causes diverses. Autrefois, on la pratiquait souvent dans le but de modérer les désirs vénérie

d'une incision, l'union anormale des parties. Mais il convient de la pratiquer avant l'époque de la parturition, car alors l'enf

et par lathéorie et par l'expérience, pour qu'on ne néglige pas de la pratiquer lorsque la rétention du sang menstruel détermine

hes, c'est-à-dire un mois ou deux après l'accident, qu'il convient de pratiquer l'opération. Manuel opératoire. On peut employe

. Dieffenbach. Dans un cas de rupture complète du périnée, apresavoir pratiqué la suture enchevillèe telle quenous venons de la

ent tiraillées, et couraient le risque d'être déchirées par les fils, pratiqua de chaque côté sur les tégumens, une incision sem

e en usage di-verses autres espèces de suture. Dans un cas Saucerotte pratiqua la suture du pelletier. Noël, fit deux points de

astre, par le vagin et par le rectum. i" Toucher abdominal. Pour le pratiquer avec fruit, il faut faire placer la malade sur un

e liquide et de gaz. ia Toucher vaginal. Il y a deux manières de le pratiquer : dans l'une, la femme est debout, et dans l'aut

on poids ou son volume , et surtout le ballottement du fœtus, on doit pratiquer le toucher debout; mais si l'on veut explorer le

inal le toucher abdominal: au reste , le plus souvent, il convient de pratiquer le toucher dans les deux positions. Toucher par

n de le faire servir au traitement des fistules vésico-vaginales, fit pratiquer une échancrure vers sa région supérieure, et M. R

doit être à-peu-près la même que celle qu'on lui donne lorsqu'on veut pratiquer la version, ou l'opération de la taille. Lorsqu'i

e rosace le suit et se rap-proche du bord. Si donc on avait oublié de pratiquer le toucher, cet indice pourrait servir de guide p

'il put en terminer la cure par la cautérisation. En 1829, M. Boux la pratiqua sur une femme qui succomba quelques jours après;

, et une lame tranchante qui glisse dans une rainure de la pince pour pratiquer l'excision. La fig. 20 représente la pince de M.

mètres de longueur , est armée d'un fil qui se loge dans une rainure, pratiquée sur le bord externe de chaque branche, et qui est

e que les au-teurs rapportent de cette méthode, on voit qu'elle a été pratiquée un assez grand nombre de fois avec des succès var

nconvéniens des fistules vé-sico-vaginales. La première opération fut pratiquée en i83a. La femme avait 35 ans, et la fistule éta

e une opération anormale et qu'on ne doit pas facilement se décider à pratiquer , parce qu'elle détruit la possibilité des rapport

les frais de la guérison. C'est le cas, alors, d'employer la suture. Pratiquée une ou plusieurs fois, si l'on n'en obtient pas l

alade guérit. En pareil cas, nous pensons qu'il se-rait préférable de pratiquer la suture avec l'aiguille en spirale, de M. Colom

rait l'une après l'autre, et non en même temps, vu l'impossibilité de pratiquer l'opération et d'en gouverner les suites à-la-foi

recto-vaginale que par un pédicule. De semblables opérations ont été pratiquées par Sanson et M. Velpeau. Enfin on peut en-core e

u de songer à l'embryotomie; on se décida pour l'extir-pation qui fut pratiquée de la manière suivante. On découvrit la tumeur

solut d'appliquer à la chute du vagin l'opération que Dupuytren avait pratiquée avec succès pour la chute du rectum. Après avoir

nt les moyens propres à borner la gangrène. Toutefois, M. A. Bérard a pratiqué une fois l'extirpation avec le bistouri. En parei

présenté en 1824 à l'Acadé-mie de médecine de Paris. M. Laugier l'a pratiquée en i833 avec le nitrate acide de mer-cure; son bu

u-laire assez solide pour fixer le vagin aux parties voisines. Pour pratiquer l'opération on place, dans le vagin, un spéculum

Fricke, et qu'elle aurait de moins l'avantage de ne pouvoir pas être pratiquée à tous les âges. En résumé, de toutes les opéra

miner des accidens graves, ulcérer et même perforer le vagin. Pour en pratiquer l'extraction, quel-ques personnes, après avoir in

bien inciser le devant de l'anus et une par-tie du périnée, comme l'a pratiqué M. Lisfranc. Des tenettes ou de longues pinces in

t une troisième fois par M. Baynham. Ponction par le vagin. Pour la pratiquer , on se sert d'un bis-touri étroit, entouré d'une

testin que du côté du vagin : c'est par cette voie que M. Baynham l'a pratiquée avec succès. Le trocart ordinaire doit être rempl

vaient appliqué cette opération qu'aux polypes du nez. Roudou l'ayant pratiquée avec succès, en proposa l'adoption cpù fut aussi

il serait impossible de porter une ligature sur le pédicule , ou d'en pratiquer l'excision, et alors ce serait avec divers inslru

sur elle des tractions assez fortes. 3° Broiement. M. Récamier l'a pratiqué deux fois avec succès. Dans le premier cas, il s'

arrachement fait en tournant, au lieu d'être fait en tirant. Il a été pratiqué avec succès, et conseillé dans le siècle dernier

ur du poing, chez une femme qui venait d'accoucher. Dupuytren qui l'a pratiquée plusieurs fois, conseille de dilater le vagin ave

ation que l'art possède, beaucoup de chirurgiens hésitent encore à la pratiquer , il paraît néanmoins qu'elle aurait été l'une des

us. Au seizième siècle (1570), Fabrice d'Aqua-pendente, non-seulement pratiquait l'excision, mais la manière dont il y procédait a

ls sont situés hors de la vulve. Herbiniaux, plus hardi, recommence à pratiquer plus profondé-ment l'excision, et la porte avec s

s, comme Herbiniaux le pre-mier l'a tenté avec succès, et comme l'ont pratiqué , d'après lui, MM. Deneux, Murât et Hervez de Chég

e, dans les deux cas, la femme mourut. Mais Dupuy-tren qui n'a jamais pratiqué d'autre méthode, ne s'est trouvé qu'une seule foi

nt plus que dans les conditions de corps étrangers, dont il suffit de pratiquer l'extraction. Les autres ren-fermées dans l'épais

ent déjà séparés de l'opi-nion commune en admettant la possibilité de pratiquer l'énucléa-tion des tumeurs fibreuses, au travers

e tumeurs fibreuses pédiculées (polypes). La première opération a été pratiquée le 11 juin 1840, sur une femme de 45 ans qui, à l

roitesse du col faisant obstacle, quelques petites incisions y furent pratiquées et permirent de porter plus haut les érignes ; de

'opération put marcher d'une manière plus assurée. Une incision étant pratiquée dans le tissu de l'utérus qui formait enveloppe,

forment l'enve-loppe pelvienne de la tumeur. L'ablation terminée, on pratiqua l'excision de quelques lambeaux de l'enveloppe ut

un état satisfaisant. Telle est. la première opération de ce genre, pratiquée par M. Amussat. Depuis, le même chirurgien en a p

e ce genre, pratiquée par M. Amussat. Depuis, le même chirurgien en a pratiqué une se-conde, également avec succès ; enfin, il y

trice , et de proposer aux personnes qui en étaient atteintes de leur pratiquer quelques cautérisations méthodiques; mais, soit i

particulièrement pour les ulcères superficiels. On doit s'abstenir de pratiquer la cautérisation , lorsqu'il existe en même temps

pen-dant leur durée, et trois ou quatre jours après. La manière de pratiquer la cautérisation et son mode d'action étant fort

sert pour l'urètre de l'homme. Quant à nous, qui avons été à même de pratiquer plu-sieurs fois la cautérisation dans l'intérieur

on, la cautérisation n'y est plus applicable, et on a con-seillé d'en pratiquer la ligature ou bien l'amputation. Toutefois, cela

seur à l'université de Gœttingue, est réellement le premier qui l'ait pratiquée , en 1801. Quelques années après, ce chirurgien pu

n se mit en mesure de la soumettre au creu-set de l'expérience, et la pratiqua un grand nombre de fois. M. Récamier, de son côté

ir sans être obligé d'abaisser préalablement la matrice. L'opération, pratiquée de cette ma-nière, offre d'autant plus d'avantage

'emploi de l'instrument de M. Colombat, nous paraîtrait plus facile à pratiquer que les autres, si ce n'était l'in-convénient de

ès le dixième jour , tout danger d'hémorrhagie étant passé , on devra pratiquer le toucher, et appliquer le spéculum pour examine

oncevoir et accoucher comme avant l'opération. Toutefois, lorsqu'on a pratiqué l'amputation du col, on doit recommander à la fem

venue dans huit opérations faites par M. Velpeau. M Dufresse qui en a pratiqué une, en 18^7, en présence de MM. Camus et Varenne

érison a été réelle. Enfin, sur quatorze opérations que M. Pauly a vu pratiquer par M. Lisfranc, depuis le commen-cement de l'ann

nis par M. Lisfranc. Res-tent ceux des autres chirurgiens. Osiander a pratiqué l'amputa-tion du col vingt-huit fois , et Dupuytr

yer de guérir. EXTIRPATION DE L'UTÉRUS. Cette opération peut être pratiquée dans trois cas différens : i° lorsque l'utérus es

e sur le collet de la tumeur et serrée avec un serre-nœud. Baxter l'a pratiquée une fois en traversant le pédicule avec une aigui

mpute, au-dessus ou au-dessous du col, et appliquer, dans la rai-nure pratiquée par l'instrument tranchant, une ligature qui mett

ice par l'instrument tranchant ou avec la ligature. Après l'opération pratiquée par M. Velpeau, l'hémor-rhagie fut légère; mais d

ver la matrice en état de prolapsus; mais on ne doit pas se décider à pratiquer une pareille opération avant d'avoir acquis la ce

ntacte la séreuse que l'on réduit en dernier lieu. Cette opération, pratiquée sur une femme atteinte de pro-lapsus incomplet, a

ÉRUS non DÉPLACÉ. L'extirpation de l'utérus cancéreux, non déplacé, pratiquée pour la première fois en 1822 par M. Sauter, chir

en i83o deux aussi de MM. Récamier et Dubled. Enfin elle a encore été pratiquée plusieurs fois depuis par d'autres chirurgiens, D

ue. L'extirpation de la matrice par l'hy-pogastre aurait, dit-on, été pratiquée fort anciennement; toute-fois, il n'était possibl

e modification de celui indiqué par Gutberlat. Une incision ayant été pratiquée sur la ligne blanche, depuis la symphyse pubienne

sormais du domaine de la chirurgie, de même que ceux des opérations pratiquées sur le col utérin devront sin-gulièrement en rest

i. Dans une opération qui avait pour objet l'ablation de l'ovaire, il pratiqua son incision sur la ligne blanche ; mais, ayant t

dhérences. 4" Extirpation. Proposé par Morand, qui voulait qu'on la pratiquât dès le principe, elle le fut également par Théden

dif-férens, que nous allons décrire rapidement. Procède de Théden. Pratiquer sur la région inguinale une in-cision courbe, en

un kyste ovarique aussi gros qu'un fœtus de 8 mois. Il fut obligé de pratiquer une incision étendue de l'appendice xyphoïde jusq

t, ut internis succuratur, ut Galenus ait. Quoique de Lacourvée l'ait pratiquée sur une femme morte, avant j 765, et Plenck, en 1

s, il en périt aussi beaucoup. Lauverjat, dans sa Nouvelle méthode de pratiquer l'opération césarienne, dit que, sur 18 femmes op

Leroy, craignant la présence de l'air dans l'articulation, proposa de pratiquer l'opération en deux temps; mais sa ma-nière de fa

la femme puisse se débarrasser seule, et d'appliquer le forceps ou de pratiquer la version, quand les efforts de la nature sont i

fet, d'une scie articulée, analogue à celle de Jeffrey, si utile pour pratiquer les sections profondes des os. Procédé de M. Ga

é parla symphyséotomie ordinaire. Dans le seul cas où M. Galbiati ait pratiqué cette opération, il administra immédiatement le s

itulé : de V Hystérotomotofde. Jusque-là, il n'a-vait été question de pratiquer l'opération qu'après la mort de la femme; Rousset

arienne ou par le morcellement. Depuis lors, la section utérine a été pratiquée un grand nombre de fois, avec des succès variés,

lignes à i pouce 6 lignes), que l'enfant soit mort ou vivant, il faut pratiquer l'opération césarienne, parce que, alors, le morc

rte. Lorsque la mort a lieu après le sixième mois, il est de règle de pratiquer l'opération, parce que l'enfant peut être viabl

succès, et elle réussirait probablement bien plus souvent , si on la pratiquait quelques instans avant la mort, lorsque la femme

té. Méthodes opératoires. L'opération césarienne abdominale a été pratiquée de diverses manières. Autrefois, lorsqu'on n'opér

s manières. Autrefois, lorsqu'on n'opérait que sur la femme morte, on pratiquait une incision longitudinale sur l'un des côtés du

voir jamais réussi sur la femme vi-vante , et qu'il ne conseillait de pratiquer que sur la femme morte (ouv. cité, p. 2G0). Aussi

e, préconisa plus tard dans un ouvrage intitulé : Nouvelle méthode de pratiquer l'opération césarienne, une incision trans-versal

e dans un état d'inertie, et que déjà de mauvaises manœu-vres ont été pratiquées , il faut se hâter d'opérer. Moment d'agir. Suiv

derniers temps, à une rupture de la cicatrice, et à la né-cessité de pratiquer la gastroraphie, comme dans le cas cité par Dugès

plètement fermé, ou tellement ren-versé en arrière, que, si l'art n'y pratiquait une ouverture arti-ficielle , l'enfant ne pourrai

é, en fût la cause, le meilleur moyen d'y mettre un terme, serait d'y pratiquer une ou deux incisions. Les polypes de l'utérus, a

as, comme le dit Bodin (Essai sur les accouch., 1 797 ) , qu'on doive pratiquer ce débridement, dans les cas où le bras se présen

tre du bassin en repoussant le fond de la matrice en arrière, il faut pratiquer une incision sur le point où existe le col, ou bi

ux incisionsprofondes, et par cela même, dangereuses; le mieux est de pratiquer de suite, au pourtour du col, une série de petite

e. Au rapport de Flamant (Thèse, n" i3o. Paris 181 1), Lobstein l'a pratiquée une fois. Lauverjat l'avait déjà faite avant lui,

on; il vaut infiniment mieux , lorsqu'on a pé-nétré dans la matrice , pratiquer plusieurs petites incisions qui viennent converge

M. Velpeau, on trouve que , jusqu'en c 835, il y a eu 2Ô5 opérations pratiquées ; sur ce nombre 118 ont réussi, et 147 ont échoué;

ut enfin que par suite de la dernière tentative. Dans les opéra-tions pratiquées plusieurs fois sur la même femme, le rapport des

CONTENUES DANS LE SEPTIEME VOLUME OPÉRATIONS SPÉCIALES qui se pratiquent sur des organes complexes ou spéciaux. OPÉRATIO

le , 29. — Extirpation de la masse ocu-laire, 3o. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'APPAREIL DE L'AUDITION. Pages 3o—36.

nes, 35.—Rétablissement des voies naturelles, 35. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'APPAREIL DE L'OLFACTION. Pages 36—4y-

- — Cathétérisme et perforation des sinus, 45-47- OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES ORGANES DE LA GUSTATION. Pages 47—7 i -

ions, cautérisation, ligature, excision, 70, 7 1. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE COU. Pages 7 1— 86. Goitre. Cautérisatio

corps étrangers, 83, 84-=OEsophagotomie, 85, 86. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE THORAX. Pages 86—97. Extirpation du se

étrangers dans la cavité de la poitrine, g6, 97. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'ABDOMEN. Pages 97—147- AsciTE. Compress

; procédés de MM. Amassât et Baudens, 144- * 4^ ¦ OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE RECTUM ET L'ANUS Pages r47—169. Imperf

167, — Cancer du rectum. Extirpation , 1 67 -16g. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES ORGANES GÉNITO-UR1NAIRES DE L'HOMME. Pa

NES GÉNITO-UR1NAIRES DE L'HOMME. Pages 16g—28g. opérations qui se pratiquent sur le scrotum. Hydrocèfe. Méthodes anciennes.

, 176, 177. — Elephan-tiasis du scrotum, 177,178. opérations qui se pratiquent sur le testicule. SaPiCOCÉle. castration. Génér

ion. Généralités, 178, 179. Extirpation, 179-182. opérations qui se pratiquent sur le pénis. Imperforation du prépuce, section

étrangers. 188. — Am putation du pénis, 188, 18g. opérations qui se pratiquent sur l'urètre et la vessie. Anatomie opératoire

spèces de tailles dans les deux sexes, 292 - 295. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES ORGANES GÉNITAUX DE LA FEMME. Pages 2g5

e des contre-indications que l'on doit le plus respecter. L'opération pratiquée dans deux cas de paralysie d'un seul muscle, par

aralysies seules sont des contre-indications suffisantes. L'opération pratiquée en pareil cas sur deux sujets par MM. P. Guersant

, on la divise, au moyen d'un couteau à « cataracte, par une incision pratiquée dans le canthe interne. « La traction en dehors e

servi à ouvrir la conjonctive. Aussitôt après l'opération, « on fera pratiquer des fomentations froides, et on administrera « un

doit en attendre, déduits également des opérations de même importance pratiquées sur le même or-gane. Peu importe que celui qui a

or-gane. Peu importe que celui qui a tant deviné n'ait pas le premier pratiqué son opération sur le vivant. C'est pourtant bien

ards affirme dans une lettre (bullet. de thérapeut.) avoir le premier pratiqué cette opé-ration. Un médecin attribue à M. Gensou

a valu à M. Phillips des cri-tiques fondées, puisqu'elle n'est point pratiquée par les an-Ires opérateurs, M. Baudens peut-être

soit que l'œil étant peu mobile et peu dévié, il puisse immédiatement pratiquer la division , soit au contraire qu'étant difficil

'opération du strabisme n'étant pas de celles cpie l'on soit forcé de pratiquer d'urgence , dans l'absence des moyens nécessaires

de moyens de toute sorte, qu'il n'en faut aux grands chirurgiens pour pratiquer les opérations les plus graves. Procédé de M. S

interne de l'orbite, qu'il croit le résultat de l'in-cision verticale pratiquée au-devant dans la plupart des procé-dés. Il s'est

rait être employé avec avantage dans la plupart des opérations qui se pratiquent sur les yeux. Les paupières étant fixées avec l

nt et qui constitue particulièrement sa méthode.Toutes ces manœuvres, pratiquées par l'auteur, se succè-dent régulièrement et avec

déré. Avec les ciseaux , il sera toujours facile à tout chirurgien de pratiquer avec succès l'opé-ration du strabisme, sans s'ast

e concourir à la déviation. Seulement on ne doit pas trop se hâter de pratiquer une ou plusieurs autres sections pour des motifs

mps après par toute autre cause, et de plus des faits de vivisections pratiquées par M. Amussat sur le cheval et le mouton. Ces op

èrent avec une telle abondance que ce chirurgien aurait été obligé de pratiquer la transfusion de cinq onces et demie de sang, ap

r appliquer à l'angle externe les manœu-vres qui précédemment ont été pratiquées sur l'angle interne. Ainsi le malade étant placé

une pince à griffes, ou de toute autre manière suivant ie procédé, on pratiquera l'opération comme il a été dit pour l'angle inter

supérieur, et (pie déjà on ait fait la section du droit interne, pour pratiquer celle du droit supé-rieur, il suffit d'agrandir e

i encore un procédé qui n'a qu'une valeur de proposition, n'ayant été pratiqué que sur le cadavre. L'objet de l'auteur est de dé

lui-même; mais hâtons-nous de dire que rien ne prouve que l'opération pratiquée de cette ma-nière aurait le résultat que l'auteur

ourbe du tranchant. M. Baudens a eu déjà plusieurs fois l'occasion de pratiquer ce procédé pour la section du muscle soit isolée,

Considérés en eux-mêmes , et quel que soit le motif pour lequel a été pratiquée l'o-pération , les deux premiers sont les plus sû

une quatrième, enfin une cin-quième section, à mesure que la dernière pratiquée se trou-vait insuffisante. Si on consulte, à cet

quelle circonstance l'un ou l'autre a bien ou mal fait, et n'a point pratiqué , en dernier lieu, telle section qui en aurait évi

t, met dans la nécessité de couper le petit oblique. Cette opération, pratiquée d'abord par M. Baudens (16 mars 1841, pag. 93), a

les fixe par des sutures à points séparés (fig. 10). L'auteur a déjà pratiqué cette opération, avec succès. En résumé, d'aprè

cidive. Le strabisme inverse consécutif résiste rarement à la section pratiquée de l'autre côté , et quant à la récidive, elle cè

Enfin, M. Guérin, i/i5, représenté par G récidives sur 92 opérations pratiquées à l'hôpitaldes enfans. Le terme moyen des quatre,

ortant que la langue, et, dans le but de guérir une simple infirmité, pratiquer presque sans connaissance de cause, les opération

opération du stra-bisme aurait pu, quoique très imparfaite, avoir été pratiquée il y a un siècle , a néanmoins singulièrement éto

s auprès d'un chirurgien fort répan-du et que, presque chaque jour je pratiquais avec bonheur la section des ligamens de la langue

et ce-pendant rien ne prouve qu'il ait eu connaissance de l'opération pratiquée dans l'antiquité romaine. Au lieu de cela, c'est

retomber dans l'oubli une opération qui, étudiée avec persévérance et pratiquée avec sagesse, est peut-être appelée à prendre ran

ici comment l'auteur s'exprime sur la manière dont l'idée lui vint de pratiquer cette opération . « Cette pen-sée de guérir le bé

aire de la langue ( 1 ). La pre-mière opération de M. Dieffenbach fut pratiquée , le 7 janvier 1841, sur Dœnau, âgé de i3 ans. « V

t qu'aucune tentative du même genre n'a été faite. Enfin M. Velpeau a pratiqué la section du pilier antérieur du voile du palais

e lui ont fait adopter le procédé suivant qu'il doit sans doute avoir pratiqué un grand nombre de fois. « La bouche largement ou

te opération n'est presque plus qu'un simple débridement, comme on le pratiquait au temps d'Heister et de Dionis (Pl. F, fig. 7 et

dinairement il n'y est amené que par deux ou trois petites opérations pratiquées à quelques jours d'in-tervalles. Soins consécut

2, 3. (2) Planche G, (ig. 5, 6, 7. 1841), est le premier qui ait pratiqué la section du génio-glosse par un procédé sous-me

e comme les temps complétifs d'une seule , le chirurgien n'arrivant à pratiquer successivement la seconde ou la troisième, qu'aut

mblent pas non plus très favorables. Sur un chiffre de 207 opérations pratiquées par MM. Amussat, Velpeau, Baudens, Dufresse et M.

mbrassant, sous le nom de sclérotomie, les nombreuses sections qui se pratiquent sur les parties scléreuses de l'appareil locomote

exige et les habitudes déjà prises par le public, n'est généralement pratiquée que dans les établissemensparticuliers. CONSIDÉ

bles instrumens, imaginés par une vingtaine d'auteurs différens, pour pratiquer la ténotomie. Il nous suffit de constater que tou

sous-musculaire ou tendineuse. Quand c'est la première qui doit être pratiquée , le ténotome ayant été introduit à plat, le doigt

le redressement complet de la partie difforme, ce qui l'engagerait à pratiquer de proche en proche une série de sections inutile

inutiles. Lorsque les sections vé-ritablement indispensables ont été pratiquées , le reste doit être obtenu par l'emploi des appar

les enfans en très bas âge; ce n'est que peu-à-peu qu'on a commencé à pratiquer d'abord la section du ten-don d'Achille, puis suc

s grande réserve, non-seulement à opérer la sclérotoinie, mais même à pratiquer avec violence le redressement du membre par des m

iculations, en exagérant, avec violence, la flexion du membre et n'en pratiquait qu'ultérieurement l'exten-sion. Quoique, suivant

ten-sion. Quoique, suivant le témoignage de M. Phillips, qui l'aurait pratiquée lui-même, cette méthode soit censée avoir eu de b

s, sur l'autre côté, divise le biceps. Les sections tendineuses étant pratiquées , supposé que celles du droit interne et du coutur

ion des muscles qui meuvent l'articulation coxo-fémorale. M. Guérin a pratiqué la myotomie de l'attache, au sacrum, du muscle fe

es tendons se rendent à la main; mais il faut le dire , les sections, pratiquées dans ces attaches aponévrotiques si courtes, ne p

solés, soit sur la masse du sacro-spinal. Nous lui avons vu nous-même pratiquer cette dernière opération qui a permis aussitôt le

u même que, par extension du principe, il pourra devenir possi-ble de pratiquer sous la peau. Dans cette formule se trouvent comp

ces cutanés à la largeur même de la lame. Enfin, M. Dieffenbach qui a pratiqué , à l'invitation de M. Stromeyer, un si grand nomb

e communication avec l'air extérieur; et le moyen de l'obtenir est de pratiquer une très petite ouverture à la peau , le plus loi

ction sous-cutanée du sphincter de l'anus pour la fis-sure, opération pratiquée une fois par nous et répétée déjà avec un succès

ue le champ s'en élargira encore davantage. M. Guérin se propose de pratiquer le débridement sous-cuta-né des hernies crurales

ur la ponction de tumeurs articulaires, comme AI. Guérin l'a lui-même pratiquée un grand nombre de fois. 3" M. Dufresse Cbassai

-même remplacé par une mouche d'em-plâtre adhésif. M. Guérin a déjà pratiqué avec succès , quant à l'opération du moins, ce no

, comme nous nous en sommes assuré, que dans les ponctions multiples, pratiquées par M. Gué-rin, les trajets sous-cutanés ne s'enf

oir recours à une nouvelle opération. Nous avons vu ainsi M. Guérin pratiquer , à quelques jours d'intervalle, sur des mala-des

s 1 et 1 bis. Section de la peau et du muscle orbiculaire palpé-bral, pratiquée circulairement au travers du sourcil. 2, 3,4, 5

. Pl. 1. TOME VII. PLANCHE 2. INSTRUMENTS DES OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'OEIL. GRANDEUR REELLE. INSTRUMENS SPECI

rdy. 25. Clous en plomb de Scarpa. 26. Trocart de M. Laugier pour pratiquer une route artificielle en per- forant le sinus

FIGURE i. Position figurée de la tête, dans les opérations qui se pratiquent sur les yeux et au travers des fosses nasales. Le

uri. FIGURE 5. Perforation de la cloison du sinus maxillaire pour pratiquer une voie nasale artificielle. L'opération est cel

uer une voie nasale artificielle. L'opération est celle de M. Laugier pratiquée avec son trocart. FIGURE 6. Perforation des l

e supérieure (procédé de Dieffenbach ). Figure 7. La même opération pratiquée à la paupière inférieure relevée par le fait de l

la paupière et l'ouverture de l'œil. PLANCHE 6. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES PAUPIÈRES. GRANDEUR NATURELLE. Figure

ard C° TOME VIL PLANCHES 7 ET 8. PLANCHE 7. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES PAUPIÈRES. GRANDEUR NATURELLE. Figure

me temps le bord de la paupière avec une pince plate (d); après avoir pratiqué une inci-sion à la peau, parallèle au bord palpéb

re 4. Les deux incisions latérales de l'épaisseur de la paupière sont pratiquées et permettent à la paupière d'être relevée entre

s deux sections.—Figure 5. Pansement Vopération terminée. Après avoir pratiqué , dans un second temps, l'excision perpendiculaire

celui où la pointe de l'instrument ressort à l'extérieur après avoir pratiqué la contre-ponction d'arrière en avant. La paupièr

ratomie supérieure ( avec le couteau de Riehlcr ). L'o-pération étant pratiquée sur l'œil droit, cet organe est vu la tête ren-ve

me la situation de la plaie extérieure. Figure 9. Kératomie oblique pratiquée avec le couteau de Wenzel. PLANCHE 10. OPÉRAT

(procédéde Wenzel). La double incision étant faite comme l'a, depuis, pratiquée M. Velpeau, qui s'arrête à ce premier temps, prat

e l'a, depuis, pratiquée M. Velpeau, qui s'arrête à ce premier temps, pratiquer la section du lambeau avec des pinces et des cise

édé de M. Guérin). Une double incision à l'iris étant faite en croix, pratiquer isolément avec des ciseaux l'excision des quatre

es ciseaux, du centre de l'iris imperforé. Dans la figure, au lieu de pratiquer l'excision sur l'iris faisant hernie dans la plai

-duction de l'érigne au travers d'une moitié opaque de la cornée pour pratiquer le décollement sur un point quelconque de l'iris

ès nature par N.H. Jacob.. TOME VIL PLANCHE 12. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'OREILLE. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE. ca

it pavillon ou en-tonnoir en argent qui facilite les injections d'air pratiquées par M. De-leau, et fournit, par deux petits annea

ée assez profondément, il ne s'agit plus que de tordre le fil pour en pratiquer la section. Dans le cas con-traire on procède à u

. Tumeur érectile du pavillon de l'oreille pour la-quelle Dupuytren a pratiqué sans succès la ligature de la carotide. Tome 7

de Lemercier Benard et C°. TOME VIL PLANCHE 15. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'OREILLE. GRANDEUR NATURELLE. FIGURES 1,

u palais, une incision (d), de l'attache osseuse au bord libre, a été pratiquée dans cette cloison membraneuse. Cette incision po

ard et C. TOME VIL PLANCHE 16. GÉNOPLASTIQUE. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES FOSSES NASALES. DEMI-NATURE. FIGURE

M. Lallemand. Ces figures sont faites en imitation d'une opération pratiquée par Le célèbre professeur de Montpellier et que l

tion des lambeaux. a. Emplacement d'une dent déviée dont il a fallu pratiquer l'arra- chement. b. Surface de la perte de su

NUS. Figure 5. Perforation des sinus frontaux. Une incision étant pratiquée en regard du sinus frontal, l'opérateur est occup

verticale de M. Lisfranc. C'est de cette manière que l'opération est pratiquée , afin que les deux lignes de l'in-cision inférieu

E 18. BECS-DE-LIEVRE. grandeur naturelle. Trois cas d'opération pratiqués par Ant. Dubois et copiés sur des pièces en cire

let gingival avec un tubercule cutané irrégulier. Figure 2. Opération pratiquée . Le tubercule cutané (a) {fig. 1, 2, 3) est rafra

que de faire cicatriser l'orifice fistuleux. FIGURE 5. Même procédé pratiqué avec deux aiguilles mises en position, et dont ch

e saisie et amenée au dehors par une érigne de Museux (g), au lieu de pratiquer la section en travers, comme l'indique Louis, la

irconscrite entre deux inci-sions latérales en V dont la première est pratiquée et dont la se-conde s'achève avec le bistouri (h)

dans les divers procédés usités, l'opération est figu-rée la ligature pratiquée par la bouche, de la base de la langue à sa face

de M. Leroi d'Étiolles imités de celui de M. de Pierris et destinés à pratiquer d'une seule fois le passage des trois fils à liga

. Procédé de M. Dieffenbach. L'opération de la staphyloraphie étant pratiquée comme à l'ordi-naire, les trois ligatures posées

xcision de la luette : saisie avec la pince à polype, l'ex-cision est pratiquée avec les ciseaux courbes. PLANCHE 24. CATHÉTÉ

adavérique, le cathétérisme du larynx avec la sonde de Chaussier pour pratiquer la respiration artificielle dans le cas d'asphyxi

on après la trachéotomie. A. Laryngotomie. L'opération est supposée pratiquée pour l'extrac-tion d'une pièce de monnaie engagée

ar deux bandelettes agglutinatives en croix. Figure 2. Trachéotomie pratiquée pour extraire un corps étranger qui a franchi acc

s thyroïde coupé verticalement et la ligature des veines lésées étant pratiquée , on a incisé quatre anneaux de la trachée et fait

uation, le cou tendu, le men-ton incliné un peu à droite, l'opération pratiquée a pour objet d'ex-traire un corps étranger fiché

gitudinale de trois à quatre centi- mètres de longueur vient d'être pratiquée en regard du corps étranger. h. Main droite du

28. OPÉRATION DE L'EMPYÈME. Figure 1. L'opération est représentée pratiquée du côté droit sur un homme adulte. Le sujet est c

n pour tendre les chairs du côté sur lequel on opère. L'opération est pratiquée sur le quatrième espace intercostal à compter de

r l'une et l'autre côte, tendant la peau en travers, l'incision a été pratiquée parallèlement au milieu de l'espace intercostal e

e flot de liquide se fait jour au dehors. Figure 2. Mode d'incision pratiqué en refoulant fortement les té-gumens et les chair

étant mise à découvert par l'incision , un trou en emporte-pièce est pratiqué au milieu de l'os avec un petit trépan perforé ;

n aide de face applique les deux mains (a et b) sur l'abdomen, prêt à pratiquer la compression méthodique pour l'expulsion du liq

a section des chairs. Figure 2. La suture du Pelletier vient d'être pratiquée pour une plaie longitudinale; pendant que de la m

Figure 3. Aspect des deux bouts de l'intestin au moment où l'on va pratiquer le froncement des fils pour déterminer l'affron-t

eleveur de l'anus. L'intestin est vu dans l'écartement d'une incision pratiquée à l'aponévrose et au sac herniaire. Une aiguille

dans, —(i) Débridement de Dupuytren, oblique en haut et en de-hors et pratiqué de l'extérieur à l'intérieur avec le bistouri à t

e Callisen, mais modifiée par l'incision transversale. Son but est de pratiquer l'anus artificiel du colon lombaire, gauche ou dr

égion dorso-lombaire en dessus. L'incision de la paroi abdominale est pratiquée . Elle intéresse, en arrière, le grand dorsal et l

touri, de la portion dé-clive du cœcum au travers d'une plaie oblique pratiquée dans la paroi abdominale. Figure 2. Réunion de

FIGURE 1. Ligature d'un polype du rectum. L'opération est représentée pratiquée à l'aide du spéculum à branches de M. Charrière.

de sections périphériques. Sur la figure trois de ces excisions sont pratiquées , on en opère une quatrième avec les ciseaux courb

ale du rectum. L'opération de la figure 4 est représentée comme l'a pratiquée M. Amussat. sur une petite fille nouvellement née

extrémité inférieure, l'opérateur, avec la main droite, est occupé à pratiquer la ponction avec le trocart, dirigé d'avant en ar

ès nature TOME VII. PLANCHE Si instrumens des opérations QUI SU PRATIQUENT DANS 01 PAR LE CANAL DE L'URETRE. DEMI -GRAN DE

N.H. Jacob. TOME Mi. PLANCHES 5 6 ET 56 BIS. OPERATIONS OUI SE PRATIQUENT DANS LE CANAL DE L'URÈTRE. PLANCHE 56. GATHET

ette articulée. Figures 3 et 4- Extraction à l'aide d'une incision, pratiquée par M. Leroy-d'Etiolles, d'un fort calcul urétral

vaisseaux et sort de la prostate. E. Petites incisions supérieures pratiquées avec le bistouri boulonné (M. Vi-dal de Cassis).

n aide, dont l'autre main (b) soulève le scrotum. Le chirurgien qui a pratiqué d'abord, de bas en haut, ou d'arrière en avant, l

ature). Figure 1. L'incision sus-pubienne de la ligne blanche étant pratiquée , puis la vessie incisée , le chirurgien qui sout

te figure est de montrer combien les conditions sont restreintes pour pratiquer avec succès cette manœuvre, c'est-à-dire, pour qu

de l'espace sous-clitoridien. C. Incision verticale sous-pubienne, pratiquée par la main droite du chirurgien. Figure 2. Ext

rapprochement des bords de la plaie, deux incisions latérales ont été pratiquées à la peau, suivant le procédé de M. Dieffenbach,

ux-mêmes légèrement avivés par l'instrument tran-chant. La suture est pratiquée , comme pour la staphyloraphie, avec le porte-aigu

du fond du vagin à la vulve. De longs ciseaux courbes sur le plat (c) pratiquent la section du pédicule. Figure 4- Excision d'un

ste de l'ovaire (Procédé de M. Mac-dowell ). Une incision (a) a été pratiquée sur la ligne blanche pour pénétrer dans la cavité

ur. C'est par le bas-fond de l'utérus, renversé sur le rectum, qu'est pratiquée la ponction. FIGURES 3, 4 ET 5. INCISION DU COL

3. Dilatation circulaire par une série de petites incisions en étoile pratiquées avec un long bistouri droit boutonné. Figure 4-

amener clans le vagin, et, si, on le peut, jusqu'au dehors, afin d'eu pratiquer l'excision. Tome 7. Pl.72. D'après nature p

tiers inférieur du ligament large, qui renferme les vaisseaux, a été pratiquée du côté droit, puis la section en a été faite sur

circulaire du vagin (c). De la main droite le chirurgien est occupé à pratiquer avec une aiguille à manche de Grœfe ou de Descham

Demi-nature (Procédé de M. Langenbeck). Une incision (a) ayant été pratiquée sur la ligne blanche, un aide, de ses deux mains

ard et C°. TOME VII. PLANCHE 76. instrumens des opérations oui se pratiquent sur les organes génitaux de la femme. DEMI-DI

mé par le fascia el la conjonctive doit être rabattu après la section pratiquée . Figuhe 6, 7. Opération secondaire en cas d'imm

ctions, chacune des opérations ne signifie pas qu'elle est la seule à pratiquer pour le cas où elle est représentée, mais seuleme

Figure 1. Ponction avec la lancette de l'auteur. Un pli à la peau est pratiqué par la main droite d'un aide (a) et la main gauch

arrière de l'articulation inétatarso-phalangienne. La ponction a été pratiquée du bord interne vers l'externe. FIGURES 6, 7 et

arrière le calcanéum ; (d) main droite armée du ténotome et occupée à pratiquer la section. PLANCHE J. FIGURE t. Cas de varus

e tranchant ( figure 10). FIGURES 11, 12, i3. Petits tenotomes pour pratiquer les sections lendineuses sur les jeunes enfans.

organe en entier sur l'avant-bras. La section, dans ce cas, doit être pratiquée préalablement sur le premier rang de tendons, les

e l'in-strument. Ce n'est donc que dans un second temps que peut être pratiquée la section du tendon du fléchisseur superficiel ;

i avec lenteur et précaution, MM. Bouvier etJ. Guérin sont parvenus à pratiquer la section des tendons fléchisseurs; mais il ne p

tige est revêtue par la peau et la seringue vissée sur la canule pour pratiquer la succion. FIGURE 3. Même disposition du troca

e à l'ordre anatomique, et donne successivement les opérations qui se pratiquent sur, ou plutôt en vue de tissus distincts; puis c

eux; l'autre moitié, au contraire, donne toutes les opérations qui se pratiquent sur un même organe, quelque dissimilaires qu'elle

nches où l'on a le moins ménagé l'espace, le lecteur voit l'opération pratiquée par un tiers, ce qui change absolument le point d

sur ce dernier fait. Il y a moins de vingt ans, les occasions de voir pratiquer les grandes opérations étaient si communes, au mo

ifficile que tous aient été assez bien servis du hasard pour avoir vu pratiquer un assez grand nombre de fois les opérations impo

naturelles pour introduire des instrumens d'exploration, ou même pour pratiquer un grand nombre d'opérations, sans que, dans beau

e d'opérations, sans que, dans beaucoup de cas, il soit nécessaire de pratiquer des incisions pour atteindre les parties malades,

es annexes , la fente palpébrale offre un orifice à travers lequel se pratiquent presque toutes les opérations. L'ouverture des na

ercer le tamponnement dans les hémorrha-gies des fosses nasales, pour pratiquer le cathétérisme du canal nasal et de la trompe d'

maxillaire, ou dans ceux d'ostéo-sarcôme, qu'il devient nécessaire de pratiquer une plaie extérieure aux dépens des parties de re

e buccale, par son étendue considérable et sa dilatabilité, permet de pratiquer , sans lésion extérieure, la plupart des opération

é, les points où se formeront des foyers, et ceux où il conviendra de pratiquer des contre-ouvertures. ANATOMIE TOPOGRAPHIQUE.

ingés. Toutefois, dans un cas forcé, cette opération peut encore être pratiquée avec toutes les précautions convenables, tant pou

de cancer en masse, dont l'ablation suivant le volume, donne lieu de pratiquer la rhinoplastic, ou contraint à remplacer la pert

al de la base de la mâchoire, l'os hyoïde et les muscles styliens, se pratiquent un grand nombre d'opérations qui ont pour cause p

t l'espace en deux triangles, modifie les procédés opératoires qui se pratiquent dans cette région, suivant que le muscle doit êtr

suivant qu'elles sont ou non pénétrantes. Quant aux opérations qui se pratiquent sur les parois de la poitrine, la plus formidable

nir, avec les détails convenables, à l'occasion des opérations qui se pratiquent sur les voies urinaires et le rectum. 2° région

elle n'offre guère d'intérêt qu'au point de vue des opérations qui se pratiquent sur les os. A l'extérieur, la région du coude pré

ns sanguines et purulentes, le siège des anévrismes, et le lieu où se pratiquent à diverses hauteurs les incisions pour la ligatur

les enveloppes fibreuses dans les cas de congestion est une raison de pratiquer de bonne heure de larges débridemens. Dans les ca

tranglement dans les congestions, nécessite de nombreux débri-demens, pratiqués de bonne heure. Toutefois, les complications que

ion brusque du pied. Sur le trajet de l'artère tibiale postérieure se pratiquent à diverses hauteurs les incisions pour la ligatur

s par écrasement du pied. Les opérations les plus importantes qui s'y pratiquent sont les résections complètes ou partielles. A la

ment enlevée. Cette circonstance, qui ne s'applique qu'aux opérations pratiquées à l'extrémité, comme une dernière ressource, exig

plus légère, une saignée, une incision, l'excision d'une loupe, etc., pratiquée dans les circonstances les plus convenables et ch

x opérations. i0 Choix du temps. L'époque à laquelle il convient de pratiquer une opération est déterminée par les exigences de

oix du mode opératoire. 11 est un petit nombre d'opérations qui ne se pratiquent que d'une seule manière : telles sont celles du t

ières au malade. i0 Age. En général, on doit éviter toute opération pratiquée dans le premier âge, les tissus étant encore mous

ès légère en elle-même et dont le but est préventif, ne commence à se pratiquer qu'à six semaines ou deux mois. Quand on peut dif

ation, comme étant la seule chance favorable, doit être immédiatement pratiquée . 3° Etat moral. Le calme de l'esprit, le courag

pération et dans le caractère et les talens du chirurgien qui doit la pratiquer , sont des conditions indispensables au succès. En

minent le choix de la position qu'on lui donne. Les opérations qui se pratiquent sur la face ou sur les tégumens du thorax, permet

s qui ont pour siège le membre thoracique. Mais les opérations qui se pratiquent sur l'abdomen , le bassin, le périnée, le crâne,

lésée, il faudrait comprimer immédiatement, puis lier le vaisseau, et pratiquer sans retard des pressions méthodiques et de légèr

i° Opérations élémentaires, ou élémens communs des opérations qui se pratiquent par-tout sans distinction de tissus; 20 Opération

par-tout sans distinction de tissus; 20 Opérations générales, qui se pratiquent en vue d'un ou de plusieurs organes généraux élém

généraux élémentaires ou tissus ; 3° Opérations spéciales, ou qui se pratiquent sur les organes complexes ou spéciaux. Les subdiv

PÉRATIONS ÉLÉMENTAIRES OU ÉLÉMENS COMMUNS DES OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT PAR-TOUT SANS DISTINCTION DE TISSUS. Les opérat

PAR-TOUT SANS DISTINCTION DE TISSUS. Les opérations simples, qui se pratiquent indifféremment sur toutes les parties, sont au no

n'ont pas une moindre influence sur la promptitude avec laquelle sont pratiquées les sections : aussi, le même instrument, mis en

t la nature des parties lésées. 18 INSTRUMENS. Les incisions se pratiquent avec toute espèce d'instrumcns tranehans, à lame

oit être dirigée très obliquement, afin de pouvoir, après l'opération pratiquée , détruire le parallélisme entre les divers plans

dans ces points, il vaut mieux , comme sur les tumeurs herniaires, pratiquer l'incision à plusieurs reprises, en découvrant su

endue strictement nécessaire, autant que possible on choisira pour la pratiquer le point le moins apparent, et, en particulier, l

ar des conducteurs. iîègles des incisions. Il est essentiel, pour pratiquer convenablement ces opérations, d'avoir égard à un

rgicale voudrait exécuter l'opération la plus simple, s'il ne l'a pas pratiquée un certain nombre de fois au moins sur le cadavre

dehors et de droite à gauche. On doit lui préférer la quatrième pour pratiquer les sections de dedans en dehors, et d'arrière en

ointe du bistouri, présentée perpendiculairement aux surfaces, sert à pratiquer des ponctions. Les divers degrés d'obliquité faci

aux surfaces, on conçoit que, par cela même, elle ne peut servir pour pratiquer des incisions étendues. L'instrument, présenté ob

troisième position convient-elle surtout lorsqu'il est convenable de pratiquer des incisions profondes et peu prolongées. De ce

, dans l'opération de la taille latéralisée, etc. On peut cependant pratiquer des incisions de trois à quatre pouces, et même p

i fléchi. Le bistouri offert à plat est d'une grande ressource pour pratiquer des résections, des excisions, des ablations de t

ointe et le tranchant incisent clans le tissu cellulaire voisin. Pour pratiquer le même genre de section de l'autre côté des vais

la main ou l'extrémité des doigts. On s'en sert présenté à plat pour pratiquer obliquement des ponctions que l'on termine quelqu

r le plat de la lame. INCISIONS DROITES. Les incisions droites se pratiquent de dehors en dedans, ou en pressant; et de dedans

diffère du précédent en ce que l'on ne se sert que du tranchant sans pratiquer de ponction. Il consiste à promener lentement et

ve ainsi transversale par rapport à celle de l'incision que l'on veut pratiquer : on en donne le côté droit à maintenir à un aide

sion en septième position constitue à elle seule l'opération. Pour la pratiquer , on se sert du bistouri convexe. On le présente d

perpendiculaire directement en regard de la première. La nécessité de pratiquer en deux fois l'incision qui coupe celle de gauche

e fait suffisamment sentir. On conçoit en effet que, si on voulait la pratiquer d'une seule fois, de quelque côté qu'on la commen

aient au-devant du tranchant. La section des deux moitiés peut être pratiquée par un procédé en sens inverse de celui que Ion v

ion. On trouve dans cette situation du bistouri l'avantage de pouvoir pratiquer les quatre espèces d'incisions, sans autre modifi

'il manque une branche à la section perpendiculaire. La manière de la pratiquer est du reste absolument la même que pour la précé

olutions de continuité congeniales dans l'opération du bec-de-lièvre. Pratiquées de dehors en dedans, les incisions peuvent du bor

7. incisions elliptiques. Les incisions elliptiques sont toujours pratiquées au nombre de deux : on s'en sert dans tous les ca

ture par des sinuosités qui retardent la marche des liquides, on doit pratiquer en regard du foyer une contre-ouverture qui en fa

rocédé est préférable. L'incision, pour atteindre la sonde, peut être pratiquée de deux manières. Si la pointe de la sonde paraît

ges de l'indicateur varient suivant l'espèce de section que l'on veut pratiquer . Si l'on veut couper en long, l'index sera placé

tions qu'elles remplissent et les instrumens dont on se sert pour les pratiquer . La ponction constitue souvent à elle seule une o

haut, on conçoit que la ligature simple, telle qu'on l'avait toujours pratiquée jusqu'à présent, n'était raisonnablement applicab

qué par l'auteur, il dispose sur un fil autant d'aiguilles qu'il veut pratiquer de trajets, en calculant d'avance leur intervalle

se sert offre assez de résistance pour ne pas se rompre. I^a ligature pratiquée , on en surveillera les effets et on la resserrera

le tranchant très obtus décrit un quart de cercle ; on s'en sert pour pratiquer des raies de feu ou la cautérisation transcurrent

circonstances : i° Pour augmenter l'aire au travers de laquelle se pratiquent certaines opérations. Ainsi, on maintient largeme

éclairée par l'anatoinie, préfère aujourd'hui l'incision inoffensive pratiquée suivant une ligne déterminée , à l'emploi de ces

particuliers, où les autres moyens sont insuffisans. Les sutures se pratiquent à l'aide d'un lien qu'une aiguille introduit à tr

renferment. Toutefois il est rare que l'on soit dans l'obligation de pratiquer plus de trois à quatre trajets de suture. 7° Po

y en a une de libre, on la retire. Ces divers mouvemens doivent être pratiqués avec douceur et sans secousses, dans la crainte d

en dedans, et l'autre de dedans en dehors. Deuxième procédé. Lafaye pratiquait les différentes sutures, sans interruption, avec

te ne s'emploie que dans certains cas spéciaux, lorsque l'opération , pratiquée au travers de parties très vasculaires , et devan

de tumeurs érectiles de la tête, soit comme moyen préventif avant de pratiquer une opération, pour éviter des hémorrhagies, déjà

des de compression dans les ligatures et les autres opérations qui se pratiquent sur le membre thoracique. Mais on ne possédait en

ade, circonstance qui se rencontre principalement dans les opérations pratiquées près de la veine cave supérieure, à la base du co

La pince ordinaire, à mors engrenés, d'un emploi usuel, suffit pour pratiquer presque toutes les ligatures: toutefois, comme il

es anciens et des Arabes, au moyen âge, jusqu'à la renaissance, on ne pratiquait plus que la ligature circulaire sur le membre en

, dont l'emploi est décrit plus haut. OPÉRATIONS GÉNÉRALES QUI SE PRATIQUENT EN VUE D'UN OU DE PLUSIEURS ORGANES GÉNÉRAUX ÉLÉM

LUSIEURS ORGANES GÉNÉRAUX ÉLÉMENTAIRES OU TISSUS. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'ÉPIDERME ET LA PEAU. excroissances épider

lique ; ce procédé est long , douloureux et infidèle. 2° Arrachement. Pratiqué avec un instrument tranchant, c'est une modificat

onne lieu à une cicatrice solide. G° Enlèvement isolé des chairs. Pratiqué par les Arabes, décrit comme moyen usuel par Ani-

QUI SE PRATIQUENT SUR LA PEAU ET SES DÉPENDANCES. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES DENTS. La chirurgie dentaire constitue

ettoyer la dent par le grattage de ses parois; si elle est trop unie, pratiquer avec la rugi ne quelques inégalités qui offrent d

Le plombage des dents est une des opérations les plus rationnelles. Pratiqué convenablement et dans de bonnes conditions, il s

les cas exige que le sujet soit encore jeune et les gencives saines. Pratiquée dans les conditions convenables, elle a réussi à

trument, empoigné par la main droite, un mouvement de quart de cercle pratiqué avec force, mais avec une lenteur graduée, et qui

ême temps la plus utile. Non seulement tout chirurgien doit savoir la pratiquer convenablement, mais encore il doit connaître par

urrait les maintenir par un collet métallique reçu dans des entailles pratiquées dans le cristal. Avec ces légères modifications,

oculation. On inocule le vaccin par quatre procédés : i0 Frictions. Pratiquées avec rudesse avec un linge imprégné de vaccin, ju

soit pas gênée par des vêtemens trop serrés. La vaccination peut se pratiquer clans toutes les saisons; l'âge n'est pas moins i

ation du vaccin , et, dans les cas d'épidémie vario-liquc, on devrait pratiquer cette opération même sur les sujets affectés de m

t SCARIFICATIONS. Les mouchetures et scarifications sont des plaies pratiquées artificiellement dans une intention curative. La

n thérapeutique quelle remplit. Lieu d'élection. Les mouchetures se pratiquent sur presque toutes les parties du corps, en cas d

esse fait tourner les plaies à la grangrène. Les scarifications ne se pratiquent communément que sur certains lieux déterminés : \

r la lancette et le bistouri plusieurs avantages à considérer : i0 de pratiquer instantanément un grand nombre de plaies; six, do

ême, a dû faire songer de très bonne heure, comme un premier essai, à pratiquer à distance une incision cpii permît un nouvel alo

ller décidément un lambeau aux dépens des parties voisines. Ce moyen, pratiqué déjà dans l'antiquité, nous a été transmis par Ce

à une distance de chacun des bords, proportionnée à leur écartement, pratiquer , de chaque côté, une incision curviligne dont la

. Il s'applique également aux cas où le chirurgien ne peut ou ne veut pratiquer de lambeau que d'un côté. Mais alors, pour obteni

une nouvelle opération, du siège de la première, et attendra, pour la pratiquer , que l'autre soit complt:-tement guérie. Procédan

ujourd'hui M. Guérin remet en usage la section sus-sternale, facile à pratiquer en elle-même; mais délicate, vu la proximité des

ous croyons qu'elle n'a pas toujours été suffisamment motivée. On l'a pratiquée pour des maladies assez légères, plutôt gênantes

lade à marcher sur le côté externe de l'extrémité antérieure du pied.— Pratiquée d'abord en 1685 par Minius, oubliée pendant plus

ux plaies cutanées parallèles et retire le bistouri droit après avoir pratiqué une première incision qui repré- T. VI. sente

nt opérée et l'instrument est retire par la même ouverture sans avoir pratiqué une autre plaie de la peau en regard. Le procéd

II n'est pas à notre connaissance que cette opération ait encore été pratiquée . Cependant les rétractions par des brides fibreus

équemment, surtout par suite de brûlures. Au reste, le cas échéant de pratiquer cette opération , les modes opératoires seraient

douleurs, sur le trajet des nerfs du péricrâne. Bientôt on a songé à pratiquer la section des branches de la cinquième paire aff

s su s'arrêter. Il n'est pas à notre connaissance que l'on ait encore pratiqué la section isolée des gros troncs du membre tho-r

oulement au liquide par des ponctions ménagées à intervalles. Quoique pratiquées déjà avec toutes les précautions convenables, jus

ée avec succès par M. Rus-sell sur un enfant de huit mois, elle a été pratiquée dix-neuf fois par M. Conquest: l'opérateur a réus

e tous également appelés guéris. Ponction de l'iiydroraciiis. On la pratiquée , avec un égal succès, à l'aide de la lancette et

rigent le chirurgien dans la section des nerfs sont les suivantes, i0 Pratiquer l'incision sur la branche principale au-dessus de

e considérées comme acquises au domaine de l'art. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES VAISSEAUX. Les vaisseaux sont le siège

Elle ne diffère de la précédente que par les incisions préalablement pratiquées à la peau. Plusieurs instrumens, le rasoir, le bi

Comme réunissant plus complètement ces conditions, les parties où se pratiquent presque exclusivement la phlébotomie sont dans l'

infructueux, et que la saignée soit indispensable, c'est le cas de la pratiquer par incision sur le trajet des veines, comme il s

inte de syncope, il vaut mieux tirer moins cle sang à la fois, sauf à pratiquer plus tard une nouvelle saignée. Enfin, il n'est p

re,une compression provisoire qui permette d'attendre que l'on puisse pratiquer la ligature du vaisseau lésé. Phlébite. Nous ne

ce dont on s'assure en tâtant le pouls sur la radiale. La ligature pratiquée , on abandonne pendant quelques in-stans le membre

r pour donner le temps aux veines de se gonfler suffisamment. Reste à pratiquer l'incision. Nous avons supposé le chirurgien ambi

avec le pouce les veines saphènes, qui sont très mobiles. L'incision pratiquée , on facilite au besoin le saignement en laissant

gnées sont inoffensives ; mais la troisième est à la fois difficile à pratiquer et dangereuse par la difficulté de se rendre maît

ii peut être coupée. De préférence au lieu indiqué, nous proposons de pratiquer cette saignée plus bas, au-dessous du tendon du d

thérapeutique de produire une émission sanguine. Les conditions pour pratiquer cette opération sont : que l'ar- 1 Pl. 3o; et p

eineux, qui reproduirait précisément la congestion pour laquelle on a pratiqué l'artériotomie, on a renoncé à en faire usage et

u même lier les deux bouts de l'artère et réunir par suture comme l'a pratiqué M. Magistel. Procédé de M. Magistel. Ce chirurg

QUENT SUR LES VEINES. Les opérations qui agissent sur les veines se pratiquent dans une double intention thérapeutique : i° pour

ur les cas exceptionnels où le chirurgien croirait cle son devoir cle pratiquer l'opération, d'en indiquer le meilleur procédé.

emier en date. Procédés de M. Davat. Les essais de M. Davat ont été pratiqués sur des chiens (juillet i83o). D'après la déclara

rnier procédé, qui a prévalu, a été le point de départ des opérations pratiquées depuis, en substituant une épingle à l'aiguille.M

pli. La section des pelotons variqueux, pour être efficace, doit être pratiquée sur autant de points qu'il en existe. Les veines

au-dessous des veines que l'on doit opérer, puis, avec une lancette, pratiquer dans le sens longitudinal une incision de trois à

héant, la compression efficace sur le tarse doit être tentée avant de pratiquer l'opération. Manuel opératoire. Le pied fixé

n n'est pas suffisamment avéré. Au reste cette opération ne doit être pratiquée que pour les cas les plus simples, la prudence co

il a été dit plus haut, pour mettre les muscles dans le relâchement, pratiquer , à vingt ou vingt-cinq centimètres en dehors de l

iens sur celui des bords du couturier en regard duquel il convient de pratiquer l'incision. Ainsi, Hunter incisait sur le bord in

lequel on opère incliné vers le chirurgien placé en dehors du membre, pratiquer sur le trajet des vaisseaux, à partir d'un centim

la ligature, soit pour les branches, soit pour les troncs, peut être pratiquée à toute hauteur quelconque. Les cas d'opération à

à cinq millimètres, insinuer dessous la sonde en amenant vers soi et pratiquer la ligature. 3° Ligature au tiers supérieur de

postérieure. B. Ligature à la partie supérieure de l'avant-bras. Pratiquée une fois avec succès par M. Marjolin : on y a ren

ou en dedans ou en dehors le tronc du nerf médian juxta-posé, on peut pratiquer la ligature soit de la cubitale soit du tronc des

humérale est de tous les troncs volumineux celui dont la ligature est pratiquée le plus fréquemment pour cause de lésion traumati

ylet aiguillé, soit l'aiguille de Des-champs garnie de son fil; enfin pratiquer la ligature du vaisseau. 1 Vov. Anatomie topogr

le : c'est-à-dire que l'incision transversale sous-claviculaire étant pratiquée comme dans le procédé ordinaire, il ne s'agit que

clavicule. L'opération à laquelle M. Chamberlayne a donné son nom fut pratiquée le i 7 janvier 1 815, et le 22 février la guériso

la peau et les muscles, et le chirurgien placé en dehors du malade : pratiquer au - dessus de la clavicule et parallèlement une

ion horizontale qu'on appelle procédé de Dupuytren. Dupuytren , ayant pratiqué plusieurs fois cette opération, en 1819 , pendant

époque, c'était le procédé par la première incision, tel que nous le pratiquions tous d'après lui, auquel s'attachait le nom de Du

le. Telle que nous venons de la décrire, cette opération est facile à pratiquer sur le cadavre; mais l'étroi-tesse de la plaie en

M. Malgaigne. La grande corne de l'os hyoïde reconnue à l'extérieur, pratiquer à trois millimètres au-dessus une incision obliqu

onnaître la saillie du bord antérieur du sterno-cléido-mas-toïdien et pratiquer , à un centimètre et demi au-devant, une incision

l'envi en si grand nombre qu'il en est peu aujourd'hui qui ne l'aient pratiquée sur le vivant. On l'a employée pour les cas les p

les opérations en vogue, où l'abus est à côté de l'usage, on a osé la pratiquer pour de simples névralgies de la face. Comme ré

u larynx à la trachée en dehors et au sterno-mastoïdien en dedans, et pratiquer le long du bord interne de ce muscle, comme guide

i, l'aiguille anglaise armée de son fil. Ce procédé est très facile à pratiquer sur le cadavre : on lui reproche sur le vivant la

retour de la circulation après la ligature, a engagé M. V. Mott à la pratiquer (1818 ) sur un jeune homme cle vingt-sept ans. Ap

faite, l'aorte elle-même. Enfin en cas de lésion traumatique on peut pratiquer dans la plaie la ligature de toutes artères quelc

plient à tel point, qu'il est peu de chirurgiens marquans qui n'aient pratiqué la ligature de l'iliaque externe. Ce sont MM. Goo

5), Dupuytren (1816) ; et tant d'autres, enfin, qui s'empressèrent de pratiquer cette opération dès qu'elle se trouva du domaine

l'épine iliaque antérieure et supérieure. Procédé de sir A. Cooper. Pratiquer , au lieu de l'incision recti-ligne précédente, un

ismes de l'artère fessière que la ligature de l'iliaque interne a été pratiquée . M. Stevens de Santa-Cruz ( 1811 ) est le premier

s qui concernent les aides étant prises comme il a été dit plus haut, pratiquer en commençant à deux centimètres en dehors de l'a

l était l'état de la question lorsqu'en 1827 M. V. Mott de New-York a pratiqué le premier la ligature de l'iliaque primitive pou

tendent qu'à infirmer sa témérité. Sir A. Cooper le premier (1817) a pratiqué à Londres cette opération; son exemple a été suiv

à la portion extra-péritonéale de cet intestin lui-même, il faudrait pratiquer le décollement dans toute cette étendue, au risqu

ers moyens, et, à défaut d'une résorption suffisante, on attend, pour pratiquer une incision, qu'il se soit formé une collection

or affirme que la pensée lui était venue (1780) de tenter l'opération pratiquée cinq ans après par limiter. Mais ce chirurgien a

ur, qui entraîne la mort. A partir de cette époque, l'opération a été pratiquée dix-sept fois, la plupart sur la carotide primiti

si l'on considère que la maladie pour laquelle ces opérations ont été pratiquées est nécessairement mortelle. procédés spéciaux

A. Sur la tumeur. Elle était déjà usitée chez les anciens ; Galicn la pratiquait avec des morceaux d'épongé fixés par des bandes.

on par épanchement de lymphe concrescible, conformément à sa théorie, pratiqua la section des tuuiques interne et moyenne dans t

s fils formés avec de la peau de daim. Voici le résumé des tentatives pratiquées sur l'homme. 1 °La soie n'a donné lieu à aucun ac

dont le résultat aurait confirmé leurs espérances. Le refoulement, pratiqué avec ses instrumens, a également réussi expérimen

e de l'artère sous-clavière, mais, n'obtenant aucun résultat, il a dû pratiquer la ligature. PROCÉDÉS QUI S'APPLIQUENT AU-DESSO

fère en rien par son exécution du procédé d'Anel. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT AU TRAVERS DES TISSUS OU DANS LES ESPACES CELLULE

DANS LES ESPACES CELLULEUX INTER-ORGANIQUES. Les opérations qui se pratiquent dans la profondeur des divers tissus répondent à

extraction si l'étendue de la plaie le permet; dans le cas contraire, pratiquer les débridemens convenables. Il est souvent utile

préférable de l'abandonner dans son lieu ou au moins d'attendre, pour pratiquer l'opération, à une époque plus éloignée, en se te

e la ponction avec une lame chauffée à blanc. Dès que l'ouverture est pratiquée , en retirer la tige métallique et y substituer im

eau, on est obligé d'avoir recours aune nouvelle ponction. Boyer en a pratiqué de cette manière jusqu'à cinq ou six à des interv

cesser d'abord la compression pour ne pas laisser l'air s'introduire, pratiquer par la canule une injection soit émolliente, soit

sorte qu'une seule ouverture ne soit pas suffisante pour le déterger, pratiquer dans le lieu le plus favorable une contre-ouvertu

tracées pour les incisions en général. 4° S'il y a plusieurs foyers, pratiquer , à divers temps, autant d'incisions qu'il sera né

pince, une érigne ou entre les doigts, la soulever et de l'autre main pratiquer l'excision d'un seul coup avec le bistouri porté

lement de la matière qu'elle contient; insinuer alors par l'ouverture pratiquée l'indicateur gauche dans la cavité du kyste, et,

ur gauche dans la cavité du kyste, et, sur ce doigt comme conducteur, pratiquer avec le bistouri ou les ciseaux l'excision d'un l

é de Dupuytren. i° Ponction. Cette opération très simple consistait à pratiquer , avec le bistouri à plat, une ouverture assez con

une de ses extrémités, et sur la saillie qu'elle forme en sens opposé pratiquer la ponction; introduire par cette ouverture, clan

on bec sous la peau, et, par une nouvelle ponction dans la cannelure, pratiquer une contre-ouverture : évacuer ensuite le double

le principal faisceau vasculaire de nutrition, en faire la section et pratiquer , s'il y a lieu, la ligature de ses vaisseaux ou d

la base par une incision chez un malade auquel M. Hodgson avait déjà pratiqué sans résultat la ligature des artères radiale et

s large, M. Gihson prit le parti de la cerner par plusieurs incisions pratiquées à plusieurs jours d'intervalle. Nous avons dit qu

que soit la manière dont on opère la section, il faut que l'incision pratiquée sur la peau saine pénètre au delà du siège présum

trop cette assertion. Dans toutes les opérations connues de ce genre pratiquées par les chirurgiens les plus distingués, Pelletan

primitive, pour des tumeurs érec-tiles à la face, est celle qui a été pratiquée le plus fréquemment. Depuis 1809 que M. Travers g

neste. (b) La ligature des troncs artériels des membres n'a pas été pratiquée aussi souvent, les tumeurs érectiles et fongueuse

mentaires spéciaux. Les opérations qui trouveront ici leur place se pratiquent : i° sur les articulations; 2° sur la continuité d

on des articulations est une opération très innocente; il dit l'avoir pratiquée six fois, dans des cas d'hydarthrose du genou, sa

° Création dune articulation artificielle. La méthode à suivre pour pratiquer cette opération consiste à découvrir l'os et à le

assin et avec rotation du genou en dedans. M. Barton (pl. 5o, fig. 4) pratiqua d'abord sur la partie la plus saillante du grand

us tard, le 2¡\ novembre i83o, que M. Rodgers, chirurgien à New-York, pratiqua la même opération en présence des docteurs V. Mot

est l'idée qui conduisit M. Barton à une opération de ce genre, qu'il pratiqua le 27 mai i835. Le malade était affecté d'une a

nt être enlevées T. VI. avec les pinces au travers d'une incision pratiquée , en regard du lieu fracturé, au plus près de l'os

d'une fracture non consolidée de l'humérus. Ayant préalablement fait pratiquer l'extension et la contre-extension par des aides,

r du fémur, reconnut le bout qui appartenait au fragment supérieur et pratiqua directement au-dessus, en suivant le bord externe

re entre les fragmens d'une fracture non consolidée. Après avoir fait pratiquer , par des aides, l'extension et la contre-extensio

e la main gauche, pour rendre l'angle du cal encore plus apparent, il pratiqua sur cette saillie une incision transversale qui s

el et qui n'a jamais été suivi d'aucun résultat utile. 2° Incision. Pratiquée une fois par M. Lucas, elle amena des accidens qu

ion du séquestre, indique également de ne pas attendre trop tard pour pratiquer l'opération, clans la crainte que, parvenu à l'ét

s pas que cette pratique doive être imitée. Quand on fait tant que de pratiquer une opération il vaut mieux, du premier coup, fai

méthodes de section des os en particulier. Les opérations qui se pratiquent sur la continuité des os se rangent sous deux che

rforatifs tombent dans l'oubli; et la nouvelle méthode plus simple de pratiquer la trépanation est suivie par tous les chirurgien

crâne sont intacts, Lanfranc, Guy de Chauliac, Lassus prescrivent de pratiquer une incision en forme de 7 renversé; V. Swiéten v

pan. Hors ces cas, on visse le tire-fond dans l'ouverture qu'on avait pratiquée d'avance; et lorsqu'il a pénétre assez profondéme

l'emploi de l'ostéotome de M. Heine est beau coup plus commode pour pratiquer une large ouverture,'en enlevant une pièce interm

supporté sept fois la trépanation; V.-D. Wielljcite un cas où l'on a pratiqué avec succès vingt-sept orifices; Blégny, Saviard,

onte pas au delà d'un demi-siècle. Bien que du temps de Galien on eût pratiqué la section de certains os du tronc, bien que dans

il est remarquable de voir que presque toutes ces résections ont été pratiquées à la suite de luxations ou de frac-turcs compliqu

e interne des membres ; dans les articulations g in gly moi claies on pratiquera deux incisions latérales, l'une interne, l'autre

celte limite, et c'est là que l'os doit être divisé. La résection se pratiquera à l'aide de scies ou de pinces incisives, suivant

ouve guère son application cpi'au pouce. Ces résections, du reste, se pratiquent clans la contiguïté, dans la continuité ou par ex

un centimètre et demi (un clemi-pouce) au delà du point où l'on veut pratiquer la section de l'os , et qui vienne aboutir à la c

xactement que possible, les parties altérées. L'opération à ce point, pratiquer la section de la phalange avec la pince de M. Lis

conservées. EXTRACTION DE LA PREMIERE PHALANGE (pl. 56, fig. i). Pratiquée sur le pouce avec succès et avec conservation des

TACARPIENS. Proposée en 1815 par M. Champion, cette opération a été pratiquée depuis un grand nombre de fois avec succès. Cette

on, ou de fracture comminutive (pl. 56, fig. 2). Manuel opératoire. Pratiquer une incision longitudinale ou cruciale sur la fac

rte sur le premier ou le cinquième os du métacarpe, il est indiqué de pratiquer la section obliquement : afin d'éviter la saillie

poignet soit très souvent le siège de maladies, sa résection n'a été pratiquée que rarement; à cause de la difficulté de ménager

M. Dubled. Ce procédé, plus simple que celui de M. Roux, se réduit à pratiquer une seule incision longitudinale sur le bord exte

En voici la description. La main fixée en pronation par des aides, pratiquer , de chaque côté de l'articulation, une incision l

opérée, l'instrument est glissé à l'autre extrémité de la plaie pour pratiquer la section au travers du carpe suivant la ligne d

). L'avant-bras légèrement fléchi et placé dans la demi-pronation , pratiquer sur le côté externe et antérieur du radius, depui

ois ou de métal, la scie à chaîne dans l'espace inter-osseux, afin de pratiquer la section du radius environ vers le milieu de sa

tant limité, deux sections, l'une au-dessous, l'autre au-dessus, sont pratiquées avec la scie à chaîne, et le corps de l'os est

A. Résection complète de l articulation du coude. Procédé de Park. Pratiquer une incision postérieure et parallèle à l'axe du

e l'articulation à demi fléchie. Alors, avec un scalpel à lame forte, pratiquer de chaque côté de l'extrémité inférieure de l'hum

; insinuer entre l'os et les chairs une plaque de bois ou de métal et pratiquer la section de l'humérus avec une scie ordinaire t

heureuse de la scie à chaîne suggéra à son auteur le procédé suivant. Pratiquer sur les côtés de l'articulation du coude deux inc

flexion et d'extension de l'avant-bras. 2° Radius. M. Textor(i823) pratiqua l'extirpation de l'extrémité numérale du radius e

Morel. Au moyen d'une incision semi-lunaire, à convexité inférieure, pratiquée sur le devant de l'épaule, on obtient un lambeau

au procédé de Manne. Procédé de lient. Une première incision étant pratiquée lon-gitudinalement sur le bord interne du deltoïd

. i et 2). Procédé de M. Buzairies. Comme dans le procédé de White, pratiquer une incision longitudinale étendue cle l'apophyse

. Enfin, si ce débridement ne donne pas encore une plaie assez large, pratiquer une troisième incision semblable à la précédente

un développement pathologique considérable. Procédé de M. Baudens. Pratiquer sur le bord antérieur du deltoïde une incision ve

à chaîne entre la masse charnue inférieure et l'humérus, de manière à pratiquer sa résection de bas en haut. Pour achever l'opéra

s en raison des avantages suivans : i° les deux incisions se trouvent pratiquées le plus loin possible du lieu qu'occupent les gro

n de l'extrémité interne de la clavicule, M. .I.-V. Gcrcly propose de pratiquer , au niveau de l'articulation sterno-claviculairc,

long-temps de nécrose au tiers externe de la clavicule, j'ai d'abord pratiqué une incision cruciale dont les deux branches avai

ein succès, l'extirpation de la clavicule par le procédé suivant : il pratiqua une incision curviligne, à convexité inférieure,

onde cannelée qui servit de conducteur à une scie à chaîne destinée à pratiquer une première section de la clavicule sur une lign

même le canal thoracique. Arrivé à ce point, au moyen d'une incision pratiquée suivant le trajet de la quatrième côte il divisa

ette opération fut très laborieuse; plus de quarante ligatures furent pratiquées . La plaie fut recouverte d'un pansement simple, a

cule paraisse généralement peu grave par elle-même, elle ne doit être pratiquée qu'en cas de nécessité bien reconnue; parce qu'il

la plus sûre. Les seules résections qui puissent être rationnellement pratiquées sont celles du premier métatarsien et de quelques

PREMIER OS MÉTATARSIEN. On peut faire la résection d'une partie ou pratiquer l'ablation complète cle cet os. Les caries, le sp

t d'enlever l'extrémité antérieure de l'os, à l'exemple de M. Blandin pratiquer en dedans un lambeau quadrilatère à base postérie

reste plus alors qu'à protéger convenablement les parties molles et à pratiquer , au moyen d'une scie cultellaire ou mieux de la s

M. Roux, qui recommande une incision en T couché , préfère également pratiquer d'abord la section de l'os avec la scie d'Aitken

les deux moitiés séparément. Cette opération, qui semble avoir été pratiquée pour la première fois en 1795 par M. Barbier du V

son pied. Pour un cas à peu près semblable au précédent, M. Velpeau pratiqua la résection de la moitié du cuboïde et de la bas

, le 3 août 1836, il procéda à l'opération de la manière suivante. Il pratiqua une incision horizontale au côté externe, comme s

découverts et dénudés ; puis, avec la scie à molette de M. Martin, il pratiqua une section oblique du cuboïde, de manière à résé

tout le talon exécutée par MM. Heine, Roux, Dupuytren et Champion fut pratiquée au moyen d'une incision en T qui permit de mettre

tion tibio-tarsienne et de celle du poignet; et si la résection a été pratiquée plus souvent au cou-de-pied, cela tient sans dout

e membre étant tourné en dedans et convenablement fixé par des aides, pratiquer une incision longitudinale commençant au-dessous

t les ligamens articulaires qui le maintiennent. Second temps. Pour pratiquer la résection du tibia (pl. 5g, fig. 1), la jambe

ain et l'extrémité antérieure du pied de l'autre. Tout étant disposé, pratiquer sur les deux côtés de l'articulation une incision

r M. Seutin (pl. 61, fig. 1). La jambe reposant sur son côté interne, pratiquer le long du bord externe du péroné une incision pr

mise en usage pour la première fois par Parck, cette opération a été pratiquée très souvent depuis et presque toujours à l'occas

e l'amputation dans la continuité de la cuisse. i° Procédé de Park. Pratiquer au-devant de l'articulation du genou une incision

ngera d'abord inféricurement les deux incisions latérales; puis on en pratiquera une nouvelle partant du milieu de l'incision tran

ne exactement le même résultat. La jambe placée dans la demi-flexion, pratiquer au-dessous de la rotule, avec un couteau à lame l

TION COXO-FÉMORALE. Indications. L'ablation de la tête du fémur fut pratiquée pour la première fois et avec succès par White da

Velpeau. i° Procédé de White. Suivant Briot, ce procédé consiste à pratiquer à la partie supérieure et externe de la cuisse un

en dehors, pour la faire saillir entre les lèvres de la plaie, et en pratiquer la résection avec une petite scie ou mieux, aujou

Rossi. Le malade couché sur le côté sain et convenablement maintenu , pratiquer une incision verticale qui partira du niveau de l

me II, page 752. — Deuxième édition, i839). 5° Procédé de M. Jœger. Pratiquer sur le côté externe de la cuisse une incision lon

EXTIRPATION COMPLÈTE DU MAXILLAIRE SUPÉRIEUR. Depuis long-temps on pratiquait la résection partielle de l'os maxillaire supérie

ciseaux à plat aussi profondément que possible sur ce plancher pour y pratiquer une section oblique de haut en bas et d'avant en

réunion immédiate, qui doit toujours être tentée après les opérations pratiquées sur la face. Les lambeaux sont du reste réunis à

l'os vers l'angle externe de l'orbite. Alors une incision en travers pratiquée au voile du palais permit de passer un des bouts

he la dent correspondante afin de favoriser l'action de la scie. Pour pratiquer la section de l'os, Dupuytren, qui se servait d'u

urs ainsi, puisque M. Lalle-mand se vit une fois dans la nécessité de pratiquer la trachéotomie pour sauver son malade. Quatriè

pas très volumineuse, on peut se diriger d'après le procédé suivant. Pratiquer horizontalement une incision longeant le bord inf

izontale de la mâchoire (pl. 65, fig. 2). Procédé de M. J. Cloquet. Pratiquer une incision étendue de la commissure des lèvres

iale. Le lambeau qui en résulte est relevé en haut et en avant. Alors pratiquer une seconde incision prenant son origine vers l'e

de toute la portion horizontale de la mâchoire (pl. 65 , fig.3). Pratiquer horizontalement, en longeant le bord inférieur de

ette opération fut tirée de l'oubli par Richerand. Ce chirurgien la pratiqua pour un cancer du thorax. Il eut à enlever la par

particulières à l'étendue de l'altération des os. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LA TOTALITÉ D'UN MEMBRE OU SUR LUNE DE SES FR

me plus honnête au médecin et la préfère à l'amputation, telle que la pratiquaient Avicenne et Albucasis. La théorie des amputatio

e nécessité, on doit mûrement examiner le temps où il convient de les pratiquer . L'expérience, éclairée par l'observation des aut

ettement formulée. La distinction des amputations, en celles qui se pratiquent sur la continuité et celles qui se font dans les

s simple, comme l'entendaient les anciens; mais, en réalité, comme la pratiquent les modernes, c'est la plus compliquée, celle qui

le les lambeaux à plein tranchant. Verduin, Sabourin, Garengeot, ne pratiquaient quun lambeau ; Vennale et Ravaton en faisaient de

oujours à la fois tégumeiitaire et charnue, seulement, au lieu de les pratiquer aux dépens cle toute l'épaisseur des parties moll

ntion des anciens que celles du membre abdominal, ou parce qu'ils les pratiquaient plus rarement, ou bien encore parce qu'elles leur

és déjà par A. Paré pour le lieu de l'opération, mêmes règles pour la pratiquer : et, par des raisons semblables, absence complèt

ar les chirurgiens, ne furent plus réservées pour les cas extrêmes et pratiquées seulement sur les grandes divisions des membres :

à commencer par Sabatier et à finir par MM. Velpeau, Lisfranc, etc., pratiquent -ils avec succès l'amputation cle l'avant-bras le

ouvons plus sûrement le rapporter aux mauvais procédés suivis pour la pratiquer , aux méthodes vicieuses de pansement ou aux circo

tiennent à celui de Vermale. Procédé de Sabatier. Ce chirurgien ne pratiquait de lambeau que pour l'amputation au tiers supérie

e chirurgien soit ambidextre, ne peut, par cela même, être facilement pratiqué par tout le inonde. Il est plus facile d'agir de

de la tête numérale, ce qui est un grand point dans cette amputation pratiquée le plus ordinairement pour des lésions directes.

puiser des données générales pour systématiser les opérations qui s'y pratiquent , les ramener à quelques chefs principaux, tracer

tatarsien aux autres, et permet de généraliser les amputations qui se pratiquent sur chacun de ces os en particulier. On peut ra

circonscrit par ces quatre incisions. Lambeau supérieur (Chélius). Pratiquer deux incisions longitudinales parallèles : l'une

e Chopart. D'après le principe de M. Mayor, la môme section peut être pratiquée au travers de la seconde rangée du tarse en cas d

tations cle la jambe, c'est le choix du lieu où l'opération doit être pratiquée ; innovation disparate clans la chirurgie de nos p

mais elle rentre trop dans les idées des anciens pour n'avoir pas été pratiquée avant cette époque plus ou moins arbitrairement.

ui la réduisit eu précepte, et l'établit sur des bases scientifiques. Pratiquée par Ravaton et Bromfield, conseillée par Dionis,

es tégumens en abaisser deux autres, longues de quatre centimètres et pratiquées , l'une sur la face interne du tibia, l'autre sur

renseigne-mens que M. Sédillot a bien voulu nous donner après l'avoir pratiqué devant nous (pl. 83 bis, fig. 10). A dix-huit m

cédé de Vermale et de Ledran. C'est exactement celui que M. Velpeau a pratiqué une fois sur le vivant, et nous en donnons la des

eau, nous la considérons dans ses avantages positifs, lorsqu'elle est pratiquée rationnellement, nous serons convaincus qu'elle p

aladies organiques profondes ; et l'on aurait alors le regret d'avoir pratiqué une opération tout au moins inutile, et qui, le p

ette dissection se fait avec un bistouri, ou avec le couteau comme le pratiquent MM. Lisfranc, Pinel-Grandchamp et beaucoup d'autr

eur, l'autre postérieur. MM. Helio, Plantade, Fouilloy et F. Legros pratiquent , par ponction, un lambeau antérieur de dix-huit c

ulaire; qu'on devrait créer pour elle, si elle ne l'était pas encore. Pratiquée suivant les préceptes que nous avons tracés, elle

mbre. AMPUTATIONS DANS LA CONTIGUÏTÉ. Dans les amputations qui se pratiquent sur la continuité des membres les combinaisons op

Les uns ont prétendu que les anciens, à commencer par Ilippocrate, ne pratiquaient que cette espèce d'amputation, tandis que les aut

e et l'autre espèce d'amputation. » Aucuns, dit -il, sont d'avis delà pratiquer en la jointure, étant plus facile à exécuter et m

engeot décrivaient la désarticulation scapulo-humérale, Hoin de Dijon pratiquait celles du genou et de la cuisse. Il nous semble

ignages, d'abord, que l'amputation dans la continuité des membres fut pratiquée à toutes les époques depuis Ilippocratc jusqu'à A

tion de la deuxième avec la troisième phalange. Méthode Circulaire. Pratiquée de tout temps, indiquée par Garengeot et mise en

cédé de Garengeot, conseillé par Ravaton, mais renouvelé d'Héliodore. Pratiquer sur les côtés de l'articulation des incisions lon

beau taillé sur la face opposée. C'est ainsi qu'on pourrait au besoin pratiquer l'opération avec un seul lambeau latéral.Dans les

ment des doigts. Méthode circulaire. Indiquée par quelques auteurs, pratiquée par Leblanc, elle est généralement rejetée, les a

igt malade étendu et bien isolé des doigts voisins fortement fléchis, pratiquer deux incisions latérales réunies sur la face dors

nges. 4° Procédé de M. Rossi. Ce n'est autre que celui de .L-L. Petit pratiqué par ponction en tendant à chaque fois les tégumen

lambeau dans la même forme que le précédent. Lorsque l'opération est pratiquée sur l'indicateur ou le petit doigt, il est conven

ressortir parle bord palmaire. Ona conseillé, comme modification, de pratiquer d'abord deux incisions dorsales obliques en V, pu

à plat, comme il est montré dans la figure. Ces dispositions prises, pratiquer sur la face dorsale une incision demi-circulaire

est plus difficile, est généralement blâmé. Procédé de M. Velpeau. Pratiquer sur la face dorsale une incision étendue de l'apo

tendue désirables. Méthode ovalaire. Décrite par Lassus, elle a été pratiquée depuis long-temps par Béclard et Richerand. — Pro

uïté. Toutefois, pour des lésions partielles, ces amputations ont été pratiquées isolément par les deux méthodes à lambeau et oval

La désarticulation isolée des doigts intermédiaires n'a encore été pratiquée que par un petit nombre de chirurgiens. A l'exemp

nouvelle; dès 1800, au rapport de MM. Larrey et Yvan, elle aurait été pratiquée avec succès par plusieurs chirurgiens militaires.

s. Troccon en a donné la formule sur le cadavre; enfin M. Gensoul l'a pratiquée avec un plein succès : M. Blandin a été moins heu

i{§, 1 et 2).— Procédé ordinaire. Quoiqu'il ait été très anciennement pratiqué , on fait remonter ce procédé à J.-L. Petit, le pr

ation, la face dorsale tournée vers soi. Avec un petit couteau droit, pratiquer une incision circulaire qui suit la racine des ém

ésultat ; enfin les deux procédés à lambeaux ont l'inconvénient de se pratiquer en piquant, mode de division très inférieur à la

avité. amputation dans l'articulation du coude. Cette amputation, pratiquée par A. Paré, est restée long-temps oubliée et n'e

dans l'extension, à un centimètre au-dessous du sommet de lolécrane, pratiquer une incision semi-circulaire à convexité inférieu

ne en conservant l'attache du tendon du triceps. Quelques chirurgiens pratiquent cette opération en coupant ce dernier tendon; Dup

efforts de tous les chirurgiens. Ledran père est le premier qui l'ait pratiquée en 1715, si toutefois, comme on l'a rapporté, ell

Méthode circulaire. Imaginée dans le siècle dernier, où elle a été pratiquée par plusieurs chirurgiens, on la réclame aujourd'

r M. Louis Sanson. A quatre travers de doigt au-dessous de l'aeromion pratiquer une incision circulaire qui n'intéresse que les t

ature préalable. Procédé de La Paye (lambeau externe et supérieur). Pratiquer d'abord dans l'épaisseur du deltoïde une incision

mprimer préalablement l'artère sous-clavière. C'est ainsi qu'il a été pratiqué nombre de fois par MM. Cline et Chiari. Méthode

M. Scoutetten. Il ne diffère en réalité que par la section de la peau pratiquée sans discontinuer d'après la manière habituelle d

nd le chirurgien peut choisir, nous croyons que l'opération doit être pratiquée ou par le procédé circulaire de M. Sanson, ou par

ule, ou les extrémités adjacentes de l'une et de l'autre. M. Larrey a pratiqué plusieurs fois avec succès ces diverses opération

lité la désarticulation. Aujourd'hui cette opération est généralement pratiquée . Rien de plus simple que le procédé opératoire.

1815 comme une opération nouvelle par MM. Lisfranc et Villermé, a été pratiquée néanmoins un assez grand nombre de fois dans le s

4, est jusqu'à présent le premier que l'on sache l'avoir positivement pratiquée sur le pied gauche d'un malade. Depuis on la voit

e par M. C. Petit dans une thèse en 1802; enfin on la retrouve encore pratiquée avec succès par M. A. Blandin (i8o3), Berchu (181

des articulations sur les deux bords, et leur succession en travers : pratiquer sur la face dorsale du pied de dedans en dehors,

glissement du cuboïde, et l'indicateur sur le tubercule du scaphoïde, pratiquer au-devant de l'extrémité de l'un à l'autre de ces

dans le sens de la pression. Enfin, l'amputation de Chopart peut être pratiquée quand les chairs sont saines à la face plantaire.

r, la réunion se serait effectuée promptement. Ilossi affirme l'avoir pratiquée avec facilité en taillant deux lambeaux externe e

Nous nous plaisons à faire connaître cette opération, qui a déjà été pratiquée plusieurs fois avec un succès complet par son aut

te. Toutefois, pendant plus de trois siècles, si elle continue à être pratiquée irrégulièrement ce n'est que par des chirurgiens

à ce point tpic, sur l'un des sujets qu'il cite, l'amputation ne fut pratiquée dans le genou que parce que le chirurgien manquai

nables pour l'opérer sur la cuisse. En 1764 cette opération fut enfin pratiquée d'une manière méthodique et avec un plein succès

arlaient que pour la proscrire. Néanmoins en 1824 cette opération est pratiquée avec succès en Angleterre par M.Smith, et à l'hôp

n scientifique sur les champs de bataille. Enfin récemment on l'a vue pratiquée par MM. Velpeau, Baffos, Blandin, Baudens et beau

'est pas plus funeste qu'une autre et que, le cas échéant, on peut la pratiquer en toute conscience quelque soit du reste le mode

tule avec la main gauche, et la main droite armée d'un couteau droit, pratiquer au-devant de l'articulation et au-dessous de la r

cédé la rotule est conservée. Plusieurs chirurgiens qui l'ont ainsi pratiqué n'y ont trouvé aucun inconvénient, excepté un cas

te où, la surface du fémur ne pouvant être recouverte, mieux vaudrait pratiquer l'amputation de la cuisse. Méthode ovalaire.—Pr

c'est que presque tous les cas heureux sont ceux où l'opération a été pratiquée immédiatement sur des militaires, c'est-à-dire po

puis long-temps épuisés. Indications. Les cas pour lesquels peut se pratiquer la désarticulation coxo-fémorale sont : l'attriti

ette méthode est la plus ancienne et celle qui, par conséquent, a été pratiquée le plus grand nombre de fois. i° Procédés a un

in gauche de l'opérateur placé en dehors : avec un long couteau droit pratiquer tune incision demi-circulaire qui, delà partie ex

par la ligature préalable de l'artère fémorale. Cette ligature étant pratiquée d'abord et le chirurgien placé en dehors du membr

interne et postérieure, la cuisse étendue et légèrement écartée : i° pratiquer d'abord une incision cutanée semi-lunaire à conve

tir de vingt-sept millimètres (un pouce) au-dessus de cette apophyse, pratiquer une première incision qui descende obliquement su

au-dessus du grand trochanter; puis, abaissant le manche en arrière, pratiquer une section ovalaire qui descende obliquement sur

rare que, sur l'énorme surface de la plaie, on ne soit pas obligé de pratiquer de huit à dix ou douze ligatures. Quant à la réun

PÉRATIONS ÉLÉMENTAIRES ou ÉLÉMENS COMMUNS DES OPÉRATIONS qui se pratiquent partout sans distinction de tissus. Page 68—100

res et moyens d'y remédier, 109, 110. OPÉRATIONS GÉNÉRALES qui se pratiquent en vue d'un ou de plusieurs organes généraux élém

anes généraux élémentaires ou tissus. Page 110. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'ÉPIDERME ET LA PEAU. Page 111 — 114. Ex

-pendente, Dupuytren, Larrey, Lisfranc, 113, 114. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LA PEAU ET SES DÉPENDANCES. Page 114—131.

T SUR LA PEAU ET SES DÉPENDANCES. Page 114—131. Opérations qui se pratiquent sur les dents. Nettoiement 114. — Limage, broieme

atrices vicieuses et réunions anormales, 129—131. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES MUSCLES ET LES TISSUS FIBREUX. Page 131

rices dermo-musculaires et tendineuses, 134, 135. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LE SYSTÈME NERVEUX ET SES DÉPENDANCES. Page

rieur, 137. — Nerf facial, nerf des membres, 138. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES VAISSEAUX. Pages 139—186. Ventouses s

permanente, 183—185. — Moyens en essai, 185, 186. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT AU TRAVERS DES TISSUS OU DANS LES ESPACES CELLULE

tion, déchirure et arrachement, extirpation, 197. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES OS ET LES ARTICULATIONS. Page 198—229.

des apophyses épineuses des vertèbres, 228, 229. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LA TOTALITÉ D'UN MEMBRE OU SUR SES FRACTIONS.

OPÉRATIONS DIVERSES. Figure 1. Section du muscle sterno-mastoïdien, pratiquée avec le bistouri droit sur la sonde cannelée. L'o

la mâchoire inférieure avec le tirtoir. Figure 6. La même opération pratiquée sur la première incisive droite du maxillaire s

, sur un sujet gras, on ne peut trouver une veine au pli du bras pour pratiquer une saignée jugée indispensable, M. Lisfranc a co

ération représenté est celui où, l'incision veticale de la peau étant pratiquée avec le bistouri, on fait avec la lancette la pon

Pl.30. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. OPERATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES VAISSEAUX SANGUINS. ADULTE, DEMI - NATU

rtère dans deux petites plaies au-dessus, en manière de double séton, pratiqué avec la pince de M. Stilling, suivant le procédé

l'Hôtel-Dieu et qui nous ont été communiqués par M. Marx. La ligature pratiquée avait été celle de l'artère iliaque externe. La m

à connaître, le succès de l'opération dépendant de l'habitude de les pratiquer , et de l'observance rigoureuse des préceptes dans

position. Cette incision, de dehors en dedans, est presque toujours pratiquée de gauche à droite (voyez pl. 14, jig. 3 et 5). D

t vers le chirurgien placé du côté externe du membre. L'opération est pratiquée dans le creux ou losange du jarret, dans l'écarte

n du muscle peaucier. — 3. Muscle sterno-mastoïdien. Une incision est pratiquée sur son bord externe, et les fragmens en sont ren

ciel, comme dans les cas d'ankylose. figure 6. Opération du séton pratiquée au travers du tibia pour le cas représenté fig. 5

ies molles qui se correspondent de l'une à l'autre face de l'os, on a pratiqué un orifice au travers des fragmens, soit avec le

eprésentée au moment où la scie en crête de coq, en mouvement, a déjà pratiqué à moitié la section de la fraction médiane ; la d

as de cette nature (pl. 54, fig. 1 et 2). Une incision cruciale étant pratiquée en regard du grand trochanter et l'os dénudé eirc

section transversale, mais avec une légère obliquité en dedans, a été pratiquée avec la scie à chaîne de M. Jeffrey. La figure re

uestre de la partie moyenne du radius. Une ouverture suffisante étant pratiquée , le chirurgien, sur cette figure, opère la sectio

figure, opère la section du séquestre, que l'on suppose, dans ce cas, pratiquée d'un seul coup par la cisaille de M. Lyston. ( Pl

fig. 19.) PLANCHE 52. Figure L Séquestre du fémur. La plaie étant pratiquée à la partie externe de la cuisse, et le fémur de

.) Après une incision de la peau en T, une ouverture suffisante étant pratiquée au nouvel os mis à découvert, l'opération représe

s. L'opérateur est occupé à poser une cinquième couronne de manière à pratiquer une large ouverture, comme souvent il est utile d

cas offre un exemple de celui pour lequel M. Barton de Philadelphie a pratiqué avec succès une articulation artificielle. FIGU

DES AMPUTATIONS, DES RÉSECTIONS ET DES OPÉRATIONS DIVERSES QUI SE PRATIQUENT SUR LES OS. DEMI-GRANDEUR. FIGURES 4, 2, 3, 4

par manque d'espace. Figure 20. Cisailles de M. Lyston, destinées à pratiquer d'un seul coup la résection d'une petite portion

ssé au-dessous écarte et aplatit les chairs. L'opérateur est occupé à pratiquer la section de la profondeur vers la surface avec

'extrémité tarsienne du péroné est peut-être la seule que l'on puisse pratiquer raisonnablement. Celle du tibia ne nous paraît pa

pour leur extraction partielle, l'opération en masse ne pouvant être pratiquée qu'autant qu'on n'enlève qu'une portion restreint

bia et du péroné. ( e). Surface articulaire, dont on peut au besoin pratiquer la résection avec l'ostéotome de M. Heine. PLAN

. l'air dans une grande étendue, l'objet de ce nouveau procédé est de pratiquer immédiatement, par deux traits de scie, la résect

alement les parties molles en ce sens. C. Scie à chaîne occupée à pratiquer la résection de os de Favant-bras. Figure 2. Vu

figuré que celle qui maintient le talon, une incision longitudinale , pratiquée de chaque côté, le long de la partie moyenne du t

tentive de la masse charnue postérieure. — F, scie à chaîne occupée à pratiquer , d'arrière en avant, ou, quant à la position, de

l'extrémité articulaire de l'astragale. La section est plus commode à pratiquer de cette manière , mais peut néanmoins s'opérer e

NATURE. PLANCHE 61. FIGURE \. A. RÉSECTION DU CORPS DU PÉRONÉ Pratiquée par M. Seutin. Cette résection, qui a pour but

RÉSECTION DE L'APOPHYSE DU CALCANÉUM. L'extraction du cuboïde a été pratiquée par Moreau. La figure ici a pour objet de montrer

ophyse du calcanéum , dont l'os- téotome de Heine (h) est employé à pratiquer la résection. Il est évident que le même instrume

er la résection. Il est évident que le même instrument peut à volonté pratiquer la résection de toutes les surfaces articulaires

T RÉSECTION DU GRAND OS CUNÉIFORME. Cette extirpation, non encore pratiquée , est donnée comme un exemple de ce que l'art peut

res. La section du fémur (1) étant opérée, le chirurgien est occupé à pratiquer celle de l'extrémité du tibia (m). La scie (n) es

NATURE. FIGURE 4. RÉSECTION DES COTES. L'opération est supposée pratiquée sur une femme, après l'ablation d'un sein cancére

es. FIGURE 2. RÉSECTION DE LA MOITIÉ SUPÉRIEURE DE L'OMOPLATE. ( Pratiquée par M. Janson.) Cette opération n'est motivée q

DE LA MOITIÉ EXTERNE DE LA CLAVICULE. La résection de cet os, déjà pratiquée par plusieurs chirurgiens, l'a été principalement

ablation de la mâchoire supérieure telle que vient dernièrement de la pratiquer avec succès M. Velpeau. Les figures i, 2 et 3 rep

e la mâchoire, tandis que le bistouri (c), tenu de la main droite, va pratiquer la section des génio-glosses, génio et mylo-hyoïd

la scie à chaîne, occupée, dans le moment représenté sur la figure, à pratiquer la section transversale de la mâchoire. FIGURE

soumise aujourd'hui à des préceptes réguliers. Une seule incision est pratiquée partant, au-dessous du lobule de l'oreille, du bo

n de la seconde phalange de l'indicateur. La section des chairs étant pratiquée , la peau relevée par deux petites bandelettes en

remière intention de la plaie d'une opération de même genre, supposée pratiquée sur le doigt annulaire. Figure 3. G, Amputation d

É.) FIGURE \. A, Amputation ovalaire. (Procédé de M. Scouttetten, pratiqué dans l'articulation métacarpo-phalangienne du méd

culations métacarpo- phalangiennes. D, Amputation de J.-L. Petit, pratiquée sur l'indicateur. c et d, Mains d'un aide qui f

au chirurgien la surface du moignon, lorsqu'il ne reste plus qu'à en pratiquer la réunion. FIGURE 5. Amputation dans la cont

. FIGURE 4. AMPUTATION DU POUCE A UN LAMBEAU. Le bistouri ayant pratiqué l'incision dans l'espace inter-osseux, ouvert et

face du moignon de l'opération précédente, au moment où l'on vient de pratiquer la ligature des artères. Le dessin fait voir la f

i tient l'extrémité digitale du pied. e, Sa main droite occupée à pratiquer avec le bistouri ( f) la section des muscles in

articulation. Le pied maintenu en situation conve" nable, après avoir pratiqué l'incision dorsale elliptique, ouvert la double a

au plantaire, m, Artères plantaires externe et interne dont il faudra pratiquer la ligature la section étant terminée. Nous n'avo

s est de reporter la pointe de l'instrument en dedans du tibia , pour pratiquer la section du lambeau interne et postérieur sans

. Dans ce but, à partir de l'extrémité du lambeau externe, nous avons pratiqué en travers, jusque sur le jambier antérieur, une

enée en (c), où il est facile de la plonger perpendiculairement, pour pratiquer la section du lambeau interne. d, Main gauche d

ur.) Figure 1. L'incision demi-circulaire sus-trochantérienne étant pratiquée , le chirurgien a ouvert l'articulation, luxé et

rtères fémorales, superficielle et profonde, dont la ligature a été pratiquée immédiatement après la section du lambeau antérie

ntaire un certain nombre d'amputations encore inédites de M. Baudens, pratiquées par l'auteur lui-même. Il nous a paru d'autant pl

nspire dans les amphithéâtres, mais sont des opérations réelles, déjà pratiquées un grand nombre de fois par l'auteur sur des mili

I FIGURE 1. MOELLE NORMALE. RÉGION cervicale supérieure. Coupe pratiquée dans la région cervicale supérieure à / millimètr

ganglionnaires de la substance grise de la corne antérieure. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par le picro-

PLANCHE II Figure 3. MOELLE NORMALE. Renflement cervical. Coupe pratiquée dans la région du renflement cervical, et colorée

sceau antérieur. Figure 4. MOELLE NORMALE. Canal central. Coupe pratiquée dans la région cervicale supérieure, et colorée p

. PLANCHE III FIGURE 5. MOELLE NORMALE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la

IV Figure 7. MOELLE NORMALE. Région lombaire supérieure. Coupe pratiquée dans la région lombaire supérieure et colorée par

postérieur. Figure 8. MOELLE NORMALE. Corne postérieure. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode

PLANCHE V Figure 9. MOELLE NORMALE. Renflement lombaire. Coupe pratiquée dans la région du renflement lombaire et colorée

MOELLE NORMALE. Cellules nerveuses de la colonne de Clarke. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par le picro-c

ANCHE VI Figure 1' . MOELLE D'AMPUTÉ. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale inférieure et colorée pa

CELLULES de la corne antérieure de substance grise atrophiée. Coupe pratiquée dans la région cervicale inférieure et colorée pa

FIGURE 13. MYÉLITE AIGUË DIFFUSE. Région cEpvico-DORSALE. Coupe pratiquée dans la région cervico-dorsale et colorée par la

Figure 15. MYÉLITE DIFFUSE. Région dorsale inférieure. - Coupe pratiquée dans la région dorsale inférieure et colorée par

ure 16. - MYÉLITE CAVITAIRE. Région cervicale inférieure. ' Coupe pratiquée dans la région cervicale inférieure, et colorée p

Figure 17. MYÉLITE CAVITAIRE. Région lombaire inférieure. Coupe pratiquée dans la région lombaire supérieure et colorée par

Figure 19. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale lombaire. Coupe pratiquée dans la région cervicale supérieure et colorée pa

I Figure 21. SCLÉROSE EN PLAQUES. RÉGION cervico-dorsale. Coupe pratiquée dans la région cervico-dorsale et colorée par la

igure 22. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale inférieure. Coupe pratiquée dans la région cervicale inférieure et colorée pa

URE 23. . SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale inférieure. Coupe pratiquée dans la région cervicale inférieure et colorée pa

FIGURE 25. SCLÉROSE EN PLAQUES. RÉGION dorsale supérieure. Coupe pratiquée dans la région dorsale supérieure et colorée par

gauche. FIGURE 26. SCLÉROSE EN PLAQUES. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale (pièce provenant d'un au

PLANCHE XV . Figure 29. LÉSION COMBINÉE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale, et colorée par la méthode

NCHE XVI Figure 31 . SCLÉROSE COMBINÉE. - RÉGION dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode

clérosé. FIGURE 32. SCLÉROSE COMBINÉE. - Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode

CONDAIRE DESCENDANTE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthod

SECONDAIRE DESCENDANTE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode

DESCENDANTE DOUBLE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthod

IRE DESCENDANTE DOUBLE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode

SECONDAIRE ASCENDANTE D'ORIGINE SPINALE. - Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthod

ON SECONDAIRE DESCENDANTE D'ORIGINE SPINALE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode

AIRE ASCENDANTE D'ORIGINE SPINALE. Région dorsale supérieure. Coupe pratiquée dans la région dorsale supérieure et colorée par

SUBAIGUE DE L'ADULTE (POLIOMYÉLITE). Région cervico-dorsale. Coupe pratiquée dans la région cervico-dorsale et colorée par la

PINALE SUBAIGUE DE L'ADULTE (POLIOMYÉLITE). Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthod

E mi. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE). Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthod

47. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE;. - Région lombaire. Coupe pratiquée au niveau du renflement lombaire et colorée par l

49. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE). Région lombaire. - Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode

FIGURE 50. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. RÉGION lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée n<r la méth

fnu)OE51. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthod

Figure 52. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode

FIGURE 53. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode

igure 55. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthod

E LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Cordons postérieurs. Coupe longitudinale pratiquée sur les cordons postérieurs sclérosés et colorée

Figure 57. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode

IGURE 58. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. RÉGION cervicale. Coupe pratiquée au niveau du renflement cervical et colorée par l

ROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Région cervicale SUPÉRIEURE. Coupe pratiquée dans la région cervicale supérieure et colorée pa

RALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Renflement cervical. Coupe pratiquée dans le renflement cervical et colorée par la mét

E AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Région dorsale moyenne. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la

LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode

Figure 67. MOELLE DE FOETUS DE CINQ MOIS. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode

FIGURE 68. MOELLE DE FOETUS DE CINQ MOIS. Région cervicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthod

V Figure 69. MALADIE DE FRIEDREICH. Région cervicale. 1 Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthod

XXXVI . Figure 71. MALADIE DE FRIEDREICH. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale supérieure et colorée par

XXXVII FIGURE 73. MALADIE DE FRIEDREICH. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode

III FIGURE 75. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région lombaire Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode

76. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. - Région dorsale inférieure. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode

XIX Figure 77. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la

GURE 79. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région CERVICO-DORSALE. Coupe pratiquée dans la région cervico-dorsale et colorée par la

XLI Figure 81. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode

Figure 82. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région cervicale. . Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée au carmin.

LII Figure 83. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée a I'llclllal0r'

médicale (n° 97, 20 août 1885, p. Hfi2). Les détails de l'autopsie pratiquer à la Salpêtrière ont été communiqués à la Société

» Figure 84. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par le noir d'

Figure 85. SYRINGOMYÉLIE. - Région cervicale supérieure. Coupe pratiquée au niveau de l'entrecroisement dos pyramides et c

altéré. Figure 86. SYRINGOMYÉLIE. - Renflement cervical. Coupe pratiquée dans le renflement cervical et colorée par le pic

TUMEUR DE LA MOELLE ,FIBROME). - Région cervicale supérieure. Coupe pratiquée dans la région de l'entrecroisement des pyramides

Figure 89. TUMEUR DE LA MOELLE (FIBROME). Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la

FIGURE 90. TUMEUR DE LA MOELLE (FIBROME). Région lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire supérieure et colorée par

es récentes, soit en avivant les bords des fistules anciennes. On l'a pratiquée de plusieurs manières : i° Avec le fer rouge. Il

ne. Chacune d'elles comprendra plusieurs procédés; ainsi, l'opération pratiquée en Allemagne et préconisée surtout par M. Gustave

fistule et les besoins de l'opération, une incision semi-lunaire est pratiquée transver-salement sur le vagin à son point d'inse

on ne doit guère rester qu'un jour dans le vagin. Septième temps, — Pratiquer dans la muqueuse et dans répaisseur même du vagin

malade c|u'on ne peut agir sur lui; il faut alors se donner garde d'y pratiquer des incisions, sous peine de péné-trer dans le pé

pendiculaire à son entrée. Premier temps. — Avivement. Ce temps est pratiqué à peu près comme dans le procédé Jobert ; la seul

rte tension, on attendrait jusqu'au dixième ou au douzième jour. Pour pratiquer ce temps de l'opération, on introduit le spéculum

° procédé de m. marion sims. Dans la méthode américaine, au lieu de pratiquer l'avive-ment en entonnoir profond, on le fait en

ment le chas des aiguilles ordinaires; au lieu d'une simple ouverture pratiquée dans le plan des faces de l'aiguille, il a fait c

ont prouvé; elles nécessitent des opérations particulières qu'on peut pratiquer en même temps que celle qui nous occupe, ou faire

ochet saisit la lèvre an-térieure de la fistule, la tend et permet de pratiquer un avive-ment de 2 centimètres ou même 2 centimèt

ollez un peu le vagin à son insertion à la partie postérieure du col. Pratiquez les sutures en traversant d'abord toute l'épaisse

adie, on peut avoir recours à plusieurs opérations, qu'il ne faut pas pratiquer chez les femmes encore en Age d'avoir des enfants

s jours afin d'éviter les efforts. 2° Lapérinéoraphie a été souvent pratiquée avec succès; or-dinairement on l'emploie seule ;

arois de l'extrémité inférieure du vagin ; dans les cas graves, il en pratiquait aussi sur la vulve. S'il s'agissait d'une procide

ion, à la suite d'un troisième accouchement, La suture simple a été pratiquée par M. Maisonneuve d'une manière un peu différent

xercent sur la suture les tissus qui l'entou-rent. A peine sont-elles pratiquées qu'on voit un écartement considérable se produire

r la ligne médiane. Troisième temps. — Des incisions latérales sont pratiquées de chaque côté, elles sont plus longues que celle

et celle de la moitié postérieure du périnée. Une autre manière de pratiquer les incisions libératrices consiste à diviser non

par la méthode américaine, pour les fistules vésico-vaginales, a été pratiquée avec succès par MM. Verneuil et Deroubaix. Voic

quer sur la région opérée une vessie pleine de glace. M. Hutchinson a pratiqué cette opération dix fois ; dans aucun cas il n'a

ieure à la pâte de Canquoin. La cautérisation électrique thermique. Pratiquée en i844 par Heider de Vienne, essayée de nouveau

c'est de dégager peu de calorique rayonnant. La cautérisation a été pratiquée pour des lésions très-variées depuis les simples

te sont des contre-indications comme dans la plupart des opérations à pratiquer sur l'utérus. En disant que la métrite est une

s figures dans le livre de M. Huguier: de VHjstéro-métrie. Avant de pratiquer l'hystérométrie, il faut avoir la précau-tion de

des dou-leurs vives à l'hypogastre et dans les fosses iliaques, et de pratiquer le toucher vaginal pour reconnaître la situation,

en rapporter aux renseignements qu'elle fournit; et il est prudent de pratiquer le cathétérisme quelques jours après les règles.

s unique et presque toujours aussi situé en avant et un peu à gauche, pratiquait l'incision verticale du col. « Lorsque le col est

issement, et que les accidents sont devenus urgents, on est obligé de pratiquer la ponction vaginale de l'utérus au moyen d'un tr

usage les avantages suivants : les écraseurs linéaires permettent de pratiquer la constriction à l'aide de cordons beaucoup plus

de garanties qu'un instrument neuf, et doit être préféré si l'on a à pratiquer une opération inquiétante. Voici quelques préca

culisation au moyen de la dissection et des aiguilles combinées a été pratiquée par Mayor de Lausanne; il em-ployait de longues a

s accidents tolérables, il faut en venir à l'amputation du col, et la pratiquer en cône de manière à évider le plus possible la p

s de fistules urinaires; il faut donc bien prendre garde de ne pas la pratiquer dans le cas où il existe quelque circonstance qui

soit pour l'hypertrophie accidentelle, il y a eu trois morts; Jobert pratiquait l'excision. Sur i4 opérations faites tant par exc

s de Bonn, iSS-y, quatre amputations du col par écrasement liné-aire, pratiquées pour des dégénérescences, et qui ont été sui-vies

n'a vu aucun résultat funeste dans vingt-huit cas d'amputation du col pratiquée à l'aide de l'écraseur. De ces faits il ressort

trouve coupé sans hémorrhagie. C'est un per-fectionnement du procédé pratiqué par M. Gensoul et dont nous parlerons bientôt.

it que cette opinion se rapproche beaucoup de celle de Dupuytren, qui pratiqua l'excision deux cents fois, et n'eut à combattre

on ou par excision, n'a pas eu une seule mort à déplorer. M. Depaul a pratiqué l'excision vingt-cinq fois et n'a eu qu'un accide

nd volume de cet ouvrage, des opérations extrê-mement hardies ont été pratiquées en grand nombre contre les corps fibreux de l'uté

le col ou dans le corps de l'utérus. Pour les tumeurs du col, on peut pratiquer l'incision ou l'ex-cision du col. Uincision est

tumeurs fi-breuses de l'utérus. L'énucléation de ces tumeurs a été pratiquée avec quelques différences dans les procédés ; nou

ren-versé. Le morcellement des corps fibreux très-volumineux a été pratiqué par M. Chassaignac à l'aide de l'écraseur linéair

ès l'opération, bien que par son fait; ainsi^ sur quatre énucléations pratiquées par M. Demarquay (thèse de M. Guyon), il y a eu t

neuses, M. Greemsdale a fait connaître un fait heureux d'énucléation, pratiquée quinze jours après l'incision de la capsule et al

rême que le chirurgien doit apporter lorsqu'il s'agit de se décider à pratiquer l'énucléation. En France, elle est presque généra

viscères et les parois, on ferme la plaie par des sutures qu'on peut pratiquer de plu-sieurs manières suivant l'épaisseur des pa

ans la région opérée. Parmi les accidents spéciaux à la gastrotomie pratiquée pour enlever un corps fibreux, on a noté les cram

l'issue en a été bien moins déplorable que dans les cas où elle a été pratiquée ac-cidentellement par des chirurgiens qui opéraie

priment la partie infé-rieure de l'utérus. Souvent on a été obligé de pratiquer l'opé-ration césarienne pour des cas pareils ; qu

rurgien, et sou-vent le succès a justifié l'excision ou l'énucléation pratiquées dans ces conditions. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. A

ossesse et Vaccouchement. Ga-zette des hôp. 1864. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES OVAIRES. § 1". CATHÉTÉRISME DES TROMP

il faut les avoir guéris des maladies dont ils sont le siège avant de pratiquer le cathétérisme des trompes. L'auteur de ce mé-mo

e des inflammations sponta-nées, mais encore à la suite des ponctions pratiquées sur la tumeur. Avant de choisir le mode de traite

sort d'environ 4 centimètres de la canule, se trouve dans l'ouverture pratiquée par le trocart, puis on incise dans une étendue d

il est muni d'une canule évacuatrice à robinet. La ponction vaginale pratiquée 14 fois par Scanzoni a donné, dit-d, huit guériso

ssem-blant en outre les témoignages des chirurgiens qui ont beau-coup pratiqué , conclut que la mort et que même des symp-tômes a

ne se remplisse promptement. Mais la ponction palliative pourra être pratiquée pour ces kystes énormes qui rendent la respira-ti

rement le kyste et main-tenir l'ouverture béante. On pourra encore la pratiquer pour les kystes de la trompe de Fallope lorsqu'il

ces de cure radicale ; mais pour en obtenir de bons effets il faut la pratiquer avec beaucoup de soins. D'a-bord on disposera des

celles qui guident le chirurgien dans la ponction simple, engagent à pratiquer l'injection avant que le kyste ait acquis un gran

re opérés sans retard. Manuel opératoire. — M. Boinet recommande de pratiquer la ponction du côté où le kyste a pris naissance,

les succès sont devenus nom-breux : ainsi de 9 opérations jusqu'à 26, pratiquées sur la même malade, on ne trouve plus que 2 guéri

e ; quand on en est arrivé là, on laisse la fistule se fermer. Pour pratiquer cette ponclion avec canule à demeure, M. Maisonne

us grande que pour l'ex-tirpation des kystes ; elle ne doit donc être pratiquée que quand l'ovariotomie a été reconnue impossible

nés. 6° Excision ou extirpation incomplète. — Cette opération a été pratiquée dans l'intention de laisser le liquide couler dan

à l'exci-sion. En préférant une longue incision, et se tenant prêt à pratiquer l'ovariotomie s'il la juge nécessaire, le chirurg

du kyste, on peut voir par les récits des rares chirurgiens qui l'ont pratiquée qu'elle présente souvent des difficultés et des c

PLÈTE OU OVARIOTOMIE. Historique. — L'extirpation des ovaires a été pratiquée dans les temps les plus reculés, non pour guérir

a sur-veillance du harem. Cette opération était imitée de celle qu'on pratiquait dès la plus haute antiquité sur les truies, les c

Vers i5oo et 1600 on trouve quelques faits d'extirpation des ovaires, pratiquée par des châtreurs de profession, sur leur femme o

oyale de chirurgie. Ce fut cependant vers cette époque (1701) que fut pratiquée la première extirpation d'un kyste de l'ovaire pa

es chirur-giens contemporains. On peut en dire autant d'une opération pratiquée en 1736 par Laumonier, de Rouen, pour un kyste de

ccès, devint le véritable fondateur de cette méthode de traitement et pratiqua treize ovariotomies de 1809 à i83o, époque de s

leterre, une forte proportion d'insuccès, 44 morts sur 61 opé-rations pratiquées de 1819 à i856, faisait abandonner l'ova-riotomie

ne. Depuis elle a repris faveur, le docteur Nussbaùm de Munich, qui a pratiqué trente-quatre fois l'opé-ration, a obtenu dix-hui

ermettre de tenter l'opération avec la sécurité nécessaire ; on ne la pratiquait donc que de loin en loin et c'est à peine si l'on

e qu'on voit pour les climats chauds. En effet, M. de Krassowsky a pu pratiquer vingt-cinq fois cette opéra- tion à Saint-Péter

rès-grande résistance à l'introduction de l'ovariotomie, elle n'a été pratiquée que onze fois, la dernière opération a seule été

ps, ou l'hérédité, donnent des soupçons fondés, il faut s'abstenir de pratiquer l'ovariotomie. La grossesse est aussi une contre-

stes, après le succès d'une première ovariotomie, rien n'empêche d'en pratiquer une seconde, comme Atlee et Spencer Wells l'ont f

lles de M. Kœberlé. Réunissant les trois cents ovariotomies qu'il a pratiquées jus-qu'en avril 18G9, il établit que la mortalité

pas beaucoup les dangers de l'ovariotomie ; on peut d'ailleurs ne la pratiquer qu'après avoir tout préparé pour continuer l'exti

bien soin de ne pas déchirer ou briser l'escharre. M. de Krassowsky a pratiqué quatorze fois la division du pédicule par le proc

, car il faut bien rc^con-naître que si tous les chirurgiens peuvent pratiquer avec d'é-gales chances de succès l'amputation d'u

t consignés dans son ouvrage On ovarian Dropsj, 1868. Ce chirurgien a pratiqué l'ovariotomie 119 fois ; huit fois l'opéra-tion e

of ovariotomy. The Lancet, may 1869. G. Simon. Sur les ovariotomies pratiquées en Allemagne, dans Ranking half yearly, vol. XXVI

us est oblitéré. l'iGURE y. Oblitération du vagin, ou élytroraphie, pratiquée pour une larye destruction de la cloison vésico-v

Figure il Ciseaux à double courbure sur le plat et sur les bords pour pratiquer l'avivement. Le coude qui est près des anneaux di

-utero-vaginale superficielle par un procédé mixte. L'avivement a été pratiqué sur le bord anté-rieur de la fistule et sur la lè

illé autour de deux morceaux de sonde élastique ; cet appareil sert à pratiquer les sutures profondes. Figure vu. Coupe fictive

qui sert au passage des instruments destinés soit à absterger, soit à pratiquer des opérations. Cette sonde est introduite avec u

cet avivcment; les fils sor-tant par le méat, et les deux avivements pratiqués sur le prépuce et sur le gland, de telle sorte qu

mensongères induire le médecin en erreur; mais, à l'aide d'épreuves pratiquées avec des verres spéciaux, il devient facile de dé

itale était entrée dans le service. L'examen objectif, tel qu'on le pratiquait à cette époque, n'ayant rien décelé d'anormal,

e qui précède que c'est à l'interrogatoire du médecin, quand il est pratiqué sans les précautions voulues, à certaines paroles

l'aide de béquilles. Il y a de cela quelques années un chirurgien a pratiqué sur elle une élongation du nerf sciatique. Malg

n de ne pas prévenir le sujet de l'expé- rience qu'on se propose de pratiquer et de lui faire fermer les yeux. La jambe doit

n siégeait au niveau de la septième cervicale et l'examen avait été pratiqué neuf heures après l'accident ; chez l'autre la

laire, et au besoin on attend avec patience le moment opportun pour pratiquer la percussion. RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES O

ment réflexe. ! i" J'en arrive à la percussion. Elle ne doit pas être pratiquée , ainsi que beaucoup le font encore, avec le bor

rtains individus chez lesquels la recherche des réflexes a déjà été pratiquée , qui savent ce qu'on attend de la percussion des

'humérus détermine une flexion de l'avant-bras, sauf quand elle est pratiquée au niveau du tendon du triceps, les effets de l

ait défaut. Il en résulte qu'un individu, chez qui l'expérience est pratiquée pour la première fois, a besoin de tâtonner en

siques, ce devrait être le réflexe d'extension. Or, des recherches, pratiquées dans mon ser- vice par mon interne M. Gendron s

e détermine une réac- tion qui diffère suivant le point où elle est pratiquée . On distingue trois réflexes cutanés abdominaux

. C'est surtout dans la maladie de Little que cette opération a été pratiquée , et déjà, dans bien des cas, elle a été couronn

arier notablement lorsqu'on considère les résultats de deux examens pratiqués à quelques jours ou même à quelques heures d'in

er notablement lorsque l'on considère les résultats de deux examens pratiqués à quelques jours ou même à quelques heures d'in

lant les explorations à plusieurs reprises, en saisissant, pour les pratiquer , les moments où le spasme cesse, il est ordinai

ires, l'insen- sibilité au pincement avec une pince et à l'incision pratiquée pour l'inter- vention. Pendant 20 minutes, jusq

a ligne médiane du corps ; on prévient le sujet en expérience qu'on pratiquera des excitations diverses à droite et à gauche d

ravation brusque. Au milieu de septembre, une ponction lombaire fut pratiquée : on aurait constaté de l'hyperalbuminose dans

es minutes (1) Voici, en quoi consiste cette méthode : l'examen est pratiqué dans un endroit sombre ; on place une bougie, u

e de répondre catégoriquement à cette question. L'examen de l'oeil, pratiqué d'une manière complète par le fez Chaillous, a do

pied. " Je relève ensuite cet autre caractère noté pendant l'examen pratiqué dans la station debout. Lorsque le malade étant

er les observations de O. Polimanti qui, chez le chien, après avoir pratiqué l'ablation du lobe frontal gauche SÉMIOLOGIE CÉ

anifestations du réveil. Je dois ajouter que cette expérience a été pratiquée seulement sur le pigeon, le lapin et le cobaye.

irrigation de l'oreille avec de l'eau à la température de 15" à 20" pratiquée suivant la méthode de Barany, en même temps qu'

C) après les épreuves giratoires, elle constitue telle que nous la pratiquons un procédé permettant de rendre manifestes les

e et la paralysie ne subit aucune modification sensible. A l'examen pratiqué à la fin du mois d'octobre 1905, voici ce que l'o

1905, voici ce que l'on noie : L'examen faradique de la face a été pratiqué , le pôle indifférent à la nuque, le pôle actif

lus forte du côté malade que du côté sain. L'examen voltaïque a été pratiqué de la même manière et a donné des résultats analo

s innervés par le facial (') Dans des expériences inédites que j'ai pratiquées autrefois et sur lesquelles j'ai l'intention de

en plus aisément en employant notre dispositif ; et l'on peut ainsi pratiquer plus utilement une électrisation galvanique loc

marquée. Il est vrai que l'examen du corps thyroïde n'ayant pu être pratiqué , on pourrait supposer que cette glande était al

nt ; de plus, vomissements quotidiens. Un examen ophtalmosco- pique pratiqué il y a plus d'un an par un oculiste décela l'exis

l'oreille. On met à nu la surface osseuse ; cinq perforations sont pratiquées à la boîte crânienne ; on les réunit avec un trai

s observations où le diagnostic clinique a été vérifié par l'examen pratiqué à l'autopsie ou après une crâniectomie. Cela es

à droite. Pas de diplopie. En octobre, un examen ophtalmologique pratiqué par un oculiste dont la prescrip- tion m'est re

cràniectomie à la région frontale du côté gauche. L'opération est pratiquée par le Dr Gosset, le 15 février; elle est faite e

Gosset, le 15 février; elle est faite en un temps. Une exploration pratiquée , après l'incision de la dure-mère, montre qu'il n

mplètement rebelles et des vomissements. L'examen du fond de l'oeil pratiqué immédiatement montre un oedème de la papille tr

de la paroi osseuse à ce niveau. L'opération une fois décidée, est pratiquée immédiatement. Une fois le volet osseux soulevé

8. . a44 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES M. Weill a pratiqué l'examen du larynx et l'a trouvé normal. Le mal

s centres nerveux ('). Le 3 mai un nouvel examen du fond de l'oeil, pratiqué par M. Chaillous, décèle une névrite oedémateus

ide une intervention chirurgicale. Le ter juin, craniectomie droite pratiquée par M. Gosset. Mise à nu de la dure- mère sur u

oppé progressivement et aurait comprimé la moitié gauche. Un examen pratiqué avec la méthode de Marchi et avec celle de Pal ne

du grand nombre de cas d'oedème cérébral où la rachicenthèse a été pratiquée : d'ailleurs, il est vraisemblable qu'il s'est

mesure, et satisfaire, si possible, à ces deux conditions : ne pas pratiquer la crâniectomie avant de s'être assuré de l'insuf

à ces règles, on résout le problème posé : la crâniec- tomie n'est pratiquée que si elle est nécessaire, et alors on obtient d

ucune trace apparente de cette infection. Que faire en pareil cas ? Pratiquer une ponction lombaire et rechercher la réaction

n que l'oedème soit symptomatique d'un néoplasme, il est indiqué de pratiquer une ouverture à la région temporale, à droite c

ions osseuses et les troubles précédents. Nous avons vu qu'on avait pratiqué autrefois au bord spinal de l'omoplate gauche,

est très nette et même assez prononcée. Il m'a été impossible de pratiquer un examen électrique plus appro- fondi, parce q

voir vainement essayé les divers traitements médicaux, j'avais fait pratiquer une section bilatérale du spinal. L'opération,

je lui proposai l'opération en question qu'elle accepta et qui fut pratiquée par le 1) Baumgartner. La malade sortit de l'hô

de droite à gauche et parfois d'avant en arrière. Motilité (Examen pratiqué , le malade étant assis sur une chaise). La force

e du côté gauche l'électrisation de la partie moyenne de ce muscle, pratiquée entre le bord interne de l'omoplate et la colon

donne lieu à un mouvement d'adduction du scapulum, l'électrisation pratiquée à droite dans le point correspondant provoque un

uccombe brusquement dans une syncope. Étude anatomique. Après avoir pratiqué à l'état frais la coupe de Meynert, on a fait d

ntinue toutefois à s'aggraver. Voici le résultat d'un nouvel examen pratiqué par le Dr Parinaud le 7 octobre. « Pupilles dil

s'est creusé une loge en refoulant (1) L'examen hislologique a été pratiqué chez ce sujet ainsi que chez les deux autres par

es de ma volonté. Plusieurs ponctions lombaires sont successivement pratiquées ; elles semblent atténuer les troubles et en pa

serai pas contredit non plus en disant que si l'opération avait été pratiquée au début de la maladie, alors que je la proposa

s pu obtenir de ren- seignements sur ce point. Une vaste enquête, pratiquée conformément aux indications que nous venons d'

ns qu'une pupille normale ; l'examen ophtal- moscopique n'a pu être pratiqué ce jour. La malade fut soumise au traitement mi

à insister sur ce fait que les examens de la sensibi- lité ont été pratiqués avec toutes sortes de précautions en vue d'éviter

end pas garde, on attribuera ces réflexes à l'excitation que l'on a pratiquée et on leur fixera une limite trop élevée. L'err

lles observations ont confirmée pourrait permettre au chirurgien de pratiquer , dès le début de l'opération, une incision des

me, cinquième, sixième et septième vertèbres dorsales. L'opération, pratiquée conformément à ces indications par M. Lecène, fit

e a de la rétention des matières fécales. Une ponction lombaire est pratiquée et on constate une lymphocytose nette; la réact

jectée par en bas. Plusieurs ponctions de la masse para-vertébrale, pratiquées sous écran, par notre collègue le Dr l3ailleul,

ide ne s'écoule par le trocart. Une intervention chirurgicale est pratiquée sur notre conseil par le Dr de Martel le 15 mar

s négatifs de plusieurs ponctions de la masse para-vertébrale qu'il pratiqua sous l'écran, il arriva, comme nous, à cette co

coupole, d'une voûte. Vingt jours plus tard une autre injection est pratiquée , celte fois par la voie lombaire ; la radiographi

n mois environ après la dernière injection, que la laminectomie fut pratiquée par le Dr de Martel. En voici le compte rendu :

à un organe dont les réactions sont souvent très vives et elle est pratiquée dans des cas où il existe des altérations dont il

IONS MÉDULLAIRES 4o5 jection faite à la région cervicale nous avons pratiqué une seconde injec- tion à la région lombaire, n

être cependant certain qu'une intervention chirurgicale puisse être pratiquée aussitôt après, il y aurait avantage à faire préc

ce, nous avions affaire à une tumeur de ce genre. Nous décidâmes de pratiquer une laminectomie, qui, comme on va le voir, jus

de la limite supérieure de l'anesthésie ('). Epreuve du lipiodol, pratiquée en utilisant l'huile iodée qui se trouvait déjà d

de cet ordre ; mais, de plus dans ce cas, un examen radiographique pratiqué à la suite d'une injection de lipiodol par la voi

cropsie a été faite et l'examen anatomique du système nerveux a été pratiqué par notre regretté collègue et ami Jumentié qui

it en flexion ; les excitations diverses du membre inférieur droit, pratiquées pour la recherche des réflexes de dé- fense,

des vertèbres dorsales inférieures. L'épreuve de Queckenstedt est pratiquée encore quelques mois plus tard ; elle donne un

, le plus grand nombre, reconnaissent qu'ils ont senti l'excitation pratiquée ; je renouvelle alors l'expérience en leur affirm

, tout au moins dans la grande majorité des cas, quand l'examen est pratiqué avec la méthode que j'ai indiquée ; ils n'ont don

sons-nous qu'un individu est hypnotisé ? C'est lorsque, après avoir pratiqué certaines manoeuvres telles que la fixation du re

dinai- rement pour source un interrogatoire médical défectueusement pratiqué et qu'en définitive, en raison de la fréquence

peut paraître paradoxal, j'estime que l'échec de la psychothérapie pratiquée dans de bonnes condi- tions et avec persévéranc

et de faire cesser ensuite. Il faut ajouter qu'il est nécessaire de pratiquer des expériences de ce genre sur un grand nombre

, cependant, suffisamment rigoureuse. Voici une expérience que j'ai pratiquée le plus souvent avec succès dans le cas de para

es vrais doivent céder rapide- ment à une psychothérapie habilement pratiquée , le médecin qui, dans un cas de ce genre, aura

je le répète, les troubles hystériques cèdent à une psychothé rapie pratiquée dans de bonnes conditions et, en ce qui concerne

sur les motifs de leur revirement les mé- decins qui ayant beaucoup pratiqué autrefois l'hypnotisme ne l'emploient plus aujo

ntégrité ininterrompue de la mémoire. Cela est surtout aisé si vous pratiquez votre enquête quelques heures ou quelques jours

able que l'on n'aurait pas hésité, semble-t-il, si l'on n'avait pas pratiqué une ponction lombaire, à admettre 534 HYSTÉRIE-

rait, on peut l'affirmer, efficace chez de tels sujets, si elle était pratiquée dans des services d'isolement, éloignés des gra

le est surtout marquée dans les formes (') Tous ces examens ont été pratiqués avec le même appareil de Pachon qui, déjà, avait

a dilacération du plexus sympathique qui entoure l'artère numérale, pratiquée plusieurs fois dans un but thérapeutique (opérati

me il a été ins- titué à Tours par Clovis Vincent ('), comme il est pratiqué à Salins par Roussy, Boisseau et d'Oelsnitz(2)

tous les cas, où elle est indiquée, la ponction lombaire devra être pratiquée avec prudence, et la quantité de liquide évacué d

oncevoir ce mode de traitement. V La recherche du vertige voltaïque pratiquée sur des malades nullement atteints, d'ailleurs,

nts d'oreille. Chez beaucoup d'en tre eux, une seule ponction a été pratiquée , mais plusieurs en ont subi deux, trois et même

s de tumeur qu'il avait diagnostiquée, l'intervention, laquelle fut pratiquée sur ses indications par Horsley. Les cas de t

dans un mauvais état général et qu'à l'époque où l'opération a été pratiquée , la technique chirurgicale était moins bien rég

sie de la moitié gauche du corps à partir de DI. Après l'opération, pratiquée par de Martel, il y eut une paralysie des deux br

ième et sixième segments et nous proposons une laminectomie qui fut pratiquée par de Martel, le 10 juillet. Après l'ouvertu

d'excoriation des téguments. Je conseille une laminectomie qui est pratiquée le 15 juillet par de Martel. On trouve une tume

avec une intensité aussi grande qu'auparavant, et on fut conduit à pratiquer à l'arrière de la branche montante du maxillaire

hique, un examen de la colonne cervicale. Une première radiographie pratiquée le 9 octobre donne un résultat très imparfait à

ne manière systématique à cet agent. Voici le résumé des opérations pratiquées par M. Delherm, du 9 octobre au 20 novembre. On

lle équivalente au spintermètre de Béclère, 6 à 8 centimètres. On a pratiqué un examen radioscopique pendant lequel la régio

isparu. Le malade reprit ses occupations fatigantes et, à un examen pratiqué quelque temps après, on constatait chez lui le

la radiothérapie. RADIOTHÉRAPIE DE LA SCIATIQUE 61f) Celle-ci fut pratiquée de même manière que dans l'observation I. On fit

êcha de travailler. Il réclamait une opération; voici celle qui a été pratiquée . Cet homme, après avoir été soumis à l'action d

e présentaient aux orifices ouverts par le sphacèle ; des irrigations pratiquées journellement, par le professeur Jarjavay, facili

sujet de l'observation XXIX ; c'est lui qui m'a surtout « déterminé à pratiquer l'opération. « La marche de cette maladie est d

uppléait M. le docteur Depaul pendant les vacances. L'opération fut pratiquée de la manière suivante : la malade ayant été chlo

ntière de l'os est relaté par le docteur Rogers, de New-York, qui l'a pratiquée le 12 décembre 1867 sur une jeune fille de sept a

e cutanée, et l'adhérence en sera encore plus assurée. L'opération, pratiquée ainsi qu'il vient d'être dit, n'a présenté aucune

s muqueuses sont cautérisées. Des cautérisations hebdomadaires sont pratiquées comme précédemment. Les plaques muqueuses guériss

é reprise avec les canules et les mèches, deux cautérisations ont été pratiquées au niveau du rétrécissement sur des points qui av

à faire enlever sa tumeur ; elle se décida enfin, et l'opération fut pratiquée à l'hôpital Saint-Louis, au moyen d'un serre-nœud

de ligature de l'iliaque externe. Enfin Carnochan a eu l'occasion de pratiquer celle de la carotide des deux côtés pour un éléph

lusion parait facile à tirer ; il semble qu'on ne doive pas hésiter à pratiquer cette opération. Mais cette belle, mais trop cour

res de chaque côté du plan médian. Le palper, la percussion, bien que pratiquée avec précaution, sont péniblement supportés par l

e ce genre dans aucune autre partie de son corps. M. Benjamin Anger pratiqua une incision oblique de bas en haut de 2 centimèt

indiquer la composition chimique. Au même moment où , par l'ouverture pratiquée avec le bistouri, jaillit le liquide, une fausse

se membrane offrit l'aspect d'une poche qui devait, avant l'ouverture pratiquée avec le bistouri, être close de toutes parts et c

oir être plus à même de l'affirmer, fouillé dans toutes les thèses et pratiqué à la bibliothèque de l'Ecole d'attentives recherc

ion à remplir : rendre les voies perméables par une opération directe pratiquée sur le larynx ou sur la trachée. J'écartai l'idée

ative qui aurait laissé subsister la cause du mal, et je me décidai à pratiquer la laryngotomie, afin d'extirper directement, par

malade. Celui-ci était disposé dans son lit comme s'il s'agissait de pratiquer la trachéotomie. Je fus aidé par MM. les docteu

ttendre que le calme se rétablît. Après quelques minutes de repos, je pratiquai l'ouverture du point ossifié du thyroïde avec de

c l'opinion que j'avais exprimée sur cette opération avant de l'avoir pratiquée (Dictionnaire encycl. des sciences méd.). J'eng

endra de la tumeur et de sa structure L'ouverture du larynx peut être pratiquée sur les membranes du larynx ou sur un des cartila

oscopique m'a d'ailleurs démontré la parfaite guérison de l'opération pratiquée il y a six mois. Le point oü était inséré le poly

nsion. Bien que le cartilage sectionné fût ossifié, et que l'on n'ait pratiqué aucune suture, la cicatrisation était complète le

yngoscope inspirait tout d'abord la création d'instruments destinés à pratiquer par les voies naturelles l'extirpation des produc

expériences faites avec M. Plan-chon. La laryngotomie sous-hyoïdienne pratiquée selon les préceptes de Malgaigne, ne donne accè

s résultats défectueux de cette laryngotomie, car, lorsqu'il eut à la pratiquer sur le vivant, il se rapprocha du larynx, c'est-à

ale distance de l'hyoïde et du thyroïde, que Follin fit son incision. Pratiquée d'après ce procédé, l'opération permet un accès p

aussi souvent qu'on le veut. Ne peut-on aussi, dans ces bâtiments, pratiquer une abondante ventilation, la nuit comme le jour

qu'à 5o ou 60 fois. Si cette ventilation est insuffisante, ne peut-on pratiquer largement la ventilation, dite naturelle, en tena

fférentes. — L'arachnoïde renferme peu de liquide. — Plusieurs coupes pratiquées sur la moelle n'ont fait voir aucune lésion récen

trachéotomie, opération d'urgence que l'on a si souvent l'occasion de pratiquer chez les enfants ; sur les anesthésiques et plus

capable s'il était encore en présence d'une femme. Il avait, dit-il, pratiqué le coït deux ou trois fois par nuit; cela il y a

tion traînait en longueur et de- venait dangereuse. L'auscultation, pratiquée avant et après l'admi-nistration du vomitif, fais

e l'affection qui a motivé son admission, l'opé-ration que nous avons pratiquée , nous allons résumer brièvement ses antécédents :

s unes répondent à la première opération, les autres à celle que j'ai pratiquée . La peau adhère au bord inférieur du maxillaire,

nime; l'état gé-néral est bien meilleur.... » L'examen microscopique, pratiqué par MM. Devergie et Gubler, a fait voir l'absence

d'un appareil orthopédique. Messieurs, L'opération que nous avons pratiquée avant-hier sur noire ma-lade, affecté de torticol

s, opistho-tonos, etc. Les crises convulsives étaient fréquentes ; on pratiqua alors l'amputation métacarpo-phalangienne. Le Hac

ation complète du liquide contenu dans la vessie, soit aux opérations pratiquées dans l'urèthre et la vessie. De là trois genres d

-dire d'après la sonde ou l'instrument employé. Le cathétérisme est pratiqué , selon l'indication chirurgicale avec des sondes

ssie à l'aide de l'aspirateur sous-cutané. Cette opération a déjà été pratiquée plusieurs fois, notamment par M. Labbé, à l'hô-pi

ologie pathologique des plaies des muqueuses. Aussi a-t-on proposé et pratiqué toutes espèces d'opérations capables de rétablir

ignorait absolument la cause des accidents consécutifs aux opérations pratiquées sur l'urèthre ; et ces terribles accidents, si bi

être signalé, c'est celui qui com-prend la description des opéralions pratiquées sur le col de la vessie par l'urèthre. Ces opérat

« La cause de cette divergence est celle-ci: les hommes qui savaient pratiquer la lithrotritie la vantaient, montraient les résu

re toutes les délicates manœuvres de cette opération essayaient de la pratiquer ; mais en raison de leurs mauvaises manœuvres, il

ion du lithotribe est la même que celle de la sonde coudée ; une fois pratiquée , il faut prendre certaines précautions pour ne pa

rsiste la moindre infirmité due à l'opération. Mais quand doit être pratiquée la lithotritie? quand doitêtrepra-tiquée la taill

brusquement une rétention d'urine qui oblige le docteur Hacherelle à pratiquer le cathétérisme. La vessie vidée, les accidents g

l est en rapport avec elle. — L'exa-men histologique de cette tumeur, pratiqué par M. Renault, dans le laboratoire de physiologi

a à une cirrhose. Du 15 mars 1869 au 5 octobre, sept ponctions furent pratiquées . C'est peu après la dernière que M. Hardy vit le

te de l'injection iodée dans la tunique vaginale. C'est alors que fut pratiquée la neuvième et dernière ponction. Après celle-ci,

a contraction musculaire, par P. Dupuï. — Après plusieurs expériences pratiquées sur lui-même, M. Paul Dupuy est arrivé aux conclu

qu'il venait de subir. — On dut aussitôt le placer la tête en bas, et pratiquer la respiration artificielle. Ce ne fut qu'au bout

n mot un kyste sanguin. Poussant plus loin notre examen, nous avons pratiqué une coupe médiane de la tumeur, ou plutôt de la p

nte, il serait sage, aussitôt après la section des parties molles, de pratiquer la ligature de Vartère fémorale avant de terminer

diffluent, de la grosseur d'un pois environ. A l'examen microscopique pratiqué par MM. Coyne et Hayem, on trouve les tubes sémin

ns seule-ment qu'on y a soigné 707 Français et 269 Allemands, qu'on a pratiqué 68 grandes opérations et qu'il y a eu 26 guérison

e proportion d'urée qu'à l'état physiologique, nous nous déci-dâmes à pratiquer une petite saignée. Pour ce faire, et en raison d

le du col de l'utérus hypertrophié. C'est à Brest 1, en 1780, qu'on pratiqua pour la première fois une opération de ce genre,

pération et la rendit plus dangereuse ; aussi, M. Alph. Guérin dut-il pratiquer la résection du col assez bas, pour ne point lése

rte, je fis un petit trou; trois ou quatre centimètres plus bas, j'en pratiquai un second. Cela fait, je pris du côté de son extr

nde et re-passé ensuite en dehors par le trou supérieur que j'y avais pratiqué , me servit à attirer jusque dans l'ouverture de l

on après l'accouchement. L'avivement de la peau et de la muqueuse fut pratiqué . Les surfaces mises en état de cruentation furent

e mouchoirs plies en cravate. Trois fois par jour le cathétérisme fut pratiqué . Le septième jour, on enleva les sutures profonde

, mariée depuis dix ans et enceinte pour la première fois. Le toucher pratiqué au moment de l'accouchement ne permit pas de péné

sme de la carotide interne au niveau du sinus caverneux. L'au-topsie, pratiquée plus tard par M. Sappey, vérifia l'exactitude de

les. Sur l'extrémité gauche du rein, on voit une incision qui a été pratiquée pour examiner la disposition de la substance réna

bre des deux paupières en arrière de l'implantation des cils, afin de pratiquer l'occlusion permanente. En même temps, il détruis

précéder la désarticulation par la section de l'os à désarticuler; 5° pratiquer l'extirpation isolée et successive de cha-que ext

on des érysipèles précoces serait, suivant M. Verneuil, une opération pratiquée sur une partie en pleine suppuration ; on ouvre a

ères cliniques de cette tumeur indiquent l'opération, et celle-ci est pratiquée par la méthode suivante : Afin d'éviter autant

toute la masse morbide. Voici le résultat à"\m examen microscopique pratiqué avec le plus grand soin par le docteur A. Muron,

ons; 2° plaies; 5° ruptures de la rate. VIII. Des opérations qui se pratiquent sur la rate : Les maladies qui réclament l'interv

llaires cérébraux et le cerveau faisait hernie à travers l'ouver-ture pratiquée sur la voûte crânienne. Le meilleur moyen d'agi

éral et d'une pesanteur périnéale. Au bout de deux ou trois jours, on pratiqua le toucher vaginal qui fit constater l'exis-tence

ère érosion au niveau de l'orifice externe. La résection du col fut pratiquée , et à l'examen microscopique de la pièce enlevée,

gt ne pouvait jamais être que gênant pour le blessé. L'amputation fut pratiquée , et la pièce anatomique plongée immédiatement dan

La consistance des granulations devint telle qu'il fut possible de pratiquer les coupes les plus fines et d'apprécier nettemen

ines se rapprochent par un caractère commun : la résection du col fut pratiquée et amena un résultat doublement heureux, car les

transver-salement rubanées et en gouttière. L'amputation du col fut pratiquée avec le bistouri ; l'opération fut rapide, et il

elle-ci peut devenir une cause d'erreur gros-sière, lorsqu'on vient à pratiquer la mensuration à l'hystéromètre. Par suite des fa

. liga-ments ronds; — V.S, bords du vagin renversés, après l'incision pratiquée sur la ligne médiane de la face postérieure du va

l'introduction de la main dans la cavité ulérine, ce qui permettra de pratiquer la rotation céphalique interne. Remarquons cepend

llement douloureuse à la pression. Il y a douze jours, l'ablation fut pratiquée avec l'instrument tranchant, après abaissement pr

d'autre part, les règles avaient cessé depuis huit jours lorsque l'on pratiqua l'opération. Rien, dans l'examen clinique de la

il avait assisté, à initier le public aux usages et aux rites qui se pratiquent dans les temples shintoïstes et bouddhiques du Ja

e n'hésite pas à déclarer que, « autant il y aurait d'inconvénients à pratiquer l'hypnotisme chez les sujets excellents et bien p

progression très inférieure à la normale. Qu'elle opération faut-il pratiquer chez les enfants arriérés ? Je ne veux pas ici

s la désuétude la plus complète. La seule opération qui puisse être pratiquée est la craniectomie à volet, soit unilatérale, so

upérieur à celui qui leur était dévolu si l'opération n'avait pas été pratiquée . La médication thyroïdienne est presque toujour

riérés qui sont justiciables d'une intervention chirurgicale et de ne pratiquer cette opération que chez ceux où on a l'espoir d'

Le second temps de l'opération : l'incision de la dure-mère, a été pratiqué le 13 juin. On peut juger, aujourd'hui 18 jui

nner la médecine. » Welterstrand, en effet, n'était pas de ceux qui pratiquent une psycho-. thérapie faite de verbiage et de pré

plus inspiré et préféré par la divinité. Une autre cérémonie qu'on pratiquait dans ces conciliabules fut « le baiser séraphique

aitement des malades en présence d'autres personnes, comme je l'avais pratiqué jusqu'alors exclusivement, et m'appliquai plutôt

t que possible des autres malades. Le traitement proprement dit est pratiqué dans une chambre où le malade se trouve seul avec

ures ; — Escroqueries prolongées à la faveur de manœuvres hypnotiques pratiquées sur une des victimes. J'en arrive aux trois rap

Solon l'autorisa à Athènes, Romulus et Numa à Rome. Mais ici il était pratiqué par le père. Celui-ci avait le droit de ne pas re

ages dont le garde-manger est limité : l'infanticide y est couramment pratiqué . On se débarrasse tout d'abord des faibles, des d

ntolérante, amenant un état tel que nous fûmes obligé de penser à lui pratiquer la dilatation anale. Nous eûmes de nouveau reco

ncombre et que l'anesthésie parfaite fut obtenue. La dilatation fut pratiquée avec le spéculum bivalve de Trélat largement ouve

médecin consulté le fit transporter dans une maison de santé où l'on pratiqua le cathétérisme de la vessie. Bientôt le malade a

connu, leur avait légué à chacun deux mille francs, à la condition de pratiquer son autopsié. Par son testament, rédigé en bonn

ssés. Ces pratiques ne peuvent être dangereuses que lorsqu'elles sont pratiquées par des gens incompétents. » Comment pourrait-on

ances et deux décès. Ces derniers furent des suicides. Le suicide est pratiqué quand la maladie et les douleurs de viennent into

e tandis que les autres membres de la famille regardent par des trous pratiqués dans le mur. Si le patient n'arrive pas prompteme

quante ans ; à cette époque, les jeux et les sports étaient cependant pratiqués depuis de longues années en Angleterre, puisque l

la tète rasée s'élève en pain de sucre. On y reconnaît la déformation pratiquée encore par les sauvages en serrant la tète entre

us rencontrons d'abord la gymnastique ancienne, habituellement encore pratiquée dans notre pays. C'est la gymnastique (Il Roger

ni les muscles fixateurs des omoplates. Aussi, ceux qui ont beaucoup pratiqué cette gymnastique sont généralement mal propor- '

e ancienne a rendu des services à beaucoup de jeunes hommes qui l'ont pratiquée avec modération. En effet, indépendamment de son

éthodique nous allons dire ce que nous avons fait, comment nous avons pratiqué l'auto-suggestion, et los pensées que cette prati

est une auto-suggestion synthétique. Voici comment j'ai été amené à pratiquer l'auto-suggestion « Etre sage ». J'ai commencé

amené à pratiquer l'auto-suggestion « Etre sage ». J'ai commencé à pratiquer l'auto-suggestion méthodique vers l'âge de 30 ans

cupations cérébrales possibles. Pendant une quinzaine d'années j'ai pratiqué l'auto-suggestion méthodique au hasard des circon

pratiqué l'auto-suggestion méthodique au hasard des circonstances. Je pratiquais cette méthode tous les jours. J'y consacrais tout

raînement dure depuis plus de vingt ans. Vers l'âge de 45 ans, j'ai pratiqué pour la première fois l'auto-suggestion « Etre sa

r trop facilement, et qui déplaçaient mon désir de travailler. J'ai pratiqué l'auto-suggestion affirmative, o Etre sage ». Car

eur des auto-suggestions négatives. L'auto-suggestion a Efre sage » pratiquée pendant plusieurs jours m'a donné un résultat ina

e l'ai constaté depuis. Mais pour que l'auto-suggestion puisse ètro pratiquée pendant un un temps assez long, soit pendant plus

l'auto-suggestion était « Je veux être sage ». Or, quand j'avais pratiqué pendant vingt minutes, l'auto-suggestion Je veux

ingt-cinq fois de suite. De cette façon l'auto-suggestion a pu être pratiquée plusieurs heures dans une journée de 24 heures.

être sage » m'ait donné un résultat efficace. Pendant six mois j'ai pratiqué l'auto-suggestion « Etre sage ¦ ou les formules q

to-suggestion « Etre sage ¦ ou les formules qui la variaient. Je l'ai pratiquée de façon qu'elle soit l'autosuggestion principale

pour les quatre cinquièmes du temps consacré à l'auto-suggestion. Je pratiquais cette auto-suggestion « Etre sage »à tous les mom

réveillant. J'estime que, les intervalles de repos mis à part, j'ai pratiqué cette auto-suggestion a Etre sage » ou ses varian

e » et ses formules variées. Pendant trois mois, jour et nuit, j'ai pratiqué de nouveau cette autosuggestion o Etre sage » et

Mais cette fois j'ai fait appel à mon expérience pour me guérir. J'ai pratiqué l'auto-suggestion « Etre sage, être raisonnable »

», et les variantes. Puis, pour remplacer l'idée de l'absente, j'ai pratiqué l'auto-suggestion pour travailler, écrire, avoir

paraît comme un des exercices les plus répandus. Celle-ci peut être pratiquée dans des vues différentes : moyen de défense et d

tes : moyen de défense et de combat, ou simple exercice physique. Pratiquée dans ce dernier but, le seul qui nous intéresse i

tre considérés comme un moyen et non comme une fin ; lia doivent être pratiqués non pas dans un but de lucre ou pour établir des

dans tous les exercices de gymnastique suédoise donnent à ceux qui la pratiquent depuis un certain temps une distinction dans les

ans exclusifs des sports reprochent à la gymnastique en général de se pratiquer dans des locaux fermés ; ils pensent que des mouv

u sports. Au surplus, rien ne s'oppose à ce que la gymnastique soit pratiquée dans des locaux spacieux suffisamment aérés, et r

imer de sa pensée les idées d'amour. J'estime que la persévérance k pratiquer l'auto-suggestion tous les jours pour travailler,

ne âge. Ayant reçu une éducation très sévère je n'ai pas eu besoin de pratiquer l'autc-suggestion pour ne pas tuer, ne pas voler,

à de la supercherie du médium. Quand j'ai systématiquement négligé de pratiquer le contrôle, toutes les expériences ont réussi ;

importance de cet examen bien fait, et sur la manière dont il faut le pratiquer pour cela, importance qui m'a été démontrée par u

qu'en se jouant, lisaient eux-mêmes provoqué ces faits, c'est-à-dire pratiqué de nombreuses expériences. Les théories qu'on leu

» 018 C'est là le point. L. D. PSYCHOLOGIE COMPARÉE Expérience pratiquée sur un lion, a la ménagerie du Muséum, le 19 ma

durera l'affection, car vous n'en savez rien. Que faut-il faire ? Pratiquer l'isolement moral, enlever le malade à sa famille

'habitude de ronger le bout de ses cheveux et chez laquelle il fallut pratiquer la gastrotomic pour retirer de son estomac une én

ans la psychologie animale quelles expériences seiait-:l désirable de pratiquer ? Elles peuvent être de deux genres différents.

es au directeur de notre Institut pur M. le professeur Oustalefr pour pratiquer certaines expériences à la ménagerie même. Ces

but de traiter une affection maladive. Ces actes, lorsqu'ils ont été pratiqués par des gens non pourvus du diplôme requis, peuve

dol est une cause de nullité de la convention, lorsque les manœuvres pratiquées par l'une des parties sont telles qu'il est évide

différence que le dol n'est une cause de nullité qu'autant qu'il est pratiqué par l'autre partie contractante ou tout au moins

st obtenu, la guérison est la règle. Sans l'hypnotisme, la suggestion pratiquée à l'état de veille ne donne que des insuccès. C'e

t isolé aurait dû ne pas faire naitre : — Et puis, ces manœuvres sont pratiquées en petit comité, à huis clos et souvent même

gère au monde extérieur, avec amnésie totale au réveil. Tous ceux qui pratiquent l'hypnotisme savent combien chez de pareils sujet

trition et la chloroanémie consécutives à l'alimentation artificielle pratiquée deux fois par jour s'aggravèrent alors, et le mal

tique de la cautérisation. Dans tout l'empire, la cautérisation est pratiquée , mais surtout dans le Hedjaz et la Tripolitainc.

ervention que j'avais proposée, étant bien résolu à ne pas la laisser pratiquer dans les conditions ordinaires. Analgésie sug

tre confrère ace jeune homme, vous irez chez le Dr Moiroud ; celui-ci pratiquera une injection de cocaine et vous enlèvera votre d

endre la vie aux morts, c'est l'ou-« vrage de Dieu. Quant à ce que je pratiquais dernièrement avec tant de « succès, je ne l'ai tr

it au contraire de raconter ce qu'il avait fait (Luc, VIII, 39). Il pratiquait aussi l'imposition des mains, si usitée par tous

les exaltés, les Esséniens, qui vantaient la pauvreté et le célibat, pratiquaient des agapes, ne faisaient point de sacrifices aux

e pointe de scepticisme et même de défiance. Nous tous, en effet, qui pratiquons l'hypnotisme, nous avons été, de ci, de là, dans

e fait pas attendre. Ainsi, plusieurs fois de suite, suivant que je pratiquais l'inhibition de mes mouvements tibrillaires ou qu

s, mes prévisions n'ont été démenties. ¦ * * 4 ¦ Les sujets qui pratiquent ces sortes d'expériences ne sont pas tous dans le

et de façon trop indiscrète les dangers de ces recrutements en masse pratiqués dans le monde où l'on s'amuse. Sous la menace des

rmal et l'on comprend ce qu'ont d'un peu artificiel toutes les coupes pratiquées dans leur situation naturelle. Néanmoins et mal

nombre de malades, et que, sans leur prescrire aucun médicament, il a pratiqué sur leurs personnes, par-dessus leurs vêtements,

strueuses erreurs de diagnostic: des chirurgiens ont même été jusqu'à pratiquer l'arthrotomie et la désarticulation de la hanche,

lement. La même année, le roi de Prusse n'autorise que les médecins à pratiquer le magnétisme. En 1855, l'Autriche réserve aux

estion. L'auto-suggestion, pour donner de bons résultats, doit être pratiquée avec méthode. ¦ » » Le terme auto-suggestio

cessaires à la pratique de l'auto-suggestion. Le meilleur état pour pratiquer l'auto-suggestion est la somnolence qui précède o

ne peut être obtenu dans une grande ville ou même un village, on peut pratiquer l'auto-suggestion la nuit de 1 heure à 3 heures d

moment où tout le monde dort. C'est en effet le meilleur moment pour pratiquer l'auto-suggestion, car la somnolence que l'on obt

pratique proposée. Il est d'autres moments pendant lesquels on peut pratiquer l'autosuggestion. Le soir, étant couché, avant

r. Le matin, étant couché, avant de se lever. Ces deux moments de pratiquer l'auto-suggestion : 1° avant de s'endormir; 2° ap

olontairement y mettant fin. Le grand avantage de l'auto-suggestion pratiquée le soir avant de s'endormir, c'est que, après la

nsacré à la pratique de l'auto-suggestion. Les meilleurs moments de pratiquer l'auto-suggestion, pour une personne expérimentée

. Pour le débutant, le meilleur moment est le matin. III. Comment pratiquer l'auto-suggestion L'auto-suggestion se pratique

à cette fatigue provenant de l'auto-suggestion unique, le sujet peut pratiquer plusieurs auto-suggestions. Il pourra prendre tro

une séance est de trois. A ce nombre, les auto-suggestions sont bien pratiquées et donnent des résultats certains. On peut aller

bonnes idées. Quand l'auto-suggestion auotr de bonnes idées aura été pratiquée , le centre nerveux qui préside à ce travail aura

son activité est stimulée tous les jours par une auto-suggestion bien pratiquée , en vertu de la loi d'entraînement, le centre ner

e fois de suite, il faut être entraîné depuis longtemps. Quand on a pratiqué l'auto-suggestion, ptaire vingt ou trente fois de

Repos. Puis on recommence. On passe ainsi une demi-heure environ à pratiquer cette auto-suggestion. Alors il est bon de prendr

deux ou trois heures consacrées à l'auto-suggestion. Par exemple, on pratiquera l'auto-suggestion pendant une heure ou une heure

une heure ou une heure et demie le soir avant de s'endormir ; puis on pratiquera Tauto-suggeslion une heure ou deux heures dans la

uera Tauto-suggeslion une heure ou deux heures dans la nuit ; puis on pratiquera l'auto-suggestion une demi-heure ou une heure le

Cela prouve une fois de plus que l'hypnotisme ne devrait jamais être pratiqué que par un médecin et encore par un médecin compé

quatre ans, de vivre presque dans son intimité, e Si quelqu'un jamais pratiqua sa doctrine et mérita les beaux noms de philosoph

p. 221. Enseignement médical de la Pitié (L"), p. 351. Expérience pratiquée sur un lion, à la ménagerie du muséum, par Hachet

ooo, de compléter le durcisse- ment par la gomme et l'alcool et de pratiquer des coupes transver- sales que l'on colore, soi

anifestations du réveil. Je dois ajouter que cette expérience a été pratiquée seulement sur le pigeon, le lapin et le cobaye.

irrigation de l'oreille avec de l'eau à la température de 15 à 20° pratiquée suivant la méthode de Barany, en même temps qu'

ent dans 20 pour 100 des cas. Ces conclusions résultaient d'examens pratiqués dans de mauvaises conditions. La position qui

t défaut. 11 en résulte qu'un individu, chez qui l'expé- rience est pratiquée pour la première fois, a besoin de tâtonner en

je l'ai indiqué, une flexion de l'avant- bras, sauf quand elle est pratiquée au niveau du tendon du triceps, les effets de l

n de ne pas pré- venir le sujet de l'expérience qu'on se propose de pratiquer et de lui faire fermer les yeux. La jambe doit

s ai présentée, je l'ai observé dès le premier examen qui avait été pratiqué vingt-quatre heures après le début de l'hémi- p

ion, au contraire, le renforce. C'est pourquoi lorsque l'examen est pratiqué dans une pièce obscure, le réflexe, faible ou n

la malade et i. Voici en quoi consiste cette méthode : l'examen est pratiqué dans un endroit sombre ; on place une bougie, u

, Foerster écrivait que la résection des racines postérieures a été pratiquée jusqu'à celte date dans 159 cas; sur ce nombre,

en soit, dans des cas semblables aux nôtres, une ponc- tion unique. pratiquée à la période où la leucocytose consiste en lym-

e Leredde ait formulé l'opinion qui a eu tant de retentissement, il pratiquait le traitement mercuriel des tabétiques et affirma

ésie et l'exagération des réflexes de défense. Une laminectomie fut pratiquée et le néoplasme qui s'était développé aux dépen

de localiser celle-ci au niveau de D.IV et de D.V. Une laminectomie pratiquée dans la région ainsi délimitée permit d'extrair

la région cervicale (il s'agis- sait en l'espèce d'une radiographie pratiquée en vue du diagnostic). Huit jours environ après

de paraplégie liée à une tumeur intra-rachidienne (une laminectomie pratiquée plus tard a décelé l'existence d'une tumeur com

aigu, une allure subaiguë ou chronique. Une première rachicentèse, pratiquée environ trois mois après le début de l'affectio

ngée à forme jacksonienne. N'y aurait-il pas lieu, disions-nous, de pratiquer une craniectomie dans des cas de ce genre ? Dan

tiel d'en connaître les indications et de se mettre en mesure de la pratiquer en temps opportun pour en tirer tous les bénéfice

demeuraient longtemps complètement fixes. Une opéra- tion ayant été pratiquée , on découvrit un abcès dans l'hémisphère cérébell

s graves de la motilité et d'une gêne dans la déglutition. L'examen pratiqué quelques jours après le début de l'affection dé

s sériées, par la méthode de Marchi. Des cou- pes de la moelle sont pratiquées au niveau de chaque paire radicu- laire (méthod

A ce propos, je dois faire remarquer que l'irrigation de l'oreille pratiquée pour la recherche du réflexe calo- rique est ca

dont j'ai démontré l'efficacité. La recherche du vertige voltaïque pratiquée sur des malades nullement atteints, d'ailleurs, d

ts d'oreille. Chez beau- coup d'entre eux, une seule ponction a été pratiquée , mais plusieurs en ont subi deux, trois et même

u spinal, dans le torticolis spas- modique, après avoir été souvent pratiquée , a été ensuite déconseillée par la plupart des

arquée. Il est vrai que, l'examen du corps thyroïde n'ayant pu être pratiqué , on pourrait supposer que cette glande était al

188 AFFECTIONS DES GLANDES A SÉCRÉTION INTERNE « A un nouvel examen pratiqué à la fin de igoo, la guérison du goitre, du tre

re certains symptômes dominants de l'affection vertébrale. Nichet a pratiqué trente autopsies dont il a tracé le tableau ; il

nous sommes demandé un instant si la thoracentèse ne devait pas être pratiquée . Cependant la malade guérit sans cette opération.

e propose de faire ici une application de la méthode de M. Boinet, de pratiquer une ponction et une injection iodée. Voici un a

eu, si l'abcès devient plus superficiel, qu'il menace de s'ouvrir, je pratiquerai une ponction sous-cutanée suivant la méthode d'A-

reuse, le péritoine ou la plèvre. Ces cas sont rares. Comment doit-on pratiquer l'ouverture dans ces circonstances ? On ouvrira d

oie le trocart en y joignant l'aspiration, on a l'avantage de pouvoir pratiquer l'ouverture de la peau plus loin de celle du kyst

lure lombaire énorme; l'écartement des cuisses était très-borné. J'ai pratiqué la section des muscles adducteurs et fait ensuite

é combattue par la section du tendon des psoas-iliaques. J'avais déjà pratiqué cette dernière opération sur une jeune fille dont

eine Dief-fenbach, mettant à exécution le projet de Stromeyer, eut-il pratiqué ses premières opérations en 1839 et 1840, que par

point de départ de l'opération du strabisme, à savoir, la téno-tomie pratiquée dans les autres parties du système musculaire, es

er, on introduit un crochet mousse à travers une incision horizontale pratiquée à la muqueuse oculaire, on attire le muscle au de

ses à M. Stromeyer et à Dieffenbach pour avoir, l'un proposé, l'autre pratiqué cette opération. Examinons maintenant un certai

natif. Après la section du muscle droit interne gauche à son attache, pratiquée en 1842, le redressement du globe oculaire était

s la malade a été sujette jusqu'à dix-neuf ans. Le 11 août 1841, je pratiquai la section du muscle droit externe sans presque o

l'œil droit. Le 19 mars 1841, la section du muscle droit externe fut pratiquée sans amener de changement dans l'état de l'œil; d

à gauche. Au mois de juin 1854, la section du muscle droit interne, pratiquée à son attache antérieure, a produit un redresseme

ngle que l'on fait varier au moyen de liens qui traversent des fentes pratiquées sur les deux pièces de cet appareil. Les bandag

ants, quand on ne reconnaît sa situation qu'au toucher, il vaut mieux pratiquer la section sous-tendineuse. On est plus sûr alors

celle de la veine saphène. Voici d'ailleurs comment on procède pour pratiquer la section du tendon d'Achille. Le malade étant

nte du pied, où sa rétraction le rend souvent saillant. On a encore pratiqué dans les pieds bots la section de l'aponévrose pl

exion considérable du coude et de la main , du côté gauche. Je vais pratiquer , comme chez la petite fdle, la division du tendon

ut souvent, sans préjudice pour les malades, et même à leur avantage, pratiquer au pied des sections qui affaiblissent ou détruis

sultent, comme on a pu le voir, de la manière dont la ténotomie a été pratiquée et des soins consécutifs. Il y a donc des condi

s graves. Je ne connais pas de cas de mort à la suite de la ténotomie pratiquée pour le pied bot. Malgré ces accidents, la répa

le puisse se présenter au pied (1). Cependant cette opération a été pratiquée depuis un certain nombre de fois. On a divisé, da

étendre par la seule action des moyens mécaniques. C'est ce qui a été pratiqué avec succès par Vallin (de Nantes) dans un talus

n des tendons, comme toute autre opération chirurgicale, ne doit être pratiquée que lorsqu'un traitement plus doux ne peut condui

ténotomie est-elle également applicable à cet âge? Quand j'ai eu à la pratiquer dans la première année, son innocuité m'a paru la

l'appareil de M. Jules Martin, et l'enfant le supporte assez bien. Je pratiquerai ¡a ténotomie quand j'aurai la certitude qu'il y e

tion des machines. Vous lirez telle observation de pied bot où l'on a pratiqué dix ou douze sections musculaires ou ligamenteuse

otomie. Une dernière question à résoudre, c'est de savoir s'il faut pratiquer une nouvelle section, quand la déviation se repro

connaît aisément aux premiers essais de traitement mécanique, il faut pratiquer une nouvelle section. III. Moyens médicaux. — L

de onze, dans son diamètre antéro-postérieur. La symphyséotomie a été pratiquée sur cet autre bassin, qui est réduit dans tous le

que les enfants sont un peu plus forts, on les amène graduellement à pratiquer des exercices actifs. La gymnastique de Ling peut

ues. Je dirai seulement que des exercices très-efficaces peuvent être pratiqués sans gymnase, sans instruments, au sein de la fam

uileuses relâchantes sur les mmcles des lombes, comme d'autres en ont pratiqué sur les muscles abdominaux dans certains cas de c

su de ces organes était généralement sain, lorsqu'on a eu occasion de pratiquer l'autopsie. Je pense toutefois que ce sujet récla

ations la gymnastique, c'est-à-dire l'exercice musculaire en général, pratiqué dans la mesure convenable pour agir comme fortifi

peut, à la vérité, suppléer au défaut de locomotion par des exercices pratiqués dans la position horizontale; mais ce n'est là, l

eau d'un puits, etc. De là diverses passes du membre supérieur qui se pratiquent dans les gymnases. On produit encore cette flexio

. 3° Exercices dans la position horizontale. — Les exercices qui se pratiquent dans une position à peu près horizontale sont en

rcice est très-utile chez les petits enfants, qui ne peuvent guère en pratiquer d'autres, et qui, tout habitués qu'ils sont à res

iècle. Levacher (5), guidé par des essais antérieurs, eut l'idée de pratiquer la suspension et l'extension d'une manière perman

pression latérale. 1° Extension et contre-extension. — Nous allons pratiquer , sur ces enfants, les extensions d'Hippocrate, c'

ibles. Lorsque, sur ces enfants, nous ne saisissions que la tête pour pratiquer la contre-extension, l'effet était médiocre; il a

plus supportable. On peut se servir des mains de plusieurs aides pour pratiquer de fortes extensions momentanées sur les épaules

s l'attitude de la station, qu'on n'avait pas encore eu l'idée de les pratiquer dans la position horizontale, quoique déjà Hippoc

é (1).- Jusqu'à la fin du siècle dernier, les pressions mêmes qu'on pratiquait dans la station étaient peu rationnelles; elles n

à cité, me paraît avoir confondu l'effet direct de la pression, qu'il pratiquait sans aide à peu près de cette manière, avec l'att

e ce fait. Il est facile de comprendre que les pressions latérales, pratiquées en avant et en arrière au niveau du thorax, vienn

circonstances; les mains suffisent, et les parents eux-mêmes peuvent pratiquer ces manœuvres. 2° Extensions et pressions avec

arrêté par les obstacles que j'ai signalés à l'occasion des pressions pratiquées dans la position horizontale. Il est clair que

e Landau) conseilla, de son côté, cette opération (2). Enfin elle fut pratiquée et enseignée par son auteur, à l'Hôpital des Enfa

l'extrême lenteur d'autres guérisons. M. Maisonabe (1), après avoir pratiqué plusieurs années l'orthopédie, a proclamé l'incur

ont, le plussouvent.la conséquence plus ou moins directe de manœuvres pratiquées par des gens qui. sans aucun mandat soit médical,

pnotiser pénétra jusque dans le collège de la ville. Plusieurs élèves pratiquèrent l'hypnotisme sur leurs camarades et quelques acci

l'espace des six derniers mois qui viennent de s'écouler, nous avonss pratiqué au moins huit cents hypnotisations sans avoir ass

cent quatorze malades par la méthode de suggestion verbale de Nancy, pratiquée sans violence et après une période d'entraînement

'administration. Pour ces derniers, l'autopsie pourrait toujours être pratiquée ; elle pourrait l'être aussi pour les premiers, au

e-ci peut se faire par d'autres mécanismes ; elle a été de tout temps pratiquée par tous les médecins, consciemment ou inconsciem

Anesthésie chloroformique pendant le sommeil. Est-il possible de pratiquer la chloroformisation pendant le sommeil naturel,

nd sommeil. A la demande de la Camille, le médecin résolut alors de pratiquer la chloroformisation sans éveiller le malade, chl

une lésion caractérisée du fond de l'oeil. La suggestion hypnotique pratiquée en avril 1889 ne donna aucun résultat pour la mar

'ai obtenu un certain degré d'amélioration générale par la suspension pratiquée conjointement avec la suggestion,mais il m'est im

'anatomie. Si Ici médecins faisaient connaître les cas d'opérations pratiquées pendant le sommeil hypnotique, aujourd'hui surtou

cadémie de Médecine sur le même sujet. Il s'agissait d'une opéra-tion pratiquée par M. Tillaux, pendant le sommeil hypnotique, po

ion suivante, intéressante par elle-même, prouve qu'on peut également pratiquer des opérations sur l'homme hypnotis, et qu'il n

le traitement du doc eux Lièbcault, que je me suis aperçu que j'avais pratiqué la suggestion dans l'état de veille. L'n des pr

es auxquelles il devait assister. Il vint donc à la Salpétrière où je pratiquais les expériences sur la métallothérapie. Je lui mo

Moments favorables à l'auto-hypnotisme. Les meilleurs moments pour pratiquer l'auto-hypnotisme sont ceux qui avoisinent le som

it le matin, soit pendant la sieste de l'après-midi. Le matin, j'ai pratiqué cet exercice, le réveil à volonté, un très grand

l'hypnose provoquée, par exemple, pour se donner des suggestions. On pratiquera alors l'auto-suggestion. Moments favorables à l

x pieds, car le travail que j'ai fait, c'est-à-dire l'auto-suggestion pratiquée pendant une demi-heure m'avait fatigué, et je me

éellement chaud aux pieds. Cette façon dont l'auto-suggestion a été pratiquée , varie avec les précédentes. J'ai voulu avoir cha

lonté a été suivi d'un résultat positif et persistant. Cette façon de pratiquer l'autosuggestion trouve beaucoup d'analogie dans

que je voudrais bien aussi ne plus avoir froid aux pieds. Mais je ne pratiquais pas l'auto-suggestion pour le froid aux pieds qui

que l'auto-suggestion ait un résultat positif. De plus, comme j'avais pratiqué l'auto-suggestion d'avoir chaud aux pieds bien pl

utables pour être énoncées. 8° Avoir des idées (a) Un soir que je pratiquais l'auto-suggestion, pendant la somnolence qui préc

uand l'auto-suggestion « avoir des idées et écrire» était bien faite, pratiquée pendant une durée suffisante, je pouvais écrire,

souffrir certaines personnes indifférentes auparavant. Alorsque j'ai pratiqué l'auto-suggestion de haïr pour une seule personne

je pense à avoir des idées et à écrire. J'avais la conscience que je pratiquais l'auto-suggestion, d'avoir des idées, et cependar

sparaître ce mal de tête en quelques minutes. L'auto-suggestion mal pratiquée développe l'hystérie ainsi que l'hypnose mal prat

suggestion mal pratiquée développe l'hystérie ainsi que l'hypnose mal pratiquée . Mais l'auto-suggestion pratiquée avec sagesse,

'hystérie ainsi que l'hypnose mal pratiquée. Mais l'auto-suggestion pratiquée avec sagesse, prudence, et une bonne observation

tion de soi-même, ne développe aucun accident, pas plus que l'hypnose pratiquée avec sagesse et prudence. Conclusion, J'ai pr

ue l'hypnose pratiquée avec sagesse et prudence. Conclusion, J'ai pratiqué l'auto-suggestion pour un grand nombre de faits ;

que est appelée à être généralisée. Du reste, l'auto-suggestion est pratiquée naturellement par beaucoup de personnes. Le savan

I1 en est qui sont la conséquence plus ou moins directe des manœuvres pratiquées par l'opérateur. Ces accidents, signalés par di

nerveux est satisfaisant. Jusqu'à ce jour, R... n'avait pas encore pratiqué le coït avec une femme. L'idée d'un commerce char

vie. Dès lors le commerce sexuel de R... fut réglé suggestivement et pratiqué toujours avec succès, à des intervalles fixes.

dix ans.A quelque temps de là. chez des voisins, elle essaya de faire pratiquer devant elle le coït, par un gamin deonze ans. sur

suite. Un jour, ayant entendu parler d'onanisme bucai, ellevoulut le pratiquer sur son amant, puis ce fut le tour de ce dernier,

issa vigoureusement brosser par les époux supersticieux. Sous un trou pratiqué dans le plafond de la chambre était pendu un gran

ériences d'hypnotisme. Vouloir laisser aux seuls médecins le droit de pratiquer de* expériences pourrait nuire aux études psychol

crise et à son réveil la voix était revenue. Pendant quinze jours, je pratiquai la suggestion ; la crise survenait mais de moins

esse d' évoluer de la façon la plus normale. OPÉRATION CHIRURGICALE PRATIQUÉE DANS L'ÉTAT D'HYPNOTISME Par le Dr Edward WOOD

te â la main et danssa poche une paire de ciseaux. Une perquisition pratiquée chez lui amena la découverte de soixante nattes o

ofesseur Charcot. avec tous ceux qui se font un devoir de ne » jamais pratiquer l'hypnotisme A l'aventure, de le réserver pour de

ent du ventre qui s'accentuait tous les jours. M. Rauzier crut devoir pratiquer un examen plus approfondi de l'abdomen. Ce fut un

turés à une chute faite la veille dans l'escalier. Un examen complet, pratiqué par M. Rauzier, semble démontrer, au contraire, q

son hypothèse comme vérité démontrée, et ajoute que l'examen complet, pratiqué pendant l'accouchement et à l'occasion de ce dern

e fait hors de doute. J'étais censé, jusqu'alors, ignorer l'enquête pratiquée par M. Rauzier. je fais venir la jeune fille au l

a-blissements d'instruction publique le temps dévolu aux enfants pour pratiquer , même une toilette sommaire, est absolument insuf

i piqûre, ni contact ; elle n'aura aucune connaissance de l'opération pratiquée sur elle ; l'impression portée sur sa peau sera p

indication a suivre pour la guérison. Après quelques hypnotisations pratiquées les jours suivants, dans le but de gagner de plus

il l'hypnotisme. Le 23 mai, une première tentative d'hypnotisme est pratiquée sur le malade. Il s'y soumet avec la plus grande

recherches, ayant pour objet l'étude de l'ypnotisme, étaient parfois pratiquées , et que ces expériences, pour lesquelles on allèg

4. Accidents hystériques chez une femme à la suite d'hypnotisations pratiquées par un magnétiseur, par Charcot. 3. Action sugg

3 Odorat [suggestion dans le développement Opération chirurgicale pratiquée dans l'état d'hypnotisme, par E. Wood 246. Para

constatons « la nécrose de la phalange unguéale et lui proposons « de pratiquer une incision pour arriver à l'extraction. « Et co

osse lésion de l'oreille, pas d'écoulement, etc. L'examen otologique, pratiqué par M. Gellé, a montré qu'il s'agit là d'un simpl

c perte du sens musculaire au niveau de la main. L'examen des yeux, pratiqué par M. Parinaud le 20 décembre 1883, a donné les

ïe est légèrement diminuée à droite. Mais, d'après l'examen qui a été pratiqué par M. le Dr Gellé, quelques opacités existant su

s que des sifflements d'oreille. Mais l'examen de l'appareil auditif, pratiqué par M. Gellé, n'a décelé l'existence d'aucune lés

l'on ne peut qu'approuver l'excellence des motifs qui l'ont poussé à pratiquer l'ablation de l'exostose qui comprimait le médian

voisinage, un épaississement de la pie-mère. Deux autres autopsies pratiquées dans des conditions analogues, bien qu'elles ne d

inte du droit externe, sont très nets (voir plus bas les deux examens pratiqués le 3 et le 10 mai par M. Parinaud). Pas de sign

ins de qui la malade se trouvait à l'époque des premiers accidents, a pratiqué des mensurations des deux membres inférieurs qui

ure de ces parties. On voit les traces des pointes de feu qui ont été pratiquées , à diverses reprises, au début de la maladie. L

areil plâtré qu'il laisse en place pendant deux mois. Une fenêtre est pratiquée dans l'appareil au niveau de la face dorsale, a

int des articulations de la main ou du poignet. L'examen électrique pratiqué par M. le Dr Vigouroux donne les résultats suivan

par exemple, dans lequel une sciatique, consécutive à un accouchement pratiqué à l'aide du forceps, s'était compliquée d'une par

ensibilité du froid diminuée dans la même région. Examen électrique pratiqué par M. Vigouroux : Pas d'ano- malie de réaction

de chirurgie pour se faire examiner. M. le Dr Terrillon voulut bien pratiquer l'examen, et il déclara n'avoir rien trouvé de sp

te on voit bien le mouvement de steppage. L'examen électrique a été pratiqué à deux reprises par M. le D1' Vigouroux. En voici

seillé dans la paralysie alcoolique, faire intervenir la chirurgie et pratiquer des sections fîbro-tendineuses. Cette particula

étit est conservé. La santé générale est intacte. L'examen des yeux pratiqué par M. le Dr Parinaud donne les résultats suivant

rne sinon absolue, du moins très accentuée. L'examen ophthalmologique pratiqué par M. Parinaud le 28 mai et le 4 juin 1890 donne

ns que l'air reflue dans les fosses nasales. L'examen laryngoscopique pratiqué par M. Cartaz le 7 juin 1890 a donné les résultat

ors de cela pas d'excès de boissons. Examen électrique des muscles, pratiqué par M. Vigouroux : Côté droit (29 juin 1890). Exc

bien, n'ont produit aucune douleur. Les incisions diverses qu'on a pratiquées , l'opération même de la désarticulation, n'ont pa

gravement menacée, le malade demande à être amputé. C'est alors qu'on pratiqua la désarticulation de la jointure métacarpo-phala

he......... 11 Examen électrique des muscles des membres Inférieurs pratiqué par M. le D'' Vigouroux, le 7 décembre 1889. A dr

itif externe gauche. Rien de semblable à droite. Examen de Voreille pratiqué par M. le D' Gellé. Surdité, bourdonnements d'ore

et qui consistent en sensations 1 Les analyses d'urine complètes et pratiquées avec grand soin ont été exécutées par M. Grenouil

me aujourd'hui, ainsi que le montrent les résultats du dernier examen pratiqué par M. Vigouroux le 15 mars 1890. La réaction d

l'odorat, l'ouïe, ne sont touchés d'aucun côté. L'examen des yeux, pratiqué le 17 février par M. Parinaud, donne les résultat

souffrance. Le reste du visage est symétrique. L'examen électrique pratiqué par M. Vigouroux n'a révélé aucune anomalie de*ré

la première dorsale et de la septième cervicale. LTéchancrure ainsi pratiquée laisse facilement passer la pulpe de l'index. Hém

. Devant un tel récit l'examen du nez devenait nécessaire. Il a été pratiqué par M. Gellé qui a constaté dans la narine gauche

un, par exemple ? Absolument pas. De ce côté, un examen attentivement pratiqué par M. Parinaud est resté négatif. Dans ce cas,

uble appréciable et qu'elles peuvent rester ignorées si on néglige de pratiquer l'examen ophtalmoscopique. (1) Bouicli. Anomali

ves d'aggravation et d'amélioration. J'ajouterai que l'autopsie fut pratiquée clans six cas et que cinq fois les nerfs optiques

restant absolument immobile. L'examen électrique des muscles a été pratiqué par M. le Dr Vigouroux, le 8 mars 1890. Il montre

amais souffert des oreilles. Pas d'écoulement. L'examen de l'oreille, pratiqué par M. le Dr Gellé, le 15 mars 1890, montre qu'il

l'appareil auditif périphérique et nerveux. L'examen de l'œil a été pratiqué par l'un de nous le 12 mars 1890 et a donné les r

édications employées, des injections sous-cutanées d'éther, dit-elle, pratiquées tous les deux jours, ont réussi seules à calmer s

le pathologique des diverses parties constituantes de l'0S. Si nous pratiquons la section verticale d'un os long adulte ayant lo

u............. 10 grammes. Chloral...........10 grammes2. et nous pratiquons au malade des injections sous-culanées au niveau

oder-mique nous assurait une action rap de, et d'ailleurs nous avions pratiqué en maintes circonstances et avec profit des injec

es que le tissu de la région était plus serré ; en effet, les piqûres pratiquées sous la peau des parties moyennes et latérales de

subites, durant les explorations dont nous avons parlé. Le toucher, pratiqué le 14 octobre dans la soirée, fut assez diffi-cil

ints. Bagnols; bain. 15 octobre. Pouls très-petit, 120. Le toucher, pratiqué par de Soyre, donne les mêmes résultats qu'hier.

descendait jusque dans l'estomac, où il formait hernie. Une incision pratiquée , d'une part, sur l'œso-phage, qui était distendu

100; T. Ax. 39°,7. 28 nov. Mort à deux heures du matin. Nécropsie pratiquée le 29 novembre. — A la partie supéro-externe de l

d'obus, au pied droit et à la cuisse gauche. L'amputation du pied fut pratiquée le 2 décembre. Neuf jours plus tard, on vit début

onnaître aisément la fluctuation. Le liquide, ainsi que des ponctions pratiquées dans plusieurs circonstances l'ont démontré, est

on paraît mieux fonc-tionner. 24 février. Une nouvelle ponction est pratiquée : elle donne issue à 110 grammes d'une sérosité r

lution au tiers). 4 heures. Une nouvelle injection de chloral a été pratiquée à 2 heures (5 grammes). A ce moment, la températu

tant de la mort. 1° La première exploration, qui donna 58°,8, a été pratiquée huit heures après l'apparition des convulsions, l

le seul cas de rétrécissement de 0,05, l'opération césa-rienne a été pratiquée ; la mère est morte et l'enfant a vécu. Si nous

n a été réduit à la erâniotomie ou à l'opération césarienne, on avait pratiqué l'avor-lement, on serait arrivé à des résultats p

rature. Il est à regretter aussi que les explorations n'aient pas été pratiquées d'une façon plus régulière. Dans un mémoire int

vre ; il pesait 1 grain et un tiers (7 centigr.). Plusieurs incisions pratiquées sur les pyramides du rein mirent à nu des dépôts

e obscurité. Ses assertions reposent sur cinquante-deux uréthrotomies pratiquées à l'hôpital Necker, dans le service spécial fondé

e aussi large que la tumeur elle-même, semblait adhérent à l'os. Je pratiquai successivement l'ablation de ces petites tumeurs

uivie d'urémie. Toutefois l'exploration thermométrique n'a jamais été pratiquée d'une manière méthodique. Nous même, à l'époque (

à sonde. Le 25 février 1870, cet homme ne put uriner; le cathétérisme pratiqué deux fois ne fit rien sortir. Douze heures après

t nous nous servions était défectueux; mais une nouvelle explo-ration pratiquée avec un autre thermo-mètre donna le même chiffre.

de l'après-midi. Malgré une surveillance attentive et bien qu'on eût pratiqué une incision sur le côté droit et inférieur delà

visions se sont réalisées : le travail a été lent, et, bien qu'on eût pratiqué une incision sur la partie inférieure et latérale

aye, libraire-éditeur. Depuis le 15 juin 1667, époque où Jean Denis pratiqua pour la première fois la transfusion du sang sur

bservations, indications thérapeutiques. — Des expériences nombreuses pratiquées sur les animaux et des observations clini- ques

s les veines du second ; mais pour réa-liser cette condition, il faut pratiquer la transfusion immédiate, c'est-à-dire à l'aide d

e que ceux-là mêmes qui, convaincus de son effi-cacité, voudraient la pratiquer , y renoncent souvent au moment voulu, parce qu'il

gien ne manqua pas de faire ressortir l'incon-vénient qu'il y avait à pratiquer la dissection d'une surface de té-guments si cons

de la plaie, qu'une dissection peu étendue rendait plus accessibles, pratiquait la séparation des té-guments par arrachement, en

ènes, ni pulsátiles, ni fluctuantes. Le malade se refusa à se laisser pratiquer la moindre ponction, et le cathétérisme des condu

accomplie, le chirurgien aurait pu inciser les conduits lacrymaux et pratiquer le cathétérisme des voies lacrymales dans le but

rtion et la nature de ces deux éléments sont les mêmes sur les coupes pratiquées au centre ou dans les couches superficielles de l

te pas tout à fait jus-qu'au mamelon. Ipéca, 2 grammes. — Le 25, nous pratiquons la quatrième ponction (9 litres d'un liquide citr

cinq centimètres). L'odorat est normal. Troubles oculaires. Examen pratiqué par M. le D' Parinaud. L'oeil gauche présente u

aits récents. Pleurs très faciles. 15 décembre. L'examen électrique pratiqué par M. Vigoureux donne les résultats suivants :

e sinon absolue, du moins très accentuée. L'examen ophthalmologique pratiqué par M. Parinaud le 28 mai 1890 et le 4 juin 189

ue l'air reflue dans les fosses nasales. L'examen laryn- goscopique pratiqué par M. Cartaz le 7 juin 1890 a donné les' résulta

ors de cela pas d'excès de boissons. Examen électrique des muscles, pratiqué par M. Vigouroux : Côté droit à juin 1890). Exc

n aux diverses excitationssensitives et sensorielles que nous avons pratiquées . Après l'avoir mise en catalepsie, nous plaçons

travers la suture coronale plus ou moins loin sur le frontal. J'ai pratiqué aussi une craniectomie linéaire sur l'occipital

centre de Broca. Une des dernières craniectomies linéaires que j'ai pratiquées me paraît mériter d'être signalée à part. Il s'

e bizarre comparable à celui de certains oiseaux (fig. 20, 1). J'ai pratiqué chez cet enfant une craniectomie linéaire transve

l'ouvrir. A moins d'indications spéciales, j'ai plus de tendance à pratiquer la craniectomie à lambeaux. Je comprends par là

seul~côté, celui qui le rattache au temporal. Sur le même os j'ai pratiqué des incisions en T, la branche verticale suivan

le long des sutures fronto-pariétale el occipito- pariétale. J'ai pratiqué des lambeaux à cheval sur deux os, le frontal et

utures sont traversées par la craniectomie dans ces cas. Enfin j'ai pratiqué une fois un lambeau médian par une double crani

. Dans quelques cas, trou- vant la dure-mère épaisse et rouge, j'ai pratiqué avec le bistouri une série de trois à quatre mo

membrane et indépendant des os du crâne. Sur le sujet auquel j'ai pratiqué une craniectomie occipitale immé- diatement au-

lade c'est le double ptosis, ptosis qui, étant donnée l'opé- ration pratiquée sur la paupière gauche, est actuellement plus mar

ils à des attouchements sur les plaies des saints ainsi que cela se pratiquait assez habituellement en semblable occurrence. N

rique est considérablement augmentée. L'examen, il ce point de vue, pratiqué par M. Vigoureux a donné R =15,000 ohmes. Ce qui

urines ne renferment ni albumine ni sucre; deux examens successifs pratiqués par M. Oliviero, interne en pharmacie du service,

pour l'oeil gauche, à 45° pour l'oeil droit. L'examen de la vision pratiqué par M. le Dr Parinaud révèle, en outre, de la dip

a par des larmes et des sanglots. Un examen méthodique de la malade pratiqué le 15 sep- tembre a montré que les stigmates hy

alades est complètement relégué au second plan. Et si on vient à le pratiquer , on se borne à examiner les seules modification

chez la majeure partie de nos malades, il n'en doit pas moins être pratiqué ; car il complète l'étude générale de l'organism

immédiatement les quelques données principales, indispensables pour pratiquer cet examen et qui pourront il l'occasion vous s

et de redresser la jambe dans un appareil plâtré. L'opération fut pratiquée le 27 avril 1889, sous l'influence du sommeil a

tte incision ne fut pas plus douloureuse qu'une seconde ouver- ture pratiquée quelques jours après. Du reste l'abcès avait évol

e presque entière- ment, et M. Tuffier, qui me remplaçait alors, en pratiqua l'extraction. Ce 258 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L

tionnement de la main, et sur les instances pres- santes du malade, pratiqua l'amputation du médius sans l'aide du chloroforme

eu de temps, l'agonie commença et le malade expira à midi. Autopsie pratiquée le 26 février. Tissu cellulaire adipeux sous-cu

C. Organes des sens. Messieurs, l'étude de la tête que nous avons pratiquée dans notre dernière conférence doit être complété

iles àl'aliéniste ; mais cependant comme on peut avoir besoin de la pratiquer dans quelques cas particuliers, je vous donnerai

Cet examen des organes génitaux de la femme est des plus délicats à pratiquer . Ces constatations, faites la plupart du temps en

ans les cas où il vous paraîtra indis- pensable et alors même de le pratiquer avec la plus grande discrétion, avec toutes les

oter à la légère tel ou tel fait qui frappe à première vue, il faut pratiquer un examen d'ensemble qui seul peut avoir une po

à la suite de trois où quatre cathétérismes de la trompe d'Euslache pratiqués à l'hôpital Lariboisière Il y a deux mois, un jou

tie inférieure de l'entonnoir (Pl. XXXIII, XXXIV). Les mensurations pratiquées sur le thorax ont donné les résultats sui- vant

à Ch. Bell. C'est sur cette théorie que s'est appuyé Alexander pour pratiquer l'ablation des ganglions cervicaux supérieurs 9

e, le goût, sont normaux des deux côtés. Du côté des yeux, l'examen pratiqué par M. Parinaud a donné les résultats suivants

i troubles trophiques ni troubles vaso-moteurs. L'examen électrique pratiqué par M. Vigouroux a montré l'abolition de la sensi

redouté du malade que cette exploration. Troubles oculaires (Examen pratiqué par M. le D,. Koenig). Rétrécis- sentettt conce

ne sorte de spasme palpébral qui rend l'examen des yeux difficile à pratiquer . Les deux pupilles, de moyenne grandeur, réagis

s d'atrophie hystérique des muscles de la main, l'examen électrique pratiqué par M. Vigouroux a démontré très nette- ment l'

is cas d'amyotrophie hystérique dans lesquels l'examen élec- trique pratiqué par M. Vigouroux a montré la réaction de dégénére

peu jusqu'à l'étal actuel. A cette époque, l'examen électrique fut pratiqué , et nous en avons retrouvé, sur les cahiers du

eu limités. Dans la main gauche, rien d'appréciable. La mensuration pratiquée au-dessous de la racine du pouce donne : 1 NOUV

E DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 123 Examen électrique ( pratiqué par M. Vigouroux il deux années et demie d'inte

; audition bonne à droite. » - Troubles oculaires (examen des yeux pratiqué par M. Parinaud, le 2t juin 1890). - Dans l'ail g

u reste aperçue depuis son enfance (Pl. XLII). Examen électrique. Pratiqué par M. Vigoureux (24 juin et 31 juillet 1890).

tance de 32 centimètres de mon péri- mètre. » Nous avons toujours pratiqué l'examen du champ visuel il la même heure du jo

réci. Mais faut-il encore ajouter que, notre examen n'ayant pas été pratiqué dans des conditions matérielles absolument identi

Parmi ces trois morts, il y en avait un qui était médecin et qui a pratiqué la suspension sur lui-même (5). Le D'' Blocq (5

ut de vingt-quatre heures. On cite aussi des faits où la suspension pratiquée par des médecins fut suivie non seulement d'acc

pratiques mesmériennes. Peut-être son geste indiquc-t-il qu'il va' pratiquer la compression ovarienne, opération déjà en usage

Basées toutes deux sur l'emploi des coupes microscopiques sériées, pratiquées sur des tissus normaux ou pathologiques, préalabl

s. L'étude du névraxe, basée sur l'examen des coupes macroscopiques pratiquées à l'état frais ou après durcissement, adonné de

'aide de coupes sériées macroscopiques et surtout mi- croscopiques, pratiquées dans le sens horizontal, vertico-transversal et

tomistes d'alors. Ces procédés consistaient dans l'emploi de coupes pratiquées dans différents sens, dans la dissection à l'ai

t la séparation au moyen de pinces des fibres nerveuses, opérations pratiquées sur des tissus frais ou préalablement durcis (Ruy

cours à cette partie de l'anatomie. Quoique z Rolando, en 1824, eût pratiqué pour la première fois des coupes minces de la s

r inauguré une nouvelle méthode, celle des coupes minces en séries, pratiquées après dur- cissement. Les travaux de Stilling,

ologique et à un faible grossissement, de coupes minces et sériées, pratiquées sur des pièces préalablement durcies; elle nous

Edinger, Sachs, Maliaim, Vialet, etc. L'étude de coupes sériées, pratiquée à un faible grossissement est, en effet, la seu

le trajet des faisceaux dans le système nerveux cen- tral, et, on a pratiqué tantôt des lésions encéphaliques, tantôt des lési

t que l'on tient à conserver la pièce. La section du crâne une fois pratiquée , la calotte est Embryogénie et tératologie.

avoir grand soin lorsque le cerveau est soulevé en arrière afin de pratiquer la section de la tente du cervelet, d'exercer l

titue la coupe dite du centre ovale de. Vieus- Une fois cette coupe pratiquée , il suffit d'inciser la masse blanche de chaque

ue les faisceaux de subs- tance blanche qui le constituent, il faut pratiquer , sur les hémisphères séparés l'un de l'autre su

tales, vcrtico-transversales et sagittales. A dire vrai, ces coupes pratiquées il l'état frais ne sont pas très instruc- tives

tres procédés, c'est-à-dire sur des coupes macro et microscopiques, pratiquées au microtome sur des cerveaux durcis par les bi

ultiples que présente le cerveau il l'état frais, suivant qu'on y a pratiqué des coupes dans tel ou tel sens, et nous renvoy

aux figures qui représentent, grandeur naturelle, ces mêmes coupes pratiquées sur des hémisphères durcis dans le liquide de M

erveaux atteints de lésions, il peut être dans beaucoup de cas, d'y pratiquer à l'état frais des coupes sui-rà' irtuit(7' ou

rection, vous disons u peut et non pas il doit être nécessaire (1"y pratiquer des coupes, car, en face d'un cerveau pathologiqu

rgane du tronc encéphalique. Lorsque la coupe de Meynert a été bien pratiquée , la section doit passer par le pied de la couro