e. Dr VULPIAN. INTRODUCTION — Quod vidimus testamur — Dans un précédent travail, j'ai fait l'étude du cerveau au point de

et tourné vers la superficie et mesurent de 30 [t à 40 [/.. Comme les précédentes , elles offrent des prolongements ramifiés; ceux d

ième couche a une couleur foncée et une épaisseur égale à celle de la précédente 0,25 ¡x, elle est formée de névroglie renfermant

couleur jaunâtre, offre trois fois l'épaisseur de chacune des couches précédentes ; elle est formée par des cellules pyramidales de

es. La lre et la 2e couche sont semblables à celles du type général précédent . La 3e, à grosses cellules pyramidales, manque;

eur, il en existe un autre, moins marqué à la surface externe que les précédents , occupante peu près la partie moyenne ; c'est le

intumescence ovoïde. Le centre postérieur est moins volumineux que le précédent et dans un plan plus élevé ; sa structure est aus

X, 5). La partie externe du corps strié est plus volumineuse que la précédente . Elle forme le noyau extra-ventriculaire ou noyau

ase des cornes postérieures vient se ranger sur le côté externe de la précédente . La tête de la corne antérieure est portée en ava

poglosse. Sa constitution anatomique est la même que celle des noyaux précédents , c'est-à-dire de grandes cellules multipo-laires,

linent en avant, s'entre-croisent sur la ligne médiane, au-dessus des précédents ; s'accolent à la face postérieure des pyra-mides

le lobule pariétal interne (prœcuneus, lobule quadrilatère), relié au précédent par des plis de passage et limité en arrière par

er. III. — Coupe verticale antéro-postérieure} faite sur rEncéphale précédent à un milli-mètre en dehors du plan médian. (Cet

ne couche de substance corticale, séparée en haut des circonvolutions précédentes par la scissure festonnée et surmontée du lobule

s régions de la face interne de l'hémisphère décrites dans la planche précédente . 2. — Section du cervelet. Les fibres médullair

Gavoy. — Encéphale. 9 V. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-pos-térieure de un millimè

upe du lobe sphénoïdal. VII. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-posté-rieure de un millimè

petit cercle irrégulier. IX. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-pos-térieure de un millimè

une forme arborescente. XI. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millimèt

n olfactif offre des dimensions moins étendues que celles de la coupe précédente . Le bord supérieur reçoit les fibres du tœnia sem

édullaire du cervelet. XIII. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millimèt

ruban de Vicq d'Azyr. XVII. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-postérieure de

nes des lobes occipitaux. XIX.—Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-postérieure de

substance grise du noyau lenticulaire que l'on aperçoit sur la coupe précédente (6, Pl. XVIII), à travers les faisceaux médullair

supérieure du cervelet. XXI. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millimèt

térieur présente des dimensions moins grandes que celui de la planche précédente (6, Pl. XX). A sa partie antérieure est le tœnia

substance médullaire. XXIII. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-postérieure de

en dedans est la coupe du corps genouillé interne, plus petit que le précédent . 11 est uni par un faisceau blanc aux tubercules

nommée vermis inferior. XXV. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-postérieure de

ants. La section des fibres convergentes qui formait sur la planche précédente (5, Pl. XXIV) la région lenticulo-optique de la c

ux lobes du cervelet. XXVII. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-postérieure d'

frontale de la cavité des ventricules latéraux a disparu par la coupe précédente . La corne sphénoïdale se continue et présente la

e faisceaux afférents. XXIX. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-postérieure d'

s céré-belleux moyens. XXXI. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-postérieure de

araissent dans la cavité du quatrième ventricule. XXXII. — La coupe précédente est détachée de F Encéphale par une section horiz

cordons de la moelle. XXXV. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

centre médullaire qui contient les corps rhomboïdaux (voir la planche précédente ). Les fibres nerveuses convergent de la base de l

ux postérieurs (testes). Ces deux tubercules sont plus petits que les précédents ; ils envoyent, de leur partie externe et supérie

trale du bulbe (17). XXXVII. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

oidal (4) s'élè-vent, s'incurvent en dedans, sejuxtaposent aux fibres précédentes et constituent par leur ensemble la région postér

e la moelle. Les fibres de ces cordons s'entre-croisent au-dessus des précédentes et constituent la portion sensitive des pyramides

Gavoy. — Encéphale. XXXIX. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

es céré-belleux, proviennent de régions déjà détachées par les coupes précédentes . XL. — Coupe verticale transverse passant par l

ibres convergentes des lobes sphénoïdaux. Ces fibres forment avec les précédentes la région lenticulo-optique delà capsule interne.

interne, qui s'étend moins loin en avant, est épuisée par les coupes précédentes . 9. — Section dans le diverticulum sphénoïdal d

cules cérébelleux moyens, issues des régions détachées par les coupes précédentes . Ces fibres parcourent transversalement la substa

une extrémité effilée. XLI. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

lle. La membrane du corps olivaire s'étend moins bas que sur la coupe précédente ; le grand noyau pyramidal de Stilling est plus a

de ses arborisations. XLIII. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

ue. 15. — Centre antérieur, son volume est moindre que sur la coupe précédente . 16. — Centre moyen. 17. — Faisceaux de Vicq-

r des olives bulbaires. XLV. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

des régions antérieures (6; Pl. XX), croisant la direction des fibres précédentes . 5. — Substance grise de l'avant-mur. 6. — Fi

voy. — Encéphale. 19 XLVII. —Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

onvergentes des régions antérieures, croisant la direction des fibres précédentes (voir Pl. X). 5. — Fascicule de la capsule exte

des fibres olfactives. XLIX. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

onc des nerfs olfactifs. LI. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale trans-verse de un milli

avoy. — Encéphale. 20 LUI. — Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

. 59 III. Coupe verticale antéro-postérieure, faite sur l'Encéphale précédent à un millimètre en dehors du plan médian.......

tubercules mamillaires. 64 V. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millim

strié.................. 68 VIL Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millim

e de la couche optique. 71 IX. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millim

rne du noyau caudé. . . 74 XI. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millim

...... . *........... 77 XIII. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millim

..................... 83 XVII. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro- postérieure

................• .... 87 XIX. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro- postérieure

...................... 91 XXI. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millim

.....................94 XXIII. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro- postérieure

...................... 99 XXV. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro- postérieure

......... ...... 103 ; XXVII. Encéphale dont on a détaché la couche précédente par une section horizontale antéro-postérieure de

.....................[07 XXIX. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro- postérieure

tuber cinereum......111 XXXI. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro- postérieure

du cerveau................................... 113 XXXII. La coupe précédente est détachée de l'Encéphale par une section horiz

et du corps calleux. 119 XXXV. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

eaux. ...... . . . 123 XXXVII. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

he postérieure. . . 127 XXXIX. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

x rouges de Slilling. 132 XLI. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

ux de Stilling. . . 136 XLI1I. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

s mamillaires........ 141 XLV. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

des nerfs optiques. 144 XLVII. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

nche antérieure. . . 147 XLIX. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

.......................151 LI. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

yau lenticulaire. . . 153 LUI. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

en avant et en dedans; 2° un noyau beaucoup plus considérable que le précédent et placé en arrière de celui-ci : noyau interne d

ion frontale (/V). Celle-là est encore beaucoup plus constante que la précédente (voy. pl. I). Elle a permis à Hervé de considérer

K. La scissure calcarine, qui appartient, comme les deux scissures précédentes , à la face interne de l'hémisphère, entame légère

à des dispositions que l'on constate aussi fréquemment que celles du précédent hémisphère. S'. La scissure de Sylvius n'envoie

ne s'étend pas en avant aussi loin que sur l'hémisphère de la figure précédente . En compensation de la double origine de la deuxi

elle est beaucoup plus rapprochée du corps calleux que sur la figure précédente . Elle décrit une courbe à convexité antérieure, q

comme cette scissure ne communique pas en avant, comme sur la figure précédente , avec la scissure limbique (L), on constate qu'el

r la face interne de cet hémisphère, résultent, comme sur les figures précédentes , de la disposition toute spéciale de la scissure

ntés sur cette planche sont destinés, comme les figures de la planche précédente , à montrer les différences de forme et de rapport

La circonvolution limbique nait, comme sur l'hémisphère de la figure précédente , au-dessous du genou du corps calleux (GG) par un

a disposition de l'écorce «st beaucoup plus simple que sur les coupes précédentes . ! A la face interne, la première circonvolutio

ubstance blanche. FS. Le faisceau sensitif qui, sur les deux coupes précédentes , s'étendait, d'avant en arrière, en dehors de la

ivisé verticalement par une incisure, presque aussi profonde que la précédente {sCu) et qui est elle-même une branche de la scis

MILIEU DU CUNEUS Cette coupe est déjà moins sujette à varier que la précédente . Elle présente d'ailleurs les mêmes parties essen

La face externe diflere sensiblement de ce qu'elle était sur la coupe précédente . Cela résulte de la situation plus élevée du sill

| EN ARRIÈRE DU SOMMET DU CUNEUS Cette coupe diffère très peu de la précédente . Nous ne signalerons que les points suivants :

Quant au faisceau pariéto-frontal (FPF), déjà entrevu sur les figures précédentes , il n'est plus représenté ici que par une traînée

MMET DU CUNEUS L'ensemble de la coupe est le môme que sur la figure précédente . Voici seulement quelques difl'érences. (FCF).

'avant en arrière, pour aller se perdre, comme on l'a vu sur la coupe précédente , dans la substance grise de celui-ci. Le faisce

au pariéto-frontal n'est plus si nettement visible que dans la figure précédente . Cela résulte de ce qu'il prend une direction obl

sition. Quant au faisceau pariéto-frontal (FPF) situé, sur la coupe précédente , en dehors du prolongement supérieur du faisceau

ne (sQ). La coloration claire indique que ce plan, qui sur les coupes précédentes était dirigé d'arrièu. en avant, est rentré maint

Mais ce n'est pas la môme que celle qui a été signalée sur les coupes précédentes . Nous savons, en efl'et, que la surface du gyrus

n de bien diflerent de ceux qui ont été passés en revue sur la figure précédente . Cavité ventriculaire. 1^ De forme rectangula

re du pli courbe. Celle-ci, en apparence moins profonde encore que la précédente , part souvent du premier sillon temporal {t^). D'

che. FS. Le faisceau sensitif est moins compact que sur les figures précédentes , mais il est plus large. Cette largeur tient sans

te (FLs). Si l'on compare cette figure avec la figure 7 de la planche précédente , on reconnaît que la différence est grande. La co

adhérent au faisceau inférieur. Il est plus épais que sur les coupes précédentes ; il renferme donc ici plus de fibres qu'en arriè

TE, PAR LE CAP DU LOBE CARRE Écorce. Môme aspect que sur la coupe précédente . On remarquera seulement les particularités suiva

sure perpendiculaire interne et qui était encore visible sur la coupe précédente (sQ) n'existe plus ici. Il en résulte, dans la di

Face externe. — Elle est identique à ce qu'elle était sur la coupe précédente . Au niveau du deuxième sillon temporal (£2), on v

dié encore que dans une région supérieure, et seulement sur la figure précédente . FLI. Le faisceau longitudinal inférieur ne se

arder la direction antéro-poslérieure qui leur donnait sur les coupes précédentes l'apparence d'un faisceau compact, sont repoussée

la gouttière de la scissure occipitale encore visible sur la coupe précédente (sQ), les fibres du faisceau moyen du forceps se

tes. Figure 15. COUPE PASSANT A UN DEMI-MILLIMETRE EN AVANT DE LA PRÉCÉDENTE , DANS LE PENTAGONE DU LORE CARRÉ Écorce. Elle

êmes rapports. Sa partie externe est moins arrêtée que dans la figure précédente . Cela tient à ce qu'il est entre-croisé, en dehor

23). FPF. Le faisceau pariéto-frontal, plus clair que sur la coupe précédente , se dirige du lobe pariétal supérieur et du lobe

e ascendante. Figure 16. COUPE PASSANT A UN DEMI-MILLIMÈTRE DE LA PRÉCÉDENTE , PAR LA PARTIE LA PLUS INFÉRIEURE DU PENTAGONE

en dehors. Dans la continuité du lobe carré, au-dessus de l'encoche précédente , apparaît une petite incisurc (sC), qui n'est aut

e. FS. Le faisceau sensitif ne diffère ici de ce qu'il était sur la précédente coupe que par l'isolement plus prononcé de sa par

in. Le cingulum n'a plus la coloration qu'il présentait sur la figure précédente . 11 se porte directement en haut ; puis, devenant

OUPE VERTICO-TRANSVERSALE PASSANT A UN DEMI-MILLIMETRE EN AVANT DE LA PRÉCÉDENTE , TANGENTE A LA PARTIE LA PLUS POSTÉRIEURE DU BOUR

Cavité ventriculaire. La disposition, déjà constatée sur la figure précédente , des deux angles supérieurs de la cavité du ventr

le pariétal supérieur à la pariétale ascendante, comme sur les coupes précédentes . Fci. Fasciola cinerea. La petite masse de subs

ux. Si les fibres blanches n'étaient pas visibles encore sur la coupe précédente , c'est que l'écorce seule était entamée par le co

ne diffère en rien, sur cette planche, de ce qu'on a déjà vu sur les précédentes . On remarquera seulement que la division du lobe

r que la strialion de ce faisceau, encore très apparente sur la coupe précédente (fîg. 22), cesse aussitôt que la substance grise

ésente la même configuration et les mêmes rapports que sur la planche précédente . Il est très homogène et assez compact à sa parti

eaux antéro-poslé-rieurs qui représentent le cingulum. i". coupes précédentes . Il décrit, dans le sens de ses fibres, un are à

odronnéc (CAM) y apparaissent. Ainsi que sur les coupes de la planche précédente , les fibres de ce faisceau, qui restent antéro-po

des circonvolutions sur ces figures sont les mêmes que sur la planche précédente . On remarquera seulement que la scissure limbique

ujours formé des mômes fibres. Seulement les fibres qui sur une coupe précédente formaient la couche moyenne, forment maintenant l

s coupes de cette planche étant très voisines de celles de la planche précédente , l'aspect du faisceau compact du fornix ne s'est

e des surfaces de section est absolument la même que sur les planches précédentes . Quelques modifications sans grande importance so

t plus reconnaissable, relativement à ce qu'elle était sur les coupes précédentes , si ce n'est dans sa région inférieure, où le pla

IEUR Écorce. Les coupes, très rapprochées de celles de la planche précédente , ne s'en distingtient que par des détails insigni

ues changements qui se sont accomplis depuis les coupes de la planche précédente . Celles-ci d'ailleurs leur font suite à une dista

d'Ammon. Toutes les figures de la planche XVIII démontrent, comme les précédentes , qu'il n'est que la continuation de la substance

ulum, avons-nous dit ; on le voit sur toutes les figures des planches précédentes et encore sur la figure 44 de la planche XV11I, a

rne (FSi)] présente là même disposition d'ensemble que sur la planche précédente . On remarquera seulement qu'une plus notable part

fibres du faiseau sensitif sont plus internes. La figure schématique précédente (80) représente l'ensemble de cette disposition s

(fig. 45) présentent sur cette planche la même disposition que sur la précédente ; le forceps comprend deux parties : une interne

on et forme l'alveus (ALY) ; une externe (FI), située en dedans de la précédente et qui, elle aussi, descend vers la corne d'Ammon

eau antérieur (49, 50) présente les mômes rapports que sur les coupes précédentes . GI. Le corps genouillé interne (50, 51, 55) co

ident qu'il change de direction. Antéro - postérieur sur les planches précédentes , il se porte ici presque directement en dedans. L

ne d'Ammon, de dehors en dedans, et va se terminer, comme le faisceau précédent , dans l'étage supérieur de la circonvolution de l

s intergenicularis) est le stratum zonale de la bandelette optique. précédentes . Plus loin, c'est-à-dire plus en avant (pl. XX et

nvolutions se profilent sur cette planche de la même façon que sur la précédente . Les explications qui les concernent devront donc

taenia) demi-circulaire que nous avons déjà rencontrée sur la planche précédente établit, comme nous venons de le dire, la ligne d

ouche optique et que nous avons déjà vue appa raitre sur la planche précédente : le taenia (Tae). Puis, plus en avant encore, la

es figures de cette planche il est beaucoup moins compact que sur les précédentes . Le faisceau sensitif externe (FSe) se porte enco

FCF. Le faisceau compact du fornix, insensiblement confondu avec le précédent , conserve les rapports que nous avons déjà signal

upe' a entamé la substance grise du corps genouillé interne. La coupe précédente avait intéressé sur-sout le stratum zonale qui le

gées en avant ; la couche supérieure, claire, est une émanation de la précédente . Elle est constituée, elle aussi, par le faisceau

jumeau postérieur droit (BQP'). Le second ruban LM2, sous-jacent au précédent , remonte, comme ce dernier, à gauche de la lign

antérieur droit (BQA'). Le troisième ruban (LM3) remonte comme les précédents à gauche de la ligne médiane, puis s'infléchit en

us. Il franchit, lui aussi, la ligne médiane en avant des deux rubans précédents , passe sous le ganglion de l'habénule (GH), crois

ostérieure et inférieure du ganglion de l'habénule, comme le faisceau précédent recouvrait le tubercule quadrijumeau antérieur. M

he, qu'on appelle le faisceau propre de la calotte (TEC), diffère des précédentes en ceci, qu'elle ne passe pas au-dessus de la sub

ne, plus rares et plus profondes que les fibres directes de la couche précédente . Celles du faisceau de la commissure (FCP ou LÎ

e; TRp, pilier postérieur du trigone; LY, lyre de David; coupes précédentes et que nous retrouvons (FI, fig. 64) réfléchies e

prochées les unes des autres et très voisines de celles de la planche précédente . Il n'y a rien de spécial à signaler relativement

e ou tegmentum est moins nettement limité sur la coupe 67 que sur les précédentes . On en voit surgir le faisceau de la commissure p

que la lame médullaire externe, déjà étudiée à l'occasion des coupes précédentes , semble se confondre avec la capsule interne. Mai

n ne diffère ici, en rien, de ce qui en a été dit à propos des coupes précédentes . Toutefois, sur la coupe 76, on pourra remarquer

ée par le segment externe de la lamina convoluta, comme dans la coupe précédente (75, LC"), se compose de trois lames concentrique

présente plus sous l'aspect d'une strie foncée, comme sur les coupes précédentes , où on le reconnaissait aisément au-dessus de l'e

aisceau pariéto-frontal (fig, 78) se comporte de la même façon que le précédent . Nous voyons ses fibres prendre une teinte foncée

e (Gll). Celui-ci n'est déjà plus aussi proéminent que sur les coupes précédentes . 11 fait une moindre saillie sur la paroi interne

tif externe (fig. 79) présente la même disposition que sur les coupes précédentes . On remarquera seulement ceci qui est constant :

e. Fd. Le fascia dentata, quoique plus mince ici que sur les coupes précédentes , semble plus large; cela tient à l'obliquité de l

de substance grise (fig. 95, 96) qui n'est que la continuation de la précédente . La crête de la fimbria se termine donc exactemen

s en bas, en arrière et en dedans. 96, coupe passant en avant de la précédente et intéressant, en outre, les fibres transversale

capsulaire, que nous avons vu apparaître sur les coupes de la planche précédente , est sectionné ici (fig. 99) perpendiculairement

'Ammon (CAM, fig. 104) ne diffère de ce qu'elle était sur les figures précédentes que par ses rapports avec le sillon de l'hippocam

n de l'hippocampe (SH) et la fente de Bichat (Bf, fig. 105). La coupe précédente (102) passait par le sillon de l'hippocampe (SH)

lus antérieure, est séparé de la fente de Bichat (BF). Sur les coupes précédentes il s'ouvrait dans cette fente, juste au-dessous d

aire (FG et ANL). On le voit se porter, non plus comme sur les coupes précédentes , dans la capsule interne, mais dans le noyau lent

nsversale de ses fibres. Si nous avons déjà constaté sur les coupes précédentes sa teinte foncée (101, 102), cela tient à ce que

ond, par sa teinte foncée, avecl'avant-mur (fig. 108). Sur les coupes précédentes (103 à 106) il était encore adhérent à la substan

uxième circonvolution frontale, se présente ici comme sur les figures précédentes ; nous ferons seulement remarquer qu'il est situé

, émané du ganglion externe et postérieur, suivrait, parallèlement au précédent , une direction descendante au milieu du faisceau

erne et inférieur duputamen (PUT), s'insinue entre les deux couches précédentes , après être passé au-dessus de la commissure anté

eau pyramidal qu'on distinguait encore sur la coupe 107 de la planche précédente s'est épuisé, soit dans le noyau lenticulaire (où

tre ovale présente son maximum de développement. Comme sur les coupes précédentes , le corps calleux se divise en deux étages bien d

coupe 114, à un fascicule presque imperceptible; mais sur les coupes précédentes on le trouve encore assez compact. Sur la coupe 1

ve davantage : son bord supérieur est moins arrêté que sur les coupes précédentes , parce qu'il émet en quantité des fibres (LCf, fi

optique. Les plus externes, ainsi que nous l'avons vu sur les coupes précédentes , se portent plus en arrière et vont jusque dans l

d'Arnold accompagnant les fibres externes et postérieures du faisceau précédent jusque dans la partie postérieure et inférieure d

ps calleux (fig. 116) ne diffère pas de ce qu'il était sur les coupes précédentes ; mais on peut voir s'accuser ici une disposition

ement la môme disposition d'ensemble que sur les coupes de la planche précédente . Les coupes 122, 123, 124, 125, 126 font bien voi

e interne: Celles-ci (LCf), plus inférieures et plus internes que les précédentes , sont dirigées également de dedans en dehors et d

ats, dont la direction est la même que celle de l'anse sur les coupes précédentes . Elle est presque au contact de la racine antérie

ors par le putamen (PUT), montre la même striation que sur les coupes précédentes . Elle est en effet traversée par les fibres lenti

f des animaux osmatiques. Au niveau de la coupe 127 et sur les coupes précédentes , il est impossible de l'isoler, attendu que ses f

ps calleux (fig. 127) est d'abord disposé comme sur toutes les coupes précédentes , c'est-à-dire qu'il forme la voûte de la corne fr

l affecte avec la substance réticulaire du carrefour (LMY). Le schéma précédent fait voir ce dorit il s'agit. Sur la coupe 131,

lles sont obliques en bas, en arrière et en dehors. Déjà sur la coupe précédente on les voit s'insinuer sous la tête du noyau caud

psule interne (fig. 4) renferme toutes les fibres qui, sur les coupes précédentes , constituaient le pied du pédoncule. 11 est strié

a bandelette sous-optique, placée immédiatement en dedans du faisceau précédent (fig. 8 et 9) appartient bien, vraiment, elle aus

oyau caudé se présentent sur les coupes 10 et 11 comme sur les coupes précédentes . Mais sur la coupe 12, la dernière et la plus éle

ne renferme plus trace des îlots de substance grise qui, sur la coupe précédente (pl. XXXVl, fig. 9), répondaient encore à l'extré

insula. Elle entame la masse de l'opercule (OF, OP) qui, sur la coupe précédente (10, OF), n'avait été qu'effleurée. Les coupes ve

ans les dimensions, cette coupe présente de grandes analogies avec la précédente quant à la répartition de ses plis. C'est seuleme

e coupe, en efl'et, pratiquée à un centimètre environ au-dessus de la précédente , ne divine plus qu'une faible partie des éléments

de section diffère de celui qui est représenté sur les cinq planches précédentes . Il est cependant facile de reconnaître toutes

n horizontale passant à un niveau un peu plus élevé que sur la figure précédente . Tout le lohe frontal a été respecté. Cependant l

a figure 1. Seulement, comme la coupe actuelle est plus élevée que la précédente , ce ne sont plus les fibres de la capsule externe

u pentagone du lobe carré. pen. Extrémité la plus antérieure du pli précédent . PF. Pôle frontal. pF^ Pied de la première ci

lée, dont M Duchenne a publié l'observation (3). Mise en regard de la précédente , elle montre clairement la différence de l'altitu

res dorsales forment une petite courbure en retour, comme dans le cas précédent . Les déformations des vertèbres et de leurs lig

pprochée de la crête iliaque du côté gauche. De même que sur la pièce précédente , la cavité thoracique est partagée par le rachis

ôpitaux. — Pages 388, 402. Déviation moins avancée que la plupart des précédentes ; début de la troisième période. Comme dans la l

e. Fig. 2. —Courbure dorsale droite principale, plus avancée que la précédente ; femme adulte; membres bien conformés. — Collecti

. C'est encore une courbure en vilebrequin à peu près semblable aux précédentes . La courbure principale a 67 millimètres de flèch

itaux — Pages 388, 402. La courbure principale, moins forte que les précédentes , descend un peu moins bas, et n'a pas autant incl

89, 388, 404. La déviation vertébrale a beaucoup de rapport avec la précédente ; mais la courbure inférieure ou lombo-dorsale es

avant-bras, aux fémurs et aux os des jambes ; de même que dans le cas précédent , elle est plus marquée du côté droit. Fig, 3 et

hôpitaux. — Pages 388, 402, 404. Ce squelette ressemble beaucoup au précédent ; mais le rachis diffère à quelques égards. La co

tre la cinquième et la douzième dorsale, est pareille à plusieurs des précédentes ; sa flèche est de 47 millimètres en avant, de 20

e particularité : il a moins de hauteur à gauche, comme les vertèbres précédentes , à cause de la situation de cette quatrième dorsa

he. Même déviation de l'apophyse épineuse que dans les deux vertèbres précédentes . Côté droit du corps presque réduit à un bord tra

a partie postérieure. Corps un peu plus affaissé à gauche que dans la précédente . Arc apophysaire presque symétrique, mais incliné

on; toutefois, l'extrémité posté- laire. Un peu moins rétrécie que la précédente , rieure est abaissée comme clans les précédentes,

moins rétrécie que la précédente, rieure est abaissée comme clans les précédentes , au lieu d'être relevée comme dans la quatrième c

II. 7. Se1T|ÈMK côte. Droite. Gauche, De même que dans les deux précédentes , l'extrémité posté- Encore inuins courbée que la

z étroit et un peu plus épais en avant. Cette côte, de même que les précédentes , n'a presque pas de courbure de dehors en dedans

. Neuvième côte. Droite. Gauche. Sigmoïde ou en forme d'S, comme la précédente ; plus cour- De même longueur, de même courbure q

Si l'on l'approche les figures de ces vingt-quatre côtes des figures précédentes de torses déformés analogues à celui de la fille

ineux et à peine déformé, qui a ainsi déplacé ou comprimé les organes précédents . La rate, très développée, surtout en longueur, e

Fig. 3. —Courbure dorsale droite principale, moins prononcée que la précédente , chez une femme très âgée; foie, aorte, œsophage.

phage. — Pages 416, 418, 420. Foie au moins aussi volumineux que le précédent , déformé, creusé de plusieurs scissures. Aorte co

avités splanchniques. — Pages H6, 418, 422. Foie bien différent des précédents , court, ramassé, réduit à une longueur de 12 cent

2. — Courbure lombo-dorsale gauche principale, moins prononcée que la précédente , chez une femme de soixante ans, morte de périton

l'abdomen. — Pages 417, 620, 421. Cette déviation est l'opposé des précédentes ; c'est le pendant, de la figure 4, planche XV ; c

iselle X... n'était pas plus raehitique que le sujet de l'observation précédente . Toutefois elle pouvait avoir hérité d'une prédis

. Le traitement, qui dura seize mois, consistait, comme dans le cas précédent , dans l'emploi combiné des extensions et des pres

au. Le traitement fut basé sur les mêmes principes que dans les cas précédents ; il dura quinze mois. La figure 2 montre l'état

e droite principale. — Page 52/t- Ce fait a tant de rapport avec le précédent , que je l'aurais passé sous silence s'il ne m'ava

ulièrement. La taille s'accrut de 52 millimètres. Comme dans le cas précédent , la croissance ne fut rapide que les cinq premier

senté figure û, est encore presque semblable à celui de l'observation précédente . Le milieu de la courbure principale n'est plus q

phie Silvestue à C'«, Paris. Encépliale dont on a détaclié la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millimét

ptographie Silyestre et Paris. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millimèt

aphie Silvestre et 0*®, Paris. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millimét

hie SiLVESTliE et C'", Paris. Encépliale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millimét

hie SILVESTE.E et 0''=, Paris. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millimét

raphie Silvestre et C», Paris. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-postérieure de

grapkie Silyestre k C«, Paris. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antérq-postérieure de

SiLVESTitïï & C'*, Paris. Encépliale dont on a détaché la coupe précédente par une section antéro-postérieure de un millimèt

ie Silvkstuk & C'", Paris. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-postérieure de

ie Silvkstiie & C'", Paris Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-postérieure de

aphie Silvestre à C'«, Paris. Encépliale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-postérieure de

)hie Silvkstuk et C'«, Paris. Encépliale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-postérieure de

hie Sii.VKSTliK et C"', Paris. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-postérieure de

oy ad naturam del. Glyptographie Silvestre à C»«, Paris. La coupe précédente est détacliée de l'encépiiale par une section h

aphie SiLVKSTiiB et C'«, Paris Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un mill

e Silvestbe & Ci«, Paris., Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un millim

e Silvestre & C'**, Paris. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un millim

hie Silvestre & C«, Paris. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un millim

rapnie -îilvestre 4 C*, Paris. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un millim

raphie Silvesteb à C'«, Paris. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un millim

hie Silvestre & («, Paris. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un millim

rapnie -tULVESTRE k C-% Paris. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un millim

e Silvestrb & C'^, Paris. Encépliale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un millim

ie Silvestre & C'«, Paris. Encéphale dont on a détaché la coupe précédente par une section verticale transverse de un millim

s lambeaux est divisé en deux par une incision perpendiculaire à la précédente . Pour extraire le cerveau, on introduit les doi

fronto-pariétal. Pour atteindre ce résultat, continuant l'incision précédente , on dirige le scalpel d'avant en arrière, en suiv

dedans en dehors, on rejoint l'extrémité postérieure de l'incision précédente , en suivant le bord postérieur de l'espace perfor

ontenant de l'eau distillée, il laquelle on a ajouté de la solution précédente jusqu'à coloration fleur de pêcher; elles y res

émité sur une planchette de liège. L'étude des nerfs par la méthode précédente (dissociation, acide osmique, etc.), rend d'inapp

respond à la zone choroïdienne de His; elle est plus étendue que la précédente et forme avec elle un angle obtus, dont le somm

L'extrémité antérieure au préthedamique est plus volumineuse que la précédente ; elle se bifurque en deux segments inégaux, dont

aire, la scissure pariéto-occipitale dé- prime, comme les scissures précédentes , la paroi ventriculaire; plus tard, la saillie

). Mais à côté de ces cellules, on en trouve d'autres provenant des précédentes par voie de division cellulaire, et présentant un

ment. - c et d, deux étranglements annulaires plus allongés que le précédent , . la cellule connective est nettement interposée

terne étant le plus mince; tantôt la disposition est semblable à la précédente , mais c'est l'anneau externe qui est le plus mi

xième (0.) : il s'enlre-croise souvent à angle droit avec le sillon précédent (io), puis se porte en avant vers la partie hor

et la face inférieure de l'hémisphère, séparée de la circonvolution précédente par le deuxième sillon occipital (oz) et du lob

e circonvolution temporale mal délimitée d'avec la circon- volution précédente par le deuxième sillon temporal (t2) , est le plu

... pri Sillon prérolandique formé par l'union des deux sillons précédents pr 3. Premier sillon frontal.... si Ses incis

u lestes (Qp), plus petits, plus . saillants, plus arrondis que les précédents , mesurent G millimètres de hau- ' teur sur 8 de

le splenium proprement dit, qu'un mince sep tum sépare de la partie précédente , et qui se termine en avant par un bord mince e

n retrouve, légèrement mo- difiées, les circonvolutions de la coupe précédente . La coupe intéresse la deuxième pariétale (P) d

de l'insula (ms). Écorce. - L'écorce diffère de celle de la coupe précédente , surtout par la profondeur de la branche postér

de la scissure de l'écorce est surtout formée, comme sur les coupes précédentes du reste, par la circonvolution pariétale inférie

eux (sec) et en formant le toenia tecta (tec). Comme dans la figure précédente , ce dernier est coiffé par la surface de sectio

a substance blanche sous-jacente ne différent de celles de la coupe précédente , que par quelques petites particularités portant

il peu près les mêmes formes et les mêmes dimensions que sur coupe précédente , elle envoie - ' au putamen (NL.,) un pont de s

rps calleux. - COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 397 sur la coupe précédente , les îlots de substance grise appartenant au puta

a région de l'isthme aulécalcarinicta (Li[i]). Comme sur les coupes précédentes , l'écorce se termine par un crochet autour du s

nou et bourrelet) (Ce[,-]) (Cc[Spl]) se comporte comme sur la coupe précédente . Le septum lucidum (SI) s'étend entre le genou

couche optique (Th). Écorce. L'écorce diffère de celle de la coupe précédente par la disparition 1 . presque complète de la d

ce de cette coupe affecte les mêmes dispositions que sur les coupes précédentes . Le cingze- lum (Ging) emboîte toujours en avan

(NC), qui ne diffère pas sensiblement de ce qu'il est sur la coupe précédente et surla suivante, et le noyau lenticulaire. Ce

se l'écorce de cette coupe et la différencie de 1 celle de la coupe précédente , c'est l'indépendance de 1'U]}I'1'CtÛC frontal (O

ontale (OpF3) en arrière par I'oc;'CM/e rolandique (OpR), séparé du précédent par incisure frontale de l'opercule (ifop). Le

insertion aux plexus choroïdes des ventricules latéraux (Voy. coupe précédente , fig. 324). La partie adhérente du trigone concou

e (Gp). Écorce. - L'écorce de cette coupe ne diffère de celle de la précédente que par l'extension plus grande que prend le lo

. L'aspect si particulier que présentent, sur cette coupe et sur la précédente , le lobule lingual (Lg) et le cunéus (C), tient

leuses (Cse) sont encore plus accentuées sur cette coupe que sur la précédente . Celte coupe est remarquable par la grande exte

et la commissure antérieure (coa). Ici, de même que sur les coupes précédentes , le genouducorps calleux (Cc[g]) est limité en

et le faisceau occipito-frontal (OF). Cette coupe passe comme la précédente au-dessous du trou de Monro, et le troisième ve

très probablement au système du forceps (Fin'). Comme sur la coupe précédente ces quatre couches sont ici très nettes, immédi

? dullaire interne (Lmi) est un peu plus accusée que sur les coupes précédentes . Le noyau externe (Ne) reçoit en avant le pédon

'écorce du lobe tC111po/'O-occi- pital diffère de celle de la coupe précédente par l'apparition du deuxième sillon temporal (t

DU CERVEAU. 417 four ventriculaire on trouve, comme sur les coupes précédentes ,le tapetum (Tap), les radiations optiques de Gr

ont augmenté de nombre; au lieu de s'irradier, comme sur les coupes précédentes , dans le noyau externe du thalamus, elles se ré

en plus. L'insula moins étendu, mais plus large que dans les coupes précédentes , est sec- tionné au niveau du pôle de l'insula;

ion courtes de l'insula, est beaucoup plus large que sur les coupes précédentes . L'avant-mur (AM) de môme s'est élargi, et ne pré

T,), qui était intéressée dans une très grau "Rendue sur les coupes précédentes , devient petite et ne dépasse guère le diai<

tués sur cette coupe par la capsule du noyau rouge qui sur la coupe précédente reçoit le faisceau lenticulaire de Forel (FI, c

n° 72 (fig. ° ? 31), passant à 2 millimètres au-dessous de la coupe précédente (lignes 72 des fig. 217 et 218). COUPES MACROSC

ce. - L'écorce de cette coupe ne diffère guère de celle de la coupe précédente . Comme la conne nasse au-dessous de l'extrémité a

oncule (P) séparée de 426 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. la région précédente par une bande de substance grise très colorée, le

pe n° 75 (fig. 232), passant à 3 millimètres au-dessous de la coupe précédente (lignes 75 des fig. 217 et 218). Cette coupe pa

e (P); 20 l'étage moyen ou la région du noyau rouge (NR), séparé du précédent par le locus niger (Ln) et dans lequel on trouve

orce de l'insula (I). Ce faisceau, qui apparaît déjà sur les coupes précédentes , constitue le faisceau d'association des circon-

(U). La corne sphénoïdale (Vsph) est intéressée comme sur la coupe précédente . Sa paroi interne est formée par la corne d'A ?

naturelle.) Les numéros des lignes correspondent à ceux de la figure précédente . 436 ANATO ? l1lE DES CENTRES NERVEUX. Coupes

(F2) que le premier sillon frontal (f,) sépare de la circonvolution précédente , et que le sillon prérolandique inférieur (pri)

n prolongement de substance grise beaucoup plus considérable que le précédent , il est connu sous le nom de pédoncule du noyau

Les limites de l'étage supérieur sont les mêmes que sur les coupes précédentes . La corne sphénoïdale (Vsph) s'est agrandie, ma

6. Coupe n° 86 (fig. 253), passant à 3 millimètres en arrière de la précédente et correspondant aux lignes 86 des figures 235

36. Coupe n° 89 (fig. 255), passant à 1 millimètre en arrière de la précédente et correspondant aux lignes 89 des figures z35

rticulier il noter, elle ne diffère de celle des coupes de la série précédente , que par le volume moins considérable de la cir

ve à la place occupée par la bandelette optique (II) sur les coupes précédentes . Il présente une face inférieure libre, une face

me paire. 470 ANATOMIE DES CENTRES NEIIVEUX. Comme sur les coupes précédentes , la paroi externe du ventricule sphénoïdal (Vsp

rales (T2, T3), s'élargit et devient diffus en haut. Sur les coupes précédentes , nous avons vu que ce faisceau entrait dans la

c). Ce dernier faisceau occupe la même situation que sur les coupes précédentes , il limite le centre ovale (CO) en dedans, et se

93 (fig. 256 et 257), l'as- pect qu'elle présentait sur les coupes précédentes . Sur les coupes nos 95 et 97 FiG. 258. - Coupe

rne de l'hémisphère, est le double de ce qu'elle est sur les coupes précédentes . Le corps calleux est sectionné en effet au niv

upe, le trigone est sectionné en deux endroits comme sur les coupes précédentes , une fois au niveau de l'étage supérieur du ventr

frontal au lobe occipital et dont nous avons étudié, sur les coupes précédentes , la surface de section tranversale. En dehors d

Coupe n° 137 (fig. 266), passant à 4 millimètres en arrrière de la précédente et correspondant aux lignes 137 des figures 235 e

érieur (Qa) ; elle intéresse les mêmes circonvolutions que la coupe précédente , mais comprend en outre la partie la plus inter

e il ajouter, àloropos de l'écorce, à ce qui a été dit sur la coupe précédente . Comme la coupe passe en dehors de cette dernière

éral (VI) qui présente à peu près le même aspect que dans la ligure précédente , s'élargit en arrière au niveau du carrefour vent

c). Coupe n° 10 (fig. 270), passant à 3 millimètres en dehors de la précédente et correspondant à la ligne 10 de la figure 267

artie du pôle temporal (T2)' Cette coupe montre, ainsi que la coupe précédente (n° 10, fig. 270) et la coupe suivante (n° 17,

ouvons sur cette coupe les mêmes circonvo- lutions que sur la coupe précédente (fig. °371), mais l'écorce a diminué d'étendue.

hémisphère, déjà sensiblement moins étendu que les plans des coupes précédentes , très voisines de la scissure inter-hémisphérique

ue que par des différences insignifiantes, d'avec celle de la coupe précédente . Le bord antérieur de l'insu la (la) commence à

dedans de la coupe. Ces languettes font suite il celles de la coupe précédente , et qui siégeaient sur la moitié antérieure de

nante ne forme plus une couche aussi régu- lière que sur les coupes précédentes , elle est interrompue il sa partie moyenne par

que peu de modifications, lorsqu'on la compare à celle de la coupe précédente . Le sillon marginal supérieur de l'insula (ms)

l'insula (ms), dans l'espace qui correspond au putamen de la coupe précédente (fig. 274) et aux circonvolutions de l'insula de

pent ici une surface beaucoup moins considérable que sur les coupes précédentes , et décrivent autour de l'insula une courbe ext

be. Sur cette coupe, l'écorce n'est pas continue comme sur la coupe précédente , elle est interrompue au niveau du genou du cor

s supérieures contournent la corne frontale (Vf) comme sur la coupe précédente , et se réfléchis- sent en s'effilant sur sa par

La substance grise sous-csloendynzaire contient comme sur la coupe précédente (n°I, fig. 279), des fibres il myéline s'entre-cr

la partie inférieure des fibres de la couronne rayonnante de la coupe précédente n° II (lig. 281). Ce sont des libres sectionnée

noyau caudé (NC), tapissé par Y épendyme comme dans la préparation précédente , est coiffé au niveau de l'angle externe du ven

ssance, COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. SU comme sur les coupes précédentes , il de gros fascicules de libres peu colorées par

e son genou et de son segment postérieur, se mé- langent aux fibres précédentes , dont ils se distinguent facilement grâce il leur

ésentent sur cette coupe avec les mêmes caractères que sur la coupe précédente (n°III, fig. 281). Les libres du pied de la cou

quement, occupent une assez grande largeur et se portent, comme les précédents , vers la face inférieure du noyau lenticulaire

ne VI de la fig. 278 et appartient à une autre série que les coupes précédentes . Vertico-trans- versale comme ces dernières, el

ehors en dedans et ne présente pas l'ampleur des coupes de la série précédente . La partie supérieure de la coupe ne présente r

la capsule interne, s'entre-croisent avecres deux ordres de libres précédentes et abordent soit le putamen (NL3), soit la lame

I (fig. °38). - Cette coupe appartient à la même série que la coupe précédente et passe par la ligne VII de la fig. 278. Cette

a région sous-thalamique est carac- térisée ici, comme sur la coupe précédente n° VI (fig. 284), par ses fibres paral- lèles,

pito-frontal (OF) présente encore le même volume que sur les coupes précédentes . Ses fibres onduleuses entrent les unes dans la

sente rien de particulier il noter, elle émet, comme sur les coupes précédentes , des fibres qui traversent laparlie supé- rieur

au in- terne (Ni), présentent les mêmes caractères que sur la coupe précédente , n° VIII, (fi. 285); la pénétration des fibres

rconvolutions est moins net sur cette coupe que sur les deux coupes précédentes (nos VII et VIII, fig. 285, 286) qui intéressent

Ce) et la couronne rayonnante (CR) se comportent comme sur la coupe précédente n° VIII (fin. 286). Le faisceau occipito-frontal

au moins au niveau de leur partie supérieure, comme sur les coupes précédentes . Dans la partie inférieure du thalamus, au vois

deux parties : la partie supérieure contourne, comme sur les coupes précédentes , l'angle externe du ventricule latéral et peut

(Fus) un coude très accentué. Il entoure, comme les deux faisceaux précédents , le diverticule du subiculum, mais il est const

faisceau longitudinal inférieur (Fli). De même que les deux couches précédentes , cette couche entoure d'un anneau complet la co

nmoins une couche complète autour du ventricule. Comme sur la coupe précédente n° XI rrc. 290. - Coupe vertico-transversale, n

e sont les radiations optiques de Gratiolet (RTh); comme les libres précédentes , elles se trouvent 564 ANATOMIE DES CENTRES N

ventriculaire on retrouve les trois couches de fibres de la ligure précédente , mais beaucoup moins étendues dans le sens antéro

Cette coupe qui appartient il la même série de coupes que les trois précédentes , passe au-dessous du lobe frontal et n'intéresse

en dehors et en arrière, comme elles s'infléchissaient sur la coupe précédente , puis dissocient les fibres du pied de la couronn

rayonnante sont aussi mal accusés sur cette coupe que sur la coupe précédente . Ses fascicules de fibres de- viennent de plus

VI, ventricule latéral. 584 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. coupes précédentes , grâce à l'apparition d'un certain nombre de fibr

isement, est ici beaucoup moins net qu'il ne l'était sur les coupes précédentes (nos 1 et 2, lig. 300 et 301 ) ; il ne se voit en

la ligne d'insertion du septum lucidum, (iSl). Comme sur les coupes précédentes , les radiations calleuses ())Cc') contournent e

e même direction du pied de la couronne rayonnante (pCR) des coupes précédentes , et appartiennent au système de projection qui se

me). Les étroits ponts de substance grise, si nombreux sur la coupe précédente ne 6 (lig. 305) au niveau du genou de la capside

gments de la capsule interne, déjà extrême- ment nette sur la coupe précédente n" 6 (Hg. 305), devient encore plus frap- pante

ace postérieure de la, couche optique est formé, comme sur la coupe précédente (fin. 305), par des fibres appartenant aux radi

Ci[g]) ici est extrêmement accusé, beaucoup plus que sur les coupes précédentes , ou que sur les coupes qui vont suivre et qui a

une l'aspect particulier que nous avons déjà indiqué sur les coupes précédentes . Les fibres horizontales du segment antérieur (

ion horizontale, sont beaucoup plus nombreuses ici que sur la coupe précédente (fig. 306). Les fibres du genou (Ci[g]) ont chang

nte le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), que nous avons vu sur la coupe précédente n° 7 (fig. 306), aborder le noyau antérieur du

(TM), avec le ventri- cule latéral (VI). Cette coupe, ainsi que la précédente (fib. 306) et la suivante (fig. 308), passe en

surface, mais ses caractères res- tent les mômes que sur les coupes précédentes . La laine médullaire interne du noyau lenticula

du thalamus (Ne), d'un noyau qui n'existait pas encore sur la coupe précédente n" 8 (fig. 307), le corps genouillé interne (ci

aît sur cette coupe il la place qu'occupait ce champ sur les coupes précédentes . Sa partie postérieure donne naissance il de nomb

ieur en effet, nous retrouvons la même apparence que sur les coupes précédentes ; ce segment postérieur est composé de libres vu

un aspect caractéristique et qui n'existait pas encore sur la coupe précédente n° 8 (fig. 307). Ici en effet, les fibres au li

) pré- sente une disposition qui n'existait pas encore sur la coupe précédente (n° 8, fig. 307). On voit en effet ici les fibr

que prendra le corps genouillé externe (Cge). Comme sur les coupes précédentes , le segment rétro- lenticulaire est formé ici p

ue supérieure, au- dessus du corps de Luys. Elle se distingue de la précédente par la dimi- nution du segment antérieur de la

a de Forel (Zi). La zona incerta occupe la place où, sur les coupes précédentes , se trouvait la zone réticulée ou grillagée (Zr

de sa partie externe et postérieure, et de même que sur les coupes précédentes , il est subdivisé par la lame médullaire interne

mp; (FT); formé de fibres horizontales et qui, comme sur les coupes précédentes , arrivent des circonvolutions temporales au niv

l (FI), dont nous avons vu naître la partie supérieure sur la coupe précédente (n° 10, suri. 309). Les fibres du groupe moyen

lles sont beaucoup moins nombreuses que les fibres des deux groupes précédents , et s'irradient dans la zona incerta de Forel (Zi

), dont les limites sont devenues moins distinctes que sur la coupe précédente . Ce faisceau, né des libres verticales des lame

orps aenouillé interne (Cgi), mieux délimité ici que sur les coupes précédentes , est 19JJj.ru.I.l ? \.. recouvert par les fibre

DES CENTRES NERVEUX. plus en arrière et en dehors que sur la coupe précédente (n° 11, fig. 310) et contient beaucoup moins de

laire de la capsule (Cirl) est encore plus éloigné que sur la coupe précédente (n° 12, fig. 311), du segment postérieur propreme

ation du segment postérieur de la capsule, interne (Cip) des coupes précédentes est surtout formé de fibres sectionnées transve

ps de Luys, au milieu de la masse de fibres constituée sur la coupe précédente (voy. fig. 311) par le faisceau thalamique de F

trié (NL." NC). On les perd en dehors du trigone, mais sur la coupe précédente n° 13 (lig. 313), nous avons pu suivre l'extrém

delette optique. 628 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sur les coupes précédentes nos 12 et 13 (fig. 311 et 312), on pouvait encore

-lenticulaire de la capsule in- terne (Cirl), figuré sur les coupes précédentes et qui n'existe à proprement parler plus ici. L

coupe n° 13 (fig. 312) du pilier postérieur du trigone. Sur la coupe précédente , n° 14 (fig. 313) les plexus choroïdes de la co

che, de la base du cerveau, il s'élargit et s'étale. Sur les coupes précédentes nos 11 et 12 (fig. 310, 311), nous l'avons déjà

région sous-optique de Forel. Horizontales comme celles de la série précédente , elles sont en-outre obliques en bas et en avant

mais sous un aspect un peu différent que sur celles des deux séries précédentes (Il et III), les noyaux gris centraux, la capsu

Elle correspond, en arrière, à la coupe n° 7 (fig. 306) de la série précédente , et en avant à la coupe n° 9 (fil'. 308) de la

ouche optique (Th) est moins étendue que sur les coupes de la série précédente , et que la tête du noyau caudé (NC), plus petit

ent différenciés; on voit en outre, plus nettement que sur la série précédente , la continuation du noyau externe (Ne) avec le

aire (lt), de chaque côté de laquelle on trouve, comme sur la coupe précédente n° 1 x (fig. 316), la section de la bandelette di

nale de Broca (bd). Cette série de coupes n'est pas, comme la série précédente , parallèle Il la substance innominée de Reicher

otte (RC). Le faisceau rétroflexe de Meynert (FM), qui sur la coupe précédente occupait la partie moyenne du noyau rouge, s'es

, qui font suite aux fibres de la commissure postérieure des coupes précédentes . Elles contournent la substance grise de l'aque

. Le pied du pédoncule cérébral (P) ne diffère de celui de la coupe précédente n° 7 x (tig. 3) que par l'apparition des premie

au antérieur (Qa) ne diffère pas ici de ce qu'il était sur la coupe précédente (n° 8 x, fig. 323). Les faisceaux de la commissur

envoyons pour la description de ce pédoncule aux coupes de la série précédente , plus favo- rables à son étude (Voy. Coupes mic

et qui appartiennent au faisceau de Vth'cA (FT) décrit sur la coupe précédente (n° 9 x, fig. 324). En dehors du segment rétro-

rieur présentent il peu près la même disposition que sur les coupes précédentes ; seul l'entre- croisement, en arrière de l'aque

meau postérieur. Cette coupe ne diffère du reste que très peu de la précédente . Le pédoncule cérébral est complètement libre e

postérieur (BrQp) contient un peu moins de fibres que sur la coupe précédente , mais ses connexions avec le ruban de Reil médian

ier, et sont faciles il distinguer des ccnlrriczzr·.c (Qa) des coupes précédentes . Ces derniers sont constitués, en effet, par d

bercule qlla- rlnljurzcau yn.clr%rin.ur (13rQ1), qui sur les coupes précédentes s'est porté de plus en plus en arrière. En avan

nait du noyau rouge (NR), ainsi que nous l'avons vu sur les coupes précédentes , s'entre-croise avec son congénère presque immé

s triangulaires (fig. 333, 334) ne sont qu'une modification du type précédent , qu'elles dépassent en grosseur et en nombre.

in. 329 et 339, B). Cette couche, à peu près aussi large que la précédente , dont elle se de- tache nettement, est for- m

dio de Golgi, fig. 329 et 339, C.). Cette couche se distingue de la précédente par le plus grand volume des cellules pyramidal

olongement cylindre-axile. Mal délimitée en dehors d'avec la couche précédente , la couche des grandes cellules pyra- midales e

rites, elles se com- portent dans cette couche comme dans la couche précédente (Cajal). Les intervalles qui séparent les petit

fusiformes à direction verticale, semblables a celles de la couche précédente (fig. 346, h), cellules triangulaires ou fusi-

de, triangulaire ou étoilée (lig.346, u), plus volumineuses que les précédentes , dont le cylindre-axe, d'abord dirigé en bas, s

moyennes et profondes, des cylin- dres-axes plus variqueux que les précédents , et que cet auteur regarde, sans cependant rien

La zone supérieure du stratum oriens, beaucoup plus épaisse que la précédente , mérite d'après Cajal le nom de zone plexiforme.

rofondes sont triangulaires, étoilées, et plus volumineuses que les précédentes , leur cylindre-axe s'ar- borise de même dans l'

a substance blanche, simple condensation des faisceaux de la couche précédente , se continue profondément avec les faisceaux plex

pédoncule cérébral. Pour Brissaud, qui adopte les idées des auteurs précédents , le faisceau longitudinal infé- rieur représent

t (fig. 290 et 389, fllgV) est au lobule lingual ce que le faisceau précédent est au cunéus. Entre- vu par Sachs, bien étudié

ittale microscopique de la face interne de l'hémisphère sain du cas précédent (fig. 399), montrant l'atrophie de la partie post

ation d'un verre vert clair devant les yeux ne change rien à la scène précédente . Après ces excitations du sens de la vue, nous

ns répété plusieurs fois ces expériences chez cette malade et chez la précédente . Toutes les fois elles nous ont donné exactement

s du sabre. Transporté à l'oreille droite, de nouveau l'hallucination précédente se reproduit. Bruit du tambour. — Il fait des m

ui se sont déroulés devant ses yeux pendant les expériences des jours précédents , et cela seulement le lendemain matin. Il obéit e

erre bleu. — Même hallucination et mêmes gestes que dans l'expérience précédente avec le verre bleu. (Voir plus haut.) Après ces

mement animés. Après la relation presque littérale du délire de notre précédente malade, nous nous contenterons pour celui-ci de d

concentration est presque le même que dans la malade de l'observation précédente . Comme elle, il est absolument indifférent aux ob

ulisme la scène de la confession, alors seulement que dans la journée précédente elle s'était livrée à cet acte religieux. La ma

laît à l'expérimentateur de lui ordonner. De même que clans les états précédents , il oublie au réveil tout ce qui s'est passé, mai

ns les premiers jours de janvier 1887, seconde attaque semblable à la précédente . Puis, quelques jours après, elle essaya de s'emp

de de l'excitation des organes des sens, renvoyant le lecteur à notre précédent travail (v. n° XXV, p. 30). Il est intéressant de

et qui semble tout à fait caractéristique. Nous avons vu chez notre précédente malade qu'il était absolument impossible de modif

lade sur un feuillet blanc et relatives à la chanson des deux figures précédentes , après qu'on lui eut soustrait les feuillets sur

sé est moins profond entre les cas absolument typiques comme nos deux précédents et les cas tout à fait frustes comme le sien. Du

centration du malade est certainement un peu moindre que dans les cas précédents . Non pas qu'il s'occupe davantage des objets ou d

le degré de concentration du malade apparaît moindre que dans les cas précédents . Il nous avait dit, à plusieurs reprises, que, da

, puis tombe dans nos bras, en proie à une violente emballeur de la précédente observation. Quand on lui retirait la feuille sur

us que le premier se trouvait déjà à la fin du dernier vers du tercet précédent . Dans la pièce écrite dans l'état somnambulique,

ère feuille : 13 et au haut de la page il écrit le dernier mot de son précédent manuscrit (i). Ce jour-là il écrit sept pages con

ion de répéter ainsi au haut de chaque page le dernier mot de la page précédente . Notre malade ne manque jamais d'agir aussi à cha

'agir aussi à chaque page blanche qu'il commence. mot de la feuille précédente , et écrit une demi-page. Le surlendemain il recom

e et la plus développée ; la troisième tient le milieu entre les deux précédentes . Mais, de même que les deux premières peuvent o

ions nouvelles, des idées exposées par M. le Pr Charcot dans la leçon précédente (n° XXIX). (G. G.). (2) Georges Guinon. — Docum

e cette seconde personne, qui se manifeste passagèrement dans les cas précédents , est la même que celle qui prend une place prépon

i Mlle R. L. ne chan- (1) Voir à ce sujet la note contenue dans mon précédent travail sur le somnambulisme hystérique, note dan

res stades. Sa durée est à peu près moitié moindre que celle des deux précédents . Il passe de là dans la quatrième phase désigné

aleptique... Il se souvient aussi de ce qui est arrivé dans les accès précédents et en outre de tout ce qui s'est passé pendant l'

ui s'est passé pendant l'état normal et les attaques de somnambulisme précédentes . « Quelquefois cependant la malade paraît avoir

la lecture ou l'ouvrage commencés pendant la période de somnambulisme précédente et qu'elle avait oubliés pendant l'état normal.

it perdre le souvenir de tout ce qui s'était passé pendant la période précédente , cet accès la rendait muette. Une seconde crise n

à l'encontre de ce que nous avons vu dans la plupart des observations précédentes , les deux états sont complètement séparés et dans

hystériques, analogues à celles dont j'ai cité des exemples dans mon précédent travail sur le somnambulisme hystérique. Le fait

ce qu'elle avait fait et tout ce qui s'était passé pendant la semaine précédente , et que, dans la semaine suivante, en condition s

une perte absolue de la mémoire de tous les faits antérieurs au mois précédent , et présentait spontanément un certain nombre de

omplètement le sens. Le lendemain de ce jour où on l'avait soumise au précédent interrogatoire, on lui fait écrire sous dictée le

antérieurement (1). B est, comme on le verra, absolument identique au précédent . Pour plus de clarté, et pour éviter des redites,

ériode d'état de mal hystérique épileptiforme, identique aux périodes précédentes dont nous avons parlé plus haut. En outre, elle

d'autre part, aucun trouble de la motilité qui distingue cet état du précédent . Fig. 8. — Champ visuel de Marie Hab... dans l'

Les considérations auxquelles nous nous sommes livrés à propos de la précédente malade, et qui peuvent être appliquées à Marie H.

cri, quelques secousses des bras et un arc de cercle. Comme chez la précédente malade, la figure ci-contre (Fig. 9) peut servir

entellement dans la soirée, la malade étant restée pendant la journée précédente dans l'état normal, avant l'arrivée de la crise.

une des conclusions que l'on peut tirer tant de ce travail que de mon précédent mémoire — il y aurait donc deux modifications spé

ce propos je ne saurais mieux faire que de renvoyer le lecteur à mon précédent travail sur le somnambulisme hystérique, dans leq

l est des cas de somnambulisme hystérique (le malade de B... de notre précédent travail, l'homme de M. Mesnet... et d'autres) dan

soit livré à des actes délictueux (Voir le cas de M. Garnier dans mon précédent travail). Le vigilambulisme, au contraire, dans s

ans ces rêves, elle faisait parfois allusion aux événements des jours précédents , évoquant ainsi dans son sommeil des souvenirs qu

courte note, destinée à montrer les progrès réalisés depuis la leçon précédente , lesquels sont bien en rapport avec le pronostic

ence d'urine). Au moment où nous l'avons examiné, outre les symptômes précédents , on constatait : Ja perte des réflexes rotuliens,

sif. Charcot, t. h. Rec .. Tabes. 20 On voit par les exemples précédents que le diabète alterne avec le tabès dans les div

abes vrai avec le véritable diabète sucré. Mais, contrairement au cas précédent , c'est ici le tabès qui a débuté et le diabète qu

fois par semaine. — Cette observation est à peu près calquée sur la précédente ; elle est justiciable de la même argumentation e

ts une importance diagnostique. Ils ont pourtant, unis aux caractères précédents , une certaine valeur. Ajoutez aux divers symptôme

ra alors en présence du diabète vrai associé au tabès. Appendice au précédent nun\éro. Notre travail était déjà sous presse l

r un certain nombre de tableaux généalogiques. Ils peuvent, comme les précédents , se grouper sous deux chefs : d'une part ceux qui

. Bienquela lésion na soit pas lamême dans sa nature, que dans le cas précédent , on peut dire cependant que les deux faits cliniq

out. Mais il y a plus, et ce n'est pas seulement par les caractères précédents que la réalité de cette pseudohypertrophie peut s

rtitude cette proposition que M. P. Marie et moi émettions dans notre précédent travail sur ce sujet, à savoir que dans la maladi

de détails. C'est, en effet, un des deux malades cités dans le numéro précédent et qui, atteint de myopathie (forme Lan-douzy-Dej

cès survenue dans la nuit, après une frayeur éprouvée dans la journée précédente ; jusqu'à l'apparition des règles, accès nocturnes

pourrait faire à propos de ce cas les mêmes remarques que pour le cas précédent . Ce n'est pas d'hal- lucinations véritables qu'

ue, remontant de l'estomac vers la gorge. Chez les deux malades qui précédent l'aura hystéroïde est tout à fait fruste. Mais il

s. Début à 17 ans par un grand accès. Pendant les quelques semaines précédentes , elle avait été en proie à une sorte d'impulsion

e 43,2 pour 100 n'est pas aussi éloigné du nôtre que ceux des auteurs précédents . Il lui est cependant encore notablement inférieu

s organes génitaux. 3e Cas. — Voici maintenant un cas comparable au précédent , mais plus accentué dans sa symptomatologie et à

olontairement en émoi et le fait aboyer. Ici encore comme dans le cas précédent , malgré la ressemblance avec un aboiement, il s'a

sthésie saturnine, si tant est qu'elle existe, est, relativement à la précédente , vraiment exceptionnelle. Le saturnisme a-t-il

, d'un caractère bizarre ; elle est morte très âgée. La soeur de la précédente est morte démente à l'asile d'aliénés de Bordea

iguës, traversant la jambe droite seule, de haut en bas. Les 3 mois précédents , il avait eu quelques douleurs pareilles, mais

secondes seulement) provoquent des effets à peu près semblables aux précédents : après quelques secousses, au début, isochrones

isamment distingués des effets produits par le mode d'appli- cation précédent . C'est sur ce point que nous nous proposons d'ins

qui sont sous l'influence de la fatigue, à la suite des excitations précédentes longtemps répétées, ou par suite de l'emploi de

après un temps insuf- fisant de repos, nous avons vu les phénomènes précédents se reproduire seulement à l'état d'ébauche, la

uptions par minute (8 par, seconde). Au début, comme pour le muscle précédent , il se produit quelques secousses à chaque inte

re tympanique et douloureux et la température s'éleva comme la nuit précédente . La quinine ne produisant pas de modification d

était pas connu du roi seul. La planche VII est la paraphrase de la précédente . Par terre git le père Ilervier, l'apologiste d

s carac- tères accessoires dont nous avons parlé dans le paragraphe précédent . Nous commencerons par étudier la démarche des

expliquent rien du tout. En tous cas, déclare Audry, dans les faits précédents , on ne saurai ! songer à incriminer les altérat

st respecté. CH. FÉXK. ' Médecin de Bicêtre. (1) A propos de ma précédente note sur la queue des satyres et la queue des fau

détend, mais ici au lieu de voir se produire, comme pour les séries précédentes , des secousses de contractions isolées, nous voyo

onflé que 'pendant le spasme myotonique. En se reportant aux tracés précédents (A, B, fig. I) de la môme planche, il est facil

à l'aide du signal de Depretz. (Nous avons supprimé sur la planche précédente l'inscription d'intermittences du cou- rant afi

0 par minute, 8 1/G par se- conde). On y voit, comme sur les tracés précédents , l'apparition du spasme myotonique au début de

chose que nous avons vu se passer dans les exploration-* faradiques précédentes . Des tracés myographiques, que nous avons recue

complètement. La troisième li- gne, C, prise deux minutes après la précédente , montre encore le même phénomène. La première e

ment jusqu'en»/, (moins brusquement toutefois que dans l'excitation précédente qui a duré plus longtemps, 10 secondes), mais à

nditions de 45 à 20 secondes; en outre, on voit, comme sur le tracé précédent , que la décontraction se produit d'abord as- se

(C. fig. 14). Ce tracé, fig. 14, a été pris immédiatement après le précédent , Ù la suite d'un repos de quelques minutes; mai

gure ont été inscrites dans les mêmes conditions que pour la figure précédente et mollirent les mêmes phénomè- nes de la décon

e pour constater ici ce que nous avons déjà dil à propos des tracés précédents . Nous ferons seulement remarquer la longue durée

ditions semblables à celles que nous avons étudiées dans la section précédente (ex- citations prolongées pendant i/2 à 3/ do m

é prise après un repos de 2 ou 3 minutes seulement à la suite de la précédente . Au contraire, nous avons déjà vu plus haut que

analogie. C Excitations des muscles fatigués par des excitations précédentes réité- rées, on par des excitations avec des co

s, les choses se passent comme nous l'avons indiqué dans une partie précédente de cette étude. La première excitation cle la l

subir un arrêt, ou bien continuer à s'accroître comme chez le sujet précédent . L'un et l'autre malade ont fait l'objet d'une

liose vulgaire, il voit une nouvelle preuve en faveur de la théorie précédente . Il ajoute que peut-être la faiblesse des muscl

chis peut être légèrement douloureux à la pression dans les régions précédentes . Traitement. Kroenig fit porter à ses trois pat

e8 centimètres, au lieu de 9 centimètres comme pour les deux lignes précédentes , l'excitation du muscle est prolongée pendant 2

le tracé suivant, figure 18. Ce tracé a été pris aussitôt après le précédent ; la bobine induite était écartée de 10 centimètr

ieur delà cuisse gauche provoquées aussitôt après celles de la ligure précédente , avec le mime nombre d'interruptions (6 1/3 par

ième ligne, C, du tracé, se comporte presque identiquement comme la précédente , à la suite d'une excitation également courte,

ent longue, et prolon- gée pendant 40 secondes. Comme pour le tracé précédent le spasme myo- tonique apparaît au cours de l'e

e temps il est le siège d'un tremblement semblable à celui du tracé précédent . Au bout d'une vingtaine de secondes la décontrac

ements ondulatoires et d'un tremblement analogue à celui des tracés précédents . (Sur cette ligure les lignes a', b', c', repré

ués par des explorations répétées dans la même journée ou les jours précédents , soit, peut-être encore, par suite de dispositi

se l'excitation, on constate le même effet qu'après les excitations précédentes , c'est-à-dire des alternatives de gonflement et

RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Cette forme est beaucoup plus rare que la précédente . La convexité de la courbure rachidienne regard

né vers la jambe paralysée, qui est demi-fléchie. Comme dans le cas précédent , les dernières vertèbres lombaires, perpendiculai

courbe. Bientôt après la courbe se relève de nouveau, la dépression précédente a disparu et le muscle se contracte régulièrement

racé pour les reconnaître. A titre de comparaison avec les tracés précédents et avec les suivants nous reproduisons, dans la

ourant de 26 milliampères, ne sont pas brèves comme pour les lignes précédentes (1° et 2°), mais au contraire la con- traction

ent, puis plus lentement. Les tracés de la figure 29 font suite aux précédents et ont été pris sur le même muscle, le même jou

des secousses de NF que nous avons déjà rencontrées sur les tracés précédents . Au moment de la fermeture il y a contraction f

raction secondaire comme sur plusieurs tracés analogues des figures précédentes . Les secousses de fermeture du pôle positif, ic

et surtout de moins en moins toniques. Ici comme dans les tra- cés précédents il n'y a pas de secousse d'ouverture avec le pôle

on lente du muscle, comme nous l'avons constaté déjà sur les tracés précédents pour le pôle positif. La figure 33 représente l

tives par le pôle négatif, dans les mêmes conditions que les tracés précédents du pôle positif. Ici. encore nous avons supprimé

XCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 239 que nous avons vus dans les précédentes figures. Ici il l'ouverture du courant il n'y a

'expérience était un peu différent de celui employé pour les tracés précédents . Le pôle indifférent était toujours placé au-de

vements on- dulatoires modifient alors la régularité des phénomènes précédents . L'excitabilité galvanique des muscles est augm

brèves, au lieu d'être lentes, pa- resseuses et toniques, comme les précédentes . La répétition fréquente des excitations produi

Jusqu'à présent, en effet, on l'a trouvée, avec tons les caractères précédents , uniquement dans ' ces cas. Nous avons, de notr

n effet tout à fait analogues à ceux que nous avons décrits dans un précédent cha- pitre. Car dans l'alhétose double il n'y a

t Gau- thier nous semble, outre qu'il réunit les avantages des deux précédents ap- pareils, beaucoup plus pratique et certaine

conception, qui a eu lieu au 10° mois de l'allaitement de l'enfant précédent , tous deux étaient bien portants, vivaient d'acco

avait bu il aimait mieux dor- mir. Grossesse bonne, elle a sevré la précédente enfant quand elle était enceinte de 3 mois, pas

hez les nouveau-nés et dans la première enfance. Les statisti- ques précédentes , bien qu'affirmant l'hystérie « dès l'enfance ten

passons maintenant aux preuves cliniques qui justifient les lignes précédentes et aux interprétations de l'efficacité de la fara

ès prononcée. Cela ne doit pas paraître étrange après l'explication précédente . Leprocessus mor- bide exagère l'excitabilité d

: un hermaphrodite en bronze de Florence qui se rapproche assez du précédent ; trois autres à Rome dont un à la collection C

, qui vint à Paris en 1899 pour se placer comme domestique. L'année précédente elle avait été gravement malade, elle avait faill

premier kyste de la grosseur d'un pois situé au même niveau que le précédent ; 100 Un deuxième kyste situé quelques millimèt

e des données importantes. Tout d'abord, il résulte des discussions précédentes , que la déviation de la jambe en avant peut aff

n de la rotule). Eclairés par les notions étiologiques et cliniques précédentes , nous pou- vons aborder l'étude du mécanisme pa

à tous les cas. Ainsi, chez notre malade, aucune, des explications précédentes ne peut être adoptée : en effet, cet homme avai

tront de com- prendre des diverses positions. Les interprétations précédentes ont été inspirées par l'étude attentive des fai

conclusions fermes ; aussi devons-nous considérer les explications précédentes comme n'étant que les hypothèses qui fournis- s

que Robert de Lenoncourt, qui sont il peu près con- temporaines des précédentes et méritent les mêmes éloges. Elles sont con- s

elle allongée, la- 120 SOLOVTZOFF quelle, comme dans les deux cas précédents , se dirige vers la moelle épi- nière, mais moin

re. Pareil épaississement de la moelle, dans ce cas, comme dans les précédents , se produisait aux dépens delà dislocation en b

n de la partie postérieure de la moelle allongée, comme dans le cas précédent , et pourtant la moelle dans la région cervicale

ne dépend pas seulement delà partie postérieure comme dans les cas précédents . Ce déplacement de toute la moelle allongée exp

La moelle épinière n'est pas changée si on la compare avec la coupe précédente . Phot. 8. - La structure de la moelle épinière

bres myéliniques allant dans la moelle allongée comme dans la coupe précédente , pas- sent dans deux directions. Les fibres dis

le allongée on voit la racine posté- rieure, marquée sur les coupes précédentes . PHOT. 11. - L'isthme, réunissant la moelle épi

enu plus court, mais en même temps plus large. Déjà dans les coupes précédentes nous avons vu les cordons postérieurs déplacés

VEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 123 moelle épinière dans la coupe précédente , a passé en partie dans l'isthme, déplaçant les

à ce niveau plus large et en même temps plus court que sur la coupe précédente . Le canal central s'est ouvert en arrière et s'es

ventricule n'est déjà plus si enfoncé en avant, comme dans la coupe précédente , quand il lui fallait se fusionner avec le canal

atineuse de Ro- lando, moins nettement indiquée que dans les coupes précédentes . En dehors de la racine spinale du nerf trijume

la fissure médiane longitudinale antérieure, comme dans les coupes précédentes , où elles étaient partagées au-devant des faisc

é sur le plancher du 4e ventricule. Le cervelet, comme sur la coupe précédente , s'étale sur les côtés du pont de Varole. Le tr

des variétés, comme le montrent les indica- tions sommaires des cas précédents . Du côté de la main on remarque le plus souvent

e derniers doigts. Il est intéressant de comparer les malformations précédentes avec les difformités qui résultent de l'absence

aitement approprié.-Cependant, il faut avouer qu'aucun des deux cas précédents ne nous laisse grand espoir de complète guériso

ues, et nous pourrons les comparer avec les démoniaques des siècles précédents . a) Fresques de l'église de Mistra. Dans la p

ant. Nous avions déjà constaté quelque chose de sem- blable chez un précédent paralytique. D'une troisième mosaïque, à demi e

est complet ; l'absence totale de cavité la différencie de la phase précédente . Il faut ajouter que les cellules 186 DUPRÉ ET

en est d'autres un peu moins volumineux, absolument semblables aux précédents , et n'en dif- férant que parleur dimension : mê

romatophiles. .' Van Gehuchten (4) rapportant les idées des auteurs précédents remar- que que Marinesco « n'indique pas d'une

isé à la périphérie de l'élément. La deuxième variété diffère de la précédente seulement par le volume ; la troisième enfin plus

a production du dermographisme par le mécanisme indiqué pour le cas précédent . Mais je crois superflu d'insister sur le diagn

oloration. Les taches qui recouvrent l'épaule se continuent avec la précédente . Face antérieure : plaque irrégulière de peau s

l'angle inférieur du même os. Cette tache est moins colorée que les précédentes , et interrompue par des plaques depeau saine. D

arrêtant à la ligne médiane, et se continuant en haut avec la tache précédente (dimensions : 9 X 7). Bras gauche. - Coloration

ns postérieurs de la moelle épinière ; en comparaison avec la coupe précédente il reste encore moins de libres myélini- ques d

éjà disparu, mais les libres verticales, représentant dans les coupes précédentes les horizontales, sont à présent parfaitement c

rrière elles la couche du ruban de Reil. Comparant ce cas avec le précédent , nous voyons que la grande diffé- rence entre e

ordons de Goll sont colorés un peu plus faiblement que sur la coupe précédente . A par ! 25G SOLOVTZOFF cela, en général les

ure ; celle 'des moitiés des cordons postérieurs, qui dans la coupe précédente était bien colorée, commence à pâlir dans la part

ormation supérieure a un peu augmenté de volume.Comme dans la coupe précédente , une partie des fibres myéliniques horizontales p

ieurs ne sont pas développés à un plus haut degré que dans la coupe précédente . La substance gélatineuse de Rolando, est d'un

cines postérieures. L'asymétrie énorme qui existait dans les coupes précédentes , et qui tenait à la partie abaissée de la moell

ésentant les fibres horizontales qui étaient visibles dans la coupe précédente et on peut distinguer les parties correspondant a

n arrière. Les cordons latéraux sont amincis. Comme dans les coupes précédentes , à la périphérie même de la moelle et seulement

a moelle n'a pas changé et une moitié du bulbe, comme dans la coupe précédente , se distingue de l'autre. D'un côté du canal cent

déjà disparu, nons ne trouvons pas l'asymétrie. Comme dans les cas précédents , grâce au déplacement de la moelle allongée en

er. En ce qui concerne la structure du cervelet, comme dans les cas précédents , les deux hémisphères se rapprochent et au commen

on lobe médian n'étant pas développé. Ce cas se distingue des cas précédents . Déjà à l'oeil nu (Phot. 4) on 260 SOLOVTZOFF

Cas IV (PI. XXX). Contrairement il ce qu'on a vu dans les trois cas précédents nous ne trouvons pas ici que sur la moelle épin

moelle épinière etde l'allongée sont analogues à ceux des trois cas précédents , mais ils sont plus faiblement indiqués. Phot.

la partie dorsale des cordons latéraux. Ainsi, comme dans les cas précédents , la moelle est partagée en deux moi- tiés : 1°

e la moelle est augmentée de volume com- parativement avec la coupe précédente . Les fibres myéliniques, appartenant aux cordon

aussi la substance gélatineuse de Ro- lando, placée dans les coupes précédentes au fond des fissures latérales, est ici reculée

ux parties de la moelle la fusion est achevée. Com- me dans les cas précédents , la fusion s'est accomplie au niveau où apparaît

correspondent à la moelle normale et tout à fait comme dans les cas précédents , à cause de l'allongement du 4e ventricule et à c

ieures 262 SOLOVTZOFF La différence principale de ce cas avec les précédents consiste en ce que la partie abaissée de la moe

elle. Au restant, les changements s'ont très analogues avec les cas précédents , et comme là les principaux concernent les cordon

t de la partie postérieure de la moelle al- longée, que dans le cas précédent . La moelle épinière et l'allongée ont une struc

s inférieures, nous rencontrons le même tableau, comme dans les cas précédents , seulement encore plus nettement exprimé. Pho

, tout à fait différente de la conception du grand maître du siècle précédent . Le tableau de Nancy, relativement peu connu, e

obligeance, [(1) M. R. CESTAN avait bien voulu nous confier pour le précédent fascicule la pu- blication d'une étude d'ensemb

t qu'il dénomme rachitis micomelicra. Enfin, tandis que les auteurs précédents avaient fait oeuvre d'histologistes, Parrot fai

lement, toxique de l'achondroplasie. Si dans les deux' observations précédentes , la substance toxique semble provenir de l'orga

ge, nettement accusé, est à peine à une distance plus longue du pli précédent que sur les doigts sains de l'autre côté, tandi

0 m. 09, soit un centimètre de moins que dans la façon de procéder précédente . La circonférence du poignet est égale à droite

mé et symétrique des membres supérieurs. Ce spasme était, les jours précédents , dissimulé par le tremblement, mais, d'après W.

C'est à elle que nous avons eu recours. Comme dans ses recherches précédentes , sur la question du travail, c'est l'auteur qui

effets sont tout aussi difficiles à dissocier. Dans les expériences précédentes on avait empiriquement fait agir les excitants

le des Hautes-Etudes. des Asiles de la Seine. I Dans deux travaux précédents (1), nous avons analysé et étudié la vie biolog

sentent pas ici de lésions aussi avancées que dans les descriptions précédentes . Elles sont très nettement atrophiées, leur col

que la racine descendante du trijumeau. Comme au niveau de la coupe précédente rien ici n'indique la place du fais- ceau pyram

st plus près de la corne postérieure. Comme au niveau de la coupe précédente les faisceaux moteurs semblent avoir totalement

représentés par la tumeur vasculaire dont il a été question dans un précédent travail) ? (1). Dans ces conditions la substanc

ttacher la valeur que leur avaient attribuée plusieurs observateurs précédents . OBSERVATION CLINIQUE. Augustine C..., âgée d

rtés par M. A. Thomas mérite à plus d'un titre d'êlre rapproché des précédents . Les réflexions suggérées par ces observations

. Le bras droit, dont l'enflure nous avait si fort inquiété l'année précédente , nous paraît être tout d'abord dans des conditi

assez dépressible au doigt, plus dépressible que les trophoedè- mes précédents . - 500 M. UERTOGHE Le passé utérin n'est pas

cal est d'ailleurs fort minime. La fureur phlébotomiste des siècles précédents explique leur abondance. « Plus on lire de l'ea

ne postérieure. Figure 6. Portion du faisceau latéral de la coupe précédente , vue à un fort grossissement (obj. 4, Vérick).

nte un point du cordon latéral droit de la préparation de la figure précédente , vue à un fort grossissement (ohj. 4, Vcrick).

e antérieure gauche d'une préparation analogue à celle de la figure précédente , colorée par le picro-carmin et vue à un grossis-

elà région peu sclérosée, du cordon latéral droit de la préparation précédente colorée par la méthode de Pall. On y voit la pers

la région très sclérosée du cordon latéral gauche de la préparation précédente , colorée par la méthode de Pall. 11 n'existe guèr

uée dans la région cervicale (pièce provenant d'un autre sujet que la précédente ) et colorée par la méthode de Weigert. Les al

obj. 2, Vérick) la corne antérieure d'une préparation analogue à la précédente et colorée par le picro-carmin. On y voit la di

de Pall. La pièce appartient au même sujet que celle de la planche précédente , c'est-à-dire qu'il existe de la sclérose posté

int du faisceau pyramidal croisé gauche dégénéré, de la préparation précédente , vu à un fort grossissement (obj. 4, Vérick). On

gure représente un point du cordon de Goll dégénéré de la préparation précédente coloré par la méthode de Weigert et vu à un for

des foyers inflammatoires des cornes antérieures de la préparation précédente , colorée au carmin, et vue à un fort grossissemen

ment un point de la lésion de la corne antérieure de la préparation précédente . On reconnaît quelques cellules très altérées dan

ure représente un point des cordons postérieurs sclérosés de la pièce précédente , mais la préparation a été colorée par le picro

a méthode de Weigert. La lésion, contrairement à celle de la figure précédente , a épargné la partie posté- rieure des faisceau

nt t des sortes de variétés du type normal figuré dans les planches précédentes . Elles proviennent toutes trois de sujets diffé

rossissement plus fort (obj. 2, Vérick) la préparation de la figure précédente , pour montrer le détail des lésions. .4. Corne

eau pyramidal faisant partie de la coupe représentée dans la figure précédente , vu à un fort grossissement (obj. 4, Vérick). Les

La préparation montre un point de la paroi d'une coupe semblable à la précédente et colorée au picrocarmin. On y voit le revêtem

réparation montre une partie de la substance de la tumeur de la pièce précédente , colorée au picrocarmin et vue il un fort gross

cerveau au ganglion en patte 'd'oie. 9. Faisceau plus large que le précédent et qui, en s'unissant à son analogue, forme le

ion interne. Les auties objets sont désignés comme sur les planches précédentes . Fig. 3. Encéphale du chat coupé d'avant en arr

lettres expriment les mêmes objets que pour les figures des planches précédentes . Fig. 3. La scissure de Sylvius est très obliqu

Les mêmes lettres désignent les mêmes objets que dans les planches précédentes . Fig. 3. Encéphale du même animal vu du côté ex

'avançant pas jusqu'au cerveau. Les chiffres , . comme dans la figure précédente . Fig. 4- Encéphale de mouton coupé d'avant en a

ne entourant le corps calleux, unie, en avant, avec la circonvolution précédente , et se portant en arrière et en 'bas, jusqu'au lo

val. Les mêmes lettres indiquent les mêmes parties que dans la figure précédente . Le cerveau du cheval est plus arrondi et plus él

deux dernières sont séparées par un sillon longitudinal, parallèle au précédent , mais qui s'arrête au point -+- où les deux circo

t. Les autres lettres indiquent les mêmes objets que dans les figures précédentes . La simplicité du cerveau de chevreuil comparée

l'on retrouve chez le daim. Les flèches obliques indiquent, comme les précédentes , des incisions complètes à la surface du cerveau,

cela , bien supérieur à celui des encéphales figuré dans les planches précédentes . ENCÉPHALE DU PHOQUE. ENCÉPHALE DU MARSOUIN.

t inutile de répéter ici ce que j'en ai dit à l'occasion des planches précédentes . L'encéphale du dauphin et celui de la baleine so

ieures dont l'une, la troisième , est déjà représentée sur la planche précédente . La direction qu'elles affectent est d'avant en a

postérieure dont la plus grande partie est représentée sur la planche précédente . O. O. Circonvolutions sus-orbitaire. Le soin

neuse intermédiaires aux lames centripètes qui constituent les fibres précédentes . I. Commissure grise. A. Faisceaux blancs ant

o). i. Racine de la cinquième paire qu'on suit avec le prolongement précédent vers l'anse du pédoncule jusque dans la base du l

e la corne occipitale du ventricule latéral Entre cette branche et la précédente , se voit béante la cavité ancyroïde. d. Pilier

branche descendante du corps calleux. ce., ) S Comme dans la figure précédente . ce, ) d. Pilier droit de la voûte. cf. Div

\ F Ces lettres ont la même signification . i que dans les figures précédentes . i. ! m. Nerf optique. m' Racine interne du

ce externe de l'hémisphère et alternent avec les faisceaux du système précédent . k.k.k. Commissures propres doublant immédia-me

cervelet. Les lettres ont la même signification que dans la figure précédente . Fig. 49. Face postérieure du cervelet d'un Élé

Mémoire adressé à l'Académie des sciences en 1856, reproduit dans la précédente édition (deuxième partie, chap. Y, art. 1er). R

uce alors de la publication du grand ouvrage de Lavatcr, édité Tannée précédente à Paris. Un livre écrit par l'homme dont les in

fois si difficile et si intéressant, qui fait le sujet du paragraphe précédent ; elle m'a permis de voir se dessiner sous l'instr

nt les faits qui sont la preuve physique et complète des assertions précédentes ; mais il me faudrait alors intervertir l'ordre qu

ués au-dessous du sourcil, il en est qui, de même que ceux de l'ordre précédent , jouissent d'une expression propre, et réagissent

ainsi que cela ressort des considérations exposées dans le paragraphe précédent , l'origine d'un grand nombre d'expressions phys

e la lubricité, en faisant contracter synergiquement avec les muscles précédents le transverse du nez, les traits sensuels propres

ées expressives discordantes. Il ne faudrait pas conclure des faits précédents qu'il y a toujours antagonisme absolu entre les e

EXPRESSIFS DE LA FACE. Les faits exposés dans les deux paragraphes précédents donnent lieu à une remarque qui, sans doute, n'éc

ssion dont il est le principal représentant. Cet argument, comme le précédent , est assez spécieux; il tombe cependant en présen

ourciller et triangulaire des lèvres. On remarque, clans le tableau précédent , qu'en général plus les muscles de la face sont s

fs musculaires des membres et du tronc, il ressort des considérations précédentes : Io qu'elle n'est pas absolument indispensable ;

ssifs de la face. En somme, il ressort des considérations critiques précédentes que, dans l'étude des lignes expressives de la fa

, dont la corde et la flèche sont plus petites que celles des courbes précédentes . — Dans cette figure on remarque que les rides fr

ce d'une ardente passion, Vœil brille de son propre feu; l'expérience précédente est la preuve incontestable de mon assertion. A v

on du sourcil, mouvement qui avait à peine commencé dans l'expérience précédente , parce que je n'avais provoqué qu'une contraction

son antagoniste. Pour faire comprendre toute l'importance des faits précédents , je rappellerai ici que les anatomistes avaient p

aux*. .le mentionnerai ici un autre fait curieux et qui explique le précédent . J'ai déjà dit précédemment que le sujet dont il

obéit facilement à ses muscles moteurs. On a vu dans le paragraphe précédent avec quelle puissance ce sourcil s'est abaissé en

tait au repos au moment de l'expé- 5 rience, comme dans la figure précédente ; mais la face a été éclairée de manière à jeter

ion, regard attentif. Fig. 27. — Même expérience que dans la figure précédente ; mais, dans celle-ci, la contraction électrique d

9, si elle avait été photographiée de face. Dans toutes les figures précédentes , la direction du sourcil a été d'aufant plus obli

raison de leur importance, les rappeler ici à l'occasion des figures précédentes . L'orbiculaire palpébral inférieur est si diffi

aractéristique. Pour bien comprendre l'exactitude de la description précédente , il sulïit de comparer la forme du nez au repos d

res, comme s'il était gêné par la lumière, et je répétai l'expérience précédente ; alors je vis apparaître sur sa physionomie, ave

on. C'est ce qui est parfaitement distinct sur la plupart des figures précédentes , et principalement sur la figure 63. 11. — Impr

quadrupèdes; leur pannicule, qui est l'analogue des muscles cutanés précédents de l'homme, hérisse les poils sous l'influence de

La figure 76, vue dans son entier, représente la même scène que la précédente : la prise du voile : mais l'émotion de la jeune

esquels j'en ai parlé (1) : « Il ne faudrait pas conclure des faits précédents qu'il » y a toujours antagonisme absolu entre les

degré de contraction, est, de prime abord, plus trompeur que le rire précédent , bien qu'un observateur attentif s'y laisserait p

uns dans l'accès épileptique etquisont bien plus importants que les précédents , car on ne les observe jamais dans les attaques

douleurs vives, lanci- nantes, un peu comparables à celle du malade précédent ; mais vous constatez ceci de particulier que,

ctères sont semblables à ceux que nous avons relevés chez la malade précédente , sauf que les mouvements voli- tionnels des ort

omène des orteils est ici encore plus accentué que chez les malades précédentes ; l'extension est très forte aux cinq orteils.

être mis plus facilement dans la poche, le manche est semblable au précédent , mais le disque est remplacé par une plaque recta

ble préfé- rable : l'attitude du membre supérieur est analogue à la précédente , mais au lieu de soutenir le pli du coude, l'ob

s un des membres supérieurs. Ce type s'observe plus rarement que le précédent ; il n'est guère causé que par des lésions siége

exe polycinétique, etc.). De plus, abstraction faite des caractères précédents qui peuvent être frustes, la comparaison du côt

nt normaux, affaiblis ou abolis, sont beaucoup plus communs que les précédents . Je rappelle que, dans l'hémiplégie cérébrale d

qu'il me parait intéressant d'indiquer. Dans le tableau de la page précédente se trouvent résumées nos connais- sances relati

., g mai 1912). RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 83 la forme précédente ; elle est sujette à des variations fréquentes qu

r qu'il existe aussi une contracture différente, il est vrai, de la précédente par sa forme déterminée par des lésions ner- ve

mouvements des membres supérieurs qui s'associent généralement aux précédents sans être d'ailleurs indispen- sables à l'accom

fisance, au point de vue du diagnostic différentiel, des caractères précédents . Il est quelques autres caractères extrinsèques

re se reproduit et peut être plus ou moins accentué que dans l'acte précédent , quand le malade, après s'être mis sur son séan

de vue du diagnostic. Vous pourrez encore constater le caractère précédent d'une autre manière. Soutenez avec la main le m

antir sur ce sujet; je tiens toutefois à ajouter que les réflexions précédentes ne s'appliquent qu'aux manifestations de l'hyst

usieurs mois sous un aspect à peu près semblable. Comme dans le cas précédent , on ne constata durant cette période, ni halluc

SÉMIOLOGIE Les recherches d'Oppenheim confirmèrent les observations précédentes . En effet, si dans 1' « Unterschenkelsreflex »

que en flexion. Dans ce type, contrairement à ce qui a lieu dans le précédent , la motilité volontaire est profondé- ment trou

a deuxième forme de contracture se différencie principalement de la précédente par les traits suivants : elle est indépendante d

entraine ne peut que se fortifier lorsque ce caractère s'associe au précédent , à la lenteur de la contraction et surtout de l

canisme de marche. » M. Walshe, sans être d'accord avec les auteurs précédents sur le méca- nisme de ces réactions motrices, n

maintenant à une question encore plus importante peut-être que les précédentes , à savoir l'état du réflexe cutané plantaire. P

éflexe en flexion remplacer pour quelque temps le mouvement réflexe précédent . Il m'est arrivé alors d'observer, après avoir

nkelphaenomen » dans les affections pyramidales sont identiques aux précédentes . Voici en quoi elles consistent : tandis que l'

re souvent associés, mais c'est une liaison beaucoup moindre que la précédente . Dans le tabès dorsal spasmodique avec surré- f

ent par relâchement des fléchisseurs. Un passage de l'observation précédente de Lhermitte semble montrer qu'il n'en est pas

il est fait mention de l'état des réflexes 52 jours après l'examen précédent , nous trouvons ceci : « Les mouvements de défen

RÉFLEXES DE DÉFENSE 147 réflexes est fait, 4 ou 5 minutes après le précédent . Cette fois, transfor- mation complète : tous l

ant cette stabilité n'atteint guère le même degré que dans la forme précédente ; elle est sujette à des variations fréquentes qu

r qu'il existe aussi une contracture différente, il est vrai, de la précédente par sa forme déterminée par des lésions nerveus

n temps. Comparons maintenant le réflexe des orteils aux réflexes précédents .. Si à l'état pathologique la réaction habituel

oul Q ont montré qu'il y avait lieu de rectifier un peu les données précédentes : à la nais- sance, puis pendant un laps de tem

servir de frontière artificielle dans une expérience analogue à la précédente , on constate que les erreurs commises sont enco

a eu l'occasion d'observer un troisième fait superposable aux deux précédents . Néanmoins, ces observations ne sont pas encore

t défaut à droite et il est très faible à gauche. Comme dans le cas précédent , il s'agit, selon moi, de tabès fruste. Je rapp

ommodation, comme à l'état normal. Du reste, cette malade, comme la précédente , n'a aucun autre signe objectif, aucune manifesta

ion. ils se comportent exacte- ment de la même manière que le sujet précédent . Cette jeune fille que je vous présente est att

nc en arrière. Cette épreuve est en effet comme le complément de la précédente . Dans l'une, c'est la partie supérieure du corp

ce seulement ou ne devient très apparent que lorsque le mouve- ment précédent est terminé ; en un mot, la flexion de la cuisse

t des yeux devient unilatérale. Les résultats obtenus différent des précédents lorsqu'on fait passer le courant pendant un cer

e, paresseuse. L'électrode différente est placé comme chez le sujet précédent , avec 35 volts et 20 milliampères, le pôle négati

différence est nette quoique un peu moins sensible que dans le cas précédent . Avec les courants vollaïques, le facial sain est

lité électrique, bien moins prononcée, à la vérité, que dans le cas précédent , mais pourtant absolument nette. Ces faits étab

NILATÉRALES 245 n'apparaissaient que d'une manière confuse lors des précédents examens. L'acuité visuelle est remontée à go de

t récente), rapporte une observation qui a quelque analogie avec la précédente . Il s'agit d'une jeune fille pré- sentant des m

elation de cause à effet entre ces lésions osseuses et les troubles précédents . Nous avons vu qu'on avait pratiqué autrefois au

hent beaucoup de ceux qui appartiennent aux phénomènes spasmodiques précédents . C'est là une nouvelle observation à ajouter à

et du cou, des sterno-mastoïdiens en particulier. Comme dans le cas précédent , le résultat de l'inter- vention a été très sat

i signalé, dans ma communication de 1921, un autre fait analogue au précédent . J'ai relaté aussi en 1910 C) l'observation d'u

ivant le niveau où on le considère. Certainement plus ancien que le précédent , il est constitué par une cavité remplie de cor

e sur la partie antérieure du ruban de Reil, respectée par le foyer précédent , et l'autre sur le faisceau pyramidal. Nous étu

e deux expériences successives, pour être sûr que nul vestige de la précédente épreuve ne viendra fausser les résultats de cel

e de celle qui est causée par l'alcool, d'ajouter à la dénomination précédente l'épithète d'infec- TABES ET PSEUDO-TABES 351

médullaires correspondants. Mais, en rapprochant ce cas des deux précédents , et considérant qu'il existe des signes d'affec

conde zone d'hypoesthésie légère, présentant la même étendue que la précédente , le trouble n'est guère que d'ordre quantitatif,

e d'hypoesthésie marquée). On peut, croyons-nous, tirer des données précédentes des déductions intéressantes en ce qui concerne

ion lombaire avait fourni, de son côté, une figure qui, jointe à la précédente , paraissait représenter comme la photographie d

ces pratiques que nous serions tentés de déduire des considérations précédentes : Il serait sage, dans les cas où une compressi

ligne courbe, à concavité tournée en bas, située au-des- sus de la précédente , à une distance de Il à 7 travers de doigts ; un

ptomatique analogue, mais en partie atténué et différant surtout du précédent par ce fait que les mem- bres inférieurs resten

bius, au point de vue de la localisa- tion, ressemble beaucoup à la précédente . Dans une autre forme, la forme infantile de l'

ntérieur, mais l'atrophie du triceps suit de près celle des muscles précédents ; à l'avant-bras : le long supinateur; les autr

maladie. La forme dite juvénile d'Erb est presque identique à la précédente . La différence essentielle consisterait en ce q

a face serait ici indemne, tan- dis qu'elle est prise dans la forme précédente . Il y a enfin des formes de transition, dans le

exagérée. 2° Un simple rapprochement montre ensuite que le trouble précédent coïncide avec une perturbation des réflexes ten

n'S7 ? Ë ET DE L'HYPNOTISME 4Í( sie ovarienne ; ils sont, comme les précédents , le produit de la sugges- tion et les hystériqu

ales. On n'a pas là les éléments d'une définition, car le caractère précédent ne s'applique pas à toutes les manifestations d

ui sont également des troubles fictifs, mais qui se distinguent des précédents parce qu'ils ne peuvent résulter de la suggesti

est constitué par des phénomènes qui ne sont pas fictifs, comme les précédents , mais bien réels. Ce sont des érythèmes, des ec

peut dire dès maintenant c'est que ce groupe se distingue des deux précédents plus nettement encore que ceux-ci se distinguen

te question je répondrai encore par la négative. Les considérations précédentes montrent déjà l'esprit de l'hypnotisé en éveil,

mportance, qu'on cherche à lui taire dévoiler. Des considérations précédentes il découle que l'hypnotisme, tout en semblant u

ins, un très grand nombre d'entre elles sont de même nature que les précédentes . J'ajoute que la guérison des troubles hystériq

des moyens que nous venons d'indi- quer. Les désordres associés aux précédents , de nature organique ou physiopathique, subsist

ne trace. » Vulpian (") complète sur quelques points la description précédente . Il fait remarquer que « la sensibilité des tég

proprement dits; 2" Les accidents nerveux, nettement distincts des précédents , qui sont liés à des troubles physiologiques ré

rangeons à celte conception, que, dans les cas soumis aux épreuves précédentes , l'anesthésie est bien réelle, indépendante de

roprement dits ; « " Les accidents nerveux, nettement distincts des précédents , qui sont liés à des troubles physiologiques ré

iques superficielles et, ce qui est un corollaire de la proposition précédente , que pour l'exploration du labyrinthe, l'électris

des de la sensibilité sont conservés. Cette bande est séparée de la précédente par une ligne de démarcation TRAITEMENT DES TUM

que des troubles sphinctériens sont venus s'associer aux phénomènes précédents et que les troubles de sensibité seuls ont disp

s la position latérale et 2 dans la position intermédiaire aux deux précédentes ; la durée moyenne des poses a été quatre minut

généralisés semblables â ceux qui sont décrits dans les observations précédentes . 3° Phase de résolution. — La résolution s'acco

se des contorsions est suffisamment déve-loppée, comme dans l'exemple précédent , on voit les attitudes illogiques se succéder par

reproduire d'une façon toujours identique. Nous avons vu au chapitre précédent que les attitudes passionnelles, en dehors des sc

t menace; elle lève le poing. N° IL — lrc Période. — Semblable à la précédente . 2° Période. — Grands mouvements; — la tête fra

attaques. CHAPITRE VIT FAITS NOUVEAUX A L'APPUI DE LA DESCRIPTION PRÉCÉDENTE . observations nouvelles recueillies a la salpêt

aque survient. V. — 10 h. 33. a). Période épileptoïde semblable aux précédentes , à cela près que le stertor est plus accusé. h)

b). Période des contorsions et des grands mouvements, semblable aux précédentes . Elle enlève l'oreiller avec les dents. 10 heur

ouvements se terminent par l'attitude bizarre, décrite dans l'attaque précédente . Puis commencent les attitudes passionnelles de l

nt par une attitude analogue à celle que nous avons indiquée daus les précédentes attaques. Attitudes passionnelles. Elle fait de

présentant des caractères sembla-bles aux mômes périodes des attaques précédentes . 1. Ce mouvement, qu'on pourrait mettre sur le

lle attaque débute subitement. à). Période épileptoïde semblable à la précédente . b). Grands sauts, arc de cercle, cris, arc de

ssitôt qu'on cesse la compression. a). Première période semblable aux précédentes . b). Deuxième période. Sauts, cris et contorsio

tête tourne adroite et la phase épileptoïde se déroule, semblable aux précédentes . b). Sauts, cris, contorsions : arcs de cercle

uvelle attaque qui débute également par le « chemin de fer » comme la précédente ; mais l'agitation est encore plus grande. Le r

oisième période. Attitude cataleptique semblable à celle de l'attaque précédente , suivie également d'une attitude de frayeur. 10

bras levés. 10 h. 27 m. 30 s. Nouvelle attaque qui débute comme la précédente par le « chemin de fer » entremêlé de sauts, d'ar

tour terribles ou gaies. 10 h. 36 m. Nouvelle attaque analogue à la précédente . Période des grands mouvements et contorsions.

oniques qui suivent sont plus fortement accentuées que dans l'attaque précédente qui a présenté également une période épileptoïde.

. 14 m. Nouvelle attaque composée seulement de deux périodes comme la précédente . 11 h. 20 m. Nouvelle attaque, id. H h. 25m.

flement stertoreux. 10 h. 3 m. Nouvelle attaque qui débute comme la précédente par l'ondula-tion du ventre et la respiration pré

cris aigus. 10 h. 20 m. Nouvelle attaque exactement semblable à la précédente ; mais plus courte. Stertor dans la même attitud

tée. Sauts et cris. Stertor dans la même attitude qu'aux attaques précédentes . Ensuite elle se lève : « Oh ! les rats !... le

section comprend un certain nombre d'obser-vations inédites comme les précédentes , mais relatives à des ma-lades isolés de la ville

u'elle a quitté Passy. Dans cette observation plus complète que les précédentes , nous voyons s'adjoindre aux phénomènes épileptoï

, jusqu'à ce qu'un mouvement convulsif du bassin la ramène à la phase précédente ou au réveil, ce qui arrive le plus souvent. La

état. Est-elle dans l'imminence d'une grande attaque, les symptômes précédents acquièrent une plus grande intensité; elle souffr

re toujours 4-8 heures au moins. Comme complément de la description précédente , je dois ajouter que depuis le mois de mai, chaqu

servoit de ces différens moyens, un nouvel accès, plus violent que le précédent , suivoit immédiatement. La maladie existe depui

e faire plus difficilement. Cette observation du même-auteur que la précédente , est un exemple de violents accès hystériques com

le de la veille: entre beaucoup de symptômes pareils à ceux des accès précédents , j'en ob-servai de nouveaux. Dans les rémissions

risé par la perte de connaissance et par l'augmentation des symptômes précédents . 1. Dubreuilde St-Martin, Dissertation sur l'hy

s observations de M. le docteur Thermes rapportées dans le paragraphe précédent . Hammond, dans son Traité des maladies du systè

es phénomènes somnambuliques n'étaient pas si marqués que dans le cas précédent , mais les accès hystéro-épileptiques étaient plus

ndue, et l'attaque était en définitive prolongée1. Les observations précédentes que de plus longues recherches pourraient aisémen

pas moins nettement indiquée, dans ces descriptions, que les périodes précédentes . M. Bernutz môme se sert d'un mot qui se rapproch

t où cette expression s'efface (l'expression passionnée de la période précédente ), on voit les yeux s'humidifier, puis les larmes

39 voit reparaître les attaques avec les mêmes caractères que l'année précédente , cessant au bout de huit jours pour se montrer de

SIMULTANÉMENT CHEZ LE MÊME SUJET. Nous avons vu, dans l'observation précédente , la catalepsie pro-duite par l'impression lumineu

INATTENDU. Il était intéressant de rechercher si dans l'expérience précédente la catalepsie et la léthargie hystériques étaient

ique, sans passer par l'état cataleptique, comme dans les expériences précédentes . Mais si l'on y regarde de près, on verra que l'o

u début. 2. Ces nouvelles recherches ont été entreprises, comme les précédentes , dans le laboratoire clmique de M. Charcot à la S

te et avec moins de pré-cision. Une expérience du môme genre que la précédente consiste à mettre dans les mains de B... une band

he l'arrête instantanément. Nous avons vu dans quelques expériences précédentes que la malade n'opposait aucune résistance aux

la longue série des phénomènes que j'ai décrits dans les observations précédentes . Il est possible de provoquer chez elle les hallu

enu un nouvel état nerveux qui par ses caractères diffère beaucoup du précédent . Nous l'avons dit, l'hyperexcitabilité musculai

ouleur persiste. La parole est conservée, et, de même que dans l'état précédent , la malade peut communiquer ses impressions. Les

dans l'état de suggestion dont nous avons parlé dans les expériences précédentes , car, l'hallucination une fois pariie, elle retom

eur. Les hallucinations sur lesquelles ¦ insisté dans l'observation précédente ne sont pas toujours pos- sibles et notre malad

moins prolongé; ce sont des éructations; et, que tous les mouvements précédents aient lieu ou non, il n'est pas rare de trouver l

ouverts, pas de clignotement des paupières. (Dans , des observations précédentes , nous n'avons aucunement modifié cet état en abai

te un cas de catalepsie qui mérite d'être rappro-ché de l'observation précédente , et qui, avec beaucoup plus de raison, pourrait ê

comme un Prêtée, prit une nouvelle face bien plus dangereuse que les précédentes , je parle de l'apoplexie. Le premier accès dura t

e montre l'anurie; et les vomissements, qui avaient déjà paru l'année précédente , redoublent et deviennent quotidiens. Le 6 avri

ne couchée, elle est prise d'un accès d'hystérie aussi violent que le précédent . Elle se réveille, s'asseoit sur son lit, s'étonn

mêmes phénomènes se, répètent exactement semblables à ceux de la nuit précédente . (( Somnambulisme des 31 décembre et 1" janvier

cri déchirant. C'est alors qu'elle se leva, s'habilla comme les nuits précédentes , à cela près qu'elle agissait avec une activité p

es moi!... » Un nouvel accès d'hystérie survint, aussi violent que le précédent , et quand il fut terminé, madame X... passa la ma

. A 10 11. 1/2 du soir, 13 juillet, la crise arriva comme les jours précédents , avançant d'une heure sur la veille. Je rapport

éant, avec l'apparence de l'épouvante, comme dans la scène de la nuit précédente . Sa poitrine est haletante, sa démarche saccadée,

2. — Début d'une nouvelle attaque qui est exactement la même' ^ïue la précédente , sauf que les différentes phases sont beaucoup pl

eil à deux heures. 2 h. 10 minutes. — Nouvelle crise identique à la précédente , et qui se termine à 3 h. 8 minutes par du somnam

e complète et géné-rale..... En résumé, il ressort des observations précédentes , que le som-nambulisme hystérique présente avec l

aison. » Mettant alors notre jeune fille sur l'emploi de la journée précédente , nous obtenons d'elle le récit circonstancié des

30 gouttes de laudanum. l""" novembre. Pas de repos pendant la nuit précédente . Les hallucina-tions persistent; le matin, il voi

deux côtés du corps, mais de signes différents que dans l'expérience précédente . En un mot la réappa-rition de la sensibilité se

btenir chez une malade la restitution de la sensibilité qui les jours précédents se faisait rapidement. C'est un indice certain d'

ccidents coexistent avecdes attaques ils rentrent dans les catégories précédentes . S'ils sont isolés on leur appli-quera le traitem

loc. cit. p. 272). « Le 10 mars, Magdaleine nous récita que la nuit précédente , sur la minuit, elle se pourmenant par la chambre

était; ou de se frapper d'un couteau quand elle était seule. La nuit précédente , la voulut faire brûler, et elle ne con-sentant p

et que cette absolution le brûlait plus que le feu d'enfer. Les jours précédents aussi, disait qu'il aimerait mieux entrer en enfe

Puis l'on a fait venir la sœur laye mentionnée en nos procès-verbaux précédents , que l'on nous a dit s'appeler sœur Claire, et ai

érieure a été apportée et mise sur la couchette où elle était le jour précédent à la matinée, en même situation le rideau de la g

ndes violentes et étranges convulsions, et semblables à cedes du jour précédent . Durant l'une d'iceUeselles aurait du : « Grandie

a enfin communié avec grande difficulté, s'est essayée comme au jour précédent de rejeter la sainte hostie, a tiré la langue sur

fession, et de la même sorte qu'elle avait fait au réfectoire le jour précédent , elle prit sans s'efforcer ni sauter, comme d'ell

se retournant en même temps, ses violentes agitations, et contorsions précédentes ^. » Dans l'exemple suivant il y avait conserva

âgé de douze ans, intelligent, d'une bonne santé, frère des ma-lades précédentes , est tombé malade au commencement de juin. Voya

et de retour chez elle put manger. Une autre attaque semblable aux précédentes a lieu dans les mêmes circon-stances (sur le tomb

es bandes des lisières dont le corps de Françoise était serré dans la précédente situa-tion, apparemment pour que le poids de son

x ressorts latéraux. » Les résultats obtenus à l'aide de l'appareil précédent ont été les mêmes que ceux qu'avait déjà donnés l

....... 147 Ghap. VII. — Faits nouveaux à l'appui de la description précédente ..... 159 1. — Observations nouvelles recueillie

transversale du pédon- cule cérébral passant au-dessous de la coupe précédente (Fig. 3o) et sectionnant les fibres protubéranh

s. Mais on peut rencontrer des cas plus rares, il est vrai, que les précédents , et dans lesquels la lésion corticale n'intéres

de la capsule interne (Cip) un siège plus antérieur que dans le cas précédent (Fig. 114). Il en est de même pour le secteur d

éré du pied du pédoncule cérébral (P). (Fig. If;j). Comme dans le cas précédent , il existe une disparition des fibres radiées d

monoplégie bra- chiale droite avec aphasie 121). Comme dans les cas précédents , la dégénéres- cence occupe le segment moyen de

dégéné- rescence est reportée encore plus en avant que dans les cas précédents . Elle occupe, dans la région thalamique moyenne

trois quarts externes optique (Fig. 127 et 128). Comme dans les cas précédents , on observe encore ici une dégé- nérescence des

postérieur de la capsule interne (Cip); elle est séparée de la zone précédente par le faisceau de Tiirck (FT), qui ne contient

thalamique de la capsule interne. Le champ dégénéré de la coupe précédente est divisé en deux parties par l'arrivée des

édoncule, dont l'origine corticale est démontrée par les recherches précédentes , on constate une concordance parfaite entre les

ale des abducteurs de la glotte. Ainsi donc, d'après les lecherches précédentes , il existe un centre cortical de la phonation et

es suivant les hau- teurs. - Dans la Fig. 243 empruntée aux auteurs précédents , la région excitable de la capsule interne est

icu- lation se forment ensuite très rapidement, leur union avec les précédentes est intime, précoce, et l'union de ces deux ima

e la capsule inlerne (Cip) situées plus en arrière du genou que les précédentes , occupant par exemple, en allant d'avant en arr

onnexion aussi intime avec les fibres ammoniques du trigone que les précédentes . Elles se réunissent en un faisceau de fibres p

fibres de projection corticale. Nous avons montré dans le chapitre précédent que le locus niger est en connexion étroite ave

nent plus volumineuses, atteignent le double du volume des cellules précédentes , et se rencontrent soit isolées, soit disposées

ral (spo) sépare le lobe central du lobe du culmen; comme le sillon précédent , il devient rapidement superficiel dans ses parti

térieur du sillon marginal antérieur et se distingue des deux lobes précédents par ses dimensions plus considérables et le grand

t bien développée, qui recouvre le rudiment hémisphérique du lobule précédent ; il forme ensuite la lèvre postérieure du sillon

, 339, 340, 341, 342, 336, 358, 359, 360). Situé en arrière du lobe précédent , en avant du sillon supérieur de Vicq d'Azyr qu

t deux à trois lobules secondaires moins indépendants que le lobule précédent et situés en arrière de lui. Les lames et lob

e ce grand lobe se fusionne ou non avec la partie vermienne du lobe précédent , c'est-à-dire avec le bourgeon terminal. Fusion

e du tubercule valvu- laire est un peu plus étendue que dans le cas précédent , mais ne dépasse guère la largeur de 3 à 4 lame

érale du bulbe en arrière, diverticule profond communiquant avec le précédent et dans lequel on voit l'origine appa- rente du

'entre-croisement ventral de la calotte de Forel, situé en avant du précédent , au voisinage du trou borgne supé- rieur. A la

moelle, tandis que la masse arrondie des trabécules gris des coupes précédentes diminue et s'effile; elle est bientôt séparée du

nette. Dans les traînées verticales de substance grise de la coupe précédente S 1 bis, ont apparu les fascicules longitu- din

gues plus ou moins onduleuses. La couche inler-olivaire de la coupe précédente , renferme immédiatement en arrière de la pyrami

ale (Sgc) du quatrième ventricule est plus épaisse que sur la coupe précédente ; elle présente, échelonnés de haut en bas, le pet

edans de son grand axe. -. Coupe S 2 (Fig. 410). Très voisine de la précédente , cette coupe passe par le noyau du toit (Nt) et

a figure si caractéristique de l'arbre de vie du vermis de la coupe précédente (S 1, Fig. 408) se modifie très rapidement dès qu

horizontale de l'arbre de vie (bh) ne diffère de celle de la coupe précédente que par son extrémité postérieure renflée et coud

vulaire. L'axe de la pyramide ne constitue plus, comme sur la coupe précédente , une ramification de la branche horizontale de

antérieur de la protubérance, sont aussi manifestes que sur la coupe précédente S 1 (Fig. 408), et contiennent la surface de se

l'arbre de vie du vermis est beaucoup plus marquée que sur la coupe précédente (S 2, Fig. 410). La substance blanche cen- tral

rémité postérieure, renflée et coudée, reçoit, comme sur les coupes précédentes , les axes du déclive, du bourgeon terminal (Bt)

ge antérieur de la protubérance est plus abondante que sur la coupe précédente , surtout dans le stratum profundum (Strp), et s

coupes S4 et S5) un îlot indépendant, plus petit que sur les coupes précédentes (S3 et S2, Fig. 411 et 410) compris entre le nid

em). Le noyau sphérique (Ngl) n'est plus arrondi comme sur la coupe précédente , mais formé de quatre à cinq petits amas sphériqu

s relie au bouchon (Nm) est plus court, plus épais que sur la coupe précédente , mais ses connexions avec le bouchon (Nem) sont

le du pont sont encore plus denses, plus compactes que sur la coupe précédente ; quelques fibres commencent déjà à s'infléchir e

tratum profundum (FPop) sont de même plus denses que sur les coupes précédentes . Le stratum complexum (FPom) contient encore qu

Les coupes P2, P3, P4, situées de 10 en 10 coupes au-dessous de la précédente , intéressent la partie supérieure de la valvule

a voie pédonculaire, sont ici plus nombreux encore que sur la coupe précédente . Ils se détachent de toute l'étendue de la face

e la protubémnce sont infiniment plus nombreuses que sur les coupes précédentes (PI à P4); elles cloisonnent t complètement tou

u pont. La calotte de cette coupe se distingue de celle de la coupe précédente (coupe Hl) : par la situation excentrique des p

'est reporté un peu en dedans, et n'atteint plus comme sur la coupe précédente le sillon latéral de l'isthme de l'encéphale. O

de la voie pédon- culaire. Il contient en outre, comme sur la coupe précédente (coupe Hl), des amas diffus de substance grise,

ge antérieur, du tronc encéphalique ne diffère de celui de la coupe précédente , que par la concentration de la voie pédonculaire

, ou noyaux pontiques (SgPo), est plus abon- dante que sur la coupe précédente ; elle enveloppe la voie pédonculaire, s'in- fil

ntouré en dehors de trabécules gris plus abondants que sur la coupe précédente . De nombreuses fibres arciformes qui dérivent e

ban de Reil médian (Rm) et n'en est plus séparé, comme sur la coupe précédente , par les trabécules gris de la formation réticu

vu pénétrer dans l'étage antérieur de la protubérance sur la coupe précédente (H2), traverse la pro- tubérance suivant un tra

onnaît sur cette coupe toutes les parties constituantes de la coupe précédente : l'étage antérieur avec la voie pédonculaire (VP

(NVm) présente la même surface de section ovalaire que sur la coupe précédente (H3, Fig. 125). Le noyau sensitif (NVs) est bea

cs) forme encore le faisceau compact d'aspect piriforme de la coupe précédente ; il occupe les parois latérales du quatrième ve

tient une gangue de substance grise plus abondante que sur la coupe précédente . La conti- nuation des fibres transversales de

TOPOGRAPIIIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 63-1 retrouve comme sur la coupe précédente , les fascicules isolés des fibres semi- circula

de la protubérance ne diffère pas sensiblement de celui de la coupe précédente . Dans la calotte, on trouve encore, en arrière

deux faisceaux ne sont plus en connexion directe comme sur la coupe précédente , mais sont séparés par un noyau ovalaire, le no

e Reil médian (Rm) présentent les mômes caractères que sur la coupe précédente . Il n'en est pas de même de la grosse racine se

es semi-circulaires externes (fsme) sont les mêmes que sur la coupe précédente . L'olive cérébelleuse (Oc) s'est étendue d'arri

t à peu près la même forme et les mêmes dimensions que sur la coupe précédente . Le pédoncule cérébelleux inférieur (Pci), cons

de développement. Elle n'est plus représentée comme sur les coupes précédentes par une masse grise plus ou moins oblique, mais p

t à leur axe. La coupe C 2 (Fig. 433) passe un peu au-dessous de la précédente . Elle intéresse les méandres supérieurs de l'ol

al (Eca) est intéressé sur une plus grande étendue que sur la coupe précédente Cl (Fig. 432), mais occupe néanmoins principa-

le du vermis au-dessus du noyau du loit et intéresse comme la coupe précédente l'olive cérébelleuse (Oc), le bouchon (Nem) et le

cette coupe une lame festonnée un peu plus étendue que sur la coupe précédente . A droite, le bouchon (Nem) présente sa forme p

(Voy. coupe C 4, Fig. 435). Coupe C4 (Fig. 435). Très voisine de la précédente , cette coupe passe par les noyaux du toit. On

nes (fsme) se présentent avec les mêmes caractères que sur la coupe précédente : elles se continuent en avant avec les fibres

se présente sur cette coupe sous un aspect autre que sur les coupes précédentes . Elle est entourée de toute part par l'écorce c

de la partie inférieure de la strie acoustiques (stac) de la coupe précédente H 8 (Fig. 438, p. 657); ses fibres sont section

ient des fascicules moins serrés et moins nombreux que sur la coupe précédente . Une partie des fibres descendantes de la racine

oïdes du quatrième ventricule s'insèrent encore, comme sur la coupe précédente , sur la valvule de Tarin, de sorte que la cavité

rsales, mais cette coupe ne diffère dans son ensemble que peu de la précédente le corps restiforme (Crsl), l'olivc bul- baire

cations impor- tantes. Cette coupe est en effet assez voisine de la précédente ; comme cette dernière, elle intéresse la région

utrage extra-olivaire est plus épais et plus dense que sur la coupe précédente , et sa fusion avec le faisceau central de la ca

iers postérieurs sur la coupe H 10 (Fig. 440). Comme sur les coupes précédentes , il existe ici encore des fibres arciformes pré

La direction de ces fibres est moins rectiligne que sur les coupes précédentes , leur coloration est moins intense, la coupe pass

u corps juxta-restiforme (Cj) sont plus clairsemés que sur la coupe précédente , et la substance grise du noyau de Deiters partic

sans festons et dentelures. Elles apparaissent déjà sur les coupes précédentes , mais y sont irrégulières, plus ou moins mal déli

au du hile de l'olive. Sur la coupe H 11, comme sur les deux coupes précédentes , le faisceau pyra- rnidal (P3,), mal délimité d

s nerfs vague (X) et hypoglosse (XII). Cette coupe ne diffère de la précédente que par les modifications subies par le corps r

lo-olivaires (fcb). Elle n'est plus traversée, comme sur les coupes précédentes , par les fibres radiculaires du ironc des nerfs m

ngé d'aspect; ce ne sont plus, comme sur la coupe H 12 de la figure précédente (Fig. 442), de grêles fascicules faiblement color

le corps restiforme (Crst) représenté sur cette coupe (comme sur la précédente , coupe H 13 (Fig. 443), et la suivante, coupe H

La formation réticulée grise (SRg) diffère peu de celle de la coupe précédente . Elle est traversée à sa partie interne par les

ui tapisse son extrémité inférieure. Cette coupe ne diffère de la précédente que par l'absence de l'olive bulbaire, représen

une grande profondeur. On con- state sur cette coupe, comme sur la précédente (H 16 Fig. 446), les champs poly- gonaux des fa

les proportions sont consi- dérables, comparées à celle des coupes précédentes , et qui, envisagé dans son ensemble, présente u

ment réticulé. Elle fait suite il la formation réticulée des coupes précédentes et constitue les ]J/'Ocessus reticulares de Lenho

parole : le volume de Tannée 1905 comporte 210 pages de plus que le précédent , et 82 plan- ches au lieu de 66. Cette année,

de la contracture. « D'autres manifestations peuvent s'ajouter aux précédentes . Elles déno- tent que la compression s'exerce s

Je vous en ai présenté un très intéressant exemple, dans une de mes précédentes Leçons du .vendredi. « Pour ce qui est des tr

é à se voûter, et les souffrances ont cessé. Lors de la publication précédente , le malade avait 1 m. 49; sa taille était de 1

e. Morte à l'âge de S ans. Tante : Née ,d'une même couche avec la précédente . Rien d'anormal jusqu'à 9 ans, mais après elle

ie. (1) La description que je donne ci-dessus se rapporte à l'année précédente . A présent (juin 1905), que le malade a 38 ans

t les derniers mois de la grossesse des crises assez semblables aux précédentes , mais avec cris, pleurs, grincement de dents. L

s asymétriques se rapprochant de celles décrites dans l'observation précédente , j'ai noté : le défaut d'étendue des mouve- men

ective chez ce malade, sont moins étendues et moins intenses que le précédent , mais ils se ressemblent beaucoup comme topogra

de Weber de 30 centimètres. Nous avons cherché aussi, comme chez le précédent , des troubles sensoriels et nous n'avons trouvé

ère par le bras appliqué contre le tronc. Même consis- tance que la précédente . La peau, chagrinée sur la tumeur, présente de pe

ongent la paroi ventriculaire interne. Sur cette coupe comme sur la précédente , un seul faisceau est reconnaissable, c'est le fa

che sagittale externe et semble moins considérable que sur la coupe précédente . La prochaine coupe intéresse le pulvinar de la

s considérons à peu près les mêmes circonvolutions que sur la coupe précédente ,mais le gyrus supramarginalis a remplacé le pli

. 190 LASALLE-ARCHAMBAULT paroi ventriculaire. Comme sur la coupe précédente , on note la décoloration des circonvolutions su

bres dégénérées du cingulum inférieur de Beevor. Comme sur la coupe précédente , la lésion a retenti sur le faisceau de Wer- ni

re- mière temporale et de la temporale profonde. Comme sur la coupe précédente il est difficile de distinguer entre couche ext

rrespond aux zones secondaires que nous avons étudiées sur la coupe précédente . Au niveau de la partie inférieure du segment r

ns, morte dans le service de 111. Babinski. Ce cas est identique au précédent ; c'est lui qui m'a fourni le plus grand nombre

compa- rable à celui qui a été décrit et figuré dans l'observation précédente . Toutefois deux caractères très importants diff

importants différencient cette névrite radiculaire de celle du cas précédent : 1° les coupes colorées à l'hématoxyline ne mont

'élément noble ; il doit être mis en regard des quatre observations précédentes , où la névrite radiculaire peut être considérée c

toux, dyspnée, hémoptysies, pour lesquels il dut faire, les années précédentes , plusieurs séjours dans différents services hos-

polynu- cléaires. Zone interne. Celle-ci est formée des éléments précédents , en voie de désintégration ; on y distingue des

ments mal colorés, représen- tent un degré plus avancé de la lésion précédente . Ce sont de véritables fan- tômes cellulaires.

triculaire. 4. Je confirme les conclusions 1, 2, 3, 4 et 6 de notre précédente pu- blication. (t) Coupant actuellement une g

la paralysie complète sont, ainsi que nous l'avons indiqué dans un précédent travail (1), des plus variées. Chez l'individu

certi- tude l'imminence du dénouement. Au cours de la description précédente nous avons volontairement laissé de côté l'état

e la cuisse présentaient des lésions analogues à celles de l'animal précédent . Les nerfs symétriques .étaient sains. Chez l

llules ganglionnaires ne se dis- tinguent pas de celles de la coupe précédente , les fibres sont normales (même tech- nique, mê

n représentée figure 2, pour servir de compa- raison avec la figure précédente . Tous les éléments, cellules et fibres, sont norm

906. (2) Voir à ce sujet l'article de NAGEOTTE, paru dans le numéro précédent de la Nouv. Icon., article dont nous avons eu c

ces avaient tout à fait les mêmes caractères que dans l'observation précédente . Observation III. - Chat adulte. Section des 2e

ne-éosine, présentent le même aspect que dans les deux observations précédentes , c'est-à-dire absence de toute différence appréci

troubles tro- phiques. Autopsie. On prélève, comme chez le chien précédent , les extrémités médullaires et ganglionnaires (

nombre de fibres intactes, comparables à celles de l'obser- vation précédente . Il existe dans le nerf efférent du pôle périphér

écéder la cécité verbale et se montrer sépa- rée, comme dans le cas précédent , ou bien l'accompagner. En dehors du cas de Ber

toire de ce malade et de rappeler nos conclusions et nos hypothèses précédentes . 11 s'agissait en 1903 d'un garçon âgé de cinq

cent. 7 à 10 cent.8 soit de 3 cent. 1 (pen- dant les deux périodes précédentes il y'avait eu une augmentation de 5 cent. 7 et

rent aussi dans ce groupe. Il faut reconnaître que tous les auteurs précédents n'ont pas eu alors des procédés de coloration s

rmédiaire entre les deux bouts est mieux organisée que celle du cas précédent , mais cette organisation s'est surtout effectuée

ône de croissance. Dans cette région de la cicatrice, comme dans la précédente , les cordons de fibres nerveuses sont séparés p

se revêtent d'une enveloppe de myéline. Ces dernières digèrent des précédentes par leur coloration brunâtre, sont plus épais-

des cylindraxes en partie disparus. Fia. 12. Même cas que la figure précédente . Portion d'un faisceau de fibres de nouvelle fo

s très longues. Il y'a ensuite des fibres encore plus fines que les précédentes et à peine visibles. Enfin on voit des fibres rou

formation donnent lieu il des espèces de plexus. Comme dans le cas précédent nous avons également trouvé dans celui-ci des f

les caractères de la dégénérescence vitreuse décrits pour le muscle précédent . Muscle jambier antérieur gauche. On constate l

'atro- phie simple avec prolifération nucléaire que sur les muscles précédents ; quel- ques fibres cependant, bien qn'en voie d

, mais ils faiblirent bientôt eux-mêmes, en même temps que tous les précédents symptômes augmentaient, d'intensité. Il n'y eut

ection dans le cas n° 2, qui a trait à un frère de la petite malade précédente . L'enfant qui fut examiné pour la première fois

'excitation : 9 c. 5. 484 DEJERINE ET ANDIIÉ-THOMAS L'observation précédente résume l'état du malade en 1890. A partir de cett

ré en grande partie son aspect habituel. Mais, comme sur les coupes précédentes , les collatérales réflexes sont très diminuées.

us en 1896 (2). Cas. II (résumée). Femme de 45 ans, soeur du malade précédent . Atrophie musculaire et troubles de la sensibil

a sensibilité est nOl'male='Léger nystagmus dynamique. , L'examen précédent date de l'année 1890 ; pendant l'année 1891, les

e unguéale est en flexion plantaire, formant un angle droit avec la précédente . Mêmes déformations pour les quatre derniers or

tandis que la deuxième phalange est en flexion à angle droit sur la précédente et que la phalange unguéale continue l'axe de la

fait dans le cadre de la maladie, diffère beaucoup des observations précédentes , parce que l'examen anatomique révéla l'existen

bs. V) commencer par petits îlots aux points présentant les lésions précédentes . Dans l'observation II (cas datant de 7 ans), i

ane des cordons de Goll ; séparée par une bande de tissu sain de la précédente , elle semble correspondre aux lésions lombo-sac

idiennes. Les douleurs radiculaires s'ajoutent presque toujours aux précédentes . Fréquemment, elles prennent, aux membres infér

adrilatère postérieur et semi-lunaire. Sur une coupe parallèle à la précédente et passant à 5 millimètres au-dessus, il a disp

s au-dessus, il a disparu. Sur une coupe également parallèle à la précédente , mais passant à 5 milli- mètres au-dessous, est

ins noirs (Fig. 1). Sur une coupe (Fig. 2), passant en dehors de la précédente et intermédiaire aux coupes sagittales S. 7 et

nai-circulaires externes du cer- velet (FSCE) ; un 3e, au-dessus du précédent , dans le feutrage sous-lobaire (FSL) ; un 4° en

concavité aritéro-supérieure. Sur une coupe passant en dehors de la précédente et correspondant à la coupe S. 8 de Dejerine, o

liaire (FIC). Enfin sur une coupe (Fig. 4), passant en dehors de la précédente et cor- respondant à la coupe 9 de Dejerine, on

dehors de l'olive. Sur une coupe (fig. 6), passant au-dessous de la précédente , on voit la fin de l'épanchement sanguin, lamel

YNERGIE DROITE . 547 Sur un coupe (fig. 7) passant au-dessous de la précédente , la substance blanche diminue proportionnelleme

e pas dans les pyramides. - Les autres lettres comme pour la figure précédente . Fig. 3. Coupe du bulbe à la partie supérieure

de l'entrecroisement sensitif. - Les lettres comme pour les figures précédentes . TECHNIQUE DE LA MOELLE. 9 Ainsi donc, pour n

d'ammoniaque (4 0/0). Au bout de ce temps, elle a 1 Les recherches précédentes ont été faites dans le laboratoire d'ana- tumie

représentée par le tractus A, moins volumineux que dans la figure précédente , accompagné par des noyaux nombreux entourés d'

tacte un peu plus loin en C. Ainsi donc, tandis que, dans l'exemple précédent (figure 10), la destruction de la myéline a été

certaines remarques, qui n'ont pas trouvé place dans la description précédente , nous portent à croire que les segments jeunes

euses situés sous la gaine de Schwann. C, D, comme dans les figures précédentes . Fig. 8 et 9. Elles ont trait à la phase de res

és en et B de gouttelettes de myéline. C, D, comme dans les figures précédentes . Fig. 9. Deuxième étape de la Phase de restaura

la continuité de la fibre.' ' ' Fig.' 17. Le point B de la figure précédente , examiné à un très fort grossissement. A, cylin

us avons r voulu vérifier les. résultats - obtenus par les méthodes précédentes , à .l'aide^des, appareils enregistreurs; , 1 en

l'influence d'une excitation élec- trique 'identique. De l'exposé précédent , il nous paraît ressortir que, chez' lés' tahét

riences plus rÿe.JtY1-1e}hlie, plaident dans le même, sens que, les précédentes , et montrent fTWTF jq(J 0 si t"" , `ri, Il ,W ?

t de synergie des deux pattes, nous l'attribuons 'dans l'expérience précédente , à l'inégalité de leur toni- cité : Le même fai

nt tendus que ceux qui sont relâchés. Il résulte des considérations précédentes que les effets de l'inégale tonicité (c'est-à-d

s et déterminer chez lui simultanément deux névroses similaires aux précédentes , vivant côte à côte, mais sans perdre aucun de

aliéné. Il suffira de résumer le fait sui- vant, qui offre avec le précédent de grandes analogies. Observation IX. - A. Eugé

t employée ; enfin la troisième, qui a eu lieu le lendemain de la précédente , a été causée par la mort subite du sacristain

it eu aucune absorption d'aliments ni de boissons depuis leur repas précédent , d'ailleurs éloigné. » Telle nous paraît être l

cependant les faits cliniques que nous rapportions dans les pages précédentes nous semblent bien plaider en faveur de la ther

anal à la suite des lésions de la moelle épinière. Dans un travail précédent , M. Ott (Journal of physiology., vol. II, n° 1) a

ération secondaire, c'est ce qui reste à chercher. 7° Les résultats précédents portent fort à croire que ce n'est REVUE DE PAT

hiques de l'appareil tégumentaire : dans ce chapitre, comme dans le précédent , on trouvera réunies côte à côte les affections

nt encore moins connus que ceux qui faisaient l'objet des chapitres précédents . Ce n'est que dans la deuxième partie de son tr

: ce sont celles du reste qu'on est habitué à rencontrer dans les précédents mémoires de cet auteur. C'est ainsi que M. Landou

lanche, mais il y a une différence sensible entre ce travail et les précédents . Si à propos de la thèse de M. Landouzy, on s'é

tte série de secousses musculaires dans les 4 1 1 14g expériences précédentes . Le caoutchouc, brusquement et fortement tendu

dutriceps,le biceps a donné le tracé B (Jig, 10); qui ne diffère du précédent que par l'absence de la ' première "secousse;1

isphère droit présente des altérations à peu près symé- triques des précédentes . La pie-mère est notablement adhé- rente à l'ex

. 0 Voilà un procédé auquel nous avons été conduit, comme pour le précédent , par la tentative de discerner dans l'action des

y eut sous l'influence de l'acétate deplomb, dans les expé- riences précédentes , aucune trace de réaction de dégénérescence, au

s accès..Une seule fois, [un accès de somnambulisme;ana-' logue aux précédents , s'est produit et le malade en- a lui-même rapp

HACK-TuKE (Londres) est convaincu que la méthode employée dans les précédentes communications est excellente, et qu'on ne peut

M. SEATON (Sunbury) est très étonné des résultats obtenus dans les précédentes communications; quant àlui,il n'a jamais observ

publié la description d'un cas, qui ne le cède point en intérêt au précédent : il s'agit d'un arrêt de développement des cir

firme les renseignements incomplets qu'elle nous a donnés les jours précédents . Depuis la veille, elle présentait par instants

ent à 38°,3. Ce bain (Fa'g.. 9) a été donné par nous-même, comme le précédent , et nous avons ainsi établi la marche de la tem

origine médul- laire, greffés sur les accidents cérébraux des jours précédents . Dans la journée, la malade a continué à être t

ne peut pas non plus assimiler ces cas à ceux des ob- servations précédentes où le processus morbide affecte des analogies f

remarquable, et peu en rapport avec ce que nous signalions dans les précédentes observations rela- tives à des cas de méningo-e

ience. Si, dans une colonne, il y avait augmentation sur le chiffre précédent , on trouvait, par compensation, diminution dans

a dernière exige souvent trois ou quatre fois plus de temps que les précédentes . Il serait difficile, et en tous cas trop long,

était autrefois sensible détermine l'anesthésie, comme dans le cas précédent . Mais on se demande par quelle manifestation se

ne sont pas encore guéries. M. Davy donne ensuite, à propos du fait précédent , un his- torique détaillé des diverses formes d

ysie générale que de l'époque de l'accès maniaque. Rapprochée de la précédente , cette obser- vation permet de conserver des do

de édition de son traité des maladies du système nerveux. L'édition précédente (1878- 79) formait deux volumes. M. Grasset a r

stème nerveux qui constituaient ses premières leçons dans l'édition précédente ; nous avons déjà dit ailleurs' ce que nous pen

Delasiauve continue en ces termes : Mesdames, MESSIEURS, Dans de précédentes allocutions,-je me suis attaché soit à esquisse

nous nous sommes expliqué assez souvent pour ne pas répé- ter nos précédentes observations. Disons seulement que, si nous avo

i, rc}i;s,e> djjpo- Fsitiom de. la substance grise, que osur,la, précédente , coupe jjivec t cette différence, ! pourtant,Tr

même façon, à une; section, trans- avessale, à' 6 millim : , de la, précédente ; elle passejjoiit contre, la 3chiasina; unpeuen

se montre dans une région encore assez élevée : 'comme sur la coupe précédente , elle parait composée de deux portions, 1 une q

;71t ? j aouiv ,t> ",\ .ifaîiui»<.iiaJL» peu en arrière de la précédente , rend la, démonstration, .h 'iKRC/TOIl^^ 08. BU

} '1911r, '7'tl * '"lh,'U", 1 1. septum lucidum. Comme dans la zone précédente , la 9H ..i Hit rfi'TArr; - . *'P ? , '.t r v, ,

Util rt 01l'«M;r, 37nfl;~f»o170 Irrr.1 -iti £ ) Comme dans la coupe précédente , la lisne tornicato- ? <t.. au l'Ida ^"ciaB Jl

ous avons constate dans cha- si eux 1, ? 3 otn, cune des sections précédentes ..Ses éléments sont plus .at-d ^ijj^a 'tijsi 39

bx.Sje.itis nif *. '60.9b sis 19 2-rci T) ,hnr.t s ! ;»i.f",^ coupe précédente : comme le dernier, il embrasse f,,7 '-y ? 1 ?

iii ? r; ma 900 19, rr<<Te ? Biah comparativement a la coupe, précédente ; Quant au >JUix.1 -o o;i kuijo'I i/BVO". rr(

Bd. 74, juillet 1876, p. 1). 2 A. Cossy. Réflexions sur le travail précédent . (Arcli. de physiol. 1876, p. 832. 3 Vulpian.

is qu'il n'aurait en réalité affaire qu'aux suites naturelles de la précédente . Voici le fait sur lequel nous appe- lons l'att

ans ceux-ci, tantôt à travers eux. (Dans une note jointe au travail précédent , le professeur Westphal , reconnaît l'exactitud

vraie. Cette épilepsie partielle est plus grave que les deux formes précédentes parce qu'elle peut conduire à la démence. Dan

er : dans ce dernier cas, comme dans celui prévu dans le paragraphe précédent , le conseil pourra prescrire le dépôt des titre

cas il pourra en ordon- ner le dépôt, comme il est dit en l'article précédent . ART. 7. Les dispositions de la présente loi so

tercalé le segment dégénéré. Fig. 1. Mène lésion que dans la figure précédente arrivée à une période un peu plus avancée de so

euses situés sous la gaine de Schwann. C, D, comme dans les figures précédentes . Fig. 8 et 9. Elles ont trait à la phase de res

en A et B de gouttelettes de myéline. C, D, comme dans les figures précédentes . Fig. 9. Deuxième étape de la phase de restaura

dans la continuité de la fibre. Fiv. 17. Le point B de la figure précédente , examiné à un très fort grossissement. A, cylin

be frontal de l'hémisphère gauche, à 1 cent. en arrière de la coupe précédente ; elle sectionne le sillon pariéto- occipital.

e de cette maladie. 2° Il existe une seule pointe comme dans le cas précédent ; mais le rachis s'incline en avant, et représent

es trois autres formes. (1) J'ai fait passer sons vos yeux, dans la précédente séance, plusieurs enfants présentant différentes

t un exemple. Cette forme n'a pas la même valeur diagnostique que les précédentes ; vous pourriez vous tromper, si vous n'aviez éga

La cautérisation produite par ce moyen ne m'a pas paru préférable aux précédentes ; elle ne produit pas, d'ailleurs, des plaies moin

e fille de cinq ans, encore dans nos salles, offre un cas analogue au précédent , tant par le siège de l'affection osseuse que par

alement par cette méthode de Pott dont j'ai longuement parlé dans les précédentes leçons. J'ai encore à exprimer ici la même opinio

ntinuité à celles qui offrent le deuxième mode d'union des os, et aux précédentes celui de pseudarthroses de contiguïté. Le trois

ées par le chirurgien. Un deuxième faisceau est situé en arrière du précédent . Les fibres qui le composent naissent en arrière

est bien caractérisée. (1) J'ai fait passer sous vos yeux, dans la précédente séance, douze sujets affectés de luxation, parmi

vos yeux quelques-uns des enfants qui vous ont été présentés dans la précédente séance. Dupuytren a dit, et en cela consiste sa

sserrement graduel de la pseudarthrose. C'est à peu près aux moyens précédents que se réduit pour le moment la véritable thérape

l'œil gauche. IVe cas. — Un cas qui présente de l'analogie avec le précédent , bien qu'il s'en distingue sous un rapport, nous

che; la seconde, variable dans sa position, est située à droite de la précédente , et à une distance d'autant plus grande de celle

Le troisième ordre de moyens doit nous arrêter plus longtemps que les précédents : il s'agit de la myotomie oculaire. M. Verhaeghe

s à découvert et saisi au moyen d'un crochet mousse plus fort que les précédents et introduit de haut en bas, ou de bas en haut, s

éliorée. VIIIe cas. — Le dernier de nos opérés présentait, comme le précédent , un strabisme interne de l'œil gauche, dont la ca

ragalo-calcanienne ; de là des déviations composées qui diffèrent des précédentes . De même, dans l'adduction et l'abduction physiol

oxalgie, le triceps sural est affecté de la même manière que chez les précédents , quoique par des causes différentes; chez l'un, l

se. {?. Varus èquin. — Cette forme est beaucoup plus commune que la précédente . Elle constitue le varus commun ou ordinaire , da

seur. Chez cette femme, la marche n'est pas difficile comme chez la précédente , parce que la base de sustentation est plus en ar

e sous-métatarsienne. La locomotion est moins imparfaite que chez les précédentes , en raison de l'inclinaison directe du pied, de l

oïde. (1) Les déformations osseuses que nous avons étudiées dans la précédente séance, se déduisent assez facile.nent des causes

altération du calcanéum qui ne se rat'ache pas aussi bien aux causes précédentes , et qu'on observe quelquefois dans le varus congé

fre un léger équinisme. Il est susceptible des mêmes remarques que le précédent , mais c'est uu cas beaucoup moins prononcé. IIP

èle que je mets sous vos yeux. La chaussure diffère notablement de la précédente ; c'est une semelle de bois, portant à son côté ex

particulier dans le procédé. Mais on n'a plus, comme pour les muscles précédents , des cordes nettement circonscrites; on coupe ces

t ce qui vient de se passer sur la petite fille opérée dans la séance précédente . Chez cette enfant, l'opération a été exécutée tr

ériences directes sur les animaux. Chez le jeune garçon opéré dans la précédente séance, l'incision cutanée a été un peu plus larg

lière ; ses mouvements sont un peu moins étendus que chez les enfants précédents ; la guérison est moins complète, ce qui tient à l

au milieu d'une gangue amorphe. 2° Couche chondroïde : les cellules précédentes , ainsi que leurs granules, sont groupées d'abord

Broca. 3° Couche spongoïde : Élargissement des boyaux de la couche précédente , effacement des rivières par le contact des boyau

sont très-renflés. Les membres inférieurs sont déformés comme chez le précédent , et les genoux déviés en dedans. Nous avons là un

s. Les cas de rachitisme congénital éburné, que vous avez vus dans la précédente séance, et le sujet dessiné de Chaussier, offraie

ériode aiguë est passée. IVe cas. — Voici un cas bien différent des précédents , par l'âge du sujet et par l'étendue de la déform

périeure. Voici un exemple d'une déformation intermédiaire aux deux précédentes . Vous voyez que le siège de la déformation est

tres vertèbres. Cette flexion est moins prononcée que dans l'attitude précédente ; elle ne fait que ramener l'extrémité supérieure

vient alors prédominante. Ce genre d'exception doit être distingué du précédent . L'étendue des arcs, leur degré de courbure son

le tiers de la courbure antérieure. Ce cas est moins fréquent que le précédent ; on le rencontre surtout dans les courbures les

éciable des apophyses. Xe cas. — Garçon, douze ans. Cas analogue au précédent ; dos un peu voûlé, épaule droite plus haute, flan

idien, formée par les arcs, décrit des courbes moins marquées que les précédentes , et plus prononcées que celles de la série des ap

l'enfant. Ici, nous retrouvons les mêmes caractères que dans le cas précédent , et même plus prononcés. L'omoplate est bien plus

e de treize ans. Scoliose au troisième degré. Mêmes caractères que la précédente . La courbure supérieure est ici assez marquée,

Garçon de sept ans. Courbure dorsale gauche analogue à plusieurs des précédentes . La déviation, due au rachitisme, a commencé avec

puisque le sacro-spinal droit se montrait rétracté dans l'expérience précédente , c'était lui qui primitivement inclinait la colon

je produis également un redressement, un peu moindre toutefois que le précédent . Enfin, en faisant contracter le bras gauche, vou

un plan, ne fatigue pas les membres de son poids. Ils ressemblent aux précédents en ce que l'on a soin, du moins pour l'objet spéc

e rouler en se retournant sur le dos, etc. De même que dans l'ordre précédent , les mouvements passifs se combinent quelquefois

mécaniques employés dans la station. — Ces moyens agissent, comme les précédents , par extension ou par pression, ou bien ils réuni

lement aux moyens curatifs. Cette condition rentre toutefois dans les précédentes . Ainsi l'hérédité rend le succès un peu plus diff

ennent encore à une jeune fille (1). Le succès, moins brillant que le précédent , est néanmoins très-satisfaisant. Je vous le prés

core une courbure dorsale principale, mais un peu plus marquée que la précédente . Le résultat est analogue ; il ne reste qu'une tr

'un sac viscéral, ou enveloppe extérieure du viscère, contenu dans le précédent . Au pointde jonction des deux sacs, les feuillets

a membrane muqueuse pulmonaire, quoique séparée anato-miquement de la précédente par le vestibule commun du pharynx, doit néanmoin

terno-masloïdien. La moitié cervicale postérieure est séparée de la précédente par l'aponévrose prévertébrale ; elle est formée

e, et le nerf cardiaque supérieur. 6° Squelette. Comme dans la région précédente , la portion osseuse proprement dite est formée pa

cite donnent lieu aux hernies dites ventrales, moins communes que les précédentes . RÉGION ILIO-GOSTALE2. Situation, configurati

illet antérieur de l'aponévrose du transverse, dont la suture avec le précédent sur la douzième côte, constitue le ligament cintr

Situation, configuration, délimitation. Située de chaque côté de la précédente , sa forme est celle d'un triangle qui a pour base

ses caractères sont les mêmes et encore plus prononcés qu'à la région précédente . Le pannicule adipeux y est très abondant, et le

ane du toucher. RÉGION DORSALE'. Beaucoup moins compliquée que la précédente , elle se divise également en deux portions. Por

t en dehors , les deux péroniers latéraux, qui se détachent du groupe précédent à la partie inférieure de la jambe pour passer de

procédés sui-vans. Deuxième procédé. Incision à plat. Il diffère du précédent en ce que l'on ne se sert que du tranchant sans p

on n'exécute en sens inverse les mêmes mouvemens que pour l'incision précédente . Lorsque les trois sections qui composent l'inc

a manière de la pratiquer est du reste absolument la même que pour la précédente , et, comme dans cette dernière, il convient de dé

ment. 11 constitue une opération plus grave et plus compliquée que la précédente , et suppose, dans tous les cas, que le corps à ex

des tissus. Deuxième procédé. — Fils métalliques. Il ne diffère du précédent que par la manière d'assurer et de fixer les extr

ente. La cautérisation objective convient dans les mêmes cas que la précédente , mais de préférence lorsqu'on peut se dispenser

e la ligature. B. Ligature avec le lénaculum. Elle ne diffère de la précédente (pie par le mécanisme de l'instrument, dont la po

é du bouton vaccinal. 2° Procédé de M. Fiard. Il n'est autre que le précédent un peu modifié dans l'appareil. lie tube de M. Fi

est comme la continuation ou en quelque sorte le complément de l'idée précédente . Il consiste à prolonger l'une des incisions jusq

vec évacuation de sang. VENTOUSE SCARIFIÉE. Elle ne diffère de la précédente que par les incisions préalablement pratiquées à

ong, douloureux et compliqué, et n'agit pas aussi efficacement que le précédent . opérations qui agissent sur la circulation gén

de l'air extérieur. Incision. Le mode opératoire, qui ne diffère du précédent que par la direction longitudinale de la plaie, s

ltés. A notre avis elles sont moins grandes cependant que dans le cas précédent , quand il est nécessaire d'inciser le fléchisseur

44? %• 1 ^ et B 2). Cette opération est encore moins motivée que la précédente , les branches lésées que fournit l'occipitale pou

au sternal sur la sonde cannelée. Procédé de M, Key. Il diffère clu précédent en ce que l'auteur avait procédé d'abord par une

indication vraie en elle-même; niais beaucoup plus difficile que les précédentes , et que rien ne peut déterminer à l'extérieur. Po

rocédé de sir A. Cooper. Pratiquer, au lieu de l'incision recti-ligne précédente , une incision curviligne à concavité supérieure e

des épingles (tumeurs vasculaires). Ce moyen, qui semble analogue au précédent , en diffère cependant par un point essentiel, c'e

leur adhésion, de sorte que cette méthode agirait absolument comme la précédente . La compression a été employée plusieurs fois ave

nouvelle. 4° Section du cal. Cette méthode n'est autre chose que la précédente exécutée par un procédé plus rationnel, qui consi

ses extrémités articulaires. C'est, comme on le conçoit, l'opération précédente légèrement modifiée. Une seule incision longitudi

ne plaie assez large, pratiquer une troisième incision semblable à la précédente et se dirigeant vers le bord inférieur de la clav

ation plus facile et de ménager le nerf circonflexe. Ce procédé et le précédent ne sont guère que celui de White. Procédé de [a

uvra les mouvemens de son pied. Pour un cas à peu près semblable au précédent , M. Velpeau pratiqua la résection de la moitié du

fibreux. Après avoir fait au côté interne une incision analogue à la précédente et renversé le lambeau, on détache les os des par

e de la mâchoire (pl. 65 , fig. 3 ). Après avoir, comme dans le cas précédent , tracé une incision horizontale allant d'un angle

ment impossibles à conserver, et qu'ensuite, tout en prenant la règle précédente en première considération, il vaut toujours mieux

oisinage de l'article: nous ferons à ce moyen le même reproche cpi'au précédent , et nous ajouterons (pie la tension des tendons n

ller, d'arrière en avant, le second lambeau dans la même forme que le précédent . Lorsque l'opération est pratiquée sur l'indicate

es gros vaisseaux et les nerfs. Procédé de Garengeot. Il diffère du précédent : i° par l'allongement du lambeau externe et supé

lambeau. Modification de M. Onsenort. Au lieu de tailler le lambeau précédent de la profondeur vers la surface, cet auteur remo

re des lambeaux réguliers. Procédé de Laroche. C'est le même que le précédent ; la différence consiste à relever seulement le la

92, tig. 2). Cet ingénieux chirurgien simplifie beaucoup l'opération précédente ou plutôt la transforme en un procédé nouveau d'u

le côté externe les deux derniers métatarsiens comme dans l'opération précédente , puis, sur le bord interne, le scaphoïde d'avec l

ticulation. Procédé de M. Jslimead. C'est à peu près le même que le précédent , seulement en taillant les lambeaux de la surface

le chirurgien et les aides situés relativement comme pour l'opération précédente , ponctionner avec la pointe du couteau au-dessus

G,G. Aponévrose pharyngienne postérieure, appliquée au devant de la précédente . H. Muscle sterno-mastoïdien. 12. Veine jugulai

E. Loge du grand supinateur et des radiaux. Elle est séparée de la précédente par : 18. Nerf radial. 19. Vaisseaux radiaux.

Figure 2. Bistouri convexe. La lame est de même longueur que pour le précédent , mais la largeur s'en maintient jusqu'auprès de l

AVIÈRE. Comme nous l'avons dit de l'artère carotide dans la planche précédente , jusqu'à ce jour on n'a également possédé aucun i

s-clavière. 2° Une seconde plaque d'acier (B), de même forme que la précédente , sur laquelle elle s'applique exactement. Elle y

re oblique, dont on peut obtenir le redressement comme dans la figure précédente . PLANCHE 26. Figure 1. (a) Extraction, avec l

en langue de carpe ou de chat. Us sont moins souvent utiles que le précédent . Levier dit pied de biche, aujourd'hui de plus en

ion pour opérer un allaitement artificiel. Cet appareil ne diffère du précédent que par la forme de la cloche (a), dont l'orifice

péronéo-tibiale. 10. Tronc commun formé par la réunion des branches précédentes , et qui vient lui-même s'anastomoser avec la ti

nalogue à celle de M. Colombat. — Cet instrument simplifié diffère du précédent en ce que le mouvement de la tige porte-fil est d

on médiane ; la dernière est encore intacte, séparée seulement, de la précédente par le trait de scie vertical. figure 2. Abla

'un et de l'autre côté. Figure 9. Petite scie de même modèle que la précédente , généralement destinée aux amputations de l'avant

RO-CURITALE. La disposition générale est la même que dans la figure précédente . L'opération est également supposée au moment de

SIENNE. ( Procédé de Moreau. ) Cette opération, qui réunit les deux précédentes , se compose de la section et de l'extraction succ

ace de la langue. FIGURE 3. RÉUNION DE LA PLAIE APRÈS L'OPÉRATION PRÉCÉDENTE . La joue forme une excavation traversée par une

résentée terminée. Figure 2 bis. D, Réunion du moignon de l'opération précédente par deux bandelettes agglutinatives. E, Amputatio

eprésentée sur l'articulation du petit doigt. C, Réunion du moignon précédent . FIGURE 2. amputations a lamheaux dans les ar

tacarpiens. Figure 3. Réunion par première intention de l'opération précédente . La plaie n'offre point de fils à ligature , les

des chairs en arrière. Figure 3. Surface du moignon de l'opération précédente , au moment où l'on vient de pratiquer la ligature

Figure A. Réunion par première intention du moignon de l'opération précédente . Les fils à ligature sont rassemblés dans l'angle

le fragment postérieur. Figure 3. Surface du moignon de l'amputation précédente , au moment où l'on praticpie la ligature de l'art

ison des deux incisions latérales. Figure 2. Réunion de l'opération précédente , formant une simple plaie rectiligne : une seule

e la tête humérale et à la section des chairs, comme dans l'opération précédente . a. Main d'un aide qui comprime avec le pouce l

et qui opère la seconde incision. Figure 4. Plaie de l'opération précédente , à. Cavité.'glénoïde. e. Branche de l'artère ci

s et lom-bricaux. FIGURE 5. Réunion de la plaie après l'opération précédente . FIGURES 5 ET 6. AMPUTATION A LAMBEAUX DANS L

qui achève la section du lambeau. Figure G. Réunion de l'opération précédente . Tome 6 Pl.79. Dessiné d'après nature par N

s muscles inter-osseux. Figure 2. Surface du moignon de l'opération précédente au moment où on pratique la ligature des artères.

du lambeau. Figure 5. Réunion par première intention de l'opération précédente , la surface de la plaie étant recouverte presqu'

e à celle de l'amputation tarso-métatarsienne figurée dans la planche précédente . FIGURE 3. AMPUTATION OVALAIRE DANS LA CONTIN

la section du lambeau. Figure 5. Surface de la plaie de l'opération précédente . r, Main d'un aide qui supporte le moignon. s

, qui achève de tailler le lambeau. Figure 2. Réunion de la plaie précédente , le lambeau maintenu par trois points de suture.

n des muscles adducteurs. FIGURE 2. plaie ovalaire de l'opération précédente . a , b, c, g, k. Mêmes indications que dans la

on précédente. a , b, c, g, k. Mêmes indications que dans la figure précédente . 1. Section de l'extrémité supérieure des muscles

t en général n'être que tordues. FIGURE 3. réunion de l'opération précédente . Deux points de suture sont appliqués, maintenu

— La ligature de l'artère fémorale étant faite comme dans l'opération précédente , l'opérateur a fait circulairement la section de

, m. Lambeau cutané, n, o. Mains d'un aide qui contiennent le lambeau précédent , p. Plan de section des chairs sur le moignon, q.

opposé au nœud coulant. (ette suture se retire plus facilement que la précédente . Telle est ordinairement la pratique de Marion

ng, 3° La fixation des fils. Les fils passés comme dans le pro-cédé précédent , M. Bozeman pratique la suture en bouton. Pour ce

liser la région opérée. Sans le décrire avec autant de détails que le précédent , nous signalerons : position de la malade. M. B

ir de ces incisions ; on trouvera donc dans chacune des des-criptions précédentes des particularités dont on pourra faire une appli

UTERO - VAGINALE PROFONDE. Ces fistules, plus communes cj,ue les précédentes , en diffèrent en ce que dans les fistules vésico-

ne en finissant toujours par une bougie plus forte que dans la séance précédente ; on arrive ainsi à faire passer sans douleur la b

DES INJECTIONS INTRA-UTÉRINES. Ce paragraphe est le complément du précédent , car la plupart des injections intra-utérines son

out par cette faible courbure que nos instruments dif-fèrent des deux précédents . La tige de la sonde de Valleix peut se raccour

ÉRUS. Voir les planches vu cl viii. Cette opération est, comme la précédente , un moyen de diagnostic ou un moyen de traitement

gles, diminuant en-suite tout en restant plus volumineuse que la fois précédente ; elle peut ainsi atteindre et même dépasser le v

rvir à cette opération. L'occlusion complète peut être due comme la précédente à l'intervention chirurgicale dans un accouchemen

ont la dilatation et F incision. Nous avons exposé dans le paragraphe précédent le manuel opératoire de la dilatation ; il nous r

edans, au lieu d'agir de dedans en dehors comme avec les instru-ments précédents , on a l'avantage d'avancer vers l'endroit sûr et

tissus depuis l'orifice supérieur du col jusqu'à la fin de l'incision précédente , de manière à redres-ser le canal dans sa partie

sé-paré de l'instrument principal, et beaucoup moins compliqué que le précédent ; nous en donnons également la figure planche X.

avec l'ostéoclaste. Sa construction diffère un peu de celle des deux précédents ; il est long de l\o centimètres, son corps est m

par excision étant beaucoup moins longue et moins douloureuse que la précédente , nécessite rarement l'emploi du chloroforme. On s

Les hyperIrophies sus-vaginales du col étaient, plutôt encore que les précédentes , confondues avec la chute complète de l'utérus av

eau, suppression de l'urine ; tels sont les symptômes qui, joints aux précédents , caractérisent l'intoxication grave. L'éfimi-nati

t dune fistule, oviducte artificiel. Ce procédé, employé avant que le précédent fût connu, lui ressemble beaucoup, puisqu'il n'en

-moïdes, présentent une indication beaucoup moins contestable que les précédents , parce que les troubles fonctionnels qu'ils produ

plupart des cliirurgiens; cependant nous avons vu dans un chapitre précédent que MM. Atlee et Clay ont fait avec succès la gas

m-plication d'ascite. Dans un deuxième procède, qui se rapproche du précédent , on lie le pédicule et on l'abandonne dans l'abdo

t postérieure du vagin. Figure yi. Résultat immédiat de l'opération précédente . En écartant les lèvres, on voit une paroi vertic

iv. Procédé de M. Demarquay, deuxième temps. La striction des sutures précédentes a formé cet entonnoir, dont la portion médiane et

ermine le manche; ce manche fait un coude comme celui de l'instrument précédent , pour ne pas se trouver dans l'axe du spéculum. C

xxvi. Sonde utérine de Valleix. Courbure beaucoup moins forte que la précédente ; curseur glissant à frottement; tige pouvant rent

our de cet orifice. Figure viii. Portion du col enlevée dans le cas précédent . Un stylet parcourt la cavité du col. Dans la moi

nt après qu'on a retiré les sutures, au cinquième jour de l'opération précédente . AA charpie et compresses imbibées d'une soluti

pliquer le collodion. Le reste de l'appareil est comme dans la figure précédente . Figure m. Autre appareil au troisième jour. N

rps de l'utérus. Figure iv. Appareil au dixième jour de l'opération précédente . AA sutures profondes. BB cicatrices laissées p

val étant à peu près à 14 millimè-tres au-dessous des deux avivements précédents , il faut avoir soin d'enlever toute la membrane m

nce la péné-tration est ici beaucoup plus prononcé que dans la figure précédente ; cela tient à ce qu'il s'agit de Fintestin grêle

e rétrécissement, et s'in-troduit dans la sonde comme les instruments précédents . Figure viii. Sonde, demi-grandeur, pour explor

i. Montre la plaie faite à la vessie et à l'urèthre, par l'opéra-tion précédente . On voit qu'elle commence en avant des limites po

tilage aryténoïde: k, cartilage de San-torini couronnant le sommet du précédent ; /, cartilage de Wrisberg; m, bord supérieur de l

ure ix. Trachéotome dilatateur de M^ Marc Sée. Plus compliqué que les précédents , il se compose d'une tige recourbée terminée en p

en pointe d, pour la ponction; d'une seconde branche juxtaposée à la précédente et formant avec elle une gaîne dans laquelle est

ais, dans les travaux qui suivirent, M. Morvan modifia quelque peu le précédent tableau et fut conduit a admettre l'existence de

t. Arrivons enfin à une maladie dont je vous ai entretenus dans mes précédentes leçons et qui présente, avec la maladie de Morvan

onnel qui peut être justement rapproché du premier malade de la leçon précédente . L'analogie avec la sclérose en plaques était tel

somnambulique, un œdème bleu absolument identique à celui des malades précédents . A propos du traitement, considérations sur le da

uit artificiellement et celui que nous venons d'étudier chez nos deux précédents malades. Mais je vais encore vous montrer, Messie

ne confirmation plus éclatante des prévisions émises clans les lignes précédentes , écrites un an plus tôt. une grande tiqueuse qu

que chez la cadette; coxalgie hys« térique chez l'aînée. A côté des précédentes observations d'œdème bleu chez des hystériques, i

de la main, absolument identique au cas de la jeune fille de la leçon précédente , sauf qu'il s'est développé sous l'influence du t

ucun rapport avec l'œdème bleu, on ne pouvait cependant le séparer du précédent pour cette raison qu'ils se sont produits l'un et

à connaître ici. L'obser^ vation qui suit est presque calquée sur la précédente quant aux troubles moteurs, elle en diffère en ce

tendions à trouver là la réaction de dégénérescence comme dans le cas précédent . Bien qu'elle n'existe pas, on ne peut nier cepen

sensibilité étaient moins accentués et moins étendus que dans le cas précédent . Dans l'observation qui suit, ils sont à peu près

'état d'isolement chez les malades qui font le sujet des observations précédentes . Examinons d'autre part les troubles de la sens

plète et absolue. Cette dernière nous est déjà connue. Comme dans les précédentes observations, l'anesthésie totale est causée par

x bulbaires. Considérons maintenant le second cas : il diffère du précédent , ainsi que je vous l'ai annoncé, par quelques car

M. le Pr Charcot faisait allusion ou qu'il a présentés dans la leçon précédente (¹ X). (G. G.). début ophtlialmoplégique. Elle

re cité plus haut. C'est à elle qu'il est fait allusion dans la leçon précédente . (V. p. 99). (G.G.)j table, car tous les mouvem

qui ne diffère pas sensiblement de ce qui est noté dans l'observation précédente . Mais, de plus, il nous fait connaître l'état du

es, graves en ce sens qu'ils aboutissent souvent à la mutilation.—Aux précédents symptômes se surajoutent assez fréquemment des ar

nir, viendront me donner raison1 . XIII bis. APPENDICE A LA LEÇON PRÉCÉDENTE Sur la Paraplégie diabétique1. Messieurs, V

e paraplégie arsenicale, etc. Le phénomène n'a guère changé depuis la précédente leçon. Mais cela tient sans doute à ce que la par

l de M. Souques, actuellement mon interne, qui a relevé, dans une des précédentes années, tous les cas d'hystérie mâle qui se sont

ard, Mayor2 rapportait une observation de tous points comparable à la précédente . Avant ces deux observateurs, Gubler3 avait déjà,

Rapport à propos d'une observation de Sénac. Voir en outre un rapport précédent de M. Millard à propos d'une communication de Poi

ouvez supposer encore telle localisation qui atteindra les deux nerfs précédents sans léser le faisceau pyramidal et réalisera des

se rencontrer dans l'hystérie. Supposez-le associé au blépharospasme précédent et voyez, dans ce cas supposé mais possible, quel

onscrit, répondant à l'interstice séparant les deux lames vertébrales précédentes ; elles sont marquées surtout sur la première dors

maladie est tirée ainsi de l'obscurité, on cherche à lui trouver des précédents . On consulte les auteurs, on compare les faits, s

ire externe. — B G. Ligne perpendiculaire élevée à, l'extrémité do la précédente , longue de 8 centimètres. — C. Centre de la zone

ation d'un malade de cette sec onde catégorie. Messieurs, Dans la précédente leçon, nous avons étudié ensemble un cas de syphi

se réveillant, la malade s'en aperçut. Pas d'attaque pendant la nuit précédente . A ce moment la paralysie était plus accentuée qu

se termine habituellement par un sommeil analogue à celui des crises précédentes . D'autres fois, les bâillements représentent de v

ésentait à son entrée existent toujours. 15 octobre. — Les troubles précédents se sont notablement amendés. La malade reste de p

lents, d'une violence modérée. Les attaques n° 2, au contraire des précédentes , qui ne se reproduisent guère que de temps en tem

Du 12 au 10 août 1838. Du 7 au 11 août 1888. t Les considérations précédentes , disent MM. Gilles de la Tourette et Cathelineau

e que de celle du bâillement hystérique proprement dit (1). (1) Aux précédentes observations nous pouvons ajouter le cas d'une je

somnambulique, un œdème bleu absolument identique à celui des malades précédents . A propos du traitement, considérations sur le da

e du second syndrome.............257 XIII bis. Appendice à la leçon précédente . Sur la Paraplégie diabétique...........279 X

iagnostique de ces douleurs provoquées, et je vous ai dit, dans une précédente leçon, que pour Buzzard, Erb, Oppenheim, Strümp

degré de la paralysie : Pas de paralysie, vous disais-je, dans une précédente leçon sur un cas de poliomyélite antérieure aig

ut à ceux d'entre vous qui ont suivi mon ensei- gnement pendant les précédentes années. Traitement. Quel est donc, dans un cas

ns tendineuses ? Là-dessus, je me suis amplement expliqué dans deux précédentes leçons, consacrées au traitement des polynévrit

es en diffèrent même tellement qu'on a cru devoir les sépa- rer des précédentes . MALADIE DE T110MSE\ A FORME FRUSTE 19 Il y a

malade de Jan Steen (1) (PI. XIV). Si ce n'est pas la soeur de la précédente , c'est du moins quelque proche parente. D'aille

ites de territoires transversaux, qui n'ont rien de commun avec les précédents et qui reçoivent leur innervation totale, non p

erveux ; - 3° La sclérodermie en plaques qui, il l'inverse des deux précédentes , el, comme son nom le fait prévoir, ne relève p

laque du dos de la main continuant, par sa partie externe, la bande précédente ; elle dé- pend de la le cervicale, de la 8" et

dans les' artères radiculaires est plus marquée que dans les coupes précédentes . E. Région cervicale inférieure. 1) Coloratio

t notablement plus accentuée dans cette région que dans les régions précédentes . , F. Renflement cervical. Les altérations du

umatisme a-t-il déterminé une reproduction passagère de la luxation précédente (une première luxation prédisposant à une secon

très pénibles à type lanci- nant dans la main); les considérations précédentes s'appliquent à cette deuxième fracture ainsi qu

u niveau du segment considéré quelque chose de plus que dans le cas précédent . Je n'ai pas à refaire ici l'historique déjà lo

(1) Cette gravure est celle que nous avons décrite dans une de nos précédentes étu- des, comme nous ayant été communiquée par

ènes charlatanesques. Ce nouveau document ne fait que confirmer nos précédentes remarques. La jonglerie chirurgicale en question

: l'omoplate est élevée en masse beaucoup plus que dans l'attitude précédente ; le bord spinal se détache du thorax et forme

déformation de la région scapulaire est la même que dans l'attitude précédente , mais elle est moins accentuée : l'élévation de

sous-épineux reste aussi saillant et aussi dur que dans l'attitude précédente . IV. Bras élevés dans la direction verticale. Q

XXIV, E. F.), la déformation du thorax est à peu près identique la précédente , tant en avant qu'en arrière et de profil. fi

uvement de rotation nécessaire à l'élévation verticale. Les notions précédentes vont nous permettre de comprendre les hypo- thè

l'horizontale. Mais s'il s'agit de paralysie complète, l'hypothèse précédente ne vaut plus. Il faut alors invoquer un autre m

ngle cornu marginal est un peu moins com- plète que dans les coupes précédentes . Entre la VIIe et la VIIIe cervicale, on retrou

s paraissent beaucoup moins marquées que dans les coupes de l'étage précédent . Région dorsale supérieure. - Sur une coupe ent

écrire en détail : ce serait répéter ce qui a été dit pour la coupe précédente . Ganglions SPINAUX. - Nous avons pu pratiquer l

oupe au niveau de la partie inférieure du bulbe. P. Au-dessus de la précédente . MASSON & Cle, EJltt'urs. DE L'AMYOTROPHI

, sans con- tredit, l'un des médecins les plus distingués du siècle précédent . Pour connaître le Mal d'Amour, on ne saurait m

s'y rattachent sans aucun doute. D'autres enfin présentent avec les précédentes d'étroits liens de parenté, et, sans qu'on puis

re ici, bien qu'elle soit d'une signification moins précise que les précédentes , une oeuvre de Jan Steen qui se trouve au Rijk

connaître une forme du mal d'amour qui n'a rien de commun avec les précédentes . C'est une hypothèse. Elle s'appuie sur la cons

ui provient de l'amour consommé. Un dernier détail : comme dans les précédentes peintures, la patiente souffre assurément de la

es myxoedèmes francs. Cependant ils sont bien moins avancés que les précédents else rapprochent sensiblement de l'hypothyroïdi

e notre étude. L'épouse K... (PI. XLVI, 20), comme les deux malades précédentes , offre surtout des lésions trophiques d'ordre é

. Le retour de la chevelure n'est pas aussi complet que dans le cas précédent . Il s'accentue de jour en jour. Les règles sont r

se. Pourquoi s'étonner de cette action, puisque j'ai montré dans un précédent travail l'évolution complète des organes génita

à disparaître. OBs. 111. - X3... est plus âgé que les deux enfants précédents . (PI. XLVIII, C.) Il a 20 ans, a tiré au sort e

chez ce sujet de 20 ans, (PI. XLIX, G.) com- parée à celle du sujet précédent , âgé de 17 ans, (PI. XLIX, F.) démontre que, de

pplice ». La conformation du corps est la même que celle des sujets précédents ; seulement, les cuisses et le bas des jambes s

G. Edlen von Preyer (PI. LIX). C"est une oeuvre moins sévère que la précédente , pleine de sous-enten- dus discrets, infiniment

antes, curieux. Celle scène est une répétition sans originalité des précédentes . Il suffit de la mentionner. LE MAI/D'AMOUR 351

al d'enfant. Cependant, nous n'avons pas cru devoir les séparer des précédentes . D'abord, parce qu'entre les unes et les autres

s que nous voudrions rapprocher aujourd'hui de ceux de la catégorie précédente justifient de nouveau ces remarques ; ils nous pr

e..., qui présente également au pied un accident très comparable au précédent . Ce jeune homme marche également avec peine, car

t poser le pied à plat indéfiniment. Ce sont bien comme dans le cas précédent , les carac- tères d'un tic qui cesse momentaném

ehors de notre étude actuelle. Il montre seulement la nature du tic précédent qui semble bien avoir été un phénomène du même ge

e l'avant-bras. III. Hérédité poliomyélitique. Dans l'observation précédente , nous avons trouvé chez le malade des antécéden

s abarticulaires qui nous ont paru intéressantes à rapprocher de la précédente . Un jeune homme (1), âgé de 20 ans, occupé il f

orsale et à la face ventrale du membre supérieur contiguë à la zone précédente , mais qui se continue sur le bord cubital de la

t de rapprocher d'autres scènes médicales qui présen- tent avec les précédentes plus d'un lien de parenté. Ce sont d'abord les

insisté. Signalons cependant encore la pré- sence, auprès du groupe précédent , d'un jeune aide qui, lui aussi, s'inté- resse

ture hollandaise, nous rappellerons, mais pour les différencier des précédents , les deux seuls tableaux qui représentent au Lo

refusant énergiquement d'utiliser la main droite comme dans l'essai précédent . t. c) Le n° 4 a été écrit avec les deux mains

ue des troubles du langage cette malade se rapproche beaucoup de la précédente et appartient au même type. Chez elle aussi l'a

UENRY MEIGE OBSERVATION II. Ar..., âgée de 21 ans, soeur de la précédente malade, vint à l'hôpital Saint-Antoine, et conf

e variété d'oedème fort curieuse, mais notablement diffé- rente des précédentes . L'affection se décomposait en deux phases : la p

TÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 11 III Revenons en quelques mots sur la précédente observation. Il n'est pas douteux que le cas qu

tiques, mais ceux des yeux font aussi défaut dans les circonstances précédentes , nous devons supposer, que cette altération dyn

nsécutives que l'on rencontre en pareil cas (2). Dans l'observation précédente , la moelle n'a pas été touchée, mais les racine

rne. La syphilis produit cette lésion beaucoup plus rarement que la précédente , mais le fait n'est pas sans exemple. Virchow

itude cetle proposition que M. P. Marie et moi émettions dans notre précédent travail sur ce sujet, à savoir que dans la mala

ou élévatrice est relativement assez bien conservée ; comme pour la précédente la contractilité faradique est plus faible à droi

a ; à 85 C. assez fai- bles, mais plus fortes que dans les portions précédentes ; - gauche : : * comme à droite. Les avant-br

faible ; à gau- che : C. minima à 85. Deuxième radial : Comme le précédent . Extenseur commun des doigts : A droite : à 90

seur propre de l'index : A droite, à 90 C. plus faibles que pour le précédent . 161. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE

re fai- bles à 100 ; C. bonnes à 90. Cubital antérieur : Comme le précédent . A la main tous les muscles présentent un volum

ma (C. également dans l'extenseur com- mun). Soléaire : Comme les précédents . Fléchisseur commun : 40 ? C. faibles; elles se

nées dans l'extenseur commun. Fléchisseur Du gros orteil : Comme le précédent . Nerf péronier : A 75 ? C. minima (C. dans l'ex

NFC" > l'1C"' ; 1 1/4 m A, VIII, NFCC > PFC. Les résultais précédents sont ceux obtenus sur le côté gauche; les réac-

écartent guère du tronc au delà d'un angle de 4S., les déformations précédentes s'exagèrent beau- coup : l'angle interne du sca

50 C. encore très faibles, mais nettes. ConAco brachial : comme le précédent . Brachial antérieur : très atrophié des 2 côtés

40mm C. encore très faibles. Portion inférieure : comme la portion précédente ; cependant C. un peu plus fortes. Les muscle

GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Cubital postérieur : il peu près comme le précédent ; apparition des C. mini- ma it 65. Long abduc

NSEUR DU PETIT doigt : contractilité meilleure que dans les muscles précédents , C. m. apparaissent vers 70mm ; à 60mm déplacem

FC">PFC" ; 6 m. A. NFC'>PFC'. Cubital postérieur : comme le précédent . t. Palmaires : 2 m. A. NFC" seule : 3 m. A. NF

ne réponde pas exactement aux types décrits dans la classification précédente . Il . i Il s'agit d'une jeune lille, nommée

ont plus atrophiés que ceux du côté gauche. - III L'observation précédente nous a conduit à faire les remarques sui- vante

ou des hypertrophies ten- (1) Ainsi que nous l'avons dit dans notre précédent numéro nous pensons qu'il peut y avoir profit à

ous, Messieurs, l'intérêt qu'ils avaient pour ceux de la génération précédente . C'était en effet la révélation inattendue de t

nous la trouvcrions presque absolument identique a celle du malade précédent ? Jonc prétends pas que. pour des symptômes si di

sé plusieurs mois à Vichy, est revenue à la Salpêtrière. Les signes précédents sont identiques sauf l'amblyopie qui a abouti à

pas là d'arlhropathie, ce fait devait être évidemment rapproché des précédents , car dans l'observa lion de J. M. Charcot, où il

s de cartilage. Il n'y avait pas eu de douleur contrairement au cas précédent . La suppuration de l'article avait été NOUV. IC

athie indolore était apparue brusquement la nuit. Dans les exemples précédents on peut dire qu'il s'agit d'une h ! ldarlll1'ose

faut remarquer que les malades qui ont eu de la douleur, comme les précédents , avaient subi un traumatisme. Exemple encore du

quelques exemples dans les auteurs. S'agit-il, dans l'observation précédente , d'ectrodaclylie, au sens étymo- logique du mot

amputation congénitale, on peut in- voquer l'absence des conditions précédentes . Peut-être, pourrait-on aussi accorder quelque

gionaux de la moelle, on pourrait le deviner rien que par les faits précédents , ne correspondent pas aux limites des segments

troubles de la sensibilité thermique d'autre part. Chez le malade précédent , il existait en outre une déformation muscu- DE

Charcot de faire le diagnostic c'est l'ensemble des signes positifs précédents et l'absence de tout phénomène tabétique attire

n partie ce qu'on a dit dans ce numéro de l'Iconographie et dans le précédent . Je préfère donc limiter mon étude clinique aux

avons observé deux fois cette forme beaucoup moins commune que la précédente : chez notre premier ma- lade, tabétique et por

à l'articulation voisine du mal perfo- rant, comme dans les formes précédentes , l'arthropathie fermée du mal perforant peut s'

ctions chirurgicalesde la moelle ou des nerfs vont, de même que les précédentes , nous montrer des types nombreux et importants.

ar Nélaton-Reboul. En outre, s'il s'a- git, comme dans les deux cas précédents , d'amputation, on devra tailler les lambeaux tr

de ces exorcismes. Le dessin n'est pas aussi soigné que celui de la précédente . Le trait est moins sûr, les attitudes moins én

diminué; se croyant guérie, elle tint à son père le petit discours précédent . En effet huit jours après, les vomissements re

fs de la sensibilité, engourdissement ou autres. Avec les symptômes précédents , ce qui frappait le plus dans l'aspect du ma- l

endant qui aboutit également au ganglion de Scarpa et forme avec le précédent le rameau moyen de Schwalbe. Corti et Schwalbe

ù elle travaille, elle n'avait rien présenté de particulier les jours précédents ; par maladresse, et sans avoir éprouvé aucun étou

qué. Ainsi, il existe une différence remarquable entre ce cas et le précédent , tellement que nous sommes conduits à nous demand

qui présente les mêmes caractères de chronicité d'emblée que la forme précédente , reste en général localisée sur une ou deux grand

aines athropathies, la paralysie amyotrophique est, comme dans le cas précédent , le fait capital, il n'en est pas de même dans d'

s mouvements. 2° Variété mélancolique en contraste frappant avec la précédente . a) Délire mélancolique, les malades se croient

éro-épileptique ; mais je crois devoir me bornera vous renvoyer à mes précédentes leçon. Tels sont les phénomènes qui se rencontr

s maintenir dans leur régularité. Il n'est pas nécessaire, après la précédente analyse, d'établir un diagnostic différentiel. Il

re esprit que les phénomènes que nous avons étudiés ensemble, dans la précédente leçon, sont des phénomènes pathologiques parfaite

logiques. En somme, rien à noter qui puisse se rapporter à la maladie précédente , si ce n'est, peut-être, la migraine; c'est là un

Boulogne). — Ses caractères. — Cette dernière forme est analogue aux précédentes .— Paralysie pseudo-hypertrophique,forme juvénile

propos des cas de sclérose en plaques que je vous ai montrés dans les précédentes leçons, des divers tremblements, des mouvements i

nt au eunmouvement expressif ni professionnel. Ils existent comme les précédents , pendant les temps de repos, et s'exagèrent dans

istoire de la chorée rhythmée et je puis, en opposition avec les deux précédentes malades, vous en présenter une troisième chez laq

rentes, puis, tout est terminé. Mais, le plus souvent, les phénomènes précédents sont suivis par une série d'accès caractéristique

du spiritisme ; vous en trouverez tous les détails consignés dans une précédente leçon. 11 me faut seulement relever quelques part

tuellement, sont à plusieurs égards, en quelque sorte, calqués sur le précédent , cela nous dispensera d'entrer à leur sujet dans

ment, ainsi que je vous l'ai annoncé, dans le même cadre que les deux précédents . 1. G. M. Beard. —Die Nervenschwœche (Neuraslhe

ons dans la prochaine leçon, tout aussi caractérisée que dans les cas précédents , chez trois autres malades du service de la clini

maigre, haut en couleur, aux cheveux d'un blond pâle, qui, comme les précédents , offre à l'étude, sous sa forme la plus classique

ncerne un jeune homme de 22 ans, doit être rattaché encore, comme les précédents , au type hystéro-épilepsie. Obs. V. — Le nommé

alade de mon service, le nommé Pin..., dont il a été question dans la précédente leçon et sur lequel nous reviendrons dans la proc

'ailleurs touchée plusieurs fois, chemin faisant, dans le cours de la précédente leçon. Une lésion destruclive étroitement localis

lui d'un autre hystérique mâle que je vous ai présenté dans une leçon précédente , et dont, à l'époque, je vous ai entretenus longu

é à un seul œil. Le cas du nommé Gil... en particulier, cité dans une précédente leçon (page 264 et suivantes) est un bel exemple

eux hommes atteints de monoplégie brachiale, qui ont fait l'objet des précédentes leçons, la paralysie survenue à la suite d'un tra

is le nombre des éléments mis en jeu est moins limité que dans le cas précédent , et souvent il se produit une diffusion des phéno

ce caractère de précision mécanique qu'ils présentaient dans la forme précédente et ils prennent au contraire, jusqu'à faire illus

poignet. Là encore, à la suite d'une nouvelle suggestion analogue aux précédentes , la paralysie ne se fait pas attendre, si bien qu

Railway Spine » « Railway Brain » et dont il a été question, dans une précédente leçon (p. 2S0 et 251), au moment où j'attirais l'

ut comparables à ceux que nous avons minutieusement étudiés, dans les précédentes leçons, chez nos sujets masculins atteints de mon

ont nous avons essayé de vous faire reconnaître le mécanisme dans nos précédentes leçons *. Il ne faut pas confondre ce choc loca

ux monoplégies hystéro- traumaliques que nous avons étudiées dans nos précédentes leçons ; pourquoi, dis-je, cette paralysie molle

s pour attacher une grande importance à la notion exacte 1. Voir la précédente leçon. de chacun de ces syndromes pris en parti

est là un sujet qui nous a occupé maintes fois, dans plusieurs de nos précédentes leçons, auxquelles je renverrai ceux d'entre vous

là, toujours sans connaissance à l'hôpital Beaujon. Les détails qui précédent ont été donnés par le jeune Conr..., et confirmés

opos, M. Charcot a fait appel aux arguments qu'il a présentés dans de précédentes leçons1 relativement au mécanisme du développemen

s ou visuelles; d'autres enfin, mieux doués sous ce rapport que les précédents , tantôt l'une, tantôt l'autre de ces représentati

a dans une pharmacie où il fut pris d'une crise nerveuse analogue aux précédentes , mais qui ne dura que deux heures environ. En déc

entre dans le service du Dr Wilks, le 7 avril 1886. Comme dans le cas précédent , par la persuasion morale et par l'électricité, o

de Boulogne). — Ses caractères. Cette dernière forme est analogue aux précédentes . — Paralysie pseudo-hypertrophique, forme juvénil

ille seul. - Sans notions des exercices classiques, il (1) Dans nos précédents Compte-rendus, notamment dans celui de 1899 nou

llement de 8 ans 42. Aux amélio- rations constatées durant les deux précédentes années : propreté, habillement et acquisition d

. - Idiotie du second degré avec hémi- plégie a été signalé l'année précédente (p. X) comme très amé- lioré pour la parole qui

xvi École complémentaire. ne se sont pas ulcérées comme les années précédentes ; ses doigts se sont allongés et lui ont permis

sseur de chant à l'Asile-école de Bicêtre. De même que les années précédentes , conformément il nos instruc- tions, M. Sutter

la petite écoles, qui sont propres, ont continué, comme les années précédentes , à faire des promenades soit à Paris, soit aux

es distractions ont été aussi nombreuses cette année que les années précédentes . Notons la distribu- tion des jouets du jour de

nisé par le ce Comité des frères Lionnet » auquel, comme les années précédentes , les artistes des principaux théâtres et concer

colonie familiale des aliénés, de - Enfin, de même que les années précédentes , la Commission de sur- veillance des asiles de

tahleau suivant. Enseignement professionnel. XLV Comme les années précédentes , nous avons continué à reprendre dans le cimeti

l'année 1887 (1). XLVI Enseignement professionnel. que les années précédentes , par MM. LE, noy pour la. menuiserie (1882-1901

t les moyens et procédés sont les mêmes que ceux décrits dans nos précédents Rapports. Les idiotes gâteuses se divisent en d

urrions en relater de nombreux exemples qui n'ajouteraient rien aux précédents , tout à fait démons- tratifs. 2° Enfants idio

fesseur de chant à l'asile-école de Bicêtre. De même que les années précédentes M. Sutter s'est occupé successivement de toutes

ces promenades varie de 60 à 80. ' Distractions. - Comme les années précédentes , et sans qu'il soit survenu des inconvénients d

V XCVI Particularités pathologiques. Evasions. - Comme les années précédentes nous n'avons pas eu d'évasions en 1901. Trans

nt arriérés qu'à cause d'une malformation sensorielle telle que les précédentes . Aussi en enseignant les arts mécaniques, ou le

accès constaté jusqu'à la sortie. Dans ce cas, de même que dans le précédent , nous cons- tatons une élévation de la températ

Nous en expliquerons ultérieurement le méca- nisme, mais le tableau précédent A est démonstratif, car il indique qne pour acq

igneàpre, commcil l'avaitfait à la partie moyenne. Sur les planches précédentes on voit, mal la différence de ces inclinaisons,

ur. 67 En raisonnant comme nous l'avons fait au cours du chapitre précédent , nous sommes donc amenés à consta- ter que le t

ndividu, il faut signaler une autre modification, qui s'allie il la précédente pour troubler les résultais. Précédemment, nous

ieizize de l'os en position. Le fémur reste placé comme dans le cas précédent mais on ne mesure que la distance comprise entr

Et faisons remarquer que le (1) Nous avons dit pourquoi au chapitre précédent . Tableau D. Longueur fémorale en millimètres.

e l'absence des bords interosseux. Nota. - Tous les raisonnements précédents peuvent s'appli- quer au reste du squelette (ti

ne, soit dans l'angle externe des yeux. Celles-ci, au contraire des précédentes , c'est-à- dire du purpura, sont assez communes

), marchait à peu près seul; il marche moins bien parce que l'hiver précédent on l'a moins sorti et que la naissance des deux

de folie aussi prononcé que celui qu'elle avait présenté l'année précédente à la Fondation. Elle déclame, sans cesse : <&l

uvements du foetus auraient été très différents de ceux de l'enfant précédent . En pareil cas, nous essay- i- ons toujours de

et en quelques ges- ticulations. Cette crise est loin d'égaler les précédentes par son intensité, aussi le 6 novembre on trans

i.'08 EXPLICATION1 les planches. Planche IV. Fémurs du malade précédent . On voit 1°) L'atrophie de l'os malade ; ? °)

gique), secrétaire du Comité du mounment Liégeois. Comme les années précédentes , le banquet annuel de la Société d'hyp-nologie et

très précise.| (1) Leçon faite à l'Ecole de psychologie. — Y. le n° précédent . La vertu eurative de l'hypnotisme a été mise

respondant de l'Académie de Médecine. Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté. M. Fiessin-ger, président, de l

, c'est-à-dire que vous passerez d'un, jour à la veille, puis au jour précédent , et ainsi de suite. A mesure que vous remonterez

ûlez la lèvre » ; et ce fut tont. Même sommeil que dans l'observation précédente . J'annonce que la sensibilité ne reviendra que qu

t thermal, près de l'endroit où le professeur Liégeois avait, l'année précédente été tué par un automobile se compose d'nn élégant

i a la Faculté de droit de Nancy, qui venait d'être installée l'année précédente . Cette fois. Liégeois accepta et, dans une lettre

incipes généraux de traitement, que nous avons exposés dans une étude précédente : (1) « Quand le malade n'est accessible à aucu

s maîtres. TJn autre fait à signaler, corollaire pour ainsi dire du précédent , c'est la variabilité, chez tous nos enfants, du

ar le désir d'établir leur renommée sur les ruines de la renommée précédente , ils arrivent à déposséder les véritables inspira

mpressés de faire ressortir le ridicule d'une telle prétention-(1) V. précédents de (mai, juin, juillet, août et septembre 1909).

anglé lui-même. Cette concession, va-t-il la reprendre. — comme les précédentes — , ou n'en tenir aucun compte. — comme ci-dessns

de la Meuse. Tous ces discours furent vivement applaudis. Dans nos précédents numéros nous avons publié les discours prononcés

la Salpêtrière, Dumontpallier (9) et (1) Revue de l'Hypnotisme, n° précédents (octobre et novembre 1909). (l) Braid : Neurypn

J Voisin La séance est ouverte à 4 h. 43. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. 31. le Secrétaire géné

eur. Objet du cours : Jésus de Nazareth. (Suite du cours de l'année précédente ). Is* samedis a cinq heures et demie, a partir du

pétrlère. La séance est ouverte à 1 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le Secrétaire-Génér

d'abord de laisserB en l'état d'hypnose. Dans les deux expériences précédentes , la suggestion avait été faite, le soir, pour qu'

e de fraude de la part du sujet ni cette fois ni dans les expériences précédentes . Le type de B. est loin d'être celui d'uue hyst

stion hypnotique ». Journal de Korssakoff, 1909, v. I-2. Les articles précédents y sont insérés. mourut à trente ans après avo

l'endroit où avait été appliquée la lettre, mais autour de la brûlnre précédente . Elle rappelait la rongeur qui s'était étalée dan

précédente. Elle rappelait la rongeur qui s'était étalée dans le cas précédent et avait à peu près la même dimension (près d'un

vésicule une rougeur très nette occupait aussi la place de la brûlure précédente Le jour même, la vésicule éclata et il s'en écoul

brûlure se déplaça de l'endroit indiqué vers l'endroit de la brûlure précédente . Ces déplacements avaient aussi lieu dans les exp

t dans la mémoire de l'expérimentée ou bien de ce que des impressions précédentes ont exercé une influence propre. L'examen des d

nale aussitôt l'erreur en offrant de réciter le verset 32 du chapitre précédent qui en possède 33, ce qui était parfaitement exac

de psychelogie (Le programme des cours a été publié dans le numéro précédent ). Conférences psychologiques hebdomadaires Le

phénomène se répète avec la même progression que dans les expériences précédentes . Toujours pendant nos expériences l'hypnotisate

e veille, entre en activité, reprend le fil de la vie mentale du jour précédent ou vagabonde de ci de là. Puis, au bout d'un te

le de psychologie dont nous avons publié les programmes dans nos deux précédents numéros auront lien d'une façon très régulière. C

les Voisin La séance est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal à la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comp

nt de Madrid représente le type physiolo- gique idéal. Le tableau précédent ne présente qu'un résumé de faits qui peuvent ser

les intéressent. Si l'on compare entre elles les données du tableau précédent on peut remarquer comment grandissent les enfants

avec l'ethésiomètre est. en moyenne, de 30 millimètres. Les données précédentes n'ont qu'une valeur relative, mais il n'y en a pa

nous avons constamment soutenue depuis dix ans. n Dans un article précédent , nous avons essayé de démontrer que les mots appé

houette que je désire vous montrer est tout aussi intéressante que la précédente . Des raisons de convenance exigent que mou esquis

azaux La séance est ouverte à cinq heures. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. La correspondance comp

le professeur Brown-Séquard il fut convenu qu'on ajouterait à la cure précédente une éducation spéciale ayant pour but de faire qu

it en partie le souvenir de ses hallucinations et rêveries de la nuit précédente . Ne sachant à quoi attribuer de pareils troubles,

alpêtrière. La séance est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. II. le Secrétaire Géné

ure, et aussitôt il se mit à s'ennuyer. Mais, en comparaison avec les précédents , cet accès fut très léger ; notre jeune homme

5 mars 1910 La séance est ouverte à 4 h. 45, le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. M. le secrétaire génér

Evolution de ta Mémoire par M. le Dr Brldou i Dans nos articles précédents , nous soutenions que la tendance au progrès indéf

. Voisin. La séance est ouverte à cinq heures. Le procès-verbal de la précédente séance est lu et adopté. Le secrétaire général do

nquant. Les difficultés étaient un peu plus grandes que dans le cas précédent ; mais elles n'étaient pas insurmontables ; elles

, qui se rattache dans une certaine mesure aux sujets traités dans la précédente . lor novembre 1890. BoURNEVILLE. PREMIÈRE P

e l'hémisphère gauche, existe un foyer tout-à-fait symétrique avec le précédent , mais de petite dimension, constitué par un kyste

ultérieurement. Des idées nouvelles, et en grande partie opposées aux précédentes , ont été émises sur ce sujet dans ces dernières a

de nouveaux accidents, la malade paraît plus affaissée que les jours précédents . Pour la première fois, des râles muqueux abondan

yaux très allongés et très étroits, dirigés dans le même sens que les précédents . Nous avons cependant trouvé des noyaux transvers

du cou et de la face. Un nouvel accès convulsif, en tout semblable au précédent , se reproduit au bout de trois jours. D'ailleurs,

ts qu'on ait pu obtenir; enfin, la dernière attaque, brusque comme la précédente , s'est déclarée treize jours avant la mort. Si l'

point de vue de l'anatomie pathologique, et dans le même sens que les précédents auteurs. Tous ces travaux concourent donc à nou

Le lendemain, 12, la parole est beaucoup plus difficile que les jours précédents ; le malade met près d'une minute pour dire deux o

de l'œil gauche. La fréquence du pouls est plus grande que les jours précédents . Le malade toussait depuis quelques jours, mais s

ne trop grande extension à cette note, je pourrais joindre, aux faits précédents , une observation du même genre, dont les détails

eloppement. Non seulement la synoviale était, comme dans les exemples précédents , vivement hypéremiée et hérissée de prolongements

nv. 1877 et 1er rapport.) B. Les courants de même intensité que les précédents ont la même action physiologique que les métaux.

ade à laquelle il a tait allusion dans, sa communication de la séance précédente . « Cette jeune femme, mercière de son état, est

nt je vais vous rendre témoins et qui plaide dans le même sens que le précédent . Il est relatif à Vamblyopie hystérique sur laque

inistration de l'or, faite dans les mêmes conditions que dans les cas précédents , à l'intérieur, l'hémianesthésie droite qui, depu

icielle. —Catalepsie artificielle. — Je vous ai montré, dans la leçon précédente , comment le simple voisinage d'un aimant nous per

ns les muscles que nous voudrons, comme vous l'avez vu dans la séance précédente . Pour faire disparaître la contracture, il faut

vé chez la religieuse de la Creuse dont je vous ai entretenus dans la précédente leçon (page 271). A la suite d'une attaque plus o

olume plus considérable que celui qui nous a servi clans l'expérience précédente , aussi le tracé de la courbe musculaire présente-

r la saillie des tendons des muscles palmaires. Comme dansTexpérience précédente , le coude de la malade repose sur l'angle d'une t

ns. pas fait reproduire, parce qu'ils sont absolument analogues aux précédents . Dans des expériences faites sur le tendon rotu

mbre de muscles, se déplace de la même façon que dans les expériences précédentes , et la contracture plus complexe est transférée s

de endormie est placée dans la même attitude que pour les expériences précédentes , les mains reposant sur une table, la face dorsal

par une contracture musculaire intense. Comme dans les expériences précédentes (page 208), cette griffe cubitale est facilement

au phénomène neuro-musculaire qui a fait l'objet de l'étude clinique précédente : a) Le phénomène de l'hyperexcitabilité neuro-

mpose de quatre malades hystériques hypnotisables plongées, comme les précédentes , dans l'état de léthargie avec hyperexcitabilité

même côté du corps. Il ne s'agit donc plus ici, comme dans le groupe précédent , de mouvements exclusivement hétéro-latéraux, mai

hénomène dans les diverses maladies du système nerveux où les auteurs précédents disent l'avoir rencontré. Mais nous avons vu chez

Le troisième groupe peut être considéré connue intermédiaire aux deux précédents : il comprend les appareils d'induction, dont fon

, les choses se compliquent un peu. Nous avons d'abord, comme dans la précédente , un plateau de verre frotté par des coussins et q

ence (pour parler le langage usité en France), mais il est inverse du précédent . Le peigne est électrisé négativement ainsi que l

er avec vigueur en s'éparpillant en gouttelettes. est analogue à la précédente , mais plus vive, avec addition de piqûres multipl

imple, les choses ont marché exactement de la même façon que chez les précédentes , et dans le même espace de temps, de 15 à 20 minu

pose de donner le nom de grand hypnotisme. 3° Aux deux propositions précédentes s'en rattache une troisième, sur laquelle nous in

e et caractéristique. Ce phénomène est plus rare, il est vrai, que le précédent , mais on le constate néanmoins dans un certain no

l était le véritable aimant. Or, dans ces expériences, comme dans les précédentes , jamais le transfert ne s'accomplit quand on fais

oi d'après Duchenne (de Boulogne). Fig. 2. — Même expérience que la précédente pendant laquelle on a ouver les yeux de la malade

ppareil locomoteur. Diverses arthralgiesonlgèné lemalade.Les hivers précédents , il s'est plein de craquements quand ses épaules

» (6). Entre autres observations, resalI- teurs utilisent les deux précédentes : elles constituent les observa Lions XI et XII

n'ayant rien à voir avec le processus ostéo-arthropathique localisé précédent . Il a passé en revue tous les tabétiques du ser

consacre quelques lignes à t'ostéo-arthropathie vertébrale. cite la précédente communication de Pitres et Vaillard, le travail d

penser sans nul doute à un trouble trophique de même nature que les précédents . M. A. Londe a bien voulu photographier pour nous

nous pouvons donc ajouter deux observations nouvel- les à la série précédente , Nous avons divisé ces divers documents en deux

droite.Le bord aiguisé du coin, formé par la réunion des deux faces précédentes , est tranchant et vient buter contre une saillie

de médecine de 1886. Nous avons procédé pour celle-ci comme pour la précédente et nous y joignons aussi deux photographies, l'

ns son ensemble aplatie de haut en bas et de hauteur moindre que la précédente . Pour cette raison et par suite de la dépressio

rangulaire, garnie de dépressions et d'aspé- rités. L'observation précédente manque totalement de détails cliniques. Il nous

. Quelques craquements se perçoi- vent dans les trois articulations précédentes . Le genou gauche est atteint d'une énorme arthr

nouvelle manifestation n'était venue s'ajouter au tableau clinique précédent , lorsque, en janvier 1898, la ma- lade eut un i

e autorisé à metlre dans un cadre à part plusieurs des observations précédentes . On a pu en effet ranger dans le groupe polynév

ue, comprenant les oeuvres des élèves et des imitateurs des maîtres précédents . Tels sont en particulier : JAN VICTOOR (1620-1

urg, nous avons retrouvé, presque identique, la scène de la gravure précédente . Je passe sur les multiples épisodes figurés da

à l'hospice de l31cétre un cas qui offre quelque similitude avec le précédent . Nous en citerons la relation ici même, et en e

à peu près les mêmes résultats que pour le bleu et le rouge au mois précédent (schémas VI, VII). Enfin un dernier examen fait

si to- tal à offrir, mais, les nôtres ne sont que des diminutifs du précédent , les couleurs sont moins vives, mais il n'y a q

us cas la lésion n'est sûrement d'origine corticale. Les déductions précédentes , aussi bien que les caractères de l'hémiplégie,

ylolisthèse du corps de la cinquième vertèbre lombaire. Au sommaire précédent de Kroenig, nous ajoutons les détails suivants :

ronc. Déformation accentuée de la colonne vertébrale. Au sommaire précédent , nous joignons les détails suivants : Avant les

possible, senties suivantes : Hauteur totale : 1 m. 722. Taille précédente : 1 m. 785, différence, 6 cent. 35. Hauteur de

tus dorsal, on trouve à peu près à la même place que chez le malade précédent (obs. VI, obs. II de Kroenig, c'est-à-dire il un

avant. Dans une nouvelle période de douleurs plus intenses que les précédentes , elle est transportée de nouveau à l'hôpital Sa

t une apparence chagrinée et légèrement plus foncée que dans le cas précédent . A la périphérie des cellules on voit un liseré

discontinue, mais ils ne sont pas fusionnés comme dans l'expérience précédente , on peut les dis- tinguer les uns des autres ;

n, leur apparence morphologique ne diffère guère de celles du stade précédent ; cependant leur protoplasma est semé de granu-

nes qui sont généralement plus volumineuses que celles des cellules précédentes , par le fait d'un commencement d'agglomération de

grandes analogies cliniques et anato- miques avec les observations précédentes ; elles s'appuient sur le syn- drome cérébelleu

Brown ou de Klippel et Durante était venue confirmer les résultats précédents , le type édifié par Marie sur ces observations

'affection cérébelleuse. Cependant chez quelques malades les signes précédents n'existent pas au complet et Egger (5) a rappor

le trauma a porté à 2 centimètres en arrière de celui de la figure précédente . Fie. XVIf. Le trauma a transmis ses vibrations

icule latéral. Fio. VI ter. Coupe verticale perpendiculaire 1 la la précédente : NC, 110'au caudé; BO, bandelette optique; AL.

erveau droit) et IX, PI. LUI (cerveau gauche) assez semblables à la précédente ,sont l'image fidèle des cas cliniques déjà cité

s courbures (obs. VI) se montrent dans cette période comme dans les précédentes , mais ici elles ne sont plusseu- les : elles se

lors aux '* LES OSTÉO-ARTHHOPATUIES VERTÉBRALES DANS LE TABES 435 précédentes pour former un tout de plus en plus complexe. En

lement. La scoliose ajoute quelques modifications particulières aux précédentes . Le thorax su- bit une deuxième inclinaison, ma

exceptionnels, s'il faut en croire nos observations. Une seule, la précédente , signale leur existence. L'ab- sence de douleur

e période intermédiaire, faite de phénomènes plus apparents que les précédents , plus bruyants que ceux qui vont suivre : ils s

carrée à toit proéminent. Cette peinture est très supérieure à la précédente ; le coloris en est frais et distingué. La scèn

s organes splanchniques. Nous avons suffisamment décrit au chapitre précédent les différentes formes de gibbosité, les cour-

ont par conséquent plus saillants dans les vertèbres voi- sines des précédentes . Le corps vertébral situé au-dessous de la vertèb

modifications précoces sont assurément de moindre intensité que les précédentes , mais elles n'en sont pas moins réelles. Malheu

ans les altérations vertébrales que nous avons étudiées au chapitre précédent . C'est une raison de plus de croire à l'origine

ique. A la période de transition, trois éléments se surajoutent aux précédents , le traumatisme, la douleur et la localisation

très avancée pour un certain nombre de cellules. Comme pour les cas précédents , nous avons ici sous les yeux tous les stades d

appellent, comme nous l'avons vu déjà pour celles de l'expé- rience précédente , le type foncé de Lugaro que Van (Tehuchten (1) e

llimètre afin d'en faciliter la lecture. Comme pour nos expériences précédentes le numérateur des fractions repré- sente le plu

centrés. Traitement ultérieur exactement comme pour les expériences précédentes . Quelques coupes sont en outre colorées par l'é

erfs et les cellules ne sont pas res- serrées. Comme dans les cas précédents , nous n'avons pas toujours rencontré sur une mê

ération. Les mensurations ont été faites comme pour les expériences précédentes et les chiffres sont ceux des divisions micromé

nsions fussent vraiment considérables. , Comme pour les expériences précédentes nos mensurations ont été effectuées avec le mic

n spasme. Le bras et l'avant-bras était dans l'inertie lors même du précédent , tandis que les doigts s'agitaient continuelle-

à leur intérieur dont ils Fig. 4. - Se rapporte au même cas que la précédente . Foyer de myélite aiguë déve- loppé dans la sub

blant à celui qu'on observe dans la rage. Même cas que la figure précédente . 576 MARINESCO Pachromatose la plus complète.

et Claude de la toxine tétanique, 582 MARINESCO aucun des auteurs précédents n'ont produit de véritables myélites, dans le s

substance blanche antérieure. i'io. 18 B. Le même cas que la figure précédente ; l'inflammation est limitée ici à la substance

BALLET ture en miroir. Nous sommes ainsi conduits à compléter notre précédente formule en disant : l'écriture en miroir et- de

ommée D... (Annette), femme P..., âgée de 55 ans, est la mère de la précédente . Elle dit que son affection est sans importance,

thermique en particulier sont moins marqués - que lors des examens précédents . A cet examen d'avril, nous constatons au nivea

e des nerfs lésés, la lésion est ici plus profonde que dans les cas précédents . L'opinion unanime des auteurs en témoigne. Nos

ue sur le sort ultérieur des éléments. Les observations des auteurs précédents concernent essentiellement les celiules motrice

ient en trop nette contradiction avec les affirmations unanimes des précédents observateurs. Mais plus le nombre de nos men- s

rière, pourpoints à crevés, chapeaux à plumes, en usage aux siècles précédents . Dans la première (fig. 2) le, charlatan est se

ns la recherche de l'acuité visuelle centrale. -Le but de l'épreuve précédente est de mesu- rér la sensibilité de la^rétine po

onoculaire (fig. 1 ï). Il est une autre méthode plus précise que la précédente , et qui doit, 1, mon avis, lui être préférée. O

parésiés. Le malade étant placé dans les con- ditions de l'épreuve précédente , l'observateur promène unebougie dans toute l'é

TRINSÈQUE DU GLOBE. 2'' de ce réflexe, on procède comme dans le cas précédent , mais on observe les mouvements de la pupille d

ux, construit par le 11'' Cerise (fig. 52), et fondé sur la méthode précédente . Une aiguille note , sur un cadran la pression

s, concaves, convexes). On en fait le diagnostic par les caractères précédents et la coexistence d'autres signes d'hystérie. I

ur le point de tomber en désuétude que j'ai pro- duit l'énumération précédente . " . IPOVLARD.l 5fi ')'n()U) ! L);SE)iYEU\DHL

ies ou à des abcès, amènent quelquefois des troubles semblables aux précédents . La névralgie des dénis supérieures semble les

ES GLOBES. 61 Diagnostic A l'aide DE la DIPLOPIE. Tous les signes précédents qui accompagnent les parésies ou paralysies des

iels avec troubles de la motilité oculaire, bien plus rares que les précédents , doivent cependant être connus. Fig. 55. (A;

congé- nitalc. - Ophtalmoplégie totale. Elle se présente comme la précédente , avec. cette seule différence que la musculatur

inique du nystagmus nie semble trop variable pour que la définition précédente puisse convenir à tous les cas. On pourrait attaq

é des lésions de diflérento nature, intéressant les organes nerveux précédents . Tuberculose méningée : Il existe surtout dans

] UC TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Par opposition aux précédentes , on pourrait l'appeler anesthésie d'origine név

là une kéra- tite neuroparalytique. Ce qui, mieux que les lésions précédentes , caractérise celle kératite, c'est l'absence de

t se desquame, la cornée s'ulcère puis s'infiltre comme dans le cas précédent . Les agents microbiens du cul-de-sac conjonctiv

t-elle, seule, sans l'aide des actions méca- niques et infectieuses précédentes amener des altérations trophiques de la cornée,

. F) Réflexes moteurs paralytiques. - Ils sont plus rares que les précédents , car il est plutôt de la nature des réflexes de p

ions extra- nasales. Quelques-uns ont la même signification que les précédents , tels la toux, le spasme glottique, la contract

a-nasal et à manifestations nasales. Us sont moins nombreux que les précédents . On peut citer les éternuements et notamment ce

tige du mal de mer, le vertige du mal des montagnes sont, comme les précédents , dus il de rapides modifications de la pression

ires auxquels conviendrait plus ou moins, par ' opposition avec les précédents , la dénomination d'essentiels ou d'idio- pathiq

laryngé, extrêmement brève. Description clinique du coma. Les pages précédentes où, dans une même description, ont été compris

rice. Il existe; un autre type d'anarthrie tout à fait différent du précédent . Les malades atteints ne peuvent, contrairement

les yeux. , ' , ' , La chorée exagère beaucoup les modifications précédentes . Dans les formes les plus légères, le graphisme

le). B) Apraxie idéatoire de Pick (1905). Tout en étant voisin du précédent , le syndrome est ici beaucoup moins franc. L'apra

nt beaucoup plus rares. Les theomanes, qui peuvent être opposés aux précédents malades, ont des relations avec Dieu; Dieu leur

auxquelles seront accordées les autorisations énoncées en l'article précédent , les cas où elles pourront être retirées, et le

'établissement auront, déclaré, sur le registre énoncé en l'article précédent , que la guérison est obtenue. " . j S'il s'agit

mément à l'article I". Aiit. 27. Les dépenses énoncées en l'article précédent seront il la charge des personnes placées ; à d

éfaut ou en cas d'insuffisance des ressources énoncées en l'article précédent , il y sera pourvu sur les centimes alfeclés par l

t intéressées. Aaï. 57. Les pouvoirs conférés en vertu des articles précédents cesseront de plein droit dès que la personne pl

es limites du règlement de service intérieur mentionné il l'article précédent . Les médecins adjoints, dans les maisons où le

ation est donc très bornée, et ce qui distingue ce second groupe du précédent , suivant Bourneville, c'est l'existence du mouvem

, inférieur, . le bassin elles cinq dernières côtes, chez la malade précédente (d'après Dejerine). ' . Fig. 12. - Défaut de pa

SI'.] ] Fig. 14. - Troubles de la sensibilité osseuse dans le cas précédent . 308 .' i. SENSIBILITE. lopoesthésie avec ret

SSY.] Fig. 17. Coupe horizontale macroscopique de l'hémisphère (cas précédent ). - Cette coupe est faile suivant un plan horiz

tes variétés d'altérations que nous avons étudiées dans un chapitre précédent (page 280). 1. Gazette des Hôpitaux, 1005, n" 8

s d'elle; c) enfin, une nouvelle zone hyperesthésique surmontant la précédente ; d) la perte du sens musculaire, la diminution

troubles de la sensibilité thermique (dissociation) chez le malade précédent . " TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 335

t lombaire), l'anesthésie occupe, en plus des zones aneslhési- ques précédentes , celle de distribution des 4P et 3e racines lomba

inflammatoires des racines; Les lésions secondaires, résultant des précédentes , sont caractérisées par la dégénérescence des é

sujet. 2° Douleurs d'origine centrale. .Moins fréquentes que les précédentes el. de notion moins courante, elles doivent pour

loigné du nerf malade. Je n'ai pas épuisé, dans les quelques lignes précédentes , l'énuméra- tion de toutes les causes susceptib

ous venons de voir, à propos de la technique de chacun des réflexes précédents , comment se manifestait le réflexe à l'état norma

us-jacente d'anesthésie et une zone d'hyperesthésie supérieure à la précédente ; enfin, -du côté opposé à la lésion, une anes-

de ces malades ne présentent pas l'atrophie signalée dans la forme précédente . Du reste, d'une façon générale, les mouvements

ption de tontes ces maladies a trouvé sa place dans les paragraphes précédents , à l'exception de la sclérose en plaques, dont no

rmes curables à rechutes. Il est peu de chose à modifier du tableau précédent pour le faire cadrer avec la description généra

ënile des troubles réalisant un syndrome sensiblement comparable au précédent . 11 s'agit de vieillards qui, sans ictus, prése

Le deuxième ou petit adducteur est situé au-dessus et en arrière du précédent , il s'insère en haut sur la face antérieure du co

lique. Insertions. Le petit oblique est dirigé en sens contraire au précédent muscle, il s'étend de la région lombo-iliaque aux

iane. Les libres de la portion moyenne qui s'insèrent en dedans des précédentes rapprochent l'omoplate de la ligne médiane, eff

te lombaire. Le transversaire épineux, situé au-dessous des muscles précédents , s'étend du sommet du sacrum à la deuxième vert

peau de la muqueuse en s'entre- croisant avec les fibres du muscle précédent . Il est renforcé par le fais- ceau incisif infé

inférieure, le syndrome oculaire sympathique se joint aux symptômes précédents . Les lésions qui produisent ces paralysies sy-

siège au-dessus du ganglion géniculé on observe le tableau clinique précédent , il l'exception toutefois des troubles du goût.

opique dans ces cas montre du spasme moins accusé que dans la forme précédente , prédominant tantôt sur un muscle, tantôt sur u

aison des troubles moteurs, sensitifs et trophiques des deux formes précédentes : paralysie atrophique des muscles de la main,

rmi ces faits un bon nombre répondent assurément à l'un des groupes précédents : hypertrophies fonctionnelles, hypertrophies prâ

sées, un certain nombre rentrent tout d'abord dans l'un des groupes précédents . Ainsi dans le cas de Pall il y avait une hyper

à-dire de la largeur d'un seul pied. Bandes noires pareilles aux précédentes , mais subdivisées par de lar- ges raies blanche

ne terminaison de la plus grande fréquence. Aux symptômes moteurs précédents se superposent, mais avec une importance variab

ur séméiologique. Dans quelles conditions s'observent les complexus précédents ? De quels facteurs pathogéniques dépendent-ils

a céphalée, de la polyurie simple et de la polydipsie. - L'exposé précédent nous permet de glisser rapidement sur la sympto-

]Jf : .eudo-pam- 11S2L bulbaire. Il est des variantes au tableau précédent : le syndrome peut se consti- ; tuer après un i

et la passivité. Parfois des troubles de l'équilibre s'ajoutent aux précédents . Dressés sur leurs orteils, souvent courbés en

ra exceptionnellement cependant si l'on se reporte aux descriptions précédentes . Dans la paralysie bulbaire aiguë apoplecli for

emnes sous les paupières tombantes. Symptômes spinaux. Les troubles précédents sont définitifs, mais varient d'un jour ou d'un

NVULSIONS ET CRISES CONVULSIVES. 819 sont encore plus lents que les précédents : ce sont des mouvements alter- natifs de flexi

emblement hystérique ne peut être comparé il aucun des tremblements précédents ou plutôt il peut être comparé à tous, car peut

rrêtées par la volonté. ' Les contractions tétaniques différent des précédentes par Icur pc rsis- tance : enfin, les contractio

urement par aucun signe », un 'il' d'idée^). A l'opposé des auteurs précédents , Pitres et Crnchet pensent que. si un état ment

on mimique. Les tics des globes oculaires sont souvent associés aux précédents ; les mouvements convulsifs des globes peuvent

stade, on fera exécuter alternativement les deux séries d'exercices précédents , en même temps que des mouvements divers seront

connaître les fausses tympanites qui ne sont point dues. comme les précédentes , il une distention gazeuse de l'intestin, et dé

t en largeur ; elle parait par suite moins déformée que dans le cas précédent , c'est simplement une main « géante » . L'exc

cunéiforme ; un raccourcissement du pied qui, joint aux caraçtères précédents , donne au pied un aspect- « cubique» ; souvent un

, ont d'emblée une étendue plus grande que la plupart des gangrènes précédentes , des signes de névrite les accompagnent, et les

s des formes par des rapports numériques établis entre les chiffres précédents . ... ' Ce chapitre est essentiellement clinique

oyennes (Papillault. II. 1-nit.; - F. = 14S mm). Ce D. est comme le précédent , très variable ; il est accru dans la trigone-

elatif de la hase et de la partie anté- rieure du crâne. Comparé au précédent , son étude est instructive, il montre que par

Indice bimastoïdien bizygomâtiqu : e.=100. Il complète les données précédentes ; nous, n'insisterons pas. Chez l'homme 1= 97.0; c

soient multiples, le clinicien les pratiquera moins souvent que les précédentes . Leur appréciation est plus complexe ; elles sont

e repérage de certains points insuffisamment décrits dans les pages précédentes . , Le vertex est le point culminant de la tête;

surtout sur les membres inférieurs, absolument comme dans le groupe précédent . On en trouve des types parfaits chez les cas-

nin que les caractères par- ticuliers ne rentrant pas dans le cadre précédent . Le torse est cylin- drique, et la taille ne se

génitale et se suicident. ' Infantilisme gigantesque. L'esquisse précédente a rapide- ment établi le syndrome infantilisme.

as, à formes arron- dies, de taille beaucoup moins élevée que les précédents . Ils atteignent rarement un mètre, tout au moin

tose. Valette dans sa thèse (Paris, 1904) a confirmé les recherches précédentes . , Dans la méningite syphilitique, Widal et Le

phénomènes morbides est beaucoup moins dramatique que dans la forme précédente , : la fièvre ne dépasse pas 58 degrés ou 58",5;

téressante il rapprocher, au point de vue radiographique, des types précédents d'atrophie myélopa- (chique ou myopathique; ell

rocédé de graduation avec le réducteur de potentiel se rapproche du précédent , mais il a sur lui l'avantage de laisser toujours

Les effets d'ordre chimique sont beaucoup plus importants que les précédents . Le corps est composé de tissus divers, contenant

ONS DE L'ÉLECTRICITÉ. en place comme dans les modes d'électrisation précédents . Dans ce genre d'électrisation, on applique hab

dont l'enroulement forme beaucoup moins de tours que dans la bobine précédente ; elle donne un courant induit de voltage beaucoup

mplète suivant la fré- quence des intermittences. Comme dans le cas précédent , les excitations faradiques se montrent plus fo

suivant les cas ; on pourrait d'ailleurs réunir cette période à la précédente en estimant que la durée de ces deux périodes r

est cependant pas toujours aussi rigoureuse dans ce cas que dans le précédent , parce que des lésions nucléaires peuvent donner

respond à une résis- tance plus faible que celle du minimum relatif précédent . Si on laisse passer le courant, l'intensité s'

suffisamment les régimes de décroissance de la résistance; comme le précédent il soumet le corps à des courants sous des diff

nouveau progressivement à la même in- tensité que dans la direction précédente . Après une durée de passage sensiblement égale

ment faradique conduit prudemment avec l'un ou l'autre des procédés précédents amène parfois une amélioration assez grande et

celles et même les frictions un peu énergiques. Dans l'exposition précédente nous avons eu principalement en vue le traiteme

er mode de traitement est uiili- sable dans l'un ou l'autre des cas précédents , lorsque la paralysie est localisée aux membres

uvent moins accentuées dans ces l'ormes de polynévrite que dans les précédentes ; elles ne sont parfois que simplement quantitativ

tion statique employée seule, ou ajoutée aux modes de Irai- ternent précédents , nous paraît assez recommandable dans ces cas. Au

courant que nous avons indiquée dans les divers modes d'application précédents est celle qui est le plus habituel- lement cons

e d'un manche isolant. Ce genre de traitement nous paraît, comme le précédent , moins utilisable dans la période aiguë des név

t des lésions des neurones moteurs périphériques. Les indications précédentes , données plus spécialement pour le trai- tement

essayé soit primitivement, soit après l'un ou l'autre des procédés précédents dans le cas où ils n'auraient pas donné de résu

r l3carcl et Rock- well, est un procédé d'électrisation analogue au précédent , dans lequel les courants galvaniques remplacen

faradisation précordiale avec- la même électrode que dans le temps précédent ou avec une électrode un peu plus grande. Le co

l3ormrarlr. la peau se trouve un peu irritée à la suite des séances précédentes . Nous avons employé souvent la galvanisation d'

employées, mais nous croyons préférables les modes d'électrisation précédents . Au traitement par l'électricité il y a d'aille

transversales, on observe une disposition qui ressemble beaucoup à la précédente . Les capillaires parais-sent rayonner autour d'un

t beaucoup Fig. il. — Canaux biliaires dessinés en a dans la figure précédente . — Les canaux a, remplis de cellules d'épithélium

taires à l'exposé anatomique que je vous ai présenté dans les séances précédentes . I. En terminant lundi dernier, je m'efforçai

y apparaissent; ces faits cependant n'appar-tiennent pas plus que les précédents à l'atrophie jaune aiguë du foie. 11 s'agit ici

ne, le processus de désassimilation azotée s'exalte comme dans le cas précédent , et, en fait, la température s'élève ; mais les p

ce qui concerne Y acide urique. Je vous montrais, Messieurs, dans la précédente leçon, com-ment, à en juger d'après l'ensemble de

sact., t. x., p. 177. (3) Centralblatt, 1870, p. 19. grave que le précédent , c'est l'inflammation des veines qui existent en

s Ciiarcot. Œuvres complètes, t. vi, Maladies du foie. 14 que les précédentes , les fistules calculeuses au moins, car celles d'

de cirrhose (1) ; sur 149 individus n'appartenant pas à la catégorie précédente , 8 seulement ont été affectés de cirrhose. Contre

jonctive. Ce troisième type, bien distinct, comme vous le voyez, du précédent , se rattache à certaines formes d'hépatite inters

richs a publié lui aussi (loc. cit., p. 11) un cas relatif, comme les précédents , à une oblitération fibrineuse des grosses branch

t à la branche droite de la veine porte. De même que celles du groupe précédent , ces veines ne peuvent contribuer à la circulatio

n est donc de 1 sur 7. Les chiffres de M. Stewart concordent avec les précédents : ainsi sur 100 cas de rein contracté, il a trouv

rayons médullaires. Les parties transparentes (b), alternant avec les précédentes , correspondent par leur position aux fascicules v

es au grand axe des pyramides) ne sont pas moins instructives que les précédentes . A . Celles qui sont faites immé-diatement sous

es de M. Heidenhain ne sont, pour ainsi dire, que des variantes de la précédente . On peut contrebalancer l'influence de la press

solution d'indigo, le résultat est absolument le même que dans le cas précédent , c'est-à-dire que la coloration existe seulement

xamen microscopique montre d'ailleurs, ici comme dans les expériences précédentes , que la matière colorante imprègne les tubes cont

granulations graisseuses. Des cylindres plus ou moins analogues aux précédents peuvent ainsi se former dans les canaux contourné

granuleux sont de deux sortes. — Les uns ont la même origine que les précédents , seulement ils ont subi une sorte de dégénération

de vingt à trente ans. CUniquement, cette forme se rapproche de la précédente par la lenteur de l'évolution, par la rareté de l

de chaque granulation, rein, on constate encore, comme dans le cas précédent , que les rayons médullaires, dans la région corti

antharides, térébenthine, copahu, etc.). Sous l'in-fluence des causes précédentes , il se produit souvent, en effet, de l'albuminuri

insè-ques. Messieurs, J'espère en avoir dit assez dans les leçons précédentes pour établir la proposition que je formulais en c

écanique de Ludwig, et qui plaide absolument dans le même sens que le précédent , est relatif aux effets de la ligature de la vein

retrouvons par conséquent les mêmes conditions d'anoxémie que dans la précédente expérience. En consé-quence, cette fois encore, o

qu'a mise en œuvre M. Nussbaum. Ces résultats, moins décisifs que les précédents , offrent ce-pendant un grand intérêt, car ils con

s et pathologiques que nous avons recueillies chemin faisant dans nos précédentes études, nous sommes maintenant en mesure d'aborde

ène. Celle que nous allons maintenant discuter est, à l'inverse de la précédente , considérée par la majorité des auteurs, comme ay

s, nous reconnaissons que, contraire-ment à ce qui a lieu dans le cas précédent , la pression est augmentée dans le glomérule, car

par un calcul. (Chambré claire, même grossissement que pour la figure précédente .) AA, Ilots scléreux développés au niveau d'un

t, p. 35). (Chambre claire, même grossissement que pour les figures précédentes ). A,A,A, Ilots scléreux développés au niveau d'un

anuleuse.) — (Chambre claire, même grossissement que pour les figures précédentes ;. A, Granulation de premier ordre. B,B, Travée de

ulations). — (Chambre claire, même grossissement que pour les figures précédentes ). A,A,A, Granulations de premier ordre. B,B, Trav

éressante à d'autres points de vue; elle diffère radicalement de la précédente en ce que la pa- raplégie est flasque au lieu d

tout. Mais il y a plus et ce n'est pas seulement par les caractères précédents que la réalité de cette pseudo-hypertrophie peu

itude cette proposition que M. P. Marie et moi émettions dans noire précédent travail sur ce sujet, il savoir que dans la'mal

lepsie partielle, jacksonienne ou corticale) qui se distinguent des précédentes parce qu'elles débutent 28 NOUVELLE ICONOGRAPHI

es. c). Paralysies partielles Ce qui a été dit dans le paragraphe précédent au sujet des contractures est en grande partie

racines). Le processus est sensiblement le même que dans la région précédente . Là encore les lésions sont limitées à la pie-mèr

érose névroglique. Par place seu- VI. 7 F1G 5. Même région que la précédente . - Ici l'infiltration est limitée au septum smp

l'entrée du sillon antérieur, à quelque distance de la néoformation précédente , on aperçoit l'artère spinale antérieure aussi in

n nouveau cas d'arthropathie coxofémoralo ressem- blant beaucoup au précédent avec quelques différences; ici l'arthropathie n

r la Bourboule. Il retira moins de profit de cette saison que de la précédente . Voyant qu'il n'allait pas mieux et sous le cou

raux, mais en diffusant et sans y former de cavités comparables aux précédentes . Les éléments nobles des cornes antérieures, le

stante des vaisseaux méningés. Lésions médullaires consécutives aux précédentes . Nous ajouterons que cette forme anatomique co

mplète au point de vue des lésions anatomiques avec l'obser- vation précédente , fait remarquer que l'un des deux malades était p

ans la moelle des syphilitiques sont en grande partie conformes aux précédentes . Dans un cas analogue, il constate au niveau d'un

ventice. En présence d'un fait semblable, en contradiction avec les précédents , émanant d'un auteur compétent, la conclusion à

né surtout que le fait de Moeller se rapporte, comme la plupart des précédents , à une syphilis récente), ou bien il s'agit, da

LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. être plus récent que les lésions précédentes . Il est constitué de la façon suivan le : il la

INGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 173 Coupes pratiquées au-dessous du foyer précédent . Les lésions vont en diminuant graduellement ju

dans le cordon latéral gauche. Ajoutons que ici, comme dans le cas précédent , veines et artères sont intéressées et que la p

traitée dans son ensemble. On y verra développées et vérifiées les précédentes assertions. (2) Communication orale. Vi. 14

portrait analogue (fig. 5) qui pourrait bien avoir été copié sur le précédent , sert de frontispice à la légende publiée dans le

le monde, pleurant et soupirant Un troisième viendra semblable aux précédents , puis un quatrième, et ainsi de suite. (A sui

artère saine. A plus d'un litre, cette observation diffère des deux précédentes . Au point de vue clinique, les accidents médull

que nous avons signalée à plusieurs reprises dans les observations précédentes . Enfin le microscope n'a pas montré de caractèr

e de faits publiés, qui paraissent, pour ainsi dire, calqués sur le précédent jusque dans leurs moindres particularités. Ces fa

n, Jfir- gens rapporte 5 observations qui justifient la description précédente . Un fait analogue a été publié par Oppenheim (2

e en regard d'une forme anatomique exactement déterminée. Le but du précédent chapitre a été avant tout d'indiquer, il l'aide

IQUE 221 L'histoire suivante paraît copiée, pour ainsi dire, sur la précédente , en ce qui concerne les prodromes de l'affectio

ection exclusivement médullaire : tel est le cas dans l'observation précédente . Dans la suivante, où la mar- che des accidents

, mais la malade en a présenté des manifestations certaines l'année précédente . Tuméfaction indolente des ganglions de l'aine,

. La rachialgie si particulière, que nous avons rencontrée dans les précédentes observa- tions, fait défaut. On ne retrouve pas

senté les caractères particuliers signalés clans les obser- vations précédentes , ou que ces prodromes aient été seulement ébau-

se présente parfois bien isolé et sous sa forme pure (l'observation précédente en est un exem- ple),est fréquemment associé, s

ître un certain nombre de symptômes qui font défaut dans la variété précédente : tels, les eschares profondes de dé- cubitus,

: Petit levier ou houlette .qui a le înêrfle usage que l'instrument précédent , ' Nouvelle Iconographie DE la. Salpêtrière T

ué 120° dans la table campimétrique. Ayant relâché la con- tracture précédente , nous renouvelons l'irritation, et ainsi nous voy

dérations, ainsi que l'existence des troubles trophonévrotiques qui précédent (periostites claiic21lae) qui accompagnent (herpè

ire et les symptômes morbides concor- dent absolument avec ceux des précédents . La Juive Errante n'a pas la popularité du Juif

f- ficaces, car elle eut trois attaques rapprochées, semblables aux précédentes . Elle partit pour Reiclten/tall où elle fut soi

tant en cela ce que la Société de biologie avait fait pour Reyer. son précédent fondateur, l'a nommé son président perpétuel. Ell

h. 40. M. Valentin, secrétaire, donne lecture du procès-verbal de la précédente séance. Il est adopté. La correspondance écrite

anquet de 1896 a encore dépassé en cordialité les banquets des années précédentes . buée d'abord à l'existence de la vendetta, p

tpallier. La séance est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est lu par M. Valêntin, secrétaire, et est

in rigoureusement scientifique. En i8S3, il complétait les recherches précédentes dans un volume paru sous ce titre : L'homme et l'

. 35. M. Valentin, secrétaire, donne lecture du procès-verbal de la précédente séance. II est adopté. M. le Dr l'\ Regnault ex

. 40. M, Valentin, secrétaire, donne lecture du procès verbal de la précédente séance. 11 est adopté. La correspondance imprim

enèse de la criminalité? Incidemment cette question a été posée aux précédents congrès d'Anthropologie criminelle, mais jamais e

tpallier. La séance est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la précédente séance est lu par M. Valentin, secrétaire. Il est

llet 1896. Présidence de M. Dumoxtpallier. - Le procès-verbal de la précédente séance a été lu par M. Valentïn secrétaire, et ad

'acte réflexe au lieu d'en être le premier élément, comme dans le cas précédent ('}. C'est ainsi, pour citer un exemple, que l'

t la partie interne et supérieure 3. Plus importante encore que les précédentes , est l'étude publiée, en 1877, sous ce titre : Un

on mémoire sur La liberté et ses effets mécaniques, communiqué Tannée précédente k Y Académie royale de Belgique2. C'est le même e

ouvements qui ne sont pas renfermés dans les mouvements immédiatement précédents et qui, par conséquent, ne peuvent se prévoir 1.

nous voulons citer en cette courte revue est d'un ordre différent des précédents , mais non pas le moins singulier. C'était une jeu

d'où mouvement. Si le courant n'est (1) Ce travail fait suite a un précédent : Essai sur la volonté, publié dans la Revue en j

tpallier. La séance est ouverte à 4 h. 45. Le procès verbal de la précédente séance est lu par M. Valentin, secrétaire ; il es

ait eu beaucoup de soucis d'affaires. Cas 46. Ressemble beaucoup au précédent . C'est un cas de réelle dipsomanie. II n'a pas eu

echute. — Il peut arriver qu'un médecin rencontre trois cas comme les précédents au début de ses expériences hypnotiques. Il serai

ciologie Par M. le Dr Félix Regnadlt. Nous avons établi, dans une précédente étude, que les actes suggestifs étaient très nomb

hiver de l'Institut psycho-physiologique ont attiré, comme les années précédentes , une affluence considérable d'auditeurs. Parmi le

4 h. 45. M. Valentin, secrétaire, lit le procès-verbal de la séance précédente . 11 est adopté. La séance entière est consacrée

rême, bien plus considérable qu'après l'une quelconque de ses couches précédentes . Mais surtout, elle constata la persistance desdo

ment de la morphinomanie, comme nous l'avons démontré dans un travail précédent , le sommeil constitue un moyen très efficace pour

4 h. 50. M. Valentin, secrétaire, lit le procès-verbal de la séance précédente . Il est adopté. La correspondance imprimée compre

lyse des symptômes, très analogues d'ailleurs à ceux de l'observation précédente , me permit de porter le diagnostic de : Blèpharos

les affections hystériques des muscles oculaires.) Dans les deux cas précédents , la naissance du blépharospasme a été spontanée.

chnitz, t. II. Chap. xix, p. 354 (Leipzig1, 1850). La distinction précédente est extrêmement importante, et, si vous avez épro

ujet : L'hypnotisme et ta psychologie expérimentale. Comme les années précédentes , son enseignement avait alliré un nombre considér

ût écoulée depuis quatre jours déjà, non seulement tous les symptômes précédents s'accrurent, mais le ventre grossit ; Madame Eugé

fausse grossesse !... Observation II Quelques mois après le fait précédent , je voyais entrer tout en larmes, dans mon cabine

erte à 4 h. 40. M. Valentin, secrétaire, lit le procès-verbal de la précédente séance. 11 est adopté. La correspondance compre

r. La séance est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la séance précédente est lu par M. P. Valentin, secrétaire, et adopté.

r. La séance est ouverte à 4 h. 40. Le procès-verbal de la séance précédente est lu par M. P. Valentin, secrétaire, et adopté.

xemples ? En voici quelques-uns : Le peuple allemand était, dans la précédente génération, mollement sentimental, romantique

tpallier. La séance est ouverte à 4 h. 45. Le procès-verbal de la précédente séance est lu par M. Valentin, secrétaire, et ado

apable de porter témoignage de tout ce qui se serait passé durant son précédent sommeil nerveux. Or, je maintiens que les victime

séance annuelle, un Banquet aura lieu à sept heures, comme les années précédentes , au Restaurant Mignon, 110, boulevard Saint-Germa

et des modifications du ca- ractère analogues ci celles des malades précédents . Je viens, Messieurs, de vous montrer rapidemen

les forment un groupe assez pâle situé comme au niveau de la racine précédente . 2e Lombaire. - La zone remplie par les libres

s faites par la méthode de Marchi ne font que confirmer les données précédentes , en particulier l'intégrité de la zone de Lissaue

es. 91 Dorsale. Il ne reste plus que la partie externe de la figure précédente , qui prend à ce niveau la forme d'un triangle t

ralysie générale. Les notions qui se dégagent des deux observations précédentes doivent être divisées en deux catégories distin

FIG. 8. 110 sacrée. Transition entre le faisceau fusiforme des coupes précédentes et le faisceau triangulaire des coupes suivante

lles qui sont représentées au centre du centre ovale dans la figure précédente . 40 NAGEOTTE dans le triangle en question que

t marginale et occupe SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 55 blable au précédent . Ce malade fut le premier chez lequel on fit le d

sstémrctiues dans le ta- bes nous paraît bien plus important que le précédent . L'apparence pseudo- systématique peut être due

n latéral, la sclérose est encore plus accentuée que sur les coupes précédentes et plus accentuée par comparaison avec les lésion

calibre extrêmement diminué et sa forme rappelle celle des moelles précédentes . Le cordon posté- rieur est sclérosé presque en

us relaterons enfin une observation que nous pouvons rapprocher des précédentes au point de vue de la pathogénie, mais qui présen

e sillon antérieur. 1re Dorsale. - Même remarque que dans la] coupe précédente en ce qui concerne le faisceau pyramidal antéri

st suffisamment nette; la seconde n'est qu'un cas particulier de la précédente , elle résulte de l'impossibilité manifeste d'en

du fascia lata, facilement acces- sible. Pour toutes les raisons précédentes , nous avons adopté un dispositif mixte qui est

ensiblement identique, un seul des types de réflexe planti-digi tal précédents . Au contraire, un même individu normal, dans la

. On peut résumer ainsi sous forme de conclusions les constatations précédentes : 1° A l'état normal, l'excitation minima de la

vent concur- remment dans la moitié des cas : les tracés graphiques précédents en sont la preuve. Il nous reste à considérer m

e la voie pyramidale ne correspond pas un seul des différents types précédents à l'exclusion des autres. Plus encore, un même

pe Bechterew cliniquement voisine immédiatement ces deux varié- tés précédentes . Seule la pathogénie en serait spéciale d'après B

atisfai- sant, est de nouveau pris d'accidents très comparables aux précédents . Cour. - Tachycardie, embryocardie avec dispari

au cas que nous publions aujourd'hui diffère par certains côtés des précédents , mais s'accorde encore avec les interprétations a

ont un peu différents de ceux qui ont été constatés par les auteurs précédents . L'observation sui- vante nous parait important

moelle, sur les racines ou dans le ganglion rachidien- ? . Dans un précédent travail (1), nous avons cherché à élucider cett

plus rare. Nous reproduisons ci-contre une figure empruntée à notre précédent mémoire et qui montre bien les étapes de l'atro

la végétation des cellules endothéliales de la cap- sule ; le fait précédent permet de rejeter immédiatement cette manière de

ion, mais est très notablement atrophié. Mlle Hand... (6), soeur du précédent . Début à 3o ans, par des douleurs dans le membr

volume. Voilà,enfin, l'observation clinique du frère cadet des deux précédents , de Luis Hand ? que nous citons après MM. Klipp

dégénérescence est situé un peu plus en avant que dans les régions précédentes , de sorte que son sommet vise l'angle latéral d

clérose du faisceau de Gowers restent les mêmes que dans les coupes précédentes . La dégénération du cordon de Gowers peut être

den (3) ont récemment protesté contre le fait admis par les auteurs précédents et contre son interprétation : ils ont constaté

ostics anté- rieurs sont : mania, ps. periodica ; dans les deux cas précédents le trouble a revêtu la même forme. La malade es

fleur assez mal faite. L'aspect général de ceux-ci rappelle la figure précédente qui est assez vague. A ce moment la malade semb

ogues à celles que nous venons de décrire. Grâce à cette absence de précédents littéraires, nous nous sommes cru autorisé à pu

on localisée ( 1861,0 bs. CCXXXI V), qui peut être rapprochée de la précédente . Il s'agit d'un paveur, dont les deux sterno-cl

rmal. (Ce nerf est photogra- phié avec le même grossissement que le précédent et que les suivants : e, f, g, h, i, etc...)

rossiss. : 80 D). Coloration à la fuchsine acide. Même coupe que la précédente , à l'extrémité gauche de la fente, près de la pér

Fag... Région cervicale inférieure. La cavité centrale de la figure précédente a complètement disparu, il subsiste cependant une

, que se placent ceux qui font l'objet de nos examens histologiques précédents . C'est pour eux que l'on est amené à se demande

troubles psychographiques, qui sont tout aussi intéressants que les précédents , et dont l'ensemble est des plus instruc- tifs

ements de toutes sur- tes. J'ajouterai que les quelques indications précédentes donnent la clé de la graphologie, qui repose co

ton à la fois prétentieux et monotone. Ce dernier malade, comme le précédent , est un paralytique récent, et je profile de ces

ncompréhension qui reconnaît pour seule cause l'oubli des phra- ses précédentes . Dans ces conditions, la lecture quoique immédiat

constate de plus une grosse lésion, incomplète- ment séparée de la précédente , qui occupe toute la partie antéro-interne et qui

à leur pourtour les mêmes larges espaces clairs que sur les coupes précédentes . Les racines ont peu de gaines colorées. lor-

sversal des cornes. Même distribution des cellules que sur la coupe précédente , mais cellules moins nom- breuses à droite. 8

out sensible- ment le même état et le même nombre que sur la coupe précédente . 12e dorsale. - Moelle normale à l'oeil nu, sau

ÉGLISE DE LURCY-LÉVY (Allier), ? PAR A. MARIE (de Villejuif) Ma précédente étude sur une tapisserie berrichonne trouvée au M